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#Monsieur et Madame Adelman
alexlacquemanne · 1 year
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Joyeux anniversaire Doria ♥️
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harritudur · 3 years
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Monsieur et Madame Adelman, 2017
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autumncottageattic · 7 years
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Mr & Mme Adelman (2017)
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allfavoritemovies · 5 years
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Mr. & Mrs. Adelman / Mr & Mme Adelman / Monsieur et Madame Adelman (2017) Favorite or Unfavorite?
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perleounavet-blog · 8 years
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Monsieur & Madame Adelman
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Ca parle de quoi ? L’histoire d’amour tumultueuse et entièrement fictive d’un écrivain qui rencontre un jour une étudiante en lettres classiques, assez obstinée. C’est avec qui ? Doria Tiller, ex-miss météo du Grand Journal, c’est son premier rôle au cinéma Nicolas Bedos, fils de, chroniqueur et trublion ouvertement provocateur C’est de qui ? Nicolas Bedos, au four et au moulin. Et c’était bien ? Doria Tiller et Nicolas Bedos, couple à la ville depuis maintenant plusieurs années, se sont amusés à à exorciser envies, peurs, frustrations et angoisses pour donner naissance, à deux, à la fictive vie de couple de M. et Mme Adelman. Ce travail à quatre mains a permis un film singulier, plus audacieux qu’il n’y parait, à la fois tendre et cruel (paradoxe 1). M. et Mme Adelman prend rapidement des airs de biopics, alors qu’il n’en est rien. Tout n’est que fiction mais semble pourtant si réel (paradoxe 2). La vie de ce couple n’a rien de tranquille et oscille entre romantisme et presque violence. Alors, certes, il s’agit là de deux intellectuels qui se nourrissent d’un certain combat psychologique qu’ils mènent constamment l’un envers l’autre et qu’ils appellent au final “l’amour”. Ils trouvent l’un chez l’autre, un adversaire à leur mesure, capable de canaliser la créativité et l’ambition que chacun nourrit. Et c’est ainsi qu’ensemble, ils franchissent les étapes de la “vie”. Ce scénario écrit à quatre mains permet enfin un regard juste sur la femme comme sur l’homme, ce qui donne au film un aspect d’équilibre rarement aussi juste dans les autres films. Ce qu’il faut comprendre et ce qu’il faut attendre, ce que M. et Mme Adelman est un film 0 cliché. Il ne fait rien comme les autres films sur le couple, n’hésite pas à être ouvertement cruel (surtout avec les enfants), cynique et, finalement, remarquablement juste. C’est un véritable plaisir de voir évoluer le couple Adelman, crédible à tous les âges, dans une aventure humaine banale et pourtant si extraordinaire baptisée “le couple”. Le scénario ne cesse d’étonner et prend un malin plaisir à vous signifier que rien ne se déroule jamais comme prévu dans la vie. Grâce à un chapitrage dynamique, une mise en abimes certes classique et des sauts dans le temps réguliers, les deux heures de film passent à une vitesse folle. Si on est ennuyé, ce n’est pas par l’histoire, mais plutôt par le peur de voir arriver la fin tellement l’histoire est prenante. Et c’est franchement drôle en plus. Techniquement, Nicolas Bedos impressionne. S’il abuse quelques peu de l’utilisation de certains jeux de focal, il trouve des moyens différents de filmer la jeunesse et la vieillesse pour donner toute leur candeur, ou au contraire leur sagesse, aux personnages. La photographie et la reconstitution historique sont tout bonnement superbes. La B.O dynamise encore l’ensemble. Cinématographiquement, le résultat est vraiment des plus agréables, et M. et Mme Adelman s’impose sans conteste comme le film français le mieux écrit depuis assez longtemps. Ambitieux, pertinent et surtout follement indécent, M. et Mme Adelman fait voler en éclat les clichés du couple Walt Disney pour imposer celle du couple rock’n’roll, pas toujours tranquille ni agréable, mais ô combien passionnant. Au délà du couple, le film est aussi une réflexion sur l’ambition, le processus créatif et la vieillesse qui ne manquera pas de faire réfléchir. Si on peut lui reprocher une chute peut être un peu facile, qui peut décevoir, ce film a le puissance de donner envie de vivre et de monter sur les montagnes russes des décennies à venir. Il vous rappellera aussi que derrière chaque grand homme se cache une femme, mais ça vous le savez déjà. C’est bien joué ? Doria Tillier est impressionnante de justesse et de fraicheur. Complètement crédible jeune comme plus vieille (gros travail de maquillage à saluer), elle illumine complètement le film à en devenir véritablement magnétique. Son personnage, à la hauteur de celui de l’homme, en est presque plus intéressant et elle le campe avec une intelligence folle. Reste maintenant à savoir si elle serait aussi parfaite dans un rôle qu’elle n’aurait pas elle même écrit. Nicolas Bedos, qui ne joui pas toujours d’une bonne réputation, s’investit énormément dans ce film. Contrairement à Doria il n’en est pas à son coup d’essai devant la caméra et est parfaitement à l’aise aussi. Toujours un brin agaçant, ce rôle lui convient à merveille. Certainement réellement fascinée par Doria Tillier, il lui laisse toute la place de rayonner à ses côtés.
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Le charme discret des années 70 On y va ? Si vous cherchez une comédie romantique classique, passez votre chemin, sinon foncez. Alors Perle Ou Navet ? Perle ! M. et Mme Adelman est un film qui redéfini les réalités du “vrai” couple, celui qui dure et qui “construit”. Ce couple n’a pour base ni la fidélité ni la tendresse sans faille, mais plutôt l’admiration et la volonté de créer ensemble. Au diable les niaiseries, le film surprend par un humour noir et un cynisme admirable qui font de ce film une vraie perle de justesse. Vous allez rire et vous allez grincer. On en redemanderait. Porté par un couple complètement crédible sur 45 ans d’une vie fictive filmée de manière à ce qu’on ne s’ennui jamais, difficile de trouver de vrais défauts à M. et Mme Adelman. Bedos/Tiller, un couple résolument prometteur, capable d’écrire et de jouer ensemble. Et l’espoir renait.  
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havaforever · 8 years
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Monsieur & Madame ADELMAN - Bluffée!! J’ai été complètement bluffée!
Contre toute attente, ce premier film de Nicolas Bedos ne ressemble à rien de déjà vu, il nous offre quelque chose d’original et de complètement inattendu malgré l’affiche et la bande-annonce. En effet, même si le film est loin d’être parfait, il est une véritable surprise du genre, comique et romantique comme d’habitude mais aussi historique, critique, tragique, décapant, très riche en thèmes, toujours étonnant dans sa façon de faire des coupes dans le réel; bref, nouveau et percutant.
Parfaitement joué, très agréablement filmé, l’histoire de M. et Mme Adelman n’est pas forcément réaliste, mais toujours juste, profonde et sensible dans ce qu’évoque le parcours de ce couple à la fois excentrique et en un certain sens complètement classique.
Le rythme est enlevé, malheureusement gâché par quelques longueurs, mais l’ensemble reste haletant. On est à tout moment intéressés, curieux de connaitre le dénouement de ces séquences qui nous bousculent, profondément interrogés par les enjeux qui se jouent entre ces deux personnages hauts en couleur.
J’avais tellement peur d’avoir à subir le narcissisme exacerbé de Bedos dans un scénario qui serait pseudo-auto-critique pour nous imposer sa gueule de “bogoss qui fait tout mieux que tout le monde”; mais non! Absolument pas! Là aussi, surprise totale: l’auto dérision n’est pas feinte, elle va jusqu’au bout du ridicule et des travers de ces gens qui réclament de l’attention et de la considération à l’infini, les insatisfaits permanents qui se pensent incompris parce que jamais suffisamment admirés à leur gout. 
C’est sans doute le thème de l’imposture, qui court tout au long du film, qui reste le fil conducteur le plus osé avec lequel Nicolas Bedos se risque à une authentique mise en danger de lui-même. C’est assez admirable pour être relevé, d’autant qu’il laisse la vedette à son partenaire au cinéma et épouse dans la vie de façon remarquable.
C’est bien le couple qui est au centre du propos: la place que prend chacun, la dialectique des influences sur la personnalité, la féminité, le virilité; l’alternance du désir, l’amour en concurrence avec l’attachement, le besoin de reconnaissance réciproque et social. Même quand il s’agit d’en faire l’analyse alors que le couple se confronte à sa dimension familiale, c’est bien la vie à deux dans toutes ses étapes et dans tous ses états qui reste l’enjeu du propos.
Dans une sorte d'euphorie contagieuse et sans perdre de vue son récit à tiroirs, le film malmène ses personnages, s’attaque de façon pertinente mais surtout impertinente à toute une série de clichés sur les bourgeois, les cathos, les juifs, la création, la filiation, le milieu littéraire ou la dépression. Tout le monde en prend pour son grade, de façon égalitaire, souvent très drôle, parfois dans la tristesse ou même le désespoir.
C’est un véritable récit à suspense, du très bon cinéma avec un jeu d’acteurs enlevé, une tranche de vie inscrite dans des époques parfaitement  reconstituées, des maquillages de vieillissement à couper le souffle, bref, du “pur film français” comme on les aime.
NOTE 15/20 - Un moment intelligent et jouissif, sensible et souvent très drôle. Mélange d’émotions, de thèmes, de genres cinématographiques et artistiques; l’histoire de M. & Mme Adelman qui se déroule sur plus de 40 ans, nous donne le tournis, nous étonne presque à tout moment, réjouit nos rétines et remplit nos cœurs.
Beaucoup de matière à penser et à ressentir sur le couple, avec une morale un peu facile à la fin, qui ne gâche pourtant pas quelques excellentes pistes de réflexion. S’il n’était pas si long et parfois un peu trop ambitieux “à tout vouloir dire”, ce serait le film français parfait.
Il faut le souligner aussi, le  scénario est franco-français avant tout, du point de vue historique et sociétal comme des accents humoristiques qui sont donnés à la langue parlée; mais plus encore, complètement parisien même du point de vue des personnages comme de leur psychologie. C’est ce qui donne sa pertinence mais aussi la limite à ce propos très “multi-facettes”. 
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amoralprague · 7 years
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«tout sauf l'ennui»
Monsieur & Madame Adelman (2017)  
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JEUDI 7 NOVEMBRE 2019 (Billet 1 /1)
« LA BELLE EPOQUE »
Nous y sommes allés hier et, exceptionnellement, en début de soirée - on a même du se faire avant un p’tit resto (Thaï) pour ne pas être à jeun durant les presque 2 heures de projection. La météo ne donnait vraiment pas envie de sortir, par chance il se donnait dans notre cinéma préféré, dans le Centre Beaugrenelle, idéal à beaucoup de points de vue, dont présentement la bouffe et le cinoche.
Et nous ne l’avons pas du tout regretté. C’est un film avec un scénario TRES original, superbement bien maîtrisé, des dialogues hyper bien écrits, percutants, interprété par une kyrielle d’excellents comédiens… Bon, on va en rester là.
Nous avons trouvé un article, écrit par un journaliste de L’Express durant le dernier Festival de Cannes où ce film était présenté hors-compétition, qui décrit parfaitement bien ce que nous en avons pensé (et aussi les réactions du public dans la salle qui était archi-pleine). Voir ci-dessous.
Comme peut-être vous, le personnage de Nicolas Bedos (metteur en scène du film, auteur du scénario ET des dialogues) nous a toujours paru « puant » de suffisance, mais depuis que nous avons vu son premier film (« Mr et Mme Adelman »), notre regard a changé. On se moque finalement de ce qu’il est, ce qui est important, c’est ce qu’il nous montre, ce qu’il nous raconte… et nous trouvons qu’il a énormément de talent pour ça.
On sait que le talent en agace plus d’un car c’est la chose la plus injuste au monde (comme le fait d’avoir de jolies jambes pour une femme…). On nait avec, c’est un don, une grâce… Et Nicolas Bedos en a à revendre ! Du talent bien sûr…
Nous lui avons tous les deux, avant même de nous lever de nos sièges, attribué ♥♥♥♥,5 sur 5.
N’y allez pas, courez-y !!!
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C'est un beau moment, c'est une belle histoire... « La Belle époque » de Nicolas Bedos, présenté hors compétition, pourrait bien connaître le même destin que « Le Grand bain ».
8'22''. Pas une seconde de plus, pas une de moins. Rapport au temps, ce n'est rien. Rapport à Cannes, c'est une éternité. 2300 personnes qui applaudissent à tout rompre pendant 8'22'', c'est interminable. Et émouvant. A l'aune du deuxième film de Nicolas Bedos, « La Belle époque ». Un voisin de projection qui a assisté à toutes les présentations officielles l'assure : "C'est la plus belle ovation depuis le début du festival." Méritée, ajouterons-nous. Après le déjà excellent « Monsieur et Madame Adelman », Bedos pousse le curseur et monte d'un cran sa soif de mise en scène et de romanesque.
Force est de constater que le gars est plus que doué : il est brillant !
L'histoire est aussi dingue que casse-gueule. Antoine (Guillaume Canet) propose à des clients fortunés de vivre la période de leur choix en la reconstituant avec décors soignés et acteurs au cordeau. Une soirée avec William Faulkner, un conciliabule avec Adolf Hitler (qu'on a le droit de gifler !), un dîner d'aristos au XVIIe siècle... Victor (Daniel Auteuil), dessinateur de BD passé de mode, vient de se faire virer de chez lui par sa femme, Marianne (Fanny Ardant), et n'a pas une tune - ou si peu. Sauf qu'Antoine, pour une raison très personnelle, lui offre un flash-back de son choix. Ce sera un jour de 1974, celui où Victor a rencontré sa femme. Pour l'incarner, Antoine choisit sa chérie (Doria Tillier). Enfin, son ex-chérie. Qui joue si bien que Victor en tombe raide dingue pour de vrai. Confusion des sentiments et gros bazar en perspective
On pense à « The Game » de David Fincher, à « Truman Show » de Peter Weir et même à la série « L’île fantastique » ! Le talent et l'inspiration de Bedos en plus. Soit beaucoup plus. A 39 ans, le réalisateur a la maturité d'un sexagénaire, portant sur le couple et sur la société un regard à la fois tendre et désespéré. Chaque situation, chaque réplique font mouche et touche. Le plus impressionnant est qu'il a écrit seul ce scénario ultra-compliqué sans s'emmêler les crayons. Une véritable prouesse. 
Saluée par ses pairs donc, venus en masse pour le soutenir. Parmi lesquels Gilles Lellouche qui, il y a un an pile poil, jouissait du même enthousiasme avec « Le Grand bain », également présenté hors compétition. Il y avait aussi Jean Dujardin, Isabelle Adjani... A la fête donnée après la projection, ce parterre de vedettes ne tarissait pas d'éloges sincères. Pas de carré VIP, pas de barrières. A quoi bon ? L'ambiance était au-delà de la bienveillance. Avec, dans le flot discontinu de commentaires euphoriques, une remarque récurrente : Bedos nous a rendu Fanny Ardant ! Auteuil, Canet, Tillier, Denis Podalydès, Michaël Cohen et tous les autres jusqu'au plus petit rôle sont formidables. Mais Fanny Ardant arrache tout, comme enfin débarrassée du côté vaporeux qui lui colle à la peau depuis trop longtemps. Sans toucher à sa classe naturelle, Bedos lui offre un personnage brut de décoffrage, dont l'amertume n'a d'égal que le répondant, avant de basculer dans le regret et l'attendrissement. 
En attendant la sortie du film le 6 novembre, les paris sont déjà ouverts pour le nombre de nominations aux Césars. Un maximum, apparemment. Hier soir, on a assisté à la mise sur les rails d'un film promis à un gros succès. Bedos s'en souviendra. Toujours. Au point d'affirmer que s'il devait revivre une période comme il est possible de le faire dans « La Belle époque », ce serait celle-là. Le bon vieux temps, c'est maintenant. 
(Source : « Un article écrit par Christophe Carrière durant le Festival de Cannes et publié dans L’Express le 21 mai 2019 »)
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uneplumedetendances · 7 years
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Qu'a-t-on été voir au cinéma, en mars ?
Qu’a-t-on été voir au cinéma, en mars ?
Bonjour tout le monde ! Le mois de mars vient de se terminer, et je vais donc revenir sur les films que j’ai vu ce mois-ci. Et comme il y a eu le printemps du cinéma, j’ai été en voir un peu plus que d’habitude (pas beaucoup, promis…). Bonne lecture ! Lion de Garth Davis Synopsis : Le film est tiré d’une histoire vraie. Un enfant indien, âgé de cinq ans, du nom de Saroo habite dans le quartier de…
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aucafedesloisirs · 8 years
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Monsieur & Madame Adelman: une belle histoire attachante et bouleversante Le 8 mars au cinéma Synopsis: Comment Sarah et Victor ont-ils fait pour se supporter pendant plus de 45 ans ?
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justforbooks · 7 years
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Monsieur et Madame Adelman
Victor Adelman, un célèbre écrivain, vient de mourir. Un journaliste rend visite à sa veuve, Sarah Adelman. Commence alors le récit d'une histoire d'amour mouvementée, soit quarante-cinq ans de vie commune. Sarah rencontre Victor en 1971 et devient rapidemment sa muse. Elle se passionne pour son travail et l'épouse malgré les relations glaciales qu'elle entretient avec ses futurs beaux-parents. La passion laisse place peu à peu à la routine. Victor, à la fois égocentrique et tourmenté, commence à avoir du succès et reproche à Sarah de s'embourgeoiser, elle qui était si libre et rebelle au début de leur relation. Il la trompe sans vergogne et la fait souffrir...
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plamino-com · 4 years
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Regarder Monsieur & Madame Adelman en Streaming Complet GRATUIT HD VF
C’est l’enterrement d’un célèbre écrivain. Les hommages pleuvent mais certains sinterrogent sur les étranges circonstances de sa mort. Un jeune biographe demande à la veuve de raconter toute leur histoire. Ne fut-elle pas sa muse, sa première lectrice et sa compagne depuis les années 70 ? Commence alors un récit retraçant cinquante ans de vie commune, damour, de jalousie, de tromperies… Doria Tillier et Nicolas Bedos traversent les âges dans une comédie féroce mais romantique sur un couple hors du commun.
Plamino vous propose de voir Monsieur & Madame Adelman en streaming totalement gratuit et sans inscription ! il suffit de défiler vers le bas pour choisir votre qualité/lecteur et commencer votre soirée
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jesseeko · 5 years
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LES SORTIES CINÉ DU 06/11
Les vacances s’achèvent et pourtant les films de cette semaine sont bien décidés à vous faire voyager, alors préparez-vous ! Que ce soit dans de nouveaux espaces, à une autre époque ou sous une autre forme vous sortirez transformés de ces séances.
UNE COLONIE - GENEVIÈVE DULUDE-DE CELLES
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4 ans après le succès de La Coupe lui ayant valu l’award du meilleur court métrage international au festival de Sundance, Geneviève Dulude-De Celle revient avec Une Colonie. Que ce soit sous la forme de documentaire, de court ou de long métrage, la réalisatrice canadienne ne cesse d’explorer le thème de l’adolescence. Traité au travers du prisme d’une relation père fille dans La Coupe et d’une classe de primaire dans Bienvenue à F.L, c’est un étranger qui dans Une Colonie va permettre à la protagoniste de se révéler.
Résumé: Mylia s’apprête à quitter sa campagne natale pour la grande école. Adolescente en quête d’identité dans un milieu hostile, elle fait la rencontre de Jimmy un indien américain vivant dans la réserve voisine. À ses côtés elle apprendra à mieux se connaître ainsi que son environnement. 
LA BELLE ÉPOQUE - NICOLAS BEDOS
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Scénariste, acteur et réalisateur Nicolas Bedos signe avec La Belle Époque son second long métrage. Après Monsieur & Madame Adelman où il jouait avec sa conjointe, Doria Tillier, un couple énigmatique, c’est aux côtés de Daniel Auteuil qu’il l’a filme cette fois. Tandis qu’il porte son amour au grand écran, son personnage, lui, ne semble plus supporter le sien. C’est du moins ce que cherche à questionner La Belle Époque. 
Résumé: Victor, sexagénaire désabusé, voit sa vie bouleversée lorsque qu’un entrepreneur lui propose une attraction d’un genre nouveau. En effet, cette entreprise offre la possibilité à ses clients de replonger dans l’époque de leur choix. Ainsi, Victor choisit de revivre la semaine la plus marquante de sa vie: celle où, 40 ans plus tôt, il rencontra le grand amour.
J’AI PERDU MON CORPS - JÉRÉMY CLAPIN
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L’écriture de J’ai perdu mon corps commence en 2012 quand Marc du Pontavice, producteur, confie à Jérémy Clapin, réalisateur, l’adaptation du roman Happy hand écris par Guillaume Laurant le co-scénariste du Fabuleux Destin d’Amélie Poulain. Une main cherche à se rapprocher de son propriétaire et son propriétaire d’une personne. Ainsi Clapin et son équipe adaptent la spontanéité d’une main à un humain et l’émotion d’un humain à une main. Il affirme que
« L’une des forces de l’animation est de pouvoir arracher le spectateur de sa réalité » et il le confirme avec cette épopée irréelle.
Résumé: Dans les années 90, à Paris, la main d’un jeune homme s’échappe d’un hôpital bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale dans la ville, semée d’embûches et de souvenirs. Naoufel, sa main et Gabrielle tout trois retrouveront le fil de leur histoire.
Jesse Eko Ebongue
Pour ON’: https://on-media.fr/2019/11/05/sorties-cine-du-06-11/
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Et voici le JURY du 27e Festival du cinéma russe à Honfleur! Le jury du 27e Festival sera présidé par le réalisateur, photographe et auteur Gérard Krawczyk (« Je hais les acteurs », « Héroïnes », « Taxi 2 », « Wasabi », « Taxi 3 », « Fanfan la Tulipe », « La vie est à nous »). Il sera entouré par le journaliste et écrivain Guy Konopnicki, la scénariste Marie-Pierre Thomas (« Julie Lescaut », « Femmes de loi », « Section de Recherches »), l’actrice Julie Delarme (« Caïn», « Monsieur et Madame Adelman ») et la réalisatrice Aline Issermann.( « Cherche fiancé tous frais payés », « L'Amant magnifique »).#festivalhonfleur #honfleur2019 #festivalducinemarusse #cinemarusse #normandie #calvados #jury #gerardkrawczyk #juliedelarme #taxi #fanfanlatulipe #love #picoftheday #instaflick #lucbesson #europacorp #cinemafrancais #минкульт (à Honfleur) https://www.instagram.com/p/B4VSynAirUl/?igshid=pbzyeccxesug
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katepetrash · 5 years
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Ну что, готовы наряжаться в пуховики и шапки?😂
Сентябрь, благодарю за твои солнечные бонусы.
Ты-душка.
Но пора принять тот факт, что хорошую погоду мы не увидим в Одессе ближайшие полгода🤪
А, значит, запасайтесь крутыми фильмами и списком заведений с вкусной едой.
Поплакать под Monsieur et Madame Adelman и заесть грусть овощной лапшой с роллами Идако - ✔️
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"Monsieur & Madame Adelman" de et avec Nicolas Bedos et Doria Tillier, mars 2017.
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