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“Ils disent que vous ne dépassez personne jusqu'à ce que vous trouviez quelqu'un ou quelque chose de mieux. En tant qu'humains, nous ne traitons pas bien avec le vide. Tout espace vide doit être rempli. Immédiatement. La douleur du vide est trop forte. Cela oblige la victime à remplir cette place. Un seul moment avec ce point vide provoque une douleur atroce. C'est pourquoi nous courons de la distraction à de l'attachement.

— Yasmin Mogahed”

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Aux couleurs de l’automne sur l’autre hémisphére.

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“Il y aura encore des mots cachés, des choses qu’on ne se dira pas. Mais peu importe puisque le soleil sera là pour éclairer nos corps meurtri.”

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Raison lointaine.

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Elle ne changeait pas, elle. Quand elle aimait les gens, ça durait toute la vie. Elle ne comprenait pas l'abandon. Cela était une chose énorme, monstrueuse, qui ne pouvais entrer dans son petit cœur sans le faire éclater.

— Émile Zola

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Je suis revenu dans le rêve de l'autre côté du miroir. Et j'ai su : il n'y a rien ici. Ni parfum, ni saveur, ni alchimie, ni étoiles, le miroir est surface, le miroir réfléchit, et perd ce qu'il n'a jamais eu, ni voulu. Il n'y a jamais rien eu ici. Le miroir réfléchit, sans comprendre. Il n'y a rien ici.

—L’Évanescence  (via que-dire-d-autre)

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Chaleur nocturne d’une nuit d’ivresse

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Horizon dévié de gravité 

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Toute nostalgie est un dépassement du présent. La vie n’a de contenu que dans la violation du temps.

Emil Cioran, “ Les secrets de l’âme roumaine”, in Exercices négatifs

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“ Presque cheques nuit l’angoisse la réveille, à la même heure, elle sait dans quel ordre elle va devoir contenir les images, les doutes, les questions, elle connaît par coeur les détours de l’insomnie, elle sait qu’elle ressasser tout depuis le début, comment ça a commencé, comment ça s’est aggravé, comment elle en est arrivée là, et cet impossible retour en arrière. “ Delphine de Vigan

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“Il y a ce qui est souverain, qui lutte et se débat. Il y a ce qui est élevé, qu'on apaise puis qui se tait, là où les feux s'éteignent.”

Beaulieu

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On a parcouru des kilomètres, en silence, les yeux rivés sur ce monde qui défile.

Et ce qui était magnifique c’était de savoir qu’il nous en restait des milliers à vivre main dans la main.

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Parfois j’aimerais me rencontrer. Pour qu’on discute. Qu’on s’explique. Qu’on s’excuse.

[alizeeperino]

Attendre, un vrai spectacle

quelques pas qu'on piétine.

des aller-retours sur un mètre. il semblerait qu'aujourd'hui, ils jouent le côté dramatique.

[alizeeperino]

Il était une fois du noir dans tes yeux.

[alizeeperino]

Blanc et noir, jour et nuit.