Je veux tellement qu'on me prenne dans les bras et qu'on me serre tellement fort que je pourrais pleurer discrètement et me sentir en sécurité et aimée et loin de tout. M'enfoncer dans quelqu'un et m'oublier après.
La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
envie de faire un post morceaux choisis des déclarations des politiques présents à la marche contre l'antisémitisme de cet aprem pour dédramatiser mais la vérité c'est que je fais que pleurer tous les jours depuis un mois quand je vois le fiasco médiatique et politique sur la Palestine d'un côté et l'antisémitisme en Occident de l'autre. not kidding je viens de taper un gros sanglot de 5 minutes en voyant mlp dire qu'il ne peut pas exister d'ambiguïté sur l'antisémitisme. we're collectively fucked.
Moins d’une semaine après son retour de la maternité, une jeune femme est réveillée par son mari, à 3 heures du matin.
- Chérie, réveille-toi, le petit pleure encore !
Épuisée, la maman se lève en soupirant :
- C’est bon, je vais aller le changer.
- Ça, c’est une bonne idée. Et ramènes en un qui casse moins les couilles !
Patricia Ligouis Fort :Extrait " Une vie bien rangée " Dorval Editions (épuisé)
-Comment tu t’appelles ? t’es la nouvelle maîtresse ? – Tu vas dans quelle classe
?
-E sont belles tes chaussu !
-Mais pousse-e-es-toi, j’vois rien !
-M’en fou.»
Avant qu’un son n’ait pu sortir de ma bouche, une voix forte et rayée retentit :« Allez, poussez-vous, allez jouer plus loin ! »La volée de moineaux se dispersa à nouveau aux quatre coins de la « fosse » et je pus enfin respirer et…