Tumgik
#Cacha Films
jontheblogcentric · 6 months
Text
VIFF 2023 Review: The Oceans Are The Real Continents (Los océanos son los verdaderos continentes)
A Cuban couple with artistic dreams and goals is one of three stories in the film The Oceans Are The Real Continents. A film like The Oceans Are The Real Continents is a unique portrait of life centred around three different people in a town in Cuba. It paints quite a picture and is full of feeling. The story begins with a theatrical production live on the lake. Alex is the main actor of the…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
Text
Clip del film "Gli oceani sono i veri continenti"
Primo lungometraggio di Tommaso Santambrogio, film d’apertura in Concorso alle Giornate degli Autori, “Gli oceani sono i veri continenti” è una produzione Rosamont con Rai Cinema, in coproduzione con Cacha Films, prodotto da Marica Stocchi e Gianluca Arcopinto, in sala dal 31 agosto distribuito da Fandango.  Sullo sfondo di una Cuba decadente e in un bianco e nero lacerato dalla pioggia…
View On WordPress
0 notes
t-marveland · 2 years
Text
𝐑𝐞𝐚𝐥 𝐋𝐢𝐟𝐞 | rami malek
Rami Malek x Reader
Warnings : aucun
Mots : 123
Masterlist
Tumblr media
Rami était sur un plateau télé pour la promotion de son dernier film dans lequel il jouait le célèbre Freddie Mercury.
❝━ Il parait que le tournage était très fatiguant. Dit l'animateur.❞
Tout à coup, une photo de Rami en train de dormir dans une drôle de position apparue sur les écrans. En voyant la photo, il rigola et cacha son visage dans sa main, gêné.
❝━ Où avez-vous trouvé ça ? Demanda Rami.
━ Votre collègue, (T/P), me l'a gentiment envoyé.❞
Rami rigola une seconde fois, il n'était pas vraiment surpris que ce soit toi la responsable. Il tourna la tête vers la caméra et la regarda.
❝━ Je me vengerai. Dit-il en savant très bien que tu regardais l'émission.❞
5 notes · View notes
alexar60 · 5 years
Text
Premier samedi du mois
Tumblr media
Nous étions quelques-uns à raconter notre enfance et leurs souvenirs marquants. J’étais assis sur un pouf et tendis mon verre qu’un pote remplissait de whisky coca quand je racontai mon premier film porno. C’était un samedi soir, on n’avait pas canal+, cependant nous captions la chaine avec des images cryptées. J’avais veillé prétextant regarder un film sur le magnétoscope. Quand je fus certain que les parents dormaient, je récupérai une passoire parce qu’un reportage avait expliqué qu’on voyait mieux quand on remuait une passoire devant l’écran. En fait, c’était tout aussi flou, bizarre comme le son, tout aussi brouillé. Mes amis rirent en se souvenant avoir fait de même. Puis nous passâmes sur d’autres sujets comiques. Parfois je regardai du coin de l’œil, G. qui me rendait ce regard complice en ajoutant un petit sourire. Nous rentrâmes tardivement chez moi ; elle resta dormir, évitant ainsi de prendre la voiture.
Le lendemain, pendant le petit-déjeuner, elle fouilla dans la cuisine, cherchant dans chaque placard si j’avais une passoire. Je me suis mis à éclater de rire et refusai d’entrer dans son jeu. Déçue, elle arrêta mais continua cependant à me taquiner avec cette petite histoire racontée concernant mon adolescence.
J’oubliai tout ça jusqu’au soir où elle proposa de manger chez elle. Pour reprendre ses mots, elle voulait ‘cuisiner et me régaler’. Son diner était parfait, nous discutâmes entre deux bêtises d’amoureux puis elle proposa de regarder un film. A ma grande surprise, elle sortit le DVD d’un vieux film que j’ai bien aimé bien que triste et horrible : Le vieux fusil. Ce n’était vraiment pas le genre de film qu’on voit pendant une soirée romantique. Elle ne le connaissait pas, nous appréciâmes toutefois cette romance entre Romy Schneider et Philippe Noiret car finalement, derrière la vengeance, il y a une très belle histoire d’amour. La vidéo finie, elle se leva, regarda l’heure et annonça qu’il était minuit ; le film sur Canal+ allait commencer. Je rappelai qu’elle n’avait pas Canal. Elle bougea tout en répondant qu’elle n’en avait pas besoin. Elle revint avec une passoire qu’elle me donna. Assis sur le canapé, j’étais mort de rire. Je plaçai l’ustensile devant ma tête, les trous minuscules floutaient ma vue. Je n’eus pas le temps de dire que je ne voyais rien qu’elle commença un striptease langoureux.
G accompagna sa danse excitante en effeuillant ses vêtements les uns après les autres. Elle joua sur ses parties sexys, les cachant tant bien que mal. Puis une fois entièrement nue, elle s’allongea sur la table, écartant les cuisses, balançant ses jambes pour faire des huit au-dessus de son corps. Elle cacha ses seins, préférant m’exciter en laissant son sexe épilé à l’air. J’eus du mal à voir à travers la passoire ; je me concentrai sur un trou afin de l’admirer entièrement. Néanmoins, j’appréciai ce côté  « peep-show du pauvre ». Il y avait un effet voyeur qui titillait mon imagination. Elle se releva et se mit à quatre pattes sur la table, la croupe dans ma direction. Elle me regarda en souriant sans chercher à m’appeler. Elle cambra ses fesses rondes afin de mieux exposer sa chatte à ma vue troublée. Elle s’amusa à humidifier son majeur puis l’utilisa pour caresser son anus toujours en me souriant. Je commençai à sentir la chaleur monter alors, toujours en gardant mon visage caché par le tamis, je déboutonnai mon pantalon et le retirai maladroitement. Elle put ainsi constater mon érection. Elle continua ensuite de jouer sur la table ; tantôt sur le dos, se masturbant, enfonçant un doigt puis un second ; tantôt sur les genoux, accroupie titillant ses orifices du bout des doigts qu’elle humidifiait avec sa salive. Enfin, elle descendit et s’approcha en marchant à quatre pattes jusqu’à moi. J’eus beaucoup de mal à voir son visage coquin encore moins son regard lubrique. Elle approcha ses lèvres de mon sexe et entreprit une fellation dont je ne voyais rien en dehors de ses longs cheveux châtains. Nous fîmes l’amour sur le canapé. Au début avec la passoire mais le sérieux, l’envie de profiter d’elle comme elle de moi, j’abandonnai ce machin encombrant sur le tapis.
Elle était contente de son idée. Elle profita de notre câlin d’après pour me demander si cela m’avait rappelé des souvenirs. Je répondis en riant… Bien sûr que non ! Je n’avais fait l’amour en utilisant de passoire même pas remplie de nouilles. Elle réagit en riant, montrant ses petites dents blanches et ajouta que j’étais con. J’aimai bien sa façon de dire ‘t’es con’ Et comme à chaque fois, je répondis « merci, je t’aime aussi »
Alex@r60 – septembre 2019
28 notes · View notes
kpopinparis · 5 years
Text
LIVE REPORT : KNK au Bataclan
Ce dimanche 25 août, KNK ont tenu leur premier concert en France, qui s'est déroulé au Bataclan. Un concert très attendu par les Tinkerbells (nom des fans), et on vous propose de découvrir (ou re-découvrir) le concert !
Tumblr media
Peu avant le début du concert, certaines chansons étaient déjà diffusées dans la salle pour faire patienter les fans, et on a tout de suite pu découvrir l'excitation des fans en les entendant chanter si fort sur « Lonely Night » ou « Knock » par exemple. Sans plus attendre, le concert a ensuite commencé à 20 heures, les cinq membres arrivant sur la scène pour commencer à performer « We are the one » puis « Sunset », deux chansons tirées de leur dernier album, dont « Sunset » est la chanson titre. En seulement deux chansons, les membres du groupe ont déjà su éblouir les fans par leurs chorégraphies complexes et très bien maîtrisées !
Tumblr media
S'en suivit ensuite le premier Talk, où quelques membres se sont essayés au français, comme par exemple Seoham disant « Bonjour Paris », ou Dongwon et Jihun disant « Merci beaucoup ». Les membres révélèrent ensuite avoir été surpris d'entendre les Tinkerbells chanter si fort leurs chansons avant leur arrivée, et racontèrent ensuite avoir mangé des macarons et vu la Tour Eiffel lors de leur séjour à Paris. Heejun vint alors rajouter qu'ils s'étaient également entraînés pour le concert, ce à quoi les fans vinrent taper des pieds au sol afin de leur montrer leur excitation, puis venir crier leurs fameux cris d'encouragements (popopo) que les fans ont l'habitude de chanter à chaque concert, ce qui a particulièrement plu aux KNK, Seoham trouvant ça particulièrement génial.
Tumblr media
Le concert a ensuite continué, avec un léger problème de son alors que la musique ne commençait pas, ce qui a fait rire les fans et le groupe, où Heejun a laissé échapper un « Music starts ». La chanson qui a été jouée ensuite a été « Day by day », dont la fanbase avait organisé un projet d'océan rose, avec des gommettes roses, distribuées plus tôt dans la file, plongeant alors la salle dans la couleur officielle du groupe. Le groupe a ensuite performé « Rain » et « Lonely Night », deux de leurs chansons-titres.
Le groupe fit une pause pour laisser place à un second Talk, où Seoham a tout de suite commencé par reprendre le « popopo » des fans qui lui avait vraiment plu, et les fans ont commencé à chanter avec lui. Le groupe a ensuite expliqué que Jihun venait de se blesser et avait dû retourner en coulisses, à la grande surprise des Tinkerbells qui n'avaient rien remarqué. Les membres ont ensuite voulu raconter dans les détails ce qu'ils avaient fait à Paris, en commençant par Dongwon, qui expliqua qu'il avait un rêve depuis petit : pouvoir prendre une photo avec la Tour Eiffel avant de mourir. Et qu'il avait pu réaliser son rêve la veille. Heejun rajouta qu'ils étaient allés la voir à trois, avec Seoham, alors que Inseong et Jihun s'étaient endormis. Inseong vint se défendre en expliquant qu'ils avaient avant ça fait beaucoup de shopping, et qu'il était tellement fatigué après qu'en rentrant à l'hôtel, il s'était endormi en trois secondes. Heejun vint également raconter qu'ils avaient reçu beaucoup de cartes postales des fans durant leur séjour.
Jihun revint ensuite sur la scène, sous les applaudissements des Tinkerbells, et expliqua que la veille, lors de leur shopping, il n'avait jamais autant marché de sa vie et qu'une fois de retour en Corée, il restera assis. Inseong rajouta que Dongwon de son côté, était quelqu'un de très fort et sportif, expliquant ainsi comment il avait pu tenir debout même après toute leur marche. Ce fut au tour de Seoham de raconter ce qu'il avait fait dans la capitale, en commençant par dire qu'il avait visité le Musée du Louvre puis avait beaucoup mangé. Il a ensuite raconté qu'il avait étonné de voir autant de variétés de Fantas, comme par exemple du Fanta goût pêche (qu'il avait goûté et aimé), ou du Fanta goût cerise. Il avait pensé dans son restaurant que c'était à volonté, mais ce ne fut pas le cas et il partagea sa déception avec les fans alors qu'il n'avait pas pu en reprendre.
Tumblr media
Pour la suite des chansons, Heejun a voulu échauffer le public en commençant à chanter a cappella « Think about you », avant que la musique ne commence et que les cinq membres chantent ensemble en faisant participer le public lors des refrains. Ils chantèrent ensuite « What do you think » et « I Remember », des ballades sans danse afin de pouvoir se concentrer sur leurs chants et pouvoir interagir avec les fans (en particulier Seoham qui ne fit que lancer des coeurs aux Tinkerbells).
Pour leur troisième Talk, chaque membre devait chanter une chanson de leur choix. Ils commencèrent par Inseong, qui après avoir participé à l'émission King of Masked Singer, a voulu chanter deux des chansons qu'il avait présenté à l'émission, éblouissant tous les Tinkerbells avec ses capacités vocales. Ce fut ensuite au tour de Heejun de chanter, qui fit le choix de chanter « See you again », avant que Seoham ne demande à Dongwon de montrer sa chanson à son tour. De son côté, Dongwon avait choisi de faire le rap anglais de « Trust me » de K.A.R.D, ce qui impressionna le public mais suite à un oubli des paroles, il ne put rapper jusqu'à la fin. Alors avec l'aide de Seoham qui le cacha, il regarda les paroles et reprit son rap, comblant le public. Ce fut ensuite au tour de Seoham de chanter, mettant un temps à choisir sa chanson, et les autres membres venant expliquer qu'il était le seul à choisir la chanson qu'il allait chanter au dernier moment et en improvisant ; après un petit instant de réflexion, il commença à chanter « Hands Up » de 2PM. Ce fut enfin au tour de Jihun de chanter, qui fit le choix de « Falling Slowly » de Glen Hansard et Marketa Irglova, du film Once.
Tumblr media
Le concert continua avec les chansons « Tonight », « Feel so good » et « Beauty », avant que le KNK ne fasse un petit concours, permettant à cinq fans chanceux de gagner des photos signées. Les membres ont choisi des fans en fonction des numéros sur les bracelets distribués plus tôt par My Music Taste, et les fans sélectionnés devaient danser et chanter pour avoir droit à leur cadeau, sous le beat box de Heejun.
Après avoir offert ce cadeau à cinq Tinkerbells chanceux, le groupe reprit ensuite avec « Fade », dont la chorégraphie n'a été montrée qu'aux dates de la tournée Européenne, faisant ainsi un beau présent aux fans de l'Europe. KNK vint ensuite performer leur chanson phare « Sun, Moon, Star ».
Pour l'un de leurs derniers talks, Seoham expliqua qu'il avait trouvé que le temps était passé très rapidement et qu'ils avaient un peu plus parlé qu'à leurs précédents concerts, Paris étant leur dernière date, et qu'ils ont vraiment voulu tout donner. Heejun raconta ensuite qu'aujourd'hui il n'avait pas mit de gel contrairement à d'habitude afin de pouvoir être plus énergique sur scène, préférant passer un moment unique plutôt que d'être beau. Et, le concert approchant de sa fin et adorant les cris d'encouragement (popopo) du public, il demanda aux Tinkerbells de rechanter ces cris mais en version triste.
KNK performa ensuite « Propose » et « Angel Heart », où pour la deuxième chanson, la fanbase française du groupe avait prévu un levé de bannières sur laquelle on pouvait retrouver écrit « Paris is our neverland », ce qui toucha les membres et ils vinrent en porter quelques-unes eux-mêmes.
Pour leur dernier Talk, Seoham montra une nouvelle fois les efforts qu'il avait fait pour parler français en disant « Paris je t'aime », et Inseong expliqua que Paris était leur dernière date après deux semaines de tournée en Europe, et que tous ces concerts étaient des souvenirs inoubliables et magiques. Dongwon vint ensuite ajouter qu'il n'avait vraiment pas envie de descendre de la scène et qu'il voudrait y rester encore longtemps, ce à quoi Seoham ajouta que c'était un rêve pour eux que de venir ici, et qu'il remerciait les Tinkerbells pour les avoir attendu pendant quatre ans. Le groupe confia alors qu'ils allaient essayer de travailler dur en Corée pour pouvoir revenir, et que si on voulait les revoir : il fallait appeler My Music Taste ! Heejun vint ensuite dire que la tournée avait été courte mais lourde, et qu'ils allaient toujours faire de leur mieux pour faire plaisir aux Tinkerbells. Pour leur prochain album, ils prévoient de travailler dur pour retrouver les fans et leur montrer de nouvelles facettes de leurs personnalités.
Tumblr media
Alors que le concert se tenait au Bataclan, Heejun vint alors dire que lui et les membres souhaitaient la paix dans le monde, et que tout le monde soit réuni par l'art et la musique. KNK ajouta qu'ils seraient toujours avec le Bataclan, et le groupe ne peut qu'être applaudi pour ces paroles.
Jihun vint ensuite terminer le talk en disant que les encouragements des Tinkerbells avaient été impressionnants et qu'ils feront de leur mieux pour pouvoir revenir !
Le concert se termina alors sur « Back Again » et « U », le groupe faisant exprès de terminer sur ces deux chansons dont les paroles parlent de l'attente du retour de l'être aimé.
Les membres quittèrent ensuite la scène, laissant les fans l'occasion de crier pour avoir un Encore. Parmi les chansons diffusées lors de l'attente, la dernière fut « See you again », une autre chanson dont les paroles avaient pour l'occasion beaucoup de sens. Les cinq membres revinrent ensuite sur scène, avec des t-shirts aux couleurs de la tournée, pour jeter des fleurs sur le public et chanter « Love You » et « Day N Night », ramassant au passage des cadeaux et surtout un drapeau français signé par les Tinkerbells. Les voir descendre de la scène une dernière fois fut déchirant, mais le concert aura pu laisser un souvenir mémorable aux fans présents !
Tumblr media
Vous pouvez dès à présent aller participer à la campagne pour pouvoir faire revenir KNK en France sur mymusictaste.com, l'organisation qui les a permis de venir pour cette première tournée. Nous espérons les revoir très vite et que les Tinkerbells n'ayant pas pu venir, pourront les voir une prochaine fois !
Article: Jeanne
Photos: Rachel
2 notes · View notes
gruposabe · 3 years
Photo
Tumblr media
Tranquilo Jason que la pandemia nos a pasado factura a todos. 👨‍👩‍👧‍👧 Por ahora nos conformamos con el cambio de la mascarilla. 😷😁👏 2022 estaremos cachas o💪 hermosotes todos otra vez. 😘♥️ #gruposabe #rodaje #peliculas #hbo #cine #cineespañol #taquilla #amazonprime #palmapictures #netflix #filming #shooting #palma #realytishow #benidorm #streaming (en Spain) https://www.instagram.com/p/CO05AlEBeuZ/?igshid=1h2dctj7hs3l3
0 notes
Text
LoveLisa
CHAPITRE 2
Madame Rose se pencha sur une feuille de papier. Elle aussi rose, remarqua Lisa qui se retenait de pouffer alors qu’elle détaillait du regard la tenue vestimentaire légèrement excentrique de sa prof. Elle se rapprocha de sa voisine et demanda :
-Qui c’est Madame Rose ?
Emilie répondit sans détacher son regard de la prof :
-La plus jeune prof de l’école, la plus classe aussi. Gentille, mais sévère et si tu veux un conseil à son sujet ; fais tes devoirs sérieusement et SURTOOUT ne lui ment pas c’est la pire chose que tu puisses faire vis-à-vis d’elle. Si tu lui mens et qu’elle s’en aperçoit, tu peux finir avec plusieurs heures de colle.
-Vraiment ? fit Lisa éberluée qu’un professeur puisse punir autant juste pour un simple mensonge. Elle avait l’impression qu’Émilie se fichait de sa tête. Mais, après lui avoir jeté un coup d’œil, elle se rendit compte du sérieux des propos d’Emilie, qui n’avait pas une once de malice dans les yeux.
-OUI la vérité, c’est son credo ajouta-t-elle et c’est aussi une super prof de sport.
Une prof de sport, je sens que je vais passer du temps à courir se mit à cogiter Lisa qui détestait tout activité physique qui lui faisait monter la température. Ah, qu’elle détestait ces odeurs de sueurs corporelles qu’on trouve dans les vestiaires…. Sa mère lui disait toujours c’est étonnant qu’avec si peu d’activité physique, tu sois aussi jolie ma chérie….pfff
-Dis-moi, tu es nouvelle dans notre bahut ? interrogea Emilie.
-Oui.
-Alors fais bien attention, dans un moment elle va te faire passer pleins de test bizarres.
Lisa blêmit.
-Bizarre comment ? dit-t-elle en ravalant sa salive, elle s’imaginait déjà devoir passer un test d’aptitudes physique devant toute la classe.
-Bizarre du genre à te demander de venir plusieurs heures à l’avance au lycée.
- Heu…. Bégaya Lisa, Elle a le droit ? Elle espérait que cela ne soit pas le cas sinon il y avait de fortes chances pour qu’elle finisse à venir avant l’aurore sous la demande de la prof.
Emilie confirma ses craintes :
- Oui, c’est notre prof principal. Emilie allait continuer lorsqu’elle remarqua que la prof s’était arrêtée sur son nom lors de l’appel, elle leva son bras. Lisa tourna sa tête en direction du tableau noir.
Madame Rose reprit :
-Lisa Fullheart.
-Présente. Lisa leva une main tremblante. Au moins ce coup-ci son nom était sur la liste. Pas comme l’année précédente.
-C’est ta première année chez nous au collège Montaigne ?
-Oui. fit Lisa légèrement agacée. C’est la troisième fois de la journée qu’on me le demande et juste en une matinée. Le prochain qui s’avise à me le faire remarquer, je lui jette un crayon sur la figure songea Lisa.
Madame Rose l’observa un moment puis dit :
-Viens demain à 5 heures du matin au stade d’observation de l’école. Emporte tes baskets, plusieurs bouteilles d’eau et un déjeuner de préférence léger….
-Euh,…entendu, Madame Rose, Lisa ne savait pas où était le stade mais de toute façon elle le demanderait à Émilie plus tard et puis, même si c’était des tests bizarres comme l’avait dit précédemment sa copine, c’est une prof, elle ne va tout de même pas me faire de mal. Si ?
Jérémy lui lança un regard moqueur comme s’il savait ce qui lui attendait.
-Vraiment c’était génial je penserais que cela se passerait mieux, quel accueil, fit Lisa sous forme d’une boutade.
Hallucinant, pensa Lisa en rangeant ses affaires dans son sac en même temps qu’Émilie. Dès le lendemain, elle allait devoir se lever aux aurores pour être à 5 heures au stade sur la demande de la prof.
Elle sortit de la classe avec Émilie et longea le long couloir, songeuse. Elle traversa avec son amie les bâtiments il y en avait quatre : les bâtiments A,B ,C et D, quelle originalité !
Le dernier bâtiment le E avait l’air spécial. Avec ses dessins et ses bulles remplies d’étoiles. Lisa se dit que ça devait être le spot d’observation. Bien qu’elle ne savait pas vraiment ce qui il y aurait à observer à partir de cet endroit, ni ce qu’il contiendrait. Tout en marchant, elle interrogea Émilie au sujet des us et coutumes de l’école.
Emilie répondit énigmatiquement :
-Tu as ton emploi du temps ?
-Oui, je l’ai récupérer ce matin chez Anne, à l’administration. Lisa le sortit de son sac et le brandit fièrement à Émilie qui le prit. Lisa attendit. Pourquoi voulait -t- elle qu’elle sorte son emploi du temps ?
Emilie le cacha entre ses mains :
-Dans ce cas tu as remarqué…..
-Remarqué quoi ??
-Ben si tu l’as eu, tu as pris au moins le temps de jeter un coup d’œil ? insista Emilie,
Lisa se sentit gênée. Ça avait l’air si naturel dans la bouche d’Émilie, pourquoi n’y avait-elle pas pensée elle-même plus tôt ?
-Euh non, je n’ai pas pris le temps, j’étais trop pressée.
Lisa ne voyait pas trop le rapport entre son emploi du temps et ses interrogations au sujet de sa nouvelle école .
-Donc- Emilie poursuivit -il y a une carte dedans.
-Une carte ? dit Lisa déçue qui s’attendait à mieux. Elle avait imaginé un grand scenario dans lequel l’emploi du temps des élèves était une clé capable d’ouvrir un passage secret de l’école ou d’indiquer des rendez vous remplis de mystère,
-Oui dit fièrement Émilie tu sais que le collège est sur plusieurs kilomètres.
-A ce point dit Lisa qui se sentait déjà fatiguée à l’idée de chercher les salles sur plusieurs kilomètres ;
Emilie, qui devinait que sa nouvelle copine avait du mal à se repérer la rassura :
-Ne t’inquiète pas, les kilomètres sont plutôt sur le terrain de foot et l’enceinte de la BCI voyant que Lisa continuait à faire des yeux ronds, elle rajouta  
- Je t’expliquerai, ici c’est un peu comme dans les films. Ou presque.
Les yeux de Lisa se mirent à briller, comme dans les films ?
-C’est vrai ? fit Lisa qui doutait tout de même un peu. Une fois, encore son imagination débordante avait pris le pan sur toute forme de raison .Elle s’efforça de garder la tête froide.
Une voix riait de l’autre cote. Lisa reconnut cette voix. C’était Jérémy.
Lisa se retourna, pincée.
-C’est quoi ton problème ?
-Tu est tellement naïve….
Moi, naïve ?? N’importe quoi se mit à penser Lisa. Tiens, Émilie ne disait rien. Lisa regarda devant elle et remarqua qu’Émilie avait disparu. Mais où était-elle passée ? Et pourquoi s’était-elle éclipsée aussi soudainement ?
Lisa ignora Jérémy et parti pour retrouver Emilie. Elle se contenta de continuer à longer les bâtiments, vu qu’elle n’avait aucune chance de se repérer. C’était selon elle la solution la plus logique.
Elle ne pouvait pas l’appeler : elle n’avait pas son numéro de téléphone. Mais le plus important était pour l’instant d’arriver à la trouver.
Enfin, elle vit soudain Émilie, adossée sur un poteau le sac entre les mains, la respiration sifflante comme si elle avait couru. Elle compris en la voyant dans cet état que le départ d’Émilie qui coïncidait avec l’arrivée de Jérémy n’avait rien du hasard.
Mais pourquoi était-t-elle partie lorsque Jérémy était arrivé. Ce point lui taraudait l’esprit. Elle lui avait pourtant présenté Jeremy, ils devaient bien se connaitre. Plus elle y réfléchissait, moins elle ne comprenait…
-Tiens dit timidement Émilie en lui rendant son emploi du temps.
Lisa le prit et y vit la carte au dos de la dernière page.
Sentant le silence qui commençait à s’alourdir entre elles. Lisa se mit à parler.
-Ça va ?
-Oui merci souria-t-elle, alors tu as vu la carte ? Lisa retint son souffle, elle ne répondit pas, elle attendait qu’Émilie rajoute quelque chose. Voyant que ce n’était pas le cas elle reprit :
- Je peux te poser une question ?
-Bien sûr. Emilie comprit que sa nouvelle copine avait déjà remarqué son attitude étrange.
-Pourquoi es-tu partie ? et avant qu’elle eût le temps de réfléchir, elle ajouta et pourquoi tu te retrouve ainsi recroquevillée et sifflante ? Pourtant tu ne sors plus avec lui ?
Aussitôt, Lisa sentit ses joues se rosirent, qu’elle idiote elle faisait ! elle avait mis les deux pieds dans le plat comme à son habitude, obnubilée par sa recherche de vérité et d’explication. Elle en avait oublié de prendre les précautions d’usage, d’autant qu’elle ne connaissait Emile que depuis peu.
Elle s’apprêtait à s’excuser lorsque Émilie répondit le visage tremblant :
- Je sais que c’est ridicule, mais je n’arrive pas à…fff. C’est compliqué. Emilie se tut, embarrassée.
Lisa était étonnée, elle ne pensait pas qu’Émilie réagirait de cette façon en voyant son ex. Elle qui se croyait ridicule dès qu’elle se trouvait face à face avec Alex, trouva en sa copine des points commun qui la rassura.
-Vraiment compliqué et Lisa soupira pendant qu’elles allaient à leur prochain cours.
La journée se termina et Lisa n’avait toujours pas compris ce qui s’était passé pour qu’Émilie fuit Jérémy. Ils ne sont pourtant plus ensemble se répéta-t-elle.
Enfin ça ne la regardait pas vraiment, elle n’allait pas se mêler des affaires des autres comme ça et puis elle avait suffisamment de tracas avec Alex. Peut-être devait-t-elle en parler à Émilie demain. Elle aurait bien besoin que quelqu’un la comprenne sur ce sujet. Ou pas, elles ne se connaissaient peut-être pas assez pour que Lisa puisse lui faire confiance tout de suite.
Heureusement Alex n’était pas là lorsqu’elle arriva chez elle - il avait apparemment compris le message. Cela rassura Lisa qui était suffisamment fatiguée et qui n’aurait pas trouvé la force de le repousser.
Lisa ressentit malgré tout une pointe de regret et de tristesse. Non, non il ne faut pas. Lisa secoua sa tête. Surtout pas.
Et elle ferma la porte derrière elle , dina, parla avec sa mère qui avait de nouveau mis ses lunettes d’institutrice, lui montra son emploi du temps, parla des six profs qu’elle avait rencontrés dans la journée et de Madame Rose qui l’avait convoquée demain très tôt. Elle demanda à sa mère de la déposer car à cette heure-là les bus ne passent pas encore.
Après qu’elle accepta, Lisa, épuisée, embrassa sa mère et sa petite sœur Alice et se coucha, réglant en prévision pour le lendemain son alarme. Elle mis l’alarme pour quatre heures du matin en se demandant bien si c’était la première fois….
Elle s’endormit serrant sa mascotte préférée Kula. Nom qu’elle avait pris avec son personnage de jeu vidéo préféré Kula Diamond mais sa mascotte était un gentil hibou ,brun ,crème le regard d’or.
Demain elle aurait une longue journée il fallait qu’elle dorme le plus possible, heureusement elle n’avait aucun devoir. Après tout c’est la rentrée, aujourd’hui ses professeurs s’étaient contentés de leur expliquer leur méthode de travail, chacune plus différentes les autres des autres et qu’elle avait dû noter dans chacun des cahiers pour ne pas les oublier.
Lisa rêva doucement qu’elle volait , ne pesant pratiquement pas plus d’une plume et se voyait courir pour échapper à Alex. Elle avait fait ce rêve des dizaines de fois et comme toujours, le rêve tournait maintenant au cauchemar sauf que cette fois elle courait sous le regard moqueur de Jérémy…
A SUIVRE
0 notes
revuedepresse30 · 5 years
Text
Les derniers jours Gérard Philipe vus par Jérôme Garcin
Candide, incandescent, habité, Gérard Philipe était un acteur hors pair. Bien que ringardisé un temps par la Nouvelle Vague, il demeure le comédien emblématique de l’après-guerre, synonyme de résistance, de socialisme, du Théâtre national populaire, de Jean Vilar et de Max Ophüls.
Trente-quatre films et une centaine de pièces de théâtre entre 1944 et 1959, quinze ans d’une trop courte carrière. Il est mort à 36 ans, emporté par un cancer foudroyant.
Un destin cruel, scandaleux et tragique
Quand Jérôme Garcin, l’un des maîtres du roman d’inspiration biographique (Bartabas, roman, Le Voyant), voire autobiographique (La Chute de cheval, Théâtre intime), s’empare d’un tel destin, cruel, scandaleux, tragique, le résultat est à la hauteur de nos espérances.
Ce n’est donc pas en racontant les épisodes grandioses, la vie magnifique du jeune premier que Le Dernier Hiver du Cid révèle l’intime de son personnage. C’est, dans la veine des meilleures biofictions à la Joyce Carol Oates, en se risquant vers le quasi indicible, l’innommable, l’horreur d’une vie condamnée à s’arrêter précocement.
Gérard Philipe note dans son journal intime : “On dit souvent que le talent n’est pas méconnu. Cela est surtout vrai pour les écrivains, un romancier ou un auteur dramatique peuvent être découverts dix, trente ou cinquante ans après leur mort. Un comédien mène une lutte dangereuse avec et contre le temps.”
Lui qui menait une existence saine, sans excès, de père de famille ne savait pas – sa femme le lui cacha jusqu’à la fin – qu’un mal incurable le dévorait.
Une approche à la plus juste distance pour écrire la mort
Le style de Garcin est élégiaque, quasi proustien, une pastorale ou une symphonie romantique. Son approche de ce sujet délicat a la juste distance, la pudeur requises pour écrire la mort. Tandis que l’histoire se fait de plus en plus dramatique, la fin, irrémédiable, se dessine en creux, comme en négatif, la figure essentielle d’Anne.
Cette épouse, seule juge de son art, dont il cherche des yeux l’assentiment à la fin de chaque représentation. Une grande personne, comme le révèle ce type de circonstances exceptionnelles. L’amour total entre cette femme si discrète et cet homme solaire, flamboyant, qui séduisit les plus belles actrices de son époque, s’affirme in fine comme le centre névralgique du livre.
Conjurer le passage inexorable du temps
Il fait ainsi écho au Théâtre intime que Garcin consacra, en 2003, à Anne Philipe et à sa fille Anne-Marie, qui deviendra sa femme. Dans le dernier chapitre, l’auteur évoque la traversée du Luxembourg par la mère et ses enfants.
Ce jardin, le jeune couple en avait escaladé, quelques années plus tôt, la grille. Ils l’avaient parcouru cet autre hiver, couvert de neige, en se jurant élégance jusqu’au bout. Ainsi l’écrivain restitue-t-il à Anne-Marie une part de son père dont elle ne peut se souvenir, étant trop petite lorsqu’il disparut.
Et ainsi conjure-t-il, comme son beau-père voulait le faire avec le théâtre, le passage inexorable du temps. “Quelle pensée s’impose souvent à vous ? demandait à Gérard Philipe, avant qu’il ne tombe malade, un journaliste
 – L’urgence des choses que je dois faire. 
– Qu’est-ce qui vous étonne dans la vie ? 
– Sa brièveté.”
Tumblr media
Le Dernier Hiver du Cid (Gallimard), Collection Blanche, 208 p., 17,50 €
Lire un extrait
from Les Inrocks - livres https://ift.tt/2Mr0crn via IFTTT
0 notes
rayman-25 · 5 years
Text
Résumé et idée
Salut c’est encore moi Rayman20. Je sais ça fait maintenant 4 mois que je n’avais pas écrit une fanfiction sur Podcast Adventure. Quant au chapitre 3, il arrivera bientôt. Mais en attendant, je vais écrire un deuxième fanfiction avec les Podcast (Gravity Falls, Bienvenu chez les Loud, Phinéas et Ferb et mes youtubeur favori). Comme c’est un nouveau fanfic, l’histoire ne se déroule pas en 2012, mais en 2013. Les personnages de l’univers des tortues ninjas, Tekken, Pyronica, Akuma, Tambry, Moketo, Koretech, Thompson, Pacifiqua, Ghosbuster, Usagi et Batman. Sont absents. Ils sont remplacés par les personnages de Sonic, le chat de Mabel, deux personnages de Podcast 5, Cosmoréve, Farod Game, Octo Lady, Darkspriteangels et Tiger Bleu (l’avatar de Valentin Raffault)
Dans cette première partie, je vais parler du résumé, la seconde les personnages et le dernier mes idées
Résumé :
Après une rencontre avec Sonic et Eggman, le médecin envoie le hérisson dans une autre dimension afin de ne pas nuire à ses projets. Maintenant, Sonic est à Royal Woods et cherche quelqu'un pour l'aider.
Les protagonistes et les antagonismes font partie des rencontre des équipe,
Les protagonistes
SLDI
Sonic The Hedgehog : Le hérisson le plus rapide de la planète Mobius. Dans ce fanfic, il affronte son ennemi de toujours, le Dr Eggman. Malheureusement, Eggman utilise un pistolet et l’envoya Sonic dans une autre dimension, à savoir la terre. Quand il rencontre Lincoln pour la première fois, il va aider Sonic à rentrer dans sa dimension. Lincoln dit à Sonic qu’il connait quelqu’un va pouvoir aidé Sonic à rentrer chez lui, à savoir Lisa Loud. Lincoln expliqua à Sonic qu’il à dix sœurs. Comme Clyde McBride, Sonic ne s’enfuit pas avec les sœurs de Lincoln, il aime Lynn Loud qu’elle fait du sport, Luan qui fait des blagues, Luna de la musique et Lily la plus mignonne. Il n’aime pas qu’on l’appelle le rat. La seul Loud qui déteste Sonic, c’est la sœur aînée de la famille Loud, à savoir Lori Loud. Il raconta ses aventures à Lincoln, ses sœurs et les autres. Sonic à 15 ans comme dans tous les Sonic.
Lincoln Loud : premier ami terrien de Sonic (bien évidement, c’est Chris dans Sonic X) Il fait partie des enfants Loud de dix sœurs. Contrairement dans la série Sonic X, Sonic au lieu de ne pas écouter Lincoln, il lui obéit et se cacha dans la chambre de Lincoln. Ce dernier après avoir menti à ses sœurs, il montra à sa sœur de 4 ans Lisa Loud, qu’elle a quatre ans moins que Tails. Elle utilise l’ADN du hérisson pour l’examiner. Lisa dit à Sonic que ça va prendre une ou deux semaine entier pour l’envoyer dans sa dimension. Contrairement à Chris, Lincoln n’est pas seul. Il à ses dix sœur, ses animaux et ses amis. Les parents de Lincoln sont partie en vacance pendant une semaine. Lincoln à 11 ans.
Dipper Pines : Personnage principal de Gravity Falls. Il est le deuxième ami terrien de Sonic. Il a une sœur jumelle Mabel Pines, un chat Sasha et le petit cochon de Mabel Dandinou. Comme dans la série originale, Dipper n’a pas d’amis dans sa ville natale, à savoir Piedmont en Californie. Comme Sonic, il n’a pas peur des sœurs Loud. Bien au contraire, il n’a jamais parlé de ses aventures à Gravity Falls. Il à passer du temps en vacance de printemps, avec Mabel, Dandinou, Sasha, Wendy, Robbie, Alice, Jean, Marc et Squeezie. Dipper à 13 ans.
Irving Du Bois : Personnage secondaire de la série Phineas et Ferb, il à passer ses vacance avec son frère Albert et sa mère. Il est amoureux de Mabel Pines. Irving à 12 ans.
Jean Christivoirien : Jean Chrsitivoirien à changer depuis Podcast Adventure, il ne dit plus de langage vulgaire. Quand il rencontre Sonic, sa vie va changer. Il le considère comme un frère, un de ses jeux vidéo, un rival. Il a des amis en France. Jean est né à Créteil. Une ville où on ne voit pas dans aucun film, série télé et jeux vidéo. Jean à 16 ans.
Wendy Corduroy : Wendy Corduroy est de retour dans la Fanfic de Podcast X Sonic The Hedgehog. Comme dans la série Podacast Advenutre, elle amoureuse d’Albert Du Bois. Elle à rencontrer Sonic. Et Sonic était lui aussi amoureux d’elle, mais après, il se mit e, couple avec Albert Du Bois comme Ladrien. Wendy à 16 ans.
Albert Du Bois : Personnage secondaire de la série Phineas et Ferb, il à passer ses vacance avec son frère Irving et sa mère. Il est amoureux de Wendy Corduroy. Il est intelligent que Lisa et Tails. Albert à 16 ans.
Lori Loud : elle l’aîné de la famille Loud. Elle a rencontré Sonic. Elle avait l’intention de l’appelle le gouvernement, la police ou les scientifiques, mais son frère et ses sœurs leur dirent de garder le secret. Elle est la seule membre de la famille Loud à haïr Sonic. Lori à 17 ans
Les antagonismes
Eggman : Dans ce fanfic, Eggman à réussir à envoyer Sonic dans une autre dimension. Bientôt, il va maintenant continuer ses projet pour conquérir la plante Mobius, mais évidemment, Tails, Amy Knuckes, Shadow et Silver aurons besoin des sept émeraude du chaos pour ramener Sonic dans leur monde et arrêter Eggman et ses domination.
Zavok : Je suis sûr que comme Lila Rosse et Toffy, il va aller dans une dimension à la place d’Eggman. Car contrairement Eggman, il va tout simplement, tuer, détruire, conquérir, dominer ou capturé les petit animaux de mobius en Bagnicks. Zavok serait pour moi un des méchants de l’histoire des jeux vidéo Sonic
? :
Les personnages secondaires
Miles Tails Prower : Meilleur de Sonic. Lui et son ami étaient sur le point d’affronter le scientifique diabolique. Mais au moment, il tira derrière le hérisson afin qui se fait aspiré dans une autre dimension. Tails est partir chercher Knucles et avec Amy, Shadow et Silver, ils vont tous partir à la recherche des émeraude du Chaos pour ramener Sonic dans leur monde arrêter Eggman et ses domination. Tails à 8 ans quatre ans plus que Lisa Loud.
Amy Rose : Elle une hérissonne ravissante. Dans ce fanfic, elle aide Tails Kuncles, Shadow et Silver à trouver les sept émeraude du Chaos pour ramener Sonic dans leur monde arrêter Eggman et ses domination. Elle à 12 ans.
Knuckles The Echidné : Il le gardien de la master émeraud de Angel Island. Quand Tails est arriver dans son ile, il lui explique qu’Eggman à envoyer Sonic dans une autre dimension. Knucles, Tails, Amy, Shadow et Silver, ils vont tous partir à la recherche des émeraude du Chaos pour ramener Sonic dans leur monde arrêter Eggman et ses domination.  Kuncles à 16 ans.
Shadow  The Hedgehog : C’est un hérisson âgé de 65 ans (même si il est un jeune hérisson) il y à cinquante ans, il avait 15 ans. Comme Sonic. il aide les amis de Sonic à ramener ce dernier à Mobius.
Silver The Hedgehog : Silver est hérisson venant du future. Dans Sonic 2006 (le pire jeu de Sonic) il était son ennemis en pensent que Sonic était le cœur d’Iblis. Mais grâce à Shadow, il tourner la page. Il va maintenant sauver Sonic. Il à 14 ans.
Alice : Elle est la petite amie de Jean Christivoirien. Quant elle était petite, lors de la saint-valentin, tout le monde se moquer de Jean car, il n’avait rien écrit et qu’il n’avait pas de trouver de valentine. Alors pour le consoler, il avait fait une carte de saint-valentin pour lui. Elle à 14 ans.
Lucas Squeezie :
Marc Christivoirien :
Robbie Valentino :
Dark Jean :
Jonathan Christivoirien :
Mabel Pines :
Dana :
Birgitte :
Leni Loud :
Luna Loud :
Luan Loud :
Lynn Loud :
Lucy Loud :
Lola Loud :
Lana Loud :
Lisa Loud :
Lily Loud :
Heinz Doofenshmirtz :
Charlène Doofenshmirtz :
Vanessa Doofenshmirtz :
Bobby Santiago :
Ronnie Anne Santiago :
Clyde McBride :
Autres
Orbot et Cubot :
Zazz :
Zomom :
Maître Zik :
Zeena :
Zor :
Fang the Sniper :
Thomas KirbendoWorld :
Jésus (Mousse) Ramirez :
Miri :
Mélody :
Dandinou :
Sasha :
Charles :
0 notes
yalavi · 7 years
Text
Captain Fantastic
Tumblr media
Capitán Fantástico es una película del 2016, recientemente conocida porque el protagonista, Viggo Mortensen (genio),  ha sido nominado a mejor actor por este film. 
La trama trata de un padre (mortensen) que vive con sus 6 hijos en un lugar apartado de la sociedad. Allí les enseña a cazar, a escalar montañas, a defenderse con cuchillos, a aprender de fisica, literatura y muchas cosas más. Algo así como un homeschooling llevado al extremo. Bueno, esta vida toma un giro inesperado y deben ingresar a la ciudad a visitar a sus parientes. 
El que esté Viggo Mortensen en la pelicula era un motivo para verla, pero el saber que más encima se trataba de una vida homeschooling, aumentó mil veces mi interés (el que no cacha, le cuento que hago homeschooling). 
Categorizada como una comedia/drama, es una película entretenida, con rapidez en la trama que dan ganas de seguir viéndola hasta el final. La actuación de Viggo es destacable como siempre, pero creo que es relevante destacar la actuacion de los 6 niños, porque si no fuera por su “normalizada” forma de mostrar esta vida tan atípica, la película no hubiese tenido el peso que tiene. Se pasaron los cabros, todos muy creibles. 
Igual al principio debo decir que me chocó la vida extrema que llevaban, pensaba que era mucho o que cómo podía un papá dejar que su hijo pequeño hiciera tal cosa. Luego, cuando deben ir a la ciudad y comienzan a pasarles cosas al padre y a los hijos, es cuando la empatía vuelve y te da rabia y te da pena lo que estan viviendo. Viví sentimientos contradictorios en muchas ocasiones de la película, como una lucha constante frente las normas sociales y culturales pero también frente a lo distinto, a lo que parece malo o enfermizo. 
Me enorgullece muchísimo ver como un gran actor y un gran director hicieron una pelicula tan buena, mostrando elementos fundamentales sobre el homeschooling y presentando a la par los cuestionamientos que diariamente debemos escuchar de los demás y de uno mismo. 
Es una buena película, entretenida, con una trama interesante -upss- diferente quise decir (cuando vean la pelicula me entenderan), con un final que no ves venir nunca, con el peso actoral de todos los presentes y con la carga emocional necesaria. 
Pasarás un buen rato. 
8/10
1 note · View note
Text
Pour y croire
Les BBMA. Chaque année la même rengaine. Tapis rouge, robe de soirée, sourire et laisser couler. Chaque année les même déceptions, n'être que le faire-valoir des autres groupes de Rock... perdre mais avec le sourire. Elle ne s'attendait à rien cette année, elle qui était venue seule, Samael était malade, une jolie Grippe et Faust s'était fracturer la jambe. Assise devant le miroir elle essuya ses larmes, et cacha sa tristesse sous un sourire rouge et un trait de crayon noir. Avec ce masque de maquillage, cette coiffure simple et sa robe de soirée elle était Malia Hart, la chanteuse de Noctis toujours heureuse et souriante, toujours belle et pimpante... mais quand le soir venu le masque tombait, que restait-il de la chanteuse sauf une carcasse vide, un cœur brisé et des yeux qui ne se séchait jamais... Sourire et montrer que tout allait bien... Son seul espoir de la soirée était de voir celui avec qui elle jouait presque tous les soirs.... Voilà ce qu'elle allait faire aujourd'hui : endurer et espérer.
En descendant de la voiture elle trébucha... allez voilà le buzz de l'année... Mais quelqu'un la rattrapa.
Des grand yeux sombres légèrement bridés, une expression ébahie, des cheveux sombre et une tenue assez excentrique.. Il était vraiment là... et il venait de lui sauver la mise... Il la redressa doucement et l'aida a monter les marches en douceur. C'est presque en courant qu'elle rejoignit Jack Lincoln et le secoua doucement.
« C'est qui ? » demanda Jack
« Jungkook Jeon, le plus jeune membre de BTS. » dit Malia doucement
Elle le regardait de loin quand les interview du tapis allaient bon train, on demanda soudain a Jungkook si il y avait quelqu'un qu'il attendait particulièrement. Non loin de la, Malia, la jeune chanteuse un peu déprimé écoutait à moitié Jack parler...
« Mephisto …. from Noctis. » fit Jungkook assez directement
« Oh ! MEPHI !!! » hurla l'interviewer
Malia se tourna et fixa l'interviewer assez perplexe, elle s'avança doucement et fixa BTS puis le journaliste...
« Yes ? » Elle haussa un sourcil
« Jungkook here, is excited to see you ! So I made it happen ! » dit le journaliste fièrement
Malia rit doucement et Jack de loin, sut que c'était un vrai rire, pas un rire forcé. Peut-être que ce gamin était la clef de son bonheur ? Il espérait... Il y croyait. Doucement Jungkook lui tendit la main et demanda à ce qu'on les prennent en photo. Il fit même un selfie avec la jolie demoiselle aux cheveux désormais bleu sombre et sourit quand elle s'en alla doucement pour rentrer s'asseoir.
-
Une fois assis,Yoongi se tourna vers Jungkook. Il était bizarre...
« Tu n'as pas flipper devant une femme. C'est bien une première. » fit l'aîné
« Elle est différente. » Il la vit se lever pour aller vers les toilettes « Je reviens je dois pisser. »
Yoongi fronça les sourcils et regarda de loin le plus jeune suivre la jeune rockeuse vers les toilettes.
-
Il ne savait pas pourquoi il était dans les toilettes des femmes, ni pourquoi elle l'avait tirer avec dans une des toilettes. Ce n'est que quelques minutes plus tard quand il l'avait soulever contre la paroi et  qu'il avait écarter ses jambes qu'il savait exactement pourquoi. Leurs lèvres a quelques centimètres, les jambes de la belle entourant ses hanches. Elle tremblait légèrement et il laissait ses mains parcourir sa robe, puis ses cuisses... Jungkook écarta sa culotte alors qu'elle ouvrait son pantalon. Il déroula rapidement un préservatif sortit du corset de la belle sur son membre et se glissa en elle, le front dans son cou et les mains sous ses fesses. Allant et venant plus fort, plus vite... Malia se perdait dans le plaisir...  Jungkook finit par venir rapidement en elle, se maudissant... mais quand il la sentit se crisper aussitôt et se tendre en tremblant... il sut. Doucement il la posa au sol, balança son préservatif dans la poubelle et fixa la jeune femme qui se rhabillait. Elle prit son téléphone et y inscrit son numéro. Elle le recoiffa aussi avec douceur et quand Jungkook se pencha pour l'embrasser elle recula.
« Mon rouge à lèvres vas déteindre sur tes lèvres » avait-elle murmurer.
« Et merde... » avait-il marmonner
Jungkook avait soupirer et s'était rendu à l'évidence qu'il devrait attendre... Il rejoignit sa table et puis se rendit compte... qu'il avait perdu sa virginité dans une toilette.... J-Hope lui fit remarquer qu'il avait mit du temps... Jungkook lui haussa les épaules.
-
Encore une cérémonie décevante pour la jeune Malia qui rentrait bredouille quand elle croisa dans les couloirs de son hôtel les garçons de BTS.  Elle avait ses chaussures en main.. remonté sa robe qu'elle avait noué à la va-vite en un nœud hasardeux, ses cheveux tombaient en boucles étranges du à la laque de son chignon et comble de la beauté et de la classe elle portait de sublime crocs rembourrées de doudoune... Elle resta figée … On pouvait voir la naissance de son porte jarretelles à cause de son nœud hasardeux. Et la voilà épaules rentrer  en mode canard qui se figea en entendant son nom de scène crier dans le couloir. Elle ouvrit rapidement sa chambre, y balança sans ménagement ses crocs rose et défit son nœud... avant de refermer et de placarder un grand sourire gêné sur ses lèvres. Elle rejoignit les garçons en secouant un peu ses chez et en remontant un plus classiquement sa robe. Jungkook la regardait et la néo-zélandaise sourit.
« Mephistooo ! » s'extasia Jin « you first girl Kookie likey »
« Vraiment ? » Malia haussa un sourcil amusée « J'en suis flattée. »
« On voulait aller boire un verre dans le bar de l'hôtel. » dit Jungkook « Tu viens ? »
« Donne moi 5 minutes histoire de sortir de cette robe et de me changer. » dit Malia
« Et d'enfiler des crocs ? » murmura Jungkook amusé
« Non quand même pas. » dit Malia en riant « J'arrive. »
Elle fila dans sa chambre et entendit les garçons soudain poser une tonne de question. Nouer ses cheveux, sortir en galérant de sa robe, enfiler une jupe, … bon l'aspect cuir élastique ferait l'affaire, attraper un t-shirt... Bon un t-shirt Noctis... ferait l'affaire ainsi que ses cuissardes en velours noir et à talons aiguille... elle enleva son rouge à lèvres histoire de pouvoir boire et pas en foutre partout. Malia réussit le pari d'être prête en 5minutes. Elle sortit de sa chambre et s'approcha du groupe.
« Vous vous connaissiez ? » demanda J-Hope doucement
« On joue a Overwatch ensemble. » dit Jungkook calmement
« Ah c'est vous la Fameuse. » fit Yoongi
« Quoi ? » Malia se tourna vers Jungkook
« C'est pas difficile quand je lui ai proposer de jouer ensemble tous les trois il a refuser catégoriquement. » dit Yoongi « Vous êtes Sa partenaire et rien qu'à lui. »
« Ah bon.. » Malia sourit « J'ignorais ça. » dit-elle
« Je pense qu'il en pince pour vous. » dit Yoongi en suivant la troupe
« Vous pensez ? » demanda Malia doucement
« Ouais sinon il est pas aussi possessif. » dit Yoongi
« Il est possessif ? » Malia s'étonna quand elle vit les bras musclé de Jungkook se tendre quand Yoongi passa son bras autour de ses épaules « Ah... oui... »
« Dites... Vous auriez pas le numéro de Lily Valois ? » murmura Yoongi
« Moi pas, mais j'ai un ami qui a été son amant dans plusieurs films. » dit Malia, elle dégaina son téléphone d'entre ses seins et appela quelqu'un « Sören, darling can you please answer me... Is Lily still awfully single ? » elle rit « True... very sadly true... So can you send me her number ? Thank you darling. » Elle raccrocha et sortit un stylo et un petit bloc de post-it de son corset...
« Tu planques combien de trucs dans ton soutif ? » demanda Jin étonné
« Corset. » nota Malia en notant le numéro et donnant le post-it à Yoongi
« Thanks » fit Yoongi
« You're welcome, darling » dit-elle doucement avant de sortit une petite pochette de sous son t-shirt « J'ai pas assez de place pour tout planquer dans mon corset. » fit elle en riant
« Ingénieux. » dit Jin
Arrivés au bar, le groupe se posa dans un coin privé quand Malia vit au bar, une tête blonde... Etais-ce possible ? Elle se leva rapidement et trottina vers la tête blonde. L'homme leva les yeux de son verre en voyant Malia et se leva d'un coup pour soulever la jeune femme dans un gros câlin, Jungkook lui de loin grognait.
« Tu l'aimes ? » demanda Yoongi
« J'en sais rien. » siffla Jungkook
« Comment ça ? » Namjoon se tourna vers le plus jeune « T'as genre envie de tuer cet inconnu mais tu sais pas si t'aimes Mephisto ? »
« Malia. » fit Jungkook « Malia. » Et il secoua sa tête « Non je sais pas... avant elle j'étais persuadé d'être gay. » grogna Jungkook
« Pas faux. » nota Namjoon.
« La voilà qui revient.. » dit J-Hope « Et elle n'est pas seule. »
Aux bras de Malia, un blond et un roux. Jimin écarquilla les yeux et secoua vivement Taehyung. Le blond n'était autre qu'Elrick Levine, le chanteur de JUMP, la légende qui avait raflé tout les prix ce soir pour meilleur chanson de rock, meilleur groupe de rock et un award honorifique pour sa carrière... et le rouquin n'était autre qu'Ewan Winchester, le lauréat de la Chanson de l'Année. Coiffant Nicky Minaj, et autres Beyonce, Lady Gaga et Justin Bieber... Malia sourit doucement.
« Et Jack ? » demanda Malia
« Jack est avec Mona chez Ellen. Penses-tu, si ils ratent cette occasion, Ellen va faire la gueule » dit Elrick
« C'est certain. » dit Malia doucement « Tu as encore tout raflé » dit-elle plus tristement
« Promis je fous rien l'an prochain. » dit Elrick fatigué « Il en va de ma santé mentale. »
« D'où vous êtes... genre naturel en coréen ? » demanda Namjoon étonné
« J'ai un diplôme de traducteur. » dit Elrick « Au cas où ça foire je pourrais traduire de la putain de  Kpop.... » soupira-t-il en tirant la langue, percée, dégoûté
« Tu as conscience que tu es en présence d'un groupe du genre que tu exècres ? » dit Ewan dans un Coréen parfait
« Ouais, m'en bat les couilles. » dit Elrick en riant « Chaqu'un ses goûts, y peuvent détester ma musique que ça changera pas que j'aime pas. C'est niannian et ça dégouline de bon sentiments...»
« Pas toujours. » nota Malia
« Souvent. TROP souvent » dit Elrick
« Comme la pop en général mon cher. » dit Ewan en s'asseyant le regard bas
« Voilà pourquoi j'aime pas la Pop non plus. » dit Elrick en se posant
Malia fixa Ewan... J-Hope s'approcha de lui et les deux commençaient à parler, c'était bien pour le roux qui malgré une victoire avait le cœur lourd, Elrick lui discutait avec tout le monde quand Jungkook embarqua Malia sur la piste de danse. Coller contre elle, le plus jeune se questionnait sur ses sentiments, l'aimait-il ou n'était-elle qu'un désire passager ? Quand la main de Malia se posa sur sa joue son cœur s'accéléra. Son regard plongé dans l'océan de son regard et voilà qu'il fondait sur ses lèvres pour un baiser langoureux... son premier véritable baiser, son premier baiser d'amour, il le savait maintenant.
-
La douleur dans sa poitrine il vivait avec celle-ci depuis leur retour en Corée il souriait pour continuer d'y croire... La rage au bord des lèvres arrivait toujours quand il voyait Malia en concert se faire aduler par tout ces hommes entre 30 et 50 ans... Maintenant c'était la jalousie qui envahissait tout son être alors qu'il regardait une émission de musique... Il détestait ce grand nigaud blond qui accompagnait sa douce Malia. Il lui vouait une haine viscérale. Il était trop attentionné, trop gentil... et les voilà a refaire un classique d'Avenue Q : The internet is for porn, faisant rire toute l'assistance.
« Il est tellement canon... » souffla Taehyung
« C'qui ce con ? » grogna Jungkook
« Sören Ari Ekstrøm, l'homme le plus sexy de l'année. » dit Jin en se posant... « Y ont pas de goût. »
« Perso, je suis hétéro et je le trouve vachement séduisant. Il a du charisme. » dit Namjoon
« Charisme mon cul. » grogna Jungkook
« Toi t'es juste jaloux. » dit Yoongi en se posant « Sören est gentil. »  
« Il est obligé de la coller ? » siffla Jungkook
Sur l'écran le présentateur parlait de sexualité et Sören haussa les épaules en disant 'Sorry Ladies, I prefer men.' et toute l'assistance féminine couina quand le présentateur se tourna vers Malia qui leva les mains 'Taken.' et l'assistance masculine couina. Jungkook sourit.  
-
Elle était de retour. Jungkook l'observa. Il l'avait invité dans son appartement personnel qu'il avait fermer à clef avant d'aller s'asseoir dans le canapé. Sa belle néo-zélandaise, était là, elle portait une jupe en cuir noire, des bas noirs, des talons aiguilles et un chemisier lavande en soie. Ses cheveux avaient revêtue une couleur dégradant du noire vers un beau mauve. La jeune femme s'avança dans la pénombre créer par les tentures tiré par Jungkook. Le chemisier tomba au sol découvrant son soutiens-gorge en dentelle noir, la jupe tomba au sol, découvrant une porte jarretelles mais pas de culotte... et Jungkook avala de travers quand Malia s'assit sur ses genoux. Ses mains plaqué sur le tissus du canapé. Bordel de dieu.
« Yoongi m'a dit que tu étais jaloux de Sören. » fit Malia en embrassant son cou.
« Ngh .. ; ah... oui. » Jungkook roula du bassin presque instinctivement
« et aussi, qu'au BBMA c'était la première fois. » dit-elle en se redressant
« Tu parles trop a Yoongi... » siffla Jungkook
« Ne t'en fais pas. C'est toi le seul homme que j'aime. » dit Malia
« C'est bien. » Puis... l'information parvint a son cerveau « Tu... » Il n'en croyait pas ses oreilles
« Je t'aime » dit-elle doucement
« Moi aussi. » dit Jungkook en la soulevant.
Leurs baisers étaient langoureux, sur le chemin vers la chambre Jungkook plaqua de temps en temps Malia contre un mur pour l'embrasser encore plus profondément et se faire déshabiller par sa rockeuse, les chaussures de Malia étaient tomber pour créer une trace de leurs chemin avec les vêtements de Jungkook et la voilà qui finit allongée dans le lit. Jungkook maintenant nu se débarrassa religieusement de la lingerie de sa belle, retirant en lenteur les bas. Puis ses mains remontèrent ses cuisses. Bientôt il fit corps avec elle et les mouvement lents et assassins de ce danseur étaient délicieusement horriblement savoureux. La nuit mourut dans leur étreinte passionnel et quand le jour perça après les nombreux orgasmes, Malia se réveilla en riant.
« Et si on oubliait les toilettes ? » fit-elle « Et compter que cette fois-ci ? »  
« J'ai aimé moi... » fit Jungkook en traçant ses tatouages d'un doigt discret
« Moi aussi je dis pas... en plus j'en avais bien besoin. Mais euh c'était pas très romantique. » dit Malia
« Mh j'avoue. » Jungkook sourit « Je suis là maintenant. » dit Jungkook en embrassant Malia « J'embrasserais toutes tes cicatrices même celle qui ne se voient pas. »
« Tu les as toutes apaisée. Tu as soigné mon âme... » dit-elle doucement « Tu as soignée l'insoignable. »
« Tu crois qu'on- »
« J'y crois. » dit Malia « Je crois en nous. »
0 notes
petitbidou21 · 5 years
Text
100 jours d’écriture
10 - Riche
Longueur imposée : Fiction soudaine (750 mots)
Mot du jour : Riche
Elle regarda l’horloge de sa cuisine. 2h27. Elle ne dormirait plus. Elle jeta un coup d’œil discret dans la chambre, son compagnon dormait toujours profondément. Il avait l’air tellement paisible dans son sommeil qu’elle avait tout fait pour ne pas le réveiller. Elle se prépara un thé et s’assit en attendant que l’eau chauffe. Elle sortit de sa poche un écrin de velours noir qu’elle posa devant elle. Elle en sortit un anneau qu’elle fit tourner entre ses doigts.
6 ans déjà. C’est peu. Et en même temps beaucoup. Il s’était passé tellement de choses depuis leur rencontre. Ils avaient vécu beaucoup d’aventures, mais le genre d’aventures qu’on ne raconte pas dans les films ou dans les romans. Il y avait eu des faux pas, des disputes, parfois des mensonges, des larmes, mais il y avait surtout eu des rires, de la complicité, des victoires, de la sincérité et beaucoup de sentiments. Amants, amis, amoureux, coach, famille, psy…ils étaient tout ça à la fois. Ils se protégeaient mutuellement contre le reste du monde tout en s’aidant à l’affronter. Elle aimait dire qu’ils étaient « seul à deux », car c’était mieux que d’être seul, et qu’ils étaient plus forts que plusieurs mais seuls. Ça n’avait pas beaucoup de sens pour ceux de l’extérieur. Même pour lui ça n’avait pas beaucoup de sens. Mais ça n’avait pas d’importance.
L’eau était prête. Elle versa du thé aux agrumes dans l’infuseur et plongea le petit scaphandrier dans l’eau brûlante qui remplissait sa tasse. Elle reposa l’anneau dans son écrin et posa ses mains autour de la tasse. C’était chaud et doux à la fois. Elle huma l’odeur qui s’en dégagea.
Elle n’avait pas vécu une histoire de contes de fées. Il n’était pas arrivé sur son cheval blanc armé de son épée pour terrasser le méchant qui la retient prisonnière dans son donjon avant de l’emporter plus loin que l’horizon dans un somptueux coucher de soleil rose et orange. En revanche, il l’avait aidé à affronter ses peurs. Et elle avait fait de son mieux pour que son sourire ne disparaisse jamais. Ils avaient grandi tous les deux, suivi leur chemin, ensemble, main dans la main. Aujourd’hui, ils étaient adultes.
Il lui arrivait parfois de se poser des questions sur l’avenir, sur eux, sur elle, sur lui, mais elle finissait toujours par se dire que les réponses viendraient d’elles-mêmes en temps voulu. Elle avait peur de ce que demain leur réservait. Lui semblait appréhender les choses beaucoup plus sereinement. C’était leur truc, ça. Ils étaient différents sur de nombreux points. Mais ces différences se complétaient entre elles, permettant ainsi d’équilibrer la balance.
Ils avaient plein de projets pour l’avenir. Ou plutôt, elle avait plein de projets avec lesquels il était d’accord. Elle rêvait en grand. Parfois, elle se perdait parmi ses rêves et lui était toujours là pour la ramener à la réalité, tout en la poussant à les réaliser. Elle voulait maintenant lui rendre la pareille. Lui aussi avait des doutes, des questions, des souhaits, des vides en lui. Elle voulait les combler.
Aujourd’hui, elle ne se posait plus de questions. Elle avait toujours cru que ce genre de décision demandait une confiance certaine en l’avenir, la certitude de savoir où l’on va et ce que l’on veut. La vérité était tout autre. C’était justement parce qu’elle ne savait pas ni où elle allait, ni ce qu’elle voulait qu’elle s’apprêtât à prendre cette décision.
Elle regarda sa tasse. Celle-ci était vide. Elle referma l’écrin et se leva pour se diriger vers l’entrée. Des bagages étaient prêts et attendaient sagement l’heure du départ en voyage. Elle cacha l’écrin entre deux pulls dans sa valise. Ils avaient décidé de s’offrir ce petit voyage avant de démarrer un nouveau chapitre de leur vie. Elle avait décidé de profiter de ce voyage pour faire sa demande.
A bien y réfléchir, ce n’était pas très conventionnel. Mais leur histoire était loin d’être conventionnelle. Ils avaient l’habitude de tout faire à l’envers. Ce ne serait pas bien différent. Elle avait tout de même un peu peur de sa réaction. Peut-être serait-il vexé ? Mais peut-être serait-il touché également. De toute façon, elle avait pris sa décision depuis longtemps déjà. Elle avait simplement attendu le bon moment. Et c’était maintenant.
Elle retourna à la cuisine et regarda de nouveau l’horloge. 3h03. Elle n’était toujours pas fatiguée. Tant pis. Elle retourna discrètement dans la chambre, se glissa dans le lit et se lova contre son compagnon.
« -Bonne nuit. »
0 notes
how2to18 · 6 years
Link
I WANT TO TALK about the phrase “career of evil,” and the way it was handed down through time.
The origin story of the phrase: it was coined by Isidore Ducasse, a Frenchman born in Montevideo, who wrote under the name of Comte de Lautréamont (a title bestowed on himself, by himself).
The publisher Léon Genonceaux described him as a “large, dark, young man, beardless, mercurial, neat and industrious,” and reported that Ducasse wrote “only at night, sitting at his piano, declaiming wildly while striking the keys, and hammering out ever new verses to the sounds.” Lautréamont died in Paris in 1870 at the age of 24.
In late 1868, Ducasse published, anonymously and at his own expense, the first (poetic, violent, transgressive) canto of Les Chants de Maldoror (Chant premier, par ***), a chapbook of 32 pages. The prose can be described as oneiric, or stream-of-consciousness, or what the Surrealists would later term “automatic writing.” In its own time, it was regarded as blasphemous.
Five additional cantos were published subsequently. Canto Three contains the following passage: “Il cacha son caractère tant qu’il put, pendant un grand nombre d’années; mais, à la fin, à cause de cette concentration qui ne lui était pas naturelle, chaque jour le sang lui montait à la tête; jusqu’à ce que, ne pouvant plus supporter une pareille vie, il se jeta résolument dans la carrière du mal…” This was rendered into English by Guy Wernham thusly: “He concealed his character as best he could for many years; but in the end, because such concentration was unnatural to him, every day the blood would mount to his head until the strain reached a point where he could no longer bear to live such a life and he gave himself over resolutely to a career of evil…”
Though Lautréamont was discovered, rediscovered, re-rediscovered — by the Surrealists, by the Situationists, by other poets (John Ashbery entitled one of his later collections Hotel Lautréamont) — it was Patti Smith who proved, in the 1970s, to be the Comte’s fiercest advocate.
Smith famously idolized Rimbaud (c.f., the “go Rimbaud!” chorus of “Land”), but was equally evangelistic about Lautréamont. As Jonathan Cott wrote in The New York Times in 1978, “[Smith’s] sensibility is one that borrows and embraces […] ideas and feelings that have appeared in […] Baudelaire, the illuminations of Rimbaud, the menacing sexual fantasies of Lautreamont, Bataille and Genet.”
But before Patti Smith was Patti Smith™ — before she was a performer in her own right — she was a fan. And among her passions was the rock group Blue Öyster Cult, part early ’70s Long Island boogie-band, part surrealist storm troopers. The music was, for the most part, straight-ahead rock (with the requisite slow numbers interspersed); the lyrics were anything but. Drawing from the “Imaginos” world built by Cult manager Sandy Pearlman, and tapping on the lyrical skills of poet/rock critic Richard Meltzer (songs like “Mistress of the Salmon Salt” and “She’s as Beautiful as a Foot”), the Cult were able to span the dead years between metal and punk. (And they could, I would submit, rock a hall harder than anyone this side of the Who.) The late Allen Lanier, the band’s keyboard player, was also for a while Smith’s lover.
For the third BÖC album, 1974’s Secret Treaties, Smith was invited to contribute lyrics (though interestingly, not on one of Lanier’s composition). She resurfaced the Lautréamont phrase, not noticeably in use between the 1860s and the 1970s, and, working from music by the Cult’s drummer Albert Bouchard, wrote “Career of Evil”:
I plot your rubric scarab, I steal your satellite I want your wife to be my baby tonight (baby tonight) I choose to steal what you chose to show And you know I will not apologize You’re mine for the taking I’m making a career of evil
Now, as it turns out, before J. K. Rowling was J. K. Rowling™ — when she was an on-the-dole single mother who wrote in cafes — she found solace in rock ’n’ roll. Significantly: in the Blue Öyster Cult.
Her inability to support herself writing was to vanish, but her engagement with the music of her more precarious days persisted. After the Potters, Rowling decided to write detective novels, publishing them under the soon-unmasked pseudonym Robert Galbraith. The third in the series, released in October 2015, was entitled Career of Evil.
The novels’ protagonist is Cormoran Strike, an Afghan War vet turned private eye. As we learn, Strike’s mother had a thing for the BÖC — as Cormoran puts it, “She wanted Eric Bloom, lead singer of Blue Öyster Cult, but never got him. One of the very few who got away […] I was nearly christened Eric Bloom Strike.” Something Strike knows, but has never seen: his mother has a tattoo, somewhere on her lower body, that reads Mistress of the Salmon Salt.
The novel contains no fewer than 50 references to BÖC lyrics or song titles. Including the deep cuts: Rowling calls out the song “The Girl that Love Made Blind,” a slow 6/8 dance tune, originally written as part of Sandy Pearlman’s Imaginos cycle, and extant now only on a wildly obscure Albert Bouchard demo tape. (Full disclosure: Bouchard was, but is no longer, my cousin by marriage.)
What’s lovely here, and haunting: an evocative phrase is coined — or, perhaps, dreamed — by an Uruguay-born Parisian, writing under an assumed name. It submerges for a century. [1] It resurfaces in the work of another writer, also writing under assumed name. The original author was, in his own time, obscure; the bookending author, in her own time, not.
Yet via the persistence of memory, the long chain of poetry, the enduring lure of rock ’n’ roll, Lautréamont’s career of evil now haunts the 21st century, in ways he could never have imagined.
Which, of course, is just as it should be.
¤
Howard A. Rodman is president of the Writers Guild of America West. He wrote the films Joe Gould’s Secret, Savage Grace, and August, and the novel Destiny Express.  He is professor and former chair of the writing division of USC’s School of Cinematic Arts.
¤
[1] The only usage I could find between Lautréamont and Patti Smith is a mention in The New York Times, December 12, 1882, of one “Freddie Grimes, 13, an account of whose brief career of evil-doing has already been reported…” I have since been apprised that the phrase also appears in the 1901 volume The Book of Psalms by A. F. Kirkpatrick, D.D., in which the reverend details the three steps in such a career: (1) adoption of the principles of the wicked as a rule of life; (2) persistence in the practices of notorious offenders; and (3) deliberate association with those who openly mock at religion. Lautréamont would have felt understood.
The post Careers of Evil: On the Migration of a Three-Word Phrase from Lautréamont to J. K. Rowling, with Stops at Patti Smith and the Blue Öyster Cult appeared first on Los Angeles Review of Books.
from Los Angeles Review of Books https://ift.tt/2tNwMJL via IFTTT
0 notes
purbohadi · 7 years
Text
If you want to move fast go alone if you want to move far go together.
Selama proses keberangkatan hingga tiba di negeri yang dikenal lewat film Surga Yang Tak Dirindukan, saya sangat terbantu dengan bantuan dari teman-teman PPI Hongaria. PPI Hongaria tahun ini dipimpin oleh Kak Yoga yang sangat baik, personally Yoga adalah orang yang membantu saya dari mulai segala macam persiapan keberangkatan, visa, akomodasi, dan berbagai macam urusan yang memang membingungkan dan membuat worry. Thanks Yog!
PPI Hongaria sudah ada sejak periode 2015/2016, mengingat Hongaria bukan menjadi salah satu tujuan destinasi pelajar Indonesia, tentu belum banyak mahasiswa yang berada di dalam PPI ini. Saat ini PPI Hongaria dipimpin oleh Bro Yoga, yang sekarang menjadi flatmates saya, beruntung saya bisa belajar banyak dari Yoga. Wakil ketua dijabat oleh Bro Fahmi, ada juga Cacha, Helmi di divisi SDM, selain itu ada juga Sarah, Raja, Diana, Oscar, Fahrozi, Kiki dan banyak lagi teman-teman PPI yang saya belum ketemu sampai seminggu ini saya berada di Hongaria.
Pertemuan kecil diadakan di Flat kami yang sedang untuk ukuran Budapest. Ruang tidur utama disulap menjadi tempat kumpul utama. Tempat tidur kami yang super multifungsi dialihfungsikan menjadi kursi santai. Dari siang kami pun sudah bersiap-siap untuk menyiapkan aneka makanan dan minuman untuk menyambut kedatangan teman-teman kami di Budapest.
Ini pertama kali buat saya merasakan atmosfir kebersamaan yang cukup kental di luar Indonesia. Istilahnya ngariung kalo kata orang sunda mah. Ya kumpul2 ala orang Indonesia memang begini adanya. Cowok-cowok penghuni flat dan anak-anak PPI semua gotong royong mempersiapkan acara. Mulai dari beres-beres tempat tidur merapikan main bedroom untuk  dijadikan tempat kumpul, hingga mempersiapkan masakan ala Indonesia seperti ayam goreng, sambal ulek yang dibikin dengan cara memasukkan cabe,bawang putih, bawang bombay, tomat dan perasa ke dalam panci yang kemudian dibejek2 hingga lumat menggunakan alat seadanya (garpu dan sendok), karena tidak ada blender dan ulekan :D, ada juga yang membuat salad buah yang cukup menggugah selera sebagai dessert. Buah-buahan lumayan cukup terjangkau harganya disini, ada anggur, plum, pear, apel, nanas yang semua dipotong kecil2 dan kemudian di campur dengan fla yang mempermanis rasa.
  Anak peternakan nyambi jadi pedagang buah
Bahan makanan yang siap diolah
Cowok-cowok Master Chef Hongaria
  Ini sebuah hal yang baru buat saya setelah berapa lama tidak berinteraksi dengan dunia perkumpulan mahasiswa. Sebuah awal yang baik ^_^
Untuk bisa berjalan jauh selama 2 tahun kedepan dan seterusnya pasti akan banyak halang rintangan yang akan menghadang. Kehadiran teman-teman dan support system yang baik akan membantu saya mencapai tujuan akhir.
Mudah-mudahan kebersamaan ini tetap terjalin dengan baik.
Kőszőnőm
Purbo
Berjalan bersama-sama If you want to move fast go alone if you want to move far go together.
0 notes
singvlaritz · 7 years
Text
MYTSTC | 4. treaty for u & me 2
Rukia ne connaissait personne qui pouvait lui en vouloir. S'était une jeune femme qui savait ce faire respecter et qui évitait du mieux qu'elle pouvait toute sorte de conflit. Ou si elle en avait, elle les réglait directement avec la personne concernée.
Le seul ennemi qu'elle pouvait avoir était une sorte d'adversaire. Le seul adversaire qu'elle s'autorisait à avoir, s'était son ego. Quoi qu'il en soit, la petite brune devait faire quelque chose et vite. Elle posa sa pomme de terre qu'elle venait d'éplucher dans un saladier rempli d'eau, prévu à cet effet pour éviter qu'elle ne noircisse et attrapa un gros couteau de cuisine affûté. elle se dirigea silencieusement vers l'entrée de son appartement, plongé dans le noir, elle se cacha derrière le mur qui séparait les deux pièces pour qu'elle soit invisible aux yeux de l'intrus. CRUSH. CRUSH. CRUSH.   On continuait à faire du bruit dans l'entrer, à essuyer ses chaussures sur le paillasson sans se soucier du bruit que l'on émettait. Se n'était donc pas un voleur. Non, bien sûr que non. Un voleur ne ferait pas autant de brut, il aurait fait le minimum de bruit pour ne pas être repéré, voyons. Elle était sûre d'elle, sûre de sa déduction primaire qui la rassura. La noiraude pensa à une petite farce de ses voisins, elle savait qu'ils avaient des enfants farceurs et joueur alors Rukia fini par se dire que s'était sûrement ça, peut-être même qu'ils rentraient chez eux. Elle se faisait trop de film. La brune soupira et retourna dans la cuisine et rangea le couteau. Elle se senti d'un seul coup apaisée et hors de danger. C'est pour cela qu'elle décida d'aller à la rencontre des enfants qui semblait être dans son entrée. Elle souriait en quittant la cuisine, contournant le plan de travail qui séparait sa cuisine américaine et son salon pour se retrouver une deuxième fois devant sa porte d'entrée. Rukia inspira et expira profondément avant d'ouvrir la porte en grand avec un immense sourire. Cependant, son sourire s'estompa à la vue des deux grandes paires de pieds cachés dans des vans noir qui se frottaient toujours contre son tapis d'entrée. Ses jambes se stoppèrent aussitôt et son regard s'assombrit quand elle détailla l'individu de bas en haut. Elle sut immédiatement à qui elle avait à faire.
Il n'y avait pas d'enfant. Pas de voisin, pas de voleur, pas de... Mais lui. Grand. Cheveux roux. Yeux marrons. Aucuns doutes, s'était bien lui. Il était là avec une dizaine de cartons à ses pieds. Quand il l'aperçut, il arrêta tout mouvement et la regarda avec un petit sourire, il la sentait arriver et il semblait déjà vouloir se faire pardonner … En prévision de la tempête pour sûr. Il avait ouvert son parapluies avant les premiers gouttes de pluies. Avant que la tempête ne le frappe. C'est fout comment il arrivait a sentir ses émotions sans même la connaître réellement. Disons que le peut de fois qu'il l'avait vu, il avait tout de suite cerné son personnage. Rukia balaya la pièce du regarda essayant de répondre à ses propres questions sans demander à Ichigo mais en vain, elle n'arrivait pas à savoir ce qu'il se passait dans la tête de cette personne... Ou presque.
Disons qu'elle n'osait pas approuver ses pensées. - En fait, j'aurais jamais du ranger mon couteau de cuisine. Grinça la jeune femme à l'encontre du roux. Il aurait était parfait pour te coupé les jambes. - Ah ? T'aurais du, en effet. Il se pencha vers elle en souriant sournoisement. Comme ça, nous aurions été de la même taille, cela nous aurait fait au moins un point commun. La jeune fille serra ses points et soupira, essayant de se contrôler pour ne pas l'envoyer dans le décor. - Puis-je savoir ce que tu fais devant chez moi ? ... Avec ces cartons ? Lança la brunette en les pointant du doigt. - B'un ça ne se voit pas ? J'emménage. Répondit le roux attrapant un carton dans ses bras et en déplaçant les autres cartons avec l'aide de ses pieds vers la petite femme qui faisait office de barrage entre l'extérieur et l'intérieur de l'appartement. Tu gènes là.. Tu peux te pousser ? Rukia tapa son pied contre le carton pour exprimer son mécontentement avant d'hausser le ton. - Je rêve là. Dis moi que je rêve ! S'écria-t-elle. Non mais qu'est-ce qui te prend ? Je ne t'ai pas invité à venir vivre chez moi tout à l'heure alors sort d'ici et en vitesse avant que... ! - Avant que quoi ? Coupa-t-il d'un ton neutre qui énerva facilement Rukia. - … Avant que je ne retourne chercher l'instrument qui me servira de mobile pour le crime que je m'apprête à commettre. Répondit celle-ci, sèchement. - Ah ouais? T'oserais faire ça ? Ajouta l’intéressé pour la provoquer.
- Sans aucune hésitation ni le moindre remord.
C'est pas comme s'il pouvait être une grosse perte voyons. Alors que Rukia commença à faire demi-tour pour récupérer son couteau, Ichigo lâcha les cartons et attrapa Rukia par la taille pour la porter. La jeune femme s'énerva et donna des coups de pieds dans le vide, voulant être relâcher. Mais Ichigo ne le voulait surtout pas et ignora tout les coups que lui offrait la jeune femme et il alla la poser un peu plus loin pour qu'il puisse reprendre son déménagement et une fois lâché, Rukia l'insulta de tout les noms. Il savait qu'il pouvait faire se qu'il voulait car elle était minuscule. Du moins, s'était ce qu'il pensait. - Espèce de... Je t'ai demandé de sortir de chez moi, es-tu sourds ? Ronchonna la brune. - Nan, je le fais exprès. Renchérit le roux. - Tu ne paies rien pour attendre, t'aurais pas dû me toucher. - Ohh .. Dois-je avoir peur ? Oui. Il devrait. La jeune femme fronça les sourcils et façonna son poing. Ichigo n'avait pas peur, pour lui elle n'était pas forte du tout. Seulement le coup que lui élaborait Kuchiki était loin d'être riquiqui. En effet, quand elle porta son coup dans son ventre, Ichigo plissa les yeux et se plia en deux à cause de la douleur. Il l'avait sous-estimé et ne s'était pas du tout préparer à ça. - Putain mais t'es tarée. A quoi joue-tu bon sang? meugla le jeune adulte en passant ses mains sur son ventre. - Ce n'était qu'un avertissement. Tu ferrais mieux de reprendre tes cartons et de repartir chez toi si tu n'en veux pas un autre. Ichigo frotta rapidement son ventre comme s'il voulait effacer la douleur puis, il se redressa lentement et soupira. Le roux n'était pas décidé à rentrer chez lui et n'était pas non plus le genre de mec à lâcher l'affaire. Non, Ichigo Kurosaki était têtu et elle allait devoir s'y faire. Il fit deux grands pas en direction de la petite femme et posa sa grande main sur sa tête qu'elle recouvrait entièrement puis il s'abaissa à sa taille pour la regarder dans les yeux tout en lui rappelant quelques petites choses. Des trucs qu'ils avaient dits et redits un peu plus tôt. - Écoute Rukia, toi et moi on sait très bien que ça ce marchera pas. - Et comment que j'le sais ! Maintenant part, je veux plus te voir ici. - Mais bon sang, est-ce que tu vas m'laisser finir, oui ? Râla le roux en se redressant. J'aimerais moi aussi que tout ça se termine et plus vite que c'que tu n'crois. Alors tais-toi, ouvre grand tes oreilles et enregistre un peu ce que j'ai à te dire pour une fois.  Non mais ! .. T'es pas ma mère, t'as pas à me donner des ordres et ... - Minute. Juste pour information et aux dernières nouvelles, ici c'est chez moi alors c'est moi qui pose mes règles et qui décide des gens qui entre et qui sortent de chez moi, t'as compris ou c'est trop dure pour qu'un homme de vingt-cinq ans au cerveau d'une buse comprenne ? Un grand silence remplis l'appartement avant qu'Ichigo ne daigne se mouvoir de nouveau. Il ébouriffa les cheveux de la belle petite brune qui n'avait émit qu'un petit « hé » inspiré. - En toute honnêteté, j'en ai strictement rien à foutre de tes règles à la con et de tout ce que tu peux bien me dire. Je te demande simplement de m'écouter. Et même si tu n'es pas prête à l'entendre, je t'en ferais part quand même. Ichigo s'éclaircit la voix avant de reprendre. Je t'avais demandé de venir vivre chez moi, t'as refusé alors je suis venu à toi que ça te plaise ou non.
Rukia écarquilla les yeux sans dire un mot. Elle resta comme ça un petit moment sans même se rendre compte que sa bouche s'était ouverte ce qui fit sourire le rouquin, fier de lui pour l'effet qu'il venait de produire.
- J-je .. J-je refuse ! Bégaya-t-elle encore sous le coup de la mauvaise surprise. Je ne veux pas de toi en ces lieux. Il est hors de question, tu m'entends ?! Il lui sourit doucement avec une once de moquerie. - Navré mais t'as pas le choix. Un couple ça marche par deux et ça partage tout. On doit réagir et fonctionner de la même façon pour paraître plus vrai, t'es pas d'accord avec ça ? Et puis .. Ne crois pas qu'Uryuu gobera quelque chose si nous ne sommes jamais ensemble. Il est plus intelligent qu'il en a l'air ..
Bien qu'il me donne l'air d'être intelligent rien qu'en le regardant. Shit.
- Eh bien .. Si.. Si. Mais ..
- Quoi encore ? T'as pas le choix Rukia donc n'en parlons plus et puis .. je ne resterais pas si longtemps. - Ah oui tient en parlant de ça. Combien de temps comptes-tu rester chez moi au juste... ? Parce que je veux bien jouer le rôle de la fausse petite amie pendant une durée qui me dépasse mais t'héberger, c'est pas la même affaire, vois-tu !
Ichigo croisa ses bras sur sa poitrine et leva ses yeux au plafond faisant mine de réfléchir. Il se donnait beaucoup de mal pour se donner cet air. Puis il plongea ses iris couleur chocolat dans ceux de la noiraude, avec un léger sourire, sûr de lui.
- Ah ça, ça dépendra de nous. Si on arrive à se supporter jour et nuit. C'est pour ça qu'il faut que t'y mette du tiens, c'est pour notre bien. La brunette retira la main de son interlocuteur de sur sa tête et fit un demi tour sur elle-même avant de se diriger vers le salon. Elle ne prêta plus attention à Ichigo qui resta dans l'entrée. La brunette prit place sur son canapé d'angle en cuir bordeaux et plongea son regard à travers la grande baie vitré qui lui offrait une vue panoramique sur toute la ville. Elle semblait perdu, tout comme son regard qui fixait un point inconnu à élucider. Rukia voulait réfléchir mais elle n'y arrivait pas. A chaque fois qu'elle essayer de confronter ses idées à la réalité, le choc était terrible et le souvenir de leur premier rendez vous revenait dans sa tête et se présentait comme solution à son problème. Qu'est-ce que cela voulait dire ? La conscience n'était décidément pas la meilleure aide qui soit. Elle se retrouvait seule face à un problème de taille puisse qu'elle ne pouvait même pas en parler a sa meilleure amie dans la mesure ou elle s’apprêtait à lui mentir.
Pourquoi devrais-je mentir pour cet idiot ?
Elle savait pourquoi elle devait mentir. Elle avait sa raison et le monde l'ignorait. Et a cette raison s'ajoutait la vengeance qu'elle aimerait affliger a cet ordure.
Alors, elle n'avait pas le choix, n'est-ce pas ? Très bien. C'était une bonne chose en soit de ne pas pouvoir choisir une autre issue.
Elle fuyait son destin. Arbitrée par la peur, elle souffre mais ça, tout le monde l'ignore.
Le  destin ... toujours cruel, toujours juste. Une fois les dés jetés, plus rien n'est pareil. Il provoque toujours une petite étincelle quand vous touchez le fond, dans l'unique but de vous réveiller. Alors, si elle devait vivre avec un tel individu et tout partager avec lui, si s'était ça la petite étincelle qu'elle attendait depuis quelques mois alors …
- Qu'il en soit ainsi, je relève le défi.
Ichigo qui était resté à l'entrée s'enfonça dans le salon et s'appuya contre le mur, regardant intensément le dos de la petite femme qui était recroquevillée contre le dossier du canapé. Il afficha un sourire victorieux.
Une fois les dés jetés, il n'y a plus de place pour les remords.
0 notes
helenarosens-blog · 7 years
Text
Helena est née en Allemagne, à Rosenheim. A l'âge de 10 ans, elle déménage en Angleterre, pour vivre à Londres. Sa mère était une auror puis était devenu une auteur connu, et son père travaillait au Ministère de la magie. Helena a donc grandit dans une famille aisée, mais elle a tout de même eu une enfance peu heureuse. Très tôt, elle se passionne pour le quidditch, jusqu'à faire des entraînements avec son grand frère, l'attrapeur de l'équipe de Serpentard. Elle a aussi découvert qu'elle aimait particulièrement l'histoire de la magie, et est entrée à l'école Poudlard. Le choixpeau l'avait envoyé à Gryffondor. Elle était la seule de toute sa famille à être envoyée à Gryffondor. Helena a également excellé en botanique, dans les sorts et en potions. Sa vie a changé pendant sa quatrième année à Poudlard lors du tournois des trois sorciers. Elle était dans le cimetière où Cédric Diggory a été tué. Elle a tenté de repousser Lord Voldemort pour qu'Harry puisse s'enfuir et quand elle réussi, elle fut touché par plusieurs sortilèges, ce qui fit croire au monde de la magie qu'elle était décédée. En réalité, le seigneur des ténèbres l'avait gardé avec lui et l'avait torturée pendant plusieurs mois avant qu'elle réussisse à s'échapper. Ainsi, pendant plusieurs années, elle se cacha et elle vit une vie de moldu en changeant son prénom pour passer inaperçu. Elle s'appelait Eleanor Lannister. Elle a fait un peu de mannequinat, puis des publicités. Sa carrière décolla assez vite : Helena commença tout d'abord à tourner des petits rôles dans des films.
Quand elle eu 16 ans, elle apparut dans une réception de sang pur dans le manoir Rosens. Elle déjoua les sorts puis elle fit une entrée fracassante, ce qui étonna tout le public. Après moult péripéties, elle fit sa dernière année de sorcelleries à Poudlard, en même temps que le trio de Gryffondor, Drago Malefoy...
Helena a un caractère plutôt agréable, même si elle a forcément quelques défauts. Extravertie, elle n'a aucune difficulté à se faire des amis. Cependant, elle est quelque peu timide face aux journalistes, qui posent toujours des questions particulièrement indiscrète. Quand il s'agit du travail à l'école, Nina est très studieuse. Elle n'est pas du genre à arriver en retard en cours, ou à piquer une crise. Non, Helena est une fille charmante, qui n'a pas pris la grosse tête depuis qu'elle a goûté à la célébrité. A vrai dire, elle fait exactement les mêmes choses qu'avant, et ne prête pas vraiment attention aux ragots, aux tabloids et tout cela. Elle a beau avoir des amis célèbres, elle ne cherche pas à connaître les plus grands sorciers de ce monde. Elle souhaite faire une différence entre sa renommée et sa vie privée. Mêler les deux peut s'avérer dangereux. Sinon, Helena est une fille assez maladroite. Elle se blesse facilement, et a parfois du mal à bien tenir sur ses deux jambes. Ainsi, il lui ai déjà arriver de se rétamer lors d'une cérémonie officielle. Mais Helena se fiche de ce que pensent les autres et de leurs moqueries. La jeune femme a beau être très jolie, elle a tout de même un cerveau, et sait s'en servir. Elle parle deux langues couramment : le français et l'anglais. Grâce à ses compétences, elle voyage beaucoup, et principalement en Europe. Nina prend soin de son corps, c'est une grande sportive. Quand elle était plus jeune, elle s'est illustrée dans le quidditch, en étant batteur dans l'équipe de Gryffondor.
Helena a globalement un caractère qui plait. Elle aime bien rire, faire la fête, elle sait s'amuser. Blagueuse, elle adore plaisanter avec ses amis, enfin, ils rient souvent à ses dépends. A cause de sa maladresse quasiment maladive. En tout cas, Helena est une fille assez secrète. Elle dit presque toujours ce qu'elle pense, mais reste très mystérieuse avec les journalistes quant à sa vie privée. En tout cas, tout le monde reconnait que Helena est une fille très modeste et naturelle, qui ne se prend pas pour une star, contrairement à la plupart des sorciers de sang-pur. Elle est très différente de sa sœur, de son frère et des ses parents, qui sont des Serpentard dans l'âme.
0 notes