#Marie Denise Pelletier

[miss-starmania]

💫Stella Spotlight from Starmania III

Marie-Denise Pelletier - Stella 

📸Robert Mailloux, 6 Sept, 1986

[ascle]

En 1987 Marie-Denise Pelletier reprend la chanson de Daniel Balavoine et en fait un hit au Québec. Si bien qu’encore aujourd’hui peu de Québécois savent que c’est, à l’origine, une chanson française. Malgré les années MDP la chante encore avec une élégance et une technique à couper le souffle. Combiné au charme des Îles (de-la-Madeleine)…

[miaqc1]

Tous les cris, les S.O.S. · Marie Denise Pelletier

PAROLES:

Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S. Écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide Un désert

Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie

Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Étouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir Disparaissent

Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie

Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers

Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau Reste à faire

Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie

Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers

Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers

[leszackardises]

La vraie nature: Les invités du 2 avril 2023

(more…) “”

[starmaniamania]

Starmania 1986 medley of songs + Stone, with Marie Carmen as Marie-Jeanne, the Groulx brothers as Johnny and Zéro, and Marie-Denise Pelletier as Stella.

Interesting how different the arrangements were, it sounds -- well, very very 80s.

Is this another version which doesn't have a full video?

[unknown171204]

Starmania 1986

Pour la première fois , le spectacle n'est pas joué dans un théâtre ou une salle de concert dédiée , mais au Festival de Lanaudière au Canada ! Avant de finalement déménager en 1987 au théâtre Maisonneuve de Montréal

DISTRIBUTION :

Norman Groulx : Johnny Rockfort

Anne Bisson : Cristal

Marie Carmen : Marie-Jeanne &

Richard Groulx : Zéro Janvier

Marie Denise Pelletier : Stella Spotlight

Jean Leloup : Ziggy

Maude Grenier : Sadia

Marc Gabriel : Roger-Roger

Le spectacle n'a pas été très bien accueilli par le public , l'orchestration des chansons étrangement accélérer , une scène complètement vide de décors et des costumes pauvres / trop minimalistes . Cette version est considérer comme une des moins bonne de Starmania . Il n'existe pas de captation du spectacle mais il subsiste un album et les habituelles vidéos d'archives :

ANECDOTES :

Cette version reprend précisément la version de 1980 en rajoutant simplement la chanson " Un enfant de la pollution" .

...

C'est l'unique version ou Roger Roger se révèle être l'extraterrestre !

...

Si Richard et Normand Groulx portent le même nom de famille c'est parce qu'ils sont frères ! Ils ont d'ailleurs monté un groupe à leurs noms :

( Cela rend la relation entre Johnny et Zero drôlement ambigu )

...

Un enregistrement de bien meilleur qualités :

**

Pour plus de Starmania

ou pour découvrir d'autres comédie musical française :)

Lien Masterlist : https://www.tumblr.com/unknown171204/748996810302980096/masterlist?source=share

[atouchofsass]

according to marie-denise pelletier (no relation) bruno pelletier almost got his neck snapped one night during starmania when his hair got caught in a pulley 😱

[transparentgentlemenmarker]

Au début des années 80, trois stars québécoises réunies Marjo, Ginette Reno et Nanette Workman. À elles trois, elles allaient populariser nombre d’incontournables de la musique pop et rock du Québec. Évidemment il y a d'autres à vous de compléter la liste Isabelle Boulay

Ariane Moffatt

Chloé Sainte-Marie

Céline Dion

Diane Tell

Diane Dufresne

Marie-Mai

Lynda Lemay

Luce Dufault

Laurence Jalbert

Marilou

Martine St-Clair

Marie Denise Pelletier

France D’Amour

Marie-Chantal Toupin

Térez Montcalm

[whatodoo-canada]

Marie Denise Pelletier - Sous ma peau de femme - Montreal, Canada | 20 Nov, 2024.

Find out more / Buy Verified Tickets.

[skillstopallmedia]

Review of the play Castles of the Sky | king of hearts

From Ludwig II, we remember the madness of grandeur and the magnificent castles in Bavaria. For posterity, he remained this capricious child who refuses the responsibilities of the adult world. In sky castlesa play by Marie-Claude Verdier, playing at Théâtre Denise-Pelletier, we discover the hidden face of a king of hearts. Posted at 9:00 a.m. “Life is in the interstices,” says King Ludwig…

[miss-starmania]

Starmania III “Quebec version”

Left to right

Bottom row : Norman Groulx (Johnny Rockfort), Isabelle Begin (Cristal), Pierre Landry (étoile noir), Lina Boudreau (étoile noir).

Middle row: Richard Groulx (Zero Janvier), Marie-Denise Pelletier (Stella Spotlight), Luc Plamondon (lyricist), Marie Carmen (Marie-Jeanne), Claude Girard (metteur en scene), Maude Grenier (Sadia), Robin Vaillant (étoile noir).

Last row: Jean Leloup (Ziggy), Louise Paradis (étoile noir), Marc Gabriel (Roger Roger), Carole Normand (étoile noir), Bruno Verdoni (étoile noir).

📸: Bernard Brault, 21/07/1986 Source: Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)

[mamusiq]

Les Moulins De Mon Coeur · Demis Roussos

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Mireille Mathieu-Michel Legrand

Les fabuleuses annéees 60/70 !!!

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Les moulins de mon cœur · Marie Denise Pelletier · M. Legrand · A.bergman · M. Bergman · Adaptation Française : Eddy Marnay · Daniel Hébert · Daniel Hébert · Mario (toyo) Chagnon · Mario (toyo) Chagnon

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[popentertainment-moviereviews]

STEPHEN KING 5-MOVIE COLLECTION (2020)

THE STAND (1994)

Starring Gary Sinise, Molly Ringwald, Jamey Sheridan, Rob Lowe, Adam Storke, Laura San Giacomo, Miguel Ferrer, Ruby Dee, Bill Fagerbakke, Corin Nemec, Ray Walston, Matt Frewer, Ossie Davis, Shawnee Smith, Peter Van Norden, Bridgit Ryan, Rick Aviles, Max Wright, Kareem Abdul-Jabbar, Mike Lookinland, Kathy Bates, Ed Harris, John Landis, Sam Raimi and Stephen King.

Teleplay by Stephen King.

Directed by Mick Garris.

Distributed by CBS Television Distribution. 366 minutes. Not Rated.

PET SEMATARY (1989)

Starring Dale Midkiff, Fred Gwynne, Denise Crosby, Brad Greenquist, Michael Lombard, Miko Hughes, Blaze Berdahl, Susan Blommaert, Mara Clark, Kavi Raz, Mary Louise Wilson, Andrew Hubatsek, Lisa Stathoplos, Chuck Courtney, Peter Stader and Stephen King.

Screenplay by Stephen King.

Directed by Mary Lambert.

Distributed by Paramount Pictures. 103 minutes. Rated R.

PET SEMATARY (2019)

Starring Jason Clarke, Amy Seimetz, John Lithgow, Jeté Laurence, Hugo Lavoie, Lucas Lavoie, Obssa Ahmed, Alyssa Levine, Maria Herrera, Frank Schorpion, Linda E. Smith, Sonia Maria Chirila, Naomi Jean, Suzi Stingl, Kelly Lee, Nina Lauren, Alison O'Donnell, Raphaël Laporte, Simon Pelletier-Gilbert and Leo, Tonic, Jager and JD the cats.

Screenplay by Jeff Buhler.

Directed by Kevin Kölsch and Dennis Widmyer.

Distributed by Paramount Pictures. 101 minutes. Rated R.

THE DEAD ZONE (1983)

Starring Christopher Walken, Brooke Adams, Tom Skerritt, Herbert Lom, Anthony Zerbe, Colleen Dewhurst, Martin Sheen, Nicholas Campbell, Sean Sullivan, Jackie Burroughs, Géza Kovács, Roberta Weiss, Simon Craig, Peter Dvorsky, Julie-Ann Heathwood, Barry Flatman, Ken Pogue, Gordon Jocelyn, Bill Copeland, Jack Messinger, Chapelle Jaffe and Cindy Hines.

Screenplay by Jeffrey Boam.

Directed by David Cronenberg.

Distributed by Paramount Pictures. 103 minutes. Rated R.

SILVER BULLET (1985)

Starring Gary Busey, Everett McGill, Corey Haim, Megan Follows, Robin Groves, Leon Russom, Terry O'Quinn, Bill Smitrovich, Joe Wright, Kent Broadhurst, Heather Simmons, James A. Baffico       , Rebecca Fleming, Lawrence Tierney, William Newman, Sam Stoneburner, Lonnie Moore, Rick Pasotto, Cassidy Eckert, Wendy Walker, Michael Lague and Myra Mailloux.

Screenplay by Stephen King.

Directed by Daniel Attias.

Distributed by Paramount Pictures. 95 minutes. Rated R.

Not only is Stephen King insanely prolific as a novelist – he has currently written over 60 published novels, as well as many novellas, short stories, non-fiction books, serial novels, screenplays, teleplays, theatrical plays, musicals, articles, etc., in a career of under 50 years – he may be the writer who has inspired the most film and television adaptations. There are well over 80 movies based on his work, and that isn’t even counting the TV and stage adaptations.

With this kind of sheer bulk of product, of course the quality of his films is going to be wildly inconsistent. While King’s writings have inspired some classic films (like Stand by Me, It and The Shining), it has also been the source of some insanely awful films (Maximum Overdrive, The Children of the Corn or Dreamcatcher, anyone?)

Therefore, this new collection of five films (well actually four films and one miniseries) based on three King novels and one novella (one of the novels is represented by two different film versions) could land anywhere over the map of quality. Pleasantly, this grouping has more good than bad to offer.

The Stand: This is the motherlode in this collection, however it should be pointed out that despite the title of this collection, The Stand is not a movie. It is a four-part, over-six-hour long 1994 television mini-series based on King’s longest novel (and that is saying something for a man whose shorter novels often flirt with 1,000 pages!).

That leads to certain positives, and certain negatives. On the plus side, this film can luxuriate in its complicated plot and a deep understanding of its multiple characters. On the negative, because this was made for network TV – thirty years ago when these things were policed even more – some of the shocks and scares are tamer than they may have been in a movie. Not that The Stand isn’t scary as hell, but at least some of those scares are implied more than shown.

Preparing for the upcoming CBS All Access reboot of this story (again as a miniseries), it is a great time to revisit this landmark miniseries. In certain ways, The Stand is all too topical in the current pandemic, however King himself has come out to comfort people, explaining his mythical disease “Captain Trips” is much, much more virulent and deadly than COVID-19. (Which is not to say that COVID should not be taken very seriously…)

Because The Stand is – quite simply – about the end of the world as we know it. And, honestly, it may be the best post-apocalyptic story ever. (In full disclosure, in general I’m not a big fan of dystopian movies.) The Stand takes a look as a near-future US where a ravenous disease has killed more than 99% of the human race. Now, in a new world full of rotting corpses, without electricity and plumbing, the few survivors start having mystical dreams. Some dream of an elderly African American woman who is by a cornfield. Others dream of “The Dark Man,” an evil force.

The dreams lead the people to two destinations. The good people end up in Boulder, Colorado, the evil in Las Vegas. This sets up the ultimate war between light and dark and a pitched battle for surviving humanity’s soul.

Pet Sematary (1989): Called out by the author himself as the most disturbing story he ever wrote – to the point where he is not sure he should have ever released the novel – Pet Sematary has some significantly scary ideas. While I don’t quite agree with King’s assessment of the book – both on the fact that it was the most disturbing book he has written and the fact that maybe he would have been better off letting the manuscript rot in a drawer – it was an undeniably spooky book. And it has led to two movies – made 30 years apart from each other – which frame the story in different ways, but both times touch on something primal for humans.

The 1989 film directed by Mary Lambert is somewhat more faithful to the source material – no big shock since King wrote the screenplay – and has become something of a fright classic over the years, even though it was a box-office disappointment on its original release.

The story is as simple as it is shocking. A young couple with two small children buys a new house in a secluded area of Maine. It turns out that it is right nearby a local pet cemetery which was built right next to a sacred Indian burial place. The locals know that there is a legend that if your pet were to die, if you bring it to the pet cemetery and bury it on the sacred ground, the pet will come back to life. Of course, it is against the course of nature, and when the pet returns it is normally angry and violent.

However, the film asks, if this questionable possibility of returning a beloved pet to life is so hard to resist that people would ignore their beloved pet’s complete change in attitude, what would happen if the sacred burial ground were used on a human being?

Pet Sematary (2019): By far the newest title in this collection, the 2019 reboot of Pet Sematary is both faithful to the source material and experiments with it. There is one massive and very basic change to the storyline. However, the new film does not mess with the atmosphere of the story. The alteration even makes a certain amount of sense as far as straight narrative goes. It actually leads into an ending that is – if possible – even more disturbing than the original film’s closing shot.

I do have to say this, though, the new movie version of Pet Sematary is spooky as hell. I mean it, it’s one of the most chilling horror films I’ve seen in a long time. And while it takes some different paths than the original film, in many ways the newer version is even better than the first one.

Not to mention that John Lithgow, in the flashiest role of an older local who knows where all the bodies are buried – literally – does the near impossible by making his character every bit as intriguing as the late great Fred Gwynne did in the original.

The Dead Zone: This eerily prophetic film – tangentially about an amoral populist politician gaining popularity in a political race even though he doesn’t have the aptitude nor the empathy to govern properly (sound familiar???) – is one of the mostly overlooked jewels in the King’s crown, both as a novel and as a film adaptation. It was the first mainstream film by indie darling David Cronenberg (hot off the heels of his cult favorites Scanners and Videodrome). It offers a rare leading role to Christopher Walken. The evil politician is played by the wonderfully unhinged Martin Sheen (years before he soothed our country in The West Wing). And the evil politician finally went too far for even his staunchest supporters, which is kind of comforting in this political era.

Of course, the politician and his story are only a small part of this movie – in fact, he does not appear until well into the second half of the film. This is really the story of Walken’s Johnny Smith (the generic name is completely intended), a high school teacher who has a car crash and is in a coma for five years. When he awakens, he has lost his job, he has lost his fiancée and he has gotten an unwelcome psychic power: when he touches the hand of another person, he sometimes sees their future.

It is an intriguing and slightly tragic storyline, in which right and wrong get debated, thrown in a mixer and come out with no clear answers. The ending is one of King’s best, both tragic and strangely hopeful.

Silver Bullet: This 1985 werewolf thriller is the weak link in the collection. It is not Children of the Corn-level horrible, but it’s certainly not very good either. Unlike the other films collected here, Silver Bullet was not based on an actual King novel. It was based on a limited-release novella – and at 129 pages, including illustrations, a rather short one by King standards – called “Cycle of the Werewolf.” Now being based on a novella is certainly not necessarily a bad thing in King films, three of his best, most timeless movies were based on novellas – Stand By Me (which was based on a novella called “The Body”), The Mist and The Shawshank Redemption (based on the novella “Rita Hayworth and the Shawshank Redemption”).

However, “Cycle of the Werewolf” was not on those story’s level of craft, and the movie based upon it also falls well short.

Jay S. Jacobs

Copyright ©2020 PopEntertainment.com. All rights reserved. Posted: September 15, 2020.

[auxbellesillustrationsfr]

Renée Claude en noir et blanc

Renée Claude et Pauline Julien sont deux idoles qui ont marqué notre jeunesse, je parle des baby-boomers il va sans dire. Ces deux chanteuses, différentes par leurs styles, symbolisaient le nouveau Québec en devenir. Les gars de ma génération, nous étions tous en pâmoison devant l’une et l’autre. André Ducharme ne dit-il pas, en préface, qu’il a « voulu l’épouser [Renée Claude] aux premières notes entendues à la télévision, au début des années 1960 » ?  

Le journaliste Mario Girard nous dévoile, dans cette biographie consacrée à Renée Claude, un pan de notre histoire culturelle récente. Car raconter cette grande interprète de la chanson, c’est évoquer les noms de Clémence Desrochers à Luc Plamondon, en passant par Mouffe, Michel Tremblay, Michel Robidoux, Stéphane Venne et plusieurs autres qui ont marqué notre patrimoine culturel.  

En février 2019, on apprenait que Renée Claude souffrait de la terrible maladie d’Alzheimer. Aussitôt a germé, dans la tête de quelques artistes, dont le producteur Nicolas Lemieux et l’animatrice radio Monique Giroux, l’idée d’un spectacle-hommage à cette grande dame de la chanson. Ce spectacle aura lieu à la Maison symphonique, avec la participation, entre autres, de Clémence Desrochers, Marie Denise Pelletier, Ariane Moffatt, Isabelle Boulay, Luce Dufault, Marie-Élaine Thibert, Kathleen Fortin.  

Renée Claude (de son vrai nom de famille Bélanger), née dans le quartier ouvrier du Plateau-Mont-Royal en 1939, un peu avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, est l’aînée d’une famille de six enfants. Sa mère, Cécile, plutôt extravertie, a toujours rêvé de devenir une artiste de la scène et sa fille Renée réalisera ce vœu à sa place. Sa mère l’inscrit, très jeune, à des cours de piano. Elle tient mordicus à ce que ses enfants aient une bonne éducation. Tous suivront des cours de diction et d’art dramatique au Conservatoire Lassalle, où Cécile a étudié vingt-cinq ans auparavant. Renée fréquentera cet établissement jusqu’à l’âge adulte.  

À seize ans, Renée rêve de devenir artiste. Elle a assisté, à sept reprises, au spectacle que Gilbert Bécaud donne au Théâtre Saint-Denis, au printemps 1955. Aussi participe-t-elle à différents concours d’amateurs. À deux reprises, elle remporte la palme. Sa mère « se laisse alors convaincre que sa fille a peut-être du talent », raconte son frère Michel. Elle commencera ainsi à chanter dans des cabarets, en matinée, toujours accompagnée de son père.  

Renée Claude est ambitieuse et elle n’abandonne jamais en cours de route un projet qui lui tient à cœur. Elle sait qu’elle ne peut que compter que sur ses propres moyens. Elle a décidé de devenir chanteuse et elle va donc se constituer un répertoire de chansons à la mesure de ses goûts : Ferré, Brassens, Béart, Aznavour…   

Raison de vivre  

Sa carrière professionnelle débutera après sa première audition à la télé de Radio-Canada. Dans la jeune vingtaine, elle chantera à quelques reprises à l’émission Chez Clémence, puis elle deviendra une habituée des studios de télévision et multipliera les entrevues dans des magazines culturels. Le public en redemande et son répertoire s’ouvre à d’autres créateurs. « La chanson populaire ne l’intéresse pas », nous dit son biographe. Pour Monique Giroux, elle fait partie de la « Sainte Trinité » des interprètes de l’époque, aux côtés de Pauline Julien et Monique Leyrac. Pour Michel Tremblay, ces trois artistes « avaient une intelligence du texte ». Pour François Dompierre, « ce sont elles qui ont le plus véhiculé la chanson québécoise à cette époque ».  

Si on la voit presque toujours vêtue de cette petite robe noire, c’est, explique la chanteuse, « pour forcer les gens à écouter mes chansons ». Elle a fait sienne la phrase de Cocteau : « L’élégance cesse si on la remarque. » Au début des années 1960, elle est sur la scène de toutes les boîtes à chansons, aux côtés des Leclerc, Vigneault, Clémence, Gauthier, Lévesque, Ferland, Brousseau, Lelièvre, Létourneau et autres Tex Lecor.  

Percer le mystère de cette fabuleuse interprète n’est pas chose facile. Mario Girard y réussit merveilleusement. On découvre une Renée Claude timide, fébrile, doutant toujours d’elle-même, mais décidée, parce que la chanson était sa raison de vivre.   

Un magnifique voyage dans le temps et un hommage nécessaire à cette interprète qui nous a tant chantés et enchantés.

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[lady-tyrel]

I am an actress / short film / 8 min from blachfilms on Vimeo.

A young actress is willing to do whatever it takes to get a part in the film of a famous director.

Grand Prize - Best Comedy Short - Rhode Island International Film Festival Best Cinematography - Fantasia International Film Festival

Stars / Sophie Faucher and Jade-Mariuka Robitaille Writers / Benoit Lach and Vincent Lafortune

Director / Benoit Lach Cinematographer / Olivier Gossot Art Director / William Boucher Costumes / Marie-Claude Guay Hair, Make-up / Léonie Lévesque Robert Son / Laurent Ouellette Casting / Denise Charest Mix - Martin Boisselle Editing / Benoit Lach Art Departement / Stephanie Pelletier Grenier, Etienne Paquette Camera and Electrical Departement / Maxime Boutin, Jean-Philippe Therrien, Maxime Forget. Location Management / Philppe Gravel Production assistant / Joelle Raymond, François Bouchard, Alex Da Cunha.

Producers / Vincent Lafortune and Benoit Lach Production / Blachfilms