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#Ce que disent les silences
alapagedeslivres · 5 months
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Mon calendrier de l'Avent 2023 : numéro 14
JOUR 14Le livre que tout le monde aime… sauf moi J’adore Laure MANEL : j’ai aimé tous les livres que j’ai lus d’elle : la mélancolie du kangourou (COUP de COEUR), la délicatesse du homard, Histoire d’@… sauf Ce que disent les silences. Quelle déception pour moi ! Pourtant, cette histoire contenait tous les ingrédients que j’affectionne : un secret de famille, une île bretonne, une communauté…
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lesparaversdemillina · 7 months
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Ce que disent les silences de Laure MANEL
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nemosisworld · 22 days
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Je vis pour ce qui n'a pas de poids De couleur ni de prix L'insensible douceur De tes mains Ton visage aux chemins Interdits Ton silence qui me détruit Le coeur Ta lumière comme un bandeau Sur les yeux Eux disent que c'est folie Moi je dis c'est l'amour Ainsi soit-il
Anne Périer
Ph. Alexander Stolov
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who-am-i-in-the-world · 11 months
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Mtmte Rung x cybertronien reader
621mots
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Vous avez toujours été sur le terrain. Que ce soit dans votre vie avant la guerre ou pendent celle-ci. Votre sire vous a entrainée à être dure et froide. Vous obligent à combattre des gladiateurs et en vous fessent coucher avec des bots plus vieux que vous. Alors vous pouvez maintenait vous imaginez qu’il n’est pas facile pour vous d’exprimer vos émotions. Pourtant vous êtes dans le bar, une boisson de haute qualité au servo vous demandent où allait votre vie. Vous étiez épuisée, c’est le moins qu’on puis dire. Vos optiques fermées, votre tête vers vos cuisses avec un bras qui tient la boisson sur la table et l’autre autour de votre bassin. C’est à peine si vous avez senti le doux touchez sur votre plaque d’épaule gauche.
'Que dirais-tu d’aller te ressourcer dans notre chambre avant de le faire sur la table.' Une voix douce et calme vient doucement à votre récepteur gauche. Vous obligent a regarder le magnifique bot qui était aussi votre compagnon. Vous ne vous rapeliez pas l’avoir vue en entrant dans le bar, mais ça n’a aucune importance en se moment.
Un doux son fatiguer mes d’approbations est sortie de votre bouche. Avec ça, vous vous été levez (avec le peu de force qui vous restait), avez attrapez votre adorable compagnon du même bras qui tenait autrefois votre boisson et été sortie du bar.
...
Apprêt avoir traverser une partit du vaisseau vous été enfin arriver a votre destination et Rung ses occupez de taper le code voyant que vous commenciez doucement a vous pliez en deux. Il vous traina ensuit doucement à la couchette vous disent de vous allongez et est parti dans une salle (semblable a une salle de bain terrienne). Vous en avez profité pour vous mètre plus alaise. Vous placiez sur le dos mes de façon à ce que vaux aile/portière ne vous fassent pas mal. Vous avez ensuite replié vos bras sur votre bas ventre et avez croiser vos jambes une sure l’autre. Rung est ensuite réapparue avec un produis dans les servos et ses approchez de vous.
'C’est mal?' Questionna t'il. Vous l’avez doucement regardé comme si vous le voyez pour la première fois depuis votre création. 'Y/N?'
'Je veux voire tes optiques…' ça sonnait un peut plus sec que vous ne le vouliez. Vous vous êtes immédiatement excusé. Pourtant cela ne la pas empêchez de vous sourire, de retirer ses lunette avec son servo libre et de les poser sur la petite table de cheves accoter. Il a ensuite ouvert la crème an a pris un peut avec ses chiffres et pauser le contenue accoter de ses lunettes. Il s’est ensuite approché de vous et vous avez doucement déposé votre servo sur sa anche en le regardent dans les optiques.
'Tu na ma toujours pas répondue chérie, ses vraiment douloureux?' Il reposa doucement la question pour ne pas vous surprendre dans le silence confortable.
'Pas si pire.' Votre voix épuisée sortie quelque seconde plus tard. Il vous offrit un autre sourire et à doucement commencer à appliquer la crème entre vos câbles près de votre blessure fraiche, comme Ratchet luit avais montré. Prennent la peine de doucement les frotter pour vous détendre le plus possible.
Apprêt qu’il est fini, vous lavez doucement attirer contre vous pour qu’il se couche accote de vous et laver remercier d’un chuchotement a peine présente. Puis vous avez cacher votre visage dans ses câbles de cous pendent qu’il se collait un peu plus à vous.
Tu n’aurais jamais pu demander mieux, un petit ami qui ne te pousse pas à bous et ne pause aucune question sur ton caractère distend. Un jour tu lui parleras de tons passer mes pour listent tu préfères en profitez le plus possible.
-dite moi que je ne suis as la seul qui est en amoure avec Rung!!!!!!!!!
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curvatio · 10 months
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05. Vibration
J’aime ta voix j’aime tes mots j’aime les mots que tu emploies j'aime toutes tes langues (ancien français inclu) j’aime les tournures de tes phrases j'aime ton vocabulaire loufoque doctoral et vulgaire j’aime quand tu me parles au conditionnel j’aime quand tu me dis s’il te plait doucement et j’aime les silences que tu laisses, parfois, entre deux mots (je pourrais perdre mon cœur pour moins que ça), j’aime quand tu murmures « lève la tête [silence] s’il te plait » quand tu murmures « je te tire pas les cheveux [silence] promis » et ton sourire tout de suite après (et l’univers qui s’ouvre après)
j’aime ta façon d’oser tout dire qui est transparente mais comme personne, j’aime les chemins que prend ta parole, j’aime son extrême, extrême singularité, j’aime quand tu en joues devant tout le monde quand tu fais un spectacle de mots, j’aime aussi quand cinq mots te suffisent, au milieu de ce que disent les autres, pour que soudain j’éclate de rire ; j’aime ta voix grave qui me tue dans le noir, j'aime cette immense chaleur-douceur, des fois j’ai l’impression de mourir seulement en entendant ta voix, j’ai l’impression de tomber dans un creux sans fin dans mon ventre, c’est comme si sous ta voix je pouvais faire – n’importe quoi – et j’aime – que tu me le demandes – (de temps en temps)
j’aime quand tu parles aux oreillers quand tu dis ça donne des envies j’aime quand tu parles au plafonnier quand tu demandes t’as pas des envies débordantes j’aime le culot de raconter – littéralement – l’histoire d’un poissonnier – pour me distraire – de ce que tu me fais – j’aime que tu me fasses en même temps – rire – et trembler – et t’écouter, j’aime (fort) ta façon de me distraire et
autant j’aime (ton corps ta façon de te mouvoir tes trajectoires sur moi ce geste de nouer mes mains sur tes poignets ce geste d’attraper les miens – chaque fois que je les porte à mes yeux – et de doucement les écarter) autant vraiment ta voix elle me fait vibrer à en perdre la tête
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rayondelun3 · 6 months
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Elle l'attend sans lui dire
Il dort à côté d'elle
Elle regarde ses épaules
Voudrait goûter la chair
Mais elle n'ose pas
Éveillé il se tournera vers elle
Passera un bras autour de ses hanches
Pour ramener son corps amincie
À sa merci toute entière
Contre lui
Mais il dort
Et elle attend
Elle attend sans être sûre
Elle veut le séduire tout entier
Elle cache son corps à tous les autres
Elle ne le voit pas beaucoup
Hier soir il l'a emmené à la mer
Elle a pleuré car son cœur saigne
Il aurait voulu la transpercer
Mais pas ici, pas sur cette plage, pas maintenant
Plus tard.
Elle fumait une cigarette
Il n'aimait pas ça
Mais elle ça lui plaisait
Elle se trouvait plus elle-même
Une cigarette aux lèvres
Et puis il est trop pudique pour l'embrasser là dehors
Même s'ils sont seuls dans la nuit
Le vent souffle dans sa coupe en carré
Elle sait qu'il la regarde en silence
« Je vais prendre des photos pour montrer qu'ici c'est plus beau [à un tel] de ma classe »
Il a sorti son téléphone
Et elle restait appuyée sur la barrière,
Le regard plongé dans la mer, dos à lui
Puis il s'est mis à tourner autour d'elle
Son sujet préféré
Elle n'en revenait pas
Les larmes coulaient encore sur ses joues
Elle se vidait du mal qui lui prenait aux tripes
Elle jette sa cigarette
Ils ne disent rien
Il la regarde encore
Elle sent ses yeux, son regard, son désir
Posés sur elle qui ne se retourne pas
Elle laisse tomber son corps en arrière
Se recroquevillant sur elle-même
Il la prend contre lui, tête sur jambe
« Je pourrais te transpercer »
Elle le sait, elle aimerait en secret qu'il la prenne
Parce qu'elle est à lui et qu'elle en besoin
Besoin de sentir ses lèvres sur elle, d'être transpercée
Il bouge dans le lit
Elle arrête d'écrire
Elle a honte
Elle est amoureuse et folle, anéantie aussi
Elle n'aime pas son corps
Mais lui c'est un des délices qu'il préfère
Elle n'arrive pas à se rendormir
Pensant à ce qu'elle voudrait faire à son corps à elle
Les coupures, le sang, l'encre, la magie, la destruction, la réparation...
Il n'aime pas ce genre de choses
Mais elle est ainsi
Comme une cigarette elle flambe et se réduit en cendres
C'est son addiction à lui
Alors elle ne bouge plus
Se munit d'un livre qui parle de cannibalisme et autres mignonneries
Et espère qu'il voudra encore aujourd'hui
Du corps qu'elle voudrait tuer.
Elle repense au moment où il a embrassé tout son visage malgré la nicotine
Puis ses lèvres à elle
La nicotine
Il souriait
S'était à nouveau rué sur ses lèvres fermées
Par peur de l'empoisonner.
Elle se dit qu'il l'aime
Elle aimerait que ça dure éternellement
Y croire c'est dangereux
Ne pas y croire...
Alors qu'il se donne tout entier à elle seule
Et répare sans trop faire exprès
Tout ce que les autres brisent
De sa petite amie morcelée.
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nuitdemai · 7 months
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Les légendes urbaines
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Elles sont tenaces, ces légendes, depuis toujours, elles sont racontées, tard, dans les soirées, pour faire frissonner petits et grands. Il y a les sceptiques, il y a les effrayés, mais tout le monde sait que ce ne sont que des histoires destinées à faire monter l'adrénaline. Ici, à Saint Lionel, elles sont rentrées dans le quotidien, dans les bouches de tout le monde. Pour rendre les enfants obéissants, ou parfois, ce sont juste des expressions.
La dame blanche, la plus connue, comme si elle pouvait se multiplier, comme si elle était là dans chaque contrée. Elle apparaît la nuit, au détour d'un virage. Elle s'invite dans les voitures des couches-tard, côté passager, elle demande si on peut la déposer. Reste un instant, en silence, avant de disparaître dans un hurlement à faire glacer le sang.
Le crochu, cousin, ou variante du Croquemitaine, pourtant un peu plus gentil que ce dernier. Il vient terrifier les enfants qui ne sont pas sages, qui désobéissent. Il se cache sous les lits, dans les placards, fait des petits bruits, et s'en va quand l'enfant a compris. Certain.e.s disent aussi qu'il aide les gens s'aventurant un peu trop profondément dans les collines des environs à retrouver leur chemin.
La sirène de l'île bleue est un peu particulière. On dit qu'en hiver, elle échange sa queue de poisson contre des jambes et qu'elle se glisse, incognito, parmi les habitants de Saint Lionel. On dit aussi que c'est par elle que commence toutes les rumeurs. L'été, elle retrouve sa véritable identité de sirène et s'amuse à chatouiller les jambes des baigneur.se.s pour les faire sursauter.
Le forum se veut réaliste, ces personnages ne sont donc pas vraiment réels, mais, paradoxalement, font partis du quotidien des habitant.e.s de Saint Lionel. Vous pourrez demander une intervention de ces PNJ pour pimenter vos rps.
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ecrisettaistoi · 4 months
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La der des Den
.
.
.
Je commence à avoir
dans mon calepin
un paquet
de numéros orphelins.
Un de plus depuis ce matin
que je n'effacerai pas,
qui restera longtemps
dans le répertoire
électronique, clic clic, lettre D,
bien qu'il
sonne dans le vide
depuis treize jours.
Silence assourdissant comme ils disent tous.
Silence lourd
Silence de plomb.
Silence tranchant.
Ne pas déranger.
Votre correspondant est indisponible.
.
.
.
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ameretat · 1 year
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Journal, 4 mars 2023
Je retrouve enfin ma joie dans la solitude. Le silence, mon meilleur ami.  Le soleil a réchauffé mon cœur et la prière m'a apaisée. Je n'ai besoin que de cela. 
Je veux respecter tes tourments, aussi, malgré une envie de te voir que je ne peux réfréner, je ne te demanderai rien. Je reste dans mon espoir, sereine et muette. Je sais en vérité que je ne suis pas prête à vivre ce qu'il pourrait se passer lors d'une nouvelle rencontre avec toi. J’ai besoin de temps encore, ces trois dernières années ne m’ont pas suffit. Dans mon dernier rêve avec toi c’était si fort. C’était comme retrouver des parties de moi. Je me souviens de cette sensation d’être enfin chez moi la dernière fois que je me suis retrouvée dans tes bras. Je n’avais jamais eu cette sensation auparavant. J’ai si peur de me bercer d’illusions et en même temps je sais. Depuis trois ans, je sais comment tout cela va finir. Mais tout peut encore changer. Alors je prie, je prie pour toi, pour nous... Un nouveau souffle, une guérison, un coeur vif et vaillant comme celui de notre première jeunesse. Évidemment, le mystère qui t'entoure continue de m'attirer. Et les souvenirs de nos conversations n'ont pas cessé d'actualiser un passé qui s'éloigne toujours plus vite. La sensation d'inachevé me ramène constamment à toi en dépit de toutes les rencontres que je fais. Alors ma patience est infinie, n'en déplaise à ceux qui me disent que je perds mon temps, que je ne vis pas si je ne profite pas. La vie n'est pas une marchandise, il n'y a pas de profit à en tirer et l'idée de consommer une relation comme un vulgaire produit me donne la nausée. Je me préfère seule à rêver, ne serait-ce que pour la profondeur des sentiments que j'y trouve. Mon rêve, ne fusse qu'une illusion, m'apporte bien plus que n'importe quelle satisfaction immédiate. Et je pourrais passer toute une vie ainsi s’il le faut, car c'est en t’aimant qu’enfin je me respecte. 
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congratulationsgeorge · 6 months
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Retournons à la mer
Retournons à la mer, retournons à l’étang, là où une entreprise prophétique nous a Promises. Par la concordance des cigales, et du ciel rouge qui s’appose sur ton front la taule, et le mal, et la peine que nous ignorions encore. L’accent rond, les : pain, main, hein, tarpin, pneu peneu pe neu mélodiques.
Retournons à la mer, en ton sein, puisque nous avons regardé le même film, dans la même salle, sans le savoir, à quelques rangées, quelques sièges d’écart, tu étais trois rangs avant moi. puisque nous avons une expérience commune : ces plaies béantes, ces gencives saignantes, et ces cheveux gominés, ces accusations, ce venin anxiogène, qu’iels jetaient sur nous parce que nous étions noires.
La crainte de t’aimer, de poser encore sur toi, tes yeux, ta peau pégueuse à la D’Angelo, beaucoup trop huilée par la coco, un regard qui me trahirait.
Retournons à la mer, je ne pourrai que le répéter, au fond de la cour, tu l’as si bien dit, il y avait les pins, tiens, les pins, la cour qui se tenait juste là, en pente, le petit jardin clos où l’on faisait pousser des fruits et des légumes, là où seul.e.s les CE2 A/ B/ ou C avaient le droit d’aller.
Je pleurais de rire, dans ces innombrables épines de pins, parsemées sur le sol brûlant, je me souviens du regard flou, flouté par les feux de joie, les cages de foot et les zygomatiques tendues.
Je taclais les garçons au foot, m’asseyais dans le creux des ondulations du bitume/du ciment blanc anthracite et aucun d’eux ne m’aimait.
Retournons à la mer, je t’emmènerai près de l’étang, l'odeur des œufs pourris de Berre nous frappe les narines entre deux pétards. Dans les sanglots, la solitude, et l’abandon, d’être une femme noire dans une famille blanche, d’être une femme noire qui aime les femmes c’est près de l’étang que tu te réfugiais.
Une dizaine d’années plus tard des ellipses parmi les vagues et les éclaboussures de la piscine de la mamie de Clara en juillet des bougies d’anniversaire numériquement trop trop nombreuses à souffler chaque année.
Retournons à la mer, puisque j’ai dit tout bas des signes, des choses inavouables.
Ils disent que « l’amour ça ne s’apprend pas », que « l’amour ça se vit » et pourtant j’aurais aimé apprendre.
Moi, fille de Mars, qui n’ai jamais appris que l’impatience, le drame et le chaos élevé par le kayamb, son frère tam tam, et les chants de guerre qui les accompagnent. Moi, fille de Mars, j'aurais voulu me sentir capable d’exprimer l’amour dans le calme, de sortir des sentiers tumultueux ancestraux de m’écarter de la voie de la surveillance, de la méfiance, de la gangrène routine, de CELUI OU CELLE QUI CRIERA LE PLUS FORT
Moi, fille de Mars, j’ai cherché à t’atteindre et à te montrer la plaine verte qui s’étend à l’infini, la végétation et le colibri la profondeur et l’abondance de la rivière en avançant mes lèvres, les extrémités tendues et riches des mots à te donner, en plongeant la tête la première dans le Gouffre des esprits à Terre Sainte, en serrant nos corps tandis que Les Déesses chantaient notre histoire.
(Nous étions ces deux gamines amies en primaire unies par un zouk après dix années de silence.)
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Retournons à la mer, 2019, George Eperonnier
publié dans The Black Lesbian Rises Issue pour le magazine Lesbians Are Miracles (USA) en 2021
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alapagedeslivres · 11 months
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CHALLENGE NetGalley : bilan 2023
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lesparaversdemillina · 10 months
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? N°285
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, c’est l’heure du “C’est lundi que lisez-vous” je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. C’est lundi par le menuJE RÉPONDS…
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jeanchrisosme · 2 years
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Apprendre à contempler. Rien dire. Rester dans le silence. Mais pas n’importe quel silence ! Il y a toute une gamme de silences : des graves, les aigus, des intenses. Il y a le silence qui cache l’absence et le vide ; il y a le silence parce qu’on n’ose pas ; il y a le silence parce qu’on ne veut rien dire, ou qu’on s’en fiche ; il y a le silence parce qu’on ferme les yeux et qu’on ne veut pas s’occuper de ce qui ne nous regarde pas : tout ça, c’est pas des beaux silences.
Moi, je parle des silences à étoiles, des silences à deux, avec des signes et des messages et des sculptures de connivence, un silence moelleux et rond comme de la tendresse, et grisant comme de l’amour. Un silence dense, la danse d’un silence….
Les amoureux n’aiment rien tant que le silence. C’est drôle : c’est quand ils ne disent rien qu’ils s’entendent le mieux. On reconnaît l’amour véritable à ce que le silence de l’autre n’est plus un vide à remplir, mais une complicité à respecter.
-François Garagnon
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claudehenrion · 10 months
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Cacophonies sans limites...
  Certains moments de l'Histoire semblent décider d'obéir aux modes les plus perverses pour le futur de l'espèce humaine... qui serait, disent certains, en voie d'extinction malgré la tromperie des chiffres : on est de plus en plus nombreux sur Terre, mais de moins en moins ''humains''. Il y a eu d'autres époques où la laideur était un signe distinctif d'adhésion aux  comportements les plus pitoyables et aux théories les plus absurdes... au nom d'un iso-''modernisme'' adapté au temps, bien sûr. Cela a toujours correspondu aux plus grandes régressions morales et aux périodes sombres de l’Histoire. Ne serions-nous pas en train de renouer avec une tendance qui mêle mauvais goût et décrépitude ? La question vaut d'être posée !
Précisons, à notre habitude, de quoi nous parlons : le mot ''cacophonie'' vient –vous vous en doutiez !- du grec ancien φωνη ́, prononcé phoni, qui veut dire ''voix'', et de κακο ́ς , qui veut dire ''mauvais'' et est surtout célèbre par son pluriel κακα, prononcé comme on le devine, et très mal vu des parents de petits enfants réputés ''bien élevés.... On utilise le plus souvent ce mot composé  pour décrire des bruits discordants produits par des instruments abusivement dits ''de musique'',  mais il n'est pas interdit d'étendre son usage à tout et n'importe quoi de désagréable à l'oreille... ou à d'autres sens. Et là... nous sommes comblés au delà du possible.
La séquence en cours a commencé le 14 juillet dernier lorsque notre européo-maniaque élyséen nous a fait don non pas de sa personne (ça, c'est déjà fait, et on sait maintenant qu'on ne s'en remettra sans doute jamais), mais d'un orchestre fait des meilleurs souffleurs militaires des pays membres de cette Alliance faussement dite européenne, qui lui tient tant à cœur et chante si mal en chœur : notre grand défilé ''sur les Champs'', marqueur incontesté de ''notre 14 juillet à nous'', devrait désormais être vécu en harmonie théorique avec des pays pour qui cette date n'a pas le moindre sens ! Résultat : une immense cacophonie (et les mots ont un sens, nous l'avons précisé !) où chacun jouait, pour son propre compte et sans tenir compte des autres, des extraits  de rengaines tirées de séries-télé américaines. C'est l'image parfaite de ce qu'est devenue cette ''Europe-institution'' à laquelle notre Président, toujours juvénile (''Malheur à la Cité dont le Roi est un enfant'', prophétisait Ezechiel  il y a 2600 ans), croit toujours, malgré toutes les preuves accumulées, et malgré les bévues contre-civilisationnelles de Madame von der truc et toutes les dérives morales, sociétales et autres qu’elle impose autour d’elle...
Je passe sous silence le seul fait vraiment marquant (à ce jour) de ce second quinquennat : les banlieues (rebaptisées ''quartiers'' en novlangue, comme pour atténuer l'horreur qui s'y prépare (Tu parles ! Elle est là depuis longtemps, l'horreur, mais nos politiciens aux têtes vides refusent de la voir !) : banlieues ou quartiers sont entrés en sécession, soumis à un islam politisé, mais avant tout anti-français, anti-blanc et anti-intelligent, lui-même soumis (c'est la définition du mot ''Islam'') à la bonne volonté des ''grands frères'' et des ''éducateurs'', et à la seule décision des caïds de la drogue (fonction  du niveau de leurs ventes de poisons), événement difficilement guérissable que le Pouvoir, dans sa lecture infantile des faits (voir Ezechiel, ci-dessus !) croit avoir interrompue grâce à sa sublime intelligence (Sic !). Comme quoi toutes les croyances sont possibles ! Cette seconde cacophonie était digne des bras cassés qui entourent la Présidence.  On était loin d'avoir tout vu !
Le troisième drame de ce triste mois de juillet est venu du soi-disant ''remaniement ministériel'' qui a consisté en un jeu de chaises non pas réputées musicales, mais cacophoniques, elles aussi. Comme nous avions annoncé la semaine dernière ce qui allait se passer et que la séquence prévue a été suivie comme si nous étions les initiateurs de ce ''bal des nuls'', il y a peu à en dire, d'autant que Philippe de Villiers a, à son habitude, parfaitement décrit le seul changement important de ce ''coup-pour-rien'' : le remplacement, à l'éducation nationale, d'un sinistre pro-woke par un sinistre pro-LGBT... (NDLR : le concert de cris des vierges effarouchées de gauche qui a suivi l'énoncé de cette vérité première (insupportable, puisque vraie) a été le seul moment agréable de cette semaine ratée en tout, pour tout, et sur tout !)
Comme si tout ça ne suffisait pas a rendre les français encore plus ''paumés'', ils ont ensuite eu droit à un mauvais ''remake'' de  ''causerie au coin du feu'' par leur Président qui (par souci d'économie, sans doute) a préféré s'adresser à eux depuis Nouméa que depuis le Faubourg St Honoré : on risquait moins d'entendre le gai tintamarre des casserolades qui ''cacophonisent'' (si j'ose !) épisodiquement ses prestations ratées. Mais au fond, vu des palais de la République, pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ? Le seul ennui (à part l'ennui intrinsèque que notre Président secrète comme d'autres l'envie de rire ou de pleurer...), c'est que, comme à chaque fois, il n'a rien eu à dire, sous son flot énarchien de répétitions vides de tout bon sens. En résumé : ''Circulez, y a rien à voir''... Pourquoi se donner en spectacle alors que l'on a vraiment rien à dire ? se demandent de plus en plus de braves gens. A ce jour, la question est sans réponse.
C'est pourtant là, peut être, avec le ''zim-boum-boum'' raté du 14 juillet, que j'ai eu le plus cette impression de cacophonie qui m'a envahi depuis que j'ai été contraint de vivre en Macronie : les français, pratiquement unanimes (une unanimité ''à la française'', peut-être, mais rarement atteinte et persistante à ce degré) citent en boucle trois ou quatre mots simples autour desquels ils ont très peu varié, depuis des mois : immigration, sécurité, ''être français en France...'', et remettre enfin de l'ordre dans les banlieues, sans nouveau ''Plan'' plus coûteux qu'efficace... Or il se trouve que ce sont les seuls qui sont totalement absents du discours présidentiel ! Comme dirait ma vieille amie Madame Michu, ''il voudrait le faire qu'il le ferait pas aussi bien''. Faut-il se réjouir de cette fuite volontaire devant le réel, faut-il ''accepter de vivre avec'', ou faut-il s'en attrister, voire s'en désoler ? Chacun décidera, en fonction de ses propres critères . Mon choix --pas très intéressant-- est connu...
H-Cl.
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pikmininaplane · 1 year
Note
Pour le "commentaire DVD des fics" 👀
J'ai bcp hésité au sujet de quelle fic demander mais je suggère Le Passe Muraille ? Parce que cette fic vit dans ma tête en ce moment
De "- Pas besoin. Le docteur Maison sait exactement où je suis. »
Jusqu'à "Sous leurs pieds, le monde n’était plus."
Voilà, je suis très curieux de voir tout ça :D
(Referring to this ask game)
Aslkjds j'avoue que j'ai été surprise que cette fic plaise autant X) Mais je vais pas me plaindre, hein, j'en suis ravi~
Par contre ça m'a fait réaliser que. 500 mots c'est vraiment un tiers de la fic 😭Mais bon, les histoires les plus courtes sont les meilleures ou whatever
- Pas besoin. Le docteur Maison sait exactement où je suis. »
La voix du docteur Holloway avait adopté un ton étrange, presque absolu, comme s’il ne doutait pas un seul instant de ses mots.
(L'idée ici c'était d'introduire la nature surnaturelle d'Holloway, de la suggérer sans être explicite, par le biais de Maison, que j'imagine soit être aussi surnaturel que son second, soit être conscient de sa nature ; d'ailleurs la ligne d'avant, où Marcello évoque Maison, est la dernière ligne de la fic que j'ai écrite, parce que j'avais du mal à trouver une formulation qui soit pas un peu forcée (vu qu'il me semblait pas naturel que Marcello mentionne Maison comme ça) mais au final j'ai. Abandonné et pris ce qui me passait par la tête 😭 C'était pas si important que ça isoké)
Marcello, qui ne l’avait pourtant pas vu sortir son téléphone, supposa qu’il avait dû être distrait et ne se questionna pas plus longtemps.
(Pareil, ici Marcello a un doute, mais il le refoule, que ce soit par tendance humaine à rationaliser ce qui se passe autour de lui ou à cause de l'aura d'Holloway...~)
« … Et vous ? » finit par lui demander le médecin, tout aussi maladroit que l’avait été l’italien avant lui. « Votre ami vous attend, c’est bien ça ? »
Ah ? Marcello baissa les yeux vers l’écran de son appareil, pour constater qu’en effet, Liam, bien loin de continuer à vaquer à ses occupations, comme le lui avait demandé son partenaire de crime, avait décidé de l’attendre à l’accueil de l’hôpital. « Ah… oui, on dirait bien, oui.
(Encore une fois, Holloway en sait plus qu'il ne devrait... :) Par contre je suis sûre à genre. 75% que partenaire de crime ne se dit pas en français (ptite traduction directe de partners in crime yk yk) mais je cherchais une autre expression qu'ami pour maintenir le "doute" sur la relation Marcello-Liam ici (ce qui. n'avait pas vraiment d'importance en vrai, surtout que j'utilise ami à la fin du texte, mais let's go hein X)))
- Il a l’air d’être… » commença Holloway, avant de s’interrompre, comme incertain du terme à employer, avant de souffler : « Un bon ami. »
(Les bons amis à la Miraculous, si vous voyez c'que j'veux dire 👀)
Marcello acquiesça sans un mot.
Le silence revint s’installer entre les deux hommes. Le haut-parleur de l’ascenseur restait muet ; personne ne semblait particulièrement motivé à venir les chercher.
Après un long moment, Holloway soupira.
« Monsieur Capone ? Est-ce que vous me faites confiance ? »
Oh. Il avait retrouvé ce ton qu’il avait plus tôt, cette voix sérieuse et solennelle, cette aura de calme prophète.
(Pourquoi prophète ? You tell me, ça sonnait bien c'était un peu mystique c'est tout X))
Marcello n’aurait déjà pas hésité à faire confiance au médecin en temps normal – il l’avait laissé lui recoudre un poumon dans la poitrine, après tout – mais à cet instant précis, il se sentait comme… envoûté. Comme prêt à suivre cet homme jusqu’au bout du monde. Comme prêt à mourir pour lui, s’il le fallait.
(Marcello à peine dramatique 😭 Mais il faut le comprendre, il est sous le charme d'un dieu, après tout~ D'ailleurs les tags de la fic disent "Somehow I wrote about these two and only mentioned the lung once" et c'est parce qu'à la base c'était "Somehow I wrote about these two and never mentioned the lung" mais en me relisant j'ai réalisé que c'était. Juste faux X'))
Il se contenta de hocher la tête.
« Et… » Le regard du docteur se fit plus ferme. « Est-ce que je peux vous faire confiance ? »
Oui. Jamais Marcello n’aurait envisagé de le trahir.
Il hocha à nouveau la tête.
Un sourire se dessina sur les lèvres d’Holloway.
« Bien. Dans ce cas, je vais vous demander de vous tenir à moi, de fermer les yeux, et de ne pas poser de question. Pensez-vous pouvoir faire ça pour moi, monsieur Capone ? »
Oui. Sans aucun doute.
Marcello fit un pas vers le médecin dans l’espace limité de l’ascenseur, et, fermant les yeux, entoura sa taille de ses bras.
Il ne réalisa qu’alors la nature de son acte. Qu’est-ce qui lui était passé par la tête ? Il avait agi comme malgré lui, avait succombé à une force qui lui était inconnue, et se retrouvait plus proche encore du docteur, son torse pressé contre le sien, son visage niché dans le creux de son cou. Il se savait plus qu’il ne se sentait rougir. Peut-être était-il encore temps de reculer, de s’excuser auprès d’Holloway, de–
(L'aura d'Holloway qui glisse juste assez pour que Marcello ait honte de son geste~ Probablement le seul passage 'romantique' de la fic, en vrai d'ailleurs– pardonnez-moi je suis trop aro pour ces bêtises 😔 /hj)
Holloway plaça un bras autour de sa taille.
Sous leurs pieds, le monde n’était plus.
(Téééléportation ✨✨ L'idée c'était que comme pour les bugs de GTA, ils se retrouvent sous la map/la map charge pas tout de suite donc ils sont un peu dans le vide, m'voyez,, d'ailleurs comme l'a commenté Hades, j'avais beaucoup En Apesanteur de Calogero dans la tête en écrivant cette fic, et particulièrement ce passage X))
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immorcha · 10 months
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Les larmes de mes mains
Ton sang ne circule plus dans ton corps. Ton souffle n'est plus qu'un souvenir. Jamais ta voix ne parviendra plus jusqu'à mes oreilles. Tes mains ne me caresseront plus le corps. Tes lèvres ne se poseront plus sur les miennes. Le rire de ton cœur n'égaiera plus les enfants du jardin. Ton parfum n'effleurera plus les sens passionnés des hommes. Ta souffrance n'est plus une torture. Les larmes de ton âme ne grifferont plus tes joues blanches. Tu ne t'assiéras plus dans ce fauteuil à roues. Les infirmières ne viendront plus me dire que tout va s'arranger. Ton enfant ne se demandera plus quand est-ce que tu reviens.
Ce soir, une automobile ne t'a pas vu. Tu ne l'as pas entendu. Le conducteur est saoul. Il roule trop vite. Le feu est rouge. Il ne le voit pas. Tu traverse pour me rejoindre. Je cris. Ton corps saute et se disloque. Ton corps roule dans le caniveau. L'automobile ne s'arrête pas. Je cours. Tellement de sang. Comment peut-il y en avoir autant ? Ton visage parait paisible, je l'embrasse. Je le caresse. Je le mouille de mes larmes. Quelqu'un a dû appeler les pompiers, car une sirène au loin appelle à la vie. Je sens ton pouls. Tu vis. S.A.M.U.. Pompiers. Police. Psychologue. On me questionne. Je veux rester avec toi.
Tu ne marcheras plus. Tu ne parleras plus. Tu ne verras plus. Mes caresses, mes mots, mes baisers, mes larmes. J'attends. On me dit qu'il n'y a que ça à faire. J'attends. Allongée sur un lit blanc, tu contemples le plafond blanc, les yeux clos, les bras bien alignés le long du corps, des tentacules translucides te perforent de toutes parts, ton visage est recouvert d'un masque, des tuyaux sortent de ta bouche, de tes bras, de ton sexe, d'autres entrent dans tes narines, dans tes bras, dans ton sexe. J'attends. Je te parle, je te touche, j'emmène ton enfant pleurer avec moi sur ton visage, dans tes mains, je te lis des histoires fabuleuses, et ton enfant te rejoint dans le sommeil, mais je ne parviens pas à l'imiter. J'attends. Les yeux rouges, les lèvres sèches, les mains transpirantes, je vous regarde tous les deux. Je vous aime plus que jamais, j'espère que tu te réveilleras avec l'enfant qui dort à ton côté Mais l'enfant se réveille seul. J'attends.
Les médecins m'expliquent ce que je devrais faire. Ils me disent que ce ne sera pas facile. Tu as ouvert les yeux, mais tu regardes un pays qui n'existe que dans tes songes. Les médecins me disent que tu ne peux plus bouger. Que tu ne peux plus parler. Que tu ne peux plus sentir les caresses de tes deux amours. Que ces tuyaux ne te quitteront plus jamais. L'espoir de voir ton état s'améliorer est nul. Ta colonne vertébrale n'est plus qu'un amas de miettes. Tout ce qui est certain est que tu entends. On ne sait pas si tu comprends, mais tu entends. Tu n'es plus obligé de rester dans ce lit blanc. Je t'installe dans notre chambre, là où le plafond est une fresque colorée de la voûte céleste. Tes yeux sont vides, mais ils regardent les étoiles. Je t'observe, guettant le moindre mouvement. Rien. Mes yeux inondent mes mains de larmes de douleur.
Je me souviens des discussions que l'ont avait lorsque, allongé l'un contre l'autre après l'amour, on parlait de l'avenir. Nos corps rassasiés, nos âmes apaisées, il ne restait que l'amour. Les soucis, disparus. Une fois tu me faisais promettre de te donner un enfant. Je m'appliquais à la tache de nombreuses fois jusqu'à ce que tu obtiennes l'enfant de notre amour. Tu aimais qu'il dorme avec nous, mais tu voulais aussi qu'il grandisse. Alors, la voix ferme mais l'âme en peine, tu lui disais qu'il ne pouvait plus venir dans notre lit. Je te consolais, tu me consolais. Nos corps entremêlés déchiraient le silence pour mieux lui rendre grâce une fois nos ébats terminés. Je me souviens de tout cela, lorsque tu grognes deux mots venus du plus profonds de ton cœur. J'ai peur car je t'ai compris.
Je parle à ton enfant. Il est encore jeune, mais comprends ce que je vais faire. Il pleure mais m'encourage. Il pleure et je pleure avec lui. Je m'approche de toi. Je te regarde. Je te touche. Je ne pleure plus. Je détache tous les tentacules qui t'abîme la peau. Je me couche à tes côtés. Je te caresse, te murmure des mots doux à l'oreille, t'embrasse. Ton esprit m'entend, et ton sexe me réclame. Prête à m'accueillir, pour une dernière fois. Des larmes coulent sur tes joues. Je bois cette liqueur qui vient de notre amour. Je me redresse, à cheval sur ton corps, et place mes mains autours de ton cou. Je n'ose pas le faire. Un sourire grave sur tes lèvres. Inondant nos corps de mes larmes, je sers mes mains, encore et encore. Tu ne bouges plus. Ton sang ne circule plus dans ton corps. Tu m'as dis “libères moi”. Je viens de le faire avec les larmes de mes mains.
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