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#La Chambre Bleue
klaus1964b · 1 year
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womeninfictionandirl · 2 months
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The Blue Room by Suzanne Valadon
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nobrashfestivity · 4 months
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Suzanne Valadon The Blue Bedroom (La chambre bleue) 1923 oil on canvas Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou; on deposit at Musée des Beaux-Arts, Limoges, France
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blog-bleu · 1 year
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Suzanne Valadon. « La chambre bleue ». 1923
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guysargent · 10 months
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La Chambre Bleue II
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coolvieilledentelle · 8 months
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D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été attirée par la couleur bleue… les Français disent bleu… les Italiens, blu… les Espagnols, azul. La couleur bleue semble être la couleur préférée de beaucoup… J'ai lu cette citation il y a de nombreuses années "Le bleu est la seule couleur qui conserve son propre caractère dans tous les tons"… de Raoul Duffy. Même s'il existe de nombreuses nuances… l'intégrité de la couleur demeure. Je me souviens avoir toujours choisi les crayons bleus en premier lorsque je dessinais quand j'étais enfant… j'ai toujours voulu que ma chambre soit peinte en bleu . Le bleu semble être partout… le bleu brillant du ciel… dans la mode, le design, les fleurs, les pierres précieuses, la nature… et pour moi, rien n'est aussi beau qu'un oiseau bleu en vol.
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pitite-xena · 2 months
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Je vous montre l'avancée des travaux dans mon appart parce que je viens de passer deux semaines dessus et franchement je suis assez fière du résultat!
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Mon salon, qui a la base était tout blanc moche. Enfin déjà j'aime pas quand c'est tout blanc, je trouve que ça fait hôpital mais en plus là les murs sont en planches genre palette ???? Qui fait ça ? Mais je suis contente avec mon bordeaux ça donne un côté chaleureux. Et de l'autre côté c'est gris à paillettes donc forcément je suis contente.
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La chambre de Noiraude. Qui a la base était blanche et bleue. Maintenant on est dans une ambiance princesse, j'adore.
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Ma chambre. Après 6 appartements à écouter mon papa, j'ose enfin me faire plaisir et foutre du noir sur mon mur. J'en ai chier de fou avec le noir qui dégoulinait toujours sur le rouge, j'ai fait des tâches partout sur le parquet mais ça y est j'ai réussi et je kiffe de fou.
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Le gros chantier, la salle de bain. Mon papa s'est arraché les cheveux dessus pendant une semaine et demie pour virer le sol hideux et remplacer la baignoire. Puis devant l'ampleur du truc j'ai fait appel à des ouvriers. Ils devraient finir demain, j'ai hâte de voir les photos une fois terminé !
Il me restera le couloir à repeindre et la chambre de Flocon à retoucher un peu à base de mur de peinture ardoise et de drapeaux pirates. Ensuite va falloir tout aménager. Ça m'épuise d'avance mais au final, on va être bien. ❤️
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waloli22 · 1 year
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L'heure qui se reflète au plafond indique 3h. Elle est là dans cette chambre bleue n'arrivant pas à retrouver le sommeil. Le petit ronflement qui se fait entendre signifie que @titus6312 dort profondément. Les persiennes laissent passer un filet de lumière venant du lampadaire extérieur. Il traverse la chambre et arrête sa route sur la table de nuit d'où jaillit une surbrillance qui lui attire l'œil. " le plug diamant 💎 "... il a échappé au retour dans la valise magique avec les autres accessoires et diverses lingeries qui leur avaient servies la veille.
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Elle a une envie irrésistible de le tester. Elle s'en saisi discrètement, le lubrifie par un bref passage dans sa chatte devenue humide suite à sa pensée du moyen le plus efficace pour retomber dans les bras de morphée. Elle l'approche timidement de son anus car il faut bien le dire ce n'est pas trop sa tasse de thé. Et puis d'un coup il est comme happé... quelle sensation bizarre qui lui donne envie de s'adonner à un plaisir solitaire là maintenant, à côté de celui qui lui a tant donné de plaisir hier mais qui ronfle comme un bienheureux.
La voilà partie. Oh là là, elle jouie très très fort et se rendort sur le champ.
Quelques heures plus tard elle sent un doux baiser se poser sur ses lèvres et une voix sensuelle qui lui dit. "Voilà le petit déjeuner, il est l'heure ". Elle s'assoit et sent une présence inhabituelle dans son postérieur. 😱, le plug ! Mais comment le remettre à sa place sans que rien n'y paraisse ?
Quelqu'un a t'il la réponse à cette question ? sinon il faudra attendre un prochain épisode...
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cendres-et-volcans · 6 months
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*N'ouvrez pas ce livre. Ne lisez pas ces lignes.
Il y a bien trop de moi a l'intérieur, tellement de ce que je fus, mes pensées les plus secrètes, mes amours les plus purs.
Ne lisez pas ce livre.
Pas vous, tous les autres le peuvent s'ils le souhaitent, mais pas vous..."
Mary sourit a la lecture de cet avertissement en forme de souvenir. C'était, à peu de choses près, les mots peints au tipex blanc sur la porte de la chambre bleue velours.
Elle admira quelques secondes l'ingéniosité de cette introduction et l'efficacité de cette mise en abîme.
Puis, de la même manière qu'elle avait poussé la porte lors de ces soirées oubliées, Elle tourna la première page.
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pompadourpink · 1 year
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Sophie's Misfortunes - #1
Les malheurs de Sophie - la Comtesse de Ségur, 1858
Chapitre 1 - la Poupée de cire
« Ma bonne, ma bonne, dit un jour Sophie en accourant dans sa chambre, venez vite ouvrir une caisse que papa m’a envoyée de Paris ; je crois que c’est une poupée de cire, car il m’en a promis une.
La bonne: Où est la caisse ?
Sophie: Dans l’antichambre : venez vite, ma bonne, je vous en supplie. »
La bonne posa son ouvrage et suivit Sophie à l’antichambre. Une caisse de bois blanc était posée sur une chaise ; la bonne l’ouvrit. Sophie aperçut la tête blonde et frisée d’une jolie poupée de cire ; elle poussa un cri de joie et voulut saisir la poupée, qui était encore couverte d’un papier d’emballage.
La bonne: Prenez garde ! ne tirez pas encore ; vous allez tout casser. La poupée tient par des cordons.
Sophie: Cassez-les, arrachez-les ; vite, ma bonne, que j’aie ma poupée.
"My maid, my maid!" Sophie said one day running into her maid's room. "Hurry up! Open this crate that daddy sent me from Paris. I think it's a wax doll, because he promised me one!" The maid: "Where is the crate?" Sophie: "In the antechamber. Come quick, please!" The maid set her work down and followed Sophie to the antechamber. A white wood crate was on a chair. The maid opened it. Sophie spotted the blonde and curly head of a beautiful wax doll. She let out a cry of joy and tried to grab the doll, which was still covered in wrapping paper. The maid: "Careful! Don't pull it yet. You'll break everything. The doll is kept in place by some cords," the maid said.
Sophie: "Break them, rip them. Hurry, my maid, so that I have my doll!"
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La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie.
Sophie l’embrassa plus de vingt fois, et, la tenant dans ses bras, elle se mit à sauter et à danser. Son cousin Paul, qui avait cinq ans, et qui était en visite chez Sophie, accourut aux cris de joie qu’elle poussait.
« Paul, regarde quelle jolie poupée m’a envoyée papa ! s’écria Sophie.
Paul: Donne-la-moi, que je la voie mieux.
Sophie: Non, tu la casserais.
Paul: Je t’assure que j’y prendrai bien garde ; je te la rendrai tout de suite. »
Sophie donna la poupée à son cousin, en lui recommandant encore de prendre bien garde de la faire tomber. Paul la retourna, la regarda de tous les côtés, puis la remit à Sophie en secouant la tête.
The maid, instead of pulling and ripping, took some scissors, cut the cords, removed the papers, and Sophie was able to grab the most beautiful doll she had ever seen. The cheeks were pink with little dimples. The eyes were blue and bright. The neck, the chest, the wax arms, charming and chubby. The outfit was simple: a scalloped, percale dress, a blue belt, cotton stockings and black, patent leather boots. Sophie kissed her more than twenty times and, holding her by the arms, she started to jump and dance. Her cousin Paul, who was five years old, and who was visiting Sophie, ran to her cries of joy. "Paul, look at the lovely doll daddy sent me!" Sophie cried out. "Give her to me, I want a better look at her." "No, you would break her." "I promise you I'll be careful. I'll give her back right away." Sophie gave the doll to her cousin, telling him once again to be very careful not to drop her. Paul turned her around, looked at her from every side and then gave her back to Sophie, shaking his head.
*
Sophie: Pourquoi secoues-tu la tête ?
Paul: Parce que cette poupée n’est pas solide ; je crains que tu ne la casses.
Sophie: Oh ! sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée.
Paul: Elles te la casseront.
Sophie: Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée.
Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je vais la mettre un peu au soleil pour que mes amies voient que j’en ai bien soin et que je la tiens bien chaudement. » Sophie alla porter la poupée au soleil sur la fenêtre du salon.
« Que fais-tu à la fenêtre, Sophie ? lui demanda sa maman.
Sophie: Je veux réchauffer ma poupée, maman ; elle a très froid.
"Why are you shaking your head?" "Because that doll isn't solid. I'm afraid you're going to break her." "Oh, don't worry. I'll take such good care of her, so much so that I'll never break her. I'm going to ask mother to invite Camille and Madeleine to have lunch with us, so I can show them my beautiful doll." "They'll break her." "No, they're too nice to hurt me by breaking my poor doll." The next day, Sophie combed and dressed her doll, because her friends were supposed to come. While dressing her, she thought she was pale. "Maybe," she said, "she's cold. Her feet are freezing. I'm going to put her in the sun for a little bit so my friends can see that I'm taking care of her and keeping her nice and warm." Sophie went to put the doll in the sun in the sitting room's window. "What are you doing at the window, Sophie?" her mother asked. "I want to warm my doll up, mother. She's very cold."
*
La maman: Prends garde, tu vas la faire fondre.
Sophie: Oh non ! maman, il n’y a pas de danger : elle est dure comme du bois.
La maman: Mais la chaleur la rendra molle ; il lui arrivera quelque malheur, je t’en préviens. »
Sophie ne voulut pas croire sa maman, elle mit la poupée étendue tout de son long au soleil, qui était brûlant.
Au même instant elle entendit le bruit d’une voiture : c’étaient ses amies qui arrivaient. Elle courut au-devant d’elles ; Paul les avait attendues sur le perron ; elles entrèrent au salon en courant et parlant toutes à la fois. Malgré leur impatience de voir la poupée, elles commencèrent par dire bonjour à Mme de Réan, maman de Sophie ; elles allèrent ensuite à Sophie, qui tenait sa poupée et la regardait d’un air consterné.
Madeleine, regardant la poupée: La poupée est aveugle, elle n’a pas d’yeux.
Camille: Quel dommage ! comme elle est jolie !
Madeleine: Mais comment est-elle devenue aveugle ! Elle devait avoir des yeux.
Sophie ne disait rien ; elle regardait la poupée et pleurait.
Mother: "Be careful, she'll melt." Sophie: "No, mother, there's no danger. She's as hard as wood." Mother: "But the heat will make her soft. Something bad will happen to her, I'm warning you." Sophie didn't want to believe her mother. She laid the doll out in the sun, which was scorching hot. At that moment, she heard the sound of a carriage. It was her friends showing up. She ran to go meet them. Paul had been waiting for them on the front steps. They ran into the sitting room, talking all at once. Despite their impatience to see the doll, they first said hello to Mrs. de Réan, Sophie's mother. They then went to Sophie, who was holding the doll and looking at her with dismay. "The doll is blind. She doesn't have any eyes!" Madeleine said. "What a shame! How beautiful she is!" Camille said. "But how did she get blind? She was supposed to have eyes." Sophie didn't say anything. She was looking at the doll and crying.
*
Madame de Réan: Je t’avais dit, Sophie, qu’il arriverait un malheur à ta poupée si tu t’obstinais à la mettre au soleil. Heureusement que la figure et les bras n’ont pas eu le temps de fondre. Voyons, ne pleure pas ; je suis très habile médecin, je pourrai peut-être lui rendre ses yeux.
Sophie, pleurant: C’est impossible, maman, ils n’y sont plus.
Mme de Réan prit la poupée en souriant et la secoua un peu ; on entendit comme quelque chose qui roulait dans la tête. « Ce sont les yeux qui font le bruit que tu entends, dit Mme de Réan ; la cire a fondu autour des yeux, et ils sont tombés. Mais je tâcherai de les ravoir. Déshabillez la poupée, mes enfants, pendant que je préparerai mes instruments. »
Aussitôt Paul et les trois petites filles se précipitèrent sur la poupée pour la déshabiller. Sophie ne pleurait plus ; elle attendait avec impatience ce qui allait arriver.
La maman revint, prit ses ciseaux, détacha le corps cousu à la poitrine ; les yeux, qui étaient dans la tête, tombèrent sur ses genoux ; elle les prit avec des pinces, les replaça où ils devaient être, et, pour les empêcher de tomber encore, elle coula dans la tête, et sur la place où étaient les yeux, de la cire fondue qu’elle avait apportée dans une petite casserole ; elle attendit quelques instants que la cire fût refroidie, et puis elle recousit le corps à la tête.
Les petites n’avaient pas bougé. Sophie regardait avec crainte toutes ces opérations, elle avait peur que ce ne fût pas bien ; mais, quand elle vit sa poupée raccommodée et aussi jolie qu’auparavant, elle sauta au cou de sa maman et l’embrassa dix fois.
Sophie's mother said, "I told you so, Sophie. Something bad would happen to your doll if you insisted on putting her in the sun. Fortunately, the face and the arms didn't have enough time to melt. Come on, don't cry. I'm a very skilled doctor, I might be able to give her back her eyes." "It's impossible, mother. They're gone," Sophie cried. Mrs. de Réan took the doll with a smile and shook her a bit. They could hear something rolling around in the head. "Those are the eyes making the noise you hear," Mrs. de Réan said. "The wax melted around the eyes and they fell. But I'll try to get them back. Undress the doll, children, while I get my tools ready." Right away, Paul and the three little girls came upon the doll to undress her. Sophie wasn't crying anymore. She waited restlessly for what was going to happen. The mother came back. She took her scissors and detached the body sewn at the chest. The eyes, which were inside the head, fell onto her knees. She took them with some pliers and put them back where they were supposed to be. To prevent them from falling again, she poured some melted wax that she brought in a little pan on the place where the eyes were. She waited a little bit to let the wax cool down, then she resewed the body to the head. The little ones didn't move. Sophie watched this whole operation with fear. She was afraid it wouldn't work out. But when she saw her doll fixed up and as beautiful as before, she jumped to her mother's neck and kissed it ten times.
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« Merci, ma chère maman, disait-elle, merci : une autre fois je vous écouterai, bien sûr. »
On rhabilla bien vite la poupée, on l’assit sur un petit fauteuil et on l’emmena promener en triomphe en chantant :
Vive maman ! De baisers je la mange. Vive maman ! Elle est notre bon ange.
La poupée vécut très longtemps bien soignée, bien aimée ; mais petit à petit elle perdit ses charmes, voici comment. Un jour, Sophie pensa qu’il était bon de laver les poupées, puisqu’on lavait les enfants ; elle prit de l’eau, une éponge, du savon, et se mit à débarbouiller sa poupée ; elle la débarbouilla si bien, qu’elle lui enleva toutes ses couleurs : les joues et les lèvres devinrent pâles comme si elle était malade, et restèrent toujours sans couleur. Sophie pleura, mais la poupée resta pâle.
Un autre jour, Sophie pensa qu’il fallait lui friser les cheveux ; elle lui mit donc des papillotes : elle les passa au fer chaud, pour que les cheveux fussent mieux frisés. Quand elle lui ôta ses papillotes, les cheveux restèrent dedans ; le fer était trop chaud, Sophie avait brûlé les cheveux de sa poupée, qui était chauve. Sophie pleura, mais la poupée resta chauve.
"Thank you, my dear mother," she said. "Thank you. Next time, I'll listen to you, for sure." They quickly redressed the doll, set her on a little chair and went for a triumphant walk while chanting: Hooray for mother! I cover her in kisses! Hooray for mother! She is our angel! The doll lived for a long time, well cared-for, well loved. But, bit by bit, she lost her charms. Here's how. One day, Sophie thought it was a good idea to wash dolls, since people wash children. She took some water, a sponge, some soap and started to clean her doll. She cleaned her so well, that she removed all her color. The cheeks and lips became pale as if she were sick and were forever colorless. Sophie cried, but the doll was still pale. Another day, Sophie thought she had to curl her hair. She put some foil in her hair. She ironed it so that it would curl better. When she removed the foil, the hair stayed within. The iron was too hot. Sophie had burned her doll's hair, she was now bald. Sophie cried, but the doll was still bald.
*
Un autre jour encore, Sophie, qui s’occupait beaucoup de l’éducation de sa poupée, voulut lui apprendre à faire des tours de force. Elle la suspendit par les bras à une ficelle ; la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba et se cassa un bras. La maman essaya de la raccommoder ; mais, comme il manquait des morceaux, il fallut chauffer beaucoup la cire, et le bras resta plus court que l’autre. Sophie pleura, mais le bras resta plus court.
Une autre fois, Sophie songea qu’un bain de pieds serait très utile à sa poupée, puisque les grandes personnes en prenaient. Elle versa de l’eau bouillante dans un petit seau, y plongea les pieds de la poupée, et, quand elle la retira, les pieds s’étaient fondus, et étaient dans le seau. Sophie pleura, mais la poupée resta sans jambes.
Depuis tous ces malheurs, Sophie n’aimait plus sa poupée, qui était devenue affreuse, et dont ses amies se moquaient ; enfin, un dernier jour, Sophie voulut lui apprendre à grimper aux arbres ; elle la fit monter sur une branche, la fit asseoir ; mais la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba : sa tête frappa contre des pierres et se cassa en cent morceaux. Sophie ne pleura pas, mais elle invita ses amies à venir enterrer sa poupée.
Another day, Sophie, who was busy with her doll's upbringing, wanted to teach her to do some amazing feats. She hanged her by the arms from a string. The doll, which wasn't holding on well, fell and broke an arm. The mother tried to fix her up. But, since some pieces were missing, she had to heat up the wax quite a bit. The arm ended up shorter than the other. Sophie cried, but the arm was still shorter. Another time, Sophie thought that a foot bath would be useful to her doll, since all great people had them. She poured some boiling water into a little bucket and plunged the doll's feet into it. When she pulled her out, the feet had melted and were in the bucket. Sophie cried, but the doll still didn't have legs. After all these misfortunes, Sophie didn't love her doll anymore. The doll had become hideous and Sophie's friends were mocking her. At last, one day, Sophie wanted to teach her to climb trees. She put her on a branch and sat her there. But the doll, who wasn't holding on well, fell. Her head struck some rocks and broke into a hundred pieces. Sophie didn't cry. Instead, she invited her friends to come bury her doll.
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muzukashiidesune · 2 months
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富士山 (Mont Fuji)
Juliette se recouche sous son duvet épais, dans la lumière du matin. Nos futon sont installés à même le sol, sur le tatami beige, et quand elle remonte le duvet sous son nez, je ne discerne plus rien que ses cheveux bruns étalés sur l’oreiller. Un bout de front pâle, peut-être. Je ferme les yeux.
Mes draps me semblaient encore chauds de sommeil, lorsque je m’y suis renveloppée. Une odeur de bois règne dans la chambre. Mes cils entrouverts. Des particules flottent, en suspension dans la lumière. Lorsque Juliette cesse de remuer, elles se figent doucement à leur tour.
Il nous reste une bonne heure avant qu’on nous appelle pour le petit déjeuner.
Nous nous sommes levées avant l’aube, sonnerie faible de téléphone, tirées d’un rêve profond. Obscurité complète dans la chambre.
J’ai pris le volant de ma petite voiture, vaillante Honda Light qui avait fait dix heures de route la veille. Entre les vignes, l’air était gris, l’herbe terne, les rues étroites. En montant les côtes, ma Honda est lente. Sans musique, demi sommeil.
Arrivées au sommet, nous n’étions déjà pas seules. Une file devant les guichets, où un couple de personnes âgées aux mains tremblantes échangent les tickets contre des clés de casier. Le ciel vire du gris au mauve, et l’espace d’un instant, on a peur d’arriver trop tard.
Dans les vestiaires, femmes et enfants, à divers stades de dénuement.
La tête lourde, j’enlève mes vêtements, les déposent dans un panier en osier. L’air est frais sur ma peau. La lumière change — c’est presque l’heure. Serviette en main, nous dévalons le petit sentier de pierre jusqu’aux bains. Au premier pas dans l’eau, la plante des pieds me brûle. Contraste avec la roche froide.
On glisse dans l’eau de l’onsen tout juste quand la brume se lève.
Par delà le rebord de pierre, une grande vallée s’étale, telle une flaque à nos pieds. Derrière nous, les alpes japonaises. Le soleil en émerge lentement. Il est cinq heures. La vallée est encore grise.
Au loin, Fuji se dore.
Son sommet enneigé brille, du bleu au rose. Plus haut que tout ce qui l’entoure.
L’eau de l’onsen scintille, claire, et sa vapeur se lève lentement. Disparaît dans l’air en volutes dorées. Le vent est frais, altitude et fin avril, il donne envie de glisser son corps encore plus profondément dans l’eau chaude.
Je crois en la magie — ou peut-être manque-je de sommeil.
Par la fenêtre de notre chambre de ryokan, maintenant, les vignes sont vertes et brillantes, feuilles nouvelles. Fuji, dans le coin gauche, est bleu noir à sa cime. Sa neige coule du haut, carte postale, en de larges traînées veineuses.
Juliette dort à nouveau, et je me tire hors de mes couvertures.
L’eau chaude que l’auberge nous a préparée hier est encore fumante dans son thermos. Je la fais couler dans une petite tasse bleue, sans poignée. Elle se colore presque immédiatement de vert pâle au contact des feuilles thé.
Je m’assois au bord de la fenêtre.
Une heure passe. Le soleil réchauffe mes vêtements, la chambre se gorge de jaune. Je pense à Hokusai.
Quand Juliette se réveille, je lui demande si l’on s’habitue jamais à cette vue. Fuji grandeur, à tous les détours. Juliette vit à ses pieds depuis deux ans.
De sous son duvet, deux yeux qui clignent. Paupières du dessous qui se plissent, sourire, puis re-disparaissent dans un mouvement de cheveux.
« Non, » me répond-elle. « Ça prend toujours par surprise. »
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logogreffe · 11 months
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Learn French through Art (n°1)
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Prière du soir dans le Sahara, Gustave Guillaumet (1840 - 1887) (Evening prayer in the Sahara)
WRITING EXERCISE : Try to describe the painting with the following words :
Level 1 : - un tableau : a painting - le ciel : the sky - bleu/bleue : blue , blanc/blanche : white - un coucher de soleil : a sunset - le désert : the desert - le sable : the sand - une tente : a tent - Sur ce tableau, on peut voir/nous pouvons voir... : On this painting, we can see…
Level 2 [+ vocab from level 1] - prier : to pray - la fumée : the smoke - faire un feu : make a fire - camper : to camp - Au premier plan… / Au second plan…  : In the foreground… / In the background… - Sur ce tableau, au premier plan, on peut voir/nous pouvons voir... : In this painting, in the foreground, we can see…
Level 3 [ + vocab from level 1 and 2] - s'agenouiller : to kneel - un dromadaire : a dromedary - représenter quelqu'un ou quelque chose : to depict someone or something - un troupeau : a herd - un paysage désertique : desert (barren) landscape
- Sur ce tableau, le peintre a représenté .... : On this painting, the painter has depicted....
Questions you could try answering : - Combien de personnes se trouvent sur ce tableau (How many people are on this painting ?) Que font-elles ? (What are they doing ? ) Où sont-elles ? (Where are they ?)
Est-ce que tu aimes ce tableau ? (Do you like the painting ?) Pourquoi ? (Why ?) Est-ce que tu l'accrocherais dans ta chambre ? (Would you hang it in your bedroom ?)
This is not a test, don't panic, take your time. Try to write at least 3 sentences. Make it simple and short if necessary.
Try to notice some patterns that might be useful to you in the future that you're not sure how to use/translate now. Remember that it's a fun challenge not a chore ! If you can't write a single sentence it's alright ! You have to start somewhere and you're starting now ! Good job!
Feel free to send me your description/opinion on the painting or any questions, I will correct your text if you guys are interested. READING EXERCISE : Level 1 : Ce tableau est un de mes tableaux préférés. Il se trouve au Musée d'Orsay à Paris. Je l'ai vu pour la première fois il y a 5 ans. Level 2/3 : Ce tableau est un de mes tableaux préférés. Ses dimensions sont les suivantes : 3m de long et 1.37m de hauteur. J'aime particulièrement la façon dont le ciel a été peint. J'ai acheté une carte postale le représentant dans la boutique souvenir du Musée d'Orsay. Level super mega hard : Ce tableau fait partie de mes tableaux préférés. La première fois que je l'ai vu, j'ai eu une sorte de coup de foudre. Il faut savoir que ce n'est pas un petit tableau, il fait 3m de long sur 1.37 de hauteur ! Il est donc assez impressionnant. Je l'ai aperçu de loin, je me suis approchée et...je n'ai pas bougé pendant plusieurs minutes. J'ai toujours eu un petit faible pour les réprésentations du ciel en peinture mais là....j'étais subjuguée (les photos ne lui rendent pas du tout justice). Quand finalement, j'ai réussi à m'éloigner, je ne pouvais pas me sortir ce tableau de la tête, si bien que j'ai rapidement fait le tour du musée pour ensuite revenir sur mes pas et l'admirer encore un peu.
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Voici l'hôtel Emeraude qui est un petit riad de 9 chambres réparties sur 3 étages, avec une terrasse en roof top pour prendre le petit déjeuner, se reposer et avoir une belle vue sur les toits d'Essaouira. Pour y entrer, nous utilisons un heurtoir avec une petite lucarne, comme au moyen âge !
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Nous découvrons la ville en nous promenant sur les remparts "la Sqala de la Kasbah". C'est la seule ville du Maroc, anciennement nommée Mogador, qui a été construite sur plan (plans réalisés par un architecte français, élève de Vauban), au XVIIIème siècle.
C'est une ville portuaire avec son marché aux poissons et ses célèbres barques bleues de pêcheurs.
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La direction de l'hygiène et de la santé ne nous a pas autorisés à prendre des photos du marché aux poissons !! A même le sol...sans glace mais avec les odeurs!!!
La médina, qui n'est pas ouverte aux voitures, est très animée surtout le soir quand les habitants "de la ville" viennent se promener, faire leur marché de rue ou déguster debout des escargots, des poissons frits ou des figues de barbaries.
Nous terminons cette journée en prenant un verre au bar restaurant Ksou, à l'ambiance très orientale, installés sous une tente berbère.
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LA DEMOISELLE ET LE DRAGON (2024)
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Le premier roi d’Aurea mène une attaque futile contre un dragon résidant dans son royaume. Tous les hommes du roi sont tués, laissant le roi à la merci du dragon.
Des siècles plus tard, Élodie, fille de Lord Bayford, reçoit une proposition de la reine Isabelle d’Aurea pour épouser le prince Henry. Sur les conseils de Bayford, Élodie accepte pour aider son peuple appauvri. Elle navigue donc vers le royaume d'Aurea accompagnée de sa petite-sœur Floria, de leur père et de leur belle-mère.
Lors de leur rencontre, Élodie et Henry semblent d’abord désintéressés l’un par l’autre, mais commencent à se lier d’amitié car ils partagent le même désir de voyager. La belle-mère d’Élodie, Lady Bayford, cherche la reine, dans l’espoir de renforcer leur lien familial, mais Isabelle repousse les tentatives de faire connaissance, ce qui conduit Lady Bayford à implorer en vain Elodie de mettre fin aux fiançailles.
Après le mariage, Élodie et Henry participent à un ancien rituel dans les montagnes, au sommet d'une grotte, soi-disant pour célébrer leur union. La reine, habillée en prêtresse, décrit le pacte entre le premier roi et le dragon, où il a dû sacrifier ses trois filles pour la paix. À la suite d’une cérémonie où leurs mains sont coupées et maintenues ensemble, Henry insiste pour porter Elodie à travers l’étroit chemin au-dessus de l’antre du dragon, puis la jette dans le gouffre.
Après s’être remise de sa chute en sachant qu’elle est le véritable sacrifice, Élodie cherche un moyen de s’en sortir. Le dragon entre dans l’antre, lui demande son nom et la nargue avant de poursuivre Élodie et de lui brûler la jambe. Après avoir échappé à la bête, Élodie découvre une grotte illuminée avec des « limaces » bleues phosphorescente, qu’elle recueille comme source de lumière. Le dragon la retrouve. En s’enfuyant, Élodie arrive dans une chambre avec la note « En sécurité ici qu’elle ne peut pas atteindre », les noms des victimes passées et une carte gravée dans le mur. Pendant qu’Élodie dort, les limaces lumineuses guérissent la brûlure de sa jambe.
Élodie découvre une carte qui semble indiquer une sortie, et suit le chemin, mais celui-ci mène à une impasse, un haut dénivelé à flanc de montagne. Une équipe de sauvetage dirigée par Lord Bayford arrive. En tentant de les rejoindre, Élodie découvre les restes de trois dragons nouveau-nés, massacrés par le premier roi, ce qui explique la raison des trois sacrifices exigés par génération. Le dragon tue Bayford et ses hommes, mais une distraction laisse à Élodie le temps de grimper à la corde de Bayford pour s’échapper de la montagne. Elle prend ensuite l’un des chevaux de l’équipe de sauvetage et se cache sous un rocher. Le dragon, furieux, brûle la zone environnante dans une poursuite infructueuse.
L’incendie avertit Isabelle que le sacrifice d’Élodie a échoué, et elle kidnappe la sœur d’Élodie, Floria, pour la remplacer. Élodie, de son côté, se rapproche de la côte pour fuir, mais croise sa belle-mère qui venait vers la grotte. Elle lui explique que Floria a été livrée au dragon, et Élodie retourne à la montagne pour sauver Floria, que le dragon a laissé vivre, comme appât pour Élodie.
Élodie crée une diversion pour distraire le dragon afin qu’elle puisse atteindre Floria. Disant à sa sœur de se cacher, elle affronte le dragon et tente de la convaincre qu’ils ont tous les deux été trompés par les Auréens : en joignant leurs mains coupées lors du mariage, le sang des mariées et des membres de la famille royale auréenne a été mélangé, trompant ainsi le dragon que les princesses sacrifiées étaient des membres de la royauté auréenne. Le dragon refuse de croire Élodie, déclarant que l’assaut du premier roi n’était pas provoqué, puis l’attaque, mais Élodie la trompe pour qu’elle se brûle. Avec le dragon à sa merci, elle les soigne tous les deux avec les limaces lumineuses.
Élodie et le dragon interrompent alors un autre mariage au palais, exposant la trahison des Auréens. Élodie conseille à la nouvelle mariée et à sa famille de fuir, et le dragon brûle le palais avec tous les membres de la famille royale et les nobles auréens à l’intérieur. Quelques jours plus tard, Élodie, Floria et Lady Bayford rentrent chez elles, chargées de provisions et accompagnées par le dragon.
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jeanspire · 1 month
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L'espace
Rassemblement de pensées roses, bleues, rouges, violettes,... Condensées en une sorte de petit mouchoir de la taille d'un astronaute imaginaire. Je me prends souvent à recevoir les cosmonautes chez moi, dans ma tête et je les transcrits sur le papier physicien de ma chambre à coucher. Ils regardent tous vers les étoiles, qu'ils soient russes ou américains et je regarde avec eux les astres qui brillent ici mais qui ne brillent peut-être plus là-bas.
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thehopefulhistorian · 2 months
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La chambre bleue, 1923 by Suzanne Valadon
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