"Toi qui entre ici, abandonne tout espoir" Galean24 => wattpad #kaay24 => discord. @kis.s.24 => instagram
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I think it's beautiful
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Histoire conne :
Il était une fois trois personnages qui chevauchaient une licorne. Un nain, prénommé Titou, un certain Babar et un Pierre Antruc. Ils volaient donc dans le ciel tous les quatre en direction d'une destination inconnue de notre magnifique narrateur que je suis. La promenade se passaient bien quand tout à coup, la licorne éternua des nuages. Il se mit à pleuvoir. C'était la panique car si la licorne ne pouvait pas tomber vu que ses ailes étaient imperméables, nos trois amis eux, le pouvaient. Titou glissa, et manqua de tomber mais fort heureusement se rattrapa. Babar s'en sortait bien et Pierre Antruc ne bougea pas. À leur grand soulagement, la pluie s'arrêta. Et vint alors notre magnique péripétie. Montée sur une belle vache volante, dans un costume d'été orange aveuglant, une CHOCOLATINE arrivait. "Bonjour ! Je me présente, Schokolat In, et je viens pour vous présenter trois énigmes"
Les trois compères se présentèrent fort étonnés de cette apparition mais acceptèrent tout de même de l'écouter. (De toute façon elle ne les aurait jamais laissé partir vivant sans leur réponse) "Bien, alors voici la première énigme : qu'est-ce qui peut etre dans la mer et dans le ciel ?" Ils reflechirent tous trois et finalement, ce fut Pierre Antruc qui trouva la réponse : "Les étoiles" Schokolat In acquiesça, pas forcément ravie, et declama sa deuxième énigme " Je me brise lorsque l'on me nomme. Qui suis-je ?" Cette fois, ce fut au tour de Babar, qui trouva la solution "Il s'agit du silence" La chocolatine grogna et sortit sa dernière énigme qu'elle espérait la plus dure. "Toute chose, elle dévore. Elle ronge le fer, fait disparaître l’acier, fane les fleurs et réduit les pierres en poussière. Elle tue les rois, détruit des villes et a raison des montagnes. Quelle est cette chose ?"
Et là Babar et Pierre Antruc eurent beau se creuser la tête, rien ne vient. Leurs idées leur semblaient fausse. Mais décidèrent de les donner. Pierre Antruc hésita mais finit par dire qu'il s'agissait du feu. Schokolat trouva l'idée bonne mais refusa sa réponse, et le balança dans une piscine sauce bolognaise. Babar hesita lui aussi mais finit par dire que c'était tout simplement l'eau. Malheureusement pour lui ce n'était pas une bonne réponse et il atterrit dans une piscine trop salée. La chocolatine se tourna alors vers Titou qui n'avait pas donné de réponse. Réfléchissant, Titou finit par annoncer sa réponse d'un ton assuré. "Les deux autres étaient des imbeciles. Le feu ne tue pas de montagnes. Et l'eau ne réduit pas les pierres en poussière. Il s'agit du temps."
Schokolat In valida sa réponse et en récompense, elle l'envoya en Somun, pays du sommeil où les gens dorment heureux. Le roi Hypnos fut ravi d'accueillir un nouvel adepte et voilà la fin de l'histoire moi aussi je vais dormir !
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Karma
Et les larmes montent. Encore. Il y a des jours avec et des jours sans. Et dans les bons jours, une simple pensée me ravale et m'emmène dans les ténèbres. Avant je t'avais toi. Je savais que je pouvais compter sur toi. Je pouvais t'envoyer un message, et tu t'efforcais de me faire la conversation pour me changer les idées. Quand nous étions à côté, tu m'écoutais. Ou tu me frottais doucement la tête. Je repense à tout. Tout ces moments, tout ces putains de moments que j'ai chéris. Ces petits moments tout simples, qui font partis de ceux que l'on ne relève pas. Ces moments légers qui sont en réalité une bouffée d'oxygène pur. Surtout quand les ténèbres étaient envahissants. Parfois il me suffit que d'une chose. Je mange, je réfléchis à ce que je mange et bam, moment que l'on à partagé. Et si la première seconde, j'ai un sourire sur les lèvres, celui-ci se transforme en vestige en moins de temps qu'il n'en faut pour avoir de la lumière. Et si c'était une bonne journée, elle deviet mauvaise. Plus rien n'arrive à me la remonter. Et le soir, je me roule en boule dans mon lit, repensant à tout ces moments, les larmes aux yeux. À me demandrr qu'est ce que j'ai bien pu faire. Oui qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour qu'il se passe ça. Les ténèbres memportaient souvent. Trop souvent. Et je cherchait un minuscule soulagement, d'une seconde même, et ça, c'était tout trouvé. Un coup sec, soulagement, saignement. Et c'était fini. Et le seul truc qui me faisait tenir, c'était l'amour que j'avais pour toi. En dépit de toutes les horreurs que tu me disait. "Tu me saoule" "tu es vraiment chiante" "tu pue" "t'es moche" "je veux plus être ton ami car je ne veux pas chopper ta dépression" "t'as vraiment un problème" et autres messages rabaissants. En plus des tapes, des regards, des attitudes et des tons méchants que tu employait. Je t'aimais quand même et ce de toutes mes forces. Je voulais croire que tu allais m'aimer à ton tour, je voulais croire que tu allais changer. Et j'attendais. Patiemment. Le jour où tu m'aimerais enfin. Le jour où tu verrais mon importance à tes yeux. Tu n'avais que moi, et ta famille. J'ai l'air égocentrique. Non, c'était la stricte vérité. Je te pardonnais tout. Vraiment tout. Je prenais ta défense, et encaissait sans rien dire. J'ai perdu des amis pour toi, je me suis disputé avec des gens pour toi. Et j'ai perdu du temps pour moi. Tout ce temps que j'aurais du utiliser pour me sauver. Je te l'ai donné. Je n'aurais jamais dû.
J'aurais préféré ne jamais t'avoir rencontré. Jamais. Si je devais revenir dans le temps, je ferais en sorte de ne pas te connaître, t'éviter. Pour ne pas m'attacher et souffrir après.J'ai tout fait pour que tout aille bien. Et quoi ? Tu m'as abandonné. Le jour où j'avais le plus besoin de toi. Et tu savais ce que j'allais faire. Tu le savais c'était sur. Gros con. Je te l'avais dis. Je t'avais pas dit quand mais je te l'avais dit. Et le dernier moment où je t'ai vu, je voulais te prendre dans mes bras, une dernière fois. Mais un sourire m'aurait suffit. Mais non. Tu es parti sans même me jeter un coup d'oeil. Tu m'as laissé un vu quand je t'ai dit que j'aurais bien voulu te dire au revoir. Et tu m'as aussi laissé un vu quand je t'ai dis que je t'aimais. Tu avais déjà pris ta décision. Sais tu seulement ce qui s'est passé ce jour là ? Ce jour là, je me suis coupée plus fort. Et j'avais quelques trucs à avaler. Mais j'avais peur. Et si ça ne marchait pas ? J'allais continuer et ça serait encore plus difficile. Et finalement, il m'a sauvé. Ce mec que tu détestais et qui te détestait. Mon grand-frere m'a sauvé. Et je m'en suis sortis. Et maintenant c'est la longue route pour aller mieux. Je trébuche mais je me relève. Parce que je ne veux pas perdre. Je veux te montrer, que je n'ai plus besoin de toi, même si ce n'est pas encore le cas.Et tu as disparu. Du jour au lendemain. Tu as tout supprimé. Tu m'as bloqué. De partout. Tu es partis. Sans un message d'explication. Rien. Je me suis sentis encore plus vide. J'étais un zombie dans ma maison. Je n'avais plus d'émotions. Et tu avais disparu. Je ne devrais plus parler de moi. Mais tu me hante quand même. Tu hante mes pensées, mes rêves, mes souvenirs et surtout, mes remords. Tu hante la moindre parcelle de mon cerveau et pourtant je voudrais ty supprimer. D'ailleurs si je te recroise, je ne te connaîtrai pas.
Ces choses que tu as dites, faites, elles n'ont été que l'enfoncement qu'il me fallait pour couler. Tu le sais hein ? Avoue que tu en a joué. Tu m'as trahit et abandonné. J'étais toujours la pour toi. Toujours. Et je ne t'ai jamais abandonné. Je pensais que tu pouvais changer et je croyais en toi et en tout ce que tu faisais. Mais.. toi, dès que tu as pu tu es parti m'abandonnant, sachant très bien que c'est, une de mes pires phobies. Je te déteste du plus fort que je peux. Et malgré tout, tu me manques. Alors je te hais un peu plus. Même si je disais que, je pardonnais ceux qui m'avaient blessés. Pas toi.Tant que tu n'auras pas eu ce retour de karma, je ne pourrais pas. Il faudrait que tu endure au moins un quart de ce que j'ai enduré et tu le prendrais pour un montagne. Et je voudrais que tu souffre deux fois plus que moi j'ai souffert, parce que putain, j'ai vraiment eu une vie de merde, j'avais pas besoin de toi pour en rajouter une couche et commencer un amitié en m'accusant de ta dépression ! Seule chose que nous avons en commun. Nous n'avons rien de pareil. Et n'avons pas eu la même vie. Mais tu n'as pas vécu la moitié de ce que j'ai vécu en 18 années. Alors j'espère que tu vas souffrir. Et te rendre compte que moi, je ne méritais pas ce que tu m'as dit. Et fait. Et surtout je ne méritais pas, d'être abandonné.
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Vous voyez la France ? Ouais ce beau pays, à ce qu'on dit. Vous voyez le monde ? Bel endroit hein ? Le monde à changé, Doré dit qu'il s'est déplacé. Déplacé de quoi ? Déplacé de son chemin initial. Vous voyez les Hommes ? A s'arracher la peau, et se tirer dessus à tour de rôle. On ressemble plus à rien. Nous, la race supposée supérieure ? Laissez moi rire. Elle vaut rien notre race. On s'entretue tous, on se critique les un et les autres. On se trompe et se trahit. On tue sans raison, et on tire avec notre raison. Les gens meurent, sous les coups des balles, des mots, des poings, des couteaux. Sous les coups des bombes, et d'un coup de jus. On se respecte plus, on est raciste, homophobe, et sexiste. On est les pires. Pires que ces bêtes dites sauvages. Comment on explique que des gens soient contraints de justifier leur sexualité ? Pour s'en prendre plein la gueule après. Qu'est-ce ça peut bien vous foutre ? Comment on explique, que certain se font tuer parce qu'ils sont pas blanc, et pas pétés de thunes ? Et qu'on cache tant bien que mal après. Comment on explique que l'on interdise le droit de faire ce qu'on veut de notre corps ? Pour se faire peut-être traiter de pute après ? Comment on explique les agressions sexuelles, et agressions tout court en fait, sur des personnes qui passent juste dans la rue, pour des raisons quelconques telles que "t'es bonne" ou "sale gay" ? Comment on explique les harcèlements? C'est un complexe d'infériorité ? Comment on explique tout ça hein ? Et ce ne sont que quelques exemples ! On s'envenime de ces choses mais on fait la même après ? On est à vomir. Une fille s'est faite harceler ? Oui faut faire quelque chose, mais est-ce que ça nous donne le droit d'harceler les personnes qui ont harcelés ? MDR. On nous dit "pays libre!" Et on nous ferme la bouche. Comment les gens, quand ils voient quelqu'un se faire agresser peuvent simplement juste filmer ? On doit rien dire, rien dire parce qu'on risque tout, une agression, un coup de couteau, et qui sait ? Une balle bien placée ? On essayait de s'échapper ? XD. C'est ça notre monde ? Mais comment pouvons nous penser que nous sommes supérieurs ? Nous sommes des bêtes sauvages. L'humanité me donne envie de gerber. Oui ce qu'on est et ce qu'on est devenu me dégoûte et me répugne. Alors ouais excès de colère de ma part, et j'ai bien le droit de vider mon sac, et si ça vous plait pas, bah allez vous faire voir parce que je fais ce que je veux
Et comme on dit, cogito ergo sum.
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" Mais tu sais Ahmed que toi tu es un soldat ? Tu as une arme. Oui, quand tu parle comme ça, les gens rigolent. Avec ton arme, avec ta bouche, comme ça, tu tue les gens. Pan pan ! Pan pan ! Pan pan pan pan ! Pan pan ! Tu tue les gens. Ça c'est une arme. Et puis tu sais aujourd'hui en France, Ahmed, tu as le choix. Alors vas-y ! Vas, vis et deviens ! Soit un artiste avec un grand A. Mais je peux te demander quelque chose ? Une petite faveur. Quand tu seras sur scène, tu parles de moi ; comme ça la France, elle m'oublie pas. Parce que moi la France, je ne l'ai pas oublié, je ne l'oublierai jamais. "
-Ahmed Sylla-
#ahmed sylla#sylla#ahmed#france#french#humoriste#citation#belle citation#ne pas oublier#unforgettable
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Jack Sparrow

#jack sparrow#pirates of caribbean#vintage#2000s movies#2000s aesthetic#jack sparrow actor#american man#american actor#johnny depp#man
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With all the things that are being thrown at Jace and Clary (dreams of dead, Janus...) lately, I feel like they are gonna end up pulling a Pirates of Caribbean kind of wedding moment in the middle of THE FINAL battle with Alec marrying them or something like that. Or maybe the night before the big battle.
You can't tell me it wouldn't be epic because they are that kind of power couple that doesn't stick to normal
And also can't catch a break

#pirates of caribbean#wedding#actors#american actor#elizabeth swann#will turner#william turner#william turner actor#elizabeth swann actress#orlando bloom
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#johnny depp#jack sparrow actor#jack sparrow#american actor#best actor#actor#man#american man#pirates of caribbean#black pearl
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OH MY GODS. HE'S SOOOOO GORGEOUS
#johnny depp#american actor#best actor#actor#american man#jack sparrow#jack sparrow actor#pirates of caribbean#depp#man
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Mercredi
Part 2
Melodie aussi ma grande sœur. Et Angel peut-être dirais-je avoir eu un petit coup de coeur sur toi, vite effacé par ta mise en couple et le retour de ma dépression. Fenrir bien sur, très bon ami, même si on s'est rencontré sur Snapchat. Hazel toi aussi. Vincent, avec toi mélange de rigolade et de remontage de moral, oserait-je te considérer comme un meilleur ami ? ... Et d'autres encore. Merci. Merci de m'avoir donné du bonheur, comme toi Mathys, merci de m'avoir supporté.e comme toi Stellian. Merci de m'avoir aimé.e même maladroitement, ne serait-ce que pas longtemps comme toi Noan ou toi Pierre-Antoine. Merci.
Et c'est ainsi que ce texte, témoigne de mon suicide. Oui il faut dire le mot. Cocktail de médicaments. Et j'espère que ça marche. Parce que ça me ferait chier de me chier. La vie s'éteint pour moi, et je souhaite à tous, le tout le bonheur du monde. Et Olivia, attend moi, j'arrive. "
Ça, c'est que j'avais prévu. C'était mon message d'au revoir. Mon message d'adieu. Mais si je ne l'ai jamais donné, c'est tout simplement qu'il n'y a pas eu lieu de le donner. Je pleurais seul dans ma chambre. Et une surveillante est entrée, mon frère avait parlé à un ami qui avait envoyé les surveillants pour moi. Mais j'ai menti, j'ai dit que tout allait bien et que je ne savais pas d'où sortait cette histoire de cachets. Ils étaient sur mon lit, bien en évidence et la surveillante n'a rien vu. Mais à peine est-elle sortie de la chambre que je me suis précipitée sur les cachets avec la nette intention de les prendre. Mais avant que je me décide à enfin avaler ces cachets, elles sont rentrées, paniquées. Elles m'ont vu. Et je n'ai pas pu avaler ces putain de cachets. Ces cachets m'avaient promis un meilleur avenir. Ou plutôt une absence d'avenir. Un retour à l'état naturel, pur et brut. Mais elles sont arrivées. Et je ne les ai pas pris. J'ai pleuré en cachants mes précieux tickets de départ. Puis j'ai su que c'était trop tard. Elles savaient. Et j'allais jamais pouvoir les prendre. Alors toujours en pleurant, j'ai jeté ma pochette de tickets de sortie dans la figure de l'une d'elles je crois bien. Et en hurlant de les prendres. Et elle les a mis plus loin. Je sais pas où ils sont passés ces cachets. Mais je les ai jamais revus. 48, c'était 48 petites merdes que je devaient prendre en même temps sachant bien entendu, que il ne fallait surtout pas prendre tout ça en même temps. Depuis la veille, le chiffre m'obsédait. 48. 48 petites merdes que je n'ai jamais prises. Et qui m'ont coincées ici. Parce que je sais que je n'aurai jamais plus, le courage d'essayer de partir de cette façon. Et c'était la seule qui ne me faisait pas trop peur. Malgré les promesses de douleurs à l'estomac et difficultés à respirer. Je ne les ai pas pris. Et je suis restée à pleurer pendant un temps indéfini, à pleurer dans ses bras à elle, ma Jade à moi, ma pierre précieuse, mon amie, ma sauveuse. Et avec la deuxième à côté de moi, à me serrer la main. Cette qui, je n'aurais jamais cru, qui était venu me chercher m'empêcher de faire ma connerie. Cette fille qui me regardait en me serrant la main, le regard triste, pas de pitié non. Triste parce qu'elle se sentait sans doute dépassée. Et là je l'ai vu, cette fille qui avait été mon amie. Ma meilleure amie, et un amour inaccessible.
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Mercredi
Last part
Celle qui s'était transformée en fille superficielle et qui m'avait jetée sur le côté quand elle n'avait plus eu besoin de moi. Mais ce soir là, c'était mon amie, et elle était là. Et je me suis accrochée à elle. À elle et à ma Jade adorée. On est venu me chercher. Et je suis sortie du lycée, tremblotante, accrochée à deux filles. Suivit d'un cortège composé d'un père, d'une surveillante et d'un conseiller principal d'éducation (cpe). Sous les yeux de tous, une rivière sortant de mes yeux, et marchant, pour sortir de ce lieu. J'étais épuisée et ne faisais que pleurer. Pleurer pleurer et pleurer. Je crois que il y avait besoin que ça sorte. Je n'ai pas mangé ce soir là. Et me suis couchée à peine rentrée. Et le lendemain... j'ai passé ma journée aux urgences. Et je n'ai pas mangé avant 17 heures. Tout ça pour vous dire que, voilà. Je suis une loque. Je suis vide de tout. Ou je suis pleine de ténèbres. À vous de voir. Je ne suis plus rien. Rien. Et s'il est vrai que je n'étais déjà plus grand chose avant, je ne suis encore moins de choses maintenant. Et j'en suis désolée. J'aimerais remercier ceux qui m'ont sauvés. Mon frère et elles. Mais je n'arrive pas à encore savoir si je suis contente d'être vivante ou bien déçue. Et je n'arrive pas à savoir si je dois leur dire merci de m'avoir empêché de partir ou si je dois les détester. Mais pour mon père, et ma belle-mère, c'est un merci, car il semblerait qu'ils m'aiment un peu. Alors merci
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Mercredi
Part 1
"Ça déchire de l'intérieur je pleure. Je pleure et pleure encore. Parce que y'a que ça qui soulage. Je pleure en lisant, en écoutant de la musique. Je pleure en me lavant, je pleure en mangeant et je pleure en me lavant les dents. Je pleure quand j'écris des messages. Et je pleure quand je me coupe et me recoupe. La jambe me lance et mon bras m'envoie des décharges électriques. Je n'en peux plus. Je suis fatigué. Je voudrais dormir. Juste dormir. Mais ne jamais me réveiller. Le problème c'est que la vie ne le veux pas. Cette égoïste. Elle fait de ma vie un enfer, et refuse de me laisser partir avec douceur. Cette connasse. Oui je l'insulte et je n'en ai aucun scrupules. Pourquoi ne m'offre t-elle pas, comme cadeau à la Mort ? Elle a pourtant l'habitude de le faire. Elle m'a même prit ma meilleure amie d'enfance. Et m'a pris mon bonheur. Elle m'a prit ma joie de vivre. Et ne m'a laissé que la souffrance et un masque. Un masque-sourire. Vous connaissez ? C'est délicat ces choses là mais d'une puissance inouïe. Tu le pose sur ton visage et cela tient toute une journée s'il le faut. Et les autres n'y verront que du feu. C'est magique. Magique. À la fois j'ai envie de l'enlever mais en même temps je ne veux pas. C'est comme j'ai à la fois envie de dormir et à la fois je ne veux pas. Je voudrais partir mais aussi être sauvé. C'est un comble. Mais pourtant aujourd'hui.. c'est fini. Je fais que me répéter, "oh tiens, ça, ça va me manquer quand je serais parti.e" sauf que je me dis dessuite après que je n'aurai pas de mémoire et peut-être plus de conscience donc rien ne me manqueraMais je ne peut m'empêcher d'y penser. L, elle va me manquer, c'est une bonne amie. Cette chose là va me manquer. La musique et les livres vont me manquer. N va me manquer. Et J et M vont me manquer aussi. Ce jeu là, auquel je joue, il va me manquer aussi. Ce groupe de musique que je n'aurai jamais vu en concert alors que j'en rêve ça fait des années, il va me manquer. Et ce voyage que je n'aurai pas fait, ce voyage en Grèce, il va me manquer lui aussi. Mais en fait il y a de fortes chances que rien ne me manque. Si vous lisez cela, c'est que tout est en train de se passer pour moi. Peut-être suis-je inconscient.e actuellement. Peut-être suis-je en train de souffrir, de m'étouffer. Peut-être que je suis en train de regretter. Mais peut-être que je suis en train de sourire même si je souffre car ce sera pour la dernière fois. Mais il est fort probable que actuellement je sois tellement mal que si quelqu'un me trouvait et me sauvait je dirais peut-être pas non. Car peut-être que là enfin, on trouverait comment faire pour que j'aille mieux. Et peut-être que je suis en train de croiser les doigts pour que personne ne me trouve et que j'ai le temps de m'éteindre. Je ne sais pas. On est quatre jours avant, dimanche, quand j'écris cette partie. Je préfère me dire que ça ira et que je souffrirai pas trop.Et que peut-être la vie aura t-elle l'immense bonté de me retirer avant que je ne souffre plus. Au moment où j'écris, je pleure. Je voudrais que mes parents s'intéressent à moi et me regardent un peu au lieu de n'avoir que reproches à la bouche. Ne serait-ce que me demander si je vais bien. Et s'ils me regardaient, ils sauraient que je vais mal. Mais ils s'en foutent, et parfois ils me demanderons si j'ai bien dormi ou si je vais bien, et si je leur répondais que j'ai fais nuit blanche car je suis allé.e en boîte de nuit et que je mentaille les veines qu'ils ne capteraient même pas parce qu'ils ne m'écoutent pas. Je leur dis une bonne note, ils l'entendent pas. Enfin bref merci à ceux qui m'ont rendu la vie moins dure. Nico, mon meilleur ami, ex et âme sœur. Jade, excellente amie, compagne de souffrance. Marine, ma meilleure amie, même si tu le voyait pas, et peut-être oserait-je te dire que je trouve magnifique. Leïla, amie évidente, partenaire de connerie et de rigolade. Jean-Pascal, mon frère, Matthias (oui moi aussi je suis choqué.e mais s'il était pas aussi chiant on s'ennuierait).
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Fan art. (Newt est sensé avec les cheveux long et là, ça a été dessiné !)
#fanart#art#fanart maze runner#thomas the maze runner#newt the maze runner#newtmas#the maze runner#minho#minho the maze runner#thomas#newt#dessin
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Thomas Brodie Sangster 5 years old
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Connasse de Pandore
J'ai une douleur dans la poitrine. Oui encore. Mais cette fois je sais exactement pourquoi. J'ai mal de stress. D'angoisse. J'ai peur. Je suis véritablement terrifiée. La peur me gagne et monte et s'étire dans tout mon être. Elle part du ventre je crois, et remonte dans la poitrine, remonte dans le cou, a l'intérieur même. Puis dans les bras, les jambes et le cerveau. La peur est présente dans toute mon âme. Je tremble et surtout, je pleure. Je fais que ça en ce moment de toute façon. Juste un dernier jour. Et normalement ce sera fini. Mais je vais faire quoi ? Y'a quoi après ? Qu'est-ce qu'on fait ? Qu'est-ce qui se passe ? J'ai toujours dis que j'en avait pas peur. Mais c'est faux. Je suis littéralement terrifiée. Si je changeais de couleur en fonction de mes humeur, je serait violette. Violette de froid que me procure la peur. Merveilleux. Je pensais que seulement la cause de cette peur me faisait peur. Mais pas seulement on dirait. Je ne veux plus souffrir, mais on dirait que la Vie aime être cruelle. Elle continue de me faire souffrir. Et ce jusqu'au dernier moment elle le fera. Cette connasse. J'ai pas assez souffert depuis le début de ma vie de merde ? Non ? Putain. La colère est là aussi. Et je pleure de rage et de peur. Étrange mélange. Je frissonne. Et je n'ai pas froid. La fenêtre est ouverte, et les volets aussi. Mais je n'ai pas froid. J'ai des décharges électriques dans les jambes. Et j'ai peur que le dernier jour et les derniers instants ne soient que torture. J'ai envue de hurler. Et ce depuis au moins ce midi. Hurler à la mort à s'en casser la voix. Mais je vais pas le faire. Ma coloc dort. Ce serait pas cool. J'ai envie de hurler comme une possédée. Mais si je suis possédée, j'aimerais autant que l'être qui m'habite m'empêche de ressentir la douleur. Ce serait vraiment cool. Mais il ne le fait pas, j'ai quand même mal et je suis quand même terrifiée. À m'en frapper la tête contre les murs pour ressentir l'étourdissement de la décharge électrique partant de l'endroit où la tête à cogné jusqu'au cerveau et des la nuque. J'ai peur. Vraiment peur. Peur de encore souffrir. Mais peur de cette souffrance surtout. Et si je regrettait ? Alors que je suis en train de souffrir comme jamais ?... difficile. Et je n'en sais rien. Alors j'ai juste peur.
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L'enlèvement de Perséphone
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