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#Croque-Vacances
r8m8in · 9 months
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Films vus au cinéma [2023]
La Conférence
Je verrai toujours vos visages
Evil Dead Rise
Beau is Afraid
It Follows
Showing up
Ramona fait son cinéma
Sur l'adamant
Parasite
L'amour et les forêts
Le Croque mitaine
Camila sortira ce soir
Le processus de paix
Elementaire
Asteroid City
Les grandes vacances de cowboy et indien
Master Gardener
Insidious : The Red Door
Les Filles d'Olfa
Barbie
Yannick
Tropic
Un coup de maître
La Bête dans la jungle
Reality
L'expérience Almodovar
Anatomie d'une chute
Le livre des solutions 
L'été dernier
Un métier sérieux
Le procès Goldman
Le Règne animal
Bernadette
Le Consentement
Dogman
La Fiancée du poète
Le Ravissement
Le Syndrome des amours passées
Le Vourdalak
Simple comme Sylvain
Vincent doit mourir
Bâtiment 5
Rien à perdre
Dream Scénario
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De l’Etang de Brognard au toit de l’Europe, Mélitine Morel Championne d’Europe en figure
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Ce week-end se déroulait à Madrid le Championnat d’Europe de ski nautique. Mélitine Morel y était présente représentant la France ainsi que le Pays de Montbéliard. Petite rétrospective : Mélitine a commencé le ski en juillet 2017 soit à l’âge de 6 ans avec Théo Lordier, un coach qui travaillait pendant ses vacances scolaires et qui la, avec douceur, intronisée solidement dans cette famille qui est le ski nautique. Pas à pas, elle s’est accrochée à ce sport plein de valeur qui est une vraie école de la vie. Travail, persévérance, humilité. Elle pratique les trois disciplines : slalom, figures et saut. Elle part à plusieurs reprises s’entraîner et prendre conseil lors de stage se déroulant en Floride, aux États Unis, la Mecque du ski nautique, en Afrique du Sud et aux quatre coins de la France drivé par d’anciens champions du monde. Elle gravit les marches jusqu’à arriver au haut niveau. Repérée par la Fédération tenue par Patrice Martin, elle suit le programme les Petits princes avant d’intégrer l’Equipe de France il y a deux ans. Non scolarisée en établissement depuis toujours, enfin scolarisée à la maison où sa maman lui fait les cours, elle s’épanouit en pratiquant différentes activités comme la gym, la danse, le kart, et surtout le cheval, 8 à 9 heures par semaine, chez AC Equitation à Dung. Elle est aussi au Conservatoire du Pays de Montbéliard depuis son plus jeune âge où elle apprend le violon. Pétillante, désireuse d’apprendre, elle croque la vie à pleine dent. Ce week-end a été plein de rebondissements pour elle. Elle rafle la Médaille d’or en figure et à une place se rate au préliminaire slalom où elle était favorite car première sur la ranking Europe Afrique. En saut, en premier passage, elle se qualifie en battant sa dernière performance avec 28,5m pour finir 4ème en saut avec 29,5m. En combiné, elle termine 4ème. Quand à l'Equipe de France, elle devient vice championne d’Europe. De magnifiques résultats pour sa première année en U 14 Read the full article
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bouquinovore · 2 years
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Alice au Pays des Merveilles
En France. nous avons eu droit à deux génériques différents. Le 1er est chanté par, Stéphanie Barre, lors de sa diffusion sur TF1 dans Croque Vacances. Le 2eme est chanté par Mireille Labbé, lors de sa diffusion sur La Cinq dans Youpi! L'école est finie.
Titre: Alice au Pays des MerveillesInterpréte : Stéphanie BarreAuteur / Compositeur : Andrea Wagner, Alain Garcia, Christian BruhnÉmission : Croque-Vacances / Youpi ! L’école est finieRéférence : PB 40337Type de support : Disque vinyleVitesse : 45 toursTaille : 7’’Label : Saban Records / TF1 / RCAAnnée : 1985 Face 1 : Générique Alice au Pays des Merveilles, Interprète: Stéphanie barreFace 2 :…
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https://m.youtube.com/watch?v=6158hpZkOSI
youtube
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Je suis la génération X. Quiconque qui est né entre 1955 et 1990 en fait partie. Nous sommes la dernière génération à avoir joué dehors jusqu'à la tombée de la nuit. Nous avons été les PREMIERS à jouer à des jeux vidéo et les DERNIERS à enregistrer des chansons de la radio sur une cassette. Nous avons connu la légalisation et l'essor des radios libres (NRJ Fun radio, Radio FreeDom...) et l'époque musicale la plus riche. Nous avons adoré la marelle, le jeu de l'élastique, le patin à roulettes (à 4 roues, parfois même des roues en métal), même le vendredi et le samedi soir. Nous avons survécu aux années 80 en faisant du vélo sans casque, avec de longs cheveux spay net, la coupe mulet, la permanente, les pantalons pattes d'eph, les sous-pulls en nylon et à l'ère du tout extravagant et coloré. Nous allions à l'école à pied entre amis, passions beaucoup de notre temps dehors, terrains vagues, cabanes, ballon, billes .... sans crainte d'être importunés. Nous avons regardé des dessins animés le samedi matin en trempant dans un bol de lait des tartines beurrés à la confiture de fraise ou de figue, assisté à "La dernière séance" avec notre cornet de frites dans du papier journal le mardi soir, le Disney Channel le samedi soir, Récré A2, Temps X, Croque Vacances, le Club Dorothée et le Top 50... 📺Nous avons programmé le magnétoscope avant tout le monde et avons connu l'invention du Laser disc Vidéo et du CD... 💿 Nous nous souvenons d’avoir appris à utiliser un ordinateur pour la première fois et nous avons joué en premier aux consoles Atari, Nintendo, Sega...🕹
Nous sommes la génération des Routes du paradis, L'île fantastique, Shérif fais-moi peur, Scooby-Doo, Mac Gyver, Drôles de Dames, Shogun, La croisière s'amuse, Benny Hill, Manimal, Magnum, V, La petite maison dans la Prairie, Happy Days, Ulysse 31, L'inspecteur Gadget, Capitaine Flam, Albator, Les Mystérieuses Cités d'or, Candy, Cobra, Tom Sawyer, Arnold et Willy, Cosmocats... (sans oublier : OLive & Tom, Dragon Ball, les chevaliers du zodiaque). Nous avons voyagé dans des voitures sans ceintures de sécurité ou airbags, avons roulé sans ceintures à l’arrière de camionnettes et avons vécu sans téléphones portables. Nous n'avions pas d'écran plat, de son suround, d' I-Pads, de Facebook et Twitter... mais nous avons passé des moments inoubliables les uns avec les autres !!! Et surtout, nous avons passé du temps ensemble sans téléphone entre nos mains et nous avions beaucoup de choses à nous raconter et à vivre
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Mon père fumait dans la voiture.(ma mère aussi d ailleurs) ...Je suis la génération X. Quiconque est né entre 1955 et 1990 en fait partie. Nous sommes la dernière génération à avoir joué dehors jusqu'à la tombée de la nuit. Nous avons été les PREMIERS à jouer à des jeux vidéo et les DERNIERS à enregistrer des chansons de la radio sur une cassette. Nous avons connu la légalisation et l'essor des radios libres (NRJ Fun radio, Radio FreeDom...) et l'époque musicale la plus riche. Nous avons adoré la marelle, le jeu de l'élastique, le patin à roulettes (à 4 roues, parfois même des roues en métal), même le vendredi et le samedi soir. Nous avons survécu aux années 80 en faisant du vélo sans casque, avec de longs cheveux (spay net, la coupe mulet, la permanente, les pantalons pattes d'eph, les sous-pulls en nylon...) et à l'ère du tout extravagant et coloré (la meilleure 📷📷) Nous allions à l'école à pied entre amis, passions beaucoup de notre temps dehors, terrains vagues, cabanes, ballon, billes .... sans crainte d'être importunés. Nous avons regardé des dessins animés le samedi matin en trempant dans un bol de lait des tartines beurrés à la confiture de fraise ou de figue, assisté à "La dernière séance" avec notre cornet de frites dans du papier journal le mardi soir, le Disney Channel le samedi soir, Récré A2, Temps X, Croque Vacances, le Club Dorothée et le Top 50... 📷 Nous avons programmé le magnétoscope avant tout le monde et avons connu l'invention du Laser disc Vidéo et du CD... 📷 Nous nous souvenons d’avoir appris à utiliser un ordinateur pour la première fois et nous avons joué en premier aux consoles Atari, Nintendo, Sega...📷 Nous sommes la génération des Routes du paradis, L'île fantastique, Shérif fais-moi peur, Scooby-Doo, Mac Gyver, Drôles de Dames, Shogun, La croisière s'amuse, Benny Hill, Manimal, Magnum, V, La petite maison dans la Prairie, Happy Days, Ulysse 31, L'inspecteur Gadget, Capitaine Flam, Albator, Les Mystérieuses Cités d'or, Candy, Cobra, Tom Sawyer, Arnold et Willy, Cosmocats... (sans oublier : OLive & Tom, Dragon Ball, les chevaliers du zodiaque). Nous avons voyagé dans des voitures sans ceintures de sécurité ou airbags, avons roulé sans ceintures à l’arrière de camionnettes et avons vécu sans téléphones portables. Nous n'avions pas d'écran plat, de son suround, d' I-Pads, de Facebook et Twitter... mais nous avons passé des moments inoubliables les uns avec les autres !!! 📷 Et surtout, nous avons passé du temps ensemble sans téléphone entre nos mains et nous avions beaucoup de choses à nous raconter et à vivre 📷 📷
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scribe-feliciter · 3 years
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25. La fin de l'été
Chez moi la fin de l’été a ses saisons.
Elle se décompose jusqu’à se fondre dans l’humus d’automne.
1. Le train et l’entre-deux sans boussole. Le retour des vacances, des quelques jours à l’échappée que je m’efforce de prendre au milieu de l’année. Mon refuge, mon asile. Des quelques jours à l’effervescence d’un soleil ardent, où j’ai fermé l’armoire à soucis à double-tour. Pas de croque-mitaine pendant quelques jours. Les murs d’Avignon et la mer transparente. Et puis la fin, brusque, sans sas de décompression. J’ai si bien déconnecté, je me suis bien ressourcée que j’erre comme une île à la dérive, sans prise, incapable de reprendre pieds, la mer est trop profonde.
2. La fin de mon été en parallaxe. La fin d’un été passé entre chats et cahiers, été studieux passé entre des pages. Hors du monde. Le temps file entre les bouquins, l’anxiété qui monte, et les trois improbables passés à composer dans un hangar. Après ce temps condensé, ces journées immobiles, que reste-il ? Le vide soudain. L’été commence pour moi.
3. L’automne. Chaque saison est ma préférée, mais j’ai un penchant pour l’automne. Ma garde-robe lui sied bien. J’aime les matins froids et la brume ou la bruine, j’aime mes vestes à carreaux et mes pantalons de velours. La retraite sur ma terrasse emmitouflée dans un plaid, l’odeur de feuilles qui se décomposent et les bois, et les bois. Les bois. J’aime le répit qu’exige la fin de l’été, sans concession. Posez vos stylos et écoutez. Elle tape du pied et rappelle qu’il y a un temps pour tout, il y a un temps pour prendre son temps et se décomposer le temps avant de croître.
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nevin-euro-trip · 3 years
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Ca y est I’m Back ! 
Après avoir passé une super soirée à Turin, dans un petit bar qui fait bières Italiennes artisanales mais aussi des Pizza traditionelles ! L’endroit parfait pour lever une derniere fois mon verre a l’étranger, le barman était super cool on a pu discuter bières un peu ! Le lendemain matin j’ai fait un petit tour dans le centre de Turin, c’était mignon avec un beau levé de soleil sur la ville ! J’ai pas trouvé ça si degueu que ça, on m’avait dit que la ville était pas ouf mais j’ai bien aimé l’ambiance, et surtout le bar a bières/pizzas était juste trop cool !!
La suite c’est direction la France ! Je suis passé par les montagnes de la vallée d’Aoste, c’est très joli par ici, et au fur et a mesure ou j’avance, je vois le mont blanc se dresser devant moi ! Passage dans le tunnel (50 balles pour passer quand même..) et de l’autre coté c’est la France :D ! Premier arrêt à la boulangerie la plus proche pour manger un croissant et un jambon beurre evidement ! Ca fait plaisir de rentrer dans son pays, on se sent tout de suite plus en confiance :p ! Pas le temps de trainer je rejoins ma pote à Verzé prêt de Macon, ou on a passé une super soirée à discuter et a rigoler, j’avais beaucoup de choses a raconter :) , petite planche apéro et croque monsieur je suis juste refais (sans oublier la bière) !! 
Le lendemain reveil tôt pour traverser la France et rejoindre Bordeaux dans l’après-midi, ça y est, c’est le dernier trajet ! Et franchement ça c’est super bien passé ! Et cette fois ci j’ai pu voir le Puy de Dome au loin car le temps était magnfique ! Petit frisson en arrivant a Bordeaux et un gros cri de joie car la 206 l’a fait !! 
Point 206 (le dernier :p) : Comment dire.... juste parfait, aucuns ennuis de tout le voyage, alors que j’en ai fait des bornes (plus de 10 000) !! sur tout type de route ! J’ai cru en elle, et elle ne m’a pas fait de faux pas, fini les moqueries,  je pense que tout le monde peut se prosterner :p !
Je suis vraiment super content d’être arrivé, sans aucun soucis !! Je ferais un petit bilan/debrief du road trip plus tard, la maintenant je profite de mes derniers jours de vacances pour fêter mon retour et me reposer (ou pas... :p). 
Quelle aventure ! 
🇫🇷 > 🇱🇺 > 🇧🇪 > 🇳🇱 > 🇩🇪 > 🇩🇰 > 🇸🇪 > 🇳🇴 > 🇨🇿 > 🇦🇹 > 🇸🇰 > 🇭🇺 > 🇭🇷 > 🇸🇮 > 🇮🇹 >  🇫🇷
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claudehenrion · 3 years
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On n'avait rien compris. Pourtant, on croyait…
  Comme promis il y a peu, me voilà de retour sur vos écrans (les pauvres !) pour commenter à ma façon rétrograde, passéiste et conservatrice (ça, c'est le mot-qui-tue ! Après lui, les gens ont encore moins envie de me fréquenter !) le résultat du vote des primaires écologistes (NDLR : comme quelques uns d'entre eux, très rares, ne le sont pas –primaires, bien sûr–, je vais être taxé d'amalgame. Tant pis). Contrairement à ce que les gens mal intentionnés dans mon genre redoutaient, nos gentils “verts” se sont –de justesse, mais le “démos” a vaincu le démon– abstenus du pire, ce qui, dans leur cas, est inespéré…même si ça ne préjuge en rien de la suite : la seule vocation de ces soi-disant verts, c'est tout de même d'être rouges !
La France a donc, une nouvelle fois –aussi bienvenue que la précédente– évité la domination des idées de Rousseau (celle-là se prénomme Sandrine, mais elle est digne des excès mortifères de son prédécesseur, le grand Jean-Jacques. On l'a échappé belle, cette fois encore, car dans la famille Rousseau, il n'y a guère que le douanier, qui soit fréquentable !). Dans un grand raz-de-marée (de l'ordre de 1 %) de sagesse, les “écolecteurs” ont reconduit le prototype de l'abomination de la désolation :  un homme blanc de 50 ans (à peine plus), c'est-à-dire une de ces horreurs qui mène le monde à sa perte depuis la nuit de leur temps... Mais comment ont-ils pu être rétrogrades à ce point ? Ça va pas, la tête ? Yannick Jadot est exactement tout ce qui est haïssable pour et par la frange la plus progressiste de la pensée écolo-décolono-déconolo-giste dont les errements mortels ont raté la première marche à ε % près.  C'est l'épaisseur du trait… A ce niveau de folie, ce n'est plus une frange, c'est de la passementerie, des festons de brandebourgs  !
A cette nouvelle du choix clair de la partie la plus obscure de la con-testation mondiale, la gauche classique française a commencé par avaler sa cravate ou son foulard Hermès (Dame ! On peut raconter dans les dîners-en-ville qu'on est “plutôt de gôche”… mais il faut tout de même tenir son rang et représenter dignement les prolétaires et les “damnés de la faim” !)… avant de clamer et pro-clamer que ce choix est une bonne nouvelle et qu'on allait pouvoir travailler ensemble –c'est exactement ce qu'ils auraient raconté si c'était l'autre dingue qui avait eu les 1 % de voix (ces 1800 personnes  qui ont fait la différence !). En attendant, le casting est terminé, à gauche : on aura 7 candidats (il y en avait 4, en 2017), dont Mélenchon est à 13%, Hidalgo à 7% en chute libre –et méritée– et tous les autres en dessous (donc tous au-dessous de Zemmour, Bertrand, Pécresse, Marine Le Pen et de Macron). Tout ça se clarifie ! On aurait presque envie d'être en mai prochain !
Mais ne nous laissons pas attraper par la logorrhée verte-rouge qui, le temps passant devient de plus en plus rouge et de moins en moins verte : tout le discours prétendu écolo est tourné vers la destruction de tout ce qui marche, au fond, pas trop mal, et ce, même si la nature doit en être ravagée sans aucun avantage ni pour elle ni –surtout– pour nous. La différence  entre le programme d'un Jadot et celui d'une Rousseau a l'épaisseur d'un papier à cigarette. D'abord pour une raison évidente : ils n'auraient jamais atteint le niveau qui est le leur dans cette hiérarchie qui se dit anti-hiérarques s'ils avaient été un tant soit peu “moins pires” (de Dumont à Hulot, de Bové à Duflot, de Kohn Bendit à Voynet, de Lalonde à Waechter… tous ont été éjectés, jugés “pas assez dingues”, même les pires !). Et en second lieu parce que Jadot, pour gagner cette primaire des primaires, a dû s'engager “à ne pas avoir de programme à lui”… mais à prendre “celui de tous les écologistes” (sic ! Ça, au moins, c'est un homme de conviction, digne de diriger un grand pays…).
La crainte qu'il faut avoir –et elle n'est pas que théorique–, c'est que devant la nullité de tous les autres candidats de gauche, bon nombre d'électeurs, tièdes et pas très sûrs de la solidité de leur colonne vertébrale, se disent “Dans le fond, nul pour nul, pourquoi pas celui-là ?”, et que le Yannick se retrouve projeté dans le duo final où “la droite la plus bête du monde” (seul cas de ma vie où je cite un socialiste puisque cette pépite était signée Guy Mollet) réussira, une fois de plus, à ne même pas paraître alors que, dans la bataille des idées, elle regroupe entre 70 et 80 % des électeurs : vous allez voir qu'elle va une fois de plus se tromper d'ennemi (le coup est déjà parti !) et centrer tous se efforts pour faire battre Zemmour –puisqu'il a fait siens la totalité des thèmes habituels et “normaux” d'une Droite qui serait à droite, et n'a laissé à ceux qui se réclament d'elle que les rogatons que la Gauche a décidé de lui laisser, et qu'ils revendiquent comme s'ils étaient les vrais sujets !…
Il faut regarder les choses en face : les écolos qui ont déjà été élus ont tout de suite mis en œuvre leur programme cauchemardesque, qui n'a pas la plus petite chance de réduire quoi que ce soit des problèmes que la véritable écologie doit maintenant affronter, dont le principal défi est un réchauffement climatique qui, ne devant pratiquement rien (ou si peu…) à l'activité humaine, doit susciter des réponses “à sa dimension” et doit nous demander de l'intelligence, de l'imagination, des idées nouvelles, de la recherche, et des efforts –et non de ressasser des privations injustifiées, des interdictions de vie “normale”, une décroissance qui ne peut rien apporter au problème posé, un masochisme militant, et une remise en cause de tout ce qui existe sur terre, au profit de concepts foireux dont pas un seul, jamais, n'a démontré nulle part qu'il pouvait tenir la route plus de deux minutes. (NDRL ; nous consacrerons un ou deux billets, dans les jours à venir, à la définition des vrais problèmes et aux mensonges dont nous ont gratifié toutes les générations qui se sont emparées du mot “écologie” en le vidant de son sens et en en faisant un outil de destruction-pour-rien de la planète. C'est de constructeurs, de bâtisseurs, dont le monde a besoin, pas de tous ces ravageurs-par-système !)
Un petit texte humoristique circule depuis hier sur le web. J'y glane quelques idées qui, ajoutées à celles que j'ai déjà collectionnés ici ou là, illustrent bien ce qui se passerait si ces gens-là pouvaient avoir la plus petite influence sur le futur de l'humanité… et de nous, qui lisons ça en ce moment :  “Ne plus utiliser ma voiture, mais marcher à pied sans chaussures, mais surtout pas vêtu de peaux de bêtes (il faut être végan, non ?)... Décider librement (?) que je ne veux plus ni chauffage ni électricité, ni téléphone, ni ordinateur, ni télévision (mais comment écouter ceux qui veulent nous faire revenir à l'âge de pierre ?)… Ne plus boire de lait, ni manger de fromages ou de yaourts, car les vaches pètent et rotent, et ce faisant, lâchent dans l'atmosphère 500 litres de méthane à chaque flatulence… Manger des racines (quoi que… prétendre que l’on n’entend pas leurs cris déchirants lorsqu'on les croque…c'est dur, dur)… Vivre dans une caverne, avoir froid, me glisser sous une feuille de bananier pour me protéger de la pluie… Utiliser son vélo pour aller au travail quand il pleut et prendre une carriole à cheval pour partir en vacances… Ah ! Être écolo dans un monde écolo !”. Mais au fond, est-ce drôle, ou est-ce triste à en pleurer ?
C'est l'enjeu de ce qui se trame… Réveillons-nous : demain, il sera trop tard, car ce qui nous pend au bout du nez si ces gens-là ont la plus infime influence, c’est l'exemple de Paris, devenue, en une mandature Hidalgo, un  cloaque pour bobos sectaires et déjantés, où règnent la laideur, l'insécurité, les contraintes de toute sorte, l'anti-bagnolisme le plus systémique… et où la dette a explosé comme jamais : + 73 % en 6 ans, avec une progression incontrôlée de +15 milliards par an ! Avec Jadot (dit “le plus calme de la bande”) ce serait la France entière qui serait foutue à très brève échéance, et les français, avec elle : il coche les mêmes cases qu'elle !
Et n'espérez pas que ces théoriciens de la décroissance / militants de la décadence n'appliqueront pas leurs folies : eux, contrairement aux gens normaux, ils se croient mandatés pour sauver la planète ! C'est simple : non seulement ils croient avoir tué Dieu, mais ils se prennent pour lui ! Ce sont les primaires EELR (Europe-Ecologie-Les-Rouges), avez vous cru ?  C'est “les primates”, qu'il fallait lire, évidemment !
H-Cl
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alexar60 · 4 years
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Rivières
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Quand tout commença, je devais avoir environ dix ans. J’étais en vacances en Bretagne dans un hameau à la population vieillissante. En gros, il n’y avait pratiquement pas d’enfants de mon âge. Alors, je me promenais seul, parcourant les sentiers proches. Un jour, je découvris une petite berge au bord de la Vilaine. Je ne pensais pas que cette rivière portait bien son nom.
Le fleuve coulait rapidement, cependant il n’était pas question de m’y baigner. Je ne savais pas nager et j’avais peur de l’eau. Je regardai une ruine sur lequel un mot était encore visible : restaurant. Ce commerce avait fermé depuis longtemps. Depuis, la non-utilisation de la berge pour traverser la rivière. J’observai un peu partout me prenant pour un aventurier en pleine exploration lorsque j’entendis une étrange musique accompagnée d’une jolie voix. Sur la Vilaine, une barque naviguait lentement contrairement au courant rapide, et sur la barque, une jeune femme jouait du violoncelle tout en chantant. Sa musique, son chant m’hypnotisèrent au point de m’approcher. Elle m’aperçut, sourit et m’invita à la rejoindre en faisant un signe de la main. Je ne me rendis pas compte que la musique continuait. J’entrai dans l’eau, m’enfonçant dans la vase jusqu’aux genoux. Soudain, un cri retentit me sortant de mon envoûtement. Derrière-moi, un homme en tenue de pêcheur courut pour me rattraper et me sortir du fleuve. M’ayant reconnu, il me ramena auprès de ma famille avec qui j’eus droit  à une sévère engueulade et les réprimandes qui vont avec.
Depuis ce jour, je fais régulièrement des rêves de rivières et de baigneuses qui m’appellent pour les rejoindre. Cela commença la nuit même. Je reste au bord du rivage. Je ne les vois jamais mais je sais qu’elles sont là. Soudain, le vent m’emporte et me pousse à entrer dans l’eau. Je m’enfonce, je me retrouve à paniquer et me noyer. J’ai aussi l’impression d’avaler la tasse. Je réalise que je ne sais pas nager, ce qui amplifie la terreur dans mon esprit. Puis, je les entends, elles approchent, elles me calment avec leur chant. Je sens qu’une main attrape la mienne et nous partons au plus profond de la rivière. Malgré l’opacité de l’eau, je vois la jeune femme qui m’entraine. Tout à coup, je regrette de m’éloigner alors j’arrête de nager. Elle se retourne, son visage est celui d’une vieille femme. C’est une sorcière, elle me fait peur au point de me réveiller.
Ce rêve récurent n’aurait aucun sens si je ne l’avais pas croisé une seconde fois. Cette fois-ci, j’avais treize ans, j’étais en vacances à Nantes. Je me promenais dans la ville que je ne connaissais pas encore, oubliant ma famille qui faisait les magasins. Soudain, je réalisais que j’étais perdu et il était tard. Dès lors, pour retrouver mon chemin, je longeai la Loire en partant du quai de la Fosse, un peu perturbé par les bars à hôtesses principaux commerces du  quartier. Je marchai, quand j’entendis cette musique sortie de mes souvenirs. Elle était au milieu du fleuve, sur sa barque. Elle jouait et chantait à la fois. Je fus de nouveau attiré par cette mélodie magique. Je marchai dans sa direction sans me rendre compte qu’il y avait un quai. Je plongeai dans l’eau faisant un plouf qui alerta d’autres piétons. Durant ma courte période dans l’eau, j’eus l’impression de voir un être étrange. Il n’avait pas de jambes, sa peau semblait verte comme les morts dans les films d’horreur. Il approcha  mais je fus secouru avant qu’il ne m’empoigne. Je sortis du fleuve avec dans l’esprit avoir été en contact avec quelque-chose de maléfique.
Dès lors, j’évitai toute approche auprès du fleuve jusqu’à ce que je comprenne que cela m’arrivera partout. J’étais à Vienne pendant un voyage scolaire. Nous voguions sur un bateau-mouche, profitant d’un soleil chaleureux de mai. Nos professeurs discutaient entre eux oubliant de faire la loi auprès des perturbateurs dont je faisais partie. Du haut de mes quinze ans, je n’étais pas du genre timide. Je faisais le clown dans le dos des profs tout en les respectant. Suite à un pari, je me levai pour me suspendre à la barrière de sécurité. Tout en regardant les adultes, j’enjambai fièrement la clôture quand j’entendis cette musique provenir du Danube. Pourtant, il y avait de la circulation avec nombreux bateaux. Cependant, sa barque naviguait paisiblement pendant qu’elle jouait du violoncelle. C’était la même femme que sur la Loire ou la Vilaine. Elle fit un signe de la main tout en chantant. Sa voix était toujours aussi douce. Mes camarades de classe m’appelèrent sans que je les écoute. Un prof se leva et ne put m’empêcher de me jeter dans le fleuve. Ne sachant pas nager, je coulais, les oreilles imprégnées par cette mélodie répétitive. Je l’entendais encore en dépit des profondeurs. La sirène arriva brusquement, je reconnus sa peau verte, elle prit ma main et nous partîmes jusqu’à ce qu’un prof agrippa mon pull. Je repris conscience sur le quai, entouré de gens. La navette des secouristes venait de partir. L’enseignant était trempé. Il me demanda si je n’avais rien avant de me dévisager et de m’engueuler. Le bateau-mouche avait stoppé au milieu du fleuve, ils attendaient de nos nouvelles.
Depuis, j’ai revu cette femme plusieurs fois. Au bord de la Moskova, sur la Vistule, sur la Seine, la Garonne et aussi sur le Mississippi. Partout où il y avait une rivière importante, elle était sur sa barque à jouer du violoncelle et à m’inviter avec son chant. Elle me charme, elle m’intrigue. Chaque fois, on me récupérait au milieu de l’eau après avoir plongé du bord ou d’un pont. Des spécialistes diagnostiquèrent mon état comme un dépressif à tendance suicidaire, ce que je n’étais pas.
Et il y a eu ce voyage à Londres. Nous étions à une réception sur un navire privé. L’alcool coulait autant que l’eau de la Tamise. Je sortis discuter avec un collègue japonais. Quand j’entendis sa voix, j’exprimai à mon nouvel ami ma peur de me jeter à l’eau pour la rejoindre. Il ne vit personne sur le fleuve toutefois, il me prit par le bras afin de rentrer dans la salle où un orchestre faisait assez de bruit pour ne plus l’entendre. Il resta près de moi et une fois à quai, il m’accompagna jusqu’à mon hôtel. Dans le hall, il parla de l’existence de monstres à laquelle les vieux japonais croient. Il s’agit des yokai ! Ces esprits sont malicieux, dérangeants et aiment hanter leurs proies jusqu’à les tuer ou les emporter avec eux. D’après lui, je serai victime d’un yokai des rivières. Son explication trouva une certaine logique avec mes cauchemars. Par la suite, je me renseignai sur la façon de s’en débarrasser. En fait, il n’y en avait pas vraiment en dehors d’accepter sa peur grâce à laquelle il vous dévorait.
Le yokai sont partout. Ils peuvent être métamorphes. Parfois, ils peuvent aussi être bienveillants. Seulement le mien est un vrai croque-mitaine. L’idée de vivre avec m’horrifia mais c’était la seule solution. Au début, j’évitai les bords de rivière, de marcher sur un pont au-dessus d’un fleuve. Je refusai de participer à une magnifique croisière sur le Nil. Seulement, on oublie toujours d’être constamment attentif. C’était à Paris. Je quittai le métro pour un entretien. Ainsi, je me retrouvai sur le quai d’Orsay. A peine ai-je tourné la tête que j’aperçus sa barque entre deux péniches qui naviguaient sur la Seine.
Le yokai jouait magnifiquement bien du violoncelle. Une fois de plus, je me sentis envahi par le timbre de sa voix. J’avançai subitement jusqu’à monter sur un bateau-restaurant stationnant juste devant moi. Par chance son propriétaire était présent et voyant un intrus embarquer, il m’agrippa. Je continuai d’avancer ; Il comprit que j’allais me jeter à l’eau.  Il appela ses employés qui me retinrent suffisamment pour que je la visse s’énerver.
Son apparence de déesse se métamorphosa en une laideur incomparable. Sa peau se flétrit devenant vert pâle. Ses yeux rougirent de colère, sa langue sortit, elle avait l’apparence d’une langue de vipère. Des plis apparurent brutalement sur le visage, la sorcière de mes rêves était enfin là ! Sa voix n’était plus la même ; elle sifflait, elle vociférait des mots incompréhensible. Quand ils me lâchèrent, je compris qu’ils la voyaient aussi. Ils semblèrent paralysés par la vue de ce monstre, leurs yeux n’y croyaient pas. La barque disparut tout à coup, elle resta debout sur la Seine avant de plonger et disparaitre à tout jamais de ma vie.
Je ne sais pas si c’est le fait de m’avoir empêché de plonger qui la fit fuir, ou si quelque-chose en moi a changé comme ma peur de l’eau qui s’est évaporée sans m’en rendre compte car depuis, je n’appréhende plus d’être sur une rive. Elle n’apparait plus dans mes rêves. Peut-être est-ce cyclique et reviendra-t-elle ? Je ne le souhaite pas. Je ne souhaite à personne de rencontrer un mauvais esprit des rivières.
Alex@r60 – août 2020
Photo de Philip McKay
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capitanogiorgio · 4 years
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Allez, une autre mixtape de mes jeunes années parce que ça vous a plu (non) et que vous en redemandez (non). Mais cette fois-ci c’est pas moi à la baguette, c’est un CD gravée que j’avais trouvé dans la bibliothèque et que je voulais tout le temps écouter ensuite.
1- Croque-Vacances
2- Bibifoc
3- La Chanson de Candy | Dorothée
4- Pacman | William Leymergie (oui vous devez tous savoir qu’il a fait ça)
5- Rémi Sans Famille (J’ai été traumatisée très tôt comme vous le voyez)
6- Signé Cats Eyes
7- Astro le Petit Robot
8- Jayce et les Conquérants de la Lumière
9- Musclor et les Maîtres de l’Univers
10- Les Mondes Engloutis
11- Nono le Petit Robot
12- Le Prince de l’Espace (Goldorak) | Jean Pierre Savelli ( le type de Peter et Sloane, fun fact !)
13- Goldorak Go | Bernard Minet
14- Une musique instrumentale inconnue mais c’est un truc vieux genre
15- Le Village dans les Nuages
16- Les Visiteurs de Noel
17- Lady Oscar (MON INSPIRATION)
18- Dare-Dare Motus
19- Les Quat’z’Amis
20- Heckle et Jeckle
21- Jeanne et Serge (LA BASE)
22- DENVER LE DERNIER DINOSAURE (le meilleur) | Peter Lorne (ouais le mec des Tortues Ninjas, quel palmarès)
23- En Route Pour l’Aventure | Richard Gotainer
24- Shanana | Citizen (Intervilles, tmtc)
25- Amour, Gloire et Beauté (quel finish mes amis, quel finish !!)
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blog-bishop · 4 years
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Nouvelles acquisitions (Septembre 2018) Rattrapage
Samedi 08.09.18 Boulinier Henry Miller - La crucifixion en rose T.1 - Sexus
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Michael Collins - Des souvenirs américains Juan Filloy - Op Oloop Brice Matthieussent - Identités françaises Saul Bellow - La Bellarosa connection Leo Perutz - Le cosaque et le rossignol Ann Beatie - Promenades avec les hommes August Strindberg - Destins et visages - Nouvelles
Lundi 10.09.18
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Eric McCormack - L'inspection des caveaux - Nouvelles Eric McCormack - Mysterium Thomas McGuane - Comment plumer un pigeon - Nouvelles
Jeudi 13.09.18 Via internet Léo Malet - Dernières enquêtes de Nestor Burma - Vol.3 (Coll. Bouquins Robert Laffont) Contient : L'Homme au sang bleu ; Nestor Burma et le monstre ; Gros plan du Macchabée ; Hélène en danger ; Les paletots sans manches ; Nestor Burma en direct ; Nestor Burma revient au bercail ; Drôle d'épreuve pour Nestor Burma ; Un croque-mort nommé Nestor ; Nestor Burma dans l'île ; Nestor Burma court la poupée. Henry Miller - Moloch
Samedi 15.09.18 Boulinier C.F. Ramuz - La guerre dans le haut-pays
Lundi 17.09.18 Via internet Isaac Bashevis Singer - Le fantôme - Nouvelles Isaac Bashevis Singer - Ombres sur l'Hudson Isaac Bashevis Singer - Le certificat
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J'ai passé trop de temps sans lire un Singer, me suis-je dit, avant de commander celui-ci. Jusqu'ici je n'avais lu que des nouvelles (La couronne de plumes ; Le Blasphémateur, tous deux excellents) et il est rare qu'un auteur réputé pour ses nouvelles tienne la distance sur un roman. C'est pourtant le cas du Certificat.
En 1922, à Varsovie, les juifs qui le peuvent quittent- la ville où ils commencent à devenir indésirables pour rejoindre la Palestine. Mais il y a une contrainte à ce départ, l'obtention d'un Certificat. Donc une somme d'argent à payer, bien sûr, mais surtout : le certificat n'est délivré qu'à des couples mariés ! Le narrateur, la plupart du temps sans le sou, quasi vagabond, un personnage qu’on dirait sorti d'un roman de Knut Hamsun (que Singer adorait) va donc, entre deux histoires d'amour improbables, devoir trouver l'argent et une fausse épouse. Il la trouvera dans la hautaine et fantasque Minna, mais ça ne sera pas une mince affaire.
Je range Le Certificat dans ces livres auxquels on pense dans la journée et qu'on n'a qu'une hâte c'est de continuer le soir. Ce sont eux souvent qui ensuite ne vous quittent plus. Le héros est très attachant, mélancolique, mal dans sa peau :
« Des jours passaient sans que je mette le pied dehors. Je ne parlais même plus aux gens chez qui je vivais. J'étais la proie d'une timidité maladive, d'un besoin de me cacher aux yeux de tous. (...) Je croyais par moments être devenu sourd et à moitié aveugle. Je laissais tout le temps les choses s'échapper de mes mains. Si je me mettais à écrire, je ne finissais pas certaines lettres et j'oubliais parfois des mots entiers. J'avais le pénible sentiment que je n'étais plus moi-même, sans être pour autant capable de devenir quelqu'un d'autre. »
Dans ce narrateur, on imagine Singer à ses début, rêveur invétéré, qui veut écrire, mais il ne sait pas trop quoi, alors il part sur de la philosophie. Son frère, qui appartient à cercle de poésie, se moque de ses premiers écrits. Pourquoi écrire sur Spinoza, ricane-t-il, écrit plutôt des romans, au moinsça rapporte ! En plus il veut écrire en Yiddish. Langue morte. Un vrai jargon, se moque Minna :
« (...) du mauvais allemand avec des mots yiddish et hébreu. L'hébreu aussi est complètement corrompu et le polonais plus ou moins. Il n'y a plus ni grammaire ni syntaxe. Pour qui écrivez-vous ? Les journaux en jargon ? »
Une autre, Bella, la communiste, se moque de son désir de Palestine :
« Les Anglais ne quitteront jamais ce pays, en tout cas pas sans y être forcés. Ils laisseront quelques juifs s'y installer et dresseront les arabes contre eux. C'est leur éternelle politique, conquérir et diviser. Les arabes ont le droit pour eux. C'est chez eux là-bas, pas chez nous. »
La religion comme souvent chez Singer est présente, mais comme souvent aussi critiquée. Ses personnages sont des croyants torturés, voire agnostiques :
« Mon frère me lança un regard interrogateur. Nous avions échappé, lui et moi, à un monde de mensonges religieux, pour nous retrouver englués dans autant de mensonges profanes. »
On sent dans la construction une urgence qui s'explique par la publication dans un journal, sous forme de feuilletons. Un livre posthume, retrouvé dans les papiers de Singer et dont, bien que publié dans le quotidien Forward en 1967, on ignore la date de composition ! Mais assurément c’est ce que j'ai lu de mieux ces 5 dernières années. La fin aussi est admirable et très mélancolique.
« Sonia me prit par le bras. « Ne sois pas si triste. Tu connais le proverbe : " Il fait toujours plus sombre juste avant l'aube. " »
C'est rapide, drôle et désespéré à la fois, on se demande parfois comment Singer fait pour être aussi profond dans la légèreté. Mon hypothèse c'est qu'il a beaucoup lu les russes et surtout Tchékhov. Idée pas très originale, puisqu'on a souvent comparé ses nouvelles à celles du grand Anton.
« Une nouvelle littérature doit naître, me dis-je., une littérature sans lois préalables, sans règles. Il ne faut plus faire de distinction entre la littérature et la philosophie, il faut présenter les gens tels qu'ils sont, avec leurs actes, leurs pensées, leurs caprices, leurs folies. »
Mardi 18.09.18 Via internet Isaac Bashevis Singer - Ennemies, une histoire d'amour Isaac Bashevis Singer - Spinoza de la rue du marché - Nouvelles Henry Miller - Nexus 2 - Vacances à l'étranger
Samedi 22.09.18 Boulinier Pete Fromm & David Vann - Textes inédits et entretien croisé Bruno Schulz - Les boutiques de cannelle C.-A. Cingria - Bois sec Bois vert Enrique Vila-Matas - Explorateurs de l'abîme Selby - Retour à Brooklyn
Mardi 25.09.18 Via internet Gilbert Joseph - Une reine de l'occupation, la vie incroyable et aventureuse de Laure Dissard Alexandre Dumas, en société avec Claude Schopp - Le Salut de l'Empire - Hector de Sainte-Hermine
Mercredi 26.09.18 Via internet John Brunner - Le long labeur du temps
Jeudi 27.09.18 Boulinier Olivier Maulin - Petit monarque et catacombes Chen Fou - Récits d'une vie fugitive Jaroslav Hasek - Aventures dans l'armée rouge, suivi de Histoires vraies et populaires Anaïs Nin - Journal de l'amour  - Journal inédit et non expurgé des années 1932-1939
Samedi 29.09.18 Boulinier John McGahern - Le Pornographe DOUBLON et déjà lu Henry Miller - Big Sur et les oranges de Jérôme Bosch
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veban · 5 years
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LA PERTE D’UN ÊTRE CHER.
En septembre 2019, j’ai perdu mon frère ainé. Trop jeune pour partir, qui venait de concrétiser son rêve. Un putain de bosseur, putain d’artiste, très/trop gentil. La tête dans les nuages, il n’a jamais rien lâché. Mais son cœur lui n’a pas tenu le rythme…
Je fais cet article non pas par besoin d’en parler, ça j’en parle assez ouvertement, ça met mal à l’aise les gens parfois, je le vois dans leur regard, ce mélange d’empathie et d’impuissance. Non j’en parle parce que ça peux peut-être vous aider si cela vous arrive. Sûrement qu’il y a une tonne d’articles sur internet de ce genre, je ne sais pas, pas envie de vérifier, mais comme d’hab il sera brut de décoffrage.
Ce genre de drame, je ne le souhaite même pas à mon meilleur ennemi. Un coup de couteau est bien moins douloureux ^^.
Nous devions nous rassembler 1 semaine avant son décès, pour fêter son anniversaire, en retard certes mais entre nos boulots et la distance qui nous sépare tous, on fait ce qu’on peut pour trouver un créneau. Mon chéri et moi revenions de 3 semaines de vacances aux USA, notre 1er grand voyage ! Bref à la reprise du travail, je me prépare à partir au petit matin, quand mon chéri se lève alors qu’il avait prit une journée de + pour récupérer du décalage horaire.
Et là il me dit “Mouette tu ne vas pas aller au travail ce matin, assieds toi”, et la voix tremblante et triste et m’annonce la nouvelle. Je bloque, dis “ça m’étonne pas il bossait trop comme un ouf” et me met à pleurer. Il me dit qu’un de mes frère va venir me chercher, pour l’annoncer à nos parents. Et là c’est la panique : l’annoncer aux parents. En fait, on a tellement eu la trouille que nos parents nous claquent dans les mains à cette nouvelle, qu’on a mit de côté notre effondrement. C’est fou la puissance que l’on est capable d’avoir pour protéger un aimé. Dans notre malheur, on a eu la chance que la police ayant découvert mon frère est appelé le numéro le plus récent, qui était mon 3eme frangin (on est 4 : 3 grands frères et moi la petite dernière. 2 d’entre eux sont en Suisse dont celui qui nous a quitté, le 3eme à Pau, moi à Toulouse, mes parents en Aveyron). Mon frère qui est en Suisse est resté là-bas pour gérer la paperasse.. seul.. pendant que nous sur la route cherchions les bons mots pour annoncer. Mon grand frère, qui a fait 20 ans d’armée, a vu des horreurs, a perdu des 10aines de camarades, a craqué complet dans les bras de ma mère. Ma mère est prise de panique et comprends qu’il y a un drame, il lui dit que c’est B. ….. ET LA le pire moment de ta vie est là : les hurlements de ta Maman. Jamais tu m’entends ! jamais tu ne ressentiras un effroi pareil que dans cette situation. Là, ça a été le plus dur. Mon Papa à réagit très différemment heureusement pour nous, il a dit “Il bossait trop..Maman va en prendre un sacré coup.” Même réflexe de protection que nous envers notre Maman.
On appelle le médecin, qui prescrit des calmants, on a dû la shooter toute la semaine. C’est dur mais il fallait ça, en journée et pour dormir la nuit, mon Papa prenait aussi pour la nuit. Quand une mère perd un enfant, les autres enfants et petits enfants n’existent plus… Elle ne pouvait plus marcher. Qu’on ne me dise pas “Oui il faut être conscient de tout pour faire son deuil” va te faire voir elle ne fera rien du tout si elle se jette par la fenêtre !
Nouveau problème, la police qui a découvert mon frère à amené sa chienne en fourrière, il a fallut la retrouver ça n'a pas été evident 😣. Bref la semaine est hard je ne m’occupe que de Maman en surveillant du coin de l'œil Papa, je renvoie les gens qui sonnent à la porte même si ça part d'une gentille attention , mon chéri est partit avec mon frère en Suisse pour déménager l’appartement du défunt. une autre épreuve commence pour moi : téléphoner à tous les proches pour annoncer l’enterrement, et préparer les funérailles. Il a fallu aller aux pompes funèbres, mes parents étaient absents de leur propre corps alors j’ai dû prendre toutes les décision : l’écrit dans le journal, etc…, j’ai choisis le plus beau cercueil celui qui lui ressemblait le +… A ce moment là je peux te dire que tu t’en bas les couilles du prix. Il faut choisir des chansons pour le jour J, les gens de l’église viennent pour organiser la messe (c’était affreux), j’ai dû choisir textes et chants, si ça n’avait tenu qu’à moi on aurai fait ça en mode laïque car beaucoup moins triste.
Le corps est transporté de la Suisse jusqu’au gîte de la maison. Chacun passe un moment seul avec lui, puis tous ensembles. Seul à seul je me suis excusée pour les choses négatives, je lui ai raconté mes projets.
Nous avons fait une ronde bras dessus bras dessous, chose qu’on avait jamais faite, ce qui est très con d’ailleurs, mais c’est classique, c’est quand c’est trop tard où qu’il arrive un drame que l’on se livre.
Le jour de la cérémonie, nous avons installé des tableaux qu’il avait fait, tableaux très colorés. J’ai rédigé un texte qu’une dame a lu. Nous avons amené sa chienne à l’église, la belle Gaïa, qui s’est mise à pleurer à la fin, ce qui nous a fait pleurer de plus belle, elle à bien compris où était son maître…
Au cimetière c’est ton pire cauchemar qui prend vie. Chacun va faire un dernier au revoir. Je lui ai balancé un “Je t’Aime” chose que je n’ai jamais dite à aucun membre de ma famille, on est un peu spartiates… Au tour de Gaïa qui est monté sur le béton et qui a bien compris encore une fois où il était.
Nous rentrons à la maison et buvons un verre avec tous nos proches, mon oncle et ma tante se sont rendus compte que dans la vie, nous sommes bien peu de chose et qu’il fallait mettre de côté les étincelles. Mon cousin à même prit un billet express du Canada pour être là. Ma Maman marche sans tituber, parle avec les autres, comme si un poids avait disparu.
Le médecin nous fait à chacun un arrêt de travail d’une semaine pour que l’on puisse faire notre deuil. Je n’avais jamais vu mes grands frères, modèles de solidité pleurer. Un de mes frère ressasser le fait qu’il ne s’était jamais excusé de lui avoir cassé ses maquettes quand ils étaient petits… Tout ressort, tout remonte. Chaque jours nous avons pleuré.
Après ces 2 semaines, chacun repart chez soi, travail oblige. Je me dit que le traintrain quotidien va aider à aller mieux. Erreur, lundi je n’arrive pas à mon concentrer, je fais une bêtise sur un connecteur, dans mon boulot on a pas le droit d’être déconcentré. Je n’y arrive pas et dit au chef que je ne suis pas prête, il me dit qu’il n’y a pas de soucis, que je dois prendre le temps qu’il me faut. Toute la Salle Blanche Spatiale a été très touchée de ce qu’il est arrivé et ça m’a fait plaisir. Je reprends 1 semaine d’arrêt, mes frangins ne l’ont pas fait mais l’ont regretté ont-ils dit.
Je voudrais remercier tous les gens qui ont été super avec nous. Mon chéri qui a trouvé les bons mots, a été d’un soutien infaillible envers ma famille et moi, une aide implacable et précieuse tu es le meilleur.
6 mois plus tard, ça va mieux. Il y a toujours des hauts et des bas, genre quand tu fais un cauchemars, je peux te dire que t’es pas bien pour la journée et que ça te vide complètement de ton énergie. Tu as toujours autant la trouille de perdre un autre membre de ta famille. Cela n’a pas été facile de se séparer ou de répartir ses affaires, tu es partagé entre “JE NE VEUX PAS QU’ON TOUCHE A SES AFFAIRES !” et le raisonnable “C’est pesant de voir tout ça il faut aller de l’avant !”. Il y a des choses tabous dont il faut parler : l’argent, comme il était en Suisse, les assurances en cas de décès pour un français c’est bien compliqué, nous avons dû tout payer de notre poche (mes 2 frères et moi, nous ne voulions pas faire payer nos parents). Le cercueil, le caveau, le transfert d’un pays à un autre, et tout le reste, nous en avons eu pour 10 000€. Et par chance, mes parents venaient de réserver un emplacement au cimetière juste à côté de leur meilleur ami, il faudra rajouter au printemps la marbrerie (environ 4000€). Toutes mes économies y passent.
Bref je ne pleure presque plus, j’ai fais un tatouage sur tout l’avant-bras en son hommage. Qui que vous soyez vous avez mon soutien dans ce cauchemar.
Mon meilleur souvenir avec lui :
J’étais ado, il habitait dans le centre de Toulouse, je passais mes vacances chez lui, un soir il décide de nous faire à manger des croque-monsieur, je regarde ce qu’il a à la tv ou dans ses dvd je ne sais plus, et je vois Edward aux mains d’argent. - C’est quoi ? - Quoi tu connais pas Edward aux mains d’argent ? roh tu vas voir c’est trop bien ! Il me donne l’assiette et je découvre Edward aux mains d’argent en mangeant le meilleur croque de ma vie.
De mes 3 frères, c’était le seul qui n’était pas “dur” avec moi, c’était celui qui ne me jugeait pas, et il était en même temps mon inverse car dans un monde méga coloré : ses fringues, ses cheveux, sa déco, ses compositions florales ce qui faisait de lui quelqu’un d’incompris mais bien unique.
Aujourd’hui nous restons soudés, on s’écrit presque chaque jour sur whatsapp. Je suis abonné à une box fleurs qui livre chaque mois un joli bouquet, il faut bien ça pour lui !
Bises à tous !
{navrée pour les éventuelles fautes, c’est pas le genre de texte que tu relis tout de suite}.
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bouquinovore · 2 years
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Bomber X
Le générique de Bomber X en français est interprété par Lionel Leroy. Produit et réalisé par Haim Saban et Shuki Levy. Brian May, guitariste du groupe Queen fait une reprise du générique anglais eten 83 sort un album solo Star Fleet Project. #GeneriqueTV
Titre: WinspectorInterpréte : Lionel Leroy ( Le groupe APOLLO)Auteur / Compositeur : Haim Saban , Shuki LevyÉmission : VitamineRéférence : 815 139-7Type de support : Disque vinyleVitesse : 45 toursTaille : 7’’Label : Saban Records / TF1 Année : 1983 Face 1 : Générique Bomber X, Interprète: Lionel LeroyFace 2 : Générique Bomber X (Version instrumentale) En bref : Le générique de Bomber X en…
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pas-tapin · 6 years
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26 février 2019 -
U. et moi sortons souvent ces jours-ci. C'est simple avec lui; quand on parle, souvent ça avance. Et dans la ville de Paris, il y a une odeur générale qui rappelle celle des grandes vacances. Pourtant... la date indiquée reste "fin février". Selon Trump, la réchauffement climatique peut être écarté des suppositions. Mais seulement selon Trump, alors.......
en un mois, j'ai vu ma vie faire un bon:
1. La "descolarisation" me pèse de moins en moins sur le crâne et le corps, j'apprends à me balader seule et je le vis de mieux en mieux.
2. J'ai signé un petit contrat d'auxiliaire parentale; je commencerai début mars. Et ça me fera un peu d'xp + un peu d'argent.
3. Je mange comme un humain presque normal. Je culpabilise encore. Mais je me nourris. Et parfois même, je croque dans des gâteaux industriels, juste pour croquer dedans (surtout avec A.)
4. D'ailleurs, avec A., on a réussi à me débloquer sur un certain point, sans même avoir à consulter un médecin et ça reste le plus beau cadeau de février.
5. Je suis à nouveau inscrite sur Parcoursup. Mauvaise ou bonne nouvelle, tout dépend du point de vue; mais j'aime me dire que c'est pour trouver une voie sympa. Revivre la sociabilisation de ce septembre passé sans avoir à parler de SOCIOLOGIE à chaque fois que je pose mes fesses sur une chaise et apprendre pleins de nouvelles choses sur la vie (coolos la socio, mais pas jusqu'à en vomir oups)
6. Je marche beaucoup. Beaucoup, énormément. J'ai l'impression de marcher comme les avions roulent avant de décoller
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Mon père fumait dans la voiture ma mère aussi d'ailleurs, j'ai vécu 2 guerres des pandémies etc. ... et j'ai 102 ans
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...Je suis la génération X. Quiconque est né entre 1955 et 1990 en fait partie. Nous sommes la dernière génération à avoir joué dehors jusqu'à la tombée de la nuit. Nous avons été les PREMIERS à jouer à des jeux vidéo et les DERNIERS à enregistrer des chansons de la radio sur une cassette. Nous avons connu la légalisation et l'essor des radios libres (NRJ Fun radio, Radio FreeDom...) et l'époque musicale la plus riche. Nous avons adoré la marelle, le jeu de l'élastique, le patin à roulettes (à 4 roues, parfois même des roues en métal), même le vendredi et le samedi soir. Nous avons survécu aux années 80 en faisant du vélo sans casque, avec de longs cheveux, la coupe mulet, la permanente, les pantalons pattes d'eph, les sous-pulls en nylon... et à l'ère du tout extravagant et coloré. Nous allions à l'école à pied entre amis, passions beaucoup de notre temps dehors, terrains vagues, cabanes, ballon, billes .... sans crainte d'être importunés. Nous avons regardé des dessins animés le samedi matin en trempant dans un bol de lait des tartines beurrés à la confiture de fraise ou de figue, assisté à "La dernière séance" avec notre cornet de frites dans du papier journal le mardi soir, le Disney Channel le samedi soir, Récré A2, Temps X, Croque Vacances, le Club Dorothée et le Top 50. Nous avons programmé le magnétoscope avant tout le monde et avons connu l'invention du Laser disc Vidéo et du CD... 💿
Nous nous souvenons d’avoir appris à utiliser un ordinateur pour la première fois et nous avons joué en premier aux consoles Atari, Nintendo, Sega. Nous sommes la génération des Routes du paradis, L'île fantastique, Shérif fais-moi peur, Scooby-Doo, Mac Gyver, Drôles de Dames, Shogun, La croisière s'amuse, Benny Hill, Manimal, Magnum, V, La petite maison dans la Prairie, Happy Days, Ulysse 31, L'inspecteur Gadget, Capitaine Flam, Albator, Les Mystérieuses Cités d'or, Candy, Cobra, Tom Sawyer, Arnold et Willy, Cosmocats... (sans oublier : OLive & Tom, Dragon Ball, les chevaliers du zodiaque). Nous avons voyagé dans des voitures sans ceintures de sécurité ou airbags, avons roulé sans ceintures à l’arrière de camionnettes et avons vécu sans téléphones portables. Nous n'avions pas d'écran plat, de son suround, d' I-Pads, de Facebook et Twitter... mais nous avons passé des moments inoubliables les uns avec les autres !!! ☺ Et surtout, nous avons passé du temps ensemble sans téléphone entre nos mains et nous avions beaucoup de choses à nous raconter et à vivre
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