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沈黙の世界 Le Monde du silence 1956
Jacques-Yves Cousteau Louis Malle
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Le Temple du Silence: Les Mondes Oubliés, Herbert Crowley, Justin Duerr, Urban Comics, Collection Urban Books Dépôt Légal: 12/2019, Format: 29*45 cm, 108 planches. Retrouvez cet avant-gardiste inclassable et visionnaire!
Disponible sur entre-image.com!
#bande dessinée#comics#entre-image.com#artbook#le temple du silence#les mondes oubliés#Herbert Crowley#Justin Duerr#Urban Comics
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Comme des fois loh exortez po mon monde pis j'fais po des tantrum performafif, mais comme ayoye...des fois écopper de la marde pour 45 secondes de calme...pis ça coute cher pis ça se prend pour jlo all day long pis t'essaye de dormir.
#non mais ya du monde qui enjoy po el silence#aye j'dors men criss stun semi loft smeme po un vra loft facka fuck lo#mais l'effet banlieu avec les rues transersales mais presque droite pour immiter kebek#jtai fait un mega rant sur putrémon sur lchemin de la cote rapelle toé#sa lair tu komprenais vu lair vacant pis la resignation de bail#pis t'as enduré tes talons du polit plus longtemps que moi(uhm no shade i mean if you ever spoke a bit she kinda overshare akdkskak)
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-lovers-
here are the other parts : (1) , (2)
summary : after the kiss you and charles talk about what is between the two of you...
PAIRING : charles leclerc x fem!reader
WARNINGS : badly translated french
note : wrote this, while watching the monaco gp qualifying. Sorry if there are mistakes
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You stepped away from charles, so your lips couldn't touch anymore. You looked at his face, his eyes, with confusion. What was happening ? Just as you wanted to say something, he interrupted you.
"Y/n I need you to love me, like I love you. I need you to hold on to me, like I hold on to you. I need you to need me. Because this would mean, you can't see the possibility without me. Just like I do with you. "
Speechless. That was what you were. You didn't know what was happening. Just three weeks ago you hated each other, well you didn't hate him, you just thought he hated you. But you were so wrong.
You wanted to say something again, but he put his finder on your lip to silence you.
"You have no idea how far I would go for you, ma jolie fille." charles said, putting a wet piece of your hair behind your ear. My pretty girl.
"Je te donnerais la lune et les étoiles et tout un putain d’univers, si cela signifiait que tu es la femme la plus heureuse du monde." I would give you the moon and the stars and a whole fucking universe, if it would mean you are the happiest woman alive.
In the sky, the clouds started clearing up, as your mind cleared up too, which left you with only one question in your mind. You were stunned. The words charles said, and your heart jumped in your chest.
"You taste like the sweetest drug, mon couer. Like my dearrest addiction" charles growled. "created only for me."
Your breathing started going faster, as you heard his words. Your pulse beating faster by every second that passed. Maybe he was your drug, that you couldn't have enough of.
"God. I can't get enough of you." He rasped. "Everyone says drugs are your death, tell me why I feel so alive when I see you or when I'm with you."
"I... I don't know what to say." you stuttered. "Only that..." you swallowed, took a deep breath and continued. "I think I should go."
Charles bent down to your neck and groaned, as you said that. "You're it for me, baby. It's okay if you're not ready for me yet. Je t’attendrai pour l’éternité s’il le faut, mon coeur." I will wait for you for eternity if I must, my heart.
"I will wait a lifetime for you if I must." Charles lifted his head to look into your eyes. In them was, confusion, love and most of all, adoration. Then he whispered. "You are worth all the waiting."
At that moment, Charles thought, that was the end. That you had made up your mind and that you didn't want him or the relationship. But then you kissed him.
You moaned in his mouth when charles pulled you even closer to him.
"À partir de maintenant, je ne te laisse jamais partir. Jamais. Aujourd’hui, j’ai vu que tu es la seule chose dont j’ai besoin. La course est importante pour moi, mais vous êtes aussi important que la course." From now on, I'm never letting you go. Never. Today made me see that you are the only thing that I need. Racing is important to me, but you are as important, as racing.
You stepped away from his, to say. "Alors, tu vas me demander d’être ta petite amie ou quoi?" Charles chuckled at your aswer, pulling you close to him, pulling your chin up, so you could look at him. So, are you going to ask me to be your girlfriend or what?
"Y/n, mon coeur. Est-ce que tu me donnes l’honneur et que tu es ma petite amie ? " Y/n, my heart. Do you give me the honor and be my girlfriend?
"I'm not sure. Let me think about it" you answered with a small smirk on your lip, as you saw charles jaw drop.
"oui. I will be your girlfriend, charlie"
Charles composted himself, putted on hand on your waist and the other on your cheek, cradling in the process. You looked in his eyes, seeing happiness. And he looked in yours and saw adoration.
That's when Charles realized, he would do everything for you. No matter the consequences.
#charles leclerc x reader#f1#formula one#formula 1#f1 fluff#charles leclerc#charles leclerc f1#charles leclerc x female reader#charles leclerc fluff#charles leclerc x you#charles leclerc ferrari#charles leclerc oneshot#charles leclerc one shot#charles leclerc imagine
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Vivre de petits riens qui enchantent le monde caresser les cheveux du silence.
J-M Kerwich
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Oui je m'isole, non pas parce que je n'aime pas les gens mais parce que je m'épuise au contact du monde, le bruit, la foule, les discussions trop longues, aussi parce que je préfère être seule qu'entourée de personnes qui ne vibrent pas sur les mêmes fréquences que moi. Non, je ne dis pas qu'elles sont moins intéressantes, je n'ai nullement cette prétention. Je dis simplement que nous sommes différents. Nos sensibilités et ressentis n'atteignent pas les mêmes sommets. Je dis aussi que plus je vieillis et plus je sais qui je suis, où je vais et ce que je veux et ce qui ne me correspond plus du tout. Je n'ai pas besoin d'avoir de la compagnie. Je ne me sens jamais seule, je me sens merveilleusement bien dans le silence. Et si je reçois du monde, c'est que l'envie est là et le plaisir aussi ! Bien souvent, mon calme, ma paix intérieure, mes ressources, mon lâcher prise, ma sérénité, je les puise dans ma bulle "chez moi" seule, ou dehors "en pleine nature" seule encore et toujours. Je ne suis pas associale, je suis une empathe sélective. Une empathe qui respecte ses ressentis et écoute son corps, son mental, son âme. J'aime profondément les gens, les écouter, les conseiller et les aider...Mais après cela, mon "Moi" réclame une pause. Alors si quelques personnes se reconnaissent, elles sauront que si l'on passe du temps avec quelqu'un, ce n'est nullement pour combler un vide, mais c'est que l'on en a envie... Vraiment !
Eden Cara
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Vient le jour où la vie ressemble enfin à la vie
Où l'ombre et la lumière jaillissent
du même instant d'éternité
que délivre l'éphémère.
Vient le jour où la joie et le tourment la grâce et la détresse, l'amour et l'absence font un.
Vient le jour qui arrête l'attente.
Vient le jour où la beauté borde notre chemin.
On se penche sur la vie, et aussitôt
on se relève, le coeur tremblant, plus fort
d’une vérité ainsi effleurée.
Vient le jour où l’on quitte la gare.
Enfermé depuis toujours,
on cesse soudain de chercher des abris.
On lâche les amarres.
Tout s’allège et le ciel s’entrouvre.
Alors, plus nue de n’avoir jamais été nue
notre âme écoute pour la première fois
son silence intérieur.
Sans bord, sans bout du monde,
Hélène Dorion.
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours:
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
#tumblr's garbage new post editor keeps randomly un-italicising my italics :l#anyway i really like anna de noailles and renée vivien in particular#also marie-claire bancquart whom i discovered more recently!
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Il y a des trams, des voitures, un Monument aux Morts. Je peux les nommer.
Il y a des bancs publics, une préfecture, des enfants scouts vendant des calendriers. Je peux les nommer.
Il y a le théâtre national de Strasbourg, le Palais du Rhin, la Bibliothèque Nationale Universitaire. Je peux les nommer.
Il y a beaucoup d’arbres. Je ne peux pas les nommer.
Je n’ai pas les mots pour dire, alors je ne dis rien
Et tout un monde tombe dans le silence par ignorance
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Ta chevelure d’oranges dans le vide du monde Dans le vide des vitres lourdes de silence Et d’ombres où mes mains nues cherchent tous tes reflets.
La forme de ton cœur est chimérique Et ton amour ressemble à mon désir perdu. O soupirs d’ambre, rêves, regards.
Mais tu n’as pas toujours été avec moi. Ma mémoire Est encore obscurcie de t’avoir vu venir Et partir. Le temps se sert de mots comme l’amour.
Paul Eluard
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Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne" frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ; ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
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Je suis une amoureuse de l'amour. Je passe mon temps à romantiser ma vie. À voguer dans le passé. À me balader dans mes précieux souvenirs. Je chéris ma mémoire pour protéger mes souvenances. Le mécanisme du cerveau me fascine. Ce pouvoir de filtrer les aspects négatifs d'un traumatisme avec le temps ou même de le dissoudre entièrement. La vie m'a offert le cadeau de ressentir intensément, le monde appelle ça l'hypersensibilité. Il est vrai, que l'émotion me frappe comme les vagues sur le sable. Je suis un torrent, j'aime les détails et leur beauté. J'observe tout ce qui est transparent, imperceptible. J'oublie souvent ce qui est flagrant. Je trouve du réconfort dans les silences, je me perds dans les nuances. C'est à travers cette intensité que je me connais, que je découvre le monde et que je m'y ancre.
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Des guerres pis des chicanes entre sponsors famille et mauvaise fréquentation y s'passe toute ici
#bizzarement ils ont gardé le silence merci#genre les tite gens mais rad can aussi merci de m'avoir crissé la paix mais anyway ça l'aurait été farouche#comme y'aurait eu des oeufs dans vos bureaux comme avec tva la fois ou ça gossé....le chiar pis le monde bring up du monde pas rapport sjdjd#comme c'est quoi que mcquade a avoir avec l'affaire aaaaayeeee???
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j'ai l'impression que tous mes efforts seront toujours vains, j'ai erré en cette fin d'après-midi dans les couloirs du métro et dans la foule dans l'espoir de faire passer cette boule au ventre d'une manière ou d'une autre. je me sentais très seule et le bruit du monde couvert par mon casque était trop fort, les larmes me montaient mais c'est si facile de les retenir, de canaliser le nœud en moi, d'attendre que ça passe. je me dis que ça doit être ça l'impact d'avoir régulé toute mon enfance mes émotions dans le petit recoin entre le mur et mon lit en boule par terre comme un chat se cache pour mourir en paix, d'avoir serré les dents et les poings si fort, de m'être retenue si longtemps de pleurer pour ne pas énerver ou ne montrer aucune trace de vulnérabilité. mais j'aimerais savoir à quel moment tout ça a commencé ? quand est-ce que j'ai commencé à croire que ce que je ressentais n'avait aucune légitimité et pourquoi je n'arrive toujours pas à exprimer mes émotions au moment où je les ressens par peur de blesser ou d'être en tort ? aujourd'hui le petit recoin entre le mur de ma chambre et mon lit n'existe plus mais je finis toujours par imploser en silence roulée en boule derrière ma porte ou sur le carrelage de la salle de bain.
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À tous les hypersensibles, vous êtes des cadeaux d'amour 💐🎁
Susceptibilité ou hypersensibilité.
Quand une personne est hypersensible, elle peut être prise pour une personne susceptible.
Une hypersensible se sent vite touchée, blessée.
Sa vulnérabilité, sa fragilité la referment dans une coquille afin de ne pas "trop" ressentir la douleur.
Cependant, la souffrance a été perçue et tout un mécanisme se met alors en route.
Elle peut être en réaction, le visage fermé, ne dialoguant plus, ou alors se sentir attaquée et répondre par des mots, une attitude plus dure, plus froide. Elle peut aussi rester sur la défensive et ne plus arriver à se détendre, vigilante au prochain "coup".
Elle peut aussi choisir la voie du silence et du repli pendant un temps... Juste pour elle de sentir qu'elle n'était pas la cible.
En effet, une hypersensible est à fleur de peau. Elle ne prend pas les choses mal ou de travers.
Non, elle prend les choses à cœur, en plein cœur. Il n'existe pas de filtre, de distance entre la vibration des mots verbalisés et ce qu'elle ressent.
Elle vit intensément les mots comme des maux.
Elle peut être remplie d'humour, de joie, mais elle ressent tout avec son corps, avec son cœur, avec son Être.
Ce qui sauve l'hypersensible, c'est l'amour.
Elle est en amour du monde.
Elle est emplie de compassion, de compréhension.
En toute simplicité pour elle, car les mots deviennent des énergies qu'elle ressent.
Non, les hypersensibles ne sont pas susceptibles, ce sont juste des cœurs aimants et vibrants au rythme de l'univers, mais également au tempo des émotions, des souffrances véhiculées de partout, par tous.
Les hypersensibles sont un cadeau précieux pour l'humanité où de belles valeurs, de merveilleuses vibrations sont envoyées de leur Être, amoureux du monde.
Apprivoiser ce don, se connaître, être présent à soi, rester le cœur ouvert, prendre de la distance avec l'émotion ressentie, car l'hypersensibilité est un joyau au cœur de la personne.
Laurence Simonnet
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Les corps sont démembrés, les êtres vivants sont démembrés et les parties du corps sont dispersées,
Et le monde se contente du silence…
#stand with palestine#palestine#free gaza#free palestine#palestinian lives matter#stand with gaza#gaza genocide#i stand with palestine#genocide in gaza#gaza fights for freedom#gaza news#gaza strip#gaza under attack#gaza under genocide#palestine will never die#palestine will be free#from the river to the sea palestine will be free#gazaunderattack#gazaunderfire#save gaza#gaza#genocide in palestine#free free palestine#palestinian genocide#palestine genocide#palestinians#palestinian resistance#save palestine#pro palestine#support palestine
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