Tumgik
#Rendez-Vous Littéraires
Text
Rien que pour la couverture n°197
Cher(e)s Voyageur(e)s, C’est le moment du rendez-vous “Rien que pour la couverture“. J’ai trouvé ce rendez-vous sur le blog Les lectures de Gribouille. Il m’a tout de suite conquise. Je vous en présenterai 5 ou plus par rendez-vous, et je vous mettrai si je les ai lu et si je les ai dans ma PAL. J’ai trouvé un compte super qui met en avant les illustrateurs. J’espère que ce rendez-vous vous…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
dixvinsblog · 9 months
Text
Le choix littéraire de Sab en live -"Rendez-vous avec le crime" de Julia Chapman chez Robert Laffont
Il ne faut jamais bouder son plaisir.J’aime à penser que je ne suis pas élitiste, je ne suis pas fan des personnes, qui sont soi-disant, remarquables. Mes goûts sont hétéroclites. J’écoute Bruel, Goldman, Thiéfaine, Dépêche mode, Pierre Perret, Les cowboys fringants, Gaëtan Roussel, la Dub inc , Alain Souchon, Demi-portion, Soprano, Prokofiev, Tchaikovsky, Offenbach …Je regarde « Le cercle des…
youtube
View On WordPress
0 notes
o-link · 4 days
Text
Tumblr media
La petite histoire des Deux Magots, café mythique de Saint-Germain
Depuis presque 140 ans dans le quartier de Saint-Germain-des-prés, les Deux Magots sont devenus une véritable institution ! Et on ressent forcément toujours une certaine émotion en s’installant à une table de cette brasserie historique…
Une clientèle mythique
Le café des Deux Magots ouvre en 1885, à la place d’un magasin dont il ne garde que deux figurines chinoises. Ces “Magots”, qui lui donnèrent leur nom, ornent toujours la salle principale. Très vite, des artistes de renom prennent alors l’habitude de s’y retrouver. Notamment Mallarmé, Rimbaud et Verlaine, rien que ça ! Plus tard, il deviendra aussi le QG d’Hemingway, Picasso, Prévert, des surréalistes comme André Breton et des existentialistes avec Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre.
Quand l’histoire continue
Jouant un rôle important dans la vie culturelle parisienne, les Deux Magots affirment définitivement leur vocation littéraire avec la création du Prix des Deux Magots en 1933. Aujourd’hui, les lundis des écrivains sont un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la littérature. Un lundi par mois, un auteur est invité à parler de son œuvre et à faire une séance de dédicace. Pour rencontrer votre écrivain préféré, consultez donc le programme et réservez par mail à [email protected] !
3 notes · View notes
Tumblr media Tumblr media
December 10, 2023 -  For a special edition of the Rendez-vous littéraires rue Cambon (Literary Rendezvous at Rue Cambon), Chanel shared a video online. Charlotte was featured wearing a blouse and pants from the Spring-Summer 2024 Pre-Collection by the brand.
Tumblr media
For more details about the look, you can check this link on Chanel’s website:
https://www.chanel.com/us/fashion/p/24P-COMMERCIAL-055/look-55/
Tumblr media
Link for the blouse : https://www.chanel.com/us/fashion/p/P76699V68667NV046/blouse-printed-silk-twill/
Tumblr media
Link for the pants : https://www.chanel.com/us/fashion/p/P76723V68667NV046/pants-printed-silk-twill/
For more about the Literary Rendezvous, you can check things out here: https://www.chanel.com/us/fashion/event/literary-rendez-vous-manchester-talk/
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
les-portes-du-sud · 5 months
Text
Mort de Bernard Pivot, journaliste et créateur d’« Apostrophes »
5 notes · View notes
swedesinstockholm · 11 months
Text
21 octobre
hier soir au resto avec e. j. et s. je suis redevenue un peu lesbienne, je sentais que j. qui était assise à côté de moi sur la banquette me faisait de l'effet, malgré son prénom infortuné. elle était tournée vers moi avec son bras posé le long de la banquette comme les hommes qui aiment prendre de la place et ça me donnait envie de me rapprocher tout près d'elle. j'étais un peu partie sur un début de delulu parce qu'elle était hyper souriante et attentionnée envers moi et que c'était le deuxième soir de suite qu'elle proposait de me ramener en voiture alors que là on était à bonnevoie et qu'y avait le tram juste à côté, mais heureusement la delulu s'est arrêtée au moment où on s'est dit au revoir quand elle m'a laissée sortir en haut de la rue, sans avoir eu le temps de dégénérer comme avec les deux personnes précédentes. pas de nouveau couplet à ajouter à ma chanson sur mes delulus donc.
je l'ai enfin postée sur ig cette semaine et r. l'a likée et m'a écrit YEAH, son compliment signature, et je me suis demandé s'il avait saisi que je parlais de lui, vu qu'il a fait aucun commentaire. peut être qu'il l'a même pas regardée jusqu'au deuxième couplet. ou peut être qu'il s'en fout. comme il se fout que je vienne à bruxelles le weekend prochain. je lui ai demandé s'il voulait aller à une lecture d'ariana reines et il m'a dit qu'il avait sa fille, mais je sentais que ça l'arrangeait bien. il m'a même pas demandé jusqu'à quand je restais ni rien. je crois qu'il veut pas me voir. ou pire, il en a rien à foutre. ce matin on discutait pendant qu'il était dans son lit à faire la grasse matinée et il m'a envoyé une photo de sa fille et j'ai dit c'est qui et pendant que je m'entraînais à chanter ma chanson de saturne au piano en me filmant il a répondu c'est ma fille WESH et ça m'a fait éclater de rire et j'ai du arrêter la vidéo mais je l'ai gardée précieusement parce que je me vois pas souvent rire comme ça. je voulais la lui envoyer mais je me suis dit que mon rire était peut être exagéré par rapport au niveau de drôlerie de sa phrase et j'avais peur qu'il voie dans mon rire que je rigole parce que je l'aime un peu trop que ce que je devrais.
22 octobre
quelqu'un vient de me dire que j'écrivais bien sur tumblr. vendredi en recopiant le passage où je revois la mort j'ai réalisé que je devais urgemment faire quelque chose où j'avancerais jamais et j'ai googlé la psy qui a dans la rue d'à côté et j'ai vu qu'elle faisait de l'emdr et qu'elle était spécialisée dans les traumatismes, la sexualité et l'attachement HALLO je l'ai appelée dans la foulée mais ça répondait pas et j'ai oublié de la rappeler. mais c'est un progrès. vendredi soir au resto j. a mentionné son rendez-vous chez le psy de jeudi, absolument tout le monde va voir un psy et j'arrive pas à croire que ça fait plus de six ans que je me promène librement dans la nature sans suivi psychologique, c'est un miracle que je sois toujours en vie franchement. enfin en vie, peut être pas justement, puisque d'après la thérapeute que je suis allée voir une fois y a deux ans j'étais quand même à moitié morte. mais est-ce que la psychothérapie m'aurait rendue à la vie? à la vie full time je veux dire. la vie à plein temps. est-ce que je suis en vie à plein temps là en ce moment? comment savoir?
24 octobre
bon je fais plus jamais de manifesting parce qu'à chaque fois que je me laisse avoir par ces conneries c'est le contraire de ce que je manifeste qui se produit: non seulement je vais pas en islande pour le feff et donc je vais pas revoir a., mais en plus mon scénario n'a pas gagné le concours littéraire national!!! ni le premier prix, ni le deuxième, ni même le troisième, rien. unbelievable. ça y est ça reprend. pourquoi je m'étais persuadée que j'allais gagner ces 5000 euros? pourquoi la delulu me poursuit dans tous les domaines? heureusement que j'ai jamais pris mes billets pour l'islande. a. m'a dit qu'il voulait venir me voir l'été prochain pour qu'on fasse des films ensemble, pourquoi il est obligé de vivre à des millions de kilomètres et pourquoi je connais personne qui veut faire des films avec moi ICI goddammit. pourquoi la vie est si mal foutue?
j'étais tellement déçue que j'ai fermé mon ordi d'un coup sec et je me suis roulée en boule sur le canapé et puis j'ai rouvert mon ordi pour regarder un épisode de the morning show pour me consoler, mais une fois l'épisode terminé j'ai senti que la tristesse et la déception commençaient à faire place à la colère alors j'ai refermé mon ordi et je suis sortie faire un tour. un grand tour. je marchais en faisant la gueule. en rentrant j'ai annoncé sur ig que j'avais pas gagné comme j'aurais annoncé que j'avais gagné, parce que mettre ses peines au grand jour c'est comme mettre du giroflier sur une dent qui fait mal, ça apaise la douleur instantanément. plein de gens ont liké mes stories et j'ai eu la validation dont j'avais besoin. réseaux sociaux magiques. parfois. r. m'a dit qu'il voulait lire mon scénario et j'ai commencé à regretter d'avoir dit deux fois que c'était un chef d'oeuvre parce que what if it isn't? et s'il est nul en fait?
j'étais en train de regarder harry potter à la télé et on a commencé à discuter de notre passion commune pour harry quand on était petits et il m'a avoué qu'il avait un énorme crush sur daniel radcliffe dans le 3 à l'époque et il m'a envoyé la photo qui l'avait troublé en la voyant dans un magazine. je voulais lui demander s'il était bi mais j'ai pas osé alors je lui ai demandé s'il le trouvait toujours attirant maintenant et il a dit euh non. j'ai très envie de continuer cette conversation un jour où il sera pas minuit et qu'il devra pas aller faire son yoga de bonne nuit.
5 notes · View notes
Text
Tumblr media
Accès au cinéma invisible vous donne rendez-vous, ce mercredi 18 octobre à 20h 11 rue des Olivettes (Nantes), pour découvrir la plus belle adaptation au cinéma de l'écrivain Julien Gracq, Rendez-vous à Bray, sorti au cinéma en 1971.
L’auteur florentais est réputé difficile à transcrire sur grand écran : grande densité narrative, paysages flous et sensibilité à fleur de peau.
Tumblr media
C’est André Delvaux, réalisateur belge adepte du surréalisme et développant un style de mise en scène qualifié de réalisme magique, qui va se lancer dans cette adaptation.
Tumblr media
Delvaux est un féru de littérature, ayant à ce moment déjà adapté plusieurs fois au cinéma Johan Daisne (Un homme, un train avec Yves Montand en 1968), il continuera en 1983 avec Suzanne Lilar (Benvenuta avec Fanny Ardant) puis Marguerite Yourcenar en 1988 (L’Œuvre au noir avec Sami Frey).
En adaptant la courte nouvelle Le roi Cophueta tiré du recueil La presqu’île (Éditions Corti, 1970), Delvaux s'empare à la fois de l'univers restitué par Gracq, mais aussi de sa sensibilité. Il transpose son goût pour le cinéma à une œuvre pleinement littéraire. Avec le jeu d’Anna Karina et Matthieu Carrière, il réussit alors à transmettre aux spectatrices et spectateurs le mystère dont Gracq avait le secret.
Tumblr media
En cela, Rendez-vous à Bray est autant un hommage au pouvoir de la littérature qu'à celui du cinéma. Le film fait la jonction entre ces deux pratiques pour devenir une œuvre à part entière encore trop méconnue en France, récompensée du prestigieux prix Louis-Delluc à sa sortie en 1971.
Projection gratuite à Pol-n, 11 rue des Olivettes (Nantes), à 20h le 18 octobre 2023.
2 notes · View notes
mmepastel · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ce week end, c’était la clôture du festival littéraire Lettres d’Automne auquel je suis fidèle. Ils avaient comme invités d’honneur cette année Alice Zeniter et Pierre Ducrozet. Je n’ai toujours pas lu L’art de perdre, mais il est prévu dans mon planning, et je ne connaissais pas DU TOUT Pierre Ducrozet, c’est fou.
En revanche, j’attendais de pied ferme Jakuta Alikavazovic que j’admire énormément depuis que j’ai lu Comme un ciel en nous et Faites un vœu ! La rencontre/interview était à la fois fluide, drôle et brillante. Ça m’a donné envie de lire Londres-Louxor.
J’étais heureuse de l’entendre parler de son essai, mais aussi de sa découverte du roman que j’ai tant aimé d’Anna Burns, Milkman. Elle a tellement bien expliqué la richesse et l’originalité de ce texte. Je me demande comment elle a pu traduire ce livre tant le style m’a paru spécial.
J’ai pu avoir un court échange chaleureux avec l’autrice et une dédicace. 💚
La vieille, j’ai vu le spectacle assez éblouissant d’Alice Zeniter (qui semble si jeune ! Elle est jeune mais elle fait encore plus jeune !!) : JE SUIS UNE FILLE SANS HISTOIRE. Ça m’a vraiment beaucoup plu. J’ai adoré la démonstration effectuée. Seule en scène, elle nous promène avec humour et fantaisie, sur des sujets complexes et passionnants : l’emprise et l’importance des « récits » sur nos vies, voire leur suprématie sur le réel. Elle a des références pointues mais on parvient bien à suivre le propos que j’ai trouvé très convaincant (j’ai ensuite foncé pour trouver l’article d’Umberto Eco auquel elle se réfère et qui m’a tant impressionnée dans le spectacle). Ma seule réserve sera de la trouver trop dure avec Anna Karenine, qui ne mérite pas tant de raillerie 😜. Le dynamisme d’Alice Zeniter, son énergie, son intelligence, sont vraiment perceptibles et contagieux. En l’écoutant, on se sent moins bête ; et accessoirement, ça me rappelle mes études littéraires, ce qui n’est jamais désagréable.
Bref, Jakuta, Alice, Pierre et les autres invités ont ensuite lu chacun un extrait d’une texte qu’ils aimaient. De belles découvertes au rendez-vous.
Joie d’entendre du Sue Hubbel, du Colette, du Édouard Levé, et le fameux texte mystérieux choisi par Jakuta Alikavazovic : L’ami, de Sigrid Nunez, que je ne connaissais pas du tout et que je vais m’empresser de lire.
Ma conclusion sera la suivante : je vieillis, et ça me fait à la fois drôle et plaisir de voir des gens si jeunes et si talentueux. Confidence : en ce moment, j’écris et c’est très stimulant d’écouter des gens intelligents parler de récit et de littérature, de « je » dans l’écriture, car toutes ces questions tournent dans ma tête.
Jakuta dit qu’il faut de l’outrecuidance pour oser écrire quelque chose en disant « je ». Je vois très bien ce qu’elle veut dire. J’en suis au stade où je m’excuse presque d’oser. Je me sens égocentrique et prétentieuse. Mais je dois dire que je continue quand même, ne sachant pas trop où je vais, car c’est à la fois douloureux et jouissif, et que j’ai l’impression d’avoir toujours tendu vers cela, et que je suis désormais suffisamment lancée pour en être obsédée ; c’est soit le signe d’un délire inquiétant, soit l’indice que j’ai quelque chose à dire. Il faut donc relever la tête, et oser continuer. On verra bien plus tard ce que ça donne.
6 notes · View notes
angelitam · 1 day
Text
Partageons mon rendez-vous lectures #32-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Julien Dufresne-Lamy,  Deux mois chez Andrea Deux mois chez Andrea de Julien Dufresne-Lamy – Editions Nathan En lecture, Soeurs de Bernard Minier Soeurs de Bernard Minier – Editions Pocket Présentation de l’éditeur Pauvres âmes déchues. Il a fallu que je vous tue… Mai 1993. Deux sœurs, Alice, 20 ans et Ambre, 21 ans, sont retrouvées mortes…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
LA RENTREE LITTERAIRE CHEZ ACTES SUD
Tumblr media
Plus de 450 nouveaux livres pour ce mois de septembre à l'occasion de la rentrée littéraire ! C'est le rendez-vous annuel incontournable pour toutes les maisons d'éditions.
Actes Sud a sélectionné 6 ouvrages pour cette rentrée : Noms connus ou nouvelles plumes, embarquez pour des heures de découverte !
0 notes
youraufildespages · 2 months
Text
Top Ten Tuesday #99: voyages exotiques
Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel nous listons notre top 10 selon le thème littéraire prédéfini. Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français pour une 2e édition sur le blog Frogzine. Coucou tout le monde! Me voilà de retour, après mes vacances, pour vous rejoindre dans ce rendez-vous que j’aime beaucoup. Frogzine me…
0 notes
Text
Rien que pour la couverture #181
Cher(e)s Voyageur(e)s, Comme je n’ai pas pu le faire hier et vu que c’est noël, on fait double dose :D. C’est le moment du rendez-vous “Rien que pour la couverture“. J’ai trouvé ce rendez-vous sur le blog Les lectures de Gribouille. Il m’a tout de suite conquise. Je vous en présenterai 5 par rendez-vous, et je vous mettrai si je les ai lu et si je les ai dans ma PAL. J’ai trouvé un compte…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
aforcedelire · 2 months
Text
Célèbre, Maud Ventura
Rentrée littéraire 2024
Tumblr media
Depuis toute petite, Cléo veut devenir célèbre. Et elle est prête à tout. Elle travaille d’arrache-pied pour se faire un nom, et le jour où elle rencontre enfin le succès tant mérité, tout le monde sauf elle est surpris. Être célèbre, c’est le but de sa vie. Et à l’occasion de vacances sur une île paradisiaque loin de tout, entre deux cessions d’écriture pour son troisième album, Cléo se replonge dans ses débuts, son ascension, son épiphanie, bref, dans le chemin de sa gloire.
Et nous, pendant 550 pages, on retient notre souffle, on s’étonne, on se dit que ça ne peut pas être possible. J’avais adoré Mon mari, et j’ai retrouvé dans Célèbre tout ce qui m’avait plu : l’écriture, le personnage, le cynisme, et cette envie de savoir jusqu’où ça va aller. Au début, j’ai eu du mal avec la protagoniste et ses retours incessants en arrière, et puis j’y suis rentrée très vite. Et j’ai adoré la détester. Parce qu’elle est foncièrement détestable. Cléo est insupportable, insatisfaite, cruelle, imbue d’elle-même, méchante, égoïste, égocentrique, cynique, sociopathe, sadique même, et on pourrait continuer comme ça encore longtemps. Au début c’est mignon, elle se donne à fond et on se dit « bichette » quand elle décide de s’auto-mutiler pour se punir, mais ensuite ça part tellement en cacahouètes… Passés les premiers succès, elle est vite blasée, tout en en voulant encore et toujours plus. Jusqu’où…?
En quelques mots : création, grandeur et décadence d’une pop star ; c’est féroce et addictif, jusqu’aux dernières lignes. Et surtout, ça se lit tellement bien, je n’ai pas vu passer les pages ! Décidément, Maud Ventura sait comment poser la touche finale à un roman. Je crois que j’ai quand-même préféré Mon mari, mais j’ai vraiment eu l’impression d’avoir accédé à un niveau au-dessus, et j’ai hâte d’en parler à sa sortie.
Rendez-vous le 22 août chez L’Iconoclaste !
08/07/2024 - 10/07/2025
1 note · View note
audreys-diary · 3 months
Text
Sally Rooney : le visage littéraire de la jeunesse
Il est difficile en tant qu’auteur de saisir avec subtilité les moeurs d’une génération : Sally Rooney a pourtant réussi brillamment cet exercice. Normal People, son roman le plus célèbre (et accessoirement un de mes livres préférés), s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires, tandis que ses deux autres romans, Conversations entre amis et Où es-tu, monde admirable, ont également connu un succès considérable. Décrite comme une “Jane Austen 2.0” et la “Salinger de la génération Snapchat”, qu’est-ce qui rend l’oeuvre de Sally Rooney si particulièrement juste?
A première vue, ses trois romans présentent une trame plutôt simpliste : des jeunes gens qui s’aiment, se cherchent, se désirent et se questionnent. Une sorte de John Green irlandaise, en moins candide pour ainsi dire. Mais au-delà de l’aspect romantique présent dans chacun de ses livres, Sally Rooney construit surtout des personnages qui expérimentent le sinueux passage de la vingtaine et apprennent beaucoup des relations très fortes qui les accompagnent. Son écriture, tout en se concentrant sur les détails, se plonge dans la psychologie humaine et en explore toutes les nuances.
L’écriture de Sally Rooney est également (et elle ne s’en cache pas) très politisée, entrant en résonance avec une génération qui revendique et défend hautement ses opinions politiques. Marxiste auto-didacte, ses personnages sont tous emprunts d’idéaux anti-capitalistes et d’une volonté de faire changer ce monde qu’ils jugent dysfonctionnel. Ses protagonistes féminins défendent aussi des principes féministes en faisant entendre leur voix, notamment au travers de dialogues-débats dont l’auteure est friande.
Ce qui fait son succès, c’est aussi la sincérité qui se dégage de son style. Sally Rooney est dans le vrai, les émotions de ses personnages sont les siennes, leurs quotidiens sont les nôtres. Sa plume est simple, descriptive, sans artifice, comme pour mieux se connecter aux petits gestes du quotidien qui se font les compagnons de nos émotions. Ses livres sont de véritables fresques reproduisant la réalité criante, parfois cruelle mais toujours juste, d’une jeunesse moderne qui se débat avec ses maux. J’ose le parallèle (audacieux, je le reconnais) avec Françoise Sagan, qui écrivait beaucoup sur la solitude et l’amour comme subterfuge, comme rempart à cette solitude qui frappe et emmure. Car les personnages de Sally Rooney sont eux aussi profondément seuls, tiraillés par les mille mains invisibles des rendez-vous manqués, de leurs relations complexes aux autres mais aussi à eux-même, et des chagrins inévitables qui viennent avec l’amour qui fait toujours partie intégrante de leurs vies.
Sally Rooney se place aujourd’hui, c’est indéniable, sur le banc de ces auteurs contemporains qui ont su entendre et comprendre la jeunesse d’un siècle tourmenté, bien qu’elle se dise mal à l’aise avec cette étiquette de représentation dont on l’affuble. Elle déclare dans un entretien à l’Oprah Daily : “Ça me rend anxieuse qu’on me ‘choisisse’ ou qu’on fasse de ma voix celle d’une génération parce que je représente une partie de cette génération — je ne suis pas vraiment un émissaire représentatif”. Quoi qu’il en soit, son évidente capacité d’observation et sa faculté à mettre en lumière les tourments et les pensées d’une génération font d’elle une romancière à suivre de très près.
0 notes
Tumblr media
November 2023 - For that edition of the Rendez-vous littéraire, Charlotte wore a sweater from the Fall 2023 RTW collection from Chanel.
If you are interested in the Rendez-vous, you can go here for more:
4 notes · View notes
Text
SONGERIES - Première
Grégoire et Justine se sont rencontrés il y a plusieurs années maintenant, en fréquentant le même espace de convivialité en ligne où l'un épanchait ses avis divers et variés sur des œuvres filmiques qu'il, à l'époque, consommait goulûment, et où l'autre tentait d'édifier la culture du premier à coup de lectures politiques, féministes, de poésie et de roman.
Justine enviait la culture ciné de Grégoire et Grégoire était jaloux de la culture littéraire de Justine. De cette envie de plonger dans l'univers de l'autre naquit une complicité notable. Plus tard, ils deviendraient amis.
L'une comme l'autre semblait écrire avec aisance sur la chair et ses plaisirs. Grégoire et sa propension à user du mot cyprine et Justine avec force de vocabulaire, pas moins crue, mais plus érudite. Une femme de lettre, un homme de gras.
Pour autant que Grégoire ne se plaisait plus physiquement, il avait un besoin de plaire et de se conformer, autant que ce qu'il pouvait l'accepter, aux attentes des autres. Parfois, il se surprenait à laisser ses mots exprimer ses pensées et c'est ainsi qu'il demanda à Justine, alors qu'il se trouvait dans la capitale, si elle voulait bien se faire attacher.
Attacher comme dans Shibari. Grégoire n'y allait pas avec le dos de la cuiller lorsqu'il s'agissait de proposer une rencontre en chair et en os à quelqu'une qu'il ne connaissait qu'en ligne.
Justine répondit positivement à sa demande, et Grégoire en fut presque prit de court. Il n'avait pas imaginé qu'elle dise oui et il éprouva une satisfaction certaine, teinté d'une pointe appréhension. Après tout, ils étaient à peu de choses près, de parfaits inconnus.
Le rendez-vous fut fixé afin d'aller voir, en préambule, l'exposition d'un photographe japonais que Grégoire appréciait déjà en ce temps-là. Mais avant toute chose Grégoire décide de contacter sa moitié afin de lui demander s'il pouvait attacher Justine. Madame, cela va sans dire, au pied du mur lui accorda une confiance de circonstance.
Justine, comme toute habitante de la capitale qui se respecte se trouva fort en retard et n'assista pas à l'exposition. Lorsqu'elle se présenta enfin, ils allèrent se restaurer avec quelques makis et un peu de saké. Grégoire parlait sans qu'elle ne puisse vraiment l'interrompre.
Grégoire est le genre de personne à s'écouter parler et trouver ce qu'il raconte formidable. Justine écoutait distraitement et mangeait maladroitement. Elle s'excusa auprès de Grégoire qui lui retorqua que cela lui était bien égal, si elle appréciait la nourriture c'était l'essentiel. Elle lui adressa un sourire, il resta le regard accrocher à ses lèvres charnues. Un silence retenti entre eux deux et Justine saisi l'occasion de placer quelques mots. Une voix un peu aigue. Elle récupère le regard de Grégoire et ne l'autorise plus à regarder ailleurs que dans ses mirettes. Grégoire semble boire ses paroles et ils échangent autour de quelques œuvres littéraires et cinématographiques et comme souvent chacun abreuve l'autre de son savoir. Les voilà tels des vases communicants.
Il est temps pour eux de rejoindre le groupe à la Place des cordes. Voilà que Grégoire s'affaire à encorder Justine. Grégoire transpire, il est plus tendu que ses cordes. Elle se laisse nouer les poignets et il fait passer la corde par-dessus un bambou suspendu au plafond et force la jeune femme à se redresser, bras attaché vers le haut. La voilà qui s'exclame :
Je me sens comme mes ancêtres. Justine évoque son Africanité avec une touche d'humour qui lui est propre.
Grégoire esquisse un sourire mais reste sur ses gardes, il a peur que ses mains effleurent la poitrine de Justine, qu'elle pense qu'il le fait de façon déplacée, qu'il a envie d'aller plus loin. Grégoire est obsédé par une seule idée, que la corde s'exprime à sa place. Justine porte une robe en jean et bien qu'il aurait apprécié passer ses cordes autour des cuisses de Justine et rehausser son postérieur, il ne souhaite pas dévoiler ses dessous en public. Malgré le retrait dans lequel se trouve l'espace où se déroule leur séance de shibari, ils sont loin d'être seuls.
Ajoutons à cela que c'est la première fois qu'ils se rencontre, Grégoire veut prendre soin de J!ustine et ne pas ruiner cette sensuelle parenthèse.
Ce que Grégoire conservera un souvenir plus ou moins net de cette soirée, des longues jambes et du sourire espiègle de Justine. Lorsqu'ils durent se séparer, ils conversèrent encore longtemps et Justine se trouva un surnom par lequel Grégoire aimera l'appeler aussi longtemps que leur amitié durera. Comme pour raviver cette connexion, comme pour graver dans leur mémoire ce fugace moment.
Justine se rebaptisa Petite Poupée de Sade et Grégoire senti enfler en lui un sentiment qu'il n'avoua jamais : il voulait faire de Justine sa robe bunny.
Chacun repris sa vie… Un jour Grégoire écrivit ses mots à Justine et il ne tarda pas à le regretter :
Je n'ai qu'une envie, c'est de t'attacher fermement et te fesser. Cela aurait pu sonner comme un aveu, mais il s'agissait d'une provocation alors que Justine lui confiait ses problèmes. Justine coupa les ponts un temps, et cela ne nous surprends point chères lectrices, chers lecteurs, qui traite ainsi ses amies dans des moments difficiles.
Grégoire fit montre d'un égoïsme rare, le traitement que lui fit Justine n'était que justice.
Pourtant quelques mois plus tard, c'est Justine qui renoua les liens. Grégoire fut surpris et ne su jamais s'il avait été pardonné. Il n'osa d'ailleurs questionner Justine à se sujet et lui preta dorénavant une oreille attentive.
Justine lui envoya de façon sporadique des textos et parlait d'elle, Grégoire se confia tout autant. Tous deux suivirent les aventures de l'autre et mutuellement se montraient force et soutien. Dans leurs malheurs comme dans leurs réussites, ils devinrent la béquille de l'autre. Un indispensable appui sur lequel se reposer en cas de coup de blues.
C'est six ans plus tard, un soir de décembre que leurs chemins se croiseront de nouveau. Pourtant ce ne furent pas les occasions qui manquèrent mais l'un d'eux été immanquablement indisponible lorsque l'autre était présent.
Justine est dans la cité phocéenne pour quelques jours et Grégoire a pu se libérer. Tous deux errent dans la ville, s'arrête non loin des Goudes pour écouter le bruit des vagues s'écrasants contre les rochers à la nuit tombée. Une tentative d'accéder à l'église de Notre Dame de la Garde se soldant par un échec : portail fermé. Et avant de séparer un repas végétarien. Enfin Grégoire retrouve les lèvres charnues et le sourire de Justine, elle qui tout au long de leur errance nocturne semblait complétement effacée.
Grégoire, plus à l'aise amène la conversation vers un sujet qu'il affectionne particulièrement, Justine, familière de ces sujets, n'éprouve aucun tabou à les aborder avec lui.
Je t'ai déjà parlé de mon envie de créer du contenu pour une de ces plates-formes où tu peux vendre quelques contenus à des "fans", il mime les guillemets avec ses doigts, contre un abonnement sans engagement ?
 Non.
Oh, le seul vrai problème c'est que Madame n'a pas envie d'être filmée en me prenant en levrette. Je sais qu'un public existe pour ce genre de contenu femdom, mais je n'arrive pas à la convaincre que ça puisse être une source de revenus correcte.
Je la comprends aussi, faut avoir envie de s'exposer quand même. Justine marque une pause. Tu penses que je pourrais exploiter mes lèvres ?
Je suis convaincu que ses lèvres charnues rencontreraient leurs fétichistes. Disons qu'avec tous les fétichismes qui s'épanouissent online, ce serait incroyable qu'il n'y ait personne qui aime ça.
Elle sourit. Il continu :
J'avoue que consommer du porno payant me fait sentir plus éthique. En plus on en trouve tant en vidéo que sous d'autres formes comme audio ou évidemment littéraire. Toi qui écris tu pourrais peut-être explorer cette partie-là des internets qu'en penses-tu ?
Oh, je n'en ai pas envie en ce moment.
Leurs échanges sont plus animés autour de ce repas, et lorsque Grégoire dépose Justine où elle loge durant quelques jours, cette joie s'est dissipée. Justine est plus tendue, elle ne pipe mot. Il aimerait lui dire qu'il tient à elle, que leur relation a évolué et qu'il aimerait lui dire ce qu'il garde pour lui depuis un moment déjà. Grégoire se tait lâchement. Il regarde Justine s'éloigner, franchir le pas de la porte et disparaître sans se retourner.
Grégoire n'est jamais aussi à l'aise à l'oral qu'à l'écrit. Sauf peut-être quand il se retrouve suffoquant sous le cul de Madame usant de son droit au face-sitting, mais ce n'est pas le sujet qui nous préoccupe actuellement.
Ce chapitre touche presque à sa fin et c'est pourquoi nous voyagerons encore quelques mois plus tard. Grégoire est tout chamboulé par un chapitre qu'il vient de lire. Une scène de waxplay lui a donné l'idée suivante : écrire à Justine, lui avouer ce qu'il a tut plusieurs mois auparavant.
Chère Justine, chère PPS,
Ce soir j'ai décidé d'être égoïste bien que je ne souhaite pas déclencher ton ire à nouveau. Je laisse ainsi libre cours à mon imagination à ton sujet.
Tu viens de m'écrire que tu serais sur Marseille bientôt et dans ma tête un vieux souvenir s'est invité. Il s'est mit à trotter çà et là dans mon imaginaire jusqu'à prendre trop de place : ce souvenir du jour où je n'ai pas su te soumettre à mes cordes, où je n'ai pas pu faire de toi ma rope bunny.
Je ne sais pas encore comment mais lors de notre rencontre je serais honnête avec toi et je te demanderais si tu veux bien me laisser t'attacher. Aurais-je pratiqué plus de shibari d'ici là, je ne pense pas, tu me connais, je suis un vrai fainéant et je compte sur ton indulgence pour palier à ce manquement. Surtout lorsqu'une activité me tient à cœur et que je n'ose pas la prendre en main.
Cela ne m'empêche pas d'imaginer un après-midi de rencontre, j'aurais préparé mes cordes avant d'aller te récupérer à la gare. Le temps sera clément, et il fera encore doux pour la saison. Je n'oserai pas te proposer tout de go de me servir de modèle. Je te demanderai où tu souhaites aller. Tu me répondras sûrement que tu aimerais profiter des paysages et de ne pas être enfermée dans une salle de cinéma ou un endroit clos. Tu voudras prendre l'air. Soit, nous irons marcher. Nous fatiguerons nos jambes en arpentant une calanque. Les calanques sont magnifiques et apaisantes. Le bleu de l'eau, le blanc des falaises. Tu sais, c'est le genre de paysage qui m'impressionne perpétuellement. Ça m'humilie au sens étymologique du terme, celui de rendre humble.
La nature sait me ramener à mon statut d'être éphémère. Ce n'en est que plus plaisant. Nous marcherons tout en s'accordant quelques pauses pour admirer ce qui s'offrira à nous.
Lorsqu'enfin nous déciderons de stopper notre randonnée, je boirais une longue gorgée d'eau, afin de reprendre mon souffle et gagner en contenance et je te demanderai :
Je voulais te demander quelque chose de particulier aujourd'hui. Tu hocheras la tête comme pour m'encourager à poursuivre.
J'ai apporté des cordes avec moi, au cas où tu m'autoriserais à t'attacher. Tu me fixeras un instant et me répondra sans plus attendre :
Je n'ai pas envie que tu m'attaches. Je montrerai quelque signe de regret mais je me rangerais à ta décision.
D'accord. Je réaliserais alors que la vie n'est pas un fantasme sur lequel on peut se prélasser sans fin.
Je prendrais place à tes côtés et tu entameras la conversation comme pour m'aider à reprendre le cours normal de cette journée que nous passerons ensemble. Comme pour m'indiquer que tout est très bien ainsi, et que notre amitié ne peut se résumer à ce seul souvenir.
Il fera beau, et la vérité viendra étreindre mon cœur : je partagerais l'intimité d'un moment avec une personne qui m'accorde sa confiance et qui me considère comme un livre dans lequel elle est libre d'écrire ses maux pour obtenir des mots de soutien en retour.
Justine, tu as fait de moi un réceptacle dans lequel tu peux déverser tes appréhensions et en retirer de l'espoir.
0 notes