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#verglas
mothpawbs · 3 months
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ughhh i've been working on this for weeks and i'm so glad to be done with it lmao. anyways these are the designs for all of my oc queens!
had to do a way bigger watermark than usual because my wof art's getting reposted to pinterest and instagram without permission or credit 👀
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ocreatus · 5 months
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Dallas they’ve been divorced for years now

. You can shoot your shot with Verglas


 the dancing drawing was of them in their twenties
NO I CANT BECAUSE THEYRE *STILL* GOING THROUGH TOXIC YURI. THEYRE NOT WIVES BUT THEY AREEEEE


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nothingexistsnever · 1 year
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ascle · 1 year
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Ça va! Ça aura durĂ©e que 24h
 et je n’étais pas lĂ  ^^.
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Par contre ça c’est trĂšs drĂŽle đŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€Ł
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svardyr · 1 year
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villefrancois · 1 year
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En Corse, on n'aime pas trop les panneaux. #corse #corsica #voyage #trip #travel #panneau #signalisation #verglas #chasse #tir https://www.instagram.com/p/CnvyN4ttDm2/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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vistaviefashion · 2 years
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2t2r · 2 years
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30 dĂ©monstrations de la beautĂ© dĂ©vastatrice d'une tempĂȘte de verglas
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/la-beaute-devastatrice-dune-tempete-de-verglas/
30 dĂ©monstrations de la beautĂ© dĂ©vastatrice d'une tempĂȘte de verglas
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derekcanada · 1 year
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Un regard sur : De glace (balado de Patrick Senécal)
Patrick SenĂ©cal propose : De glace est un balado de fiction du genre horreur qu’on peut trouver sur le site de Radio-Canada. Aperçu : Nathalie et Yves ont vĂ©cu une tragĂ©die en perdant leur fils Samuel il y a quelques annĂ©es. Ils dĂ©cident d’accueillir le jeune garçon Benjamin, qui vient de perdre ses parents, chez eux. Cependant, Nathalie n’est peut-ĂȘtre pas encore prĂȘte Ă  avoir un autre garçon

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ornithorynquerouge · 6 months
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Emilie Payet by Antoine Verglas
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mothpawbs · 15 days
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queen verglas and princess burnish!! love these girls. i might fully shade this eventually but it was mostly an experiment in doing colored lineart.
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klgtsjfxki3n1x · 1 year
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Julia ann armpit licked while anal fucking Hen party gay porn galleries and male russian college hazing Welcome Gozando gostoso na safadinha Desi village girl outdoor bath Pinay Sloppy Blowjob with Throbbing Oral Creampie Deep throat (Pulsating cum in Mouth) naughty teen Mallory fucked hard and cummed on by the school dean TINY SPINNER FUCK SLUT LOVES COCK Bound Kissed and Made to Gag on My Long Tongue German mom having sex with man ecuatoriana dando bolsa en el carro en la uide
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letzternachtzug · 9 months
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Jennifer Connelly posing for Antoine Verglas. 1991.
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traces-ecrites · 1 year
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Quand je ne me sens pas trĂšs en forme, quand j’ai mal quelque part ou que j’ai le cƓur lourd, je sors et je vais marcher. Parfois, c’est un peu difficile au dĂ©part. Mais je ne le regrette jamais. Me mettre en mouvement me redonne de l’énergie et remet mes idĂ©es en place.
Je dispose d’une autre façon de surmonter mes bleus de l’ñme, c’est d’écrire. Souvent, j’écris aprĂšs ĂȘtre allĂ©e marcher. Marche et Ă©criture vont bien ensemble, l’une prĂ©pare l’autre. C’est un processus de digestion ou de cicatrisation.
L’autre jour, pendant la finale de la coupe du monde de football, je suis sortie marcher. Je me trouvais loin de chez moi, dans le nord, pour un week-end en famille. J’ai laissĂ© tout le monde agglutinĂ© sur et autour du canapĂ©, devant l’écran de la tĂ©lĂ©vision. Le foot Ă  la tĂ©lĂ©, non merci, sans façon, mĂȘme quand l’équipe de France arrive en finale de coupe du monde. Chacun son truc.
Me voilĂ  partie Ă  la chasse au chemin. Ici, je me trouve tout prĂšs du pays de Jacques Brel : « Avec des cathĂ©drales / Pour uniques montagnes / Et de noirs clochers / Comme mĂąts de cocagne / OĂč des diables en pierre / DĂ©crochent les nuages / Avec le fil des jours / Pour unique voyage / Et des chemins de pluie / Pour unique bonsoir. » Ici, tout est rectiligne et horizontal. Les seuls reliefs notables sont les clochers, comme dans la chanson, et les pylĂŽnes des lignes Ă  haute tension.
J’avance d’un bon pas sous un ciel blafard, en suivant des petites routes. Je ne croise personne, Ă  part quelques originaux comme moi. Je laisse mes jambes agir comme un mĂ©tronome. Tout est diamĂ©tralement opposĂ© Ă  mes randonnĂ©es d’il y a quelques semaines, sur l’üle de la RĂ©union, dans le cirque de Mafate. LĂ -bas, tout Ă©tait en courbe. Les sentiers tortueux et accidentĂ©s alternaient en hauts vertigineux et en bas profonds, sous une lumiĂšre intense.
MalgrĂ© ce contraste saisissant, je ne m’ennuie pas. Je ne m’ennuie jamais en marchant. Je progresse sans objectif prĂ©cis. Je suis partie vers le nord, vers la Belgique. Sur la carte, j’ai repĂ©rĂ© un cours d’eau, un parc, mais je ne pense pas que je pourrai aller jusque lĂ . Je marche le long de routes Ă©troites qui longent des champs couverts de givre.
Je finis par tomber sur une voie ferrĂ©e et — ĂŽ merveille — un chemin qui la longe. Mes pieds sont satisfaits de sentir le contact de la terre sous les semelles : c’est tellement moins dur et agressif. Je dĂ©teste le bitume qui recouvre les chemins pour les rendre confortables seulement pour les vĂ©hicules roulants.
VoilĂ  un vrai chemin, bordĂ© de haies, avec quelques rares arbres isolĂ©s qui mettent un peu de relief dans le paysage monotone. Je voudrais qu’il dure plus longtemps, mais il rejoint trop vite le fond d’une impasse oĂč le bitume est de retour.
Un peu plus loin, sur la droite, une voie ferrĂ©e dĂ©saffectĂ©e semble se poursuivre, partiellement envahie par la vĂ©gĂ©tation. Aucun train n’y circule plus depuis bien longtemps. Pourtant, un sentier s’y faufile, sĂ»rement tracĂ© par des pieds humains. Si d’autres personnes sont passĂ©es, pourquoi pas moi ?
AprĂšs une hĂ©sitation de courte durĂ©e, je m’y engage, curieuse de voir oĂč cela mĂšne. Je marche sur la voie ferrĂ©e en m’appliquant Ă  poser mes pieds sur les vieilles traverses en bois. La voie que je suis en rejoint une autre, puis une autre encore. Je dĂ©bouche finalement sur une vaste gare de triage abandonnĂ©e.
Par endroits, la vĂ©gĂ©tation rĂ©ussit Ă  gagner sur le ballast : Ă  quand remonte la derniĂšre fois oĂč des wagons de marchandises sont venus stationner là ? Certainement Ă  plusieurs dizaines d’annĂ©es, Ă  une Ă©poque dĂ©sormais rĂ©volue, oĂč le nord de la France Ă©tait une rĂ©gion industrielle prospĂšre.
Pour arriver jusque lĂ , je n’ai franchi aucune clĂŽture, aucun portail. Pourtant, le vaste espace dĂ©saffectĂ© oĂč je me trouve est entourĂ© d’un haut et solide grillage : impossible de rejoindre les rues environnantes. Une passerelle enjambe la zone, mais les escaliers pour l’emprunter se trouvent de l’autre cĂŽtĂ© de la clĂŽture. Je n’ai pourtant pas envie de rebrousser chemin. Je continue donc Ă  longer ma voie ferrĂ©e dĂ©saffectĂ©e. Elle se ramifie en encore plus de voies abandonnĂ©es.
D’abord hĂ©sitante, je traverse d’abord une voie, puis une autre, puis une autre encore
 Le jour commence Ă  dĂ©cliner. Un peu plus loin, je vois quelques lumiĂšres, des quais : c’est la gare d’ArmentiĂšres. Il ne reste plus que deux voies encore en service. Je finis par atteindre l’un des quais, sans avoir Ă  traverser l’une d’entre elles. Ouf !
En sortant de la gare par le hall illuminĂ©, j’ai l’impression de rejoindre le monde rĂ©el aprĂšs une incursion dans un monde parallĂšle. Je croise des gens dans les rues, qui se hĂątent vers leur destination. J’aimerais bien poursuivre mon exploration, mais l’heure tourne. Comme le match se prolonge, je ne trouverai personne prĂȘt Ă  renoncer au suspens du spectacle pour venir me chercher.
La nuit va vite gagner, une petite pluie fine commence Ă  tomber : pour revenir Ă  pied, plus question de suivre les chemins ou les petites routes. Je prendrai le bitume des trottoirs, le long des avenues bien Ă©clairĂ©es. Les quelques kilomĂštres qui m’attendent ne prendraient que quelques minutes en voiture. Je me prĂ©pare Ă  une petite heure de marche : rien d’insurmontable.
Ce ne sont pas quelques gouttes qui vont m’impressionner. L’eau qui tombe n’est pas de la neige. Bien que le sol soit mouillĂ©, elle ne se sent et ne se voit pas. Je suis suffisamment couverte pour ne craindre ni le froid ni l’humiditĂ©. J’ai dĂ©jĂ  affrontĂ© des conditions plus hostiles, je ne me sens pas inquiĂšte.
Je sais parfaitement oĂč je vais ; Ă  chaque intersection, le GPS et la cartographie de mon tĂ©lĂ©phone m’indiquent la bonne direction. Je rejoins assez vite un axe principal que je vais suivre jusqu’à destination : aucun risque de me perdre.
Pourtant, il y a quelque chose qui cloche. Je prends progressivement conscience que mes pieds doivent augmenter leur vigilance. Ils sentent que, quand ils se posent, parfois, ça glisse. D’abord, de temps en temps, puis peu Ă  peu, c’est Ă  chaque pas que je dois faire attention quand je sens le sol se dĂ©rober.
Mon attention se focalise de plus en plus sur ce qu’il se passe sous mes pieds : ça tient ou ça dĂ©rape ? J’observe des diffĂ©rences selon la nature du sol. Les trottoirs recouverts d’un dallage en brique sont particuliĂšrement redoutables. Plus le sol est lisse, plus le risque de dĂ©rapage est fort. Plus question d’avancer en « pilote automatique » ; chacun de mes pas requiert toute mon attention.
Instinctivement, mes pas deviennent de plus en plus courts, de plus en plus prĂ©cautionneux. J’ai l’impression que marcher sur une patinoire serait moins dĂ©licat : le sol serait glacĂ© partout pareil. La moindre distraction risque de me faire chuter. J’en fais d’ailleurs l’expĂ©rience Ă  trois reprises. La vigilance qui baisse un instant, le tonus qui se relĂąche briĂšvement, le regard qui se laisse distraire une fraction de seconde, et zip, je me retrouve au sol.
J’aurais pu tomber dix fois, vingt fois. Sur les centaines, les milliers de pas que j’ai effectuĂ©s, trois dĂ©faillances, c’est finalement peu. Je vis ce trajet comme coupĂ©e du monde normal, uniquement concentrĂ©e sur la surface sur laquelle mes pieds se posent, sans comprendre vraiment la situation, sans non plus entendre ou sentir vibrer mon tĂ©lĂ©phone dans ma poche, signalant les appels de celui qui s’inquiĂšte que je tarde Ă  rentrer.
Je n’ai rĂ©alisĂ© qu’aprĂšs coup, dans la soirĂ©e, Ă  l’aĂ©roport de Lille, alors que nous attendons notre avion de retour. Tous les vols prĂ©vus sont annulĂ©s tour Ă  tour. Motif : conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©favorables. Il n’y a pourtant ni vent violent, ni brouillard, ni neige.
En cherchant sur internet, j’ai fini par trouver l’explication : bruine ou pluie verglaçante, un phĂ©nomĂšne aussi rare qu’imprĂ©visible :
« La bruine verglaçante est un type de prĂ©cipitations liquides qui tombent dans une masse d’air sous le point de congĂ©lation et gĂšlent au contact de tout objet pour donner du verglas. »
« La pluie verglaçante est de la pluie qui reste liquide malgrĂ© une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  0 °C. Les gouttelettes sont alors en Ă©tat de surfusion et lorsqu’elles rencontrent un objet, elles gĂšlent instantanĂ©ment causant du verglas. »
Merci Wikipédia !
Épilogue
Que retiendrai-je de cette microaventure ? En premier lieu, j’ai vĂ©rifiĂ© une fois de plus que marcher, cela fait toujours du bien et qu’on finit toujours (ou presque) par trouver au moins un bout de chemin sur lequel poser ses pieds directement sur la Terre. Rien de mieux pour une reconnexion et un retour Ă  l’essentiel.
Ensuite, j’ai expĂ©rimentĂ© les capacitĂ©s d’adaptation dont nous, humains, disposons. Je ne connaissais pas ce phĂ©nomĂšne de gouttes de pluie en surfusion, je ne comprenais donc pas ce qui m’arrivait. Mon cerveau ne disposait pas des connaissances qui lui auraient permis d’apprĂ©hender l’expĂ©rience. J’ai dĂ» me dĂ©brouiller avec mes perceptions.
Je ne voyais rien non plus : la bruine Ă©tait trĂšs fine et le verglas invisible. S’il avait neigĂ©, mes yeux auraient pu voir les flocons, la fine couche blanche se former sur le sol. La seule information que je recevais provenait de mes pieds, de mon corps qui me renseignait sur la prĂ©caritĂ© de mon Ă©quilibre en mouvement. Merveilleuse proprioception.
J’ai passĂ© une durĂ©e que j’estime a posteriori Ă  environ une heure, de contraction de l’espace et du temps. Plus rien d’autre ne comptait vraiment que l’endroit et le moment oĂč chacun de mes pieds entrait tour Ă  tour en contact avec le sol. Une expĂ©rience de la marche rĂ©duite Ă  l’extrĂȘme.
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acsec · 1 year
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everything’s covered with hard ice today, from roads to plants 🧊 winter is both beautiful and cruel 😅 anyway, my end of the year experiment is a success ❀, I’ve been making biomaterials since last week of November and today I got my first full data and it’s the same as the expected value 😍 no more experiments for me this month, i just need to go to 2.5 days of work this month, tom morning and next week monday and tuesday, then Christmas vacation 🎄 #amazingadventuresofbeaujethro #winter #verglas #frozen #ice #eurekamoment #filipinoscientist #mulhouse #france #hautrhin #alsace (at Mulhouse, France) https://www.instagram.com/p/CmM_AOrLZdv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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ascle · 1 year
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Awwhhh on se rappelle tous de cette magnifique journĂ©e de verglas!! Bienvenue Ă  MontrĂ©al!!! Dec 2016 we miss you đŸ€Ł
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