Tumgik
#Éric Bernard
kingsofjiiron · 10 months
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sauvage (2018) dir. Camille Vidal-Naquet
the men come and go, and he stays right here — longing for love.
9/10
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screamofdespair · 3 months
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L'Amour L'Après-Midi
1972
Eric Rohmer
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byneddiedingo · 1 year
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Bernard Verley in Love in the Afternoon (Éric Rohmer, 1972) Cast: Bernard Verley, Zouzou, Françoise Verley, Daniel Ceccaldi, Malvina Penne, Elisabeth Ferrier. Screenplay: Éric Rohmer. Cinematography: Néstor Almendros. Love in the Afternoon, released in the United States originally as Chloé in the Afternoon, is the last of Éric Rohmer's cycle of "Six Moral Tales," and it may be the most conventionally moralistic of them all. It's about a man, Frédéric (Bernard Verley), happily married, with one child and another on the way, who indulges in the fantasies about women in which all men indulge -- even Jimmy Carter, remember, confessed to committing lust in his heart. He's careful to avoid anything other than fantasies until an old acquaintance, Chloé (Zouzou), re-enters his life. Free-spirited and footloose in ways that Frédéric once remembers being, Chloé offers an enlargement of his fantasies: a dalliance that never extends to sexual intercourse -- until, of course, the day that consummation actually looms. Like most of Rohmer's "Tales," Love in the Afternoon is mostly talk -- rich, stimulating dialogue that only the philosophically loquacious French seem able to indulge in. It's a tour de force in sexual tension, with splendid performances by Bernard Verley and Zouzou -- one of those supremely French jolie laide actresses who audibly suck on their cigarettes.
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gasparodasalo · 2 years
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Friedrich Wilhelm Heinrich Benda (1745-1814) - Concerto No. 3 for Viola and Orchestra in E-flat Major, III. Rondo à la Chasse. Performed by Jean-Éric Soucy, viola, and Bernard Labadie/SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg.
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lepartidelamort · 6 months
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Le judaïsme est un projet politique
Nous avons largement montré, dans différents chapitres de nos livres, que les intellectuels juifs, toutes tendances confondues, encouragent l’immigration de toutes leurs forces, partout où ils sont installés. Leur objectif est de dissoudre les sociétés ethniquement homogènes et de favoriser le métissage, afin de parvenir, à terme, à l’unification du monde et à l’instauration d’un gouvernement mondial.
"Après la mise en place d’institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l’urgente nécessité d’un gouvernement mondial", nous dit Jacques Attali, dans son Dictionnaire du XXIe siècle.
La société multiculturelle et l’affaiblissement du sentiment d’appartenance leur permet aussi de se préserver d’un sursaut nationaliste, dont ils gardent un souvenir cuisant. Les propos à ce sujet sont innombrables. Tous les intellectuels juifs – sans aucune exception – sont ainsi focalisés sur cette question de la société “plurielle” et exercent une “vigilance antiraciste” permanente, par delà leurs divergences politiques.
Dans L’Humanité perdue (1996), le philosophe Alain Finkielkraut explique : "Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l’appartenance, la segmentation de l’humanité et l’enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l’instauration des sociétés pluri­ethniques."
Bernard-Henri Lévy tient un discours beaucoup plus explicite qui reflète mieux cette volonté cosmopolite de détruire les nations : "La machine européenne, écrit-il… est venue s’inscrire contre ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée des horreurs historiques. Avec la mort de ces nationalismes, les Juifs perdent le plus redoutable de leurs adversaires." (Récidives, 2004). Le philosophe milliardaire s’emp­resse de préciser la nature de cette Europe démocratique, qui ne doit pas, selon lui, être "une nation de plus", mais "un dispositif de nature à travailler, fracturer, pulvériser et, fina­lement, nécroser, les identités et les fixations nationales."
L’immigration comme nécessité
Les intellectuels juifs nous présentent toujours l’immigration comme une nécessité économique, un apport indispensable, un enrichissement extraordinaire, etc. Voyez ce rapport de la Banque mondiale de novembre 2005, qui encourageait la Russie à ouvrir ses frontières. L’immigration, peut-on lire, serait "l’une des principales conditions d’une croissance économique stable. La population du pays est vieillissante et déclinante… Pour pleinement compenser la dépopulation, un flux annuel d’un million d’immigrants employables serait nécessaire." Et qui trouvait-on alors à la tête de la Banque mondiale ? : Paul Wolfowitz, un ardent sioniste, qui fut aussi l’un des plus fervents partisans de la guerre contre l’Irak en 2003.
Un article du journal Libération du 25 juillet 2005 nous prévenait : "Selon les projections d’Eurostat présentées par Serge Feld, de l’université de Louvain, l’Union européenne perdrait 14 millions d’habitants d’ici à 2030." C’est "une menace que seule la poursuite de l’immigration permettra d’atténuer." Et d’ici 2030, nous rassurait-on, "l’immigration fera gagner 25 millions d’habitants à l’UE." Cet article, intitulé "L’immigration au secours de l’Europe", était signé par un certain Éric Aeschlimann.
Pour tous ces intellectuels juifs, qui nous font l’amabilité de penser à nos retraites, il n’est évidemment pas question que les Européens puissent avoir recours à des politiques natalistes. C’est ce qu’a bien exprimé Daniel Cohn-Bendit : "Une politique nataliste me semble absolument inutile… La famille n’a pas de valeur par elle-même." Et Cohn-Bendit fait la promotion des couples homosexuels : "Ce qui compte beaucoup plus, pour moi, ce sont les relations dans le couple. Quel que soit le sexe des partenaires : un couple homosexuel doit avoir les mêmes droits qu’un couple hétéro­sexuel." (Une Envie de politique, 1998).
L’immigration est une chance
Tout le monde connaît la formule L’immigration,  une chance pour la France, qui est le titre d’un livre de l’ancien ministre Bernard Stasi (1984). Dans Le Figaro du 13 octobre 2004, le directeur de presse Alexandre Adler nous invitait à faire entrer la Turquie dans l’Europe : La Turquie, qui a "des élections libres, une presse libre, des intellectuels qui n’ont rien à envier aux nôtres, des universités admirables ouvertes sur le monde", représente une "chance inespérée… Sachons aujourd’hui déchiffrer ce signe pour assurer la liberté de notre continent demain."
L’un des principaux conseillers de Jacques Chirac, Pierre Lellouche, député de la droite libérale et président de l’Assemblée de l’OTAN, le déclarait sans ambages dans Actualités juives du 23 décembre 2004 : "Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu’elle entre dans l’Union."
L’apologie du métissage
Les intellectuels juifs n’ont de cesse de faire l’apologie du métissage, mais là encore, il faut comprendre qu’il s’agit surtout d’un discours réservé à l’exportation, car les juifs, eux, ont le devoir de ne pas se métisser et de conserver leur identité. "Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage…", écrit le sociologue Edgar Morin (Nahoum), dans Terre-Patrie (1993). "Nous n’avons pas la Terre promise, mais nous avons une aspiration, un vouloir, un mythe, un rêve : réaliser la Terre patrie." (Un nouveau commencement, 1991).
Dans son Dictionnaire du XXIe siècle (1998), Jacques Attali écrit : Il faut "encourager la diversité, partager les richesses… s’ouvrir aux cultures des autres, favoriser tous les métissages, apprendre à penser globalement." C’est ce qui permet à l’histrionmédiatique Daniel Cohn-Bendit de déclarer son amour de la France, en mélangeant tout : "Ce qui me plaît en France, c’est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les Juifs. J���aime la France surtout pour ça." (Juifs et Français, 1979). Pour le “grand public”, cette inlassable propagande planétarienne se vérifie aisément dans la production cinématogra­phique (Voir nos cinq livres sur le sujet).
En 2003, un ancien premier ministre d’origine juive, Laurent Fabius, socialiste et richissime, avait dé­claré : "Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République." Nicolas Sarkozy, dont la mère est née Mallah, avait dit pareil­lement, dans son discours d’investiture au Congrès du parti libéral, le 14 janvier 2007 : "Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création sera dans le mélange, dans l’ouver­ture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage." Mais lui n’a épousé que des femmes juives.
Un phénomène inéluctable
Les intellectuels juifs entendent aussi nous faire croire qu’il est inutile de tenter de s’opposer à ce phénomène, comme si le destin de l’humanité était déjà tracé par des forces supérieures. Voyez ce que dit Jean “Daniel” (Bensaïd), le patron du Nouvel Observateur, en date du 13 octobre 2005 : "Rien n’arrêtera les mouvements des populations misérables vers un Occident vieux et riche… C’est pourquoi la sagesse, la raison, consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus en plus d’émigrés dont il faut préparer l’accueil."
Son “ennemi” politique, Alain Minc, tient le même langage dans La Vengeance des Nations (1990) : L’immigration une « perspective inévitable », dit-il. "L’immigration va augmenter : autant s’y préparer et y préparer les Français au lieu de les laisser fantasmer à partir d’une situation aujourd’hui moins critique qu’ils ne veulent le croire." Dans La Machine égalitaire, publié en 1987, il en parle comme s’il s’agissait d’une révélation biblique. Son chapitre intitulé Les Dix commandements ne laisse pas de doute à cet égard : "Entre une Europe en pleine décadence démographique et les pays surpeuplés du Sud de la Méditerranée, le phénomène de déversoir est inévitable".
Dans son livre Une Envie de politique (1998), Daniel Cohn-Bendit insiste sur la nécessité pour les Européens d’ouvrir grand leurs… frontières. Le modèle que nous propose l’ancien anarchiste Cohn-Bendit est maintenant l’Amérique libérale : "Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration, à la manière des États-Unis". Et Cohn-Bendit ajoute : "Il faut d’abord se dire qu’il y aura toujours un mouvement d’immigration en raison de l’inégalité forte entre les pays industrialisés et les pays en développement du Maghreb ou d’Afrique… Cela vaut pour l’Europe entière."
Notons que dans l’ancien discours marxiste, c’était la « société sans classes » qui devait être "inéluctable". Mais vous l’avez compris, il ne s’agit pas tant ici d’analyses sérieuses que d’un discours de propagande qui consiste à nous retirer l’idée même de nous défendre.
Nous sommes trop "frileux"
En 1982, Albert Memmi écrivait dans son livre sur Le Racisme : En France, "un mépris craintif ou ironique de tout étranger, un quant-à-soi barricadé, une hospitalité quasi-nulle… un chauvinisme toujours renaissant révèlent que la peur agressive d’autrui est toujours latente."
Les Français, décidément, sont des gens antipathiques, mais il est tout de même bon de s’installer chez eux. Dans son livre L’Idéologie française, en 1981, Bernard-Henri Lévy écrivait que les patries, les patois, les traditions… Tout cela n’est qu’un "repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres." Alain Minc nous sermonne lui aussi à sa manière, nous assurant que c’est "l’ignorance qui alimente la xénophobie", et qu’il faut donc "lutter contre le délire xénophobe" et en finir avec cette "paranoïa française". Il faut, dit-il, "rompre avec notre rigidité mentale".
Le mépris du goy
Les intellectuels juifs ont souvent exprimé leur mépris de nos vieilles civilisations. On se souvient du mot de Georges-Marc Benamou dans l’éditorial du premier numéro du mensuel Globe, lancé en 1985 par Pierre Bergé, le richissime patron socialiste d’Yves Saint-Laurent : "Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux." Dans L’Idéologie française (1981), Bernard-Henri Lévy parlait déjà"d’épaisses sottises", au sujet des bourrées et des binious. Les "patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries" le dégoûtent. Guy Konopnicki tient le même genre de propos, quand il parle de "culte du terroir, extase devant les vertus paysannes, philosophie spontanée, bon sens populaire et toutes sortes de vieilleries réactionnaires." (La Place de la nation, 1983).
La houtzpah talmudique
Les intellectuels juifs manifestent régulièrement une certaine inclination à proférer d’énormes contrevérités. On nous dira par exemple que l’immigration n’a pas augmenté, qu’elle n’a jamais été aussi basse, que les races n’existent pas, etc. Cette disposition à prendre les goys pour des demeurés s’appelle la “h’outzpah” (“Chutzpah”, avec la graphie allemande, en raclant la gorge). Écoutez le philosophe marxiste Jacques Derrida nous expliquer qu’il y a "beaucoup plus de place qu’on ne le dit pour accueillir plus d’étrangers… l’immigra­tion n’a pas augmenté, contrairement à ce que l’on affirme." (De quoi demain…, 2001).
En mars 2008, la revue Géo Histoire avait publié un entretien avec le démographe Gérard Noiriel, qui avait pour titre Le fantasme identitaire : "Fort de ses recherches, l’historien peut rappeler que depuis cent cinquante ans, jamais l’immigration n’a été aussi faible en France. En 2007, cela fait plus de trente ans qu’elle n’a pas augmenté de façon significative. Les statistiques produites par l’Ined (Institut national des Études démographiques) le démon­trent : il y a moins d’étrangers aujourd’hui qu’il n’y en avait en 1997."
L’ancien ministre Jack Lang manifeste les mêmes dispositions talmudiques. Le samedi 3 septembre 2005, à l’émission Tout le monde en parle, il répondait à Thierry Ardisson, qui lui posa la question à brûle-pourpoint : "Vous ne trouvez pas qu’il y a trop d’immigrés en France ?" : "Non, répondit Jack Lang, vous savez que la France est le pays qui a le moins d’immigrés en Europe."
Dans le même registre, des scientifiques tels que Roger-Gérard Schwart­zenberg ou Axel Kahn nous assurent que "les races n’existent pas". Et nous venons tous d’Afrique, c’est bien connu ! La palme revient toutefois à l’essayiste Guy Sorman, qui nous affirme, dans son livre En attendant les barbares (1992) : "Ce ne serait pas la présence des étrangers qui susciterait le racisme, mais leur absence : le fantasme de l’immigré serait le fourrier de la violence, beaucoup plus que l’immigré lui-même." Et d’ailleurs, "la France, qui comptait des centaines de dialectes, patois et langues régionales, il y a unsiècle, n’était-elle pas alors plus multiculturellequ’elle ne l’est aujourd’hui ?"
Ces gens-là, c’est évident, ont l’art de se foutre de la gueule du monde. Maintenant, si vous trouvez un juif qui tient un discours à l’opposé de celui-ci, c’est tout simplement qu’il n’est pas juif. Comme le disait Joseph Goebbels, bon connaisseur en la matière : "Ce qui est juif et ce qui ne l’est pas, c’est nous qui en décidons."  Hervé Ryssen
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bonheurportatif · 1 year
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Contacts
Une Alexandra, deux Alexandre, une Alexia, une Alice, une Aline, un André, une Angélique, deux Anna dont une Anna-Maria, neuf Anne, dont une Anne-Charlotte et deux Anne-Gaëlle. Une Anouk. Un Anthony, un Antoine, deux Arnaud, deux Aurélie, deux Aurélien. Une banque, une banquière. Un Baptiste, trois Barbara, un Barry, une Béa, un Benjamin, une Bérengère, un Bernard, une Bertha. Trois Camille, deux Carine, trois Catherine, une Cathy, deux Cécile, une Cécilia, une Céline, plusieurs Centres, deux Chantal, deux Christelle, un Christian, deux Christine, un Christophe, deux Claire, une Corinne. Un Damien, un Daniel, une Danielle, deux David, une Delphine, trois Denis, un dentiste, un Didier, un Djib et une Doria. Une Edwige, un Élian, une Éliane, une Élise, un Elliot, une Émeline, trois Émilie, une Emma, un Emmanuel, une Emmanuelle, cinq Éric. Un Fabien, une Fabienne, un Fabrice, une Flavie, une Florence, trois Florent, deux Florian, deux Floriane, deux Franck, deux François dont un F.-C., une Françoise, trois Frédéric, une Frédérique. Une Gaëlle, une Garance, un Gérard, une Ghislaine, un Grégory, deux Guillaume, un Gwenaël. Une Hélène, un hippocampe. Trois infirmières, deux Isabelle. Un Jack, un Jamal. Un Jean-François, un Jean-Marc, un Jean-Philippe, cinq Jérôme, un João, un Johann, un Jordane, une Judith, une Julie, huit Julien. Une Katy, un Kervin, deux kinés. Deux Lætitia, deux Laurence, trois Laurent, une Leslie, un Lewis, trois librairies, un Louis, une Louna, un Luc. Une Manon, un Marc, une Mariane, quatre Marie, une Marina, deux Marine, une Marion, un Martin, deux Martine, un Matthieu, une Mathilde, deux Maud dont une Maud-Elisa, deux Michèle, deux Mickaël, un Mirko, une Morgane, une Murielle, une Myriam. Une Nadine, une Nani, une Natacha, neuf Nathalie, une Néda, deux Nelly, un Nico et un Nicolas, un notaire. Une Odile, trois Olivier, un orthodontiste, une Oskia. Une Pamela, deux Pascal, deux Patrick, une Pauline, une Perrine, cinq Philippe, un Pierre, un Pierrick, un plombier. Une Quitterie. Un Raoul, un Raphaël, un Rémi, deux Renaud, une Rieko, deux Robert, un Roland, deux Rose dont une Rose-Marie. Une Sabine, une Sabrina, une Sandrine, une Sandy, quatre Sarah, un Séb et un Sébastien, un Serge, trois Séverine, un Simon, une Solenne, cinq Sophie, deux Stéphane, un Swan, une Sylvie. Un Théo, un Thibaud, deux Thierry, un Tony. Trois Valérie, un Victor, une Viki, quatre Vincent, trois Virginie. Un Wilfried. Un Xavier. un Yannick, un Yarol.
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viecome · 1 year
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Lectura: "una salida honrosa". Éric Vuillard
Éric Vuillard «Un libro terrible, históricamente insoportable.» Bernard Pivot«Una serie de escenas entretejidas por una escritura brillante. Bajo la pluma de Éric Vuillard, los personajes históricos son seres de carne y hueso; los oímos respirar, los vemos sudar.» Pierre Assouline«Doscientas páginas apretadas como puños listos para golpear. En cada uno de sus libros, Éric Vuillard escenifica un…
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sofiaa01753684 · 2 years
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〔 j o u r n a l 2〕
26 | O8 | 22
Hirohiko Araki
Hirohiko Araki is an illustrator and creator of history known for works such as "Jojo's Bizzare Adventure", "The goregeous Irene" and "Baoh". It is well known that unlike other mangaka and illustrators of this type, Araki has a more anatomically correct and realistic style.
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Hirohiko Araki, born in Sendai on June 7, 1960. He made his debut under the pseudonym Toshiyuki Araki (荒木 利之) in 1980 with his Busō Poker one-shot, and began his professional career with the short series Mashōnen B. T., Baoh: The Visitor, and Gorgeous Irene.
The JoJo's Bizarre Adventure franchise is one of the most iconic in the world of manga/anime. Master Araki's work has been used as inspiration for many subsequent works, especially in the shōnen. Many are the works and concepts that influenced Araki during his life to finally create his greatest franchise. Join me as we delve into the inspirations that brought JoJo’s Bizarre Adventure to life.
JoJo's drawing style changes over time, shifting from classic 80's action story characters to androgynous but much more elaborate and detailed drawings. This development is all the more remarkable when one also considers the details of the illustrations of earlier works such as Cool Shot BT and Poker Under Arms.
However, it wasn't until Bao: The Visitor that the style that would characterize the early JoJos caught on. In its early days in the 80's, the fashion for super strong and powerful men was at its peak, with films starring Stallone and Schwarzenegger or manga like Fist of the North Star.
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In addition to the drawing itself, JoJo's also has a quite striking color selection. This is because Araki studied the color theory of Paul Gaugin, a post-impressionist artist he knew in his youth, and for whom he has shown great admiration.
At the beginning of 2009, the Louvre Museum organized an event called “Louvre invites comics”, where works by Nicolas de CrécyW, Éric Liberge, Marc-Antoine Mathieu, Bernard Yslaire and, of course, Hirohiko Araki were presented. The mangaka's fondness for the world of fashion is not unknown, since he was young he was interested in the fashion magazines included in the library of his house. Among his declared favorites are Dior, Versace and Moschino. who he said was fascinated by how he mixed beauty and humor.
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Araki also takes inspiration from the musical world, having characters called "Killer queen", "Scary monsters", "King Crimson", "Aerosmith", "AC/DC", etc... This has caused several Copyright problems since in the anime had to change the names to others from the original concept.
That's why I really like Araki's work, since in addition to making very entertaining stories that I really enjoy, I'm also introduced to characters with names of bands or songs that I like and, in turn, they introduce me to bands/songs that I can hear.
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darkpalmor · 3 days
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12 JUIN 2024
Programme de brèves et de longues.
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Échauffement libre en 5 minutes : La visiteuse inattendue.
Le dimanche était lumineux, on se sentait bien. Les urnes se remplissaient, un peu, beaucoup, très beaucoup. Et il a bien fallu les vider, faire de petits paquets, des moyens, des gros. Et du plus gros tas a émergé la tête hideuse, pleine de bave et de dents pointues, d’une visiteuse inattendue, qui s’est mise à hurler : « Je vais dominer le monde ! » Le dimanche s’est terminé dans la sinistrose, la gueule de bois, et un sentiment de gâchis. Il faudra la renvoyer au trou d’où elle est sortie…
1°) Gonflette (5 minutes maximum) : Une phrase de roman. On gonflera de l’intérieur, autant qu’on voudra, cette phrase tirée du roman L’assassin à la pomme verte, de Christophe Carlier, « Peu de gens sont aussi observateurs que les misanthropes. » On pourra en faire plusieurs phrases, si l’on veut, avec des points ou des points-virgules.
Peu à peu, le temps passait ; de minute en minute, les gens arrivaient à la cérémonie. Dans ces circonstances, il y en a toujours qui sont aussi pressés de déguster les canapés, les petits fours, le crémant. Ceux-là sont les plus observateurs : ils repèrent une place libre que quelqu’un vient de quitter, s’incrustent entre les serveurs en tendant la main pour saisir un nouveau verre de pétillant. Il devrait exister une loi contre ces abus : on n’inviterait aux mariages, aux remises de médailles, que ceux qui détestent tellement leurs semblables qu’ils ne viendraient pas : les misanthropes.
2°) Contrainte collective (10-15 minutes) : un récit à clefs. Un premier participant propose un thème, un second propose une sorte d’action obligatoire, un troisième propose un prénom, un quatrième impose une couleur, un cinquième impose une saison, un sixième impose un moment de la journée. On aura ensuite, éventuellement, un animal, un véhicule. Et chacun devra écrire un texte narratif vaguement mystérieux, qui prendra en compte toutes ces obligations.
Thème proposé : l’été. Action : une promenade. Prénom : Bernard. Couleur : rouge. Moment : l’apéritif du soir. Animal : chat. Véhicule : vélo.
Les vélos, sur la voie verte, se suivaient, dans un bruit de roulement amplifié quand ils passaient dans un des tunnels. Bernard les entendait arriver d’assez loin, s’écartait pour leur laisser le passage. Sa parka rouge, espérait-il, se voyait bien et il comptait sur la prudence des cyclistes. À la sortie du dernier tunnel, le soleil l’éblouit. Bientôt le solstice, pensa-t-il, les feux de la Saint-Jean, et la variante spéciale qui se préparait. Arriverait-il à temps pour embraser le bûcher qu’on avait dressé ? C’était lui le responsable, c’est sur lui que reposait l’effet de surprise. Le mannequin représentant Éric Ciotti avait été soigneusement rempli de paille, cousu, imbibé de white spirit. Il fallait que son embrasement provoque le cri ultime, le cri primal, afin que fonctionne le sortilège d’envoûtement : le cri du chat noir, le cri porte-malheur, le cri de l’animal démoniaque. Finalement, il avait réussi : le panier que lui avait confié la fourrière pesait à son bras, et les miaulements d’une demi-douzaine de chats s’en échappaient. À l’heure de l’apéritif, on verserait le crémant dans de grandes coupes, on lâcherait les chats et il réciterait l’incantation magique « Dissolution ! Combustion ! » en allumant la flamme au pied du mannequin. Si tout se passait bien, du tas de charbon qui en résulterait se dresserait un nouveau dirigeant, en chair et en os, régénéré, chevelu, l’esprit pur. Cet envoûtement réussirait-il comme les précédents ? En tout cas, c’est sûr qu’il allait profiter des petits fours et de rondelles de saucisson.
3°) Haïku sur thème imposé (5 minutes) : Les cheveux fous.
Au sortir du bain, Mèches mouillées, frisottées, Le soleil te sèche. Au soleil couchant Tes mèches à contrejour Font une couronne. Frisés sur la nuque, Tes petits cheveux m’affolent. Je voudrais te mordre.
4°) Exercice double (10-15 minutes) :Réduction en 10-20 mots, puis développement élégant ? On reprendra le contenu d’un court texte narratif, et on le transformera d’abord en le résumant en une phrase entre 10 et 20 mots au maximum, et ensuite en le racontant avec une expression très soignée, en y ajoutant des images qui enjoliveront le récit, un style plutôt soutenu, ce qui allongera beaucoup les trois phrases originales, que voici : « En quittant la mairie, le père de Candide jugea qu’il était grand temps d’arroser l’événement au Bouquet de Voltaire. Il l’arrosa si bien que, à la sortie du bistrot, il ne fit pas attention à la couleur des feux. Un car de touristes s’engageait dans la rue de la Roquette et l’entraîna avec lui jusqu’au cimetière du Père-Lachaise, où l’on décida de le garder pour l’éternité, au grand soulagement de sa jeune veuve qui économisa ainsi les frais de transport. » (Extrait du chapitre I de Candide 2, le retour, de Guy Konopnicki, 1999)
Corbillard gratuit, un car allant vers le cimetière renversa et emmena le jeune papa alcoolisé.
Dans l’émotion indicible de sa nouvelle paternité, le jeune homme, dans l’étourdissement de cette joie, enthousiasmé par le parfum de la liqueur anisée que lui versait d’abondance une accorte serveuse, sortit du bar dans un état second, l’âme pleine de pensées d’avenir. Son destin croisa celui d’un autocar Pullman qui transportait des touristes du Vatican avide de s’agenouiller sur la tombe de Jim Morrison, après la colonne de la Bastille. Dans l’emportement sauvage des trois cents chevaux-vapeur, le père de Candide fit un parcours chaotique, de pavé en pavé, jusqu’à l’entrée du plus célèbre lieu de repos éternel de l’est parisien. Son état final permit une inhumation aisée, réduit qu’il était à de petits morceaux collés sur le pare-chocs chromé. Les cimetières parisiens sont accueillants, et spacieux : on le secoua donc au-dessous d’une fosse récemment creusée, on le recouvrit sans lui compter les frais de déplacement, et l’évêque qui conduisait le groupe de pèlerins italiens prononça une brève oraison. Ce fut tout.
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latribune · 3 months
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yannlyr · 7 months
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La France avant l’affrontement (25 novembre 2023). Je découvre les identités des mis en cause dans la razzia de Crépol, sur X, à mon réveil. Je me saisis, dans ma bibliothèque, des 99 Noms d’Allah, de Maurice Gloton (Albouraq, 2007), et je les lis tous afin de retrouver la signification des prénoms des mis en cause. Aucun ne porte un de ces 99 noms; que des prénoms profanes, si j’ose dire. Le principal suspect se prénomme Chaïd, mais ça n’est pas la même racine que le 51ème prénom, al-Shahid: le Témoin, le Prèsent, le Contemplant. La veille, il niait être l’auteur du coup fatal à Thomas. Je crois, moi, pourtant, sans avoir vu, qu’il pourrait ne pas y être étranger. Albouraq me rappelle des souvenirs: un coffret de 5 ou 6 livres des Mille et une Nuits en arabe, acheté pour un ami, dans leur boutique de la rue des Fossés Saint-Bernard, le 24 décembre 2010, et cette commune si lointaine d’Ozoir-la-Ferrière où la maison d’édition avait son siège, son divan donc qui aurait mérité une surveillance discrète. J’ai entendu Michel Onfray se mettre en colère sur RMC, pendant 20 minutes face à Apolline de Malherbe. Il a toujours dit qu’il pensait que notre civilisation n’échapperait pas à sa disparition, à l’instar de toutes les autres qui ne sont plus. Ça aurait pu arriver dans son village normand. Ça pourrait toujours arriver, réalise-t-il sans doute, de son vivant. « La chair est triste, hélas, et j’ai lu tous les livres »; Thomas a été enterré hier tandis que son assassin le reniait encore une fois alors qu’il était froid depuis sept jours. Nous en sommes là, cette fois-ci fâchés, inquiets, mais sans doute moins résignés jour après jour. Si les parents de ces barbares leur avaient donné des prénoms issus du calendrier, comme Éric Zemmour le demandait, on ne les aurait pas cachés avec une telle bêtise, voulant tromper la Nation. On débute novembre avec la Toussaint, les défunts, puis la commémoration des attentats du 13, maintenant on ajoutera la razzia du 18 à Crépol. Le 13 on fête saint Brice, le 18 on célèbre sainte Aude. Combien de prénoms de tant de victimes ces jours-là? On pourrait ajouter Barthélemy au camp des saints.
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beardedmrbean · 8 months
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At least 18 people have been arrested after a wave of hoax bomb threats prompted evacuations across France.
The Palace of Versailles, the Louvre, as well as schools, airports and hospitals have all been targeted.
Those behind the disruption are mostly minors, authorities say.
The threats come at a time of heightened tension in France, after a teacher was fatally stabbed by an alleged jihadist last week at a school in the northern city of Arras.
Fifteen regional airports had threats made against them on Friday, from Biarritz, Bordeaux, Nice and Toulouse in the south to Lille and Brest in the north. Airports have been evacuated on several days this week, causing the cancellation of at least 130 flights.
Tourist sites have also been targeted. The Palace of Versailles was closed for the fifth time in a week on Friday after yet another threat, affecting thousands of visitors.
Mayor François de Mazières appealed for the "idiocy" to stop, telling Franceinfo that 10,000-15,000 people visited France's former royal residence every day and warned the hoaxes "could have consequences for attendance".
The Louvre in Paris was also forced to evacuate thousands of visitors last Saturday.
Twenty-two investigations have been launched, Justice Minister Éric Dupond-Moretti told RTL radio on Friday, but the arrests appeared to have no effect on the spate of scares.
France was placed on its highest state of counter-terrorism alert last week following the killing of 57-year-old teacher Dominique Bernard. The suspect, a former pupil at the Gambetta high school in Arras, is a Russian national of Chechen origin.
On Friday, a high school in Grenoble in the south-east was evacuated for the second time in two days, and students and staff were also forced to leave a high school in Bourg-en-Bresse in the east.
Earlier this week, pupils in one Toulouse school were told to go under their tables when a suspect package was spotted in front of the building.
Authorities have arrested several students they suspect of being behind the scares.
A 16-year-old was arrested on Thursday a few hours after his school in Val-d'Oise, north of Paris, was evacuated. Another student suspected of calling in a hoax threat was arrested a few hours after 1,200 pupils had to leave their school premises.
Macron attends teacher's funeral after Arras attack
Interior Minister Gérald Darmanin said on Thursday night that 18 people, mainly minors, had been arrested in a space of 48 hours but he stressed that France was under no specific threat.
The threats have been made by phone or email, via a website launched in 2020 to text police officers direct, and by contacting official police social media accounts.
Mr Dupond-Moretti warned those he called "little jokers" that they would be "found and punished".
Authorities are using IP addresses and phone numbers to identify those responsible. Calling in a fake bomb threat is a crime in France that carries up to three years in prison and a €45,000 (£39,000) fine.
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yes-bernie-stuff · 11 months
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"Le commencement de la sagesse, c'est la crainte de l'Éternel; Et la connaissance du Saint, c'est l'intelligence."
Proverbes 9:10
Ce verset nous rappelle que la véritable sagesse débute par le respect et la révérence envers l'Éternel. La connaissance de Dieu n'est pas simplement une accumulation de faits ou d'informations, mais une compréhension profonde et intime, qui englobe l'amour, le respect et l'humilité.
L'important n'est pas d'accumuler les connaissances, mais de savoir les utiliser. Oui, l'essentiel n'est pas simplement d'accumuler des informations sur Dieu, mais de comprendre réellement sa sainteté et d'en tirer une sagesse qui guide nos actions quotidiennes.
Bernard, le chemin vers la sagesse n'est pas toujours facile. Il demande du respect, de l'humilité et une quête constante de compréhension. Mais cette route est d'une valeur inestimable. Elle nous conduit vers une vie de paix, de respect et d'amour. C'est un cadeau précieux. Alors n'hésitez pas à chercher, à comprendre, à vous approcher de l'Éternel. Parce qu'en fin de compte, c'est là que commence la vraie sagesse.
Éric Célérier, HelloBible
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byneddiedingo · 2 years
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Barbet Schroeder and Claudine Soubrier in The Bakery Girl of Monceau
Philippe Beuzen and Catherine Sée in Suzanne's Career
The Bakery Girl of Monceau (Éric Rohmer, 1963)
Cast: Barbet Schroeder, Claudine Soubrier, Michèle Girardon, Bernard Tavernier. Screenplay: Éric Rohmer. Cinematography: Bruno Barbey, Jean-Michel Meurice.
Suzanne's Career (Éric Rohmer, 1963)
Cast: Catherine Sée, Philippe Beuzen, Christian Charrière, Diane Wilkinson. Screenplay: Éric Rohmer. Cinematography: Daniel Lacambre.
One-third of Éric Rohmer's Six Moral Tales series, the first two films, The Bakery Girl of Monceau and Suzanne's Career, together take up about an hour and a half of screen time and were shot on the cheap, using 16 mm film and available locations. But their greatest virtue is economy of storytelling. By "moral," of course, Rohmer meant anything but didactic; instead, his films are about the way people behave, especially in matters of sexual attraction. He leaves any judgment of what his characters do up to the audience, though sometimes his characters deliver their own verdicts about what has been done and said. Especially "said," because Rohmer's films are typically more about talk than action. Both films are also about the young in Paris in the early 1960s, a period and place on the brink of a revolution not only in politics but also in morals, manners, and style. This was a time just before the young of Paris reinvented themselves as what Jean-Luc Godard would call, in Masculin Féminin (1966), "The Children of Marx and Coca-Cola." The students in these films still wear suits and neckties, not bluejeans, to class, and even among themselves maintain a kind of politesse. The protagonist-narrators of both films are shy guys, dithering on the edges of their infatuations and needing help from more outgoing friends to make the first move at the young women they have fallen for. The young man played by future director Barbet Schroeder in The Bakery Girl is a bit more outgoing than Bertrand (Philippe Beuzen) in Suzanne's Career, but both blunder their way into romance. In fact, the former has a touch of the caddishness of Guillaume (Christian Charrière) in the latter film, hitting on Jacqueline (Claudine Soubrier), the lower class bakery girl, while trying to catch a glimpse of the more sophisticated Sylvie (Michèle Girardon), a member of his own social class. Even when the tables are turned, and he learns that Sylvie, laid up with a broken ankle, has been spying on him while he is toying with Jacqueline, he still throws over the bakery girl for her. We don't see Jacqueline's reaction to being dumped -- that might have tilted the moral tale toward didacticism. And Sylvie seems to feel no remorse about either her voyeurism or his touches of caddishness: She marries him anyway. Suzanne's Career is more complex, with money (or the lack of it) playing a key role in the amatory games being played by its quartet of characters. As in The Bakery Girl, it's the woman who apparently wins out in the end: Suzanne (Catherine Sée), after her on-again, off-again relationship with Guillaume, winds up happily married -- at least if we can judge from Bertrand's assessment of the situation. As always in Rohmer's films, the talk is what matters.
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SAMEDI 27 MAI 2023 (Billet 3/3)
A méditer et en tirer certaines conclusions… Rappelez-vous, quelque chose de similaire s’était déjà produit dans un « Apostrophes », l’émission de Bernard Pivot.
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« Bouche suave, nerveuse et riche » : le jury d'un concours international de vin piégé par une bouteille de picrate à quelques euros
Le jury du « Concours international de vin Gilbert & Gaillard » a vu rouge. Dans le cadre d'une épreuve de test à l'aveugle qui se déroulait en Belgique, les experts de la compétition se sont fait tromper par une bouteille de vin à seulement quelques euros. À l'origine de la farce, c'est Éric Boschman – élu meilleur sommelier de Belgique en 1988 – qui s'est prêté au jeu. 
Dans le cadre de l'émission On n'est pas des pigeons, diffusée sur la Radio Télévision Belge Francophone (RTBF), celui-ci a décidé d'inscrire une bouteille « exceptionnelle » de ses mots : « un vin à 2,50 euros acheté dans un supermarché Delhaize ». Celui qui est également comédien pipeaute la bouteille et appose sur le verre une étiquette factice de son cru. La bouteille est grimée d'un logo à la forme d'un pigeon – en référence au nom de l'émission – et porte désormais le nom de « Château Colombier », un vin soi-disant produit à partir de cépages situés en Côtes de Sambre et Meuse (Wallonie). 
La blague va finalement dépasser les espérances du Belge : le vin va obtenir la Médaille d'Or du concours. Les commentaires du jury eux, sont délicieux : « Robe rouge grenat vif. Nez timide associant fruits à noyau, groseilles, chêne discret. Bouche suave, nerveuse et riche aux jeunes effluves nettes qui promettent une jolie complexité. Évolution sur de fines épices et une touche de suie. Fort intéressant », ponctuent les experts à l'issue de la dégustation à l'aveugle. 
Le sommelier belge s'enorgueillit de cette réussite mais déplore le manque de sérieux de nombreux concours de dégustation : « La multiplication de ces concours, qui rapportent surtout à ceux qui les organisent, interroge. Cela fait très longtemps que les vignerons sont considérés comme des pigeons par nombre de margoulins qui ont trouvé là de quoi faire de l'argent sans trop se fouler », commente pour sa part Jacques Dupont, spécialiste en vin, dans les colonnes du journal « Le Point ». 
Difficile de savoir si la supercherie aurait pu se produire en France.
(Source : « ladepeche.fr »)
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alexlacquemanne · 1 year
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Février MMXXIII
Films
Danger : Diabolik ! (Diabolik) (1968) de Mario Bava avec John Phillip Law, Marisa Mell, Michel Piccoli, Claudio Gora, Terry-Thomas et Adolfo Celi
L'Horloger de Saint-Paul (1974) de Bertrand Tavernier avec Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jacques Denis, Yves Afonso, Julien Bertheau et Jacques Hilling
Les Grandes Familles (1958) de Denys de La Patellière avec Jean Gabin, Jean Desailly, Pierre Brasseur, Bernard Blier, Françoise Christophe, Annie Ducaux et Louis Seigner
Les Ambitieux (The Carpetbaggers) (1964) de Edward Dmytryk avec George Peppard, Carroll Baker, Alan Ladd, Bob Cummings, Martha Hyer et Elizabeth Ashley
Bathing Beauty (1944) de George Sidney avec Red Skelton, Esther Williams, Basil Rathbone, Bill Goodwin, Jean Porter, Nana Bryant, Carlos Ramírez et Ethel Smith
Que les gros salaires lèvent le doigt ! (1982) de Denys Granier-Deferre avec Jean Poiret, Michel Piccoli, Daniel Auteuil, François Perrot, Tchéky Karyo, Nadia Barentin, François Lalande, Florence Pernel, Jeanne Lallemand et Marie Laforet
Pain, Amour et Fantaisie (Pane, amore e fantasia) (1953) de Luigi Comencini avec Vittorio De Sica, Gina Lollobrigida, Marisa Merlini, Virgilio Riento, Tina Pica et Maria-Pia Casilio
Les Ripoux (1984) de Claude Zidi avec Philippe Noiret, Thierry Lhermitte, Régine, Grace de Capitani, Julien Guiomar, Albert Simono et Claude Brosset
Scoop (2006) de Woody Allen avec Scarlett Johansson, Hugh Jackman, Woody Allen, Ian McShane, Romola Garai et Julian Glover
Sous le signe de Monte-Cristo (1968) d'André Hunebelle avec Paul Barge, Claude Jade, Anny Duperey, Pierre Brasseur, Michel Auclair, Raymond Pellegrin et Paul Le Person
Une femme sous influence (A Woman Under the Influence) (1974) de John Cassavetes avec Gena Rowlands, Peter falk, Fred Draper, Lady Rowlands, Katherine Cassavetes, Matthew Laborteaux et Matthew Cassel
L'Enquête corse (2004) d'Alain Berberian avec Christian Clavier, Jean Reno, Caterina Murino, Didier Flamand, Juliette Poissonnier, Pierre Salasca, Éric Fraticelli et Alain Maratrat
Didier (1997) d'Alain Chabat avec Jean-Pierre Bacri, Alain Chabat, Isabelle Gélinas, Lionel Abelanski, Michel Bompoil, Jean-Marie Frin, Zinedine Soualem et Elliot
Les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark) (1981) de Steven Spielberg avec Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, Ronald Lacey, John Rhys-Davies, Denholm Elliott, Alfred Molina et Wolf Kahler
M. Hobbs prend des vacances (Mr. Hobbs Takes a Vacation) (1962) de Henry Koster avec James Stewart, Maureen O'Hara, Fabian, John Saxon, Marie Wilson et Reginald Gardiner
Mr. & Mrs. Smith (1941) d'Alfred Hitchcock avec Carole Lombard, Robert Montgomery, Gene Raymond, Jack Carson, Philip Merivale et Lucile Watson
Ulysse (Ulisse) (1954) de Mario Camerinia avec Kirk Douglas, Silvana Mangano, Anthony Quinn, Rossana Podestà, Jacques Dumesnil, Sylvie et Daniel Ivernel
Séries
Inspecteur Barnaby Saison 4, 5
Le Jardin de la mort - L'ange destructeur - Vendetta - Qui a tué Cock Robin ? - Sombre automne - Le Fruit du péché - Un village très coté - Le Ver dans le fruit - Les Sonneries de la mort - Meurtre dans un collège anglais
L'agence tous risques Saison 1, 2
Détournement - Le candidat - Un si jolie petite ville - Immigration clandestine - Poussière de diamants - Otages à l'orphelinat - Les mustangs : première partie - Les mustangs : deuxième partie - Histoire d'eau - Pression amicale - Le pain quotidien - La pêche miraculeuse - Agitateurs - Acier - La guerre des taxis - Le Scorpion du désert - Tirez sur le Cheik - Eclipse - Les marchands de poison - Dites-le avec du plomb - La vache maltaise - Pas si facile que ça
Affaires sensibles
10 mai 1981 : l’arrivée de la gauche au pouvoir - Ali contre Foreman : choc des titans à Kinshasa - Le 6 février 1973. L'incendie du collège Pailleron - Sharon Tate : l’Ange et le Démon - Voici l’histoire de Hurricane - Harlem, 21 février 1965 : Malcolm X est mort
Friends Saison 5, 6
Celui qui embrassait - Celui qui a des triplés - Celui qui accepte l'inacceptable - Celui qui rate son week-end - Celui qui a du mal à se taire - Celui qui emménage - Celui qui avait des souvenirs difficiles à avaler - Celui qui s'était fait piquer son sandwich - Celui qui avait une sœur un peu spéciale - Celui qui prenait de bonnes résolutions - Celui qui riait différemment - Celui qui avait un sac - Celui qui découvre tout - Celui qui prenait des coups - Celui qui enviait ses amis - Celui qui ne savait pas se repérer - Celui qui se sacrifiait - Celui qui ne savait pas flirter - Celui qui sauvait des vies - Celui qui jouait à la balle - Celui qui devait casser la baraque - Celui qui était à Las Vegas : 1re partie - Celui qui était à Las Vegas : 2e partie - Ceux qui revenaient de Las Vegas - Celui qui console Rachel - Celui qui était de mauvaise foi - Celui qui perdait sa belle assurance - Celui qui avait une belle bagnole - Ceux qui passaient leur dernière nuit
Coffre à Catch
#101 : Une belle petite pause dans un torrent de merde ! - #102 : Hornswoggle, Evan Bourne : le renouveau à la ECW ! - #103 : WWE Draft : la fin du Mercato d'été à la ECW ! - #104 : CM Punk et Mark Henry champions du monde !
Top Gear Saison 18, 17, 19
Spécial Journée Circuit - Made in China - Une course comme sur un green - La Vallée de la Mort - Une Lamborghini à la mer - Les pires voitures de l'histoire - Spécial Afrique : Première partie - Spécial Afrique : Deuxième partie - 1500 km à fond de 5ème
Spectacles
Un Chalet à Gstaad (2021) de Josiane Balasko avec Josiane Balasko, Armelle, Philippe Uchan, Stéphan Wojtowicz, Justine Le Pottier et George Aguilar
Livres
Friends, mes amours et cette chose terrible de Matthew Perry
Undertaker : Rise Of The Deadman de Rodrigo Lorenzo, Edu Menna, Serg Acuna et Chad Dundas
La renaissance des héros Marvel, Tome 7 : Phénix de Greg Pak, Greg Land et Kirkham
Catch : L'âge d'or, 1920-1975, l'épopée du catch français et les "Michel-Ange" du ring de Christian-Louis Eclimont
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