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#Coupable ressemblance
playvodma-films · 5 months
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e642 · 2 months
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Je me demande souvent ce que je fais avec lui. Dès le début, j'ai su qu'on n'avait pas les mêmes accointances, les mêmes sensibilités, les mêmes avis sur des choses importantes, les mêmes conceptions du couple, de l'amour ou encore de l'exclusivité. Je ne sais pas ce qu'il y aura à retenir de cette relation si ce n'est une sexualité épanouie. J'essaie de trouver des raisons de pourquoi je reste mais ça ressemble à des excuses. J'ai l'impression de me confondre en excuses parce que j'ai pas le courage. Alors si je dois être honnête je pense directement à la peur d'être seule, au manque du corps, des bras autour de moi, d'un fil conducteur de ma journée, d'une présence qui prétend m'aimer... Pourtant, j'avais la sensation que j'avais avancé sur ça et que j'avais compris qu'on ne quémandait pas l'amour de l'autre, ni qu'on pouvait y changer quelque chose. J'écris à contre coeur parce que je croyais en être sortie mais peut-être pas finalement. Il n'y a pas que ça, il y a ce sentiment d'avoir abusé de lui dans le sens relationnel, d'avoir poussé la plaisanterie trop loin pour qu'il y ait une possibilité de retour douce. Tout va devoir se faire dans le fracas, dans ma responsabilité, je vais peut-être devoir causer de la souffrance et je ne comprends pas pourquoi cela me bloque autant. Les fins m'ont toujours plus effrayée que les débuts parce qu'au moins une personne -dans le meilleur des cas- n'en ressortira pas indemne. Pour beaucoup de choses je préférerai subir que faire subir, qu'on me le fasse plutôt que je le fasse, qu'on me le dise plutot que je le dise. C'est sûrement une manière de me déresponsabiliser et être certaine de ne pas amener une douleur de plus. Je ne dis pas que je mérite plus que l'autre d'avoir mal seulement je crois que ça m'arrange, pas pour me mettre en position de victime mais parce que je me sais calme et assez grande pour que tout cesse du jour au lendemain. C'est peut-être encore une excuse. J'ai du mal à me cerner pour ça. J'aurais tellement aimé l'aimer et sans doute que je l'aime mais ça me fait du mal de réaliser que je lui donne ça, cette précieuse énergie sentimentale parce que ce n'est pas possible que ce soit réciproque. J'ai "le temps fera les choses" facile parce que d'un côté c'est véridique, le temps se charge de tout mais d'un autre je sais que j'ai une action -avec ses limites- sur ça. Je me sens fanée, coupable, en colère de ma propre inactivité. C'est bête mais j'avais juste besoin qu'on m'aime, qu'on s'intéresse à moi et qu'on me respecte profondément, j'avais envie de pouvoir partager un peu de moi. Le sentiment de solitude est plus difficile à vivre quand en réalité on ne l'est pas mais qu'on est forcé de constater que ça y ressemble beaucoup. Ça me paralyse cette situation parce que c'est plus aisé que je ne l'aurais pensé de s'enfermer dans le mauvais chemin de vie sans que personne d'autre que nous, nous ait forcé la main. Je l'ai, à la fois, tellement fait entrer dans ma vie et à la fois il est toujours devant la porte à cause de son manque d'intérêt criant à mon égard. Comment claquer la porte à une personne qui à un pied dans l'entrée et un pied sur le paillasson ? Si je m'accommode de sa passivité c'est parce que j'ai fait le deuil d'être importante ou intéressante, d'être une plus value c'est aussi pour ça que ne je ressens plus le besoin de parler à personne ou de donner des nouvelles. J'ai le coeur qui pèse lourd, qui appuie sur mes côtes parce que je pense au terme depuis que ça a commencé et c'est anormal. C'est très inconfortable de reconnaître que quelqu'un n'est pas fait pour nous, enfin, personne n'est fait pour nous mais de reconnaitre cette sorte d'incompatibilité presque organique et surtout intime. Intime dans le sens où mon corps m'a déjà crié qu'il fallait que ça cesse et qu'il ne se fatigue plus à le faire. Les choses les plus torturantes sont celles qu'on sait.
Mon monde ne s'écroule pas, simplement il m'apparait être comme un grand bout de terre inconstructible. Ça fait longtemps que je n'ai rien construit de nouveau, ou rien autre que sur des ruines et je sens que c'est ce qui me manque: arrêter de croire qu'on peut construire sans avoir détruit au préalable. J'espère qu'un jour je serai enfin une version aboutie et accomplie de moi, ça fait longtemps que je n'ai pas été fière de moi et ça se ressent dans la l'insatisfaction que j'ai de me vivre, me ressentir, me percevoir, me respecter. Des années que j'attend d'être meilleure pour moi et ça n'arrive pas. Il y a juste des restes de haine et de déception qui stagne au fond de moi, qui donne un goût particulièrement nauséabond à chacun de mes choix et des mes réflexions.
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jacquesdor-poesie · 10 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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recapqsmp · 1 year
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Jeudi 14/09 - Les jeux sont faits
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Tubbo pense que Fit cache des choses qui pourraient être lié à la disparition des œufs. Tubbo en se connectant a discuté avec Fit, lui a expliqué que quelque chose allait se passer pour lui à 22h et lui a dit qu'il pense que son badge possède un micro. Après que Fit soit passé chez lui pour poser son badge dans un coffre, Tubbo et lui se sont assis dans la cage d'ascenseur de Ramon et se sont expliqués. Tubbo lui a rappelé que la veille, Fit lui avait parlé de choses plus dangereuses que la fédération, et le soir même, Forever en pleine détox a expliqué que les œufs s'étaient enfuit à cause d'une chose plus dangereuse que la fédération. Fit lui a expliqué ne pas pouvoir lui en dire plus pour ne pas briser sa couverture, car il enquête sur la fédération, mais qu'il n'est absolument pas au courant de ce dont a parlé Forever. Tubbo pense qu'ils se sont bien enfuit car quasiment tous les œufs n'ont plus qu'une seule vie et ne veulent pas prendre le risque de mourir en laissant une note d'explication.
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https://clips.twitch.tv/CovertSnappyDragonflyPeteZaroll-_Y2tN3nn6JzYUFhn
Pac s'est connecté, et va très bien. Tubbo et Fit l'ont rejoint pour discuter un peu de ce qui s'était passé. Pac Fit et Tubbo sont allé à l'ordo pour voir l'état de Forever. Celui-ci est toujours dans le coma. Ils ont pu remarquer que la mallette contenant la drogue a été volée. Ils ne savent pas qui est l'identité du coupable, mais ils soupçonnent Foolish vu le message laissé à l'intérieur signé par Mouse, Foolish, Jaiden et BadBoy. BadBoy, plus tard, expliquera à Cellbit qu'il a volé la mallette pour prouver la mauvaise sécurité de la chambre forte, mais la lui rendra... en prenant au passage quelques médicaments sur lui "au cas où".
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https://clips.twitch.tv/TenuousNimblePheasantAMPEnergy-T7z8Cz3dBaooD9uL
Fit a reçu la visite du code. Il n'a pas été attaqué, mais le code l'a menacé en lui jetant une horloge.
Des blocs noirs sont apparus chez Tubbo. Il a reçu un livre lui donnant une coordonnée en X, et une heure de rdv au spawn. Slime s'est connecté, et a lui aussi reçu des blocs noirs, la même heure de rendez-vous, mais avec une coordonnée en Z. C'est Roier qui a eu la dernière coordonnée. Les 3 joueurs se sont retrouvés au spawn, sont allé aux coordonnées combinés par leurs trois livres, et ont trouvé Fred au niveau du trou du mur. Celui-ci les a menacé d'un pistolet, et leur a fait comprendre qu'ils devaient miner le mur pour ouvrir un passage. Les joueurs ont donc découvert qu'il y avait un passage secret ressemblant à des égouts sous le mur. Au bout de ce passage, les joueurs ont du se débrouiller dans un labyrinthe. Arrivé au bout de ce labyrinthe, les 3 compères sont tombés sur un nouveau Cucurucho, mais noir, avec des yeux rouges. Celui-ci les a accueilli dans un passage caché à travers une grille par un "Hahaha" plus sombre que celui du Cucurucho blanc.
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https://clips.twitch.tv/DelightfulRudeNarwhalStrawBeary-Vxhli5CMLAyZivHg
Tubbo a compris qu'il fallait le poursuivre et en faisant ça, ils sont tombés sur la dernière salle de cette aventure : une roue à choix, entouré des objets des œufs (le béret de pomme, le tshirt de Richarlyson…). Cette zone était protégée, mais Tubbo a réussi a trouver un passage, et a fait tourner la roue. Elle a annoncé le 5, et de la lave est tombé dans la cage de Tubbo. Les 3 joueurs se sont enfuit, en ne sachant pas s'ils venaient de tuer un œuf ou pas. Ils ont essayé de revenir dans cette salle, mais sans succès, le passage étant rebouché.
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https://clips.twitch.tv/BoredRelatedFoxCoolCat-60OellYvExYYhT7x
Aypierre, qui avait observé les 3 sur la map, a pu se rendre dans le labyrinthe, et plus tard y emmener Cellbit. Tous les joueurs se sont finalement rencontrés à l'entrée des égouts et en allant dans le labyrinthe, ils ont finalement découvert une nouvelle salle : des affiches de la fédération, et un compte a rebours de 24h. Cellbit a aussi fait le lien avec son enquête de la veille, l'image de labyrinthe qu'il a trouvé, le "A1" en dessous, ainsi que le message qu'il a trouvé : "La bonne réponse n'est pas au centre", impliquant que Tubbo n'a pas pris la bonne option.
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https://clips.twitch.tv/ImportantWonderfulHareGingerPower-0mdYOSzZWV4nI6cO
Bagi, une streameuse brésilienne, a pu rejoindre QSMP après plusieurs teasers lié à la roulette. En allant sur le serveur (différent des autres joueurs), elle a pu suivre des lumières, et tourner une roue. Cette roue lui a donné le chiffre 2, et l'a envoyé dans un biome enneigé, rempli de lumières de beacon. Finalement, elle a trouvé un message disant "Ils devraient bientôt être là :)", ainsi qu'un ticket d'embarquement portant le numéro 1. QuackityStudios a fait l'annonce quelques minutes plus tard : Bienvenue dans QSMP Bagi !
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https://www.twitch.tv/bagi/clip/TenaciousFitMageOMGScoots-D2NF_n0FJOm5NIF7
Elle est l'invitée du président et rejoindra le serveur samedi à 3h du matin (heure française), pendant l'évènement.
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claudehenrion · 6 months
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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havaforever · 7 days
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LANGUE ETRANGERE - A première vue, Langue étrangère pourrait ressembler à un énième film d'apprentissage, transfrontalier celui-ci, entre Leipzig en Strasbourg. Je me suis d'ailleurs précipiter pour y voir ma ville natale sur grand écran, avant tout.
Ce résumé n'est pas complètement erroné mais un peu incomplet tout de même car la finesse d'écriture du long-métrage n’apparaît que progressivement. On est progressivement surpris, alors même que ses deux personnages principaux d'adolescentes évoluent de manière significative, au fil d'un récit qui garde certains éléments sous le pied, avec un certain aplomb.
Il est vrai qu'en revanche, les personnages d'adultes et notamment de mères, sont nettement moins bien rédigés et il faut bien le talent conjugué de Nina Hoss et de Chiara Mastroianni pour ne pas les qualifier de "caricaturales".
Au final, cette amitié franco-allemande a du répondant, non pas parce qu'elle aborde un certain nombre de sujets dans l'air du temps, mais parce qu'elle évoque avec une belle sensibilité à la fois la confusion et la révolte d'une nouvelle génération contre les parents, coupables d'embourgeoisement, en particulier, et contre la société, qui a négligé de préparer un avenir pour la planète, en général.
On a beau flirter parfois avec les clichés inhérents aux "grands" sujets du moment, racisme, environnement, liberté d'orientation sexuelle, par exemple, leur traitement par Claire Burger dans Langue étrangère ne manque certainement pas de conviction mais surtout de poésie.
NOTE 13/20 - C'est beaucoup et peut-être un peu trop. Certes, la grâce des deux actrices, Lilith Grasmug et Josefa Heinsius, gomme en partie ce trop-plein. Mais ce film sur une jeunesse qui ne veut pas réitérer les erreurs de ses aînés, désire s'affranchir des contraintes et s'angoisse pour la planète abîmée par leurs parents n'en demeure pas moins le portrait attachant et bancal d'une génération sensible, amoureuse, forte et fragile.
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jloisse · 8 months
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"Les fausses opinions ressemblent à la fausse monnaie qui est frappée d'abord par de grands coupables, et dépensée ensuite par d'honnêtes gens qui perpétuent le crime sans savoir ce qu'ils font"
Joseph de Maistre (1754 - 1821)
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NSBC • Chapitre 33
Je ne me suis pas approché du berceau. Je sais à peine à quoi ressemble mon fils, et il a déjà un mois. Mais je n’arrive pas à m’y résoudre. Je ne le vois que comme une gêne qui m’empêche de vivre ma vie comme je l’entends. Et qui me réveille en pleine nuit, aussi.
C’est Kalpita qui se lève pour le calmer, toujours. Et même si ça a l’air de lui faire plaisir de s’occuper d’Aurèle, je vois bien qu’elle me jette de temps en temps des regards tristes.
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Le temps s’est calé sur mon humeur, aujourd’hui, morose et indécis. En ce premier jour d’automne, il neige à Oasis Springs.
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C’est bien la première fois que j’enfile mon manteau d’hiver et un bonnet dans cette ville.
C’est dimanche, et c’est aujourd’hui que maman, Raph’, Mariko et Gaëlle viennent faire la connaissance d’Aurèle. Avant cela, nous avons tous les deux été très occupés par nos travaux respectifs. Cette journée aura au moins le mérite de me faire souffler.
J’ai allumé un feu avant leur arrivée pour chauffer la maison. Je pensais qu’elle allait juste servir de décoration, cette cheminée, mais non !
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J’ai été tellement content de les voir arriver ! J’ai l’impression que ça fait une éternité que je n’avais pas vu mon frangin et ma petite sœur… !
« Salut, toi !
— Gabyyy !! »
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Bon, j’ai dû attendre avant de pouvoir enlacer mon frère, Mariko lui a sauté dessus avant… Au moins ils sont toujours aussi amoureux, ça fait plaisir à voir.
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« Raah, vous vivez ensemble non ? Vous pouvez pas faire ça chez vous ? Dans mes bras, frangin !
— Oh que t’es lourd, Gaby… ! »
Mais il a dit ça en riant.
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Et puis vient le tour de maman… et elle, je sais qu’elle va pouvoir lire en moi comme dans un livre ouvert.
« Bah alors, mon chéri, pourquoi cet air tout triste… ? »
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« Maman… »
Alors je lui raconte tout. Mes insécurités depuis la naissance d’Aurèle, le fait que je me sens coupable de ne rien ressentir à part de la frustration quand je regarde ma progéniture…
« Je vois… Tu n’arrives pas à faire le deuil de l’idée que tu te faisais de ta vie.
— Non…
— Mais dans la réalité, ta carrière n’est en rien entravée par la présence d’Aurèle, tu le sais, ça ?
— Je sais, mais… il est tellement petit pour l’instant… C’est normal…
— C’est ton fils, tu ne peux rien y changer. Il n’a pas demandé à naître, mais maintenant qu’il est là, il faut que tu fasses partie de sa vie, c’est ainsi. »
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Je sais qu’elle a raison, mais c’est beaucoup plus compliqué que ça…
Elle a tenu à voir son petit-fils, alors je l’ai emmenée dans la chambre. Il ne dort pas. Mais au même moment, il se met à pleurer. Kalpita est occupée avec ma fratrie, alors ma mère me lance un regard qui dit « qu’est-ce que tu attends ? ». Alors pour la première fois, sous le regard insistant de maman, je prends mon fils dans mes bras et lui donne le biberon.
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C’est étrange, cette chaleur qui se propage en moi, comme ça. J’observe minutieusement la bouche de ce petit être rose téter avec attention le bout du biberon. Il est… mignon. C’est vrai, c’est mignon, un bébé. Non ? Je ne peux m’empêcher de sourire.
« Tu as encore faim… ? chuchoté-je. »
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Je me retourne légèrement et voit maman qui m’observe depuis mon lit avec un regard satisfait.
« Tu es toujours sûr de ne pas éprouver d’amour pour ton fils ? »
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Je n’ai pas répondu. J’en ai marre qu’elle ait toujours raison.
Au même moment, j’ai eu l’impression qu’on m’observait de l’extérieur.
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Mais quand j’ai regardé par la fenêtre, il n’y avait personne. J’ai dû rêver.
Je ne suis pas devenu papa-poule pour autant après cette visite. Mais je vais voir Aurèle de temps en temps, quand même. Kalpita a l’air ravi. Tellement ravi qu’elle m’a surprise un matin à me poser une question qui m’a presque fait tomber de ma chaise.
« Et si on se mariait ? »
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« Euh… Bah… J’y avais jamais réfléchi…
— Comme ça, on sera une vraie famille ! »
Elle me prend un peu de court, là… Mais… C’est vrai, pourquoi pas, après tout ? Je ne suis pas malheureux, avec elle. Je pense même que j’ai plutôt de la chance de l’avoir. Et maintenant, on est parents…
« Bon bah… D’accord. »
Je ne sais pas si c’est un signe quelconque, mais au même moment, un coup de tonnerre fait trembler les murs de la maison.
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selidren · 2 years
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Automne 1899 - Champs-les-Sims
4/4
Mon épouse dit qu’elle est prête pour que nous ayons un autre enfant. Et je suis également enthousiaste. Cependant, j’avoue être terrorisé à l’idée que Dieu ne nous offre à nouveau un autre bébé si vite. Elle ne sait rien de mes craintes, je les lui cache soigneusement, mais je ne pense pas qu’elle comprendrait. Elle ne doit s’occuper que de notre fils, moi, j’ai l’impression de devoir encore veiller sur mes cousins comme du lait sur le feu. Je vous disais plus haut que Constantin est majeur, mais il se tourne toujours vers moi comme un enfant le ferait vers son grand-frère. Mes cousines sont encore bien jeunes et font de même. J’ai si peur de commettre une erreur, où que l’un d’eux sombre dans le malheur sans que j’y puisse rien. Je ne souhaite pas vivre cela encore, avoir encore une personne supplémentaire qui dépendrait de moi. Je ne puis qu’espérer que Constantin devienne un jour plus à même de s’occuper de son propre bien-être, même si me connaissant, je ne pourrais m’empêcher de toujours veiller sur lui. Que pourrai-je bien faire le jour où il décidera de courir après vous au milieu des dunes d’Egypte ?
Il faut bien lui rendre justice cependant. Son chien Horus l’a énormément responsabilisé. J’ai défendu à Madame Legens de s’occuper de l’animal quand Constantin est présent, et mon cousin s’en occupe fort bien. A son âge, il a également du quitter la chambre d’enfant et faute de place, il s’est installé de sa propre initiative dans une des grandes pièces du grenier, où il s’est aménagé une chambre à partir des meubles du grenier. Il y a installé sa bibliothèque personnelle, ses carnets. Bien que j’y sois réticent, il a insisté pour s’approprier le lit où dormait sa mère. Je me sens coupable d’occuper avec Marie la chambre qui lui revient de droit, mais il préfère me la laisser et le grenier lui convient beaucoup selon lui, car c’est très calme et il peut y lire et travailler en paix. Il ne fait aucun doute qu’il marche dans vos pas cher cousin. 
Avec mes salutations les plus amicales, 
Votre cousin, Adelphe
P.S. Obnubilé que je suis par mes propres démons, j’ai omis de vous informer du décès de mon oncle Louis-Michel. Il nous a quitté il y a de cela quelques mois, laissant derrière lui un tout jeune baron à peine âgé de seize ans. Ma grand-mère s’est occupé des plus jeunes bien sûr, mais elle a également été nommée tutrice officielle en l’absence de parent masculin proche dans la succession. Cette mission était autrefois dédiée à votre beau-frère Joseph, dont je suis sur que Cousine Jeanne vous a envoyé le faire-part de décès. Heureusement, mon cousin Constant a perdu ses traits d’adolescent idiot et ne s’amuse plus à tourmenter les petites filles par plaisir puéril comme il le faisait il y a quelques années. 
Transcription :
Adelphe : Je trouve que nous nous en sortons vraiment bien en tant que parents.
Marie : Avec l’aide de ta grand-mère bien sûr. Mais je suis d’accord. Je pense que nous sommes prêts pour le suivant.
Adelphe : J’aimerai bien une petite fille qui te ressemble. Alexandre me ressemble beaucoup trop.
Marie : Exactement ! Allons-y !
Adelphe : De suite ? Marie, nous sommes en pleine journée, les ouvriers m’attendent après la fin du déjeuner.
Marie : Alors nous disposons encore largement du temps nécessaire. Viens donc, mari indigne, ce n’est pas ainsi que j’attendrai à nouveau un bébé !
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tournevole · 1 year
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Ana Blandiana
Prière
Dieu des libellules, des papillons de nuit,
Des alouettes et des hiboux,
Dieu des vers de terre, des scorpions
Et des cafards de la cuisine,
Dieu qui as enseigné à chacun autre chose
Et qui sais à l’avance tout ce qui arrivera à chacun,
Je donnerais n’importe quoi pour comprendre ce que tu as ressenti
Quand tu as établi les proportions
Des poisons, des couleurs, des parfums,
Quand tu as déposé dans un gosier le chant et dans un autre le croassement,
Et dans une âme le crime et dans l’autre l’extase,
Je donnerais n’importe quoi, surtout, pour savoir si tu as eu des remords
D’avoir fait des uns des victimes et des autres des bourreaux,
Egalement coupable vis-à-vis de tous
Puisque, tous, tu les as mis devant le fait accompli.
Dieu de la culpabilité d’avoir décidé tout seul
Du rapport entre le bien et le mal,
Balance difficilement maintenue en équilibre
Par le corps ensanglanté
De ton fils qui ne te ressemble pas.
Ana Blandiana (née en 1942 à Timișoara) – Traduit du roumain par Muriel Jollis-Dimitriu
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mmepastel · 1 year
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J’ai dévoré aujourd’hui Lemon, de la coréenne Kwon Yeo-sun.
L’histoire ressemble à celle d’un roman policier, mais raconté comme un puzzle, par diverses voix féminines, des personnages qui entourent ou ont entouré la victime (à commencer par sa sœur), que le lecteur s’échine à reconstituer. Mais au fond, plus qu’un puzzle, il s’agit d’une narration kaléidoscopique… ce qui rend la tâche ardue et fait advenir le malaise.
A la fin d’un roman policier, on est satisfait, on a le coupable, l’ordre du monde peut reprendre. Ici, les choses restent ambiguës même si on peut se faire notre propre idée des événements. Ici, au contraire, chaque personnage raconte une partie du réel, mais à travers le prisme de sa sensibilité, de sa culpabilité, de ses névroses, il n’y a pas vraiment de langage commun qui permettrait de tout mettre à plat. En revanche, des motifs reviennent, comme le jaune (celui du citron du titre, celui d’une robe, celui d’un œuf) ou d’un crâne brisé contre un carrelage… cela contribue à des effets d’échos troublants qui semblent dire que la vérité est à jamais insaisissable, que le réel n’existe pas vraiment puisque nos subjectivités troubles la corrompe. Ce qui est assez angoissant, et diablement malin.
A vrai dire, ce livre m’a fait penser à La fracture de Nina Allen qui évoque aussi la disparition d’une jeune fille (sans que ce l’hypothèse d’un meurtre ne soit retenue) et la réaction de sa jeune sœur ; comme dans le livre Lemon, le réel se troublait suite à cette disparition, comme si elle impactait non seulement les survivants mais aussi le monde entier, le sens de l’existence, sa réalité même. C’était tout aussi vertigineux.
Cette fois, je suppose qu’il y a aussi une dimension sociale dans le roman, mais je ne l’ai pas bien perçue, seulement devinée avec le personnage du jeune homme pauvre et pour le moins malchanceux ; mais je connais mal le fonctionnement de la société coréenne et j’ai juste compris que là-bas comme partout ailleurs, la vie est plus compliquée quand on est pauvre.
En revanche, on sent bien le verrou posé sur la parole des femmes, ce qui est rendu palpable par ces récits de narratrices différentes, qui peinent à communiquer, qui restent étanches en quelque sorte, renvoyant à une solitude douloureuse.
Un livre très intrigant, que je ne vais pas oublier de sitôt.
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playvodma-films · 1 year
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Films en streaming : profitez des services de PlayVOD Maroc
PlayVOD Maroc est ce qu’il vous faut si vous êtes en quête d’une plateforme conviviale qui propose des films en streaming. Avec une variété de genres, des biopics, en passant par les documentaires, les comédies et les thrillers, vous ne serez pas en manque de choix. Tous les longs-métrages sont classés par genre, rendant la recherche facile sur le portail. Plus qu’une simple plateforme de films,…
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christophe76460 · 2 months
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CEUX QUI JUGENT 🔥✝️🙏
Chacun de nous rendra des comptes au Seigneur pour lui-même.
Romains 14 (7-13)
En effet , nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même.
Car si nous vivons , nous vivons pour le Seigneur, et si nous mourons , nous mourons pour le Seigneur.
Soit que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur ✝️.
Car Christ est mort et Il est revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants.
Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ?
Ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère ?
Nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu .
Car il est écrit :
Je suis Vivant, dit le Seigneur,
Tout genou fléchira devant moi !
Et toute langue donnera Gloire à Dieu .
Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même.
Ne nous jugeons donc pas les uns les autres, usez plutôt de votre jugement pour ne pas mettre devant votre frère une pierre d'achoppement ou une occasion de chute .
Romains 15 : 3
Car le Christ n'a pas cherché ce qui lui plaisait, mais selon ce qui est écrit :
Les outrages de ceux qui t'outragent sont tombés sur moi .
Romains 5 :
Que le Dieu de la patience et de la consolation vous donne d'avoir une même pensée les uns à l'égard des autres selon le Christ-Jésus,
Afin que d'un commun accord , d'une seule voix , vous glorifiez le Dieu et le Père de notre Seigneur Jésus Christ.
Ne vous rendez pas coupables de moqueries ou de jugements parce que votre frère ne dit ou ne fait pas comme vous ,
Ne soyez pas jaloux, envieux ou médisants, les critiques sont si faciles mais elles peuvent vraiment frapper et faire tomber un frère ou une soeur car cela résonne pour lui ou elle comme une sentence ou une condamnation !
Si chacun faisait son examen de conscience, combien de fois n'avons nous pas condamné ou vertement critiqué ?
Nous nous sommes rendus coupables devant Dieu car c'est à Lui que revient le droit de juger et qui plus est de condamner .
Nous qui avons la connaissance par le Saint-Esprit 🔥, sa Sagesse qui surpasse toute intelligence, nous sommes au contraire pleins de bonté, de patience et de générosité, d'entre-aide fraternelle parce que notre seul but est de ressembler à notre exemple parfait : Christ ✝️.
Et il a dit : je suis doux et humble de coeur , venez à moi et je vous donnerez du repos .
Le Seigneur voit tout et Il regarde aux cœurs ❤️,
Que son Nom soit glorifié et non souillé,
Un Nom précieux que Dieu son Père Céleste a élevé au dessus de tout nom !
Il est aussi : l'Admirable et Il l'est !
Rendons-Lui un culte qui lui soit agréable et soyons justes , droits et bons !
Évitons les différents, les divisions et les scandales,
Éloignons cette coupe malsaine de nous et au contraire recherchons : L'Amour de notre prochain et réjouissons-nous dans l'Amour de Dieu ✝️🔥❤️!
Soyez bénis mes Biens-aimés Amis, frères et sœurs dans le Nom précieux et parfait de Jésus Christ de Nazareth notre Sauveur et Roi ✝️❤️ Amen ❤️
Ghislaine Wackenier
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didierleclair · 3 months
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UNE ODEUR COUPABLE
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Le roman de Philippe Claudel, L’archipel du chien, Stock, 2018 est d’actualité. Il est question de migrants clandestins et d’odeur coupable. L’histoire est simple et les scènes sont construites avec dextérité.
On est sur une île dont les contours géographiques donnent l’apparence d’un chien tous crocs dehors. Il y a les notables : docteur, maire, instituteur, curé et deux hommes à tout faire, des pêcheurs. L’île est dominée par un volcan, le Brau, qui est toussoteux et rappelle son existence tous les jours aux paysans et pêcheurs qui tentent de l’ignorer. Il y va de grognements, de quelques secousses mais pas d’éruption.
L’île ne produit rien de substantiel. On y cultive seulement des vignes, des oliveraies, des vergers de câpriers. Cela dit, le maire et le docteur travaillent sur un projet de complexe hôtelier. Ils comptent sur les eaux thermiques des lieux pour attirer les touristes et redonner vie à un lieu qui est à l’agonie. En effet, les jeunes de l’archipel du chien quittent dès l’âge adulte pour chercher du travail sur le continent et ne reviennent jamais.
Cet archipel qui pourrait être français, espagnol ou autre est le théâtre d’un drame contemporain. Trois corps d’Africains échouent sur la plage de ce lieu presque en dehors du temps. Que faire ? L’institutrice à la retraite qui promenait son chien sur la plage décide d’appeler le maire pour qu’il décide de la suite.
Philippe Claudel noue une intrigue ressemblant quelque peu à un roman policier sans en être un. Certes, il y a mort d’hommes mais la cause semble en tout apparence la noyade. Le maire et ses comparses se mettent d’accord d’enterrer en cachette les « nègres » pour utiliser le terme du curé afin d’éviter de nuire au projet de complexe hôtelier.
La seule voix discordante est celle de l’instituteur. Il réclame la venue de policiers et d’un juge pour mener une enquête et aller au bout de cette affaire. Contrarié, le maire déclare être l’autorité capable de décider du sort de ces Noirs. Son ami, le docteur, a conclu après un examen rapide des corps, qu’il n’y a aucun signe de mort suspecte : les Africains ont été des victimes de la mer.
On enfouit les trois corps dans un des trous brûlants proches du volcan sans autre forme de procès. L’auteur, avec patience et ténacité, nous révèle la connivence des notables à faire disparaître cet événement fâcheux de leur vie quotidienne. Il n’y a que l’instituteur mû par une conscience morale inflexible qui va exprimer sa désapprobation.
Il finit par causer des soucis au maire qui se demande comment l’empêcher de fouiner. Puis, Philippe Claudel met en scène un commissaire. Qui le fait venir ? Personne ne sait vraiment. Il est là, c’est l’essentiel.
L’homme boit beaucoup sans montrer de défaillances dans son raisonnement. Il sort des photos satellitaires révélant des images compromettantes. On y voit les notables de l’île en train de jeter, avec l’aide des pêcheurs, les trois corps des Africains dans un orifice volcanique.
Le maire se sent cerné comme un animal sur le point d’être piégé. L’instituteur, par contre, se réjouit de la venue d’un commissaire et annonce au maire qu’il compte faire un compte rendu détaillé de ce qu’il sait sur l’affaire des Africains.
Entretemps, une odeur pestilentielle envahit toute la communauté. Les corps pourrissants réclament justice et convoquent les charognards affamés autour du cratère où ils sont lâchés dans les méandres de la terre.
Pour empêcher de faire sortir la vérité au grand jour, le maire fomente une affaire de pédophilie contre l’instituteur qui cause de grands remous. Le commissaire va confronter l’instituteur à la suite de ces accusations. L’accusé, enfermé dans une pièce, perd rapidement le contrôle de la situation au point de ne plus savoir se défendre et prouver son innocence.
C’est ici que Philippe Claudel décide de détricoter son histoire. Il nous apprend que le commissaire n’en est pas un, juste un envoyé des investisseurs hôteliers inquiets de la façon dont le maire a enterré les Africains. Il n’y aura donc aucune accusation formelle contre les notables.
Ensuite, le maire et le docteur décident de libérer l’instituteur en prétextant une erreur dans les accusations de pédophilie. Mais l’instituteur est mort dans la pièce qui lui servait de cellule de détention, asphyxié au monoxyde de carbone. S’est-il tué ou a-t-il bloqué sa fenêtre pour ne plus entendre les cris de haine des paysans mobilisés contre lui ? Il n’y a aucune réponse à ce sujet.
L’auteur écrit ensuite : « Il fallut quelques jours pour qu’on parvienne à recommencer à faire semblant. À tenter de reprendre le cours ordinaire des choses. Chacun refit les gestes qu’il savait faire. On échangea des propos sans importance. On ne reparla plus de l’Instituteur, même si on y pensait sans cesse (…) »
Désormais, une malédiction s’est abattue sur l’archipel. Les marins reviennent bredouilles après dix jours de pêche, le docteur se déplace désormais avec un mouchoir sous le nez à cause de l’odeur nauséabonde des cadavres qu’il sent pour toujours et le maire a vieilli du jour au lendemain n’ayant plus que la peau sur les os.
Dans ce récit, tous les innocents meurent : les trois Africains et l’instituteur. Quant aux coupables, ils macèrent dans une eau saumâtre de culpabilité morale.
Les personnages mercantiles, racistes et pleutres sont condamnés à humer leur lâcheté comme l’odeur rance d’un péché jamais expié.
Philippe Claudel ne se fait ni juge, ni complice. Il renvoie chaque personnage à sa conscience, même ceux qui n’en ont aucune.
La disparition du faux commissaire est un tour de passe-passe qui permet d’éviter de rendre des comptes à la justice. C’est le seul incident fâcheux de l’histoire. Certains lecteurs auraient préféré qu’un vrai juge d’instruction se saisisse de l’affaire.
Philippe Claudel nous avertit dès le début du livre : « Je suis le gêneur. Je suis celui à qui rien n’échappe. Je vois tout. Je sais tout. Mais je ne suis rien et j’entends bien le rester. Ni homme ni femme. Je suis la voix, simplement. C’est de l’ombre que je vous dirai l’histoire. »
Un narrateur dans l’ombre raconte les crimes impunis des temps modernes. Il ne peut se résoudre à condamner ses concitoyens. Après tout, il vit probablement dans l’archipel. Il est possible que l’instituteur fut le sien, que le docteur l’ait vu grandir.
Ce récit est beau et réaliste, la plume est élégante, précise. Nous avons droit à un faux commissaire, un instituteur juste, un curé raciste, un docteur lâche et un maire affairiste. Philippe Claudel aurait pu inverser les rôles. Ce sont des humains, c’est tout.
Pour Philippe Claudel, la prison est l’archipel en forme de chien, tous crocs dehors.
Didier Leclair, écrivain.
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recapqsmp · 1 year
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Mardi 19/09 - Le passé de Bagi
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Les joueurs ont trouvé les "cadeaux" donné par la "fédération". Fit et Tina ont théorisé qui est le coupable de cette blague : un mauvais garçon un peu triste en ce moment de la disparition des œufs.
Fit a trouvé de nouveaux panneaux de Ramon caché dans le musée aux œufs. Le message complet est "Toutes les choses finissent par arriver avec le temps, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Les choses ne sont pas toujours ce à quoi elles ressemblent, elles changent en fonction du temps. Comme un arbre, nous grandissons, mais personne ne peut nous voir de l'intérieur. Comment a t-elle grandit ? A t-elle pourri, ou a t-elle changé ?"
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https://clips.twitch.tv/AstuteSarcasticChickenOpieOP-7yqmpE6xl46q9Y-r
Fred a répondu à Tubbo. Il a corrigé la citation de Technoblade que Tubbo lui avait donné, et a trouvé ça très inspirant. Il ne comprends pas pourquoi cette correspondance tient tant à cœur à Tubbo que ça, car selon lui, il y a des choses plus importantes, comme les toasts à l'avocat. Il espère tout de même que Tubbo garde ces lettres précieusement, comme lui les garde dans un coffre. Tubbo l'a remercié de l'avoir corrigé. Il l'a ensuite invité à participer à un piquenique s'il trouve le temps, car il a construit une machine qui est capable de produire autant de toast à l'avocat qu'ils peuvent en manger.
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Tubbo a montré la salle centrale du labyrinthe à Fit, lui qui ne l'avait pas encore vu. Ils ont ensuite trouvé une nouvelle porte fermée. Tubbo a remarqué que l'intersection ressemble à celle décrite sur un des dessins, et que les œufs en vie pourraient être derrière cette porte. Ils ont réussi a la traverser en glitchant à travers le mur mais ont cependant décidé de ne pas aller plus loin pour l'instant. Néanmoins, en voulant reproduire la même opération sur une autre porte, des éclairs sont apparus sur eux, les poussant à la fuite.
Fit a expliqué à Baghera la soirée d'arrivée de Bagi. Baghera a émis l'hypothèse que la roue pourrait ramener des gens sur l'île, et le numéro indiqué correspondrait à des lieux.
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Le président Forever a eu son rendez-vous hebdomadaire avec Cucurucho. Cucurucho lui a d'abord proposé ses médicaments à nouveau, mais Forever a expliqué qu'il allait bien, qu'il n'avait plus envie de faire exploser l'île, ou de faire quoi que ce soit de dégradant envers la fédération. Il a tout de même accepté la prescription de médicament de Cucurucho. Forever a demandé où en était la construction de la prison. Cucurucho a répondu que c'était en cours, mais qu'il y a eu du retard à cause de la nécessité de nettoyer les dégradations causés au spawn. Forever est ensuite allé cacher les médicaments dans sa base, au cas où il y aurait encore besoin de créer des remèdes.
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https://clips.twitch.tv/GiftedFriendlyTrayHoneyBadger-bNB0N6fymwu6HuGA
Foolish a interrogé Bad au sujet de ses tâches bleues. BadBoy a fin l'incompréhension, et a commencé à s'installer dans le dragon de Foolish, suite à son pari sur le temps que mettront les oeufs à revenir. Foolish s'est énervé contre lui car Badboy a modifié la chambre de Leo malgré ses interdictions répétées, et lui a dit de faire ce qu'il veut vu où ils en sont. Foolish est ensuite allé cacher une waystone chez Bad. Foolish a ensuite expliqué à Baghera comment il était devenu le roi des capybaras, et lui a demandé où elle était passé pendant tout ce temps. Baghera lui a dit qu'elle était tombé malade, et qu'elle avait reçu de l'aide de la fédération. Les 3 joueurs ont ensuite discuté du voleur de meubles, et des travailleurs de la fédération. Bad a expliqué faire une enquête sur eux, et vu le ton de sa phrase, Baghera le suspecte de leur faire du mal.
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Bagi a reçu un livre contenant des coordonnées. A son lieu de rendez-vous, elle a trouvé des affaires liés à son passé. Elle a notamment pu découvrir qu'elle passait ses anniversaires seuls, accompagné de son chat nommé Zeno. Elle se sentait mal à l'aise et incomprise à l'époque malgré sa grande famille et a perdu son chat. Elle espérait le retrouver.
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BadBoy s'est dit qu'ils pouvaient abîmer le spawn pour faire revenir les travailleurs de la fédération. Cucurucho les a surpris en pleine action, et Foolish a balancé BadBoy. Foolish a donc eu le droit d'enfin arrêter Bad. Badboy s'est défendu en accusant Baghera a son tour, mais Cucurucho ne l'a pas cru. BadBoy devait initialement se faire enfermer 10 minutes dans le musée, mais Foolish l'a convaincu de réellement l'emprisonner. Les 3 ont été emmené dans les bureaux de la fédération, et Bad s'est fait enfermer pendant 15mn dans le débarras. Forever et Bagi les ont rejoint en invisible et Bagi a finalement pu faire la connaissance de Cucurucho.. avant de se faire tuer par celui-ci. Baghera a trouvé les toilettes dans le bâtiment de la fédération et a pu récupérer une waystone dedans.
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https://www.twitch.tv/bagherajones/clip/OilySaltyMarjoramArsonNoSexy-wS3TwzkCTS2X-n4F
Bagi a ensuite fait un tour des lieux de sa maison à Baghera et BadBoy et leur a demandé si ils n'avaient pas vu son chat Zeno. BadBoy s'est demandé s'il ne s'agissait pas du chat que Cellbit a recueilli dans son château. Après avoir laissé un message chez Badboy disant qu'il est son plus grand ennemi, Bagi est allé vérifier chez Cellbit si son chat y était. En voyant qu'il était effectivement là bas, Bagi lui a laissé un message en binaire disant "Rend moi mon chat, je ne sais pas comment tu l'as eu, mais il est à moi depuis toute petite". Elle lui a laissé des coordonnées et a posé là bas un livre disant "celui qui lit ça est un con" ainsi qu'un œuf renommé "Richarlyson".
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https://clips.twitch.tv/ZealousWanderingElephantWTRuck-ld_u4wkUHjCkm00M
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claudehenrion · 5 months
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Quand avons-nous perdu les pédales ? ( I ) : l'égalitarisme.
En plus de onze ans d'existence de ce ''Blog'', je crois n'avoir jamais reçu autant de mails sur un sujet d'actualité. On sent une inquiétude qui, sourde et cachée jusque là, aurait soudain besoin de s'exprimer. Avec la généralisation des coups de couteaux (qui est la conclusion prévisible de leur terrifiant et irresponsable '' vivre ensemble''), un cap semble avoir été franchi dans l'horreur, révélant l'impossibilité grandissante d'être, simplement, ''heureux, chez soi, normalement'', en France.
Le ''système'' a aussitôt étouffé ce qu'il s'entête à désigner, contre toute intelligence, par ''des impressions de...''. Nos nuls-au-pouvoir se répandent en mots creux : ''intolérable, inadmissible, inacceptable'', et puis... ils tolèrent, ils admettent et ils acceptent. Ils prennent un air viril (?) pour lâcher des : ''c'est inqualifiable'', à propos d'événements qui, pourtant, sont faciles à qualifier : il suffirait d'oser enfin appeler ''chat'', un chat... Mais eux n'iront pas plus loin que d'annoncer un ''Grenelle'' de plus, évidemment aussi inutile que tous les autres.
Car la vérité est ailleurs, et je suis si révolté devant la nullité et la trouille permanente de notre personnel politique, que, pour une fois, je vais ''me lâcher'', en espérant ne pas trop choquer de lecteurs. Si certains détestent mes analyses sur ce sujet grave, je leur demande pardon et je les supplie de me garder leur amitié : la Vérité plaît rarement ! Simplement, pour ne pas rendre la lecture de cet éditorial trop indigeste, nous étalerons sur trois ou quatre jours la description des tares responsables de tout ce qui va si mal autour de nous : (1)- Tous nos concepts égalitaristes, qui ont déjà commencé à détruire notre civilisation... (2)- Leurs conséquences les plus aveuglantes... (3)- Le refus persistant de voir que se profile l'effroyable ''Umm el-Herb'', cette Mère des batailles qui doit (?) opposer l'islam –ou plutôt : ce qu'il devient-- d'un côté, et... tout le reste de l'humanité, de l'autre. Et (4)- une des coupables de tout ce qui précède... et qui hélas n'a pas fini de nous assassiner : l'Europe, telle que réinventée par les progressistes..
(1)- Nos folies conceptuelles. Fils indignes des soi-disant Lumières, nos lumignons progressistes de Gauche ont tenu à garder le ''software'' des années 1750... dans un monde où règnent l'ordinateur, les réseaux, et l'intelligence artificielle ! Dans tout l'outillage créé par les Encyclopédistes, ils ont tenu à conserver le concept-fou d'égalité. Pour ces dystopistes, tout doit être ''égaux ensemble'' (sic !) à tout le reste, contre toute évidence. La seule finalité de leur nouveau monde redéfini par l'absurde consisterait à mettre le signe ''égal'' ( = ) entre tout et n'importe quoi, surtout s'il est évident qu'une telle égalité ne ressemble à rien de sensé ! Par exemple : en quoi et sur quels critères un Homme et une Femme sont-ils ''égaux'' ? le poids ? la biologie ? la taille ? les performances ? la volonté ? la résistance ? la force morale ? la configuration interne ? les modes de pensée ? Or tout notre édifice actuel repose sur cette énorme erreur d'analyse !
Première conséquence de cette horrible amputation de la Femme : elle l'a privée de la richesse de sa palette –tellement plus variée, en fait, que celle de l'Homme-- en la ratatinant à la quête d'une égalité financière et hiérarchique qui, si elle est possible, bien sûr, ne peut avoir que des conséquences dramatiques : il a fallu la remplacer, dans un des rôles où elle est totalement irremplaçable, par des cohortes de gentilles ''cap-verdiennes'' ou autres, bien braves et qui donnent ce qu'elles peuvent donner –c'est-à-dire, en gros, rien : elles n'avaient (et n'ont) rien à dire, rien à transmettre, rien à dispenser, rien à enseigner, et pas la moindre ''valeur ajoutée'' à offrir... Deux ou trois générations plus tard, allez vous étonner que ''nos enfants'' –comme dit Macron-- soient, comme lui, glacés, désinhibés, sans ''sur-moi'', comme ''étrangers''-- et n'affichent plus ces vertus que leurs Mamans avaient transmis pendant des siècles, dans toutes les classes sociales, ''socle'' sur lequel avait pu se développer, vivre et palpiter notre formidable civilisation !
Et la seconde : si ''la Femme est et n'est plus que l'égale salariale des hommes'', les-dits hommes en perdent leur courtoisie, leur ''bonne éducation''... et leur virilité, ce qui veut dire, un peu plus tard : plus de bébés !). A force de faire joujou avec des trucs qui nous dépassent et nous échappent en totalité, on abandonne à leur naturel –qui est bien loin des ''bisounours'' rousseauistes-- tous les ''nos enfants'' dont se gargarise Macron... Mais ceci est une autre histoire, celle d'une, puis deux générations de parents en tout ou partie démissionnaires : que pouvaient-ils espérer d'autre... qu'un fort pourcentage de petits cons mal élevés et hermétiques à ''l'autre''... et, hélas, quelques iso-monstres ? (Je réitère mes excuses à ceux qui voient les choses autrement).
N'étant qu'un petit ''blogueur'' de quartier et pas un sociologue, je m'interdis tout jugement sur le bien-fondé de cette compétition sur l'égalité salariale : sur un sujet aussi grave, chacun doit juger suivant ses ''croyances'' philosophiques ou religieuses et son expérience. En revanche, je répéterai toujours qu'il faut avoir conscience des conséquences de chacune de nos décisions importantes. Or, sur ce sujet, la conséquence (prévisible et inévitable) était simple : en une ou deux générations, ce choix, voulu, d'une suppression de toute ''transmission'' a détruit des siècles de processus de civilisation.
Toutes les bases d'une ''société'' digne de ce nom ont été négligées puis oubliées, à commencer par toutes les pratiques inspirées par la Révélation christique : des règles morales jusqu'à la manière de se tenir à table, des anciennes aménités quotidiennes jusqu'à ''la bonne éducation'', la politesse, la galanterie ou le respect pour ''l'autre''... tout a été englouti dans le tsunami de la non-transmission. Et avec elle, notre école, notre sécurité, le retour de la violence, la peur de l'autre, devenue ''normale'',sans oublier les couteaux... Bref, ce que nous constatons tous les jours... Et le bonheur de l'enfance, en prime.
Après deux générations de démission, non seulement il ne reste rien ou très peu de l'ancien édifice protecteur de la société, et ''nos enfants'' sont en passe de devenir ces ''sauvageons'' que croyait voir Chevènement. Pensons à ce qu'ils pourraient-être à la troisième génération, au train où vont les choses... On a le droit de ''flipper''! Mais la nature ayant horreur du vide et les Hommes ne pouvant exister sans invoquer ''des choses qui les dépassent'', des progressistes (NDLR : donc : des dangers publics) ont remplacé toutes les anciennes vertus chrétiennes devenues folles (le mot est de Chesterton) par des folies bien plus mortifères, que nous considérons ''normales'', parfois..
Bien entendu, ici comme en toute chose, d'autres facteurs sont à prendre en considération : il est évident que ce seul crime contre la pensée, le bon sens et la raison n'a pas engendré tout seul les horreurs qui nous ont conduit dans l'actuelle impasse --d'où nous ne sortirons pas en fermant les yeux sur nos propres erreurs. Mais qu'il se soit pas seul en cause et seul responsable n'est tout de même pas une raison suffisante pour refuser d'en voir les conséquences dramatiques... (à suivre).
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