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#Père fictif
bdqg · 2 years
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Père fictif
Personne n’a demandé à venir au monde. Pourtant, nous voilà à déambuler à travers les méandres avec la vague impression de contrôler notre destinée. C’est un triste constat de savoir que notre conception inclut un bagage parfois lourd à porter alors que nous essayons tant bien que mal de nous extirper du moule que nos géniteurs ont inconsciemment façonné. Sommes-nous condamnés à devenir une copie…
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francepittoresque · 9 months
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21 décembre 1645 : mort d’Athos, mousquetaire ayant inspiré Alexandre Dumas ➽ http://bit.ly/Athos-Mousquetaire De son nom complet Armand de Sillègue d’Athos d’Authevielle, Athos, né en Béarn en 1615, fut mousquetaire du roi Louis XIII et inspira Alexandre Dumas père pour son personnage fictif d’Athos de son roman Les Trois Mousquetaires paru en 1844, fidèle peinture de l’esprit du XVIIe siècle
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puchkinalit · 1 month
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Un jour d'avril
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New York, 5 avril 2019, 2020, 2021 Dan et Isabelle, un couple qui bat de l'aile, ont deux enfants : Nathan travaillé par la préadolescence et Violet qui du haut de ses 5 ans se croit spéciale. Il y a aussi Robbie, le frère d'Isabelle, professeur de français qui aurait pu être médecin, homosexuel célibataire très proche de sa sœur et de son beau frère. Il a créé un personnage fictif sur Instagram à qui il fait vivre une vie fantasmée. Et puis Garth, le frère de Dan, artiste sculpteur qui essaie de se faire une place de père auprès d'Odin, l'enfant que lui a demandé de lui faire Chess mais Chess avait dans l'idée d'être une mère célibataire... Un jour d'avril suit la lente décomposition d'un couple et la fragilité d'une famille américaine sur trois jours de trois années successives, l'arrivée du COVID venait fissurer pour de bon l'équilibre précaire de l'ensemble. Des êtres qui s'aiment mais qui n'arrivent plus à communiquer et à comprendre où va le monde. Un roman subtil et sagace. 
7,5/10
Un jour d'avril / Michael Cunningham.- Seuil.
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oliveintheclouds · 2 months
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Ma chère,
Il ne reste plus que quinze jours avant le début des Jeux Olympiques de Paris. Bien que le sport ne m’intéresse pas particulièrement, je n’aime ni en faire, ni regarder les gens en faire, j’ai décidé de te parler de tennis.
En avril 2023, un trajet en train vers Poitiers m’avait fait découvrir l’auteure américaine Taylor Jenkins Reid, et plus particulièrement son best-seller Daisy Jones and The Six. Écrite sous la forme de longues interviews, l’histoire retrace l'ascension et la chute de Daisy Jones and The Six, un groupe de rock américain fictif des années 1990. Ayant beaucoup aimé ce livre, que j’ai relu depuis, j’ai décidé de m’intéresser d’un peu plus près aux autres œuvres de TJR.
J’ai prévu de lire trois de ses livres, bien que tous n’ont pas encore été traduits en français. Il y a d’abord Forever, Interrupted, qui aborde des thèmes comme l’amour et le deuil d’un conjoint. Et je suis sûre que Malibu Rising fera une lecture parfaite pour l’été. Enfin, la nuit dernière, j’ai achevé la lecture de Carrie Soto is back.
Titre : Carrie Soto is back
Auteure : Taylor Jenkins Reid
Éditeur : Penguin Books
Date de publication : 30 Août 2022
Genre : Roman Contemporain
Thèmes : Fiction, sport, tennis, célébrité
Pages : 384
Prix : 13,50
Résumé :
Carrie Soto est féroce, et sa détermination à gagner à tout prix ne l'a pas rendue populaire. Mais lorsqu'elle se retire du tennis, elle est la meilleure joueuse que le monde ait jamais vue. Elle a pulvérisé tous les records et remporté vingt titres du Chelem. Et si vous demandez à Carrie, elle mérite chacun d'entre eux. Elle a presque tout sacrifié pour devenir la meilleure, avec son père comme entraîneur. Mais six ans après sa retraite, Carrie se retrouve dans les gradins de l'US Open 1994, à regarder son record lui être arraché par une joueuse brutale et éblouissante nommée Nicki Chan.
À trente-sept ans, Carrie prend la décision monumentale de sortir de sa retraite et d'être entraînée par son père pour une dernière année afin de tenter de reconquérir son record. Même si les médias sportifs disent qu'ils ne l'ont jamais aimée de toute façon. Même si son corps ne bouge plus aussi vite qu'avant. Et même si elle doit ravaler sa fierté pour s'entraîner avec un homme à qui elle a presque ouvert son cœur : Bowe Huntley. Comme elle, il a quelque chose à prouver avant d'abandonner le jeu pour toujours.
Carolina Soto, dite Carrie, est une joueuse de tennis américaine initiée au jeu par son père dès son plus jeune âge. Elle est la fille de Javier, un ex-champion de tennis de Buenos Aires devenu lanceur dans des clubs de tennis en Amérique, et d’Alicia, une professeure de valse et de foxtrot qu’il rencontre à Los Angeles. C’est de cette histoire d’amour que naît Carolina.
Elle montre dès son plus jeune âge un vif intérêt pour le tennis. Lorsqu’il arrive à son père de l’emmener au club où il travaille, elle s’intéresse activement au jeu et ne quitte plus la balle des yeux. Si quiconque la déplace dans ces moments-là (elle est encore un bébé), elle se met à pleurer jusqu’à ce qu’on lui permette à nouveau d’assister au match.
Un jour, Javier jure de faire de ce bébé le plus grand joueur de tennis que le monde aie connu. Alicia rétorque qu’elle préfèrerait que leur enfant soit gentille et heureuse. « Alicia, personne ne raconte jamais d’histoires à propos de cela », répond Javier. Et je pense que cette phrase résume assez bien le ton de l’histoire. Tout au long du livre, on retrouve l'opposition entre la victoire, la seule issue qui vaille la peine d’être obtenue à la fin d’un match selon Carrie, et les sentiments, ou la frustration et la rage qui l’envahissent dès qu’elle ne gagne pas. Carrie ne joue pas pour être heureuse, mais pour être la meilleure. Meilleure que les autres et meilleure qu’elle-même.
À huit ans, tandis que ses camarades vont manger des glaces et sont invités à des fêtes d’anniversaire, Carrie s’entraîne quotidiennement à faire des services, à améliorer son jeu. Elle va à la plage avec son père, puisque courir sur le sable lui permet de muscler ses jambes et de gagner en endurance. Très vite, elle se met à gagner des compétitions junior, puis adulte, et à monter dans le classement. Son jeu s’améliore, sa technique aussi. Son objectif : faire mieux que la fois précédente. Elle veut sortir victorieuse d’un jeu ou ne pas jouer du tout.
Solitaire, que cela soit dans sa vie sociale ou amoureuse, Carolina n’est pas tout à fait seule pour autant. De nombreux personnages secondaires gravitent autour d’elle, dont Bowe Huntley, un joueur charmeur et impulsif dont elle aurait pu tomber amoureuse ; Nicki Chan, sa némésis tant menaçante que magnétique et surtout son père, Javier. J’ai d’ailleurs trouvé que la relation père-fille entre Javier et Carolina était touchante, car très fusionnelle. Ces deux-là ne se disent pas qu’ils s’aiment, mais il est certain qu’ils tiennent l’un à l’autre, à leur manière. Javier note par exemple dans un carnet un tas de remarques et d’observations sur le jeu de Carrie, mais aussi celui de ses adversaires.
Carrie devient le joueur de tennis le plus décoré dans tous les domaines. Elle obtient par exemple le plus grand nombre de titres du Grand Chelem en simple, le plus grand nombre de semaines à la première place pour un joueur dans l'histoire du circuit. Elle a le record du plus grand nombre d'années passées à la première place et réussit à devenir l’athlète féminine la plus hautement payée de tous les temps.
Dans Carrie Soto is back, on trouve de la détermination, du dépassement de soi et on comprend ce que cela fait d’avoir un esprit sportif (j’ai détesté le sport toute ma scolarité, tu sais que les ladies ne courent pas). L’auteure retranscrit aussi assez bien les tensions liées au sport de haut niveau, notamment les doubles standards, c’est-à-dire les attendus dans plusieurs domaines qui diffèrent en fonction du genre des joueurs. Cela m’a un peu rappelé le livre Le Jeu de la Dame, dont j’ai beaucoup aimé l’adaptation en série.
Carrie est donc un personnage orgueilleux, ambitieux, franc et terriblement conscient de ses propres capacités. Elle n’est pas modeste dans ses victoires et réagit très mal face à la défaite. Ses relations avec les autres joueur·euse·s sont tendues, sinon inexistantes. Elle ne voit pas le but de se lier d’amitié avec quelqu’un qu’elle va battre. Ses interviews laissent souvent les journalistes sans voix, puisqu’elle y affirme souvent sa certitude de gagner des matchs futurs et sa volonté d’écraser ses adversaires.
Ces propos seraient-ils moins marquants si Carrie était un homme ? À côté du récit, le livre contient des extraits d’entretiens avec des journalistes et des commentateurs sportifs qui ne sont souvent pas tendres avec Carrie. La Hache de Guerre. Une joueuse glaciale au cœur froid. Une connasse. Les surnoms ne manquent pas. Taylor Jenkins Reid sensibilise aussi ses lecteurs sur les conditions à réunir pour être sponsorisé par telle ou telle marque. Le genre du joueur a son importance, tout comme son ethnie, la couleur de la peau ou son âge. Seules les joueuses jeunes, blanches et européennes ont des contrats avec des agences de mannequinat, par exemple. Et les sponsors sont prêts à abandonner Carrie lorsque la qualité de son jeu est trop incertaine. On s’attache aussi aux adversaires de l’héroïne. L’auteure nous laisse peu à peu découvrir que Carrie n'est pas si froide que ce que l’industrie du sport voudrait le faire croire.
Je me souviens qu’il nous est déjà arrivé de regarder Roland-Garros à la télé, toi et moi, en compagnie de papy. Jusqu’ici, je m’étais juste contentée de fournir un enthousiasme modéré en suivant la balle des yeux. Je n’y connaissais rien et je n’avais pas envie d’en apprendre plus (les raquettes sont super lourdes en plus). Si je craignais de m’ennuyer en lisant ce livre, ce ne fut pas le cas. La description des matchs m'a tenue en haleine et j’en ai beaucoup appris sur le jeu et sur la préparation avant un match.
⭐️ C’était donc une très bonne lecture. > 4,5/5
J’ai cru comprendre que tu avais repris l’athlétisme. C’est génial ! J’espère que, à l’inverse de Carrie, tu n’oublieras pas de t’amuser avant de te focaliser sur la victoire.
Bisous,
Olive
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ondessiderales · 3 months
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Luna Lovegood
« Luna Lovegood est un personnage fictif créé par la romancière britannique J. K. Rowling. Il apparaît dans la série romanesque Harry Potter et dans ses adaptations cinématographiques.
Élève de la maison Serdaigle à Poudlard, Luna est décrite comme ayant des cheveux ondulés d'un blond foncé lui arrivant à la taille, et des yeux protubérants lui donnant l'air toujours surpris. Elle ressemble physiquement à sa mère. La première fois qu'il la rencontre, Harry Potter trouve qu'elle dégage « une aura de folie douce » alors qu'elle porte un collier constitué de bouchons de bouteilles et tient son journal, Le Chicaneur, à l’envers. Il constate qu'elle a tendance à fixer longuement les gens lorsqu'elle leur adresse la parole et rit parfois des plaisanteries de façon interminable et grotesque, en mettant les autres mal-à-l'aise. »
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« Luna est une rêveuse, facilement distraite, qui vit dans son propre univers, et croit en toutes sortes d'animaux dont l'existence n'est pas prouvée (comme les nargoles). En raison de son excentricité, elle est isolée à l'école avant de rencontrer Harry Potter, et la plupart des élèves lui attribuent le surnom de « Loufoca Lovegood » (Loony Lovegood en anglais, litt. Lunatique Lovegood). Elle semble peu se soucier de ce que les autres pensent d'elle. Elle n'est pas rancunière et ne se montre pas non plus inquiète lorsque ses camarades de classe s'amusent à lui voler ou à lui cacher régulièrement ses affaires. Luna semble consciente de son impopularité et n'éprouve aucune gêne à énoncer clairement des vérités que d'autres personnes se retiendraient de formuler. Laurie Calkhoven, auteure du livre Fières d'être sorcières !, retient notamment du personnage sa bienveillance et son indépendance, mais aussi le fait qu'elle soit idéaliste, brave, créative et d'une grande ouverture d'esprit.
Luna est capable de voir les sombrals depuis l'âge de 9 ans, créatures réputées pour porter malheur car seuls ceux qui ont vu mourir quelqu'un peuvent les voir. Son patronus est un lièvre. »
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« Selon Blandine Le Callet, auteure du livre Le monde antique de Harry Potter, J. K. Rowling aurait rendu hommage à l'imagination et à la fantaisie de l'écrivain Lucien de Samosate à travers Luna et son père Xenophilius : l'un des passages les plus célèbres du récit de voyage imaginaire Histoire vraie est celui où le narrateur raconte son séjour sur la Lune en évoquant les Sélénites qui s'y nourrissent de grenouilles volantes. »
« Selon Carmen Nadal, Luna est une « force positive » réconfortante pour Harry Potter, car elle lui apporte une perspective nouvelle et précieuse lorsqu'il est confronté à des choses auxquelles il n'est pas préparé. Luna permettrait de définir clairement la frontière de la vérité, pour Harry Potter comme pour le lecteur, notamment lorsqu'elle précise pouvoir voir, comme Harry, ce que personne d'autre ou presque ne peut voir ou entendre, comme les sombrals ou le voile dans le Département des Mystères. Plus largement, Luna permettrait de montrer à Harry que d'autres formes de connaissance — au-delà de ce qui est officiel ou prouvé — sont possibles. Elle est l'une des rares personnes qui remettent en question l'autorité, en pensant que celle-ci ne détient pas forcément la vérité. »
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Crédits : CursedQueen
« Enfin, on ne peut pas parler de la sensibilité de Luna sans évoquer l’impact qu’a eu sur elle le décès de sa mère. Lorsque la jeune fille évoque sa mère, elle emploie des mots plein d’admiration. On peut imaginer que son enfance auprès d’elle a été heureuse, et saine. Il est alors évident que le décès de Pandora a été un véritable traumatisme pour Luna, qui n’avait que neuf ans au moment des faits. Or, il est courant qu’après un tel choc, les individus aient une nouvelle vision de la vie. Les accidentés, ou les personnes en rémission de maladie grave, tiennent régulièrement des discours dans lesquels ils expliquent que ce qu’ils ont subi leur a permis de réaliser des choses fondamentales à propos de la vie, ou d’eux-mêmes.
De ce fait, Luna est un exemple de résilience. Elle ne pleure jamais, au contraire. La jeune fille fait preuve d’une grande sagesse et d’une force intérieure, paisible. Elle n’a pas l’air d’en vouloir à qui que ce soit malgré les évènements malheureux qu’elle a subi. La sorcière a absorbé son traumatisme, et elle regarde avec beaucoup de clairvoyance les événements qui l’entourent. En créant les sombrals, J. K. Rowling donne à Luna une créature symbolisant cette résilience. Luna parvient à voir la douceur et la beauté là où beaucoup en douteraient, justement parce qu’elle a vécu le pire. Elle guide Harry dans ce cheminement autour de la mort, et du deuil. »
Sources : Wikipedia, Gazette du sorcier
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Les Résultats De L'Ivresse - Défier le Démon : Quand la Pensée Cartésienne Bouleverse la Morale
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L'empreinte indélébile de la pensée cartésienne s'étend tel un legs intellectuel, invoquant une approche méticuleuse et rationnelle dans la délicate équation de la prise de décision. Dans cette exploration contemporaine, nous plongeons au cœur d'un récit fictif où se dessine un dilemme captivant, suscitant la nécessité d'appliquer cette philosophie séculaire à des situations complexes. Comment la pensée cartésienne peut-elle illuminer le dédale de choix moraux qui émaillent notre existence? Cette introspection débute par une analyse approfondie de ce récit allégorique, où le voyageur se trouve confronté à des alternatives déchirantes sous l'ombre d'un démon insidieux.LES RÉSULTATS DE L' IVRESSE... Le demon prit un jour la forme d' un animal HORRIBLE! Il avait une tête de panthère, un corps de bouc et des jambes de cheval... Il se précipita sur un voyageur en lui disant !] "TA DERNIÈRE HEURE À SONNÉ !Cependant, je puis te laisser la vie à une de ces 3 conditions!" "Frappe ta mère, tue ton père, ou bois de l' alcool!" "Que faire ???" Se demanda le voyageur épouvanté... _"Frapper celle qui m'aime et qui a tant souffert pour m' élever... je préfère me voir couper les deux mains !!!, - "Tuer mon père?! Jamais, je préfère mille fois mourir" *"Je boirais donc de l'alcool."* Il but de l'alcool et... s'étant enivré, il frappa sa mère et tua son père."La Réflexion Cartésienne dans la Prise de Décision : Une Approche Rationnelle pour Guider Vos Choix" La pensée cartésienne, inspirée par le philosophe René Descartes, s'est intégrée dans notre langage quotidien en décrivant une approche rationnelle et réfléchie dans la prise de décision. Comment cette philosophie peut-elle guider nos choix dans des situations complexes? Le Dilemme du Voyageur Dans notre récit, le voyageur errant se retrouve inopinément acculé à des alternatives épineuses, soumises par un démon insidieux. Ces choix, empreints d'une ambiguïté éthique saisissante, suscitent des interrogations essentielles quant à la nature de la moralité et de la rationalité. Dans une démarche empreinte de cartésianisme, le protagoniste aurait pu, par une remise en question judicieuse, contester les conditions imposées par le malin. Ce faisant, il aurait mis en exergue l'impératif de l'exercice d'une réflexion critique lorsque se dressent devant nous des dilemmes moraux complexes. Approche Cartésienne dans le Contexte Moderne S'inscrire dans la lignée cartésienne, dans notre contexte moderne, implique d'adopter une méthodologie basée dans la rationalité. Cette démarche suggère le discernement par l'évaluation pondérée des arguments, l'analyse méthodique des données factuelles, et la quête assidue de solutions pragmatiques. En ce qui concerne notre pérégrinateur*, l'adoption d'une telle perspective aurait pu se matérialiser par une contestation éclairée des options énoncées par l'entité démoniaque. Cette démarche aurait constitué un pas vers la recherche d'une alternative éthiquement plus viable, plutôt que de s'incliner devant des choix moralement ambigus et rationnellement impensable. Le terme "pérégrinateur" désigne une personne qui voyage, qui parcourt de nombreux endroits, souvent de manière errante ou itinérante. C'est un mot moins commun que "voyageur", et il évoque souvent une connotation de déambulation ou de déplacement continu à travers différents lieux. La Relativité des Choix Cartésiens Reconnaissont tout de même la relativité inhérente aux choix cartésiens. Parce que tout simplement, ce qui est considéré comme rationnel pour certain peut varier en fonction du contexte, des expériences individuelles et des valeurs personnelles pour d'autres. La pensée cartésienne, bien que guidée par la rationalité, ne propose pas une solution universelle, mais plutôt une méthode de réflexion critique adaptée à chaque situation unique. L'empreinte cartésienne dans le processus décisionnel se présente donc comme un guide méthodique, invitant à une introspection minutieuse lors de confrontations avec des dilemmes moraux. Cette approche, qui valorise la rigueur et la clarté de la pensée, offre un cadre conceptuel robuste pour scruter les enjeux complexes de nos choix quotidiens. Il reste cependant impératif de considérer la relativité inhérente à la nature humaine, où la perception de la rationalité se plie aux contours subjectifs de l'expérience individuelle. Ainsi, la conclusion tangible à tirer réside dans l'invitation à une pensée critique persistante, conjuguée à une adaptabilité discernante, afin de naviguer avec clarté au travers des intrications morales qui jalonnent notre parcours existentiel. #PenséeCartésienne #DilemmesMoraux #RationalitéDesChoix #RéflexionCritique #PhilosophieModerne#Descartes #LLV #La_Legende_Continue Read the full article
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yes-bernie-stuff · 1 year
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Le Grand Restaurant 24/08/2023
Mon peuple a commis un double péché : Ils m’ont abandonné, moi qui suis une source d’eau vive, pour se creuser des citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau. Jérémie 2.13
Il y a 10 ans, Florine a ouvert son Grand Restaurant saisonnier sous notre hangar. Depuis, elle en a passé la direction à sa petite sœur Lucie, qui a embauché tous ses cousins comme cuistots ou serveurs.
Ainsi, comme chaque été, toute la famille joue le jeu et fait mine de se délecter d’un steak en écorce de chêne, de pâtes de foin mouillé et d’une sauce dont la recette est tenue secrète par le chef. Le tout arrosé d’un excellent vin du pays, « Château La Pompe » !
Après ces repas fictifs, restaurateurs et hôtes font honneur ensemble au festin réel apprêté par Mamie.
On peut comparer la vie que Dieu nous donne avec lui à un banquet sans fin.1 Jésus rassasie réellement les cœurs affamés de vérité. Il étanche leur soif d’amour et de paix ! Tant de gens le méprisent pourtant. Ils se persuadent de mordre la vie à belles dents. Mais est-ce le cas ? Sont-ils vraiment comblés ? Les plaisirs les plus précieux sont si éphémères !
Parfois, il faut un drame dans la vie, un appui qui s’écroule, pour que nous ressentions le vide réel de notre cœur et notre besoin profond de Dieu lui-même. Cela reste vrai pour les chrétiens, si vite absorbés par ce qui ne nourrit pas leur foi.
Mettons-nous tous à table auprès de Christ, dans sa Parole !
Claude Schneider
1 Matthieu 22.2-5
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 22 à 35.
Le pain de vie
22 Le lendemain, la foule qui se tenait de l’autre côté de la mer vit qu’il n’y avait eu là d’autre barque qu’une seule, et que Jésus n’était point entré avec ses disciples dans cette barque, mais que ses disciples s’en étaient allés seuls. 23 Mais des barques étaient venues de Tibériade, près du lieu où ils avaient mangé le pain, après que le Seigneur eut rendu grâces. 24 Lors donc que la foule vit que Jésus n’était point là, non plus que ses disciples, ils entrèrent eux-mêmes dans les barques, et allèrent à Capernaüm, cherchant Jésus. 25 Et l’ayant trouvé de l’autre côté de la mer, ils lui dirent : Rabbi, quand es-tu arrivé ici ?
26 Jésus leur répondit et dit : En vérité, en vérité, je vous le dis : Vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés. 27 Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste en vie éternelle, et que le Fils de l’homme vous donnera ; car c’est lui que le Père, Dieu, a marqué de son sceau. 28 Ils lui dirent donc : Que devons-nous faire, pour accomplir les œuvres de Dieu ? 29 Jésus répondit et leur dit : C’est ici l’œuvre de Dieu, que vous croyiez en Celui qu’il a envoyé. 30 Ils lui dirent donc : Quel signe fais-tu donc, toi, afin que nous voyions et que nous te croyions ? Quelle œuvre fais-tu ? 31 Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon qu’il est écrit : Il leur a donné à manger le pain du ciel. 32 Jésus leur dit donc : En vérité, en vérité, je vous le dis : Ce n’est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du ciel ; mais c’est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel ; 33 car le pain de Dieu est celui qui descend du ciel, et qui donne la vie au monde. 34 Ils lui dirent donc : Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là. 35 Jésus leur dit : C’est moi qui suis le pain de la vie : celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
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pdj-france · 1 year
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L'épisode de Twilight Zone, "The Encounter" avec George Takei est disponible sur le streaming Paramount+ Par Charlène Badasie | Publié il y a 14 minutes Créé en 1959, The Twilight Zone a remporté un immense réussite grâce à sa rediffusion continue. Toutefois, pour diverses raisons, quelques épisodes de la série de cinq ans d'anthologie de science-fiction / horreur ont été exclus de la recirculation. Parmi ceux-ci figurait l'épisode interdit intitulé "The Encounter", mettant en vedette George Takei, qui après 50 ans, est désormais prêt sur Paramount +. L'épisode "The Encounter" de Twilight Zone avec George Takei est disponible en streaming sur Paramount+ Interdire l'épisode de George Takei était un peu une anomalie, étant donné l'approche progressiste de The Twilight Zone et son courage d'aborder des sujets controversés avec des perspectives avant-gardistes. Toutefois, dans "The Encounter", les bonnes intentions ont entraîné une erreur de jugement importante. L'épisode se concentre sur Fenton (Neville Brand), un vétéran américain de la Seconde Guerre mondiale, qui découvre une épée de samouraï japonais dans son grenier. George Takei dans Twilight ZoneAu fur et à mesure que l'histoire se déroule, il est révélé qu'il avait pris l'épée à son propriétaire d'origine, qu'il avait tué après que l'homme se soit rendu. Le katana porte une inscription qui dit : « L'épée me vengera ». Malgré les tentatives de Fenton pour s'en débarrasser, l'arme revient mystérieusement vers lui, le hantant de sa présence inquiétante. Fenton est interrompu par un jeune nippo-américain du nom d'Arthur Takamori (George Takei), qui cherche un emploi de jardinier. La tension entre les deux personnages s'aggrave progressivement à mesure que leurs préjugés sous-jacents font surface. Fenton commence à exprimer des sentiments de plus en plus anti-asiatiques, tandis que Takamori révèle que son père a trahi les forces américaines pendant l'attaque japonaise sur Pearl Harbor. Peu de temps après sa diffusion initiale, "The Encounter" a fait l'objet de critiques et de réactions sévères, ce qui a finalement conduit à son bannissement controversé de la vue du public. À leur insu, l'épée semble amplifier leurs émotions, entraînant une explosion de violence. Une bagarre s'ensuit, entraînant l'empalement tragique de Fenton sur la lame. Dans une tournure des événements déchirante, Takamori (George Takei) saisit l'épée et laisse échapper un cri effrayant de "Banzai!" avant de plonger vers sa mort par la fenêtre du grenier. Peu de temps après sa diffusion initiale, "The Encounter" a fait l'objet de critiques et de réactions sévères, ce qui a finalement conduit à son bannissement controversé de la vue du public. L'un des problèmes les plus flagrants était sa représentation clichée du personnage japonais, Arthur Takamori (George Takei). Les critiques ont fait valoir que l'épisode renforçait les stéréotypes néfastes sur les Américains d'origine asiatique et perpétuait les préjugés raciaux. George Takei dans Twilight ZoneAlors que le fanatisme manifeste de Fenton compense en partie ce défaut, le problème le plus profond réside dans le contexte fictif attribué à Takamori (George Takei). Il n'y a aucune preuve historique de trahison américano-japonaise à Pearl Harbor ou ailleurs, et de tels récits fabriqués ont été utilisés pour justifier l'internement de milliers de citoyens américains pendant le conflit en se basant uniquement sur leur ascendance. Cela crée un cas désastreux de "double sidérisme" dans l'épisode, tentant d'équilibrer les véritables préjugés de Fenton avec un artifice artificiel au nom de "l'équité". En réalité, cette approche ne fait que engendrer des stéréotypes nuisibles et diminue l'importance historique de l'internement injuste des Américains d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale. "The Encounter" est affiché en tant qu'une déclaration poignante contre les préjugés, s'alignant sur l'engagement de The Twilight Zone envers ces thèmes.
Toutefois, l'épisode n'a pas été à la hauteur en termes de diversité derrière la caméra, ce qui était rare à cette époque. Il a été écrit, produit et réalisé uniquement par des hommes blancs qui, malgré de bonnes intentions, n'avaient pas la perspective nécessaire pour gérer le matériel. Ironiquement, le rôle de Takamori a marqué une première étape pour George Takei, connu pour son rôle dans Star Trek, qui a passé son enfance dans un camp d'internement pendant le conflit. Au cours des années suivantes, Takei a courageusement partagé ses expériences personnelles, mettant en lumière l'histoire honteuse du gouvernement américain à ce sujet. En réponse aux critiques intenses et au tollé public, CBS a pris la décision sans précédent d'interdire "The Encounter" de futures diffusions et de toute réédition ultérieure. L'épisode de Twilight Zone a été effectivement dissimulé aux yeux du public pendant des années jusqu'à dernièrement, servant d'ombre noire sur une série télévisée autrement vénérée.
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suis-nous · 1 year
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almanach2023 · 2 years
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Aujourd'hui, samedi 4 mars, nous fêtons Saint Casimir.
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SAINT DU JOUR
. Casimir, . Du slave kasmir, "qui fait la paix" . Saint-Casimir né à Cracovie (Pologne) en 1458; mort à Grodno (Biélorussie) (4 mars 1484) . Saint-Casimir (1458-1484). Fils du roi de Pologne Casimir IV. Son père souhaite qu'il porte la couronne de Hongrie. Il refuse le pouvoir et est enfermé pendant 3 mois par son père. Il consacre le reste de sa vie à la prière et à l'étude. Il meurt de phtisie en 1483. Il est canonisé en 1521 et proclamé patron de la Pologne en 1602. . Les Casimir sont l'audace et la liberté. Et il arrive souvent que ces idéalistes avides de générosité et de fraternité laissent leur refus de l'autorité et de l'ordre établi les entraîner sur les voies de l'anarchie. Des rebelles, qui ne réalisent pas toujours leurs rêves, faute de constance. . Prénoms dérivés : Cassy, Kasper, Casper... Nous fêtons également les : Casimir - Sadoc - Sadoth Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328
FETE DU JOUR
Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Éric Casimir, gymnaste français . Patrice Casimir, gymnaste français . Laurent Casimir, peintre haïtien (1928-1990) . Hendrik Casimir, physicien néerlandais (1909–2000) . Casimir, personnage fictif, héros de l'émission télévisée française L'Île aux enfants.
Ils nous ont quittés un 4 mars :
4 mars 2010 : Jacques Marseille, historien français, spécialiste d'histoire économique, chroniqueur de presse et de radio connu pour ses prises de position libérales. Il a également occupé des fonctions dans l'édition. (15 octobre 1945) 4 mars 2008 : Gary Gygax, 69 ans, écrivain et créateur de Donjons et Dragons (27 juillet 1938) 4 mars 2004 : Claude Nougaro, 74 ans, chanteur français (9 septembre 1929) 4 mars 2003 : Sébastien Japrisot, 71 ans, écrivain et scénariste, français (4 juillet 1931)
Ils sont nés le 4 mars :
4 mars 1990 : Andrea Bowen, actrice américaine 4 mars 1976 : Jean-Christophe Hembert, comédien et metteur en scène français 4 mars 1968 : Patsy Kensit, actrice britannique 4 mars 1961 : Eddy Murphy, acteur 4 mars 1960 : Thierry Pastor, chanteur 4 mars 1954 : François Fillon, homme politique français 4 mars 1953 : Rose Laurens, chanteuse
Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22
Fêtes, Célébrations, événements du jour 4 mars : Journée mondiale de l'ingénierie pour le développement durable (40 C/64) (UNESCO) 4 mars : Journée mondiale de l'obésité (JM) 4 mars : Journée mondiale de lutte contre l'exploitation sexuelle (JM) 4 mars : Journée mondiale de prière (JM) 4 mars : La journée jaune (JM) CITATION DU JOUR
Citation du jour : Il est parfaitement monstrueux de s'apercevoir que les gens disent dans notre dos des choses qui sont absolument et totalement vraies. Oscar WILDE.
Citation du jour : Cela fait plusieurs nuits que je ne dors pas pour chercher les mots justes, pour réussir à te faire comprendre combien je t'aime, combien chacun de tes sourires, chacune de tes respirations, chacun de tes mouvements, est ma raison de vivre. Je voudrais résister, faire semblant de rien... mais c'est impossible... Sur le Web
Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz
Nous sommes le 63ème jour de l'année il reste 302 jours avant le 31 décembre. Semaine 09.
Beau samedi à tous.
Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
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titou-nz · 2 years
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Temple funéraire d'Hatchepsout - Égypte
Princesse royale
Alors qu'Hatchepsout a huit ou neuf ans, le pharaon Amenhotep Ier disparaît sans descendance.
Son père Thoutmôsis devient roi, peut-être désigné héritier par Amenhotep Ier lui-même, à moins qu'il n'ait été choisi par la mère de celui-ci, la reine douairière Ahmès-Néfertary, représentée à côté du nouveau pharaon et de sa reine sur la stèle commémorant l’événement. Selon le décret officiel envoyé au vice-roi Touri, il monte sur le trône le 21e jour du 3e mois de Peret.
Hatchepsout, devenue princesse royale, suit les leçons données par des précepteurs. Son père choisit Ahmès Pen-Nekhbet, soldat valeureux ayant servi dans les campagnes militaires du pharaon Amenhotep Ier. Les leçons du « père nourricier » sont complétées par les récits du chef-rameur Ahmès fils d'Abana contant ses exploits récompensés par l'« or de la vaillance », mais aussi ses découvertes de pays lointains, dont le « pays de Koush ». D'esprit vif, Hatchepsout acquiert une maturité qui incite son père à la préparer à jouer un rôle important dans la vie du royaume. Une inscription sur un mur du temple de Deir el-Bahari le cite lorsqu'il proclame : « je la mettrai à ma place ». Pour Claude Vandersleyen, le récit n'est pas forcément fictif : il est possible que Thoutmôsis ait souhaité favoriser Hatchepsout comme successeur, ses autres héritiers étant de santé fragile.
L'oracle
Lors de la seconde année du règne, Thoutmôsis Ier entreprend une expédition au royaume de Koush. En son absence, l'oracle d'Amon à Karnak proclame :
« L'an II, le 2e mois de Peret, le 29e jour fut celui de proclamer mienne les Deux Terres dans la cour large du « Harem du Sud ». Voici que Sa majesté rendit un oracle en présence de ce dieu parfait. Et mon père apparut dans sa belle fête « Amon chef des dieux ». Il entraîna Ma Majesté [dans la suite ?] du roi bien-faisant et il multiplia les oracles me concernant à la face de la terre entière. »
Pour Christiane Desroches Noblecourt, cette mise en scène a probablement été préparée par Thoutmôsis Ier avant son départ et avec l'appui des prêtres d'Amon, afin de soutenir l'ascension de sa fille comme héritière du trône. En effet, ses seuls fils sont nés d'une épouse secondaire, Moutnofret Ire, et ont peut-être moins de droit à la couronne que les enfants nés d'Ahmès qui se proclame, sur les murs de Deir el-Bahari, comme « la souveraine des autres épouses ». De plus, en dehors de Amenmès qui, à quinze ans, est général, les deux autres garçons sont de santé fragile, tant physique qu'intellectuelle.
Princesse héritière
Au retour de Koush où il a maté une rébellion, Thoutmôsis emmène sa fille à la découverte du Delta, son royaume du Nord. Hatchepsout reçoit alors de son père une éducation de princesse héritière, ainsi semble-t-il la présenter aux hauts fonctionnaires. À Memphis, où résident les princes attachés aux métiers des armes, ils retrouvent le fils aîné du pharaon, Amenmès, Généralissime de son père. Le prince vient d'inaugurer un naos sur lequel son nom est inscrit dans un cartouche royal qui mentionne ses titres de « Général en chef et fils royal ».
Après que Thoutmôsis a réprimé des troubles en Asie, le père et la fille entament un pèlerinage dans les sanctuaires autour de Memphis et finissent à Héliopolis. L'accueil de la princesse dans ces temples semble la désigner comme héritière, Thoutmôsis l'associant à certaines fonctions royales. Christiane Desroches Noblecourt souligne toutefois qu'il est difficile de faire la part entre le mythe et la réalité dans les récits rapportés par Hatchepsout.
Mariage
Vers l'an VII du roi Thoutmôsis Ier, Hatchepsout épouse son demi-frère Thoutmôsis. Consenti ou imposé à la demande de Moutnofret Ire, la seconde épouse de Thoutmôsis Ier, ce mariage assure la légitimité de Thoutmôsis II à monter sur le trône après le décès de leur père et fait d'Hatchepsout la future Grande épouse royale.
Vers l'an X ou XI du règne de son père, Hatchepsout met au monde une petite fille, Néférourê. À la demande du roi Thoutmôsis Ier, l'enfant est confiée, comme sa mère, au soin du « père nourricier » Ahmès Pen-Nekhbet.
À la même époque, Iset, l'épouse secondaire de Thoutmôsis II, met au monde le futur Thoutmôsis III.
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francepittoresque · 2 years
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21 décembre 1645 : mort d’Athos, mousquetaire ayant inspiré Alexandre Dumas ➽ https://bit.ly/3CsMHhY De son nom complet Armand de Sillègue d’Athos d’Authevielle, Athos, né en Béarn en 1615, fut mousquetaire du roi Louis XIII et inspira Alexandre Dumas père pour son personnage fictif d’Athos de son roman Les Trois Mousquetaires paru en 1844, fidèle peinture de l’esprit du XVIIe siècle
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vidoggytv-blog · 2 years
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Combien de temps le jury délibère-t-il dans To Kill a Mockingbird
Dans le livre classique "To Kill a Mockingbird" de Harper Lee, découvrez combien de temps le jury a le droit de délibérer avant de livrer un verdict. Les informations sur ce processus et sur les implications qui en découlent sont analysées en profondeur à travers ce post meta. Ne ratez pas cette lecture intéressante !   Lors du premier procès des Scottsboro Boys - le cas réel sur lequel Harper Lee a basé son procès fictif - où il y avait neuf accusés, le jury n'a délibéré que pendant deux heures avant de rendre un verdict de culpabilité. Dans le roman de Lee, le jury délibère pendant environ six heures.   Cliquez pour voir la réponse complète Justement, pourquoi le jury prend-il autant de temps dans To Kill a Mockingbird ? Atticus dit à Scout et Jem que le jury a mis plus de temps qu'il ne s'y attendait à rendre un verdict car "il y avait un gars qui s'est considérablement épuisé - au début, il avait hâte d'être acquitté pur et simple". À la surprise des enfants, cet homme était un parent des Cunningham. Deuxièmement, quel verdict le jury a-t-il rendu dans To Kill a Mockingbird ? Scout décrit l'annonce du verdict comme suit : "Un jury ne regarde jamais un accusé qu'il a condamné, et lorsque ce jury est entré, aucun d'entre eux n'a regardé Tom Robinson. Le contremaître a remis un morceau de papier à M. Tate qui l'a remis au greffier qui l'a remis au juge... « Coupable... coupable... coupable. De même, vous vous demandez peut-être combien de temps le jury a-t-il été absent ? Ils étaient sortis trente minutes et c'est important car cela montre que le verdict n'était pas une décision immédiate. Comment Bob Ewell réagit-il au verdict ? Il blesse verbalement et physiquement toutes les personnes associées à la partie défenderesse du jury . Que comprend JEM de la durée des délibérations du jury ? Jem croyait naïvement que Tom bénéficierait d'un procès équitable. Cependant, Atticus a compris qu'en général, un procès impliquant la parole d'un homme noir contre la parole d'un blanc prend quelques minutes. Le fait que le jury ait délibéré pendant quelques heures est significatif car au moins un juré blanc a soutenu le témoignage de Tom. 30 réponses aux questions connexes trouvées Pourquoi le jury a-t-il condamné Tom ? La décision du jury de condamner Tom Robinson pour un crime qu'il n'a manifestement pas commis tourmente Jem (et de nombreux lecteurs) comme une erreur judiciaire intolérable. Une autre raison pour laquelle le jury déclare Tom coupable est que Mayella Ewell et son père, Bob, se sont tous deux parjurés à la barre. Pourquoi Boo Radley voudrait-il rester à l'intérieur ? parce qu'il veut rester à l'intérieur " (227). Boo Radley choisit de rester dans sa maison parce qu'il a peur d'en sortir. Ewell attaque Jem et Scout pour que Boo Radley sorte. Il sort finalement, mais même alors Scout a du mal à le voir quand il les sauve et quand il est dans leur maison alors que Jem est soigné. Que dit tante Alexandra à propos des Cunningham ? Alexandra mentionne ensuite que bien que les Cunningham soient de bonnes personnes, ils ne sont pas «notre genre de gens». Lorsque Scout continue de demander à sa tante pourquoi elle n'est pas autorisée à jouer avec Walter Jr., tante Alexandra dit finalement : "Parce qu'il est un déchet, c'est pourquoi vous ne pouvez pas jouer avec lui" (Lee, 228). Qui était la seule personne du jury qui voulait acquitter Tom ? Qui était la seule personne du jury qui voulait l' acquittement de Tom Robinson ? Un Cunninham qui était un cousin double. Que pense tante Alexandra des Cunningham ? Quand tante Alexandra vient rester avec eux, elle dit à Atticus que Scout doit être plus féminine; elle a besoin de l'influence d'une bonne femme dans sa vie. Quand Scout veut jouer avec Walter, tante Alexandra refuse catégoriquement. Elle pense que les Cunningham ne sont rien d'autre que des déchets et qu'ils n'ont pas une bonne influence sur Scout. Pourquoi Atticus ne se soucie-t-il pas que Bob lui crache au visage ? Atticus a déclaré que Bob Ewell lui avait craché au visage parce qu'Ewell avait besoin "d'avoir une sorte de retour". Ewell a estimé qu'Atticus lui avait fait du tort et afin d'évacuer sa colère, il a craché au visage d' Atticus . Quelle est la théorie de Jem sur la raison pour laquelle Boo n'a pas quitté sa maison depuis si longtemps ? La nouvelle théorie de Jem expliquant pourquoi Boo n'a pas quitté sa maison depuis si longtemps est qu'il ne veut pas traiter avec les habitants de Maycomb et à quel point ils sont méchants et jugent. Comment Maycomb réagit-il à la mort de Tom ? Au chapitre 25, il est dit: "Pour Maycomb , la mort de Tom était typique. Typique d'un ni ---- couper et courir. Typique de la mentalité d'un n --- de n'avoir aucun plan, aucune pensée pour l'avenir, juste courir aveugle première chance qu'il a vue Il voulait souligner comment le thème de tuer un oiseau moqueur correspondait à la mort de Tom . Combien de temps a duré le procès dans To Kill a Mockingbird ? environ 28 mois Pourquoi JEM pense-t-il qu'Atticus va gagner? Jem pense que les preuves présentées dans l'affaire démontrent clairement l'innocence de Tom Robinson. Il a raison de ce point de vue. C'est pour cette raison, aussi rationnelle soit-elle, que Jem pense qu'Atticus gagnera l'affaire. Son idéalisme et son innocence sont anéantis lorsque le verdict revient "coupable". Quel est le mobile de Mayella pour accuser Tom ? Mayella avait plusieurs motifs pour accuser à tort Tom Robinson de son viol. Mayella a accusé Tom parce qu'elle y a été forcée par son père, Bob Ewell et parce que cet homme est son père. Il est très clair lors du procès que ce n'est pas Tom Robinson qui a violé Mayella Ewell, mais plutôt son propre père. Comment l'aneth a-t-il réagi au verdict ? La réaction au verdict Dill répond en disant qu'il deviendra un jour un clown - un nouveau genre de clown qui se moque des gens - se séparant ainsi des autres habitants de Maycomb, en particulier de sa tante Rachel pour qui il a perdu tout respect. Comment Miss Stéphanie a-t-elle réagi au procès ? Elle a dit que les membres de la communauté noire "étaient bien au-dessus d'eux-mêmes" (247). Miss Gates s'avère être une femme très préjugée et raciste. Si tel est le cas, alors l'attitude de Mlle Stéphanie derrière le procès aurait été de nature préjudiciable et espérait voir Tom condamné. Pourquoi Jem tient-il tant à se débarrasser des systèmes de jury ? En particulier, Jem était contrarié que le jury ait autant de pouvoir. C'est pourquoi il a voulu supprimer le jury . Il s'est rendu compte que le citoyen ordinaire de Maycomb n'était pas fiable en ce qui concerne la couleur de la peau d'une personne. Atticus à ce moment-là a essayé d'expliquer à Jem qu'il y avait de bonnes personnes là-bas. Que dit la note de Calpurnia ? Que dit la note de Calpurnia ? Il dit que Jem et Scout avaient disparu. Pourquoi Jem est -il si certain que Tom Robinson serait acquitté ? Il pense que le jury déciderait de l'affaire sur la preuve, pas sur leurs préjugés. Que dit Miss Maudie à propos d'Atticus au chapitre 22 ? Sujet 7 : Au chapitre 22 , Miss Maudie dit des choses à Jem et Scout qui font vraiment réfléchir le lecteur. Elle dit : « Il y a des hommes dans ce monde qui sont nés pour faire nos travaux désagréables à notre place. Nous sommes si rarement appelés à être chrétiens, mais quand nous le sommes, nous avons des hommes comme Atticus pour nous accompagner » (Lee 288). De quoi témoigne Bob Ewell ? Quand Atticus interroge M . Ewell , Bob dit à Atticus qu'il avait l'impression qu'il n'était pas nécessaire d'appeler un médecin et est d'accord avec le témoignage de Heck Tate affirmant que Mayella a été battue sur le côté droit de son visage. Atticus demande alors à Bob Ewell de signer sa signature, ce qui révèle que Bob est gaucher. Read the full article
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news24fr · 2 years
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À l'été 1967, Ronald Blythe a pédalé de sa maison dans le hameau Suffolk de Debach au village voisin de Charlsfield. Là, il a écouté les voix des forgerons, des fossoyeurs, des infirmières, des cavaliers et des éleveurs de porcs. Il leur a donné des noms sur des pierres tombales et les a placés dans un village fictif. Akenfield, portrait d'une vie rurale en voie de disparition rapide, a été immédiatement acclamé comme un classique lors de sa publication en 1969.Jamais épuisé et lu et étudié dans le monde entier, Akenfield a rendu Blythe célèbre et a peut-être éclipsé les nombreux autres fruits de ses longues années d'écriture - nouvelles, poèmes, histoires, romans et, plus tard dans la vie, des essais lumineux et un superbe hebdomadaire. journal que le Church Times a publié pendant 25 ans jusqu'en 2017. Blythe, décédé à l'âge de 100 ans, est considéré par ses pairs et de nombreux lecteurs comme le meilleur écrivain contemporain de la campagne anglaise.Aînée de six enfants, Blythe est née à Acton, près de Lavenham, dans une famille d'ouvriers agricoles enracinée dans le Suffolk rural. Son nom de famille vient de la Blyth, une petite rivière du Suffolk, mais sa mère et sa famille étaient londoniennes. Sa mère, Matilda (née Elkins), infirmière, lui a transmis son amour des livres. Bien que Blythe ait quitté l'école à 14 ans, il avait déjà établi une habitude de lecture vorace - "jamais à l'intérieur, où l'on pourrait avoir quelque chose à faire", se souvient-il - qui est devenue son éducation.Son père, Albert, avait servi dans le Suffolk Regiment et combattu à Gallipoli et Blythe fut enrôlé pendant la seconde guerre mondiale. Au début de sa formation, ses supérieurs ont décidé qu'il était inapte au service - des amis disaient qu'il était incapable de blesser une mouche - et il est retourné à East Anglia pour travailler, tranquillement, comme bibliothécaire de référence à la bibliothèque de Colchester.Il s'est lié d'amitié avec des écrivains locaux, dont le poète James Turner, qui a contribué à son passage dans un cercle bohème et créatif du Suffolk qui comprenait Sir Cedric Morris, qui a enseigné à Lucian Freud et Maggi Hambling et a vécu à proximité avec son partenaire, Arthur Lett-Haines. Blythe "aspirait à être écrivain", a-t-il dit, et il a écouté et appris - inspiré par l'exemple d'amis poètes, dont Turner (le poète anonyme d'Akenfield) et WR Rodgers, sur la façon de vivre avec très peu d'argent. "C'était une sorte d'apprentissage", se souvient-il un jour.Surtout, en 1951, il rencontre l'artiste Christine Kühlenthal, épouse du peintre John Nash. Kühlenthal a encouragé son écriture et l'a défendu : Blythe a édité les programmes du festival d'Aldeburgh pour Benjamin Britten et a même fait des courses pour EM Forster, qui a fait briller le jeune homme timide. Blythe a aidé Forster à compiler un index pour la biographie de Forster de 1956 sur sa grand-tante, Marianne Thornton.Le premier roman de Blythe, inspiré de Forster, A Treasonable Growth, a été publié en 1960. Il l'a suivi en 1963 avec The Age of Illusion, une histoire sociale de la vie en Angleterre entre les deux guerres. Il gagnait de l'argent grâce au journalisme, étant « lecteur » d'éditeurs et éditant une série de classiques – dont l'un de ses héros, l'essayiste William Hazlitt – pour la Penguin English Library.Ronald Blythe chez lui dans le Suffolk en 2010. Photographie: Eamonn McCabe / The GuardianAprès un passage à Aldeburgh, rappelé dans un mémoire élégiaque et typiquement discret, The Time by the Sea (2013), il s'installe dans un cottage à Debach. Au milieu des années 1960, il se lie d'amitié avec la romancière américaine Patricia Highsmith. "Je l'admirais énormément. C'était une femme très étrange et mystérieuse. Elle était lesbienne mais en même temps elle trouvait les corps des hommes beaux », se souvient-il. Un soir, après une soirée littéraire parisienne, ils couchèrent ensemble ; il a dit à un ami qu'ils étaient tous les deux curieux "de voir comment l'autre moitié l'a fait".
Blythe a déclaré que l'idée d'Akenfield (il a pris le nom du vieil anglais "acen" pour gland) est arrivée alors qu'il parcourait les champs du Suffolk en pensant à l'anonymat de la vie de la plupart des ouvriers agricoles. Son ami Richard Mabey se souvient qu'il a été commandé par Viking comme titre principal d'une série éphémère sur la vie des villages à travers le monde.Au cours de 1967 et 1968, il a écouté les citoyens de Charsfield, recréant des voix country authentiques tout en y ajoutant sa propre poésie. Il en résulte un portrait de la « gloire et de l'amertume » de la campagne : la misère et pourtant la fierté profonde de l'ancienne vie paysanne quasi féodale, et son effacement dans les années 1960 par une seconde révolution agricole parallèlement à l'arrivée de la voiture et de la voiture. télévision.Les voix du village n'ont jamais été sentimentales à propos de la vie à la campagne, et Blythe non plus : en plus des histoires sur la fabrication de chariots de maïs, il y a eu des révélations discrètes d'inceste, et l'infirmière du district a raconté l'ancien temps où les personnes âgées étaient entassées dans des placards. Les vieux ouvriers se souvenaient de la « méchanceté » des agriculteurs qui avaient traité leurs ouvriers comme des machines parce que les grandes familles rurales livraient une quantité apparemment inépuisable de fourrage agricole.Akenfield de Ronald Blythe a été publié en 1969Les critiques enthousiastes de ce livre « exceptionnel » et « délicieux » en Grande-Bretagne se sont répandues en Amérique du Nord, où Time l'a loué, John Updike l'a adoré et Paul Newman a voulu le filmer. Mais certains historiens oraux se méfiaient du fait que Blythe n'avait pas enregistré ses conversations.Blythe a refusé une offre de film de la BBC mais a finalement accepté un pitch du directeur de théâtre Peter Hall, un autre homme du Suffolk. Blythe a écrit un nouveau synopsis inspiré du livre infilmable, et Hall a demandé aux ruraux ordinaires d'improviser des scènes sans scénario. Blythe a supervisé chaque jour le tournage et a joué un camée approprié en tant que vicaire. Près de 15 millions de personnes ont regardé Akenfield lors de sa diffusion sur London Weekend Television au début de 1975.Le prochain livre de Blythe, The View in Winter (1979), était un examen prémonitoire de la vieillesse dans une société qui ne la valorisait pas, à une époque où plus de gens que jamais l'atteignaient. Le "désastre" subi par les anciens, écrit-il, c'est que "personne ne les voit plus comme ils se voient eux-mêmes". Blythe le considérait comme son meilleur livre. Pendant qu'il l'écrivait, Kühlenthal mourut et Blythe emménagea dans l'ancienne ferme des Nash, Bottengoms, pour s'occuper du vieux Nash. Lorsque Nash mourut un an plus tard, il laissa la maison à Blythe. Là, Blythe a vécu pour le reste de sa vie, écrivant magnifiquement sur sa maison dans At the Yeoman's House (2011).Plus tard, Blythe a attiré des éloges pour ses nouvelles et ses essais, y compris une série de méditations sur le poète rural du XIXe siècle John Clare. De nombreux écrivains regroupés plus tard sous le nom d'« écrivains de la nature » devinrent ses amis, dont Mabey, Robert Macfarlane et Roger Deakin.Blythe ne s'est jamais marié, n'a jamais vécu avec personne et a gardé sa vie personnelle voilée. Interrogé par The Observer en novembre 1969, il est jugé « intensément privé ». Il n'a rien révélé dans ses écrits publiés sur ses amours avec les hommes, ni même sur son aventure d'un soir avec Highsmith.Une image tirée du film de Peter Hall sur Akenfield. Blythe a supervisé chaque jour de tournage et a joué un camée en tant que vicaire. Photographie: BFIIl était presque aussi réticent à propos de sa foi, mais son écriture était profondément imprégnée de ses croyances chrétiennes et de sa connaissance des Écritures. Il était un lecteur laïc - remplaçant les vicaires dans plusieurs paroisses - et est devenu chanoine laïc de la cathédrale St Edmundsbury, mais a refusé la possibilité de devenir prêtre.
Rowan Williams, l'ancien archevêque de Cantorbéry et admirateur de l'écriture de Blythe, pensait que Blythe utilisait l'année chrétienne des festivals comme «une toile de fond stable» pour son écriture et sa pensée, libérées par sa foi. L'écrivain Ian Collins, un bon ami de Blythe dans ses dernières années, a estimé que c'était le manque d'éducation formelle ou de «formation» de Blythe qui avait libéré sa pensée originale et son style de prose élégant.Blythe a été politiquement radical tout au long de sa vie, un électeur travailliste qui a rejoint les vigiles pour la paix à l'extérieur de St-Martin-in-the-Fields à Londres. Des amis ont été surpris lorsqu'il a accepté un CBE en 2017, à peu près au moment où il a été doucement «retraité» de la parole et de l'écriture en public alors que sa mémoire à court terme s'estompait. Lorsqu'il a atteint 100 ans, il était encore assez bien pour signer 1 500 exemplaires d'une nouvelle compilation de ses meilleures chroniques du Church Times.Les personnes âgées qui ont prospéré dans The View in Winter étaient celles, a conclu Blythe, qui ont pu préserver leur « vitalité spirituelle, une vivacité, une sorte d'énergie imaginative ». Ce credo lui a bien servi en vieillissant, bien qu'il se soit trompé sur un autre point. Les anciens, écrit-il, sont « soignés, entourés de bienveillance, et les gens s'intéressent souvent à ce qu'ils disent ; mais ils ne sont pas vraiment aimés et ils le savent ».Blythe était très aimé plus tard dans la vie. Une liste d'amis dévoués qu'il appelait ses « êtres chers » lui rendait visite quotidiennement, lui fournissait des repas chauds et s'assurait qu'il puisse vivre ses années à Bottengoms. Ronald George Blythe, écrivain, né le 6 novembre 1922 ; décédé le 14 janvier 2023
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arigatofr · 2 years
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Boruto : Naruto Next Generations est une série animée japonaise basée sur la série manga du même nom et est un spin-off de la franchise Naruto. La série suit les aventures du fils de Naruto Uzumaki, Boruto, et de son équipe de ninja. La série se déroule dans un monde fictif où les pays se disputent le pouvoir en employant des ninjas capables d'utiliser des capacités surhumaines au combat. L'histoire suit Boruto alors qu'il s'efforce de devenir un ninja comme son père et excelle également à sa manière. La série a été bien accueillie par le public et la critique pour sa narration, ses personnages et ses séquences d'action.
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beatlesonline-blog · 2 years
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