Tumgik
#Reconnaissance professionnelle
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Les risques de négliger les droits d'auteur et de sous-évaluer ses photographies
Les Risques de Négliger les Droits d’Auteur et de Sous-évaluer ses Photographies Vendre des photos sans se préoccuper des droits d’auteur et à des prix inférieurs à ceux du marché peut avoir plusieurs conséquences négatives pour les photographes : Perte de contrôle sur l’œuvre : En ne définissant pas clairement les droits cédés, un photographe risque de voir ses images utilisées de manière…
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sosehpad · 1 year
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Infirmiers en crise : entre mal-être et quête de reconnaissance
🚨 Soignants en tumulte : parmi tension et recherche d'appréciation. Apprenez leur vérité touchante. #Santé #AidesSoignantsEnPéril 🩺🏥
Le monde médical est en ébullition. Au cœur de cette tourmente, les infirmiers et infirmières. Ces professionnels de santé, pilier du système de soins, traversent une période sombre. Leur satisfaction professionnelle est en chute libre, bien en dessous de la moyenne des salariés français. Seulement cinq des quatorze dimensions de satisfaction évaluées trouvent grâce à leurs yeux. Le tableau est…
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code-lab · 3 months
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Conditions d'utilisation du Blank Theme
Le Blank Theme est gratuit et le restera à jamais ✨
Les codes de base du Blank Theme sont 100% personnalisables ! Il n'y aucun problème à ce que l'on ne reconnaisse plus le Blank après vos modifications (et si c'est le cas, gg!)
Il est possible d'utiliser partiellement Blank Theme (juste un template ou un élément CSS).
Offrez-vous un peu de visibilité en partageant votre forum sur le Blank 👏 J'adore voir vos créations ! Plus, ça permet de me garder motivée en voyant mon travail utile à d'autre.
En plus de la documentation, il existe une section tutoriel qui regroupe plein de truc et astuce pour vous aider à customiser vos thèmes.
Vous pouvez partager vos propres tutoriels à la communauté ! Pas besoin d'être professionnel. Tout créateur.rice.s de forum à des petits codes sous le coude qu'iels utilisent de projet en projet, c'est l'endroit où les partager pour qu'ils servent au plus grand nombre.
Vous avez le droit de : - créer des maquettes basées sur le Blank Theme - créer vos propres libre-service basées sur le Blank Theme - vendre vos créations (commission, libre-service, ...) en utilisant le Blank Theme
Peu importe ce que vous créez avec le Blank Theme, vous pouvez me contacter pour me le montrer/m'en parler. Je me ferais une joie de repartager votre travail.
Évidemment que vous avez le droit de proposer une alternative au Blank Theme, l'idée ne m'appartient pas ! J'ai moi-même eu l'idée grâce aux thèmes de base de Tumblr.
Créditez le Blank Theme en le mentionnant où vous voulez avec un lien de renvoi vers son site. Pas besoin de mettre mon pseudo! c'est simplement pour le faire profiter à d'autre qui en aurait besoin comme vous. 🙏
Créditez tout les codes extérieurs utilisés par le Blank Theme. C'est aussi grâce à au travail de ces personnes que j'ai eu l'idée de ce libre-service !
Je me rendre disponible pour échanger, aider ou partager alors n'hésitez pas ! Ca me fait toujours plaisir !
Et enfin, si vous le souhaitez, vous pouvez également me soutenir avec un KoFi. ☕
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Il existe plusieurs types d'avions bombardiers d'eau dans la flotte : les Canadair, les Tracker, les Dash et les Beechcraft. Pilotés par des professionnels, ils sont essentiellement mobilisés pour des missions de prévention, de reconnaissance et d'extinction des feux de forêts. Ils interviennent en coordination avec les sapeurs-pompiers mobilisés au sol. Le Dash dispose d’un réservoir de 10.000 litres d’eau ou de produit retardant, soit 4 tonnes de plus que le Canadair.
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soitamespieds · 1 year
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À chaque instant, n'oubliez pas de lui rappeler qui est aux commandes
Les femmes qui dominent: Une dynamique de pouvoir et de sanction
Depuis des siècles, les relations de pouvoir ont évolué, oscillant entre des dominations variées. Longtemps, les femmes ont été sous-représentées, voire marginalisées, dans de nombreux aspects de la société. Mais, dans certains milieux et contextes, le vent a changé de direction. Des femmes audacieuses ont pris le contrôle, rappelant à chaque instant aux hommes qui est vraiment aux commandes.
Chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé par ces femmes est un rappel constant de leur position dominante. Et dans cette dynamique, le pouvoir de sanction devient également apparent. Elles n'hésitent pas à punir, à rectifier, à redéfinir les limites lorsque celles-ci sont transgressées. Ces sanctions peuvent être subtiles ou explicites, mais elles servent toujours à réaffirmer leur position de force.
Ces femmes ne cherchent pas nécessairement à écraser ou à diminuer les hommes, mais plutôt à définir clairement les règles du jeu. Leur autorité ne s'exprime pas uniquement à travers des récompenses, mais aussi à travers des corrections lorsque la situation l'exige.
L'image traditionnelle de la femme douce et soumise est bouleversée par ces femmes puissantes qui ne demandent la permission à personne. Elles sont des dirigeantes, des innovatrices, des meneuses. Dans le monde des affaires, des arts, de la politique, et même dans la vie quotidienne, elles se positionnent comme des leaders, non pas parce qu’elles veulent prouver quelque chose, mais parce qu'elles le méritent.
Et le plus fascinant dans cette dynamique, c'est l'adaptabilité des hommes qui entrent dans leur orbite. Nombre d'entre eux reconnaissent et respectent cette autorité, acceptant même les sanctions comme un moyen d'apprentissage et de croissance. Ils comprennent que suivre une femme puissante ne diminue en rien leur propre valeur. Au contraire, cela peut être une source d'enrichissement personnel et professionnel.
Cela dit, tout comme il est essentiel de célébrer ces femmes fortes, il est tout aussi crucial de reconnaître que chaque individu, homme ou femme, a sa propre force et sa propre dynamique. La vraie puissance réside dans l'équilibre, l'harmonie et la compréhension mutuelle.
Les femmes dominantes, avec leur assurance, leur détermination, et leur capacité à punir, ne sont pas une menace, mais plutôt un symbole du progrès de la société vers une égalité des genres. À chaque moment, elles rappellent aux hommes leur place, non pas par arrogance, mais par le désir d'une collaboration harmonieuse où chaque individu connaît sa valeur.
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Quelques considérations sur le rôle des experts dans nos "démocraties"…
«Tous les experts sont médiatiques-étatiques, et ne sont reconnus experts que par là.
Tout expert sert son maître, car chacune des anciennes possibilités d’indépendance a été à peu près réduite à rien par les conditions d’organisation de la société présente.
L’expert qui sert le mieux, c’est, bien sûr, l’expert qui ment.
Ceux qui ont besoin de l’expert, ce sont, pour des motifs différents, le falsificateur et l’ignorant.
Là où l’individu n’y reconnaît plus rien par lui-même, il sera formellement rassuré par l’expert.
Il était auparavant normal qu’il y ait des experts de l’art des Étrusques ; et ils étaient toujours compétents, car l’art étrusque n’est pas sur le marché.
Mais, par exemple, une époque qui trouve rentable de falsifier chimiquement nombre de vins célèbres, ne pourra les vendre que si elle a formé des experts en vins qui entraîneront les caves à aimer leurs nouveaux parfums, plus reconnaissables. (…).
On sait, par exemple, combien l’expert en météorologie médiatique, qui annonce les températures ou les pluies prévues pour les quarante-huit heures à venir, est tenu à beaucoup de réserves par l’obligation de maintenir des équilibres économiques, touristiques et régionaux, quand tant de gens circulent si souvent sur tant de routes, entre des lieux également désolés ; de sorte qu’il aura plutôt à réussir comme amuseur.» (Guy Debord)
Quand l'anthropologue demande s'il y a des cannibales dans la région, l'indigène répond non, et quand l'anthropologue lui demande comment il peut en être sûr, l'autre sourit en lui disant qu'il a mangé le dernier.
Chaque notion, pour se réaliser, doit se fonder sur le principe antagoniste qui s'en trouve par là même refoulé, le sujet de l'énonciation n'a de cesse de vouloir disparaître derrière son énoncé, comme un agent contrariant ou un témoin gênant qu'il convient d'escamoter, à l'instar du "proton pseudos", le mensonge originel constitutif de l'ordre même du langage, et de toute "réalité" déjà constituée.
Dans l'idée de démocratie, ce qui est refoulé, c'est l'obscénité inhérente au pouvoir politique, et c'est ainsi qu'il faudrait entendre que la démocratie est un système "à venir", non encore atteint, non encore réalisé, et seul le souci constant d'un "toujours plus de démocratie" va dans le sens de la démocratie, en opposition radicale au pouvoir des politiciens "professionnels", au culte médiatique des "personnalités", bref des "experts".
À propos des ex-pères, remarquons avec Lacan que: «le propre des objets de l’expérience, c’est précisément de laisser de quelque côté - comme dirait Monsieur de La Palice - tout ce qui dans l’objet y échappe. C’est pour cela que, contrairement à ce qu’on croit, «l’expérience», la prétendue expérience est à double tranchant. C’est à savoir que quand vous vous fixez sur l’expérience pour résoudre une situation historique par exemple, les chances sont tout aussi grandes d’erreur et de faute grave que du contraire, pour la très simple raison que par définition, si vous vous fixez sur l’expérience, c’est justement par là que vous méconnaissez l’élément nouveau qu’il y a dans la situation»…
Hippocrate l’avait déjà énoncé: «La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile».
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likielandco · 2 years
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
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sous-france · 6 months
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Nostalgie :
Pendant près de deux décennies, j'ai consacré mon engagement au sein du secteur jeunes des quartiers sud de Châtellerault, en particulier dans le quartier du Lac, où j'ai dirigé l'accueil Jeunes, un véritable centre névralgique autrefois.
Avec une équipe d'animateurs dévoués, nous avons œuvré pour deux quartiers distincts des quartiers sud : les Renardières et le Lac de la Forêt.
Au fil des ans, nous avons réussi à rapprocher les jeunes des deux quartiers en lançant des projets culturels où ils pouvaient partager des moments inoubliables, tout comme nous.
Nous avons ouvert les jeunes à la citoyenneté, à la culture, au patrimoine français, les avons sensibilisés à l'écologie à travers différents chantiers de nettoyage du quartier, à la lutte contre les discriminations et la xénophobie, ainsi qu'à de nombreux autres projets sportifs et culturels.
De temps en temps, je recroise certains des jeunes que j'ai côtoyés au fil des ans, et c'est toujours un plaisir d'échanger avec eux.
Je suis ravi de constater que certains sont devenus parents, d'autres sont auto-entrepreneurs, certains sont doctorants, d'autres sont devenus pilotes de ligne, footballeurs ou hand balleurs professionnels ou chauffeurs pour des personnalités et cuisinier.
Leurs brillants parcours sont une source de grande satisfaction pour moi.
Leur reconnaissance me touche profondément.
L'animation, parmi d'autres initiatives, a certainement un rôle à jouer dans la réactivation de la solidarité et l'émancipation.
Cela nécessite un travail de fond pour encourager les jeunes à s'organiser sur le long terme, et je suis heureux de constater aujourd'hui le travail remarquable du Ozon FC et de Médiation Grand Châtellerault sur le terrain.
Le combat continue !
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
Commandez votre tirage :
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Apprécier de dormir du sommeil du juste 
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle 
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés 
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur 
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée 
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser ! 
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine 
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping 
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur 
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée 
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin 
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner 
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel 
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes 
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin 
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer 
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là 
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane 
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes 
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque 
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi 
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur 
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée 
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle 
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble 
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid 
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots 
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mdlearning · 2 months
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Formations en ligne gratuites avec certificat - Trouvez votre formation certifiante en ligne et apprenez à votre rythme
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Dans notre monde en constante évolution, il est de plus en plus important de continuer à se former et à acquérir de nouvelles compétences. Cependant, il n'est pas toujours facile de trouver le temps et les ressources nécessaires pour suivre une formation traditionnelle en présentiel. C'est là que les formations en ligne gratuites avec certificat entrent en jeu.
De nos jours, il existe une multitude de plateformes de formation en ligne qui proposent des cours gratuits, souvent accompagnés d'un certificat de validité. Ces certifications peuvent être une valeur ajoutée pour votre CV et peuvent même être reconnues par des employeurs.
Ces formations en ligne gratuites peuvent couvrir une grande variété de sujets, allant des compétences professionnelles telles que la gestion du temps et la communication, aux compétences techniques telles que la programmation et le design graphique. Il y en a pour tous les goûts et tous les domaines.
La plupart de ces formations sont dispensées sous forme de vidéos ou de supports de cours en ligne gratuits, ce qui vous permet de les suivre à votre rythme, selon votre emploi du temps. Vous pouvez ainsi apprendre où et quand vous le souhaitez, que ce soit depuis chez vous, à votre bureau ou même en déplacement.
En outre, ces formations en ligne gratuites vous permettent également de vous familiariser avec de nouvelles technologies et outils, tels que les plateformes de formation en ligne elles-mêmes, qui sont de plus en plus utilisées dans le monde professionnel.
Il est également important de noter que la plupart de ces formations gratuites en ligne offrent un certificat à la fin du cours, attestant de votre participation et de votre réussite. Cela peut être un atout pour votre évolution professionnelle ou même pour vos recherches d'emploi, car cela démontre votre engagement et votre volonté d'apprendre.
Alors, comment trouver ces formations en ligne gratuites avec certificat ? Une simple recherche sur internet vous permettra de trouver de nombreuses plateformes proposant des cours gratuits en ligne. Parmi les plus populaires, on peut citer Coursera, edX, Udemy, OpenClassrooms ou encore Khan Academy. Vous pouvez également consulter les sites d'universités ou d'organisations internationales qui proposent souvent des cours en ligne gratuits et certifiants.
Avant de vous inscrire à une formation en ligne gratuite, il est important de vérifier la qualité de celle-ci et la reconnaissance du certificat délivré. Lisez les avis des précédents participants, renseignez-vous sur les enseignants et sur la réputation de la plateforme de formation.
En résumé, les formations en ligne gratuites avec certificat sont une excellente opportunité pour continuer à se former et à développer de nouvelles compétences, sans contraintes de temps et de lieu. Elles peuvent être un outil précieux pour renforcer votre CV, améliorer vos chances d'emploi ou tout simplement satisfaire votre curiosité et votre envie d'apprendre. N'hésitez plus, inscrivez-vous dès maintenant à une formation en ligne gratuite et lancez-vous dans une nouvelle aventure de développement personnel et professionnel.
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lalignedujour · 2 months
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Je passais de plus en plus de temps chez Cybercity. Je me prenais de passion pour les quizz géographiques. La journée filait comme ça. Et, alors que je commençais à être satisfaite de ma connaissance des Caraïbes, je remarquais qu'il faisait nuit. L'atmosphère sombre du cyber-café et son ronronnement me faisait perdre les heures. Son ventilateur imperturbable, ses clics réguliers, ses paroles dans une langue étrangère entre les gérants constituaient une nappe sonore de fond envoutante. J'y posais Kingston et le drapeau de Sainte-Lucie. Mais bientôt, je m'intéressais plutôt à la botanique, ou à l'Histoire de la Chine.
Je m'obstinais jusque là à rester à un tarif horaire classique. Ce n'était plus pertinent et je passais à un forfait journée - "de l'ouverture à la fermeture", indiquait l'autocollant sur le comptoir - et en faisait un usage complet. Pendant la transaction, j'essayais de reconnaître la langue des gérants. Indonésien ? drapeau : rouge en haut, blanc en bas ; capitale : Djakarta ; villes principales : Djakarta, Surabaya, Bandung, Medan ; population : 275 millions ; commerce : premier exportateur mondial de charbon ; pays voisins : Malaisie, Timor Oriental, Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Le dimanche, la ville m'accueillait. Je le vivais comme on vit un weekend lorsqu'on son travail est une passion. (Enfin, j'imagine.) Une pause bienvenue, nécessaire, mais teintée d'une hâte de retrouver une routine. Je mangeais mieux le dimanche, à des horaires plus raisonnables et réguliers, du moins. Un snack proposait des oeufs brouillés et des crudités dans une baguette. Je demandais si c'était une spécialité de quelque-part, et le gérant me répondit que non, que c'était une spécialité de Nicky. (Le commerce s'appelait sobrement Nicky Snack, et je soupçonnais ce Monsieur d'être le Nicky en question.) Je le félicitais et m'installais pour manger sur place. Au bout de la deuxième fois, j'y avais déjà mes habitudes. J'étais seule sur un tabouret haut, je mangeais face à la rue. J'étais "en vitrine". C'était ça ou un miroir, et la rue m'allait. J'aurais bien mis quand même cet écriteau modeste qu'on voit dans les vitrines de boutique de décoration ou d'ameublement : vitrine en cours. C'est l'équivalent professionnel du "ne faites pas attention au désordre" des gens chez qui c'est pourtant bien plus en ordre que chez nous.
Je regardais les ombres s'allonger en collant les miettes de sandwich à mon doigt moite. Quand la tablette était parfaitement propre, je saluais Nicky, et je partais. Une fois dehors, je ne ressentais pas le besoin de rentrer tout de suite à l'appartement. Je faisais quelques pas. Je marchais en direction de l'église avec le projet d'en faire le tour, comme si je voulais créer un moment romantique pour pécho, mais avec moi-même. Puis le clocher s'approchant, j'en déviais un peu pour prolonger la balade. L'air était doux. Les couleurs chaudes. Les rues calmes, entre les clameurs de l'après-midi et celles de la soirée. Les pavés étaient encore gorgées de soleil. La marche était si agréable que je me serais crue en Italie.
Mai était passé. Juin commençait. Mes balades du dimanche m'étaient de plus en plus agréables. Elles se prolongeaient de quelques minutes chaque jour : celles gagnées par le soleil. Mon tour de l'église s'étendait jusqu'aux confins du centre-ville et je perdais bientôt de vue le clocher. Je prenais plaisir à marcher dans des endroits pas faits pour : sur des pistes cyclables, des trottoirs étroits, en slalom entre des voitures stationnées et des platanes centenaires, au bord des rocades. Je défiais ce que l'aménagement urbain attendait de moi. Mi-juin, j'ai atteint mi-juin le jardin botanique. Les grilles se sont fermées devant moi. La semaine suivante, même histoire. J'ai fait le tour en reconnaissant les arbres les plus notables et les plantes les plus proches (j'avais depuis deux semaines abandonné la géographie pour me concentrer sur la botanique).
Le dimanche suivant, je laissais des miettes chez Nicky pour aller au jardin botanique. Ma visite fût courte mais choquante. Depuis l'intérieur du jardin, je pouvais sentir les plantes. Leur évapotranspiration de la journée se retrouvait plaquée à ma hauteur par l'humidité soudaine de la fin de journée. Ces odeurs étaient sexuelles.
Directement après la fermeture des grilles, j'ai sangloté. Je réalisais que des choses essentielles allaient me manquer, parmi lesquelles l'amour et l'argent. "Oui, les gens y pensent avant de tout quitter, en général, tu sais ?" me dit une voix dans ma tête (la voix dans ma tête, elle a la voix de ma mère, donc je l'écoute pas). Je me suis perdue. Je n'ai jamais vraiment su m'orienter durant des états émotionnels intenses, et ma mère le savait très bien.
En me jetant enfin sur mon matelas à minuit passé, je décidais de ne plus aller chez Cybercity que pour le strict nécessaire. Je renonçais sans regret à mes cinq étoiles sur la dynastie Liao. Je passerai désormais mes journées au jardin botanique. L'amour et l'argent suivraient.
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zorume-star · 2 months
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GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS
REVENDICATIONS
Liste complète sur g1graine.fr !
B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”
🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.
🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.
☑️ A mettre en place
Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires 
Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique
Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)
Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)
Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)
Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)
Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)
Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)
Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)
Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale
Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)
Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations 
Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques
Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale
Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”
Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique
Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société 
Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale
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jpbjazz · 4 months
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LÉGENDES DU JAZZ
BUSTER WILLIAMS, MAITRE DE LA CONTREBASSE
‘’I’m a bass player, front and center. When I’m working in a group, then the music gets defined and determined by the leader. The main reason I’ve decided now to concentrate on my own music is that I wanted to be the person determining what got played, how it was played and what it ultimately sounded like on the bandstand. That’s my focus now, to play my own music and emphasize my compositions.’’
- Buster Williams
Né le 17 avril 1942 à Camden, au New Jersey, Charles Anthony "Buster" Williams était le fils de Charles Anthony Williams Sr. et de Gladys Williams. Le père de Williams, Charles Anthony Williams Sr., était contrebassiste et jouait aussi du piano et de la batterie. Sa mère Gladys était blanchisseuse. Surnommé ‘’Cholly’’, le père de Williams avait pratiqué plusieurs métiers pour nourrir sa famille de cinq enfants, mais il n’avait jamais abandonné la musique et se produisait dans les clubs après sa journée de travail. Grand amateur du légendaire contrebassiste Slam Stewart, Williams avait été le premier professeur de son fils et lui avait enseigné les vertus du travail bien fait. Buster avait commencé à s’intéresser à la contrebasse après avoir entendu l’enregistrement du standard ‘’Stardust’’ de Oscar Pettiford.
Comme Buster l’avait expliqué des années plus tard: “It was an unwritten law that I had to play it right or hear about it [from his father]. I was going to be the best”. Dans une autre entrevue, Buster avait précisé:
"My father was my teacher. He would prepare my lessons for me, and when I got home from school I was supposed to practice, then he would listen while he was eating his dinner. It was an unwritten law that I had to play it right or hear about it. I was going to be the best. I had no choice. In those days, instead of a two car family, we were a two bass family. My father was a fan of Slam Stewart, and he strung his basses the way Slam did. Instead of the regular G-D-A-E, he strung a high C; ie,C-G-D-A. Adding the C string puts the playing of higher-pitched passages at a more comfortable position. Of course, when he decided to teach me he restrung one of his basses in the traditional manner for me. He told me, 'If I re-string my bass for you, you'd better be serious!'" 
La maison de la famille Williams était toujours remplie de musique. Buster s’était familiarisé avec le jazz par l’entremise de l’impressionnante collection de disques de son père. Il expliquait:
‘’He had an extensive record collection, and we had a roller piano, you know, an upright piano. And you put these rolls of music and press the pedals. We were listening Art Tatum, Jimmie Lunceford Orchestra, Count Basie, Duke Ellington, and all of this music was going on in my house all the time. My father’s musicians friends would come over. He had a good friend named Kenny Andrews, a piano player, and he would come over and they played duos all day long. I was hearing the music and any question that I would ask my father or his musician friends, they would answer for me. I had been listening to Thelonious Monk, and my oldest sister belonged to the Columbia Record Club. They would send us records every month. That’s when I first heard Miles Davis, Art Blakey and Horace Silver.’’
Très reconnaissant à son père avait exercé d’avoir encouragé son développement comme musicien, Williams avait ajouté: ‘’My father was a great, great player. I heard many fine records when I was growing up, and the sound of Slam Stewart was a prime influence on me, both in terms of his arco sound and the way he strung the bass. My father told me that if he took the time to prepare my instrument I had better {to} be serious about it. It’s something that I’ve never forgotten and will always remember about playing and about music.’’
Williams avait décroché un de ses premiers contrats professionnels avec un ami de son père, le saxophoniste ténor Louis Judge.
En 1959, à l’âge de dix-sept ans, Williams avait commencé à jouer à Philadelphie avec le quartet du saxophoniste Jimmy Heath qui comprenait Sam Dockery au piano et le légendaire Charles ‘’Specs’’ Wright à la batterie. Comme Williams l’avait précisé plus tard: ‘’What I learned from Jimmy about music and life was so valuable that bits and pieces of that experience continue to unfold even now. It was like taking a Time release "capsule of knowledge."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Un mois après avoir décroché son diplôme du Camden High School en 1960, Williams s’était joint au groupe des saxophonistes Gene Ammons et Sonny Stitt. À l’origine, c’est plutôt le père de Williams qui devait être engagé avec le groupe, mais comme il n’avait pu se libérer, c’est Buster qui avait pris sa place. Williams explique comment il avait commencé à jouer avec le groupe:
‘’One of my father’s good friends was a bassist that played with Charlie Parker named Nelson Boyd. Charlie Parker penned the tune ‘’Half Nelson’’ for Nelson Boyd, and he was how I got my introduction to Gene Ammons and Sonny Stitt. The gig started on Tuesday at The Showboat in Philadelphia and Boyd couldn’t make the weekend, so he called my father to take the gig. My father was working, so he sent me instead. I also played quite a bit with Jimmy Heath in Philadelphia before goint out on the road with Gene and Sonny. Camden and Philly were filled with clubs. It was quite inspirational.’’
Williams poursuivait: ‘’When I went out on the road with Gene Ammons and Sonny Stitt, it was exciting. And of course, I was nervous at first because I knew this was the big time. I didn’t realize, until I got on the bandstand, how much my father had really prepared me. That’s rich, you know ? It was truly to my benefit.’’
Williams avait tellement impressionné Ammons et Stitt qu’après une seule performance, ils lui avaient demandé de les accompagner en tournée.
Williams était demeuré avec le groupe durant environ un an. Finalement, Ammons était parti avec la caisse lors d’un séjour du groupe à Kansas City, et personne n’avait été payé. Heureusement, Williams, le pianiste et le batteur du groupe avaient obtenu un contrat d’une semaine pour travailler avec Al Hibbler.
De retour à Camden, Williams avait pris des cours de composition, d’harmonie et de théorie au Combs College of Music de Philadelphie. Il avait étudié sous la direction du docteur Roland Wiggins.
Après avoir été découvert par la chanteuse Dakota Staton, Wlliams avait obtenu un engagement à Wilmington, au Delaware, avec le trio de Gerald Price. En 1962, Williams avait accompagné la chanteuse Betty Carter. Décrivant sa collaboration avec Carter comme expérience à la fois inspirante et perturbante, Williams avait précisé:
‘’Well, the first thing you had to understand about Betty Carter is, ‘’Don’t go with her.’’ You may start out together, then you look around and Betty Carter is two blocks behind you, but she knows where she is. She had that kind of intuitive understanding of improvisation. She would be improvising while she’s still singing the melody. If you make the mistake of trying to wait for her, then you’d be drastically wrong because she knows where she is and she’s going to be where she needs to be when she needs to be. I used to tell her, ‘’Betty, when you come in and I hit my first beat, then I’m going to go out and have lunch and I’ll be back in time for me to play beat two.’’ I had never gotten to play a ballad so slow until I started playing with Betty Carter. She had such feeling and such emotion in what she did, and she could really swing.’’
Williams s’était rendu pour la première fois en Europe dans le cadre d’une tournée avec Sarah Vaughan l’année suivante. Commentant sa collaboration avec Vaughan, Williams avait ajouté: ‘’I learned patience with Betty Carter, and I learned the importance of playing in tune with Sarah Vaughan. Sarah could hear anything that was out of tune. We did a rehearsal once with a big band. Sarah stopped the band, pointed to the second trumpet player, and told him to tune up.’’
C’est lors de la tournée avec Vaughan que Williams avait fait connaissance avec des musiciens qu’il n’aurait jamais cru devoir faire partie de son avenir: Miles Davis, Ron Carter, Herbie Hancock, George Coleman et Tony Williams. 
En 1964, après avoir joint le groupe de la chanteuse Nancy Wilson, Williams s’était installé à Los Angeles. C’est là que Williams avait épousé l’année suivante Veronica, une ancienne camarade de high school. Wilson avait même été la demoiselle d’honneur de sa nouvelle épouse. Williams avait continué de travailler avec Wilson jusqu’à ce qu’il décide de rentrer à New York en octobre 1968. Williams avait enregistré cinq albums avec Wilson. Décrivant sa collaboration avec la chanteuse, Williams avait commenté: ‘’Nancy Wilson loved to do duets with me. We used to do the Beatles song, ‘’Yesterday.’’ I would start it off any kind of way I wanted to. She always knew where to come in, and we would sync. It was just fantastic. I learned something unique from each one of the singers. They all said to me that they wouldn’t sing a song if they couldn’t relate to the lyrics. And all the great musicians, I think, also told me, if you’re going to play a song that has a lyric, learn the lyric.’’
Parallèlement à sa collaboration avec Wilson, Williams avait également été un membre régulier des Jazz Crusaders de 1965 à 1968, avec qui il avait enregistré cinq albums. Williams explique comment il s’était joint au groupe: ‘’I was playing all kinds of gigs when Nancy was off. I got a call from the Jazz Crusaders to play with them, and we opened at The Lighthouse. Before me, the Jazz Crusaders had a guy named Herbie Lewis. He was another great bass player. There was also a great studio player in L.A. named Jimmy Bond who played with them earlier.’’
Décrivant sa collaboration avec le groupe, Williams avait ajouté:
‘’You know, I never thought I was doing anything spectacular except, you know, enjoying myself, which was great. Wayne Henderson, their trombone player, and I had a real close comedy kind of relationship. I wrote a song for him called ‘’Ruby P’gonia.’’ I think the first record we did was Lighthouse ‘68, and then Lighthouse ‘69. Then we did another record called Old Shoes, New Shoes. That band would have had a lot more international acclaim except for the fact that none of the other guys liked to fly. We had offers to go to Europe, but, unless we were going on a boat, we weren’t going. (Of course, I have never had a problem with flying). We had lots of fun, and I made maybe about five records with them.’’
En 1967, Williams avait aussi remplacé brièvement le contrebassiste Ron Carter dans le groupe de Miles Davis. Il avait également collaboré avec Kenny Dorham, Eddie Henderson, McCoy Tyner, Dexter Gordon, Roy Ayers, Stanley Turrentine, Frank Foster et Art Blakey.
Après son arrivée à New York, Williams s’était joint au sextet de Herbie Hancock qui était aussi composé de Herbie Mann, Mary Lou Williams et Billy Hart. Williams, qui jouait à la fois de la basse électrique et acoustique avec la formation, avait enregistré trois albums avec le groupe. De plus en plus populaire, Williams était très en demande comme musicien de studio. Williams avait également joué dans plusieurs commerciaux et composé plusieurs bandes sonores pour le cinéma.
Tout avait bien fonctionné jusqu’à ce que ces différents engagements commencent à entrer en conflit et que Williams soit obligé de choisir. Même s’il manquait d’expérience avec la basse électrique, Williams avait finalement décidé de se joindre au sextet Mwandishi d’Herbie Hancock, un des plus grands groupes de jazz-rock de l’époque qui était composé de Johnny Coles à la trompette, de Garnett Brown au trombone, de Joe Henderson au saxophone ténor et d’Albert ‘’Tootie’’ Heath à la batterie. Williams explique comment il avait commencé à jouer de la basse électrique:
’’Even before Herbie, I made some records with Harold Mabern playing Fender electric bass. One was called ‘’Greasy Kid Stuff !’’ I did about two or three records around that time doubling on Fender. I just did an interview recently, and the person that I did the interview with, he did research and old me about records that I played electric bass on that I totally forgot. But anyway, when I was with Herbie, when we started the band, we did not use any electronic instruments. Shortly afterwards, I played the Fender on ‘’Ostinato: Suite for Angela’’, and I was playing electric bass and the acoustic bass and couldn’t leave home without both of them.’’
Williams avait aussi joué de la basse électrique dans des publicités télévisées.
De 1969 à 1972, le groupe avait finalement adopté son alignement définitif composé, en plus de Hancock et Williams, de Benny Maupin au saxophone, de Julian Priester au trombone, d’Eddie Henderson à la trompette, de Patrick Gleason aux synthétiseurs et de Billy Hart à la batterie. Décrivant sa collaboration avec le groupe, Williams avait précisé:
‘’This band with Herbie really was a high point in my musical life. We were doing some things that no one ever thought a jazz band would ever consider. I remember one time we were in Italy and Herbie saw this huge Moog synthetiser and he decided he wanted to add it to the band. This was the time when those things were huge. We ended up carting this enormous thing all over Italy and having to pull all that stuff up; we looked like an airport up on the bandstand. I had never played the electric bass before we started going electric. I didn’t know then that it’s totally different instrument. The stuff that casts do today, all the slapping and the ripping, that’s something I’ve never done on the electric. I put that thing down back in the ‘70’s, and if anyone asks me today if I play electric bass, I tell them I don’t. That’s a whole different animal now.’’
Williams avait fait ses débuts comme leader en 1975 sur l’album Pinnacle sur étiquette Muse. L’album comprenait ‘’Tayamisha’’, une composition que Williams avait écrite pour sa fille. Williams avait également pris la place du contrebassiste Ron Carter dans le cadre de certaines sessions dans lesquelles Carter avait joué de la contrebasse piccolo. Dans les années 1970, Williams avait également accompagné Mary Lou Williams, Kenny Barron, Jimmy Rowles, Larry Coryell, Stanley Cowell, Steve Turre et Frank Morgan dans le cadre de certains enregistrements.
Au début des années 1980, Williams avait fait une tournée avec Herbie Hancock, Tony Williams et le jeune trompettiste Wynton Marsalis. Par la suite, Hancock avait formé un trio avec Williams à la contrebasse et Al Foster à la batterie. Dans le cadre de certaines tournées estivales, des invités spéciaux comme les saxophonistes Branford Marsalis, Michael Brecker et Greg Osby avaient également été ajoutés. Le trio avait poursuivi ses activités jusqu’en 1995. Durant cette période, Williams avait également fait une apparition au gala des prix Grammy dans le cadre d’un quintet qui comprenait Hancock, Williams et le chanteur Bobby McFerrin.
En 1982, Williams avait été un des fondateurs du groupe Sphere. Créé pour rendre hommage au pianiste Thelonious Monk, le groupe était composé du pianiste Kenny Barron, du saxophoniste ténor Charlie Rouse (qui avait remplacé plus tard par Gary Bartz) et du batteur Ben Riley. Le groupe, qui avait enregistré son premier album le 17 février 1982 le jour-même de la mort de Monk, avait progressivement incorporé les compositions des membres du groupe ainsi que des standards du jazz à son répertoire.
La même année, Williams avait aussi commencé à travailler avec les Timeless All Stars, un sextet qui était composé du pianiste Cedar Walton, du tromboniste Curtis Fuller, du saxophoniste Harold Land, du vibraphoniste Bobby Hutcherson et du batteur Billy Higgins. Le groupe avait enregistré quatre albums pour l’étiquette hollandaise Timeless Records.
En 1989, Williams avait enregistré un second album comme leader intitulé "Something More" qui comprenait cinq de ses compositions. Avaient également participé à l’album le saxophoniste Wayne Shorter, Hancock, le batteur Al Foster et un brillant jeune trompettiste japonais nommé Shunzo Ono. Après la parution de l’album, Williams avait formé son propre groupe également appelé Something More. Le groupe était notamment composé de Ralph Moore au saxophone ténor, du pianiste Benny Green et du batteur Billy Drummond. Parmi les succès de la formation, on remarquait la pièce ‘’Enchanted Flower.’’
Williams expliquait pourquoi le quintet avait été fondé: "After working almost continuously for 30 years as a sideman, I decided it was time to take the plunge, step up to the front, play my music, and express my concept of a cohesive musical unit. I've served my apprenticeship under many great masters and feel that it's my honor and privilege to carry on the lineage that makes this music such an artistically rich art form.’’ Depuis sa fondation en 1990, le groupe avait fait plusieurs tournées en Europe, au Japon et en Australie. Il avait également participé à la première édition du Festival de jazz international de Moscou en plus de se produire régulièrement aux États-Unis.
En 1991, Williams avait décroché une bourse du National Endowment for the Arts pour composer une oeuvre pour quintet, ensemble à cordes et choeurs. La même année, Williams avait également été lauréat d’une bourse de la New York Foundation for the Arts Fellowship Grant. En 1998, Williams avait enregistré un troisième album sous son nom intitulé ‘’Somewhere Along the Way’’, qui avait été suivi en 2004 de ‘’Griot Libertè.’’ L’album avait été enregistré au célèbre studio de Rudy Van Gelder au New Jersey.
En 1999, Williams avait enregistré ‘’Live at the Montreux Jazz Festival’’ avec un quartet comprenant le pianiste Mulgrew Miller, le vibaphoniste Steve Nelson et le batteur Carl Allen. Même si la composition du groupe rappelait un peu le légendaire Modern Jazz Quartet, Williams avait tenu à préciser qu’il n’avait pas choisi ce format pour rendre hommage au groupe. Williams, qui appréciait particulièrement le vibaphone comme instrument, avait expliqué:
‘’It’s an instrument that I enjoy immensely. The vibes bring a different sound to the band. It gives us a different flavor. I like the romanticism of the vibes, and in my view it has what I call a great blendability, if that’s a word, with the rest of the instruments. I’m excited by the chance to have it in my band. The only problem with this new record is that this isn’t my working band. It’s really becoming difficult today to make records with even the same personnel from one time to the other, let alone have your regular group. My working band includes Miller on piano, Stefon Harris, a wonderful young vibes player, and Lenny White on drums. Steve Wilson, who is Gerald Wilson’s son, plays with us at times on alto and soprano sax. I really would love to be able to actually rehearse and record a series of records with this same band, but that’s just one of the problems with what’s happening today.’’
En juin 2008, Williams avait autoproduit un enregistrement digital intitulé ‘’Live Volume 1’’ qui était disponible exclusivement sous forme de téléchargement.
De 2010 à 2014, Williams avait fait une tournée avec le groupe 4 Generations of Miles, composé de Sonny Fortune, Mike Stern et Jimmy Cobb. Le groupe devait son nom à un concert et à un album publié en 2002 qui rendait hommage aux quatre générations du groupe de Miles Davis. Le groupe original comprenait Ron Carter à la contrebasse et George Coleman au saxophone ténor.
Également professeur, Williams avait fondé en 2013 la Buster Williams School of Music, une organisation à but non lucratif qui avait pour objectif de transmettre son héritage aux générations futures. Le projet faisait suite à une classe d’été que Williams avait donnée dans sa ville natale de Camden en 2012. À la même époque, le groupe Something More s’était produit au Festival de jazz de Portland et au Dimitriou's Jazz Alley avec une formation composée des anciens collègues de Williams avec le groupe Mwandishi, Bennie Maupin et Julian Priester, et des musiciens Cindy Blackman-Santana et George Colligan.
En 2013, Williams avait participé à une tournée en Europe avec le pianiste Eric Reed,  le saxophoniste Bruce Williams et le batteur Joey Baron. En mars 2014, Williams avait fait une brève tournée en Europe avec le trio du pianiste Steve Kuhn. L’autre membre du groupe était le batteur Billy Drummond. En 2023, Williams avait publié l’album ‘’Unalome’’. Le titre de l’album faisait référence à la loi de la cause et de l’effet dans la religion bouddhiste dont Williams était un adhérent.
Reconnu par le Penguin Guide to Jazz on CD comme un des plus importants accompagnateurs du jazz moderne, Williams est également considéré comme un maître de l’harmonie, du contrepoint et de l’orchestration. Au cours de sa carrière, Williams a joué avec une copie d’une contrebasse Boosey & Hawkes du début du 19e siècle. Même s’il adorait la contrebasse, Williams appréciait également des spécialistes de la basse électrique comme Stanley Clarke, Jaco Pastorius, Anthony Jackson, Marcus Miller, Victor Wooten, Christian McBride et Derrick Hodge.
Refusant de se limiter à un rôle de chef d’orchestre ou d’accompagnateur, Williams se percevait d’abord et avant tout comme un contrebassiste. Il expliquait: ‘’I’m a bass player, front and center. When I’m working in a group, then the music gets defined and determined by the leader. The main reason I’ve decided now to concentrate on my own music is that I wanted to be the person determining what got played, how it was played and what it ultimately sounded like on the bandstand. That’s my focus now, to play my own music and emphasize my compositions.’’
Williams a collaboré avec plusieurs grands noms du jazz au cours de sa carrière, de Chet Baker à Count Basie, en passant par Art Blakey, Chick Corea, Miles Davis, Erroll Garner, Dexter Gordon, Herbie Hancock, Roy Ayers, Freddie Hubbard, Mary Lou Williams, Larry Coryell, Wynton Marsalis, Branford Marsalis, Sonny Rollins, Chick Corea, Kenny Barron, Jimmy Rowles, Hampton Hawes, Cedar Walton, Billy Taylor, Mulgrew Miller, Sonny Stitt, McCoy Tyner, Lee Konitz, Herbie Mann, The Jazz Crusaders, Bobby Hutcherson, Stanley Cowell, Steve Turre, Lee Morgan, Ron Carter, Joe Farrell, Sonny Fortune, Jimmy Cobb, Mike Stern, Kenny Burrell, Frank Morgan, Jimmy Heath, Harold Land, Herbie Mann, Frank Foster, Charlie Rouse, Stanley Turrentine, Roy Ayers, Woody Shaw, Benny Golson, Illinois Jacquet, Jimmy Heath, Gene Ammons, Hank Jones, Lee Morgan, Elvin Jones, Harold Mabern et Hamiet Bluiett. Williams avait également accompagné de nombreux chanteurs et chanteuses, dont Sathima Bea Benjamin, Shirley Horn, Betty Carter, Jonathan Schwartz, Nancy Wilson, Jean Baylor, Carmen McRae, Roseanna Vitro, Helen Merrill, Dakota Staton, Nnenna Freelon, Jon Lucien, Marguerite Mariama et Champian Fulton.
Particulièrement marqué par sa collaboration avec Sarah Vaughan, Sonny Rollins, Miles Davis, Dexter Gordon et Herbie Hancock, Williams avait commenté:
‘’There have been so many wonderful folk that I’ve worked with and played with over my years, but Sarah Vaughan was special. So were Sonny Rollins and Miles Davis, Dexter Gordon and, of course, Herbie Hancock. There are people who didn’t just teach you about music. They took you aside and taught you about life, about what it really means to play this music well, to actually have something to say on the bandstand. This was my true college, if you will, traveling and playing with all these great people.’’
Lorsqu’on avait demandé à Williams ce qu’il pensait de l’évolution du marché de la musique, il avait répondu:
‘’If I really answered that one the way I want to, it would take about seven books. Let’s just say that the scene has never been like it is today. There are so many elements in play that have nothing whatsoever to do with the music. I’ve always been an optimist, someone who saw the glass said it was half full, rather than saying it was half empty. It’s very interesting that in terms of the legitimacy of the music, you’ve got so many people in high places that don’t have any idea about what even constitutes musical quality. You’ve got these bureaucraties in place of gigs and in every situation, and in that way I’m a little bit disturbed. But you have to keep on fighting, no matter who’s supposedly in charge and whatever it is they try to tell you. I get upset sometimes because the real thing is being overlooked, and being assaulted by politics, economics and all the people who want to be part of the controlling forces. This isn’t something I sit around and complain about a lot, but it really something that anyone who’s been out here even a little bit can easily see.’’  
La tête toujours remplie de projets, Williams avait ajouté:
‘’I still haven’t written my symphony yet. I would like to write some movies. Those two things are pretty much my goals, and I want to do everything in between as well. I never feel like I’ve arrived or that there’s nothing more for me to do. I don’t ever feel like things have brought me to some sort of stablemate. There’s always more things to do and more things to say, and that’s what I plan to continue doing as I’m capable.’’
Williams avait également collaboré à plusieurs bandes sonores de film et à des commerciaux pour la télévision (notamment pour Coca-Cola, Budweiser, la champagne Tott's, la compagnie d’assurances Prudential, Chemical Bank, Alpo Dog Food, le réseau de télévision HBO,  Budweiser et Old Spice). Williams avait composé sa première bande sonore pour le cinéma dans le cadre d’une collaboration avec Quincy Jones dans le film ‘’Mackenna's Gold’’ de J. Lee Thompson en 1969. En 1981, Williams avait retrouvé le contrebassiste Ron Carter dans le film ‘’Le Choix des Armes’’ du réalisateur Alain Courneau mettant en vedette Yves Montand et Simone Signoret. Composée par Philippe Sarde, la musique du film avait été interprétée par le London Symphony Orchestra. Commentant sa participation au film, Williams avait précisé: ‘’"That film required quite a commute. I had to go back and forth to London at least once a month for six months, carrying my bass. They really got to know me at JFK and Heathrow.’’
Dans les années 1990, Williams avait collaboré avec Angelo Badalamenti dans le film de David Lynch ‘’Twin Peaks: Fire Walk with Me’’ (1992) et avec le trompettiste Terence Blanchard dans le cadre du film ‘’Clockers’’ (1995) de Spike Lee. Williams avait aussi fait quelques apparitions à la télévision, y compris avec le groupe du Tonight Show dirigé par Branford Marsalis, avec lequel il avait interprété cinq de ses propres compositions. Williams avait également accompagné le pianiste Erroll Garner dans le cadre de la même émission. Williams avait aussi fait des apparitions dans le Andy Williams Show (avec Nancy Wilson), le Joan Rivers Show, le Joey Bishop Show, le Mike Douglas Show et dans la série de télévision pour enfants Sesame Street aux côtés du chanteur Joe Williams. En 2004, Williams avait aussi interprété son propre rôle dans le film ‘’The Terminal’’ de Steven Spielberg aux côtés de Benny Golson, Nilke LeDonne et Carl Allen. Les arrangements et les compositions de Williams ont été enregistrés par de nombreux artistes dont Roy Ayers, Roy Hargrove, Art Blakey, Larry Coryell, Freddie Hubbard, Buck Hill, les Jazz Crusaders, Mary Lou Williams et Herbie Hancock.
Williams a remporté de nombreux honneurs au cours de sa carrière, dont un Min-On Art Award, un SGI Glory Award, un SGI Cultural Award et un RVC Corporation RCA Best Seller Award.  Williams avait également remporté un prix Grammy pour l’album Love for Sale qu’il avait enregistré avec The Great Jazz Trio en 1980. Le groupe était composé de Hank Jones au piano et de Tony Williams à la batterie. 
Aujourd’hui âgé de quatre-vingt-deux ans, Williams passe une retraite paisible dans sa ville natale de Camden, au New Jersey, avec son épouse Veronica. Familiarisés avec la religion boudhiste par sa soeur en 1972, Williams et son épouse s’étaient convertis au boudhisme Nichiren après que Veronica ait été victime d’une commotion dans un accident d’automobile. Williams était aussi membre de la Soka Gakkai International, une association boudhiste active sur la scène mondiale. L’album de 2004 ‘’Griot Libertè’’ était d’ailleurs inspiré d’un autre problème de santé dont avait été victime Veronica alors qu’elle avait récupéré d’un coma à la suite d’une crise cardiaque.
En 2021, le réalisateur Adam Kahan a rendu hommage à Williams dans le cadre di documentaire ‘’Buster Williams, From Bass to Infinity.’’
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Buster Williams.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Buster Williams.’’ All About Jazz, 2024.
‘’Buster Williams: Blendability.’’ Jazz Times, 18 avril 2021.
‘’Buster Williams discusses a life in time and making the most of it.’’ WRTI, 16 avril 2023.
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lecoindemariepier · 10 months
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Grandir avec la console !
Depuis la démocratisation des jeux vidéo, les enfants québécois ont souvent une manette dans les mains avant même d’avoir commencé l’école ! Alors que les parents s’inquiètent des répercussions des jeux vidéo sur le cerveau, de plus en plus de professionnels reconnaissent leurs bienfaits sur le développement global des enfants.
Alors que la télévision est une activité passive, les jeux vidéo permettraient, au contraire, de développer plusieurs aptitudes intellectuelles. Une large étude, menée par l’Université du Vermont en 2022, a comparé les capacités cognitives de plus de 2000 enfants de 9 ou 10 ans. Il s’est avéré que les enfants jouant aux jeux vidéo « montraient davantage d’activités dans des zones du cerveau associées à l’attention et à la mémoire » que les enfants qui n’y jouaient pas (Agence France-Presse, 2022). Les jeunes joueurs développent donc leur mémoire de travail ainsi que leur capacité d’analyse, ce qui leur sera bénéfique tout au long de leur vie.
De plus, les jeux d’action enseignent aux enfants à résoudre des problèmes tout en faisant preuve de jugement et de logique. Les jeux éducatifs, quant à eux, consolident leurs apprentissages dans différentes matières, telles que les mathématiques, le français ou l’anglais. Ainsi, le milieu scolaire aurait tout intérêt à utiliser les jeux vidéo, qui sont d’excellents outils pédagogiques. Gabrielle Trépanier-Jobin, professeure à l’École des médias de l’UQAM, souligne que les grandes entreprises de jeux vidéo sont de plus en plus sensibles à la question de l’éducation et qu’elles ont même modifié certains de leurs jeux, dont « Minecraft [qui] a […] été décliné en version éducative pensée cette fois-ci particulièrement pour les enseignants » (Letarte, 2016).
Puisqu’ils encouragent la concentration et la persévérance, les jeux vidéo aident les enfants à rester motivés sur une longue période. Ils leur permettent aussi de vivre des réussites, ce qui est excellent pour leur estime personnelle et leur santé mentale. Selon Naître et Grandir (2016), « ce type d’engagement peut se poursuivre en dehors du jeu, dans le sport et à l’école par exemple. » Fiers d’eux et motivés, les enfants apprennent tout en s’amusant. Alors, pourquoi les priverait-on de jouer ?
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Sources :
Agence France-Presse. (2022, 25 octobre). Les enfants adeptes de jeux vidéo ont de meilleurs résultats cognitifs, selon une étude. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1927640/enfants-jeux-video-test-etude-cognitif
Letarte, M. (2018, 24 mars). Sous-estime-t-on les bénéfices des jeux vidéo ? Le Devoir. https://www.ledevoir.com/societe/523189/sous-estime-t-on-les-benefices-des-jeux-video
Naître et grandir. (2016, septembre). Les enfants et les jeux vidéo. https://naitreetgrandir.com/fr/etape/5-8-ans/jouer-bouger/enfants-jeux-video/#_Toc462301361
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (54)
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Précédents épisodes
-          Vous avez fait d’énormes progrès. Pouvez-vous faire un aller-retour, s’il-vous-plait ?
Je marchai, m’étonnant moi-même d’avoir retrouvé une certaine élégance dans ma démarche. Deux ans après mon accident cérébral, je pouvais marcher comme avant. Arrivé devant la porte du cabinet, je retournai m’assoir dans le fauteuil en cuir. Le médecin rit en écarquillant les yeux. Je l’accompagnai, heureux d’avoir survécu à une rupture d’anévrisme, surtout, d’avoir retrouvé tous mes moyens, même si mon sourire restait très légèrement figé sur le coin droit de mes lèvres.
Nous discutâmes de mon rétablissement, des méthodes employées par les différents services hospitaliers pour m’aider à retrouver mon état physique d’avant l’accident du train. Par habitude, je m’amusais à serrer puis desserrer le poing droit.  J’aimais le voir en pleine action, en remuant les doigts ou le poignet ; c’était mon signe de victoire. J’allais me lever lorsque le docteur m’interpela.
-          C’est quand même étrange que vous vous êtes réveillé avec des souvenirs qui ne sont pas les vôtres. J’ai questionné de nombreux confrères…Très peu ont eu de patients similaires.
-          Je sais, répondis-je. Je reconnais que c’était très compliqué à vivre. Je savais que j’étais moi mais, je n’arrivais pas à sortir de la tête que tout n’était qu’un rêve. Le docteur Leroy m’a dit que c’était de la paramnésie ?
-          C’est possible. Mais la paramnésie concerne un moment de déjà-vu. Dans votre cas, nous avons plutôt de la confabulation. Vous avez des souvenirs qui n’ont jamais eu lieu. Pourtant, votre description de Bucarest, les photos montrées pendant les tests, l’Orient-express, Venise…J’ai encore en tête votre récit…vous avez décrit ces lieux assez facilement alors que vous n’avez jamais mis les pieds en ces endroits.
-          Et concernant la jeune femme qui m’a sauvé la vie ?
Il remonta ses lunettes tout en me souriant. J’avais appris qu’elle travaillait comme infirmière dans cet hôpital. Elle s’était assise près de mon siège et avait immédiatement remarqué mon état critique. Par la suite, elle venait me voir régulièrement quand j’étais dans le coma, pendant ses heures de pause. Mais, je n’eus jamais la possibilité de la remercier.
-          Audrey a quitté notre service juste avant votre réveil. Sa mutation était programmée depuis longtemps, et depuis…je crois qu’elle est partie du côté de Lyon.
Je quittai le cabinet un peu déçu. Son assistante me salua avec un grand sourire. Je longeai ensuite les couloirs pour quitter cet hôpital que je commençai à connaitre presque par cœur. Malgré les quatre étages, je descendis les escaliers plutôt que de prendre l’ascenseur.
Dehors, je levai la tête pour admirer un ciel bleu dénué de nuages. J’inspirai un grand bol d’air. Il sentait la pollution, pourtant je l’appréciai comme un parfum rare. Puis, je quittai l’hôpital en passant par son parc. Une valise attendait chez moi que je la remplisse. J’avais profité d‘une reconnaissance de mon handicap pour prendre une formation. Et ma première journée commençait dans une semaine.
J’avais rendez-vous quelques jours avant le début des cours dans le centre de réadaptation professionnelle. Pour m’y rendre, je décidai de prendre le train ; le premier depuis mon accident. Je voyageai tranquillement en TGV jusqu’à Saint Brieuc. Il y avait de nombreux touristes et quelques vacanciers voulant profiter des embruns bretons. Puis, après une attente en gare, je pris un second train en direction de Lannion.
La locomotive démarra après l’annonce d’un contrôleur. Mais, une fois la gare quittée, je ressentis une étrange impression. C’était comme un appel provenant de l’arrière du train. Dès lors, je me retournai et, peut-être en raison de la présence de quelques passagers, je ressentis soudainement l’envie de m’isoler. Aussitôt, je me levai, pris ma valise et quittai le wagon pour me diriger vers le suivant.
Dehors, un paysage composé de bocages et de routes départementales défilaient sous un ciel radieux. Je marchai dans le couloir entre les sièges sans trouver une place qui me convenait. Dans la seconde, un homme reniflant constamment me dérangeait. Et dans la troisième, c’était une mère de famille incapable de calmer son fils de trois ans qui braillait à tout bout de champ.
Lorsque j’ouvris la porte du quatrième wagon, je ne la remarquai pas de suite. Elle était assise, la tête posée contre la vitre. Elle semblait dormir. La lumière du soleil réchauffait son doux visage tout en l’éclairant tel un ange qu’on voudrait étreindre. Ses cheveux longs ne cachèrent rien de son cou blanc. Il semblait si fragile, elle semblait si chétive, si faible. Je m’arrêtai à sa hauteur pour la regarder. Une boule pressait mon ventre. Je déglutis.
-          Ludmilla ? murmurai-je.
Elle n’ouvrit pas les paupières. Sa poitrine gonflait et dégonflait tranquillement. Aussi, je m’assis sur la banquette opposée après avoir posé ma valise. Elle dormait toujours, la tête contre la vitre, son visage reflétant dans le carreau. Ses lèvres rouges rappelaient un souvenir dont je ne me suis jamais séparé. Elle inspira fortement. Puis, après quelques minutes, au premier arrêt, elle ouvrit les yeux.
La jeune femme regarda le quai. La gare était petite. On pouvait découvrir quelques entreprises, silos, fermes, voire des habitations pavillonnaires séparées par des champs ou de bosquets.  Elle suivit du regard, un homme d’une trentaine qui monta dans une voiture de tête. Soudain, le train repartit sans annonce. Alors, elle observa notre wagon ; il n’y avait qu’elle et moi.
Lorsque ses yeux couleur noisette croisèrent mon regard, elle sourit poliment. Puis elle regarda de nouveau à travers la fenêtre, en plissant les yeux. Mais elle sentit mon insistance à l’observer. Alors, je me sentis obligé d’intervenir. Son parfum de vanille et de fleur d’oranger m’aida à franchir le pas.
-          Excusez-moi. Cela peut paraitre ridicule mais j’ai l’impression de vous connaitre.
Elle resta muette tout en me dévisageant. Son sourire laissa place à un rictus fermé. Elle regarda autour d’elle. Je pouvais lire l’inquiétude et la peur dans ses pupilles. Elle était sur le point de se lever. Sa main agrippa un sac à dos posé à côté d’elle.
-          Je ne cherche pas à vous draguer ni à vous faire peur, ajoutai-je
Mon culot faisait trembler mes membres. Je n’arrivais plus à contrôler mes mains ni mes jambes. Même ma voix devenait hésitante. Je cherchais mes mots, déglutissant afin de ne pas bafouiller. Elle comprit que je n’étais pas un danger. Peut-être un fou…
-          Est-ce que par le plus grand des hasards, vous n’étiez pas infirmière en Picardie ?
Dès lors, son visage s’éclaircit. Elle ouvrit la bouche, étonnée. Ses yeux s’écarquillèrent. Elle rit soudainement tout en décontractant ses épaules.
-          C’est vous ! dit-elle. Décidément, on ne se croise que dans les trains. Vous êtes sorti du coma ? J’en suis ravie…
Audrey ne s’arrêta plus de parler, me demandant combien de temps j’avais passé sur mon lit d’hôpital. Elle demanda si j’avais subi des séquelles, comment ma rééducation se passa. Elle insista à dire qu’elle était heureuse de me revoir en bonne santé. Elle parla tant, elle me posa tant de questions que j’en rougi. Je n’osai parler, lui dire qu’elle fut longtemps dans mes pensées, sous un autre prénom. Puis, je profitai d’un moment de silence.
-          Merci, soufflai-je.
Elle rougit à son tour. Son sourire répondit simplement qu’elle avait juste fait son devoir. Le train s’arrêta à Guingamp. Elle se leva et avant de partir, elle embrassa ma joue.
-          Prenez-soin de vous, murmura-t-elle.
Je la regardai partir et sortir du train. Sur le quai, ses cheveux voltigèrent légèrement. Elle tourna la tête, fit un signe de la main. Et le train démarra. Petit-à-petit, en même temps que son parfum, le souvenir de Ludmilla s’effaçait pour laisser place à un avenir plein de promesses. Et qui sait ? Peut-être la reverrais-je de nouveau ?
Alex@r60 – février 2023
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Inventée en 1955 pour décrire une sous-discipline de l’informatique, l’intelligence artificielle comprend aujourd’hui une variété de technologies et d’outils, certains plus anciens que d’autres. Forrester a récemment publié un rapport TechRadar sur l’intelligence artificielle (destiné aux professionnels du développement d’applications), une analyse détaillée de 13 technologies que les entreprises devraient songer à adopter afin d’épauler et de soutenir les décisions des humains, voici le top des 10 meilleures technologies de l’IA :
Génération automatique de texte : Production de texte à partir de données informatiques. Actuellement utilisé dans les services à la clientèle, la génération de rapports et la synthèse de business intelligence. Exemples de fournisseurs: Attivio, Cambridge Semantics, Raisonnement numérique, Lucidworks, Narrative Science, SAS, Yseop. 
Reconnaissance automatique de la parole : Transcrire et transformer la parole humaine en format utile pour les applications informatiques. Actuellement utilisée dans les systèmes interactifs de réponse vocale et les applications mobiles. Exemples de fournisseurs : NICE, Nuance Communications, OpenText, Verint Systems.
Agents virtuels. De simples chatbots à des systèmes avancés qui peuvent communiquer avec les humains. Actuellement utilisés dans les services à la clientèle et comme gestionnaires de maison intelligente. Exemples de fournisseurs : Amazon, Apple, Solutions Artificielles, Assist AI, Creative Virtual, Google, IBM, IPsoft, Microsoft, Satisfi. Plateformes d’apprentissage automatique : Fourniture d’algorithmes, d’API, de boîtes à outils de développement et de formation, de données, ainsi qu’une puissance de calcul pour concevoir, former et déployer des modèles dans des applications, des processus et autres machines. Actuellement utilisées dans un large éventail d’applications d’entreprise, impliquant principalement la prédiction ou la classification. Exemples de fournisseurs : Amazon, Fractal Analytics, Google, H2O.ai, Microsoft, SAS, Skytree.
Matériel optimisé pour l’IA : Processeurs graphiques et appareils spécialement designés et conçus pour exécuter efficacement des travaux informatiques orientés vers l’IA. Exemples de fournisseurs : Alluviate, Cray, Google, IBM, Intel, Nvidia.
Aide à la décision : Moteurs qui insèrent règles et logique dans les systèmes d’IA, utilisée pour la configuration, la maintenance et les réglages. Une technologie mature, employée par une grande variété d’applications d’entreprise, d’assistance ou de prise de décision automatisée. Exemples de fournisseurs : Concepts de systèmes avancés, Informatica, Maana, Pegasystems, UiPath. Apprentissage profond : Un type particulier d’apprentissage automatique composé de réseaux neuronaux artificiels. Actuellement, il est principalement utilisé dans les applications de reconnaissance de formes et de classification, soutenues par une très grande base de données. Exemples de fournisseurs : Deep Instinct, Ersatz Labs, Fluid AI, MathWorks, Peltarion, Saffron Technology, Sentient Technologies. Reconnaissance biométrique : Permet des interactions plus naturelles entre les humains et les machines, y compris, mais sans s’y limiter, l’image et la reconnaissance tactile, la parole et le langage corporel. Principalement utilisée dans les études de marché. Exemples de fournisseurs : 3VR, Affectiva, Agnitio, FaceFirst, Sensory, Synqera, Tahzoo.
Automatisation robotisée : Utilisation de scripts et autres méthodes pour automatiser l’action humaine, afin de prendre efficacement en charge certains métiers. Actuellement utilisée là où il est trop cher ou inefficace pour les humains d’exécuter une tâche ou un processus. Exemples de fournisseur s: Advanced Systems Concepts, Automation Anywhere, Blue Prism, UiPath, WorkFusion. Fouille de textes et TALN : Le traitement automatique du langage naturel (TALN) utilise et soutient l’analyse du texte en facilitant la compréhension de la structure et de la signification des phrases, du sentiment et de l’intention par des méthodes statistiques et d’apprentissage automatique. Actuellement utilisés dans la détection de fraude, la sécurité, les assistants automatisés, et des applications pour l’exploitation de données non structurées. Exemples de fournisseurs : Basis Technology, Coveo, Expert System, Indico, Knime, Lexalytics, Linguamatics, Mindbreeze, Sinequa, Stratifyd, Synapsify.
Aujourd’hui l’IA offre de nombreux avantages pour le développement des entreprises, mais selon un sondage mené en 2016 par Forrester, quelques obstacles barrent encore la route à l’adoption de ces technologies par ces dernières, freinant ainsi leurs investissements.
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