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#un air de bretagne
angelitam · 7 months
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L'ambre gris de L'Artisan Parfumeur
La note rare chez L’Artisan Parfumeur, l’ambre gris. Mirabilis Fabularis L’Artisan Parfumeur L’ambre gris est une matière précieuse. L’ambre gris de L’Artisan Parfumeur À l’origine né des entrailles des cétacés, l’ambre gris est aussi rare que puissant. Il ne développe un réel intérêt olfactif qu’après avoir flotté en mer sous le soleil pendant plusieurs années. L’ambre gris est aujourd’hui…
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grandboute · 2 months
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Sur un air de biniouze @blackteaspoon @laflecheblonde si vous hésitez entre votre cours de #musique et une pinte de #houblon, j'ai trouvé la bonne synthèse : une délicieuse #ptiteBiniouze #ambree #biniouze #binouze #biniou #bretagne #breizh #bzh #musiqueCeltique #celticMusic #biere #malt #brasserie #bier #brasseur #instabeer #beer #jusDeHoublon #brewery #frenchBeer #locale #artisanale #craftbeer #brittany #beerstagram #mousse #instamousse #instapero #apero
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fredomotophoto · 17 days
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Sunset at Brignogan semaphore
flickr
Sunset at Brignogan semaphore par Frédéric Poirier Via Flickr : In English bellow -Couché de soleil au sémaphore de Brignogan Surveillance terrestre, aérienne et maritime, les sémaphores forment une chaîne forte d'une cinquantaine d'établissements. Elle assure un ensemble de missions de service public : outre sa fonction militaire de veille, de régulation du trafic maritime et de surveillance territoriale, elle rentre aussi dans un dispositif de sécurité lors des sauvetages et fournit également des relevés météorologiques. Le réseau des sémaphores dépend de la Marine nationale. Dispersés le long de la côte française, ces établissements couvrent chacun un secteur maritime bien défini : « Le sémaphore de Brignogan a été construit en 1980, il a remplacé celui de l'aber Wrac'h qui avait un panorama de surveillance trop limité ». Sa situation permet à la tour de couvrir l'horizon de Portsall à l'île de Batz. La chambre de veille, située à 15 m de hauteur, offre une vue imprenable. « Il faut d'abord franchir les 83 marches d'un escalier en colimaçon qui permet l'accès aux cinq étages de la tour. » Cinq guetteurs se relayent pour une veille permanente à la pointe du Bilou. Les sémaphores, 2 000 ans d'histoire Du temps des Romains, près de 3 200 vigies protégeaient les côtes des invasions. Inspiré de ces tours de guet implantées par Jules César, ce système inspirera l'administration de Napoléon qui les transformera en sémaphores. En 1862, pour faire face aux mouvements maritimes anglais, la chaîne sémaphorique est modernisée grâce au système télégraphique. -Sunset at Brignogan semaphore Ground, air and maritime surveillance, the semaphores form a strong chain of about fifty establishments. It provides a set of public service missions: besides its military function of watch, regulation of the maritime traffic and territorial surveillance, it also enters a safety device during the rescues and also provides meteorological records. The semaphore network depends on the French Navy. Scattered along the French coast, these establishments each cover a well defined maritime sector: "The semaphore of Brignogan was built in 1980, it replaced that of the aber Wrac'h who had a surveillance panorama too limited". Its location allows the tower to cover the horizon from Portsall to the island of Batz. The sleeping room, located 15 m high, offers breathtaking views. "First you have to go through the 83 steps of a spiral staircase that gives access to the five floors of the tower. Five watchers take turns for a permanent watch at the tip of Bilou. Semaphores, 2,000 years of history In the time of the Romans, nearly 3,200 lookouts protected the coast from invasions. Inspired by these watchtowers implanted by Julius Caesar, this system will inspire the administration of Napoleon who will turn them into semaphores. In 1862, to cope with the English maritime movements, the semaphore chain was modernized thanks to the telegraphic system. Source : www.ouest-france.fr/bretagne/brignogan-plages-29890/senti...
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coovieilledentelle · 2 months
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La liste des ingrédients pour la réalisation du condiment indispensable à l'été, un brin désuet, la criste marine est une plante du littoral au même titre que la salicorne, mais elle ne poussent pas dans les mêmes endroits. La salicorne pousse dans les marais, zones humides ou longues plages soumises aux allées et venues des marées, tandis que la criste marine préfère les côtes rocheuses, on en trouve beaucoup en Bretagne et en Italie. Toutes deux partagent ce goût salé, iodé, cet air marin qui donne cet avant-goût d'été.
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Le coup de cœur de la saison printemps été 2024
En découvrant le travail de @cantinelaszlo , on a eu un coup de foudre amical pour cette fille qui cultive un art de vivre authentique et raffiné, qui fait chanter les saveurs de l’été dans une cuisine ouverte sur la mer et qui, après des bains de mer, part cueillir la Criste marine, cette plante aussi appelée « fenouil marin ».
Glâner la terre, cueillir les eaux,
la recette des vacances. Comme elle, nous allons pouvoir faire de cette plante sauvage local, le condiment le plus original et savoureux de l’été.
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carraways-son · 3 months
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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philoursmars · 6 months
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Troisième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s : Christian en Bretagne, près de Brest, il y a un mois déjà.
Ici l'Aber Ildut, à Lanildut.
En 1, l'œil est une œuvre de Pierre Chanteau. Puis en 2, le pigeonnier du Manoir de Bel-Air (celui-ci, on le voit sur la 5). En 3 et 4, le moulin seigneurial de Roudouz (à roue horizontale, en pierre). En 6, l'auberge de Bel-Air puis le moulin du même nom (il ne manque plus que le Prince !).
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lespoulesebreizh · 2 months
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cap de la chèvre/ camping les bruyères
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Le temps de se rebadijonner de crème ( un peu perdue entre crème solaire , flekor et crème pour les pieds), la douce joie de remettre le sac à dos et nous voilà prête à attaquer la côte est...
Qui a dit qu'il pleuvait en Bretagne ?!? On est chanceuse du temps de la semaine avec 30 annoncé aujourd'hui,  il fait vraiment chaud, on se croirait dans le sud. Heureusement une pte habitation le long du GR à qui on demandera  de remplir nos gourdes.
On traverse de nouveaux paysages avec de nombreux pins et de belles criques dessinées par les falaises.
L'eau y est translucide...ça donne tellement envie d'y plonger: comme un air de méditerranée,certains le compare à la Corse. 
D'ailleurs, la carte nous indiquant une crique accessible, on s'est rajouté une belle descente et 103 marches à remonter pour se retrouver juste à 5m au dessus mais sans pouvoir y descendre.
Fallait accepter et finir les 2 derniers km! Des championnes, je vous le dis : même le gars  du camping a dit que dans ce sens, elle est très dure...
Encore une journée remplie de waouh waouh malgré les ouille ouille....je 
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frisquette27 · 1 year
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Bonjour à tous !!
Voici enfin le chapitre 4 de UN PHILTRE SANS PHILTRE
Comme d'habitude ce n'est pas de la grande écriture (mais moi je m'amuse beaucoup) un grand merci à @miung-dreamer et à @kamomille9 pour leur soutien sur cette histoire :)
UN PHILTRE SANS PHILTRE : CHAPITRE 4
Un silence pesant régnait dans la pièce, le Roi légèrement avachi sur sa chaise attendait avec anxiété les remontrances de sa mère et de son horrible tante qui tardaient à venir ce qui ne présageait rien de bon, et pour clore le tableau ses beaux-parents les avaient rejoints dans la salle à manger. Il avait autre chose à gérer aujourd’hui, enfin surtout quelqu’un à gérer et ce n’était pas une sinécure. Le repas fut rapidement servi, aucun des serviteurs ne voulait s’attarder dans la pièce tellement l’ambiance était glaciale. La Tante d’Arthur posa bruyamment son verre et d’un air dédaigneux s’adressa directement au couple royal de Carmèlide.
« Donc vous devez être ravi, vous voilà à nouveau les beaux-parents du Roi de Bretagne, comme quoi les mariages mènent à tout »
Elle se tourna vers son neveu et toujours sur le même ton.
« D’ailleurs faudra m’expliquer pourquoi vous êtes allez la chercher l’autre cruche, elle n’était pas bien dans sa forêt ! »
« Oh l’autre cruche comme vous dites c’est ma fille ! »
« Et alors vous pensez que cela m’impressionne, et d’ailleurs on voit que vous l’avez bien éduqué votre fille, elle a le culot de ne pas venir nous saluer, elle se prend pour qui ? »
« La Reine de Bretagne » répondit sobrement Arthur
Avant que les sœurs de Tintagel puissent répondre la porte s’ouvrit avec fracas sur ladite Reine de Bretagne. Elle avait pris le temps de se changer avant de venir certes ce n’était pas la jolie robe quelle arborait ce matin mais ce n’était pas une de ses tenues habituelles d’apparat de Reine. Elle avait opté pour une robe légère qui épousait parfaitement ses formes.
Elle s’assit en silence à côté de sa belle-mère, Arthur s’était redressé sur son siège vivement à son arrivée. Oh pourvu qu’elle ait pris la tisane des enchanteurs se dit-il. Elle sourit et s’adressa timidement à Dame Ygerne.
« Je vous prie de m’excuser de mon retard Mesdames, je suis vraiment navré, j’ai eu ..une urgence et … »
« Une urgence de quoi, de broderie, vous n’allez pas me faire croire ma pauvre fille que vous ayez quoi que ce soit d’urgent dans votre vie ou ne serait-ce d’important » coupa Dame Cryda
« Vous n’avez aucun sens de la bienséance, quand vous recevez des personnes importantes vous devez au minimum vous présentez à eux dès leurs arrivés »
« Je pense que vous perdez votre temps ma sœur, une idiote pareille ne peux pas comprendre, d’ailleurs stupide comme elle est, je suis surprise qu’elle soit encore en vie, elle doit oublier souvent de respirer »
Guenièvre ne bougeait pas, un sourire sur les lèvres, elle encaissait les piques les unes derrières les autres. Arthur était soulagé à priori le remède devait fonctionner, il retrouvait sa femme timide. En vrai Guenièvre ne se laissait pas toucher par les propos de sa belle-famille, certes la tisane avait calmé son euphorie mais elle avait toujours la sensation d’être libre dans sa tête en tout cas plus libre que d’habitude. Donc elle se fichait royalement ce que vous pouvez dire ces deux mégères, elle se contentait de sourire, de toute façon elles seraient bientôt parties donc pas de vague, surtout pas de vague. Elle avait cessé de les écouter puis elle comprit que les insultes avaient changé de cible et son humeur changea, la colère revenait au grand galop. Elle serrait les poings sous la table, elle devait se retenir.
« Qu’est ce que vous voulez ma chère sœur avec un guignol pareil, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose, de toute façon je vous l’ai toujours dit un batard reste un batard »
La reine se mit à remplir excessivement son assiette, le visage fermé, extrêmement concentré à ne pas craquer.
« Ben qu’est ce qu’elle nous fait celle là encore, vous avez perdu du poids pendant votre petite escapade et du coup vous comptez vous rattraper, de toute façon oublié, vous ne plairez jamais à l’autre pignouf » dit Dame Cryda puis en s ‘adressant au Roi « Parce que ça aussi vous n’êtes pas capable de le faire, ben oui l’héritier, en même temps quand on vous voit on comprend qu’il ne vaut mieux pas se reproduire, il pourrait être aussi minable que vous. Vous nous avez toujours fait honte ! D’ailleurs vous êtes bien un enfant non désiré, qui voudrait d’un enfant comme vous ! »
S’en était trop pour Guenièvre, elle se leva vivement de sa chaise tout en attrapant son assiette
« Oh mais vous avez raison Dame Cryda, mon assiette est vraiment trop pleine, stupide comme je suis je vais être obligé de tout jeter à la poubelle » dit Guenièvre exagérément gaie, se caricaturant elle-même.
Elle se plaça derrière Dame Cryda et renversa tout le contenu de son assiette sur la tante d’Arthur qui poussa un cri d’effroi.
« Ben quoi ! » dit la Reine alors que Dame Cryda se levait en hurlant « j’ai jeté à la poubelle ..parce que c’est ce que vous êtes une poubelle, vu toute les ordures qui sortent de votre bouche »
« Mais vous n’êtes pas bien ma pauvre fille »
« Alors je vais faire très simple puisque à priori je suis stupide alors vous ouvrez grand vos oreilles car je ne me répèterais pas, vous dites encore une fois, une seule fois du mal d’Arthur et ce n’est pas de la nourriture que vous prendrez dans la figure mais mon poing »
Le Roi s’était levé choqué par la scène mais il ne put s’empêcher de sourire à la situation, à priori la potion devait encore faire effet mais il était touché que sa femme ai pris sa défense. Elle avait encaissé toutes les critiques qui la concernait mais n’avait pas supporté que l’on dise du mal de lui. Une chaleur tourna dans son ventre, il repensa au baiser dans le laboratoire, la chaleur atteint ses joues. Il allait de surprise en surprise aujourd’hui, il devait se l’avouer ce n’était pas pour lui déplaire.
Plus il la regardait, plus il la trouvait jolie sa femme, oui SA femme, il avait quand même de la chance de l’avoir avec lui dans le fourbi que pouvait être sa vie. Il regrettait de plus en plus son serment, d’ailleurs pourquoi se raccrochait il encore à ce serment. Il fut coupé dans ses pensée par sa mère.
« Et vous ! Vous ne dites rien, vous la laisser faire, vous la laissez nous parler de la sorte, jamais du temps d’Uther une telle chose se …. »
« Ah non » la coupa la jeune femme « Vous n’allez pas encore nous bassiner avec votre Uther, vous n’avez que ce nom à la bouche, franchement après tout ce que j’ai entendu sur lui on ne peut pas dire que c’était quelqu’un si bien que ça. Et puis Zut vous avez raison, on ne peut pas comparer Arthur à votre fabuleux Uther, oui on ne peut pas comparer le meilleur Roi que la bretagne est connue à un tyran. Arthur vaut mieux que dix de vos Uther, Arthur il est intelligent, juste, gentil et même très beau enfin vous … vous devriez être fière d’être sa mère, Voilà !»
La mère d’Arthur se rassit indiquant par un geste de faire de même à sa sœur.
« Celle-là, je ne l’avais pas vu venir depuis quand avez-vous ce genre de caractère ? Non ne vous m’éprenez pas j’apprécie qu’une reine ne soit pas une petite chose sans défense mais disons que vous passez d’un extrême à l’autre »
Guenièvre tendit une serviette à dame Cryda tout en montrant sa propre joue.
« Vous ferez attention vous en avez un peu là ! Ce n’est pas que votre compagnie est désagréable en vrai si elle est désagréable mais bon j’ai autre chose à faire »
Elle sentait bien que les effets de la potion revenaient au galop, elle préférait pour le bien être du Royaume de s’éloigner des deux femmes. Elle partit donc sans un geste ou surtout une parole supplémentaire. Arthur voulu la rattraper mais le bras de sa mère l’obligea à se rassoir.
« Vous la verrez plus tard, nous n’avons pas fait toute cette route pour une simple visite de courtoisie, nous devons discuter, vous devenez de moins en moins populaire auprès du peuple. »
« Ah ben tiens ça faisait longtemps, et vu que je suis un gros guignol du coup que dois-je faire pour que ma cote de popularité remonte »
« Ne le prenez pas comme ça » dit sa mère
« Vous devez replanter l’épée » dit Dame Cryda
« Cela rappellera que vous êtes le Roi » enchaina sa mère
« Non, mais ça va bien, je suis le Roi, j’ai pas à leur rappeler toutes les cinq minutes à toutes cette bande crétin »
« Dans ce cas il n’y a pas trente six solutions, il faut un héritier »
« Ben pour une fois je suis bien d’accord avec vous, on ne va pas l’attendre cent sept ans l’héritier » répliqua Dame Séli
Arthur s’était adossé à son siège, n’écoutant plus la conversation entre sa mère et sa belle-mère, perdu totalement dans ses pensées. Un héritier, avoir un enfant avec sa femme, ce n’était pas la première fois qu’il pensait aux conséquences de son serment, au-delà de la distance qu’il avait dû instaurer entre lui et sa femme, ne pas avoir d’héritier était la conséquence qui le taraudait le plus. Pourtant aujourd’hui plus que les autres, il se demandait si n’était vraiment pas le moment de dire adieu à son ancienne vie et de renoncer à son serment. Cela le tentait quand même beaucoup d’avoir un enfant et surtout avec sa femme. Le souvenir de leur baiser dans le laboratoire le hantait, il devait aller retrouver rapidement sa femme.
Au détour d’un couloir Guenièvre tomba sur sa suivante, elle avait les joues rosies, les yeux brillants
« Oh ma Reine » Angharad fondit en larme
Oubliant toute retenue la Reine la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux affectueusement.
« Ne vous mettez pas dans des états pareils, qu’est ce qui ne va pas ? »
« Non ma Reine, tout va bien, même très bien, je pleure de joie et c’est à vous que je dois ce bonheur » 
« Oh ! » comprit elle « Il vous a demandé en mariage ! »
« Oui, oui » répondit Angharad tout en fondant de nouveau en larmes.
« Oh mais ne pleurez plus c’est merveilleux, vous allez épouser l’homme que vous aimez. Vous allez devenir une femme de chevalier. Oh mais c’est merveilleux vous allez pouvoir être officiellement mon amie »
« Vous allez devoir me trouver une remplaçante, je suis vraiment désolé du désagrément Madame »
« Ne vous inquiétez pas pour ça ! J’ai déjà ma petite idée » dit-elle en riant
Elle relâcha sa suivante et recula vivement, ce qui fit sursauter cette dernière. La Reine était prise tout à coup d’un doute, si le projet idiot des seigneur Perceval et Karadoc était mené à bien, Angharad devra quitter le château pour suivre son mari. Ah non, elle n’allait pas perdre son amie la plus fidèle, mais empêcher la création de ce clan autonome signifiait que l’autre morue restait au château. Cela revenait à choisir entre son amie et son ennemie. Le registre, oui c’est ça le registre pourquoi elle n’y avait pas pensé avant.
« Angharad, il faut que je parle absolument à votre fiancé. Ou est-il ? »
« Parti en mission avec le seigneur Karadoc »
Bon à la taverne quoi ! se dit la Reine, elle n’allait quand même pas aller à la taverne toute seule. Oh et puis pourquoi pas. Elle laissa en plan sa suivante et parti en courant vers les écuries.
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aurevoirmonty · 7 months
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«Une frappe mondiale rapide»: le ministère russe de la Défense révèle un scénario d’attaque éclair contre la Russie
Selon (https://vm.ric.mil.ru/) (https://vm.ric.mil.ru/upload/site178/lCmCpEOiWw.pdf)le magazine Voïennaïa mysl (Pensée militaire) du ministère, une telle opération commencerait par une frappe mondiale rapide et plusieurs frappes massives de missiles simultanées.
Puis l’intervention de groupes et commandos, très mobiles et «multisphères», capables d'infliger une défaite totale à l'infrastructure administrative, politique et militaro-industrielle d'un ennemi dans tous les domaines: terre, mer, air, espace et informationnel.
En réaction, Moscou doit mobiliser et entraîner ses forces aérospatiales et renforcer encore sa «triade» nucléaire.
Quoi qu’en dise Macron, qui affirme «en même temps» tout et son contraire, les arsenaux nucléaires de la France et de la Grande-Bretagne sont de facto sous le contrôle des Etats-Unis, a constaté le Kremlin.
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kabbal · 9 months
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36 pour Arthur/Venec pleaaase? 💜
36 - As a Promise
En Aquitaine, même l’hiver est doux. La glace qui recouvre les eaux se brise aisément et les cœurs font pareil, prêts à couler en ruisseaux une fois le printemps venu.
Vénec sait qu’Arthur est promis à un autre destin. Il n’est pas fait pour les bateaux, les épices et les vents – n’était même pas à sa place dans cette villa périclitante à Rome, où Vénec l’a recousu tant bien que mal avec plus de désespoir que d’habileté. Arthur est une légende, un homme immortalisé dans la gloire et le parchemin. Ils écriront des lais et des romans sur son retour en Bretagne, et pas un octosyllabe ne sera alloué au marchand de mauvais aloi qui l’aura désiré plus que raison.
Qu’on ne lui fasse pas dire ce qu’il n’a pas dit : l’amertume ne vient pas de la question d’avoir été aimé en retour ou pas. De ça, Vénec a toujours été certain, autant que du cycle des marées ou de la hausse du prix du grain. Non, le passé est fixé dans des étreintes désespérées et des mots échangés autour de lampes à huile, irrétractables. Vénec a été chéri, il le sait.
Il sait, cependant, qu’il ne pourra pas l’être éternellement.
Leur amour est à mettre entre parenthèses : une histoire qui ne devait pas durer, mais a subsisté tout de même, comme une herbe folle qu’on oublie de couper parce qu’elle ne gêne pas assez les semailles de pousses plus utiles. Vénec a aimé un roi pendant plus de dix ans, au travers de fuites à travers les mers et de mois passés à embrasser la noirceur de l’humain sur les lèvres, et il n’a jamais trouvé de raison d’arrêter ; du moins, pas avant ce jour d’hiver, aux portes du domaine ducal en Aquitaine, à attendre le départ d’Arthur et du Duc pour des contrées lointaines.
(Le Duc conduit Arthur en Bretagne. Ils le savent tous, ici, du plus petit garçon de cuisine jusqu’à la Duchesse elle-même. La porte vers laquelle ils se sont rassemblés pointe vers le nord, et le Duc est notoirement têtu sous ses airs affables. Vénec se demande juste si Arthur, lui, le sait.)
Il faut savoir laisser le vent filer, tous les marins le savent. Le trône de Bretagne attend son roi, tout acariâtre et tempétueux qu’il soit. Dans un an ou deux, quand l’économie se sera stabilisée et que sa tête ne sera – il l’espère – plus mise à prix, il y aura peut-être une place pour Vénec là-bas. Mais pas comme avant. Pas comme à Rome, entre les bras de cet homme qu’il doit laisser partir.
Et s’ils ne se revoient jamais, si Arthur échoue ou s’il désire se distancer de mauvaises fréquentations, eh bien, Vénec aura toujours des monnaies bretonnes dans sa bourse pour contempler le faciès de l’homme qu’il a aimé. On peut toujours embrasser des lèvres d’or sur un profil, aussi petites et peu ressemblantes soient-elles.
Pour l’instant, il peut encore admirer son modèle de cher et d’os, alors qu’Arthur s’approche de la porte sur les talons du Duc. Il est vêtu de noir, les cheveux propres, les joues encore rougies par la chaleur du bain ou bien par l’air frais de l’extérieur. Le teint hâlé qu’il avait lorsqu’Alzagar l’a arraché à son wadi s’est estompé – un souvenir de plus destiné à être laissé dans le passé.
« Vous restez ici ? » demande Arthur, et Vénec ne se démonte pas, même s’il ne s’attendait pas vraiment à ce qu’on s’adresse à lui.
« Ouais, on m’a proposé un job dans l’évènementiel ici. Le Duc a gardé de bons souvenirs de mes services, il m’a racheté la mise. » Il salue son nouveau bienfaiteur d’un signe de tête, et se voit récompensé par un gloussement aristocratique.
« Vous vous en tirez pas si mal, finalement, » dit Arthur. Il a l’air moins renfrogné. Les vieilles tendresses sont comme les blessures – elles se rappellent à nous quand on presse dessus. Vénec se demande si c’est ce qu’il est, maintenant, pour Arthur : un brin de nostalgie incarné. « C’est votre paiement pour avoir poussé cette cage à travers la moitié du monde connu. »
« Sa Grâce est généreuse comme ça. »
Ses flatteries font sourire Arthur, même alors qu’elles ne lui sont pas adressées. « Au risque de vous submerger sous la générosité, j’ai envie de vous laisser un petit quelque chose, moi aussi. »
Ses mains viennent chercher le menton de Vénec, et malgré la lenteur de son geste, il arrive quand même à être surpris quand le baiser arrive.
Arthur l’embrasse, et tout d’un coup Vénec n’est plus le larron à la barbe grise que le temps l’a vu devenir. D’un coup, il est sur une plage, le cœur battant, tentant de sauver un homme qui n’est pas encore tout pour lui mais finira par le devenir. Les lèvres qui se posent sur les siennes sont pourtant sages, la passion transpirant dans la longueur plutôt que dans la pression.
Le parfum de sa barbe et ses cheveux ramène Vénec à Rome, aux odeurs de fruits et de vin épicé, à une couchette partagée dans un tabularium délabré. Répondre au baiser lui revient comme un geste appris il y a longtemps mais jamais oublié.
Vénec sait qu’il ne pourra pas démêler les fils que cet homme a noué autour de sa poitrine, et que seuls ses étreintes semblent être capable de relâcher.
Un raclement de gorge amusé, probablement celui du Duc, vient mettre un terme à l’étreinte. Vénec est plus peiné par cette interruption qu’il ne l’avait été par celle d’Alzagar il y a tout ce temps, en mer rouge.
« Vous viendrez me voir, quand vous aurez fini ici ? » demande Arthur, son pouce encore occupé à tracer des cercles dans les poils argentés de la barbe de Vénec. « Vous connaissez le chemin, après tout. »
« Je ne pense pas que vous aurez besoin de moi, là où vous allez. » Il faut qu’il comprenne. Il faut qu’il sache – le chemin qu’il va prendre ne va pas vers le wadi, mais vers un château lugubre qui fut l’écrin de sa perte et sera, si tout se passe bien, celui de son apothéose.
« Je crois que j’aurai toujours besoin de vous, Vénec. » Cette tendresse, toujours, insoutenable. « Où que j’aille, j’aurai toujours besoin de vous. »
Les dieux – quels qu’ils soient, Vénec a toujours été du genre à prier à tous les autels – sont injustes de lui avoir permis d’avoir cet homme, juste pour le lui arracher après. « J’vous promet de passer, » dit-il, et il espère, pour une fois, ne pas mentir en murmurant ce serment.
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angelitam · 1 year
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Le néroli de L'Artisan Parfumeur
L’Artisan Parfumeur célèbre le néroli en parfums. Histoire d’Orangers L’Artisan Parfumeur Le néroli est issu des fleurs de bigaradier. Il est connu pour son parfum délicat et solaire. L’Artisan Parfumeur présente quelques fragrances qui mêlent harmonieusement le néroli à des notes florales, épicées et boisées. Le néroli de L’Artisan Parfumeur Histoire d’Orangers de L’Artisan Parfumeur pour…
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icariebzh · 7 months
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"Nous étions à l'extrémité du Croisic, une mignonne presqu'ile de la Bretagne; nous étions loin du port dans un endroit que le Fisc a jugé tellement inabordable que le douanier n'y passe presque jamais. Nager dans les airs après avoir nagé dans la mer! ah! qui n'aurait nagé dans l'avenir."
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shezzarus · 2 years
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sur l'ordre de @jananabananawithnopeel je poste ce headcanon de fanfic que j'ai retrouvé dans mes drafts, si quelqu'un veut se dévouer, allez-y hein
sur ce:
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dans une suite d’un univers parallele de kaamelott, je m’imagine une Guenievre ayant pactisé dans son enfance avec les dieux pour aider le futur Elu roi de bretagne à sauver le pays quoi qu’il arrive. dans cette fanfiction mentale ca implique qu’elle a accepté de se sacrifier en echange force astrale à soulever la nature.
quelque part au milieu d’une nouvelle preparation de bataille contre Lancelot, Mevanwi s’étant retranchée sur quelques terres maudites version Reine des Glaces de Narnia, lors d’une nuit pour préparer un assaut, Guenievre se releve de la couche royale dictée par une fée messagère pour se rendre en forêt, près d’un plan d’eau où lui sont rappelé ce pacte, son engagement, son role; et lui sont donné les consignes qui guideront son geste.
Arthur l’a suivie, de loin. il l’a entendue se lever, il a feint de dormir et lui a emboité le pas hors de leur tente, hors de leur chambre. il arrive au moment où Guenievre se prosterne, genou à terre devant ce spectre et sa cour luisante. le souffle court il l’observe accepter un objet qu’il ne discerne pas tout de suite et son cri s’étrangle lorsque d’un mouvement brusque elle le porte haut, et se l’enfonce dans la poitrine d’une main tremblante mais déterminée. il l’entend qui étouffe un hurlement de douleur et la voit s’affaisser sur elle meme tandis que la foret autour d’eux semble se mettre à tourbillonner, à s’agiter: le vent soulève les feuilles mortes dans une energie furieuse, il lui semble que la terre tremble, les rochers grondent et l’eau remue jusqu’à l’aveugler.
et quand tout se calme lui a l’impression que sa vie s’est effondré avec Guenievre dont le corps offert et inerte a paru briller intensément l’espace de quelques secondes comme pour lui imposer l’évidence qu’elle vient de le quitter pour quelle que raison transcendante. elle lui a été arrachée et il n’a rien pu faire, trop sidéré par ce secret qui le laisse abandonné. hébété, il se précipite vers elle, ignorant l’assemblée magique qui se dissipe et se disperse. il trébuche, l’appelle, peste et la tâtonne l’air hagard lorsqu’il se rend compte qu’effectivement, elle gît dans ses bras.
il pleure jusqu’à l’aube dans cette clairière où tout s’est passé trop vite.
il ne sait pas très bien comment il rentre au camp d’entrainement, fébrile et désespéré, incapable d’expliquer à Léodagan ou Séli ce qui s’est passé. il n’y a que Merlin qui comprend, un air étrange et fermé sur le visage qui ne lui ressemble pas. Merlin d’ailleurs ne dit rien à part d’allonger la Reine sur le lit de soins et que tout le monde doit dégager, mmmm
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Bien le bonjour mes vaillants compagnons ! Je suis fort heureuse de vous annoncer que j'ai survécu à cette nuit dans la tempête, même pas froid. Et la voiture est étanche, c'est une bonne nouvelle.
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Cette journée du 3 juin se passera avec une météo sacrément meilleure que celle d'hier ! (Bon, je ne mets pas la barre bien haut, certes, mais ça fait quand même plaisir !). J'aime bien la photo du dessous parcequ'elle résume pas mal les paysages des Catlins : de la mer, de la forêt, et des moutons ! (Sisi, au bout de la péninsule, ça fait travailler vos yeux)
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Je commence donc la journée par un Martin pêcheur surprise, puis une petite balade sur la plage, où je trouve un magnifique Paua 🥰🥰 c'est comme les nacres de Villefranche, mais de la taille de ma main... Ils font beaucoup de bijoux à partir de ce coquillage ici d'ailleurs !
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Ensuite, je fais plein de cascades, la plus belle étant sans conteste celle de McLean !
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Celle ci avait un petit air de Brocéliande (pi les mêmes températures qu'en Bretagne en plein hiver tiens)
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Ensuite, direction les wetlands, ça changeait totalement d'ambiance ! Pas le droit de quitter le chemin pour protéger les plantes ... Et de toute façon, j'ai l'impression que je m'y serais enfoncée jusqu'aux chevilles, pas de hors sentier pour la Touille aujourd'hui !
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Je fais aussi un petit crochet par la forêt fossilisée de Curio Bay ! Je m'attendais à un truc sacrément impressionnant, mais à défaut d'arbres géants en pierre, l'histoire est super intéressante : des pluies énormes ont dévalé les pentes d'un volcan, se chargeant de silice, avant de traverser la forêt comme un raz de marée. La forêt est détruite, mais l'eau s'infiltre dans les cellules, chargeant de minéraux tout ce beau monde, et pouf ! Ça fait des chocapics fossiles pour la postérité 🤗
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Là du coup, c'est un ancien tronc d'arbre en tranche horizontale ! Bon, les plus beaux spécimens sont conservés dans le musée à côté, les touristes ayant eu la fâcheuse tendance de casser des petits bouts pour les ramener chez eux ... Elle montait à un mètre de haut il y a une trentaine d'année apparemment cette forêt !
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Ensuite, je passe par le point le plus au sud de toute la nouvelle Zélande ! Mesdames et messieurs, après ça, c'est l'Antarctique !! (Bon, techniquement, il y a quelques îles entre, mais chuuuut)
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Et petite surprise alors que je suis au phare de Waipapa : des lions de mer !!
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"Mais alors Touille", me demanderez vous, "comment fais tu la différence entre une otarie à fourrure et un lion de mer ?". Alors. J'avais un doute jusqu'à voir ces spécimens, mais la reponse est assez simple finalement. Si votre réflexe naturel est de faire "Ooooooow" en voulant le caresser, c'est une otarie, si c'est de vous reculer de trois (dizaines de) pas en vous disant qu'il va vous croquer la tête, c'est un lion de mer 😎 (fin de la leçon). C'est grand ces bestiaux en fait, ça monte jusqu'à plus d'une demie tonne ...
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verver · 1 year
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MAUVAIS GENRES
Épisode 18
Ray et son équipe recevaient leurs homologues du sud-ouest et de Bretagne pour partager les données sur ces crimes, cinq en tout mais la haute hiérarchie avait mis sur la table dix à quinze dossiers qui d'après eux pouvaient matcher.
La criminelle de Paris coordonnerait l'enquête , il en avait été décidé au ministère de tutelle.
Bien sur il fallait coordonner les polices et partager les tâches et le personnel sur le terrain. C'est Ray qui s'en occupait.
Tout le monde semblait satisfait. Santenax fut mis au courant , il était aux anges , il n'arrêtait pas de féliciter ses supérieurs. Il garantissait les résultats, il faisait des promesses, comme à son habitude..
Ray rentra tranquillement chez lui , il savait qu'il allait retrouver Sophie travaillant sans compter sur son futur disque.
Il servit deux verres et lui conta sa journée, la réunion, les soupçons de sa hiérarchie sur d'autres meurtres.
Sophie n'aimait pas tellement parler de ces crimes, elle gardait un mauvais souvenir de ses auditions au commissariat.
Elle changea de sujet en lui montrant la liste des morceaux qu'elle voulait voir figurer sur son disque.
- c'est bien ! lui dit-il
- il y en a trop, il va falloir que je retire certains morceaux !
- dommage ! dit Ray
Ils dinèrent autour d'une cuisse de poulet et d'un peu de frites avec un verre de vin.
Miles D'avis inondait la cuisine de sa trompette.
En soirée, la fenêtre grande ouverte, ils regardèrent affalés sur le canapé Vincent, Paul, François et les autres...de Claude Sautet un film des années 70 avec tous ces stéréotypes, la bagnole , les clopes , les repas copieux qui ne lésinent pas sur le gras et qui sont interminables, le vin, les digestifs, les femmes , le sexe , l'argent, les grandes idées... une belle histoire où les comédiens sont volubiles.
- tous ces films sont numérisés maintenant ! tout est numérisé ! les souvenirs, les photos , les films , nos vacances pour la postérité ! éructa Ray
- Tu exagères ! dit-elle en continuant à visionner le film
- Ben voyons !
Elle lui saisit la main , lui intimant de regarder le film avec un air agacé.
Ray se calma jusqu'à la fin du film.
L'écran est noir maintenant.
Il attira Sophie vers la chambre, elle souriait, ses seins jaillirent de sa robe rouge , une main derrière la tête de Ray et l'autre sur son sexe, maintenant Sophie soupire, sa langue tendre et tendue parcours le corps de Ray en souplesse....
Sur la table de chevet un portable vibrait, Ray jeta un coup d'œil discret, c'est le sien.
- excuse moi ! dit Ray c'est le portable du boulot .
Il craignait le pire , c'était un de ses collègues délégué à l'enquête.
- Salut Ray ! on a du nouveau, excuse moi pour l'heure, tu m' as dit n'importe quelle heure ...alors ...
- t'inquiètes pas...
- pour les personnes de la liste qui ont assisté au concert , on a vérifié les noms et les alibis...
- des résultats ? demanda Ray
- quelques délits routiers , usage de stupéfiants, faux en écriture et un détournement de biens
- c'est tout ?
- Non ! on a deux personnes dont les noms correspondent à rien , pas d'historique de naissance , sécurité sociale et autres... inconnus au bataillon Ray ! c'est certainement un début de piste mon vieux !
- t'as raison vous avez fait du non boulot les gars !...
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etiennedaho · 1 year
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Son nouvel album, Tirer la nuit sur les étoiles, sortira le 12 mai 2023. En avant-première, Étienne Daho a invité RTL à le rejoindre en Bretagne, pour une balade en plein air dans la ville de Saint-Malo. Là où est né ce disque, là où le chanteur a écrit et en partie enregistré ses nouvelles chansons. C'est donc un moment privilégié avec cet artiste discret.
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