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#Lorraine en Hiver
hildeeveraert · 9 months
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Willy Ronis, Lorraine en Hiver, 1954
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more-than-ideas · 7 months
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Willy Ronis, Lorraine en Hiver, 1954
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alexlacquemanne · 6 months
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Novembre MMXXIII "November Who"
Films
Dr. Who and the Daleks (1965) de Gordon Flemyng avec Peter Cushing, Roy Castle, Jennie Linden, Roberta Tovey, Barrie Ingham, Michael Coles et Yvonne Antrobus
Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi avec Philippe Noiret, Thierry Lhermitte, Guy Marchand, Jean-Pierre Castaldi, Grace de Capitani, Line Renaud, Michel Aumont et Jean Benguigui
Coup de foudre et Conséquences (Fools Rush In) (1997) d'Andy Tennant avec Matthew Perry, Salma Hayek, Jon Tenney, Carlos Gómez, Tomás Milián, Siobhan Fallon et John Bennett Perry
Au-delà des grilles (Le mura di Malapaga) (1949) de René Clément avec Jean Gabin, Isa Miranda, Véra Talchi, Andrea Checchi, Robert Dalban et Ave Ninchi
Clemenceau, la force d'aimer (2023) de Lorraine Lévy avec Pierre Arditi, Emilie Caen, Elizabeth Bourgine, François Marthouret, Serge Riaboukine et Arthur Choisnet
L'Argent des autres (1978) de Christian de Chalonge avec Jean-Louis Trintignant, Catherine Deneuve, Laura et Michèle Kornbluh, Claude Brasseur, Michel Serrault, Gérard Séty et Jean Leuvrais
Mort sur la piste (2023) de Philippe Dajoux avec Jason Priestley, Eléonore Bernheim, Olivier Marchal, Roby Schinasi, Adèle Galloy et Olivia Courbis
Sylvia Scarlett (1935) de George Cukor avec Katharine Hepburn, Cary Grant, Brian Aherne, Edmund Gwenn, Nathalie Paley et Dennie Moore
La Cité sous la mer (City Beneath the Sea) (1953) de Budd Boetticher avec Robert Ryan, Mala Powers, Anthony Quinn, Suzan Ball, George Mathews, Karel Stepanek, Hilo Hattie et Lalo Rios
Second Tour (2023) de Albert Dupontel avec Cécile de France, Albert Dupontel, Nicolas Marié, Scali Delpeyrat, Jackie Berroyer, Christiane Millet, Philippe Uchan, Renaud Van Ruymbeke et Bouli Lanners
Seuls les anges ont des ailes (Only Angels Have Wings) (1939) de Howard Hawks avec Cary Grant, Jean Arthur, Richard Barthelmess, Rita Hayworth, Thomas Mitchell, Allyn Joslyn, Sig Ruman et Victor Kilian
Un pyjama pour deux (Lover Come Back) (1961) de Delbert Mann avec Rock Hudson, Doris Day, Tony Randall, Edie Adams, Jack Oakie, Jack Kruschen, Ann B. Davis : Millie et Joe Flynn
Le Couteau dans la plaie (1962) d'Anatole Litvak avec Sophia Loren, Anthony Perkins, Gig Young, Jean-Pierre Aumont, Régine, Yolande Turner, Tommy Norden, Mathilde Casadesus et Elina Labourdette
Garde à vue (1981) de Claude Miller avec Lino Ventura, Michel Serrault, Romy Schneider, Guy Marchand, Pierre Maguelon, Jean-Claude Penchenat et Elsa Lunghini
La Sanction (The Eiger Sanction) (1975) de Clint Eastwood avec Clint Eastwood, George Kennedy, Vonetta McGee, Jack Cassidy, Heidi Brühl, Thayer David, Reiner Schöne, Michael Grimm et Jean-Pierre Bernard
Deux Hommes dans la ville (1973) de José Giovanni avec Jean Gabin, Alain Delon, Michel Bouquet, Mimsy Farmer, Victor Lanoux, Ilaria Occhini, Guido Alberti, Cécile Vassort, Bernard Giraudeau et Christine Fabréga
JFK (1991) de Oliver Stone avec Kevin Costner, Tommy Lee Jones, Gary Oldman, Kevin Bacon, Laurie Metcalf, Jay O. Sanders, Michael Rooker, Sissy Spacek, Joe Pesci et Jack Lemmon
Le Juge et l'Assassin (1976) de Bertrand Tavernier avec Michel Galabru, Philippe Noiret, Isabelle Huppert, Jean-Claude Brialy, Renée Faure, Cécile Vassort, Yves Robert, Jean-Roger Caussimon et Jean Bretonnière
Le Fugitif (The Fugitive) (1993) d'Andrew Davis avec Harrison Ford, Tommy Lee Jones, Sela Ward, Julianne Moore, Joe Pantoliano, Andreas Katsulas, Jeroen Krabbé et L. Scott Caldwell
Un singe en hiver (1962) de Henri Verneuil avec Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Suzanne Flon : Suzanne Quentin, Gabrielle Dorziat, Hella Petri, Marcelle Arnold, Charles Bouillaud et Anne-Marie Coffinet
Doctor Who (1996) de Geoffrey Sax avec Sylvester McCoy, Paul McGann, Eric Roberts, Daphne Ashbrook, Yee Jee Tso, John Novak et Michael David Simms
Séries
Doctor Who Saison 19, 20 Series 1, 3, 11, 5, 4
Castrovalva - Four to Doomsday - Kinda - The Visitation - Black Orchid - Rose - La fin du monde - Des morts inassouvis - Earthshock - Time-Flight - Destination: Skaro - Ark of Infinity - La Famille de sang - Smith, la Montre et le Docteur - The Day of the Doctor - Snakedance - The Star Beast - The Ghost Monument - Le Colocataire - La Chute de Pompéi
Top Gear Saison 20
A l'abordage ! - Ils ont roulé sur l'eau - Mission Camping-Car
Brokenwood Saison 8, 5, 4, 3
Quatre incendies et un enterrement - Dix petits héritiers - Tu ne tueras point - Un Noël rouge
Affaires sensibles
Les étonnantes enquêtes du bureau des ovnis - 1975, l'année de la femme - Caravelle Ajaccio-Nice : un crash secret Défense ?
Coffre à Catch
#140 : "Elles répondaient au nom de Bella" (avec Max MK) - #141 : Qui sera le futur Mr Money in the Bank? - #142 : Y'a R les amis!! Y'a R ! - #143 : Tiffany prend les rennes et Finlay prend la Trique !
Happy Days Saison 4
De l'huile sur le feu - Remise des prix : première partie - Remise des prix : deuxième partie - Le Jour J est arrivé - Les Mauvais Garçons - Howard inventeur - Le Chien de Fonzie - Ralphy a de sacrés ennuis - Le Baptême de Fonzie
Downton Abbey Saison 4
La Succession - Lettre posthume - Faste et Renaissance - Le Prétendant - Rien n'est terminé - Une vraie surprise - Dernières Festivités
Professeur T Saison 1
Anatomie d'un souvenir - Un poisson nommé Walter - Règles d'or - L'amour d'une mère - Sophie sait tout - Le fils dévoué
The Crown Saison 6
Persona Non Grata - Deux photographies - Dis-Moi Oui - Onde de choc
Spectacles
Prom 10 : Doctor Who at the Proms (2010) avec Karen Gillan, Arthur Darvill et Matt Smith
Taratata 30 (2023)
La symphonie des jeux vidéos aux Chorégies d'Orange (2021)
Doctor Who at the Proms (2013) avec Neve McIntosh, Dan Starkey, Matt Smith, Jenna Coleman, Carole Ann Ford, Peter Davison, Nicholas Briggs, Ben Foster et Murray Gold
Le vison voyageur (2023) de John Chapman et Ray Cooney avec Michel Fau, Sébastien Castro, Armelle, Nicole Calfan, Anne-Sophie Germanaz, Alexis Driollet, Delphine Beaulieu et Arnaud Pfeiffer
Doctor Who: A Celebration (2006) avec David Tennant, Murray Gold et Russell T Davies
Drôle De Genre (2023) de Jade-Rose Parker avec Victoria Abril, Lionnel Astier, Axel Huet et Jade-Rose Parker
Prom 13: Doctor Who Prom (2008) avec Freema Agyeman, Noel Clarke, Camille Coduri et Catherine Tate
Livres
Doctor Who le dixième docteur, Tome 1 : Les révolutions de la terreur de Elena Casagrande, Nick Abadzis et Arianna Florean
Les contes du vortex de Pepperpot x Friends (Pauline Cadart Serizel, Marie Valerio, Rémi Germain, Robin Brou, Manon Segur, Julien Cadart Serizel, Flavia Valerio et Gökan Martin)
Le docteur Who entre en scène de Terrance Dicks
Doctor Who le dixième docteur, Tome 3 : Les fontaines de l'éternité de Elena Casagrande et Nick Abadzis
Les Daleks de David Whitaker
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societascriticus · 20 days
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Lysis (TNM)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-03 : www.societascriticus.com
Une création de Fanny Britt et Alexia Bürger;
Une mise en scène de Lorraine Pintal;
Du 7 mai au 1er juin 2024;
1 h 50 sans entracte.
Ce jour où les femmes disent non.
À l’ère des dénonciations d’abuseurs puissants, des contrecoups pour briser #metoo, du patriarcat toujours glorieusement capitaliste et des manques d’équité qui perdurent, Lorraine Pintal, en dépit des aléas de la pandémie, a tenu à offrir au public cette féroce, mais nécessaire fiction à grand déploiement où des femmes d’aujourd’hui prennent les grands moyens pour mettre fin à la perpétuation d’un pouvoir aussi injuste qu’hégémonique. Ses inspirations ? La grève des femmes dans Lysistrata écrite à Athènes par Aristophane il y a presque 2 500 ans. Et la colère dévastatrice d’Électre que Sophocle a créé à la même époque.
Le pays est paralysé : les femmes en ont assez et elles ont pris d’assaut les rues avec la puissance tellurique d’un tremblement de terre, réclamant justice. Leur arme : la grève de la reproduction. À la tête du mouvement : Lysis, chercheuse pour une grande corporation aux dirigeants cravatés, mais militante clandestine de longue date. Alors que le gouvernement vote une loi spéciale, qu’une milice masculiniste passe à l’action et que le patron de Lysis devient une cible, cette dernière vit tous les déchirements que provoque son engagement : avec son amoureux, ses collègues, sa cellule militante, ses amies. Et si de toutes ces luttes naissait un espoir ?
Pour cette création sur des enjeux criants, Lorraine Pintal, toujours aussi engagée comme femme et comme artiste, a fait appel à deux redoutables dramaturges investies dans les débats actuels : Fanny Britt et Alexia Bürger. Afin de donner toute son ampleur à cette production d’une exceptionnelle envergure, elle a rassemblé dix-sept interprètes de tous horizons, dont l’électrisante Bénédicte Décary en Lysis. Sur scène, trois musiciennes interprèteront l’envoutante partition originale du compositeur Philippe Brault, contribuant à donner à ce spectacle sa pleine et nécessaire dimension épique.
Annick Beauvais : Une militante
Bénédicte Décary : Lysis
Steve Gagnon : Éluan
Nadine Jean : Ananké
Jacques L'Heureux : Victor Forest
Chloé Lacasse : Une militante
Salomé Leclerc : Une militante
Widemir Normil : King
Olivia Palacci : Myra
Brigitte Paquette : Adorée
Pier Paquette : Larsen
Jean-Philippe Perras : William Arès
Philippe Racine : Théo
Dominick Rustam : Christian
Sally Sakho : Atlanta
Isabelle Vincent : Cora Forest
Cynthia Wu-Maheux : Cléo
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-05-23)
Le tout commence autour de l’histoire d'une pilule favorisant la procréation, mais qui entrainerait des suicides. Des éléments furent-ils cachés? Si on pouvait les trouver, les prouver et les sortir publiquement, quel scandale cela ferait ! Cette pièce, publiée en 2020 (1), devait être jouée au TNM en 2022 (2), mais fut retardée à cause de la pandémie. C’est important de le dire, car la prémisse ressemble à une histoire parue sur Netflix cet hiver (2024) : Double piège, qui concerne un complot mortel autour le la fabrication de médicaments. (3) Là s’arrête la ressemblance, mais il s’agit d’une bonne série à écouter, que vous ayez vu la pièce ou non, concernant la recherche du profit et les omissions (cachoteries) qu’on peut parfois faire pour ne pas nuire au succès d’un produit qui n’est peut être pas aussi sécuritaire qu’on le dit. Et que dire quand la politique se colle à une entreprise dont on espère des investissements et des retombées économiques. A-t-on vraiment besoin d’en dire plus ?
Comme le dit Victor Forest (Jacques l’Heureux), le grand patron de la firme dans la pièce : il y a bien eu quelques suicides, mais il y en a aussi dans la population en général et chez les femmes en postpartum. (4) Alors, on ne pouvait pas conclure que c’était dû au médicament, même si la chercheuse principale, qui a travaillé sur ce médicament, s’est suicidée quand elle examinait ses résultats de recherche...
Cependant, sa fille, Lysis (Bénédicte Décary), maintenant une jeune adulte, veut comprendre et aller plus loin, car elle a certains documents de sa mère en main qui laissent croire que celle-ci savait. L’a-t-elle dit à ses patrons et s’est-elle suicidé suite à leur indifférence ou s’est-elle suicidé suite à sa découverte et le tout n’est resté qu’une rumeur dans le fond de l’air. Sans vraiment étouffer l’affaire, on n’a pas cherché plus loin non plus, car ne pas savoir devenait commode.
Lysis travaille donc pour cette entreprise dans le but de savoir et de faire éclater le scandale. Mais, ce ne sera pas facile. Il en résultera d’abord un groupuscule qui voudra porter une action symbolique : la grève de la procréation. Et, avec les médias sociaux, ce mouvement s’étendra hors frontières dans un mouvement mondial de grande portée.
Si la grève de la procréation de la part des femmes semble particulière, cela va beaucoup plus loin qu’un simple geste. Ce sera bien davantage qu’une fronde au patriarcat et au Pouvoir, mais une menace à la poursuite de l’humanité. Une sortie de crise gagnant-gagnant (win/win) sera-t-elle encore possible?
De plus, à la différence d'une grève du sexe, ici la femme se prive d'un choix (enfanter), mais sans priver l'homme d'un plaisir. Alors, certaines femmes seront tiraillées par cette idée, en commençant par Lysis qui ne dit pas qu’elle est enceinte, car elle ne voudrait pas être obligée d’avorter. C’est d’ailleurs tout son dilemme si le mouvement se poursuivait et que ça se voyait.
Se pose alors la question de la négociation, de ce que serait le compromis acceptable, ou d’aller jusqu'au bout sans ne rien céder? Demeure-t-on un mouvement revendicatif ou devient-on plus vindicatif et radical ? Des gens pourraient aller vers le terrorisme, comme Myra, plus vindicative, le fera. D’autres se sépareront du mouvement, car ils veulent le compromis acceptable. Certaines capituleront aussi, que ce soit par amour ou par attirance vers le Pouvoir.
Dans ce genre de fable, on peut penser tant aux mouvements nationalistes qu'aux grandes luttes sociales. Aux débats récurrents entre une culture nationale, où tous doivent s’insérer dans un grand tout collectif, versus celle du multiculturalisme ou de l’interculturalisme, où chacun peut y conserver sa culture dans un genre de « melting pot » non contraignant. Aux débats entre les purs et durs et les réalistes qui souhaitent faire d’un parti politique davantage qu’une plateforme d’idées, mais un parti de gouvernement.
En conclusion, mis à part la trame pharmaceutique, cette pièce nous plonge dans les oppositions de fonds sur les valeurs et les moyens de les atteindre. Le choix de tout perdre en conservant nos idéaux intacts ou de gagner des points, mais d’avoir dû marcher sur certains principes, même s’ils nous apparaissaient non négociables au départ. De sortir gagnant-gagnant d’une situation ou d’en sortir perdant-perdant. Bref, on est dans « l’hommerie », ou plutôt la « femmerie » ici, mais c’est un peu la même chose. Si on en était parfois plus conscient, les choses iraient-elles mieux ?
Notes
1. Fanny Britt et Alexia Bürger, 2020, Lysis, Québec/Canada : ATELIER 10
2. GUILLAUME PICARD, Annulation des représentations de la pièce «Lysis», Le Journal de Montréal, mercredi, 5 janvier 2022 :
https://www.journaldemontreal.com/2022/01/05/annulation-des-representations-de-la-piece-lysis
3. Cette série est tirée d’un roman de Harlan Coben, 2019, Double piège (Fool me once en v.o.a. parut en 2016) , France : Pocket
4. Radio-Canada, La dépression post-partum liée au suicide de dizaines de mères, 30 aout 2017 :
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1053024/depression-postpartum-suicide-meres
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gourmandisestv-paris · 10 months
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MA QUICHE LORRAINE traditionnelle à l'ancienne Grand Mère Mitraille - Un... RECETTE - Ma véritable QUICHE LORRAINE : https://youtu.be/COEJkmAeezA?si=2d7PVivkfFxDrZR9 Voici la recette traditionnelle à l'ancienne de la Mère Mitraille, croustillante en utilisant de bons lardons achetés chez votre boucher de quartier !.. Avec une salade, c'est un régal rapide à faire pour un soir ou un déjeuner, été comme hiver, c'est un succès !.. La liste des ingrédients figure dans la vidéo. Bon régal !. Christophe.
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finaguide · 1 year
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L'Alsace (allemand : Alsace) est une région historique du nord-est de la France, située à la frontière avec l'Allemagne et la Suisse, entre le Rhin et le massif des Vosges
Région historiquement germanophone, elle présente un mélange intéressant de français et d'allemand qui se manifeste littéralement dans tout : langue, culture, cuisine et architecture.  L'Alsace, c'est des villes et des villages charmants, des maisons à colombages lumineuses, de style dit « alsacien », et de vieilles églises gothiques, des fermes traditionnelles et des vignobles qui poussent sur le versant oriental des montagnes vosgiennes.
 La dernière réforme administrative et territoriale a supprimé la province d'Alsace.  Ce territoire historique fait désormais partie de la région Grand Est, qui comprend également la Champagne, les Ardennes et la Lorraine.  L'Alsace est divisée en deux départements : le Bas-Rhin et le Haut-Rhin.  La capitale du Bas-Rhin est Strasbourg et celle du Haut-Rhin Colmar.
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L'Alsace est délimitée par le massif des Vosges à l'ouest et la vallée du Rhin à l'est.  Les contreforts du massif vosgien cèdent progressivement la place à une plaine aux nombreuses terres agricoles.
 Topographiquement, une grande partie de l'Alsace est constituée de collines entrecoupées de vignes, de champs et de forêts de hêtres et de chênes.  Le climat de cette région est tempéré.  Il se caractérise par des étés relativement chauds et des hivers frais.  Les précipitations annuelles varient de 500 à 700 mm.
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philoursmars · 2 years
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Bon mon but est d’essayer de présenter l’ENSEMBLE de mes 50.000 photos (ce n’est pas une exagération, hélas! 52845 à ce jour !!). Evidemment, pas toutes…
1989, un séjour pour le Nouvel An en Alsace : un cochet en Allemagne avant le retour par les Vosges du Nord
- les 5 premières : Fribourg-en-Brisgau (Freiburg-em-Breisgau)
- les 2  dernières : château de Falkenstein dans les grès rouges des Vosges du Nord
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Lorraine en hiver (1954) par Willy Ronis
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XXII-002- Silence Vosges “Pourquoi le blanc non-couleur ? C’est comme le silence en musique, c’est un temps musical aussi.” - Jean-Jacques Schuhl - ᵀᵘ ᴬⁱᵐᵉˢ ? ♡ ᴸⁱᵏᵉ ⁻ ❍ ᶜᵒᵐᵐᵉⁿᵗᵉ ⁻ ⌲ ᴾᵃʳᵗᵃᵍᵉ ヾ・・・・・・・・・・・・・・・・・・↟ Tirages d’Art ッ www.emmanuelhenry.com ヾ・・・・・・・・・・・・・・・・・・↟ #Art, #EmmanuelHenry, #PhotoOfTheDay, #PhotosMadeInVosges, #TeamNikon, #france, #france_focus_on, #grandest_focus_on, #grandestnotreregion, #hiver, #igersfrance, #igersvosges, #irix, #irix15mm, #irixlens, #jevoislavieenvosges, #landscape, #lorraine, #minimalisme, #montagne, #neige, #nikon, #nikonfr, #sapin, #vosges, #winterwonderland #eternelle_france — view on Instagram https://scontent-iad3-1.cdninstagram.com/v/t51.29350-15/271268866_3090836827854000_4250842160339402838_n.jpg?_nc_cat=104&ccb=1-5&_nc_sid=8ae9d6&_nc_ohc=O_RJE6xN3M8AX9AuvZD&_nc_ht=scontent-iad3-1.cdninstagram.com&edm=ANo9K5cEAAAA&oh=00_AT_xmzN9k33aqTCGlBAXbKq_aEVIjta6Pyszfzgz0hqVnQ&oe=61D5E175
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jeanne-art · 4 years
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Willy Ronis (Français, 1910-2009), Lorraine en hiver, 1954
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L´hiver
Aujourd'hui je vais vous parler de l´hiver, pendant toute mon existence j´ai tellement détesté la chaleur, je viens d´une petite ville au sud du Mexique, Merida, où la chaleur est vraiment insupportable, je vous jure, le soleil brule ta peu tellement que tu ne peux pas sortir sans mettre de la crème solaire, je suis si habitué d`aller à la plage que j´en ai marre.
Quand j´ai décidé de partir en France pour une année scolaire, la seul chose que j´ai demandé au centre d´échanges c´était  de m´emmener dans une ville froide, et voilà, ils ont choisi Nancy, en Lorraine pour mon séjour.
J´ai vraiment eu l´expérience de l´hiver français, avec la neige et les temperatures au point de congelation, j´ai meme fait un voyage pour faire du ski à Chatel, dans les Alpes. Faut mentioner que j`avais j`amais fait du ski dans ma vie, et je peux vous dire maintenant que j`ai trouvé une nouvelle passion dans ma vie. 
En ce moment, il fait 45 degrés à Merida, et je pense seulement à ces beaux jours où je me levais a 6h du matin, à Richardmenil, et j’allumais une clope avec la ville sous la neige en faisant -10 degrés.
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decophotolove · 5 years
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1954 Lorraine en hiver.
Bonne fin d’année à tous.
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theoppositeofadults · 6 years
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La série de photos prises par la presse au printemps 2013 aux obsèques d’Antoine Veil, le mari de Simone Veil, au cimetière du Montparnasse, intrigue : Simone Veil est là bien sûr - quatre années sépareront la mort de son mari et la sienne, le 30 juin 2017. Jacques et Bernadette Chirac aussi, assis sur des chaises installées au bord du caveau. Alors que les deux fils encore vivants du couple Veil se tiennent au deuxième rang, debout à côté d'Edouard Balladur, une main sur l’épaule de leur mère, Marceline Loridan-Ivens est assise entre l’ancien Président de la République et Simone Veil. Cinéaste, iconoclaste, hier figure d’une gauche échevelée sans étiquette ni officine, Marceline Loridan-Ivens n’est pas là comme un membre de la famille de Simone Veil mais plutôt comme son double. “Des jumelles contradictoires”, dit cette petite femme qui a eu 90 ans cette année et qui aime surligner d’un rire qu’elle est “née rousse, gauchère et juive”.
"Des filles de Birkenau"
Simone Veil et Marceline Loridan-Ivens se sont connues en déportation, au camp d’Auschwitz-Birkenau - “des filles de Birkenau”, diront-elles toutes leur vie pour dire ce quelque chose qui s’ancrera toujours un peu là-bas. Elles sont toutes deux nées en France : une famille de l’exode, parents polonais et lignée rabbinique pour Marceline qui comprendra l'allemand grâce à yiddish ; des parents originaires de Lorraine dont les biographies soulignent qu’ils sont “assimilés et non pratiquants”.
Les deux jeunes femmes ont quitté Drancy et la France le 13 avril 1944 dans le même convoi mais c’est seulement au petit matin qu’elles s’aperçoivent pour la première fois, à l’étape du tatouage. Premier geste sidérant que ce marquage d’un numéro flanqué d’un triangle, demie-étoile de David utilisé pour distinguer les Juifs d’entre les déportés. Simone s’appelle Jacob, elle passe avant Marceline Rosenberg. Elles viennent d’échapper une première fois à la mort, mais elles ne le savent pas encore : dans ces premiers instants de stupeur, débarquant au beau milieu de la nuit après des heures entassés à une centaine par wagon dans ce convoi 71, des voix glissaient aux nouveaux arrivants : “Dis que tu as 18 ans” ; “Donne ton enfant à un vieillard” ; “Dis que tu voyages seule”... Seules les plus valides et les majeurs rejoindront le camp à pied, ce sont eux qui construiront les routes vers les crématoriums, puis qui creuseront les fosses où l’on entassera les cadavres devenus trop nombreux pour les crématoriums lorsque les cadences s’emballeront à l’arrivée des Juifs de Hongrie. Les autres rejoindront immédiatement le crématorium par camion.
Aucun enfant n’en réchappera mais Marceline a menti, elle a caché ses 15 ans. Simone, sa mère et sa sœur parviennent quant à elles à rester toutes les trois : Simone, qui vient de passer le bac, a 18 ans et à 44 ans, sa mère “faisait jeune”, racontera Simone Veil. A Birkenau, Marceline Loridan-Ivens se souvient que les déportées les plus jeunes fonctionnent souvent par paire, “presque par couple”. Avec Simone Veil, elles partagent une audace et une force, aussi : dans les couchettes, ces “koya” de 1,80m par 1,90m où l’on s’entasse à cinq et où elles découvriront que l'étage du haut est encore préférable, elles n’hésitent pas un jour à se cacher sous des couvertures, enchâssées l’une à l’autre, tête bêche. Simone Veil racontera n’avoir jamais pleuré “là-bas”. “Moi-non plus !”, réplique Marceline Loridan-Ivens sur le ton de l’évidence, avant d’ajouter : “Mais enfin ça ne veut rien dire… juste que nous nous étions endurcies.”
Elles passeront plus d’une année en déportation, mais seulement un hiver. Beaucoup plus tard, Simone Veil, qui a attrapé le typhus, tout comme sa sœur et sa mère qui en mourra à quelques jours de la libération des camps, estimera qu’il aurait été impossible de résister à plus d’un hiver. Transférée à Bergen-Belsen, Simone Veil perd de vue Marceline Loridan-Ivens, qui transite une dernière fois par Theresienstadt dans un train fantôme acheminé par des nazis qui sauteront du train en marche, refluant à mesure que l’Armée rouge avance.
Theresienstadt se trouve dans les Sudètes, aujourd’hui la République tchèque, et la jeune femme qui vient d’avoir 16 ans met des semaines à regagner la France. Des prisonniers de guerre, des travailleurs du S.T.O. sont rapatriés en train, et puis aussi les déportés, Juifs ou Résistants. Dans “A voix nue”, Marceline Loridan-Ivens racontait en 2012 avoir eu du mal à convaincre les autorités françaises qui affrétaient les trains du retour de rapatrier aussi les déportées juives : les prisonniers de guerre avaient même dû faire grève pour qu’elle soit du voyage. Direction Paris, puis l’arrivée en bus, seule, au Lutétia, centre névralgique de la Gestapo réquisitionné à la Libération de Paris pour accueillir ceux qui revenaient d’Allemagne.
Alors que Simone - qui ne s’appelle pas encore Veil - est accueillie par un oncle et une tante à Paris, Marceline met du temps à retrouver sa mère, et comprend que son père, à qui elle consacrera bien plus tard un livre avec Judith Perrignon, n’en reviendra pas. Les deux jeunes femmes ne se verront pas à l'hôtel Lutétia, mais leurs témoignages disent la même impossibilité de raconter, et aussi le contact insupportable avec les matelas. Elles dormiront longtemps sur le sol, à leur retour de déportation, chacune de son côté. La première question que Marceline entend de la bouche de sa mère et de son petit frère, c’est : “As-tu été violée ?” - “Je leur ai dit ce que j’avais bien envie de leur dire”, confiera-t-elle sur France Culture 70 ans plus tard tandis que Simone Veil, elle, disait en 1988 : “Nous n’avons pas parlé parce qu’on n’a pas voulu nous écouter” - “on refait beaucoup l’histoire.”
L'autodidacte et la bonne élève
C’est dans cette solitude douloureuse que Marceline se fraie un chemin jusqu’à l’âge adulte. Aussi autodidacte que Simone, qui apprendra au retour des camps qu'elle a été reçue au bac en 1944, sera bonne élève : dès octobre 1945, elle s’inscrit en droit et à Sciences-Po à Paris même si elle vient de manquer la rentrée universitaire. L'année suivante, en 1946, elle épouse Antoine Veil, polytechnicien promis à une brillante carrière, alors que Marceline, qu’elle a perdue de vue, découvre “le Saint-Germain des enfants perdus de la guerre”. Il y a ce fils de pétainistes en rupture familiale, ces enfants de la Shoah livrés à eux-mêmes, ces jeunes rescapés dont l’Histoire vient de pulvériser les vies familiales, ou encore ce fils d’Allemands qu’elle croise, égaré dans Paris. Mais il y a aussi Sidney Bechett, qu’elle découvre en premier, ces livres qu’elle ingurgite en demandant conseil à la cantonade comme si il urgeait de rattraper son retard, et puis le Tabou, ce club de jazz où jouait Boris Vian :
Ce document enregistré au Tabou un soir où jouait Boris Vian date de 1947. La même année, les archives de la radio publique ont conservé la trace du passage de Simone Veil, toujours élève à Sciences-Po, à l’Assemblée nationale. Elle participait à une journée parlementaire sur la Shoah et racontait comment, dans les camps d’extermination, l’on distinguait les Juives par nationalité. Simone Veil avait 20 ans, c’était le 4 mars 1947 et elle avait écrit son intervention au perchoir - “Ce que j'ai pu observer en Allemagne au sujet de la race juive” :
Un an plus tard, en 1948, Simone Veil a déjà deux fils - un troisième enfant, encore un garçon, naîtra en 1954, dix ans après son départ pour les camps. A l’heure où Marceline qui a épousé un certain Francis Loridan préfère divorcer plutôt que suivre ce mari conservateur sur des chantiers à Madagascar où l’on traite les ouvriers en fonction de leur couleur de peau, Simone Veil, elle, renonce à une carrière d’avocate pour suivre son mari Antoine, inspecteur des finances nommé en Allemagne. Chez les Veil, l’Europe devient le combat politique premier, celui qui supplante les étiquettes partisanes. Simone Veil est pro-européenne avant d’être de droite et, à cette époque, la construction de l’Europe se joue plutôt au centre.
L'argent du FLN ou la pénitentiaire
De retour à Paris, Simone Veil retrouve Marceline Loridan dans la rue, par hasard. Nous sommes en 1956 et Simone vient de réussir le concours de la magistrature au moment où sa jumelle Marceline planque chez elle des valises pleines de billets destinées au FLN - “C’est chez moi qu’on comptait l’argent”, raconte-t-elle dans A voix nue, se souvenant être celle qui aura su convaincre Jean-Paul Sartre de joindre sa signature au “Manifeste des 121”, appel d’intellectuels, d’universitaires et d’artistes pour “le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie”, qui sera publié le 6 septembre 1960 dans le magazine Vérité-Liberté. Car Marceline Loridan gravite dans les cercles de la gauche anticolonialiste, après avoir claqué la porte du Parti communiste français où elle s’était trouvée à militer six mois. Elle fréquente le groupe Saint-Benoît qui réclame l’indépendance algérienne ou encore le groupe Arguments, dans le sillage d’Edgar Morin.
Quand Morin réalisera avec Jean Rouch Chronique d’un été, filmé entre 1959 et 1960, c’est à Marceline Loridan qu’il confie le premier rôle, et c’est elle qu’on voit à l’écran, demandant aux passants, en pleine guerre d’Algérie et quinze ans après la Shoah : “Et vous, vous êtes heureux ?” Cinquante ans plus tard, elle dira sur France Culture “Je ne me suis pas rendue compte sur le coup”, racontant que “les anciennes déportées” détestent souvent ce film.
A l’heure où Marceline promenait son nagra sur ce merveilleux film iconique des débuts du cinéma direct, Simone Veil était repérée par la Chancellerie et nommée à la direction de l’administration pénitentiaire. Le poste paraît “impensable” à son amie de Birkenau après ce qu’elles ont vécu ensemble, mais les deux femmes ne se heurtent pas. Elles resteront insépérables.
De leurs trajectoires apparemment aux antipodes, elles raconteront plutôt plus tard combien elles se sont en réalité façonnées ensemble. Pas si séparées que pourraient le laisser entendre les apparences. Simone Veil à la tête des prisons durant la guerre d’Algérie alors que Marceline s’active pour le FLN avant de rejoindre Jean-Pierre Sergent filmer Algérie année zéro sitôt signés les accords d’Evian en 1962 ? Certes, mais l’amie expliquera à la militante qu’elle a fait rapatrier en France toutes les femmes détenues dans les prisons d’Algérie pour les empêcher de se faire violer.
En collier de perles chez les gauchistes
Marceline Loridan écume la programmation de la Cinémathèque où elle ingurgite autant de films qu’elle le peut, appartenant à cette génération qui a “appris à faire du cinéma en regardant des films”. Elle se marre encore en racontant dans quelques interviews avoir traîné avec elle “Simone et son collier de perles” à la Cinémathèque, “autant pour la mettre mal à l’aise, elle, que pour emmerder les gauchistes”.
Simone Veil vit dans le confort d’un appartement place Vauban, où le couple Veil reçoit au petit dejeuner des hommes politiques de gauche et de droite avec vue sur le dôme des Invalides, tandis que Marceline Loridan suit celui qui sera le grand amour de sa vie, le réalisateur de documentaires Joris Ivens, jusqu’au dix-septième parallèle au Nord-Vietnam où elle rencontre Ho-Chi-Minh sous un tapis de bombes à billes.
Mais ensemble, elles fêtent chaque bonne nouvelle d’un coup de vodka et de harengs fumés, comme par exemple la nomination de Simone Veil au cabinet Pleven, le garde des Sceaux, puis au poste de Ministre de la Santé, qu’elle occupera durant cinq ans. Ou encore la publication par le Nouvel observateur dans son numéro du 5 avril 1971 du Manifeste des 343 salopes, que Marceline Loridan, qui n’a jamais voulu d’enfant mais n’est jamais tombée enceinte, a signée.
Trois ans plus tard, en novembre 1974, Marceline Loridan est devant sa télé lors des débats parlementaires interminables durant lesquels Simone Veil ferraillera vingt-cinq heures durant pour réussir à faire passer sa loi libéralisant l’IVG en France. Sous les insultes antisémites de son propre camp, et uniquement grâce aux voix de la gauche.
Un jour qu’elle était huée par des militants d’extrême droite durant sa première campagne électorale pour les élections européennes, Simone Veil leur répondra qu’ils ne sont rien que “des SS aux petits pieds”. C’était en 1979, l’année où l’émission “Les Dossiers de l’écran” proposera à Simone Veil de raconter ses souvenirs de la Shoah, dans une France qui ne veut toujours pas vraiment savoir. Six ans avant le film de Claude Lanzmann, Shoah, et alors que ceux qui auraient pu entendre n’avaient pas eu accès à beaucoup plus que Nuit et brouillard, pourtant pétri d’erreurs historiques, Simone Veil accepte.
Simone Veil et les antisémites
Son témoignage est un moment historique, c’est aussi une réponse à celui qui fut son Premier Ministre, Raymond Barre, et donc elle n’a cessé de se plaindre de l’antisémitisme auprès de Valery Giscard d’Estaing, menaçant plusieurs fois de démissionner. Car Raymond Barre évoquait par exemple “le lobby juif” en plein Conseil des ministres en 1978. Comme deux ans plus tard, il estimera bien malheureux l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic, premier attentat antisémite à Paris depuis la guerre... mais plutôt pour ses victimes collatérales : “Cet attentat voulait frapper des israélites qui se rendaient à la synagogue et il a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic”, en dira Barre. Deux jours plus tard, Simone Veil défilait dans la rue en protestation et elle ne taira plus sa colère contre Raymond Barre.
A l’époque, Marceline Loridan épouse encore la cause palestinienne, dont elle se distanciera les années passant, au point que son amie Simone Veil s’étonnera : “Marceline est devenue plus sioniste que moi !” Elle qui n’est pas pratiquante et aura jeûné pour Kippour pour la première de sa vie à Birkenau “par dignité” en renonçant à sa ration de pain est surtout effarée de la montée de l’antisémitisme. En 2007, au micro de Frédéric Mitterrand, Simone Veil dira sur France Culture :
"Nous ne sommes jamais sortis de la Shoah, nous vivons dans la Shoah"
Quelques mois plus tard, elle était élue à l’Accadémie française. Dans son discours, elle se racontera encore fille de la Shoah, dès le deuxième paragraphe, non sans avoir salué la féminisation de l’assemblée vénérable pour commencer :
À bien y réfléchir, cependant, depuis que vous m’avez invitée à vous rejoindre, moi que ne quitte pas la pensée de ma mère, jour après jour, deux tiers de siècle après sa disparition dans l’enfer de Bergen-Belsen, quelques jours avant la libération du camp, c’est bien celle de mon père, déporté lui aussi et qui a disparu dans les pays Baltes, qui m’accompagne. L’architecte de talent qu’il fut, Grand Prix de Rome, révérait la langue française, et je n’évoque pas sans émotion le souvenir de ces repas de famille où j’avais recours au dictionnaire pour départager nos divergences sur le sens et l’orthographe des mots. Bien entendu, c’est lui qui avait toujours raison. Plus encore que je ne le suis, il serait ébloui que sa fille vienne occuper ici le fauteuil de Racine.
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Le trésor de Tourmaline - Philippe Lacourt Tourmaline n’est pas comme les autres enfants. Tout le monde l’appelle la Fouineuse, parce-qu’elle passe son temps à farfouiller au pied des montagnes interdites. Mais pourquoi ne s’arrête-t-elle jamais de creuser ? Que cherche-t-elle ? … Auteur et illustrateur de Lorraine, Philippe Lacourt avait créé dans son premier album jeunesse publié aux éditions Les Presses Littéraires (Mytsia et les animaux) un hiver féérique au relief unique, tout en couleur et en collages. Recherchant toujours l'expression la plus personnelle pour créer l'émotion, il revient avec un livre aux belles textures minérales (Le trésor de Tourmaline) finement illustré à la Pierre Noire. Avec Tourmaline, la petite fouineuse, il nous emmène cette fois vers une mystérieuse découverte, une quête souterraine étincelante et la révélation d'un inestimable trésor...
ISBN : 979-10-310-1166-0
20 X 28, 84 pages, 14,00 € #jeunesse
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michaelkihl · 3 years
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MA QUICHE LORRAINE traditionnelle à l'ancienne Grand Mère Mitraille - Un... RECETTE : Voici la recette traditionnelle à l'ancienne de la Mère Mitraille, sa quiche Lorraine est croustillante en utilisant de bons lardons achetés chez votre boucher de quartier !.. Avec une salade, c'est un régal rapide à faire pour un soir ou un déjeuner, été comme hiver, c'est un succès !.. La liste des ingrédients figure dans la vidéo. Bon régal !. Christophe.
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