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“Do you want to know what happiness is? Happiness is the absence of unpleasant information.” #williamtvollmann #american #warcorrespondent #novelist #journalist #essayist #shortstorywriter #readafuckingbook #ridingtowardeverywhere https://www.instagram.com/p/CDONW23hZg5/?igshid=7qg75v0k2cqw
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cinefast · 4 years
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#eclairslointains #Stalingrad #6emearmee #paulus tout le monde n’a pas le talent de #williamtvollmann #centraleuropa mais c’est intéressant quand même (à Gavrilovka, Khmel'Nyts'Ka Oblast', Ukraine) https://www.instagram.com/p/B8hQp-kIpeI/?igshid=t6gbpcz5zab3
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ctporter · 5 years
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theopillault · 7 years
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Frontlines : WILLIAM T. VOLLMANN, INVENTAIRE AVANT MISE SOUS TUTELLE
“Que vienne une nouvelle génération, qui n’a pas vu, et elle n’y croira pas, ne pourra y croire.”* William T. Vollmann
Pressentir les catastrophes et les violences du monde reviendrait  — entre autres — à faire vibrer les cordes sensibles de la mémoire, en continu. Depuis un quart de siècle un homme s’emploi méthodiquement à expérimenter pour nous le chaos et les zones interdites. William T. Vollmann a interviewé les victimes, rencontré les bourreaux.
Vollmann a 57 ans et il continu de plonger à pieds joints dans la grande fosse des meurtres de masses, des conflits armées, des résistances et des génocides. Vollmann est partout chez lui, en Afghanistan, en Somalie, à Sarajevo, en Irak, chez les criminels malgaches, les khmers rouges, les yakuzas, les catacombes Parisiennes, à Fukushima, chez les maquereau de Bangkok, les gangs de San Francisco ou à la morgue de Los Angeles. War-nerd paranoïaque, astiqueur de calibres et mangeur de jeunes prostituées toxicomanes pour certains, arcane majeure de la littérature moderne américaine pour d’autres, William T. Vollmann, c’est la nurse édentée nourrie au toblerone, qui panse l’humanité dans un hôpital de fortune.
De ses nombreuses années passées au chevet de l’humanité, l’homme a déployé une littérature épaisse, boursouflée pour incertains, encyclopédique à bien des égards. Avec La Famille royale (Actes Sud), il détournait l’humanité vers des flots de crack, d’amours hantés et de vie au bords du précipice. Dans Central Europe (Actes Sud), Vollmann autopsiait le coeur du XXe siècle et des mécanisme totalitaires, au fil de dizaines de récits entrecroisés qui traversèrent l’Europe d’alors, tandis que son Livre des Violences (Tristram) compile vingt-cinq années de reportages mise au service de l’impossible question Quand la violence est-elle justifiée ?.
Si vous n’avez jamais lu l’ogre romancier, Tristram a également publié des recueils de ses enquêtes en Asie, en Afrique et dans le monde musulman : à leur simple contact, vous oublierez tout ce que vous pensez savoir sur le gonzo et les tentatives de narrative journalism, si fantasmée par les apprentis journalistes de France.
Infotainment, violence et empirisme… Le dernier reporter survivaliste de notre temps se met à table pour un petit inventaire du journalisme.
* Le Roi de l'opium et autres enquêtes en Asie du Sud-Est (Tristram 2011)
Vous avez déployé tout au long de votre carrière, une littérature épaisse, référencée, encyclopédique. Et à la fois brutale. Comment l’expérience de la violence a-t-elle nourrit votre écriture ?
Grâce à ma capacité à pouvoir la faire vivre aux autres. L'expérience de la mort n'est jamais qu'une expérience projective. Un travail d’imagination, qu’il faut opérer face à un grand vide. À ce titre, un recueil de contes moyenâgeux japonais peut être aussi utile qu’une situation réellement vécue. Mais en ce qui concerne la violence d’un conflit armé par exemple, l’enjeu est précisément dans le ressenti. Il faut être touché, il faut être capable d’empathie. Être témoin ou acteur de l’atrocité d’une guerre doit passer par la peine et la douleur. C’est dans cette conscience, cette capacité à la compassion que se niche le rôle même du journaliste de guerre. Et ce rôle est crucial, parce c’est justement ce ressenti qui sera ensuite transmis au plus grand nombre. Maintenant, de façon plus personnelle, compte tenu des moyens et au vue de la situation, si je peux aider matériellement des gens sur place, alors je le fais. Mais il s’agit ici de choix qui me sont vraiment propres… Le journalisme se construit de toutes ces situations, qui deviennent alors événements.
L’Europe du Brexit, des Le Pen, d’Hofer ou d’Aube Dorée, le Midwest de Trump ou l’Asie de Poutine ou Duterte… Comment percevez-vous justement ces événements internationaux. Quel journalisme invoquent-ils selon vous ?
Le monde est décentré, la disruption règne depuis toujours. Quelle que soit la situation politique, il incombe au journaliste de découvrir ce qui est fondamental, de dire ce qui peut inspirer les gens ou renverser un ordre établi. Quant à la montée des étendards que vous évoquez, j’estime que le journalisme ne porte qu’une fine responsabilité face aux nationalismes. Le journalisme, en tant que culture populaire, a été lentement mais sûrement avili et corrompue, c’est indéniable. Mais que dire alors de nos bourses scolaires, ici aux états-unis, qui portent des noms d’entreprises transnationales ? Que dire de cette industrie cinématographique qui porte au nues l'extrême violence ? Que dire de l’avalanche d’infotainment, qui lisse la moindre analyse et nie les différents niveaux d’interprétation d’une situation ? Le temps que les éditeurs de titres de presse continueront à réduire le nombre de mots autorisés dans un article, il sera impossible de dire la complexité du monde. Le pire, c’est que cette terrible résignation est aussi la nôtre. La plupart de ces renoncements adviennent avec la bénédiction du public. Public qui se retrouve ainsi dans la pire position, celle de victime et de bourreau.
Est-ce là un des raisons pour lesquelles vous n’utilisez toujours pas internet ?
Effectivement, c'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles je n'utilise pas ce que je nomme le SpiderWeb. Je préfère m’appuyer sur Marx, Jefferson, Trotsky, Lincoln, Gandhi ou le Nouveau Testament.
Vous pratiquez un journalisme empirique, parfaitement déconnecté...
C’est ça. Ce qui m’amène à voyager entre la Thaïlande, le Mexique, le Japon ainsi qu’au coeur de l'Arctique canadien. Je m'intéresse beaucoup à la dégradation environnementale, un sujet qui demande des enquêtes de terrain, avec les yeux grands ouverts. La prise de note, la photographie et ma passion dévorante pour les archives viennent compléter ce semblant de méthode. Je suis conscient qu’un climatologue expérimenté sera toujours plus crédible qu'un idéologue qui ne sait pas compter. Mais au final, je préfère ne suivre ni l’un ni l’autre. Qu’ils aillent au diable. Je préfère les rejeter et opérer en solo, au profit de quelque chose de nouveau. Ouvrons notre propre chapitre, notre propre narration.
Une méthode qui repose sur la défiance… Vous assimile-t-on parfois à un réactionnaire ?
Je suis citoyen d’un pays anti-intellectuel, qui ignore le sens même du mot littérature. Ou journalisme. Vous pensez sérieusement que j’en ai quelque chose à foutre de savoir ce que mes compatriotes pensent de moi ? Ils ne me doivent rien, moi non plus d’ailleurs. Nous sommes parfaitement quitte, depuis toujours.
Entretien paru en mars 2017 dans la revue Mouvement n°88.
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ritinha-sd · 6 years
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Dos vícios tsundoku ------ A Silvaninha (e não eu!) leu há tempos a crónica do António Guerreiro e o artigo da Isabel Lucas desta semana sobre o Vollmann. E por isso, bem sabendo que tem cá em casa centenas de livros para ler, agora quer comprar mais um par de calhamaços. #caturday #cats #catsofinstagram #gatinhossuperlativos #silvanaafb #tortiecats #tortoisecat #tortietude #bookstagram #livros #lendo #paperback #bookaddict #📚 #book #livros #lendo #bibliotecaritinha #williamtvollmann
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icki · 8 years
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William Vollmann, outtake from shooting him for a @motherjonesmag story back in 2009. #tbt #williamtvollmann #portrait #motherjones
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susannatosatti · 8 years
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aniketosomina · 9 years
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I came for the Shostakovich and stayed for the cosmic phantasmic surrealist horror-fuelled big-canvas war-is-hell everything-is-connected mindwarp. Read this a while back, but the earth is still taking its own sweet time to settle beneath my feet. #williamtvollmann #europecentral #dmitrishostakovich #kathekollwitz #annaakhmatova #romankarmen #germany #sovietunion #ww2 #vlasov #paulus #hitler #stalin #resistance #endurance #war #books #bibliomania #bookporn
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Snowy Ohio Saturday, perfect for a bookstore run. Thanks @lastexitbooks for the latest haul. #peterhandke #roddydoyle #johnberryman #spaldinggray #williamtvollmann (at Last Exit Book Store) https://www.instagram.com/p/BsjpIk8gxd_/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1xlljjjo4zgom
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