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#Menahem Begin
jloisse · 8 months
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« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982.
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mounadiloun · 1 year
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Le sionisme et l'apartheid
Le sionisme et l’apartheid
Comme moi, vous avez lu ou entendu les réactions suite au retour de Benjamin Netanyahou aux manettes du gang sioniste flanqué de complices au racisme décomplexé. Et vous avez eu l’impression que ce qui se tramait dans l’entité sioniste, c’était un changement radical. L’ambassadrice sioniste Yael German en compagnie de Ted Deutchn président de l’American Jewish Committee Les responsables…
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pedroam-bang · 1 year
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Call Of Duty: Black Ops Cold War (2020)
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albad · 28 days
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QUAND EINSTEIN ET ARENDT DÉNONÇAIENT LE «FASCISME» EN ISRAËL
- Histoire -
Dès 1948, certains fondateurs d'Israël étaient déjà dénoncés, non seulement comme étant des criminels de guerre, mais aussi comme des fascistes. Un mot lourd de sens, à la sortie immédiate de la Seconde Guerre mondiale, de la part d'une génération qui connait dans sa chair le sens de la barbarie, au lendemain de la Shoah. L'usage de ce terme est encore plus fort puisqu'il est utilisé par de grands intellectuels juifs, qui savent parfaitement de quoi ils parlent, notamment Albert Einstein, plus grand physicien du siècle, et Hannah Arendt, spécialiste du totalitarisme.
En effet, dans une tribune publiée dans le New York Times à la fin de l'année 1948, de grandes figures scientifiques et intellectuelles protestent contre la venue de Menahem Begin aux USA. Cette année là, l'État israélien vient de naître dans le sang des palestiniens et Begin, sioniste de droite qui sera plus tard Premier Ministre d'Israël, vient affirmer son existence politique dans la première puissance occidentale.
Begin n'est pas n'importe qui : il est non seulement l'un des fondateurs d'Israël, mais il est à l'origine du Likoud, le parti actuellement au pouvoir, celui de Netanyahou. En 1948, tout semble déjà dénoncé clairement dans cette tribune : les idées d'extrême droite, les méthodes «fascistes», le «mysticisme religieux» et le «suprémacisme racial» de ce courant fondateur, qui s'est imposé à la tête d'Israël par la suite. 76 ans après, cette description semble plus vraie que jamais.
Pourtant, aujourd'hui en France, utiliser les mots signés par Einstein et Arendt pourrait conduire à des poursuites pour «apologie du terrorisme».
Cette tribune étonnante est à lire et à faire lire, car elle rappelle que dès sa fondation, Israël ne représentait pas «les» juifs et que cet État, dans la forme coloniale et suprémaciste qu'il prenait, était même contesté radicalement par de nombreuses personnalités juives :
«La visite de Menahem Begin et les objectifs de son mouvement politique
Aux rédacteurs du New York Times
L'un des phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque est l'émergence, dans l'État nouvellement créé d'Israël, du «Parti de la liberté» (Tnuat Haherut), un parti politique dont l'organisation, les méthodes, la philosophie politique et l'appel social sont très proches de ceux des partis nazi et fasciste. Il a été créé par les membres et les partisans de l'ancien Irgoun Zvai Leumi, une organisation terroriste d'extrême droite et nationaliste en Palestine.
La visite actuelle de Menahem Begin, leader de ce parti, aux États-Unis, vise manifestement à donner l'impression d'un soutien américain à son parti lors des prochaines élections israéliennes et à consolider ses liens politiques avec les éléments sionistes conservateurs aux États-Unis. Plusieurs Américains de renommée nationale ont prêté leur nom pour saluer sa visite. Il est inconcevable que ceux qui s'opposent au fascisme dans le monde entier, s'ils sont correctement informés du bilan politique et des perspectives de M. Begin, puissent se porter caution par leur nom et leur soutien pour le mouvement qu'il représente.
Avant que des dommages irréparables ne soient causés par des contributions financières, des manifestations publiques en faveur de Begin et la création en Palestine de l'impression qu'une grande partie de l'Amérique soutient les éléments fascistes en Israël, le public américain doit être informé des antécédents et des objectifs de M. Begin et de son mouvement.
Les déclarations publiques du parti de Begin ne permettent pas de se faire une idée de son caractère réel. Aujourd'hui, ils parlent de liberté, de démocratie et d'anti-impérialisme, alors qu'il y a peu, ils prêchaient ouvertement la doctrine de l’État fasciste. C'est dans ses actions que ce parti terroriste trahit sa véritable nature ; ses actions passées nous permettent de juger de ce que l'on peut attendre de lui à l'avenir.
Attaque d'un village arabe
Un exemple choquant est leur comportement dans le village arabe de Deir Yassine. Ce village, à l'écart des routes principales et entouré de terres juives, n'avait pris aucune part à la guerre et avait même repoussé les groupes arabes qui voulaient l'utiliser comme base. Le 9 avril, des bandes terroristes ont attaqué ce village paisible, qui n'était pas un objectif militaire dans les combats, ont tué la plupart de ses habitants (240 hommes, femmes et enfants) et en ont gardé quelques-uns en vie pour les faire défiler comme captifs dans les rues de Jérusalem. La majeure partie de la communauté juive a été horrifiée par cet acte et l'Agence juive a envoyé un télégramme d'excuses au roi Abdallah de Transjordanie.
Mais les terroristes, loin d'avoir honte de leur acte, étaient fiers de ce massacre, en firent une large publicité et invitèrent tous les correspondants étrangers présents dans le pays à voir les cadavres entassés et la destruction qui régnait à Deir Yassine.
L'incident de Deir Yassine illustre le caractère et les actions du Parti de la Liberté.
Au sein de la communauté juive, il a prêché un mélange d'ultranationalisme, de mysticisme religieux et de suprémacisme racial. Comme d'autres partis fascistes, il a été utilisé pour briser des grèves et a lui-même fait pression pour la destruction des syndicats libres. À la place, ils ont proposé des syndicats d'entreprise sur le modèle du fascisme italien.
Au cours des dernières années de violences antibritanniques sporadiques, l'Irgoun et le groupe Stern ont inauguré un règne de terreur au sein de la communauté juive de Palestine. Des enseignants ont été roués de coups pour s'être exprimés contre eux, des adultes ont été abattus pour ne pas avoir permis à leurs enfants de les rejoindre. Par des méthodes de gangsters, des passages à tabac, des bris de vitrines et des vols à grande échelle, les terroristes ont intimidé la population et exigé un lourd tribut.
Les membres du Parti de la liberté n'ont pris aucune part aux réalisations constructives en Palestine. Ils ne se sont emparés d'aucune terre, n'ont construit aucune colonie et n'ont fait qu'entraver l'activité de défense juive. Leurs efforts en matière d'immigration, qui ont fait l'objet d'une grande publicité, ont été infimes et ont été consacrés principalement à l'importation de leurs compatriotes fascistes.
Contradictions
Les contradictions entre les affirmations audacieuses de Begin et de son parti et leur bilan en Palestine révèlent clairement qu'il ne s'agit pas d'un parti politique ordinaire. C'est la marque indubitable d'un parti fasciste pour lequel le terrorisme (contre les Juifs, les Arabes et les Britanniques) et les fausses déclarations sont des moyens, et l'érection d'un «État dominant» est la fin.
À la lumière des considérations qui précèdent, il est impératif que la vérité sur M. Begin et son mouvement soit connue dans ce pays. La situation est d'autant plus tragique que les principaux dirigeants du sionisme américain ont refusé de faire campagne contre les efforts de Begin, ou même d'exposer à leurs propres électeurs les dangers que représente pour Israël le soutien à Begin.
Les soussignés prennent donc ce moyen pour présenter publiquement quelques faits saillants concernant Begin et son parti, et pour exhorter toutes les personnes concernées à ne pas soutenir ce dernier avatar du fascisme.
New York, 2 décembre 1948
ISIDORE ABRAMOWITZ, HANNAH ARENDT, ABRAHAM BRICK, RABBIN JESSURUN CARDOZO, ALBERT EINSTEIN, HERMAN EISEN, M.D., HAYIM FINEMAN, M. GALLEN, M.D., H.H. HARRIS, ZELIG S. HARRIS, SIDNEY HOOK, FRED KARUSH, BRURIA KAUFMAN, IRMA L. LINDHEIM, NACHMAN MAISEL, SEYMOUR MELMAN, MYER D. MENDELSON, M.D., HARRY M. OSLINSKY, SAMUEL PITLICK, FRITZ ROHRLICH, LOUIS P. ROCKER, RUTH SAGIS, ITZHAK SANKOWSKY, I.J. SHOENBERG, SAMUEL SHUMAN, M. SINGER, IRMA WOLFE, STEFAN WOLFE.»
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Source de la traduction : https://blogs.mediapart.fr/alain-marshal/blog/081223/quand-albert-einstein-et-hannah-arendt-denoncaient-le-fascisme-naissant-en-israel
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lepartidelamort · 2 months
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Yahvé, le dieu terroriste
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« It’s time for Jews to be feared ! » « Il est temps pour les juifs d’être craints », a déclaré le Rabbi Shmuley récemment. Les juifs n’ayant pas réussi à venir à bout de l’antisémitisme en essayant de se faire aimer ou admirer, doivent maintenant se faire craindre. C’est le nouveau mot d’ordre.
Le problème est que, si les juifs veulent être craints, alors ils doivent aussi accepter d’être détestés. La « crainte des juifs » peut se traduire, littéralement, par « judéophobie » (du grec phobos, crainte, peur). Pour se faire craindre, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le montrer. Bref, si les juifs veulent se faire craindre pour lutter contre l’antisémitisme, alors l’antisémitisme a de beaux jours devant lui.
Tout cela n’est pas très logique. Mais c’est très biblique. À ma connaissance, la Bible hébraïque ne recommande pas aux juifs de se faire aimer des non-juifs. Non, au contraire, elle leur apprend à se faire craindre. Le dieu d’Israël dit à son peuple, en Deutéronome 2:25 :
« À partir d’aujourd’hui, je répandrai la terreur et la crainte de toi parmi les peuples qui sont sous tous les cieux : quiconque entendra le bruit de ton approche sera saisi de trouble et frémira d’angoisse. »
Si Yahvé veut répandre la terreur parmi les non-juifs, n’est-il pas un dieu terroriste ? N’est-il pas le dieu des terroristes ? Les terroristes ont toujours été à l’honneur en Israël. En 1974, dans une interview télévisée, le futur Premier ministre Menahem Begin s’est vanté d’être le père fondateur du terrorisme mondial. Dans ses mémoires, il se félicite du massacre de Deir Yassin le 9 avril 1948, parce qu’ainsi, dit-il, plus d’un demi-million d’Arabes furent « pris de panique et s’enfuirent aux cris de “Deir Yassin” ». Qu’on ne me dise pas que Begin n’était pas un fidèle serviteur de son dieu.
Netanyahou est aussi un bon yahviste. En 2015, devant le Congrès américain, il demandait à l’Amérique de bombarder l’Iran au nom de la Bible hébraïque. Il citait le livre d’Esther, qui justement est important pour comprendre comment les juifs veulent se faire craindre. Je résume l’histoire. Le roi perse Assuérus a émis un décret de solution finale au sujet des juifs de son royaume, parce que « le peuple juif se trouve sur tous les points en conflit avec l’humanité entière, qu’il commet les pires méfaits jusqu’à menacer la stabilité de notre royaume ». Mais grâce aux charmes d’Esther, juive secrète qui s’est glissée dans le lit d’Assuérus, les juifs vont retourner la situation et obtenir du roi que le conseiller qui lui a inspiré ce décret soit pendu avec ces dix fils, et qu’un nouveau décret royal soit promulgué, qui donne aux juifs « permission d’exterminer, égorger et détruire, avec leurs femmes et leurs enfants, tous ceux qui voudraient les attaquer, et aussi de piller leurs biens » (8,11). C’est ainsi que les juifs massacrèrent soixante-quinze mille personnes. Dans tout le pays, conclut le livre d’Esther, « ce ne fut pour les Juifs, qu’allégresse, liesse, banquets et fêtes. Parmi la population du pays bien des gens se firent Juifs, car la crainte des Juifs s’appesantit sur eux » (8,17).
Cette histoire est totalement fictive, mais elle est très importante pour les juifs, car chaque année, à Pourim, ils célèbrent la pendaison d’Haman avec ses douze fils, et le massacre de 75 000 personnes, femmes et enfants compris.
Selon la conclusion de cette histoire, la crainte des juifs produit de nouveaux juifs, des gentils qui se font juifs par peur des juifs. C’est bien ce que dit le texte : « beaucoup de gens se firent Juifs parce que la peur des Juifs leur tomba dessus » (ou « les saisit », selon une autre traduction). Comme je l’ai dit, la crainte des juifs a plus de chance de produire des antisémites que des juifs nouveaux. Néanmoins, on trouverait facilement des exemples de gens qui se font juifs par peur des juifs : tout homme politique non-juif qui s’est un jour mis une kippa sur la tête et a juré une fidélité éternelle à Israël, s’est fait juif par peur des juifs.
Il y a dans le livre de Josué une autre histoire qui va dans le même sens. Au début du chapitre 2, Josué, qui reçoit ses ordres directement de Yahvé dans le Tabernacle, envoie deux espions dans la cité de Jéricho. Ayant été repérés, ils se cachent chez une prostituée du nom de Rahab. Celle-ci les aide à s’échapper en échange de la vie sauve pour elle et sa famille quand Israël attaquera la ville, parce que, dit-elle, « Je sais que Yahvé vous a donné ce pays, que vous faites notre terreur, et que tous les habitants du pays ont été pris de panique à votre approche ». Par conséquent, « Yahvé, votre dieu, est Dieu. »
Les éditeurs dominicains de la Bible de Jérusalem ont inclus en bas de cette histoire la note suivante : « Cette profession de foi au Dieu d’Israël a fait de Rahab, aux yeux de plus d’un Père de l’Église, une figure de l’Église venue de la Gentilité, sauvée par sa foi. » Que la putain de Jéricho soit un symbole de l’Église parce que, sous l’effet de la terreur d’Israël, elle se met à croire que le dieu d’Israël est Dieu et aide Israël à commettre le génocide de Jéricho (« hommes et femmes, jeunes et vieux, jusqu’aux taureaux, aux moutons et aux ânes », Josué 6:21), voilà une idée qui laisse perplexe.
Mais ce n’est pas, au fond, une mauvaise métaphore pour la complicité du monde chrétien dans le génocide israélien des Gazaouis. La peur d’Israël est, chez les chrétiens d’aujourd’hui, plus forte que la pitié pour les Gazaouis. Ils préfèrent cent fois s’en prendre à la Russie qu’à Israël. Car la Russie semble plutôt raisonnable, tandis qu’on ne sait pas de quoi Israël est capable.
Israël est le seul pays qui menace ouvertement de faire péter la planète. Ils appellent ça l’Option Samson. L’Option Samson, c’est la combinaison de la capacité nucléaire d’Israël et de sa réputation d’État paranoïaque, sociopathique et imprévisible. Tous les États savent qu’Israël possède une centaine de têtes nucléaires (80 selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm). Et tous les États savent qu’Israël est, comme prévenait déjà Moshe Dayan en 1967, « un chien fou, trop dangereux pour être importuné ». Semer la désolation nucléaire sur les ennemis d’Israël est très biblique :
« Et voici la plaie dont Yahvé frappera tous les peuples qui auront combattu contre Jérusalem : il fera pourrir leur chair alors qu’ils se tiendront debout, leurs yeux pourriront dans leurs orbites, et leur langue pourrira dans leur bouche. » (Zacharie 14,12)
Martin van Creveld, professeur d’histoire militaire à l’université de Jérusalem, expliquait au journal britannique The Guardian en 2003 que les révoltes palestiniennes ne trouveront qu’une seule solution : le « transfert » de tous les Palestiniens hors de Palestine. Sur le risque d’une opposition de la communauté internationale à un tel projet, il ajoutait : « Nous possédons plusieurs centaines de têtes et missiles nucléaires et nous pouvons les lancer dans toutes les directions. […] Nous avons la capacité d’entraîner le monde dans notre chute. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu’Israël ne tombe. » Voilà résumé l’essence de l’Option Samson.
L’audace et l’impunité d’Israël aujourd’hui sont incompréhensibles si l’on ne prend pas en compte l’Option Samson. Mais l’Option Samson, comme le pouvoir juif en général, est tabou : tout le monde doit la connaître, mais personne n’a le droit d’en parler. Ce silence est le test ultime de la peur d’Israël. Dans un récent post, Seymour Hersh écrit : « Personne à Washington n’est autorisé à parler de l’arsenal nucléaire israélien. Ou comment cela affecte la région. Ou si cela sert les intérêts américains, alors même que le Moyen-Orient est au bord d’une guerre régionale. »
Hersh ne le dit pas, mais tout le monde l’a compris : c’est grâce à l’assassinat de Kennedy qu’Israël a pu se doter de l’Option Samson. Jefferson Morley, un investigateur sur l’assassinat de Kennedy, fait remarquer, en commentaire du post de Hersh, qu’il existe aussi un « bâillon israélien » (the Israeli gag) dans la recherche sur Kennedy.
« Vous pouvez constater les effets de la règle du bâillon israélien dans le témoignage longtemps classifié de James Angleton, chef du contre-espionnage de la CIA, devant les enquêteurs du Sénat en juin 1975. Les expurgations rendent visible ce que les gouvernements américain et israélien cherchent à dissimuler en 2024 : comment Israël a obtenu des armes nucléaires sous la surveillance d’Angleton. »
Dans l’extrait ci-dessous du rapport déclassifié d’une audition devant le Sénat en juin 1975, Angleton confirme qu’il tenait the Israeli account, le compte israélien (on disait aussi the Israeli desk, le bureau israélien), mais le mot Israeli est censuré.
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Comme chacun sait, Angleton est le suspect numéro un à l’intérieur de la CIA pour l’assassinat de Kennedy. Or, dans sa biographie d’Angleton, Morley a démontré son étroite collusion avec le Mossad, incluant sa complicité dans la contrebande de matériaux et de technologie nucléaires vers Israël. Ce qui veut dire que la piste de la CIA rejoint directement la piste du Mossad (ce que Morley évite de dire, en tant que membre éminent de l’école respectable : « C’est la CIA ! »).
Je dois dire que suis très déçu par le neveu du président Kennedy, Robert Kennedy Junior, qui semble n’avoir aucune idée du lourd soupçon qui pèse sur Israël dans les assassinats de son oncle et de son père, ou bien fait semblant de ne pas le savoir, ou bien ne veut pas le savoir.
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Et puisque j’ai commencé cet article en parlant de Rabbi Shmuley, je dois préciser que Rabbi Shmuley est un des amis et conseillers de Robert Kennedy Junior. Lors d’un meeting le 25 juillet 2023, il a présenté Robert Kennedy en mentionnant son père : « Le 5 juin 1968, à 00 h 15,… Robert Kennedy Sr., l’un des plus grands Américains qui ont jamais vécu, a été abattu par un terroriste palestinien, Sirhan Sirhan, et assassiné en raison de son soutien à Israël. Il a été abattu parce qu’il voulait partager le sort du peuple juif. » Bobby Jr. a écouté sans broncher, sans le moindre signe de désapprobation, alors qu’il sait très bien que son père n’a pas été tué par Sirhan, et certainement pas pour son soutien à Israël. Robert Kennedy Junior est resté figé et muet dans son fauteuil, même quand une dame courageuse dans l’assistance à traité Shmuley de menteur.
C’est un moment tristement révélateur. En humiliant publiquement Robert Kennedy Junior, Shmuley fait un exemple. Pour se faire craindre, les juifs doivent montrer leur pouvoir en faisant des exemples.
C’est ce qu’il font à Gaza, à une autre échelle. Cela explique, selon Andrew Anglin, qu’ils laissent sortir tant d’images du martyre de Gaza : c’est une crucifixion, une agonie offerte en spectacle aux yeux de tous, pour l’exemple.
Israël veut régner par la terreur. C’est dans la nature d’Israël parce que c’est dans la nature du dieu d’Israël. Le dieu d’Israël est le dieu terroriste, et le monde entier est aujourd’hui saisi de terreur. Yahvé règne !
Laurent Guyénot
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lil-gingerbread-queen · 4 months
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So, Israel had a first minister (Menahem Begin) who had been a zionist terrorist and had killed many people (they targeted mostly civils, Arabs and British. He also have killed jewish people in his terrorist attacks.) and they gave that man a Peace Nobel Price. But random Palestinians teenagers are "terrorists" and deserve to die.
And his terrorist group, which was also the terrorist group of David Ben Gourion, the guy that created Israel, was integrated to the Israeli army. But Palestinians must all die because Hamas is their gouvernment.
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De 1947 à 2023, un conflit complexe. 1947 : après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de juifs européens dont de nombreux survivants de la Shoah émigrent vers la Palestine alors sous mandat britannique. À bord du navire Exodus 1947, ils sont interceptés par des navires de la marine britannique et renvoyés en Europe. Cet incident suscite l'indignation internationale et joue un rôle essentiel pour convaincre le Royaume-Uni qu'une solution négociée par les Nations unies est nécessaire pour résoudre la crise en Palestine. Le Comité spécial des Nations unies approuve un plan de partage, le 29 novembre, qui accorde 56,47 % de la Palestine à un État juif et 43,53 % à un État arabe. La ville de Jérusalem est, quant à elle, placée sous statut international.
1948-1949 : David Ben Gourion, président du Conseil national juif, lit publiquement la Proclamation d'indépendance d’Israël, le 14 mai. L’État juif prend alors le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, selon l’ONU. Cette déclaration précède d'un jour l'expiration du mandat britannique sur la Palestine. Pour les Palestiniens, cette date marque la Nakba (catastrophe) un exode forcé qui annonce leur déplacement et leur dépossession. Plusieurs centaines de milliers de Palestiniens ayant entendu parler de massacres dans des villages, tels que Deir Yassin, fuient vers l'Égypte, le Liban et le territoire jordanien. Les armées de l'Égypte, de la Syrie, du Liban, de la Jordanie (ex-Transjordanie) et de l'Irak attaquent Israël, le 14 mai, déclenchant la première guerre israélo-arabe. Les armées arabes sont repoussées durant les derniers mois de l'année. Un groupe de réfugiés arabes chassés de leur maison par des attaques en Galilée marche le long d'une route reliant Jérusalem au Liban, le 9 novembre 1948.
1949 : un cessez-le-feu est déclaré entre les parties prenantes au conflit durant la première partie de l'année. La Jordanie prend le contrôle de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, l'Égypte contrôle la bande de Gaza. Les lignes de cessez-le-feu deviennent, quant à elles, les frontières d'Israël plus favorables que celles du partage de l'ONU.
1956 : la deuxième guerre israélo-arabe a lieu après la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte. Israël, le Royaume-Uni et la France forment une alliance, et l’État juif occupe la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï. L'armée israélienne, sous la pression des États-Unis et de l'URSS, retirera plus tard ses troupes.
1959 : l’organisation palestinienne Fatah est créée dans la clandestinité à Gaza et au Koweït par Yasser Arafat et ses partisans. Elle va devenir par la suite la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).
1964 : la Ligue des États arabes crée l'Organisation de libération de la Palestine à Jérusalem. L’OLP regroupe toutes les organisations palestiniennes de l’intérieur et des camps de réfugiés à l’extérieur.
1967 : la troisième guerre israélo-arabe, ou guerre des Six-Jours, est déclenchée par Israël. Entre le 5 et le 10 juin, l’État juif obtient une victoire éclatante sur les pays arabes voisins. Ce bref conflit entraîne aussi un redécoupage spectaculaire de la carte du Moyen-Orient : Israël s'empare de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, de la bande de Gaza, de la péninsule du Sinaï et du plateau du Golan.
1973 : l’Égypte et la Syrie lancent, le 6 octobre, une offensive contre Israël pour reconquérir le Sinaï et le Golan. C’est le début de la quatrième guerre israélo-arabe, ou guerre du Kippour – car lancée lors de la fête juive du Yom Kippour. Israël repousse finalement les armées et le conflit se termine à la fin du mois, mais les deux parties subissent de lourdes pertes.
1978 : les accords de Camp David sont signés, le 17 septembre, par le président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin. Selon les termes de cet accord, l’Égypte regagne la péninsule du Sinaï qu’elle avait perdue lors de la guerre des Six-Jours. Anouar el-Sadate devient le premier leader arabe à reconnaître l’État d’Israël.
1979 : un accord de paix israélo-égyptien est scellé à Washington à la suite des accords de Camp David.
1982 : le ministre israélien de la Défense, Ariel Sharon, lance l’armée dans une opération militaire controversée au Liban, baptisée "Paix en Galilée". L’objectif affiché est de chasser les troupes de l’OLP du sud du Liban. Mais l’armée israélienne poursuit son offensive jusqu’à la capitale libanaise, Beyrouth. La déroute de l’OLP de Yasser Arafat laisse les camps de réfugiés palestiniens au Liban pratiquement sans défense. Du 16 au 18 septembre, des milices libanaises phalangistes chrétiennes se livrent à des massacres dans les camps de Sabra et Chatila, situés dans une zone sous contrôle israélien. Ces massacres, qui ont fait l'objet d'une enquête israélienne connue sous le nom de "Commission Kahane", vont conduire à la démission d’Ariel Sharon.
1987 : la première intifada (“soulèvement” en arabe) débute dans la bande de Gaza et s’étend rapidement à la Cisjordanie. Surnommée la “guerre des pierres”, cette révolte contre l’occupation israélienne dure jusqu’en 1993 et coûte la vie à au moins 1 000 Palestiniens. C’est aussi durant ce soulèvement que naît le mouvement islamiste Hamas, qui refuse la moindre légitimité à Israël.
1993 : après d’intenses négociations secrètes à Oslo, Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Itzhak Rabin signent à Washington les accords d’Oslo. Ces accords prévoient la création de l'Autorité palestinienne, qui obtient le contrôle administratif de la Cisjordanie et de la bande de Gaza et à la tête de laquelle Yasser Arafat sera élu en 1996. Le 13 septembre, Itzhak Rabin et Yasser Arafat échangent sur la pelouse de la Maison Blanche
une poignée de main historique en présence du président américain Bill Clinton.
1995 : Itzhak Rabin est assassiné le 4 novembre par un extrémiste juif lors d’un grand rassemblement pour la paix à Tel-Aviv. 
2000 : le chef du parti de droite israélien Likoud, Ariel Sharon, se rend sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, le 28 septembre. Cette visite est considérée comme une provocation par les Palestiniens. La seconde intifada, également appelée “Intifada al-Aqsa”, débute le lendemain. Elle va durer jusqu’en 2005, faisant pendant cinq ans 3 000 morts côté palestinien et 1 000 côté israélien.
2001 : Ariel Sharon est élu Premier ministre d’Israël et rompt tout contact avec Yasser Arafat. Ce dernier est confiné dans son quartier général de Ramallah par l’armée israélienne.
2002 : le gouvernement d’Ariel Sharon déclenche l’opération “Rempart”, le 29 mars. Israël commence la construction d'un mur de 8 mètres pour séparer Israël de la Cisjordanie. C’est aussi cette année-là que le Conseil de sécurité de l’ONU mentionne pour la première fois, dans plusieurs résolutions, la coexistence de deux États – Israël et la Palestine. Enfin, l’armée israélienne lève le siège de Ramallah.
2004 : le cheikh Ahmed Yassine, cofondateur et chef spirituel du Hamas, est tué par une frappe d'hélicoptère israélienne, le 22 mars. Huit mois plus tard, le 11 novembre, Yasser Arafat décède des suites d'une maladie dans un hôpital parisien. La mort du président de l’Autorité palestinienne est, depuis, sujette à controverse : certains experts font état d’une mort naturelle et d’autres envisagent la possibilité d’un empoisonnement au polonium 210.
2005 : Mahmoud Abbas est élu président de l’Autorité palestinienne. Après 38 années d’occupation, Israël se retire de la bande de Gaza.
2006 : le Premier ministre israélien Ariel Sharon est victime d’une attaque cérébrale, le 4 janvier – il tombe et reste dans le coma pendant huit ans avant de décéder le 11 janvier 2014. Ehud Olmert lui succède au poste de chef du gouvernement, ainsi qu’à la tête du nouveau parti Kadima qu’il avait fondé en novembre 2005. Le 12 juillet, une guerre de 34 jours démarre entre le Hezbollah libanais et Israël, à la suite d’attaques à la roquette du groupe islamiste chiite, ainsi que de l’enlèvement et de la mort de plusieurs soldats israéliens. Israël déclenche en retour une offensive, provoquant la mort d’au moins 1 000 Libanais (et plus de 100 morts côté israélien). L’État hébreu fait aussi face à sa pire défaite militaire depuis sa création, en 1948.
2007 : après des mois de luttes intestines entre le Fatah et le Hamas, ce dernier prend le contrôle de Gaza. La violence dans la région se poursuit. Aux attaques palestiniennes à la roquette, Israël répond par des raids. Le 29 mars, la Ligue arabe relance son "initiative" de paix au sommet de Riyad, en Arabie saoudite.
2008 : l’armée israélienne lance une offensive militaire sur Gaza pendant trois semaines, le 27 décembre. Nommée opération “Plomb durci”, c’est une offensive aérienne puis terrestre. C’est aussi à ce jour l'attaque israélienne la plus meurtrière jamais menée contre le territoire côtier palestinien : près de 1 400 Palestiniens – principalement des civils – sont tués, contre 13 côté israélien. Un rapport de l’ONU accuse alors Israël de “crime de guerre”.
2011 : Israël déploie le Dôme de fer, le 27 mars. Ce système de défense antimissile permet aux forces israéliennes d'intercepter les roquettes de courte portée régulièrement tirées par le Hamas depuis Gaza.
2012 : l’armée israélienne lance une deuxième opération militaire contre les groupes armés à Gaza, le 14 novembre. Le commandant en chef du Hamas, Ahmed al-Jaabari, est tué durant cette opération “Pilier de défense” qui dure huit jours. L’organisation islamiste riposte aux frappes israéliennes en tirant des roquettes sur Jérusalem pour la première fois. Plus de 170 Palestiniens et six Israéliens sont tués.
2014 : trois adolescents israéliens sont enlevés et assassinés au mois de juin. Les autorités israéliennes rejettent alors la responsabilité sur le Hamas. Ce climat d'extrême tension conduit l’armée israélienne à déclencher, le 8 juillet, une nouvelle opération militaire (“Bordure protectrice”) sur Gaza la troisième en moins de six ans. Israël mène des frappes aériennes et une opération terrestre sur sept semaines, le Hamas réplique avec des tirs de roquette. Cette opération fait près de 2 200 victimes côté palestinien et 73 côté israélien.
2018 : des dizaines de milliers de Palestiniens se rassemblent près de la frontière israélienne, le 30 mars, pour protester contre le blocus israélien de la bande de Gaza. Les manifestations se poursuivent pendant plusieurs mois, au cours desquels les troupes israéliennes tirent à balles réelles sur les manifestants. Au moins 189 Palestiniens ont été tués et plus de 6 000 blessés au cours de ces manifestations entre la fin mars et la fin décembre 2018, selon la Commission d’enquête internationale indépendante mandatée par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
2021 : en mai, des fidèles palestiniens affrontent la police israélienne dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem après des semaines de tension croissante. Le Hamas lance un déluge de roquettes sur Israël après avoir exigé que les forces israéliennes se retirent de l'enceinte. Israël répond par des frappes aériennes sur Gaza, déclenchant un conflit de 11 jours et causant la mort de plus de 200 personnes. 
2022 : Israël bombarde Gaza de frappes aériennes, le 5 août, tuant un militant de haut rang d'un groupe du Jihad islamique et déclenchant des tirs de roquettes en représailles depuis l'enclave palestinienne. Au moins 40 Palestiniens sont tués au cours des trois jours de combat qui suivent.
2023 : les forces israéliennes tuent neuf Palestiniens du Jihad islamique et des civils lors d'un raid dans une ville de Cisjordanie occupée, le 26 janvier. Les militants palestiniens ripostent en tirant deux roquettes, ce qui déclenche des représailles de la part d'Israël. Aucune autre victime n'est signalée. 
2024 : le 7 octobre, le Hamas lance une attaque surprise sans précédent sur plusieurs fronts contre Israël, des combattants infiltrant la frontière lourdement fortifiée en plusieurs endroits par voie aérienne, terrestre et maritime. Les forces israéliennes répondent par des frappes aériennes et des renforts militaires à la frontière de Gaza.
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alain-keler · 5 months
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Journal du vendredi 5 janvier 2024.
Après les accords de paix entre Menahem Begin et Anouar El Sadat en 1982, l'intégralité du Sinaï occupé par Israël depuis la guerre des 6 jours en 1967 fut rendu aux égyptiens le samedi 25 avril 1982. Des villes comme Rafah furent coupées en deux. Sur la photo d'aujourd'hui on voit des enfants palestiniens s'amuser sur une borne marquant la frontière, quelques jours avant le 25 avril.  Des colons israéliens quittèrent Yamit et d'autres colonies du Sinaï pour s'installer à Gaza, jusqu'à leur évacuation en août 2005, racontée dans ce journal.
 Lundi dernier des propos provocateurs de deux ministres du gouvernement dirigé par Benjamin Netanyahou appelant au départ des palestiniens de Gaza rajoutaient à la confusion de la situation actuelle.  
 "Itamar Ben Gvir, ministre de la sécurité nationale et chef du parti d’extrême droite procolons Force juive, avait appelé lundi à un retour de colons juifs à Gaza, après la guerre en cours, et à « encourager »la population palestinienne à émigrer, au lendemain d’un appel similaire de Bezalel Smotrich. Le ministre des finances et chef du parti Sionisme religieux, qui fait partie de la coalition gouvernementale au pouvoir, a, lui, préconisé dimanche un retour de colons juifs dans la bande de Gaza après la guerre, estimant que la population palestinienne de ce territoire devrait être « encouragée » à émigrer vers d’autres pays".*
 J'espère que tout ceci n'ira pas plus loin. Ce serait une grande catastrophe, d'abord pour les palestiniens qui souffrent déjà énormément de cette guerre qui n'épargne pas les civils, mais aussi pour les israéliens, et tous les juifs du monde déjà en proie à une montée de l'antisémitisme que rien ne semble pouvoir arrêter, boucs émissaires d'une situation qu'ils ne contrôlent pas. 
Réveille-toi Yitzhak Rabin, ils sont devenus fous !
* Le Monde: https://www.lemonde.fr/international/article/2024/01/03/guerre-israel-hamas-l-union-europeenne-condamne-les-propos-de-ministres-israeliens-ayant-appele-les-palestiniens-a-quitter-gaza_6208917_3210.html
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nighttime-radio · 2 years
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I call to make my presence known and ask one simple question...
When will I be allowed to eat the God of Death?
Will it be hours? Days? Months? Years? Decades? I crave the knowledge of knowing its taste, I want to take a bite out of it to satiate my curiousity.... Before I am torn to shreds, of course. The God of Death spares no one. But maybe it will let me live out of pity and amusement long enough to finally answer the question that I've been longing for. Afterall, no one has accomplished such a task so far, and I wish to make a name for myself in death, if I cannot make a name for myself in life...
ah yes…YOU
i recognize you…
For the last time, you are NOT allowed to eat Menahem. All this time you keep asking, but the answer will remain the same. Just because Menahem is kind and patient enough to spare you so far does not mean everyone else is. I hear Rashida has already sent her verdict, and that your punishment begins with the plague you now carry… how is that going by the way? With every word causing you pain? Clearly it hasn’t stopped you from making the call anyways, but I can certainly hear your suffering through the receiver… im sorry you had to hear that dear listener… that was merely a call from an… old friend… but never mind that, goodnight.
and thanks for tuning in…
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jloisse · 7 months
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"Notre race est la race maîtresse.
Nous sommes les dieux
divins sur cette planète. Nous sommes aussi différents des
races inférieures
qu'elles le sont des insectes"
-MENACHEM BEGIN (1977-1983),
6E PREMIER MINISTRE D'ISRAËL
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ninjakitten1699 · 2 years
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Who is Menahem?
To answer this one, I'd have to tell you a story.
Long story short, a healer who was devastated at not being able to help escape a plague and he turned to a darker force to try to stop it.
The idea of this might change later on, but I’ll just let it sit for a while.
Theme Song would be “Let It Die” by STARSET
The man was a healer throughout all the realms. Realm travel wasn’t too uncommon for a time in the past. The realm crystal was safe and sound, able to make doorways open and close.
This healer was able to travel across all realms and learn of so much. He picked up techniques foreign and familiar and made some of his own. He was a small healer compared to the greatest of sorcerers and he didn’t use magic as often as one would think.
One day, a strange plague infected his hometown. No one knows how it began or where it came from but it spread to enough people to the point of needing burials.
This healer was working as hard as he could, trying to find any cure to it, if not anything to stave it off. By the time he was close to giving up, the people outside of his hometown heard of it and grew afraid. Afraid enough to make sure to keep the town isolated and no one would come near in fear of being infected.
The healer left the town, out of hope and almost out of time, and he fell into some ruins. These ruins were ancient and it seemed to predate most of civilization which seemed almost impossible to think when the FSM was still around.
By pure accident he came across something. Some say it’s ancient, forgotten magic, others say it’s something threatening. No one knows what it is. This healer found it and he reached for it. Suddenly he got knowledge of all those who had died within this power. He saw the good and bad of it and with his intentions still set on keeping his own village alive he took it.
At the time, he did help others heal but unknown to him, this thing was infectious. It fed on the living body and still continued to do so. By the time he noticed, people had began losing themselves and only becoming subservient to him. This thing fed on him and he was only able to hold himself together for so long through his writing.
Anyone who found his writing would notice that in the beginning it was neat, clean strokes and the words were understandable but then as it kept going it became nothing but scratchy scrawls and some pages had small splotches of ink and blood.
This healer lost himself to this power by then. The more he decayed the less he looked of his old self. This power was sentient and it lived through him, spreading its influence to any living thing until those things became undead like him. It had gotten so bad that the ancient Oni guardians had noticed the dead going back and they took it upon themselves to rightfully put them back in the ground and into their respective realms.
We know how this fight goes. The Oni and their allies won. It wouldn’t be until centuries later when the Cursed Realm opened that this necromancer would awaken. Morro actually flew out when Clouse first opened it and he went to find Wu to warn him of the undead rising again.
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watcheradampierson · 5 months
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𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐄𝐓𝐇𝐎𝐒 𝐂𝐇𝐑𝐎𝐍𝐈𝐂𝐋𝐄.
Methos, the legendary oldest immortal, is a complex individual. He possesses a unique combination of experiential and scholarly wisdom, having met many philosophers and thinkers, and having lived for at least more than five millennia. Yet he is not in the least omniscient - at one point Joe Dawson must explain the concept of baseball to him - and despite his native wit and cunning, he tells a disappointed Dawson "I'm just a guy." He possesses a cynical and sharp sense of humor and does not hesitate to make others aware of their mistakes, occasionally in a humiliating way. While he is loyal to his friends and allies, he is not particularly heroic, and though he seems to want to be a good person, he is primarily, and overwhelmingly, most interested in his own survival.
Name: Methos
Common Alias: Adam Pierson (identity not discovered by time of writing this file.)
Other Names:
Dr. Benjamin Adams
Death
Remus
Alexander the Great
Caratarix
Haribu
Et-Maru
Metopholus
Nathan
Djet
Born: 6000 BCE ( understood by the Watchers to be born around 3500 BCE )
Current Birthday & Birthplace: January 15th, 1962, in Cardiff, Wales
Age: Around 8,000 years of age
First Death: A sandstorm upon his 28th year of life. Teachers:
Djer
Menahem
Sun Tzu
Dilijan
Pupils:
Khyan
Byron
Duncan MacLeod
Known Watchers: Adam Pierson, from 1980 - present
Status: Alive Known Occupations:
Watcher researcher
Doctor
Warrior
Slave (in Egypt)
Adviser
Student / Scholar
Egyptian Pharaoh
Nomad
Titles:
Horseman / Death / The Pale Rider / The Grim Reaper ↳ seen as an inspiration for the myths involving some gods: Hades, Dionysus, & Dis Pater/Pluto
Methos rode during the Bronze Age as Death, the Pale Rider, and his exploits eventually led to the creation of the myth of the Four Horsemen. He further inspired myths attributed to some gods of various regions.
The Great ↳ from his time as Alexander the Great
Another notable aspect of Methos's life is when he fabricated the identity of Alexander the Great & killed him off in a dramatic fashion.
Fighting Style: During the Bronze Age, Methos used a short sword, but his current personal weapon is a double-edged, one-handed broadsword, suiting his lean build, he fought more with speed than power. The choice of the broad sword is a presumed preference due to long experience with the standard broad sword, having lived through ages where it was more common to wield a shield with a one-handed weapon. He has used other weapons when the situation has called for it without a decline in his fighting ability, which indicates that he has learned many different fighting techniques over the course of his very long life. Note: His Chronicle describes his blade as "a single handed broadsword from the 13th century with lenticular cross-section and a fuller on each side."
He also shows great adaptability, able to use techniques he's seen only once to their full extent with little, if any practice. He has also been known to fight dirty, using a dagger alongside his sword or even electrocuting his opponent. While using a main gauche blade would not be unheard of, being part of many blade fighting styles in the world, Methos tends to produce a dagger in a surprise move, rather than begin with it in his hand. One of Methos' most interesting abilities as a swordsman, however, is his habit of downplaying his skill level, making him appear younger and less experienced, and his arsenal of escape techniques, is fitting considering his survivalist attitude.
The Game: Some time during his life, likely because he realized his legend made him a prime target and out of natural caution, he removed himself from the Game. In the early 1980s he was playing at being a student studying ancient languages at St. Aidan's College, Durham University, when he was actually recruited by the Watchers as a researcher. He hid within the Watchers under the alias Adam Pierson, where he was eventually put in charge of locating himself, and was granted the chair in Methos scholarship, When Duncan MacLeod met him some ten years later, in 1995, Methos had not taken a head for 200 years. Among those he was known to have taken:
1- Unknown, c.+3000 BC 2- Joseph, c.2400 BC 3- Dorn, Between 3000 BC and 1200 BC 4- Kristin Gilles, 1995  5- Silas, 1997 - Double Quickening occurred 6- Morgan Walker, 1998  7- Khyan, 1999  He is estimated to have taken over 153 heads in all of his 8,000 years of life.
Been Around Since Antiquity (And Earlier!)
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Before Methos took his first head, his memories are a blur, no one could be expected to remember more than 5,000 years of history, and he is unsure of his original homeland, people, or language. Some time after his first death, a Bedouin tribe found him and took him in, teaching him the ways of survival in the desert. He stayed with them for many years until it became evident that he wasn't aging. The Bedouins began to suspect that he was a demon or a god and forced Methos to fight one of their best warriors to the death, Methos lost. When he revived, he was banished by the Bedouins, who tied his hands and forced him to walk into the desert without any food, water, or weapons. He eventually stumbled upon a pile of bones and used them to cut his bindings.
36th century BC Uruk, Mesopotamia - The Sumerians invented cuneiform writing. “Been keeping it [a jounal] almost since writing began.”
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In truth, Methos has been many things in his long life. He's been a slave, a pharaoh, a scholar, & even a doctor to help the sick. He's been around for a long time. Many Watchers wonder... where is he? Will they ever find a photograph of him?
To be updated as his Chronicle grows.
-A. Pierson
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rév¡S!On & damNat!ON
Plomb durci : «On ne tue pas intentionnellement des civils» (ce qui est la plupart du temps vrai). Mais si des civils sont tués, tant pis, «c’est la faute du Hamas qui prend ses civils en otages». Sous Menahem Begin, détruire l’OLP pour qu’il n’y ait plus de revendications indépendantistes dans les Territoires occupés. Subtilité tactique absente.
L’opération Plomb Durci (décembre 2008 – janvier 2009) L’opération Plomb Durci menée par Tsahal dans la bande de Gaza résulte aussi de cette politique. Le discours officiel israélien consiste à dire que tout a été fait pour respecter le droit international et que les civils ont été prévenus par téléphone ou par tracts. Mais en même temps, si l’idée est d’entrer dans la bande de Gaza et d’y…
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yes-bernie-stuff · 7 months
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Cette réflextion est rrés intéressante.
Ce qui suit est une copie d'un article écrit par l'écrivain espagnol Sebastián Rodríguez Vilar et publiée dans un journal espagnol . Il ne faut pas beaucoup d'imagination pour extrapoler le message au reste de l'Europe - et éventuellement, au reste du monde. Ce n'est guère de la propagande, les faits parlent d'eux-mêmes. A méditer ....
Par Sébastien Vilar Rodrigez
Je marchais dans la rue à Barcelone, et soudain je découvrais une terrible vérité - L'Europe est morte à Auschwitz... Nous avons tué six millions de Juifs et nous les avons remplacés par 20 millions de musulmans.
À Auschwitz, nous avons brûlé une culture, la pensée, la créativité, le talent. Nous avons détruit le peuple élu, véritablement choisi, car ils ont produit des gens formidables et merveilleux qui ont changé le monde.
La contribution de ce peuple se fait sentir dans tous les domaines de la vie : science, art, commerce international, et surtout, comme la conscience du monde. Ce sont les gens que nous avons brûlés.
Sous prétexte de tolérance et parce que nous voulions prouver à nous-mêmes que nous avons été guéris de la maladie du racisme, nous avons ouvert nos portes à 20 millions de musulmans qui nous ont apporté la stupidité et l'ignorance, l'extrémisme religieux et le manque de tolérance, la criminalité et la pauvreté, due à un manque de volonté de travailler et de soutenir leurs familles avec fierté.
Ils ont fait sauter nos trains et ont transformé nos belles villes espagnoles dans le tiers monde, noyé tout dans la crasse et la criminalité.
Enfermés dans les appartements qu'ils reçoivent gratuitement du gouvernement, ils planifient d'assassiner et de détruire leurs hôtes naïfs.
Ainsi, dans notre misère, nous avons échangé la culture pour de la haine fanatique; le savoir-faire créatif pour des compétences destructrices; l'intelligence pour le retour en arrière et la superstition.
Quelle terrible erreur a été faite par la misérable Europe.. .
La population mondiale comprend 1,2 milliards d'islamiques ou 20% de la population mondiale
Ils ont reçu les Prix Nobel suivants :
Littérature :
1988 - Najib Mahfouz
Paix :
1978 - Mohamed Anwar El-Sadat
1990 - Elias James Corey
1994 - Yasser Arafat:
1999 - Ahmed Zewai
Économie :
(Zéro)
Physique :
(Zéro)
Médecine :
1960 - Peter Medawar Brian
1998 - Ferid Mourad
TOTAL : 7 (sept)
La population juive mondiale est approximativement de 14.000.000, soit environ 0,02% de la population mondiale.
Ils ont reçu les Prix Nobel suivant :
Littérature :
1910 - Paul Heyse
1927 - Henri Bergson
1958 - Boris Pasternak
1966 - Shmuel Yosef Agnon
1966 - Nelly Sachs
1976 - Saul Bellow
1978 - Isaac Bashevis Singer
1981 - Elias Canetti
1987 - Joseph Brodsky
1991 - Nadine Gordimer mondiale
Paix :
1911 - Alfred Fried
1911 - Tobias Michael Carel Asser
1968 - René Cassin
1973 - Henry Kissinger
1978 - Menahem Begin
1986 - Elie Wiesel
1994 - Shimon Pérès
1994 - Yitzhak Rabin
Physique :
1905 - Adolph von Baeyer
1906 - Henri Moissan
1907 - Albert Abraham Michelson
1908 - Gabriel Lippmann
1910 - Otto Wallach
1915 - Richard Willstaetter
1918 - Fritz Haber
1921 - Albert Einstein
1922 - Niels Bohr
1925 - James Franck
1925 - Gustav Hertz
1943 - Gustav Stern
1943 - George Charles de Hevesy
1944 - Isidor Rabi Issac
1952 - Felix Bloch
1954 - Max Born
1958 - Igor Tamm
1959 - Emilio Segre
1960 - Donald A. Glaser
1961 - Robert Hofstadter
1961 - Melvin Calvin
1962 - Lev Davidovich Landau
1962 - Max Ferdinand Perutz
1965 - Richard Phillips Feynman
1965 - Julian Schwinger
1969 - Murray Gell-Mann
1971 - Dennis Gabor
1972 - William Howard Stein
1973 - Brian David Josephson
1975 - Benjamin Mottleson
1976 - Burton Richter
1977 - Ilya Prigogine
1978 - Arno Allan Penzias
1978 - Peter L Kapitza
1979 - Stephen Weinberg
1979 - Sheldon Glashow
1979 - Herbert Charles Brown
1980 - Paul Berg
Sellam Mickael Elie, [23-Oct-22 8:18 AM]
1980 - Walter Gilbert
1981 - Roald Hoffmann
1982 - Aaron Klug
1985 - Albert A. Hauptman
1985 - Jerome Karle
1986 - Dudley R. Herschbach
1988 - Robert Huber
1988 - Leon Lederman
1988 - Melvin Schwartz
1988 - Jack Steinberger
1989 - Sidney Altman
1990 - Jerome Friedman
1992 - Rudolph Marcus
1995 - Martin Perl
2000 - Alan J. Heeger
Économie :
1970 - Paul Anthony Samuelson
1971 - Simon Kuznets
1972 - Kenneth Joseph Flèche
1975 - Leonid Kantorovitch
1976 - Milton Friedman
1978 - Herbert A. Simon
1980 - Laurent Robert Klein
1985 - Franco Modigliani
1987 - Robert M. Solow
1990 - Harry Markowitz
1990 - Merton Miller
1992 - Gary Becker
1993 - Robert Fogel
Médecine :
1908 - Elie Metchnikoff
1908 - Paul Erlich
1914 - Robert Barany
1922 - Otto Meyerhof
1930 - Karl Landsteiner
1931 - Otto Warburg
1936 - Otto Loewi
1944 - Joseph Erlanger
1944 - Herbert Spencer Gasser
1945 - Ernst Boris Chain
1946 - Hermann Joseph Muller
1950 - Tadeus Reichstein
1952 - Selman Abraham Waksman
1953 - Hans Krebs
1953 - Fritz Albert Lipmann
1958 - Joshua Lederberg
1959 - Arthur Kornberg
1964 - Konrad Bloch
1965 - François Jacob
1965 - André Lwoff
1967 - George Wald
1968 - Marshall W. Nirenberg
1970 - Julius Axelrod
1970 - Sir Bernard Katz
1972 - Gerald Maurice Edelman
1975 - Howard Martin Temin
1976 - Baruch S. Blumberg
1977 - Roselyn Sussman Yalow
1978 - Daniel Nathans
1980 - Baruj Benacerraf
1984 - Cesar Milstein
1985 - Michael Stuart Brown
1985 - Joseph L. Goldstein
1986 - Stanley Cohen [& Rita Levi-Montalcini]
1988 - Gertrude Elion
1989 - Harold Varmus
1991 - Erwin Neher
1991 - Bert Sakmann
1993 - Richard J. Roberts
1993 - Phillip Sharp
1994 - Alfred Gilman
1995 - Edward B. Lewis
1996 - Lu RoseIacovino
TOTAL : 129
Les Juifs ne font pas la promotion du lavage de cerveau des enfants dans les camps de formation militaire.
Ils ne leur apprennent pas à se faire exploser et à causer le maximum de mort de Juifs et d'autres non-musulmans.
Les Juifs ne détournent pas des avions, ne tuent pas les athlètes lors des Jeux olympiques, et ne se font pas exploser dans un restaurant allemand.
Il n'y a pas un seul Juif qui a détruit une église.
Il n'y a pas un seul Juif qui proteste en tuant des gens.Les Juifs ne font pas de trafic d'esclaves, n'ont pas de dirigeants qui appellent au Jihad et à la mort
de tous les infidèles.
Peut-être les musulmans du monde devraient considérer à investir plus dans l'enseignement ordinaire et moins à blâmer les Juifs pour tous leurs problèmes.
Les musulmans doivent demander «ce qu'ils peuvent faire pour l'humanité » avant d'exiger que l'humanité les respecte.
Indépendamment de vos sentiments à propos de la crise entre Israël et les Palestiniens et les voisins arabes; même si vous croyez qu'il y a plus de culpabilité de la part d 'Israël, les deux phrases suivantes disent vraiment tout :
«Si les Arabes déposaient les armes aujourd'hui, il n'y aurait plus de violence. Si les Juifs déposaient leurs armes aujourd'hui, il n’y aurait plus d' Israël.»
Benjamin Netanyahu
Le général Eisenhower nous a averti : c'est un fait historique.
Lorsque le commandant suprême des Forces alliées, le général Dwight Eisenhower a trouvé les victimes des camps de la mort, il a ordonné de prendre toutes les photographies possibles du peuple allemand, des villages environnants; de leur faire visiter les camps et même enterrer les morts.
Il a fait cela parce qu'il a dit des mots à cet effet :
«Rassemblez tous les dossiers et documents maintenant - saisissez les films - faites parler les témoins - parce que quelque part sur la route de l'histoire quelques bâtards vont se lever et dire que cela n'est jamais arrivé..»
Récemment, le Royaume-Uni a débattu pour savoir s'il fallait supprimer la Shoah dans son cursus scolaire, car il «offense» la population musulmane qui affirme que cela n'a jamais eu lieu.
Sellam Mickael Elie, [23-Oct-22 8:18 AM]
Ce n'est pas encore supprimé... Cependant, c'est un signe effrayant de la peur qui paralyse le monde et combien il est facile pour chaque pays d'être paralysé par elle.
Cela fait plus de 60 ans après que la Seconde Guerre mondiale a pris fin en Europe..
Ce courriel est envoyé comme une chaîne commémorative, en souvenir des 6 millions de juifs, 20 millions de Russes, 10 millions de chrétiens, et 1900 prêtres catholiques «assassinés, violés, brûlés, affamés, battus, humiliés et ont servi de cobayes, tandis que le peuple allemand a regardé ailleur.
Maintenant, plus que jamais, avec l'Iran, entre autres, revendiquant que l'Holocauste est «un mythe», il est impératif de s'assurer que le monde n'oublie jamais.
Ce courriel est destiné à atteindre 400 millions de personnes... Soyez un maillon dans la chaîne de mémoire et aidez à distribuer ce message à travers le monde.
Combien d'années faudra-il avant que l'attaque du World Trade Center «n'ait jamais eu lieu» parce qu'elle offense les musulmans des États-Unis?
Ne vous contentez pas de supprimer ce message...... cela ne prendra que quelques minutes pour le faire passer.
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gliklofhameln · 2 years
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Sefer Berit Menuhah (The Covenant of  Serenity), attributed to Rabbi Abraham ben Isaac of Granada, [Eastern Europe?: late 17th-early 18th centuries]
Sefer berit menuhah, also known in some sources as Sefer ha-me’orot or Sefer ha-emunah, is an anonymous work composed in the last decade of the thirteenth or the beginning of the fourteenth century, most likely in southern Spain. (The mistaken attribution of this text to Rabbi Abraham ben Isaac of Rimmon [Granada] is apparently the result of the early confusion between this author’s Sefer ha-berit [as quoted by Rabbi Moses Botarel in his commentary on Sefer yetsirah] and the current composition.) A unique product of the theosophical-theurgic-ecstatic school of kabbalistic speculation, Sefer berit menuhah deals extensively with both theoretical (contemplation of the nature of God’s existence and emanation) and practical-magical (creation of a golem) kabbalistic themes, usually via discussions of various permutations and vocalisations of the Ineffable Name of God. The book was highly popular and influential from the fourteenth century onward and was greatly esteemed by the kabbalists of Safed, including Rabbis Moses Cordovero (1522-1570), Isaac Luria (1534-1572), and Israel Sarug (late sixteenth-early seventeenth centuries), as well as later figures like Rabbis Moses Hayyim Luzzatto (1707-1746) and Menahem Mendel of Shklov (d. 1827) and some of the early Hasidim.
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nighttime-radio · 2 years
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Do you think Death could lose it's patience?
What'd happen if it just-
snapped?
Well, dear caller, I don’t believe in absolute percentages; so while I don’t deny that it is possible for Menahem to lose his patience, I do believe it would scarcely be possible. Patience has been woven into Menahem’s being ever since his creation at the Beginning of Everything… what kind of inexcusable, unforgivable carnage could one possibly create to cause such a thing? I can hardly imagine it… for all who wrong him in life will be held in his inescapable grasp in death one day… every second they breathe, Menahem has that much longer to sharpen his blade…and await Rashida’s verdict… for he would never defy his beloved wife’s decision… after all, she is the Goddess of all things Righteous and Fair… so who is *he* to decide the criminals fate?…
But… what if Rashida wasn’t there to distribute justice?… or, more likely… what if Justice��s guilty verdict called for an early death sentence?…
whatever the case is for this hypothetical situation… I pity anyone who is foolish enough to warrant Menahem’s knocking, as he leads them into an early grave… and if the criminal attempts to evade and hide?… then i fear for us all… for in his patience, there is nothing to swade Menahem’s search… even if it takes an eternity… Menahem will rake through the infinite cosmos, bringing plague and pestilence to smoke them out… the animals will turn rabid… plants will wilt and die… the people will become deranged as they join the hunt… nothing will stop him until the criminal dies by his blade, and is dragged into the labyrinth of Hourglass caverns… damned to roam with whatever lurks in its twisting paths for as long as it takes to serve their sentence… let us hope that the day will never come to pass… thank you for your question caller, it is good to know that someone out there is listening… thanks for tuning in…
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