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#Berlioz et moi
semena--mertvykh · 2 years
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Best-of musical : c'est reparti
Promis, un jour je vais sortir de ce marasme qui me plombe depuis la rentrée, faute de savoir précisément dans quelle direction me tourner après mon cursus actuel...
Un Master musico à l'EHESS ? Une poursuite d'études au Canada ? Un stage sur le darkweb pour devenir millionnaire en bitcoin ?
En attendant, j'ai le plaisir d'annoncer que notre grand marathon des Must-listen reprend, COMPLÈTEMENT À LA BOURRE, bien sûr, puisque le mois d'octobre est déjà bien entamé et que je devrais être dessus depuis la fin août, mais bon.
Comme chaque année, je m'attends à des bonnes surprises et des grosses déceptions, des coups de gueule et des coups de foudre, des groupes avec des noms à la con et des artistes inoubliables, des titres qui vont s'inscrire dans la trame même de mes journées et d'autres vite oubliés à peine entendus ; des vieilles connaissances et des nouvelles têtes.
Et je reste convaincue que le millésime 2022/2023 sera aussi exceptionnel que l'a été celui de 2021/2022, qui était lui-même à la hauteur de celui de 2020/2021.
Le signe qui ne trompe pas : en parcourant toutes les nouvelles sorties de mes labels tagués et tous les musiciens listés sur les 50 Best albums of the year de Pitchfork, de Rolling Stone et du New Musical Express, je sentais l'impatience et l'excitation monter devant tous ces noms inconnus.
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letterful · 4 days
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Romanticism is the primitive, the untutored, it is youth, life, the exuberant sense of life of the natural man, but it is also pallor, fever, disease, decadence, the maladie de siècle, La Belle Dame Sans Merci, the Dance of Death, indeed Death itself. It is Shelley's dome of many-coloured glass, and it is also his white radiance of eternity. It is the confused teeming fullness and richness of life, Fülle des Lebens, inexhaustible multiplicity, turbulence, violence, conflict, chaos, but also it is peace, oneness with the great `I Am', harmony with the natural order, the music of the spheres, dissolution in the eternal all-containing spirit. It is the strange, the exotic, the grotesque, the mysterious, the supernatural, ruins, moonlight, enchanted castles, hunting horns, elves, giants, griffins, falling water, the old mill on the Floss, darkness and the powers of darkness, phantoms, vampires, nameless terror, the irrational, the unutterable.
Also it is the familiar, the sense of one's unique tradition, joy in the smiling aspect of everyday nature, and the accustomed sights and sounds of contented, simple, rural folk — the sane and happy wisdom of rosy-checked sons of the soil. It is the ancient, the historic, it is Gothic cathedrals, mists of antiquity, ancient roots and the old order with its unanalysable qualities, its profound but inexpressible loyalties, the impalpable, the imponderable.
Also it is the pursuit of novelty, revolutionary change, concern with the fleeting present, desire to live in the moment, rejection of knowledge, past and future, the pastoral idyll of happy innocence, joy in the passing instant, a sense of timelessness. It is nostalgia, it is reverie, it is intoxicating dreams, it is sweet melancholy and bitter melancholy, solitude, the sufferings of exile, the sense of alienation, roaming in remote places, especially the East, and in remote times, especially the Middle Ages.
But also it is happy co-operation in a common creative effort, the sense of forming part of a Church, a class, a party, a tradition, a great and all-containing symmetrical hierarchy, knights and retainers, the ranks of the Church, organic social ties, mystic unity, one faith, one land, one blood, `la terre et les morts', as Barrès said, the great society of the dead and the living and the yet unborn. It is the Toryism of Scott and Southey and Wordsworth, and it is the radicalism of Shelley, Büchner and Stendhal. It is Chateaubriand's aesthetic medievalism, and it is Michelet's loathing of the Middle Ages. It is Carlyle's worship of authority, and Hugo's hatred of authority. It is extreme nature mysticism, and extreme anti-naturalist aestheticism. It is energy, force, will, youth, life, étalage du moi; it is also self-torture, self-annihilation, suicide. It is the primitive, the unsophisticated, the bosom of nature, green fields, cow-bells, murmuring brooks, the infinite blue sky.
No less, however, it is also dandyism, the desire to dress up, red waistcoats, green wigs, blue hair, which the followers of people like Gérard de Nerval wore in Paris at a certain period. It is the lobster which Nerval led about on a string in the streets of Paris. It is wild exhibitionism, eccentricity, it is the battle of Ernani, it is ennui, it is taedium vitae, it is the death of Sardanopolis, whether painted by Delacroix, or written about by Berlioz or Byron. It is the convulsion of great empires, wars, slaughter and the crashing of worlds. It is the romantic hero — the rebel, l'homme fatale, the damned soul, the Corsairs, Manfreds, Giaours, Laras, Cains, all the population of Byron's heroic poems. It is Melmoth, it is Jean Sbogar, all the outcasts and Ishmaels as well as the golden-hearted courtesans and the noble-hearted convicts of nineteenth-century fiction. It is drinking out of the human skull, it is Berlioz who said he wanted to climb Vesuvius in order to commune with a kindred soul. It is Satanic revels, cynical irony, diabolical laughter, black heroes, but also Blake's vision of God and his angels, the great Christian society, the eternal order, and `the starry heavens which can scarce express the infinite and eternal of the Christian soul'.
It is, in short, unity and multiplicity. It is fidelity to the particular, in the paintings of nature for example, and also mysterious tantalising vagueness of outline. It is beauty and ugliness. It is art for art's sake, and art as an instrument of social salvation. It is strength and weakness, individualism and collectivism, purity and corruption, revolution and reaction, peace and war, love of life and love of death.
— from Isaiah Berlin's The Roots of Romanticism.
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Fils d’un immigré mort pour la France, Français par le sang reçu et par le sang versé, je n’ai que mépris pour les profiteurs arrogants qui, mis au monde, nourris, éduqués (?) par la France, tiennent pour une humiliation de devoir demander la nationalité française.
Cette nationalité, mon père l’a acquittée de sa vie.
Je l’ai, moi, échangée contre mes joies d’enfant en devenant orphelin, c’est-à-dire adulte, à l’âge de sept ans.
Ce baptême de sang a fait de moi le compatriote de Vercingétorix, de Villon, de Rabelais, d’Ambroise Paré, de Perrault, de Bayard et de du Guesclin, de Pasteur, de jules Verne, de la Petite Thérèse, de Maurras, de Mermoz, de Berlioz.
Et de nos rois.
La Loi républicaine peut me contraindre à être le concitoyen des Français de papier qui ne se baissent même pas pour ramasser une faveur pour laquelle, naguère, on mourait.
Elle n’en fera jamais mes compatriotes.
Serge de Beketch
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Bonjour M. Liszt, joyeuses Pâques ! J'ai oublié hier (oups)
Oui, je serais très intéressé par l'histoire de votre renaissance après les Trois Glorieuses ! Vous décririez-vous comme un révolutionnaire ou seulement comme un partisan du progrès ?
Bonsoir mon masque,
j'vous souhaite une joyeuse Pâques aussi.
Partisan du progrès... C'est un terme que j'adore. J'suis le pianiste du futur et partisan du progrès aussi, oui. En fait une rèvolution peut être mauvaise et rétrograde mais le progrés pousse toujours vers l'avant.
Quand Madame Mort a volé mon père j'ai dû vendre le piano pour payer les funérailles. Mon "oncle acquis" Erard il m'hébergeait avec ma mère dans un appartement qu'il possédait à Paris, mais moi qui à seize ans n'étais enfant prodige non plus j'ai travaillé toute la journée comme professeur de musique pour nous soutenir et nous ranimer. En fait de nombreuses nuits j'ai dormi dans les escaliers de l'appartement car je voulais pas réveiller ma mère quand je trop tard rentrais.
J'ai également einsegné à un ange nommé Caroline - Caroline de Saint-Cricq - et nous sommes rapidement tombés amoureux l'un de l'autre. C'était la première fois que je rassentais de l'amour. Nous avons récité ensemble Lord Byron et promis de penser l'un à l'autre à l'heure de l'Angélus car nous avons il partagé à genoux. Sa mère nous avait bénis tous les deux. Mais quand sa mère est morte, cependant son père - infâme et classiste - qui ne voulait pas d'artiste dans la maison comme mari de sa Noble fille, il m'a chassé et viré aussi, et il promit la main de sa pauvre fille à un vieillard Noble et dégoûtant...
Alors mon cœur brisé, la mort de mon père, la fatigue, l'épuisement, être rejeté au conservatoire, la perte de la faveur publique et de mon identité jusqu'alors, ainsi que l'éloignement forcé et prolongé de ma Hongrie - tout cela pesait trop sur mes pauvres épaules d'adolescent et je me suis effondré. Puis j'suis mort.
Pendant toute une annéè et plus j'ai vécu das mon lit. Je mangeais pas, je sortais pas, je parlais pas : je délirais avec rêves haineux et je voyeais plus d'avenir. Je ne jouais plus, je ne travaillais plus, je n'existais non plus. Cette situation a duré près de deux ans - les années les plus précieuses de l'âge adulte. Hector Berlioz, qui n'était pas encore mon ami, a même publié un article annonçant que "le petit Liszt" était mort et enterré - quoique si jeune !
Le grondement des canons me tira de ma grave torpeur. Alors je suis descendu dans la rue. J'ai étudié seul et je suis devenu F. Liszt.
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claudehenrion · 2 years
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Euthanasie...
  On pourrait parfois croire qu'il existe, en France, une sorte de  fascination pour ces réformes informes qui avaient été (dis?)qualifiées de ''sociétales'' pendant le catastrophique intérim hollandais --dont Il nous reste un serpent de mer : le débat sur l'euthanasie. Les communicants, pour parler de cet ''assassinat pré-pardonné par la loi'', ont fabriqué un nom trompeur : ''la mort dans la dignité'', mensonge hélas ''avalé'' par plein de braves gens victimes des mots détournés de leur sens. C'est un autre de ces sujet-du-moment dont il n'est pas possible de ne pas parler.
Mené par une minorité progressiste déterminée à casser tous les codes de ''l'ancien monde'', le ''suicide assisté'' est devenu un ''sujet-du-jour'' dans une partie de la population et auprès d'une majorité de politiciens ''accros'' aux modes et aux lobbies. Au lieu de ''vivre dans le dignité'', ce qui est le ''job'' des politiciens, il s'agit de mourir dans un état administratif que des technocrates baptisent ''la dignité'' et qui se révélera, le temps passant, une tromperie de plus dans l'arsenal d'horreurs qui ravagent peu à peu notre cadre de vie (dont ''la mort'' est une partie intégrante).
Chopin, Beethoven, Berlioz, Bruckner, Schubert, Haendel, Grieg, Gounod, Purcell, parmi tant d'autres, ont proposé à l'humanité des œuvres grandioses destinées à accompagner le passage (inévitable) de la vie au trépas. Parions que la sinistre ''marche funèbre de Macron'' dont on va nous rebattre les oreilles dans les mois qui viennent (il se dit qu’il aime mieux qu'on parle de ça... que du froid glaçant qui va nous transpercer, fruit de l'imprévoyance² de son prédécesseur et de lui-même, et de leurs prises de position irréfléchies et indéfendables) sera moins ''sexy'' ! Mais... chuuuut : il est très mal vu de dire la vérité, sur ce sujet comme sur tous les autres !
C'est à cette stratégie éculée que le président a donc recours : occuper l'opinion avec une loi dite sociétale pour ne pas parler du réel désastre économique,  social et humain. En annonçant, le mardi 13 septembre, vouloir réunir une consultation citoyenne sur la fin de vie, Emmanuel Macron applique un élément de plus de son programme progressiste : le résultat de ces discussions entre gens qui ne savent rien du sujet mais qui vont être soumis à des tirs de barrages insupportables, est, évidemment, connu d'avance ! En pleine crise de l'énergie, dans un contexte inflationniste, et avec peut-être une vraie guerre à nos portes, le chef de l'État étale un cynisme sans faille. Mais les dés sont pipés sur toute la ligne : depuis Hollande, on a bricolé un soi-disant Comité d'Ethique bourré de gens qui n'en ont aucune (dernière insulte au bon sens en date : Cécile Duflot ! C'est tout dire !) : ce qu'ils appellent leur éthique consiste à approuver bruyamment tout ce qui vient d'en haut.
Le moment, nous serine-t-on comme si c'était vrai, serait bien choisi. Et de fait, les esprits, préparés, n’ont jamais été aussi matraqués... juste au moment où, alors que la crise sanitaire a mis en lumière de graves failles dans le système de santé français, une légalisation de l'euthanasie ouvrirait la voie à des dérives graves qui pourraient s'avérer d'autant plus déplorables que le pays connaît des difficultés économiques (on appelle ça ''la convoitise des héritages'', et c'est un fait historique bien connu). D'autre part, les défaites (mariage homosexuel, GPA, extensions de l'IVG...) qui ont mis un peu ''hors jeu'' le camp ''pro-famille'' peuvent le --et nous-- pousser à désespérer, car en réalité, le combat ne consiste pas qu'à barrer la route à des mesures criminelles ou à donner droit à de nouveaux besoins de l'humanité, mais à faire passer un message, à le marteler et à le banaliser. Puisque un objectif dans la politique actuelle de déshumanisation et de désenchantement du monde est l'institutionnalisation en cours du suicide assisté, légal et pré-pardonné, il faut ouvrir tous les tiroirs cachés, les arguments assassinés, le non-dit, les contre-vérités et les mensonges que tant de braves gens ont avalés : l'alternative à un assassinat légalisé (mais qui ne sera jamais ''légitime'', bien sûr !), ce n'est pas ''la mort dans la souffrance'' mais un ''droit à la vie dans la dignité'' !
Les combats sur ces non-sujets qui se déroulent depuis une quinzaine d’années ne sont prioritaires que pour une infime minorité dont on gonfle les effectifs sans pudeur. Ils s'inscrivent dans une lutte de longue haleine. Le ''camp de la vie'' renaissant toujours de ses cendres et nos adversaires ne rêvant (à les en croire) que de faciliter et d’aider la mort des leurs, on serait en droit d’espérer, à terme, un basculement sociologique, d’autant que toutes leurs digressions, qu'ils disent sociétales, ne sont que mortifères, chacune n'’étant qu'une étape de plus dans la ''lutte finale'' apocalyptique du Bien contre le progressisme, la bataille ultime...
Tout-à fait par hasard, alors que je réfléchissais à ce ''billet'', une question m'est venue, hier : soit un candidat au suicide qui ''se rate'' (dose de barbiturique trop petite... fenêtre d'où il s'est jeté pas assez élevée... corde qui se rompt... etc...). Quelle attitude vont devoir ou pouvoir adopter les pompiers ? Va-t-on les poursuivre s'ils le sauvent de la mort ? Au fond, nos hordes de technocrates sans conscience ni éthique se moquent bien du sort des pompiers : ils ont déjà privé de boulot des milliers d'entre eux... rien que pour le plaisir de les ''emmerder'', au nom de cette décadence qu'ils appellent ''leur éthique'' et qui n'est qu'  ''une culture de mort'', où le puissant et magnifique ''Aimez-vous les uns les autres'' chrétien est remplacé par un épouvantable ''Aidez-vous les uns les autres... à mourir'' ! Que c’est moche !
En attendant, évitons de ne nous raconter des carabistouilles : si cette belle (?)  idée macrono-progressiste passe (et tout porte à croire que c'est ''comme si c'était fait'' : ''la mauvaise idée chasse toujours la bonne'', dit presque la Loi de Gresham à peine mise au goût de l'absence de goût du jour), le vieux ou le malade qui donnera l'impression de ''un peu trop tirer sur la corde'' (c’est-à-dire si ses dépenses totales de santé dépassent la somme qu'il a ''raquée'' pendant ses années de ''cotisant''... ou si c'est la 3 ème année consécutive que sa survie reporte encore cette descente tant attendue du Nil en felouque par tel héritier... ou bien s'il persiste à occuper un logement décrété trop grand pour lui et (car ?) convoité par tel autre, qui s'y verrait bien...) aura intérêt à être en bons termes avec sa concierge, son médecin, son kiné, ses voisins et ses petits-enfants... car sinon, les ''ceux qui savent'' auront vite fait de régler son sort, ''dans la dignité'' : à peine close la porte de la chambre où il a été enfermé (NB : on l'a déclaré ''grabataire'' en relevant les barrières latérales de son lit... bien sûr ''pour éviter qu'il ne tombe'' --sic !), les discussions pourront ''y aller'', pour décider si le temps ne serait pas largement venu de le faire profiter des aménités de ''la dignité'' caricaturée par des ''autorisés'' qui s'auto-pardonneront cette forfaiture en se mettant à 3 pour une signature ''collégiale'' --mais pas moins impersonnelle, moins technocratique, et pas moins in-humaine pour autant.
Et n'allez pas dire que j'exagère : dans votre for intérieur, vous savez très bien que c'est la seule évolution possible, et que d'autres chemins à long terme sont inenvisageables : comme cela a été le cas pour toutes et chacune de ces lois scélérates prétendues ''sociétales'', l'aspiration  vers le néant, le pire et le ''too much'' devient vite de droit et de fait : c'est le destin des choses. Et personne, que je sache, n'a jamais remis en cause ce grand principe si superbement énoncé par Alphonse Allais : '' Une fois qu'on a passé les bornes, il n'y a plus de limites''.
H-Cl..
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lou-bonfightme · 2 years
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Paris, toujours || [self-para]
In which Toulouse gets a surprise gift from his father...[takes place: August 27]
[tw -- none]
There was a package in the mail for Toulouse. From his father.
Odd. This would be strange usually, considering that Hector was not the sort of father to give gifts or send things along. Unless you were his darling daughter, of course. For the boys? No, that was never the sort of parent he had been. It was a decently heavy parcel, so not simply just a letter.
Toulouse had frowned at it as he had taken it out of the mailbox. He’d handed it off to Opal, as he usually did. She liked getting the mail. It her feel very important and she looked through all of it with a thoroughness that was impressive for someone who could only vaguely read.
Once inside, he had sat down on the couch, Opal climbing up next to him and peeking over his arm as he pulled the strip off and opened it. Out slid a burgundy passport. Then, clattering after it, a national identity card. Finally, a small piece of paper written in his father’s easily identifiable, slanted handwriting.
Long overdue, I believe. - H.H.B.
“Ooh,” Opal said, leaning across Lou’s thigh to pick up the passport and start flipping through the pages. “Tonton! Vous!” She held up the front page which, yes, had a picture of him.
“Oui, c’est moi,” Lou said, blinking as he took the passport from her and looked at the expiration date: August 22, 2032. It was brand new. He looked at the identification card. Same thing. Under Magick status, it simply said: Magick. Not “dangerous Magick” as his paperwork had read for the last almost four years. Toulouse clutched the pieces of paper and plastic in his hands as if they were going to disappear. He smiled a little to himself and then looked at Opal.
“Aimeriez-vous aller à Paris?” he asked her.
Opal’s brow furrowed for a moment as she parsed out what he had said. “Paris?”
“Oui, ta maman et moi sommes nés là-bas.”
“Je suis né là aussi?”
“Non,” Lou chuckled. “Mais tu es Parisienne.”
“Oh. D’accord.” Opal slipped off the couch to start playing with her toys, the question forgotten.
Lou pulled out his phone and rang his father. He wasn’t expecting him to answer necessarily. His father was a busy man. His father and him had not spoken for a very long time. Almost a year, if Lou thought correctly. Not that that was hard to do. Neither of them had kept in the best touch over the years, but the silence this time was intentional. Lou was furious at his father for how he had treated Berlioz. But right now, all of that was forgotten.
Hector’s phone went to voicemail. As expected.
“Bonjour, père,” Lou said. “I was just calling to say merci beaucoup for the package.” He turned the passport over and over in his hand, admiring the smooth leather surface, the shining gold emblem. For years, Lou had not been a citizen of anywhere at all. Technically, he had been in Swynlake as a refugee. He was not a British citizen.
And he had not been a French one either, barred from the country due to his status as a werewolf. Barred from the place of his birth. The place he had grown up. The place he loved, more than anywhere else in the world.
Now, he could go back. He could walk his favourite streets again, see his favourite artwork in the tiny museums tucked away from the prying eyes of tourists; he could walk along the Seine, retrace the paths of his childhood. And he could take his own children there. Tell them stories of where he had been born and grown up. He could show Belle around the streets she had been born too. They could visit la Palais Garnier together. He could take Hades to his favourite restaurants--where they served caviar and champagne by the bottle only. These possibilities rolled out in front of him like a red carpet, welcoming him home.
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meggigoering · 7 months
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📖November 13th, 2023
🦈"The tram covered Berlioz, and a round dark object was thrown under the lattice of the Patriarchal Alley on a cobblestone slope. Having rolled down this slope, it jumped on the cobblestones of Bronnaya. It was Berlioz's severed head." (Bulgakov M.A., Master and Margarita).
For criminal proceedings, to gather the appropriate evidence is not an ordinary task, in particular for the cases of serial crimes. Last week appeared to be a pretty busy considering that I was on sick leave due to the allergy and poisoning. In fact, I passed a number of tests to confirm the poisoning with the mustard gas, and differentiate the poisoning and allergy. As previously stated, mustard gas necessitates a very specific blood change and distinct symptoms. When combined by individuals who are aware, it is impossible to confuse these exceptional modifications with anything else.
The hypothesis's accuracy can be easily confirmed by the fact that I and my dogs are alive, which is surprising since there aren't many people who know this stuff. Mes chiens et moi sommes en vie, ce qu'on appelle la septième preuve. My belief is that God played a significant role in my rescue, but also the understanding of toxicology, war medicine, and investigative medicine. It's unlikely that anyone predicted that all stars would come together in my case. Otherwise, me and my dogs would be already rotten on the cemetery.
Although it is a rare intoxication, the exact number of people who have died due to acute mustard gas toxicity is unknown. As the case of my family shows, at least 3 deadly acute poisoning of humans, and 9 cases of my dogs' death were caused presumably by the acute poisoning combining together with the accident, wrong diagnosis, falsification of medical records. So, I've passed many tests of blood, and now I have the most complete clinical picture allowing not only to proof the hypothesis of acute poisoning, but only proof the source of it, in particular - among others, the business documentation of the BOOST. As a remarkable note, the most toxic folders contained documents related to Tinkoff Bank, Sistema-VTB, Bunkovo, and Smart Expert. Signing and sealing this crap was a nightmare, and I had to ventilate it for a couple of months and store it outside my permanent presence room before proceeding. Thus, as long as I retook the blood tests in the certain time intervals, now it is possible not only to confirm the poisoning itself, but also connect it with the documents, and the cases - I am sure that among approximately 300 folders, exactly these four were appearing as the most disgusting.
Another good news is that I've got the fresh conclusion of the Allergist. Not sure that many of people know this fact, but I am vegan, and I don't drink alcoholic drinks, and do not take any drugs due to the polyvalent allergy on any medicaments, intolerance to ethanol, and protein of animal origin since my birth. For sure, many silly distributors of slander about me did not know this fact, otherwise they would cut their tongues instead of spreading the crap about me that I'am a kinda alcoholic and drug-addict schizophrenic. For those bold and stupid dumb-tongued, there is a one more Darwin award - the recognition following the article 128.1 of the Criminal Code of the Russian Federation, and linked as well.
A couple of days ago, I've got the good news about the initiation of criminal proceedings with regards to the slander about me that I'm kinda a mentally ill with schizophrenia. As long as the end of the whole case is completed in Samara, the investigation is in Samara now. Many of my "moscow" friends from AFK Sistema and beyond will be congratulated together with Stinky, Tanyshka, and their mad down-prostitute daughter "lera": I mean Igor Kozlov, Vera Kolesova, Evgeny Pruidze, Asya Ramazanova, Inna Somkina, and so on, the long list is really long to publish it here.
Also, in addition to the 128.1, Stinky, Tanushka, Olushka, and down prostitute Lera are awarded by the Kuybishevsky Department of the Investigative Committee of the Russian Federation with the articles of the criminal code 111, 116, 159, 167. Stinky is really stupid idiot, because with the complete ignorance he poisoned my dogs on Friday once again, closing them in the bathroom polluted by the specific substance of oxygene mustard gas - this crap is dark brown oily substance. But that's not all! After sending of the request to the Investigation Department to perform the search and criminalistics expertise over the area under the roof and above my flat, to identify the source of pollution with so called British mustard gas, the managing company of the house immediately started the "cleaning" in this area, and three days in the row these bastards - ils avez effectué un nettoyage général dans le grenier, qui s'est terminé par un retrait solennel - vous ne le croirez pas ! - une salle de bain en fonte du grenier.
The conclusion is simple: never, never, never tell slander about me motherfckers. Never, never, never even try to rewrite my property to somebody else by using the forged documents, sham court judgments, and other kind of falsification, and crimes. And never steal my documents, cars, belongings, and even don't try to poison me. With my genetics, I survived after the series of the acute mustard gas poisonings. And my two dogs as well. My children will inherit a natural reticence to the crap that was used against me for the purpose of murder. Thank you all very much.
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almanach2023 · 1 year
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Aujourd'hui, mercredi 8 mars, nous fêtons Saint Jean de Dieu.
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SAINT DU JOUR . Saint-Jean-de-Dieu . Fondateur de l'ordre hospitalier des Frères de la Charité . (1495-1550), religieux. Né au Portugal, il connaît 40 ans de vie très variée : berger, soldat, mendiant, intendant d'esclaves au Maroc, vendeur de livres religieux à Gibraltar� Un sermon de Jean d'Avila l'oriente en 1539 vers une vie plus évangélique. En 1540, il se fixe à Grenade en Espagne où il fonde un hôpital qui sera la base du nouvel ordre des frères hospitaliers de S. Jean de Dieu. Canonisé en 1690, il est déclaré patron des malades et des hôpitaux en 1886. . Habités de questions métaphysiques, épris d'absolu, les Jean sont des êtres capables de tous les revirements et de toutes les contradictions. Contemplatifs et actifs à la fois, ils sont fascinés par la vie et jamais rassasiés. Ils attachent un grand prix à l'amour mais sont décidément peu faits pour la monotonie de la vie de famille. Nous fêtons également les : Apollonia - Apollonie - Arien - Humfroi - Humfroy - Onfroy - Ponce - Psalmode - Sane - Senan - Seni - Sezni - Jean de Dieu Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328 FETE DU JOUR Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ]
. Jean-Pierre Castaldi, acteur . Jean Amadou, humoriste . Jean-Claude Gaudin, homme politique . Jean-Jacques Goldman, musicien . Jean-Claude Van Damme, acteur . Jean-Pierre Cassel, acteur . Jean-Claude Camus, producteur . Jean-Luc (Stéphane) Reichmann, animateur de radio et de télévision français . Jean-Charles de Castelbajac, couturier . Jean-Luc Godard, réalisateur français . Jean-Luc Petitrenaud, journaliste et critique gastronomique français . Jean Alfred Villain-Marais dit Jean Marais, acteur . Jean Louis Trintignant, acteur . Jean-Michel Ribes, auteur, metteur en scène et réalisateur français . Jean-Baptiste Maunier, chanteur et acteur français . Jean Racine, poète tragique français (21 avril 1699) . Jean Ferrat, auteur-compositeur-interprète . Jean-Pierre Rives, rugbyman Ils nous ont quittés un 8 mars : 8 mars 2005 : Alice Thomas Ellis, célèbre éditorialiste et romancière anglaise. (9 septembre 1932) 8 mars 1975 : George Stevens, réalisateur américain (18 décembre 1904) 8 mars 1869 : Hector Berlioz, compositeur, écrivain et critique français (11 décembre 1803) Ils sont nés le 8 mars : 8 mars 1921 : Cyd Charisse, danseuse et actrice (17 juin 2008) 8 mars 1934 : René Tendron, journaliste radio français 8 mars 1945 : Anselm Kiefer, artiste plasticien contemporain allemand 8 mars 1960 : Jeffrey Eugenides, romancier des États-Unis d'ascendance grecque 8 mars 1970 : Andrea Parker, née Andrea Nicole Parker actrice américaine 8 mars 1976 : Freddie Prinze Jr. acteur américain 8 mars 1977 : James Van Der Beek, acteur Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22 Fêtes, Célébrations, événements du jour Mercredi 8 mars 2023 : Journée de la femme 8 mars : Journée internationale des femmes (20 C/13.2) (UNESCO) CITATION DU JOUR Citation du jour : La jeunesse a cela de beau qu'elle peut admirer sans comprendre. Anatole France. Citation du jour : Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage. Sacha Guitry Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz Nous sommes le 67ème jour de l'année il reste 298 jours avant le 31 décembre. Semaine 10. Beau mercredi à tous. Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
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#montreal #montréal #iledessoeurs #îledessoeurs #iledessoeursmtl #violence
VIOLENCE SUR LA VILLE EN 2022 -
Un homme que l’on dit armé a été abattu par un policier samedi le 17 septembre 2022 alors qu'il marchait au coin de René Lévesque et Berlioz sur l'Île des Soeurs.
L'homme aurait pointé son arme vers le policier qui a riposté.
Imaginons si l’homme armé était entré au IGA, situé en face et qu'il avait commencé à tirer sur les gens…
Justement, 12 heures 30, le samedi, c' est mon heure pour les courses, et ce IGA fait partie de mes marchands…
Cet événement n'est qu'un des récents crimes violents dans la grande région de Montréal!
Il ne faut pas paniquer, mais il faut être réaliste et surtout prudent!
Lors de ma prochaine visite chez l'épicier, je vais m'assurer qu'il m'indique les sorties d'urgence autre que l'entrée principale.
Et je vais faire cette même démarche chez les autres marchands que je fréquente.
Bon automne et soyez prudent!
Ulysse et moi on est attentif et sur nos gardes...
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marthajefferson · 3 years
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"Pour moi, Louis de Funès est devenu l'acteur référent. Il a toujours été bon, même dans ses mauvais films; et sur un plateau, j'essaie toujours de me demander ce qu'il aurait fait."  —Alexandre Astier
JOYEUX ANNIVERSAIRE LOUIS DE FUNÈS 🍾🎂🎉 (31 juillet 1914 - ∞)
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you can barely see me in the video (sorry, but I did film this about 10 PM here, so just a little bit ago), but here's me singing an excerpt (the second "A" section and the "C" section) of "Tra la la...Mais qu'ai-je donc?" from Benvenuto Cellini!
please keep in mind that while I have taken some voice lessons and have done a bunch of musical theater, I am essentially an overzealous not-quite-18-year-old who loves performing, even if that just means singing parts of arias that I love in the car. I'm no pro. I just do what I love and hope it sounds decent.
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rarougrougrou · 2 years
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Ma soeur :
-Ressemble à Myriam dans Le Prince D’Egypte
-A un visage parfait
-Des yeux kaki
-Ressemble à notre mère quand elle était jeune
Puis y’a moi
-Portrait craché du daron dans ses mauvais jours
-Un regard vide et fatigué
-des yeux marrons caca
-a déjà été physiquement comparé à berlioz
La génétique elle m’a vraiment dit d’aller me faire foutre
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Fils d’un immigré mort pour la France, Français par le sang reçu et par le sang versé, je n’ai que mépris pour les profiteurs arrogants qui, mis au monde, nourris, éduqués (?) par la France, tiennent pour une humiliation de devoir demander la nationalité française.
Cette nationalité, mon père l’a acquittée de sa vie.
Je l’ai, moi, échangée contre mes joies d’enfant en devenant orphelin, c’est-à-dire adulte, à l’âge de sept ans.
Ce baptême de sang a fait de moi le compatriote de Vercingétorix, de Villon, de Rabelais, d’Ambroise Paré, de Perrault, de Bayard et de du Guesclin, de Pasteur, de jules Verne, de la Petite Thérèse, de Maurras, de Mermoz, de Berlioz.
Et de nos rois.
La Loi républicaine peut me contraindre à être le concitoyen des Français de papier qui ne se baissent même pas pour ramasser une faveur pour laquelle, naguère, on mourait.
Elle n’en fera jamais mes compatriotes.
Serge de Beketch
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mstanyawinslow · 3 years
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TOP 5 LINES/PHRASES/LYRICS (only 5? Only lines? Not really)
1. Writing the list was difficult, because I'm an indecisive person (that's the reason I picked more than five and more than just little lines)
Dido and Aeneas - Purcell (Dido's Lament/When I am Laid in Earth)
Remember me, but forget my fate
Hercules - Händel (Where shall I fly)
These impious hands have sent my injur'd lord untimely to the shades! LET ME BE MAD!
[...]
Alas, no rest the guilty find from the pursuing furies of the mind!
La Clemenza di Tito - Mozart (Ecco Il Punto, Oh Vitellia)
Ecco il punto, o Vitellia, d'esaminar la tua costanza: avrai valor che basti a riminar esangue il tuo Sesto fedel?
La Bohème - Puccini (Sono Andati)
Ho tante cose che ti voglio dire, o una sola, ma grande come il mare, come il mare profonda ed infinita... Sei il mio amore e tutta la mia vita!
Tosca - Puccini
Act II
Ti soffoca il sangue? E ucciso da una donna!
M'hai assai torturata!...
Odi tu ancora? Parla!... Guardami!...
Son Tosca!... O Scarpia!
Muori dannato! Muori, Muori!
È morto! Or gli perdono! E avanti a lui tremava tutta Roma
Act III
O Scarpia ... avanti a Dio!
L' Incoronazione di Poppea - Monteverdi (Disprezzata regina)
Disprezzata regina, del monarca romano afflitta moglie, che fo, ove son, che penso ?
O delle donne miserabil sesso: Se la natura e'l cielo libere ci produce, Il matrimonio c'incatena serve.
[...]
Allattiamo il carnefice crudele che ci scarna e ci svena, e siam forzate per indegna sorte a noi medesme partorir la morte.
Les Troyens - Berlioz
Act I Cassandre
Malheureux Roi! dans l'éternelle nuit, c'en est donc fait, tu vas descendre! Tu ne m'écoutes pas, tu ne veux rien comprendre,
Malheureux peuple, à l'horreur qui me suit!
Chorèbe, hélas, oui, Chorèbe lui-même croit ma raison perdue!...
[...]
De l'affreux destin qui m'oppresse Il faut subir l'inexorable loi!
Act V Didon
Et me venger d'Énée et lui servir enfin les membres de son fils en un hideux festin!
Werther - Massenet
Je vous écris de ma petite chambre: Au ciel gris et lourd de Décembre pèse sur moi comme un linceul, Et je suis seul! seul! toujours seul
Carmen - Bizet
Jamais Carmen ne cédera!
Libre elle est née et libre elle mourra!
And many, many others... (maybe part 2?!)
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pilferingapples · 6 years
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A commentary on Hugo by Paul Verlaine, a Decadent writer and head of the Press  Bureau of the Paris Commune,  and apparently no fan of Later Hugo.    Not sure if I’ve posted this before, but I’m sure I haven’t tried to translate it, so here’s the Translation: 
Yes, the Legende des Siecles contains noble epic tales, some of which, like the little king of Galicia, Eviradnus, can support the comparison with this or that Arthurian poem by Tennyson. But what philosophy, what theology, what views on the social horizon, what poverty in that sesquipedalian dysentery !*
The rest of the work from the Chatiments, is not worth the honor of being named; and when I have confessed that there are (some worthwhile)  things in Les Miserables, that harlequin, and in Ninety- Three, let me go back to the Victor Hugo of Pétrus Borel and Monpou!
Quick notes and French transcription under the cut:
- basically “what a lot of garbage in all this verbal diarrhea” :P  - Hippolyte Monpou was Romanticist composer; Gautier gave him a chapter in History of Romanticism, and called him “the Berlioz of Song”.  ...Petrus is Petrus  of course:P 
Verlaine seems to have been a direct fan of both of them  pretty much his whole life; since he was born in 1844, he couldn’t have met either--Monpou died in 41 and Petrus was out of the country in 45 and dead before Verlaine started traveling around--  so this is an interesting (to me anyway!)  evidence of a next-generation  fandom for these minor figures and the 1830s-era Romantic school.
Oui, la Legende des Siecles contient de nobles contes épiques, dont quelques-uns, le petit roi de Galice, Eviradnus, peuvent soutenir la comparaison avec tel ou tel poème Arthurien de Tennyson.  Mais quelle philosophie, quelle théologie, quelles vues sur l'horizon social, quelle pauvreté  dans quelle dysenterie sexquipédalienne!
Le reste de l'oeuvre d'á partir des Chatiments, ne vaut pas l'honneur d'être nomme;  et quand j'aurai avoué qu'il y a des choses dans Les Miserables, cet arlequin, et dans Quatre- Vingt-Treize, laissez moi retourner au Victor Hugo de Pétrus Borel et de Monpou!
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blogdeneoschneiter · 3 years
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Je suis élève en terminale générale spécialité cinéma-audiovisuel et mathématiques avec l’option arts plastiques au lycée Hector Berlioz à Vincennes. J’apprécie énormément la spécialité cinéma, matière que je pratique depuis 3 ans et qui m’a donné envie de faire du cinéma d’animation, en faisant le lien entre le cinéma et ma passion pour le dessin.
J'espère réussir à montrer ma personnalité à travers ce blog artistique.
Je posterai quelques-uns de mes travaux et plusieurs références qui comptent pour moi.
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