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#école élémentaire
etwala · 7 years
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itinéraires d'éducation artistique
Jouons avec les lettres, dans quatre classes rurales d'écoles élémentaires du département tout au long de l'année scolaire
Aveyron culture, conseil départemental
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Merci au musée Champollion, les écritures du Monde à Figeac.
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whydonatefr · 1 year
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Meilleures Idées de Collecte de Fonds pour les Écoles
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Idées de collecte de fonds pour les écoles – Les campagnes de collecte de fonds pour les écoles peuvent aider ces derniers à offrir des bourses d’études et de nouveaux programmes aux étudiants, à faire progresser l’enseignement et à mener à bien de grands projets. Des stratégies ou idées de collecte de fonds bien planifiées et bien exécutées peuvent faire une réelle différence dans la qualité de l’enseignement pour la plupart des écoles. Les idées de collecte de fonds pour les écoles peuvent permettre de leur offrir de l’éducation dans les garderies, davantage d’activités parascolaires, des soins après l’école et des programmes éducatifs obligatoires.
Les avantages liés à la collecte de fonds pour les écoles sont nombreux. Les élèves acquièrent des compétences précieuses en matière de leadership et de confiance en soi. Les collectes de fonds pour les écoles favorisent également le travail d’équipe en aidant les élèves à travailler les uns avec les autres, ainsi qu’avec leurs parents et leurs enseignants, afin d’atteindre leur objectif global. Les élèves apprennent également l’importance d’être dans un cadre social, l’attention portée aux autres et l’amélioration du cadre de vie.
Les écoles qui organisent des collectes de fonds permettent également aux parents de s’impliquer et de jouer un rôle beaucoup plus actif dans la vie de leurs enfants. Enfin, les ressources supplémentaires permettent aux écoles d’améliorer leurs installations et leurs programmes. Une école de collecte de fonds est une véritable situation gagnant-gagnant. Nous avons donc regroupé certaines des meilleures idées de collecte de fonds pour les écoles afin de vous aider à lancer votre propre collecte de fonds scolaire et ceci, en un rien de temps. 
Idées de Collecte de Fonds pour les Écoles Élémentaires
1. Journées Pyjama à l’École
Voici une idée simple de collecte de fonds pour les écoles qui ne manquera pas d’enthousiasmer les élèves (et peut-être même certains enseignants !). Faire une collecte de dons auprès des enfants en échange d’une journée pyjama à l’école.
2. Chasser les Œufs de Pâques
Cette idée de collecte de fonds est un plaisir saisonnier pour les foules et est facile à organiser. Cachez les œufs de Pâques et autres friandises près de l’école et laissez les enfants les chercher. Les enfants peuvent le faire individuellement ou en équipe. L’élève ou l’équipe qui trouve le plus de friandises cachées remporte, bien sûr, la partie !
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3. Chasse Au Trésor
Les chasses au trésor sont également une idée de collecte de fonds amusantes pour les élèves de tous âges, mais elles sont fascinantes pour les très jeunes. Les élèves peuvent y participer seuls ou en équipe. Réfléchissez à un thème qui pourrait être lié à l’objectif et organisez la chasse au trésor. Veillez à prévoir un prix pour l’équipe gagnante. Des points bonus peuvent être gagnés par les élèves qui viennent à l’école en tenue d’explorateur !
4. Chanter des Chansons de Noël
Les chansons de Noël sont aussi saisonniers, bien sûr, mais qui ne serait pas ému lorsque les écoliers chantent des chants de Noël ? Cette idée de collecte de fonds peut bien évidemment rapporter beaucoup d’argent aux écoles. Étudiez quelques chansons de Noël avec les élèves quelques semaines avant le jour-J. Emmenez votre chorale constituée principalement d’élèves dans le quartier de votre école et collectez des fonds en son nom.
5. Journée Disney
Lors de la Journée Disney, les élèves peuvent se déguiser en leur personnage Disney préféré en échange d’une petite contribution. Faites la promotion de cet événement de collecte de fonds pour l’école, bien à l’avance, afin de permettre aux parents de fabriquer ou d’acheter les costumes aux enfants.
6. Journée de Bricolage
Encouragez les enfants à réaliser des travaux manuels en groupe ou avec les parents et permettez au public d’acheter de jolies œuvres d’art. Vérifiez auprès de vos magasins de fournitures d’artisanat locaux et essayez d’obtenir gratuitement ces fournitures ; ceci peut constituer une campagne amusante pour récolter des fonds pour l’école.
7. Qui a Fait le Plus Beau Bonhomme de Neige?
Si vous vivez dans un pays où il y a beaucoup de neige, vous pouvez organiser un « concours de fabrication de bonhomme de neige », les jours de neige, dans la cour de l’école. Demandez un don par équipe pour participer au concours et offrez un joli prix à l’équipe gagnante.
8. Comptoir de Limonade
Transformez cette activité classique favorite en quelque chose qui peut vraiment servir comme idée de collecte de fonds pour l’école. Aidez vos élèves à installer un stand de limonade lors d’un événement scolaire. Les élèves peuvent vendre des limonades, avec d’excellentes histoires sur le financement d’un projet scolaire. Encore une fois, assurez-vous d’obtenir gratuitement toutes les fournitures nécessaires pour cette campagne.
9. Pique-nique Scolaire
Idéale pour les journées plus chaudes et ensoleillées, cette idée de collecte de fonds pour les écoles aide vraiment à construire une communauté, tous ensemble. Un pique-nique peut apporter des ressources nécessaires tout en permettant de passer du temps en plein air. Pour organiser un pique-nique, il faut choisir un parc ou un espace vert (peut-être même la cour de l’école), concevoir les annonces, fixer un prix d’entrée, obtenir des dons de nourritures et de boissons, et puis, organiser une tombola pour permettre de récolter encore plus d’argent.
10. Tournoi Roche-Papier-Ciseaux
Demandez aux élèves de verser une petite somme pour participer au tournoi de roche-papier-ciseaux de l’école. Créez des équipes et que le tournoi commence. Le gagnant est celui qui fait le plus de combinaisons gagnantes. Ensuite, les gagnants se réunissent et rejouent le jeu. Continuez ainsi jusqu’à ce qu’il ne reste plus que quelques participants. Les élèves peuvent encore s’inscrire pour 5€ afin de participer à nouveau au jeu. Le gagnant final recevra, bien entendu, un prix.
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11. Vendre du Pop-corn pour de la Collecte de Fonds de l’École
Contrairement aux barres chocolatées, le pop-corn reste un en-cas relativement sain (si vous n’y mettez pas trop de sucre, de sel ou de beurre). Pour vous faciliter encore plus la tâche dans cette nouvelle idée de collecte pour les écoles, il existe de nombreuses entreprises avec lesquelles vous pouvez vous associer pour organiser une collecte de pop-corn pour votre école – elles vous fournissent de délicieux pop-corn, vous les vendez et partagez les bénéfices. L’implication des snacks est une excellente idée de collecte de fonds pour les écoles. 
Cliquez ici pour en lire plus :- https://whydonate.com/fr/blog/collecte-de-fonds-idees-cole/
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pixdar · 2 months
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Hommage aux aviateurs britanniques et australiens abattus sur Eaubonne à bord d'un Lancaster du 97 Squadron de la R.A.F le 6 août 1944.
École élémentaire Paul Bert, Eaubonne (Val d'Oise).
À découvrir, le bonus « Hommage aux aviateurs ! », (extrait du livre « Irène Hajos, une survivante. Témoignage d’une juive hongroise » écrit par Chantal Gerbaud), de l'article « Comme Simone Veil, l'eaubonnaise Irène Hajos a combattu contre l'oubli ! » du Journal de François.
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jpbjazz · 5 months
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LÉGENDES DU JAZZ
JOHN CARTER, ‘’LE ALEX HALEY DU JAZZ’’
‘’I had never heard anybody with such control on the clarinet… His complete mastery of the instrument is astounding.” 
- Red Callender
Né le 24 septembre 1929 à Fort Worth, au Texas, John Wallace Carter avait d’abord étudié le saxophone alto avant de commencer à jouer de la clarinette à l’âge de douze ans. Très influencé par la musique gospel qu’il avait écoutée à l’église baptiste durant son enfance et par la musique de Duke Ellington, Count Basie et Cab Calloway, Carter avait amorcé sa carrière en jouant du blues au Woodman’s Hall d’Anacostia, un club de jazz de Washington, D.C. Il avait aussi fait équipe avec Ornette Coleman, Dewey Redman et Charles Moffett dans les années 1940.
Après avoir fréquenté le I.M. Terrell High School, Carter avait décroché un baccalauréat en éducation musicale à l’Université Lincoln de Jefferson, au Missouri, en 1949, avant de compléter une maîtrise en éducation musicale à l’Université du Colorado en 1956.
De 1949 à 1961, Carter avait gagné sa vie en enseignant la musique dans le réseau d’écoles publiques de Fort Worth. Parallèlement à sa carrière de professeur, Carter avait continué d’expérimenter avec la clarinette et avait découvert que c’était cet instrument qui lui permettait d’exprimer le mieux sa personnalité musicale. Parmi les premières influences de Carter, on remarquait Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Lester Young, Duke Ellington et Count Basie.
Après s’être installé à Los Angeles, Carter avait enseigné durant vingt et un ans (1961-1982) dans les écoles élémentaires publiques de la ville.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En 1964, Carter avait formé le  New Art Jazz Ensemble avec le trompettiste Bobby Bradford,  le contrebassiste Tom Williamson et le batteur Bruz Freeman, un pionnier du free jazz qui avait d’abord joué avec Charlie Parker, Lester Young, Coleman Hawkins et Sarah Vaughan. Le groupe avait poursuivi ses activités jusqu’à la mort de Carter en 1991 et se produisait surtout dans le Nord-est des États-Unis.
Décrivant sa première rencontre avec Bradford, qui était de six ans son cadet, Carter avait expliqué: ‘’I met him when I got out therem about ‘65, Bob was living in Pomona and teaching out there, and I was teaching out there (L.A.). I was very frustrated with whar I was doing. I had come here un 1961 and had aspirations for playing my music and I thought I could get as much studio work as I wanted to do when I got out here {...}. I play good lead alto, tenor, soprano, good flute and clarinet of course. I can play oboe and basson, all well enough to do session work.’’ Dans la même entrevue, Carter avait ajouté: ‘’Bob had been with Ornette up to ‘62, then went back to Texas and taught for a couple of years and then moved out there. Well so Bobby really wasn’t doing anything either, on any kinf of regular basis so we got together, it was very natural for us to try to get a group together.’’
Parallèlement à sa collaboration avec Bradford, Carter avait joué du jazz progressif avec des artistes locaux, se produisant à la flûte et au saxophone tout en approfondissant sa maîtrise de la clarinette, contribuant ainsi à briser les frontières musicales tout en était toujours accompagné par Bradford à la trompette. Au cours de cette période, Carter avait aussi joué avec le pianiste Hampton Hawes et le saxophoniste Harold Land.
Carter avait également opéré son propre club de jazz, le Rudolph’s, afin de contribuer au développement de la relève. En 1967, Carter avait dirigé une oeuvre d’Ornette Coleman à UCLA. Carter expliquait: ‘’It was a suite that Ornette had just done for the Guggenheim Grant that he had just got, whatever year that was. A very difficult pass. The band was in the festival house orchestra, whoever was playing brought along their charts and we played them. Carmen McRae was on that and Clark Terry. Ornette’s piece was written for big band against his quintet. {...} Full group, five trumpets, four trombones, five reed and a full rhythm section, and violins and cellos. He played that music a lot of times, he played it with the San Francisco Symphony, he played it in Europe and back in New York.’’
Dans les années 1970, Carter avait fait partie du  Little Big Horn Workshop avec Bradford et Newton. Au cours de cette période, Carter s’était également fait connaître pour ses concerts en solo. Dans le cadre du New Jazz Festival de Moers en 1979, Carter s’était produit en duo avec le clarinettiste allemand Theo Jörgensmann durant trois jours. Le concert, qui avait fait connaître Carter à travers le monde, avait donné lieu à une nouvelle performance du duo en 1994.
Vers 1973, Carter et Bradford avaient fait une tournée en Europe et avaient enregistré avec le pianiste Horace Tapscott. Lors d’un séjour à Paris, Carter avait même joué du bebop avec Jaki Byard et Kenny Clarke.
Carter et Bradford s’étaient également produits en concert à UCLA en compagnie de l’Art Ensemble of Chicago, avec qui ils avaient enregistré l’album Tandem 1 en 1979. Après s’être joint au quintet d’instruments à vent de James Newton, Carter avait fondé en 1981 le groupe Clarinet Summit avec Alvin Batiste, Jimmy Hamilton et David Murray.  
DERNIÈRES ANNÈES
Même s’il maîtrisait plusieurs instruments, Carter avait surtout joué de la clarinette et du saxophone soprano à partir de la fin des années 1970. Il expliquait: ‘’I think that certain personalities goes with certain instruments. While I have known that all along it took me a long time to associate that myself - because it takes a long time to try and see yourself, and I’m still trying. Like I know what that I am not a tenor player, but I’ve spent a lot of time fooling with the tenor saxophone. I played tenor and college because that was the only way I could get into the dance band. In those days I couldn’t read as well as other fellows could but I could solo better that they could so they need me in the band for that (rires). So I got in on tenor.’’
Lorsque sa fille et ses trois fils avaient atteint l’âge adulte au début des années 1980, Carter avait commencé à enseigner la clarinette à plein temps au Wind College de Los Angeles, une école qu’il avait lui-même fondée. Carter, qui possédait sa propre maison de disques, avait également enregistré avec Bradford et Newton l’album Night Fire, qui comprenait des classiques comme “Morning Bell”, “Juba Stomp” et “Buckin.”’ Sur l’album Dance of the Love Ghosts, Carter avait combiné les cuivres, les synthétiseurs et des percussions traditionnelles comme le kete et le dawuro. En plus de la chanson titre, l’album incluait les pièces The Captain’s Dilemma” et “Moon Waltz”, toutes des compositions originales.
De 1982 à 1990, Carter avait résumé sa vision du jazz et de l’histoire des Afro-Américains dans la suite en cinq parties Roots and Folklore: Episodes in the Development of American Folk Music. Publié dans un coffret de cinq CD, l’oeuvre, qui combinait le jazz moderne avec le blues et le jazz traditionnel, avait été saluée par la critique comme une des meilleures réalisations des années 1990. En 1998, le clarinettiste François Houle avait repris des extraits de l’oeuvre sur son album intitulé In the Vernacular—Music of John Carter.
Peu avant la mort de Carter en 1991,  le New Arts Jazz Ensemble avait enregistré un dernier album. Intitulé ‘’Seeking’’, l’album comprenait cinq compositions originales de Carter, dont “Karen on Monday” et “Sticks and Stones”.
John Carter est mort au Daniel Freeman Memorial Hospital d’Inglewood en Californie, le 31 mars 1991 à la suite de complications liés à son cancer des poumons. Carter laissait dans le deuil son épouse Gloria, sa fille Karen et ses fils John Jr., Stanley et Kris. Atteint d’une tumeur non maline, Carter s’était fait retirer un de ses poumons un an avant sa mort, mais il avait continué de se produire sur scène. Carter avait présenté une de ses dernières performances en février dans le cadre d’un événement organisé par la Society for Jazz and World Music à Santa Barbara, en Californie.
Continuant d’explorer l’histoire du peuple afro-américain, Carter avait présenté en septembre 1990 sa composition “Castles of Ghana”, une suite inspirée de la traite des esclaves en Afrique de l’Ouest au 16 siècle,  au Japan America Theatre de Los Angeles. Dans le cadre d’une entrevue accordée au New York Times en 1990, Carter avait déclaré qu’il avait conçu le projet après que son fils John Jr., qui revenait d’un voyage en Afrique de l’ouest, lui ait expliqué que les châteaux du Ghana étaient utilisés comme lieu de détention pour les futurs esclaves avait d’être expédiés en Amérique.
Au moment de sa mort, Carter devait se produire avec un quartet comprenant Perry Robinson, Theo Jörgensmann et Eckard Koltermann.
Carter a été admis au Down Beat Hall of Fame l’année-même de sa mort en 1991. Au cours de sa carrière, Carter avait remporté deux autres prix décernés par le magazine: le premier pour un enregistrement avec un petit groupe en 1973, et le second comme clarinettiste méritant la meilleure reconnaissance en 1982.
En 1996, Carter avait obtenu quatre étoiles du magazine Q et cinq étoiles du NAPRA Trade Journal pour ses compositions “Sippi Strut”, “Spats”, “Hymn to Freedom” et “And I Saw Them” tirées de son album Shadows on a Wall. Commentant le dernier album de Carter, le critique David Grogan avait décrit le musicien comme un compositeur d’avant-garde passionné par l’histoire du peuple afro-américain et l’avait surnommé le ‘’Alex Haley of the Jazz world.”
Carter avait souvent été comparé au trompettiste Wynton Marsalis pour la beauté et la spontanéité de son jeu. Le tubiste et contrebassiste Red Callender qui avait accompagné Carter, Bradford et Newton sur l’album Dauwhe, avait souligné la maîtrise par Carter de son intrument dans l’ouvrage Rough Guides to Jazz, dans lequel il écrivait: “I had never heard anybody with such control on the clarinet…. His complete mastery of the instrument is astounding.” 
Les compositions de Carter pour clarinette, trompette, cornet, violon, trombone, batterie et contrebasse portaient souvent des titres évocateurs comme “Evening Prayer”, “Conversations”, “The Fallen Prince” et “Theme of Desperation.” 
Plusieurs musiciens ont rendu hommage à Carter après sa mort, dont le clarinettiste François Houle qui avait enregistré des versions lyriques de ses compositions “Sticks and Stones” and “Karen on Monday” sur son album Vernacular—Music of John Carter publié en 1998.
Un des premiers clarinettistes de l’histoire à avoir exprimé une vision humaniste de l’héritage africain dans le jazz, Carter avait toujours improvisé avec énormément d’émotion. Les recherches tonales de Carter l’avaient incité à étudier le passé esclavagiste des Afro-Américains et à mettre en lumière leur combat pour l’émancipation après la Guerre civile. Artiste passionné, très articulé intellectuellement et très concentré sur sa musique, Carter avait influencé toute une nouvelle génération de musiciens, dont Julius Hemphill, Peter Epstein, James Newton, David Murray et Bobby Bradford.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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Je condamne l’ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties aussi bien que dans les régimes totalitaires. Cette ignorance est si forte, souvent si totale, qu’on la dirait voulue par le système, sinon par le régime. J’ai souvent réfléchi à ce que pourrait être l’éducation de l’enfant.
Je pense qu’il faudrait des études de base, très simples, où l’enfant apprendrait qu’il existe au sein de l’univers, sur une planète dont il devra plus tard ménager les ressources, qu’il dépend de l’air, de l’eau, de tous les êtres vivants, et que la moindre erreur ou la moindre violence risque de tout détruire.
Il apprendrait que les hommes se sont entretués dans des guerres qui n’ont jamais fait que produire d’autres guerres, et que chaque pays arrange son histoire, mensongèrement, de façon à flatter son orgueil.
On lui apprendrait assez du passé pour qu’il se sente relié aux hommes qui l’ont précédé, pour qu’il les admire là où ils méritent de l’être, sans s’en faire des idoles, non plus que du présent ou d’un hypothétique avenir.
On essaierait de le familiariser à la fois avec les livres et les choses ; il saurait le nom des plantes, il connaîtrait les animaux sans se livrer aux hideuses vivisections imposées aux enfants et aux très jeunes adolescents sous prétexte de biologie.
; il apprendrait à donner les premiers soins aux blessés ; son éducation sexuelle comprendrait la présence à un accouchement, son éducation mentale la vue des grands malades et des morts.
On lui donnerait aussi les simples notions de morale sans laquelle la vie en société est impossible, instruction que les écoles élémentaires et moyennes n’osent plus donner dans ce pays.
En matière de religion, on ne lui imposerait aucune pratique ou aucun dogme, mais on lui dirait quelque chose de toutes les grandes religions du monde, et surtout de celle du pays où il se trouve, pour éveiller en lui le respect et détruire d’avance certains odieux préjugés.
On lui apprendrait à aimer le travail quand le travail est utile, et à ne pas se laisser prendre à l’imposture publicitaire, en commençant par celle qui lui vante des friandises plus ou moins frelatées, en lui préparant des caries et des diabètes futurs.
Il y a certainement un moyen de parler aux enfants de choses véritablement importantes plus tôt qu’on ne le fait.
Marguerite Yourcenar, Les Yeux Ouverts, 1980
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This is a silly question, but how do you think GSR approach their (hypothetical) childrens' education? My friends and I used to joke that the fact that Sara doesn't drop that she went to Harvard multiple times per episode means that she didn't fully drink the koolaid!
hi, anon!
so speaking very broadly, i think education is something grissom and sara consider important.
after all, they both value knowledge and its pursuit very highly and are both themselves educated, with multiple degrees between them.
that so, i believe they would most likely encourage any hypothetical child or children of theirs to take learning seriously and (with few exceptions) pursue higher education.
that said, i think a lot of the particulars on how they’d educate their kid(s) would probably be dependent on situational variables.
—which means i ultimately have more questions than answers in regards to this topic.
if you're willing to hang with me for a good, ol' fashioned ramble, i've got one after the "keeping reading," if you're interested.
__
to start off, just the “when and where?” of it all probably would make a big difference in grissom and sara’s choices.
for example, if they have and/or adopt said hypothetical kid(s) while they’re living in vegas and both still working at the crime lab, then they’d have to choose between sending said kid(s) to public school or private school or homeschooling them.
honestly, the las vegas public school system is one of the worst in the nation and has been for a very long time (stretching all the way back to when grissom and sara might have hypothetically first been welcoming their kid[s] into their family, circa 2005 or 2006).
knowing how bad the public schools are in sin city, they might opt not to send their kid(s) there. however, if they’re both still working the night shift at the lab, homeschooling likely wouldn’t be on the table as a choice for them (just given their hours), meaning they’d probably have to find a private school. but the vast majority of private schools in the us are religiously-affiliated, and they’re not religious. so just looking at secular private schools or charters, their options would fairly limited (particularly in the early 2000s, before the “alternative school” boom).
maybe they might choose a more stem-focused charter school. however, they also both love and value the humanities, so they also might not want to bar their kid(s) from getting a more rounded/liberal education, especially early in their development.
could they afford a pricey private institution, like the fictional butterfield academy where catherine eventually sends lindsey (see episode 05x19 “4 x 4”)?
catherine can only really afford that tuition with help from her casino mogul father, and grissom and sara aren’t in sam braun’s same income tax bracket by any means, so if they couldn’t find a school they ultimately liked and/or could afford, what would they do? would they go as far as to move—perhaps even out of state—in order to obtain better educational opportunities for their kid(s)? go a more nontraditional route, like enrolling their kid(s) in online coursework or hiring a private tutor?
of course, their whole situation and set of choices might be very different if their kid(s) were born and/or adopted and reached school-age while they were living abroad in costa rica or paris.
would they, living as expats, choose to enroll their kid(s) in their nation of residence’s school system—so, for example, in france, the école élémentaire—and have them educated in the local language, or would they seek out an international school where the kid(s) would be taught primarily in english and on a more “americanized” system?
once the kid(s) were older, would they encourage them to take ib courses? have them apply for college in the country where they’d been raised/educated or return “home” to the states to attend an american university?, etc.
if they became parents during the “sara lives in vegas while grissom lives abroad” period of canonical s10-s13, how might they go about things then?
i'm fairly certain the second they realized sara was pregnant and/or had the inclination to adopt, they’d pretty much immediately quit the whole “living on separate continents” bullshit and choose to settle all in one place as a family.
but what place—in the states or abroad?
might the educational options of both nations play a role in where they ultimately decided to live?
for example, france has one of the best education systems in the world.
and in the odd event that they had an “oops” kid or kids while they were living aboard the ishmael—a scenario i consider somewhat unlikely, just given sara’s age by that point—what might they do then?
in all honesty, i can’t really see them deciding to keep their kid(s) full-time on the boat because they’re not assholes like this girl’s parents were just due to the sheer difficulty of trying to educate a child or children while living a nomadic lifestyle on the open ocean. i think the second their child(ren) reached school-age, they’d realize their year-round seafaring days were over, at least for the time being, and would choose to settle down somewhere on land, perhaps only spending summers on the boat (treating it like a floating science summer camp for their kid[s], a la the voyage of the mimi).    
but who knows?
maybe i'm wrong and they’d just choose to homeschool their kid(s) while continuing to sail and conduct their research.
after all, they are both—as polymath geniuses with multiple graduate degrees between them—qualified to teach.
of course, even outside of the issue of where they'd be living at the time when their kid(s) began school, there are other factors which might influence their decisions.
one factor that might affect their decision-making would be the number of children they ultimately had and what the spacing between the kids were like if they had more than one.
for example, it's easier to homeschool two kids who are close in age than it is to homeschool two kids who are close in age and then the "oops" baby of the family who is eight years younger than everybody else; it's more feasible to pay for one kid to attend a pricey private school than to pay for two kids to do so; though moving to a new state for the sake of better public schools might not be something you'd consider with just one kid, doing so when you have four kids (and you can't afford private school for all of them) could be an imperative; if one of your kids requires special ed. services that aren't offered in your public school district of residence, you might choose to send all of your kids to a charter school where such services are available, just to keep them all together; etc.
another—related—factor would be finances.
obviously, kids cost money, and the more kids you have, the more money they cost.
even just having one kid can be spendy.
that so, not only might their financial situation affect what kinds of schooling they chose for their kid(s) when they were young, but it might also come to bear when their kid(s) reached college-age.
depending on when said kid(s) were born and/or adopted, they might end up graduating high school either circa or after the point when grissom was retired, at which time their family might be down to sara’s single income, supplemented by grissom’s savings/social security payments.
while i have no doubt but that grissom and sara would likely have opened a college fund for their kid(s) the moment they realized sara was pregnant and/or they started considering adoption, given that college costs have risen exponentially over the course of the last two decades and are still continuing to rise, they still might not be able to fully foot that bill, particularly if they ended up having multiple kids and/or their kid(s) intended to attend pricier schools (like, say, harvard).
it's worth noting: we don’t know almost anything about grissom and sara’s financial situation in show canon. my impression is that while they’re both still living in vegas and even when they’re doing the “split-living situation” thing between s10 and s13, by early to mid-2000s standards, they’re more or less middle-class (perhaps on the upper end of that tier, considering they are, in canon, dinks); however, it’s harder to gauge where they’re at during their ishmael days. are they living on grant money? savings? investments? inheritance from betty? do they have any kind of regular income?
of course, if the kid(s) took after mom and dad, they might earn full-ride scholarships to any university of their choosing.
but that’s another thing:
even though there is a fairly good likelihood that, given grissom and sara’s genes, any biological kid(s) of theirs would be “academically inclined,” perhaps even to the genius level, we can’t necessarily assume that such would be the case.
for one thing, if the kid(s) were adopted, they might have different educational aptitudes than grissom and sara.
for another, even if the kid(s) were biological, they still might not necessarily inherit grissom and sara’s bookishness.
in either case, there might be learning disabilities involved or possible mental health issues.
that so, it’s not just a matter of course that any kid(s) grissom and sara were to have would earn scholarships to college, full-ride or otherwise; grissom and sara might end up having to pay out of pocket for their kid(s) to pursue a higher education.
their kid(s) also might not ultimately pursue higher education at all, either due to disinterest or due to academic ineligibility.
honestly, it would be really interesting to see how grissom and sara would respond to having a kid or kids who weren’t as academically inclined as they are.
how might they deal with a report card filled with c+ and b- (or even lower) grades? with a child who hated to read or had trouble with math? with a soon-to-be-high-school graduate whose gpa qualified them for community college only? with a son or a daughter who came to them and said, “mom, dad, i don’t think i want to go to attend any kind of university at all”?
while i have supreme trust in their ability to love the kid(s) they have as they are and to eventually adjust their expectations and support their kid(s) down whatever life path they ultimately ended up following, i also think it might initially be difficult for them to wrap their heads around having a kid or kids who just weren’t as schoolish as they are.
learning and education are so important to them and are central to their identities; they might find it difficult to even conceptualize what kind of life their child(ren) would have taking an alternative route.
in any case, if they had a kid or kids who didn’t qualify for scholarships but still planned to attend college, it might pose their family some financial difficulty, especially if grissom were already retired by that point.
unless we assume they had an accidental love baby during the san francisco days (between 1998 and 2000)—again, a scenario i consider to be fairly unlikely—then most probably any children they had biologically and/or adopted would be born and/or join their household between 2005 at the earliest and around 2020 at the latest, meaning they would reach college-age sometime between 2023 and 2038. meanwhile, grissom would reach retirement age circa 2023.
of course, just like it may be true that grissom and sara’s children might not follow in their academic footsteps, it also could be the case that, conversely, they would follow in them.
both grissom and sara graduated high school early—grissom at age fifteen, sara at age sixteen—and attended university while still minors.
it's possible their kids could do the same, in which case our timeline might move up a bit.
in the event their kid(s) were admitted early to university, then a scholarship of some kind would most likely be on the table.
it might therefore be possible for them to not only send multiple kids to college—if they had them—but to also send them to really good schools.
so how would they approach the issue of school choice?
sara attended harvard for her undergrad and uc berkeley for her master’s degree (and possibly an unfinished phd). meanwhile, grissom—most likely—attended ucla for undergrad and uc davis for his phd.
by the way, i know this post isn’t really the place for it, but i want to mention: back in the day, fans commonly used to believe that grissom had attended the university of chicago for his phd, citing what seemed to be a diploma on his office wall from that institution as proof. however, upon close inspection of the document, one can see that it is an honorary certificate from the society of vector ecology, a real-life professional organization for persons who study “nuisance organisms and disease vectors” (including insects), and is not actually a degree of any kind.
perhaps somewhat unrealistically, neither one of them ever talks much about their educational backgrounds on the show, so we really don’t really have a feel for how they regard their respective alma maters. do they have any school spirit or (as you suspect, in sara’s case) are they perhaps more lukewarm concerning those particular ties?
without knowing, we can only conjecture: would they insist that their kid(s) “follow in their footsteps” and attend the same schools where they are themselves alumni? if so, which school(s) would they insist upon? would mom or dad’s affiliations win out?
it is worth noting being a “legacy student” does often help with admissions, particularly at ivy league schools. for example, every year, about 30% of harvard admits are legacy students.
alternatively, would they be open to their kid(s) attending schools they hadn’t attended themselves or perhaps even encourage them to do so? if so, would they have any expectations regarding what types of schools were on the table—for example, “you have to pick an ivy league university” or “no state schools” or “anywhere but yale”?
what if, by this time, grissom had retired from criminalistics and had taken a teaching job somewhere?
in canon, grissom teaches at both williams college in massachusetts and the sorbonne in france.
what if he were on faculty at one of those schools when his and sara’s kid(s) came of college-age or else was teaching at some other university then?
tenured faculty members often receive discounted or even free tuition for their children at the institutions where they teach.
were they afforded such a benefit, would grissom and sara make their kid(s) attend the same school where grissom were teaching, just as a matter of cutting educational costs?
what about a school where uncle greg were located (as it is suggested in the reboot that he is pursuing a phd in chicago with the intention to someday become a professor)?
if their kid(s) did qualify for scholarships—meaning cost were not an issue—might location factor into the decision-making process?
as an undergrad, sara attended a school literally on the other side of the country from where she’d grown up (probably at least somewhat by design).
however, grissom stuck relatively close to home.
if he indeed matriculated at ucla, then he went to school about 12 miles away from his hometown of marina del rey.
would grissom and sara give their kid(s) free rein to attend school anywhere in the country or perhaps even internationally, or would they want them to stick closer to home (wherever "home" happened to be)?
what about the issue of picking majors once their kid(s) were enrolled?
again, though one might easily assume that any biological child of grissom and sara’s would likely be science-minded like them, they might end up having a kid or kids (either adopted or biological) who were more into the humanities.
would they be cool with their child(ren) declaring a photography major or ending up with an mfa in art history? they both themselves enjoy the arts and culture and are very literary. however, the “family business” is science. so would they try to shepherd their kid(s) in that direction? or would they give them the choice to follow whatever their own academic bliss were?
anyway, all of the above rambling is to say that i don’t think there is necessarily a “one-size fits all” answer to your question.
the way grissom and sara approached how they educated their kid(s) would likely depend on myriad factors; they might choose to go in one direction in scenario a and to go in another direction in scenario b, you know?
like i said up top, i do think their instinct would always be to encourage their kid(s) to seek as much education as possible.
both grissom and sara are excellent teachers and constantly ply each other with trivia and fun facts. their “family culture” even as a childless couple in canon is one that is built around the pursuit and exchange of knowledge. even just the way their condo is set up in s8 shows their extensive curiosity for the world.
that so, i imagine theirs would be a household where they would constantly be reading to their kid(s) and having their kid(s) read back to them once they were old enough, where they’d have science experiments spread out across the countertops and art projects displayed proudly on the fridge, where weekend outings would frequently be to museums and historical sites and national parks, where they’d max out on the library book check-out limit each week, where there’d be art supplies and modeling kits and alphabet blocks and magnetic numbers strewn across the playroom floor, where solving riddles would be a favored dinnertime activity, where stumping dad with a “did you know—?” question or beating mom on a mental math problem would be a badge of honor, where inventing a secret cypher for writing notes or solving a massive jigsaw puzzle would frequently be the pursuit of an afternoon, etc., etc., etc.
grissom and sara would probably be very involved with their kid’s or kids’ k-12 schooling, helping them out with homework and science fair projects, going in for parent-teacher meetings, attending extracurricular activities, and just generally being incredibly “hands on” regarding their academic progress.
if there were a class or subject area their kid(s) struggled with, they would probably try tutoring (either with themselves acting as the tutors or else someone they hired).
they would probably also very much encourage independent learning, outside of the school curriculum.
they would likely assume, unless something forced them to consider otherwise, that a college education for their child(ren) were an eventuality—not an "if" but rather a "when."
if it turned out that their kid(s) were not interested or able to pursue higher education, they’d have to shift that paradigm.
and in a such a case, i suspect they’d very much want their kid[s] to develop some kind of skill or learn a trade, if possible.
however, otherwise, i think they’d do everything in their power to give their kid(s) an opportunity to pursue higher education.
in scenarios where their kid(s) were interested in and qualified for higher education, grissom and sara would probably want them to attend the best universities open to them. however, i think they could also be prevailed upon to accept their kid(s) going to less prestigious institutions if it turned out that said institutions somehow suited them better (particularly since i believe that while sara enjoyed harvard immensely academically, she also likely struggled there socially, so she probably understands that a top school doesn’t necessary equal best fit).
if their kid(s) wanted to go to a school that were closer to home, say, or one where they felt a better cultural fit—even if it weren’t on the forbes top 25 list—they would likely be supportive.
they might likewise consider having their kid(s) attend a school where grissom were teaching, particularly if doing so represented the best financial option for their family.
they would also likely be thrilled if their kid(s) eventually went on to graduate school, though i don’t think they’d expect or require them to.
honestly, for as science-minded as they both are, i think they’d be supremely chill about their kid(s) studying subjects other than science. while of course they’d be overjoyed to have another scientist in the family, i think they could be equally as excited about their kid(s) pursuing a degree in history or art or a language.
considering betty’s background as an art dealer, it might make grandma very happy if her grandkid ended up pursuing an art degree, too.
i believe they also could be supportive of their kid(s) going in an entirely different direction like engineering or computer science or veterinary medicine or physical therapy or what have you.
i suspect grissom and sara would do as much as they could to support their kid’s or kids’ education financially.
like i said, i think the second they got back a positive pregnancy test or were approved for an adoption, they’d start putting money away into a college fund.
if their kid(s) went on to secure scholarships, then that money could end up as a gift and/or nest egg.
however, depending on circumstances, the money might not be enough to cover an entire college education (and particularly not if they had multiple kids), in which case, either they or their kid(s) might have to take out some loans.
honestly, i think they’d try as much as possible to avoid having their kid(s) take on too much student loan debt themselves (and especially since sara likely knows from experience what it is like to be in that situation, having no financial support from parents).
grissom might end up working past retirement age in order to avoid that outcome.
regardless of where their kid(s) attended school, i have no doubt but grissom and sara would be proud af of them when they graduated—even if it were ultimately from a trade program or a two-year school.
ultimately, i think the main thing they’d want for their kid(s) even beyond any particular degree or educational accolades would just be for them to always want to keep learning, no matter the field or format, you know?
of course, i have some pretty specific plans for grissom and sara’s educational choices as parents in the accidentsverse, but those count as #spoilers, so.
anyway.
enough broad rambling from me!
thanks for question! please feel welcome to send another any time.
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Quelque chose de terrifiant est en train de se produire. Un ami, professeur de droit dans l'enseignement supérieur, m'a fait part de son effarement face à l'effondrement cognitif des étudiants de première année. Des questions d'examen, qui paraissaient compréhensibles pour notre génération née entre 1960 et 1980, ne sont tout simplement pas comprises par les étudiants d'aujourd'hui.
Ils reçoivent la matière, peuvent peut-être l'apprendre par cœur, mais ne la comprennent pas, ne sachant pas articuler les concepts pour les appliquer dans des cas réels. C'est comme s'ils étudiaient l'alphabet d'une langue phonétique, mais étaient ensuite incapables d'agencer les lettres pour former des mots. Et que dire de la conjugaison ou de la syntaxe! Il cite aussi la ponctuation: «Rares sont les étudiants sachant quand utiliser la virgule ou le double point. C'est effarant! Quand je leur montre comment une phrase change complètement de sens avec ou sans virgule, je dois leur expliquer des principes élémentaires de l'école primaire, et c'est seulement après plusieurs minutes qu'ils saisissent les deux sens.
«Nous mangeons les enfants!»
«Nous mangeons, les enfants!»
«Si je l'avais vue depuis la terrasse.»
«Si, je l'avais vue depuis la terrasse.»
On n'est pas dans une école professionnelle pour apprendre la couture à des adolescents en décrochage, nous sommes dans une faculté de droit avec des textes relativement chargés en syntaxe et qui nécessitent une interprétation contextuelle mais aussi juridique!
Le corps professoral s'inquiète de cet effondrement progressif observé ces 10-15 dernières années. On ne peut pas décerner un diplôme de droit à des gens incapables de résumer, de comprendre et de développer un raisonnement. Imaginez des juristes ou des avocats ne maîtrisant pas le langage ni les subtilités juridiques. Cela me rappelle cette anecdote récente d'un chef d'entreprise qui avait engagé un élément brillant d'une école de commerce (trois ans d'étude). La jeune recrue ne savait pas comment calculer un pourcentage pour une estimation financière.
En 2021, en faculté de psychologie de l’UCLouvain, sur les 645 étudiants inscrits en première année, seuls six ont tout réussi en première session. Les étudiants se sont plaints car, entre autres, les cours étaient dispensés par des personnes de plus de 40/50 ans. À cela, j'avais répondu: «C'était pareil quand nous étions à votre place, nous avions aussi 20 ans et nos profs étaient bien plus âgés.»
Quelque chose de terrifiant est en train de se produire, et je pense que sans une révolution majeure — philosophique, culturelle, sociale — nous nous dirigeons vers une société de veaux consommateurs passifs, dirigée par une élite. La fameuse «génération de crétins».
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aurevoirmonty · 1 year
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L’agenda globaliste de sexualisation des enfants
Ce rapport de preuves révèle comment l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies sexualisent les petits enfants dans l’enseignement primaire partout dans le monde, dans le but de normaliser la pédophilie. Ce rapport n’est constitué que de preuves solides, avec de nombreux documents officiels, vidéos, livres, archives, etc. Tous les documents PDF peuvent être téléchargés dans la section « Références » à la fin de ce rapport.
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« Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C’est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation. »
Il s’agit là d’un résumé limité des directives officielles émises par l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l’intention des autorités éducatives du monde entier. Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l’acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.
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L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier de s’assurer que les jeunes enfants ont des partenaires sexuels.
Préparer les enfants à avoir des partenaires sexuels
Les Nations Unies ont publié le document intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle »1, qui constitue la ligne directrice officielle pour les écoles élémentaires du monde entier. L’objectif de ce document est décrit à la page 16 : 
Selon leurs propres termes :
« Il vise à équiper les enfants… à développer des relations sexuelles ». 
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À la page 17, les Nations unies expliquent que ce guide est destiné à aider les enfants à construire des relations avec des partenaires romantiques ou sexuels. 
Selon leurs propres termes :
« Ces compétences peuvent aider les enfants à à nouer des relations avec… des partenaires sexuels ».
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À la page 71, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants dès l’âge de 5 ans les baisers, les étreintes, les attouchements et les comportements sexuels. Les enfants de 9 ans doivent être sensibilisés à la masturbation, à l’attirance sexuelle et à la stimulation sexuelle.
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Les Nations unies déclarent que les écoles primaires doivent enseigner aux enfants la masturbation, les comportements sexuels, l’attirance sexuelle et la stimulation sexuelle.
Apprendre aux enfants à avoir des relations sexuelles
L‘Organisation Mondiale de la Santé développe actuellement un programme visant à garantir que les jeunes enfants aient des partenaires sexuels. Son document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe »2 contient les instructions suivantes à l’intention des écoles maternelles et élémentaires:
✔︎ Les enfants de 0 à 4 ans doivent apprendre ce qu’est la masturbation et s’intéresser à leur propre corps et à celui des autres. ✔︎ Les enfants de 4 à 6 ans doivent apprendre la masturbation et être encouragés à exprimer leurs besoins et désirs sexuels. ✔︎ Les enfants de 6 à 9 ans doivent apprendre ce que sont les rapports sexuels, la pornographie en ligne, l’amour secret et l’autostimulation. ✔︎ Les enfants de 9 à 12 an doivent avoir leur première expérience sexuelle et apprendre à utiliser la pornographie en ligne. 
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L’OMS demande aux enseignants du monde entier d’enseigner aux enfants de 9 ans comment avoir des rapports sexuels pour la première fois, comment faire l’expérience de la sexualité en utilisant l’internet et les téléphones portables et comment apprendre différentes techniques sexuelles.
Apprendre aux enfants à se masturber
La vidéo suivante fait partie d’un programme scolaire européen qui travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies pour mettre en œuvre leur programme dans les écoles au niveau national. Il s’agit d’un exemple concret de l’application de ces directives, en l’occurrence aux Pays-Bas. La vidéo montre comment de jeunes enfants sont encouragés par des enseignants à se masturber. Cette pratique a été diffusée dans des milliers d’écoles dans le cadre du programme d’éducation sexuelle complète » de l’OMS, dont l’objectif est de faire en sorte que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. 
L’éditeur de cette vidéo, la Fondation Rutgers, opère dans 27 pays, est un partenaire étroit de l’OMS et de l’ONU, et est financé par Bill Gates.6  
La langue parlée dans la vidéo est le Néerlandais, mais sachez qu’il s’agit d’un exemple réel de l’exécution d’un programme INTERNATIONAL de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies, ce qui signifie que cette vidéo sera diffusée dans les écoles publiques de tous les pays du monde. 
La sexualisation des enfants fait partie de l’Agenda 2030 de l’ONU
Les logos figurant sur le document des Nations Unies intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle » montrent que ce document fait partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies.
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L‘Agenda 2030 des Nations Unies est un plan visant à transformer tous les aspects de l’existence humaine sur terre d’ici 2030. Selon leurs propres termes:3
Nous avons adopté une décision historique sur un ensemble complet, de grande portée et centré sur l’être humain d’objectifs et de cibles universels et transformateurs. Nous nous engageons à travailler sans relâche à la mise en œuvre intégrale de cet agenda d’ici à 2030.
Ils indiquent clairement que la transformation de la vie humaine atteindra chaque personne dans le monde :  
En nous engageant dans ce voyage collectif, nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte.
Il s’agit d’objectifs et de cibles universels qui concernent le monde entier, les pays développés comme les pays en développement.
Les déclarations officielles des Nations Unies sont claires : elles veulent que le monde entier soit transformé. Veiller à ce que les petits enfants aient des relations sexuelles, apprennent à se masturber et utilisent la pornographie en ligne fait partie de cet agenda. Aux États-Unis, l’administration Biden a publié des déclarations confirmant les plans de mise en œuvre de ce programme sur l’ensemble du territoire américain dès que possible, et au plus tard en 2030.4
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Nous ferons preuve de leadership et prendrons des mesures collectives pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 pour le développement durable et accélérer la réalisation des ODD d’ici 2030  et relever les défis du développement en redynamisant un multilatéralisme plus inclusif et une réforme visant à mettre en œuvre l’Agenda 2030.
Veuillez comprendre la gravité de cette situation : les « directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » des Nations Unies font partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies. L’administration Biden s’engage à accélérer la mise en œuvre afin que l’Agenda soit réalisé d’ici 2030. Il en va de même pour toutes les autres nations du monde qui soutiennent l’Agenda 2030 des Nations unies.
Rutgers : éditeur mondial d’éducation sexuelle
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Dans ce rapport, nous examinerons de plus près la manière dont ce programme est mis en œuvre, par exemple, aux Pays-Bas, en Europe. Les Pays-Bas sont au cœur de ce programme mondial de sexualisation des jeunes enfants. Ce qui s’y passe se répandra dans le monde entier : aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Afrique, en Asie, etc. Ce pays est le siège d’un éditeur mondial de cette « éducation sexuelle complète » : la Fondation Rutgers.5 A Un membre du personnel de Rutgers, Ineke van der Vlugt, a contribué aux « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’OMS, ce qui montre à quel point cette fondation travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé.  
Rutgers est présent dans 27 pays et est financé par des organisations mondiales telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fédération internationale pour le planning familial, dont les racines sont aux États-Unis.6
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Au printemps 2023, Rutgers a lancé un programme national aux Pays-Bas sous le nom de « Spring Fever ».7 Une affiche a été placée dans les écoles primaires du pays. Une affiche scolaire a été affichée dans les écoles primaires du pays. Je l’ai traduite en anglais pour notre public mondial et j’ai ajouté des points forts pour révéler le message de cette affiche scolaire. Deux garçons se tiennent la main et disent : « Oui, nous le voulons tous les deux ». Deux jeunes filles trouvent un « endroit sûr » pour avoir des relations sexuelles.
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Cette affiche scolaire apprend aux jeunes enfants du même sexe à « le faire » l’un avec l’autre
Le programme d’études « Spring Fever » (fièvre printanière) insiste de manière agressive sur le thème de l’homosexualité auprès d’enfants vulnérables et sans méfiance. Vous trouverez ci-dessous des illustrations de ce programme destiné aux écoles primaires.
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C‘est une chose qu’une personne se batte avec son identité sexuelle, mais c’en est une autre que de pousser la confusion sexuelle dans les écoles élémentaires pour endoctriner les enfants à poursuivre un mode de vie homosexuel. Pourtant, l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies donnent des instructions directes pour que les enfants soient poussés vers l’homosexualité. À la page 40 des « Standards pour l’éducation sexuelle », les écoles sont invitées à enseigner aux enfants de quatre ans les « relations entre personnes du même sexe », et à la page 44, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants de neuf ans « l’amitié et l’amour envers les personnes du même sexe ».
Dans l’application pratique du partenaire de l’OMS, la Fondation Rutgers, nous voyons qu’il ne s’agit pas seulement d’informer les enfants, mais qu’il s’agit de les encourager activement à suivre la voie de l’homosexualité, le plus tôt possible.  
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L’Organisation Mondiale de la Santé demande aux écoles d’encourager les jeunes enfants à avoir des relations homosexuelles avec leurs amis. Une affiche scolaire montre deux filles trouvant un endroit sûr et deux garçons acceptant d’avoir des relations sexuelles. 
Enseigner la fellation à des enfants de 6 ans
L‘un des livres pour enfants recommandés par Rutgers pour les écoles primaires s’intitule « What is sex ? » (Qu’est-ce que le sexe ?) de Channah Zwiep. Voici une page de ce livre, avec un extrait ci-dessous :
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« La fellation est un acte sexuel avec la bouche. C’est pourquoi on l’appelle le sexe ora. » « Tu t’es déjà donné un baiser sur un point sensible de ton corps ?  Essayez. Qu’est-ce que tu ressens ? » « La peau d’une bite ou d’un vagin est également très sensible. C’est pourquoi les gens aiment parfois se toucher à cet endroit avec leur bouche. Quand quelqu’un lèche ou suce une bite, cela s’appelle la succion. Bien entendu, une femme peut faire de même. Si quelqu’un lèche un vagin, cela s’appelle « manger la chatte ».
Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran de la brochure de Rutgers destinée aux écoles primaires, qui recommande cette pornographie enfantine aux enfants de six ans.8
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Traduction :
« Qu’est-ce que le sexe ? Questions des jeunes enfants sur la physicalité et la sexualité » (Channah Zwiep)
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Pourquoi voudrait-on que des enfants de 4 à 8 ans sachent tout sur le sexe oral ? 
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Voici une autre page de ce programme destiné aux écoles primaires.9 Elle s’adresse aux enfants de 10 ans :
« Exemples de choses que tu peux faire avec le sexe : embrasser (avec la langue), caresser, tripoter (lécher le vagin), pipoter (lécher/sucer le pénis), doigter, se branler, baiser dans le vagin (sexe vaginal) et baiser dans l’anus (sexe anal) ».
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Une autre page est un guide pratique sur la façon de commencer à se masturber :
« Toucher son propre corps, son vagin et son clitoris pour obtenir une sensation agréable s’appelle la masturbation. Vous pouvez le faire, par exemple, en mettant un doigt dans votre vagin (doigter) ou en frottant votre clitoris ».
L’endoctrinement « mignon »
Les illustrations suivantes font partie de ce programme national obligatoire. Une personne non avertie penserait : « Oh, comme c’est mignon ! ». Mais lorsqu’on réalise que ces images ont pour but d’enseigner aux tout-petits à se masturber et de s’assurer que tous les enfants auront des partenaires sexuels, ces dessins mignons deviennent très inquiétants.
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Si l’on examine de plus près le programme scolaire européen « Fièvre printanière », créé par Rutgers pour l’ONU et l’OMS, on constate que l’objectif des cours est clairement défini:10
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« Les petits enfants doivent tout savoir sur la luxure, l’excitation physique et l’intimité. Ils doivent savoir que tout le monde a des sentiments sexuels et qu’ils ne doivent pas avoir honte ».
La honte est un sentiment naturel fondamental qu’éprouvent tous les enfants normaux et qui les protège contre les violences et les préjudices causés par des expériences sexuelles inappropriées et prématurées. La sexualité est probablement la partie la plus sensible et la plus vulnérable de notre humanité, qui peut nous traumatiser à vie si elle est mal abordée. La honte est une barrière de défense essentielle pour assurer notre sécurité. Ces programmes scolaires visent à supprimer cette barrière naturelle, afin que les petits enfants n’écoutent plus leur instinct naturel qui leur dit de protéger leur corps. Cela les rend extrêmement vulnérables et en fait des proies faciles pour les prédateurs sexuels.
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Pourquoi l’OMS s’obstine-t-elle à détruire la saine barrière de la honte qui protège naturellement les enfants ?
Enseigner les techniques sexuelles aux enfants de 7 ans
Voici un exemple de programme scolaire officiel aux Pays-Bas, publié par l’Ecole du programme scolaire (School Leerplan Onderwijs), l’éditeur officiel de tous les programmes scolaires. Nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mise en œuvre directe des « Normes pour l’éducation sexuelle » de l’OMS et des « Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » de l’ONU:11
✔︎ Les tout-petits âgés de 0 à 4 ans doivent apprendre à tomber amoureux, à être intimes et à éprouver des sentiments sexuels.
✔︎ Les enfants de 5 ans et plus doivent apprendre les relations sexuelles, la pornographie en ligne et l’expérience de la luxure en touchant leur propre corps.
✔︎ À partir de 7 ans, ils doivent apprendre les différentes techniques sexuelles.
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TRADUCTION :
0-4 ans
l’amour et le fait d’être amoureux
l’intimité
les sentiments sexuels
5 à 8 ans
le sexe dans les médias (y compris Internet)
le plaisir et la convoitise lorsqu’on touche son propre corps
rapports sexuels
9-12 ans
actes et contacts sexuels
l’orientation sexuelle,comportement sexuel des jeunes (variabilité du comportement sexuel)
plaisir, masturbation, orgasme
différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique
Les enfants doivent être initiés à la sexualité le plus tôt possible
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Rutgers a publié un guide pour former les enseignants à endoctriner les jeunes enfants sur la sexualité.12 Dans ce guide, ils font plusieurs références au guide de l’OMS, « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », confirmant ainsi qu’ils collaborent étroitement avec l’Organisation Mondiale de la Santé. Je me dois de le répéter, car certains lecteurs pourraient être enclins à considérer qu’il s’agit d’un incident localisé en Europe, alors qu’il s’agit d’un programme international.
Dans ce document, Rutgers énonce clairement l’objectif de ce type d’éducation (voir la photo du document ci-dessous) :
« L’éducation sexuelle et relationnelle donne aux enfants des idées qui les aideront à commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt. »
L’idée de ce type d’éducation sexuelle n’est pas d’aider les enfants dans leur développement naturel – vers une sexualité saine et mature – mais l’objectif est de les endoctriner pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.
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a-chlolix-blog · 2 years
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Timeless AU
AU idea by @scuderiagorobets
- Majority of characters in this AU are around 15-16 y.o. and in "Origins" (September 1st), they are in first year in lycée.
- Alix's 15th birthday happened about half of a year before "Origins", so she has the Bunny Miraculous watch already.
- Alix, before going to Egypt, was friends with Chloe, Zoe, and Adrien.
- Chloe and Zoe are twins.
- Alix goes to Egypt with her family when she was five because her parents were applied for a pretty huge job.
- Around the same time, Adrien was locked in Agreste Mansion after Emilie suffers big injuries.
- Also at the same time, Audrey and Andre are divorcing, and they decided that Audrey goes to New York with Zoe while Chloe stays with Andre. This is how "The Golden Band" were broken.
- Alix wrote the lists to her friends and achieves replies, but after some time replies stopped because Chloe, Zoe, and Adrien moved from the houses they lived before Alix's departure.
- Alix returned to France a few months before "Origins", but was disappointed when she didn't see either Chloe, Zoe, or Adrien to welcome her back.
- When Alix goes to the former Bourgeois Estate, she sees that this place is now a Dupain-Cheng Bakery (how convenient).
- In the bakery, Alix met Marinette, who knows one certain blonde since école élémentaire, and asked about Chloe and where she lives now.
- After going to Le Grand Paris, Alix finally met Chloe... And it went south pretty quick. This was the break-up of their friendship...
Info on the main two.
Alix Kubdel
- Bunny Miraculous is a Kubdel's heirloom. Only Kubdels wore it and became Bunny Superhero.
- The Last Bunny Superhero before Bunnix was Coniglietta (Bunny Girl on Italian). Delia, Jalil's and Alix's mother was the holder.
- Jalil and Alix knows that their mother was Coniglietta. Alim knows, too.
- Delia passed away a few years after going to Egypt, when she gets diagnosed with cancer.
- After Delia's passing, Alix became more rebellious and free-spirited because it was her mother's last wish to her.
- Alix was a rare "nerd hooligan" who can beat you up (verbally and, sometimes, physically) if you fucked up the conversation about history.
- Oh, and also, she became furious when someone who isn't in her "close people" circle (parents, Jalil, Chloé, Zoé, and Adrien) calls her "Alixandra".
Chloé Bourgeois
- Like I said before, Chloé and Zoé are twins.
- They both were (and are) a big superhero nerds, which is always confusing for their parents.
- Mr. Cuddly is Zoé's gift to Chloé when the former leaves to New York with Audrey.
- After all the shenanigans happened to their group (Alix going to Egypt, Adrien being locked in Mansion, her parents' divorce), Chloé began to think that she is the reason why is this happened and she blames only herself for all of it.
- Andre, seeing that Chloé is blaming herself for nothing, begin to spoil her while distancing from her due to his political career.
- Chloé in ecolé met Marinette and starts to being friendly with her, but after a while, their friendship was no more because Chloé feared that Marinette will leave her like Alix, Adrien, and Zoé did.
- Andre, seeing that Chloé have no friends, asks Roger Raincomprix to let his daughter, Sabrina, be Chloé's friend in exchange of being the Head of Paris Police Department.
- Chloé hates Sabrina's ass-kissing guts but she is still "friends" with her because Andre will not let her be real friends with the others.
Now for more plot!
- When Bunnix first uses Burrow, she finds out that Gabriel Agreste is gonna become Hawkmoth & Marinette and Adrien are gonna become Ladybug and Chat Noir.
- Fluff then encourages Alix to see what will happen if she reveals Gabriel to be Hawkmoth too soon. She of course doesn't like the outcome.
- After taking all this information in, Fluff has to calm Alix down.
- Bunnix makes her official debut when she's able to catch Chloé before she hits the ground.
- Chloé's immediately smitten.
Bunnix: You okay, Blondie?
Chloé, internally: CUTE AND STRONG BUNNY GIRL!!!!
- So not only is Bunnix known to the public, but Gabriel does his own research as well and finds out that Bunnix has the ability to travel through time.
- So with the Rabbit Miraculous becoming his number one priority, he creates more dangerous Akumas to try to get Ladybug and Chat Noir to need Bunnix's help.
- In need of Kwami Swap ideas and names! Maybe give Zoé a Miraculous from New York?
- Powerful Akuma ideas are also needed.
- Other Pairings that will be added to this AU are...
Marinette & Kagami
Adrien & Nino
Zoé & Jessica
Socqueline & Fei (new ship idea!)
Luka (who is now in his 20s) & Jalil
What do you all think? If you wanna know more, let me know!
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mae-dwrites · 1 year
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Taking Flight - Chapter 16 - Entry
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October 9th
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Thanks to Bridget, Marinette had been getting up earlier and not sleeping through her alarm. It was helpful, and Marinette was grateful to finally be able to get up a little earlier but did not appreciate her aunt's tactics. Her mother wasn't any help, she only gave half-hearted scoldings when Marinette asked her to tell Bridget to stop.
Out of all the instincts that she had built up waking up early had been one she had yet to accomplish.
Makzenie on the other hand, was either getting up because of Bridget too, or could actually get up on her own. Marinette felt a little jealous if that was the case.
“Okay, so it took them fourteen years to make a squeal?” Makzenie asked turning from the tv set. Marinette looked up from her cereal, her brain was still a bit foggy after waking up at 06:23. Her aunt hadn’t come up yet to wake her up, she had been busy with a call according to Makzenie. Marinette was thankful for Birdget’s many commitments.
Marinette looked over at the screen to see Helen Parr currently talking to her family in a car. The movie had come out last year? Yeah last year, Marinette remembered her dad being so excited about it when it came out. They would watch the first one all the time together when she was younger; her father had definitely been more excited than she had been, but Marinette didn’t want to hurt his feelings.
Marinette’s mind took a moment to buffer before she nodded, “Yeah, yeah. The first movie came out when I was born.”
“I used to watch it all the time,” Makzenie smiled at Marinette. Makzenie had loosened up during the past few weeks, she stood awkwardly around them still, like she was trying to take up as little space as possible. Marinette would invite her up or join her in her room to watch shows or make things; Makzenie seemed to calm down if she had something to do, specifically with her hands.
Makzenie came up here on her own now if she knew Marinette was up here, in the mornings her parents left the door unlocked so Makzenie could get in. Also, Bridget lost her key sometime last week, she found it yesterday, but that was the main reason.
“Same here,” Marinette said with a smile, Dash ran all around the house yelling making both girls laugh loudly. “I can’t believe they waited so long,” Marinette said after a moment.
“I don’t know why, it’s a great movie. I had it on a lot when I was in école élémentaire.” Makzenie stirred her cereal at the thought.
Marinette frowned as Makzenie’s smile slowly fell the longer she stirred the spoon around.
“I did too with my papa,” Marinette spoke up. “Don’t tell him but…I don’t like the movie as much as I did when I was younger. I love it, but it’s my papa who really loves it. I only watch it because it makes him happy.”
Makzenie looked up at Marinette, she watched Marinette. Not seeing her but looking into her, at least that’s how it felt. Her hazel eyes seemed to catch a lot, like a hawk.
“How often do you do things because it makes other people happy?”
Marinette blinked, “Uh…”
Okay, Marinette can confidently say that this girl is one of those kids. She was a future Kagami in the making really. Marinette rubbed her forearm not looking at the younger girl, she tried not to think too hard about that. Like at all.
“Will you get in trouble if you tell him you don’t like it?” Makzenie’s eyes looked a little wider when Marinette looked at her again.
“No! No, no. Sorry, um, no. I won’t. I will not get in trouble,” Makzenie relaxed a little at hearing that. Marinette took a breath, “It’s not that I will get in trouble or that I’m doing it to make him happy. Well, I kind of am but that’s not the whole reason. It’s like our thing, y’know? We play video games and watch superhero movies together. My Maman and I make art together, watch dramas, or practice martial arts.
“I enjoy doing these things because not only does it makes them happy but I get to spend time with them. With the bakery, there isn’t always time to be with them other than special events and meals.” Marinette held her chin in her hand, “I love them, I do it because I want to be with them. It's why I do a lot of things.”
Makzenie took a bite, humming, “Okay.”
The girl went back to watching the movie, her dark hair swishing as she turned her head. Marinette took a bite out of her bowl, that question definitely woke her up.
“Look who’s up,” Bridget exclaimed upon entering the apartment room as Marinette and Makzenie were putting their bowls in the sink. “Looks like my hard work is fruitful.” Bridget took confident strides to the girls, one with a primarily blank look and the other rolling her eyes.
Marinette leaned away from the woman as she reached up for a mug from the high cuburb.
“Don’t you have your own downstairs?” Marinette asked opening the fridge to grab–
Right. Bridget bought her a minifridge not too long ago. Marinette shut the fridge, instead heading to the stairs to her room.
“Yeah but it’s better up here,” Bridget grinned while Makzenie sat against the couch on the floor. A hmph come out of the girl as she sat.
Marinette hummed, “I’m leaving for school soon.”
“Please don’t pass out up there,” Makzenie called. “That gave me a heart attack!”
Marinette grimaced at the memory, Makzenie found her laying on her bedroom floor after an especially exhausting Akuma earlier in the month. Not the best moment to randomly pop in and ask if she had some paper she could borrow. And then needing to explain to her parents why she hadn’t left for school after lunch. And then explaining that she pass out to her teacher who thought it was another excuse.
It was a rough day.
“I promise, I won’t. I went to bed early,” Marinette smiled as the same lie fell off her tongue. It made her feel a bit queasy.
Marinette opened her fridge taking out various containers or packages opening them and setting them on a tray. Tikki flew around her, trying to help by lifting lighter things.
Marinette took the tray and set it on her bed. She crawled over it and reached behind her pillow, a wall niche, or a wall shelf. She usually kept her diary or current books she was reading on the shelf. There were some books from last year still on the shelf; while reading wasn’t a hobby or something she was consistent in these books shouldn’t even be here really.
But then school started up, she became Ladybug, she became class president, she…she became a lot of things. A lot of things stopped her from continuing Fable or Summer; starting Unwanteds or Les Dragons de l'Empereur Noir.
At the end was the gray-green book left partially open. Marinette laid it fully open, she shoved her cat pillow up to obscure the view of her books more so. She looked over to Tikki who was munching on another cookie. She smiled at her friend, “Want to get them for breakfast? I’m gonna leave it here until I come back after lunch.”
“Of course Marinette,” Tikki set her cookie down and zipped into the book box. No sooner did over fifteen Kwami zoom out excited to feast on food. Marinette politely shushed them, “Guys come on you know better. Our main rule: don’t be loud.”
“Apologiess Guardian,” Sass bowed. “We are jusst excited as alwayss. Do not fret, we shall remain quiet asss usual.”
Marinette smiled at them, “I know, just a reminder. Makzenie is downstairs, I don’t know how long she’ll be there. Bridget is currently here too, I’ll be back after lunch.”
The Kwami said their confirmations or nodded if they had food in their mouths. Marinette made her way down the ladder stopping at her desk. Her diary was out she quickly grabbed it put it in its safe box and set up the boobytrap. She never knew if her Maman decided if it was okay to just come in her room, her Papa was unintentionally nosey, and Bridget was just plain nosey.
She normally would just leave it with her sewing machine, or leave it on her shelf; but after diary fiasco and diary fiasco, she couldn’t trust it to sit still outside of the box. Alya had almost gotten to the Ladybug pages one time, that had been quite the day. Alya really seemed to get just as lost as Marinette when she got stuck on something. Marinette just needed one more stitch; Alya needed just one more minute.
Marinette explained to her that what she tells Alya and what she writes down aren’t always the same, writing or talking about something out loud helps her sort her thoughts. When she talks to Alya she usually has most of her thoughts sorted out.
Marinette played with the pages, her finger was just small enough for her to slide it between the book cover and the wall of the box. She loved to do that to pages, absent mind, just breathing and the pages flitting by. Marinette undid the torsion spring on the side, undoing the boobytrap and grabbing the book, and flipping it open. The pages relieving designs, colors words, her thoughts, her fears, her desires. All of it was her.
hate it.
I don’t go out anymore.
they stared.
Crossed-off words and black marker blobs a lot of words around here.
hiding from them.
Lonely.
STONE!
“Spots on!”
Chat Noir is kinda cu interesting.
Adrien is sweet, nothing like Chloé.
New friends!
Sketches and thin black lines of her and Chat Noir’s suits took up some pages. Notes about what sucked and didn’t. What worked and what hindered. Her thoughts on the yo-yo, Chat’s staff, and more.
Lying. It makes me feel sick.
So much fun swinging!
This lair claimed to know me! Ladybug.
M. Pigeon #9-
Picture Day was wild this year. Should have expected an Akuma if I’m being honest.
Christmas was embarrassing-
The lair is back.
Girl in red at fencing.
M. Pigeon #38 was actually a challenge again this go around.
Valentines went better this year. Kinda.
Marinette talked about her poem and Adrien’s poem was still in her diary.
I gave Alya a Miraculous!
Chat is really in love with Ladybug, he told me. Me, not Ladybug.
Marinette quickly flipped through again, slowly blinking as the pages went by. She swallowed as she passed the end of last school year and this last summer. Zombiezou: touchy and grabby; Darkblade: got stabbed multiple times; Anansi gave a hell of a beating, Marinette doesn’t know what would have happened if she didn’t give Nino the turtle.
Kwami Buster: she was exhausted for a long time after that; Star Train: Max’s mom took them to Space, one of the few Marinette would actually laugh at after; Befena: that one still made her shiver, the pale blank faces flying after her, the dark featureless beings.
Marinette closed her eyes, best not to think about that one. She flipped on skipping May and June. May had more white, had water, had flooding.
July. July was a shitshow, a car crash. So much happened and yet not much did happen compared to the other months.
Style Queen. Alya got turned golden, so much gold. Too much gold, so did Chat. Chloé got the bee. Frozer. The Ice Rink became less popular. A single M. Pigeon occurred. Animaestro, so many buildings fell, and people crushed.
Syren.
Water. Water already sucked, the pool sucked. That Akuma just made it worse. Families trapped in their homes, their cars, animals, kids, drowning. All of them. Over two million people.
Below was explaining Shanghai, she had left her diary as she left in an impulse manner. She hadn’t talked to Fei or Zēngzǔfù Wang in a while…
Marinette smiled, she would call them soon. She flipped to the last pages she had written about yesterday, I wasn’t even two spots away from transforming back when we got our memories back.
“Marinette you need to get to school,” Tikki floated in front of her, purse in flippers. Marinette almost dropped her diary and looked at her clock.
“Oh, I’m gonna be late if I don’t go now,” Marinette took her purse from Tikki with a thank you. She grabbed her school bag before running down the trap door.
“-you need to talk to them yourself. That- Oh Marigold what took you so long?” Bridget looked at Marinette, her body still facing Makzenie as she was seated on the counter.
“I couldn’t find something,” Marinette said. “I needed a book for research.”
“The term paper?”
“Yeah,” Marinette adjusted the strap of her backpack. “Alya’s coming by later for us to work on that after school, just remember that.” Marinette’s hand rested on the door handle and she waved, “See you when I get back.”
“Bye Marinette,” Makzenie waved back.
“Have a good one,” Bridget gave her a smile before turning back to Makzenie. “So as I was saying, that means-”
Bridget was cut off as Marinette closed the door, leaving the muffled words to fade as she made her way down the stairs. She checked the time 07:49, she rushed down the stairs breaking into a sprint once out on the street.
Marinette was making her way up to Mlle. Bustier’s classroom when she heard her name called. Marinette looked over to see Aurore.
“Oh hey, Aurore! What’s up?”
“I was hoping you could design an outfit for me, it’s for a special event in December.” Aurore gave Marinette a guilty smile, “If you can’t I understand, I can figure out something else.”
“Of course I can,” Marinette stated joining Aurore down the walkway. “I just need the date and what you want.”
“I’ll message you all the information, thank you Marinette,” Aurore grabbed Marinette’s hands with a wide smile. “About how much will I owe you? Your best estimate.”
“Aurore you don’t have to pay me. You’re my friend,” Marinette felt her gut twist slightly.
“It’s not good business practice,” Aurore pulled Marinette down the hall. “I’ll find Al, or better yet Théo! They understand business, Théo talks our ears off about his, and Ally has become his advisor of sorts. It’s funny really. Al may come off cold but she’s actually really sweet, you’ll be fast friends I know it.”
“Aurore, how about I talk to them during the trip? Or after,” Marinette barely kept up as Aurore marched the walkway.
“That’s a great idea!” Aurore stopped in front of a classroom. “We’ll talk during one of the lunch breaks!”
“Awesome,” Marinette smiled as Aurore waved her goodbye. Marinette relaxed and waved back. Now she could head to class, if she jogged she-
“Wooo!”
Marinette turned looking at the library doors, she mumbled to herself, “What’s that noise?” Marinette felt Tikki make her way to her pigtails, sliding right in one of them. Her entina tickled Marinette’s ear but she ignored it as she made her way to investigate.
The library was usually quiet unless there was an Akuma. And if there’s an Akuma then Ladybug is needed, it would be best to inspect before jumping head first in battle. That would be silly and was just a suicide request, Marinette rolled her eyes at herself as she quietly opened the library doors further.
She made her way past a few bookshelves to find-
To find her friends playing Ultra Mega Strick III. She was not expecting that, that’s for sure. She spotted Alya recording Adrien and Max as they battled. Marinette slowly made her way over to join her friends and classmates. Tikki made a quiet “oh” sound before going back down into Marinette’s purse.
Rose sat right behind Adrien and Max her fingers fiddling as she watched. Sabrina sat next to her with a content expression, something Marinette hadn’t seen on the girl's face for a while. It’s nice that Sabrina is living more and enjoying herself. Kim was also in here, sitting right next to Max cheering him on, telling him he had it. There were a few other students Marinette recognized but didn’t remember their names and classes.
Most of them were sitting in seats on the sides or behind the players, some sat on the floor too.
Marinette leaned toward Alya, who was between some seats in the back, “What’s going on Alya?”
Alya shushed her, not giving a glance to Marinette. Focusing on recording the game.
For what? The Ladyblog? No, it was probably for her other blog.
Marinette gave a sigh and sat in one of the back chairs, she set her backpack between her legs, watching as Adrien and Max fought. Max was good no doubt, but Adrien was indeed giving him a run for his money. Marinette couldn’t help but lean in as their bars got lower and the numbers were always within reach of each other. And their bars got lower, and lower, almost gone and-
“Wooo!”
Everyone cheered as it showed everyone as the winner. Max had a small smile and turned to Adrien and held out his hand in good sportsmanship. Rose gave both the boys hugs while Sabrina clapped with everyone else. Kim boasted that while Adrien could beat Max he would never beat him.
Marinette laughed at the scene before her, Alya ran up to show them her phone. Her best friend having a wide smile as she presented the foodage to them. No doubt in Marinette that she would be sending it to Max.
“-that has been finalized we should clear out of the library. It closes in five minutes, and we need to put this away before second hour-”
“Can I play a round?” Marinette spoke up interrupting M. Damocles. Her face became red as she squeaked an apology for interrupting him. M. Damocles shuffled in place for a moment before looking at his watch, “I suppose you could.”
Marinette smiled and made her way to the front where the controls were. Alya was giving her a look with a smirk, which threw Marinette off. Alya pulled Marinette to where she was at her ear, “I see where you’re going with this Little Lady.”
Her tone while teasing left Marinette uneasy, all she was doing was playing a game she liked.
“What?” Marinette pulled away, before she could ask what she meant she caught M. Damocles frowning at her and Alya. She smiled sheepishly and quickly shuffled around Alya to the boys, Adrien held his joypad up, “Here Marinette.”
“You oh, um,” Marinette struggled before cooling over her surprise and smiled at him, “Thank you Adrien.”
Marinette took the spot where Adrien previously was. Max frowned at her, eyebrows raised in an unspoken question. He adjusted his glasses, “The rules are elementary, You battle each other's robots with your own and-”
“And every time you win, you loot its items and gain XP, which upgrades your mech. I appreciate it but I’m not new to this game, thank you very much,” Marinette bumped Max’s shoulder with hers trying to be friendly, even though Max felt very condescending to her. Max's brows came down before turning to the game with a subtle smirk growing on his lips, “It sounds like you have a sufficient amount of knowledge. Let’s see if it’s enough to beat me.”
Marinette smiled, glad he was also excited to play. Well excited in his own way.
“We will,” Marinette said lightly.
“Is she serious?” Kim spoke up. He crossed his arms, “There’s no way.”
“Why not just watch her play?” Adrien looked at Kim confused.
“Marinette’s good, but not as good as Max,” Kim narrowed his eyes at Adrien, who frowned with a doubtful expression.
“Okay but when was the last time you actually played her?” Adrien asked, his voice genuinely interested. Kim just looked back at the screen and with a shrug, “A while ago.”
Which wasn’t an actual answer, it was off-putting to Adrien. Kim was usually more straightforward than that, and he hadn’t been this rude since the beginning of last year.
Once Marinette and Max had picked their characters Kim spoke up again, “There’s no way she’s beating Max. He has the highest APM around.”
“APM?” Marinette repeated the letters to herself in question.
“Not unless the particular player has a particular motivation,” Alya stated in a knowing voice and Kim snapped his head over before rolling his eyes and shaking his head. Adrian was left more confused and looking between the two students. The screen started its count down to the game, when it became obvious no one was going to tell Marinette what it meant Rose leaned forward.
“APM: Actions per minute.”
Marinette laughed and gave thanks right before the screen said, “Battle!”
It didn’t even last a full three minutes when it showed Marinette as the winner.
“Marinette Style,” Marinette stage whispered with closed eyes. She dropped her joypad down into her other hand, “Booyah.”
“What? She, she beat him!” Kim cried, practically flinging himself from the bookshelf he had been leaning against.
“Beat him?” Alya laughed, “My girl pulverized him!”
Marinette turned to Max, fist ready and to say good game. Only to find the boy tense, his jaw set, and his nostrils flared out. Rose said something after Alya but Marinette didn’t hear her.
“Max?” Marinette gently grabbed his shoulder, “You okay?”
Max closed his eyes and swallowed before relaxing, “I am fine. It appears I have lost this, and I accept this defeat.” Max stood up, back straight as he looked at everyone, “I relinquish my position at the tournament.”
“Wait what? I was-” Marinette started but started mixing up her words. The Tournament? She remembered Max speaking about it, M. Damocles had brought it up multiple times but she hadn’t really been paying attention. She thought everything had been finalized, she should have asked what it was about. For clarification.
She should have been paying attention since she was class president but with everything. Marinette internally groaned, she really needed to stop adding to her plate.
“Congratulations, Marinette.” Max nodded to her before looking up at Adrien, “And Adrien.”
Max immediately made his way out of the library, heading to the classroom most likely.
“Max, wait!” Adrien got up but Kim ran past him making the blond stubble back into his chair.
“Max,” Kim grabbed his wrist when they were a few class windows away from the library. Kim pulled Max to face him. While he may appear to be fully composed it could be seen in the way he held himself. His shoulders were a little farther back than usual, his chin more down, his eyes a little too wide and his lips an incredibly thin line. “Oh, Max…”
“Look, I’m fine,” Max started.
Kim interrupted, “You’re not-”
“I lost fair and square.” Max continued, Max turned away from his friend, “But if you don't mind, I'd like a little solitude.”
“Max,” Kim called to Max, only to be ignored as his friend walked away. He groaned, Max really never listened to him when it mattered.
In the library, M. Damocles plastered a smile, “So, Marinette Dupain-Cheng and Adrien Agreste will represent Françoise Dupont High School at the Paris Ultimate Mecha Strike III Tournament. Good luck to both of you.”
“What? I didn’t- I wasn’t,” Marinette slumped, no one told her what was going on. Then again she wasn’t keeping up very well in almost everything right now. She shouldn’t even be allowed to take part in the tournament with the hand full of assignments she still needed to finish or hand in.
Are they even checking?
“Come on girl,” Alya grabbed Marinette and started dragging her out of the library as other students were already making their way out. Marinette barely managed to get her backpack before they were out. Alya brought her to the side of the walkway, “What is going on in that head of yours? This isn’t just fun and games, it’s serious.”
“Alya I don’t even know what’s going on,” Marinette snapped, Alya’s eyes widened. Marinette cleared her throat, “I’m sorry, I’m just stressed. I don’t know what’s going on, I thought it was just like- I don’t know, “Hey, early morning library gaming!” Something like that.”
“Why would we have that?” Alya looked at Marinette like she was from another planet.
“I don’t know! It’s not like you gave me an answer,” Marinette crossed her arms.
“What, when?” Alya rested her hand on her hip. Her lips pulled down along with her eyebrows. Had she really missed not answered Marinette? No she would have. Right?
“When I first came in I asked what was going on.” Marinette face formed their own frown, although hers portrayed more frustration than her friend.
“Didn’t you go to the meeting on Monday?” Alya frowned at Marinette.
“What meeting?” Marinette's arms swung up in the air. She wasn’t trying to overreact, she really wasn’t but at this point, she was getting sick of everything. They were late for class now, she has homework to do, she just reopened her commissions, no one gives her answers, she was losing space, she can’t take more of all this tip-toeing, not to mention Paris will be without its main heroes for a week, she still needs to give the tu-
“Marinette!”
Marinette shoved the arms off her shoulders leaving her against the brick wall. She could feel the yarn of the cardigan get caught on the ruff surface, even that thing irritated her, because she spent hours making this for herself. For it just to get ruined? No siree. She brought herself away from the wall, now she needed to make sure that hadn’t ruined the sweater.
A hand took hers, “Marinette, breathe.”
Alya’s voice was calm, it was low and cautious. Her hands light, a gentle pull. Not even a pull, a guide for if Marinette chooses to follow it. And she did, because her best friend was simply being what she always tries to be, even if she isn’t in the right direction, supportive.
“In,” Alya lightly squeezed her hand. “Out.”
To be someone that can be dependent on, reliable, and that’s what she does. It’s what her blogs were, it’s-
“Marinette, you need to relax a bit,” Alya spoke again. Marinette looked up at Alya, who looked far more confused than Marinette felt, and looked more concerned than Marinette thought she would. To say Marinette had started doubting how much she could rely on her best friend wasn’t too far off if she was being honest. Which she did as often as she could be.
It was the few moments like this in the past month she had had with Alya that even if they had randomly decided to be best friends a year ago, Alya never failed to put an effort to be the best best friend she could be to Marinette. So even if Alya doubted her, she still listened and supported her.
Marinette took a deep breath, she gave a smile to Alya, “Thanks.” Alya blinked as if she didn’t expect this but smiled back, “Yeah, of course girl.”
Marinette straightened her back and formed a firmer grip on Alya’s hands, “Let’s get to class. We’re late.” Marinette laughed, “I’m always late.” Marinette picked her backpack up, she hadn't realized she had dropped it. Marinette gave a big smile to Alya, “Let’s get going!”
“Yeah,” Alya smiled back, she trailed behind Marinette with a more concerned expression as they made their way across the walkway. It wasn’t unusual for the residents of Paris to brush their emotions, so as to not risk becoming an Akuma…but Marinette usually let her emotions flow through herself a little longer. She let it flow long enough to understand, Alya knew that; so for the girl to slide into a happy mask so quickly was…strange.
When they entered the classroom students were conversing with each other, Mlle. Bustier not even in the room. Alya caught Marinette glare at the empty desk before cooling her features. Alya took her seat, when she faced her right the seat was empty.
Marinette let her backpack slide from her grip next to her seat. She needed to apologize to Max and explain the situation for what was truly happening. She also needed to ask Alya about the meeting on Monday, because she didn’t recall there being any. She hadn’t been told of any, nor did she attend any. Well that’s obvious.
She took a deep breath before taking a large step forward so she was on the left of Max. The boy didn’t even acknowledge her, instead he flipped through a journal.
“Max, I just wanted to apologize,” Marinette started. She continued when Max tilted his head up toward her just the littlest bit, “I wasn’t completely awa-“
“Marinette, I appreciate the sentiment but you won. I lost, therefore you are the obvious candidate to represent our school.” Max sat back, still refusing to look at her. He instead stared forward, “As of right now I would prefer to be left in personal solitude.”
“Max-“
Marinette stopped when she caught Kim shaking his head at her. Marinette slumped back into her seat. She really messed up didn’t she? And now Max was gonna hate her forever, and eventually everyone else would and she would be left friendless, and then-
“So Marinette,” Adrien started, bringing Marinette out of her beginning spiral. “I guess we’re partners now. Would it be okay if I came over after school today and tomorrow?”
His smile sweet but his eyes pleading at her. His father must be allowing him to take part in this for another notch for the image of the perfect son in his belt. As much as she would love to have him over today,
“You can come over tomorrow but today Alya is coming over so we can work on the term paper,” Marinette felt herself shrink into herself saying it. She would really love to have him over, her parents and Bridget would adore him!
“Okay, that works.” Adrien’s smile became slightly strained before he seemed to shake himself. “I’ll tell Natalie so I can come over.”
“Cool beans,” Marinette, tired to, smiled back with two thumbs up. Adrien nodded before facing the front as Mlle. Bustier came back in. Marinette felt Alya snickering on her left, Marinette threw a glare at the girl.
“Cool beans? Really,” Alya whispered to her.
Marinette frowned, the look came off more a pout, and slumped in her seat again, “That’s a normal thing to say.”
“Sure girl,” Alya said, giving a shaky pat on the back as she struggled to contain her laughter. Marinette caught Kim trying to interact with Max only for the larger boy to be ignored. That was her fault, she was a bad friend.
Marinette sighed as she got their book for the lesson out.
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tournevole · 2 years
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j'ai retrouvé le livre de lecture du CE2, année qd je suis arrivée dans la classe de la sale vieille connasse de mme Didiot, premier choc culturel, moi qui venait de Toulon, école élémentaire du Brusquet avec mon accent, je disais titeu pomeu avec son pompom rougeu...et la sale conne se moquait de moi et mon accent...la maltraitance à 'ecole.
je me souviens des sévices ... montrer ses mains, et se prendre la regle sur les doigt qd c'etait sale ( encre, stylo, feutre) tout pour casser les gosses, se faire tirer les oreilles pour rien
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plaques-memoire · 7 days
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Plaque en hommage à : Marcel Proust
Type : Lieu de résidence
Adresse : 92 rue du Faubourg Bannier, 45000 Orléans, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Marcel PROUST (1871-1922) a résidé dans cette maison pendant son volontariat militaire, 1889-1890
Quelques précisions : Marcel Proust (1871-1922) est un écrivain français, dont l’œuvre la plus connue parmi l'ensemble de toutes ses réalisation est la fresque littéraire A la recherche du temps perdu (dont les romans furent publiés entre 1913 et 1927), dont l'un des volumes, A l'ombre des jeunes filles en fleur, reçoit le prix Goncourt en 1919. Ses travaux sont toutefois beaucoup trop nombreux pour être résumés simplement, Proust ayant vécu une vie très riche au gré de ses déplacements et voyages et des relations qu'il tisse au fil des années. Ses récits mettent en scène des personnages très divers, et aborde des thèmes comme l'amour, la jalousie, l'échec, l'homosexualité, dépeignant des scènes contemporaines avec un haut degré de précision et de réalisme. Son style se caractérise par la rédaction de phrases très longues et de descriptions extrêmement détaillées (on trouve ainsi, dans ses romans, des phrases comportant plusieurs centaines de mots !). Mort des suites d'une bronchite, il est considéré comme l'un des plus grands écrivains français de l'histoire, ainsi qu'une figure majeure de l'histoire de France dont l'homosexualité est bien établie, et reçoit de très nombreux hommages après sa mort. Son nom est aujourd'hui passé dans la langue française courante via l'expression "madeleine de Proust", qui désigne quelque chose d'apparemment anodin déclenchant une réminiscence. Une école élémentaire d'Orléans située non loin de cette plaque commémorative porte son nom.
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toutmontbeliard-com · 19 days
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2 201 élèves ont fait leur rentrée 2024 dans les écoles de Montbéliard
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En cette rentrée 2024, ce sont 2 201 élèves qui ont fait leur rentrée dans les établissements publics de Montbéliard. Un chiffre auquel il convient d’ajouter environ 30 enfants, qui seront scolarisés dans les classes externées de l’IMP l’Espérel à Victor Hugo ou dans l’unité d'enseignement du CEEDA à Petit-Chênois, mais qui inclut les élèves des Unités Locales d’Inclusion Scolaire (ULIS). Les chiffres antérieurs : 2 272 élèves en 2023 ; 2 373 élèves en 2022. Au total, on compte 118 classes ordinaires dans les écoles publiques montbéliardaises auxquelles il faut ajouter 6 ULIS citées précédemment, deux classes externées de l’IMP l’Espérel, implantées à l’élémentaire Victor Hugo, et une Unité d'enseignement du CEEDA, implantée à l'école élémentaire du Petit-Chênois. Le personnel municipal est constitué d'ATSEM (Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles) avec 24 agents et 3 apprenties, en restauration 19 agents répartis dans les 6 restaurants scolaires, pour l'entretien des écoles élémentaires 16 agents permanents sont présents. En auxiliaires de sécurité, la Ville mobilise 9 agents chargés de sécuriser les traversées piétonnes aux abords des écoles. Le recrutement d’auxiliaires de sécurité ne représente pas une obligation pour une collectivité, mais un choix. Des fermetures de classes ont eu lieu pour cette année : une classe à l’école maternelle de la Combe-aux-Biches (qui comptabilise désormais 2 classes sur le site de la Combe-aux-Biches et 2 classes sur le site du Parc) ; une classe à l’école élémentaire des Fossés ; deux classes à l’école primaire du Coteau-Jouvent. Les travaux d’entretien Les écoles de Montbéliard nécessitent un entretien régulier, notamment réalisé à chaque pause estivale par les services municipaux. Par ailleurs, des travaux plus importants ont été réalisés ou sont entrepris : à l’école maternelle de la Combe aux Biches, elle est en cours d’agrandissement, en effet, et sera rénovée afin d’accueillir les élèves du site du Parc qui sera, quant à lui, démoli, le montant des travaux est estimé à 1 600 000 € TTC ; à la maternelle de la Citadelle, remplacement des menuiseries extérieures pour un montant de 90 000 € TTC ; à l’élémentaire des Fossés, mise en œuvre de stores extérieurs pour un montant de 35 000 € TTC ; à l’école primaire Jules Grosjean, rénovation de la chaufferie, isolation extérieure et toiture pour un montant de 426 000 € TTC ; à l’école primaire Victor Hugo, rénovation de la chaufferie pour un montant de 65 000 € TTC. Les services périscolaires Les services périscolaires désignent à la fois la restauration scolaire et l'accueil périscolaire, avant la classe du matin et après la classe de l’après-midi, en maternelle comme en élémentaire. Ils concernent toutes les écoles maternelles et élémentaires, mais de façon plus ou moins étendue selon les besoins. Au 29 août 2024, 158 enfants étaient inscrits au périscolaire à l’accueil du matin, et 283 à l'accueil du soir. Cela mobilisera 20 agents le matin et 34 le soir. Cet accueil est assuré le matin de 7h30 à 8h30 et le soir de 16h30 à 18h15. La restauration scolaire La Ville dispose de six équipements de restauration scolaire, ce qui représente une capacité totale théorique d’environ 880 couverts. La totalité des écoles est ainsi rattachée à un restaurant scolaire. La prise en charge des enfants le midi mobilisera à la rentrée 80 animateurs et 19 agents de restauration. Depuis le mois de septembre 2021, la restauration scolaire est confiée à la société Sodexo, dont la cuisine centrale est implantée à Belfort. En termes de coût, l’accueil d’un enfant revient en moyenne à 14,80 € TTC par jour, quand la participation moyenne des familles est de 3,90 € (chiffres année scolaire 2022/2023). Sur la même période, le budget consacré à la restauration scolaire s’est élevé à 1 503 534 € TTC. Au 29 août 2024, 806 enfants étaient inscrits à la restauration scolaire. Donner la possibilité aux élèves de réussir Créé en 2019 par le Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports en collaboration avec le Ministère chargé de la Ville et du Logement, le label Cité Éducative a pour objectif de mobiliser toutes les ressources disponibles dans les territoires pour offrir un cadre propice à la réussite des jeunes. Il s’agit de promouvoir des actions concrètes pour accompagner les enfants et les adolescents, de leur naissance à leur insertion professionnelle. En 2020, les quartiers de la Petite-Hollande à Montbéliard et de Champvallon à Bethoncourt avaient obtenu ensemble ce label. En 2024, le label est renouvelé séparément pour les deux villes. A Montbéliard, les quartiers de la Chiffogne et des Batteries du Parc s’ajoutent à celui de la Petite-Hollande. Dans ce cadre, les Clubs de langage seront notamment remis en place cette année. Cette initiative, menée en partenariat avec l’association Coup de pouce sur le temps périscolaire, vise à développer l’apprentissage du français pour faciliter la réussite éducative. Autre exemple, l’association Tinternet poursuivra également ses interventions dans les écoles, pour sensibiliser aux bons usages des outils numériques. Les crédits scolaires Sans compter les dépenses qu'elle prend directement en charge (natation scolaire, école et cinéma, activités pédagogiques de la médiathèque, de la ludothèque, du service éducatif des musées et du service des archives, etc.) la Ville met annuellement plus de 150 000 euros à la disposition des écoles pour leur fonctionnement courant (cette somme est mobilisée pour l'achat des fournitures, manuels, transports pédagogiques, spectacles et sorties…). Crédits d'investissement (crédits à l’année civile), par école : 350,00 €, auxquels sont ajoutés 84,00 € par classe. Des projets pédagogiques innovants La Ville encourage le développement des projets pédagogiques innovants. Une enveloppe est allouée chaque année à ces actions. Plusieurs services municipaux (Médiathèque, Archives, Sport, animation et vie associative…), partenaires institutionnels et associatifs, sont impliqués tout au long de l’année à travers les différentes activités, le plus souvent gratuites, qui sont proposées aux classes montbéliardaises durant le temps scolaire. L’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté proposera cette année à six classes de grande section de maternelle, un parcours intitulé « Livre en musique ». Ce parcours invite les enfants à découvrir les pratiques musicales et artistiques. Accompagnés par les musiciens et leur enseignant(e), ils mettront en musique, en paroles et en gestes l’histoire d’un album jeunesse (à partir d’une sélection proposée par la Médiathèque) et créeront un mini spectacle. L’opération « Savoir rouler » est reconduite, en partenariat avec le Vélo-Club de Montbéliard. Le programme de réussite éducative Le Programme de Réussite Educative (PRE) est un dispositif conçu et financé en partie par l'Etat à travers l'ACSE (Agence pour la Cohésion Sociale et l'Egalité des Chances). Il vise à accompagner les enfants et les jeunes de 2 à 18 ans qui présentent des signes de fragilités sociales, familiales ou scolaires. Concrètement, des parcours individualisés et personnalisés sont mis en œuvre suite au repérage d'un enfant, dans les domaines de la scolarité, des loisirs, de l'hygiène et la santé, l'apprentissage de la langue française, etc. Le PRE est également positionné dans la lutte contre l’absentéisme et encourage la persévérance scolaire en partenariat avec les acteurs socioéducatifs et l’Education nationale. Read the full article
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Souvenir scolaire école Tissot Lyon 1947-48 cours élémentaire 1è année garçons
18 x 13 cm 
(B18)
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doomfrank-prod · 3 months
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🇳 🇪 🇼 '🇸
instagram
Je serai #animateur de #camp de #vacances.
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Je #partagerai la #culture #fidjienne avec les #enfants.
📆 08/07/24
📍 École Tuterai Tane, Pirae
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#Iaorana à tous 👋,
Aujourd'hui, j'ai été à l'école élémentaire Tuterai Tane à #Pirae pour une réunion d'information pour le poste d'animateur de camp de vacances qui commence officiellement le lundi 8 juillet.
Chaque #discussion et #proposition d'idée était captivante et intéressante. Nous avons pour tâche, chaque animateur, de faire des recherches sur une #culture ou #tradition d'une île de la Polynésie française.
Pour ma part, on m'a demandé de partager aux enfants la #culture fidjienne. Depuis que j'ai commencé les recherches, je suis tombé amoureux de cette culture, de ses chants et de ses danses. J'ai tellement hâte de commencer cette aventure et de pouvoir partager tout cela avec les enfants ☺️🙏.
Je tiendrai informé de l'évolution, des événements, et des choses extraordinaires qui se passeront durant ce mois de juillet sur mes différents réseaux sociaux, tout en gardant l'anonymat d'autrui. Je partagerai simplement mes aventures personnelles dans cette activité.
C'est ma première fois que je me lance dans ce genre de projet et j'adore déjà.
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👤 DOOM Taumaha Frank
De : ✨D♾️mfrank prod✨
Producteur Intertainment | multi services
📞 +68988853114
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#ÉcoleTuteraiTane #Pirae #Animateur #CampDeVacances #CultureFidjienne #ChantsEtDanses #Aventure #Partage #Enfants #PolynésieFrançaise
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devenirmilliardaire · 4 months
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Revue de Presse du 6 juin 2024 : A la Une, le renouveau et le repositionnement du système éducatif. Les annonces du chef de l’Etat en Conseil des ministres pour le ”renouveau” et le ”repositionnement” du système éducatif et le match de football opposant l’équipe nationale du Sénégal et à celle de la République démocratique du Congo (RDC) à l’occasion de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 sont les principaux sujets traités par les quotidiens reçus jeudi à la rédaction de Kafunel.com. ,Renouveau et le repositionnement ,système éducatif ,Revue de Presse ,6 juin 2024,DÉPÊCHES ,LA UNE ,REVUE DE PRESSE,SENEGAL,PRESSE,REVUE ,A la Une, renouveau,repositionnement,système ,éducatif, Dakar, 6 juinkafunel,kafunel.com,APS,Agence de presse ,Agence de presse ,sénégalaise,APS,Agence ,presse sénégalaise ,APS, Renouveau et le repositionnement du système éducatif Revue de Presse du 6 juin 2024 [caption id="attachment_367261" align="alignnone" width="1280"] recommandations des Assises de la Justice A la Une revue de presse du 5 juin 2024[/caption] Abordant la question de l’éducation nationale, le Président de la République ”a relevé que le PROJET de transformation systémique du Sénégal passe par le renouveau et le repositionnement stratégique de l’Ecole dans les valeurs et ambitions de notre société”. ”Vers une révision du système éducatif’’, affiche Vox Populi, rapportant que ”Diomaye réclame l’évaluation du système éducatif et prône le repositionnement stratégique de l’Ecole dans les valeurs et ambitions de notre société”. [caption id="attachment_366963" align="alignnone" width="1280"] Journée du Set setal et les premiers couacs dans l’organisation du Hajj A la Une Revue de presse du 03 juin 2024 sur Kafunel[/caption] →A lire aussi JANGÀT avec Jean BANDIAKY , spécialiste en communication | Com’ une impréparation - 29 Mai 2024 ‘’Il veut une prise en compte des langues nationales, une généralisation de l’enseignement de l’anglais dès l’élémentaire, un développement systémique du numérique et engagé le Premier ministre à une réflexion sur le financement durable et soutenable du système éducatif’’, écrit la publication. Le Soleil décline ‘’les axes de la nouvelle école’’. Selon le quotidien national, ces axes portent entre autres sur ”le repositionnement stratégique dans les valeurs et ambitions de la société sénégalaise, la restructuration du programme Paquet, la prise en compte des langues nationales, de la généralisation de l’enseignement de l’anglais dès l’élémentaire”. Il porte aussi sur ”le développement du numérique à l’école et digitalisation intégrale du système éducatif, la planification sur cinq ans des recrutements d’enseignants dans toutes les matières et l’éradication des abris provisoires’’, relève le journal. Diomaye livre une clé du Projet [caption id="attachment_366084" align="alignnone" width="1280"] dernières nominations à la tête de structures publiques en exergue Revue Presse du 16 mai 2024[/caption] Selon Sud Quotidien ‘’Diomaye livre une clé du Projet’’ en prônant ‘’une politique éducative basée sur le renouveau et le repositionnement stratégique de l’école dans les valeurs et ambitions de notre société, avec des enseignements adaptés aux réalités nationales et prenant en compte les langues nationales, ainsi que l’introduction de l’anglais dès le cycle élémentaire’’. Sud souligne que ces mesures relèvent ‘’de la volonté exprimée par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye pour un Projet de transformation systémique du Sénégal’’. ‘’Diomaye enclenche la révolution’’, selon L’As. ‘’Le régime veut construire un nouveau type de Sénégalais et il veut passer par l’Education nationale pour le réaliser. La révolution passe ainsi par l’adéquation du système éducatif avec les réalités nationales’’, écrit le journal. ‘’Bassirou Diomaye Faye veut rénover l’école sénégalaise’’, note de son EnQuête. [caption id="attachment_364719" align="alignnone" width="1280"] revue de presse du 29 avril 2024 sur kafunel ok[/caption]
Les quotidiens ont également mis en exergue le match de football opposant jeudi à 19 h le Sénégal et à la RDC pour le compte de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio. ‘’RDC pour aller à l’étage’’, titre L’Observateur. ‘’Leaders du groupe B dés éliminatoires de la Coupe du monde 2026 après deux journées (4points +4) à égalité avec le Soudan (4 points+1), le Sénégal reçoit la République démocratique du Congo (RDC) ce soir à 19 h au stade Abdoulaye Wade. Un impératif de victoire pour les Lions pour conforter leur première place, avant d’affronter la Mauritanie à Nouachott, le 9 juin prochain’’, écrit L’Obs. [caption id="attachment_366638" align="alignnone" width="1280"] Revue de presse du 28 mai 2024 sur ce lien : UFOA-A – Foot féminin[/caption] →A lire aussi Biographie du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye ‘’Duel de haute intensité entre les Lions et les Léopards’’, met à sa Une Les Echos. Le journal souligne que les amateurs de football seront gâtés avec l’affiche qui mettra aux prises le Sénégal et la RDC à l’occasion de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
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