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#vêtement homme
4nuttyaddict · 1 year
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Commande client: Réalisation d'un blouson en simili cuir, doublure satin. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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2t2r · 8 years
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Bodhi - le chien habillé comme un homme qui a du style
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/bodhi-le-chien-habille-comme-un-homme-qui-a-du-style/
Bodhi - le chien habillé comme un homme qui a du style
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chemindesoie · 3 months
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Différences
Préambule : j'ai rédigé cet article un matin, au cours d'un trajet en train. Je suis parti d'une idée de base, que j'ai déroulée et suivie jusqu'à sa conclusion, à laquelle je ne m'attendais pas vraiment. Pas de plan, donc. Bonne lecture ! J’ai envie d’explorer ici un sujet assez délicat, en essayant d’éviter tout discours politique ou militant, j’ai un peu de mal parfois mais ce n’est pas le…
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emiliemaria · 3 months
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art-vortex · 4 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Man in Neon Lights: Glowing Vibes" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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hotayapetit · 1 year
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luicougroup · 2 years
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benlettres · 2 years
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Une maille à l’étroit, une âme de travers
Depuis son enfance, chaque fois que sa mère reçoit ses amies, Julien aime se joindre à elles. Au début, il était leur centre d’attention. Elles l’ont toutes bercé. Une après l’autre, elles lui ont appris à vernir ses ongles, à maquiller ses yeux, et même à tricoter. Puis, d’autres enfants sont venus. Lui, il a grandi. Maintenant, c’est à peine si elles le remarquent.
Encore aujourd’hui, sa mère a réuni ses amies au salon pendant que leurs hommes trainent dans le garage. Les autres enfants jouent dans le sous-sol. Coincé entre deux âges, Julien se laisse oublier, assis sur un pouf, le long d’un mur du salon. Il aurait pu rejoindre les hommes au garage. Mais, il préfère écouter les femmes et passer inaperçu ici plutôt que là.
Si elles ne le voient pas, lui les regarde. Quand Marie-Hélène se lève, sa robe ample crée une envolée de couleurs et de formes. Julien n’a jamais rien vu de semblable chez les hommes. Pour eux, l’éventail des possibilités semble limité au jeans délavé et au complet gris. Cela ne lui suffira jamais. Malgré tous les commentaires qu’il prévoit déjà, c’est à la manière des femmes qu’il voudrait se vêtir à l’avenir.
Heidi, assise tout juste à côté, a ses cheveux roux coupés au ras des oreilles aujourd’hui. D’autres jours, elle peut exhiber des cheveux longs et blonds ou encore bleus ou rouges. Julien n’a jamais vu un homme coiffé de la sorte. Mais, quand il pourra choisir lui-même, c’est de cette façon qu’il se coiffera.
Quand leur amie Caroline arrive, les trois premières se lèvent pour l’entourer. Elles s’embrassent tour à tour. Caroline se jette sur le sofa entre les deux autres visiteuses et leur prend la main.
Les quatre femmes parlent en même temps.  Comme les hommes, elles parlent fort. Comme les hommes, elles s’esclaffent trop fort. Comme eux aussi, elles parlent de travail et de vacances. Mais, surtout, elles parlent d’elles-mêmes et racontent leur vie. Cela est tellement plus intéressant que ce que disent les hommes. C’est de cette façon que Julien aimerait parler un jour.
Chacune de leurs visites raffermit le projet d’avenir de Julien. Comme les femmes, il se couvrira de couleurs et s’entourera d’amitié et d’originalité. Mais, pour cela, il aura besoin d’elles.
Par contre, tant sa vie que l’horloge tournent à l’envers de ses vœux. Julien sent venir le moment où le cercle des femmes se refermera devant lui. Aujourd’hui, comme d’habitude, c’est sa mère qui lance l’attaque :
— Julien, mon chéri, pourquoi tu ne vas pas jouer avec les autres ? Ou sinon, va rejoindre ton père au garage.
Julien n’a pas de défense. À bientôt treize ans, il a trop grandi. Plus le temps passe, moins on le tolère au salon. Malgré lui, plus il devient un homme, moins les femmes l’admettent parmi elles. C’est le contraire du projet qu’il a tissé.
Un fil dépasse de l’avenir qu’il s’est imaginé. Son corps d’adulte tire dessus et son monde se démaille jour après jour.
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Benoit Bolduc/novembre 2022
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4nuttyaddict · 2 years
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Gilet pour homme en taffetas bordeaux doublure satin noir. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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chic-a-gigot · 2 months
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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Dad, please 😚
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art-vortex · 1 year
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Dazzling 70s Disco Illusion" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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hotayapetit · 1 year
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ekadouble · 4 months
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Here is his story / Voici son histoire : 1: Ryan était un homme sportif et son corps le montrait. Il faisait du sport tous les jours et cela depuis son adolescence. Mais un jour, après avoir gagner une grande course de marathon, il décida de fêter cela en mangeant la bouffe qu'il s'interdisait mais qu'il aimait tant, la malbouffe. Il se mit dans une tenue confortable et commença son festin. /Ryan was an athletic man and his body showed it. He was doing sports every day since he was a teenager. But one day, after winning a big marathon race, he decides to celebrate by eating the food he forbade but loved so much, junk food. He changed into comfortable clothing and began his feast.
2: Cependant, le lendemain, il se sentit quelque peu plus paresseux et décida de prendre du repos et de ne pas faire du sport ce jour-là. C'est ce qu'il continua de faire les deux semaines suivantes. Il perdit de sa masse musculaire et devint plus gras ; mais il ne s'en rendait pas compte. Il préférait se prélasser devant la télé, et critiquer les différents sportifs sur leur niveau qui était selon lui déplorable. / However, the next day he felt somewhat lazier and decided to take some rest and not exercise that day. This is what he continued to do for the next two weeks. And he became softer ; but he didn't realize his body changed. He preferred to relax in front of the TV, and criticize the various athletes on their level which was, according to him, deplorable.
3: Cela faisait cinq mois qu'il avait pris sa "pause". Et il avait continué de grossir. Il continuait à dévorer une quantité toujours plus importante de malbouffe ; il passait ses journées sur son canapé à se prélasser dans son corps désormais bien gras, à regarder la télé et à jouer à des jeux vidéos. Pour lui, sa vie était devenu paradis. Et quand le matin, il se levait et qu'il passait devant le miroir dans le couloir de sa maison ; et qu'il constatait ce ventre bien gras qui tremblait à chacun de ses pas, ces poignées d'amour, ces jambes plus potelées et ses fesses plus énormes que jamais et qui dévoilaient, avec grâce, toute leur grasse splendeur lorsqu'il s'abaissait. Il se rendit compte que tout cela était sien et il caressait alors son corps graisseux et se disait qu'il était devenu plus beau gosse que jamais. / It had been five months since he took some “rest”. And he continued to gain weight. He continued to devour an ever-increasing amount of junk food; he spent his days on his couch lounging in his now chubby body, watching TV and playing video games. For him, his life had become paradise. And when, in the morning, he got up and walked past the mirror in the hallway of his house; and that he noticed this very fat belly which trembled with each of his steps, these love handles, these legs chubbier and his buttocks more enormous than ever and which revealed all their fatty splendor when he was lowering. He realized that it was all his and he then caressed his fat body and said to himself that he had become more handsome than ever.
4: Les semaines et les mois passèrent, et il n'en finissait de s'engraisser, il dut même refaire sa garde-robes pour l'adapter à sa nouvelle grosseur. Il devenait pour lui de plus en plus pénible de se déplacer ; même changer de position sur le canapé et prendre sa sainte nourriture sur la table lui semblaient pénibles. Pourtant, il aimait tout de même cela, sentir son gras rouler et toucher les autres partir de son corps l'exciter. Il aimait par ailleurs jouer avec son ventre et ses pectoraux semblables désormais à des seins, sentir son gras se mouvoir sur lui était d'une véritable extase. Il admirait son ventre, ses poignées d'amour, ses bras et ses jambes devenir toujours plus gras alors qu'il se goinfrait. Certains soirs, il s'endormait sur son canapé, gras comme un porc et entouré d'emballages de pizzas ; le matin lorsqu'il se réveillait, son ventre débordant de ses vêtements, il ne pensait qu'à une chose, manger. Alors, il caressait son corps bien en forme, se demandant s'il voulait vraiment ; mais l'appel de la faim et du gras finissait toujours par l'emporter, et il devenait toujours plus gros. Et d'autres soirs encore, alors qu'il dormait, c'était l'appel d'une fringale nocturne qui le réveillait ; ainsi il se levait, et marcher faisant bouger son corps de toute sa grosseur vers le frigo, et il prit tout ce qu'il trouvait ; pots XXL de nutella, donuts, beignet, gâteau à la crème, caramel ou encore au chocolat rien ne lui résistait. Il devenait encore plus gros que jamais, son gras débordait de partout et ses vêtement devenaient trop serrés à nouveau. Il se sentait perdre le contrôle. / The weeks and months passed, and he continued to gain weight, he even had to redo his wardrobe to adapt it to his new size. It was becoming more and more difficult for him to move around; even changing positions on the sofa and taking his holy food from the table seemed painful to him. Yet he still loved it, feeling his fat rolling and touching others from his body excited him. He also loved playing with his stomach and his pectorals, which were now like breasts; feeling his fat moving on him was truly ecstatic. He admired his belly, his love handles, his arms and legs growing ever fatter as he stuffed himself. Some evenings, he fell asleep on his couch, as fat as a pig and surrounded by pizza wrappers; In the morning when he woke up, his stomach overflowing with his clothes, he only thought of one thing, eating. So he stroked her fit body, wondering if he really wanted to; but the call of hunger and fat always won out in the end, and he always got fatter. And still other evenings, while he was sleeping, it was the call of a nocturnal craving that woke him up; so he got up, and walked, moving his whole body towards the fridge, and he took everything he found; XXL pots of nutella, donuts, donuts, cream cake, caramel or even chocolate nothing could resist him. He was getting even bigger than ever, his fat was overflowing everywhere and his clothes were becoming too tight again. He felt himself losing control.
5: Plus de neufs mois avaient passé depuis son changement de vie. Il rigolait en pensant que son bébé ne devrait plus tarder. Thanksgiving, et le mois de décembre étaient passés et cela se remarqué sur son corps toujours plus gras. Lors des fêtes, il avait ignorer tous les commentaires désobligeants que ses proches lui eussent faites sur son nouveau physique ; il s'en contrefichait, il se sentait bien dans son corps c'était ce qui comptait le plus. Il savait qu'il pouvait avoir des complications de santé, mais il préférait s'y croire immuniser, et se concentrer sur le buffet. Maintenant, les soirs il n'allait plus se coucher dans son lit, il préfère le canapé, cela lui demandait moins d'effort. Maintenant, lorsqu'il devait se lever c'était pour aller chercher la nourriture qu'il venait de commander. Ce qu'il mangeait au début de son nouveau régime en une journée, est maintenant ce qu'il consomme en un repas, l'un de ses neuf repas de la journée. Toujours plus énorme, il sentait ses vêtements le serrer de nouveau, mais il avait la flemme d'en commander de nouveaux. Ce n'est que quand ses joggings se déchirèrent laissant apparent l'énormité de ses jambes et que ses hauts trop petits et trop moulants, laissaient visible son ventre si gras et rond qu'il rivaliserait avec la grosseur des plus gros sumos ; qu'il décida finalement à se commander de nouveaux vêtements en même que cinq gâteaux à cinq étages. / More than nine months had passed since his change of life. He laughed, thinking that his baby shouldn't be long. Thanksgiving and December had passed and it was noticeable on his ever fatter body. During the parties, he had ignored all the derogatory comments that those close to him had made to him about his new physique; he didn't care, he felt good in his body that was what mattered the most. He knew he could have health complications, but he preferred to believe he was immune to them, and concentrate on the buffet. Now, in the evenings he no longer goes to bed in his bed, he prefers the sofa, it required less effort. Now, when he had to get up it was to go get the food he had just ordered. What he ate at the start of his new diet in a day is now what he consumes in a meal, one of his nine meals a day. Ever more enormous, he felt his clothes tightening again, but he was too lazy to order new ones. It was only when his jogging pants were torn, revealing the enormity of his legs and his tops, which were too small and too tight, left visible his belly, so fat and round that it would rival the size of the largest sumo wrestlers; that he finally decided to order new clothes as well as five five-tier cakes.
6: Ryan était vraiment obèse, il ne savait s'il voulait en venir là. Tout lui semblait plus compliquer et il ne savait plus trop s'il aimait son corps qui était devenu vraiment énorme. Ce qu'il savait néanmoins, ce qu'il n'arriverait pas à faire machine arrière, il n'en aurait pas la force. Il se condamnait ainsi à devnir toujours plus gros, et à se goinfrer, mais ça il aimait se goinfrer. / Ryan was really obese, he didn't know if he wanted to come to that. Everything seemed more complicated to him and he no longer really knew if he liked his body which had become truly enormous. What he knew, however, was that he would not be able to turn back, he would not have the strength. He thus condemned himself to becoming ever fatter, and to stuffing himself, but he liked to stuff himself.
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greedandenby · 3 months
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light 
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
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lisaalmeida · 7 months
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La perfection me rend malade, me dégoûte. Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société me filent le vomi.
Putains de mannequins de viande, sans personnalité ou de l'amour pour eux-mêmes.
Mêmes vêtements, même musique, les mêmes expressions, mêmes aliments, mêmes défoncées, les mêmes voitures, mêmes vies... et à la fin ? Mêmes suicides neuronaux de masse.
Pourquoi vivre comme un automate est sans l'ombre d'un doute ?... un suicide. Quand on est tous "égaux", On est tous ces personnes.
La perfection est un oiseau en cage qui vit, mange, chie et meurt dans le seul but d'être admiré.
Je veux vivre libre, gelé, affamé mais libre.
Charles Hank Bukowski
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