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#Charles Eyck
kundst · 9 months
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Eglise Saint Martin in Jeantes (France)
Wallpaintings and stained glass made by Charles Eyck (Dutch 1897-1983) in 1962.
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[Note: This poll is a re-do of an older poll, as the original poll received less than 2,000 votes.]
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diioonysus · 1 year
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dogs + art
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astolfocinema · 9 months
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The Wages of Fear (1953) ---------------------------- dir. Henri-Georges Clouzot cin. Armand Thirard cs. France, Italy
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pipiteer · 2 years
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charles leclerc (dan istitene, 2022) // detail of the virgin mary from the ghent altarpiece, or the adoration of the mystic lamb (hubert and jan van eyck, 1432)
(charles x art, 20/?)
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5iceroy · 11 months
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- Adoration of the Mystic Lamb (detail of the Ghent Altarpiece, Jan van Eyck, c. 1432) - Charles Leclerc, Austria GP 2023
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hippography · 1 year
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AMONG THE WINNERS IN THE HORSE SECTION OF THE IOWA STATE FAIR. 
Belgians in the stable of William Crownover. 
The winning grand display of Percherons, owned by Dunhams. 
The Carnot progeny which won the Percheron get-of-sire prize for W. S. Corsa. 
The grand champion Belgian stallion Alfred de Bree Eyck, owned by Charles Irvine. 
The grand champion Percheron mare Pink Brillante, owned by Dunhams. 
Blue ribbon Belgian mare and foal, owned by Henry Lefebure. 
The champion gaited saddle stallion My Major Dare, owned by Loula Long, Kansas City, Mo. 
The champion mule, owned by Wyatt Carr, Collins, Ia.
The Breeder’s Gazette, Vol. 70, 7 September 1916
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marciamattos · 10 months
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Les Époux Arnolfini de Jan van Eyck.
LIVRE/Les époux Arnolfini de Jan van Eyck disséqués par Jean-Philippe Postel
Crédits: National Gallery, Londres
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C'est l'un de plus célèbres tableaux du monde. Conservé depuis 1843 à la National Gallery de Londres, ce panneau de moins d'un mètre de haut se voit intitulé, pour des raisons de commodité, «Les époux Arnolfini» (1). Son auteur ne fait aucun doute. Il s'agit de Jan van Eyck, qui l'a pourvu d'une très visible signature. L’œuvre porte une date, 1434. Le caractère alambiqué de l'inscription en caractères gothiques, «Jan van Eyck fut ici en 1434», ne permet cependant pas de savoir si c'est l'année de sa création ou si l'événement rapporté s'est déroulé cette année-là. De toute manière, ce chef-d’œuvre admirablement conservé ne saurait être postérieur de beaucoup. Van Eyck, dont on ignore la date de naissance, est mort en 1441.
La peinture a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle pose des problèmes complexes d'interprétation. Ancien médecin, Jean-Philippe Postel n'est pas historien de l'art. Il utilise ici les travaux des chercheurs professionnels, en y ajoutant une «observation clinique attentive». Il s'agit en effet de tout voir, même ce qui se révèle microscopique. Van Eyck reste le maître absolu du détail, même s'il y en a tout de même moins ici que dans la «Vierge du chancelier Rolin», à l'iconographie plus simple, qui se trouve depuis la Révolution au Louvre. Là, certains personnages d'un paysage urbain presque infini mesurent moins de trois millimètres.
Une histoire connue depuis 1516
Le tableau connu sous le nom des «Arnolfini» n'a pas toujours porté ce titre. On ne sait rien de son exécution. Il apparaît en 1516, ce qui semble déjà remarquablement précoce, chez Don Diego de Guevara, qui l'offre à Marguerite d'Autriche, régente des Pays-Bas. Il passe ensuite à Marie de Hongrie, la sœur de Charles-Quint, qui s'occupe des mêmes provinces. Elle le ramène en Espagne où il pend encore au début du XIXe siècle au Palacio Nuevo, qu'occupe Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon, promu roi à la force des baïonnettes. Après, on ne sait pas. Joseph quitte le pays avec nombre de tableaux, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui à Aspley House, la maison des ducs de Wellington en plein Londres. Le colonel William Hay aurait retrouvé celui-ci en 1815 dans une maison belge...
L’œuvre a toujours passé pour mystérieuse, à la manière d'un rébus. Marie de Hongrie l'avait fait fermer par des volets cadenassés, signe de secret à cacher. Dès 1516, le personnage masculin est nommé Hernoul-le-Fin. Par assonance, le historiens en ont fait Arnolfini. Il s'agirait d'un membre (mais lequel, au fait, vraiment Giovanni?) d'une des ces nombreuses familles italiennes faisant du commerce à Bruges, dans le port de laquelle entre vers 1430 jusqu'à 100 bateaux par jour. Les Florentins ou les Lucquois passent quantité de commandes à Van der Weyden, Hugo van der Goes ou Memling.
Le petit chien sans reflet
Le tableau montre un couple bourgeois et prospère. L'homme et la femme ne se regardent pas. Lui tient une main en l'air, dans l'attitude du serment. Elle lui tient la main. Il y a devant eux un ravissant petit chien dont le reflet ne se retrouve pas sur le miroir placé au fond du décor de chambre. Postel va donc se lancer, à la suite de Margaret L. Koster (2003) dans une histoire de mort. La femme en vert est décédée. Elle est un instant sortie du Purgatoire. Sa main brûle celle de son veuf. L'auteur s'appuie là sur des textes médiévaux mêlant théologie et histoires de revenants. La dame n'est donc pas enceinte. Il s'agit d'une mode des débits du XVe siècle, que l'on retrouver dans le costume féminin national coréen, le hanbok.
Le couple a pourtant eu un enfant. Mort-né, sans doute. Le prouverait une troisième bougie du splendide lustre de cuire. Allumée, la première incarne l'homme. Elle se trouve du reste dans la partie gauche du tableau, le lieu de vie. Eteinte et à droite, la seconde désignerait l'état du spectre. Mais il y a un moignon de cire sur une troisième bobèche. La femme sans identité (on a parlé de Giovanna Cenami) a-t-elle été remplacée? Oui pour Postel. Il y a au fond du tableau des pantoufles, signes d'une félicité nouvelle. «Elles préexistent à l'apparition et elles persisteront après elles.» Ce sont donc celles de la remplaçante, à moins que l'époux fidèle n'ait laissé la chambre, meublée avec un luxe extrême, en l'état après la mort de son épouse. En couches, sans doute.
Un jeu de construction
Je ne vous donne là que quelques-unes des innombrables suppositions que l'auteur aligne en tenant compte des mentalités de la fin du Moyen Age. Il s'agit d'un jeu de construction. Tout demeure improuvable. Il existe même le risque que l'hypothèse de départ soit fausse. Passionnant, le jeu n'est pas nouveau en soi. Certaines œuvres attirent le commentaire, au danger de la sur-interprétation. Notons que beaucoup d'entre elle sont flamandes et remontent aux années 1500. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque «Jérôme Bosch et la fable populaire» de Jacques Darriulat (Lagune, 1995), un auteur qui semble avoir disparu. Il y ramenait «L'escamoteur» à une légende médiévale mettant en scène l'empereur romain Néron. J'ignore quelle est aujourd'hui la version officielle du sujet d'un petit tableau de Bosch en apparence très anodin. On dit et on écrit tant de choses...
(1) Les Anglais, plus aventureux, parlent cependant de "The Arnolfini Weddding".
Texte d'Etienne Dumont.
«L'affaire Arnolfini», de Jean-Philippe Postel préface de Daniel Pennac, aux Editions Actes Sud, 159 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livreles-epoux-arnolfini-de-van-eyck-disseques-jean-philippe-postel
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byneddiedingo · 2 years
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Charles Vanel and Yves Montand in The Wages of Fear (Henri-Georges Clouzot, 1953)
Cast: Yves Montand, Charles Vanel, Folco Lulli, Peter van Eyck, Véra Clouzot, William Tubbs, Jo Dest, Antonio Centa, Luis De Lima. Screenplay: Henri-Georges Clouzot, Jérôme Géronimi, based on a novel by Georges Arnaud. Cinematography: Armand Thirard. Art direction: René Renoux. Film editing: Madelein Gug, Etiennette Muse, Henri Rust. Music: Georges Auric. 
With John Huston's The Treasure of the Sierra Madre (1948) and Sam Peckinpah's The Wild Bunch (1969), Henri-Georges Clouzot's The Wages of Fear forms an unholy trinity of adventure films. All three are about soldiers of fortune in Latin American countries seen as ripe for the pickings by predatory outsiders. Clouzot's film is probably the most deeply cynical of the three: Houston at least lets two of his adventurers survive, and Peckinpah's bunch at least shows some sympathy for the exploited poor. But from the opening of Clouzot's film, in which a half-naked child is seen tormenting some cockroaches (a scene Peckinpah borrowed for his film's opening), we are in hell. The unnamed country is being plundered by the Southern Oil Company, known by the acronym SOC, pronounced "soak." The S and the O, however, suggest Esso, the old trademark of Standard Oil before it and Mobil morphed into the double anonymity of Exxon. An oil well is on fire 300 miles away from the SOC headquarters, which lie on the outskirts of an impoverished village, and the easiest way to deal with the fire is to seal it off with explosives. So the foreman at the headquarters, Bill O'Brien (William Tubbs), proposes sending a couple of trucks cross-country, laden with nitroglycerin. Union drivers would balk at such dangerous work, so the company hires some of the local layabouts: Mario (Yves Montand), a swaggering Corsican; Jo (Charles Vanel), a French gangster from Paris; Luigi (Folco Lulli), an Italian who has just learned that he has a terminal lung illness from his work handling cement for SOC; and Bimba (Peter van Eyck), a German who survived forced labor in a salt mine under the Nazis. All  have been idling in the village waiting for the big break that will allow them to leave, and this seems to be it. Desperation at getting out is so intense that one of the men who vie for the job commits suicide after he fails to land it. The journey is, to say the least, harrowing, and Clouzot makes the most of every nail-biting moment of it. As a director, hes as smart in what he chooses not to show us and in what he does. Jo, for example, is not the first choice as a driver: O'Brien goes with a younger man. But when that man doesn't show up on the morning of departure, Jo takes his place. We don't see what Jo did to eliminate or delay his rival, but we're sure it wasn't good. And when one of the trucks explodes, we don't see the buildup to or the cause of the explosion: We witness it from a distance, and then join the surviving truck drivers as they come upon the scene, which they treat as just another hazardous obstacle on the road. The Wages of Fear was heavily cut on its first American release: The portrayal of American capitalism didn't sit well in the era of HUAC investigations. Clouzot's nihilism in The Wages of Fear sometimes feels a little heavy: One character actually dies with the word "nothing" on his lips. The screenplay for The Wages of Fear lacks the polished wit of The Treasure of the Sierra Madre, which also contains the great performances of Humphrey Bogart, Walter Huston, and the undervalued Tim Holt. And The Wild Bunch displays Peckinpah's great narrative drive and unequaled handling of action sequences. But Clouzot's film easily belongs in their company, and its uncompromising darkness makes many think it the best of the three.
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rfsnyder · 2 years
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Charles Eyck (Dutch, 1897-1983)
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transmarks · 20 days
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Phase chapter 2 is up!!! It's up!!!!
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Charles Demuth / William Carlos Williams / Ana Mendieta / Daido Moriyama / Jan Van Eyck / Lynda Berry / Gustave Doré
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cleoenfaserum · 3 months
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Fatalismo amargo (1097)
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El premiado escritor y poeta vallisoletano Eduardo Roldán nos habla en su columna del periódico vallisoletano, EL Norte de Castilla, "La sombra del ciprés el 20/04/2024" sobre la película franco-italiana EL SALARIO DEL MIEDO de 1953.
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El salario del miedo es una película coproducción franco-italiana de 1953, del género dramático y aventuras, dirigida por Henri-Georges Clouzot. La película​ está basada en la novela homónima escrita por Georges Arnaud en 1950. Fue elegida como el top 06 de las 100 mejores películas de acción de todos los tiempos por GQ en 2020. Wikipedia
Escribe Eduardo Roldán en su articulo:
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Escuchar y / o leer...
1097-1
LA PELICULA ...
1097-2 https://ok.ru/video/6944108120805
En 1977 se produje una nueve version (remake),
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Sorcerer (en español Carga maldita o El salario del miedo)​ es una película estadounidense de suspenso de 1977, producida y dirigida por William Friedkin y basada en la novela El salario del miedo (Le Salaire de la peur), de Georges Arnaud.​
Se trata de una nueva versión de la cinta El salario del miedo, dirigida por Henri-Georges Clouzot en 1953. Wikipedia.
LA PELICULA ...
1097-3 https://ok.ru/video/3455333108456
Notas:
Fatalismo Amargo de Eduardo Roldán
Ha pasado una hora y los protagonistas de El salario del miedo siguen más o menos donde estaban al comienzo, y el espectador principia a preguntarse si la sinopsis no se habrá confundido al calificar al film de suspense. No lo ha hecho, o solo en parte; es un film de suspense, pero también un melodrama, un drama de denuncia social, incluso un film de terror (en la escena de la piscina de petróleo). El suspense, con todo, comenzará en este momento y se extenderá durante la hora y media restante.
Así, El salario… se articula en dos segmentos bien definidos. El primer segmento es una suerte de Los inútiles de Fellini (también del año 53), pero con una existencia más precaria, social y laboral. En esta primera parte se presentan a los personajes fundamentales y se dan a conocer los distintos motivos que los han llevado al enclave —ficticio— de Las Piedras, un pequeño y empobrecido pueblo perdido en algún lugar de Centroamérica donde el capital americano hace y deshace a su antojo, única vía no obstante para sacarse unos cuartos, aun escasos, y tratar de conseguir un billete de avión y escapar, objetivo compartido por todos. Los cuatro protagonistas son Mario (Yves Montand), Jo (Charles Vanel), Luigi (Folco Lulli) y Bimba (Peter Van Eyck), a los que hay que añadir a Linda (Véra Clouzot), amante ciega del primero pese al trato que recibe. La vida, pues, va pasando, se cruzan historias sin grandes escándalos, y ellos la toman con un fatalismo resignado, ni siquiera con resquemor hacia la compañía petrolera; sencillamente las cosas son así, unos están arriba y otros están abajo, y cada cual trata de sacar el mayor partido posible, no hay más vueltas que darle.
Un accidente en forma de fuego desatado en uno de las plantas de extracción de la compañía, a 500 kms. de Las Piedras, hará que este fatalismo estático se sustituya por uno dinámico y el suspense comience a rodar. La única manera de extinguir el caos es con nitroglicerina (creando una explosión que tape el pozo de petróleo incendiado), y esta ha de ser llevada hasta la planta del desastre en dos camiones precarios, sin ningún tipo de seguridad. ¿A quién podría interesarle un trabajo así? Pues a todo el mundo: no hay varón en Las Piedras que no se haga pasar por conductor, y es que el salario por llevar la nitroglicerina excede con mucho el de sus fantasías: 2.000 dólares, más que suficiente para salir de allí de una vez por todas y comenzar una nueva vida. (Este es, pues, el precio en que cifran sus vidas, en un caso literalmente: hay un joven que se suicida por no lograr entrar en la cuadrilla). De la fibra moral de la compañía petrolera da cuenta la razón por la que, más allá de la destreza al volante, Mario, Jo, Luigi y Bimba son elegidos: por ser unos tirados, o sea que no pertenecen a ningún sindicato ni tienen familia, de modo que si les ocurriera algo nadie iría a reclamar nada a la empresa, nadie montaría un tumulto.
Este segundo segmento, con el traslado de la nitroglicerina, es donde se desarrolla el suspense en sentido clásico, en cuatro piezas independientes (cuatro obstáculos en el camino que los camiones, conducidos por Mario y Jo y por Luigi y Bimba, han de superar). El suspense, y esto va con el género, no radica tanto en saber si superarán el obstáculo o no, al menos al principio, pues si no lo superasen, se terminaría la película. No, el interés está en el cómo. Y es en el cómo donde el magisterio de Clouzot brilla en su máxima expresión.
Clouzot adopta un punto de vista casi documental —recuerda al Bresson de Un condenado a muerte se ha escapado, solo que esta es posterior y formalmente aun más severa—, una mirada esencialmente neutra, pero que tampoco cabe calificar de objetiva: ya la selección de las imágenes, del encuadre, del tiempo de cada una condiciona la experiencia del espectador (como muy bien ha dicho y viene demostrando desde hace medio siglo el gran Frederick Wiseman). <<A veces una hora se hace muy larga>>, dice Bimba en cierto momento, y es lo que hace Clouzot en las piezas de suspense: estirar la tensión, adensarla, dilatar el presente, avertigarlo, en un manejo del tiempo que es el mayor logro del film.
Que tiene en el retrato moral el otro gran logro. No se trata de mostrar a héroes, no hay heroísmo en la decisión de emprender el trayecto, son solo unos tipos que intentan salvar su culo de la única forma que se les presenta, y si esta supone llevar a cabo acciones arriesgadas, tal no las convierte en heroicas. El poso que deja El salario… es el de un fatalismo amargo, de una ironía trágica, que el final no hace sino subrayar.
   (La sombra del ciprés, 20/04/2024)
@enfaserem
Ficha del film
Tít: El salario del miedo
Dir: Henri-Georges Clouzot
Ints.: Yves Montand, Charles Vanel, Folco Lulli, Peter Van Eyck, Véra Clouzot
Francia e Italia, drama, blanco y negro, 153 mins.
TEMAS
 cine, drama, el salario del miedo, henri-georges clouzot
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nakatani-seminar · 4 months
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【後期ル・コルビュジエとその弟子たちゼミ】 5月活動報告②
こんにちは! 後期ル・コルビュジエとその弟子たちゼミM2の青木です。
先日、第二回目のプレゼミを行いました! テーマ「戦後に住まうということ② ドーシやキャンディリスの廉価住宅を学び、『吉阪自邸』との比較を試みる」
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↑第二回プレゼミの様子
Georges Candilis、Alexis Josic、Shadrach Woods による『Carrières Centrales』(1953)、Georges Candilis、Aldo Van Eyck、James Stirling、Atelier 5、Charles Correa らによる『PREVI』(1967-73)、B.V.Doshi による『Housing for the Life Insurance Corporation of India』(1973) や『Aranya Low Cost Housing Project』(1989) の計画に関して文献調査を行い、住居の成長過程などに対して議論を行いました。 今後は文献調査を続けながら、日本において廉価住宅を研究する現在的意義を模索していきたいと思っています!
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↑今回扱った一部の文献の書影 左:『a+u 建築と都市 Vol.2 No.8 1972年8月号』 エー・アンド・ユー, 1972 右:『Balkrishna Doshi: Architecture for the People』 Vitra Design Museum, 2019
第三回プレゼミは大学セミナーハウスにて行います!
M2青木
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martendoc · 4 months
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Louvre restauriert Jan van Eycks „Rolin-Madonna“
Diese heutige Meldung ging zeitgleich einher mit die Enthüllung des Königsportäti des Britischen König Charles - auf ein informelle Hintergrund.
Extreme Kontraste und doch stimmige historische Seismographen die Aufschluss daüber geben wie Menschen sich ihre Mitwelt vorstellen lassen wollen:
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regioonlineofficial · 7 months
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In de weekenden van 9 tot en met 24 maart strijkt de binnenexpositie Kunst in Valkenburg (KiV) neer in de kloostergang van Château St. Gerlach en de schatkamer van de Gerlachuskerk. Een initiatief van twee galeriehouders uit Valkenburg. In deze periode te combineren met een buitenexpositie door een wandeling in het groen, langs diverse kunstwerken van (inter-)nationale kunstenaars in de tuinen van het landgoed Château St. Gerlach. Sla ook de wisselende kunstexpositie bij Burgemeester Quicx niet over. Kunst in Valkenburg Inside In de kloostergang van Château St. Gerlach en de schatkamer van de St. Gerlachuskerk zijn hoogwaardige beelden en schilderijen te bewonderen van gerenommeerde kunstenaars uit binnen- en buitenland. KiV Inside start in het openingsweekend van de Tefaf in Maastricht. De kunstexpositie is gedurende drie weekenden in maart (9/10,15/16/17,22/23/24) te bezoeken. De openingstijden zijn dagelijks van 10-17 uur of daarbuiten op afspraak mogelijk. De entreeprijs bedraagt € 7,50 en voor de jeugd t/m 12 jaar is de entree gratis. KiV Outside KiV Outside is een wisselende tentoonstelling van meer dan 100 sculpturen in de openbare ruimte, welke het hele jaar te bewonderen zijn op het landgoed van Château St.Gerlach. Geniet hier van de bijzondere objecten gemaakt van verschillende materialen (hout, steen, kunststof, terra cotta, staal, etc.), die verspreidt staan opgesteld in het park en de tuinen van het landgoed. KiV Outside is het hele jaar te bezoeken en is gratis toegankelijk. Initiatiefnemers KiV Inside & Outside wordt georganiseerd door Marx & Marx Limburgse kunst en Giardino Galerie & Beeldentuin in samenwerking met Château St. Gerlach. Marx en Marx Limburgse kunst is gespecialiseerd in aan Limburg gerelateerde kunst van de afgelopen honderd jaar. Denk aan schilderijen en beelden van Chris Gadiot, Harry Schroen, Charles Eyck, Sjef Hutschemakers, Patrick Creyghton, Wil van der Laan, Jo Ramakers, Lei Molin, Gene Eggen, Aad de Haas, Hans Truijen, Geert Verstappen en Kieta Nuij. Giardino Galerie & Beeldentuin beschikt over een uitgebreide collectie beelden van internationaal opererende kunstenaars. Er zijn werken van onder meer Ingrid Paulussen, Carmelo Lopez (ES) en Christiaan Lieverse (NL), Ronald A. Westerhuis, Ans Pullens, Astrid Huisman, Lothar Vigelandzoon, Sjaak Smetsers, Babette Degraeve (B), Petra Dorst en Karin van de Walle. Nog meer kunst op het landgoed: Burgemeester Quicx Naast goede koffie en een heerlijke lunch kan er bij Burgemeester Quicx ook genoten worden van kunst aan de muur. De initiatiefnemers van KiV presenteren hier wisselende kunstexposities met een "Limburgse tintje". Uiteenlopende kunststromingen passeren de revue en springen in het oog onder het genot van een kopje koffie of een heerlijke lunch bij Quicx. Momenteel is er een expositie van figuratief impressionistische schilderijen van Frank Meijers. Meer (vervoers)informatie? Het dichtstbijzijnde treinstation is Houthem-Sint Gerlach op 1,1 km afstand, circa 11 min. lopen. Parkeren is gratis op de openbare parkeerplaats. Neem een kijkje op www.kunstinvalkenburg.nl of neem contact op via [email protected] of +31(0)653276570. Meer kunst van Giardino of Marx & Marx zien? Indien men van nog meer kunst wil genieten, kan men in de weekenden (vr/za/zo) tijdens de openingstijden van KIV de speciale exposities bij de 2 deelnemende kunstaanbieders bezoeken.
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codycawdren · 8 months
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The Wages of Fear (1953)
Director: Henri-Georges Clouzot Starring: Yves Montand, Charles Vanel, Peter van Eyck In a decrepit South American village, four men are hired to transport an urgent nitroglycerine shipment without the equipment that would make it safe. A While ago I watched ‘Sorcerer’, the 1977 remake of ‘The Wages of Fear’. The first 40 minutes of that movie were confusing and boring and could easily have…
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