Tumgik
#Le Sens de la fête
paginacentosessantuno · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Judith Chemla as Héléne in Le sens de la fête (2017) dir. Olivier Nakache e Éric Toledano
2 notes · View notes
dagonet · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le Sens de la fête (2017) réal. Éric Toledano, Olivier Nakache
20 notes · View notes
moviesandfood · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le Sens de la fête
13 notes · View notes
nudesnoises · 19 days
Text
Tumblr media
Marjorie Pottlitzer in "Le Sens de la Fête"
20 notes · View notes
alexar60 · 9 months
Text
Voyance
Tumblr media
Comme à ses habitudes, Philippe entra en grande pompe dans le temple, bousculant la tranquillité des pèlerins. Ces derniers s’empressèrent de quitter le lieu car le roi était connu pour ses moments de colère. Ses lieutenants s’amusaient de cette situation cocasse. Ils riaient en voyant ces grecs, la trouille au ventre, déguerpir sans demander leur reste. Néanmoins, une fois dehors, l’un d’eux pestait ou crachait sur ce roitelet barbare qui prétendait être civilisé.
Philippe observa le temple, la beauté des statues, la splendeur des décorations. Il était obnubilé par la richesse exposée. Il s’approcha d’une table sur lequel reposait un ciboire en or.
Par Zeus, je sens que je vais me plaire ici ! Annonça-t-il.
Ne prononce pas son nom ! Ce lieu est sacré, ici les dieux ne portent pas de nom !
Le prêtre avança d’un pas assuré. La garde de Philippe recula tellement le regard du vieil homme les impressionnait. Il approcha du roi borgne, huma son odeur qui manquait de parfum. Puis, tout en inspirant un grand coup, il bomba le torse. L’œil de Philippe s’écarquilla, car d’ordinaire, un homme s’imposant à lui de cette façon, finit avec une épée dans le ventre et la gorge ouverte.
Que viens-tu faire ici, petit roi ? demanda le prêtre.
Des toussotements résonnèrent dans le temple. Le macédonien ne s’attendait pas à un pareil affrontement. Il posa la main sur le pommeau de son glaive. La colère commençait à monter. Mais un de ses fidèles le rappela à la raison : « Tuer le grand prêtre ne serait pas une bonne idée ».
Je viens pour laver mes pêchés et connaitre mon avenir, dit-il
Effectivement, j’ai entendu parler de tes pêchés…meurtres, pillages, viols, torture…ils sont nombreux, affirma le prêtre.
Mais son rôle est « de les faire expier » et non de juger le pêcheur. Dès lors, l’homme en toge blanche ordonna au roi et à son escorte de le suivre. Ils se dirigèrent vers d’autres salles expliquant leur utilisation. En même temps, Philippe admira les somptueuses richesses présentes dans chaque partie du temple. Il fut émerveillé par l’autel sacrificiel, les ustensiles en or ou parés de diamants. Il apprécia le plafond peint d’une salle resplendissante. Il aimait tout de cet endroit.
Mais ce qui le frappa le plus fut sa rencontre avec un groupe de jeunes femmes. Elles étaient magnifiquement habillées. En voyant le groupe de barbares autour du prêtre, elles discutèrent entre elles. Certaines se demandant qui étaient ces hommes, d’autres s’ils étaient brutaux. Philippe questionna sur leurs présences, pendant que ses soldats affichaient leurs plus beaux sourires.
Ce sont de jeunes prêtresses venues s’initier aux mystères des grands dieux, affirma le maitre du temple.
Ils quittèrent la pièce, sans remarquer qu’une des filles observait le borgne. Elle avait reconnu celui qui avait vaincu les Thraces et assouvi les grecs. Elle se doutait qu’il y avait un coup à jouer pour son avenir. Elle ne se voyait pas finir comme grande prêtresse de Zeus.
Les jours passèrent et le roi de Macédoine trouva les journées longues qui se limitaient aux prières et à l’instruction. Par contre, ses nuits étaient courtes. En effet, il avait gardé la tradition macédonienne de faire des fêtes qui se transformaient en orgie. Bouffe, boisson et sexe à volonté. Les pèlerins se plaignirent de ses exactions nocturnes, des cris et des chants trop forts. Si bien que le grand prêtre ne savait que faire. Il demanda l’aide de Zeus, en déposant une offrande aux pieds de sa statue. Mais il fut distrait par la venue d’une jeune novice.
Elle proposa son aide et exposa un plan pour calmer Philippe. Il était venu pour des questions, elle proposa de lui donner des réponses. Le prêtre gratta sa barbe, en se questionnant sur les vraies raisons de l’implication de la jeune femme. Après tout, elle était jeune et pourrait profiter de ses charmes. Et puis, il voulait aussi que l’aristocratie macédonienne vienne régulièrement à Samothrace. Leur argent permettrait de faire de l’Ile le plus grand centre religieux du monde connu.
Un soir, alors que les convives commençaient à manger et s’abreuver de vin, La jeune femme s’incrusta dans la villa du roi. Elle fit une énorme impression par sa robe blanche qui ne cachait pas grand-chose de ses courbes ni de ses colliers et bracelets. Ses cheveux longs coiffés en nattes longeaient ses seins ronds et bombés. Elle resta debout, défiant le roi étendu qui mangeait une cuisse de poulet.
Qui es-tu ? Vien-tu nous faire le plaisir de danser ? Demanda un des fidèles lieutenants
Je suis Polyxéna, fille de Néoptolème, sœur d’Alexandre le Molosse et princesse d’Epire. Je suis prêtresse de Dodone, le sanctuaire divinatoire de Zeus, et par la demande de ce dernier, je suis venue pour annoncer ton avenir.
Eh bien, je t’écoute, réagit Philippe.
Non, pas ici. Seul à seul car telle est la décision de Zeus.
Dès lors, il se leva et proposa à Polyxéna d’entrer dans sa chambre. Il s’assit attendit tout en croisant les bras. A ce moment, Polyxéna savait qu’elle jouerait avec la crédulité du roi. Et si cela ne fonctionnerait pas, il pouvait lui faire les pires horreurs ; lui arracher le nez et la langue, lui crever les yeux, ou l’offrir en pâture à ses hommes. Elle savait que sa naissance royale ne la sauverait pas.
Elle débrocha sa tunique, offrant à l’œil du roi de voir un corps sculpturalement parfait. Il faut dire qu’elle descendait d’Hélène de Troie. Puis elle s’agenouilla et avança au son de ses colliers s’entrechoquant. Il s’amusait de la voir se dodeliner lentement, le regard se remplissant de désir. Elle mordit sa lèvre supérieure et, facilement, elle écarta les cuisses de Philippe. Il se laissa faire, sentant les mains de la jeune prêtresse faire monter son ardeur.
Les oracles se passent toujours comme ça à Dordone, murmura un de ses proches qui observait la scène.
Non, je crois qu’ils lisent l’avenir en interprétant le bruit de feuilles de chêne, répondit son collègue.
Ils avaient ordre de surveiller car Philippe avait trop d’ennemis pour le laisser seul, même avec une magnifique femme. Ils regardèrent celle-ci jouer avec le sexe du roi. Elle utilisait aussi bien ses doigts que sa bouche. Elle s’amusait à le faire soupirer en effleurant du bout des lèvres son membre gonflé.
Soudain, elle renversa le roi qui faillit se fracasser le crane. Toutefois, surpris, il se mit à sourire en la voyant le chevaucher. Il sentit son organe entrer dans une fente chaude et moelleuse. Il se contenta de caresser ses cuisses fermes tout en admirant ses seins se balancer au-dessus de sa tête. Le corps de Polyxéna était chaud, le sien devenait bouillant.
Elle ferma les yeux, dansait sur Philippe provoquant un va-et-vient long et torride. Il regardait ses lèvres s’entrouvrir. Il regardait ses jolies dents blanches pincer le bout de sa langue. Il commençait à aimer cette femme qui semblait être encore une gamine. Puis, elle gémit avant de se mettre à parler :
Je vois ! oui, je vois un homme qui fera plier la Grèce. Je vois cet homme qui gouvernera sur le monde civilisé…Oui, je vois un conquérant. Il vengera les grecs des humiliations des Perses…Il combattra et vaincra la Perse. Je vois un homme qui deviendra un Dieu…Il gouvernera sur la Perse…Il unifiera la Grèce et la Perse…Je vois un homme qui créera des cités aux confins du monde. Je vois un homme qui sera vénéré pendant des siècles.
Lorsqu’il sentit la jouissance l’envahir, il se redressa collant sa poitrine musclée contre la sienne. Elle partait aussi, gémissant de plaisir. Après avoir repris son souffle, Polyxéna embrassa le borgne qu’elle ne trouvait pas beau. Enfin, elle le regarda, fixa de ses yeux pleins de certitude et ajouta :
Voilà ce que je vois en toi !
Philippe calma ses orgies au profit de nuits intimes avec Polyxéna. Peu avant son départ de l’ile, il proposa d’épouser la jeune femme. Dès lors, la princesse régna sur le royaume de Macédoine et se fit appeler Olympias. Elle eut deux enfants avec Philippe, qui pourtant, ne l’aimait plus. Il la détestait parce qu’il avait compris qu’il a été trompé. Jamais il ne deviendra cet homme évoqué par l’oracle. Cet homme n’était autre que son propre fils et celui de Polyxéna. Celui qu’on appellera Alexandre le Grand.
Alex@r60 – août 2023
58 notes · View notes
vertalligatorus · 5 months
Text
wow je me sens tellement nostalgique du monde du rpg……. j’ai regardé la liste des forums sur lesquels j’avais été et recherché leurs adresses en vain… certains ont été supprimés…. c’est comme des pans entiers de ma vie qui ont disparu, y a tellement de rps et de présentations que je voulais relire. en plus j’avais fait des .odt de certains mais j’ai évidemment quasi tout perdu
alligators 427, them (black day in rosedale park), poisoned youth, tohu bohu, girls in the club, feuergesicht, à plus tard crocodile, mirapolis, ici le jour, imaginariae curiositates, la part des nuages, pure imagintion, kids in the dark, kids do cry, abyssus abyssum invocat………… ça me manque tellement..
et des pseudos (et surtout, des gens!!!)!!! neptunium 237, douce mélancolie., poésies cendrées (anesidora), la cléôpâtre, saturnz barz, corvidae, soeurs d’armes, january blues, peach’, bandit rouge, princesse voiture, jugband blues, âme à l’amère, syl20, weerasethakul….. j’en ai oublié beaucoup et ça me rend hyper triste à nouveau
c’est si désolant et frustrant qu’il n’y ait plus vraiment d’endroit où faire communauté, où trouver de nouveaux forums, rencontrer des gens (en même temps au vu de ce que c’est devenu)…… j’ai envie de refaire un tout petit forum comme la dictature des ronces.. ou un été dans le désert. un truc simple pour écrire à nouveau avec des gens même si on est pas beaucoup
après je dis ça mais j’ai 0 temps… je voulais juste me plaindre et repenser au bon vieux temps.. j’espère que vous allez bien en tous cas! je ne suis pas très actif•ve mais je passe souvent en underground…. bonnes fêtes de fin d’année hihihuhu
34 notes · View notes
chifourmi · 7 days
Text
Comment je n'en PEUX PLUS de ma mère. Je vais écrire ce texte à chaud je le supprimerai peut-être plus tard. On lui a offert son cadeau de la fête des mères vendredi pcq aujourd'hui on était pas dispo tous les 4. Comme d'hab elle était pas contente?? Alors qu'on lui a offert des fleurs comme elle réclame tout le temps. Même la dernière fois sans occasion particulière on s'est ramenés avec des fleurs mon père et moi et elle n'était pas contente pcq c'était un bouquet de la fleuriste et qu'elle aimait pas la compo??????? Comment on peut être aussi capricieuse???? En plus elle ne nous l'avait jamais dit donc on pouvait pas savoir. Vraiment j'en peux plus elle s'en blc de l'intention et ok tu peux ne pas aimer mais elle te le fait savoir TOUTE LA JOURNÉE. Elle s'isole, fait des phrases passives agressives, des sous-entendus de merde. Vraiment c'est invivable. Et OK elle a vécu un cancer et là elle est en pleine reconstruction de sein mais on essaye de faire TOUT pour elle. Dès qu'elle demande quelqu'un, dans la seconde y a quelqu'un qui accourt. On se bousille pour son bonheur et c'est hyper normal je sais bien mais quand t'as que de l'ingratitude comme réponse c'est juste pas possible, elle ne nous remercie jamais, ne se remet jamais en question. C'est tellement lourd on est bassinés de négativité et j'imagine même pas à quel point ce qu'elle traverse est dur mais ça l'est pour nous aussi parce que combien de fois on a eu peur de la perdre et en plus de ça elle nous fait subir le pire. Vraiment je suis à bout, je sais même plus ce que je dois faire pour qu'elle soit heureuse, elle nous en demande beaucoup beaucoup trop. Et en même temps je ne me sens même pas légitime de me plaindre pcq elle a vécu tellement d'opérations et c'est toujours pas fini, ça fait 3 ans, et j'imagine même pas dans quel désespoir elle doit être. Mais voilà là j'en peux tellement plus et j'ai besoin de me plaindre aussi. J'ai tellement hâte que tout ça se finisse putain cette merde de cancer est complètement en train de détruire notre famille.
(Je SAIS que c'est ELLE qui vit des épreuves atroces et que je peux même pas imaginer ce que ça fait, je l'ai bien compris, donc si y a quelqu'un qui ose me dire que j'ai pas le droit de me plaindre je le bloque mdr)
(12/05/2024)
19 notes · View notes
Sans Valentin.
Cette année je ne fêterai pas la St Valentin, comme c'est le cas depuis plusieurs années déjà. Je ne serai même pas chez moi, comme ça l'homme avec qui je vis ne se sentira pas "obligé" d'aller m'acheter des fleurs. On va passer le couplet de la fête commercial et le refrain de "l'amour c'est tous les jours qu'on le prouve et pas à une date précise", généralement ce sont les radins qui s'empressent de balancer ce genre de connerie ! J'aime la St Valentin ! J'aime qu'on fête les amoureux. Pas besoin d'offrir quelque chose de cher, les plus beaux cadeaux sont ceux que l'on fait soi-même, que ce soit une carte, une lettre d'amour ou un repas maison. L'important c'est que ce soit réellement fait avec et par amour. Et dans mon couple, il n'y a plus d'amour, en tout cas plus dans le sens amoureux du terme. Il y a du respect, il y a de la tendresse bien caché, jamais démontré physiquement mais plutôt dans des minuscules attentions du quotidien. Il y a la responsabilité de deux parents envers leur fils, un travail d'équipe, une amitié en quelque sorte. Mais plus aucun mot d'amour, plus jamais de geste tendre, aucun câlin, pas un seul baiser et le sexe a disparu de notre couple depuis 6 ans ! Nous faisons chambre à part depuis toujours. Il n'est venue s'installer chez moi qu'en 2020 au début du confinement, j'avais une chambre de libre. Et si vous faite un petit calcul rapide, 6 ans sans sexe, ça remonte à avant 2020 ! Tout ça c'est pour vous brosser un tableau qui vous permettra de mieux comprendre ma situation. Donc la St Valentin, hors de question qu'il me la fête autrement que par un "Bonne st Valentin" au téléphone, vu que je ne serai pas chez moi ! Pourtant, chaque année j'espère que ce jour-là, j'aurai quelqu'un qui me la souhaitera de tout son cœur, avec autant d'amour que j'en aurai pour lui, même s'il est loin. Mais je crois que mon côté romantique me faire oublier la triste réalité des relations.
Allez va, ce n'est pas si grave ! Deux jours avant le 14 février, c'est mon anniversaire ! Là au moins, je sais qu'il y aura quelque chose à fêter .
14 notes · View notes
homomenhommes · 16 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 163
Vernissage expo de Moitié chez Bo-gosse
Bo gosse 35 ans "la Palmyre " actif 24x5.5 et moitié artiste et 20ans crevette passive
J'ai reçu, il y déjà quelques semaines un carton d'invitation pour un vernissage à la galerie de Bo-Gosse (cf. mes dernières vacances à La Palmyre). Il m'invitait pour l'inauguration de l'exposition d'oeuvre de son petit mec et artiste. Comme cela tombait une semaine où Marc était en déplacement, j'invitai Emma à y aller avec moi.
Nous sommes arrivés la veille à Paris, toujours ce même palace où nous sommes reçu comme des rois. Le même suite nous y attend. Le service défait nos valises et emporte chemises et chemisiers au repassage. Emma me traine place Vendôme chez notre " bijoutier " attitré. Nous sommes reçu par le vendeur avec qui j'ai déjà eu quelques relations. Accompagné comme je le suis, il est d'une discrétion parfaite. Je porte à l'oreille le rubis qu'Emma m'avais offert. Elle demande à voir la commande qu'elle leur avait passée. Le vendeur nous fat entrer dans un salon et nous apporte un plateau sur lequel trônent 4 saphirs de la même taille que mon rubis. Je commence à dire à Emma que ce n'est pas mon anniversaire ni ma fête, mais elle me coupe. Elle examine chaque pierre, s'informant de sa provenance puis fixe son choix. Un saphir birman d'un bleu profond. Je dois l'essayer de suite. Le vendeur met mon rubis dans une pochette et je garde mon nouveau cadeau à l'oreille. Au moment de sortir, alors qu'Emma s'écarte pour admirer une vitrine de bijoux, le vendeur me demande si je suis sur Paris pour quelques jours. Je lui dis que j'essayerai de passer le lendemain matin, le vernissage n'ayant lieu qu'en soirée.
Retour à l'hôtel où, après un diner délicieux, je fais l'amour avec Emma.
C'est vrai que je préfère le faire avec un mec mais Emma, c'est différent. Elle n'est pas prude coté sexe et nous avons, ensemble, essayé pas mal de trucs.
Quand nous rentrons dans notre suite, nos vêtements son revenus du repassage et pendent sur les cintres. Je la pousse et la fait tomber sur le grand lit. Il ne nous faut que deux minutes pour nous retrouvés nu l'un contre l'autre.
Je m'écarte un peu et l'examine de la tête au pied, ce qui me vaut une remarque amusé sur ma goujaterie. Il n'empêche qu'elle est encore super bien foutue et peu de jeunes femmes de 25 ans pourraient rivaliser. Pas un gramme de graisse superflue, pas de culotte de cheval ni de cellulite, un vrai top modèle ! Je la pousse sur le dos et me couche sur elle. Mes lèvres rejoignent les siennes et nous nous roulons un patin excitant. Je la sens frémir sous mon corps alors que je bande comme un malade. Elle écarte légèrement les cuisses et mon gland vient se positionner à l'entrée de son vagin. Malgré mon poids, elle roule du bassin et frotte son clito sur mon gland. Ses tétons durcissent contre mes pecs. Je glisse le long de son corps sans que ma bouche ne quitte sa peau. Menton, cou, poitrine, tétons, ventre, nombril, mont vénus et grandes lèvres que j'écarte de langue pour atteindre son clito. Je l'aspire et elle se cambre de plaisir. Je tête quelques instant cet organe du plaisir et arrive à lui arracher un premier orgasme. Elle mouille bien et je n'attends pas pour placer mon sexe dans sa chatte. Une bonne poussée et mes 20cm sont en elle. Elle relève ses jambes pour me ceinturer avec. Ça me laisse plus de latitude pour la limer. Je me lubrifie bien la queue de sa mouille et me prépare à passer par sa porte arrière. Elle me connaît et sait bien que cela va lui arriver. Imperceptiblement j'augmente la course de mes va et vient jusqu'à déculer totalement avant d'entrer de nouveau. Je la laisse décider elle même. A un moment elle bascule son bassin alors que je suis sorti d'elle et de ce fait présente son anus sous mon gland. Quand je pousse à nouveau, je sens une petite résistance qui s'efface d'un coup de rein plus puissant. Je m'enfonce alors bien serré par son anus. Trop bon, c'est autre chose qu'un vagin même bien musclé. La constriction d'un sphincter est autrement plus forte. Je ne peux m'empêcher de gémir ! Emma aussi. Deux, trois va et vient pour vérifier que je suis suffisamment lubrifié pour ne pas la blesser et je me lâche. Elle s'accroche à moi alors que mes bras sont tendus contre le matelas pour éviter que je ne l'écrase. Et je laboure, la bourre. Trop bon ! Bien que n'ayant apporté de gode pour stimuler de concert son vagin, j'arrive à lui provoquer un deuxième orgasme. Ses dernières contractions me font jouir à mon tour et j'explose dans son cul. Je roule sur le coté et elle se retrouve couchée sur moi, la tête sur mes pecs. Nous nous endormons ainsi. Réveil en pleine nuit, froids, poisseux...Je fais couler un bain pour Emma et me douche pendant qu'elle se détend dans l'eau chaude. Je la rejoins et ce faisant, provoque un mini tsunami local, vite absorbé par les tapis de bains. Alors que l'eau refroidit, nous passons nous rincer sous la douche. Retour au lit.
Je me réveille à l'odeur du petit déjeuner, seul en travers du grand lit, nu sur les draps. Je me redresse et vois Emma en peignoir devant un plateau regorgeant de nourriture. Avant que j'ai pu ouvrir la bouche elle me dit que le serveur n'avait pu retenir un sifflement admiratif à la vue de mon dos et qu'il s'était rattrapé en la félicitant d'un " Madame doit être heureuse ".
Je me lève et nu, je la rejoins. Je meurs de faim ! il est presque 11h. J'ai un vague regret en pensant à mon vendeur qui doit m'espérer. Nous sautons le déjeuner et retrouvons Kev et son boss pour le café. Avec Kev, nous nous racontons nos derniers avatars quand Emma et son ami discutent travail. Je leur propose de nous accompagner ce soir au vernissage. Ils en discutent 5 minutes et acceptent ma proposition. Ils passeront nous chercher à notre hôtel.
Je meurs d'envie de baiser avec KEV, son patron s'en aperçoit et nous dit de filer, qu'il nous laisse une heure. Je jette un coup d'oeil à Emma qui m'autorise d'un hochement de tête et comme deux gamins pris en faute, nous nous éclipsons, direction l'appart de Kev à 5mn à pied.
Nous courrons presque sur le trottoir et commençons à nous exciter dans l'ascenseur. Le temps d'arriver sur son palier, Kev a la chemise qui sort du pantalon et la braguette qui baye. Je ne suis guère mieux. Dès la porte refermée, nous nous sautons dessus. Je le couche dans l'entrée et le mets nu. De son coté il n'est pas resté inactif puisqu'à peu près au même moment je suis dans le même état. Je constate avec plaisir que sa situation sédentaire ne lui a pas fait prendre du poids. Il rigole et m'entraine jusque dans le séjour en me rappelant qu'il s'est inscrit à une salle de gym où il a trouvé ce qu'il fallait coté cours et appareils de muscu ainsi que coté mecs. Nous continuons nos ébats, un bon 69 nous empêche de parler. Le super actif à bien évolué en recto-verso. Alors que quand je l'ai connu, il n'était qu'enculeur de vieux, maintenant il ne crache pas sur une bonne queue sauf pour la lubrifier ! Nous nous suçons comme deux affamés. Les gland pénètrent nos gorges.et plusieurs fois l'un et l'autre nous avons été obligés de nous reculer pour éviter un " départ " précipité. Kev se décide le premier et, à 4 pattes me présente son cul. Le temps que je me kpote, il se prépare le trou avec deux doigts plein de gel. Je pose mon gland sur son anus et m'accroche à ses hanches. Je le fais attendre quelques secondes et au moment où il commence à s'impatienter, je m'enfonce d'un trait. Ça lui coupe toute envie de récriminer. Je me mets à le limer tout en lui faisant remarquer que de ce coté là, il s'était bien assoupli. Alors que je m'encule bien profond, il me raconte quelques un de ses plans à la salle de sport. Ça ne fait que m'exciter encore plus. Il me raconte avec un débit haché le premier plan qu'il s'est fait avec le prof de fitness (actif) et celui de muscu (passif). Comment il s'est retrouvé en sandwich entre les deux et comment il s'est pris une méga jouissance. Je ralentis mes mouvements, je ne veux pas jouir alors qu'il ne m'a pas encore enculé. Je me retire et nous échangeons nos places. Il est toujours aussi bon coté actif. C'est avec art qu'il s'enfile en moi. Je sens chacun de ses 21cm traverser mon anus. Je tends la tête en arrière et il se penche pour qu'on se roule un patin. Je prend un plaisir fou à me faire sauter par Kev. On échange une dernière fois nos places et je l'encule jusqu'à remplir ma kpote. Il se jute dans la main. Notre heure est déjà passée ! nous prenons 5mn pour une douche et je remets mes vêtements froissés (en sportswear, ça passe) alors qu'il est obligé de changer de chemise (boutons arrachés) et de costume (trop bouchonné).
Nous nous pointons avec exactement 1/4 d'heure de retard et les joues rouges de nous être pressés. Regards désabusés de nos deux " parents " (et amants) respectifs. Nous quittons Kev et son boss momentanément et allons faire les boutiques, ce coup ci de vêtements. Je dévalise une boutique de sous vêtements en slips et shorty ES, Calvin Klein, triple X ...et en profite pour acquérir quelques maillots pour la piscine chez Emma. Nous ajoutons un passage chez un chemisier où en plus d'acheter quelques chemises, je trouve des cravates dont une que je fais mettre en paquet cadeau pour Kev.
Retour à l'hôtel où nous avons juste le temps de nous changer pour le vernissage.
Je finis de nouer ma cravate que l'accueil nous prévient que nous sommes attendus.
En entrant dans la voiture, je tends à Kev son cadeau. Enchanté, il l'ouvre, et la trouve très belle, au point de la mettre tout de suite en remplacement de celle qu'il portait. Quelques 10 minutes de voiture et le chauffeur nous dépose devant la galerie. Filtre à l'entrée, Bo-gosse que j'avais appelé dans l'après midi a bien laissé les instructions et nous entrons. Il y a déjà pas mal de monde. Je déambule parmi les amateurs d'art, Emma appuyé à mon bras. Kev et son boss partent de leur coté. J'aperçois " Moitié " qui me remarque aussi et vient se jeter à mon cou avec roulage de pelle. Ce n'est qu'à la fin de celle ci qu'il remarque Emma en train de le fixer avec amusement (elle sait que je les ai rencontrés pendant les vacances). Je fais les présentations et j'ai le plaisir de le voir légèrement rougir. L'arrivée de Bo-gosse dissipe le léger malaise. Je remarque tout de suite qu'il est toujours aussi canon. Comme nous nous embrassons...sur les joues, je me colle à lui et sens contre ma cuisse sa bite généreuse. Ils nous accompagnent pour le reste de la visite. Nous aimons bien la peinture de " Moitié ". Nous croisons Kev et son Boss qui ont le même avis que nous. Emma flash sur une grande toile au figuratif traité avec un mélange de cubisme et d'Andy Warhol. Le boss de Kev craque plutôt pour une petite toile et moi une intermédiaire représentant un mec façon " odalisque " très bandant (cul étroit, épaule larges, belle bite à moitié réveillée posée sur sa cuisse droite) pour le bureau de Marc. Je m'écarte d'eux pour aller chercher Bo-gosse et lui faire part de nos désirs. Je le retrouve entouré d'un aréopage de langues qui pendent et de paires d'yeux en admiration. Il profite de mon arrivée pour les laisser sur place et m'entrainer, par une petite porte, au calme. Enfin façon de parler !
Il me plaque contre cette porte et m'écrase la bouche de ses lèvres. J'entrouvre les mâchoires et nos langue se touchent, se lèchent, se battent entre elles. Je sens contre ma cuisse se développer la queue qui lui pend entre les jambes. Je glisse à ses genoux et ouvre sa braguette. Son gland ne reste pas longtemps à l'air libre. Il trouve l'abri de ma bouche puis de ma gorge direct. Trop bon !
Je défais ma ceinture et baise pantalon et slip alors que je me relève. Je lui tends une kpote et lui présente mon dos. Quelques claquements de latex plus tard, je me sens planté par ses 24cm épais. Un vrai hussard ! Je l'ai bien senti passée, mais quelque part c'est ce que je cherchais !! Il me saute rapidement et violemment, il ne nous faut pas 5mn pour exploser, moi sur le bois de la porte, lui au fond de mon cul.
Réajustés, un verre d'eau pour retrouver notre calme et nous réapparaissons comme si de rien n'était. Dès la porte franchie, je reprends notre conversation sur l'acquisition des trois toiles. Bo-gosse me dit que nous ne sommes pas obligés, Emma et nos amis que nous venons alors de rejoindre l'assurent que cela n'a rien à voir avec une quelconque obligation. Nous convenons que " Moitié " fera la livraison à Kev (son boss ayant acquis la toile pour lui) et qu'ils s'arrangeront pour venir passer un WE à la maison pour me livrer le cadeau de Marc et ils s'assureront alors de la livraison à Emma.
Le boss de Kev (je vous dévoile son prénom : Henri) se pose la question de la décoration de l'entrée de ses bureaux parisiens et demande à " Moitié " s'il serait capable de lui peindre un tableau de 3 mètres de large sur 2 mètres de haut sur le thème de sa société. A la réponse positive, il lui demanda alors de lui présenter dès que possible 2 ou 3 projets avec un devis.
Nous les quittons, content de nos achats, nous finissons la soirée au fouquet's où Henri nous offre à diner.
JARDINIER
Tumblr media
la pièce à conviction
Tumblr media
7 notes · View notes
ekman · 5 months
Text
Tumblr media
– Vous souvenez-vous des Fêtes de Noël au château, du temps de la douairière, ma chère grand-mère ? – Si je m’en souviens, Monsieur le Comte ! C’était, avec Pâques, le moment le plus important de l’année. Tout le domaine préparait l’évènement des semaines à l’avance. Les gens disaient “tiens, garde donc cela, mets-le de côté, nous en profiterons à la Noël”. Toutes les fermes sélectionnaient à partir de la mi-novembre ! Les viandes, les foies, les beaux légumes, les conserves... – Et les vins ! Nous visitions les caves avec mon père et mon oncle. Joseph suivait avec son chariot et disposait les cols choisis avec science. Jamais une de brisée ! – Oui, les vins... et les champagne, et les liqueurs pour ces dames ! Vous savez, Monsieur le Comte, le moment le plus émouvant c’était quand toute les familles du domaine, les fermiers, les métayers, les ouvriers des ateliers de Monsieur Charles et même certains journaliers, se rassemblaient dans la cour d’honneur, neige ou pas. – Combien pouvions-nous être alors ? Une cinquantaine ? – C’est monté à plus de quatre-vingt, Monsieur le Comte. – Le discours toujours bienveillant de mon père, ma grand-mère distribuant des babioles aux plus jeunes enfants, l’archevêque qui venait bénir tout le monde, même les communistes ! – Il y avait encore du respect de ce temps, Monsieur le Comte. Les gens avaient leurs idées mais les codes étaient respectés. De l’ordre, de la cohérence, aucune familiarité, juste de la bienveillance. Voilà ce qui tenait le domaine. – Vous avez raison. Il y avait cette équité par delà les opinions, les ambitions, les contrariétés... Le sentiment d’appartenir à une communauté, à une terre, à un monde qui gardait du sens, entre le calendrier chrétien et les saisons, le rythme de l’agriculture, les mariages aussi. Et les décès. Plus personnes ne vient se faire enterrer chez nous, vous avez remarqué ? – Je ne sais pas si l’on a encore le droit, Monsieur le Comte. En tout cas moi...  – Et moi aussi, soyez-en sûr. – Bien. Je vous attends vers 19h30 pour l’apéritif avec votre épouse ?  – Ce sera une joie et un honneur, Monsieur le Comte. – Puis nous dînerons avec mes autres invités et ce sera la messe de minuit avancée à 22h30 par commodité. Ce nouveau curé est déplorable. Il a une photo de François à la sacristie. Posée à côté de La Croix et Télérama. Ça ressemble de plus en plus à une kommandantur, son gourbi. – Oh, Monsieur le Comte... Paix aux hommes de... – De bonne volonté, oui, je sais.
J.-M.-M.
11 notes · View notes
firebirdxvi · 5 months
Text
Fils du Feu 07 ~ Flamme de Douleur
Tumblr media Tumblr media
Il avait passé la nuit les yeux ouverts à réfléchir en scrutant le plafond de pierre noire. Il n'était pas sûr de se souvenir de tout... Certaines scènes de son passé lointain lui revenaient par bribes, lui procurant tour à tour de la joie ou de la peine. Il sentait son corps réagir de mieux en mieux à ses émotions, comme si ses nerfs et ses muscles réapprenaient à fonctionner normalement.
Il se rappelait également vaguement qui étaient les Immortels. Cet ordre discret avait toujours gravité autour de lui à la cour, même si son père ne l'avait jamais vraiment apprécié. Il faisait partie de l'histoire de Rosalia autant que Phénix lui-même, mais peu de gens connaissaient son existence et sa fonction. Il aurait du en apprendre davantage le jour de... le jour où tout avait été détruit...
Il crispa les paupières et essaya de se souvenir. La guerre était à leurs portes ; il devait se rendre au Fort Phénix pour... quoi ? Une cérémonie. Un oracle martial. Pour s'assurer la victoire, c'était ce qu'on lui avait dit. En tant qu'Emissaire de Phénix, c'était la première fois qu'on lui demandait de faire quelque chose pour son pays, au lieu de simplement agiter la main durant les fêtes paysannes. Il se souvenait d'avoir douté d'être à la hauteur... mais son frère l'avait soutenu, croyant en lui de toutes ses forces.
Il tendit la main, essayant de toucher dans ses songes le visage de Clive. Il se souvenait de lui confiant, téméraire et d'un courage sans faille. Il était son héros, son chevalier...
Ce qu'il voulait le plus, là, maintenant, c'était le retrouver. Et il ne voulait pas attendre le matin.
Joshua se leva du lit rapidement, bien éveillé, frôla un cristal pour faire de la lumière et attrapa les vêtements que Jote avait achetés pour lui. Un pantalon moulant, une chemise lacée et une tunique à manches bouffantes. Le tout teinté de rouge et noir, les couleurs des Rosfield. Il s'interrogea un moment : le rouge n'était pas usité parmi le peuple rosalien, étant réservé à la famille ducale ; et la teinture en était plutôt coûteuse... Comment Jote avait-elle pu s'y prendre ? Il se demanda alors pour la première fois de quelle manière le monde avait évolué sans lui, et cela lui fit peur. Ce monde-là n'avait peut-être plus rien à voir avec celui qu'il avait connu...
Il laça ses bottes hautes, se regarda un moment dans le miroir mural et se trouva présentable. Il était prêt à sortir. Cependant, une certaine appréhension le faisait encore hésiter. Ses doigts s'apprêtaient à actionner le mécanisme de la porte - il n'avait nul besoin de clef pour utiliser les dispositifs célestes -, quand il perçu, de l'autre côté, comme une mélopée sourde. Il colla son oreille contre la roche, cherchant à en comprendre le sens mais le son était trop étouffé. Prenant son courage à deux mains, il mit en marche la serrure imposante et la porte circulaire s'ouvrit devant lui.
Presque renversé par le souffle d'air qui lui fouetta le visage, il s'aventura enfin hors du Nid.
Un long couloir sombre se déployait devant lui. Des rais de lumière bleutés couraient sur les murs de chaque côté de lui, entrecoupés ça et là par des silhouettes alignées ; Joshua remarqua alors qu'il y'en avait des dizaines et qu'il ne s'agissait pas de statues ; capuches rabattues sur leurs visages, les silhouettes entonnaient un champ profond et harmonieux, sans bouger, les mains jointes, et Joshua sentit quelque chose d'infini remuer ses entrailles. Il n'était pas effrayé, c'était plutôt comme si les voix le transportaient ailleurs, dans un passé si lointain qu'aucun livre n'en parlait plus...
Tumblr media
L'Emissaire de Phénix se mit à avancer à pas lents, avec respect, au milieu des Immortels recueillis qui chantaient pour lui. Il chercha des yeux Jote et Adalia mais ne les vit pas. Elles devaient pourtant bien se trouver parmi eux... Suivant la haie d'honneur formée par les adeptes, Joshua tourna à des angles de couloirs spécifiques, tout en regardant autour de lui. L'architecture céleste était splendide mais un peu monotone, et la luminosité n'était pas excellente pour des yeux fragiles comme les siens. Il avait hâte d'atteindre sa destination : le lieu où résidait le Maître des Immortels, et il savait qu'on le guidait dans cette direction.
Enfin, il toucha au but. Au bout d'un ultime corridor, il vit parfaitement un homme se tenant debout derrière une table, les mains dans le dos, dans une petite pièce se situant en face de lui. Il déglutit et avança plus rapidement, avide de connaissances. Quand il eut passé le seuil, l'homme s'inclina profondément devant lui.
- "Source de vie et de lumière éternelles... Emissaire de l'oiseau de feu apportant la prospérité à Rosalia... Protecteur de Souffledrac, gardien de..."
- "Pardonnez-moi, mais...", le coupa Joshua. L'homme s'interrompit, un peu décontenancé. "Je pense que je peux me passer de tous ces titres. Je n'ai jamais beaucoup aimé ça..."
L'homme se redressa et adopta une posture un peu plus décontractée - mais pas trop.
- "Vous êtes... Cyril, le Maître des Immortels. Adalia m'a parlé de vous. Vous êtes venu me voir une fois, il me semble."
- "Adalia ?" Mais il sut très bien de qui il parlait. "Je suis honoré que vous vous souveniez de moi, Votre Grâce."
Tumblr media
Joshua examina la pièce où il se trouvait. On avait amené dans cet endroit du mobilier au style tout à fait différent de l'architecture céleste et il eut un sentiment de familiarité qui le mit à l'aise. Des étagères de livres tapissaient le mur, des chandelles éclaboussaient d'ombre et de lumière les murs de pierre grise... Tout ceci lui rappelait sa maison. Il tira une chaise près du bureau du Maître et s'y assit sans plus de cérémonie. Cyril demeura debout jusqu'à ce que le garçon dise :
- "Depuis combien de temps chantent-ils ?"
- "Depuis des heures, il me semble. C'est un chant pour fêter le retour du Phénix..."
- "Vous pouvez vous asseoir. Et je veux aussi que vous me racontiez tout ce qui s'est passé... Avant... après... pendant que je..."
Cyril s'éclaircit la voix avant de prendre place à son tour dans son siège à haut dossier.
- "Je répondrai à vos ordres, Votre Grâce. Je vous demanderai simplement de ne pas m'interrompre tant que je n'aurais pas terminé." Cyril sembla nerveux, réalisant qu'il avait exigé quelque chose de son dieu qui aurait paru inconvenant dans toute autre situation. "Ensuite, vous pourrez me poser vos questions."
Joshua hocha la tête. Il avait posé les mains sur ses cuisses, attendant que le Maître se décide à commencer.
- "Vous vous trouviez à Fort Phénix afin de procéder à un rite très ancien destiné à apporter la victoire à Rosalia. Le Royaume de Fer nous disputait la propriété du cristal-mère de Souffledrac et l'archiduc avait jugé que cela avait assez duré. Les Immortels vous auraient rejoint sur place le jour du rite si la Nuit des Flammes n'avait eu lieu..."
Joshua ne prononça pas un mot, comme convenu.
- "Il n'est pas nécessaire que je vous décrive ce qui s'est passé dans l'enceinte de la forteresse cette nuit-là, vous en savez sans doute bien plus que moi. Mais vous devez apprendre ceci : le Primordial de Feu qui vous a laissé pour mort semble avoir disparu sans laisser de trace. Nous avons enquêté sans relâche dans toute la région et même au-delà pour recueillir la moindre rumeur au sujet d'un Emissaire de Feu, cela n'a rien donné. L'existence de ce Primordial est un mystère, et un outrage pour notre foi : seul le Phénix gouverne le feu. Cet imposteur doit être retrouvé et châtié."
Cyril s'interrompit un instant.
- "Une autre vengeance doit aussi s'accomplir. C'est l'armée sanbréquoise qui a attaqué le Fort cette nuit-là. Alors qu'il était notre allié, l'Empire semble avoir décidé de profiter de notre posture délicate face au Ferrégiens pour prendre sa part du gâteau. Rosalia a toujours attisé beaucoup de convoitise... Votre père avait des ennemis à la cour valisthéenne, à cause de certaines opinions jugées trop... progressistes, je suppose. Tuer l'archiduc et l'Emissaire en un seul coup, voilà qui faisait bien les affaires de l'Empereur Sylvestre... Mais vous êtes là, et le jour de la rétribution viendra..."
"Depuis cette nuit fatale, l'Empire s'est officiellement attribué la propriété de Rosalia ; ce qui n'a pas empêché les Ferrégiens de venir piller Rosalith quand les Sanbréquois ont eu le dos tourné. Il ne reste qu'une poignée d'habitants dans votre illustre capitale, résistant tant bien que mal à l'occupation impériale comme ils le peuvent. Leur fierté est ébréchée... mais l'espoir du retour de l'archiduc les fait tenir encore."
Joshua ferma les yeux et des images pleines de joie et de soleil lui revinrent en mémoire. La place du marché, les écuries pleines de chocobos trépignant, le cliquètement des armures et des épées... Il se voyait marcher au milieu de tout ça, suivi pas à pas par son grand frère attentif... Sa mère ne le laissait presque jamais sortir mais Joshua aimait tant se promener parmi les Rosaliens, et se comporter comme un enfant ordinaire...
"Votre oncle Byron vit toujours à Port-Yseut où il essaie de mener ses affaires comme il le peut. Il fait profil bas depuis la mort de son frère. On l'a déjà pressenti pour reprendre le pouvoir mais il ne dispose pas d'assez de moyens et de partisans pour cela. Il subsiste en feignant l'allégeance à Sanbrèque."
"Nos espions sont nombreux à l'intérieur du territoire de l'Empire. Comme c'est Sanbrèque qui a détruit l'archiduché, nous avons sans relâche collecté toutes les informations les plus utiles depuis cinq ans sur ce qui s'y passe. Nous pensions peut-être y découvrir cet autre Emissaire de Feu ; il pouvait être un genre d'arme secrète impériale mise au point pour vous détruire. Nous n'avons rien découvert à ce jour à ce sujet, mais nous avons appris autre chose." Cyril se tortilla sur son siège. "Votre mère, l'archiduchesse Anabella, est maintenant une citoyenne très en vue de Sanbrèque, dans les bonnes grâces de l'Empereur."
Joshua écarquilla les yeux de stupeur.
- "Je me garderai bien de dire tout le fond de ma pensée, mais seule la trahison peut expliquer ce qui s'est passé la Nuit des Flammes. Les soldats sanbréquois se sont introduits par ruse dans l'enceinte, et seul quelqu'un de haut placé à Rosalia pouvait connaître à l'avance vos déplacements et donner les informations nécessaires à la prise de la forteresse. Votre mère semble bel et bien impliquée dans cette affaire. Je suis navré de vous l'annoncer si brutalement..."
Joshua se tint silencieux mais une insondable tristesse le saisit. Sa mère avait toujours eu beaucoup de défauts - dont sa manière de traiter son frère aîné n'était pas le moindre -, mais jamais il n'aurait pu imaginer qu'elle s'en prendrait à lui. Elle lui avait déjà fait du mal, par ses mots et ses manipulations, mais elle s'occupait de lui et ne cessait de lui dire qu'il était son seul univers, sa seule raison d'exister... Joshua ne comprenait pas... Pourquoi avait-elle voulu détruire sa famille ? Citoyenne de Sanbrèque ? Cyril n'avait aucune raison de mentir. Il ne pouvait y avoir qu'une seule réponse...
- "Pour résumer, Rosalia est officiellement une province sanbréquoise dorénavant. Les anciennes allégeances au Phénix et à l'archiduc sont sévèrement réprimées. Les habitants vivent dans la peur et dans la pauvreté pour certains. Les Pourvoyeurs sont traités comme dans le reste de l'Empire, autrement dit pire que des chiens. Et par-dessus tout ceci, le Fléau Noir ne cesse de progresser, plongeant Valisthéa dans une peur croissante. Les nations se font la guerre entre elles pour gagner le plus de territoires épargnés par le mal. Tout ceci ne peut qu'empirer davantage... Et il y aussi ce mystérieux royaume de l'est, et son roi étrange, qui sont entrés dans le jeu politique, et manipulent les dirigeants des nations. Nous ignorons dans quels buts mais le Fléau Noir ne doit pas y être étranger..."
Joshua se rappela alors de ce cataclysme qui vidait les terres de toute vie et de toute magie et dont personne ne connaissait la cause. Le Fléau était déjà bien avancé cinq ans auparavant... Il se pencha en avant et se tritura les doigts avec appréhension.
- "Votre Grâce, je vous ai livré les informations les plus importantes que vous deviez connaître afin d'appréhender au mieux la situation actuelle", conclut Cyril en posant ses mains sur le bureau. "A présent, si vous avez des questions, je vais y répondre."
Joshua n'en avait qu'une. Elle lui brûlait les lèvres et aussi le coeur. Il enfonça ses ongles dans son poignet...
- "Où est Clive ?"
Cyril ne répondit pas tout de suite et jaugea son seigneur des yeux afin de déterminer s'il était capable d'entendre la vérité. Joshua le couvait d'un regard enflammé et il ne put soutenir plus longtemps ses iris claires posées sur lui avec un fol espoir...
- "Votre Grâce...", commença-t-il dans un souffle. "Personne n'a survécu à Fort Phénix, à une exception près. Ce seul survivant, un ancien soldat rosalien, demeure à l'extérieur, à Lestange ou à l'auberge du croisement. Le corps de votre père a été retrouvé dans un état lamentable, brûlé au dernier degré, ainsi que beaucoup d'autres, alliés comme ennemis. Le commandant Murdoch a lui aussi disparu corps et bien... Le combat que vous avez mené contre ce démon était si...
- "Où est Clive ?" répéta Joshua, refusant de comprendre.
Cyril déglutit.
- "Il ne reste rien, Votre Grâce. Même pas un corps." Le Maître sentit qu'il devait choisir ses mots avec soin, mais il opta finalement pour la simplicité. "Votre frère... est mort lui aussi."
Joshua se redressa sur sa chaise, ferma les yeux, puis retomba en arrière. Ses traits délicats se tordirent dans une grimace douloureuse, et il se couvrit le visage de ses mains.
- "Je suis désolée, Votre Grâce..." se contenta de dire Cyril.
Joshua ne répondit rien. Il se leva de sa chaise, sans un regard pour le Maître, se détourna, la tête basse, et sortit de la pièce d'un pas lent, un peu chancelant. Il finit par disparaître de la vue de Cyril.
Le garçon terrassé alla se perdre dans les corridors du refuge, insoucieux de l'endroit où il allait. Les Immortels avaient disparu, plus aucun chant ne se faisait entendre. Il aurait tout aussi bien pu se trouver dans un tombeau... Il stoppa un moment à un coude du couloir et s'appuya contre le mur, comme hors d'haleine. Il ne réalisait pas encore la vérité de ce qu'il avait entendu. Il n'y croyait pas. Son frère ne pouvait être mort ! Pas Clive, c'était impossible ! Il posa la main sur son coeur, alarmé par la violence des battements dans sa poitrine... Il cru défaillir, se rattrapa de justesse pour ne pas s'écrouler et continua sa route vers l'inconnu. Il aurait voulu trouver la sortie de ce labyrinthe et se sauver de toute cette souffrance, de ces larmes qu'il retenait, de cette révélation qui le terrorisait plus que tout autre chose qu'on lui avait dite...
Il ne réussit qu'à se retrouver à l'entrée de la bibliothèque des Immortels. Quand il y pénétra, l'archiviste qui s'y trouvait crut mourir sur place de surprise, mais elle comprit vite qu'il fallait vider les lieux et laisser l'Emissaire avec lui-même. Elle s'inclina précipitamment et s'éclipsa. Joshua était de nouveau seul.
Il avança avec difficulté vers un gros fauteuil en velours rouge ; chaque pas lui demandait un effort considérable... Son corps lui faisait si mal qu'il se retenait de hurler de douleur. Se laissant tomber sur le siège, il eut alors une sensation inattendue qui envoya des ondes à la fois agréables et douloureuses dans chacun de ses muscles. Il s'était déjà assis ici ; ce fauteuil provenait de la chambre de Clive. Il en connaissait chaque bosses, chaque éraflure... Ses doigts caressèrent les moulures des accoudoirs... Il ferma les yeux et se rappela de ses jours heureux où son frère lui racontait des histoires tandis que lui, petit garçon malade et reniflant, emmitouflé dans une épaisse couverture, l'écoutait avec ravissement, pelotonné au fond de ce grand fauteuil moelleux...
Tumblr media
Joshua s'effondra alors. Il se recroquevilla comme il put au fond du siège dont le rembourrage s'était affaissé avec le temps, se prit la tête dans les mains et laissa son chagrin exploser. Ses pleurs résonnèrent parmi les étagères et les volumes indifférents. Son corps était secoué de spasmes incontrôlables et des plumes folles, se consumant presque immédiatement, voletèrent tout autour de lui avec violence... Pendant de longues minutes, ses larmes parurent impossibles à tarir. Il s'était préparé à la mort inévitable de son père, la trahison de sa mère avait été un coup rude... mais rien n'aurait pu le terrasser davantage que la disparition de son frère...
Joshua essuya ses yeux rougis et douloureux et regarda autour de lui. Les couleurs avaient disparu ; tout était terne et mort. Quel intérêt ce monde pouvait-il encore avoir si Clive n'était plus avec lui ? Il perdit toutes ses forces, tout son courage et examina ses mains. L'avait-il tué ? Le feu de Phénix avait-il prit la vie de la personne la plus chère à son coeur ? Il imagina Clive se débattre dans les flammes, brûlant lentement dans la souffrance la plus atroce sans que Joshua ne puisse l'entendre... Il l'avait appelé, l'avait supplié de le défendre face au démon qui était en train de fracasser ses os... Clive n'était pas venu...
Rien n'aurait pu empêcher Clive de voler à son secours... Rien, hormis la mort. Cette révélation si évidente eu raison de ses dernières défenses mentales. Il se laissa glisser du fauteuil et se traîna presque jusqu'à une petite table encombrée de papiers et d'objets divers. Son regard fut accroché par un éclat de lumière se reflétant sur du métal... Sa main empoigna machinalement le coupe-papier aiguisé... Oui, la lame était tranchante, elle ferait le travail rapidement... Peu lui importaient les Immortels, le Phénix, Rosalia et Valisthéa désormais... Il s'endormirait ici pour de bon et irait rejoindre les siens dans un monde bien meilleur...
- "Clive... J'arrive..."
Tumblr media
Il rassembla ses ultimes forces pour porter la lame vers sa gorge, quand quelque chose se jeta sur lui par derrière, envoyant le coupe-papier par terre.
- "Ne faites pas ça !"
Des bras enserraient sa taille avec force, et Joshua tenta de s'en libérer. Il n'avait plus d'énergie et s'accouda à la table tandis que l'étreinte se desserrait. Le souffle court, il vit alors que Jote se tenait devant lui, les joues empourprées, les cheveux en désordre. Elle semblait en colère.
- "Qu'est-ce que vous alliez faire ?!" s'écria-t-elle.
- "Ca ne vous regarde pas..." Joshua se força à se montrer méprisant, ce n'était pas dans sa nature. Il avait déjà les yeux de nouveau posés sur le coupe-papier... "Je n'ai plus rien à faire ici..."
Sans crier gare, il se jeta à terre sur la lame et s'en saisit de nouveau. Mais la petite fille fut prompte elle aussi. Ils se disputèrent l'objet fatal jusqu'à ce que Jote se mit à crier :
- "Vous croyez qu'ils voudraient ça ? Votre père et votre frère sont morts pour que vous puissiez vivre ! Vous voudriez que ce soit pour rien ?!"
Joshua eu un sursaut choqué et se rejeta en arrière loin du coupe-papier, qui lui apparut alors tout à fait repoussant. Il respirait très vite et très fort et la petite Immortelle craignit un nouveau malaise. Le garçon se mit à tousser avec violence en se redressant tant bien que mal.
- "Vous croyez vraiment que... vous croyez que Clive...", hoqueta-t-il.
- "Je ne le connaissais pas, mais..." Elle cherchait ses mots. "... je suis sûre qu'il serait d'accord avec moi !"
Se disant, elle envoya le coupe-papier hors de portée d'un coup de pied.
- "Qu'est-ce que j'ai failli faire ?" se lamenta le garçon, comme sonné par son geste. "Oh Clive, pardonne-moi !...."
Jote aida Joshua à se rassoir dans le fauteuil. Le garçon se tordait les mains, incapable de cesser de trembler. Il observa alors la petite fille.
- "Que faites-vous ici ?"
- "C'est Maître Cyril qui m'a ordonné de vous suivre, il a bien vu que vous n'alliez pas bien... Mais je vous aurais suivi même s'il avait pas demandé !"
Joshua se prit de nouveau la tête dans les mains et se mit à gémir.
- "Je l'ai tué !... Je les ai tous tués !"
- "Personne n'en sait rien, Votre Grâce. Ca aurait pu être l'autre. Vous n'avez fait que vous défendre. Il était bien plus fort que vous ! Ce sont ses flammes qui ont du brûler tout le monde !"
Jote n'était pas sûre de ce qu'elle disait, mais elle savait que ses mots sonnaient justes.
- "Ils auraient donné leur vie pour vous, vous savez..."
- "J'en ai assez qu'on meurt pour moi..."
Elle se mit à genoux devant lui et prit ses mains dans les siennes. Aucun autre adepte n'aurait eu de geste aussi tendre envers lui, hormis Adalia sans doute.
Joshua sourit à travers ses larmes.
- "C'était toujours vers lui que je marchais... Il était mon modèle, mon héros... Je voulais être comme lui... Il était tellement... meilleur que moi..."
- "Alors rendez-le fier et devenez plus fort."
- "Je ne peux pas... sans Clive... Il ne peut pas être mort !"
Joshua avait toujours cru son grand frère immortel. Il n'avait jamais envisagé qu'il puisse mourir. C'était une impossibilité très concrète pour lui. Son être tout entier reculait de nouveau face à cette évidence.
- "Je vous aiderai alors... Je ne peux pas le remplacer, mais... je peux essayer..." Jote avait murmuré ces mots, pas certaine que l'Emissaire les accepte.
Joshua la regarda de sous la mèche de cheveux qui lui était tombée devant les yeux. Ceux-ci étaient secs mais toujours rouges. Jote reprit, avec espoir :
- "On va retrouver ce Primordial de Feu usurpateur et lui faire payer la Nuit des Flammes. C'est à vous de le faire. Je vous aiderai..." Elle était déterminée à suivre l'Emissaire jusqu'au bout du monde.
Joshua se détacha d'elle et se releva difficilement. S'approchant de nouveau de la table en toussant, il redressa une chandelle tombée, la replaça dans son bougeoir et agita les doigts au-dessus. Aussitôt, la mèche s'enflamma toute seule. La petite fille se retint de sauter de joie.
- "Je dois venger Clive. Mon père... Tous ceux qui sont morts. Je le leur dois... pour que leur sacrifice ne soit pas vain..."
Une entité millénaire endormie depuis cinq longues années commença alors à déployer ses ailes.
Tumblr media
10 notes · View notes
dagonet · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le Sens de la fête (2017) réal. Éric Toledano, Olivier Nakache
24 notes · View notes
moviesandfood · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
Le Sens de la fête
10 notes · View notes
Text
Tumblr media
Autre chose que la diarrhée macronarde habituelle.
Je n'ai pas plus d'affinité avec lui aupurd'hui qu'avec son grand-père Charles par le passé, mais cette lettre "vise juste, elle vient au bon moment. Pierre de Gaulle par cet Appel s’est positionné là où il le fallait: au dessus." (Bruno Bertez)
Mes Chers Compatriotes,
En cette fin d’année 2023 et à la veille des fêtes de Noël, qui symbolisent la paix et le partage, je voudrais vous adresser ces quelques mots de confiance et d’espoir.
Cette année fut éprouvante, une année marquée par des guerres, ainsi qu’une profonde crise économique, causée par des sanctions qui n’ont fait qu’appauvrir l’Europe et la France. Une année aussi, qui a vu le retour du terrorisme, aggravant encore le sentiment d’insécurité et la fracture sociale. Notre sérénité collective, nos engagements de solidarité entre les peuples sont ébranlés. Notre Gouvernement et en premier lieu, son Président, ont réussi à nous fâcher avec la plupart des pays du monde, détruisant ainsi des dizaines d’années de diplomatie et abaissant considérablement notre capacité d’arbitrage sur la scène internationale. Notre pays, notre belle France, est confronté à une perte d’identité qui a pu nous laisser, à bien des égards, désabusés.
Nous avons vécu des jours où notre confiance en nos institutions a été mise à rude épreuve, où le contrat social qui nous unit semble se défaire sous le poids des épreuves. Les valeurs républicaines et fondamentales de la famille et de la foi sont bafouées. Il serait aisé de céder au désespoir, de s’abandonner à la morosité, d’abdiquer face à la démagogie. Mais aujourd’hui, je souhaite nous rappeler ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce que nous pouvons devenir.
La France, notre pays, n’est pas seulement un territoire délimité par des frontières géographiques, mais une somme d’idées, de principes et d’histoire. Notre nation est bâtie sur des siècles d’aventure humaine, d’invasions, de combats, de victoires et d’une culture rayonnante qui a su inspirer le monde entier. Oui, nous sommes actuellement dans la tourmente, mais n’oublions jamais que dans les pages de notre histoire, chaque crise a été suivie d’une renaissance.
Souvenons-nous des paroles immenses du Général de Gaulle à la Libération de Paris, qui ont bercé La France d’un chant de fierté et de gloire : « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l’appui et le concours de la France tout entière : C’est-à-dire de la France qui se bat.»
La France est un grand pays, mais elle ne sera jamais grande sans son peuple, ni sans une jeunesse ambitieuse, avec des aspirations élevées. Elle ne sera jamais grande si les élites qui nous dirigent n’indiquent pas la voie et ne montrent pas l’exemple, avant que le peuple de France ne s’éveille et suivant son esprit de résistance, ne renverse une classe politicienne incompétente et malhonnête. Les Français ont toujours eu ce sursaut. C’est dans nos gênes, c’est dans notre caractère et dans notre histoire. Seul compte, au fil des siècles, la capacité d’un pays à rester grand. La France reste grande assurément, grâce à son peuple, grâce aux sacrifices de nos ancêtres, grâce à vous tous.
Les frustrations que nous ressentons aujourd’hui sont le symptôme d’un besoin de changement, d’une volonté profonde de réaffirmer nos idéaux démocratiques et républicains et de promouvoir un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Un gouvernement où le bon sens n’est pas seulement un idéal, mais la pratique quotidienne. Un gouvernement qui respecte l’esprit de la République et la voix des Français, au sein de débats parlementaires véritables, de référendums pour les questions essentielles et non pas par l’abus de décrets-lois, aveu de mépris et d’impuissance. Un gouvernement qui respecte la Nation, plutôt que de se soumettre à une technocratie étrangère, en refusant notamment de voter des directives européennes iniques et contraires aux intérêts de notre pays. Un gouvernement enfin, qui respecte la famille, les croyances de chacun, la conscience collective et le sacré. Un Président et son gouvernement qui aiment la France et les Français.
Nous avons parmi nous tant de talents, d’artistes, d’entrepreneurs, de défenseurs de nos libertés et de notre santé, de scientifiques, de penseurs et d’artisans qui œuvrent chaque jour à faire de la France cette terre d’innovation et de création admirée de tous. En eux repose l’espoir, l’esprit indomptable du peuple français qui jamais ne s’est avoué vaincu.
Alors à la veille de Noël, laissons de côté nos inquiétudes pour un moment de répit et de fraternité. C’est ensemble, dans l’unité, la solidarité et la volonté, qu’il nous faudra refaire notre présent et bâtir l’avenir pour la réussite de nos enfants. Un avenir où la liberté, l’égalité, et la fraternité ne sont pas seulement des mots gravés sur nos édifices, mais le reflet de notre ardeur et de notre courage.
Que les fêtes de fin d’année soient pour vous et vos familles, un havre de paix et un commencement nouveau. Que l’espoir renaisse dans nos cœurs et que nous retrouvions, ensemble, la force de surmonter les défis qui sont devant nous. Chaque réalisation, si petite soit-elle, est une bénédiction dans les incertitudes de notre époque. Croyez-en vous-même, croyez en notre belle France, croyez en Dieu, quelle que soient vos religions ou vos croyances.
Avec foi en notre pays et confiance en chacun de vous, je nous souhaite à tous un joyeux Noël, et une France toujours plus fière, plus unie, et plus forte.
Vive la République, et vive la France!
Pierre de Gaulle
10 décembre 2023
7 notes · View notes
alexar60 · 9 months
Text
Whisky
Tumblr media
Whisky ou le soleil me fuit. Voilà un thème qui ne m’inspire pas vraiment. Le soleil ? Mon premier poème s’appelait « Ode au soleil ». J’avais 10 ans et je ne m’en souviens plus. Et l’autre, autant dire que le whisky me fuit. Je n’en bois pas. Je ne déteste pas ça mais je n’en bois pas. Je devrais peut-être boire un verre de whisky, goûter, apprécier son arôme. Seulement, les whiskies qu’on trouve dans le commerce ne sont pas les meilleurs. Je laisse plutôt cela à un pote qui boit du ‘Aberlour’, un autre boit du Chivas. Eux pourraient mieux parler du Whisky.
En cherchant l’inspiration parmi les photos archivées dans mon ordinateur, j’ai imaginé des histoires qui, je le reconnais ne m’enchantent guerre. La première concernait un enfant de trois ou quatre ans appelant les secours parce que sa mère était dans comas, après avoir enfilé une bouteille de whisky. Je partais sur la discussion entre l’opérateur et l’enfant qui ne connaissait même pas son adresse. Seulement, il existe tellement d’histoires de ce genre dans la réalité, que je me sens mal à l’aise à la développer.
La seconde qui m’est venue était une prostituée alcoolique, qui après avoir bu un verre de whisky avec son prochain client, partait faire sa petite affaire. Aussi, le client en question était un célèbre tueur en série appelé Jack l’éventreur. Histoire écrite, réécrite, et corrigée depuis.
La troisième histoire aurait été au sujet du viol d’une amérindienne par des cowboys, après l’avoir saoulée au whisky. Rien de bien réjouissant et on trouve beaucoup d’histoires de ce genre dans les westerns. Je peux vraiment dire que le whisky n’est pas ma tasse de thé.
Je me suis posé cette question : quelle image j’avais du whisky ? Elle m’est venue avec évidence : Machisme, puissance et sexe. C’est marrant d’avoir cette opinion sur le whisky. Je parle du whisky bu sec ou avec des glaçons. Pas celui mélangé avec du soda. Après, j’ai repensé aux blagues dans lesquels on parle de whisky.
La première trouvée dans le film « la cité de la peur ».
Gérard Darmon: Vous voulez un whisky ?
Chantal Lauby : Juste un doigt.
Gérard Darmon : Vous ne voulez pas un whisky d’abord ?
La seconde de Coluche :
Un commandant de bord s’adresse aux passagers après le décollage de l’avion. Il n’éteint pas les hauts parleurs et continue de parler à son second : « Je bois un whisky et après je me tape l’hôtesse de l’air ». En entendant cela, l’hôtesse rougit et se précipite vers le cockpit. Soudain un passager l’arrête : « Ne soyez pas pressée, il a dit qu’il boit un whisky d’abord ! ».
Enfin, la troisième, ma préférée.
Un type entre dans un bar. « Sept whiskys, je fête ma première fellation ! ». Le barman le sert en disant : « Ah si c’est votre première, permettez-moi de vous offrir le huitième ». Le gars répond : « Merci, mais sept devraient suffire pour m’enlever le gout. »
Voilà, ça c’est fait. Je vous souhaite une bonne nuit.
PS: Notez qu'au pluriel, on peut écrire: Whiskies et whiskys.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Gérard Darmon et Chantal Lauby dans la cité de la peur.
19 notes · View notes
mhrb95 · 3 months
Text
youtube
Le sens de la fête : à voir et revoir ❤️
4 notes · View notes