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#Cyrille le Beau
mmothmanners · 1 year
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A sleazy warlock and his equally sleazy, fiendish patron.
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lesgenouxdanslegif · 7 months
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IL Y AURA QUOI DANS POINT DE COTE 5 ?
C’est la question à 1 million.
• Une préface signée Anne-Lise Rousset Séguret. Assez logique avec la salade de cailloux en couverture.
• ENVERS ET COINTRE TOUT : un grand papier pour un petit gars avec un cœur gros comme ça. Cyril Cointre a vécu des millions de trucs et nous raconte tout.
• LA LIBERTÉ AU BOUT DES PIEDS : certains détenus ont eu le droit de courir le Grand Raid de La Réunion. Enquête sur un programme qui redonne goût à la vie.
• GESTE TECHNIQUE : les 10 commandements pour réaliser une belle entorse de la cheville.
• METS LA COCO ET ON DÉMARRE : Corinne Favre n’a pas sa langue dans sa poche et tant mieux, c’est terriblement rafraîchissant.
• CLASHER DANS LA SOUPE : l’article coup de poing, celui qui fait bobo à son ego.
• OBSESSIONS : nos 21 obsessions de l’année, nos 21 raisons de vivre.
• DE QUELLE COULEUR EST LA COMPRESSION BLANCHE DE KILIAN ? : plongée terrifiante dans ce qui a certainement été le pire de notre sport : la compression blanche.
• MADAME PROPRE : Odile Baudrier, lanceuse d’alerte au sujet du dopage. Une femme courageuse pour un sujet passionnant.
• PLUS QUE LA DESCENTE ! : les bénévoles, on vous aime énormément. Et parfois un peu moins. Portraits robots de personnes qu’on voit le dimanche matin.
• SANCHEZ, TOUJOURS DEBOUT : on se lève et on applaudit bien fort Aurélien Sanchez, premier Français à terminer la Barkley. Spoiler : il nous a fait rêver.
• ANTON KRUPICKA N’EXISTE PAS : on ne peut pas en dire plus.
• L’OLMO SAPIENS : Marco Olmo existe lui bel et bien. On a enquêté sur ce personnage légendaire.
• JOUER SUR LES DEUX TABLEAUX : des tableaux célèbres et nos cerveaux malades. Inutile d’en dire plus.
• Y’A RIEN QUI VA : des coureurs dans la galère = le truc le plus beau du sport le plus stylé de l’univers.
Dispo en pré-commande jusqu’au 15 octobre.
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philippebresson · 7 months
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Angot, Breillat, et moi, et moi...
Christine Angot a le mérite de savoir d'où elle parle, et c'est ce qui fait pour moi sa qualité.
Je ne sais pas ce que Catherine Breillat dit sur son film "L'été dernier", et à la limite je m'en fiche. C'est son film qui m'a parlé. Ému. Touché. Dérangé. Bouleversé.
Je suis sans doute l'un des "esthètes" que pointe du doigt C. Angot dans sa "critique" du fim. Oui, sans aucun doute. Et je l'assume.
C. Angot m'intéresse et me touche, mais peut-être parfois mélange-t-elle différentes choses, différents "plans", différents sujets ; le film de C. Breillat n'est pas un film à thèse sur l'inceste, loin de là, pas plus que "Théorème" de Pasolini n'en est un, même si toute la famille - italienne et bourgeoise - finit par coucher avec le même homme (climat incestuel plutôt qu'inceste dans le théorème de P.).
Le film de Breillat ne nous dit pas que c'est bien ou beau de coucher avec son jeune beau-fils. Il montre les choses telles qu'elles sont dans cette histoire-là, dans cette famille-là, la vérité complexe de ces personnages-là, de cette fiction-là. Sans jugement sur l'un ou l'autre des personnages, sans encouragement à les imiter non plus, sous prétexte que l'image serait belle, que la lumière serait belle, car en effet elle irradie !
"Familia Grande" (cité par Angot) parlait de "l'affaire Kouchner" ; il s'agit d'un récit autobiographique avec des personnes impliquées (qui ne sont pas des personnages de fiction), des plaignants, un ou des accusés, des complices.
Je ne crois pas que le scénario de C. Breillat et Pascal Bonitzer ("L'été dernier" est un remake du film danois "Dronningen" réalisé par May el-Toukhy en 2019 et jamais sorti en France), repose sur le témoignage intime d'un homme incesté durant son adolescence. Nous ne sommes pas non plus dans la transposition d'un fait divers à l'écran. Pas plus, dans un autre registre, que pour Médée, Œdipe, Antigone (Antigone n'est pas incestueuse, mais elle est le fruit d'un inceste), ou Phèdre (qui avoue à sa nourrice son amour coupable pour Hippolyte, son beau-fils, fils de Thésée).
D'une certaine manière, le plaidoyer de C. Angot me rappelle la fameuse polémique autour du film de Cyril Collard "Les nuits fauves" ; à l'époque certains lui reprochaient de montrer un personnage qui, se sachant séropo, couchait avec une jeune fille qu'il aimait, sans préservatif et sans qu'elle soit informée de sa séropositivité. Mais depuis quand un film de fiction devrait-il assumer le rôle d'une campagne de prévention ou de sensibilisation ?
Quand Almodovar réalise avec "Parle avec elle" l'un de ses longs-métrages les plus aboutis - Eros et Thanatos dans une chambre d'hôpital, le tout filmé par un cinéaste qui touche avec ce film à la perfection absolue -, je ne me demande pas si cet homme a raison d'avoir une relation sexuelle avec une femme qui est dans le coma. Ça me dérange certes, mais je ne suis ni cet homme, ni cette femme, ni l'un des membres du personnel hospitalier. C'est la vérité de cette histoire et de ces personnages qui m'intéresse.
Connaissant (comme nous tous) son histoire personnelle, je peux comprendre le malaise de C. Angot face au film de C. Breillat ; et son point de vue, sa prise de position, m'intéressent. Elle pique l'esthète en moi à un endroit où, volontiers funambule sur le fil qui relie fond et forme, je pourrais parfois me sentir en déséquilibre. Mais encore une fois, je n'attends pas d'une oeuvre artistique qu'elle s'autocensure dans son propos, dans son processus de création, et quel que soit le sujet dont elle se fait, in fine, l'objet (filmique ici).
Est-ce que la relation du personnage de Léa Drucker avec son jeune beau-fils de dix-sept ans dans "L'été dernier" de Catherine Breillat banalise le climat incestuel, la relation incestueuse ? Je ne le crois pas. Elle nous montre au contraire que le crime (presque) parfait se passe sous nos yeux, dans la chambre d'à côté, et que la vie est ainsi faite qu'elle mérite, en dehors des salles de cinéma j'entends, que nous lui accordions la plus grande vigilance.
Philippe Bresson
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hairstyleideas1 · 2 years
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Des idées de coupes courtes pour cheveux fins
#hairstyles C’est le printemps, les femmes ont envie de renouveau ! Si vous avez les cheveux fins, c’est le moment d’adopter une coupe de cheveux courte. En effet, avoir trop de longueur offre une vision un peu effilée de votre chevelure alors que vous recherchez un effet volume ! A bannir absolument : la coupe effilée justement ou le dégradé. Ne cherchez pas plus loin : l'influenceuse Noholita, l’actrice Marion Cotillard ou la chanteuse Katy Perry… toutes ces femmes qui sont autant de modèle à suivre sont toutes passées à la coupe courte pour donner du volume et du style à leurs cheveux fins. Et côté coiffure, elles sont bien renseignées ! Jetez un oeil à leurs photos sur Pinterest. Voici quelques conseils du coiffeur et ambassadeur Schwarzkopf Professionnel pour rester au plus près des tendances. C’est quoi les cheveux fins ?Même si en général une femme le sait bien, les cheveux sont fins lorsqu’ils manquent de volume, que la chevelure paraît plate, peu fournie. Bien souvent les cheveux fins deviennent facilement électriques même au simple passage de la brosse à cheveux, d’où l’importance de bien choisir celle-ci. Les cheveux fins sont aussi mous, fragiles et s'emmêlent tout le temps. Mais les cheveux fins n’ont pas que des défauts ! Contrairement aux cheveux épais, ils sont faciles à coiffer et à repositionner et on passe moins de temps à les entretenir ; ils sèchent super vite, ondulent facilement, bref on peut aussi compter sur eux pour une coiffure stylée. Quelles coupes courtes pour les cheveux fins des femmes ?Pour Cyril Bazin, coiffeur et ambassadeur Schwarzkopf professional, “pour une femme, les deux ennemis de ses cheveux fins sont trop de longueur et le dégradé, sinon on peut se permettre tous types de coupes et oser une transformation qui s'avérera encore plus spectaculaire que sur des cheveux épais”. Voici ses conseils en matière de coupe précisément :la coupe droite appelée aussi blund cut dans sa version plutôt courte pour les cheveux fins, la bund cut bob : cette coupe de cheveux est particulièrement égalisée. C’est la signature capillaire d’Anna Wintour, c’est dire à quel point cette coupe de cheveux fait partie des tendances. Cette coupe hyper structurée - et pourquoi pas un peu de plongeant - apporte un effet volume immédiat. la coupe pixie de Kristen Stewart, de Sharon Stone ou de Michelle Williams période Dawson : cette coupe garçonne avec un peu plus de longueur sur le dessus de la tête et la nuque dégagée apporte du flou et beaucoup de mouvement pour un effet matière instantané. Elle met particulièrement en valeur le visage aussi.une mèche : “oui” nous confirme le coiffeur Cyril Bazin car “en couvrant le front on apporte de la matière tout en souplesse”. la frange : Cyril Bazin recommande “une vraie frange massive sur le haut du visage, pas dégradée ni effilée”. Évidemment on évite la frange si votre visage est rond ou si vous avez le front étroit même si on a les cheveux fins. Alors séduite? quelle coupe courte allez vous adopter pour vos cheveux fins? la garçonne style pixie ? le carré un peu plongeant? une frange ou une mèche pour apporter du peps à votre visage?Après la coupe, couleur ou pas couleur ?On joue la coloration à fond ! En effet, les produits de coloration ont tendance à gainer la chevelure ce qui est particulièrement appréciable sur les cheveux fins des femmes. Le coiffeur Cyril Bazin recommande particulièrement les duos de coloration (balayage, ombré, quelques mèches d’un beau blond, etc…) car les racines foncées sur longueurs claires vont apporter de la profondeur et un effet masse visuellement. En revanche, il déconseille les patines effet polaire qui accentuent le côté fin. Amusez-vous ! adoptez des nuances froides ou des tons cuivrés en automne et en hiver et passez au blond au printemps et en été !Coiffures et mise en beautéQuelques conseils et astuces coiffures pour amplifier encore le volume des cheveux fins à la maison. Mise en beauté assurée :adopter une coiffure tendance : réaliser quelques boucles pour un effet wavy très stylé qui apporte encore de la densité ; l’été, effet retour de plage garanti avec du blond ça et là.adopter des produits de styling ciblés : de nombreuses références existent sur le marché et le coiffeur Cyril Bazin recommande les poudres texturisantes sèches : ces must have du moment sont idéales car légères et permettent de gainer avec un effet naturel, sans coller. Ces références permettent une mise en forme légère et recoiffable comme par exemple la nouveauté de Schwarzkopf, Osis+ Soft Dust.investir dans une bonne brosse à cheveux : les cheveux fins ont tendance à s'emmêler et on est donc sans arrêt en train de les coiffer. Il faut absolument adopter un modèle aux poils souples type soie, sanglier... Ces poils naturels vont littéralement neutraliser l’électricité statique sans casser les cheveux fins et fragiles. Vous pouvez jeter votre brosse aux picots rigides qui sont impérativement à proscrire. La bonne idée à partager !A lire aussi sur aufeminin : Coupe pixie : une coupe courte qui va à toutesComment donner du style aux cheveux finsDécouvrez toutes les tendances coiffure de 2020
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lauragerlain77 · 8 days
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Le château de la baise
Le château de la baise
(100% histoire vraie)
Mon dieu (et encore lui!) 
Comme c'est difficile pour moi de revenir sur le plus beau weekend de toute ma vie. Mais il le faut. Pour le bien être de l'humanité. Non. Juste pour le mien. Et c'est déjà bien...
Il y a 11 ans, je tombais éperdument amoureuse d'un gars rencontré sur le site de folledingues -je vous le donne en mille- Doctissimo...J'avais alors posté une annonce pour trouver un partenaire sportif, et le pseudo NouveauDépart m'avait alors répondu.
Passons les détails de notre rencontre qui sera pour une prochaine fois, Cyrille m'avait organisé un weekend surprise au Château de Montvillargene à Chantilly.
Je ne savais pas où nous allions et lorsque j'ai découvert l'endroit, je fus émerveillée.
Cyrille était et restera le grand amour de ma vie. Et moi le sien.
Tout avec lui était incroyable. Manger était devenu une expérience sensorielle intense, faire du vélo dans tout Paris notre passe-temps favori (et même si le lendemain je ne pouvais plus bouger!), voir des films nous rapprochait encore plus, faire l'amour avait un véritable sens et plus rien n'avait d'importance sauf être près de lui.
Je vivais littéralement pour lui. J'en délaissais même mes enfants. Il n'y avait que lui qui comptait, et mon envie de lui.
Nous étions vendredi soir, en février 2013. Le château était magnifique. Illuminé de toutes parts. J'avais rarement vu un endroit aussi féérique.
Et c'était l'endroit qu'il avait choisi pour abriter notre amour le temps d'un weekend durant lequel nous n'allions pas beaucoup quitter la chambre...
Me replonger dans ces jours merveilleux me demande un effort presque surhumain, tant j'ai essayé ces dernières années de ne plus y penser du tout et pourtant...ces souvenirs resteront les plus beaux de notre vie à tous les deux (nous sommes d'accord sur ce point).
Alors non, ce ne sont pas mes accouchements ou mon mariage les plus beaux jours de ma vie. Le mariage vient juste derrière. Mais ce weekend surpasse tout. 
Je n'avais jamais été aussi heureuse de ma vie. Jamais je ne me suis sentie aussi aimée, désirée. Tout était parfait. Et fou. Dans la démesure. C'était à l'image de notre amour.
Encore maintenant, je ne sais pas comment laisser partir cet homme. Il ne quitte jamais ma mémoire ni mon coeur. 
Hier, je me suis refait l'intégralité de nos mails. Bien que j'en ai effacé les trois quarts. Et me replonger dans tous ces souvenirs ne m'aide pas non plus.
J'ai bon espoir que lorsqu'ils seront sortis ici, je pourrai les laisser s'envoler et me sentir plus légère. Je ne sais pas à qui je mens en disant ça.
Nous étions donc vendredi soir, dans cet endroit féérique, magique, incroyable.
Je me souviens de cet escalier immense qui menait aux chambres. Il avait l'air d'être en or.
Jamais je n'en ai pris autant plein les yeux (et plein le cul- que je suis vulgaire!) qu'en entrant dans ce château enchanteur. 
Notre chambre était incroyable, on aurait dit un grand appartement de type Louis XIV. 
Le lit, qui allait en voir de toutes les couleurs, était immense. Le plus grand lit que nous n'ayons jamais vu. 
Il y a des moments dans la vie que l'on sait à l'avance très forts. Qu'ils nous marqueront à jamais. 
Des moments qui ne reviendront jamais. C'était cela que nous allions vivre.
Nous étions en plein rêve, persuadés de s'aimer plus fort que les autres (c'était sans doute vrai) avec l'espoir que nous passerions au dessus de toutes les difficultés de la vie.
Rien que le fait que j'ai pu laisser mes enfants trois jours sans remords (à l'époque c'était très rare, ils étaient très petits et j'avais l'impression qu'ils avaient besoin de moi pour tout, même pour respirer) était une victoire.
Nous sommes arrivés dans notre chambre et à la seconde où nos valises furent posées sur le sol, nous savions déjà ce que nous allions faire.
Il était assis sur le bord du lit, je vins à sa rencontre, m'asseyant sur lui. Nous commencions à nous embrasser, à nous dire des je t'aime, et des je suis trop heureux/heureuse.
Il me coupa dans mon élan de paroles et me dit "excuse moi, mais là il faut vraiment que je te prenne tout de suite!".
J'adorais quand il avait ce genre de pulsions. Ca lui arrivait quand même assez régulièrement. Parfois juste un regard entre nous et nous nous sautions dessus.
Je me levai alors et me déshabillai à la vitesse de l'éclair. Il fît de même. Nous étions nus et nous avions tout ce temps et tout cet espace pour laisser libre court à notre imagination et à notre amour.
Nous avions cet immense lit à notre disposition et pourtant nous avons terminé sur le sol.
Je m'allongeai tout doucement en le regardant, et une fois sur le dos, j'écartai les jambes en lui demandant de venir. Il s'arrêta un instant, embrassant l'intérieur de mes cuisses, puis remonta sur mon ventre et mes seins.
Puis, n'y tenant plus, il me pénétra presque aussitôt. Je me mis à gémir de plus en plus fort.
Mes jambes enroulées autour de ses fesses l'appuyait toujours plus au fond de moi. 
J'avais chaud. Je me sentais aimée. Je le voyais aimer ce qu'il faisait. Il me regardait avec des yeux remplis d'amour et de désir. Un désir brûlant. 
Il me retourna et me mit à quatre pattes. Je lui criai alors comme souvent "encule-moi!"
J'aimais me sentir entièrement à lui, qu'il me prenne de n'importe quelle façon.
J'ai toujours aimé la sodomie mais je ne viens à en parler qu'au bout du douzième article!
Tiens donc, mais pourquoi?
J'avais quelquefois pratiqué avec des hommes de passage, mais Cyrille fût vraiment le premier à me faire adorer ça. Si bien que nous le faisions à chaque rapport. 
Il est à noter qu'ultérieurement j'ai compris l'importance de ne pas interchanger sans arrêt le sexe anal et vaginal (merci les infections urinaires- oui oh! je vous dis tout hein, nous ne sommes plus à ça près) mais pourtant ce fût le seul homme avec qui je pus le faire sans qu'il ne m'arrive jamais rien ensuite.
Comme si nous étions sous protection divine. J'exagère juste un peu.
Il me prenait indifféremment devant ou derrière, et j'aimais ça à un point!
Les meilleurs orgasmes étaient ceux où il se trouvait dans mon cul. Rien que d'en parler...
Il entrait en moi comme dans du beurre, tellement j'étais toujours bien mouillée. 
Et il en était de même pour la sodomie. Il aimait me faire crier. C'était son truc.
Plus je criais, et plus ça l'excitait. Ce weekend-là, je n'eus jamais crié autant de ma vie.
Il m'encula en me tenant par les bras. Il bandait tellement fort que ça me faisait mal.
Mais j'aimais avoir mal. Il le savait. Je ne sais pas qui était dans les chambres à proximité, mais elles étaient si grandes que je me dis l'espace d'une seconde que personne n'entendrait rien.
Aussi, je me lâchais complètement et n'eus pas besoin de contrôler l'intensité des mes cris.
Il criait tout aussi fort que moi. Il me traitait de pute, de salope (j'adore ça) en m'enculant toujours plus profondément, me tenant fermement par les bras.
Il se mit à jouir au bout de quelques instants. Nous nous étalions alors sur les tapis de cette immense chambre, repus.
Au bout de quelques minutes, nous nous sommes mis au lit difficilement.
Nos corps qui se frottaient nus l'un contre l'autre recommencèrent à s'exciter rapidement...
Nous avons passé cette nuit-là, ainsi que presque chaque seconde de ce weekend à faire l'amour.
Nous avons mangé deux fois en trois jours! et encore la seconde fois, nous avons écourté le dîner dans un restaurant indien car, assis l'un en face de l'autre, nous n'arrivions à rien manger. Nous nous dévorions du regard. Au bout de trente minutes, je lui dis les yeux remplis de désir "on s'en va?"
Il me répondit immédiatement sans réfléchir, dans un soupir de soulagement "on s'en va!"
Nous avons tout de même testé la piscine et le hammam. Mais c'était strictement la même chose: l'envie était trop forte pour y résister.
Il me prit debout dans les douches communes. Heureusement, il n'y avait pas grand monde.
Nous n'arrêtions pas. Rien d'autre ne comptait à part ce besoin de se sentir l'un dans l'autre tout le temps.
Nous n'avons rien fait d'autre à part baiser durant ce weekend.
A part découvrir un groupe de musiciens incroyable que nous sommes allés voir un peu plus tard en concert, John Butler Trio. Je me souviens, j'étais en train de me lisser les cheveux et il cherchait de la musique à écouter.
Nous sommes tombés en admiration devant ces chansons, et les avons écoutées jusqu'à la fin du weekend, en baisant dessus, bien entendu.
D'ailleurs, quand nous nous sommes revus chez lui il y a cinq mois, il avait mis un de leur cd. Petit clin d'oeil à ce weekend incroyable.
Dans la voiture, sur le retour, nous n'avions aucune envie de nous quitter.
Je me souviens encore du désespoir que cela a engendré par la suite.
Nous étions accro l'un à l'autre, impossible de se séparer sans en souffrir.
Il y a encore tellement d'histoires incroyables avec lui. Comme la première fois que nous avons fait l'amour dans le parc de Bercy, la fois où il a sauvé la soirée et mes chaussures avec du scotch (grand moment!), nos dîners chez Loulou à Saint-Michel, bref tant de souvenirs que j'évoquerai sans doute une prochaine fois.
Je n'ai jamais été si sincère avec un homme de toute ma vie. Je ne voyais rien en dehors de lui. Et c'est sans doute ça qui nous a perdu...
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lonesomemao · 17 days
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EMOTION DECATHLON
C'est pour Al-Jazeera
La chaîne info libérale
Du monde Arabe
Du golfe persique
Cette image
Un barbu
BCBG à l'occidental
Il ressemble à Cyril Hanouna
En extase devant Marianne
En blonde des Plaisirs de Paris
Beau dos torse nu
Le Paris Seins Germains
Dénazification
Jeudi 11 avril 2024
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christophe76460 · 4 months
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06-176 Adrien et le père Noël (2° Partie et fin)
https://soundcloud.com/jlgaillard/adrien-et-le-pere-noel-2-partie-et-fin
Adrien et le père Noël (2° Partie et fin)
Le 25 décembre, Adrien entra triomphalement dans la chambre de ses parents. « Le père Noël existe et il m’a répondu. ». Il brandit les 750 euros et raconta son histoire, les lettres et les réponses. « Maintenant, on peut célébrer Noël. Ne serait-ce que pour remercier le père Noël. ».
Il avait déjà oublié qu’il avait demandé les 500 euros pour ses sœurs. Les parents ne dirent rien, mais ils étaient consternés. Ils avaient essayé de détourner leur enfant de l’attrait du monde, mais l’appel du monde était plus fort que tout. Le père dit simplement : « Donne-moi cet argent ». Adrien jubilait à l’intérieur. « Je suis sûr qu’il va acheter une dinde et des cadeaux, tant pis si on célèbre Noël demain, le 26 ».
La journée se passa normalement. On ne parla de rien. À table, le père rendit grâce comme d’habitude. Le lendemain, Adrien était encore en vacances. Son papa rentra plus tôt. Il dit à Adrien: « Viens Adrien, on va sortir ». Adrien ne pouvait plus attendre. « On va faire les courses, c’est sûr ». Il prit la main de son père et ils partirent.
Adrien était très surpris que son père n’aille pas vers les magasins, mais vers le bureau de poste. « Tiens, je ne savais pas qu’il y avait un magasin dans ce coin ». Le père entra dans le bureau de poste, et il se contenta de montrer un bureau sur la porte duquel il était écrit : « Bureau du père Noël ».
Il frappa à la porte. On cria : « Entrez » et là, Adrien vit une centaine d’employés qui répondaient à des centaines de lettres. Il fut très choqué. Le père s’approcha de l’un d’entre eux. Il avait à la main la soi-disant réponse du père Noël, et les 750 euros. Il dit :
« Mesdames, Messieurs, je crois que cet argent vous appartient. Je suis venu vous le rapporter parce que je ne veux pas que mon fils croie à ces mensonges ».
Adrien et son père sortirent du bureau de poste. Ils marchèrent en silence. Après des minutes qui semblèrent interminables, le papa prit la parole :
« Tu vois Adrien, plutôt que de monter toute cette mise en scène, tu aurais dû nous parler. Nous aurions pu prier ensemble. Tu vois, le but de Jésus, ce n’est pas de te frustrer, et de t’empêcher d’être heureux, bien au contraire. Mais pas de cette façon.
Ce que le monde t’offre est un leurre, non seulement le père Noël est un mensonge, mais tous ces biens matériels n’ont jamais rendu quelqu’un heureux. Si tu creusais un peu sous la surface, tu verrais que beaucoup de tes amis qui se vantent ainsi, ne sont pas si heureux que cela ».
Adrien ne savait que répondre. Il savait que son père avait raison, mais il était en colère. En colère contre Jésus. Au bout de quelques minutes, son père s’assit sur un banc, il prit Adrien dans ses bras, et il pria : « Seigneur, montre à Adrien que toutes ces choses n’ont aucune réalité, et révèle-lui ce qui se passe réellement dans le cœur de ses amis ».
Adrien avait envie de pleurer.
À la rentrée, le premier jour de l’école, Cyrille, un de ses amis qui s’était le plus moqué de lui, s’approcha d’Adrien et lui dit : « Tu sais, les fêtes ont été un cauchemar. Mes parents se sont disputés tout le temps, je crois qu’ils vont se séparer. Pendant le repas de Noël, mon père a beaucoup bu, et il a été odieux avec nous tous. Je vais te dire un secret, je déteste Noël, je l’ai toujours détesté. Je n’aime pas les cadeaux que je reçois ; en effet, qu’est-ce que j’en ai à faire qu’un vieux bonhomme que je ne connais pas me fasse des cadeaux.
D’ailleurs, je ne crois pas au père Noël. Je préfèrerais mille fois que mes parents m’avouent que ce sont eux qui font les cadeaux. Mais ce que j’aimerais par-dessus tout, c’est qu’ils cessent de se disputer, et qu’ils me disent qu’ils m’aiment. C’est toi qui a raison. J’aime l’atmosphère de ta maison. Tes parents ont l’air de s’aimer, et c’est le plus beau trésor. Chez toi, il y a la paix. Ta maman est vive et généreuse, et ton papa est tranquille et tellement présent, on sent tellement l’amour chez toi. Ça, ça vaut tous les trésors de la terre ».
Adrien était interloqué. Il n’avait pas réalisé qu’il possédait un trésor inestimable, que Cyrille et d’autres lui enviaient.
En rentrant à la maison, il pleura longuement dans les bras de son papa et de sa maman. « Pardon » disait-il entre deux sanglots, « vous êtes ce que j’ai de meilleur au monde, pardonnez-moi de vous avoir trompés. Pardonnez-moi de vous avoir fait souffrir ».
La morale de l’histoire c’est :
« Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d'en haut, du Père des lumières, chez lequel il n'y a ni changement ni ombre de variation », Jacques 1:17
Et la famille est une grâce excellente et un don parfait, et l’on n’a besoin de rien d’autre si ce n’est de Jésus qui veut nous combler pleinement. Et qui lui-même, en retour, nous distribue généreusement, ses “grâces excellentes”.
#tranquille #paix #deteste #école #cadeau #préférer #généreux #présent #amour #trésor #terre #liquide #combler #pardonner #tromper #souffrir #pleinement #retour #distribuer #grâce #excellent #maison #bras #matériel #chose #repas #secret #réalité #mensonge #365histoires
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latribune · 11 months
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Suicide de Lindsay 13, une histoire qui bouleverse la France
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Le 12 mai, Lindsay, une adolescente de 13 ans vivant dans le Pas-de-Calais, s'est suicidée après des mois de harcèlement scolaire. Selon la mère de la jeune fille, le harcèlement a continué malgré avoir prévenu les autorités scolaires et continue encore après le suicide de l'adolescente. Lindsay a été retrouvée morte au domicile de ses parents le vendredi 12 mai. La cause de sa mort ne fait aucun doute : elle s'est suicidée. La jeune fille de 13 ans aurait été victime de harcèlement à l'école pendant plusieurs semaines lors de sa quatrième année dans l’enceinte de son établissement scolaire, le collège Bracke-Desrousseau de Vendin-le-Vieil (Nord-Pas-de-Calais). La jeune Lindsay a tout fait pour de se faire entendre par son administration (CPE, proviseur). Avec l'aide de sa mère, elle a également tenté d'alerter le président de la République sur les brimades scolaires dont elle était victime, mais là encore en vain. Trois semaines après la mort de Lindsay, sa mère, Betty, et son beau-père, François, ont choisi de témoigner ce lundi soir dans TPMP sur C8. Selon la mère de l'ado, le harcèlement continue tous les jour : "Ils continuent de menacer, d'insulter ma fille, de dire qu'elle est enfin morte, cette salope, je vais pisser sur sa tombe, je vais brûler sa tombe, et ça ne s'arrêtera pas", a-t-elle déclaré sur le plateau de Cyril Hanouna. Dans cette affaire, quatre mineurs et un majeur ont été mis en examen jeudi 25 mai. Le parquet de Béthune a annoncé que les quatre mineurs étaient mis en examen pour "harcèlement scolaire ayant conduit au suicide", tandis que les majeurs étaient inculpés de "menaces de mort". Une enquête administrative doit aussi être ouverte par le rectorat de Lille. Par la suite, Betty a évoqué le jour du décès de sa fille. "Le lendemain, elle s'est réveillée, elle s'est préparée, comme d'habitude. Elle a pris son déjeuner, elle a mangé à la cantine et elle est rentrée aux alentours de 17 heures", s'est-elle souvenue avant de préciser : "Elle était normale. Elle avait des verbes à apprendre, on a fait ses devoirs". La soirée semblait se dérouler dans les meilleures conditions. "Elle devait aller à un anniversaire le lendemain. On a appris qu'à 17h10, elle avait envoyé un message à sa copine en disant : "Je ne serais pas là demain", a indiqué Betty avant de s'arrêter, les larmes aux yeux. "C'était prémédité", a précisé Fabrice. "Même nous on ne comprend pas", poursuit Betty avant d'ajouter : "Elle avait le sourire... Ses camarades ont dit qu'ils ne l'avaient jamais eu aussi souriante que le jour de sa mort". Mais que s'est-il passé ? Pour la mère de Lindsay, la possibilité qu'elle ait "reçu quelque chose entre temps" n'est pas à exclure. Sur le plateau de Cyril Hanouna, les parents de l'adolescente veulent faire passer des messages importants. "Le harcèlement a commencé en septembre et c'est monté crescendo. Au début c'étaient des insultes, des brimades et au fur et à mesure de l'année, cela a commencé à s'aggraver", indique Fabrice. Par la suite, c'est Betty qui a apporté des précisions. "C'est Lindsay qui nous l'a dit dès le départ. Elle a été insultée sur son physique, elle était ridiculisée tout le temps", a-t-elle confié avant d'ajouter : "J'ai été voir ces filles à plusieurs reprises, même la maman d'une d'entre elles s'en est mêlée. "Un accident est vite arrivé", a-t-elle envoyé à ma fille". De son côté, Lindsay faisait la forte. "Elle disait qu'elle n'avait pas peur, elle me montrait les messages, je suivais tout", poursuit Betty qui précise : "Je pensais qu'elle se reposait sur moi, que ça ne l'atteignait pas". Jusqu'au jour où Lindsay a commis l'irréparable. Suicide de Lindsay : pourquoi ses proches ont-ils voulu témoigner ?
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Fabrice et Betty étaient présents sur le plateau car ils ont estimé avoir été "totalement lâchés dans cette histoire", déplore Fabrice. "Pourtant Lindsay criait à l'aide", rappelle Betty qui précise également que sa fille lui avait parlé des messages qu'elle recevait mais aussi du harcèlement dont elle était victime. Des menaces sur les réseaux sociaux ou dans l'établissement scolaire, prévenu de ce qu'il se passait. Un jour, l'adolescente a été tabassée par ses harceleuses. "Le directeur nous a dit qu'il ne pouvait rien faire, c'était en dehors de son établissement", a regretté Fabrice. Le beau-père de l'adolescente a ensuite précisé avoir tenté d'obtenir de l'aide. "On a appelé l'académie, les services de police, le proviseur du collège, sans suite. On a reçu aucun courrier ou appel de leur part suite au décès de Lindsay", a-t-il affirmé avant d'ajouter : "Sa grand-mère a même contacté Emmanuel Macron, sans réponse". Un témoignage bouleversant. David SCHMIDT Read the full article
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almanach2023 · 1 year
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Aujourd'hui, dimanche 5 mars, nous fêtons Sainte Olivia.
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SAINT DU JOUR . Olive, . Du latin oliva, "olive" . Sainte-Olivia, Vierge et martyre, vénérée à Palerme en Sicile et à Carthage en Tunisie. . Les Olivia se distinguent par une grande curiosité intellectuelle, le goût de la recherche et son attirance pour les sciences abstraites. Leur grâce capricieuse séduit beaucoup. . Prénoms dérivés : Olivier, Olive, Olivio, Olivia, Olivian, Oliver. Nous fêtons également les : Aubule - Gérasime - Kieran - Oliva - Olive - Olivette - Olivia - Oliviane - Olivianne Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328 FETE DU JOUR Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Olivia Ruiz, chanteuse française . Olivia Adriaco, animatrice TV-radio . Olivia Bonamy, actrice française . Olivia NEWTON-JOHN, actrice Ils nous ont quittés un 5 mars : 5 mars 2021 : Patrick Dupond, danseur français (14 mars 1959) 5 mars 2007 : Yvan Delporte, scénariste belge de bandes dessinées (24 juin 1928) 5 mars 2000 : Lolo Ferrari (Ève Valois), actrice pornographique française (8 novembre 1970) 5 mars 1993 : Cyril Collard, acteur, scénariste, réalisateur, écrivain et musicien français (19 décembre 1957) 5 mars 1944 : Max Jacob, poète français (12 juillet 1876) Ils sont nés le 5 mars : 5 mars 1982 : Daniel Carter, joueur de rugby néo-zélandais 5 mars 1980 : Renan Luce, auteur-compositeur-interprète français 5 mars 1974 : Eva Mendes, actrice américaine 5 mars 1970 : Yuu Watase, dessinatrice de manga. 5 mars 1969 : MC Solaar, chanteur et compositeur 5 mars 1946 : Lova Moor, chanteuse 5 mars 1949 : Bernard Arnault, homme d'affaires français Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22 Fêtes, Célébrations, événements du jour
Dimanche 5 mars 2023 : Fête des Grands-Mères 5 mars : Jour de l'impro (JM) CITATION DU JOUR Citation du jour : On n'est pas privé de ce dont on n'a pas besoin. Cicéron. Citation du jour : Soyons reconnaissants envers les gens qui nous rendent heureux. Ils sont les jardiniers qui font fleurir notre âme Marcel Proust Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz Nous sommes le 64ème jour de l'année il reste 301 jours avant le 31 décembre. Semaine 09. Beau dimanche à tous. Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
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furiousnautisme · 2 years
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Nos bambins sont une de nos principales priorités; bouées spéciales, bouée d’initiation ski nautique (vidéo ci-joint), seawings, gilets toutes tailles pour leur sécurité ++… Furious Nautisme et la ville de Mandelieu agissent pour les familles 😍 Merci Cyrille d’avoir partagé ce beau moment avec nous. « Il fait beau, louez des bateaux! » Infos et réservations en ligne sur le www.furiousnautisme.fr / OUVERT 7/7 TOUTE L’ANNÉE ! Mettre des vaguelettes dans vos vies! #furiousnautisme #ilfaitbeaulouezdesbateaux #cotedazurfrance #mandelieu #mandelieulanapoule #worldfamous #mandelieuenfamille #cannes #portinland #otcmandelieu #bateauecole #permisbateaux #locationdebateaux #boatrental #boatrentals #boatrentalsfrenchriviera #boat #cotedazur #southoffrance #suddelafrance #frenchriviera #tourisme #visitcotedazur #cotedazurnow #france #mandelieutourisme (à Furious Nautisme Mandelieu/Cannes) https://www.instagram.com/p/CiV0AhEjEQL/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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mamusiq · 2 years
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Musiques en fête 2022 : En direct des Chorégies d'Orange https://www.youtube.com/embed/5WhVHzstVLM
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Bravo et merci France 3. une émission extraordinaire et qui (à mon avis) à beaucoup progressé depuis quelques années. c'est plus lié et agréable à suivre. Sans présentations trop longues. Et Judith Chaine et Cyril Ferraud * sont formidable. Quel travail de préparation en amont . Je n'ai pas pu le voir quand c'est passé sur France 3, j'espère cela va rester sur YouTube car je n'ai pas encore tout vu ! 😍 j'aurai seulement une petite suggestion à faire : sous titrer les grand air Italiens pour le téléspectateurs, mais c'est peu être trop compliqué et forcément nécessaire (?) Ce n'est qu'un avis très personnel !(* en toute objectivité…surtout Cyril Ferraud !!! 😵‍💫
Un beau spectacle encore que la seule voix bien placée de toutes celles qui se sont produites est celle de cette chanteuse blonde qui a juste chanté "les filles de Cadix"… c'est une vraie voix d'opéra mais toutefois tout était généreux et varié… Tjrs sympathique le duo des chats …. J'adore la danse irlandaise.. très beau le choeur des enfants ….Dans ce magnifique théâtre j'ai pu voir un Othello memorable
Jun 24, 2022 Musiques en fête 2022 : En direct des Chorégies d'Orange - (20/06/2022)
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TIME~SKIPPERS - Cyril VALLÉE
TIME~SKIPPERS – Cyril VALLÉE
Parlons lecture avec un roman de science fiction jeunesse écrit par Cyril VALLÉE : TimeSkippers. J’ai lu le livre UN qui laisse bien sûr présager une suite à laquelle je ne m’attendais pas du tout jusqu’aux dernières lignes. Le titre en dit beaucoup sur la thématique, accrochez-vous à votre fauteuil, je vous offre un voyage temporel 😉 Un très beau livre IL A LE POUVOIR DE STOPPER LE TEMPS. MAIS…
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marie-bradshaw · 2 years
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Ma premiere robe de créateur
22h: je suis plongée dans la penderie de l'appartement de ma mère sur Bordeaux pour faire le tri de ce que je rapporte avec moi sur Toulouse et de ce que je laisse.
Je n'imaginais pas retrouver autant de trésors cachés.
Au milieu d'une paire de rolliers et de boots de snow, je retombe sur une pépite: ma petite robe noire Marc Jacobs.
Ma première robe de créateur, une merveille.
La première d'une longue lignée de bijoux de designers chinés.
Assise en indienne devant mon armoire, je laisse glisser mes doigts sur le satin noir et les souvenirs remontent comme par magie.
Dénichée sur une vente privée, je me souviendrai toujours de la première fois où je l'ai portée.
J'avais 17 ans.
Je donnais des cours de danse contemporaine dans une petite salle de sport sur Ste Foy La Grande où j'ai passé mon adolescence, près de St Emilion.
Terre de mon coeur.
Je pourrais presque repasser le film dans ma tête de ma première rencontre avec lui, le seul homme duquel je ne me sois pas sentie à la hauteur.
En le voyant arriver à la salle pour s'inscrire, par la vitre teintée, mon coeur s'était arrêté- littéralement - et il s'est avéré être ma plus belle histoire d'amour.
4 ans et demi de ma vie.
Cyril.
Un charmant jeune homme de 24 ans, oenologue de profession, ultra sportif mais épicurien, et fraîchement débarqué de Limoux.
Les cheveux blonds comme les blés, les yeux bleu/vert, le sourire de l'homme qui n'a pas toujours eu de succès et qui ne demande pourtant qu'à être aimé. Il est divin, mais il semble l'ignorer.
A notre premier échangé, j'ai bégayé.
Son accent du Sud, à couper au couteau, moi je le trouvais chaleureux.
La promesse de longues matinées ensoleillées passées à ses côtés.
"Cherche pas ma fille, un mec comme ça ça sort avec les Mean Girls du lycée- les top model en devenir, pas avec l'intello de service"
Je le voyais 3 leagues au-dessus de la mienne, et il avait tout de même 7 ans de plus que moi.
Mais qu'importe, mon coeur désirait ce qu'il désirait, et j'étais comme envoûtée par ses yeux. Par son sourire. Par son allure.
Persuadée de n'avoir aucune chance, et après une vague tentative, je décidais de m'épargner en me focalisant sur mon art: la danse.
Cette petite salle de sport familiale, mon refuge.
Chaque jour de l'été de mes dix-sept printemps, j'étais fourrée là.
Que ce soit pour donner des cours ou m'entraîner, la salle de cours collectifs du fond, nichée derrière les machines, aura toujours un air d'abri à mes yeux.
Je revois le parquet en bois, les grands miroirs, la vieille chaîne stéréo sur laquelle je branchais mon téléphone - et surtout les heures passées à danser.
De Gotan Project à Roxane, les sauts de cabri s'enchainaient à vive allure, passant d'une arabesque à un grand écart - je donnais tout ce que j'avais à mon art et il me le rendait bien.
A bout de souffle, mais vidée de tous mes tourments, je couchais sur papier mes chorégraphies les plus folles.
Vous me direz: "quel rapport avec la robe?".
Mais tout, vous allez voir.
J'y viens. Patience !
C'est là qu'il m'a vraiment repérée.
Quand personne ne regardait, lors de ses entrainements, lui m'épiait danser par la petite fenêtre de la salle.
Hypnotisé, c'était presque devenu un rituel pour lui - dont j'ignorais tout à ce moment-là.
Et puis un beau jour, en sortant de ma session, fraîchement douchée, et éternellement maladroite - je lui rentre dedans dans l'escalier qui conduit à l'accueil.
J'éclate de rire-nerveusement- si il y'avait bien une personne à qui je ne voulais pas montrer ma maladresse c'était bien lui.
Epic fail.
Alors autant en rire, la vie est courte et cette énième boulette ne me surprend même pas.
Il est resté bloqué sur place l'espace d'un instant, abasourdi.
"Quand je t'ai vu irradier de bonheur comme ça, ton sourire, ton rire, je me suis dit qu'il fallait absolument que je sois avec toi" me confiera-t-il plus tard, lors de notre premier rendez-vous officiel.
Je vous épargne l'entre-deux, et notre premier baiser, électrique.
Mais disons qu'il aura fallu qu'il m'embrasse au détour d'une soirée entre copains de la salle pour que je comprenne enfin que je lui plaisais aussi.
Moi, je lui plaisais.
Inconcevable.
Il avait tout du gendre idéal, et moi, eh bien disons que 17 ans à croire que je ne serai jamais assez bien pour personne, notamment mes parents, avaient déjà causé pas mal de dommages.
Des dommages entrainant une douleur profonde, et une période très sombre dont je n'ai pu sortir que grâce à son amour.
Je vous en dis plus dans les lignes qui suivent, et ceux qui ne me connaissent pas depuis longtemps vont sûrement mieux comprendre mon parcours et la raison de ma force aujourd'hui.
Attention âmes sensibles.
La préparation aux concours des grandes écoles était le paroxysme de l'investissement que mes parents avaient misé sur leur "cheval de course" préféré.
Avec mes notes, et mes résultats je pouvais littéralement faire tout ce que je voulais.
Sciences-Po, la Mecque dont je rêvais depuis des années.
Mais voilà, à force de pousser, sans jamais ressentir d'amour ou de soutien, rien que des reproches et une déception/un désintérêt quasi permanents entre deux 19/20, j'avais bien compris que le seul moyen pour moi d'obtenir un peu de reconnaissance et d'affection serait de continuer à briller.
Sauf que plus je brillais, plus la barre se rehaussait.
Toujours plus inaccessible.
Alors j'ai fait une bêtise d'adolescent et j'ai repoussé mes limites beaucoup trop loin.
Peu importe les efforts que je donnais, les heures à étudier, je sentais bien que ce n'était pas assez.
C'est à ce moment-là que j'ai décidé de commander des amphétamines sur le net sous forme d'éphédrine.
L'objectif: oublier ma fatigue, en faire plus, aller plus loin.
Beaucoup d'étudiants sous pression ont recours à ce genre de choses, et je ne vous le recommande pas.
Votre coeur s'accélère au point de vous donner l'impression qu'il est sur le point d'imploser.
Vos capacités mentales sont exacerbées, c'est vrai - mais l'effet ne dure pas.
Et pour le maintenir, comme pour toute drogue, il faut en prendre plus, plus souvent.
Vous devinez peut-être la suite, j'en ai pris plus, plus souvent, et s'en est suivi un joli malaise cardiaque au milieu d'un cours d'athlétisme au lycée.
Ainsi que deux jours d'hospitalisation, un déni parental de toute responsabilité assez dingue, et une très longue période à ne trouver que l'auto-mutilation comme source de réconfort.
Sentir mon sang couler, la douleur de chaque coupure quand j'enfonçais les lames de rasoir plus profondément sur mes bras, quelque part ça me soulageait.
(Là vous vous dîtes "mais elle est dingue")
Il faut savoir que votre cerveau ne peut traiter qu'un signal de douleur à la fois, il choisira donc le plus récent/urgent selon lui.
Selon le mien, une douleur physique éphémère valait mieux qu'une douleur morale trop importante.
Une sorte d'expiation de mon manque de perfection.
Sous mes tatouages, quand je passe mes doigts sur la peau de mes avant-bras, je sens encore les cicatrices que les lames de rasoir ont laissé comme souvenir de cette période où ma lumière était mutilée par la toxicité de mon environnement.
Bref - vous comprenez mieux d'où je venais, et le peu d'estime que je m'accordais à ce moment de ma vie.
Alors, après une semaine à se voir chez lui, lovée dans ses bras d'où il ne voulait plus que je parte, quand j'ai compris qu'il n'était pas là pour me blesser et qu'un vrai lien a pu commencé à se tisser entre nous, il m'a invitée à dîner à l'extérieur.
Sauf que j'avais 17 ans, encore mineure donc, il me récupèrerait à la salle plutôt que chez mes parents.
J'en reviens maintenant à cette fameuse robe.
C'était la plus belle que j'avais, un décolleté en coeur, ceinturée à la taille, d'un tissu élégant en satin noir avec des bretelles qui se nouent autour du cou par trois petits boutons.
Une robe aux allures de pin-up vintage à mi-chemin entre les années vingt et les années cinquante.
J'avais préparé un sac avec mes affaires de rechange, et en l'enfilant dans les vestiaires, en arrangeant mes cheveux, en appliquant avec soin mon rouge à lèvres sur ma bouche entre-ouverte, j'oubliais progressivement mes angoisses, mes doutes, ma peur de ne pas être à la hauteur.
C'était comme une transformation par marraine la bonne fée Marc Jacobs.
"Wow" me dirent les premières paires d'yeux qui posèrent le regard sur moi, fraîchement préparée.
"Tu es sublime, là tu fais vraiment femme, juste incroyable"
Les compliments s'enchaînèrent, gonflant ma confiance à bloc, et mon coeur palpitait d'excitation en regardant la pendule accrochée à l'accueil faire danser les aiguilles en direction de l'objet de tous mes désirs.
Oui, je me souviens très bien de ce rush d'adrénaline.
D'enfiler cette robe, c'était un peu comme d'avoir enfilé une tenue de super-héros ou de devenir la princesse de Cendrillon.
Elle me rendait belle à l'extérieur, aux yeux de tous, éblouissante, et ce sentiment de beauté me donnait l'impression d'être invincible le temps d'une soirée.
Il en eût le souffle coupé, me baisa la main avec beaucoup de respect et m'ouvrit la porte de sa voiture comme un gentleman.
Cette soirée -là, pour la première fois, je me suis sentie femme.
J'ai senti le pouvoir que j'avais, que je pouvais avoir.
Voilà tout ce que cette robe Marc Jacobs me rappelle...
Mon éveil, ma prise de conscience de ma féminité et de la puissance qu'elle me conférait autrement que par l'art de la danse, par l'art de la mode, de l'élégance, de la séduction.
Biensûr, je ne pense pas qu'elle ait déclenché mon histoire d'amour, mais elle m'a permis à un certain moment décisif de me donner les ailes dont j'avais besoin pour prendre mon envol.
C'était il y'a bien longtemps, je me vois à cette époque depuis le moi d'aujourd'hui et j'aimerais pouvoir lui dire qu'elle ne sentira plus cette absence de tout quinze ans plus tard.
Que cet amour inconditionnel qu'elle avait tant espéré, elle le trouverait dans son cercle d'amis, des gens extraordinaires.
Et pour finir, que son dressing deviendrait un lieu de refuge tout aussi extraordinaire, où se multiplieraient les trésors et les rappels de son pouvoir: celui de se sentir assez forte, assez bien, assez belle.
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Ezio Vargas : Intrusion nocturne
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Cette vieille vampire générée automatiquement par le jeu s’est introduite dans l’appart de Franck pour mordre Mia. Ni une ni deux Franck s’est levé pour aller défendre sa belle.
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Ils se sont battus et il a gagné !
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Mia était encore sous le coup de l’hypnose mais elle va bien.
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skip-chiantos · 3 years
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Les vacances chez Papy
30 jours pour écrire/jour 14/14.08.2021
Thème : Au bout du couloir
Au bout du couloir.
Cher Journal,
Aujourd’hui, c’est le premier jour de vacances chez Papy. On a commencé la journée en nourrissant les poules, les canards et les lapins. Après on fait du jardinage, et j’ai aidé Papy a préparé le repas de midi. Et après ça, il fait sa sieste. Comme il fait chaud, j’en profite pour explorer la maison. J’ai vu plein de poupées russes dans la maison. Il y en à des jolies, alignés sur le machin au-dessus de la cheminée ; elles sont toutes très colorées. Papy m’a dit que mamy faisait la collection, quand elle était encore vivante. Je n’ai jamais connu Mamy. Mais j’ai un très gentil Papy. Des poupées russes, il y en à aussi sur les étagères, là où papy range tous ces livres. Je ne sais pas de quoi ils parlent les livres, c’est écrit en “Cyril-like”.
Mon Papy est russe, et c’est rigolo parce que sa peau, c’est comme du papyrus ! Papy m’a dit de ne pas toucher aux matriochkas. Il m’a dit qu’elles sont fragiles. Je les aime bien. Comme Papy fait la sieste, j’ai continué mon exploration ; au rez de chaussé, il y à la cuisine, le salon avec tout plein de livres, le bureau de Papy, une salle de bain et la chambre de mon Papy. Dans le bureau de Papy, il y à des vieux livres, et dans une étagère, pleins de pistolets trop chouettes et des couteaux. Il m’a dit de ne surtout pas y toucher. Ce n’est pas dangereux, mais c’es très fragile. Il m’a dit que je pourrais les voir quand j’aurai 14 ans, mais c’est dans longtemps.
Moi, je dors à l’étage. Il y à ma chambre et ma propre salle de bains. Comme je suis plus un bébé, j’ai le droit de l’utiliser. Dans ma chambre, il y à un lit douillet, et un petit bureau, où je m’assoie pour écrire et regarder le jardin. J’ai aussi quelques livres, que j’ai rangé sur l’étage. Il y à une autre petite étagère, sur laquelle il y à une famille de Matriochkas. Elles sont toutes noires. Avec des visages tristes. Chacune pleurent un peu plus que la précédente. Elles me font un peu peur. J’entends Papy qui se réveille de sa sieste, je te raconterai plus tard ce que j’ai trouvé au bout du couloir.
Cher Journal,
Aujourd’hui, pendant la sieste de Papy, j’ai essayé d’ouvrir la porte au bout du couloir, mais elle est bloquée. Je ne sais pas ce qu’il y à derrière, Papy ne veut pas me le dire. J’ai une nouvelle poupée russe dans ma chambre, elle est aussi toute noire, mais elle sourit. Elle est plus grande que celles qui sont sur mon étagère. D’ailleurs, je ne retrouve pas les autres. J’étais sûre qu’elles étaient sur l’étagère. Ce n’est pas grave. Cette après midi, on va aller voir des chevaux ! J’ai trop hâte !
Cher Journal,
j’ai fait un cauchemar. Je me souviens as trop bien, mais il y avait des enfants qui pleuraient. Et j’ai été réveillé par un gros bruit. J’ai cru que c’tait Papy qui était tombés, mais je l’ai entendu ronfler. Il ronfle très fort mon Papy. Je crois que le bruit venait de la pièce dans le couloir. Je vais aller me recoucher(...)
J’ai trouvé une autre poupée noire ; dans ma salle de bain, sur le rebord du lavabo. Les autres ont disparus. Elle rigole, et elle est encore plus grande que celle que j’ai vu hier. Presque la taille de mon bras. J’ai un peu peur.
Hier j’ai vu les chevaux, et demain, je pourrais monter Pamprelune ! Mais aujourd’hui, il faut que j’apprenne à m’en occuper d’abord.
Cher Journal.
Les bruits ne venaient pas de mon rêve, mais bien de la pièce au bout du couloir. Je suis contente que ce matin on part tôt. Je n’ai pas très bien dormi à cause de ce qui court dans l’autre pièce. J’ai un peu peur, et j’ai vu une drôle de forme apparaitre sur mon bureau. Une grande poupée russe, elle prenait presque toute la place sur mon bureau. Quand je me suis réveillé, elle était dans un coin de la pièce. Elle m’arrive presque à la taille, et elle rigole aussi. On dirait qu’elle à des dents. Je n’ai pas osé la regardée.
Cher Journal,
Le cheval, c’était trop bien ! Pamprelune et moi on s’est baladé dans les champs et puis après on est allé en forêts. À un moment, comme je voyais la maison de papy de loin, j’ai voulu y aller, mais Pampelune a refusé, elle tapait du sabot et faisait des bruits bizarres. J’avais beau essayé de la dirigée, elle m’a ramené à la ferme. Je comprends qu’elle a eu peur. Moi aussi j’ai de plus en plus peur. Quand je suis rentré, il y avait une nouvelle poupée dans la salle de bain. Plus grande que celle que j’ai ignoré ce matin. Son visage me fait peur ; le dessin de sa bouche qui rigole est fait de pleins de dents, et elle pleure. Elle fait presque toute ma taille. Il y a de plus e plus de bruits dans la pièce au bout du couloir, mais papy ne les entends pas. Il dort de plus en plus. Et quand il ne dort pas, j’ai du mal à le trouver dans la maison. Pourtant, ça n’est pas si grand. J’aimerais bien appelé mon papa et ma maman, mais le téléphone de papy ne fonctionne pas. J’ai peur d’aller me coucher.
Cher Journal,
Je n’ai pas dormi de la nuit. C’était bizarre, je n’entendais pas mon Papy ronflait. Quand je suis descendu, il n’était plus là. Il a dû sortir faire des courses. Il a prit le temps de ranger les poupées russes de toute la maison, elles sont toutes dans la plus grande de leur famille. Quand je suis remonté dans ma chambre, j’ai vu que la porte au bout du couloir était ouverte. Grande ouverte. Et dans la pièce, il y à une poupée russe géante. Je n’ai pas bien vu son visage, mais elle était toute noire, et on aurait dit qu’elle n’avait pas de visage, ou alors c’était une trés trés grande bouche. Je suis rentré dans ma chambre et j’ai fermé la porte à clé. Papy m’a dit que c’était mal de le faire, mais j’ai trop peur. Papy est parti, et pourtant, j’entends quelque chose roulait et raclé par terre. J’ai peur que ça ne vienne me chercher.
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