Tumgik
#Aménorrhée
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25. « Au fond de chaque mot, j’assiste à une naissance. » A. Bosquet
Je visualise sans vraiment savoir, des explications scientifiques alambiquées, un nouveau jargon : aménorrhée, écho de datation...Un chapitre de genèse accouche sur le papier auréolé de licornes magiques et de dinosaures naïfs. Tout en plus petit dans les magasins, repérer ce qu'on ne voyait pas avant. Chercher immense baleine bleue pour le petit neveu et l'affubler du doux nom de Moby. Trouver un body, quelle taille ? Trois mois ou plus, un vrai mystère. Le voir pour la première fois, le calmer dans mes bras dans un balancement de maman néophyte. Je n'ai jamais aimé les poupons. Je rejetais les rejetons. J'ai trouvé pourtant agréable d'être unique au monde dans ses yeux bleu acier. J'assiste à la vie qui quémande, geint, s'endort, sourit, ne juge pas, s'interroge et rêve.
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auditionmarcboulet · 3 months
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tomberenceinte · 10 months
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bonjourmoncycle · 2 years
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Contraception et allaitement : la méthode MAMA
A S-6 avant le terme, mon défi continue : dans cet article, je te présente la méthode MAMA, une contraception post-partum basée sur l'allaitement entre autres ! (oh et désolée d'avance, j'ai un peu craqué sur les illustrations 😁) #methodemama #postpartum
Ça y est, je suis en plein dans mon 8ème mois de grossesse, et le poids et la fatigue commencent à prendre le dessus. Pourtant, je ressens déjà une certaine nostalgie à l’idée que ce beau voyage prenne bientôt fin… même si c’est pour laisser la place à un nouveau commencement à 3 💖. Autre pensée moins poétique : “😱 Quoi ? Il me reste max 6 semaines, je deviens narcoleptique, il FAUT que je me…
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tisane-et-jardin · 3 years
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Emménagogue
Mon nouvel article porte sur la propriété médicinale emménagogue: quelles sont les plantes qui la possèdent et à quoi elle sert.
Définition d’une plante emménagogue Emménagogue: Qui provoque ou facilite les menstruationsJean Valnet #ref:9# Cette définition est souvent ”élargie”, dans plusieurs livres, pour considérer “les plantes qui agissent sur le système reproducteur féminin, que ce soit comme tonique, stimulant ou régulateur”. Elle inclut aussi parfois les plantes qui régularisent les sécrétions hormonales. Avec des…
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🔴LES RÈGLES🔴 Encore un sujet particulièrement tabou dans notre société. ♦️Les règles sont souvent synonymes de saletés, de honte, de dégoûts ou encore de peurs ! Le sujet des règles est très peu abordé à l’école. Les filles et surtout les garçons sont mal informés sur ce sujet. Ce qui explique les nombreux tabous. 🔇 L’entourage familiale n’aborde pas toujours le sujet des règles avec les futurs adolescents. Il est très important d’en parler, afin d’informer et de rassurer les jeunes filles ET les garçons ! 🔊 La télévision ne facilite pas non plus les choses en changeant la couleur du sang dans les publicités. LE SANG DES RÈGLES EST ROUGE 🔴 ET N’A JAMAIS ÉTÉ BLEU 🔵. ❗️Les règles, ce n’est PAS sale ! 📌Vous avez le droit de vous masturber et de pratiquer un acte sexuel pendant vos règles ! C’est encore très délicat pour de nombreuses personnes, femmes et hommes incluent. Pourtant il n’y a aucun mal à se faire du bien, même pendant nos règles ! ❤️ Si le sang dérange, ou que vous avez tout simplement peur de tacher vos draps, vous avez la possibilité de mettre une serviette ! 🙃 ❗️Et n’oublions pas que le clitoris ne saigne pas ! 📌Aborder le sujet des règles avec votre partenaire est très important. Connaître le ressentit de chacun peut vous ouvrir à de nouvelles alternatives. ❓Et vous ? Comment avez vous vécu vos première règles ? Comment vivez vous votre cycle menstruel ? Quelle protections utilisez vous ? ❓Avez vous des remarques ou des questions ? (suite dans le prochain post) Je vous embrasse fort ! LOVE ❤️ #regles #reglesdouloureuses #spm #syndromepremenstruel #aménorrhée https://www.instagram.com/p/B_fFpuXC3hO/?igshid=1wat0d0rr35ph
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hyatiblog · 5 years
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L’aménorrhée se définit par une absence totale de menstruations chez les femmes en âge de procréer. Elle témoigne d’un trouble grave lorsqu’elle survient en dehors de certaines périodes où l’absence de règles est physiologique (avant la puberté, pendant la grossesse, l’allaitement ou bien encore après la ménopause). Le stress, un choc émotionnel, des dérèglements hormonaux sont des exemples de facteurs pouvant en partie expliquer sa survenue mais pas seulement… Deux types d’aménorrhées sont catégorisées sur le plan médical : les aménorrhées primaires des aménorrhées secondaires (2 à 5% des femmes concernées). Comprendre les mécanismes du cycle menstruel est fondamental pour ainsi mieux assimiler les causes possibles de chaque type d’aménorrhée. Ces menstruations que l’on appelle plus communément les règles sont modulées par un puissant complexe hormonal, appelé neuro-hypothalamo-hypophysaire. Chaque mois, ce système agit en produisant des hormones qui préparent le corps et surtout l’utérus à une éventuelle grossesse. Lorsque le système fonctionne normalement et qu’il n’y a pas de fécondation (grossesse), le cycle féminin prend fin avec le déclenchement des règles, provoqué par la destruction de la muqueuse utérine. Les hormones ayant un impact sur le cycle menstruel sont régulées par différents organes en étroite collaboration avec le cycle ovarien tels que : L’hypothalamus : région du cerveau commandant l’hypophyse et responsable de la production de l’hormone de libération des gonadotrophines, la GnRH ; L’hypophyse : responsable de la production de l’hormone lutéinisante (LH), de l’hormone folliculo-stimulante (FSH), des hormones thyroïdiennes et de la prolactine ; Les ovaires : responsables de la production d’œstrogènes (principalement l’œstradiol), d’androgènes surtout la testostérone) et de progestérone. L’arrêt soudain des règles (aménorrhée) est souvent lié à un dysfonctionnement d’une partie de ce système hormonal. #Hyati #Aménorrhée #Sante #Femme #Feminin #femmesante #health #medecine #absencederegles #santefemme #pourlesfilles #justepourlesfilles #pourlesfemmes #justepournous #positivesvibes #goodvibes #bestvibes https://www.instagram.com/p/B6qHa3qIgyV/?igshid=ff42p1o0d6yr
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ed-recovery-fr-blog · 6 years
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De combien de calories ai-je besoin ?
Un adulte moyen n’a pas besoin de 2000 calories chaque jour pour maintenir sa santé, son poids et son bien-être. C’est un apport journalier inadéquat. C’est vrai. C’est trop peu. Et si vous avez moins de 25 ans, alors c’est vraiment trop peu.
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Introduction et Nomenclature
  Troubles du Comportement Alimentaire
Beaucoup d’entre vous visitant ce site pour la première fois n’ont pas forcément déjà rencontré le terme de spectre de trouble alimentaire, et il ne s’agit pas seulement d’anorexie. Il inclus : les cycles de restriction et consommation réactive, la boulimie, l’orthorexie et l’anorexie sportive en plus de l’anorexie mentale.
Si le Manuel Diagnostique et Statistique des Maladies Mentales (DSM-5) identifie toutes ces conditions distinctement, elles sont neurobiologiquement une seule et même condition. C’est pourquoi les patients présentent souvent de multiples facettes de la condition, ou passent d’une facette à l’autre au fil du temps.
Le spectre des troubles alimentaires est large, et un peu moins d’un tiers de la population s’y inscrit. C’est une condition neurobiologique chronique à vie qui possède deux états : actif et en rémission.
On ne guérit pas de cette condition une fois qu’elle est activée, mais l’on peut entrer dans une phase robuste et souvent permanente de rémission.
Pour ceux étant surpris pas l’idée qu’un tiers de la population est atteinte de cette condition, on évoque ici l’entièreté du spectre.
Ce sont des conditions déterminées génétiquement, cependant elles peuvent rester en sommeil. Le déclencheur le plus commun pour activer la condition est le régime, ou la restriction de l’apport calorique. Cependant, une maladie, un trauma ou une autre source de stress significatif peut également l’activer.
L’âge de début est approximativement 11 ans, cependant des difficultés d’alimentation ou des problèmes gastrointestinaux dans la jeune enfance sont également grandement corrélés avec une apparition future de troubles alimentaires.
Les facettes de l’alimentation restrictive : Il s’agit de nourriture.
Tout le monde suppose que cette condition concerne seulement l’anorexie, et la plupart ont également de nombreuses incompréhensions sur l’anorexie.
La meilleure définition que l’on puisse donner de cette condition aujourd’hui est que la nourriture est mal identifiée comme étant un danger.
L’amygdale, l’un des centres émotionnels du cerveau associée à l’identification du danger et à la peur, apparait comme ayant des anomalies de fonctionnement chez les patients souffrant de cette condition (avec d’autre structures du cerveau associées), comme montré par les recherches de Walter Kaye, Janice Russell et leurs collègues respectifs.
Notre réponse favorite face à n’importe quel danger est l’évitement.
Bien sûr, c’est un mécanisme de survie utile lorsque le danger est réel, comme un prédateur bougeant dans des buissons à proximité.
Cependant, quand la nourriture devient menaçante, alors la personne affectée est confrontée à deux monstrueux problèmes :
1. La sensation que la nourriture est dangereuse n’a pas de sens pour l’esprit conscient et,
2. Il est impossible d’éviter complètement l’absorption de nourriture car l’on doit manger pour vivre.
Comme être effrayé par les aliments rend notre esprit conscient confus, la personne atteinte de cette condition scanne son environnement pour tenter de s’expliquer pourquoi la nourriture est devenue dangereuse. Dans le monde actuel, l’explication la plus commune est que la nourriture fait grossir ou n’est pas saine. Il y a quelques centaines d’années, l’explication la plus commune était que la nourriture servait uniquement à restaurer un corps physique en putréfaction et que la spiritualité et un état de transcendance et de proximité avec Dieu requéraientt un évitement de la nourriture.
Si l’esprit doit expliquer la peur de manger dans un contexte contemporain et changeant, cela ne veut pas dire que cette condition est inventée ou causée par une influence sociétale. Sans la prédisposition génétique, une personne ne devient pas anorexique seulement parce que notre société est obsédée par la minceur.
Cependant, le fait que notre société discrimine les gros et vénère la finesse signifie que beaucoup plus d’individus présentant la prédisposition génétique sont susceptibles de développer un trouble du comportement alimentaire, car ils risquent de réduire leur apport alimentaire pour essayer d’atteindre un niveau de minceur « acceptable », et découvrent ensuite que la nourriture est cataloguée comme ennemi dans leur propre esprit.
La plupart des patients souffrant de TCA ne font pas nécessairement la connexion entre les réponses physiologiques qu’ils expérimentent autour de la nourriture et certaines des compulsions et comportements qu’ils développent à partir de cet inconfort.
Quand l’amygdale reçoit de nos sens l’information selon laquelle un danger potentiel est à proximité, elle génère alors une cascade de réponses physiologiques qui peut être résumée comme déplaisante. Ces réactions nous poussent à vouloir nous retirer de ce stimulus identifié comme un danger.
Qu’en est-t-il de la nourriture ?
Que se passe-t-il quand on doit systématiquement éviter de manger ?
Le besoin d’éviter la nourriture se heurte au besoin plus fort de rester en vie.
Et voilà comment toutes les facettes de cette condition peuvent être expressément expliqués :
  Anorexie
L’anorexie mentale, la restriction de l’apport de nourriture est clairement la plus connue des réponses présente dans le spectre des troubles. Le patient mange toujours et est affamé, mais crée le plus possible de distractions et de compulsions pour minimiser la quantité à ingérer. Il faut garder à l’esprit que manger crée une réaction de peur massive chez tous les individus dans ce spectre. Par « créer » ces distractions, on entend qu’il ne s’agit pas d’un choix, mais plutôt d’une compulsion dirigée par un inconfort physique et mental extrême généré par le fait de manger.
  Cycles Restriction/Consommation réactive
Les cycles de restriction et consommation réactive impliquent que le patient doit attendre que la faim physique le surpasse. Il peut même développer des rituels élaborés autour du moment et de la manière dont il pourra succomber à la faim comme moyen de soulager la peur qu’il devra endurer en mangeant. Ces cycles évoluent souvent en boulimie, où le patient doit soulager sa peur après avoir mangé par des comportements de compensation restrictifs (abus de diurétiques, laxatifs et vomissements).
De nouveau, peu de patients n’expérimentent qu’une seule facette de la progression de cette condition, et beaucoup passent de l’une à l’autre ou montrent plusieurs facettes à la fois.
  Orthorexie
L’orthorexie est l’application de comportements visant à moduler la peur imitant un trouble obsessionnel-compulsif. En mangeant uniquement des aliments considérés comme « propres » ou sains, le patient tente de soulager la peur de la nourriture en se convaincant qu’elle n’est pas un danger tant qu’il s’agit des bons aliments, de la bonne quantité et consommée aux bons moments.
  Anorexie sportive
L’anorexie sportive est également un ensemble de comportements visant à moduler la peur commun, où la consommation de nourriture est considérée comme moins dangereuse si toute l’énergie consommée est « brulée » par l’activité physique.
L’aménorrhée hypothalamique fonctionnelle est un synonyme de ce qui est souvent appelé la Triade de la Femme Athlète : une consommation d’énergie inadéquate et intempestive combinée à une aménorrhée ou oligoménorrhée (menstruations absentes ou peu fréquentes) et une densité minérale osseuse réduite. C’est le résultat de l’anorexie sportive. De ce fait les mêmes recommandations s’appliquent à la présence de l’aménorrhée hypothalamique fonctionnelle ou Triade de la Femme Athlète, comme pour toute autre facette du même spectre de troubles alimentaires.
Avertissement Médical Important
Il est important que tout effort de guérison d’un trouble du comportement alimentaire restrictif soit supervisé par des professionnels de la médecine.
Si vous avez restreint votre apport à 1000 calories ou moins par jour, avez abusé de diurétiques, de laxatifs ou vous êtes fait vomir, vous devez alors augmenter votre consommation jusqu’au minimum recommandé pour votre âge/taille/sexe lentement. Cela implique généralement une augmentation de 200-250 calories tout les 2-3 jours jusqu’à atteindre 2000 calories par jour. A ce stade, vous pouvez sauter à la quantité finale (2500-3500 calories et plus selon l’âge, le sexe et la taille). Veuillez garder à l’esprit qu’une augmentation lente des apports en nourriture ne diminue pas le risque de syndrome de renutrition.
L’équilibre des électrolytes pouvant être déréglé durant la famine, augmenter la quantité des apports à un niveau normal présente des risques médicaux. Le syndrome de renutrition peut être mortel, mais il est complètement traitable au début de la phase de guérison, à condition de recevoir des soins médicaux immédiats.
Si à n’importe quel moment au début de votre guérison, vous êtes étourdi, avez des vertiges, êtes fiévreux, vomissez, expérimentez un gonflement sévère des pieds ou des mains, et/ou expérimentez des frissons et sueurs, vous devez immédiatement demander des soins d’urgence.
Souvenez-vous que, quand bien même les recommandations pour atteindre une rémission après un trouble du comportement alimentaire trouvées sur ce site sont basées sur des recherches, elles ne constituent pas un conseil médical, et ne remplacent en aucune façon la nécessité d’un avis et d’une supervision médicale si vous tentez de guérir d’un trouble alimentaire.
2500-3500 Calories par Jour. Oui, Vraiment.
C’est l’une des questions les plus souvent posées : « Ai-je besoin d’autant de calories pour guérir ? ». La réponse courte est toujours « Oui ». Cependant, c’est en fait « non » car cette fourchette s’applique uniquement aux individus n’ayant jamais restreint leur apport en nourriture ou créé des déficits d’énergie dans leur corps. Pour quelqu’un recherchant à guérir d’un trouble alimentaire, cette fourchette est en réalité le strict minimum, qui arrêtera seulement la perte progressive d’énergie.
La raison pour laquelle cette question est si souvent posée est qu’il est compréhensible de supposer que d’une certaine façon, la durée où l’on s’est affamé ou le stade de maigreur impacteront les modalités de la guérison, et que peut-être créer des déficits d’énergie via une activité physique excessive ou des cycles de restriction est plus bénin et demandera moins d’énergie afin de guérir et de réparer les dommages. Pas tellement.
La sévérité de la famine impacte la guérison, mais seulement le temps nécessaire à celle-ci.
La plupart d’entre vous sont sûrement au courant que l’un des marqueurs cliniques de l’anorexie active est un IMC de 17,5 ou moins. Cependant, c’est trompeur car, si la fourchette dite « normale » de l’IMC est entre 18.5 et 25, cela ne signifie pas qu’un individu est en bonne santé dans l’entièreté de cette fourchette. Nous avons chacun un poids optimal spécifique.
On peut l’illustrer de la façon suivante :
Si l’on prend deux femmes de même taille, et que l’une a naturellement un IMC de 30 et l’autre de 23, voici ce qu’il se passe lorsqu’elles réduisent leurs calories :
 -La femme à l’IMC de 30 se met au régime et descend à 23. Elle est techniquement toujours dans la fourchette « normale » et reçoit des compliments sur son régime.
 -La femme à l’IMC de 23 se met au régime et descend à 17. Les gens s’inquiètent beaucoup pour elle.
Laquelle des deux a un trouble du comportement alimentaire actif ? Les deux.
Et en réalité, la femme ayant maintenant un IMC de 23 est en fait plus sévèrement privée de poids que la femme ayant maintenant un IMC de 17. Malheureusement, seule cette dernière sera probablement susceptible de recevoir une aide professionnelle quelconque pour l’aider à guérir de son trouble alimentaire.
  Voici les conditions dans lesquelles un MINIMUM de 2500 calories par jour est recommandé :
Vous êtes une femme de 25 ans ou plus entre 152 et 173 cm et,
Le cycle menstruel régulier s’est arrêté et/ou,
Vous avez d’autres symptômes de famine : froid tout le temps, fatigue, confusion, chute de cheveux, ongles cassants, teint terne et/ou,
Même si vous avez été en sous-poids/au régime durant une courte période (quelques mois), ces recommandations s’appliquent.
  Voici les conditions dans lesquelles un MINIMUM de 3000 calories par jour est recommandé :
Vous êtes une femme de moins de 25 ans entre 152 et 173 cm ou un homme de 25 ans ou plus entre 162 et 183 cm et,
Le cycle menstruel régulier s’est arrêté et/ou,
Vous avez d’autres symptômes de famine : froid tout le temps, fatigue, confusion, chute de cheveux, ongles cassants, teint terne et/ou,
Même si vous avez été en sous-poids/au régime durant une courte période (quelques mois), ces recommandations s’appliquent.
  Voici les conditions dans lesquelles un MINIMUM de 3500 calories par jour est recommandé :
Vous êtes un homme de moins de 25 ans entre 162 et 183 cm, ou une femme avec un jeune enfant ou une autre forme d’activité équivalente et inévitable, et,
Le cycle menstruel régulier s’est arrêté et/ou,
Vous avez d’autres symptômes de famine : froid tout le temps, fatigue, confusion, chute de cheveux, ongles cassants, teint terne et/ou,
Même si vous avez été en sous-poids/au régime durant une courte période (quelques mois), ces recommandations s’appliquent.
Exceptions : 
Si vous êtes plus grand que les cas cités au-dessus, ajoutez 200 calories à la recommandation correspondant à votre âge et sexe. Si vous êtes plus petit que les cas cités au-dessus, vous pouvez manger 200 calories de moins que la recommandation correspondant à votre âge et sexe, cependant ce sont des recommandations minimums, et l’on s’attend à ce que tout le monde mange bien plus durant une grande partie du processus de guérison dans tous les cas. Et, oui, si vous avez un poids au-dessus de la moyenne, alors vous aurez besoin d’un apport au-dessus de la moyenne pour supporter vos besoins énergétiques.
Tous les patients en guérison devraient cesser tout sport, activité physique et activités imposées. L’énergie que vous ingérez est requise pour reprendre du poids et réparer le corps.
Et si j’ai déjà repris mon poids ?
Beaucoup de ceux qui posent cette question ont repris du poids en consommant entre 1800 et 2200 calories par jour au lieu des minimums suggérés ici.
Beaucoup continuent de se sentir extrêmement affamés, souffrent de symptômes persistants de déficit d’énergie (froid, fatigue, cheveux et ongles cassants, règles absentes ou irrégulières etc…) et continuent d’avoir la restriction comme moteur primaire dans leur vie quotidienne.
La réponse ? Effectivement, mangez les calories recommandées (et ce que votre faim vous dicte) jusqu’à ce que la reprise de poids s’arrête (oui, cela fait ça), que les symptômes de perte d’énergie disparaissent et que les cycles menstruels réapparaissent (si applicable).
Il est possible de prendre du poids avec 1600-2200 calories par jour en guérison d’un TCA car le métabolisme est ralenti.
Le corps appréhende la guérison de la manière qui suit :
1.       Garder tous ses mécanismes au ralenti et prendre l’énergie pour gérer en arrière-plan la réparation cellulaire (entraînant initialement des ballonnements et de la rétention d’eau) et stocker le reste (souvent de façon disproportionnée autour du torse pour protéger les organes vitaux) ;
2.       Déterminer qu’il y a suffisamment d’énergie entrante, entreprendre des réparations de long terme (densité osseuse etc…) et augmenter le métabolisme de base ainsi que restaurer des fonctions biologiques ;
3.       Déterminer qu’une énergie adéquate arrive tous les jours, puis ramener le système neuroendocrinien à la normale et autoriser le métabolisme de base à revenir à la normale également.
Il est très facile d’être coincé au niveau 1 ou 2 de la guérison à cause du penchant naturel à penser que si vous êtes de nouveau à un IMC de 20 alors vous êtes guéri et vous devez commencer à restreindre vos calories pour ne pas devenir énorme.
Si c’est un penchant compréhensible généré par l’anxiété des troubles alimentaires, c’est pourtant faux.
La guérison n’est pas le processus inverse du régime. Un régime provoque un déficit de calories obligeant le corps à compenser la différence en utilisant les sources d’énergies disponibles dans la graisse, les os, les muscles et des organes majeurs. Mais avec la guérison, il faut non seulement fournir assez d’énergie pour refaire ses stocks de gras, mais une énergie plus importante encore est nécessaire pour inverser les dommages physiologiques internes.
En mangeant impérativement vos calories minimums chaque jour (et beaucoup plus car vous ne pouvez pas patauger dans la semoule), vous ne serez pas coincé dans un état de presque-guérison, qui mène généralement à une rechute ou un changement d’une anorexie franche à des cycles de restriction-consommation réactive, à une boulimie ou à une anorexie sportive.
Vous pouvez ajuster vos recommandations minimums à n’importe quelle étape de votre guérison.
Si vous avez regagné votre poids mais n’avez pas récupéré vos règles, augmentez les calories. Vous n’allez pas grossir et encore grossir. Vous avez besoin de plus d’énergie pour normaliser le système neuroendocrinien et le métabolisme.
Une fois que vous atteignez le poids optimal pour votre corps, le métabolisme est normalisé et cela signifie que l’énergie utilisée pour prendre du poids et réparer l’organisme va maintenant aux fonctions quotidiennes qui ne fonctionnaient plus à partir du moment où vous avez commencé à restreindre les calories (quelles qu’elles soient).
Vous prenez du poids en suivant les recommandations minimums, et ensuite vous maintenez votre poids avec grossièrement la même quantité. Choquant, mais vrai.
Les Faits
On s’attends à ce que beaucoup d’entre vous aient vus des histoires populaires dans les médias racontant que l’on mange un tiers d’avantage de calories que ce qu’on pense, et ces histoires concluent que c’est pour cela que l’on devient tous « obèses » (sortez les violons).
  Nous mentons sur ce que nous mangeons
Oui, en réalité, étude de santé après étude de santé, les femmes adultes rapportent consommer en moyenne un peu moins de 2000 calories par jour et les hommes autour de 2500 calories par jour.
Et pourtant, lorsque l’on mesure l’apport dans des conditions de laboratoire plutôt que de se fier à des notes personnelles ou des réponses à des études, nous mangeons alors à peu près d’un quart à un tiers plus que ce que les études suggèrent que nous mangeons.
               “ Les mesures d’apport diététique par auto-évaluation ont joué un rôle central dans la science de la nutrition depuis des dizaines d’années… Récemment, la méthode en double aveugle a été validée pour la mesure de la dépense énergétique totale chez les sujets, et cette méthode peut servir de référence pour valider la précision des auto-évaluations de l’apport énergétique. De telles comparaisons ont été effectuées dans neuf études récentes, et une imprécision considérable de ces auto-évaluations a été documentée. Les apports décrits ont tendance à être inferieurs à la dépense énergétique, et sont de ce fait des sous-estimations du véritable apport énergétique habituel. Le degré de sous-estimation augmentant avec l’apport, on suppose que les individus tendent à déclarer des apports plus proches de la norme perçue que du réel apport “
                       “ La désirabilité et l'approbation sociales déforment les estimations de l'apport énergétique à partir de questionnaires structurés, d'une manière semblant varier selon le niveau d'instruction.”
Les expériences d’auto-évaluation sur 7 et 14 jours sont toutes deux désordonnées en termes de sous-évaluation et beaucoup de chercheurs classeront les individus comme obèse, en échec de régime, en poids normal ect… ce qui retirera sûrement la légitimité des informations de l’étude, étant donné qu’un biais inhérent affirme que les individus obèses sont plus susceptibles de sous-estimer leurs apports nutritifs ; un biais qui n’est pas soutenu par les tests cliniques vérifiés. Et ce biais n’explique pas les autres influences valides telles que la désirabilité et approbation sociales comme étant une forte motivation à sous-évaluer ses apports nutritifs, comme souligné par JR Hebert et ses collègues en 2002.
La sous-estimation pour les hommes comme les femmes varie de 2% à 58 %. Cependant, dans la seule et unique expérience ou deux groupes de femmes au poids stable identifiées comme respectivement non restrictives et restrictives, le groupe non restrictif mangeait en moyenne 2400 kcal par jour, et le groupe restrictif à peine 2000 calories par jour. C’est certes une petite étude, mais elle est évoquée ici car elle implique au moins un groupe contrôle non restrictif.
Si l’on fait la moyenne des études effectuées par JR Hebert et ses collègues, alors les gens mangent en moyenne 25% de plus que ce qu’ils pensent (ou déclarent manger). Si la plupart des femmes adultes disent manger à peine 2000 calories par jour, elles consomment en réalité en moyenne 2500 kcal par jour pour maintenir leur santé et leur poids.
Mais le fait que l’on mange plus que ce que l’on dit n’a pas de corrélation avec l’obésité. Cela corrobore seulement scientifiquement le fait que nos apports réels maintiennent un poids optimal stable.
  Les Jeunes de moins de 25 ans
Il faut noter que les études qui identifient ce dont les adolescents et jeunes adultes ont besoin d’un point de vue de la dépense énergétique totale et ce qu’ils consomment réellement sont préoccupantes et montrent des différences selon le sexe.
Selon les estimations personnelles qui forment la base des recommandations caloriques dans le monde, les filles âgées de 12 à 25 ans déclarent manger 2000 calories par jour. Les garçons de la même tranche d’âge déclarent manger en moyenne 2800 calories par jour (voir études mentionnées au-dessus).
Sachant que le processus de développement dans cette tranche d’âge est distinct mais équivalant chez les deux sexes, pourquoi les filles déclarent-elles manger exactement ce que les femmes adultes disent consommer, alors que les garçons suggèrent manger 300 calories de plus par jour que leurs équivalents adultes ?
Encore plus inquiétant, il semble n’y avoir aucune expérience en double aveugle identifiant spécifiquement ce que les jeunes femmes et adolescentes au poids stable consomment réellement. De ce fait, on recommande que les adolescentes mangent 2000 calories par jour simplement car c’est ce que les déclarations et enquêtes suggèrent.
« La terrible vérité est que plus de la moitié des adolescentes de mange pas assez pour leur santé, énergie et force. Elles ne mangent pas assez pour être au meilleur de leur forme. Mais ce sont les 25% les plus bas -le quart affamé- qui présente le plus de risques. »
Dû au manque de données, on doit extrapoler en utilisant des données comparatives entre les hommes adultes et en développement, pour conclure que les différences entre les déclarations/enquêtes et le véritable apport suggèrent que les femmes de moins de 25 ans ont besoin d’entre 2800 et 3100 calories par jour pour maintenir leur santé et leur poids.
Cela suggère que les femmes de moins de 25 ans (qui ne se restreignent pas) se sentent obligées de sous-estimer leur véritable apport de près de 30%, et que probablement une grande partie de ces femmes limitent leurs apports et consomment 30% de moins que ce dont elles ont besoin pour soutenir leur santé et leur développement.
  Ce que nous mangeons réellement
Comme vous pouvez le voir, il est difficile de deviner aujourd’hui qui mange quoi et si l’on représente un consommateur moyen ou non.
Voici les faits que nous pouvons glaner jusqu’ici :
Une femme adulte (plus de 25 ans) ne mange pas seulement 2000 calories par jour. Un homme adulte (plus de 25 ans) ne mange pas seulement 2500 calories par jour.
Toutes les recommandations trouvées dans le monde se basent sur des déclarations et des enquêtes nationales.
Les enquêtes ont été montrées comme étant inexactes lorsque des expériences en double aveugle ont été effectuées en situation de laboratoire. En réalité, les déclarations et enquêtes semblent sous-estimer l’apport réel d’entre 25 à 30%.
Cependant, il faut garder à l’esprit qu’un sous-groupe de la population ne répond jamais à ces enquêtes en sous-estimant leurs apports nutritifs réels :
« Beaucoup de patients souffrant de troubles du comportement alimentaire surestiment largement combien ils ont mangé, combien de calories ou de grammes de lipides ils ont ingéré, ainsi que l’ampleur de la prise de poids attendue. »
Devinez ce que cela signifie pour les recommandations de guérison ?
Aux individus en guérison, on demande de manger ce que des gens qui ne restreignent pas mangent dans la réalité, pas ce qu’ils disent manger.
On commence sa guérison en faisant attention à ne pas limiter son apport, et on continue comme cela toute sa vie. Si vous expérimentez une période d’appétit extrême bien au-delà des minimums recommandés, c’est précisément car vous avez du poids à prendre et des dommages à réparer. Cette faim extrême ne se poursuivra pas après l’effort de guérison. Mais ne pas limiter ses apports est une chose que ferez pour le reste de votre vie.
Traduit de l’anglais depuis The ED Institute. Les références y sont disponibles en anglais en bas de page.
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valeran10 · 3 years
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Gynécologue Obstétricien à Casablanca
parmis les comprétences de Gynécologue Obstétricien à Casablanca sont : Saignements utérins atypiques - polyménorrhée - cycles ménométrorragiques (polypes de l'endomètre, léiomyomes utérins (ou fibromes - myomes), traitement médical des fibromes, isthmocèle, adénomyose, hyperplasie de l'endomètre, carcinome de l'endomètre) Cycles anovulatoires (micrpolicystose ovarienne - syndrome micropolitique des ovaires, aménorrhée et acné) Endométriose (dysménorrhée, dyspareunie) Atrophie vulvovaginale Vaginite - Vaginose Infections vaginales récurrentes et maladies sexuellement transmissibles (Candida, Tricomonas, Gardnerella, infections cervicales à Chlamydia et Mycoplasma, infection à papilloma virus)
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astuces-sante · 3 years
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AMENORRHEE
  L’aménorrhée (l’absence de menstruation) peut être primaire ou secondaire. L’aménorrhée primaire correspond à l’absence de règles à l’âge de 15 ans chez des patientes qui ont une croissance normale et des caractères sexuels secondaires. Cependant, l’absence de tout développement mammaire à l’âge de 13 ans doit inciter à rechercher une aménorrhée primaire. L’aménorrhée secondaire est l’absence…
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djilaure · 3 years
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Aménorrhée ( Absence de règles) symptômes et traitement.
Aménorrhée ( Absence de règles) symptômes et traitement.
L’aménorrhée est l’absence de menstruations chez une femme en âge de procréer. Le mot aménorrhée provient du grec a pour privation, mên pour mois et rhein pour couler. De 2 % à 5 % des femmes seraient touchées par l’aménorrhée. Il s’agit d’un symptôme dont il est important de connaître la cause. L’absence de règles est tout à fait naturelle lorsque, par exemple, la femme est enceinte, allaite ou…
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antikorg · 3 years
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Le Texas adopte une loi restreignant l’accès à l’avortement : une offensive contre les droits des femmes
Le Texas adopte une loi restreignant l’accès à l’avortement : une offensive contre les droits des femmes
2021-09-02 23:05:11 Revolution Permanente Après l’avoir votée le 19 mai dernier, l’État du Texas vient de promulguer une loi restreignant l’accès à l’avortement à seulement 6 semaines de grossesse. Un délai extrêmement bref qui correspond à un retard de règles de seulement deux semaines, sachant qu’il est rare de remarquer une grossesse à moins de 6 semaines aménorrhées, et que d’éventuelles…
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carolinspirational · 4 years
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Bagdad dans ma tête
Il y a des jours où je n’arrive pas à vivre normalement. Inconsciemment ou consciemment. Des jours où je me souviens parfaitement de tout: de la couleur azur du ciel, de chaque petit détail, jusqu’à l’odeur. 
Tout cela me revient tout à coup: Son sourire, sa voix, sa joie de vivre. Alors une larme glisse sur ma joue. Je regrette ma routine avec elle, notre routine. Ma peau est plus blanche, mes mains rouges et gelées par le froid tremblent, et parfois mon cerveau capricieux fait si bien son travail que je n’ai qu’une envie: m’enfermer dans la salle de bain et hurler de toutes mes forces. Pour ensuite m'exploser le crâne contre le lavabo.
Je la regrette, je cherche à casser ma montre, ou plutôt à remonter le temps. Revenir 6 ans en arrière, la prendre dans mes bras, sentir ses cheveux fins sur ma joue une dernière fois, lui dire combien je l’aime, lui dire non pas adieu, mais au revoir. 
Pour les personnes qui m’entourent, tout est banal. Mais pour moi, il y a la Valse d’Amélie Poulain de Yann Tiersen qui se joue. Mes mains sont froides, mon sang doit probablement être glacé ou peut-être qu’il ne circule plus. Je fais semblant de vivre. Semblant d’aller bien. 
Mais ça ne va pas, elles me prennent la tête sans savoir que je souffre vraiment. Je déteste l'image que mon corps reflète dans les yeux des gens. 
J'ai perdu un être cher, je me dispute avec ma famille, j’ai perdu mes amis et mes cheveux. J’en viens même à tirer mes sourcils tellement je suis frustrée, et on ose me dire que je ne me bats pas ? Je me bats contre moi-même, et je pense qu'on ne peut pas faire pire. 
D’après ma famille, je suis folle, je veux ressembler à ces mannequins, suivre cet effet de mode. Elles pensent que je voulais être mannequin ? Non, jamais!  Je n'ai jamais voulu être maigre, squelettique. Je voulais vivre et non survivre. 
Je voulais être journaliste, pas ruiner mon foie et mes reins au point de me faire opérer tant je les ai malmené, leur privant de nourriture empêchant leur bon fonctionnement. Je ne voulais pas tomber dans les pommes en plein milieu d’un cours, pas être aménorrhée. 
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mamanradieuse · 4 years
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La MAMA : Méthode de l’Allaitement Maternel et de l’Aménorrhée ✅ Après avoir parlé de la prolactine, du retour de couche... J'aborde la MAMA ! Mais de quoi s'agit il concrètement ? 🤔 En fait cette méthode, comme son nom l’indique, [appelé aussi aménorrhée lactationelle] permet d’avoir un effet contraceptif jusqu’à environ 6 mois après l’accouchement. Le risque de grossesse est inférieur à 2 % à condition que toutes les conditions suivantes soient réunies : ➡️ avoir un allaitement exclusif ; ➡️ allaiter jour et nuit [6 à 10 tétées/24 heures] ; ➡️ Ne pas espacer plus de 6 heures entre 2 tétées la nuit, et pas plus de 4 heures le jour ; ➡️ avoir une aménorrhée persistante [absence totale de règle] Par contre, l’OMS, préconise d’utiliser une autre méthode de contraception en cas de retour des règles, de réduction de la fréquence ou de la durée des tétées, d’introduction de l’alimentation au biberon ou dès que le nourrisson atteint l’âge de 6 mois ✅ As-tu utilisé cette méthode ? 🙂 Partage ton expérience en commentaire ⏬ #mamanradieuse #allaitementmaternel #allaitement #allaitementlong #allaitementnonecourte #methodedelamama #mama #bebeausein #bebeheureux #bebe2020 #bebe2021 #maman2021 #maman2020 #retourdecouche #maternité #naissance #viedemaman #jeunemaman #lienmereenfant #bebeallaitement #bebeallaité #petiteenfance #nourrissons #nouveauparent #nouveauné #maternage #maternageproximal #materner #prolactine #allaitementexclusif https://www.instagram.com/p/CIBiuHHF1Zf/?igshid=9tn8lr0qpzln
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sanitavia · 4 years
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TCA Les troubles du comportement alimentaires Les troubles du comportement alimentaires – TCA sont à considérer comme de véritables maladies affectant le corps et l’esprit, il ne faut donc pas les prendre à la légère.  Notre alimentation est essentielle à la vie, car elle apporte les nutriments indispensables au corps et à l’esprit pour bien fonctionner. En ce sens elle peut être un facteur déterminant pour le bien être, la qualité de vie et le développement personnel.  Au-delà du fait de se nourrir, s’alimenter implique un état psychologique, affectif et une dimension sociale.  Ainsi, les difficultés rencontrées dans la vie, peuvent parfois devenir facteur de dérèglements psychiques graves et entraîner des troubles du comportement alimentaires – TCA. Bien qu’étant visibles, ces troubles sont difficiles à prévenir. Une anorexie mentale commence souvent par un petit régime anodin… C’est pour quoi il convient d’être vigilant, particulièrement chez l’adolescent.  Quelques exemples de TCA :  l’hyperphagie boulimique  l’hyperphagie boulimique se traduit par une obsession excessive du contrôle du poids corporel, induisant de l’hyperphagie, des vomissements ou la sur-utilisation de produits laxatifs. Ces excès peuvent engendrer à leur tour d’autres complications physiques et mentales, parfois très graves. Il est à noter que les personnes boulimiques sont souvent passées par une période d’anorexie mentale, les mois ou années précédentes.   boulimie La boulimie se manifeste par la répétition de crises pendant lesquelles les sujets consomment une grande quantité de nourriture, sans être en mesure de se contrôler. Ces crises précèdent des moments de culpabilité intenses, agravant les dépressions et la mauvaise estime de soi. Les personnes atteintes de boulimie sont des êtres en souffrances.  L’anorexie  L’anorexie mentale se traduit par une perte excessive de poids, intentionnelle et voulue consciemment par la personne. Cette démarche de dénutrition intense est grave et s’accompagne souvent de complications aigües : modifications endocriniennes et métaboliques, perturbations physiologiques et mentales, arrêt des règles, appelée (aménorrhée).  Survenant habituellement chez les adolescentes et les jeunes femmes, elles peut également affecter les hommes ou les enfants avant la puberté.  On reconnait une anorexie mentale par plusieurs symptômes :  Perte excessive de poids, consciemment voulue et entretenue, peur obsessionnelle de grossir, hyper-activité sportive, vomissements provoqués, utilisations répétitive de laxatifs (…) Il convient donc d’être vigilant et bienveillant avec la personne lors de l’apparition de ces comportement à risques.  Bien que souvent assez peu visible physiquement, ce sont souvent les restrictions et le rapport à soi, à travers l’image ou la mauvaise estime qui conduisent à des troubles du comportement alimentaire. Les personnes atteintes font en général tout pour rester discrète et cacher leur mal-être, c’est pourquoi il convient d’être attentif, car certains signes peuvent aider à diagnostiquer et mieux prévenir les impacts :  Importantes variations de poids, obsession sur l’apparence physique, précipitation aux toilettes après les repas, marques sur les mains suite aux vomissements provoqués, sur-utilisation de laxatifs, dévalorisation de soi, intenses changements d’humeurs fréquents et inhabituels, isolement. (…)  Les conséquences sur la santé peuvent devenir très graves et dans certains cas, peuvent conduire au décès.  Que faire et quel comportement adopter ?  Le processus de guérison prend du temps, il convient donc d’être très patient et de faire preuve d’empathie avec les personnes en souffrances. Ne pas juger et au contraire, encourager, être à l’écoute.  Guérir d’un trouble du comportement alimentaire demande une prise en charge spécialisée, l’alimentation en soi, n’étant pas le problème. Ces maladies sont la conséquence d’une déformation mentale de la réalité, souvent liées à une mauvaise image et estime de soi. La patience, l’empathie et la bienveillance sont donc de précieux alliés pour aider à résoudre ces états complexes.
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sexoblogue · 4 years
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Prise en charge des difficultés sexuelles chez les patients souffrant de troubles psychiatriques
Un nouvel article a été publié sur https://sexoblogue.fr/difficultes-sexuelles-troubles-psychiatriques
Prise en charge des difficultés sexuelles chez les patients souffrant de troubles psychiatriques
La #sexualité est rarement abordée en entretien #psychiatrique, alors que la maladie et les traitements #antipsychotiques ont tous les deux un retentissement négatif sur la sexualité.
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Un certain nombre d’études montrent que les patients souffrant de troubles psychiatriques sont plus fréquemment atteints par des troubles sexuels que dans la population générale.
Cela est d’autant plus important que le nombre total de patients concernés par ces troubles est très certainement sous-estimé, une grande partie des patients ont en effet du mal à aborder le sujet de l’intimité avec leur médecin.
Nombreux sont les professionnels de santé, médecins généralistes, psychiatres ou psychologues qui n’abordent pas suffisamment le sujet de la sexualité avec leurs patients, ou bien qui le font de manière superficielle et expéditive((Christophe Dallon, Georges Abraham, Rev Med Suisse 2009; volume 5. 635-637, https://www.revmed.ch/RMS/2009/RMS-195/Psychose-et-sexualite)).
Pourtant, une sexualité épanouie contribue grandement au bien–être des patients en psychiatrie. Le traitement efficace de leurs troubles sexuels doit donc faire partie intégrante de la prise en charge de leur pathologie mentale. 
Chez les malades souffrant de troubles psychotiques, les difficultés d’ordre sexuels sont extrêmement fréquentes, surtout chez les patients non-hospitalisés : jusqu’à 50% des femmes et 70% des hommes.
Les répercussions des pathologies psychiatriques sur la sexualité sont généralement induites par les traitements neuroleptiques (médicaments utilisés dans la prise en charge des troubles psychiatriques) et, de ce fait, sont souvent sources d’inobservance médicamenteuse. Ils peuvent donc être responsables d’échec thérapeutique et de rechutes ! C’est pour cela qu’il est primordial d’en tenir compte lors de la prise en charge des patients en psychiatrie.
Qu’est-ce que les psychoses ?
Les psychoses sont un groupe de pathologies mentales définies par une altération du sens des réalités brève ou prolongée. 
La psychose la plus connue du grand public est certainement la schizophrénie. Cette dernière a largement été abordée dans les domaines cinématographique et littéraire, souvent d’une manière exagérée et fantasmée. Elle est également la plus fréquente, on estime sa prévalence à environ 1% de la population mondiale.
La schizophrénie se manifeste généralement au début de l’âge adulte, plus précocement chez l’homme que chez la femme. Elle se caractérise par 2 sortes de symptômes :
Les symptômes positifs : ce sont des manifestations qui s’ajoutent aux fonctions mentales normales du patient. Ces manifestations apparaissent lors de la phase aiguë de la maladie, appelée également « phase de décompensation ». Les symptômes positifs les plus fréquemment observés sont :
Les modification de la perception : le patient perçoit des stimulations sensorielles, internes ou psychiques qui n’existent pas comme telle dans la réalité, telles que :
Les hallucinations visuelles : le patient voit des objets ou des personnes qui n’existent pas. 
Les hallucination auditives : le patient entends des sons ou des voix qui n’existent pas. Le plus souvent ce sont des voix hostiles et menaçantes.
Les hallucinations olfactives : le patient sent des odeurs qui ne sont pas présentes, le plus souvent désagréables. Il peut même se réveiller le matin et sentir une odeur qui lui donne l’impression certaine de s’être fait violé durant la nuit !
Les hallucinations gustatives : le patient ressent le goût d’aliments ou de substances dans sa bouche, il peut s’agir de goûts soit agréables soit extrêmement pénibles. 
Les hallucinations tactiles : le patient à l’impression qu’un objet ou une personne le touche, le plus souvent au niveau des parties intimes (les seins, les fesses et les organes génitaux).
Les hallucination cénesthésiques : les patient a des sensations qui proviennent de l’intérieur de son corps. Il peut par exemple avoir l’impression qu’un de ses organes est en train de disparaître ou de se transformer. 
Les modifications de la pensée : le patient exprime des idées délirantes, des sortes de convictions. Les délires peuvent être de plusieurs types, l’un des plus fréquemment observés est le délire de persécution où le patient est profondément persuadé d’être la cible d’intentions malveillantes des personnes qui l’entourent. Il existe d’autres types de délires tels que les délires mystiques, de grandeur (ou mégalomaniaques), de possession, de divulgation de la pensée, etc.
Les modifications du discours : le discours du patient est complètement désorganisé et incohérent. Il va par exemple passer d’un sujet à l’autre d’une manière brusque et sans établir aucun lien logique entre les différents sujets (passage du coq à l’âne).  
Les modifications du comportement : le patient peut réaliser des actions n’ayant aucun objectif logique, qui paraissent étranges pour son entourage. Il peut même devenir agressif vis-à-vis de lui même ou d’autrui (auto-agressivité ou hétéro-agressivité).
Les symptômes négatifs : ils sont plus difficilement décelables, car moins impressionnants et bruyants que les symptômes positifs. Ils sont également les plus invalidants pour les patients. Ces symptômes négatifs ou déficitaires traduisent la perte et la dégradation des fonctions mentales habituelles du patient. Ils peuvent se manifester sur le plan clinique par :
Une alogie ou difficulté à communiquer et retrait social ;
Une anhédonie, c’est-à-dire une perte du plaisir ;
Une aboulie, c’est-à-dire un manque de motivation et d’énergie ;
Une pensée et discours pauvres ;
Un émoussement affectif et une diminution de l’expression des émotions (froideur). 
À côté des symptômes positifs et négatifs, on assiste à un véritable déclin des capacités cognitives du patient (déclin cognitif). Autrement dit, son cerveau perd ses capacités de traitement des informations, d’analyse et de mémorisation. Cela se traduit par des difficultés de concentration, des pertes de mémoire (surtout à court terme), une altération de la prise de décisions, des troubles de l’apprentissage, une diminution de l’hygiène corporelle…
Il faut savoir que les symptômes de la schizophrénie sont extrêmement variables d’un patient à l’autre en ce qui concerne la fréquence, l’intensité, le type, l’association entre différentes manifestations. Cependant la majorité des patients atteints de schizophrénie, et de toute autre maladie psychiatrique, a une vie relationnelle et affective instable. L’association des différents symptômes a des répercussions considérables sur les interactions sociales des patients, perturbant de manière significative leur sexualité.
Généralement, les médecins sous-estiment la place de la sexualité dans la vie de leurs patients souffrant de troubles psychotiques compte tenu de la symptomatologie qu’ils présentent.
En plus de cela, certaines déclarations des patients sont souvent mises en doute et considérées comme potentiellement faisant partie du symptôme délirant, lié à leur maladie. On assiste effectivement parfois à des hallucinations ou des délires ayant une connotation sexuelle, ce qui ne signifie pas qu’il ne faille pas prendre leur propos en considération.
La phase aiguë (ou de décompensation) des maladies psychotiques peut parfois être caractérisée par une désinhibition sexuelle, ce qui peut entrainer des comportements inadaptés d’exhibition par exemple ou bien de prise de risques avec une multiplication des relations sexuelles et des partenaires sans protection. La maladie entraine une vulnérabilité psychique, physique et sociale qui peut amener la personne à se mettre en danger et ainsi être victime d’abus sexuels notamment.
La question du sexuel est omniprésente dans l’expression clinique des pathologies psychotiques. On note que les patients atteints de psychose s’expriment généralement de manière assez libre lorsque le médecin les interroge sur leur sexualité. ((P. B. Schneider, G. Abraham, et D. Panayotopoulos, « QUELQUES ASPECTS DE LA VIE SEXUELLE DES PSYCHOTIQUES (ENQUETE SUR 84 CAS HOSPITALISES) », L’ Evolution psychiatrique 29 (mars 1964): 45‑73, https://www.lissa.fr/rep/articles/14184334)). 
Par ailleurs, il n’est pas rare que des patients hospitalisés en service de psychiatrie aient des rapports sexuels entre eux, même si cela n’est pas autorisé dans la plupart des services hospitaliers spécialisés. Cela peut être mal perçu par les soignants, car la question du consentement et du discernement des deux partenaires se pose aux vues de leur vulnérabilité. En effet, la question de la place du désir de l’autre dans la psychose se pose, la capacité à prendre en compte soi et l’autre étant altérée.
Les neuroleptiques provoquent des troubles sexuels
Les neuroleptiques, médicaments appartenant à la famille des psychotropes et utilisés dans le traitement des psychoses, sont souvent à l’origine de troubles sexuels. Ils agissent par l’intermédiaire de 2 mécanismes principaux :
Augmentation de la production de prolactine (hormone intervenant notamment dans la production de lait maternel, l’immunité, la croissance et le comportement) : cela a pour effet une baisse du désir sexuel (libido) et de dysfonctions érectiles chez l’homme ((Martin-Du Pan R., « Neuroleptiques et dysfonctions sexuelles chez l’homme : aspects neuroendocriniens », Archives Suisses de Neurologie ; Neurol Pschiatr 1978;122:285-313.)), une baisse du désir et une aménorrhée (l’absence de menstruations) chez la femme((L. J. Miller, « Sexuality, Reproduction, and Family Planning in Women with Schizophrenia », Schizophrenia Bulletin 23, no 4 (1997): 623‑35, https://doi.org/10.1093/schbul/23.4.623)).
Une augmentation pondérale : les neuroleptique induisent une prise de poids assez importante chez les patients. Cela va souvent entraîner une baisse de l’estime de soi et un repli social et affectif((R Martin-Du Pan et P Baumann, « Dysfonctions sexuelles induites par les antidépresseurs et les antipsychotiques et leurs traitements », Revue Médicale Suisse, 2008, 5)). 
Ces symptômes sont tout deux à l’origine de troubles sexuels chez les patients psychotiques. Pourtant, ces derniers ne rapportent généralement de façon spontanée que la prise de poids. Mais lorsqu’on les interroge de manière spécifique sur leur sexualité, ils en parlent assez librement et souligne que c’est un élément important dans leur équilibre. 
Les dysfonctions sexuelles provoquées par les traitements neuroleptiques et souvent source d’inobservance médicamenteuse. Autrement dit, les patients psychotiques arrêtent de prendre leur traitement dans l’espoir d’avoir une meilleure vie sexuelle. Cela va évidemment avoir de lourdes conséquences sur l’évolution de la maladie (aggravation, rechutes). Malheureusement, ce phénomène est extrêmement fréquent. On estime que 50% des patients psychotiques arrêtent de prendre leur traitement après 1 an, le chiffre passe à 70% après 2 ans. L’une des principales raisons qui les poussent à agir de la sorte est très probablement l’importante baisse de la qualité de leur vie sexuelle.
Il est aussi important de mentionner que la dysfonction érectile est généralement perçue par l’homme comme une diminution de sa virilité. Il n’est donc pas rare qu’une dépression vienne s’installer et s’ajouter aux autres symptômes déjà très invalidants. 
Ce qu’il faut retenir
Les troubles sexuels sont très fréquents chez les patients souffrant de troubles psychiatriques.
Les neuroleptiques utilisés dans le traitement des maladies mentales provoquent des dysfonctions sexuelles et une baisse du désir. 
Les dysfonctions sexuelles provoquées par les neuroleptiques poussent les patients psychotiques à interrompre leur traitement. 
Il est important d’accorder une place prépondérante à la prise en charge psychosociale des patients en psychiatrie (intégration en milieu professionnel, une place au sein de la famille, la pratique d’activités diverses…). Il ne faut pas tout miser sur le traitement médicamenteux !
Il est important d’interroger les patients sur leur sexualité, de les écouter et de leur apporter des solutions concrètes. Car c’est un aspect auquel ils accordent beaucoup d’importance et le succès du traitement y est fortement lié. 
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