Tumgik
#Donner Party Plaque
helshades · 1 year
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
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miung-dreamer · 2 years
Note
Parfois j'essaie d'imaginer comment Arthur ferait pour prouver à Guenièvre qu'il tient vraiment à elle post KV1. Du coup j'ai pensé que peut être dans KV2, on aurait le retour d'Ygerne et Cryda qui, dès qu'elles se pointent direct parlent mariage "maintenant qu'Arthur est enfin revenu comme Roi et qu'il faut refédérer le pays". Mais comme Guenièvre n'est plus vraiment sa femme (sous entendu à la fin du livre V avec les galères de la non annulation de l'échange d'épouse et dans KV1 que c'est "compliqué") et qu'en plus "elle n'est plus tout jeune", je parie que la mère et la tante d'Arthur pousseraient pour qu'il se marie avec une femme plus jeune et de meilleure lignée ("les dignitaires de Vannes... le gratin!"). Pour l'héritier. ET DONC ça blablate ça blablate sévère et ça crache sur Guenièvre, mais au bout d'un moment Arthur pète un cable et finit par balancer "nan mais c'est bon, je suis stérile donc toute façon y'aura pas d'héritier ce qui veut dire que je peux épouser qui je veux". Et c'est LA que tout le monde pige à quel point Guenièvre est importante pour lui. Voilà c'est dit.
Coucou anon !
Déjà je suis toute contente d'avoir reçu ton message. Ca fait très plaisir qu'on vienne me parler de Kaamelott 😊
Hummmm je pense qu'on est plusieurs à se demander comment va se passer le post-KV1 entre Arthur et Guenièvre. Je ne serais pas surprise qu'Astier installe le prochain film un an ou deux après la fin de KV1. En tout cas, je serais très étonnée que KV2 se passe tout juste après le premier film.
Ceci dit, il a prévu KV2 en deux parties et pour des raisons scénaristiques, il n'aura peut être pas le "choix" de mettre un gap de qq semaines / mois entre KV1 et KV2.1. Surtout si tout KV2 se passent sur une période "assez longue" (genre environ un an). Mais compliqué avec le loustique de deviner ce qu'il peut nous pondre lol.
Je le sens tout à fait capable de ne pas aborder le juste après-KV1 (avec la question du (re)mariage avec Guenièvre justement). Le plan final du premier film montre un couple présenté comme (seuls près du Rocher) unis et proches face aux épreuves à venir.
Et un couple symboliquement marié : Arthur en noir // Guenièvre en blanc (alors que dans la scène précédente, elle a une tenue totalement différente et dans la scène du Rocher, elle ne porte pas cette robe). Ce plan rappelle qu'ils sont à nouveau les souverains du royaume de Logres.
Pour toutes ces raisons, je doute qu'il aborde la question du remariage dans la suite. Il y aura peut être une référence au fait que ça a été acté (genre par un papier signé ou une petite cérémonie), mais je ne pense pas que ce sera montré à l'écran.
Je pencherais plus pour un retour direct dans le quotidien du roi et de la reine (ils repartagent une chambre) SAUF QUE plein de choses ont changé...... Leurs rapports doivent normalement être très sensiblement différents de la série (sinon à quoi sert KV1?). On aura toujours les engueulades (parce qu'on aime ça et elles font partie de leur mode de communication). Mais on doit sentir qu'Arthur agit avec plus de patience avec elle (plus de douceur ?).
Quelque part, c'est un peu frustrant car ça aurait été très intéressant d'assister au "juste après". Comme toi, je n'ai pas de mal à imaginer les dames de Tintagel enquiquiner Arthur pour qu'il épouse une nouvelle fille, plus jeune 😁 Par contre, je vois le roi les envoyer bouler sec et net sans donner de raison (comme dans le livre V). Je n'imagine pas Arthur évoquer son infertilité (SI elle est avérée... Meleagant, we are watching you 👀). C'est trop douloureux pour lui (une des raisons de son suicide...). Il ne veut déjà pas qu'on voit ses cicatrices donc avouer ce lourd secret serait difficile pour lui.
Ce n'est que mon humble avis... Je peux être complètement à côté de la plaque 😅
Enfin comment le roi va montrer son affection à la reine ?? Ouhlalala très bonne question! Je pencherais lourdement pour des actes (il l'a déjà fait dans le premier opus) ; Arthur a bcp de mal avec le verbe pour exprimer des sentiments (avec qui que ce soit d'ailleurs), comme s'il avait un blocage (peur de montrer sa vulnérabilité ? peur d'être moqué ou rejeté ?).
Les actes semblent peser plus "lourd" pour lui (ou alors ça l'arrange car il n'a pas besoin de dire les choses du coup...). Mais je l'imagine faire des petits trucs pour montrer qu'il tient à elle : déjeuner seul à seul avec elle, se promener dans les jardins à ses côtés, l'accompagner dans un endroit qui lui fait plaisir, etc.
MAIS à la différence de ses précédents amours (Mevanwi et Aconia, qui semblent plus porter sur les actes que sur les paroles selon moi... c'est pas une critique, juste un ressenti), Guenièvre aime les deux. Elle ose parler ouvertement de ses sentiments et elle aime les gestes romantiques ; je pense qu'elle a besoin des deux (les mots tendres et les actes d'amour). Arthur va devoir ouvrir sa carapace et lui dire les choses.
Je me suis d'ailleurs fait une réflexion y a peu : les deux fois où le roi dit "je vous aime", c'est devant témoin (Bohort pour Mevanwi, Drusilla pour Aconia). Etrange non ? Il ne profite pas d'un moment d'intimité pour le leur dire face à face, yeux dans les yeux. Comme s'il voulait faire les choses avec une certain solennité. Ou alors il se dit que devant témoin, l'autre ne pourra pas le rejeter ? Mais ça en perd en naturel du coup....
Même si ça aurait de la force qu'Arthur fasse la même chose avec la reine (assumer ses sentiments devant leurs familles et la cour), ce serait bien plus romantique qu'il le lui dise, seul à seul.
Une déclaration qui n'appartiendrait qu'à elle, qu'à eux.
****
Je suis navrée pour ce pavé. Si tu n'as pas été saoûlé, n'hésites pas à revenir par ici. Comme tu as vu, j'aime bcp (trop) parler de ça 😅
Donc je suis partante pour d'autres discussions, quand tu veux ! (en anon ou pas en anon)
N'hésites pas non plus à donner ton avis à mes idées. C'est toujours intéressant d'avoir d'autres approches 😊
Have a nice day!
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breakerwhiskey · 11 months
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073 - SEVENTY-THREE
Please visit breakerwhiskey.com for more information or to send a message to Whiskey's radio. Breaker Whiskey is an Atypical Artists production created by Lauren Shippen. If you'd like to support the show, please visit patreon.com/breakerwhiskey.
Transcript under the cut. For more episodes, click here.
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I feel like I can breathe again. I’m in Estes Park, a beautiful little…resort town? I don’t know, it seems like a place the fancy muckety-mucks would come to. It’s tucked in the mountains, but not so far that I’m worried about Donner Party-ing it. There’s a gorgeous lake and a cute little downtown and this stunning great white building overlooking the whole place. The Stanley Hotel—it’s pretty old, according to the plaque on the front, and it’s enormous. And I’ve got it all to myself.
I haven’t actually gone inside yet. I wanted to radio you to let you know I’m okay before I settled in for the night. I’m taking the CB with me, but the chances of the place having power to plug it in…maybe I can grab a battery from a car parked out here, or maybe if I’m really lucky, they’ve got a back-up generator. We’ll see if I get lucky. If not, I’ll talk to you in the morning .
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But for now, I’m okay. I’m not in Denver, and I’m fine.
I’m still a little annoyed with you if I’m honest, but as long as you get back to me soon with some answers, I’ll let bygones be bygones.
This is Whiskey, going dark.
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putainsoumise · 1 year
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2ème partie 1ère rencontre d'une longue série Stephane a Disposition
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J’étais gèné qu’elle s‘en soit aperçu. Je ne savais pas quoi répondre et je n’ai pas eu le temps de lui répondre, qu’elle me dit de lui retirer sa chaussure… Elle me tend son pied et je lui retire sa chaussure. Elle commence par faire glisser lentement son pied entre mes cuisses… tout en remontant elle insiste et en appuie sur mon sexe quelques secondes… puis continue et remontant encore… jusqu’aux tétons qu’elle pris soin d’exciter avec son orteil… elle joue quelques instant avec les pinces qui me font de plus en plus mal… pendant ce temps son autre pied se frotte sur mon sexe dressé. Je suis de plus en plus excité. puis elle continue et remonte son pied jusqu'à ma bouche… J’étais prêt à embrasser ou lécher à nouveau quand elle me dit
Suce le Je prends son pied entre mes main et je commence à le lécher
Tu es sourd ? Je ne t’ai pas dit LECHE mais SUCE LE! Je ne suis pas certain de bien comprendre.
Ouvre la bouche J’exécute… et elle me rentre ses orteils dans la bouche puis tout doucement elle les enfonce de plus en plus en faisant de légers vas et viens
Mais tu es une bonne petite salope pour sucer comme ca… continue comme cela et applique toi bien… je sens que tu vas plaire a beaucoup de monde… Après quelques minutes elle retira son pied et me dit Soudain elle me dit
Cela suffit redresse toi et baisse les yeux Elle me passe le collier que j’avais acheté autour du cou, sort de son sac à main une laisse qu’elle accroche à l’anneau du collier. Elle me tient en laisse… elle enfile sa chaussure et me traînant derrière elle nous faisons quelques pas dans le couloir… Sa démarche chaloupée devant moi me met dans un état second… Arrivés au bout de ce couloir nous faisons demi-tour... elle me regarde d’un air amusé puis revenons vers la cabine… arrivé à coté de la cabine elle me demande de me remettre à genoux.
Bon Il faut que je téléphone à des amis… Et puis non tiens c’est toi qui vas appeler… Tu vas tomber sur Anne ou Jacques et tu leur dis que je passerais dans 30 minutes. Mais je te préviens tu ne fais aucune allusion sur quoique ce soit… Tu ne dis que ce que je t’ai demandé. Elle sort de son sac un carnet, le feuillette puis décroche le téléphone, fait le numéro et me tend le combiné. Ca sonne... Une fois… Deux fois… On décroche… c’est Anne
Bonjour Madame… Je suis Stéphane et je vous appelle de la part de Madame XXXX qui m’a chargé de vous prévenir de sa visite, elle sera chez vous dans environ 30 minutes
Ok merci Stéphane Bonne fin de journée au revoir. La conversation a été un peu plus longue mais cela ne présentait pas grand intérêt. Madame me félicita pour cette conversation… puis les événements s’enchaînèrent… Une fois le téléphone raccroché… elle tire sur la laisse et m’entraîne dans les toilettes des femmes… De pire en pire… je ne sais plus quoi faire je panique totalement… Elle ouvre la porte des toilettes pour handicapés (plus large que des toilettes habituelles) et me pousse à l’intérieur… Elle entre et referme la porte en la verrouillant.
Très bien tu me sembles être au niveau de ce que tu m’as dit être… dévoué... obéissant… soumis à souhait mais es tu capable de me donner totale satisfaction ?
Je ne sais pas Madame… je ne sais pas ce que vous attendez de moi
TOUT, je veux tout de toi et que tu me sois TOTALEMENT DEVOUE, que tu obéisses au moindre de mes ordres
Oui Madame, je désire réellement vous appartenir afin de devenir votre esclave et assouvir vos désirs et plaisirs. Elle s’esclaffe et me dit :
PARFAIT, J’AIME CE LANGAGE mais tu as encore beaucoup de chemin à parcourir… Retire ta veste A peine l’avais je retiré et accrochée au porte manteau qu’elle me plaque au mur face contre la paroi… elle se serre contre moi… les pinces touchant le mur me mordent les seins et j’ai de plus en plus mal… Elle me place un foulard sur les yeux… puis elle me retourne… tire la laisse de côté… et je la sens se frotter contre moi… une jambe entre les miennes… son genou remonte entre mes cuisses pour venir appuyer sur mon sexe (en érection depuis longtemps) Elle commence à me palper de partout… serre mes fesses à pleine main… m’enfonce deux doigts dans la bouche en faisant des vas et viens… Puis ses mains descendent sur mon torse, elle joue rapidement avec les pinces puis glisse sur mon ventre et à travers mon pantalon elle attrappe mon sexe à pleine main… Je n’en peux déjà plus… l’excitation est à son comble… je tremble de partout d’excitation et de plaisir... elle me comprime le sexe… m’écrase les couilles… puis elle s’écarte et me laisse ainsi dans un état proche de l’orgasme… elle me dit
Baisse ton pantalon et appuis toi sur la réserve d’eau des toilettes. J’exécute, Je suis maintenant pantalon baissé, le cul nu et offert à ses caprices, ses mains reprennent leur promenade sur mon corps … elle me masturbe avec vigueur 10 secondes puis arrête… elle me presse les couilles de plus en plus fort les tire avant de me caresser l’anus… Elle me demande…
Je continue ou pas ?
Oui Madame, utilisez moi comme vous le désirerez
J’ADORE CELA mais sache que tu peux toujours me dire STOP j’arrêterais… et selon mon niveau de satisfaction atteint tu seras ou ne seras pas mon esclave c’est à toi de voir !
Oui madame Elle est derrière moi… Je lui tourne le dos… mais je l’entends fouiller dans son sac… sans rien voir de ce qui se passe… puis après quelques secondes… je sens un corps froid glisser sur mon anus… puis se faire insistant… puis se retirer… puis de nouveau se faire de plus en plus insistant… puis me forcer… de plus en plus fort… Puis me pénétrer d’un coup et d’une telle force que j’en vacille… de douleur… la douleur et le plaisir mélangés me font perdre mes moyens. Je ne le saurais que plus tard mais en fait elle vient de me sodomiser avec un plug ENORME… qui de plus s’avèrera être vibrant. Mais pour le moment elle n’a fait que de me le mettre violemment avec des vas et viens de plus en plus profonds
SUPERBE, de plus tu es vraiment une bonne salope et tu prends bien Cela me plait énormément… Retourne toi et mets toi à genoux. J’exécute. Elle me guide la tête sur son sexe et me demande de la lécher. Elle me plaque la bouche sur son sexe …
Allez lèche moi et correctement petite salope Je m’y emploie du mieux que je peux… elle m’empoigne par la tête et me guide pour son plaisir. Mes lèvres s’abîment sur son sexe … ma langue la pénètre et la lèche en douceur… je fais de mon mieux… Son goût est sucré… Son odeur suave… je suis son objet de plaisir. Je parcours les plis et les replis de son sexe… elle guide ma bouche… j’excite son clitoris… je l’entends gémir… Elle laisse à peine suinter son nectar dans ma bouche et d’un coup me rejette en arrière…
Stop ca suffit. Je l’entend baisser l’abattant des toilettes et me dit assieds toi sur les toilettes J’exécute je m’assieds… je sens le plug me pénétrer encore plus profondément. Elle m’enfile un préservatif puis elle vient s’empaler sur mon sexe qui n’en peut plus d’être en érection. Elle s’enfonce mon sexe en elle… Elle se pénètre sur le gode vivant que je suis devenu…elle s’excite elle même à son rythme avec les mouvements qui lui plaisent… je suis au bord de l’extase… Elle me viole… et je ne suis plus que son jouet sexuel à sa merci… quand enfin elle jouit en lâchant des gémissements de plaisirs. Je n’ai pas éjaculé mais le plaisir est intense… je reste tendu et cela m’en fait mal. Je n’en puis plus j’aurais tellement aimé l’accompagner dans ce plaisir. Elle se dégage. Je prends mon sexe en me caressant pour me masturber et en finir quand je reçois une gifle magistrale
Qui t’a permis de te branler ? espèce de sale petite pute… tu te prends pour qui pour décider de toi même ? Je ne sais plus ou me mettre… elle me lance
Ne recommence jamais à prendre des initiatives de ce genre. Tu veux être mon esclave … A partir de maintenant tu l’es, je t’ai pris donc je te possède. A partir de maintenant je ne tolèrerais plus aucun écart que cela soit bien clair. Habilles toi. Cela suffit pour l’instant je n’ai pas de temps à perdre… j’ai rendez vous… et puisque tu n’as rien à faire tu vas m’accompagner.
Oui Madame Sans rien voir venir je me prends à nouveau une gifle magistrale…
MAITRESSE... Tu es idiot ou quoi ? je viens de te le dire. A présent je suis TA MAITRESSE tu n’as pas compris ou quoi ? J’exige que tu utilises ce terme systématiquement à chaque fois que tu t’adresse à moi… sauf quand je t’appellerais Stéphane face à des gens non initiés… dans ce cas tu me diras Madame. Est ce bien clair salope
Oui Maîtresse
Parfait … Tout à l’heure tu as appelé chez Anne et Jacques… nous y allons ensemble… Mais j’exige une discrétion absolue, je ne veux aucune allusion sur notre relation Maîtresse Esclave c’est compris ? Ce sont des amis qui ne pratiquent pas, donc si on te questionne tu te présenteras comme une connaissance de travail, point barre. A la moindre incartade de ta part tu en subiras les conséquences Est ce bien clair
Oui Maîtresse
Bien, avant d’y aller je veux que tu mettes ton carcan a pointe il faut que je vois cela… Je sors donc le carcan que je le fixe sur mon sexe encore en érection… Les pointes me mordent mais c’est supportable.
Très intéressant… Regarde moi Je lève la tête elle me fixe droit dans les yeux et je sens sa main empoigner le carcan en le serrant… Elle serre de plus en plus fort tout en me regardant fixement. Arrivé à un certain stade la douleur se fait trop grande et je grimace de douleur… Elle sourit avec un petit air de satisfaction sadique
Tu me plais quand tu grimaces. J’aime que tu souffres par et pour moi. Bon habille toi nous y allons Je remonte mon pantalon et je m’habille. Elle détache mon collier et le range dans son sac. Nous sommes remontés et nous partîmes chez ses amis Anne et Jacques.
Cette première rencontre a été le début d'une relation éducative qui a duré plus de 2 ans et le début d'une grande aventure qui a suivi
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Bien le bonjour à la population ! Aujourd'hui, nous allons apprendre plein de choses sur la Nouvelle Zélande. Notamment que sur l'île du Nord, tu peux dormir sans pull, sans chaussettes, en dehors du sac de couchage, et ne pas mourir de froid dans la nuit :3
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Tout d'abord : il s'avère que Wellington, ville où j'ai amerri hier en sortant du ferry, est en fait la capitale de ce pays, et pas Auckland. Petit panorama depuis le mont Victoria !
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Ensuite, cette ville est plus galère pour se garer que Paris. Après avoir tourné pendant une éternité ou deux, esquivé les places à 6$ de l'heure, j'ai fini par trouver une zone tranquille, posée en bord de mer. Faut avouer que ça donne du cachet à une ville, d'avoir un beau littoral !
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Une fois la voiture posée, j'ai pu aller visiter le musée national, Te Papa. Honnêtement, il est sacrément bien fichu !
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Ils ont toute une section sur la faune locale, les dangers causés par toutes les bestioles qu'on a importé au fur et à mesure, volontairement (comme les possums pour leur fourrure) ou non (insectes divers dans les cargaisons, rats), les espèces disparues ... Notamment l'espèce d'emeu de 240kg chassé par nos aigles de 3m d'envergure !
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Je peux aussi enfin voir mes petits pingouins que j'ai désespérément cherchés sur l'île du Sud. Bon, j'aurais préféré les voir un peu plus frétillants, mais on ne va pas chipoter !
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Toute une partie de l'exposition est réservée aux kakapo, le plus gros perroquet du monde ... Et qui comme un grand nombre d'oiseaux ici, ne sait pas voler ! Suite à l'arrivée des furets et rats, qui décorent les oeufs ou les petits (les nids sont au sol, vu que toute la population de l'île a évolué sans prédateur terrestre pendant des millénaires), la population s'est retrouvée presque éradiquée en l'espace de quelques dizaines d'années.
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Du coup, pour essayer de sauver les miches de cet grosse boule de plume, le gouvernement a récupéré les 50 individus encore en vie, et les a transportés à la main sur une autre île, encore vierge de prédateurs ! Bon, et puis comme ils ne sont quand même plus très nombreux (et pas très doués), on continue à leur donner un coup de main. Petit exemple de ce que donne un humain quand il s'ennuie et qu'il se trouve une bonne cause : à gauche, une tentative de fausse femelle pour récolter de la semence de mâle (un échec cuisant apparemment, mais je trouve l'idée géniale). Au milieu, ce casque a été inventé pour un individu spécifique : voyez vous, quand un mâle ne s'est pas reproduit depuis longtemps, il devient frustré. Il peut alors décider de s'accoupler avec à peu près n'importe quoi : un oiseau mort d'une autre espèce (oui, bon, hein, ils font pas les difficiles), un pull roulé en boule ... Ou pour un mâle en particulier, la tête des bénévoles. Du coup ils ont tenté de récupérer du sperme, mais il a refusé de s'approcher du casque (je le comprends un peu) et préféré changer de tête de bénévole... Et le truc à droite, c'est une marionnette pour donner à manger aux bébés sans qu'ils se rendent compte que c'est un humain. (No comment)
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En dehors de cette section, il y a une très belle expo sur les Maoris, comment ils ont traversé l'océan pour arriver, les tatouages et leur signification, leurs rituels, etc ...
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Je suis très contente d'avoir pris le temps de faire ce musée ! Il y a aussi une section géologie, où j'ai appris que suite à un glissement des plaques à la fin des années 1800, certaines zones de Wellington ont quand même grimpé de 6m d'un coup !!
L'après midi a été moins drôle, puisque j'ai roulé vers Auckland sans vraiment m'arrêter. Dans les petites surprises de la journée, le pont pour accéder à mon camping était totalement détruit, heureusement qu'il y avait une autre zone pour dormir pas loin 😅
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c0rpseductor · 2 years
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my favorite thing to tell people about the donner party is "oh that started in my hometown :D" like they left from here. there's a little plaque downtown about it i think. i should take eli to see it so we can both be like Haha omg cannibalism!
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swedesinstockholm · 1 year
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25 janvier
j’avais ma première session de formation chez berlitz ce matin et puis ce soir je me suis dit fuck this j’ai vraiment pas envie de donner des cours de luxembourgeois à des managers avec des bullshit jobs qui en ont rien à faire d’apprendre le luxembourgeois et qui vont me descendre en flèche parce qu’ils ont pas envie d’être là et parce que la structure des cours berlitz est faite pour faire le plus d’argent possible et donc passer 45 minutes à leur apprendre à dire bonjour merci et au revoir et pourquoi m’infliger ça? la vie est trop courte pour ce genre de torture, je suis pas obligée de passer par là.
5 février
je suis encore à la mer alors que je m’étais dit que je reviendrais plus, mais les nouveaux voisins viennent d’emménager à la maison et ça me minait trop le ventre à gros coups de pioche. j’ai envie d’aller me piercer l’oreille droite à sète, je veux que ça marque mon mois de janvier enchanté et mon retour à la vie. je vois toujours l’hypersensibilité comme un handicap, une tare, mais j’oublie qu’elle marche aussi en sens inverse: les trucs bien aussi sont amplifiés par un million. J’AI ENCORE DE LA VIE EN MOI. c’est peut être pour ça que je pleure à chaque fois que j’écoute une danse de mauvais goût de mansfield tya quand elle dit: je sais ce que je veux dans le fond c’est vivre encore, je choisis les précieux pour éloigner un peu la mort. depuis que je me suis rendu compte que tous les morceaux parlaient du deuil et de la mort je pleure systématiquement en écoutant leur album, c’est trop aigu, les paroles de rebeka sont trop belles et trop pures. c’est rare que les paroles me touchent plus que la musique. dans le sang dans mes veines elle se demande comment sa compagne aurait vieilli si elle était pas morte et ça me fait penser à la chanson de charlotte gainsbourg où elle dit on devait vieillir ensemble en parlant de sa soeur qui s’est suicidée. celle-là aussi me faisait pleurer à chaque fois. j’ai encore beaucoup pleuré dans le voiture hier en l’écoutant au casque et je me demandais pourquoi ça me faisait autant pleurer cette histoire de mort, j’ai l’impression que c’est très à vif, les larmes viennent tout de suite, sans que je leur aie rien demandé.
comme je m’ennuyais un peu dans la voiture j’ai posté une story sur ig où je disais que rebeka était ma poète préférée du monde, même si ça me fait passer pour une ado de treize ans un peu neuneue, tant pis, je l’ai tagguée quand même, je disais que j’aimais toutes les chansons de l’album sauf une et deux minutes après elle m’a demandé laquelle j’aimais pas et j’en revenais pas qu’elle m’ait répondu. je lui ai répondu en faisant une petite blague et puis j’ai dit c’est parce qu’on t’entend pas assez chanter dessus smiley et comme elle répondait plus j’ai commencé à me dire putain j’ai vraiment le flirt cringe de la honte mais après elle m’a répondu ahahaha en likant mon message et puis j’osais plus rien répondre de peur de l’embêter alors que bon j’étais en conversation avec rebeka warrior elle était là à l’autre bout du fil à lire mes messages j’aurais pu en profiter pour lui écrire une déclaration d’amour ou je sais pas. rebeka je suis venue te voir en concert à bruxelles et j’étais tellement à côté de la plaque que je suis partie avant le rappel et j’ai loupé l’occasion de toucher ton corps musclé pendant ton crowdsurfing. rebeka je viens de passer trois mois à lire les mille pages de la montagne magique juste parce que tu as appelé un morceau de ton album la montagne magique et j’ai passé toute la lecture à guetter la phrase on marche sans jamais rentrer d’une telle promenade que tu répètes dans la chanson et puis quand je suis enfin tombée dessus je me suis dit ça y est je vais découvrir le sens de l’univers. rebeka je t’aime. j’adore qu’elle soit fan d’elle-même comme moi et qu’elle adore écouter ses propres disques et entendre sa propre voix, ça me la rend trop sympathique.
ce matin je me suis promenée jusqu’au cap d’agde en passant par la plage et j’ai encore pleuré derrière mes lunettes de soleil en écoutant mansfield, mes larmes d’émotion se mélangeaient à mes larmes de vent et de froid. il est beaucoup question de vent dans leurs chansons. avant je détestais le vent et je sais pas si je le déteste toujours parfois mais je me régalais de sentir la vie, le vent me fouettait le visage et j’avais l’impression qu’il me donnait de la vie et ça me faisait sourire toute seule. la phrase de la montagne magique fait référence à une promenade sur la plage aussi, une plage du nord de l’allemagne, beaucoup plus vaste que la plage du grau d’agde sans doute. il la compare à ses promenades dans la neige sur la montagne du sanatorium, des promenades où le temps cesse d’exister. j’y pensais en marchant sur le sable humide en regardant mes pieds avancer, marche, marche, marche, marche, jusqu’au cap d’agde. mais le temps n’a pas cessé d’exister parce que je me demandais si j’arriverais à rentrer à temps pour manger avec eux. même si hier soir à table je me demandais un peu ce que je foutais là avec ma mère et ma tante et mon oncle et c, j’ai l’habitude de traîner avec eux à la mer mais là je sais pas, c’était un peu trop, trop de vieux, j’étais vraiment pas là où je devrais être. je pensais à l’écart qu’y avait entre ma vie et celle de rebeka warrior. elle a 44 ans d’après google et sa vie me fascine. la vie des lesbiennes artistes mariées à leur travail, passionnées, engagées, des génies comme céline sciamma, sans enfants, sans vie de famille. elles me donnent envie de me noyer dans le travail mais j’y arrive pas. cybille et éléonore aussi me donnaient envie de me noyer dans le travail. pourquoi j’arrive pas à me noyer dans le travail?
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tinynemodekaren · 2 years
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Il y a des jours
Il y a des jours où tout coule et d'autres où les obstacles s'enchainent à un rythme intense et le moral en prend un coup. ça fait partie de la drôle belle aventure qu'est l'autoconstruction d'une tiny house. Et c'est là que les éblouissements surviennent aussi sans crier gare. L'ingéniosité d'un copain ou une copine de chantier avec sa propre tiny par exemple. Je pense là tout de suite à Maxence, qui a créé des plaques temporaires de rangement de ses gaines électriques pendant qu'il les place dans son sol (et on s'emmêle tellement dans ses gaines que ça fait comme des noeuds de "serpents" !). Ou le minois des chats qui pattounent ma tiny comme pour lui donner validation (sans déchirer le frein vapeur si possible). ça m'arrive souvent d'aller caresser le chat iconique du hangar, qui s'appelle Choupinou et qui aime bien se faire un nid avec l'isolant des uns et des autres.
Cette semaine précise (et avant hier en particulier), j'ai réalisé la somme de travail qu'il fallait réaliser sur cette tiny et j'ai eu un peu le vertige. Alors j'ai rangé mon emplacement au hangar pour réactualiser ma manière de faire le projet - fait un inventaire précis, bref, fait un point. Et ça a suffi pour me donner de la force et retrouver de la joie. Ouf
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omagazineparis · 5 months
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10 idées créatives pour personnaliser vos meubles anciens / de brocante
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Vous vous lassez de ces vieilles armoires, étagères, chaises, commodes, tables, etc. ? Avant de penser à les jeter ou les détruire, consultez ces 10 idées créatives de déco pour donner une seconde vie à ces meubles. Ce sont toutes des idées DIY (Do It Yourself) que vous pouvez réaliser vous-même pour redonner à votre mobilier une utilité, une élégance et un design nouveaux. Allons-y ! Personnaliser une commode Deux idées : - Recouvrir de peinture violette ou noire les montants du meuble et peindre chaque tiroir avec une couleur différente. Vous obtiendrez une sorte de nuancier, idéal pour une penderie de type semainier. - Installer des poignées différentes à la place de poignées initiales. Des poignées indiennes en verre ou en porcelaine, par exemple, donnent un effet très chic. Personnaliser une armoire Deux idées : - Recouvrir l’armoire avec de la peinture ardoise d’une couleur de votre choix. Vous pouvez ainsi en faire un pense-bête, en y collant des images illustrant le contenu de chaque compartiment : maquillage, médicament, vaisselle, etc. - Tapisser l’armoire de tissu Wax africain. Découpez des bandes de tissu correspondant aux parties à tapisser ; utiliser de la colle pour fixer les bandes de tissu aux parties que vous souhaitez recouvrir (idéalement un mélange colle à bois-colle à papier). Peindre enfin avec une couleur vive l’intérieur du meuble. Vous pouvez également procéder inversement (tapisser l’intérieur et peindre l’extérieur). À lire également : Attrape-rêves et pensée positive : c'est DreamCatcher Spirit's ! Personnaliser une étagère ou une bibliothèque Deux idées : - Coller des chevaux synthétiques (en bande) au niveau de la tranche des différentes étagères. Optez pour des chevaux colorés et vifs, de couleur verte, rouge, jaune, rose fluo, etc. Vous pouvez également coller plutôt une dentelle ou une frange. Cela féminise à merveille la pièce (la salle de bains, par exemple). - Peindre les côtés et les fonds de la bibliothèque avec des couleurs assez marquées et le reste du meuble dans une couleur neutre. Pas besoin de recouvrir de peinture de couleur tous les côtés et fonds ; il faut alterner, miser sur l’asymétrie. Vous pouvez opter pour de l’adhésif plastifié ou du papier peint à la place de la peinture. Personnaliser une table (de nuit) Deux idées : - Enduire la table de peinture ardoise pour exprimer votre créativité et vos idées, voire vos rêves avant de tomber dans les bras de Morphée. Vous pouvez aussi lui donner un style industriel en l’enduisant de peinture imitant ou reflétant le béton. - Tapisser le plateau à l’aide d’une toile de préférence cirée, toile que vous agraferez en dessous. Optez pour des motifs assez expressifs ou simplement des motifs qui vous ressemblent. Personnaliser une chaise ou un tabouret Deux idées : - Recouvrir le meuble de peinture fluo (ou alors de peinture jaune, orange, ou rose), ce qui lui confère un style pop. - Ajouter du plexiglas de couleur à l’assise, plexi que vous visserez dans le support. Vous pouvez faire de même avec du zinc à la place du plexi. Les morceaux de ces matériaux doivent être taillés pour concorder avec les dimensions du support. Vous constatez donc que rien ne se jette ! N’hésitez pas à appliquer ces idées déco originales sur vos meubles anciens ou à partager ces idées avec vos proches qui peuvent posséder ce genre de meubles. Ainsi munis de vos outils de bricolage et en faisant preuve d’un peu de créativité, comme vous avez pu le constater dans les 10 idées ci-dessus, vous pourrez customiser bien d’autres accessoires de vos pièces : - Peindre d’une couleur insolite votre lampe industrielle - Transformer une caisse inutile en table basse (recouvrir celle-ci d’une plaque de verre pour obtenir une surface uniforme et solide) - Transformer votre commode en îlot central de cuisine - Transformer votre baignoire en canapé, etc. Read the full article
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Huilo Huilo, le Disneyland de la nature
Hola todos,
On en rêvait, on l'a fait : la réserve naturelle de Huilo Huilo. Ce lieu encensé par beaucoup de chiliens est une immense réserve naturelle située à une heure de Panguipulli, dont seule une infime partie est accessible. Surplombée par deux hôtels 5 étoiles à l'architecture très originale, cette réserve m'a laissé un goût un peu amer en bouche.
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(Cette deuxième photo n'est pas de moi car l'hôtel en bois n'était pas accessible sans réservation, mais c'est pour vous donner une idée des deux bâtiments).
Depuis mon séjour à Santiago j'attendais avec impatience de pouvoir aller à Huilo Huilo, on ne m'en avait dit que du bien. En arrivant sur place nous nous sommes donc empressés de prendre le "full pack Chucao", permettant d'avoir un accès à toutes les entrées du parc sur 5 jours.
Le 1er jour était le meilleur. Nous sommes entrés par le "portal Huilo Huilo", en route pour la plus longue de toutes les randonnées que nous avons fait dans le parc. Le sentier, bien que très aménagé, nous a guidé au milieu d'une forêt assez sauvage (même si déforestée par des canalisations et chemins touristiques à certains endroits). Nous avons pu observer de très jolies cascades et nous promener sans croiser trop de monde. C'était très agréable. Rien à voir avec la folie du glacier de Villarrica, mais très plaisant tout de même.
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Les jours suivants n'ont malheureusement pas étés à la hauteur du premier. Nous avons fait deux autres portals : "La Leona" et "Cuevas volcánicas" (cette dernière étant la préférée des employés du parc). Nous nous sommes alors retrouvés dans de courtes balades (1h maximum), REMPLIES de touristes, amenant à une grotte volcanique, une cascade sous laquelle les visiteurs pouvaient passer et un mirador donnant sur une dernière cascade.
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Premier gros point noir : les déchets. J'ai été effarée de constater qu'au pied du mirador de la dernière cascade se trouvait un amas de canettes de sodas, de bouteilles en plastique et de mégots de cigarettes. Nous avons aussi croisé quelques déchets sur les autres sentiers, mais cet endroit était le pire. Les touristes n'ont clairement aucun respect pour le lieu, malgré les multiples panneaux incitants à emporter ses poubelles avec soi.
Deuxième problème : la sensation d'être à Disneyland. Pour passer sous la cascade, par exemple, il fallait patienter derrière une longue file de personnes. D'un côté il y avait les visiteurs qui passaient sous l'eau, de l'autre les photographes prenant des vidéos de leurs amis trempés et hilares. Rien de sauvage, rien de grandiose. Pour accéder au mirador et observer la seconde cascade, il fallait également se frayer un chemin entre les multiples personnes se prenant en selfie devant l'eau qui coule. On était loin de mon imagination qui rêvait d'un petit instant randonnée et déconnexion.
Bref. Huilo Huilo très sympa sur les longues randonnées qui découragent sûrement les touristes venus uniquement pour leurs photos Instagram. Très intéressant sur les courtes promenades amenant aux attractions touristiques et polluées.
Le seul point positif de tout ça est que nous avons dormi deux soirs de suite sur un même spot où nous avons rencontré une adorable petite chienne qui est revenue nous voir tous les jours. On a failli craquer et la kidnapper !
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J'ai hâte des prochaines randonnées qui seront, je le sais, bien plus sauvages !
On est en route pour Valdivia pour voir un peu la mer, aller faire de la voile et trouver un garage pour graver notre plaque d'immatriculation sur nos vitres (une nouvelle loi chilienne étrange). Puis nous filons vers Puerto Montt dès vendredi !
Je vous tiens au courant.
Besitos,
Luna.
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photos-car · 1 year
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pensssine · 1 year
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LOST
22 04 23 j'ai la flemme d'ecrire manuellement dans mon journal, du coup je passe par ma tablette. Ajd chloe est partie aider eugenie sur son stand de ceramique jusqu'a 23h, elle iennent de partir de la maison. J'ai un peu de temps pour moi, ecrire les points essentiels de ce wk pour que je ne les oublies pas. juste avant de faire la vaisselle et faire le lit pour notre invitée, oui pck je suis la Bonne. Bref c'est un autre debat.
Ce week endfut intense encore, mais pas aussi eclairant que je l'esperer. Mon pere est pot de col. Ma mere est vraiment fatiguée, arthur est mignon mais a toujours ses travers, mamie un amour mais fatiguée aussi apres la venue de marc et sylvie.
Morgane est a coté de la plaque. elle raconte rien, espionne sont ex sur snap, vit dans un chaos, dans lequel elle nous a recu pour une soirée avec justine, faut vraiment que je parle seule a justine pour voir ce quelle en pense. Pour Ju ca a l'air cool, elle s'est trouver un portuguais en allant a Porto, avec qui elle tchat tous les jours.
Je suis aller voir 1h vic a son bar, elle est a coté de la plaque aussi, de la cok tous les samedi opour tenir, toujours six pied sous terre a cause d'oriane, son ex dans l'evementiel , et son ancienne bande de pote qui l'ont lacher. bref elle me fait de la peine, elle va vraiment pas bien. On avait prevu de s'offrir un verre a 4h du mat au freedom a la fin de son taf. A 5h moins le quart, toujours pas de vic a l'horizon et j'etais claquer, ils venais de bombarder la boite de fumigène, cimer ma respiration apres ca. du coup je suis rentrée ( en voiture chez mamie, vue que j'avais bu que deux biere). il s'est averer qu'elle etait arriver au free et qu'elle me chercher. Bref un acte manquer, ca aurait pu donner quelque chose de serieux, ou pas. en vrai il faudrais qu'on parle vraiment, mais en journée, sur une plage ou a un café, bref des vrai discutions. ca nous ferais du bien.
Voila, ensuite ba le sejour chez amman ca va , mais il caille, et je m'en suis encore pris plein la gueule avec la brute de didier (je l'aime bien hein, mais la cetait bcp). on a postuler a une offre d'emploi en usine avec maman , je lui ai fait sa lettre de motivation avec son cv remit a jour.
La vie est simple a cherbourg, mais au moins e suis moi meme, c'est moi qui discute, qui parle , c'est pas chloe qui le fait a ma place. mais le travaille posserais probleme.
Aujourd'hui, si j'avais peur de rien je plaquerais tout. je vendrais la maison, je quitterais mon job, et on partirais a la mer.
Rester au chomage comme ca me rend dingue, je remet tout en question c'est un enfer.
En plus je veux ressentir des choses, donc forcement, je veux me tatouer a balles.
LOST
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ratbastarddotfuck · 1 year
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The dinner party is not fiction. I went to the pass and saw the plaque once as a child. My dad didn’t know how to plan sightseeing for a 5 year old and thought that’d be fun
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Donner_Party
Oh no, I know the Donner Party itself wasn't fictional - I just learned about it mostly but listening to mediocre fiction horror podcasts set in the US 😅 they love to invoke the Donner Party for some cheap scares i guess? Also oft brought up is the lost colony of Roanoke (which even one of the shows itself admitted wasn't really a mystery, just problably racism 🙃).
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putainsoumise · 1 year
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1ère partie 1ère rencontre d'une longue série Stephane a Disposition
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1ère partie 1ère rencontre d'une longue série Stephane a Disposition
Notre rencontre a commencée par de nombreux échanges par mail et très souvent ils ont été houleux… tout cela à cause de l’empressement à écrire et même à lire les textes sans y apporter toute l’attention nécessaire ou tout simplement parce qu’il n’est pas possible d’apporter aux écrits les nuances voulues que l’on peut faire passer de visu ou par téléphone.
Après une rupture définitive elle m’a jeté comme l’on peut jeter un vieux kleenex Persuadé qu’il s’agissait d’un énorme malentendu... Je l’ai inondée de mails pour lui demander de bien vouloir reprendre contact avec moi afin qu’elle daigne me tester au moins une fois pour vérifier qu’elle pouvait réellement faire de moi son esclave dévoué
Suite à une très longue conversation téléphonique elle me convoqua dans un bar place de la Madeleine à 15h00 précise. En signe de reconnaissance je devais tenir aussi discrètement que possible à la main gauche le collier de cuir qu’elle m’avait demandé d’acheter.
Inutile de dire que je suis arrivé à 14h45 à la table qu’elle m’avait indiquée… tout au fond de ce bar dans un recoin. J’étais excité comme un gosse la veille de Noël… Je ne connaissais rien d’elle, ni son apparence physique, ni même comment elle serait habillée… je savais simplement d’après nos conversations... que nous avions de nombreuses affinités BDSM, et qu’au moins sur ce plan, je devrais être à même de pouvoir lui donner satisfaction… même si d’après ses dires j’avais de nombreux progrès à faire, mais ce n’était pas un problème puisqu’elle se chargerait de me les faire faire.
Une... Puis deux… Puis trois femmes pouvant correspondre à l’idée que je me faisais d’elle passèrent près de la table… Cette dernière me voyant avec le collier à la main ralentit jeta un regard insistant sur l’objet… me regarda droit dans les yeux avec un petit sourire qui en disait long sur sa pensée… Etait ce elle ? Non… elle continua son chemin comme les précédentes… je compris plus tard qu’en fait elles descendaient au téléphone ou aux toilettes qui étaient au sous-sol… Mais personne n’était venu m’aborder… 15h00… personne… 15h05… personne... 15h10… personne… 15h15 personne… je commençais à penser qu’une fois de plus j’étais tombé sur une fantasmeuse ou alors… qu’elle était venue, m’avait vu, et que je ne lui convenais pas physiquement. Je pensais qu’au moins elle aurait pu me le dire afin que je ne passe pas mon après midi à l’attendre pour rien. Je me fixe comme dernière limite 15h30, après c’est décidé, je pars et tant pis… j’aurais une fois de plus été trop naïf.
A peine avais je terminé cette pensée que je la vis apparaître… Evidemment cela ne pouvait être qu’elle. Une vraie déesse… Une femme superbe, la quarantaine… Grande brune aux cheveux longs … Elancée à l’allure très hautaine… un grand chapeau noir au large bord… une veste rouge… jupe de cuir noir... bas noirs… et perchée sur des chaussures à talons qui me parurent gigantesques. Elle s’approche de moi… je tremble d’émotion… C’est elle, cette fois j’en suis certain, vu le regard glacial qu’elle me lance… Comme elle s’approche de moi… je me lève… elle me lance d’un ton autoritaire
Stéphane ?
Oui Maîtresse
Je ne suis pas ta Maîtresse appelle moi Madame
Bien Madame (cela met tout de suite dans l’ambiance) Elle s’approche de moi et passe sa main sous ma veste pour vérifier que je porte bien les pinces à seins comme elle me l’avait demandé. Elle vérifie en passant d’un téton à l’autre en suivant la chaîne qui relie les deux pinces… Elle plaque sa main et appuie légèrement sur la deuxième pince… puis pousse de plus en plus fort… jusqu'à ce que je commence à gémir, la douleur commençant à devenir trop forte.
Hummm c’est parfait je vois que tu es obéissant et que tu supportes assez bien. Elle s’assied… je fais de même…
T’ai je autorisé à t’asseoir à ma table ? Je me relève aussitôt en lui répondant
Non Madame… je suis désolé… et je vous prie de bien vouloir me pardonner Je reste ainsi planté là, ne sachant plus quoi faire Elle passe plusieurs minutes à me regarder d’un air narquois en manipulant le collier que j’avais laissé sur un coin de la table. Le temps passe… d’un air dédaigneux me fixant d’un regard glacial elle m’ordonne de baisser les yeux elle me toisa ainsi de haut en bas… de très longues minutes… puis elle me dit d’une voix douce mais autoritaire
Assieds toi ! J’obéis illico… voyant mon désarroi elle sourit sournoisement… et me lance
Tu commences très très mal… Néanmoins, elle engage la conversation en parlant de choses et d’autres n’ayant rien à voir avec le BDSM… puis au cours de la conversation elle me lance
As tu apporté les objets dont tu m’avais parlé ?
Oui Madame
Fais moi voir cela.
Je sors de ma poche le carcan de sexe en cuir couvert à l’intérieur de punaises à 3 têtes ainsi que la sangle à couilles également couverte de ces punaises à 3 têtes
Hummm intéressant mais c’est encore pire que tu ne me l’avais dit… J’AIME… Elle les manipule… les examine… les teste avec ses doigts… et me demande combien de temps je suis à même de les porter.
Je n’ai jamais calculé… mais je pense plusieurs heures…
Hummmm c’est PARFAIT... Tout en continuant à les manipuler, elle reprend la conversation en me questionnant sur ce que j’avais déjà vécu... subit… sur mes préférences… mes désirs… mes limites… sur ce que je pense pouvoir subir ou faire, etc… Après une bonne heure et demi de conversation qui me paraissait intéressante et productive… elle me dit
Cà suffit pour aujourd’hui… maintenant… tu vas aller au bar demander pour téléphoner… ils vont t’indiquer et tu m’attendras à coté de la cabine Je me dirige donc vers le bar pour demander. Le barman étant occupé avec un client je patiente… Une fois sa commande prise il se tourne vers moi… Je lui demande pour téléphoner… Il m’indique que le téléphone se trouve au sous-sol à coté des toilettes. Je prends donc la direction du sous-sol. Mais en passant près de la table ou nous étions… plus personne… Je crains le pire… Qu’ai je pu dire ou faire qui l’aurait froissée? Elle aurait disparue ainsi sans explication? Je n’ose y croire… J’essaie de me rappeler rapidement ce que j’aurai pu dire ou faire de travers.. mais je ne trouve aucune réponse… Que faire… descendre comme elle me l’avait demandé ? Partir avec ce doute ? Perdu pour perdu je décide tout de même de descendre… A peine arrive en bas… au fond d’un couloir mal éclairé… j’aperçois sa silhouette dans la pénombre près de la cabine téléphonique. Je suis rassuré… je m’approche… mais à peine suis je arrivé à deux mètres d’elle, qu’elle claque du doigt la main tendue vers le sol et me dit :
Prosterne toi devant moi Surpris, et terrassé par la peur de mal faire, je n’ai aucune idée de la façon de gérer cet événement… Comprenant mon désarroi elle me lance
Tu es vraiment nul… Mets toi à genoux et prosterne toi devant moi et embrasses mes chaussures A partir de cet instant, j’ai compris qu’elle avait décidé que j’allais lui appartenir. Je n’ai jamais vécu ce genre de situation. Je suis fébrile et excité mais j’éprouve une certaine hantise à exécuter cet ordre. L’idée que quelqu’un puisse arriver et me voir dans cette position me fait perdre tout mes moyens.
Bon tu te dépêches ? Tu obéis ? J’exécute je me mets à genoux devant elle et j’embrasse ses chaussures…
Allez continue et mieux que cela… J’exécute je suis à la fois excité et troublé par la situation… mélange de plaisir, de trouble et de peur… Et si quelqu’un arrivait ?
Très bien... tu sembles très obéissant… et relativement bien dressé… Maintenant lèche mes chaussures
J’ai honte… mais j’exécute à nouveau… Je fais de mon mieux pour lui plaire… bien que je sois en panique totale… j’ai peur d’être surpris dans cette position mais également et surtout j’ai peur de ne pas lui donner satisfaction… Elle me laissa ainsi lui lécher les chaussures plusieurs secondes qui me parurent des heures… Je sentais qu’elle prenait un malin plaisir à faire durer… Elle s’assied avec classe les jambes légèrement écartées sur le grand tabouret qui était là, à coté du téléphone. Une jambe tendu un pied par terre et l’autre jambe légèrement repliée son pied reposant sur le barreau. Malgré les yeux baissés j’avais vue entre ses jambes et je me rendis compte qu’elle était nue sous sa jupe de cuir… Cette vue m’excita elle s’en aperçu et me dit en souriant :
Ca va ? tu profites bien de la vue ?
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sims4-jessy · 1 year
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MCM Maison partie 4
Bonjour bonjour!
Voici le MCM Kitchen 😃
Il vous offre 31 nouveaux articles, dont de nombreux appareils encastrés assortis, des comptoirs d'appoint et des bocaux à pâtes! Il a toute la texture du bois assortie, pour rendre la maison MCM aussi assortie que possible !
Pour l'électroménager, vous trouverez un réfrigérateur, une hotte, une plaque de cuisson, une cuisinière un four, un four haut, un lave-vaisselle, un lave-linge et un sèche-linge. Maintenant plus dans les détails : je n'ai pas réussi à rendre compatible le jeu de base du haut four même si le réglage est bg (si j'ai raison) donc j'en ai fait un en utilisant Dream Home Decorator, et un autre comme fouillis pour l'avoir en jeu de base même si ce n'est pas un élément jouable. Il y a une armoire spéciale pour couvrir le four haut. Idem pour la hotte, une version des deux hottes est plus courte, pour correspondre à la hauteur des armoires et la rendre plus homogène, j'ai donc également ajouté une armoire plus courte pour couvrir la hotte si vous le souhaitez ! Les autres variantes d'armoires sont deux armoires ouvertes afin que vous puissiez l'encombrer à l'intérieur et donner plus de vie à vos constructions ! 🤗
Pour les armoires, vous avez deux variantes : une avec deux portes, et une avec des tiroirs. Celui avec des portes n'appartient à aucun appareil, mais celui avec des tiroirs est conçu pour être utilisé avec les appareils encastrés, il est donc sans couture et n'a pas l'espace de la porte en dessous ! Mais bien sûr vous pouvez l'utiliser comme comptoir d'accent !
Vous pouvez trouver les objets en recherchant MCM ou Pierisim dans le jeu.
Certains éléments partagent les mêmes textures alors assurez-vous que les packages se terminent par "texture" dans votre dossier mod :)
Compatible avec tous les jeux de base, sauf le four haut fonctionnel.
version fusionnée et non fusionnée.
Merci beaucoup pour votre soutien 💚
____MISE À JOUR____
- 08/07/2022 : Le nom du catalogue du sèche-linge a été corrigé :)
Pierisim_MCM_part4_MERGED.package
Pierisim_MCM_part4_UNMERGED.zip
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whitepolaris · 1 year
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The Ghosts of Donner State Park
by Janice Oberding
Indeed if I do not experience something far worse than I have yet done, I shall say the trouble is all in getting started. -Tamsen Donner, June 1846
Tamsen Donner could not have foreseen the horror that awaited her high in the Sierras when she penned those words to a friend. She was among the 87 people who left Independence, Missouri, in the spring of 1846 headed west to California and a better life. They might well have arrived safe and sound, their names unknown to history, if not for a fateful decision that led to tragedy. 
Experienced travelers warned them not to take the advice found in a certain book, but the Donner Party leaders’ minds were made up. They would follow the new route suggested by Lansford Hastings, author of The Emigrants’ Guide to Oregon and California; it would, according to Hastings, shave off several days’ travel time. Anxious to reach California, they led the party onto the Hastings Cut-off that would its way across the treacherous Wasatch Mountains of Utah. It was a costly mistake. Instead of saving time, the route slowed their travel and caused them to lose both livestock and food. 
It was late October, and a storm was brewing off the coast of California as the Donner Party headed west toward the Sierras. By the time they reached present-day Verdi, California, snowflakes were flying. A broken wagon axle slowed down George Donner; and as the snow continued to fall, he and his family were forced to stop and camp in a hastily thrown-together shelter as Alder Creek. 
At Donner’s urging, the rest of the party moved onward. Six miles west, they too were stopped by the heavy snowfall. They huddled in crudely built shelters and planned to wait out the snow. But with each passing day, the snow piled higher. They were trapped; they could not retreat and they could not move forward. They would wait here near the water’s edge at Truckee Lake until a recuse party arrived. 
Weeks passed and the food supplies dwindled. Hunting was all but impossible in the ten-foot snowdrifts, and the travelers had already butchered the livestock. Tempers were short as food was rationed and fought over. In desperation, the men and women boiled shoes and laces were make a soup of sorts. Then came the day when there was nothing left to eat. From this day on, some members of the Donner Party would resort to cannibalizing those who had succumbed to the harsh conditions. 
A Park Visitor’s Story
Each year, thousands of motorists drive past the Donner State Park unaware of the horrendous events that took place there in the winter of 1847. Others come to the park because of their fascination with the Donner story. They came, hike, picnic, and just enjoy the outdoors; a few have had a brush with the supernatural. Such is the case with a computer technician, Don Nelspeth (named changed to protect his privacy), who shared the following story with me during a recent conference. 
“The first time I ever camped at Donner State Park, I was about ten years old. Every summer after that, my family would drive up from the Bay Area to spend a few days in what my dad called ‘peace and quiet in the wilderness.’
“But it isn’t really. The park is so close to Interstate 80 that you can hear cars and trucks speeding past at all hours of the day and night. I remember my dad used to walk us around and point out where the Donner Party’s shelters had stood, the big rock with the plaque that bore all their names, and where the remains are supposedly buried. 
“These childhood memories came rushing back to me when I learned that the company picnic campout was to held at Donner State Park, and I was thrilled. It had been years since I’d been up to the park; this would be like going home, in a way. My wife, who isn’t an outdoors person, didn’t share my enthusiasm.
“‘What a creepy place,’ she said, shuddering. 
“’You’ll change your mind once we get there,’ I assured her. 
“My wife and two daughters and I arrived the day before the scheduled campout day so we could enjoy some family time. As we pulled into the park, I was happy to see that things hadn’t really changed all that much; there were more cars on the interstate and a designated walking trail and picnic areas had been added, but Donner Park remained the same. Nostalgia took hold of me as I pulled my wife and daughters to the monument and explained the Donners’ plight. The girls yawned and my wife nodded sullenly. ‘Can you imagine being up here with snow as tall as this monument, and no feed to eat?’ I asked, trying to generate some enthusiasm for the weekend ahead. 
“My youngest answered, ‘But I saw a Burger King down the street.’
“’That was long before fast food,’ I explained. 
“When she asked if there were any dinosaurs here, I decided she was still too young to appreciate the story. 
“My older daughter shivered and asked, ‘What about ghosts?’
“‘No such thing,’ my wife assured her. 
“There was no point in telling them about Tamsen Donner’s glowing ghost that people say roams this park at night, I thought. My parents and I had always laughed at the story, and we even made up a song about it: I see Tamsen’s ghost up in the tree. I hope she gets you instead of me!
“I doubted my wife and daughters would se any humor in the ghost or the song. We pitched our tent in a clearing near tall pines and watched birds flit about. The sound of water rushing over boulders was soothing, but we could still hear the whir of cars rushing along the interstate. 
“Darkness fell early; it always does in the mountains. Traditionalists, we hoisted our hotdogs on sticks over the fire till they were crisp and blackened. After dinner bundled up and sat around the glowing campfire. 
“My older daughter complained, ‘This place is crawling with bugs’ as she swatted at the air. ‘Looks like those Donners could have eaten them,’ she smirked. 
“‘Except that it was winter,’ I explained. ‘And bugs aren’t generally out, and . . .’ I stopped in mid sentence. Directly across the park was something that looked like the glowing figure of a woman; it hovered slightly above the ground and vanished. 
“‘What is it?’ my wife asked. 
“’I lost my train of thought,’ I lied. 
The Wisp in the Tent
Now Don related the part in the story that gave me cold chills-and still does. 
“Wrapped up in their sleeping bags that night, my family fell asleep quickly. But I couldn’t. I got up, sat outside the tent, and spent the next few hours trying to convince myself that what I had seen earlier was nothing but a reflection from a passing car. Maybe it would come back and I would know for sure. 
“It didn’t return until the next night. We were all sleeping soundly when I was suddenly awakened by something that felt cold and wet on my face. Startled, I sat up; that’s when I saw her. She was yellowish and almost seemed to be see-through. She hovered a few inches off the ground and looked around the tent curiously. I have never been as cold as I was in the icy air that emanated from her. I was scared, all right. But I didn’t want to raise the alarm and frightened anyone else. Assuring myself that this wasn’t a dream, I watched as she slowly floated up to the top of the tent and evaporated right through it. 
“‘Tamsen Donner’s ghost. I’ve just seen Tamsen Donner’s ghost. The stories are true,’ I whispered to myself. 
“I know what I saw was real. It wasn’t lights somehow reflecting through the park. I clearly saw its facial features, and it was a woman’s ghost. I’m not sure what she was looking for, but I am convinced I saw Tamsen Donner’s ghost that night.”
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