Tumgik
#tendrement
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Tendrement performed by Jérôme Pradon in 1987
Look at this national treasure I found of Jérôme pradon looking like an absolute beaut on stage! I'm so glad I came across this video of him because just look at him, man. He looks very handsome, and he's got moves too.
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abdlrimespotiques · 22 days
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vhscorp · 5 months
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Je voudrais pouvoir poser ma tête sur les genoux d’une personne qui m’aime tendrement, elle glisserait sa main dans mes cheveux et je m’endormirais tout doucement…
V. H. SCORP
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coovieilledentelle · 5 months
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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lisaalmeida · 4 months
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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coolvieilledentelle · 7 months
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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olympic-paris · 16 days
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saga: Soumission & Domination 265
Inauguration de nos deux cariatides : fin du WE
La fin de soirée se passe à recharger nos batteries. Kamal est tout fou de ce qui lui est arrivé, notamment ses sodos mémorables de Bogosse et d'Eric devant son mec l'ont fait décoller comme jamais. Alexandre est en train de s'apercevoir que son gentil petit beur bien sage est en réalité un pur obsédé sexuel ! Sa souplesse de danseur classique fait merveille en termes de positions, tout comme celle de PH nous avait surpris à l'époque.
Tout en nous restaurant, je vois que les mains inoccupées par la nourriture restent, presque toutes, en contact avec les chairs toujours nues de corps qui ne sont pas les leurs.
L'arrivée des desserts entraine des dérives sur la façon de les déguster. Les supports vivants sont appréciés. Les crèmes de certains gâteaux finissent étalées sur des pecs pour finir léchées. Certains cris m'indiques que des tétons sont de la partie.
Le premier à enduire son gland de chantilly est bien sur Eric. Le blanc de la mousse ressort bien sur le noir Kiwi de sa peau ! Ils sont 2 à se jeter dessus. Cédric bien sur qui considère que ce morceau d'Eric lui appartient et Kamal qui entend bien pouvoir passer son permis moto sans délais. Ce qu'il y a de bien avec les grosses queues comme la sienne, 26cm, c'est qu'il y a de la place pour plusieurs !
Nous sommes plusieurs à les regarder faire. PH vient se coller à ma droite alors qu'Ernesto se glisse à ma gauche. Je les serre contre moi heureux de sentir leurs peaux contre la mienne. Je les aime trop mes deux p'tits frères/mecs/amants/amours !!
Quand je quitte des yeux le spectacle, je rencontre le regard de Marc qui nous regarde tous les trois. A ses cotés Hervé aussi à son regard fixé sur nous. Je leur souris et serre mes bras passés autour de mes deux amis. Ils s'en étonnent et levant les yeux voient nos deux ainés qui nous matent.
Ils nous rejoignent et nous prennent dans leurs bras. De roulage de pelle en batailles de langues, nous ne différons plus le couple (Hervé-Ernesto) du trio (Marc-PH-moi).
L'intensité de l'embrassade est beaucoup plus forte que dans nos touzes précédentes. On s'en aperçoit tous et c'est Hervé qui le premier nous propose de nous éclipser dans notre chambre.
Le temps de prévenir Samir qu'il est en charge de " coucher tout le monde ", nous nous éclipsons discrètement par l'escalier.
Arrivés dans la chambre, je branche l'écran géant sur les caméras du séjour au dessus de nous. Nous voyons que notre départ est commenté. Collés les uns aux autres, nous les écoutons. En fait ils sont tous extrêmement gentils. Même si je les fais rire avec mes besoins de reconstituer une " famille " autour de moi, ils sont tous contents de me connaitre. Alban qui se demande s'il n'y a pas de calcul derrière tout ça se fait renvoyer dans ses 22 par tous les autres ! C'est toujours agréable à entendre.
PH éteint l'écran en nous disant que si cela continuait, j'allais plus me sentir ! Tous les 5 dans notre grand lit, nous nous sommes aimés calmement, tendrement, bestialement aussi mais avec une passion absente des grandes baises collectives.
Dimanche matin (plutôt midi) :
Je me réveille dans les bras de PH et Ernesto. Marc et Hervé sont déjà sortis du lit. J'agace mes voisins jusqu'à ce qu'ils émergent des bras de Morphée. S'ensuit une bagarre qui finit en brochettes. Par là j'entends moi dans PH avec Ernesto dans le cul, Ernesto dans PH et moi en train de lui limer la rondelle sans oublier : PH me labourant le trou alors qu'il offrait l'hospitalité du sien à Ernesto.
Depuis que nous avons ouvert la succursale de Barcelone, Ernesto ne fait plus de passes et les analyses de nous 5 étant positivement négatives, nous avons décidés de nous passer de kpotes entre nous.
Cela nous permet de nous terminer à la bouche et de partager nos productions en nous roulant des pelles un peu grasses !
Douchés et le cul recouvert d'un simple short, nous montons d'un étage. Tous les invités sont déjà debout, plus ou moins vêtus. Au dessus de la cuisine nous pouvons admirer les jambes de Kamal, Arnaud et Louis en train de battre l'eau.
Ammed nous sert de grands cafés et nous piochons dans les corbeilles croissants et pains au chocolat afin de calmer la faim résultant de nos exercices matinaux. Marc et Hervé viennent nous rouler des patins de bonjour. Les autres aussi d'ailleurs !
Nous papotons et nous apprenons comment sont passées les nuits des uns et des autres. Ils n'ont pas été raisonnables eux non plus. Entre minitouze et échanges entre couples, les culs et les bites ont travaillé tard dans la nuit ! Julien n'a quasiment pas dormi. Il est parti de bonne heure pour ouvrir sa boutique mais il nous a laissé Second et doit nous rejoindre après la fermeture vers les 13h30. C'est-à-dire dans pas longtemps !
Heureusement que la cariatide coté salle à manger est traité bronze brillant car vu les mains qui la caresse à chaque passage devant, l'avoir eue mate, comme l'autre cela aurait été vite indécent ! Les mains s'égarant plutôt sur le sexe qu'ailleurs.
Alban est en pleine discussion avec Olivier concernant une commande de statuaire pour agrémenter l'entrée d'une des " maisons " qu'il a en construction. Mais d'après ce que j'ai compris, il doit fournir un plan coté vu que l'oeuvre sera réalisé par un tailleur de pierre in situ.
En attendant le déjeuner, nous rejoignons la terrasse et nos amis déjà dans l'eau. Pas question de nager mais plutôt de se courser, s'attraper se les mettre à l'air jusqu'à ce que nous soyons tous bandants.
Ça du donner des idées aux mecs de l'étage du dessous ( rappel : ils pouvaient mater ce qui se passait sous l'eau par le coté vitré au dessus de la cuisine) car nous les voyons apparaitre les uns après les autres.
Marc prévient et insiste pour que rien de soit fait dans la piscine et surtout pas d'éjaculation sous peine que nous soyons obligés de la fermer. Du coup, nous sortons tous et nous nous dispersons sur les 150 m² de la terrasse. Nous n'en sommes encore qu'aux divers préliminaires quand Julien nous retrouve. Après une pelle à son mec (Second) en train de se faire bouffer la rondelle par Arnaud, il vient nous dire bonjour. Enfin, j'espère qu'il n'en fait pas autant avec les clients de sa boutique ! Vu les pelles profondes qu'il distribue.
Comme je suis le dernier, je l'attrape par le cou pour rendre sa pelle plus longue et le garder pour plus. Louis, avec qui j'étais en train de m'exciter avant qu'il arrive, m'aide à le mettre à poil. C'est plus rapide que prévu car il n'avait pas pris le temps d'enfiler un slip sous son pantalon. Louis me prend de vitesse et se jette sur la bite qui vient d'être dévoilée et se care sans problème les 19cm derrière ses amygdales malgré l'épaisseur de 6 pas si facile à ingérer. Julien raidit vite sous les aspirations/déglutitions de son pompeur. Comme il reste debout, je m'agenouille de l'autre coté et enfoui ma langue entre les deux globes ronds et musclés de ses fesses. L'allongeant au maximum, je titille sa rondelle, qui, je le sais, apprécie aussi la défonce. D'ailleurs je la sens se déplisser, se desserrer. Des deux mains j'écarte ses fesses pour me rapprocher de l'objet de ma convoitise (j'entends bien y mettre mes 20cm dans peu de temps). Ma langue peut ainsi enfoncer ma salive pour préparer le terrain. Tout est bon dans le Charcutier ! Sous nos stimulations, Julien se plie en avant et prend appui sur le mur coté rue. Je me kpote avant même de me redresser et profite du mouvement et de mes 2cm de plus(en taille générale) pour m'enfoncer immédiatement dans son cul. Il ne s'y attendait pas et même si je suis rentré facile (je l'avais bien préparé et il est comme nous tous bien chaud) je l'entends émettre un soupir/gémissement de bien être. Il a beau avancer le bassin par reflexe, je suis le mouvement et avance jusqu'à sentir les quelques poils que je garde au dessus de ma bite s'écraser contre sa peau. Je recule quand j'entends un " arggggggggggg " provenir d'en dessous alors que la queue de Julien étouffait Louis. Nous trouvons rapidement les bonnes positions et mes mains accrochées à ses hanches, je défonce le cul de Julien avec d'autant plus d'enthousiasme que je n'avais pas eu la chance ou l'opportunité de me le faire la veille.
Second, libéré des attentions d'Arnaud, vient nous voir et roule un patin à son mec tout en caressant sa chute de rein. Ses doigts s'égarent jusqu'à sa rondelle que je lime avec entrain. Puis il la retourne et enserre la base de ma queue me faisant durcir encore plus. Trop bon ! Son autre main " s'égare " sur mes fesses, puis entre. Bientôt je sens un puis deux doigts investir mon intimité. Ça ne dure pas longtemps et il les remplace avantageusement (pour moi) par sa bite enveloppée. Il est devenu très bon depuis  notre première rencontre où je lui avais appris (avec son collègue apprenti comme lui de Maçon) à faire des gorges profondes. Ses coups de reins sont très efficaces et Julien s'en rend compte car d'après lui ma bite en gonfle encore plus. Je calque mon limage du cul de Julien à la façon dont moi-même je me fais enculer. Il reconnait le style de son mec ! Je le vois tourner la tête et lui adresser, par-dessus mon épaule, un regard où je lis tout son amour pour lui.
Encore deux PD amoureux !! Ça va finir par devenir banal quoi qu'en pense les rétrogrades amis de Frigide Bargeot !!
En attendant je nique une des deux moitiés du couple tout en me prenant, avec un plaisir non dissimulé, l'autre moitié dans le cul. J'entends, tout autour de nous, autant de gémissements et de cris de plaisir que de participants à notre touze apéritive. Avant que nous ayons tous épuisés nos " cartouches ", je laisse ma place et pars à la recherche d'émotions plus fortes. Je les trouve avec Bogosse et Eric. Je détourne le premier de la bouche de Kamal. Il comprend de suite ce que j'attends de lui et, kpoté, me défonce la rondelle avec un entrain qui me rappelle ses premières sodo estivales. A nos cotés Eric est en train de baiser le petit cul musclé d'Ernesto. Je tourne la tête pour lui dire de garder un peu d'énergie pour m'enculer après. Ernesto proteste qu'il le veut jusqu'au bout. Eric le laboure plus profond et lui dit de pas être jaloux mais qu'il se finirait dans mon cul. Bogosse propose alors d'échanger nos cul, ça devrait le satisfaire vu que question diamètre ils étaient proches lui et Eric. Ernesto nous donne son accord même si sa diction est hachée par les secousses de son enculage. Nous échangeons donc quelques instants plus tard nos deux mâles. Heureusement que je suis passé par la sodo intermédiaire de Bogosse ! Eric change de kpote et m'attrape par les hanches comme si je ne pesais que 30 Kg Et s'enfonce en moi alors que je sniffe en urgence les vapeurs de poppers d'un flacon fort opportunément à ma portée. Malgré mes sodo précédente, je sens bien mes chairs s'écarter sous la pression des 26cm de bite noire qui m'envahissent. Mes gémissements de plaisir attirent mon PH qui se doutait de ce qui m'arrivait. Il me roule un patin en s'accrochant bien à mon cou. Puis il se couche sous moi à l'inverse. Je m'écrase sur lui et embouche sa queue comme je m'enfonce dans sa bouche. Eric m'a suivi et, à genoux derrière moi, continue à me labourer le trou. C'est le nirvana ! Me faire sodomiser par une bite XXL alors que je fais un 69 avec l'amour de ma vie, je ne vois rien de mieux ! Si, quand c'est la queue de mon autre amour qui m'encule, en l'occurrence celle d'Ernesto.
L'excitation devient telle que je ne peux plus résister et je me vide dans la gorge de mon PH alors qu'il me jute dans la bouche. A chacune de mes éjaculations, je spasme ma rondelle et bloque Eric ! il ne lui faut que 3 répétitions pour exploser à son tour et remplir sa kpote alors qu'il arrive à se figer tout au fond de mon trou, ses couilles moites collées aux miennes.
Trop bon ! Limite si je ne m'évanouirai pas !
Nous sommes tous les trois couchés/collés à reprendre nos souffles. Je vois alors Ernesto juter sous les coups de boutoir de Bogosse. J'ai juste le temps de tendre le bras et de récupérer son jus au creux de ma main. De lui-même, il vient me la lécher alors que Bogosse se vide en lui (sous kpote évidement).
Il est 15h30 quand le denier des protagonistes envoie sa purée. Bousculades pour aller nous doucher. Mais entre les installations communes du niveau nuit et celles de la salle de sport, nous sommes tous propres 1/4 d'heure plus tard. Guère plus vêtus, nous nous retrouvons à engouffrer les petits fours et autres canapés que Julien nous avait apporté selon ma commande. Les parisiens s'extasient devant la finesse du buffet. Je les chambre un peu, comme s'il n'y avait qu'à Paris que l'on pouvait manger correctement !
Ça me donne une idée. Faire rencontrer Pablo et Julien. Notre Espagnol serait à même d'ajouter au savoir faire classique de Julien une touche d'originalité qui assurerait le succès de notre ami charcutier traiteur. Ernesto est d'accord avec moi. Je téléphone aussitôt à Pablo pour lui faire part de mon idée. Comme ça l'intéresse, je lui passe Julien pour qu'ils fassent affaire ensemble.
Le WE se termine quand nos invités nous quittent et que je raccompagne Ernesto à l'avion.
Jardinier
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Tendrement
Excellente semaine à vous tous
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Suite de notre soirée dans l’anse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, préférant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait réellement voir Ana surtout lorsqu’elle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opérer...J’aimais les admirer. Je n’étais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusqu’au bout de la nuit dès qu’elle le pouvait...Moi, j’étais heureux, un verre à la main, à les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il m’apparaissait alors un indéniable parallélisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ;  
La laisser être dirigée... ;
La laisser s’endiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, être enlacée, serrée par lui, être touchée, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant même.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour l’instant elle dansait tout à tour quelques salsa et autre Mango endiablés de manière lascive avec tour à tour Clara et Laura, puis la soirée avançant et l’espace autour d’elles se resserrant, à trois...
Bob m’accompagna au début en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances féminines de la plage et du jour l’avait invité à faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de l’été...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je n’étais pas le seul d’ailleurs...
De nombreux aficionados s’aventuraient au plus près d’elles...
J’apercevais parfois, ce qui me faisait rire et même m’enchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui s’étaient maintenant tellement rapprochées qu’on aurait pu croire qu’elles ne faisaient qu’une...
Néanmoins à un moment, un des garçons présents près des filles, réussit à agripper Ana et à l’extraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuèrent à danser tout en s’enlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osèrent même un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant près d’elles, les virent littéralement être phagocytées par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculées contre un mur et un peu isolées par le noir du bord de piste contrastant avec l’intensité des lumières festives éclairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu à l’écart et sur la piste avec son cavalier, élégant et visiblement doué pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dès que je pouvais à Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir à danser avec ce jeune homme et à m’offrir, elle savait que j’appréciais, le spectacle de leurs corps enlacés et énivrés de musique.
A un moment, elle vint près de moi pour se rafraîchir et me présenter à son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chéri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens c’est un slow...Daniel nous rejoindra s’il veut... ».
Elle me donna un baiser appuyé dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce qu’il pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester à la danse...
On avait déjà vécu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre région ...Je ne vous dis pas comment tout cela s’était terminé...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je n’hésitais pas à les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour être sûre de sa prise, elle tenait même fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce qu’elle devait prendre...
A mon approche, quasi à la toucher par derrière, je la vis se pencher à l’oreille du garçon malgré tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, j’en étais certain, le rassurer et lui dire que je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait être incrédule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible à en comprendre le sens profond pour celui qui en était l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancée et échauffée, fort de ce que l’on s’était dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrément de la liberté de notre vie sexuelle, je levais discrètement sa robe et vint insérer mon mât tendu à l’extrême par la situation dans son sillon fessier et me laissé guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarqué en m’approchant d’Ana que les copines de Bob avaient elles aussi été prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais délibérément Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadés de mon sexe impatient de conquête, vers les corps déjà entremêlés de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvèrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que l’on pouvait constituer faisait parfaitement obstacle à la vue des autres danseurs présents dans la boite qui de toute façon étaient manifestement eux aussi affairés et pris dans des tourments et autres ballets érotico-sexuels...
J’appris et ait eu confirmation par Bob le lendemain qu’en fait cette petite boite de nuit était devenue au fil des soirées de cet été là, un des lieux libertins, si ce n’est le lieu libertin le plus côtés de la Côte Vermeille...
Pas franchement étonnant au vu de comment évoluait la soirée, même si totalement insolite devant l’absence d’endroits habituels et dédiés à certaines pratiques des clubs libertins, ou même à quelconque information, allusion par des néons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des préservatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu étrange et peut-être même risqué pour qui aurait pu s’y aventurer par mégarde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habitués y venaient, limitant ainsi du coup les problèmes qu’il y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencèrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis qu’Ana s’était même retrouvée totalement nue tandis que Clara et Laura n’avaient plus de haut...
C’est ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent à honorer, nous faisant tourner tout autour d’elles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la première à se redresser et à se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi l’honneur mon Amour d’ouvrir le feu.. Je t’aime... ! »
Elle m’indiquait ainsi, de même qu’aux autres que c’était maintenant en levrette qu’elle voulait qu’on la prenne...
Ses amies l’imitèrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnés, pendant que chacun des mâles les saillissait tour à tour ou leur faisait minette à volonté ...
Le jeu dura un certain temps et même Bob et sa dernière amie vinrent se joindre à la ronde...
Toutes et tous exténués, nous nous réfugièrent à l’aube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littéralement entassés pêlemêle, là où raisonnablement il n’y avait réellement de la place que pour deux, et jusqu’au petit matin les corps avachis se sont abandonnés dans une anarchique et irréelle orgie des sens et des corps...
Je m’étais pour ma part inséré au plus près et au plus profond du cul d’Ana qu’elle savait encore et si adroitement faire vibrer qu’elle m’en autorisait ainsi à bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tête pour l'engloutir entre ses seins démesurés et m'inciter à en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lèvres...
Je me souviens également que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances qu’elles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions réellement, stupidement et bêtement joué avec nos vies cette nuit-là dans l’insouciance de notre jeunesse et d’une épidémie de Sida qui pointait déjà le glaive de ses ardeurs mortifères et dévastatrices.
Inconscience et peut-être même et sûrement, honte à nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santé et bien des années plus tard, tout à la fois bien conscient du bonheur que l’on ait eut de pouvoir vivre cette liberté sexuelle totale et débridée, nous sommes si heureux d’avoir été épargnés par tous ces fléaux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventurières et libertines que nous permettait l’époque...
Non pas qu’il y ait moins de désirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez fréquemment avec Ana dans nos échanges de mails et au travers des récits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilités se soit vu avec bon sens et légitimité hors couple réduit.
Ainsi goûter au délire assez fou j’en conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant féminines que masculines d’une telle soirée orgiaque n’est plus aujourd’hui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce n’était d’ailleurs pas forcément bon, ni même un kiff personnel pour tout dire, mais d’une telle intensité érotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expérience insolite et même vertigineuse.
Je me souviens encore aujourd’hui des lèvres épanouies, ouvertes, chaudes et maculées de saveurs de nos complices, ...
J’ai aussi partagé cette nuit là quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et d’autres, filles ou garçons, dans des délires érotiques sans fin qui nous avaient emportées au confins des possibles en matière de sexualité...
C’est aussi cette nuit-là que j’ai pu ressentir ce que pouvais être le dépucelage et ensuite la jouissance je dois l’avouer de mon propre cul...
Hétéro, bi, homo,... plus rien n’était ou ne pouvait être interdit à personne et nous n’étions tous que frénésie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- être que je les reçoive et vive de cette manière pour ensuite pouvoir les apprécier, particulièrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois l’avouer, cette soirée m’a totalement désinhibé pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte où je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce qu’elle souhaitait de moi ou moi-même, être en pleine conscience et capacité d’accepter, de réaliser ou de vivre certaines pratiques que j’aurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusé.
Plus tard avec Ana j’ai pu ainsi beaucoup apprécier de temps à autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou même un gode-ceinture ( je voulais réellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout à tour, ce qu’elles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, émotions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...J’en appris beaucoup sur les femmes et leurs désirs de masculinité assez souvent subconscient mais aussi souvent bien présent...) ;
et même de tenter un jour l’aventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays très drôles et ouverts à tout qui m’avaient invité à découvrir l’incroyable ambiance et l'atmosphère de la gay-pride et d’une croisière organisée en mer des Caraïbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en début de matinée, alors qu’il devait ouvrir et tenir son poste, nous réveilla...
Les autres étaient discrètement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lèvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob était bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, même si je savais que j'avais accompagné Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idée que ce fût Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai à jamais mon ami.
Je retournerai à Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur l’Espagne...Nous n’étions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas même au bout de nos congés et moi surtout pas au bout d'une sexualité torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolérance, de tous ses attraits et de toutes ses beautés à découvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
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empiredesimparte · 10 months
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Oliver: The Polytechnique ball thinks big! Napoléon V: I suggested the Garnier Opera to the school president. You've got to have a bit of fun!
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Oliver: How did your honeymoon go? Napoléon V: Very well, thank you. It was strange to be cut off from the world, away from all the hustle and bustle of Paris.
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Oliver: Good! You needed a rest. By the way, I thought it would please Hortense to have an estate in Francesim, so that we could visit you from time to time. Napoléon V: That's a good idea, I like knowing that my twin sister won't be too far away from us.
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Oliver: Of course, don't worry, I'll look after her… That is, if you agree, officially Napoléon V: Officially, so that's it?
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Oliver: Yes, I've been ready for several months now. I'm sorry again for all the trouble I've caused you, it wasn't… Napoléon V: Let's not talk about it any more. It's all settled. I know that Hortense will be happy with you, surely … more than with me.
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Oliver: You were born to take different paths. At this time in your lives, the distance is natural. However, I believe I can echo Hortense's sentiments that she loves you dearly, no matter what and despite everything that has happened. Napoléon V: Thank you, Oliver. I'm counting on you to look after her.
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⚜ Le Cabinet Noir | Paris, 17 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and his entourage went to the Grand Bal de l'X, organised by the École Polytechnique to celebrate the end of their year of study. The ball took place at the Opéra Garnier, and featured a number of performances including dances, fencing, a choir and many other distinguished ceremonies. It's a not-to-be-missed event for young students. During the evening, Oliver approached his friend Napoléon V to officially ask for his sister Hortense's hand in marriage. The Emperor agreed to make the engagement official.
(Thanks to @theroyalthornoliachronicles and @funkyllama for the sims deco and accessories! Oliver is a character belonging to @officalroyalsofpierreland)
⚜ Traduction française
Napoléon V et ses proches se rendent au grand bal de l'X, organisé par l'école Polytechnique pour fêter la fin d'année d'étude. Le bal se déroule à l'opéra Garnier, et donne lieu à de nombreux spectacles comme des danses, des combats d'escrimes, une chorale, et bien d'autres cérémonies distinguées. C'est le rendez-vous immanquable des jeunes étudiants. Durant la soirée, Oliver approche son ami Napoléon V pour lui demander officiellement la main d'Hortense, sa soeur. L'Empereur accepte d'officialiser les fiançailles.
Oliver : Le bal de Polytechnique voit les choses en grand ! Napoléon V : J’ai proposé l’opéra Garnier au président de l’école. Il faut bien s’amuser un peu !
Oliver : Et ta lune de miel alors, ça s’est bien passé ? Napoléon V : Très bien, merci. C’était étrange d’être coupés du monde, loin de toute l’agitation parisienne.
Oliver : Tant mieux! Tu avais besoin de repos. À propos, j’ai pensé que cela ferait plaisir à Hortense d’avoir un domaine en Francesim, pour que l’on puisse vous rendre visite de temps en temps. Napoléon V : C’est une bonne idée, j’aime savoir que ma jumelle ne sera pas trop éloignée de nous.
Oliver : Bien sûr, ne t’en fais pas, je prendrai soin d’elle… Enfin, si tu y consens, officiellement Napoléon V : Officiellement, alors ça y est ?
Oliver : Oui, cela fait plusieurs mois que je suis prêt. Encore désolé pour tous les ennuis que j’ai pu t’attirer, ce n’était pas… Napoléon V : N’en parlons plus. C’est réglé. Je sais que Hortense sera heureuse avec toi, sûrement … plus qu’avec moi
Oliver : Vous êtes nés pour prendre des chemins différents. À ce moment de votre vie, la distance est naturelle, mais je crois pouvoir me faire l'écho des sentiments d'Hortense qui t'aime tendrement, quoi qu'il arrive et en dépit de tout ce qui s'est passé. Napoléon V : Merci Oliver. Je compte sur toi, pour veiller sur elle.
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abdlrimespotiques · 10 months
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vhscorp · 10 months
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ALLEZ VIENS…
Qui sera là, matin, pour m’offrir un baiser, effacer mon chagrin d’un sourire apaisé ?
Qui posera sa bouche tendrement sur la mienne pour soulager ma peine quand la douleur me touche ?
Qui m’offrira son corps comme un cadeau des cieux, comme un cadeau des dieux pour conjurer la mort ?
Est-ce toi dont je rêve depuis que nos deux mains, en une étreinte brève, se sont tenues soudain ?
Je n’ai pu oublier ce brasier dans mon corps qui depuis n’a cessé de brûler plus encore.
Je n’ose pas l’avouer mais je nourris l’espoir que tu viennes frapper à ma porte, un beau soir.
À peine aurai-je ouvert, le cœur à découvert, tu me prendras la main et diras : allez, viens…
V. H. SCORP
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theungracefulpasterie · 3 months
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Second part of @imaushisimp 's request !
A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)
P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)
Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.
Dazai
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Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.
~~little timeskip~~
Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.
"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.
"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".
Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.
"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.
"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".
Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.
Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.
Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :
"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"
Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :
"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."
Tu lui souris et répondis :
"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."
Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.
"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :
"Chez moi ?~"
Il sourit sournoisement et répondit :
"J'ai cru que tu le demanderais pas~"
A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!
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woncon · 11 months
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Flufftober Day 17
Encouraging s.o. to achieve a goal
🍁 felix x gn!reader
🍁 thanks to @wonsheep for helping me fix my grammar mistakes and for giving me advice how to convert a whole story into another language precisely ❣
🍁 flufftober masterlist | main masterlist
✁- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
You should be studying, but instead you're looking at Felix. As his eyebrows furrow softly, he browses through the cookbook and then scratches the tip of his nose, leaving a small cloud of flour behind.
You lean close to wipe away the smudge. At first, Felix is a little startled by the sudden closeness, but then he continues to watch the pages with a slightly bemused smile.
"Have you nothing better to do than to look at me?"
"Is there anything better than that?"
Felix grimaces shyly at the compliment, and you feel like your heart will burst out of your chest. How the hell could you be learning French words about love when Felix is standing in front of you, trying to bake you a cake full of love.
"I thought you said you're gonna take a test on something."
Felix's warm gaze finds your notebook by your thigh. You quickly shove it against the wall behind your back, but of course the boy notices and blinks at you, mildly puzzled.
"Fine, I have to learn French. But I can't. I'd much rather watch you. After the cake's done and we've watched the mov-"
"No, no." Felix dusts off his floury hands, walks to the tap, washes them, then firmly grabs your notebook and lays it on your lap. "You can't put it off. It never leads to anything good. I'll help you, then we can bake together."
"Alright." As Felix's face lights up with excitement, so does your enthusiasm. You open your notebook to the concepts to be learned. It's not much, really, just a mini-test, but it's still a pain to get yourself to study. Of course, now that your boyfriend is offering his services, it's a different story.
You quickly run through the words, then hand him the notebook. You're ready, let's get it over with. Felix nods, reads the meaning of a word to quiz you, and you suddenly panic as those pretty lips, reading silently, empty your short-term memory.
"What's gently?" he inquires, his eyes fixed on your face. You shake your head. You're ashamed that you can't answer even though you just saw the solution. Seeing your exasperated expression, Felix takes pity on you.
"Tendrement," he smiles encouragingly, and takes possession of your lips again as he looks at the next solution. This time it's not slow, but intense, blood-pumping, yearning. He grips your hips, presses himself tightly between your legs, his tongue as if to carve the letters he pronounces as he part your lips.
"À la folie," he whispers in your ear. Your throat is dry. Nobody said Felix's deep voice mixed with French would make you so weak. "The meaning is passionately or madly."
"It was indeed mad." You throat is like a parched desert, you clear it, searching for water. Luckily for you, there's a bottle on the other side of the counter you're sitting on, which you take into your hand.
"Can we continue?" He asks after you drink a few fresh sips.
"Un peu, a little bit. Beaucoup, very. Pas du tout, not at all. I know these," you announce, while he checks that you've got them right. Somehow you've pulled them out of the short term after all. Or maybe Felix's kiss was so effective that the words bounced enthusiastically into your long-term memory.
"You won't forget the other two?"
"I don't think so." It's totally impossible to get Felix's teaching technique out of your head the next day, you're sure. "But we can still practice a few more times. You know, just to make sure."
"Oh, of course. Glad to help." Felix's wide, excited, sweet smile makes you weak in the knee - so it's very useful for you that you are sitting right now.
Your notebook lays forgotten on the counter under Felix's palm as you reach into his hair to swallow his sweet sigh into your mouth and love him as these learned words suggest.
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flufftober taglist (send an ask! <3)
@jaeheekangslover
@haechansbbg
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coovieilledentelle · 3 months
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❤️🌿Sens-tu, là, sous tes doigts, tout mon corps qui palpite, et puis mon cœur qui bat, bien trop fort, bien trop vite? Sens-tu que je frissonne lorsque nos peaux se touchent et que ta jolie bouche tendrement m’emprisonne? Sens-tu tout cet élan qui monte de mon âme, si grand, si pénétrant, qu’il me conduit aux larmes? Et sens-tu, qu’en ton sein, j’ai déposé les armes, ô, toi mon tendre drame, ô, toi mon lendemain…🌿❤️
📖🖋️V. H. SCORP
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coolvieilledentelle · 8 months
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Il viendra ce moment étrange où nous serons, enfin seuls , tous les deux les années que l’on engrange feront de nous, de jolis vieux!
Seras-tu entreprenant comme au bon vieux temps? ou fatigué de marcher, de porter les ans avanceras-tu clopin- clopan? le regard lumineux, et tant d’amour dedans
Serai-je coquette, fière ,bavarde? ou affalée comme une vieille dame affublée d’une écharpe crochetée en gris blanc et d’un vieux manteau extravagant?
Il arrivera ce moment de vie ou tu m’auras pour toi tout seul ou tu tiendras ma main, épris t’appuyant tendrement sur mon fauteuil
Aurai-je encore cette lueur amoureuse cette façon impudique de me coller à toi alors que le temps aura déja sur moi graver les empreintes d’une vieillesse houleuse?
Serons nous timides comme des adolescents lorsque nous serons deux, amoureusement a s’étendre sur notre couche,l e soir tombant rêvant a nos étreintes de jeunes amants?
Nous parviendrons au bout de la vie mon coeur accroché au tien! Ne me laisse pas à mi chemin Nous avons promis c’est pour la vie!
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