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Les risques de négliger les droits d'auteur et de sous-évaluer ses photographies
Les Risques de Négliger les Droits d’Auteur et de Sous-évaluer ses Photographies Vendre des photos sans se préoccuper des droits d’auteur et à des prix inférieurs à ceux du marché peut avoir plusieurs conséquences négatives pour les photographes : Perte de contrôle sur l’œuvre : En ne définissant pas clairement les droits cédés, un photographe risque de voir ses images utilisées de manière…
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monlivrepratique · 2 years
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levagabondecarlate · 4 months
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CHAPITRE 1 : Alistair
La nuit s’annonçait chaude, l’atmosphère était lourde. Il y avait de l’orage dans l’air. Tant mieux, se dit Alistair, pour qui les affaires n’avaient pas été au beau fixe ces derniers jours. Les navires allaient chercher refuge avant d’être pris dans la tempête, le port allait se remplir. Bientôt, la petite ville côtière serait noire de monde, et Alistair n’aurait plus qu’à se baisser pour se remplir les poches.
Pour lui qui n’était pas très costaud, pas très sociable et pas très serviable, il y avait peu de voies professionnelles qui s’ouvraient dans les eaux des Caraïbes. Ses anciens talents de chasse à l’arc ne rivalisaient pas avec ceux des boucaniers et leurs fusils, et lorsqu’il ressortait son violon ou sa flûte pour amuser la galerie, il gagnait souvent à peine de quoi payer son repas du soir. Pour ne pas finir sous les ponts, il avait dû considérer sérieusement ses options la première fois qu’il était arrivé dans cette région. Une épiphanie lui était alors venue, au terme d’une réflexion courte mais intense : il se trouvait dans l’une des zones de non-droit les plus fameuses des sept mers. Et puisqu’ici n’y avait pas d’or propre, pourquoi aurait-il fallu que le sien soit bien acquis ?
Alistair était gâté par la nature, il le savait : il avait un joli visage, une voix envoûtante et des gestes élégants. Il plaisait aux femmes autant qu’aux hommes, et tant mieux, car les femmes lui plaisaient autant que les hommes. Il avait toujours eu l’intelligence de se servir de ce cadeau de la nature pour se sortir de mauvaises situations ou encourager les gens à faire ce qu’il voulait, mais maintenant, il pouvait s’en servir pour leur vider les poches.
Sa petite arnaque était bien rodée : il fallait d’abord attendre qu’un nouveau navire arrive au port, de préférence un navire pirate. En effet, les pirates s’étaient engagés dans une sorte de pacte étrange avec la vie : ils acceptaient qu’elle leur soit courte, à condition qu’elle soit bien remplie. A ce titre, rares étaient les pirates qui soient très séduits par le concept d’économie : dès qu’ils mettaient pied à terre, la paie qu’on venait de leur donner disparaissait ; souvent dans la boisson et les corps, parfois dans les possessions. Il s’agissait donc de les attraper dès la sortie du navire, quand leurs poches étaient pleines et qu’il leur pressait de les vider.
Pour son arnaque, Alistair avait besoin d’une victime assez intelligente pour comprendre les règles d’un jeu très simple, mais assez bête pour en sortir toujours perdante. Pour ça, il aimait choisir des hommes, souvent plus bas du front que les femmes : il suffisait souvent aux hommes d’exister pour être embauchés sur un navire, alors que les femmes devaient prouver qu’elles valaient cinq hommes pour qu’on les laisse monter. Par un processus de sélection naturelle, les femmes marins étaient donc souvent bien plus intelligentes que leurs collègues masculins. En tous cas, c’était ce que l’expérience lui avait montré.
Une fois qu’il avait repéré sa victime, il lui suffisait alors de lui attraper le bras, et son sort était scellé ; armé de son sourire le plus mielleux, il l’orientait l’air de rien vers son bar préféré, en lui faisant croire que c’était lui qui choisissait son chemin. Arrivés là, il lui offrait toujours sa première pinte ; celle-ci se finissait toujours vite, car c’était la première, et qu’après des mois à boire de l’eau croupie assaisonnée au vin, il faisait soif. Dès que le verre était vide, Alistair faisait signe qu’on le remplisse. Il réglait celui-là aussi, puis autant qu’il en fallait jusqu’à ce que son nouvel ami imite son geste machinalement sans même plus se rendre compte qu’Alistair ne payait plus (et avait discrètement glissé au tavernier de mettre la suite sur une note). C’était un investissement, certes, mais vite rentabilisé. Quand le visage du marin était devenu bien rouge, c’était le signe pour Alistair qu’il n’avait plus qu’à faucher les blés : il sortait son matériel du moment (ce mois-ci, un verre truqué et une simple pièce d’or), et il proposait un petit jeu innocent à sa pauvre victime imbibée d’alcool.
- Tu veux voir quelque chose de dingue ? Retourne ton verre et essaye de faire comme moi.
Alistair retournait son verre et, sous les yeux d’un marin qui maintenant voyait triple, y faisait tenir debout une pièce d’or. C’était souvent le moment où le spectateur ricanait : et alors, qu’est-ce que ça avait d’incroyable ? Même avec sept pintes dans le nez, n’importe qui pourrait faire tenir une pièce debout au derrière d’un verre.
Alors il vidait son fond de bière, retournait son gobelet et posait sa pièce... qui tombait aussitôt sur la table, son grand sourire hagard avec. Il réessayait immédiatement, mais cette fois en fronçant les sourcils, tout bouffi de concentration, et encore une fois, la pièce roulait, finissant souvent sa course entre les doigts fins d’Alistair. C’était à ce moment-là que la soirée prenait un tournant lucratif, quand, les lèvres retroussées sur ses canines dans un sourire malicieux, le filou proposait alors :
- Et si on pariait ?
“Je peux faire tenir la pièce debout cinq fois d’affilée”, “Je te laisse dix coups pour y arriver”, “Celui dont la pièce tient le plus longtemps”... Quand venait l’heure d’ouvrir les paris, Alistair avait eu tout le temps de trouver la provocation qui convenait à sa victime. Elle tombait dans le panneau, voulait récupérer la première pièce qu’elle avait déjà perdue, et les dizaines d’autres qui suivraient bientôt.
Bien sûr, elle ne savait pas qu’elle n’avait aucune chance ; elle ne savait pas qu’Alistair avait creusé une légère, très discrète encoche au derrière de son verre, dans laquelle il s’assurait toujours de placer sa pièce. Ainsi maintenue, elle ne tombait jamais. Si la plupart de ses victimes étaient souvent trop soûls pour se rendre compte qu’elles se faisaient plumer, il arrivait qu’on l’accuse de tricherie (à juste titre).
- Donne voir ton verre ! - Mais bien sûr, échangeons donc.
Le compagnon de jeu lui arrachait le verre des mains et l’examinait sous tous les angles, sans rien trouver (l’alcool n’aidant pas ses sens d’enquêteur). Il essayait de poser la pièce, mais ne connaissant pas l’existence de l’encoche, elle roulait quand même par terre... L’air ahuri, il laissait Alistair récupérer son verre sans broncher.
- Tu vois, c’est qu’une histoire de talent.
La petite tacle à l’égo était tout ce qu’il fallait pour le convaincre de rester dans le jeu. S’il abandonnait trop vite, Alistair aurait à peine gagné de quoi rembourser les verres qu’il lui avait offerts. Pour beaucoup de ces grands gaillards costauds et bourrus, l’idée qu’un rachitique petit bonhomme imberbe puisse les surpasser dans quoique ce soit était inconcevable. Ils devaient alors se prouver ; à eux-mêmes, mais aussi au monde entier. Très vite, le jeu devenait un spectacle, et il devenait difficile de respirer tant la foule qui se formait devenait compacte. Tout le monde voulait essayer, trouver le truc, devenir le héros de la soirée qui allait rabattre le clapet d’Alistair. Mais l’artiste maîtrisait parfaitement son script, il était maître de chacun de ses gestes. Il savait quand il devait faire semblant de perdre, quand il devait faire croire à sa victime qu’elle avait une chance, et bien sûr, il savait quand il fallait prendre la poudre d’escampette. Il arrivait toujours un moment dans la soirée où l’une de ses victimes se rendait compte qu’elle n’avait plus un sou en poche, et il n’était alors plus question de la raisonner sur la supposée non existence de la tricherie. Il ne restait plus qu’à filer par la sortie de secours qu’Alistair avait déjà repérée une demie-heure avant. Il se jetait dans le public, disparaissait dans la masse, provoquait une bonne vieille bagarre de taverne si besoin ; et si tout se passait bien, il ne revoyait plus jamais aucune des personnes qu’il avait rencontrées ce soir-là.
Bien sûr, cette petite affaire si bien ficelée ne fonctionnait pas toujours. Il lui arrivait de tomber sur quelqu’un qui connaissait le truc (souvent quelqu’un qui s’était déjà fait avoir), ou de tomber sur quelqu’un de pas très joueur, et il lui était déjà arrivé de ne pas réussir à s’enfuir sans y laisser son butin. Sans compter les nombreuses fois, au tout début, où il ne connaissait pas encore assez bien les équipages et leurs réputations pour savoir qui allait le rendre riche et qui allait lui faire perdre son temps. C’était du travail spéculatif, et il lui arrivait encore assez souvent de rentrer bredouille.
Mais le jeu en valait la chandelle. Parce que c’était drôle, parce qu’il savait le faire, et parce qu’il aimait le faire. En plus, ça n’avait aucune conséquence sur le long terme pour lui : il ne restait jamais assez longtemps au même endroit pour se faire une réputation. Si on commençait à retenir son visage, c’était qu’il était temps de partir. Les vrais bons arnaqueurs savaient rester anonymes pour toujours. Avant de partir, et surtout si ses petites affaires n’avaient pas été assez rentables, il lui restait un dernier art subtil à partager avec les locaux : celui de faire les poches, à l’ancienne, du genre attraper avec ses petites mains des choses qui ne lui appartenaient pas et qu’il n’avait pas l’intention de rendre. Il faisait ça sur le chemin du port, juste avant de monter dans le bateau qu’il avait choisi pour l’emmener à sa prochaine destination. Avant même que ses victimes ne se rendent compte que leurs poches s’étaient allégées, il se trouvait déjà en des eaux d’une autre couleur.
Mais revenons à notre soirée chaude, et son air lourd. La nuit était déjà bien tombée et voilait le paysage tropical d’une teinte bleutée, toutes les chandelles des commerces encore ouverts étaient allumées et réchauffaient la ville côtière de leur lumière rougeâtre. Comme il le pensait, la promesse d’un orage avait forcé une bonne dizaine de navires à s’arrêter contre leur gré au premier port qu’ils pouvaient trouver, et toutes les tavernes se gavaient le gosier de marins plus ou moins honnêtes bien décidés à profiter de cette soirée imprévue mais bienvenue. Bien sûr, Alistair n’était pas en reste et s’était dépêché d’harponner sa nouvelle victime.
Un petit public s’était déjà amassé autour de la table où il s’était installé avec son gagne pain. A peine une dizaine de curieux, qui lançaient des théories et proposaient des stratégies chancelantes au compétiteur, dont la bourse avait déjà bien fondu. Alistair s’était déjà fait insulter de tricheur, il avait déjà prêté son verre : tout se passait bien.
Mais l’escroc voyait poindre l’ombre d’un perturbateur à l’horizon. Ça faisait bien une dizaine de minutes qu’il l’avait remarqué. Un homme resté au comptoir, qui fixait leur petit jeu depuis un bon moment. Alistair ne se rappelait pas l’avoir vu quand il était entré dans cette taverne, et il ne se rappelait pas non plus l’avoir vu entrer et s’asseoir. Ce soir, il y avait trop de paquets de marins qui entraient, sortaient et s’agglutinaient pour qu’il note attentivement les va et viens de chacun. Ainsi, il ne savait pas depuis combien de temps il se tenait témoin silencieux de l’entourloupe, mais Alistair ne s’y trompait pas : il avait appris à repérer cette expression qu’ils avaient, ce sourire en coin, ces yeux légèrement plissés sous leurs sourcils froncés. Soit il savait, soit il croyait savoir.
D’habitude, Alistair ne s’en inquiétait pas. Le plus souvent, ces fanfarons arrivaient tout bouffis d’ego, donnaient un essai à leur théorie, et tous les orifices de leur visage s’arrondissaient en regardant tomber la pièce. Bien sûr, il arrivait que quelqu’un comprenne vraiment, et c’était le signe pour Alistair qu’il était temps de décamper (et de sauter dans le premier bateau). Mais ces idiots géniaux, souvent appâtés par la promesse d’un instant de gloire, ne tardaient pas d’ordinaire à venir se faire remarquer. Celui qu’Alistair avait dans le collimateur restait obstinément le derrière vissé à son tabouret, à jeter des coups d’œil provocateurs à Alistair chaque fois qu’il empochait ses gains. Peut-être avait-il une idée en tête. Peut-être avait-il un collègue parmi les pauvres ères en train de se faire plumer, et qu’il comptait tendre un piège à l’escroc.
Que ce fût-ce le cas ou non, Alistair sentait qu’il était temps de prendre la situation en main. Au mieux, il lui damerait le pion, au pire, il se serait enfin débarrassé de cet insupportable sourire qui le narguait dans le coin de son œil. Il se tourna vers le spectateur indésirable, son sourire le plus large au visage, et désigna sa table de jeu d’un geste ample de la main.
- Monsieur nous observe depuis un moment, est-ce qu’il voudrait tenter sa chance ?
Le rictus de l’homme disparu quand toutes les têtes se tournèrent vers lui, et qu’on le regardait tantôt les yeux ronds, tantôt les sourcils froncés. Il avait l’air d’un enfant surpris à jeter des boulettes en papier depuis le fond de la classe, et à qui on demandait de réciter la dernière phrase de la leçon. Malgré tout, sa joue se décolla de sa main, son coude se décolla du comptoir, et il se décolla du tabouret pour s’approcher de la table. Il se pencha au-dessus du jeu, grattant sa lèvre supérieure du bout de l’index pour feindre qu’il réfléchissait (Alistair savait très bien qu’il avait déjà eu tout le temps de réfléchir). Après quelques courtes secondes de cette comédie, il prit la parole, s’adressant à la victime du filou :
- ‘Permettez ?
Sourcils froncés, l’intéressé secoua lentement la tête en soupirant et en écarquillant les yeux. Il avait visiblement déjà arbitré que ce jeu était un casse-tête sans résolution, et que s’il n’y arrivait pas, il n’y avait aucune raison que quelqu’un d’autre y arrive. Malgré tout, il se leva pour céder sa place au nouveau venu, et il s’attendait sûrement à la récupérer rapidement.
- Si tu t’crois plus malin que moi... grogna-t-il en s’installant derrière la chaise qu’il venait de quitter.
L’autre homme lui tapota le bras avec camaraderie alors qu’il s’installait, approchant sa chaise avec le sérieux et la minutie d’un étudiant en train de se préparer pour un examen important. Une fois qu’il fut bien installé devant lui, Alistair eu tout à loisir de mieux étudier ses traits.
D’abord, il fallait remarquer de formidables oreilles. D’aussi grosses, rondes et décollées, Alistair en avait rarement vu ailleurs que sur des caricatures. Elles tranchaient comiquement avec la silhouette parfaitement carrée de sa mâchoire, dont la forme tenait presque de la brique. Ses yeux étaient profondément enfoncés dans son crâne, cachés sous l’ombre de ses sourcils bas et de son front proéminent, si bien qu’il ne put même pas en deviner la couleur. Lorsqu’il ouvrait la bouche, Alistair pouvait voir qu’il lui manquait une dent, une canine ou une incisive sur la droite. Il avait de longs cheveux noirs à peu près aussi ordonnés qu’une litière de foin, abîmés par le soleil et l’eau, et il essayait tant bien que mal de les tenir au respect à l’aide d’un ruban attaché en haut de sa nuque (le résultat ressemblait à une queue de raton laveur effrayé). Une courte barbe mal entretenue, deux boucles noires sur ses oreilles disproportionnées, et des dizaines de bijoux faits en cordages, en bois et en coquillages autour des poignets et du cou terminaient la décoration de son visage. Il avait la carrure de ceux qui travaillaient sur un navire, et l’odeur aussi, mais Alistair dû reconnaître que s’il sentait bien le sel et le soleil, lui au moins s’était débrouillé pour se débarrasser de l’odeur de basse marée. Ses ongles étaient noircis par les blessures et les hématomes, qu’il devait probablement aux échardes, aux cordages et aux doigts écrasés entre les tonneaux. Parmi les nombreuses cicatrices qui taillaient dans sa peau, il en notait une presque parfaitement droite, à l’horizontale, qui courait en travers de la trompette retroussée qui lui servait de nez. Alistair ne put s’empêcher de se demander quelle mésaventure avait put lui valoir celle-ci.
S’il aurait voulu s’attarder plus longtemps à étudier le torse velu et rebondi de l’homme, que son surprenant décolleté plongeant offrait aux yeux de tous, il ne put pas, car quelque chose dans l’attitude de ce pirate le dérangeait et le déconcentrait. Une sorte de script, de calcul constant de sa posture et de ses gestes, comme si rien ne lui venait naturellement et que chaque mouvement devait découler d’un choix hyper conscient. Alistair avait déjà vu ça, à l’époque où il côtoyait les planches de théâtre : chez les débutants qui récitaient leur premier texte. Le filou lutta pour réprimer un début de sourire, se trouvant soudain bête d’avoir presque eu peur d’un homme qui croyait si peu en lui-même qu’il devait conscientiser chaque mouvement de doigt.
Alors qu’Alistair le décortiquait des yeux, l’autre homme avait finit de s’installer et d’inspecter le matériel. Il leva les yeux vers Alistair (il vit alors qu’il les avait noirs) et demanda, semblant presque innocent :
- Les règles ?
- Faire tenir la pièce debout sur un verre retourné.
Alistair avait presque chantonné tant son cœur s’était allégé, maintenant rassuré sur le potentiel danger que représentait son adversaire. Il mettait trop d’efforts à prétendre qu’il était à l’aise dans ses bottes pour l’être vraiment, et ce qu’Alistair avait pris pour des rictus moqueurs n’étaient probablement que les expressions faciales non maîtrisées d’un pauvre bougre asocial vivant 250 jours de l’année dans la cale d’un bateau.
- Et on peut s’y prendre comme on veut ? continua l’autre homme.
- Tant que tu touches pas la pièce avec tes doigts, oui, ricana Alistair, et sa réflexion entraîna les rires d’autres spectateurs avec lui.
- La mise ? persista-t-il sans se laisser démonter par les moqueries.
- A toi de voir. Je devrais pouvoir te suivre.
Il avait répondu ça en faisant sauter dans sa main la bourse qu’il avait gavée de l’or mal acquis de ce soir, et que l’ancien propriétaire fusillait du regard avec rancœur et envie. La nouvelle victime porta la main à sa ceinture, et jeta alors sur la table sa propre bourse encore pleine et fermement scellée par sa cordelette. Une boule d’avidité se forma dans la gorge d’Alistair, qu’il eut du mal à avaler.
- Si ça te va, bien sûr... s’enquit faussement le challengeur.
- Ça me va, répondit Alistair, les yeux rivés sur la mise, alors qu’il sollicitait toutes les fibres de son corps pour ne pas sauter dessus et s’enfuir avec.
- Je parie que je peux la faire tenir debout quinze secondes.
Alistair se mordit les joues de toutes ses forces pour ne pas rire. Autour d’eux, il se murmurait entre les badauds que cet homme était totalement inconscient et qu’il pouvait dire adieu à son or.
- Admettons. Je suis.
Et il lança sa propre bourse sur celle déjà présente, dans un cliquettement mélodieux et sonnant bon l’opulence. Finalement excédé, l’ancien propriétaire de cet or sortit de la foule pour taper violemment du poing sur la table, le visage rougit et gonflé par la colère, ses petits yeux ronds injectés de sang braqués sur un Alistair qui était prêt à bondir pour sa vie.
- Putain, c’est MON or ! rugit-il, la multitude de postillons qu’il venait de cracher s’écrasant sur la table (et un peu sur Alistair, aussi).
- Si je le gagne, je te le rends, intervint l’autre homme avant qu’Alistair n’ait pu se justifier de quoique ce soit.
Tous furent surpris, à commencer par Alistair, qui pendant un très court instant ne put s’empêcher de ressentir sympathie et reconnaissance pour cet homme qui venait de prendre une dynamite à mains nues pour la jeter à l’eau. La dynamite en question perdit totalement Alistair des yeux pour s’intéresser à cet espèce de sauveur prophétique qui, s’il réussissait le miracle de faire tenir une pièce debout sur un verre, promettait de lui rendre sa paie durement acquise. Il fronça d’abord les sourcils, car pour lui comme pour beaucoup d’autres, le concept de générosité héroïque et désintéressée était une légende pas plus concrète que l’existence des fées. Finalement, au bout de quelques secondes à fixer son collègue, il dû le croire assez honnête pour tenir parole ; ses yeux rentrèrent dans leurs orbites et son visage retrouva une couleur normale, puis il sembla à Alistair qu’il essaya de marmonner une sorte de remerciement alors qu’il retournait s’assombrir au milieu de la foule en regardant ses pieds.
La catastrophe évitée, le jeu pouvait maintenant commencer. Le cœur d’Alistair retrouva un rythme normal, et après un court raclement de gorge (et un discret hochement de tête reconnaissant à l’encontre de son adversaire), il fit signe à l’autre homme d’engager les hostilités. Il avait hâte de voir quelle idée géniale il croyait avoir trouvée, et quelle excuse bidon il bredouillerait pour demander une seconde chance de récupérer sa mise. Avec les sourcils froncés d’un homme en train d’étudier une idée, le marin se mit à fouiller dans les gigantesques poches de ce qui lui servait de pantalon... pour en sortir un petit couteau, qu’il déplia du bout du pouce avec tout le naturel du monde, comme si sa peau était à l’épreuve de l’acier. Le sourire d’Alistair disparu et il se redressa sur sa chaise.
- Tu peux pas non plus tenir la pièce en équilibre en te servant de quelque chose, crut-il alors bon de préciser.
- J’y comptais pas, répondit l’homme avec désinvolture. Est-ce qu’il faut que je sache autre chose ?
Leurs regards se croisèrent à nouveau, et Alistair comprit qu’il avait rendu son jugement trop vite. Il était piégé, parce qu’il savait parfaitement ce que cet imbécile allait faire avec ce couteau, mais s’il le mentionnait, il risquait de devenir suspect. Le temps s’écoula silencieusement, une pincée de secondes qui passèrent comme des heures, jusqu’à ce qu’Alistair retourna s’adosser au fond de sa chaise en croisant les bras. Derrière une a priori nonchalance, quelque chose crevait les yeux : il l’avait mauvaise.
- Non, vas-y. Joue.
Et le marin put enfin sourire, d’une oreille à l’autre, en se saisissant de son verre dans lequel il se mit à tailler une petite encoche. Les soupirs de surprise et d’admiration explosèrent autour de lui, alors que les protestations indignées se mêlaient à des rires gras et sonores. Quand il reposa son verre maintenant trafiqué sur la table, il haussa les épaules en s’adressant à Alistair d’un air faussement ingénu :
- Ça m’est venu comme ça. Ça te va ?
Il ne fallait absolument pas qu’Alistair ait l’air de connaître la combine. Il devait rentrer dans son jeu, feindre la surprise et l’admiration devant tant de créativité. Il se força à sourire comme rarement il l’avait fait.
- C’est pas interdit par les règles.
L’autre homme retrouva son sourire, fait de satisfaction et de fierté, puis posa délicatement la tranche de sa pièce dans l’encoche fraîchement taillée. Tout le petit public, que l’agitation récente avait d’ailleurs fait grossir, retenait sa respiration, immobile comme un troupeau d’épouvantails. Une seconde passa, puis deux, puis trois. Alistair regardait la pièce tenir et le temps passer sans le moindre espoir que l’une tombe et que l’autre s’écoule plus vite. Il savait qu’au bout de quinze secondes, la pièce serait toujours debout et que son pécule allait s’envoler. Si au moins le destin pouvait l’accabler plus vite.
La foule éclata en célébrations quand, effectivement, les quinze secondes finirent de s’écouler sans que la pièce ne chute. Le grand gaillard qui avait failli exploser de colère attrapa le vainqueur par les épaules pour le secouer sur sa chaise, avant de se s’emparer de l’or qui lui appartenait à nouveau et de repartir avec sans perdre son temps (craignant sûrement que son collègue ne change d’avis). Ce dernier, redressant difficilement l’axe de ses yeux après s’être ainsi fait agiter sans cérémonie, récupéra sa propre bourse et la remit à sa ceinture.
Pour Alistair, cet or était anecdotique maintenant. Qu’à cela ne tienne, ce soir il rentrerait bredouille ; il lui restait encore assez d’or pour se payer une place sur un navire et s’en aller quelque part où on ne les connaissait pas, lui et ses combines douteuses. Mais déjà fallait-il l’atteindre, ce navire. Pour l’instant, les badauds étaient trop occupés à féliciter le vainqueur et à tester son verre magique pour se préoccuper de lui, mais ça n’allait pas durer, et il fallait qu’il trouve à s’éclipser discrètement avant que...
- Eh, attends voir, comment tu faisais toi ? clama la voix d’une femme dans le public.
Alistair ferma les yeux, pinça les lèvres et dû se rasseoir sur la chaise qu’il avait mine de rien commencé à quitter. La question de cette spectatrice était tout à fait pertinente, comme en prit conscience le reste de l’audience, dont l’attention bifurqua d’un bout de la table jusqu’à l’autre. Alors qu’il entendait la question se répéter comme un écho à travers les différents membres du public, il sentait également que la foule redevenait soudain compacte, derrière lui comme autour, se resserrant sur lui comme un piège humain. Il s’arma de son sourire le plus convainquant (parce qu’il lui fallait aussi se convaincre lui-même), sachant qu’aucun mensonge ne le sortirait de là et qu’il devait juste gagner du temps jusqu’à ce qu’une ouverture s’offre à lui. Il n’avait besoin que de quelques centimètres de couloir dans lesquels s’engouffrer, d’une opportunité de provoquer le chaos, n’importe quelle excuse pour disparaître avant qu’on l’attrape par les épaules et qu’on lui fasse, et bien, ce qu’on pourrait imaginer qu’on fasse à un escroc.
- Beaucoup de chance, j’imagine, s’entendit-il répondre la gorge nouée.
Évidemment, la réponse ne convainc pas. Les grognements et les protestations s’élevèrent dans la foule, l’un jeta l’idée qu’on prenne son verre pour l’examiner, et la suggestion prit comme un feu de forêt. C’était la fin, ils allaient inspecter son verre à la lumière des bougies, trouver l’encoche et le passer à tabac. S’il avait de la chance, on retrouverait son corps sur une plage de l’île voisine quelques jours plus tard, craché par les vagues après que les crabes aient coupé les cordes qui reliaient ses chevilles à un gros rocher. S’il n’en avait pas, il serait tellement défiguré qu’il ne pourrait plus jamais compter sur son joli minois pour gagner sa vie, et il en serait réduit à faire la manche à l’entrée des quais jusqu’à la fin de ses jours.
Une main jaillit de la foule pour s’emparer de son verre. Ses mâchoires se crispèrent, sa gorge était si sèche qu’il se la froissa en essayant de déglutir en vain. Mais l’homme en face de lui, qui était resté assis à sa place, tendit alors le bras si vite qu’Alistair eut peine à remarquer qu’il l’avait même bougé. Il avait attrapé le verre avant l’homme du public, feignant de ne même pas avoir remarqué l’autre main dont il venait de frôler la peau. Il porta l’objet de la triche devant ses yeux, le retournant dans tous les sens avec un air très sérieux au visage, se frottant la moustache comme il l’avait fait en rejoignant la table un peu plus tôt.
- Hmm... soupira-t-il comme en profonde réflexion.
Puis, au terme d’une courte mais très sérieuse inspection, il reposa le verre à l’envers sur la table, devant lui. Il se pencha à gauche, son oreille presque collée contre le bois de la table, fermant un œil pour s’aider à viser et sortant un bout de langue pour... Dieu sait quelle raison. Il prit sa pièce, la tenant rigoureusement au-dessus du verre, puis abaissa lentement sa main jusqu’à ce que l’or touche le gobelet. Arrivé là, il fit encore de grandes manières pendant de longues secondes pour s’assurer que sa pièce resterait bien debout en équilibre, puis la lâcha... et sous les exclamations d’indignation et de surprise de la foule, elle tomba du verre et roula sur la table.
L’homme se redressa en haussant les épaules, l’air désolé de sa performance. Il récupéra sa pièce et retenta l’expérience deux ou trois fois, sous l’œil stupéfait et déconcerté d’Alistair qui ne comprenait rien à son petit manège. Une fois mis dans la confidence, l’encoche était évidente à repérer même au milieu des traces d’usure légitimes, et Alistair était convaincu que l’autre homme l’avait vue. Il était clair qu’il feignait le contraire, mais dans quel but, il n’en avait aucune idée.
Au bout de la troisième tentative infructueuse, alors que la surprise agitait encore le public, le marin finit par hausser les épaules une dernière fois en signe d’abandon.
- Nan, je vois pas, j’y arrive pas. Je crois que le verre est réglo, hein. Alors comment tu fais, montre-moi !
Il avait posé la question en reposant le verre au centre de la table, et en tendant sa pièce à Alistair. Celui-ci laissa passer une seconde en suspens, ses yeux rivés dans ceux de l’autre homme, essayant de flairer le piège s’il y en avait un. Mais s’il y avait quelque chose dont il devait se méfier, il ne le vit pas, et de toute façon ça lui semblait trop tard : il était déjà dedans jusqu’au cou.
Il tendit la main pour attraper la pièce, et sans singer les cérémonies exagérées dont son partenaire de jeu s’était fait l’acteur, il la posa simplement sur le verre, la lâcha, et la laissa tomber par terre. Des gloussements d’indignation et de surprise s’élevèrent à nouveau du public, mais Alistair ne s’en alarma pas, ne lâchant toujours pas des yeux le marin qui l’avait mis dans ce pétrin.
- Oups, finit-il par dire. Je crois que j’ai perdu ma concentration.
Le visage de l’autre homme se fendit d’un sourire, narquois et complice, et avant que qui que ce soit ne puisse dire ou faire autre chose, il attrapa les deux verres, attendit que passe à côté de lui une serveuse munie d’un plateau débordant déjà de vaisselle sale, et il y jeta les maudites preuves de leurs tricheries respectives.
- Oh, et on s’en fout, s’exclama-t-il. A boire, nom de Dieu ! Je paye ma tournée !
Alors la foule rugit de joie d’une seule voix, et enfin, au plus grand soulagement d’Alistair, elle oublia sa présence et éclata à travers toute la taverne (convergeant surtout vers le comptoir pour profiter de la générosité de ce bien aimable collègue). Un semblant de normalité retomba dans l’établissement, le temps reprit son cours, et aussi vrai qu’à l’instant leur petit jeu avait été au centre de toute l’attention, on semblait déjà les avoir oubliés tous les deux. Mais eux n’avaient pas bougé, se fixant toujours l’un l’autre et chacun depuis son extrémité de table ; le marin les bras croisés contre son torse, Alistair le menton posé sur ses mains jointes, coudes sur la table. L’ombre d’un sourire, amusé et curieux, transparaissait sur leurs deux visages. Ce fut Alistair qui brisa leur silence :
- Tu viens de me donner une super bonne idée.
- Ah oui ? répondit l’autre homme, souriant toujours.
- Une super combine d’arnaques en duo. On pourrait arriver dans un nouveau bar tous les soirs, toi et moi, prétendre qu’on se connaît pas...
Les mains d’Alistair bougeaient dans tous les sens, comme pour illustrer ses explications. Il y avait quelque chose d’hypnotique dans la fluidité de ses mouvements, il semblait jeter des sortilèges dans tous les coins du bout de ses doigts.
- Moi, je suis celui qui est évidemment en train d’arnaquer, et toi tu arrives, tu fais celui qui a compris ma triche, tu pourrais refaire ta petite comédie là, c’était très convaincant...
- Hmm hmm... interjecta simplement son interlocuteur en se grattant la joue.
Lui, en contraste, se tenait parfaitement immobile, comme s’il était fait d’un seul bloc rigide de pierre. Manifestement, il avait fini de prétendre qu’il savait bouger son corps.
- T’es le héros qui me fait miser tout ce que je viens de voler, tu gagnes, les gens sont trop heureux de t’avoir vu me remettre à ma place pour penser à m’étriper, je m’enfuis sans risque, et on se retrouve dehors pour partager le butin.
- Pas mal, pas mal.
- Qu’est-ce que t’en dis, tu marches ?
- Merci pour l’opportunité, mais je vais devoir passer. J’ai un vrai travail.
Le rictus d’Alistair s’élargit comme si sa bouche allait lui couper le visage en deux.
- J’en doute pas. A dépouiller les navires marchands j’imagine ?
- Seulement les anglais. Ils l’ont bien cherché.
- A chaque voleur son sens de l’honneur. D’ailleurs, pourquoi tu m’as sauvé les fesses ? Après t’être donné tout ce mal pour m’humilier.
- C’est toi qui m’as provoqué, j’avais pas l’intention d’intervenir à la base. Les gens comme toi me dégoûtent, mais il y en a dans tous les bars, et si on est assez bête pour se faire avoir par des tours de passe passe d’enfant de cinq ans, on mérite de se faire dépouiller. Mais j’étais pas d’humeur à avoir du sang sur les mains ce soir.
Il avait dit ça en dépliant ses bras et en croisant les poings sur la table. Il y avait une honnêteté candide dans son regard, comme s’il avait vidé toutes ses forces de menteur pour flouer leur public et qu’il n’était plus capable maintenant que de dire la vérité. Amusé, Alistair souffla du nez, se rendant compte que leur duo d’arnaqueurs atteindrait bien vite ses limites.
- Tu veux qu’on s’en aille avant qu’ils te demandent d’honorer ta tournée ?
- Volontiers. Où ça ?
- Je connais un coin, mais faut se dépêcher avant que l’orage tombe.
---
Alistair les avait entraînés loin des quais. Après être sortis de la taverne, ils avaient remonté la rue à contresens comme pour retourner au port, mais arrivés là ils avaient disparu dans une ruelle un peu dérobée sur la gauche, dans laquelle plus ils avançaient, plus ils laissaient derrière eux les bruits du bourg. A un moment, ils n’entendaient plus rien, toutes les lumières étaient éteintes, et ils ne croisèrent plus gère que quelques formes sombres dont les yeux, qui brillaient dans le noir, étaient tout ce qui trahissaient leur nature humaine. Ils se rapprochaient de plus en plus de la forêt tropicale environnante, et des sentiers qui menaient aux gigantesques montagnes dans le creux desquelles la ville était blottie. Mais Alistair n’alla pas jusque là. Un peu avant que la ville s’arrête pour de bon, il se remit à descendre vers la mer. Là, plus de port, mais il restait encore un quai en pierre pour délimiter un semblant de rivage civilisé.
Le voleur était surpris de constater que son nouvel “ami” l’avait suivi jusqu’ici sans rien dire, sans objecter et sans poser de question. Pas la moindre suspicion de piège ou de guet-apens ; soit il était très naïf, soit il avait parfaitement confiance en lui pour se sortir d’un mauvais pas. Il s’avérait de toute façon, qu’Alistair n’avait pas prévu de lui trancher la gorge ou de le pousser dans l’eau. Il allait lui montrer un petit endroit qu’il avait trouvé lors d’un de ses nombreux séjours sur cette île, et dans lequel il aimait disparaître lors des rares moments où il aspirait au silence.
Il ne restait plus que quelques pas qui les séparaient de deux escaliers descendants dans le sol, convergeant vers la même destination. Autour d’eux, il n’y avait plus guère que quelques bicoques délabrées, dont la plupart était probablement à l’abandon et squattées, et il aurait suffit de continuer sur la gauche pour pénétrer dans la forêt. Alistair se tourna vers l’animal étrangement docile qui le suivait depuis vingt minutes.
- C’est là.
L’homme leva la tête en écoutant le grondement du tonnerre au-dessus d’eux. L’orage menaçait maintenant d’exploser à tout instant.
- A la bonne heure, grommela-t-il. On a intérêt à être au sec.
- A peu près, oui.
Alistair lui fit signe de suivre alors qu’il s’engouffrait dans l’un des escaliers. A l’instant où son invité posa le pied sur la première marche, la pierre commença à se noircir de gouttes de pluie, mais dès qu’ils eurent fini de descendre et qu’ils furent bien abrités sous l’alcôve souterraine, c’est un véritable déluge qui se déchaîna. Malgré lui, Alistair ne put s’empêcher de penser que le ciel s’était abstenu avec courtoisie, attendant qu’ils soient au sec pour déverser sa rage sur Terre. Il lui en fut reconnaissant.
C’était un petit étage posé presque à même l’eau, au point que quand l’orage se mit à remuer la mer, l’écume menaçait d’inonder ce qu’il leur restait de sol sec. En restant assez loin du bord, cependant, on s’épargnait les éclaboussures. Deux bittes d’amarrages trahissaient que cet endroit devait autrefois servir à arrimer de petites barques, et il sembla à Alistair que l’autre homme avait remarqué la sorte de porte condamnée derrière eux, sans daigner s’y intéresser davantage. C’était froid, humide et étroit ; mais à perte de vue, on ne voyait que des trombes d’eau se jeter dans la mer déchaînée. C’était un peu irréel de se trouver à la fois si près et si loin du chaos. Sans un mot, les deux hommes s’assirent à même le sol et profitèrent du spectacle, à une distance respectable l’un de l’autre.
- Je m’attendais pas à ça, finit par dire l’autre homme à mi-voix, coupant un silence long de plusieurs minutes.
- C’est quoi, “ça” ?
Le pirate jeta un regard autour de lui, comme s’il n’était pas sûr lui-même de ce qu’il était en train de regarder, et de ce qu’il en tirait.
- C’est plutôt joli, “ça”.
Alistair éclata d’un court rire mélodieux.
- Content que ça te plaise.
A nouveau, ils ne se dirent plus rien, et continuèrent d’apprécier en silence le spectacle chaotique de l’orage déchaînant la mer. Parfois, un éclair fendait le tableau, le temps de les éblouir comme en plein jour en faisant rugir le ciel. A part ça, tout n’était que nuances de gris, divergeant si subtilement l’une de l’autre qu’il fallait se fier à leur place sur le tableau et le caractère de leurs mouvements pour savoir si c’était le gris du ciel, de la mer ou de la pluie. C’était pourtant magnifique, pensait Alistair, et il savait que son compagnon pensait pareil. Il était peu d’endroits d’où l’on pouvait observer dans une relative sécurité un phénomène de la nature si destructeur. C’était comme avoir une petite victoire sur quelque chose qui ne perdait jamais.
Le temps s’écoula. Quand le froid commença à raidir les doigts d’Alistair et à lui mouiller le bout du nez, il se dit qu’il était temps de passer à la deuxième moitié de soirée.
- Bon, allez, lança-t-il en se levant, époussetant le derrière sali de son pantalon. J’ai besoin de toi pour un truc.
- Hein ? hoqueta l’autre homme en sortant de sa torpeur.
Il lança des yeux ronds à Alistair, se demandant sûrement s’il avait malgré lui accepté un insidieux marché. Le filou secoua la tête en souriant avant de désigner la porte derrière eux, que son acolyte avait probablement eu le temps d’oublier.
- Y’a un réseau de tunnels qui court sous toute la ville, de l’autre côté. Je pense qu’on devait s’en servir comme passages secrets à une époque, une fois j’ai fait le tour et je suis tombé sur d’autres points d’amarrages un peu planqués comme celui-là.
- Et alors ? grommela le pirate en se relevant à son tour, sourcils froncés. Si t’as un plan foireux en tête, ça m’intéresse pas.
- Et rester au sec, ça t’intéresse ? On peut passer par là pour regagner une auberge, je me rappelle encore des chemins. Par contre, la dernière fois que je suis venu ici, j’ai pas pu ouvrir la porte, elle avait trop rouillé dans ses gonds. Mais je me suis dit que pour un grand gaillard comme toi, une p’tite porte en métal comme ça...
Le grand gaillard en question secoua la tête d’un air désapprobateur, un coin de la bouche tiré vers le haut de manière comique comme s’il s’apprêtait à sermonner un enfant. Il s’approcha toutefois de la porte en invitant Alistair à lui faire place.
- Pousse-toi, je vais voir ce que je peux faire.
Le filou obtempéra sans rechigner et alla s’asseoir sur la dernière marche de l’un des escaliers pour profiter du spectacle. Le pirate commença, bien sûr, par essayer d’utiliser la poignée, qui lui resta dans les mains comme si elle avait attendu depuis des années qu’on l’achève. Alistair éclata de rire en le regardant secouer la tête avec dépit, grommelant dans sa barbe alors qu’il jetait derrière son épaule la poignée devenue inutile. Il entreprit alors de pousser la porte avec ses mains, là encore sans grand succès.
- Merde, elle est vraiment bien coincée... ! souffla-t-il entre deux efforts.
- Vas-y avec l’épaule, ça sert à rien ce que tu fais ! s’exclama Alistair.
- Laisse-moi faire, ok ?!
Malgré ça, et sûrement parce que c’était sa prochaine idée et pas parce qu’on lui avait ordonné, il se mit de côté et commença à donner de bons coups d’épaules dans la porte, y allant avec une force un peu plus croissante à chaque fois que le métal refusait de se plier à sa volonté.
- Putain, tu vas t’ouvrir espèce de... !
Il ne finit pas sa phrase, recula d’aussi loin que le sol le lui permettait, et Alistair ne put que soupirer de surprise en le regardant se jeter sur la porte avec la force et la hardiesse d’un buffle. Dans un “BONK !” retentissant, il vit l’homme et la porte s’écraser ensemble tels une seule entité contre le sol du tunnel. Il sauta sur ses pieds puis jusqu’à l’ouverture presque d’un seul geste, et s’écria malgré lui :
- Ça va ?!
Il n’eut d’abord pour seule réponse que son propre écho, avant qu’un râle ne s’élève du silence.
- Aaaïe, putain...
Malgré la pénombre qui étouffait les tunnels dès l’entrée, il réussit à discerner la masse sombre qu’il devinait être son acolyte se redresser difficilement, une vertèbre après l’autre, accoudée au mur. Le regardant faire, un rire commença à s’échapper d’Alistair, d’abord nerveux, puis presque hystérique.
- Mais qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ? réussit-il à articuler entre deux gloussements.
- J’en sais rien... répondit le pirate en massant ses membres endoloris par l’impact, presque penaud. Elle était en train de gagner. J’étais vexé.
- T’aurais pu essayer plus longtemps avec l’épaule avant de faire ça, soupira Alistair alors qu’il retrouvait son calme. Enfin, c’est le résultat qui compte, merci d’avoir ouvert la porte.
Il passa devant l’homme en contournant comme il put la porte restée au sol, puis il fouilla l’intérieur de sa veste pour en sortir un petit briquet en argent, richement ouvragé. Il l’ouvrit, et la lumière, si pâle et faible fut-elle, fut.
---
Les couloirs étaient étroits et la lueur du briquet ne portait pas bien loin, elle n’illuminait même qu’à peine assez de distance pour qu’Alistair puisse voir où il mettait les pieds. Derrière eux, les bruits des vagues et de la pluie s’étaient faits distants, mais au-dessus de leur tête, ils entendaient encore gronder le tonnerre. Parfois, l’impact de la foudre était si près qu’ils sentaient trembler le sol et les murs autour d’eux.
- J’espère ne plus être là quand tout va s’effondrer, grommela le pirate dans le dos d’Alistair.
- T’en fais pas, on sera au chaud et au sec avant que ça n’arrive, le rassura le voleur avec un sourire en coin.
La taille des couloirs et la timide flamme du briquet forçaient les deux compagnons à marcher presque l’un sur des pieds de l’autre, le pirate étant resté derrière pour que son acolyte puisse tant bien que mal guider leurs pas. Alistair aurait menti s’il avait dit que cette proximité lui déplaisait. Le temps passant, la compagnie de son nouvel ami lui plaisait de plus en plus, et il le trouvait non dénué d’un certain charme “au naturel”. Alors qu’il fouillait sa mémoire musculaire pour retrouver son chemin dans la pénombre, il sentait parfois son cou amorcer un geste vers l’arrière quand il sentait le souffle de l’autre homme caresser sa nuque de trop près. Il devait alors serrer les mâchoires et interrompre le mouvement de sa tête dans un effort conscient, et faire de son mieux pour rester concentré.
- C’est encore loin ? demanda son compagnon, chez qui il sentait poindre un début d’impatience.
- Pas du tout. Si je me rappelle bien, c’est... juste là !
Sa main était restée collée contre le mur depuis le début de leur expédition, et il se repérait grâce à des signes et des symboles qu’il avait gravés dans la pierre lors de ses précédents passages. Sous ses doigts, il venait de sentir la marque qui lui indiquait la présence toute proche de sa petite chambre privée. Il ne restait plus qu’à tourner à gauche au prochain croisement, et oubliant soudain que sa lumière était pour eux deux, il se précipita en avant pour traverser les quelques pas qui les séparaient d’un lit chaud.
- Eh ! s’exclama l’autre homme, abandonné dans le noir.
- Oups, pardon ! ricana Alistair. C’est par là, suis ma voix.
Il tourna son briquet vers l’arrière pour guider son ami, et il dû se mordre les joues pour ne pas rire en le voyant entrer dans la lumière, un air désapprobateur au visage. Une fois rassuré qu’il l’avait bien rejoint, il illumina à nouveau le chemin devant eux, dévoilant les marches d’un escalier.
- Par là, on remonte et il y a une porte en haut. Tiens, écoute.
Alistair fit silence et tendit l’oreille pour encourager le pirate à l’imiter. Entre le distant son de la pluie et parfois les grondements du tonnerre, on pouvait entendre des voix et des bruits de pas, la rumeur d’une auberge.
- Et elle mène où la porte ? demanda le pirate sans perdre le nord. Personne va s’étonner de voir deux goules sortir d’un tunnel souterrain ?
- On arrive dans une sorte de débarras inutilisé, répondit calmement Alistair. Je suis presque sûr qu’ils ont perdu la clé et qu’ils ont oublié qu’ils avaient cette pièce. Je m’en sers comme créchoir pour dormir au sec gratuitement.
Il avait expliqué ça en gravissant les quelques marches qui les séparaient du rez-de-chaussée et en fouillant sa sacoche à la recherche de son kit de crochetage. Arrivés en haut des escaliers, il tendit son briquet à son acolyte :
- Tiens, éclaire-moi.
Une fois les mains libres, il déroula son étui au sol, choisit les outils appropriés, puis se pencha sur la serrure.
- Plus près, j’y vois rien là...
- Je vais te cramer les cheveux si je m’approche plus. Comment tu fais quand t’es seul d’habitude ?
Il sourit sans répondre. Il n’avait pas besoin qu’il approche le briquet, il voulait juste le sentir collé dans son dos.
Clic !, fit la serrure en cédant, et la porte s’ouvrit devant eux, dans un grincement caractéristique des portes qui ne sont jamais ouvertes. Après avoir rangé ses outils, Alistair entra le premier, et chercha sa torche murale à tâtons.
- Te voilà, murmura-t-il lorsqu’il mit enfin la main dessus.
Il fouilla encore ses poches, cette fois à la recherche d’un morceau d’amadou et de sa petite fiole d’huile. Il enduit l’un de l’autre, blottit le résultat dans le nid de la torche, puis, enfin, dans un geste vif, il y transféra la flamme de son briquet et inonda la pièce de lumière.
Ce n’était pas très grand, à peine plus spacieux qu’un gros placard. Lorsqu’il avait trouvé l’endroit pour la première fois, il n’avait même pas pu y mettre un pied : on y avait entassé des caisses vides, des vieux tonneaux remplis de restes pourris, des planches en bois déchiquetés et des draps jaunis et troués. Ça lui avait pris une journée pour tout sortir discrètement et entasser ça plus loin dans le tunnel, et il avait cramé une dizaine de bâtons d’encens pour se débarrasser de l’odeur de moisi, mais ça en avait valu la peine.
Au milieu de la pièce trônait un lit de fortune : un simple drap cousu rembourré de plumes d’oies pour matelas, recouvert d’une épaisse couverture et quelques oreillers, le tout posé sur une large planche en bois. Le plafond en bois laissait passer la chaleur des chambres de l’étage, chaleur que les murs en pierre retenaient bien. A chaque fois qu’il revenait, bien sûr, il devait chasser l’odeur de renfermé et voler des draps propres à l’aubergiste, mais il pouvait alors dormir confortablement sans dépenser une seule pièce de son argent mal acquis. Un luxe pas négligeable, quand les taverniers doublaient les prix de leurs chambres chaque fois que le nombre de navires amarrés au port dépassait trois.
Il jeta un coup d’œil vers son invité, pas peu fier de lui montrer sa débrouillardise, et fut déçu de voir qu’il n’avait même pas l’air surpris. Peut-être s’attendait-il à une cheminée et des tapis de fourrure. Avant qu’il puisse commenter son manque de réaction et faire montre de sa vexation, le pirate remarqua à mi-voix :
- Je vois qu’il n’y a qu’un lit dans cette chambre.
Alistair détourna alors rapidement le regard pour cacher son sourire.
- Mais il y a assez de place pour tenir à deux, répondit-il à voix tout aussi basse.
Il retira ses bottines et, presque dans le même geste, se laissa tomber dans le matelas avec la fluidité d’une vague léchant la rive. Alors qu’il venait de dire qu’ils tiendraient à deux, il s’était étalé en diagonal de tout son long pour occuper presque tout le lit. D’un sourire provocateur, il invitait son ami à venir partager avec lui l’espace qu’il restait.
A première vue, le pirate ne réagissait pas. Rien ne transparaissait sur son visage ; quoiqu’il pensait, Alistair ne pouvait pas le deviner. Puis, au bout de quelques secondes, il retira également ses bottes de marin, s’agenouilla dans le matelas et rejoint la hauteur d’Alistair à quatre pattes. Là, leurs lèvres se rencontrèrent pour la première fois, avec l’assurance de celles d’amants qui se seraient déjà embrassés des dizaines de fois.
---
- Tu veux manger quelque chose ?
Sa question avait réveillé l’autre homme, ou l’avait empêché de s’endormir tout du moins. Malgré tout, d’une voix déjà enraillée par le sommeil, il répondit :
- Ouais.
- J’arrive.
Il lui tapota le torse avant de s’en décoller, puis fouilla le sol à la recherche de quelque chose pour cacher son corps. Pas assez motivé pour se rhabiller entièrement, il opta pour la chemise de son amant, assez large et longue pour lui tomber jusque sous les fesses. Il attrapa à nouveau ses outils de crochetage, et se dirigea cette fois vers la porte qui menait au reste de l’auberge. Après avoir gardé son oreille contre la porte assez longtemps pour s’assurer que le reste du bâtiment dormait, il força la serrure et s’introduit dans la réserve. S’éclairant à la lumière de son briquet, il arpentait à tâtons, pieds nus, les différents étalages de nourriture autour de lui. Il avait l’embarras du choix, et d’ordinaire il aurait évité les produits de luxe, dont la disparition ne serait pas passé inaperçue, mais ce soir il se sentait l’âme généreuse : il avait un invité à régaler. Il se chargea donc les bras de pains, fromages et viandes séchées, puis fit quelques allers retours pour ramener également quelques pichets de lait et des bouteilles de vin, s’assurant de refermer la porte derrière lui une fois son larcin accompli.
La table enfin dressée à même le matelas, son ami se redressa à peine, juste assez pour ne pas manger allongé, et ils s’empiffrèrent alors en silence, se rendant compte tous les deux qu’ils étaient en fait affamés.
- Je me sens mal pour l’aubergiste, articula le pirate la bouche pleine. Ça va lui coûter cher tout ça.
- T’en fais pas, au prix qu’il vend sa soupe, il rentabilise vite, le rassura Alistair en ouvrant une bouteille de vin qu’il tendit à l’autre homme. Tiens, ça c’est la tienne.
Il accepta la bouteille sans pouvoir retenir un rire nasal, apparemment amusé que chacun ait sa propre bouteille à descendre.
- Comment tu t’appelles ? demanda-t-il finalement après s’être nettoyé le gosier d’une bonne gorgée de vin.
La mâchoire d’Alistair s’interrompit dans sa mastication machinale. Il se rendit compte qu’on ne lui avait plus posé cette question depuis longtemps. Il essaya de dissimuler l’effet que la question avait eu sur lui avec un sourire.
- Pourquoi, tu veux me dénoncer à quelqu’un ? répondit-il sur un faux ton de plaisanterie, sans cacher son intention d’ignorer la question.
- J’ai compris. Pas mes oignons.
S’il avait eut la délicatesse de saisir le message et de ne pas insister, Alistair dû bien se rendre compte que sa réponse avait quelque peu refroidit l’attitude de son invité à son égard. Sans trop comprendre pourquoi cela le touchait, il se sentit malgré tout obligé de ralléger l’ambiance, de la seule manière qu’il connaissait.
- Tu peux m’appeler comme tu veux si tu me refais ce truc avec ta langue.
Avec des plaisanteries de mauvais goût. Leur nature, si clivante soit-elle, promettait toujours un effet, et il n’aurait qu’à continuer de rebondir dessus jusqu’à ce qu’on oublie qu’il refusait de donner son nom.
- Je vais avoir du mal à t’appeler, tout court, si j’ai la bouche pleine.
Alistair éclata d’un rire court qu’il dû contenir de son mieux (ils étaient toujours en effraction chez quelqu’un d’autre). Il avait bien senti que sa remarque n’avait pas particulièrement amusé son invité, et que sa réponse relevait plus du sarcasme que d’une vraie complicité, mais ça lui suffisait. Le sujet avait été dévié, et il avait plus de souplesse pour réchauffer l’ambiance. Il décida néanmoins de clore la conversation une bonne fois pour toutes, pour s’assurer que la question ne revienne pas :
- J’évite de donner mon nom aux gens que je ne suis pas censé revoir. C’est pas contre toi.
- Ça va, j’ai compris. T’as tes raisons, ça se tient.
Leur banquet achevé, il poussa les restes hors du lit pour ne garder que le vin, épousseta les miettes des draps et ouvrit les bras en s’allongeant, invitant Alistair à le rejoindre comme pour prouver que l’incident était clôt et qu’il n’en prenait pas ombrage. Le voleur sourit doucement avant de revenir se blottir contre lui, rassuré que cette soirée puisse finir aussi agréable qu’elle avait commencé. Ils ne dirent plus rien et, sirotant toujours leurs vins, attendirent patiemment que le sommeil les emporte.
---
Alistair n’avait bu que quelques gorgées, et s’était débrouillé pour que son convive finisse sa bouteille à sa place. L’oreille collée à son torse, il avait feint de s’endormir en même temps que lui, surveillant de près le rythme de sa respiration. Le pirate avait sombré, profondément accablé par l’alcool, le poids de leur repas et la nature de leurs activités. Alistair, lui, était resté parfaitement éveillé.
Il se redressa lentement, se libérant de l’emprise des bras du marin, et sortit du lit sans un bruit. Toujours sans un bruit, il ramassa ses vêtements et se glissa dedans ; bandages, chemise, corset, collants, pantalon, puis une bottine après l’autre. Une fois rhabillé, enfin, il se tourna vers le tas de linge qui appartenait à son amant. Il n’eut pas à fouiller longtemps dedans pour trouver ce qu’il cherchait, et un large sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il sentait ses doigts se refermer sur la bourse d’or du pirate.
- Merci bien, murmura-t-il en la déliant du pantalon pour l’attacher à sa ceinture.
Enfin, il ramassa sa sacoche et se dirigea à pas feutrés vers la porte qui menait aux tunnels. Juste alors qu’il s’apprêtait à l’ouvrir, quelque chose lui traversa l’esprit. S’il avait une dernière chose à faire avant de partir, il fallait le faire maintenant, car il risquait de réveiller l’autre homme à chaque grincement de porte. Il se tourna vers le pauvre ère, toujours accablé du sommeil des justes, s’enfonçant dans le matelas comme une pierre dans l’eau. Il souffla du nez, amusé par le tableau, et revint sur ses pas. De sa sacoche, il sortit un bout de charbon et déchira un coin de parchemin dans lequel il écrit un mot ; puis, son regard s’arrêtant à nouveau sur le spectacle du corps nu paisiblement endormi dans les draps, il se pencha lentement au-dessus de lui. Il sentait le sel, le soleil et le vin. Il laissa un ultime baiser sur ses lèvres.
- Sans rancune, beau brun.
Il se leva, flotta de nouveau vers la porte, se glissa dans l’ouverture la plus petite qu’il puisse faire, et rabattit fermement la porte derrière lui. Était-ce cruel de l’enfermer ici, à lui laisser le choix entre défoncer la porte pour se perdre dans les tunnels, ou affronter la colère de l’aubergiste dont ils venaient de vider la cuisine ? Peut-être. Mais, pensa-t-il avec un sourire en coin, c’était de bonne guerre, après le petit tour qu’il lui avait joué dans la taverne. Il n’y aurait pas mort d’homme, s’il était assez intelligent pour choisir l’aubergiste plutôt que les tunnels.
Il lui fallu quelques minutes pour faire à l’inverse le chemin qu’ils avaient fait ensemble quelques heures plus tôt. Dans le silence et l’obscurité, il laissa son esprit vagabonder, réfléchir à son futur proche. Maintenant que sa petite arnaque était tombée à l’eau chez les locaux, il allait devoir déménager. C’était normal, il avait l’habitude, il se déracinait toute l’année et parfois même plusieurs fois par mois. Mais il repensait à la frayeur qu’il avait eue en début de soirée, convaincu qu’il vivait ses derniers instants sur Terre et qu’il allait mourir. Il se rendait compte qu’au fil des dernières années, il s’était mis à croire qu’il était invincible, et qu’il arriverait à mourir de vieillesse après avoir passé sa vie à voler celle des autres. Ce petit retour à la réalité lui avait fait prendre conscience qu’il s’était bien amusé, mais qu’il était peut-être temps de changer de stratégie. Peut-être qu’il avait besoin d’une retraite anticipée, mais pour ça, il lui fallait mettre un patrimoine de côté. Peut-être qu’il avait besoin d’un “vrai travail”.
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christophe76460 · 10 days
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*SAUVE TON ÂME D'ABORD !!!*
⚠️ *Ecclésiaste 12:8*
*Vanité des vanités, dit le prédicateur, tout est vanité !*
Saints bien-aimés, avez-vous déjà pris le temps d'observer et de voir comment cette génération vit sa vie ?
Que pouvez-vous dire de cette génération ?
Les gens travaillent-ils plus pour le salut de leurs âmes ou sont-ils juste après les choses temporelles de cette vie qui ne sont que vanité.
Néanmoins, je veux que vous soyez clair sur deux points majeurs ici :
*L'ÂME D'UN HOMME EST ÉTERNELLE mais LES BIENS MATÉRIELS DE CETTE VIE SONT DE LA VANITÉ,* maintenant entre l'ÉTERNEL et la VANITÉ, lequel a la plus grande priorité ?
pour lequel les gens travaillent le plus ?
Ô! ne savez-vous pas que *RIEN SUR TERRE NE PEUT ÊTRE AUSSI VALABLE QUE L'ÂME D'UN HOMME*.
Les choses matérielles pour lesquelles vous travaillez, comme posséder une flotte de voitures, des maisons, des jets privés, des domaines, des hôtels, des centres commerciaux, etc. ne sont que vanité et ne peuvent être comparées à votre propre âme qui est éternelle.
Ainsi, ces choses pour lesquelles vous travaillez n'ont pas autant de valeur que vous qui travaillez pour elles.
Un homme qui met sa confiance dans les choses temporelles de cette vie est comme un homme qui essaie d'attraper le vent, car peu importe comment il essaie d'attraper le vent, il le perdra toujours, alors poursuivre la vanité est comme essayer d'attraper le vent, vous le laisserez définitivement derrière vous et ferez face à la réalité de l'éternité, un jour, vous laisserez vos voitures, votre manoir, vos bâtiments, e. t. c et ferez face à l'éternité. Un jour, vous laisserez vos voitures, votre manoir, vos bâtiments, etc. et vous ferez face à l'éternité, car le jour du jugement, l'argent que vous gagnez sur terre ne vous sauvera pas, vos investissements sur terre ne vous sauveront pas, toutes les choses matérielles sur terre ne vous sauveront pas, ce qui compte le plus le jour du jugement est *SI VOTRE ÂME EST SAUVÉE OU NON.*
Réfléchissez-y !
Si vous êtes devenu si terre à terre, si vous avez perdu l'objectif du ciel, si vous avez mis votre confiance dans les vanités de cette vie, alors vous devez vous repentir et mettre votre confiance en Jésus-Christ, et ensuite vous concentrer sur le ciel, car les choses qu'un homme obtiendra au ciel seront avec lui pour toute l'éternité, mais les choses qu'un homme obtient sur la terre ne sont que vanité.
Oui, je vous dis que même votre corps terrestre est vaniteux, car il retournera à la poussière, mais votre homme intérieur n'est pas vaniteux mais éternel, votre âme est éternelle, votre homme intérieur est le vrai vous, qu'arrivera-t-il au vrai vous quand il aura quitté toutes les vanités de cette vie, ne savez-vous pas que toutes ces choses temporelles sur la terre ne peuvent pas vous sauver et que c'est seulement Jésus-Christ qui peut vous sauver, s'il vous plaît ne vous méprenez pas, l'argent, les voitures, les maisons, etc.
Sont bons mais toutes ces choses ne peuvent pas être sauvées. En fait, il est inutile de comparer ces choses à votre âme car elles ne sont pas à la hauteur de votre âme, même si ces choses matérielles sont bonnes, vous ne devez pas les aimer plus que votre propre âme car ces choses matérielles sont temporelles mais votre âme est éternelle. A quoi servirait à un homme de gagner le monde entier et de perdre sa propre âme, mes bien-aimés, ayez l'esprit céleste, quoi qu'il arrive, ne perdez jamais de vue le ciel.
Priez toujours pour avoir la force de vivre une vie sainte, soyez fervent, soyez sérieux avec votre vie chrétienne car je vous dis la vérité que les deux destinations éternelles que sont le ciel et l'enfer sont en fait plus réelles que ce monde temporel dans lequel nous vivons ; dans les deux mondes éternels ; rien n'est vanité", au ciel vous aurez la paix éternelle, l'amour, la joie, le bonheur, l'amour, etc. mais l'enfer est plein de douleur éternelle, tourment, chagrin, regret, e.t.c
rappelez-vous que c'est seulement sur terre que tout est vanité mais par la suite dans les mondes éternels tout n'est plus vanité mais éternel.
Prenez soin de votre homme intérieur, prenez également soin de votre homme extérieur qui est votre corps, le corps terrestre d'un homme est vaniteux mais l'homme intérieur qui vit à l'intérieur du corps est éternel, alors ne permettez pas à ce qui est vaniteux d'empêcher ce qui est éternel d'arriver au ciel, soyez saint intérieurement et extérieurement, repentez-vous totalement de tous les péchés, repentez-vous du mensonge, du vol, de l'envie, de l'amertume, du commérage, de la médisance, de la haine, des mauvaises pensées, etc.
Pour garder l'homme extérieur saint, vous devez être naturel, je répète, vous devez être naturel comme Dieu vous a créé, ne changez pas la couleur de votre peau en la décolorant, ne tatouez pas votre corps, n'attachez jamais quoi que ce soit sur vos cheveux naturels, évitez tous ces vêtements du monde qui sont transparents, évite les vêtements serrés et aussi les vêtements qui exposent ton corps, n'affaisse pas tes pantalons, ne teins pas tes cheveux, une femme ne doit pas porter des vêtements d'homme, car si tu t'adonnes à tous ces péchés sans te repentir, tu vas droit en enfer, mais si tu te repens totalement, tu sauveras ton âme, aimes-tu ces choses plus que ton âme ? !!!
Voulez-vous mettre en danger votre propre âme à cause de toutes ces beautés artificielles qui ne sont que vanité, allez-vous permettre à la vanité de vous empêcher d'avoir la vie éternelle.
Bien-aimés, prenez la décision d'aimer votre propre âme plus que les vanités de cette vie terrestre, en toutes choses, mettez Dieu en premier, ne perdez jamais de vue le ciel, soyez saints jusqu'à la fin et que Dieu vous bénisse au nom de Jésus, AMEN.
Par : Michael Felix
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jogallice · 18 days
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Aujourd’hui, vendredi 06/09/24, une journée sans Journée qui va ravir celles et ceux qui ne les aiment pas, qu’elles soient locales, territoriales, nationales, européennes, internationales ou mondiales 😆 Bonne journée sans Journée 😎
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Émmanuel Macron a choisi❗️Michel Barnier, ancien député savoyard, membre des Républicains et négociateur du Brexit, a été nommé Premier ministre hier. 73 ans pour le plus âgé des Premiers ministres de la Ve République qui succède ainsi à Matignon à Gabriel Attal, 35 ans, qui était lui le plus jeune 🧐
Fabrice Pannekoucke a été élu hier président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le Savoyard, maire de Moûtiers depuis 2014, succède ainsi à Laurent Wauquiez à la tête de la deuxième région la plus peuplée de France 🗳️
Dans un rapport paru hier, la chambre régionale des comptes d'Auvergne-Rhône-Alpes déplore une mauvaise politique ferroviaire de la SNCF : manque de rames, vétusté du matériel, trains en surcharge…  Les investissements à venir sont colossaux : au moins 3,8 milliards d'euros pour la région, d'ici 2035 🚆
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Un marché le vendredi à Annecy : marché de la vieille ville (rue Sainte Claire) de 7h à 13h ℹ️ Au cœur des vieux quartiers, flânez entre les étales du marché le plus typique : les produits du terroir sur le marché alimentaire mais également les produits textiles et manufacturés 🧺
Je partage ce “plan” annécien pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore ce lieu d’accueil et d’échange  ℹ️  Boissons sans alcool, livres, jeux 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 10h à 12h et de 14h30 à 16h30 (après-midi jeux de société) 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché) ☕
Jeux du moulin : jeux de manipulation et d'initiation pour les plus petits, jeux de constructions ou de société pour les plus grands ℹ️ Spécial famille, les enfants doivent être accompagnés 🎫 Accès libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 16h30 à 18h30 📍 Espace Jean Moulin ♟️
Apéritif musical surplombant la ville (dansez sur la terrasse) : Mister Ted, DJ Radiomeuh (funk groovy world hop-hop) 🎫 Gratuit, Happy Hour jusqu'à 20h : tous les cocktails à 8 € 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 18h à 22h 📍 Restaurant Tizzo (Nouvelles Galeries) 🎚️
West My Jam : comme chaque premier vendredi du mois ℹ️ Une Jam est un partage musical organisé ou non, où plusieurs musiciens peuvent se joindre pour créer et partager de la musique 🎫 Scène ouverte gratuite 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 19h à 23h 📍 Best Western International 🎶
Musique classique : concert d'ouverture ℹ️ Dans le cadre du festival Les Bestivités Musicales ⌚️ 45 min 🎫 Participation libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 à 19h 📍 Prieuré de Talloires (chemin de la Colombière, Talloires-Montmin, Grand Annecy) 🎼
Magie tzigane : dans le cadre du festival Plages en scène qui baisse ce soir le rideau de sa 2e édition ℹ️ Buvette et restauration sur place 🎫 Entrée libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 à 19h30 (ouverture à 18h30) 📍 Plage de la Brune, Veyrier-du-Lac, Grand Annecy 🎻
Concert : La Ripaille à Sons ℹ️ Fanfare qui vous invite à un concert festif, préparez-vous à une soirée rythmée et pleine de bonne humeur 🎫 Entrée libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 20h30 à 21h30 📍 Les Steppes 🥁
Concert : Grand Raspail et The Markee’s (duo explosif entre soul garage, beats Hip Hop envoûtants et mélodies blues désertiques) ℹ️ À l'occasion des 7 ans du lieu 🎫 Entrée libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 de 20h30 à 22h 📍 Bistro des tilleuls 🎂
Musique classique : Marto ℹ️ Dans le cadre du festival Les Bestivités Musicales ⌚️ 1h 🎫 Participation libre 📆 Ce vendredi 06/09/24 à 21h 📍 Prieuré de Talloires (chemin de la Colombière, Talloires-Montmin, Grand Annecy) 🎵
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Indices ATMO à Annecy : avec le retour du soleil et une légère remontée des températures, les concentrations en ozone devraient légèrement augmenter 📈 Une qualité de l’air très majoritairement moyenne à plus localement dégradée est attendue sur la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2) ➡️ Ambroisies : niveau 2 ; graminées, plantain et urticacées : niveau 1 ; platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 31/08/24 au vendredi 06/09/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : le chlore irrite vos muqueuses fragilisées par les pollens, évitez les piscines 😷
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Trois dictons du jour pour le prix de deux : « Au six septembre, la sève commence à descendre. » 🌲 « À la saint Bertrand, double tes vêtements. » 🧦 « À la saint Bertrand, la sève descend et prend son temps. » ⏳
Et deux autres dictons du jour pour la route : « La saint Bertrand nous dit bien souvent que le temps est avenant. » 🤔 « Lorsque la sève baisse à la saint Bertrand, l’hiver montrera les dents. » 🦷
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et une excellente fin d’été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎲
Bonne fête aux Bertrand et demain aux Reine 😘
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chassisplus · 26 days
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Choisir la porte d’entrée parfaite : tout ce que vous devez savoir
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La porte d’entrée est la première et la dernière chose que verront vos invités. Vous voulez donc qu’il soit beau et qu’il fonctionne bien. Il devrait garder votre maison au chaud ou au frais. Il doit assurer la sécurité de votre famille. Une bonne porte d’entrée est également un investissement judicieux. Une porte économe en énergie peut réduire votre facture d'énergie
Les portes d'entrée standard mesurent de 30 à 36 pouces de largeur et 80 pouces de hauteur. Si vous possédez une porte de taille standard, il existe de nombreuses options. Sinon, vous pouvez commander une porte sur mesure.
Points clés pour choisir une nouvelle porte d’ entrée
1. Sélection de la bonne porte extérieure
L’achat de la porte extérieure parfaite pour votre maison est important pour le style et la sécurité. Connaître vos options vous aidera à faire le meilleur choix.
Portes pré-suspendues ou portes à dalles
Il existe deux principaux types de portes extérieures : les portes pré-suspendues et les portes à dalle. Discutons des deux en détail :
Pré-accroché :
• Ces portes spécialement conçues sont livrées avec la porte et son cadre.
• Ils sont généralement plus faciles à installer.
• Il s'agit de la porte déjà fixée au cadre.
• Il est doté de charnières, de seuils et de coupe-froid. Ce type assure une bonne étanchéité et s’adapte avec précision.
• La quincaillerie comme les poignées de porte et les serrures pour portes pré-suspendues est vendue séparément.
Portes à dalles :
• Il comprend uniquement la porte elle-même.  Cela signifie qu’ils ne sont pas livrés avec le cadre ou les coupe-froid.
• Ils sont utilisés pour remplacer une vieille porte. L’installation d’une porte à dalle peut être plus simple. Mais vous aurez peut-être besoin d’une taille personnalisée si votre maison est plus ancienne. Le matériel doit être acheté séparément.
*Remarque : Si la porte existante est ancienne (plus de 25 ans), une porte pré-suspendue pourrait être le meilleur choix. C'est pour une bonne étanchéité et un bon ajustement.
2. Matériaux de porte : doivent être solides et sécurisés
Pour une porte durable, il est indispensable que les matériaux utilisés soient de qualité. Le fabricant préfère donc la fibre de verre, l’acier et le bois. Ce sont d’excellents matériaux utilisés pour concevoir les portes, notamment celle de façade.
Malgré cela, un mélange de ces trois matériaux est également privilégié par les designers pour la réalisation de la porte d’entrée. Ex. : Les portes sur mesure ont un cadre en acier avec une âme isolante spéciale. Ils peuvent être finis avec des matériaux comme
• Acier, bois
• Porcelaine, béton
• Verre et laque
Chaque matériau se décline en différentes textures et couleurs. Vous pouvez mélanger les matériaux de manière appropriée pour donner un aspect unique à la porte. De plus, vous pouvez choisir différentes finitions pour les parties intérieures et extérieures de la porte.
Pour en savoir plus sur les portes faites de différents matériaux, consultez les pointeurs mentionnés ci-dessous.
Portes en bois – Un signe de force naturelle
Les portes en bois offrent un look classique et élégant. Ils résistent bien aux bosses. De plus, les rayures sur la porte en bois peuvent être facilement réparées. Les bois courants utilisés pour la conception de ces portes comprennent
• Noyer, cerise
• Chêne, acajou
• Érable, Pin, Sapin, etc.
*Remarque : les portes en bois de qualité supérieure sont plus épaisses et présentent des sculptures plus détaillées. Ils nécessitent un vernissage ou une peinture réguliers et doivent être vérifiés une fois par an pour déceler tout dommage.
• Portes en acier : symbolisent l'élégance et la durabilité.
Une porte en acier est un choix solide et abordable. Ce type de porte d’entrée résiste bien aux intempéries et aux problèmes de sécurité. Il ne se fissurera pas et ne se déformera pas. Les portes en acier haut de gamme ont un cadre intérieur en acier et une isolation en mousse. Ils peuvent être finis pour ressembler au bois ou à d’autres matériaux.
• Portes en verre : mélange parfait de beauté et de style
De nos jours, les portes vitrées deviennent populaires. Tout produit fabriqué en verre ne signifie pas qu’il se brise s’il n’est pas manipulé correctement. Les portes vitrées modernes sont totalement sûres.  Vous pouvez utiliser cette porte pour assurer la sécurité de votre maison.
• Portes en fibre de verre : durables et impressionnantes
Les portes en fibre de verre sont durables et nécessitent peu d’entretien. Ces portes sont disponibles dans de nombreux styles. Ils peuvent être peints ou teintés. Ils ont une excellente caractéristique de résistance à l’usure. Mais les portes en fibre de verre moins chères peuvent se fissurer. Il est donc préférable de choisir des options de meilleure qualité.
3. Façons d’accrocher une porte : une position parfaite est nécessaire pour un look parfait
Vous n’êtes pas obligé de vous en tenir au système traditionnel à trois charnières pour votre porte. Les portes modernes peuvent utiliser des charnières cachées. Ou ils peuvent être montés sur un pivot vertical. Ces options permettent à la porte d’entrée de s’ouvrir plus largement. Ils laissent entrer plus de lumière. Vous pouvez choisir de quel côté placer la charnière ou le pivot.
4. Important à savoir : Comment améliorer l’isolation ?
Les portes en acier et en fibre de verre offrent généralement une meilleure isolation que les portes en bois. Cependant, la plupart des pertes de chaleur se produisent à cause des espaces autour de la porte. Lors de la sélection d’une porte, assurez-vous que le cadre de porte est bien construit. Vérifiez également correctement les joints coupe-froid. Le seuil doit être bien ajusté au bas de la porte.
Les portes modernes utilisent souvent une combinaison de matériaux pour une meilleure isolation et sécurité. Les portes de haute qualité ont une rupture de pont thermique. Il s'agit d'un matériau spécial situé entre les couches intérieure et extérieure. Cela aide à empêcher la chaleur et le froid de passer à travers la porte et le cadre. Cela évite la formation de givre à l’intérieur.
5. Améliorer la sécurité des portes : la sécurité est importante
La véritable clé de la sécurité réside dans le système de verrouillage. Recherchez les portes avec un pêne dormant solide. Cela doit mesurer au moins un pouce de long. Il doit être muni d'une gâche métallique renforcée. Pour plus de sécurité, choisissez la porte d’entrée avec plusieurs goupilles de verrouillage.
Si votre porte est équipée d'une fenêtre ou d'une fenêtre latérale, assurez-vous que le verre est pare-balles et résistant aux marteaux.
Le verre vitré peut offrir une protection supplémentaire contre les effractions.
 Les portes modernes sont également équipées de systèmes de verrouillage avancés. Ils disposent d'une entrée sans clé via :
• Smartphone
• Clavier, et
• RFID
6. Choisir la bonne direction de swing
La plupart des portes extérieures s'ouvrent vers l'intérieur. Mais vous pouvez personnaliser une porte pour qu’elle s’ouvre vers l’extérieur si nécessaire.
7. Choisir la couleur parfaite
Le bois naturel est un classique. Mais les couleurs vives donnent un look saisissant. Vous pouvez opter pour des couleurs comme RVB (Rouge, Orange, Bleu). La teinte verte est également superbe.
Choisissez des finitions comme le noir brillant et l’acier inoxydable, pour un joli look. Tenez compte de votre climat local et du style de votre communauté lorsque vous choisissez une couleur.
8. Installation de votre nouvelle porte
Si vous êtes bricoleur, vous pourrez peut-être installer vous-même une porte pré-suspendue standard. Ceux-ci sont accompagnés de :
• La porte déjà montée dans le cadre
• Charnières, et
• trous de serrure pré-percés
Cependant, si vous débutez dans l’installation de portes ou si vous avez besoin de modifications, il est préférable de faire appel à un installateur professionnel.
Conclusion
Choisir la bonne porte d’entrée est important pour améliorer l’apparence et la sécurité de votre maison. Avec autant d’options, trouvez ce qui correspond à vos besoins. Chaque option affectera l’apparence et le fonctionnement de votre maison. Prenez votre temps. Obtenez des conseils si besoin. Choisissez une porte dont vous serez satisfait pendant des années.
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Pourquoi Et Comment Investir Dans du Matériel à Louer Pour Générer des Revenus ?
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Investir dans du matériel à louer peut sembler être une solution idéale pour diversifier vos revenus, mais cela pose aussi des défis considérables. Imaginez-vous avoir récemment acquis un parc de matériel coûteux, convaincu que les demandes de location vous permettront de rentabiliser rapidement cet investissement. Cependant, après plusieurs semaines, les réservations tardent à venir, et le coût d’entretien commence à peser lourdement sur vos finances. Comment éviter que cet investissement ne devienne un fardeau financier et, au contraire, en faire une source de profit stable? C’est justement ce que nous allons explorer dans cet article.
Les Raisons de Se Lancer dans la Location de Matériel
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L’idée d'investir dans du matériel à louer peut sembler complexe au premier abord, mais en y regardant de plus près, elle présente plusieurs avantages. La flexibilité, la réduction des coûts initiaux et la maintenance simplifiée sont autant de raisons qui rendent cette option attrayante pour de nombreux investisseurs. Plus de Flexibilité L’un des premiers avantages de la location de matériel est la flexibilité qu’elle offre. Que vous soyez une entreprise en pleine expansion ou un particulier souhaitant tester un nouveau marché, la location permet de s’adapter rapidement aux fluctuations de la demande. Par exemple, si votre entreprise connaît une période de croissance rapide, vous pouvez facilement augmenter votre inventaire en optant pour la location plutôt que l’achat de matériel. Cela vous permet de répondre à la demande sans avoir à investir des sommes importantes d'emblée. De plus, en louant du matériel, vous avez accès aux dernières technologies sans avoir à les acheter, ce qui est un autre avantage majeur. Entretien et Maintenance Simplifiés L’entretien et la maintenance du matériel peuvent représenter une charge financière importante. Louer du matériel vous évite ces soucis, car les entreprises de location prennent généralement en charge l’entretien et la réparation des équipements. Cela signifie que vous pouvez vous concentrer sur votre activité principale sans vous préoccuper de l’état du matériel. De plus, vous avez l’assurance que le matériel que vous louez est en bon état de fonctionnement, ce qui réduit le risque de panne ou de problèmes techniques. Maintenant que nous avons vu les avantages de la location de matériel, il est temps d’aborder les inconvénients, car tout n’est pas rose dans ce domaine. Il est essentiel de connaître les défis potentiels avant de se lancer tête baissée.
Les Inconvénients à Ne Pas Négliger
Un inconvénient potentiel de la location de matériel est la disponibilité. Pendant les périodes de forte demande, comme les saisons touristiques ou les grandes vacances, il peut être difficile de trouver le matériel dont vous avez besoin. La location n’est pas toujours une option fiable si vous avez besoin de matériel spécifique à des moments critiques. Cela peut entraîner des retards dans vos projets ou vous forcer à louer du matériel à un coût supérieur. Il y a aussi le risque d’obsolescence du matériel. Si vous louez du matériel sur une longue période, il est possible que celui-ci devienne obsolète avant la fin de votre contrat de location. Les entreprises peuvent être réticentes à renouveler fréquemment leur matériel, ce qui pourrait vous laisser avec des équipements dépassés. De plus, si vous décidez d’acheter du matériel après l’avoir loué pendant un certain temps, vous risquez de payer un prix élevé pour du matériel qui pourrait bientôt être remplacé par une version plus récente. Les inconvénients existent, certes, mais avec une planification minutieuse, ils peuvent être atténués. Passons maintenant aux types de matériel qui peuvent réellement maximiser vos profits.
Les Meilleurs Types de Matériel à Louer Pour Maximiser Vos Profits
Lorsque l'on parle de location de matériel, tous les équipements ne se valent pas. Certains types de matériel sont particulièrement demandés et offrent une meilleure rentabilité que d'autres. Dans cette section, nous allons explorer les catégories de matériel qui représentent les meilleures opportunités d’investissement. Équipements de Loisirs et Sport Location de Matériel Sportif : Paddle, Skis et Plus Les équipements de loisirs et de sport sont parmi les plus populaires dans le marché de la location. Que ce soit pour des vacances, des week-ends ou des événements spéciaux, les gens cherchent souvent à louer du matériel plutôt que de l'acheter. Prenons l’exemple des paddles et des skis : ce sont des équipements coûteux que l'on utilise rarement. La location de ces matériels est donc une solution pratique pour les particuliers qui ne veulent pas investir dans leur achat. En tant qu’investisseur, vous pouvez profiter de cette demande en constante croissance. Les équipements de sport, notamment les sports nautiques et d'hiver, peuvent offrir une rentabilité élevée, surtout dans les régions touristiques. De plus, ces équipements sont souvent loués pendant des périodes de forte affluence, ce qui permet de maximiser vos gains en peu de temps. Drones et Appareils Photo Les drones et les appareils photo professionnels sont également très recherchés. Que ce soit pour un mariage, un tournage ou simplement pour capturer des moments lors de vacances, ces équipements de haute qualité sont souvent disponibles à la location. Leur coût d’achat élevé et leur utilisation occasionnelle font de la location une solution idéale pour de nombreux clients. Pour vous, en tant qu’investisseur, investir dans des drones ou des appareils photo peut s’avérer très rentable, surtout si vous ciblez des marchés spécifiques comme les mariages, les événements sportifs ou les voyages. Les revenus générés par la location de ces matériels peuvent rapidement compenser votre investissement initial, à condition d'entretenir régulièrement le matériel et de suivre les tendances technologiques pour offrir des modèles récents. Camping-Cars et Véhicules de Loisirs Enfin, les camping-cars et autres véhicules de loisirs représentent une opportunité d’investissement de choix. Avec l'essor des voyages en van et des vacances en plein air, la demande pour ces véhicules ne cesse d'augmenter. Ce type d’investissement peut sembler coûteux, mais il est souvent plus rentable à long terme. Les clients potentiels préfèrent louer ces véhicules pour des périodes spécifiques plutôt que de les acheter, ce qui vous permet de rentabiliser rapidement votre investissement. De plus, en louant ces véhicules pendant les périodes creuses, comme l’automne ou l’hiver, vous pouvez maintenir un chiffre d’affaires stable tout au long de l’année. Après avoir exploré les équipements de loisirs et sport, intéressons-nous maintenant aux outils et équipements pour le bricolage et la construction. Vous allez voir qu'il y a aussi des opportunités intéressantes dans ce secteur ! Outils et Équipements Pour le Bricolage et la Construction Les échafaudages Dans le domaine de la construction, l’échafaudage est un équipement indispensable. Toutefois, il représente également un investissement important si vous décidez de l’acheter. Pour de nombreuses entreprises de construction, la location d’échafaudages est une solution plus économique, surtout pour des projets de courte durée. La location d’échafaudages permet aux entreprises de réduire les coûts liés à l’achat et à l’entretien, tout en répondant à leurs besoins spécifiques. Pour vous, investir dans des échafaudages pour les louer peut être une stratégie gagnante, surtout si vous vous associez avec des entreprises locales qui ont besoin de ce type d’équipements de manière ponctuelle. Les Outils Électriques Les outils électriques sont également très demandés, tant par les professionnels que par les amateurs de bricolage. Des perceuses aux scies circulaires, ces équipements peuvent être coûteux à acheter, surtout pour une utilisation occasionnelle. De plus, les outils de bricolage doivent être entretenus régulièrement pour rester en bon état, ce qui peut représenter un coût supplémentaire pour ceux qui les achètent. En proposant des outils de bricolage à la location, vous permettez à vos clients d’accéder à du matériel de qualité sans avoir à investir dans son achat. Pour vous, c’est l’opportunité de rentabiliser ces outils sur une longue durée, en assurant leur entretien régulier pour prolonger leur durée de vie. Matériel de Jardinage
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Le matériel de jardinage, tel que les tondeuses, taille-haies, et autres outils spécialisés, est un autre secteur où la location peut s’avérer plus rentable que l’achat. Ces équipements, souvent coûteux et utilisés seulement quelques fois par an, sont idéaux pour la location. Les propriétaires de jardins préfèrent louer ces outils plutôt que d'investir dans leur achat, surtout lorsqu'ils ont besoin de matériel spécifique pour une tâche ponctuelle. Proposer du matériel de jardinage à la location permet de répondre à cette demande tout en générant des revenus réguliers, surtout pendant les saisons de forte activité comme le printemps et l’été. Passons maintenant à une autre catégorie importante : le matériel pour événements et réceptions, où la demande est constante et les opportunités de profit ne manquent pas ! Matériel Pour Événements et Réceptions Tentes de Fêtes et Éclairage : Des Incontournables Locatifs Dans le secteur événementiel, les tentes de fêtes et l’éclairage sont des incontournables. Que ce soit pour un mariage, un anniversaire ou une fête d'entreprise, ces équipements sont indispensables pour la réussite de l'événement. Pour un investisseur, proposer ce type de matériel à la location offre une opportunité de gagner de l’argent tout en bénéficiant d’une demande constante. Les clients préfèrent louer ces équipements pour une occasion unique, ce qui vous permet de les rentabiliser rapidement. De plus, avec un bon entretien et une maintenance régulière, ces matériels peuvent être loués plusieurs fois, augmentant ainsi leur rentabilité. Photomaton et Audiovisuel : Louer Pour les Occasions Spéciales Le matériel audiovisuel, comme les projecteurs, systèmes de sonorisation, et photomatons, est également très recherché dans le cadre d’événements. Ces équipements, souvent coûteux à l’achat, sont généralement loués pour des occasions spéciales. En investissant dans ce type de matériel, vous pouvez toucher un large éventail de clients, allant des particuliers pour des mariages ou anniversaires, aux entreprises pour des conférences ou séminaires. L’avantage ici est que ces équipements peuvent être loués plusieurs fois, ce qui vous permet de maximiser vos revenus tout en maintenant un bon état de fonctionnement. Mobilier et Décoration Enfin, le mobilier et la décoration sont des éléments clés dans l’organisation de tout événement. Tables, chaises, nappes, et autres éléments de décoration sont souvent loués plutôt qu’achetés, car ils répondent à un besoin temporaire. En proposant ce type de matériel à la location, vous pouvez toucher une clientèle variée, des particuliers aux organisateurs d'événements professionnels. C’est une opportunité d’investissement intéressante, surtout si vous choisissez du matériel de haute qualité qui peut être utilisé à maintes reprises. Après avoir vu les meilleurs types de matériel à louer, il est temps de discuter de comment choisir le matériel idéal pour maximiser votre rentabilité. Car oui, tout n'est pas question de matériel, mais aussi de stratégie et d'analyse de marché.
Comment Choisir le Matériel Idéal à Investir Pour la Location
Investir dans du matériel pour le louer est une décision qui nécessite une réflexion stratégique. Vous devez non seulement choisir le bon type de matériel, mais aussi vous assurer qu’il répondra à une demande réelle sur votre marché. Voici comment procéder pour détecter les meilleures opportunités et maximiser vos chances de succès. Détecter les Opportunités de Marché Analyser la Demande Locale
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La première étape pour choisir le matériel idéal est d’analyser la demande locale. Cela signifie comprendre quels types de matériel sont les plus recherchés dans votre région. Par exemple, si vous vivez dans une région touristique, la demande pour du matériel de loisirs comme des vélos ou des canoës peut être élevée. Pour cela, vous pouvez utiliser des outils en ligne pour analyser les tendances de recherche, consulter des études de marché, ou même mener votre propre enquête auprès des habitants et des entreprises locales. Découvrir comment répondre à la demande locale est crucial pour assurer la rentabilité de votre investissement. Évaluer la Concurrence et Fixer Vos Prix Une fois que vous avez identifié un créneau potentiel, évaluez la concurrence. Qui d’autre propose de la location de matériel similaire dans votre région ? Quels sont leurs prix ? Assurez-vous que vos tarifs soient compétitifs tout en vous permettant de rentabiliser votre investissement. Si vous êtes le seul fournisseur dans un certain domaine, vous pouvez fixer des prix plus élevés, mais si la concurrence est forte, il faudra ajuster vos tarifs pour attirer des clients. Après avoir détecté les opportunités et évalué la concurrence, il est temps de se pencher sur la rentabilité de vos investissements. Voyons comment calculer cette rentabilité et quels sont les facteurs clés à prendre en compte.
Calculer la Rentabilité de Vos Investissements
Coût d'Achat vs Revenus Locatifs Pour chaque type de matériel, il est essentiel de comparer le coût d’achat aux revenus locatifs potentiels. Par exemple, si un équipement coûte 1 000 euros à l’achat et que vous pouvez le louer pour 100 euros par jour, il vous faudra 10 locations pour couvrir votre coût d’achat. Cependant, il ne faut pas oublier d’inclure les frais liés à l’entretien, au stockage et à l’assurance dans vos calculs. Durée de Vie du Matériel : Un Facteur Déterminant En plus du coût d’achat et des revenus locatifs, il est crucial de considérer la durée de vie du matériel. Un équipement plus coûteux mais durable peut être plus rentable à long terme qu’un matériel bon marché qui devra être remplacé fréquemment. Pensez aussi à la fréquence d’utilisation et à la saisonnalité. Certains matériels peuvent être très demandés pendant une certaine période de l’année, mais rester inutilisés le reste du temps. Saisonnalité et Fréquence d'Utilisation : Maximisez Vos Gains Enfin, tenez compte de la saisonnalité et de la fréquence d’utilisation. Un matériel fortement demandé en été, comme des équipements de camping, peut vous permettre de réaliser des profits importants sur une courte période. Cependant, il est important de planifier comment rentabiliser votre investissement tout au long de l’année. Vous pourriez envisager de proposer des offres spéciales ou des packages pour encourager la location pendant les périodes creuses. Maintenant que vous savez comment calculer la rentabilité de vos investissements, une question se pose : devez-vous investir dans du matériel neuf ou d’occasion ? C’est ce que nous allons voir tout de suite.
Investir dans du Matériel à Louer: Les Premières Etapes
Élaborer un Business Plan Solide Choisir le Secteur d'Activité : Une Décision Cruciale La première étape est de choisir le secteur d'activité dans lequel vous souhaitez vous lancer. Comme nous l'avons vu précédemment, il existe plusieurs types de matériel que vous pouvez louer, allant des équipements de loisirs aux outils de construction. Il est crucial de choisir un secteur où la demande est forte et où vous avez un avantage concurrentiel. Votre choix doit également tenir compte de votre budget initial. Par exemple, si vous avez un budget limité, vous pourriez commencer par louer des outils de bricolage plutôt que des véhicules de loisirs, qui nécessitent un investissement initial beaucoup plus élevé. Le choix du secteur déterminera non seulement vos investissements, mais aussi votre stratégie marketing et votre approche clientèle. Estimer Vos Coûts et Revenus Pour Une Vision Claire Une fois que vous avez choisi votre secteur, il est temps de réaliser une estimation précise de vos coûts et de vos revenus potentiels. Cela inclut le coût d’achat du matériel, les frais d’entretien, l’assurance, et le stockage. En parallèle, vous devez estimer combien vous pouvez générer en revenus locatifs, en tenant compte de la demande, des prix de location pratiqués dans votre région, et du taux de rotation de votre matériel. Un business plan solide doit inclure une projection financière sur plusieurs années, avec des scénarios optimistes et pessimistes, pour vous préparer à toutes les éventualités. Cela vous permettra de mieux anticiper les besoins en financement et d'assurer la viabilité de votre projet. Une fois votre business plan en place, la prochaine étape consiste à établir une stratégie tarifaire efficace. Car, comme nous le savons tous, le prix est souvent l’élément déterminant pour attirer les clients ! Établir une Stratégie Tarifaire Efficace Calculer Vos Coûts et Fixer des Prix Concurrentiels Pour réussir dans la location de matériel, il est essentiel de fixer des prix qui couvrent vos coûts tout en restant attractifs pour les clients. Commencez par calculer tous les coûts associés à chaque location, y compris l’amortissement du matériel, les frais d’entretien, et les coûts de stockage. Ensuite, comparez vos tarifs à ceux de la concurrence pour vous assurer qu’ils sont compétitifs. Il est aussi important d’offrir une flexibilité tarifaire. Par exemple, vous pouvez proposer des réductions pour des locations à long terme ou pendant les périodes creuses. Une stratégie tarifaire bien pensée peut vous aider à maximiser vos marges de profit tout en restant attractif pour vos clients. Comment Maximiser Vos Marges de Profit Pour maximiser vos marges de profit, envisagez d’offrir des services supplémentaires ou des packages. Par exemple, si vous louez du matériel de camping, vous pourriez proposer un pack comprenant une tente, un réchaud, et des sacs de couchage à un prix avantageux. Ce type d’offre groupée permet de rentabiliser davantage chaque location tout en apportant une valeur ajoutée à vos clients. En parallèle, surveillez régulièrement vos coûts et ajustez vos tarifs si nécessaire. Un bon suivi de vos finances est crucial pour maintenir votre entreprise sur la voie du succès. Maintenant Read the full article
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charlottalaregion · 1 month
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Rail, baignade urbaine et mobilités : mes olympiades "vacances interrail"
Après des vacances interrail en Allemagne, Danemark, Suisse et France, voici mon classement personnel, sur 3 épreuves, assorti de quelques explications politiques (le tout est subjectif bien sûr)
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Epreuve n°1 : Ferroviaire 
Médaille d'or : la Suisse
Trains ponctuels, fiables, fréquents, confortables, qui vont partout (même en haut de la montagne Jungfrau!). Les vélos sont les bienvenus avec réservation et il y a de la place pour le stationnement en gare. Il y a même des voitures spécial enfants avec toboggan et jeux.
Pourquoi ? La Suisse a une politique de l'offre et investit beaucoup et depuis longtemps dans le rail. Le réseau est entretenu et le matériel roulant est nombreux et en très bon état.
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Médaille d'argent : le Danemark 
Trains assez ponctuels et fréquents. Réseau SBahn à Copenhague au top avec beaucoup de place pour les vélos et poussettes. Les gares sont aussi bien équipées en stationnement vélo. Forte présence humaine à bord (pas de tourniquets ni de portillon en gare donc beaucoup de contrôleurs).
Pourquoi ? Copenhague a choisi la multimodalité vélo et transports et ça marche très bien. Les transports urbains et peri-urbains sont fréquents ce qui permet une très bonne politique d'accessibilité.  
Médaille de bronze : Allemagne 
Les trains sont pratiquement toujours en retard et les correspondances sont souvent sport. Ils ne sont pas non plus particulièrement rapides mais sont confortables. Avec le pass interrail ou l'abonnement a 49€, le train est vraiment peu cher et populaire. Beaucoup de monde à bord.
Pourquoi ? La politique transports de l’Allemagne s'est focalisée sur les tarifs avec le succès du Deutschlandticket (abonnement mensuel à 49 € mais hors grande vitesse) ce qui en fait un transport populaire. Hélas le manque d'investissement a généré une dégradation du réseau et donc de la fiabilité. Sans politique d'investissement massif le risque est d'avoir un transport à deux vitesses.
4ème : la France
En France, les trains sont rapides (nos fameux TGV) et relativement fiables. Mais ils sont peu nombreux (souvent complets) et chers. Les TGV sont peu confortables et notre TER Genève Lyon était sale et vieillot. Quand il y en a, les prises et le wifi marchent mal. On ne connaît les voies qu'au dernier moment et l'accès aux quais est difficile pour les poussettes ou vélos.
Pourquoi ? La politique du tout TGV atteint clairement ses limites. Les investissements se sont fait sur les LGV au détriment des petites lignes. Le réseau ferré doit être rentable et les péages ferroviaires sont très chers. Résultat : des trains beaucoup moins nombreux et une faiblesse des achats de matériel roulant. Les prix des billets sont aussi un effet de cette politique (péage élevé, trains peu fréquents et demande forte). L'accueil des vélos dans les trains ou dans les gares s'est amélioré mais reste compliqué et insuffisant, la politique de la SNCF ayant longtemps été dans le déni de cette demande.
Epreuve n°2 : Baignade urbaine 
Médaille d'or : le Danemark 
A Copenhague on peut se baigner quand on veut, dans le port, la Baltique ou les canaux à peu près partout (là où il y a une echelle) et il y a aussi des piscines aménagées. L'eau est assez propre, pas très salée, fraîche mais pas froide. On peut plonger ou sauter. Quelques algues. Beaucoup de monde en profite, c'est très populaire et hyper facile d'accès. 
Pourquoi ? En 1989, la ville de Copenhague décide de reconvertir le port industriel en bureaux et de logements. Les gros bateaux et chantiers navals déménagent. En 1992, il est décidé de moderniser le système de traitement des eaux et de développer des reservoirs d'eaux usées. Il y a eu également une politique de limitation des zones inondables. Ainsi alors qu'elle était interdite en 1960 à cause de la pollution, la baignade inscrite dans la tradition danoise est redevenue possible et très pratiquée en ville.
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Médaille d'argent : la Suisse. 
A Berne, la baignade se fait dans le fleuve et des piscines aménagées permettent de laisser ses affaires dans des casiers, de prendre une douche ou de bronzer sur les pelouses. L'eau est belle et fraîche mais le courant est fort (impossible de barboter ou de nager tranquille). Tous les habitants ont un sac étanche pour se laisser porter par le courant. Idem à Bâle ou certains nagent après le boulot pour rentrer chez eux, en aval. 
Pourquoi ? la baignade relève de la responsabilité individuelle, il y a simplement une information sur les risques liés au courant et aucune réglementation particulière, ni horaires. Les aménagements (piscine, douches et casiers) sont un vrai service public. La qualité de l'eau s'explique par une politique d'assainissement (construction et réhabilitation de stations d'épuration). La surveillance de la qualité des eaux de baignade est importante.
Médaille de bronze : la France
Baignade dans le Canal St Martin, uniquement les dimanches après-midi d'été, avec vestiaire et douche a proximité. Il y a aussi le bassin de la Villette (piscine aménagée avec casiers et douche) mais avec des horaires précis (11h à 20h) de juin à septembre. Aucune baignade dans la Seine pour l'instant. Eau fraîche et agréable dans le Canal St Martin, d'autant plus appréciée quand il fait chaud. 
Pourquoi ? Médaille d'encouragements car politique trés récente. Le scepticisme est encore de mise sur le sujet et les baigneurs font office d'avant-garde. Le travail d'assainissement du Canal commence a porter ses fruits (un bateau sillonne le canal et ramasse les déchets). La qualité de l'eau reste le principal sujet pour la Seine et une des sources de pollution importante est l'eau de ruissellement. Une politique de desimperméabilisation des sols est indispensable. Peut aussi clairement mieux faire en termes d'horaires et de liberté de se baigner.
Nb important : je ne me suis pas baignée à Hambourg, et pourtant je ne loupe pas une occasion. Les baignades sont excentrées et je ne suis pas sûre qu'on peut les qualifier d'urbaines.
Épreuve n°3 : marche et vélo
Médaille d'or : Copenhague pour le vélo. On a fait toute la ville de long en large à vélo avec énormément de facilité. Les pistes cyclables sont larges, tous les carrefours sont faciles et aménagés pour les vélos. On peut laisser son vélo à peu près n'importe où (une mâchoire suffit comme antivol). Tout est plat. Les comportements s'adaptent autour du vélo : les voitures laissent la priorité, les cyclistes signalent quand ils s'arrêtent et les passages piétons, pistes cyclables et feux sont respectés. Alors que la vie est chère, louer un vélo est vraiment abordable. On peut emporter son vélo dans les RER (SBahn) ou les métros. Les places pour les vélos dans les RER sont nombreuses. Conséquence : peu de circulation motorisée qui en fait une ville très agréable à parcourir à pied aussi.
Pourquoi ? Si 48% des déplacements se font à vélo ce n'est pas un hasard. C'est une politique globale qui favorise ce mode de déplacement et envisage le vélo sérieusement, comme un système global, de la sécurité au stationnement, de la multimodalité à la réparation. Il est toujours le bienvenu ou considéré. Bref c'est une priorité de politique publique depuis des dizaines d'années et ça se voit.
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Médaille d'argent : Bâle et Berne pour leur centre ville piétons. Ex-aequo avec Hambourg pour la circulation apaisée. 
Marcher dans ces villes est vraiment facile et agréable. On croise très peu de voitures. A Bâle la circulation des tramway est vraiment dense. A Hambourg la circulation se concentre sur quelques avenues très larges mais la plupart du centre et des quartiers sont pratiquement piétons.
Pourquoi ? La politique assumée à Berne est fondée sur la stratégie ETG : éviter, transférer et gérer harmonieusement le trafic ainsi que la multimodalité. Même volontarisme à Hambourg avec une politique vélo et marche associée à Un Reseau de transports en commun important. Caractéristique de Hambourg ville industrielle et portuaire : la forte part du rail pour les marchandises. Pour Bâle c'est le réseau de tramway qui impressionne.
Médaille de bronze : Paris.
Paris rate de peu la médaille d'argent. Elle a entamé depuis 20 ans sa mue vers moins de bagnoles et bénéficie d'un réseau de transports en commun hyper dense. Mais ce réseau est moins fiable et dysfonctionne souvent. Les pistes cyclables sont nombreuses et bien protégées mais il reste des discontinuités aux carrefours. Beaucoup de zones piétonnes permanentes ou temporaires. 
Pourquoi ? Une politique volontariste qui a commencé en 2001 avec les couloirs de bus, la construction du tramway sur la petite ceinture, les zones piétonnes et Paris Plage,  les velibs. Puis un réseau de pistes cyclables et la piétonnisation des voies sur Berges etc. La circulation peut rester encore importante et les carrefours encombrés. En petite couronne les politiques sont diverses et les résultats contrastés selon le niveau de volontarisme du Maire ou du département. Le réseau de transports en commun souffre néanmoins de sous investissements sur le réseau existant et sur le matériel roulant, alors que le nombre de voyageurs est important. Les priorités sont sur de nouvelles lignes RER ou prolongement de métro. L'offre a aussi baissé après le Covid. 
En conclusion : La France gagne moins de médailles sur cette olympiade très subjective que sur les vrais JO, mais elle peut être médaille d'or, si elle poursuit sa politique volontariste et prend exemple sur ces pays européens. L'investissement dans le rail et dans les lignes existantes doit être une grande priorité.
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inyourfaceinyourworld · 3 months
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Location de matériel événementiel : une solution stratégique pour vos événements
L’organisation d’un événement, qu’il soit privé ou professionnel, demande une planification minutieuse et un investissement en équipement conséquent. La location de matériel événementiel est un moyen stratégique pour répondre à ces exigences sans se ruiner. En optant pour cette solution, vous bénéficiez de nombreux avantages, aussi bien sur le plan financier que logistique. Les avantages…
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toutmontbeliard-com · 3 months
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Centre Aquatique René Donzé Montbéliard : ouverture de la piscine de plein air été 2024
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Située sur les hauteurs de Montbéliard, la piscine de plein air du Centre aquatique René Donzé est reconnue par la qualité de son aménagement : un parc arboré dans lequel se trouvent 3 bassins : un grand bassin de 50m x 20m ; un petit bassin de 25m x 12,50m et une pataugeoire de 13m de diamètre. En complément des deux bassins couverts fréquentés tout au long de l’année scolaire. La piscine de plein air du Centre aquatique René Donzé accueillera le public à partir de ce lundi 1er juillet 2024. Le petit bassin ainsi que la pataugeoire de plein air seront ouverts dès ce lundi 1er juillet à 10h30. Quant au grand bassin, il sera ouvert ultérieurement, en fonction de la finalisation des travaux de réfection débutés en septembre 2023. En attendant la réouverture du grand bassin de plein air, la Ville de Montbéliard ouvrira exceptionnellement la piscine couverte. L’accès se fera par l’entrée de la piscine de plein air. Des animations sont proposées chaque jour aux familles afin d’agrémenter davantage leur sortie à la piscine. La Ville de Montbéliard et ses partenaires ont ainsi concocté un programme complet de rendez-vous gratuits : aquagym, zumba, chasse aux trésors, break dance, football, jeux de société, escalade et bien d’autres animations... Parents, enfants, petits et grands baigneurs, apprécieront la diversité des activités. Toutes les animations estivales de la piscine sont à retrouver dans le programme Montbel’été. Le point snacking, tenu par Isabelle Caburet, sera ouvert durant toute la période de fonctionnement de la piscine soit du 1er juillet au 27 août 2024, tous les jours à partir de 11h00. Des travaux de modernisation de la piscine de plein air Les travaux menés ces dernières années avaient pour objectifs de rénover et moderniser la piscine de plein air, devenue vétuste (elle date de 1964) et faire de ce site remarquable, un lieu privilégié à destination des familles de Montbéliard et de son agglomération. Dans cette optique, de nombreux aménagements ont été réalisés autour des bassins, dans le snack, la pataugeoire avec l’installation de nouveaux jeux ludiques (en 2019) ou encore le petit bassin (en 2022) A travers ces investissements, l’objectif de la municipalité est de remettre l’établissement au goût du jour et de répondre aux attentes des familles qui ont fait leur retour sur le site depuis maintenant plusieurs étés. Outre ces aménagements de confort, la Ville de Montbéliard a également renforcé la surveillance des baigneurs et le dispositif de sécurité. La philosophie reste la même : tolérance zéro fac aux personnes qui se comporteraient de manière irrespectueuse tant à l’égard du matériel que du personnel et des autres baigneurs. C’était au tour du grand bassin de subir un lifting complet cette année. Réfection du grand bassin Avec ses 50m de long, 20m de large et 2m de profondeur en moyenne, le grand bassin est le principal équipement et principal attrait de la piscine d’été. C’est un chantier très important en termes de volume de travail qui a débuté en 2023 dès la fermeture de la piscine d’été. Le grand bassin pourra accueillir les nageurs une fois les travaux finalisés (selon les conditions météorologiques). La première étape a consisté à retirer les margelles et l’ensemble du carrelage du bassin soit une surface d’environ 1 300 m². La structure a ensuite été remplacée par une nouvelle forme en béton armé. Les travaux se sont poursuivis avec plusieurs étapes : étanchéité, pose du carrelage, remplacement des buses de remplissage. Les travaux actuellement en cours consistent à mettre en œuvre les joints de carrelage. Quatre jours sans pluie d’affilée sont nécessaires pour sécher notamment les joints de fond. Une étape qui a été ralentie par les conditions météorologiques de ces dernières semaines. Une dernière tranche de travaux permettra de réaménager les plages - à l’instar de ce qui a été fait autour du petit bassin - et de revoir les canalisations autour du bassin (dès l’automne). L’ensemble de ces travaux ont pour objectif d’améliorer les conditions d’accueil du public familial qui peu à peu retrouve le chemin des bassins. C’est aussi, en ces temps marqués par la crise climatique et l’inflation, l’occasion d’améliorer le fonctionnement de l’équipement et de faire des économies d’eau et d’argent. A titre indicatif, les pertes d’eau dues aux défauts d’étanchéité sur le grand bassin (hors évaporation naturelle et renouvellement de l’eau) étaient de 120 m3 par jour. Soit l’équivalent de 10 000 m3 et 35 000 € TTC pour une saison estivale. Coût : 1 100 000 € TTC. Subventions : Etat au titre de la DSIL, 399 765 € / Etat au titre de la DPV, 350 000 €. Horaires d'ouverture En juillet 2024, le Centre aquatique sera ouvert tous les jours de 10h30 à 19h30 (évacuation des bassins à 19h00 et des caisses à 18h15). Quant au mois d’août, l’ouverture sera conditionnée au recrutement de maitres-nageurs sauveteurs. Il s’agit d’une problématique qui touche de nombreuses piscines à l’échelle de l’agglomération et bien au-delà. Read the full article
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justfinanceguid · 3 months
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DK Trade : Une plateforme d'investissement suspectée d'être une arnaque
Dans le domaine du trading en ligne, le choix du courtier est crucial pour la sécurité et la réussite des investissements. DK Trade, une entreprise basée à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, offre une gamme d'actifs négociables, incluant des paires de devises, matières premières, indices et actions. Bien que cette société présente une façade professionnelle avec diverses plateformes de trading et des comptes démo, plusieurs éléments suscitent des préoccupations et incitent à la prudence.
Présentation de DK Trade
DK Trade propose trois types de comptes : variable, fixe et zéro, chacun conçu pour répondre à différentes stratégies de trading. Avec un compte démo, les traders peuvent s'exercer avec des fonds virtuels de 5 000 $ à 50 000 $, ce qui permettrait de tester le marché sans risque financier réel. Le dépôt minimum requis est de 10 $, et l'effet de levier maximum offert atteint 1:1000 pour les paires de devises. La société supporte diverses méthodes de paiement et offre un support client 24h/24 et 5j/7 via LiveChat, un formulaire de contact ou par téléphone. Des outils pédagogiques comme un calendrier économique et AutoChartist pour l'analyse technique sont également disponibles.
Points de vigilance
Absence de régulation
L'un des aspects les plus inquiétants de DK Trade est son absence de régulation. La société est enregistrée à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, une juridiction connue pour ses régulations plus souples par rapport à d'autres centres financiers. Cela signifie qu'aucune autorité externe ne supervise ses activités, ce qui peut exposer les traders à des risques accrus. En l'absence de régulation, il n'y a aucune garantie quant à la sécurité des fonds déposés ni à l'équité des conditions de trading.
Transparence et informations limitées
DK Trade manque de transparence en ce qui concerne certains aspects cruciaux de ses services. Par exemple, les informations sur les frais de dépôt et de retrait sont limitées, ce qui peut surprendre désagréablement les traders lorsqu'ils tentent de retirer leurs fonds. De plus, bien que le site web prétende offrir un support client disponible 24h/24, notre expérience a montré qu'il n'était pas toujours possible de joindre un agent en dehors des heures de bureau normales, laissant les clients sans assistance immédiate.
Témoignages et expériences négatives
De nombreux témoignages recueillis par notre cabinet d'avocats révèlent des expériences alarmantes avec DK Trade. Plusieurs investisseurs ont été manipulés pour effectuer des virements bancaires convertis ensuite en crypto-monnaies, qui ont été envoyées à des adresses de portefeuille sur la plateforme de trading. Une victime rapporte avoir perdu plus de 100 000 €, après avoir été incitée à investir par une personne se faisant passer pour un représentant de la société. Ces témoignages soulignent le danger potentiel d'investir avec des courtiers non régulés, où les mécanismes de protection des clients font souvent défaut.
Processus d'ouverture de compte et effet de levier
L'ouverture d'un compte avec DK Trade est un processus relativement simple, mais des points de vigilance subsistent. Après avoir rempli un formulaire d'inscription en ligne, les utilisateurs doivent choisir un type de compte et accepter les termes et conditions. Une vérification par email est généralement requise pour finaliser l'inscription. Une fois le compte ouvert, les traders peuvent bénéficier d'un effet de levier allant jusqu'à 1:1000 pour les paires de devises. Bien que cet effet de levier puisse sembler attrayant, il comporte également des risques élevés, surtout dans un cadre non régulé.
Outils pédagogiques et méthodes de paiement
DK Trade met à disposition des outils comme AutoChartist et un calendrier économique, mais ses ressources éducatives restent limitées. L'élargissement de ce matériel serait bénéfique pour les traders, notamment les débutants. En termes de méthodes de paiement, la société accepte diverses options, dont Visa, MasterCard, Neteller et Skrill. Toutefois, le manque de clarté sur les frais associés à ces transactions est préoccupant.
Avis suite au test de l’AMF
En effet, pour mieux comprendre ce à quoi les investisseurs doivent faire attention, nous avons réalisé un test sur le site de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en répondant aux questions suivantes par rapport aux témoignages : « L’investissement proposé est-il présenté à haut rendement et sans risque ? », « Votre interlocuteur propose-t-il un investissement idéal, réservé à quelques initiés ? », « Avez-vous été démarché par une personne que vous ne connaissez pas, recommandée par un proche, qui vous a contacté sur un réseau social ou après avoir laissé vos coordonnées sur internet ? », « La personne avec qui vous êtes en contact se montre-t-elle particulièrement sympathique avec un discours séduisant ? », « La personne vous pose-t-elle des questions sur vos objectifs ? », « La personne vous incite-t-elle à faire un versement rapidement ? ».
Ces questions, visant à sensibiliser les investisseurs aux signes d’arnaque potentiels, constituent un outil précieux dans la prévention des fraudes financières en ligne. En les gardant à l’esprit et en restant vigilants, nous pouvons contribuer à protéger notre patrimoine financier et à prévenir d’autres histories tragiques comme celle que nous avons partagée aujourd’hui.
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latribune · 3 months
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partyboxfr · 3 months
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Location de photobooth : Comment booster vos ventes et améliorer votre image de marque ?
L’organisation d’un événement peut être un excellent moyen pour les entreprises de booster les ventes et d’améliorer leur image de marque. Cependant, il est important d’adopter les bonnes stratégies pour obtenir des résultats significatifs. Voici quelques conseils pour vous aider à atteindre vos objectifs.
DÉFINIR SES OBJECTIFS
Déterminer clairement les objectifs de l’événement. Cela peut inclure la promotion de nouveaux produits, la fidélisation des clients existants, l’acquisition de nouveaux clients, etc. Avoir une vision claire de vos objectifs vous aidera à planifier les activités de l’événement de manière plus efficace.
COMMENT PLANIFIER VOTRE ÉVÈNEMENT
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Choisir le bon lieu et la bonne date pour l’événement. Le lieu doit être facilement accessible et disposer d’un espace adéquat pour accueillir les activités prévues. La date doit être choisie en fonction de la disponibilité de votre public cible et de la concurrence avec d’autres événements similaires.
Engager les participants. Les activités ludiques telles que les jeux, les démonstrations de produits et les séances de photos peuvent aider à garder les participants impliqués et intéressés.
Promouvoir l’événement de manière efficace. Il est important de promouvoir l’événement auprès de votre public cible pour maximiser la participation. Utilisez les médias sociaux, les annonces en ligne, les e-mails et les invitations pour faire connaître l’événement.
RENFORCER SON IMAGE DE MARQUE
Créer une expérience de marque cohérente. Assurez-vous que l’image de votre marque est cohérente tout au long de l’événement, en utilisant les couleurs et les logos de votre entreprise de manière cohérente. Cela peut également inclure l’utilisation de matériel d’affichage, de panneaux de signalisation et de décorations pour renforcer la visibilité de votre marque.
Louer un photobooth personnalisé à l’effigie de la marque pour un événement d’entreprise peut être un moyen puissant de booster les ventes et d’améliorer l’image de marque. En ajoutant des éléments de votre identité comme votre logo aux fonds de photos et aux cadres, votre marque peut être intégrée de manière subtile mais efficace dans les photos prises par les invités. Les photos peuvent être partagées sur les réseaux sociaux, ce qui peut contribuer à la viralité de la marque. De plus, les invités peuvent repartir avec une photo souvenir de l’événement, renforçant leur lien avec la marque.
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En résumé, pour obtenir le meilleur résultat d’un événement d’entreprise, il est important de suivre les bonnes stratégies. Définir les objectifs clairement, choisir le bon emplacement et la bonne date, engager les participants, faire une promotion efficace de l’événement, et assurer une cohérence de la marque sont tous des éléments clés pour la réussite de celui-ci.
De plus, en louant un photobooth personnalisé à l’effigie de la marque, les entreprises peuvent renforcer leur image et offrir une expérience amusante et mémorable à leurs invités et maximiser leur retour sur investissement pour l’événement. Chez Partybox, nous proposons la location de photobooth pour des événements professionnels avec animateur et impressions illimitées. Vous pouvez dès maintenant demander un devis ou être rappelé par l’un de nos conseillers si vous souhaitez plus d’informations.
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destockjzt · 4 months
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Comment trouver les meilleurs grossistes Red Bull et Nutella ?
Trouver des grossistes cohérents pour tous les produits à la mode comme Red Bull et Nutella peut changer la donne pour les entreprises qui cherchent à stocker des articles très demandés. Que vous possédiez un magasin d'urgence, exploitiez un supermarché ou traitiez avec une entreprise de vente au détail en ligne, il est important de trouver un grossiste Red Bull honnête et un grossiste Nutella pour maintenir vos investissements et répondre à la demande des clients.
Pourquoi choisir un grossiste Red Bull ?
Red Bull, l'une des plus importantes marques de boissons énergisantes, compte une vaste base de consommateurs allant des étudiants qui passent des nuits blanches aux athlètes à la recherche d'une amélioration de leurs performances. S'associer avec un honnête grossiste red bullassurez-vous que vous pouvez offrir ce produit très demandé à chaque fois et à des prix prêts à l'action. Lors de la sélection d'un grossiste, pensez à des facteurs tels que le prix, le calendrier de livraison et la cohérence. Un bon grossiste doit proposer des pratiques de commande transparentes, des livraisons adaptées et des options de paiement flexibles.
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De plus, le bon grossiste disposera d’une chaîne d’approvisionnement solide ; assurez-vous que Red Bull est toujours disponible, même pendant les périodes de pointe. Cette cohérence permet d'éviter les ruptures de stock, qui peuvent entraîner des pertes de ventes et des clients mécontents. De plus, travailler avec un grossiste qui propose du matériel promotionnel et du marketing peut améliorer encore vos ventes.
Trouver un grossiste Nutella
Le Nutella, la pâte à tartiner aux noisettes préférée, est un nouveau produit avec une clientèle solide et fidèle. S'approvisionner en ce produit auprès d'une grossiste nutellapouvez-vous améliorer grandement vos offres de registre ? Lorsque vous évaluez les grossistes potentiels, pensez à leurs structures de prix, aux plus petites quantités de commande et à l'originalité du produit qu'ils livrent. La fraîcheur est particulièrement importante pour les produits alimentaires afin de garantir qu'ils répondent aux attentes des utilisateurs.
Un grossiste de nutella réputé aura mis en place des procédures de contrôle de qualité rigoureuses, garantissant que chaque groupe de Nutella est propre et de la qualité maximale. De plus, ils doivent être en mesure de fournir des informations complètes sur le produit, y compris les dates de péremption et les recommandations de stockage. Cette simplicité est importante pour maintenir la valeur et la sécurité du bien que vous proposez à vos clients.
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Considérations clés lors du choix des grossistes
Recherchez des grossistes avec des avis positifs et une bonne réputation dans le secteur. Les témoignages de clients et les études de cas peuvent donner un aperçu de leur fiabilité et de la qualité de leur service. Comparez les structures de prix et les conditions de paiement de différents grossistes. Assurez-vous que les prix sont compétitifs et que les conditions de paiement sont suffisamment flexibles pour répondre aux besoins de votre entreprise. Évaluez leurs calendriers de livraison et leurs capacités logistiques. Un grossiste fiable doit proposer des livraisons dans les délais et avoir la capacité de traiter efficacement les commandes groupées.
Un excellent service client est la marque d’un bon grossiste. Ils doivent réagir rapidement à l'exploration, faire une déclaration claire et présenter une réponse pendant le processus d'achat.
Assurez-vous que le grossiste dispose d’un approvisionnement constant en Red Bull et Nutella. Ils devraient être en mesure de répondre à votre demande même pendant les hautes saisons. Un partenariat avec le bon grossiste Red Bull et Nutella peut avoir un impact significatif sur le succès de votre entreprise. En tenant compte de facteurs tels que la réputation, les prix, la logistique et le service client, vous pouvez trouver des grossistes qui non seulement répondent à vos besoins, mais contribuent également à la croissance et à la rentabilité de votre entreprise. Investir du temps dans la sélection des meilleurs grossistes sera rentable à long terme, en garantissant un approvisionnement constant en produits populaires comme Red Bull et Nutella, en gardant vos clients satisfaits et vos étagères bien approvisionnées.
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christophe76460 · 3 months
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SAUVE TON ÂME D'ABORD ! !!
|Ecclésiaste 12:8 - "Vanité des vanités, dit le prédicateur, tout est vanité !
Saints bien-aimés, avez-vous déjà pris le temps d'observer et de voir comment cette génération vit sa vie ? que pouvez-vous dire de cette génération ? les gens travaillent-ils plus pour le salut de leurs âmes ou sont-ils juste après les choses temporelles de cette vie qui ne sont que vanité.
Néanmoins, je veux que vous soyez clair sur deux points majeurs ici : L'ÂME D'UN HOMME EST ÉTERNELLE mais LES BIENS MATÉRIELS DE CETTE VIE SONT DE LA VANITÉ, maintenant entre l'ÉTERNEL et la VANITÉ, lequel a la plus grande priorité ?, pour lequel les gens travaillent le plus ? oh ! ne savez-vous pas que RIEN SUR TERRE NE PEUT ÊTRE AUSSI VALABLE QUE L'ÂME D'UN HOMME. Les choses matérielles pour lesquelles vous travaillez, comme posséder une flotte de voitures, des maisons, des jets privés, des domaines, des hôtels, des centres commerciaux, etc. ne sont que vanité et ne peuvent être comparées à votre propre âme qui est éternelle. Ainsi, ces choses pour lesquelles vous travaillez n'ont pas autant de valeur que vous qui travaillez pour elles.
Un homme qui met sa confiance dans les choses temporelles de cette vie est comme un homme qui essaie d'attraper le vent, car peu importe comment il essaie d'attraper le vent, il le perdra toujours, alors poursuivre la vanité est comme essayer d'attraper le vent, vous le laisserez définitivement derrière vous et ferez face à la réalité de l'éternité, un jour, vous laisserez vos voitures, votre manoir, vos bâtiments, e. t. c et ferez face à l'éternité. Un jour, vous laisserez vos voitures, votre manoir, vos bâtiments, etc. et vous ferez face à l'éternité, car le jour du jugement, l'argent que vous gagnez sur terre ne vous sauvera pas, vos investissements sur terre ne vous sauveront pas, toutes les choses matérielles sur terre ne vous sauveront pas, ce qui compte le plus le jour du jugement est SI VOTRE ÂME EST SAUVÉE OU NON. Réfléchissez-y !
Si vous êtes devenu si terre à terre, si vous avez perdu l'objectif du ciel, si vous avez mis votre confiance dans les vanités de cette vie, alors vous devez vous repentir et mettre votre confiance en Jésus-Christ, et ensuite vous concentrer sur le ciel, car les choses qu'un homme obtiendra au ciel seront avec lui pour toute l'éternité, mais les choses qu'un homme obtient sur la terre ne sont que vanité.
Oui, je vous dis que même votre corps terrestre est vaniteux, car il retournera à la poussière, mais votre homme intérieur n'est pas vaniteux mais éternel, votre âme est éternelle, votre homme intérieur est le vrai vous, qu'arrivera-t-il au vrai vous quand il aura quitté toutes les vanités de cette vie, ne savez-vous pas que toutes ces choses temporelles sur la terre ne peuvent pas vous sauver et que c'est seulement Jésus-Christ qui peut vous sauver, s'il vous plaît ne vous méprenez pas, l'argent, les voitures, les maisons, etc. sont bons mais toutes ces choses ne peuvent pas être sauvées. En fait, il est inutile de comparer ces choses à votre âme car elles ne sont pas à la hauteur de votre âme, même si ces choses matérielles sont bonnes, vous ne devez pas les aimer plus que votre propre âme car ces choses matérielles sont temporelles mais votre âme est éternelle. A quoi servirait à un homme de gagner le monde entier et de perdre sa propre âme, mes bien-aimés, ayez l'esprit céleste, quoi qu'il arrive, ne perdez jamais de vue le ciel.
Priez toujours pour avoir la force de vivre une vie sainte, soyez fervent, soyez sérieux avec votre vie chrétienne car je vous dis la vérité que les deux destinations éternelles que sont le ciel et l'enfer sont en fait plus réelles que ce monde temporel dans lequel nous vivons ; dans les deux mondes éternels ; "rien n'est vanité", au ciel vous aurez la paix éternelle, l'amour, la joie, le bonheur, l'amour, etc. t.c mais l'enfer est plein de douleur éternelle, tourment, chagrin, regret, e.t.c, rappelez-vous que c'est seulement sur terre que tout est vanité mais par la suite dans les mondes éternels tout n'est plus vanité mais éternel.
Prenez soin de votre homme intérieur, prenez également soin de votre homme extérieur qui est votre corps, le corps terrestre d'un homme est vaniteux mais l'homme intérieur qui vit à l'intérieur du corps est éternel, alors ne permettez pas à ce qui est vaniteux d'empêcher ce qui est éternel d'arriver au ciel, soyez saint intérieurement et extérieurement, repentez-vous totalement de tous les péchés, repentez-vous du mensonge, du vol, de l'envie, de l'amertume, du commérage, de la médisance, de la haine, des mauvaises pensées, etc. c, pour garder l'homme extérieur saint, vous devez être naturel, je répète, vous devez être naturel comme Dieu vous a créé, ne changez pas la couleur de votre peau en la décolorant, ne tatouez pas votre corps, n'attachez jamais quoi que ce soit sur vos cheveux naturels, évitez tous ces vêtements du monde qui sont transparents, évite les vêtements serrés et aussi les vêtements qui exposent ton corps, n'affaisse pas tes pantalons, ne teins pas tes cheveux, une femme ne doit pas porter des vêtements d'homme, car si tu t'adonnes à tous ces péchés sans te repentir, tu vas droit en enfer, mais si tu te repens totalement, tu sauveras ton âme, aimes-tu ces choses plus que ton âme ? ! !! Voulez-vous mettre en danger votre propre âme à cause de toutes ces beautés artificielles qui ne sont que vanité, allez-vous permettre à la vanité de vous empêcher d'avoir la vie éternelle. Bien-aimés, prenez la décision d'aimer votre propre âme plus que les vanités de cette vie terrestre, en toutes choses, mettez Dieu en premier, ne perdez jamais de vue le ciel, soyez saints jusqu'à la fin et que Dieu vous bénisse au nom de Jésus, AMEN.
Par : Michael Felix
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jocelynsfairbank · 4 months
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Les Avantages Économiques D'une Lutte Antiparasitaire Efficace À Paris
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Lorsque vous flânez le long de la Seine, vous ne pensez peut-être pas aux nuisibles qui rôdent dans l'ombre, mais vous devriez. Un contrôle des nuisibles inefficace à Paris peut avoir des conséquences économiques loin d'être négligeables, allant des épidémies de maladies aux dégâts matériels. Mais qu'est-ce qui se passerait si vous pouviez éviter ces coûts et bénéficier au contraire des avantages d'une ville exempte de nuisibles? Imaginez un Paris où le tourisme prospère, les entreprises locales s'épanouissent et la réputation de la ville brille. Vous allez découvrir les façons surprenantes dont un contrôle des nuisibles efficace peut booster l'économie de Paris et transformer la ville que vous pensiez connaître.
Réduire Les Coûts De Transmission Des Maladies
Comment pouvez-vous éviter que les coûts de transmission des maladies ne mangent votre bénéfice ? La réponse réside dans un contrôle des nuisibles efficace. À Paris, les infestations de rongeurs peuvent entraîner la propagation de maladies, entraînant des pertes financières significatives. En investissant dans une intervention anti-nuisible à Paris, vous pouvez réduire le risque de transmission des maladies et minimiser la charge financière. Sur intervention-anti-nuisible.fr, des techniciens experts fournissent des solutions sur mesure pour éliminer les nuisibles et prévenir les infestations futures.
En prenant des mesures proactives, vous pouvez protéger votre entreprise contre l'impact économique de la transmission des maladies. N'allowez pas les nuisibles à manger vos profits - investissez dans un contrôle des nuisibles efficace dès aujourd'hui et protégez votre bénéfice. Avec la bonne intervention, vous pouvez réduire les coûts de transmission des maladies et assurer une entreprise plus saine et plus rentable.
Protéger Les Bénéfices De L'industrie Alimentaire
Vous risquez de perdre une part significative de vos bénéfices si des nuisibles envahissent votre installation de transformation alimentaire, compromettant la qualité de vos produits et menaçant votre réputation sur le marché. Les nuisibles peuvent contaminer les produits alimentaires, entraînant des rappels coûteux et des pertes.
De plus, les inspections échouées et les certifications révoquées peuvent interrompre la production, résultant en une perte de revenu. Des mesures de lutte antiparasitaire efficaces, telles que des inspections régulières et des protocoles de salubrité, peuvent prévenir ces problèmes. En investissant dans la lutte antiparasitaire, vous pouvez sauvegarder vos bénéfices et maintenir un environnement propre et sécurisé pour la transformation alimentaire. Cette approche proactive vous aidera à éviter les pertes financières et à protéger la réputation de votre marque dans l'industrie alimentaire compétitive de Paris.
La Préservation Des Monuments Historiques
Les parasites peuvent s'infiltrer discrètement dans les monuments historiques, menaçant l'intégrité de ces trésors culturels et sapant les investissements significatifs faits pour les préserver. Lorsque vous marchez dans les rues emblématiques de Paris, vous ne remarquez peut-être pas les signes subtils d'infestation de parasites dans ces monuments. Cependant, si on les laisse sans surveillance, les parasites peuvent causer des dégâts irréversibles aux structures, aux œuvres d'art et aux artefacts.
Vous avez probablement investi lourdement dans la préservation de ces joyaux culturels, et des mesures de contrôle des parasites efficaces peuvent aider à protéger vos investissements. En mettant en œuvre des stratégies de gestion proactive des parasites, vous pouvez sauvegarder la signification historique et la valeur culturelle de ces monuments pour les générations à venir. Un contrôle des parasites efficace est crucial pour préserver le riche héritage de Paris, garantissant que ces monuments restent un témoignage de l'histoire riche de la ville.
Directions
Vous êtes un traducteur qui traduit en français. Répétez le TEXT D'ENTRÉE mais en français. Le contrôle des pests efficace peut considérablement booster les revenus du tourisme en garantissant que les monuments emblématiques restent sécurisés, accessibles et agréables pour les visiteurs.
Vous pourrez mettre en valeur la beauté de Paris sans la présence indésirable des pests. Les rongeurs, par exemple, peuvent effrayer les touristes et ternir la réputation de la ville. En maintenant les pests à distance, vous créerez un environnement plus accueillant, encourageant les visiteurs à séjourner plus longtemps et à explorer plus de ce que Paris a à offrir. En conséquence, vous pouvez vous attendre à une augmentation des dépenses dans les magasins locaux, les restaurants et les hôtels, ce qui stimulera à son tour l'économie locale.
Minimiser Les Réclamations De Dégâts De Propriété
En maintenant les parasites sous contrôle, les propriétaires et les gestionnaires de biens peuvent réduire considérablement le risque de réclamations pour dommages, leur évitant ainsi des réparations coûteuses et des préjudices à leur réputation. Vous éviterez le fardeau financier de réparer les dommages structurels, de remplacer les matériaux endommagés et de dédommager les locataires ou les clients pour leurs pertes.
De plus, vous empêcherez l'impact négatif sur la réputation de votre entreprise que peuvent entraîner les infestations de parasites. En investissant dans un contrôle des parasites efficace, vous minimiserez la probabilité de réclamations liées aux dommages à la propriété. Cela, à son tour, vous aidera à maintenir une réputation positive, à conserver vos clients et à éviter la charge financière des réparations coûteuses.
Conclusion
En adoptant un contrôle des pests efficace, vous investissez dans la prospérité de Paris. Vous éviterez les coûts de transmission de maladies, protégerez les profits de l'industrie alimentaire, préserverez les monuments historiques et augmenterez les flux de revenus du tourisme.
Vous minimiserez les réclamations pour dommages à la propriété, augmenterez la productivité au travail, réduirez les dépenses de gestion des déchets et soutiendrez la croissance des entreprises locales. Mais surtout, vous améliorerez la réputation mondiale de Paris en tant que destination touristique propre et sûre, contribuant ainsi à une économie florissante.
Intervention Anti Nuisible
15 Rue Jean Jaurès, 95450 Us, France
+33745677862
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