Tumgik
#Retouche nouveau-né
youreditingteamfr · 2 years
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Retouche Photo De Tête Rapide - YourEditingTeam
Chez YourEditingTeam, nos Retouche-Gurus vous fourniront des retouches de haut niveau pour les besoins de retouche les plus courants, en toute simplicité. N’hésitez pas et libérez vos créatifs pour que vous puissiez vous concentrer davantage sur le cœur de votre activité. Nous veillerons à ce que les délais soient respectés et que les budgets ne soient pas gaspillés. Pour plus d'informations, visitez notre site web:- retouche photo de tête rapide
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Les tendances 2023-2025 de l’édition de livres, le marché est loin d’être poussiéreux, et connaît des mouvements, adaptations et d'innovations. Et ce à tous les niveaux outils, formats, auteurs, éditeurs, grands groupes. Les nouveautés la promotion sur TikTok est l’un des réseaux sociaux à la plus forte croissance, malgré ses centaines de millions d’utilisateurs. Son développement est très impressionnant. L’outil publicitaire TikTok Ads a été révélé en 2021. Que ça soit pour promouvoir son livre en tant qu’auteur, ou pour étendre son lectorat en tant que blogueur littéraire, la tendance BookTok, emboîte le pas aux bookstragrammeurs. TikTok a ses propres codes, qu’il faut comprendre et adopter. Mais une fois cette barrière passée, l’audience se montre très réceptive, et active. Les prochaines années devraient voir une utilisation croissante par les auteurs et les maisons d’édition. La hausse des prix de vente en vue l’inflation généralisée et la hausse des matières premières créé des dysfonctionnements dans l’édition. De nombreux imprimeurs (BoD, SoBook, Hachette) ont augmenté leurs tarifs et continueront à le faire. Nul doute que ces hausses tarifaires se répercuteront dans le prix de vente final des livres, tant papier et que e-book, pour améliorer les marges globales. D’autant que les ventes de livres papiers se maintiennent, et démontrent que les lecteurs apprécient toujours le papier, en complément des formats alternatifs (e-books, audio-books). L’intelligence artificielle au service du livre il n’est pas venu, le temps où une intelligence artificielle écrira un roman au suspens haletant. Il manque à l’IA l’intelligence de la narration, qui n’est maîtrisée que par les humains. En revanche, les algorithmes arrivent déjà à réaliser des traductions de très bonne qualité, qu’il faut certes retoucher manuellement, mais de moins en moins. Bonnes lectures 16 janvier 2023
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La blockchain permet de sécuriser des documents, et d’attester de la paternité d’un texte, de manière unique et inviolable. Ces outils apportent une aide importante à la protection des droits d’auteurs. Les publications en auto-édition continuent à se populariser. Pour des auteurs connus, comme pour des primo-accédants. L’enjeu principal reste double : le choix de la plateforme, et le travail de promotion pour sortir du lot. Penser à ses lecteurs, leur envoyer des informations et textes gratuits, leur poser des questions … en un mot : construire une communauté autour de vous. Voilà un outil de promotion. L’audio est un format d’avenir et est le format de livre qui a connu la plus forte croissance ces dernières années. Les lecteurs apprécient de consommer le divertissement en séries, que cela soit en films, en livres, ou en podcasts Wattpad continue à croître, Amazon laisse désormais la possibilité d’afficher un lien de série entre ses livres, par l’interface KDP, Kindle Vella, nouveau format de contenus courts, en séries, est né aux États-Unis, Le contenu A+ sur Amazon, permet de relier un livre à une série.
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L’inimitable Jaguar F-Pace SVR
Le 23 novembre 2022
Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire quelque chose de négatif sur le VUS compact F-Pace de Jaguar? Même si certains propriétaires ont connu quelques problèmes (ce qui arrive dans toutes les marques, n’est-ce pas?), rares sont ceux qui ont critiqué ce véhicule inimitable d’origine britannique. Et inimitable est le bon terme pour décrire cette «camionnette» luxueuse.
Le VUS F-Pace est «né» au Salon de l’auto de Detroit de 2015. Dès qu’il a été dévoilé, tous les observateurs sont tombés amoureux de ce Jag. Dès le départ, il a connu une belle carrière mais c’est en 2021 que les designers de la marque ont décidé d’en réviser surtout l’avant et l’arrière conservant malgré tout la silhouette intacte. Et c’est tant mieux.
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Malgré les retouches à l’avant, le Jaguar F-Pace a conservé son look d’origine. (Photo Éric Descarries)
Le véhicule qui m’a été prêté par Jaguar Canada était le modèle de haute performance SVR à moteur V8. On reconnaîtra la dernière mouture de F-Pace à son avant redessiné qui met en évidence une nouvelle calandre, un capot plongeant plus dynamique et des éléments de pare-chocs refaits. De même, l’arrière a subi sa cure de rajeunissement avec des feux plus effilés et un bouclier sous le pare-chocs qui inclut des ailettes de diffusion d’air. Évidemment, vous allez remarquer les pointes d’échappement plus évidentes.
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L’arrière a aussi été récemment revu avec des feux plus effilés et un bouclier sous le pare-chocs avec diffuseurs qui inclue des pointes d’échappement visibles! (Photo Éric Descarries)
Toutefois, c’est à l’intérieur que l’on note des changements encore plus intéressants surtout au niveau du tableau de bord. Celui-ci est modernisé et il se présente avec un écran central de 11,4 pouces qui est combiné à un système développé par Blackberry. Quant à l’instrumentation, celle-ci est aussi reproduite dans un écran face au conducteur. La plupart des commandes sont faciles à repérer et à manipuler sauf qu’elles peuvent demander une certaine période d’apprentissage. Ah oui! La sonorisation stéréo Meridien n’est pas à dédaigner! Le levier de changement de vitesse est presque conventionnel (bye=bye le sélecteur rotatif) mais son fonctionnement est à contacts électroniques. Le conducteur pourra choisir certaines fonctions comme le mode de terrain à la console intérieure. Plusieurs autres commandes sont dédoublées sur le nouveau volant. Évidemment, pour mieux exploiter les capacités du SVR, les rapports de vitesse et de rétrogradage de la boîte automatique sont aussi reproduits aux palettes derrière le volant.
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Le plus important changement se voit au niveau du tableau de bord. (Photo Éric Descarries)
Une autre grande qualité des produits Jaguar qui est difficile à critiquer, c’est la finition intérieure, surtout la sellerie d’un cuir typiquement British! Toutefois, souvenez-vous que le F-Pace est considéré comme un VUS compact! Il n’y a donc que quatre véritables places pour accueillir les passagers, cinq si nécessaire…
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Les places arrière sont à la fois élégantes et relativement spacieuses... (Photo Éric Descarries)
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Évidemment, le coffre que l’on atteint par le hayon arrière est relativement pratique et  caverneux.
C’est sous le capot que l’amateur de sportives de performance sera gâté. En effet, c'est là que se cache le V8 suralimenté de 5,0 litres de Jaguar. Alors que certaines rumeurs annonçaient un moteur issu d’un constructeur allemand comme l’a fait Land Rover, tout semble indiquer que Jaguar, ait réussi à récupérer tout ce qu’il fallait pour continuer la production du V8 AJ qui était autrefois confiée à l’usine Ford de Bridgend (en Angleterre). Le constructeur d’origine américaine a décidé de fermer cette vieille usine (qui avait toujours une fonderie nécessaire au coulage du métal chaud pour les blocs-cylindres et les culasses) ce qui avait incité Jaguar et son partenaire Land-Rover à développer sa propre gamme de quatre cylindres et six cylindres en ligne Ingenium. Mais le V8 demeurait une option nécessaire à la réputation de Jaguar. Dans le cas qui nous intéresse, le Jaguar SVR en utilise la version suralimentée avec compresseur mécanique Eaton de 5,0 litres qui développe 550 chevaux et 516 li-pi de couple. Il vient combiné à une boîte automatique ZF à huit rapports et à la traction intégrale (et non 4 x 4). Incidemment, malgré sa fiche technique semblable à celle d’un tout-terrain, le Jaguar SVR a plutôt été conçu pour la conduite sportive (quoique bien équipé de pneus d’hiver appropriés, il devrait être très à l’aise dans la neige et sur la glace). De toute façon, la plateforme du F-Pace est plutôt issue du modèle D7, la même qui se retrouvait sous les berlines XE et XF.
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Avec un peu d’observation, on reconnaîtra le V8 AJ de Jaguar issu d’une union passée avec Ford! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Ce qui compte, c’est le comportement routier de la version SVR! Pour ceux qui sont friands de statistiques de performance, sachez qu’en utilisant la méthode Launch Control, ce VUS d’un peu plus de 4000 livres peut atteindre le cap des 100 km/h en moins de quatre secondes (avec un peu de pratique). Jaguar en annonce une vitesse maximale de quelque 280 km/h. Ayant déjà conduit une version antérieure de SVR sur piste il y a quelques années, je peux vous affirmer que, malgré sa grande caisse, ce Jaguar a une excellente tenue de route capable de se mesurer à celle de concurrents comme le Jeep Grand Cherokee Trackhawk ou Porsche Macan Turbo de même catégorie.
Malgré son approche sportive, le Jaguar F-Pace SVR demeure un véhicule relativement confortable qui peut être très «civilisé» en ville. Cependant, s’il y a un petit côté excitant à ce VUS, c’est définitivement le son des échappements! Les ingénieurs de Jaguar ont pris un grand soin particulier de développer les échappements du bolide afin que le son qui en sort soit une véritable musique aux oreilles du conducteur! Il peut aussi être un murmure apaisant en vitesse de croisière.
Peu importe la vitesse à laquelle ce Jag est conduit, il faut mentionner que ses sièges offrent un support latéral rassurant sans être trop ferme. Évidemment, ils sont chauffants pour l’hiver alors que le cuir finement perforé laisse passer l’air frais durant les chaudes journées de l’été. La direction est très précise mais un peu tendre alors que le freinage est vraiment à la hauteur de la situation, la pédale répondant rapidement à toute sollicitation! Dans tous les cas, il faut dire que les pneus Pirelli P Zero aident à la situation!
La conduite urbaine du SVR n’est pas si problématique sauf qu’il faille être plus attentif aux autres véhicules l’entourant. La visibilité n’y est pas si facile (mais le style en est toujours aussi excitant!). Le stationner demande un peu d’attention tout en se fiant aux caméras qui l’équipent. Sinon, allez parquer un peu plus loin où c’est plus facile!
En vérité, le Jaguar F-Pace SVR n’est pas nécessairement un véhicule utilitaire sport qui a des aptitudes de tout-terrain. Mais on peut certainement le qualifier de GT tout usage excitant à conduire…par moments! J’ai dû le laisser quelques heures à un stationnement par valet et lorsque j’ai repris le véhicule, en l’attendant à la porte de l’établissement où je venais d’assister à une présentation, je n’ai eu aucune difficulté à l’entendre venir! Lorsque le valet m’a remis la voiture, il avait le sourire fendu jusqu’au bout des lèvres! Il m’a tout simplement dit : «Bon retour à la maison, je sais que vous vous amuserez!».
Bien entendu, la consommation n’est pas exemplaire. Il s’agit d’un véhicule de haute performance après-tout. Malgré un temps plutôt clément, je n’ai réussi une moyenne que de 17,3 l./100 km! Avec de l’essence super en plus!
Le prix de base de ce Jaguar F-Pace SVR est de 98 400 $. Ajoutez-y la sonorisation Meridien de 600 $, les jantes de 22 pouces de 1300 $, le parebrise chauffant de 450 $, les seuils de porte illuminés de 450 $, le seuil du coffre illuminé de 250 $, les rails de la galerie sur le toit de 450 $, le Jaguar Drive Control de 250 $ et surtout, la peinture SVO métallisée de 6100 $ (!) en plus des frais de livraison de 1850 $ et la facture totale se chiffre à…110 000 $ !
Toutefois, il est plutôt difficile de refuser quelques jours au volant d’une de ces légendes de la route. Le Jaguar F-Pace SVR pourrait-il se mesurer facilement à des concurrents comme le Jeep Grand Cherokee Trackhawk, le Porsche Macan Turbo, le VUS Mercedes-Benz AMG GLE 63 équivalent, le BMW X5 M et autres ? Peut-être! Mais on s’en fout! Aucun d’entre eux ne s’appelle Jaguar! Et ce nom est plus légendaire et plus inspirant que celui des autres!
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claudehenrion · 4 years
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Au delà de l'horrible “cancel-culture”, la fin de la “culture”.
  La “cancel culture”, à titre individuel, est un assassinat civil. Au niveau collectif, c'est le “grand remplacement ’‘de toute culture –donc de la nôtre– par la tyrannie stérile mais haineuse de minorités dont le néant a été rebaptisé ’'contre-culture”. Dans un monde beaucoup plus unifié qu'il ne l'est aujourd'hui, une “culture” était un héritage commun (tant à droite qu'à gauche, d'ailleurs…), et “transmettre” était le devoir de tous et de chacun : c'était la possibilité de l’ aspiration par un ascenseur social qui marchait encore mais dépendait de la volonté d'intégration des Rastignac en herbe, qui sont aujourd'hui condamnés à un rejet de tout, par principe.
  En 2021, il est réputé politiquement incorrect de transmettre la culture, la nôtre ou une autre –nous l'avons dit– et c’est même le mal… (encore que, remarque Jeanne Smits dans la revue Liberté politique, ce jugement idiot ne soit que très rarement partagé, en vérité, par le pays profond et dans le secret des familles). L'équation est simple(-iste) : transmission = transgression, et toutes les “valeurs” ayant été renversées et inversées, l'anti-culture ambiante voit une trahison dans toute éducation traditionnelle. Une idéologie des “droits à–, sans contrepartie” avait remplacé le “droit de” (qui implique un “devoir de”, en retour), mais ce pauvre édifice s'est aussi effondré, laissant la place à une confrontation générale : femmes contre hommes, noirs contre blancs, descendants d’esclaves contre descendants d’esclavagistes, ex-colonisés contre ex-colons, ‘’LGBT’’ contre “hétéros”, jeunes contre vieux, justiciers auto-proclamés contre coupables-puisque-vivants…  Même dans l'Église, réputée stable, un “catho-progressisme” destructeur rêve de femmes aux postes-clefs, et traque ceux qui, par “sensibilité”, par “préférence esthétique” ou par “fidélité” –mots ne pouvant véhiculer qu'un mépris absolu– osent préférer ou regretter une liturgie plus traditionnelle. Mais tous les rites de soumission à la nouvelle doxa étant obligatoires, l'ancien esclavage des corps a été remplacé par un néo-esclavage subreptice de l'esprit. Progrès, où est ta victoire ?
  Résumons : le monde d’avant cette ‘’prise de conscience’’ était mauvais,    injuste, obscurantiste, sexiste, raciste, patriarcal… et donc, il ne pouvait être qu'opprimant. Par conséquent, transmettre ou seulement admettre cette culture, créée par les “dominants” et à leur image, c’est perpétuer le mal : puisqu'elle véhicule l’oppression, ne pas la détruire, c’est déjà du racisme, du sexisme, etc. .. L'extrémiste féministe Alice Coffin, dans ’'Le génie lesbien’’ (NDLR - Je cite, car je ne l'ai pas lu, évidemment ! Vous m'imaginez feuilletant “ça” !), explique aux femmes, en parlant des hommes : “Il faut, à notre tour (?) les éliminer. Les éliminer de nos esprits, de nos images, de nos représentations. Leurs livres, leurs films, leurs musiques sont le prolongement d’un système de domination et l’art est une extension de l’imaginaire masculin”. Mais que c'est con ! Croit-elle ouvrir la porte d’un nouveau paradis, sans violence, tout en douceur, en beauté et en fraternité ? Il vaudrait mieux en rire… si cette position était une aberration isolée. Or si elle est caricaturale, c'est d'un monde devenu un champ pas clos où se déchaîne la haine.
  L’effacement par système d’une culture humaniste universaliste au nom de la promotion des droits prétendus –en tout cas, affirmés– de minorités fortes d'un poids plus médiatique qu'idéologique est largement commencé. Ainsi, dans des pays qui se croient “avancés”, on ne cesse de retoucher les programmes scolaires pour les mettre en conformité avec l’idéologie du moment : contre tout bon sens, on enseigne une orthographe “inclusive”, soi-disant bras vengeur de néo-prolétaires auto-proclamés… dans plusieurs États américains, on enseigne déjà une “histoire LGBT” (sic ! LOL !)… dans les programmes d’histoire de nos collèges, on découvre quelques roitelets d’Afrique noire qui sont déclarés interchangeables avec Louis XIV, Frederic II ou la Reine Victoria… tout cela étant rendu possible par une “pédagogie globale et thématique” qui déconstruit tout savoir. Bingo ! C’est gagné !
  Et ce qui est transmis est non seulement idéologiquement pollué mais présenté en désordre complet, de manière à ce que le plus possible d'élèves ne sachent plus situer dans le temps Victor Hugo, Vercingétorix, De Gaulle ou Louis XIV. Quant à la géographie, elle s'est recroquevillée dans un affreux endoctrinement, faux mais écologiforme. Dans les années '40, une chanson, “le Lycée Papillon”, disait (de mémoire) : “Vercingétorix, né sous Louis-Philippe, battit les chinois, un soir à Roncevaux, Louis XIV inventa la bombe atomique et Victor Hugo découvrir l'auto”… Aujourd'hui, personne ne trouverait ça drôle : la réalité a dépassé la fiction, et la culture n'est pas reconnue “au patrimoine de l'UNESCO”, ce serait trop beau !
  Raison de plus, me direz-vous, pour la chouchouter et en proclamer la beauté, que tous pouvaient, finalement, partager quelle que soit leur origine sociale. Mais la chose est de plus en plus difficile : plus que son ancien contenu, si riche, c’est le concept de culture lui-même qui disparaît, par l'appauvrissement vertigineux de ce qui est transmis et par un rejet de principe : la “culture” serait  ’'blanche’’ et “patriarcale” –et pour cause, en ces temps-là ! Ce rejet s’étend, telle une gangrène, au point que la Walt Disney Co fait précéder ses films de l'imbécillité suivante : ’'Ce film contient des stéréotypes négatifs de personnes ou de cultures (…). Nous tenons à reconnaître son influence néfaste, etc…“. Cette hostilité se développe à un rythme qui s'accélère : toute personne ou entreprise qui aurait contrevenu aux injonctions des nouvelles normes prétendues morales doit (devrait) disparaître sans laisser trace de ce néo-péché mortel qu’est le fait d’avoir existé avant la folie…
  La bonne nouvelle, c’est que ces attaques sont si absurdes qu'elles provoquent de multiples protestations et que la  liberté d’expression (la vraie, pas celle qui consiste à blasphémer sous prétexte que la loi ne l'interdit pas) retrouve de nombreux défenseurs. Mais cela n’arrête pas le déboulonnage (en Occident seulement) des statues d'esclavagistes ou supposés tels (exemple : Saint Junipero Serra, ’'l'inventeur de la Californie”, dont je raconterai une autre fois la merveilleuse histoire). Mais ’’Black Lives Matter“(ce dont personne ne doute en France depuis le 4 février 1794) est trop souvent entendu comme ’'donc la vie des non-Noirs ne compte pas... ou ”ne devrait pas compter’’… ou “devrait ne pas compter” : nombre d'américains blancs ont subi des agressions pour avoir rétorqué  “All Lives Matter ” (toutes les vies comptent), ce qui semble très difficile à admettre, pour certains.
  L'existence d'injustices passées, présentée comme inacceptable, serait imprescriptible pour les théoriciens du mouvement, et c'est donc une “culture des méchants” qui se cache derrière le concept de civilisation qu'ils disent rejeter. En fait, ils ont juste déplacé la ligne de partage entre le bien et le mal ou le juste et l’injuste, ce qui leur donnerait le droit de décider –et eux seuls–  que telle culture est ou serait plus juste ou plus injuste, meilleure ou pire que telle autre, et la leur, donc, meilleure que la nôtre. Cette vision des choses cantonne donc l'histoire (et, donc, la culture, qui en est à la fois l'identifiant, la caractéristique, et le résultat tangible), dans la seule logique opprimés-oppresseurs, d’où toute vérité historique est exclue, comme on nous avait déjà fait le coup avec la ‘'lutte des classes’’, avant elle.
  Le “Urban Dictionnary” (dictionnaire en ligne anglophone créé en 1999. Il figure parmi les sites web les plus visités au monde) définit “to be woke’‘ (être woke) par : “se préoccuper d'un problème social d'une manière ostentatoire”. La question suivante est, bien sûr : “ces ’'social justice warriors”, “guerriers” d'une justice dite sociale qui font outrancièrement mousser, sur les réseaux sociaux, des causes fallacieuses qu'ils disent être progressistes (féminisme et LGBT-isme, néo-racisme, multiculturalisme, violence policière, etc…), vont-ils influencer nos “indigènes de la République” et nos “décolonialistes” dont certains, à l'extérieur de la très  vilaine mouvance dite “des Traoré”, croient sans doute aux craques qu'ils récitent. 
  Ce ’'militantisme victimaire’’ semble être plus souvent motivé par une recherche d'approbation médiatique (le cas dit ‘’desTraoré” est typique –et honteux) ou par l'étalement complaisant d'un sentiment de supériorité morale, que par une réelle quête de justice… ce qui est une source d'espoir pour les modérés, les sages, les honnêtes gens… En attendant, notre culture, hélas niée par notre Président –ce qui est vraiment un comble !– est en grand danger d'être remplacée par… rien.
H-Cl.
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jésus ?                        volume   24                      relu mars   2020  
en cours de refondation   svp lire à partir du vol1
 2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion de ce qui serait le judéo christianisme
le vrai jésus, celui que peut-être tu adores…, sais-tu vraiment qui tu adores ?  (si tu le sais : tant mieux pour toi, car, personne d’autre ne le sait…)
alors voici  une série de réflexions
née à la suite de la lecture de    « le dictionnaire amoureux de jésus  » écrit par un fou de la secte dite judéo-chrétienne (dite judéo-chrétienne, tu dois toujours parler des judéo-chrétiens comme cela, car il n’y a pas de christ, il n’y a pas de messie, authentifiés par les instances judaïques, or ces concepts sont nés dans la tradition judaïque, et les dits judéo-chrétiens se considèrent comme de cette tradition), et qu’il m’a, par « imposition », aussitôt, fallu voir comme soudainement :  « le livre en trop »,    l’exemple de  livre, prévenons les dits judéo-chrétiens !, à ne plus lire (& non lu complétement par moi, à ce jour), à ne plus écrire en 2017 sauf à démolir l’ensemble de ce qu’il promeut (tant de galéjades) encore et encore…  /
cette petite mais attentive recherche en tenant compte (enfin) notamment du point de vue (lequel aura été explosif pour tant de gens encore dans une critique constructive un peu trop lâche, par rapport au dit judéo-christianisme, un doute qui profitait aux menteurs), du point de vue de michel onfray, et bien sûr, après l’étude des révélations des chercheurs enfin réunis, confrontés  par les inattendus  documentaristes prieur et mordillat  (« corpus christi » et ses suites), une confrontation transparente qui a pu enfin apparaitre !,
enfin pouvant se faire, loin des inquisiteurs tout puissants d’hier, & laquelle aura conduit au livre  « jésus contre jésus » de prieur et mordillat, en 1999…, the right book at the right time, un séisme anti-christique, lequel donc efface 2000 ans de superstition, & qui est… passé inaperçu ! & cela aussi reste assez inattendu! (ainsi… les consciences auront donc été violées sur le long terme…)
cette recherche en méditant aussi jour après jour sur jésus, en, d’une part, oubliant, tout ce qui a été écrit, dit, officiellement, sur lui, les fables…,
avec cette question : pourquoi, comment cette continuation extra longue de cette religion ?, par diabolisme ?,
quoiqu’il en soit : une religion dangereuse, qui conduit en fait ses fidèles à l’angoisse, à la croyance au néant après la mort,
cette religion continue à occulter la seule religion cohérente possible : celle de la réincarnation, celle de la continuation spirituelle, &, là, croire n’est plus, heureusement, seulement une fabrique si infinie de désespoir…     mon commentaire     (work in progress)    propose des  éléments de réflexion   (de toutes façons personne n’est d’accord et sur rien en cette histoire)
l’énigme Marcion          (éléments disparates, à confirmer, synthèse impossible, on est dans les débuts d’une religion, d’une escroquerie spirituelle, ou de ce qui l’est devenue, et qui passe par précisément l’effacement des débuts, car les débuts c’est : la fabrication)
on dirait un peu : Marcion, c’est un des personnage stars qui (pour nous, bien après !) ? qui émerge après les tout débuts du judéo-jésusisme et nous sommes amenés par lui à comprendre : la difficile fabrication de jésus, les scriptoriums, le prophète jésus non encore bien dessiné !, donc surtout inventé etc.
ce qu’on apprend grâce à « corpus christi », et voilà qui complique encore l’affaire jésus
un riche armateur, un fils d’évêque jésusiste, qui, se fait théologien !!!, il propose de financer les débuts du jésusisme, en contrepartie : il veut participer à la fabrication théologique de jésus (mais ça ne marchera pas, il sera excommunié !, récupérera son argent, fondera sa propre religion)  
fils d’évêque : alors il part déjà d’une connaissance que seuls ont les premiers dignitaires de cette religion qui « commence » autour de l’émergence d’un être dit divin : jésus
et à l’évidence il a compris quelque chose (que nous on a difficulté à comprendre) il se dit lui aussi jésusiste  mais décrète : tous les écrits ne venant pas de paul et de « luc » (mais ce « luc » est un mystère aussi) ne doivent pas être pris en considération
paul, selon Marcion, est à voir comme celui  venu pour le service après-vente
très curieusement pour nous : Marcion vient dire et il est aussitôt très écouté : « problème, personne n’a compris le message de jésus, ceux qui l’ont connu de son vivant ont mal rapporté ses paroles, et pire, certains ont truqué son enseignement pour s’en servir comme celui qu’eux ! ils voulaient imposer » (il met en doute certains évangiles sauf 1, celui de luc, et encore qu’il retouche), bref les textes d’alors ne sont pas considérés comme fiables (dont quasiment ceux que nous avons aujourd’hui, alors) par lui  
Marcion proclame (on reconstitue) genre : « dieu ( !), voyant ce bordel a alors élu : paul (et en + marcion fait le tri entre ses écrits car certains écrits dits de paul ne sont pas de paul) pour réparer tout cela et pour qu’on revienne à ce que jésus appelait la bonne nouvelle »
selon Marcion : paul et dépositaire de la vraie révélation
ainsi, je le répète, alors, si l’on en croit Marcion l’esprit saint n’aurait fonctionné qu’à partir de paul, ah ah ah !!
on a l’impression, en allant un peu + loin, que Marcion croit donc + en paul qu’en jésus, alors c’est vertigineux…, on ne comprend plus rien
ce qu’on sait : Marcion veut déjudaïser jésus
il veut le voir ? comme créant une nouvelle religion, alors il dénonçait : ses proches comme l’ayant criminellement judaïsé, dans ce cas jésus aurait été au départ un juif baptiste dissident encore + dissident, mais récupéré par le baptisme certes dissident mais restant complétement quand même dans le camps judaïque (ses proches, baptistes l’auraient maintenu dans le pur baptisme)  
Marcion savait-il mieux qui était ce paul  (et savait-il mieux en ce qui concerne l’évangile selon luc ?), Marcion voyait-il paul conceptualisant (inventant ?) (lui, bien) jésus ?
tous ces théologiens, en leurs querelles croyaient-ils en jésus en tant que personnage divin ?, ou bien comme personnage théologique (surtout inventé donc), de prêche et de manuscrits qui était encore en train, en cette forme, d’émerger, donc pouvant encore être largement modifié
paul lui (selon les chercheurs) aurait décidé : « moi paul,  je dis ceci et cela et croyez le car cela vient directement de dieu ! »
= Marcion privilégie ?, valide la réalité ou bien l’invention théologique (de jésus et de son enseignement) par le seul paul, il considère paul comme pouvant mettre au clair tout cela (le message  
de dieu, de dieu qui vient donc de se manifester avec jésus, mais l’important : dieu s’est manifesté, qu’importe si jésus et les siens n’ont pas été à la hauteur), car dans les faits : Marcion, en bon gnostique nie l’importance de jésus, l’important est le message de dieu, et le message aurait donc été finalement donné par paul ! (or nous on ne voit trop pourquoi cette sur-importance de paul !, ce qui aurait été donc une refondation par paul)
on pourrait aussi prendre la piste : Marcion voit la religion jésusiste partir sur de mauvaises bases, trop inventée, mal inventées avec l’histoire de jésus phantasmé, divinisé ?, et il faudrait revenir à paul : le théologien qui s’est attaché à reconceptualiser mieux cette proposition baptiste de départ, et proposition qui en devenant jésusiste est devenue : encore autre chose,
on a un personnage phantasmé : jésus, une illusion collective spirituelle avec jésus, qui est née (comme cela arrive), et différents théologiens veulent s’en emparer ?, d’où plusieurs écoles spirituelles jésusistes à Rome, dont celle de Marcion ! / ces théologiens se considèrent-ils comme travaillant sur la croyance en jésus : celle-ci comme ayant été vraiment une manifestation de dieu ?  ou bien comme une rumeur qu’il faut étoffer cyniquement, qu’il faut conceptualiser pour la rendre mieux effective, ou bien c’est un peu les deux ?
je ne sais pas, c’est le genre de questions qu’on peut se poser :  car : finalement déjà plusieurs générations après la crucifixion de jésus, ce qui ne fait pas beaucoup : personne n’est d’accord sur ce qu’était jésus, sur ce qu’était ceux qui suivront ensuite : tel paul, « luc »
et puis paul, c’est « les actes des apôtres », ce texte si fou…, alors Marcion cautionne cela ?
et puis paul, aujourd’hui, ce n’est pas du tout ce que dit Marcion, c’est au contraire, quelqu’un qui s’accorde parfaitement à tout ce qui est dans le Nouveau testament (du moins bien sûr quand on regarde de loin  / de près : c’est AUSSI très compliqué, et particulièrement avec le personnage de paul, dont l’enseignement est à géométrie variable)
en fait marcion validerait là un peu + ? : l’invention théologique de tout cela (une invention que marcion jugerait divine bien sûr), car paul = quand même cela se peut prendre pour de la seule invention théologique puisque paul ne semble pas trop tenir compte du personnage historique de jésus ! (selon le dire des chercheurs de « corpus »)
mais on ne sait pratiquement rien de + sur Marcion, ses écrits ont disparu : à l’évidence il avait découvert quelque chose pour que ses théories fassent « le tour de la terre », mais tout cela a été effacé par les dits juifs chrétiens orthodoxes en train de se constituer, en train d’aller dans un sens, lequel à l’évidence ne sera pas celui de Marcion
à rome, avant d’être excommunié (an 150): Marcion a son école de théologie jésusiste (ou déjà dite judéo-chrétienne ?)
à noter : sur les 3 écoles dites judéo-chrétiennes : 2 sont dirigées par des gnostiques !, or en principe, les gnostiques sont parmi les fous dits juifs chrétiens : des encore + fous dits juifs chrétiens (à savoir au passage : tous les fous gnostiques ne sont pas jésusistes)
tous ces gens essaient  de donner du sens à la montée en puissance de cette rumeur qu’est jésus ?, montée en puissance plutôt irrationnelle (en tout cas, si les gens d’alors trouvent des avantages à se
faire juifs chrétiens : du côté de la base, de la spiritualité : c’est pas au point jésus !, et certains théologiens veulent cependant trouver des réponses spirituelles autres que celles déjà connues, se basant sur la Bible juive
donc ceux qu’on appellera ensuite : « les gnostiques », supportent mal ce jésus qui finalement continuer la Bible judaïque, et veulent donc réparer les dégâts ?, il faut, selon eux, un jésus qui amène une quasi complète nouvelle religion
mais apparemment ces gnostiques ne seront pas assez suivis, et vite persécutés, ou bien : tués dans l’œuf, mais certains auront leur propre religion quand même durablement effective
les gnostiques (en parlant des gnostiques jésusistes) se disent-ils ? : « bon, les prêcheurs scribes ont fait de jésus un prophète, or cela a marché, cette figure semble s’imposer, il y là quelque chose d’irrésistible, mais on sait bien : tout cela a été inventé / alors que fait-on nous gens de meilleure qualité ? : on peut en effet prendre jésus comme prophète, mais il faut quand même améliorer tout cela… », et ils se mettent à délirer ?…. encore bien + que les scribes judéo-jésusistes (mais on est dans le flou spirituel : là le délire est inévitable !, c’est en tout cas la preuve d’une prodigieuse recherche, d’une prodigieuse sincérité : ce qu’il y avait avant ne tenait pas la route, doit être vu comme cela, et quand il s’agit de juifs qui s’attèlent à cela : c’est à un moment où il n’est plus possible aux juifs de lapider…, les juifs sont en cours de désintégration d’exil, et les dits juifs chrétiens déjà orthodoxes : ne sont guère en position de force, et puis ils sont des pacifistes, c’est dans leur adn de départ)
c’est une supposition, car on ne comprend pas ces délires gnostiques (un chercheur dit genre : « ces gnostiques chrétiens : ne voient pas l’homme comme étant sauvé bientôt historiquement, fin du monde etc., mais devant se voir sauvé possiblement par la connaissance, ainsi là ce ne sont pas des populistes !, pour eux on doit rester dans le théologique pur)
donc : Marcion reste une énigme, les débuts du judéo-christianisme restent une énigme complète mais ce qu’a apporté « corpus christi » : c’est on continue à croire à partir d’un flou complet :  et surtout pas les chercheurs dits juifs chrétiens, les théologiens d’aujourd’hui ne peuvent se dire : notre croyance est basée sur du solide (mais on le sait à l’avance : une telle croyance par nature ne peut se baser sur du solide, c’est pourquoi la croyance dite judéo-chrétienne continue, certes en ayant perdu toutes ses couleurs : sa solidité c’est notre possibilité de croire en du flou)
je me souviens, était-ce moi ou un autre : dans une conversation avec le prêtre pierron qui nous enseignait : quelqu’un avait lancé le nom « Marcion » (car on avait lu des choses sur les hérétiques, cela nous avait étonné, et il y avait ce nom : Marcion)  en étant sûr que le prêtre allait être mis dans l’embarras, mais en étant aussi en fait avide d’une réponse intéressante (mais cela prouvait : nos doutes éveillés déjà, je suppose que je devais déjà avoir 15 ou 16 ans) : le prêtre pierron avait balayé le nom d’un revers de main « c’est pas important ça » / comment intégrait-on un gnostique dans l’enseignement au grand séminaire !!!, en plus avant « corpus christi », alors que déjà : les plus grands chercheurs rament pour explique ce qui se passe, là / le prêtre pierron, avec un tel nom lancé, comprenait : on revient là au temps de la fabrication de jésus, le terrain était miné.., il ne fallait même pas dire entamer le débat…, on était bel et bien dans une croyance, à prendre ou à laisser , et nous nous étions considérés par le prêtre comme la prenant…, pour lui nous étions des croyants, et tout simplement il fallait nous éloigner de cet hérétisme, hérétisme donc : la non vérité selon lui, cela n’était pas + compliqué que cela)
ce qu’il faut bien comprendre
on ne peut pas trop comprendre la période jésus aujourd’hui  car on n’attend personne, on n’attend pas de nouveaux prophète, nous/
on ne peut pas comprendre les dits juifs chrétiens de l’antiquité, car on a tendance à les voir comme les dits juifs chrétiens d’aujourd’hui alors que eux, ceux qui ont suivi, n’attendent plus personne… : selon eux si quelqu’un doit venir, c’est jésus, cette fois en gloire… , mais au bout de 2000 ans d’attente ils n’y croient plus, il n’y croient plus depuis l’an 2001…, pourrait-on dire !, le cap des 1000 ans a pu encore être passé mais difficilement…, mais après 2000 cela n’est plus possible
personne ne croit en la fin du monde avec jésus etc…, les gens comprennent enfin, croient maintenant à…. : « c’était facile de faire ce genre de promesse », « on avait besoin de croire à cela, on y a cru, surtout on a voulu y croire », les foules comprennent ce qui leur est arrivé..
aujourd’hui : les dits juifs chrétiens ne sont même plus sûrs de la venue d’un messie voilà 2000 ans !,  alors… s’agissant de sa revenue !, la venue du messie avait été crue sur la croyance de sa revenue…, alors… (pas de revenue) =  (pas de venue)
il existe de moins en moins de différence entre ceux qui croient et ceux qui ne croient pas… ah ah ah
à l’époque de jésus
tout être vivant est avide de spiritualité, et il faut avancer sur le sujet alors que la fin du monde semble être en cours (du moins la fin du monde judaïque) : alors on attend un prophète et même au Temps de jésus certains, les sectes nouvelles, précisément pleines d’entrain car : ce sont elles concernées par cette urgence spirituelle ont-elles pensé : « cette fois c’est la fin du monde alors… mais c’est bien sûr un messie qui doit venir
les juifs baptistes dissidents auraient donc eux réussi à « concocter » ce super prophète = « il est venu… » (cela se passe sur le Temps spirituel, sur le Temps des prêcheurs, des scribes, un jour : la bonne nouvelle a réussi à arriver un peu partout, et tout le monde sait alors : « il est venu, c’était jésus le crucifié », tout cela se passe des années après la mort de jésus…, les baptistes ont eu le temps d’affiner leur messie, la rumeur s’est enflée autour de ce personnage, cette rumeur qui a commencé à se paralléliser avec : la connaissance du fait qu’un prêcheur baptiste, un juste, avait été crucifié par les romains en accord avec les grands prêtres du Temple / tu vois : il faut imaginer une telle croyance, attisée progressivement par des prêcheurs, cela se passe comme la création d’une rumeur : et un jour la rumeur c’est : « jésus était le messie », et le mouvement baptiste est doucement devenu le mouvement jésusiste, jésus est devenu le personnage le + prêché par les prêcheurs juifs baptistes, car  
ils ont vu : c’est le personnage mort le + édifiant, le + susceptible de remuer les foules, déjà : la crucifixion d’un prêcheur juif par les romains : on peut imaginer : l’onde de choc : le conscient collectif très vite a été marqué par cela, ensuite, le personnage de jésus n’aurait plus cessé d’être customisé, bien sûr, dans le cadre de l’enseignement juif baptiste : mais à nouveau tous les juifs (et pas seulement les baptistes) se sentaient concernés par cette mort horrible d’un juif, d’un prêcheur, car si les baptistes sont considérés comme dissidents, par les élites religieuses juives : il n’en est pas de même pour les foules : les foules juives écoutent les prêcheurs baptistes, elles suivent l’avancée irrésistible de cette nouvelle secte, de ceux qui se disent des purs : il faut pour le comprendre : étudier un peu l’avancée fulgurante cathare : cela se fait en secret : et ceux qui se convertissent au catharisme ou bien qui sont des cathares friendly : s’en fichent assez que les cathares soient dits : des hérétiques)
un super prophète est fabriqué par les fous de dieu que sont les baptistes
les Temps sont si difficiles que tout le monde comprend : un prophète cela ne suffirait pas, les gens ne le croiraient pas, le Temple, qui était sous la protection de dieu, et de ses… prophètes
il sera facile de  doubler le courant judaïque officiel qui ne propose pas de prophète, faisant profil bas, n’a pas de figures charismatiques mortes à stariser ?
un messie est venu ! (trop tard pour le contester, pour voir de + près ce messie !, pour lui demander si il serait capable de faire telle et telle merveille puisqu’il se dit messie ou bien qu’il est dit messie !)
et cela a marché, ce (messie au proche passé) a été pris au sérieux !!!!! une religion s’est faite à partir : de ce super prophète, qui était donc venu (ah ah ah !), frustration, mais… et qui allait revenir (ah ah ah)
les juifs baptistes se sont emparés sans vergogne :   d’un concept judaïque qui existait bel et bien mais qui devait toujours être « en attente », espéré,  mais les juifs baptistes sont donc des juifs (pouvant faire leur ce concept) et des dissidents : ils décident, eux, tout simplement que ce messie virtuel a existé !!!!!!
les jésusistes reconceptualisent ce personnage de messie
quand ?, une fois que jésus était déjà dit prophète par eux, ou bien directement ? quand ils décident de diviniser leur prêcheur crucifié jésus ?, et qu’ils leur semblent donc qu’il faut donner aux foules un messie, un prophète ne suffirait pas, un prophète cela ne colle pas avec la fin du monde qui est en cours
( les Temps n’ont été guère changés par le prophète précédent ?, je suppose que les gens voient cela comme ça, le dernier prophète juif officiel il faudrait savoir qui il était, comment on l’a élevé au rang de prophète, avant sa mort ?, après sa mort ?, qu’est-ce qu’on lui a fait dire, à l’évidence il n’a pas empêché l’invasion romaine, au moins l’a-t-il prédit, je ne suis pas un juif, je ne peux pas savoir)
/ un nouveau prophète qui arrive voilà quelque chose de plus assez plausible pour les foules super désespérées, et qui voient la romanité écraser tout sur son passage
, les prêcheurs baptistes, les théologiens juifs baptistes, les scribes vont vite comprendre (en leur mouvement), il faut un super prophète, un messie, et d’ailleurs, il n’ont pas l’autorisation de dire : jésus = prophète ! , avec un messie ?, ils auraient pensé  pouvoir se passer des autorisations des instances représentatives judaïques, et d’autres dans cette surenchère décideront d’aller encore + loin : « jésus il faut en faire le fils de dieu », puis dieu lui-même…., après il n’y avait plus rien…. sinon ils ne se seraient pas arrêtés…
des théologiens juifs dissidents, des scribes fous, eh oui, puisque sans gardes fous…, puisque faisant leur théologie nouvelle, n’ayant pas à se soucier des grands prêtres juifs qui leur ont dit : « sortez des synagogues vous tous gens de jésus votre… prophète à la noix »
(s’agissant du messie, une notion nouvelle, cela permettait tout, et il fallait frapper fort, en quelque sorte : dieu était mort / il fallait vite agir :  les Temps sont devenus si difficiles, c’était la fin, encore le Temple venait d’être détruit, en quelque sorte il y avait confirmation du non pouvoir du dieu tel que les courants officiels judaïques le présentaient, le courant baptiste juif dissident était vu lui, qui promettait le pire à Jérusalem la corrompue était vu par les foules : « ce sont eux qui ont raison ! », alors c’est cette secte qui a raison qui va sortir la plus incroyable carte spirituelle : « le messie était parmi nous les baptistes, il est venu, il a donné son enseignement (tu parles… c’est juste l’enseignement baptiste !), il a fait si et ça… » (« eh oui, il est venu se faire reconnaitre parmi les juifs baptistes, ceux qui ont raison, ceux qui sont des purs !; comment en serait-il autrement, vous pensez pas qu’il aurait sa chambre au Temple ?, chez les grands prêtres rapaces !, chez ceux qui ont dévoyé le judaïsme ! »)  
vite il fallait ne pas céder à la tentation de renier le dieu juif, on dit aux gens : « non, votre dieu n’est pas mort, il ne vous a pas laissé tombé !,  au contraire : cette confirmation avec la chute du Temple : c’est ce qui devait accompagner la venue de dieu, et en effet cette venue de dieu c’est notre messie, c’est jésus !!!!!! » et ces gens-là qui ont fait cette rumeur sont les juifs baptistes devenant ainsi des juifs maintenant jésusistes
et ça marche !!!!!!!!!!
pourquoi ne pas s’adonner à ce messie…, à l’époque tu avais vraiment besoin de dieu…, ce n’était pas encore le Temps de dire : « dieu est mort ! »
bon, déjà, dans un premier Temps, on attendait  un prophète ? = un jour les instances judaïques diraient : « un tel était notre prophète », c’était celui-là qui a triomphé des romains   (tout cela se passe sur de nombreuses générations, un jour on trouverait cela dans les livres officiels, il faudrait du temps pour que ce chapitre nouveau soit écrit, on serait passé à autre chose, on serait loi, aussi on ne serait pas trop regardant sur la véracité du prophète, de sa bio, de son enseignement)      
aussi : il y a pas mal de candidats qui eux : sont des prétendants vivants à la prophétie, se vivent comme des prophètes au présent, certes c’est dangereux, à tout moment un tel prétendant risque la lapidation (mais le prophète qui sera entériné, sera quand même un de ceux-là ?), et maintenant si tu te prétends prophète tu peux aussi te faire remarquer en + par les Romains et te faire occire par eux,
et la crucifixion n’est pas loin (car eux comprennent : le prophète prétendant il est le 1er rebelle, et le 1er qu’il faut vite occire)
mais quand même, tu peux en effet te mettre au coin d’une rue et prêcher, en attente que des foules te remarquent non pas encore comme le nouveau prophète bien sûr mais comme un prétendant correct, plein d’avenir  (même si au Temps de jésus, on attendait plutôt un Résistant, qui conjuguerait grande spiritualité et grande expertise de guérilla !), & c’est déjà beaucoup, et tout commence forcément comme cela, le prétendant le sait, et les foules le savent, on n’est pas à l’abri de l’émergence de personnages charismatiques, qui sont des petits prophètes, et qui un jour en seront peut-être des grands, jusqu’à possiblement être dits : LE prophète qui était attendu (et qu’alors les scribes vont customiser)
bien sûr tout le monde sait : un prophète cela se désigne une fois qu’il est mort, alors il est homologué par les instances religieuses à partir d’un consensus qui est petit à petit apparu
à l’époque les gens croyaient vraiment en dieu
ils pensaient : « si on veut que la vie continue, pas trop mal, il faut la protection de dieu », leur désarroi était effectif, leur foi était effective, aussi était effective : leur attention déjà à tout personnage charismatique qui se présentait…, des fois qu’il soit en effet désigné bien + tard comme le prochain prophète… et paré de tout ce qu’on attend d’un prophète, là cette fois, on mettait le paquet…, tout le contraire de l’accueil qu’on avait réservé au prétendant, d’ailleurs tous les prétendants étaient un jour ou l’autre assassinés, car à un moment ils en faisaient trop, ils en disaient trop, ils s’affichaient trop comme des candidats à la nouvelle prophétie
mais un grand prophète : ça se faisait après coup, ça existait par les prêches, par les manuscrits qui racontaient sa vie et sa prophétie, son action spirituelle sur l’époque : au présent : un grand prophète ne pouvait pas exister : il aurait dû faire des merveilles…, personne ne fait des merveilles, quelques guérisons peut être et encore…, il y a les récidives qui peuvent ruiner une réputation !!!
et quelqu’un qui tout simplement dirait sur un coin de place : « je suis votre nouveau grand prophète », aussitôt il recevrait une volée de pierres, bien sûr si le type était un clochard, un ermite, un pauvre type, un fou, on le laisserait tranquille, pas une personne ne l’entourerait quand il prendrai la parole.., ou si quelques enfants, attention à leurs pierres à eux…
est-ce qu’on a fait toujours avec les prophètes judaïques précédents ce qu’on a fait avec jésus ? : on dit : « il est venu », « il était un prophète » : oui bien sûr, à part qu’avec jésus cela s’est fait beaucoup + vite ?
+ facile, moins dangereux est d’annoncer : la venue d’un prophète, « il est venu » : on a affiné la bio de ce personnage, on a fait coller son enseignement à l’air du Temps, aux nouvelles demandes des foules, et de ce qu’elles deviennent
Il y a le sketches avec francis blanche et pierre dac
Le mage réponds à toutes les questions : « je peux répondre », et son acolyte de confirmer : « il peut
répondre à cette question, bravo à notre grand mage », bien sûr le mage ne répond pas à la question
et c’est encore tellement + facile cette fois de dire : « notre prophète pouvait répondre aux grandes questions existentielles », « oui, il était à proximité de dieu, il pouvait répondre » dommage que vous n’étiez pas né ! quand il était parmi nous, et même ceux qui l’ont côtoyé ne sont plus là…, heureusement on a leur témoignage…
« dommage qu’il n’est plus là pour vous donner directement ces réponses… », « il les donnait les réponses ! »
un jour un certain jésus s’est présenté aux foules
il n’a pas dit : « je suis le nouveau prophète », il était un prêcheur qui demandait de croire au dernier prophète ou annonçait l’arrivée du prochain prophète, un prêcheur cela se résume à cela, cela dépend du besoin de nouveauté, si le dernier prophète  fonctionne encore, on ne cherche pas à en inventer un autre, c’est pas facile d’inventer un prophète, c’est risqué..,
dans ces Temps difficile de pré fin du monde : les prêcheurs juifs baptistes attendaient-ils un messie, carrément ?
très possible / et il fallait qu’ils restent à l’avant-garde du mouvement dissident baptistes que les chercheurs disent messianiste (mais c’est après que le messie a été inventé, que ce mouvement a été qualifié ainsi ?)
le prêcheur jésus s’est conduit comme un prêcheur qui a sans doute annoncé, puisqu’il était un juif baptiste fou furieux : l’arrivée prochaine d’un messie
il ne se doutait pas qu’un jour prochain les prêcheurs juifs baptistes (puisqu’il fallait passer à la vitesse supérieure, des paroles aux actes, et qu’il fallait profiter ? de l’affaiblissement de jerusalem ?) le hausserait en ce messie après sa spectaculaire crucifixion qui en faisait déjà le Résistant numéro1 aux Romains, ainsi, cela le faisait : « le roi des juifs »
jésus, était-il un prêcheur baptiste  star ?
très possible, c’est pourquoi il aurait été crucifié, les Romains auraient fait un exemple en immolant ce prêcheur baptiste qui avait eu le culot de venir enseigner à jerusalem !
il a fait des annonces de changement radical etc.  et possiblement il avait des idées originales, bien à lui mais proposées dans le cadre baptiste, possiblement ces idées ont été transmises par ses proches
jésus était-il un dissident juif baptiste ?, qui aurait fédéré autour de lui un petit groupe de baptistes, faisant ainsi un sous-groupe baptiste ?, cela expliquerait que tout le baptisme n’ait pas été derrière lui, comme le voient les chercheurs, le baptisme a continué aussi en tant que mouvement de jean le baptiste et non comme mouvement de jésus, et on retrouve de tels baptistes peut-être même encore aujourd’hui  
le judéo baptisme devenait-il le mouvement dissident numéro1 ?, alors des prêcheurs juifs baptistes comme jésus  sillonnaient-ils la palestine, alors qu’auparavant : ils s’auto-exilaient consciencieusement loin de jerusalem, et jésus aurait-il été le premier prêcheur juif baptiste à se risquer à jerusalem après un parcours spectaculaire en Palestine : où les juifs baptistes devenaient donc les prêcheurs enthousiastes qui médusaient les foules ?
mais très possible : cela serait les romains qui ont décidé de sa mort rapide (car au contraire de ce qu’on rapporte : par ex. : il aurait dit : « ne payez pas l’impôt ! », qui peut savoir ?, tout ce qu’on sait de jésus, c’est d’après des bios faites + tard où on raconte aussi qu’il a fait des miracles !!!!, alors, on peut raisonnablement être non sûrs de ce qui a été rapporté d’un peu + « normal » ah ah ah)
tout dépend quand le premier évangile a été écrit
qu’en était-il après la mort de jésus, de sa montée en puissance, en tant que le nouveau martyr juif baptiste, et en fait martyr juif tout court ?, jésus, le 1er religieux crucifié ?
celui qui en une vingtaine d’années ? fut inventé comme « celui qui est venu et qui était notre nouveau prophète », comment présenter les choses, pour que les romains tolèrent cette nouvelle possibilité de continuation judaïque ? (+ ou - controversée déjà : + ou - refusée par les instances judaïques (puisque elle émane de la communauté juive baptiste dissidente honnie, et qui va vite devenir dangereuse, de par les nombreux adeptes qu’elle fait partout, et bientôt donc avec l’invention de jésus en : le meilleur d’entre nous, puis de fil en aiguille haussé en prophète puis en messie ?)
pour les romains : jésus, de son vivant, personnage anecdotique, mais quand même à occire : un prêcheur juif baptiste, donc d’une secte juive que les romains savaient dissidente et surveillaient de près même si on savait qu’il s’agissait de pacifistes, de fous de dieu, cependant, il s’agissait quand même d’une sorte de Résistance aussi aux Romains, il s’agissait de gens qui mettaient beaucoup de territoires entre eux et les romains, cela n’était pas très catholique
ce prêcheur charismatique qui faisait du scandale au Temple, donc possible dénoncé aux Romains par les grands prêtres, voilà qui apparait comme très possible, et cela n’aurait bien sûr pas fait l’objet d’un procès…, tout dépend de la starité de jésus alors, jésus est-il devenu une star avant la crucifixion ou après ?, mais possible : il aurait été auditionné par Pilate, alors que Pilate passait à jerusalem dans ces tournées de gouverneur, de procureur etc., très possible, Pilate aurait eu le plaisir de tuer un juif de + que, même, on lui livrait
jésus crucifié, à  peine arrivé à jerusalem, en tant qu’émissaire baptiste
puis durant une vingtaine d’années : ce jésus devient donc : le juif baptiste numéro1, il devient «le baptisme !, il est le grand Résistant aux Romains puisque ceux-ci l’ont crucifié, ils ont fait là aussi une terrible blasphème : on ne tue pas de cette manière réservée aux criminels, aux zélotes : un religieux, une prêcheur !, avant d’être un prêcheur juif baptiste, jésus est déjà un prêcheur juif, un religieux juif !,    et        c’est bien comme cela que petit à petit il va passer de martyr juif baptiste à : martyr juif, ainsi, passant de héros juif baptiste à héros juifs, de prophète juif baptiste à prophète juif,  de messie juif baptiste à messie de tous les juifs bien sûr (il n’y a de prophète : que pour tous les juifs, il n’y a de messie pour tous les juifs)
ensuite, cette légendalisation de jésus, elle ne concerne plus les romains, elle se fait en basse fréquence, les prêcheurs juifs baptistes repartent à leur clandestinité, et cette fois avec : quelque
chose d’énorme : un héros, jésus, qui va, de prêche en prêches s’augmenter de légende, quand à l’enseignement de jésus, ce qu’il proposait et si fort, si vrai : que les grands prêtres et les Romains ont dû le stopper : c’est tout simplement l’enseignement baptiste, alors tout était près : on avait le personnage, on avait l’enseignement    (alors que c’était le contraire qui s’était passé dans la réalité : il y avait l’enseignement judéo-baptiste mais manquait encore, le personnage, le prophète, c’était avant jésus crucifié)
les événements deviennent de + en + terrible : mais les juifs baptistes ont : leur arme secrète : un héros, un prophète, un messie, à donner aux foules, partout où il y a des juifs, la formidable ascension du héros baptiste commencer et n’en finira plus
là on ne sait pas
de son vivant / si les romains ne s’étaient pas occupé de son cas : il aurait été lapidé vite fait, car surtout à l’époque : les Romains s’occupaient de beaucoup de choses, tuaient beaucoup de juifs résistants en armes en palestine, mais les instances religieuses se chargeaient, elles, de continuer à assassiner un imposteur religieux, les romains n’avaient pas à s’occuper de cela, autant se servir de cette petite liberté pour les instances juives (les instances avaient le droit de tuer avant les romains, elles garderont ce droit, à moins que les Romains aient fait de cela : une chasse gardée, question d’image de marque…)
(on sent bien : possible : après coup, alors que les instances juives continuaient à être des collabos (bien obligé… pour sauvegarder le Temple) :
Les juifs baptistes qui étaient en train d’inventer : (jésus prophète), ont pu avoir l’idée d’imaginer un procès de jésus où Pilate s’est occupé de son cas mais aurait été rajouté par les juifs baptistes : la responsabilité des instances juives : aussi montrait-on, je l’ai déjà écrit : les Romains n’étaient pas responsables de la mort de jésus, du prophète, ainsi on montrait aux Romains : « nous les jésusistes nous ne vous en voulons pas : au contraire : Pilate est montré comme disant : « mais… celui-là est votre roi !, moi je ne veux pas le tuer, mais si vous insistez… »
aussi : (c’est ma trouvaille… perso)
toute cette histoire de (« oui, nous juifs, nous ne pouvons pas tuer jésus, alors chargez-vous en, vous Romains ») : tout cela pourrait juste s’expliquer dans le cadre du storytelling : il faut qu’il y ait un procès romain : et que pilate dise : « il est véritablement votre roi, il n’y a rien à lui reprocher »  / je l’ai déjà écrit : cela permettrait l’homologation de jésus en prophète (au moins, ça se ferait par Pilate, par césar..,  et c’est quand même pas rien) tandis que les instances juives (qu’on montre dans le procès : hyper collaboratrices et donc non légitimes) ne veulent pas l’homologuer  
pour les scribes juifs baptistes ? : il s’agit de montrer ? : les instances juives n’ont plus lieu d’être, elles décident de la mise à mort d’un prophète mais en + aggravent leur cas : en le faisant lâchement tuer par les Romains = en + le prophète est abandonné aux envahisseurs.., on donne toute latitude à l’envahisseur pour tuer un juif = de la part des instances juives, c’est la collaboration à son état ultime ? (dans une situation historique comme cela, montrent les scribes juif baptistes, comment pourrait-on demander à ces juifs corrompus d’homologuer un prophète ????, alors : « voilà pourquoi
les instances juives n’ont pas homologué jésus, car ils ne pouvaient plus le faire, donc jésus est bien notre roi, le messie, Pilate lui-même l’a dit »…)
cela servirait juste aux instances jésusistes (ou déjà aux dits juifs chrétiens) (qui n’ont plus le droit de se dire juifs !, interdiction) : de dire : « vous voyez bien, ceux qui ont demandé la mort de jésus n’ont plus à se considérer (eux !) comme continuant le judaïsme, c’est nous les juifs jésusistes qui continuons le judaïsme, ce sont eux, les juifs orthodoxes, qui doivent être chassés des synagogues et pas nous les juifs jésusistes »
le procès de jésus : procès mi juif mi romain, s’expliquerait comme cela, du pur storytelling
on ne se rend pas compte assez : du fait que les romains, les envahisseurs, ceux qui sont les nazis de l’époque : même eux (par l’expertise de Pilate) croient en quelque sorte en jésus ! (ce que les scribes juif jésusistes ont posé), alors….   : QUELLE évidence !!, forcément, jésus est donc bien le nouveau prophète…
il y a aussi cela : mais, mais…., mais pour qu’il soit prophète, il faut qu’il soit tué par les siens !!!!! c’est la règle (c’est aussi une autre forme d’homologation !), alors on réussit avec ce que nous raconte les Evangiles ? : à avoir à la fois    :
   jésus juif baptiste mis à mort par les siens (qui demandent à Pilate de le tuer)  
  et…. jésus juif (Pilate ne fait pas de détail, baptiste ou pas, jésus, il s’en fiche) homologué roi des juifs par l’envahisseur (donc : roi des juifs = messie… / le représentant de césar homologue, césar homologue jésus en messie… / les foules qu’on informe de cela : comprenne bien ce qui se passe : oui jésus est le messie, il y a un évidence après que l’on vous dit cela : « oui, il est bien votre roi », si Pilate le confirme…, en ces Temps où les Romains sont les divins puissants du long moment : cela vaut même mieux qu’une homologation en bonne et due forme par de petits grands prêtres, d’ailleurs eux aussi sous la botte romaine)
 on a  là : la totale / le prophète (et bientôt messie, tant qu’à faire) est tout trouvé   (bien sûr cela mis au point par le courant juif dissident baptiste qui a décidé : jésus serait son prophète, rien d’étonnant là : cela s’est toujours passé comme cela, je le répète : c’est comme quand on doit élire un président de la république : c’est déjà une personne seule, puis il crée un parti ou il « nait », devient de + en + effectif dans un parti et un jour il est président de tous les français…., cela n’est pas + compliqué que cela, la différence juste : là c’est : le prophète devient effectif une fois mort)
si l’on simplifie : si jésus a été crucifié, on a là une affaire complétement romaine, pour à la fois homologuer jésus messie, et en + : divin : on se met bien avec les Romains : comment les Romains pourraient-ils vouloir éradiquer la religion juive jésusiste alors qu’on a montré que : Pilate avait homologué jésus en roi spirituel juif /  
sinon, cela aurait été tout simplement : lapidation / cela m’apparait très clair / le fait que le procès soit à la fois juif et romain apparait comme très suspect : il y a du storytelling dans l’air
tu te dis « chrétien » ???
c’est + compliqué…, je crois : tu ne sais pas trop où cela t’emmène de te dire ainsi... « chrétien », il faudrait que tu te renseignes, sur ce que cela fait de toi : une telle appellation : tu acceptes par là à de présenter comme : juif chrétien (puisque on te fait adepte de jésus et continuant la tradition judaïque), or les juifs authentiques, de cette continuation judaïque : n’ont pas reconnu l’invention jésus messie par les juifs baptistes, puisque les juifs baptistes étaient pour eux : des hérétiques juifs
au moins : fort de cette information, tu peux persister et signer, mais tu dois quand même te savoir comme ayant confié ta spiritualité à des guides très controversés ah ah ah
(mais c’est encore + compliqué : tu es là dans le cadre de continuations judaïque, or cette continuation judaïque légitime, certes légitime, mais qui peut l’être à ses seuls yeux, car il s’agissait déjà d’une imposture / mais par contre : si : tu te mets dans cette première imposture : la continuation judaïque : alors, au moins choisis plutôt les authentiques et non les copieurs, d’autant qu’ils ont voulu tuer tous les légitimes.., et on presque réussi, en la religion totalitariste juive chrétienne qu’ils ont réussi à élever)
je crois
il est Temps pour toi de faire amende honorable !!!!, il est le Temps pour toi, de comprendre : les instances juives légitimes t’ont interdit de te considérer comme émanant de la tradition juive
depuis 2000 ans elles te l’interdisent : elles ne considèrent depuis en aucun cas qu’elles se sont trompées : pour elles : un messie n’est pas venu, jésus n’est pas venu, jésus n’avait pas à être dit : « messie », jésus n’avait pas  à être dit théologiquement : « messie », la proposition (bien sûr : imposition) de « dernier prophète » afin la fin du monde n’avait pas à être faite, ni avec jésus (ni avec un autre puisque ce concept théologique de « messie » ne doit jamais être activé mais doit rester toujours : le derniers espoir possible)
ton prophète, jésus n’est pas un prophète juif, il n’a pas été homologué, au contraire : ceux qui se disent les juifs avec le christ, les chrétiens, sont considérés depuis le départ comme : non juifs
il est Temps pour toi de demander aux juifs qu’ils te pardonnent, mais pour cela, il va te falloir vraiment te délier de tout ce qui a été le dit judéo-christianisme,    tu vas oublier un peu les juifs…, tu vas les lâcher !
tu n’as pas à te prétendre dans la continuité judaïque.., tu ne peux continuer à vivre dans le mensonge, dans le VOL
alors ?
tu es d’accord ?, alors que faire ?, tu veux quand même garder jésus ?
tu peux imaginer un nouveau jésus
la théologie c’est ça : c’est la fabrication de prêt-à-adorer
alors il faut trouver un scribe, les scribes qui vont écrire enfin : la vie de jésus et son enseignement, en tant que prophète, certes né juif, mais qui sert de figure à une nouvelle religion, & d’ailleurs pourquoi pas, en largement contestant les préceptes de sa religion de naissance, en se montrant un rebelle complet
ce scribe va devoir reprendre les choses depuis le début / jésus est arrivé : il s’est opposé à la religion juive, a éventuellement été tué par des religieux juifs (s’il était considéré à raison, donc, comme un ennemi du judaïsme, soit en voulant le détruire, soit en se considérant comme celui qui allait le continuer trop différemment pour qu’il s’agisse encore de judaïsme)
ce jésus a voulu une nouvelle façon de concevoir dieu, commencée par les juifs baptistes /
dans cette foulée les scribes baptistes, une fois l’interdiction faite au baptisme jésusisme de se considérer encore comme juifs et dans la continuation judaïque : auraient dû inventer cette nouvelle religion, cela n’a pas été fait (ils l’ont voulu : arme de continuation novatrice du judaïsme), alors il faut écrire ainsi jésus maintenant ! : faire la religion jésusiste !, imaginer un prophète né juif mais qui commençait une nouvelle religion
de même que les scribes ont voulu écrire jésus en tant que continuateur rebelle du judaïsme : il s’agit d’imaginer jésus comme ayant proposé un enseignement nouveau : on pourrait faire de jésus par exemple : un adepte de la réincarnation puisqu’il a été vu avec une autre apparence par la toute première témoin de sa revie (marie madeleine)
jésus a été déclaré : hérétique juif par les juifs (= sa fabrication par les juifs baptistes dissidentes :  en prophète, en messie : cela a été considéré comme une hérésie juive), alors il faut le sortir de cette hérésie : jésus n’aura plus de judaïque que : sa naissance
un prophète : cela se fabrique / alors même toi, si tu t’en sens capable : tu peux écrire ce jésus nouveau-là : les scribes juifs baptistes voilà 2000 ans n’ont pas fait autre chose !, tu vas imaginer un jésus ad hoc avec notre air du Temps, je te conseille vivement de le montrant : ayant passé par l’inde, ayant été initié là-bas, et amenant en palestine la notion de réincarnation (cela a déjà été esquissé ici et là ) : là tu vas pouvoir avoir un bon matériel de base : car quand tu commences à documenter cette notion de réincarnation : tu entres dans un nouveau monde (cf. leREincarnomicon sur ce même Tumblr, écrit par moi)
prenons le cas du personnage charismatique et scribe Marcion : il veut un jésus créateur d’une nouvelle religion, il est mis en minorité, alors il fonde un nouveau courant, il est bien obligé  
AINSI IL FAUT ECRIRE LA VIE DE JESUS ET SON ENSEIGNEMENT QUI COMMENCENT UNE NOUVELLE RELIGION PUISQUE LES CONTINUATEURS DE LA RELIGION JUIVE NE VEULENT PAS DE LUI et ont toute légitimité pour décider de cela, et cette décision n’a jamais varié en 2000 ans
si tu veux continuer à prendre en compte jésus comme un prophète, un messie, le fils de dieu, ou bien  
tout ce que tu veux : il te faut te baser sur un nouveau livre, il faut le sortir du VOL de la Bible hébraïque, un vol qui a eu pour conséquences : de faire des dits juifs chrétiens : des criminels (puisqu’il s’agissait pour eux, les dits juifs chrétiens de tuer jusqu’au dernier ceux qui les accusait d’avoir volé la Bible hébraïque)
IL FAUT CONSIDERER QUE TOUT CE QUI EXISTE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT EN TANT QUE MONTRANT JESUS né et PORTé PAR LA RELIGION JUIVE : EST : MENSONGE
PUISQUE cela NON homologué par les instances religieuses juives, habilitées à donner ou non cette homologation (et même si l’on considère au temps de jésus que les instances juives étaient corrompues, n’étaient plus légitimes : dieu, ah ah ah, aurait fini par bonifier ces instances juives : qui une fois, la mauvaise période passée, auraient pu donc : homologuer jésus, mais : on a vu : cela n’est pas le cas depuis 2000 ans, en toute connaissance de causes : les instances juives ont continué à refuser la proposition : (jésus messie), alors que pourtant elle triomphait partout (en fin, heureusement, ce triomphe décroit, et n’a pas réussi à toucher toute la Terre) /
tout cela, le Nouveau testament,  a été écrit, le jésusisme, le dit christianisme dans le cadre d’un vol d’une religion (les dits juifs chrétiens ont charcuté la Bible hébraïque pour y trouver… jésus.., ce jésus qu’ils inventaient quasiment de toute pièce)
assez vite, DES suiveurs de jésus prophète (ou déjà dit directement messie, on ne sait pas) (= des suiveurs de la création judéo baptistes de jésus crucifié), on ne sait pas combien d’années après sa mort, ont vu jésus comme ne continuant pas la continuation judaïque : ce sont ceux que les historiens des religions rassembleront un jour sous le nom de : gnostiques
ce sont eux qui avaient raison : il va falloir repartir d’eux pour créer le jésus initié non continuateur du judaïsme
il faudrait montrer : la Passion de jésus (et pas du christ  car christ, tu commences à comprendre, c’est : messie, c’est un concept juif) comme l’acte montrant : jésus jeté du judaïsme, montré comme celui qui est livré aux romains pour : création d’une nouvelle religion (celui qui a le culot de proposer une nouvelle religion en territoire juif !)
il va falloir : imaginer le parcours de jésus, de son vivant, en palestine : dispensant les fondements d’une nouvelle religion : le scribe de ce jésus : pourra se servir de tous les épisodes des Evangiles, et il les écrira, les interprétera dans un nouveau sens : on peut d’ailleurs imaginer : 4 évangiles newlook, bien sûr il sera possible d’imaginer d’autres épisodes
cependant : il faudra rester dans une simplicité, il ne faudra pas partir dans les délires gnostiques
on pourra donc constituer un new Nouveau Testament, avec le même nombre de textes ! 27 !
ce que les Evangiles montrent bien sûr : c’est un jésus officiellement continuateur du judaïsme, mais qui donc le modifie,
car les juifs baptistes croyaient que leur enseignement judéo-baptiste et leur création de prophète messie : serait homologué par les instances judaïques, il s’agissait pour les juifs baptistes de continuer le prêt à adorer déjà existant : mais en l’améliorant / c’est du volontarisme : c’est : il faut continuer
l’illusion collective, il faut continuer à socialiser les foules, à leur donner l’espoir, à les rapprocher avec dieu /   or cela, cette pourtant positive évolution d’une religion judaïque qui devenait problématique :  leur a été refusé
alors ce volontarisme (cette envie d’aider les foules : une religion c’est cela : des (en l’espérant positifs, utiles) arrivistes qui veulent driver les foules) : aurait dû se transformer : en : « ok, d’accord : nous : les juifs baptistes nous ne sommes plus juifs, et notre prophète jésus que l’on propose n’est plus juif :   et bien on continue mais différemment
d’un certain sens c’est ce qui s’est passé, mais pas complétement : ils ont décidé de faire du : un peu nouveau, et de se voir en continuateurs de l’illusion collective judaïque
ils ont continué à se dire chrétiens = se dire suiveurs d’un messie (juif !), car « messie » est un concept juif, d’un messie juif qui se réfère, je suppose, continuellement, à l’enseignement juif
car finalement n’aurait pas été vue comme possible, ou adéquate à jésus : une nouvelle religion / là est le mystère (en tout cas pour moi, je n’arrive pas encore à bien comprendre) / d’un autre côté : faire une nouvelle religion, complétement cela n’est pas facile !!!
mais bon, de toutes façons : ceux qui ont créé jésus : étaient des juifs baptistes et ils ont créé un « messie » complétement juifs, ils étaient des dissidents juifs, mais ils se considéraient comme avant tout des juifs, et les meilleurs juifs (cela s’est complique avec la création du « messie », car là : ils sont devenus des juifs voleurs : des mauvais juifs : des juifs qui trafiquaient la Bible hébraïque pour y montrer que jésus était annoncé, là partout / mais les créateurs de prophète précédents : n’ont-ils pas fait toujours comme cela, pour justifier l’élévation de leur prophète ?, certes, mais cette fois le prophète était fait par des dissidents juifs)
tu comprends ce que je te dis là ::   je pars du principe  que : après (le refus de « jésus », du judéo-baptisme) par les instances juives : il fallait donc accepter ce refus et faire un jésus autre : mais il était trop tard ????, le jésus judaïque était lancé ?
en tout cas : cela n’a pas empêché les gnostiques, vite, de proposer un jésus non judaïque : et en 2000 ans il y en a eu des propositions d’un nouveau jésus : alors 2000 après ce jésus inventé juif controversé : on peut faire une synthèse : et faire un jésus gnostique ad hoc au nouveau millénaire : n’oublie pas : la théologie c’est cela : c’est colorer dieu, par un enseignement, par un prophète, c’est du volontarisme ! alors ce volontarisme peut très bien consister à présent à ma proposition  (qui ne seras pas mise en œuvre par moi)
en tout cas
les décideurs religieux juifs n’ont pas voulu du personnage de jésus (dans la bouche duquel était mis l’enseignement juif baptiste) en continuateur rebelle de la religion juive  /
et pourtant les juifs baptistes qui ont voulu jésus en prophète de tous les juifs (puis en dernier prophète !, en messie, ou bien qui ont peint jésus directement en messie !!!!!, qui sait ? après un terrible événement, qui pourrait être la destruction du Temple) ont persisté et signé et se sont donc mis en claire position de vol de la tradition juive
à l’évidence : car : les instances juives officielles n’étaient affaiblies terriblement : en quelque sorte, du fait de cet affaiblissement tout devenait possible : une dissidence pouvait prendre le pouvoir et cela sera bien le cas
et se faisant, les juifs baptistes : qui ont eu en fait la chance de ne pas être affectés par la fin du monde juif en cours  (Temple détruit, exil forcé) ont pu apparaitre comme : ceux qui pouvaient continuer à proposer : la vérité, donc l’espoir : ils s’étaient sortis eux même et ils avaient été sortis aussi : du judaïsme qui était en train de mourir
ils sont devenus + puissants, tellement + puissants !, que ceux qu’ils volaient déjà pourtant de façon risquée, et cela est devenu de moins en moins risqué de désobéir à ce qui restait des instances juives officielles
juifs baptistes jésusistes puissants !  mais ils n’ont fait qu’apporter de la confusion, 2OOO ans de confusion et même ils ont à la fois, discrédité la religion judaïque en montrant sa faiblesse insigne, et ils se montrés eux, en les plus grands voleurs de l’histoire du monde, alors qui impossiblement pourrait faire croire qu’ils sont avec dieu ?
alors il faut repartir sur l’option :
jésus, nouvelle religion / on peut possiblement écrire : la venue d’un jésus non voleur
il faut se baser sur le passage de la femme adultérée : « moi jésus, non je ne veux pas ta lapidation, je n’ai rien à voir avec la loi juive »…
cela va être une nouvelle invention de jésus, mais correcte celle-là, sans vol de la religion juive, cette fois, cette écriture pourra se faire sans truquer les passages soi-disant annonciatifs de jésus (dans la Bible hébraïque) etc.
bien sûr, je ne parle pas pour moi
je ne suis plus un dit juif chrétien, je l’ai été seulement un temps par imposition /   moi je crois en la réincarnation / mais pour toi dit juif chrétien : tu continueras à vivre dans l’erreur (quoique le jésus nouveau sera peut-être épatant), mais au moins cela ne sera pas une erreur criminelle comme celle que tu embrasses toi aussi après tant d’autres
en + : cet évangile attendu, on dira : « selon… », mais avec le vrai nom du mec qui l’a écrit, on recommencera Tout dans une belle transparence
et puis, et puis…, enfin le scribe va pouvoir dire : ce sont les romains qui l’ont tué (dommage car en fait ce jésus aimait tout le monde), les juifs, eux le prenaient pour quelqu’un qui différait trop du judaïsme pour qu’ils se sentent concernés par cet électron libre
bien sûr
cela ne va pas être (aussi) possible de garder le mot « chrétien » : eh oui, car cela signifie : (celui qui est oint), « le pommadé », (celui qui a été homologué dans le cadre de la continuation juive), eh oui : il n’y a plus de christ possible si l’on revient au début, si l’on accepte de prendre en compte la non homologation par les juifs
ce jésus à réinventer théologiquement (tout comme il a été inventé théologiquement voilà 2000 ans) encore il va falloir le désigner, en sa tout puissance, autrement, il faudra trouver un autre concept que « messie », « christ », car ces mots son copyrightés, protégés, ce sont des concepts judaïques
(ex : si les instances juives représentatives demain disent : « ok, cette fois, le messie est venu, c’était un tel », là cela colle)
alors, oui, ceux qui continuent à suivre jésus (ou du moins ceux qui vont suivre : ce que les nouveaux scribes vont faire de jésus, en se servant bien sûr de quelques éléments supposés être authentiques de sa vie et de son enseignement, il faut faire une histoires qui puisse tenir un peu debout) pourraient s’appeler
les compagnons de jésus, les jésusistes
de toutes façons on les appellera : les compagnons de jésus, les jésuséens ?, les jésusiens ?, cela fait bien comprendre : on part de jésus, juste de jésus, le créateur (né juif, comme il aurait pu naître romain) d’une nouvelle religion mondialiste qui n’a pas + à voir avec la tradition juive qu’avec toute autre tradition religieuse
oui
par exemple le nouveau scribe ou le groupe de scribes qui vont se coller à cela : je pense, il vont prendre l’option : jésus tué par les romains, alors que les instances juives demandaient que l’on tue Barrabas à sa place…(car même si les juifs ne reconnaissent pas jésus, ils ne lui veulent pas de mal à ce prêcheur novateur, et le tuer, ou demander qu’on le tue serait lui donner trop d’importance, pour les juifs d’alors : il vaut mieux laisser tranquille jésus en lui collant juste dessus : imposteur), etc., souvent il y aura le contraire  de ce que les premiers scribes (qui se disaient « judéo baptistes » puis « judéo chrétiens ») ont décidé, on sera sans doute comme cela : + proche de la réalité de ce jésus, et puisque tant de gens veulent continuer à le suivre…, ils pourront donc suivre un jésus clean, méritant enfin leur adoration  
tu comprends enfin ?
les baptistes ont proposé une nouvelle interprétation des textes juifs : mais ils n’ont pas été autorisés à rester sous la bannière juive : alors il aurait fallu : obéir et faire une complète nouvelle religion, qui aurait puisé dans le judaïsme comme dans toutes autres traditions : puisque de toutes façons tout cela est du théologique : de l’inventé, une coloration de (l’hypothèse dieu)
en partie cela a été fait : de nombreux convertis au jésusisme (le baptisme devenant jésusisme à partir de la fabrication du super prophète jésus) : ne voulait pas trop entendre parler de judaïsme, disent les chercheurs ici et là
mais : les juifs baptistes, jésusistes n’ont pas eu assez d’ambitions : ils ont préféré rester des juifs, et donc des hérétiques juifs : cela leur permettait (certes problématiquement) de n’avoir pas à tout réinventer : s’agissant de dieu, la présence humaine, le mal etc.
en gardant le socle judaïque : ils pouvaient se concentrer sur leur avancée : il n’y avait pas de nouveau socle spirituel à inventer
mais se faisant : comme écrit souvent ici : ils auront fait un terrible boulot : ils ont proposé un judaïsme frelaté (controversé, taxé d’inauthentique par les juifs légitimes) et ils aussi : abimé définitivement le judaïsme authentique : qui, en étant doublé par ses hérétiques, montrait sa faiblesse, sa non évidence, il montrait clairement que dieu n’était pas avec lui, pour avoir laissé faire cela)
cette fois : les jésusiens devront repartir de zéro, et on les attend au tournant : trouvez messieurs dames les théologiens et les scribes : une nouvelle explication de dieu et du monde…, sans passer par adam et Eve et tutti quanti !, on attend ! on vous écoute !
pour ne pas à avoir à partir de zéro (car alors : risques de ne pas dépasser le zéro !) le baptisme jésusisme s’est servi de la puissance d’une autre religion, laquelle (la religion volée) bien sûr a refusé de lui céder cette puissance
ce mouvement autour de jésus, et d’un certain nombre de + ou - nouvelles croyances, s’est nommé frauduleusement : « christianisme », alors qu’un christ juif est un christ si seulement homologué, accrédité par les leaders religieux officiels juifs, représentatifs
la religion juive (tout ce qui avait été longuement élaboré par ses théologiens et ses scribes) s’est retrouvée… en train de nourrir ses voleurs !!!, et depuis 2000 ans cela durait, depuis 2000 ans une religion qui avait à être complétement nouvelle s’est assisse sur la religion judaïque pour être puissante
et… cette puissance acquise frauduleusement : cette nouvelle religion (car décrétée : non judaïque) s’en servait (en guise de remerciements !) contre les juifs !!!!!! genre : « juif non suiveur de jésus tu dois disparaitre de la planète »
(mais tu as compris aussi : la religion volée ne pouvait pas vraiment se défendre : car il aurait fallu tout dire…. :
je l’ai expliqué dans les chapitres précédents
tout dire = [« nous juifs avons inventé une religion, nous avons créé une illusion collective, et vous aussi vous qui vous dites judéo chrétiens inventez un prophète, jésus, vous créez une suite de notre illusions collective
vous, dits judéo chrétiens faites comme si notre dieu était vrai, à partir de cette soi-disant vérité vous prétendez que votre dieu inventé est vrai
votre religion dite judéo chrétienne ne repose sur rien, elle est d’autant + : rien que la nôtre était déjà : rien
votre religion dite chrétienne est rien + rien = rien rien »]
oui, cela les juifs ne pouvaient pas le dire !, ne peuvent toujours pas le dire, or… c’est pourtant cela qui aurait pu écraser la religion dite judéo chrétienne, et aurait sauvé la vie à tant de juifs  
je ne me lasse pas
de regarder tel doc tv (rien à voir avec la hauteur des docs de prieur et mordillat) racontant la découverte d’un fragment qui pourrait établir que : marie madeleine était la compagne de jésus
le vatican a été prié officiellement de réagir, et le doc dit : « inhabituel, ils ont répondu en 15 jours !!!!, du jamais vu », il faut dire que depuis « da vinci code », les pauvres gardiens de l’illusion collective dite judéo-chrétienne sont au + près des explications à peu près possibles à donner
et la réponse du vatican, fulgurante, quelle surprise !!!!, quelle est-elle ? : « c’est un faux » (il n’y avait pas besoin de les déranger.., on s’en doutait ah ah ah !)
et en effet ils peuvent répondre cela et vite !!!! : « c’est un faux », car au départ tout est faux, ils le savent bien eux, eux les suiveurs directs des inventeurs de tout cela ! (ou bien par volontarisme, par dévotion : ils font semblant de l’oublier), il n’y a pas à faire de grandes recherches de leur coté
tout au long de ce petit doc, pas une seconde on ne pose cette hypothèse : « est-ce que l’on ne serait pas là en train d’argumenter ! à partir de ce qui est au départ une fiction ? »
toujours il est dit : « pourquoi pas une compagne à jésus ?», pas une seconde on prévient : « il y a aussi l’hypothèse que l’on est là sur…. un matériel de départ fictionné de b à z, alors : que le héros de roman jésus ait ou pas une femme, cela affecte juste un personnage de roman ! »
pauvres théologiens du vatican !
voici qu’on se retrouve dans une période néo-gnostique (cf. mes écrits là-dessus dans les chapitres précédents) : les croyants ne se demandent pas : « jésus a-t-il existé ? » (du moins tel qu’on le raconte), mais ils se demandent : « jésus faisait-il l’amour à marie madeleine ? »
mais bien sûr derrière cette question « jésus avait-il une compagne ? », il faut quand même voir la question « jésus a-t-il existé ? », c’est : les doutes généraux des foules (trop longtemps qui ne se permirent de ne pas douter, de ne pas se poser de questions) qui parlent là, mais qui ne peuvent s’exprimer complétement tant elles sont encore aux prises avec le logiciel chrétien
en tout cas, une fois que tu as lu mon blog : tu commences à décrypter mieux un tel doc, qui à sa façon, même ironique, contribue à montrer la puissance de l’illusion judéo chrétienne, en fait non remise en question : les commentaires fondamentaux ici ne sont pas entendus
je le répète
enfants, ados : le personnage de paul ne nous parlait pas, on n’arrivait pas à bien situer ce personnage (ne pas oublier : on nous imposait tout cela et nous ne nous intéressions à cela que « d’une oreille »)
alors, paradoxe : c’était pourtant lui le personnage central, puisqu’il aurait été l’inventeur de tout cela !!!!!!
résumé
un prêcheur juif baptiste arrive à jerusalem après un parcours de prêcheur de + en + starisé ?, jésus, (ou appelé jésus ensuite),  arrive à jerusalem, est-il le premier prêcheur juif baptiste à revenir à jerusalem, à croire que les prêcheurs baptistes pouvaient maintenant enseigner là où ils sont encore considéré comme hérétiques juifs, mais alors que les événements font que les instances officielles sont de + en + faibles ? / aussi : après sa spectaculaire, inattendue crucifixion : les siens, les juifs baptistes, en font leur héros puis leur prophète, puis leur messie (ou en font directement leur messie : car quand ce haussement de jésus se fait : les événement sont devenus dramatiques, tout semble dire : la fin du monde est effectivement en train de se faire, et comme les baptistes et autres dissidents juifs l’annonçaient depuis un certain temps)
ou possiblement encore : un prêcheur indépendant mais dans la mouvance juive baptiste ?, & qui aurait ensuite été complétement récupéré par les juifs baptistes, une fois après sa crucifixion, et les baptistes auraient trouvé en lui leur nouvel héros
les Temps sont devenus dramatiques : or jésus, est le personnage religieux le + édifiant donné en exemple aux « foules » par les prêcheurs baptistes qui continuent (mais pas à jerusalem !) à essayer de convertir à leur enseignement, et petit à petit jésus devient le prophète des baptistes, or, l’important c’était d’être haussé à : prophète / et à partir de prophète baptiste pouvait alors se faire un autre haussement de stature : jésus était proposé partout bientôt comme le prophète (baptiste) de tous les juifs…, et comme on le sait cela sera à la fois le cas et… pas le cas
une fois jésus mort crucifié, et dans des circonstances qui peuvent ou non être celles qui sont arrivées à nous : est devenu un martyr baptiste, à partir de là peut-on dire : il était lancé
un martyr aussi : de tous les juifs / car c’est un religieux juif qui a été crucifié : tous les juifs se seraient sentis concerné par ce terrible événement, ce sacrilège !, jésus, un juste !, un prêcheur, certes un prêcheur baptiste, un prêcheur juif dissident : mais : avant tout : un juste !, d’ailleurs un bon guérisseur aussi.., un bon exorciste…
il y avait l’enseignement judéo-baptiste : il fallait trouver un prophète : il fallait que le foules puissent suivre un personnage divin, et on avait jésus mort : on fit de jésus mort ce personnage divin / comment en serait-il autrement : on ne pouvait pas attendre dans le mouvement baptiste : un personnage directement divin qui ferait des miracles et se ferait ainsi voir comme le prophète
baptiste : ça c’est pas possible / faire de jésus mort ce personnage : par contre, là c’était possible
à partir du moment qu’on avait « le prophète », qu’on avait le bon personnage : le martyr jésus : on pouvait mettre dans la bouche d’un prophète cette fois : tout l’enseignement baptiste et c’est ce qui se fit : le baptisme devint le jésusisme : et en + comme je l’ai déjà écrit, c’est une de mes trouvailles : cela permettait de passer du (judéo baptisme = dissidence, problème) à (judéo jésusisme pour tous, jésus étant déjà, comme on l’a vu + haut : par sa martyrisation, d’emblée : un jésus pour tous), mais là cela ne va pas complétement marcher…, le concept jésus ne réussira pas à transformer le baptisme dissident en (baptisme devenant un des courants religieux judaïques officiel)    
jésus s’est-il montré en tant que prêcheur théologien avec quelques idées forces qui ont fait de lui un leader juif baptiste ?   possible / dans un tel mouvement : tous les prêcheurs sont des théologiens car un tel nouveau enseignement (nouvelle interprétation des textes existant) se fait collectivement, tel prêcheur trouve un slogan lors d’un de ses prêches, qui fonctionne, et lequel slogan est ensuite repris par d’autres prêcheurs etc.
ces concepts de jésus, ces concepts baptistes perso se sont-ils retrouvés ensuite dans les prêches des prêcheurs baptistes qui lui ont survécu, et cités comme étant de jésus, et ensuite pris en compte par les scribes des évangiles, pourquoi pas…, mais surtout : jésus c’était un prêcheur baptiste, et ce qu’on retrouvera dans les Evangiles et autre : je parie : c’est tout le judéo-baptisme et c’est tout  
jésus héros juif baptiste, jésus prophète baptiste, jésus prophète juif !!!!, ou bien si l’on considère que les Temps devenaient soudain de type : « fin du monde », et jésus, qui dans un autre Temps aurait été fabriqué en prophète, là : il devenait : « le messie », car soudain on se mettait à attendre un messie, à vouloir un messie : alors jésus a été donc proposé comme « le messie », un jour, les foules ont eu comme prêche : « le messie est venu, c’était jésus, et on va vous dire comment cela s’est passé », c’est comme cela que cela s’est toujours passé avec un nouveau prophète, cette fois cela allait se passer avec un… messie / les théologiens savaient faire : régulièrement un nouveau personnage, un leader religieux divin (donc mort) doit être proposé : c’est une fabrication, mais vite, la fabrication est effacée, ne reste que : le personnage : que bientôt on n’imagine plus que comme ayant vraiment existé dans la réalité / eh oui, et cette fabrication c’est tabou !, personne ne l’évoque, jamais.., elle n’est pas dans les livres, les théologiens se la transmettent …, c’est ultra secret : ce qui fait : que nous encore on croit encore un peu à cette venue régulière de divins prophètes juifs.. ah ah ah…, dans toutes les séries de type « corpus christi » : je crois bien : pas une seule fois un chercheur te met sur cette piste-là !, tabou !
la célébration de jésus crucifié, le martyr juif baptiste et aussi le martyr tout simplement juif  a conduit progressivement viré en : « on a besoin d’un prophète, ah mais, on a jésus ! », et cela est devenu effectif dans le mouvement juif baptiste déjà bien sûr, et cela est devenu une évidence, une telle évidence, que bientôt cela pouvait être une évidence pour tous les juifs, jésus martyr et en fait qui était le prophète, et on le savait pas, mais on va se rattraper, eh oui, jésus, le Résistant romain numéro1, « oui !, son procès par Pilate lui-même ! », « jésus qui avait aussi une sacrée réputation de  guérisseur aussi ! » etc.
c’est comme ça, tout à coup tout le monde se focalise sur un personnage, car bien sûr, ce personnage a réussi à faire un début conséquent déjà (= la crucifixion), et comme personne d’autre ne peut s’aligner sur un tel exploit…, et en + ce jésus était un prêcheur juif baptiste, le baptisme cette avant-
garde spirituelle, qui a une telle cote d’amour…, partout, tant de juifs aimeraient se convertir au baptisme, quel dommage que cela soit interdit par les instances juives
les prêcheurs baptistes : par conviction bien sûr, par dévotion pour le meilleur d’entre eux, et ne l’oublions pas ce sont des fous de dieu : font de jésus : un personnage de + en  divin…, et se mettent à croire en ce qu’ils sont en train d’inventer : (jésus prophète)
possiblement : un des prêcheurs fous : dit dans l’enthousiasme d’un prêche :  « jésus, c’était même le messie ! », et cette folie se met à être contagieuse, virale, cela suscite l’enthousiasme « oui, oui, oui ! c’était le messie », il ne faut pas oublier l’état de désespérance générale d’un pays occupé par les nazis romains, qui détruisent le Temple, tuent un maximum de juifs, heureux ceux qui réussissent à partir en exil…
illusion collective
les juifs baptistes sont des fous de dieu : ils se sont faits de fait créateurs d’une nouvelle illusion collective :  ils veulent un judaïsme nouveau, un judaïsme d’exode, de désert  : on revient aux fondamentaux, tout cela se fait dans un incroyable enthousiasme : ces prêcheurs juifs baptistes itinérants sont capables de remuer des montagnes
alors : à supers prêcheurs : super prophète = ainsi ce jésus devenant messie, tel est l’évidence qui serait né de leur enthousiasme
aussi : possiblement : les judéo baptistes sont apparus à partir de la même attente : celle d’un messie / leur hérétisme de départ cela serait cela ?  / ces sortes de secte de ce moment-là : se formaient dans l’attente cette fois d’un messie et non plus d’un prophète ?     possible : puisque à cette période : on le voit : le judaïsme faiblissait = les prophètes passés faiblissait = « alors maintenant, ne parlons plus  de prophètes, ils ne sont pas assez puissants, par contre… un messie… voilà ce qu’il nous faut »
« c’est la figure attendue ! »
Les juifs baptistes ont trouvé la figure attendue…, « c’était jésus, le messie »
de martyr : le prêcheur jésus est devenu « le messie », un messie né dans l’urgence / avait-il fait aussi, le prêcheur jésus, un petit acte surnaturel ??????, possible, c’est par là que serait née la légende : les miracles…
de tous Temps on aura des manifestations surnaturelles, pourquoi jésus n’aurait-il pas lui-même été impliqué dans une situation surnaturelle ?, un prêcheur fou de dieu est forcément confronté au surnaturel, il vit au plus profond d’une illusion collective qui se nourrit de spirituel, donc pouvant produire le surnaturel, l’appui des forces supérieures spirituelles
ils prêchent sur jésus
chaque prêcheur peut-être, au stade de la création du mouvement baptistes, considéré comme un théologien, puis cela sera bientôt les scribes qui vont écrire la vie de jésus et comment il a divulgué l’enseignement baptiste
ont fait comme si jésus avait été le messie : alors comment il se serait comporté, là, et comment il aurait été reçu ici, et il faut tenir compte bien sûr du parcours réel du prêcheur jésus en palestine, il faut quand même que tout cela soit crédible, et pas trop inventer : car : cela se verrait : cela ne pourrait être prouvé par des témoignages
déjà jésus, promotionné, mais sans doute dans le cadre, comme d’habitude de la promotion de plusieurs personnages juifs baptistes, qu’on vient de connaitre et qui peuvent être édifiants pour les foules, or : la figure de jésus trouve son public, et bientôt c’est lui qui franchit la ligne d’arrivée, de ce personnage on décide : on fait de lui le prophète attendu, et bientôt, lorsque tout cela est confirmé dans la secte baptiste, les scribes baptistes s’y mettent, on sait faire…, et le résultat serait : des tous premiers écrits dont on n’a plus traces bien sûr, vite, remplacés et remplacés, et remplacés…
nouveau prophète potentiel d’Israël cependant
car ceux qui le proposent sont des juifs baptistes dissidents  
(les esséniens avaient aussi leur prophète : « le maitre de justice », on ne sait pas quand ce situe cette élévation de prophète là, c’est dommage car cela nous en apprendrait beaucoup sur ces histoires)
(cela veut dire : le judéo baptisme alors est l’avant-garde cependant, et en tout cas : dit dissident par les instances juives représentatives, mais elles ne sont pas TOUT en leur diversité, et elles sont corrompues + ou -, et n’oublions pas : tout cela se passe dans un Temps d’occupation : pour comprendre : imaginons qu’il y ait eu en pleine Occupation de la France par les nazis : tout à coup : une secte hérétique chrétienne qui fait des milliers d’adeptes et soudain : elle dit : « notre prêcheur machin, qui vient d’être tué par les nazis, c’était le messie revenu, jésus revenu, et oui, il a fait tel miracle !!!! »  
jean le juif baptiste
il était sans doute un personnage saint pour les siens, ceux qui l’avaient suivi aux frontières de la palestine mais aussi vu comme saint par de multiples juifs mais qui n’osaient pas ou ne voulaient pas prendre la carte du parti judéo-baptiste, et finalement cela n’est pas lui qui a été considéré comme étant « le messie »
c’est un grand mystère car : les chercheurs nous disent : c’est pas passé loin / ils voient même une sorte de (jésus-jean) en jésus   (on risquait pas de nous donner ces détails quand on était enfants et ados !)
eh, oui, il y a une fabrication de prophète, et cette fois de « messie »
cela n’est pas la 1ère fois qu’un tel processus fait naitre un prophète depuis une dissidence ?, d’où déjà ? la mise à mort de certains personnages charismatiques qui ensuite vont pourtant avoir le rang de prophètes après leur mort,  et après : on dit : « les instances officielles avaient tué ce prophète » : non, elles avaient tué un personnage charismatique : différence / cela se passera en partie comme cela pour jésus, mais différemment, puisque lui n’a pas réussi à devenir le prophète de tous les juifs, du coup : les juifs officiels ont… un peu dénoncé cette fabrication, ont déclaré : jésus imposteur, alors qu’il était déjà… lancé, eux aussi, là ont cassé le métier (cassé le tabou), mais eux, ils étaient bien obligés, ils étaient mis dans un piège (je l’explique ailleurs), un terrible piège, ils étaient soudain (et le resteront), mis en dépendance par les juifs baptistes      (mis en dépendance : les textes juifs chrétiens allaient notamment les définitivement peindre en les + grands criminels de l’histoire du monde, ils avaient tué le… MESSIE !!!!!!!!, 27 écrits du Nouveau testament allaient les mettre en dépendance, les textes opératifs les + diffusés de l’histoire de l’humanité)
ce choix de jésus
jésus comme prophète potentiel
(potentiel, car jésus doit être homologué par les juifs officiels, cela ne sera pas le cas, alors aujourd’hui, jésus cela rester une proposition de prophète)
après avoir été choisi durant sa vie et après sa mort comme personnage charismatique juif baptiste, mais donc dans le cadre d’une dissidence juive, d’une hérésie juive, mais, de son vivant, il ne devait pas être le seul prêcheur qui avait cette potentialité,
jésus le prêcheur baptistes a sans doute été vu comme insignifiant, ou bien à surveiller (tout comme le mouvement qui le publicisait, vu comme déjà dissident), on ne sait pas, mais sa mort ultra évènementielle   (on ne peut aujourd’hui, sans doute, se le figurer) aurait fait la différence, et puis ceux qui l’inventèrent étaient géniaux…, c’étaient des fous de dieu, des inspirés, et le Temps était, à l’évidence, à la création spirituelle (on le verra aussi : avec l’incroyable floraison qu’on nommera + tard : gnostique / après le mystère de « jésus messie » qui trouve des adeptes, irrésistiblement : ces anti juifs : les gnostiques qui proposent : une cette fois complétement nouvelle religion, avec jésus !!!! mais un jésus très différent / personne n’a réussi à comprendre depuis : ce qui se passa là / trop de traces ont été effacées par les dits judéo chrétiens)
ce choix (quand les instances officielles judaïques prennent le temps de s’occuper vraiment de cela et cette fois + officiellement) décrété  comme : NON conforme avec le judaïsme officiel
trop tard, les prêcheurs, les scribes juifs jésuséens persistent
oui, car évidemment on est dans des Temps de fin du monde, il s’agit d’une nouvelle donne, comme prévu par les juifs baptistes : jerusalem c’est fini !, et qui avait raison, c’est le jean le juif baptiste, un vrai prophète celui-là !
leur prophète jésus (à ces juifs baptiste qui ont vu juste !),  reste selon les juifs baptistes : le nouveau
légitime prophète d’israël (et quel autre pourrait jouer ce rôle ?, voudrait-on d’un prophète né de l’impéritie pharisienne et autre), et en même Temps, il faut créer une… nouvelle religion puisque, du fait du non des instances juives, on s’est largement tourné vers la conversion de païens !, le judéo baptisme baptise les païens depuis le début, et bientôt avec le personnage de jésus : on convertit pas tant les païens à un judaïsme nouveau, mais à un jésusisme !!!!!, et le jésusisme c’est flou, c’est nouveau, c’est le judaïsme et cela ne l’est pas : c’est pas important : l’important c’est que ce qui est devenu la secte jésusiste christique (le baptisme est oublié, connotation trop judaïque) : devienne énorme !!!!!!
tout cela va se passer maintenant aussi en dehors du judaïsme (en pleine dispersion de toute sorte) / commence là : une vraie fausse nouvelle religion, c’est… n’importe quoi et… le pire arrive (pour les juifs juifs, ceux qui se détachent en tout cas de ce courant jésuséen) : cette construction de jésus prophète va trouver de + en + un public, mais en trichant : en « bourrant les urnes », un jésus prophète de tous les hommes de la Terre ! (c’est donc le contraire qui se passe et c’est terrible : la décision des instances juives au contraire s’affaiblit en cette décision (vue à présent comme ridicule, et entrainant de fait à considérer le judaïsme comme perdu) et renforce les jésuséens, mais en même temps : ces jésuséens peuvent être vus comme des adeptes d’une religion frelatée, et c’est le cas depuis 2000 ans)
c’est invraisemblable, la Résurrection  par exemple ?
non…, c’est théologique…      (ainsi, là, : l’invraisemblable peut se transformer en vraisemblable !)
on te dit : « cela existera pour les hommes dans le futur, à la fin du monde, et pour que tu le saches et entretienne cet espoir : jésus est venu te montrer comment il a ressuscité ! » ah ah ah
alors tu crois ou tu ne crois pas… à tout cela, mais tu ne peux pas dire : « c’est faux, c’est complétement faux »…, personne ne sait ce qui se passera vraiment à la fin du monde…, si même il y aura une fin du monde etc., ainsi tout peut être dit : on est dans le domaine théologique, de dieu, donc de l’invisible, invisible que tu peux tenter de colorer, les théologiens donc colorent
et un jour : enfants nés autour de 1960 on se retrouvait à être enseigné avec une telle coloration…, on avait rien demandé…, mais le prêt à adorer là était donc tout prêt pour nous…
certains illuminés, + ou – inspirés, bien ou mal inspirés :  interprètent l’invisible, décident de le  colorer
alors on se trompe un peu (ce qui n’arrange pas les choses) : on se dit : « c’était jésus qui a proposé cette résurrection pour tous (pour résumer) à la fin du monde »,
mais les pistes ont été brouillées (en principe : les inventeurs de religion brouillent un max) : dans le cas évoqué là : ce sont les juifs baptistes, les théologiens juifs baptistes qui, dans leur construction théologique ont trouvé intéressant de faire de leur prêcheur baptiste : le messie, après qu’il eut été crucifié, ce qui a fait de lui un martyr, une star théologique après son parcours qui avait celui d’un
juste et sans doute d’un grand guérisseur
alors : on est tout à coup : snobé par un tel envoyé de dieu / cela permet d’oublier : l’invention : l’invention d’un nouvel enseignement fait par : les vrais grands personnages de l’affaire (et peut être un peu divins !) : les théologiens, ou le théologien qui a inventé cet enseignement : dans cette affaire : possiblement : on pourrait penser c’est jean le juif baptiste qui a décidé de quitter jerusalem pour aller créer une secte itinérante aux frontières de la palestine
une secte
la secte juive baptiste constituée de fous de dieu, se sent investie pour représenter le dieu judaïque, son leader : a décidé que les lois devraient être à présent celles-ci et celles-là
et donc un jour : cette théologie passera à l’étape : fabrication d’un personnage de type prophète / et à l’époque on peut penser : le courant juifs baptiste n’était plus dirigé par jean le juif baptiste
ensuite : arrive le textologique   :     quand il ne s’agissait que de prêches : cela dépendait donc : de la fougue des prêcheurs,
mais cela change de tournure : une fois que l’enseignement, et en l’occurrence : la vie et l’œuvre du prophète (qui a été inventé) est mise par écrit / c’est fois on passe par cette phase encore possible à l’époque (et cela durera longtemps) : (c’est écrit alors c’est vrai) !!!!!!!, et les foules bientôt, oui, se feront avoir comme cela !!!!!
alors, voilà, que cela a été écrit ! cela est écrit noir sur blanc !, alors on devrait le croire :
un prêtre dit juif chrétien dit dans un doc tv (à propos de marie madeleine, épouse) : « si cela n’est pas dans les évangiles, alors cela n’existe pas », c’est simple !
= tout ce qui est  dans les évangiles est vrai
on essaie déjà de te dire : « cela existe maintenant fortement comme cela !!!, ne nous demandez pas + d’explications, tout est dans les textes ! », tu n’as pas à aller en deçà des textes, voilà c’est devenu… textologique, cela est devenu vérité à partir de la vérité de l’existence des textes /  l’invention est oubliée, il n’est plus question d’elle, l’invention est remplacée par l’écriture de cette invention, qui comme par miracle  efface l’invention
l’évènement : Résurrection par exemple, a été complétement inventé, mais était déjà : théologique (ne demandant pas de preuves, et pour cause des preuves ne sont pas possible à obtenir, tout est invention), était logique, conceptualisable !, existant en tant que possiblement décrivant l’existence de dieu pour les hommes
l’enthousiasme des prêcheurs déjà : « je te le dis, et je te dis : cela est vrai », alors déjà on est dans une certaine réalité : un être humain réel, le dit, le certifie… (non pas parce qu’il a vu un homme ressuscité mais par ce qu’un homme le lui a dit, par ce que cet homme-là aussi avait été prévenu, et à un moment on ne sait plus comment tout cela a été inventé, mais on en profite pour inventer un peu sur cette invention, on compense : la pauvre invention du départ, on complète, et on croit à un
moment : que tout ce que cet enseignement a été dès le départ aussi riche / or chacun y a été de se petite invention, si petite que tout cela ne s’est pas vu : qu’on a complétement tout inventé)
puis cela passe au stade de l’écriture, l’événement est de + en + conceptualisé, l’invention  cesse d’être affinée : on n’y touche plus / évidemment : il ne faut plus montrer que tout cela est fait « de main d’hommes », cela devient fait de main de dieu : alors surtout : ne plus changer un mot !
et tu te retrouves donc avec la puissance du textologique : ce prêtre vu + haut : qui peut dire : qui sait toute sa puissance à dire : « c’est pas dans les textes… »
puis toi : croyant, prêcheur ou prêché : tu dois t’en tenir à la version écrite scellée, il n’y a plus d’autre vérité que cette vérité-là, et en effet : les textes sont là, bel et bien là !, c’est incontestable si tu rentres dans la logique (fausse) = c’est écrit alors c’est incontestable, ça existe , dieu existe !, ce sont les textes !, eh oui, en effet : quelque chose existe, dieu, pas + qu’avant, mais : les textes, oui, en effet
c’est grave, diabolique : si tu crois aux textes, alors cela devient facile de croire, tu peux même aller jusqu’à tuer les autres sur le fait de cette vérité qui a été en fait : déjà juste flou théologique puis devenant juste de la réalité textologique… (de la pauvre réalité textologique, mais les hommes ont tellement besoin d’un socle spirituel)
c’est ce que raconte « corpus christi » (sans trop le dire.. directement, c’est très difficile à dire, à conceptualiser, moi pour le comprendre : il faut que je passe par l’écriture de ce blog) , et cela commence par la question : mais qui donc étaient ceux qui ont fait passer du théologique au stade : textologique
la vache !, ils se sont bien cachés !, là « corpus christi » le montre bien
au fait
la résurrection des corps, nous, enfants et ados, on se disait : c’est grand, c’est divin, c’est apporté par jésus, par le messie, par jésus-dieu, puisqu’on nous dit : « ils ne font qu’un »
à part que c’est un concept qu’on nous dit apporté par Zoroastre déjà…. (c’est à l’évidence un concept vieux comme le monde)
rappel
jésus n’a pas été homologué par qui de droit alors qu’il a été inventé comme étant l’évolution du judaïsme, il n’aura finalement pas été homologué, les juifs baptistes qui ont créé cette chimère après la mort de celui qui a ainsi prêté son personnage, étaient trop considérés comme des dissidents pour avoir la moindre chance de voir cette chimère : homologuée    
(mais : cela n’est pas parce que jésus était : une imposture / toutes les créations de prophètes sont des impostures, cependant : une telle imposture, une telle invention, après sa mort, d’un personnage divin : doit être confirmée comme devenant : réalité spirituelle pour la religion en cours : et ce prophète quand il est homologué continue ainsi par un nouveau texte le grand écrit de la religion en question / cela devenait + difficile ce processus, puisque les juifs baptistes étaient des dissidents juifs,  
et bientôt priés de ne plus se dire juifs : ou de se contenter d’être des hérétiques juifs)
et pour faire croire quand même à une homologation… (c’était cela ou bien : la fin de cette secte, ou bien sa continuation de + en + en hérétisme : jusqu’à devenir une nouvelle religion :  et là cela va se compliquer : car ce judéo baptisme, va prendre la tournure que l’on connait)
 les dits juifs chrétiens ont tenté de museler ou tuer ceux qui sont dans le camps de ceux qui n’ont pas voulu homologuer, et qui ne veulent toujours pas homologuer
au détour de l’an 2000 : on a assisté à quelque chose enfin de nouveau : le dit judéo christianisme devenant moins virulent contre le judaïsme : puisque doucement : s’éteignait le judéo-christianisme, soudain les églises se vidaient, juste restaient les + atteints des fous juifs chrétiens, les + en désespérance  : et ce profil bas allait se paralléliser mieux avec le judaïsme éteint depuis si longtemps
(cette homologation de l’invention (jésus prophète de tous les juifs) aurait pu se faire bien après la mort du soi-disant prophète et messie)  mais cela n’a pas été le cas
alors il avait fallu tenter un tour de passe-passe /
cela sera une sorte de mix inattendu qui se fera mais qui était en fait évident car aussitôt proposé par les créateurs du mouvement juif baptiste : mouvement très ouvert aux autres (on ne sait pourquoi aujourd’hui)
à tel moment : alors que les juifs baptistes étaient dits hérétiques, confirmés hérétiques, et à présent ils étaient dits : non juifs
il a fallu penser à aller beaucoup + loin    (de toutes façons il ne s’agissait plus de convaincre les juifs de venir en masse dans ce mouvement : cela leur était formellement interdit), aller + loin dans la révolution judéo baptiste (révolution = retour au point de départ, l’exode et tout cela) = et dans ce sens-là il se serait agi de créer une nouvelle religion qui aurait été fondée par un jésus cette fois qui n’avait de juif que la naissance, et pouvait faire une religion « non spécialement juive » ? (en tout cas : c’est ce qu’on verra autour de l’an 100 avec les différentes sectes gnostiques et leurs propositions spirituelles)
mais : NON / les juifs baptistes ne prirent pas du tout cette option : s’éloigner donc en effet du judaïsme, de tout ce qui avait été forgé =  ce n’est pas par ce que cela serait très dur !, de faire concurrence à une religion si construite comme le judaïsme : non : le judéo baptisme n’avait pas du tout envie de se séparer du judaïsme : puisque au contraire : les juifs baptistes se considéraient comme les juifs les + légitimes du moment, les seuls légitimes du moment
le prophète jésus est resté dans le sein juif : là pour révolutionner le judaïsme
ainsi  le jésusisme est devenu : de + en + constitué par des païens = en cela : une nouvelle religion, de fait + se voulant : purement juif, en se voulant : la continuation du judaïsme, la seule continuation possible du judaïsme : pour les juifs baptistes : les hérétiques juifs c’étaient ceux qui ne suivaient pas le baptisme-jésusisme !
et comme : le monde entier pouvait se faire avec un baptême magique : judéo-jésusiste : le jésusisme est devenu énorme, irrésistible : et de fait est devenu aussi le courant judaïque ! le + important comme cela était prévu par eux !
cette espèce de tour de passepasse, qui a marché, donc avec l’aide du diable ! (si l’on se met dans le cadre d’une religion, il y a toujours la part du diable), les judéo-chrétiens ont essayé de le cacher, de le maquiller au moins, et cela aussi a marché !, les judéo-chrétiens ont réussi à masquer le fait qu’ils étaient dès le départ : une hérésie juive
par le baptême : on fait de toi (sur le papier) : un judéo-chrétien (un  juif avec jésus) / mais dans le faits : on fait de toi : un hérétique juif  /
bien sûr : tu peux dire : « ah, non, car les juifs baptistes, étaient légitimes, eux à continuer le judaïsme, ce sont les juifs de jerusalem corrompus qui eux n’étaient plus légitimes et d’ailleurs ils ont tué le messie, et donc pas du tout légitimes à dire : « vous les baptistes vous êtes des hérétiques juifs » », ok, mais tu vois, il y a un problème, il y a une controverse, et… dieu, c’est l’évidence, c’est pas la controverse
quand nous étions enfants, ados
on nous cachait ce refus de la part des propriétaires de la tradition judaïque, on nous cachait le fait : jésus n’était pas considéré par la tradition judaïque comme ayant été annoncé messie dans les textes dits sacrés, et de ce fait : on nous a caché : jésus est devenu le messie par manipulation de ces textes judaïques
(bon, certes, toujours, je suppose, on manipule les textes pour que le nouveau prophète toujours apparaisse annoncé dans les textes dits sacrés !, mais cela se fait en interne, par des scribes officiels, et non par des théologiens et scribes dissidents)
On se retrouve là : avec une secte juive qui se permet de créer un… messie juif qui est censé être donc le messie de tous les juifs or… les juifs n’en veulent pas…, et pourtant ce messie devient un opératif messie : en son nom se regroupent des millions de fidèles, alors que ceux qui ont créé ce concept de messie : les propriétaires de ce concept : disent : « non, non, jésus n’était pas, n’est pas, ne sera pas le messie », qui croire ?, plutôt les propriétaires du concept non ?
Certes il y avait en effet une illégitimité voyante à tel moment de la continuation judaïque officielle, mais c’était loin d’être la norme, et une fois cette période oubliée : en cas de… l’existence d’un messie que certains juifs dissidents auraient attestés : les juifs officiels auraient finit par la grâce de dieu par rejoindre celui qui était le messie évident : une évidence ne se refuse pas, or non : les juifs n’ayant jamais suivi jésus n’ont jamais (à part quelques-uns), décidé de finalement rejoindre jésus : alors que cela aurait été si facile… : le judéo-christianisme c’est un judaïsme….
il n’y a pas eu homologation = il n’y a pas eu d’évidence / et pour cause : un messie arrivant (qui est venu) cela ne risquait pas d’être homologué : c’est un concept à conjuguer au futur : toujours le messie juif doit être attendu, c’est un concept qu’on pourrait qualifier : de super théologique, alors qu’un prophète est un concept juste théologique : on peut dire à tel moment : dans la religion juive on peut écrire à tel moment : « nous venons d’avoir un prophète, et c’était machin »
par là les juifs baptistes ont fait quelque chose de terrible : ils ont blasphémé le concept suprême : le concept de messie, ils ont irrémédiablement Sali ce concept : car depuis jésus, qui sans rire peut se mettre dans la position que la conceptualisation du messie  prévoyait ?, qui peut dire, se dire : « j’attends le messie », on va te rire au nez,
déjà il était pas prêt d’arriver alors l’attendre…., et en + n’y avait-il pas ce messie, jésus, à moiti�� juif qui est venu, lui…
j’essaie de faire comprendre ce que j’ai fini par découvrir : en faisant un messie : les juifs baptistes ont cassé » le métier théologique : ils ont fait exactement ce qu’il fallait faire pour créer un messie…, ils l’ont fait leur messie !, mais cela n’était pas possible de le faire, et qu’en + cela soit des dissidents qui le fassent tant ce messie devait s’habiller de pure évidence (d’une telle pure évidence que cela le condamnait à ne jamais exister !!!, jamais il n’y aurait de messie !, c’était juste un concept qui devait rester un concept) : et les juifs ont été obligé de contester cette fabrication de messie, de la contester comme une imposture, alors que… : tout ce que eux avait fait auparavant : était aussi de la pure imposture, quoique… officielle…., tout cela était mis au grand jour !!!!, pour que tu comprennes il faudrait que je prenne un autre exemple, je le trouverait prochainement
les instances juives ont contesté le fait que jésus aurait été annoncé dans leurs textes, or ces textes sacrés ce sont eux, les juifs, qui les « possèdent », les transmettent et ont tout pouvoir pour les interpréter, une religion est basée sur l’autorité
ainsi, pour nous enfants et ados  + que mal informés : désinformés :
jésus, c’était quelque chose de fulgurant, de divin, d’évident, et cela l’avait été toujours et pour tous / des juifs (pas tous, puisque nous étions nous aussi juifs, judéo-chrétiens, cela nous était étonnant, mais quand même on l’imprimait) s’opposaient à cette fulgurance, mais c’était en quelque sorte l’exception, il y a toujours une petite exception, à tout (ainsi même à… DIEU !, quoique, non !, dieu aurait dû être évident pour tous)!, et d’ailleurs, oui, ces juifs anti-jésus c’était une minorité, c’était en quelque sorte des irréductibles, des fous, et puisqu’ils étaient minoritaires, fous, persécutés, alors c’est donc bien qu’ils avaient eu tort et s’ils persistaient dans leur erreur, pensions-nous, c’était en quelque sorte culturellement, c’était le ciment de cette communauté
(bien sûr on ne réfléchissait pas à cela, enfants et ados on tolérait toute la propagande sourde dite judéo chrétienne, mais on n’y adhérait pas, mais on se disait : « oui, c’est cela en effet », mais tout cela ne nous concernait pas trop ces histoires de religions, on s’en fichait surtout, et je parle pour moi : dès que je serais sorti du pouvoir paternel : bye bye ! jésus, l’église, je ne pense pas que je me serais marié à l’église, mais qui sait.., j’y aurait peut-être été obligé comme d’autres avant moi, j’aurais aussi tombé dans ce piège de me confirmer dit chrétien par le piège du mariage obligé à l’église ; je ne me voyais pas marié du tout, d’ailleurs, toutes ces simagrées m’étaient complétement étrangères)
d’ailleurs : « ils avaient tué le christ !!!!! » (nous disait-on), et on se disait : « pourquoi avoir tué ce jésus qui était si gentil, et dont l’enseignement ne nous apparaissait pas stupide » (en + il avait fait des merveilles en son Temps, on a dû le croire durant le temps de notre enfance) c’étaient vraiment, les juifs, « ceux qui s’étaient trompés », et se trompent encore (bien sûr il fallait aller + loin : voir : nous
avions été mis dans une bataille de prêt à adorer faite pour les niais, ceux qui n’étaient pas capable de voir que dieu existait mais différemment, c’était la continuation spirituelle / par contre : si on était dans un prêt à adorer : autant choisir celui qui n’était pas frelaté : or : à la réflexion : le dit judéo christianisme était un pauvre enseignement, orgueilleux et en + criminel puisqu’il avait criminalisé et largement tourmenté les juifs juifs)
pas une seule fois dans mon enfance-adolescence : un doute ne m’a atteint :  et si c’étaient nous chrétiens qui dînions tous les jours avec le diable ? (dans la logique d’une religion, car en fait ni les juifs ni les dits chrétiens n’ont le bon dieu, ni le diable) et si le prophète-messie des chrétiens était un faux prophète, et encore moins le messie ? / non on était loin d’arriver à ces questions
et pourtant on se disait quand même : toute cette histoire de Résurrection et de fin du monde cela ne tient pas debout…, eh oui, cependant le logiciel chrétien nous tenait bien, fermement !
on aurait dû se poser la question : et si c’étaient les juifs qui avaient raison ?
mais on ne pouvait pas se la poser cette question, elle ne venait pas, et pourquoi ?, car ce n’était pas non plus la bonne question,
et oui, la bonne question (bien cachée) c’était : et si juifs et chrétiens disaient n’importe quoi ?, et qu’il fallait voir la controverses juifs : judéo chrétiens comme le montrant, le prouvant
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il nous manquait une chose : il fallait savoir, il aurait fallu venir à l’idée : et si les uns et les autres, chrétiens et juifs étaient à… égalité : le dieu judéo-chrétien et anti juif était : n’importe quoi
jésus c’était de la pipe
et tout autant le dieu juif c’était déjà n’importe quoi, et vite les gnostiques : le comprirent et commencèrent à se dire : « vite il faut avancer sur l’idée de dieu : le judaïsme, c’est l’impasse, et les pauvres juifs se retrouvent avec leur maison en carton de dieu encore détruite, ils sont pas gâtés par leur dieu, et voilà que d’autres juifs, les juifs baptistes jésusistes voient la fin du monde arriver pour eux !, heureusement eux, croient, ah ah ah  que c’est pour les sauver ! »
enfants et ados : nous n’étions pas encore en mesure, gouvernés par le logiciel judéo chrétien de nous dire : les deux propositions, juive, ou judéo-chrétienne (encore +, puisque continuation judaïque non autorisée)   =  n’importe quoi
ainsi le (fait jésus) avait donc bel et bien volé la tradition spirituelle judaïque, mais cette tradition judaïque mais c’était déjà rien que des simagrées /
heureusement, quand même : pour ma part : je suis venu à cela, vers 13 ans ?, en découvrant ou en prenant + en compte l’idée de réincarnation, et c’était une fantastique sortie du dit judéo-christianisme enfin !!!
résumé
voilà ce qui s’est passé voilà 2000 ans :  un mouvement juif dissident, les baptistes ont vu : la fin du monde arriver (en tout cas la fin du monde juif, c’était en cours, ils n’avaient pas tout à fait tort) : ces fous de dieu, auto exilés : crurent bon à un moment de faire : eux : dans le cadre de leur mission divine : un messie !!!!!, la fabrication la + folle qui soit !!  (déjà tentée plusieurs fois, certains voulurent voir moise : le messie) : or le problème : c’est que cela a marché et que cela a disqualifié les vrais juifs, mais ce faisant cela a aussi disqualifié tout le théologique : on a vu par la controverse qui a suivi, et le triomphe des usurpateurs : que tout cela était de la pipe, mais de la pipe qui pouvait être terriblement dangereuse : le peuple juif a failli être génocidé complétement par cette fabrication de messie qui a fait des fous de dieu baptistes : les maîtres du monde spirituel (heureusement pas dans le monde entier, mais pas loin), c’est une histoire de prêt-à-adorer qui a notamment tourné mal, et tant mieux pour ceux qui ont reçu la charité par ce prêt à adorer là, mais voilà une religion judaïque qui s’est autodétruite : alors vite : repartons sur du prêt à adorer + sain
la trinité de la confusion
confusion avec le personnage d’un jésus historique, prêcheur juif baptiste, mais, déjà ? sortant du lot ?, un prêcheur théologien ?, qui est en train de théologiser le baptisme qu’il a rejoint tôt ?, ainsi prêcheur juif qui commence à enseigner un judéo-baptisme qu’il personnalise ? (ainsi cela serait cela qui serait devenu le jésusisme, cette personnalisation ?)    
confusion dans ce qu’a dû être la création progressive (divination progressive) d’un potentiel nouveau prophète pour tous les juifs à partir de la figure d’un prêcheur baptiste, jésus (et possiblement à partir de la figure quelques autres illuminés prêcheurs juifs baptistes, ils étaient tous des fous de dieu, le soleil tapait fort sur leur nuque, chaque prêcheur était un  jésus, était ce qui nous a été rapporté sur jésus, des prêches, des exorcismes…(« voilà ! maintenant tu es délivré du démon ! », et comme il n’y avait pas de démon, c’était facile de le chasser), cette création aboutissant bien après la mort du prêcheur jésus historique, le prêcheur jésus crucifié serait passé de martyr juif (de tous les juifs même s’il était un juif baptiste et si même les grands prêtres l’auraient effectivement livré aux romains / le grands prêtres sadducéens n’étant pas tout le judaïsme), à messie !!!, alors il a fallu drôlement retoucher sa bio !
confusion : quand jésus n’est pas homologué (comme prophète juif, et devient alors messie pour tous les hommes ?), mais reste ! pour ses partisans : dans la continuité judaïque / alors devenant tantôt + judaïque ou tantôt moins selon ceux qu’on veut convertir (« corpus christi » explique bien ce jésus proposé par st paul, à géométrie variable, une des preuves que tout cela n’était que théologie, mais en fait ce qu’on aurait toujours dû voir comme cela / en religion… on ne peut faire que dans la théologie et la textologie : tout n’est que prêches et manuscrits pour faire s’élever des êtres divins)  
la création d’un prophète néo-américain
jésus est présenté (par les dits judéo-chrétiens) comme le dernier prophète du judaïsme
certains dits juifs chrétiens comprennent bien + tard, en ne se laissant pas impressionner par tout ce que la doxa raconte :
jésus n’est pas « le dernier prophète du judaïsme » !, il n’est pas homologué comme prophète du judaïsme, le judaïsme a fait sa continuation sans jésus (apparait-il quand même dans les textes sacrés juifs, ont-ils des nouveaux textes saints dans leur épopée manuscrite ? / je ne sais pas, je ne suis pas juif : et cela ne vient pas à moi : j’ai eu beau ouvrir des livres sur le judaïsme et autres dictionnaire : cela, c’est un truc qui n’est pas évoqué pourtant : cela me parait être fondamental à savoir, non ?)
alors un dit juif chrétien aux usa, va se dire ? :  le nouveau prophète du judaïsme, et cela va marcher assez bien !!!!!
des dits juifs chrétiens se retrouvent perdus sur un territoire complétement nouveau et connaissent un terrible moment d’abandon, le dieu dit juif chrétien, là, n’est plus là, ne les protège plus, il faut le solliciter, faire une alliance avec lui, sur ce territoire non consacré
un prophète peut, doit être inventé, peut s’inventer, ceux qui se retrouvent dans cette situation sont dans la situation de premiers hommes sur Terre, avec l’obligation d’avoir un rapport très fort avec leur créateur, dieu  / il faut du théologique !!!!!!!!  et ce type comprend : il lui faut s’inventer en prophète
il faut réinventer le dieu judaïque, le rapport à dieu, quand on est dans une situation : de conquêtes de nouveaux territoires non encore habité par ce dieu
il faut adapter le dieu judaïque aux nouveaux territoires : et john smith se voit être celui qui peut faire cela : c’est une invention, mais une invention théologique (= en spirituel : on ne peut qu’inventer, pour s’approcher de dieu, voir ailleurs dans le blog où j’essaie de  l’écrire mieux que cela)
et je suppose : donc il va inventer un message de dieu, à lui donné : pour que cela sonne mystérieux donc  divin : ce texte est donné dans une langue inconnue mais avec quelques-uns de ses compagnons frappés par l’esprit saint : il va pouvoir faire une traduction
cela n’est pas une nouvelle religion qui veut être proposée là : c’est une continuation du judaïsme, et donc du judéo-christianisme car je suppose : jésus est dans l’affaire, mais : un jésus que forcément il faut mettre un peu de côté   (comme ce qui se passera avec le messie jamaïcain) : car en principe : jésus était le messie, le dernier prophète, et que… si un prophète arrive, cela serait en principe l’antéchrist !!!!!! (je me mets là bien sûr dans le cadre de l’enseignement judéo christianiste, que je ne soutiens pas)
c’est un peu comme si : en Jamaïque : on considère que jésus n’a pas vraiment été opératif : si loin : alors : on fait un messie :  sur mesure pour les blacks, après tout : c’est purement théologique / on décide : « ok, jésus a été le messie, là-bas, mais chez nous : il faut la venue d’un messie, ad hoc à nous, et ils décident : ce messie : c’est : le négus !
pour ces futurs mormons : c’est pareil : ils considèrent (c’est le concept, je le vois, moi, comme cela, / dommage : dans les séries de type « corpus christi », les chercheurs ne se sont pas sentis obligés de parle du mormonisme pourtant on était dans le sujet !), ce territoire ne peut être considéré comme ayant été consacré par le messie  jésus : il faut autre chose / ce john smith : sait : un prophète cela s’invente, le théologique le permet : alors il s’invente prophète, c’est pas + bête que ce qu’on fait tant
d’inventeurs de prophètes avant lui, mais là encore : comme ce qui s’est passé pour les juifs baptistes : il ne sera pas homologué, mais lui il s’en fiche : il le sait à l’avance : il sait : je fais une hérésie judéo-chrétienne, il assume…
 il y a comme une idée de renaissance spirituelle obligatoire car on se trouve dans un nouveau lieu, c’est une sorte de nouvelle Création de l’homme, il faut absolument trouver un sens à tout cela, alors une religion nouvelle peut éclore, en fait : c’est comme pour le judéo-baptisme : c’est une continuation particulière du judaïsme : john smith considère : il faut juste adapter : le judaïsme aux temps nouveaux, aux territoires nouveaux : je suppose : il ne considère pas qu’il a rénover le judéo-christianisme car celui-là serait devenu corrompu
non : c’est plus facile : il s’agit juste de continuation / le + difficile : c’est la création du message…., comment on va faire gober ça, mais à l’évidence : ces gens étaient des fous de dieu, et ils ont réussi à convertir quelques proches, et loin de tout : le mormonisme a pu apparaître comme un meilleur socle spirituel que celui déjà existant : le judéo-christianisme si usé
est-ce ce qui s’est passé avec le mormonisme ?, ceux qui sont devenus mormons,  ont en quelque sorte (à la suite de l’inventeur de cette prophétie locale) voulu se replacer dans un cadre d’exode juif, alors il a fallu faire un écrit divin qui ressemble à ce que les scribes juifs écrirent sur ces périodes (complément fantasmées), tout était inventé par les scribes d’antan, pourquoi pas de nouveaux scribes : john smith (avec ses affidés ?) se lancèrent : et en sortit : un livre qui est fait de phrases et tout cela, il faudrait essayer de le lire, en principe quand ce livre vient à toi, et après avoir lu quelques lignes, tu le reposes…, mais bon, peut-être que la prochaine fois que je l’ouvrirai…
tout cela est très curieux, et personne ne semble s’intéresser trop à cette religion !, comment elle a bien pu naître et pourquoi !, alors que cela serait très éclairant pour comprendre le début du jésusisme, il semble bien que n’existe pas : de récit en détail de cette élévation d’un prophète, d’un écrit.., comment tout cela a été pris au sérieux, par qui déjà ?
en tout cas, pour nous petits dits judéo-chrétiens, il nous a manqué à l’école, un cours sur les religions, qui nous aurait montré comment par exemple un nouveau prophète apparait et réussit à avoir des disciples…, et le prof il nous aurait parlé du mormonisme, ou du rastafarisme
on aurait été un peu éveillés…, on aurait compris que : la construction théologique ne se limite pas au judéo-baptisme
 quand je suis allé en 6eme au lycée marquette il y avait un cours de caté, mais on n’était pas obligé d’y aller ! (ça c’était super !), incroyable !, c’était quelque chose de stupéfiant, cette liberté, et j’y étais allé…, durant quelques cours, c’est dire que j’étais encore bien gouverné par le logiciel chrétien !!!, eh oui…, peut-être pour découvrir comment : on pouvait être enseigné sans contrainte, je suppose : c’était cela qui m’a amené à aller à ce cours puisque précisément : rien ne m’y obligeait : c’était par esprit de contradiction
à l’époque : mes deux sœurs parlait du prêtre, du lycée, comme surtout « flirtant » avec les filles de
bourgeois de la ville et cela les révoltait mes sœurs, alors cela ne poussait pas trop à aller à ce cours : pour elle c’était la seule raison de se désolidariser un peu de leur religion !, comme si il n’y avait que cela !/ mes sœurs, en leurs temps, avaient-elles alors quitté le cours ?, je ne pense pas / en tout cas tout ceci pour dire : qu’à l’époque on ne se posait pas trop de questions sur ce que cette religion avait de vrai…, tout cela, ces histoires de jésus, cela semblait parfaitement non à questionner avec du doute
mon frère : silence sur son détachement / en comprenant que par là : il s’opposait à mon père, qui n’avait pas réussi à en faire un organiste liturgique, il a réussi à échapper ainsi à tant de bourrage de crâne, que moi j’ai dû subir ! sans en avoir conscience, preuve que j’étais vraiment un autiste ! / notre frère nous avait vite prévenu, un  jour à la table familiale : genre : « on peut tout à fait s’appliquer à écrire en style biblique… », genre : tout cela est de l’invention, et cela nous ramène à l’écrit sacré des mormons, peut-être parlait-il alors de ce john smith ?
hérésie
il faudrait savoir : quelles têtes ont fait : en Jamaïque le christianisme bien installé dans l’ile et les juifs de l’ile (?, y en a –t-il  beaucoup ?), comment ils ont pris la montée en puissance du mouvement rasta ! /
mais donc, quand même, il ne pouvait y avoir une vraie confrontation : au moins tout cela existait dans l’attente d’un messie !
attention : ici : déjà webb le conferencier théologien noir annonce la revenue du messie chrétien : jésus et il sera noir comme était noir jésus !
puis garvey : annon la venue du messie noir : pour 1927, or lui : le voit dans la tradition judaique « etyiopienne » : noir, ok, mais aussi : il n’a rien à voir ave jésus, le vrai messie c’est le messie juif, et bientôt en 1930 : on a le négus empereur, d’où le fait que celui-ci devient le messie dieu juif  
du coté chrétien et par webb : c’était hérétique, cette annonce, déjà de l’arrivée imminente du messie et en tant que noir : mais cela revérifiait le fait : que les blacks pouvaient bien avoir un autre messie qu’un messie blanc / un messie blanc peut quand même être considéré comme offensant pour les blacks  /   ici : tu en sauras + et mieux : en lisant Le Procés de jésus 2019, et un article de moi sur rastafari (tout cela sur tumblr)
pour les mormons : cela était + facile : jerusalem était loin !, mettre en dépendance la Bible hébraïque n’était pas susceptible de se voir aussitôt lapidé, et la Bible hébraïque avait déjà connu pas mal de mise en dépendances !, une de +…, et depuis longtemps les juifs officiels étaient si affaiblis, et puis et puis, comme je l’ai écrit + haut : je suppose que le mormonisme peut être dit : à la fois une hérésie juive, et une hérésie judéo chrétienne, alors en quelque sorte, les juifs officiels pouvaient voir en le mormonisme : les judéo chrétiens salis, et les judéo chrétiens pouvaient…  
mais quand même il faudrait : étudier comment ces 2 hérésies ont été commentées : alors qu’elle commençaient à être connues, comment avec stupéfaction on a vu s’installer ces 2 nouvelles sous religions : et…, dans le cas du rasta : comme l’on sait : cela allait d’une certaine manière (quoique de façon anecdotique et non profonde malgré l’énergie dispensée) : le rastafarisme allait se faire connaitre sur toute la Terre, puisque à son tour bob marley aurait pu se dire + connu que jésus dit le christ
le mormonisme c’est ? : un type propose SA revitalisation à lui, qu’il croit légitime (car : il a vu : le manque, et l’ancienne religion non ad hoc à une nouvelle situation, l’installation sur une terre vierge) du courant judaïque (incluant son hérésie : le dit judéo christianisme, je suppose que jésus existe dans cette affaire mormone, à vérifier)
mais il faut : raconter une histoire divine : il faut montrer que cela n’est pas soi qui décide de tout cela, mais dieu lui-même : sinon les foules ne le croiraient pas, sauf à faire des miracles et tout, au présent : or cela n’a jamais été possible et n’est pas possible pour lui
(le lecteur ira se renseigner là-dessus  lui-même : mais en ne pas oubliant : qu’on est là dans la manipulation, s’agissant des éléments qui sont restés de cette « invention spirituelle », de l’acte théologique du 1er mormon, incluant la dissimulation de ce qui s’est vraiment passé)
il  fait croire : guidé par un ange, il trouve un texte écrit par dieu (je caricature, j’ai lu un peu là-dessus, mais j’ai oublié, et il vaut mieux…, on peut imaginer, depuis longtemps, smith, un illuminé écrivait un texte à la façon biblique, ce texte écrit de longue main, il va être Temps et occasion pour lui de le révéler, quand un nouveau monde recommence, et qu’il devient un acteur de cette conquête : pour lui il s’agit alors d’une nouvelle étape, pour la continuation judaïque
et voilà un hérétique judaïque (de +, après jésus), qui se profile, et les circonstances vont faire que ce prophète va trouver un public, de son vivant du fait de circonstances extraordinaires, que lui a vu comment favorisant : une nouvelle alliance avec dieu : on est dans un endroit paumé en amerique, nouvel eden possible, personne ne va aller vérifier où le message divin a été trouvé, sous quelle forme etc.( et cette plaque de cuivre sur lequel le texte à traduire était gravé : a été récupérée par l’ange, ce qui est quand même très embêtant, s’agissant des preuves : alors que dieu sait : combien il y a de saints thomas !, dieu n’a vraiment pas de mémoire !, il fait reprendre la preuve : décidément : il veut vraiment que l’on croit par nous-mêmes, qu’on n’ait juste la foi pour nous !)
une mythologie peut commencer  (là encore, on est dans un entre-deux : cet écrit sacré, c’est théologique, cela appartient au domaine de dieu, et on passe vite au textologique (le mot que j’invente pour dire : il faut une matérialisation direct du théologique : et c’est l’écrit : alors on peut commencer à dire : « mais, c’est écrit ! », alors c’est vrai…, et ça marche !, l’écrit oblige aussi à : une élaboration affinée du « mensonge » (utile, c’est pourquoi je mets des guillemets) spirituel)) : le prophète mormon dit, on, mes compagnons et moi, a fait la traduction du texte divin !!!! », on croit donc à l’existence du très long message (sur des plaque de cuivre, alors de quelles tailles !), et donc, bravo à toi si tu réussi à le lire !,  on est prié de croire fermement à partir de la phase textologique (tout le reste ne peut plus être prouvé, n’a plus à l’être, tout texte sacré n’a plus : d’avant, il n’a que de : l’après / il est mal vu de demander des détails sur l’histoire première de tout cela, et pour cause : il y a juste l’imagination théologique de quelqu’un qui s’est présenté comme prophète)
ce type qui s’autoproclame prophète, est assassiné cruellement, connait donc une « Passion » (de quoi cette fois lui donner une certaine assise, cela a été on homologation à lui : un prophète qui meurt dans son lit, c’est pas très divin !, il faut une marthyrisation, une sortie, terrible, du réel), or il se trouve des gens qui veulent aller dans le sens de ce « prophète », et une religion mormone commence, prospère : surtout : on ne sait comment cette sous religion a pu prendre : le savoir nous
en dirait long sur : comment cela s’est fait avec l’illusion collective autour de jésus dit le christ
ce n’est pas si bête
cette volonté de créer un nouveau chapitre à la Bible hébraïque : c’est même une idée de génie !, cette Bible il fallait bien la compléter : je suppose donc : j smith voulait donc écrire (comme tant d’autres : la suite du Nouveau testament) je le répète : ce qu’enseigne le dit judéo christianisme n’est plus valable depuis longtemps et transforme peu de pêcheurs
alors, toujours, quelqu’un peut dire : « moi, j’ai le véritable message du christ, on va pouvoir régénérer notre religion judéo chrétienne» (se faisant là, hérétique chrétien, si les instances chrétiennes refusent d’homologuer ce prétendant à la prophétie), et en effet, c’est le boulot d’un prophète (soit de créer une nouvelle religion, soit de renouveler une religion qui existe)
et quand on se trouve dans un espèce de début de l’humanité, l’implantation en amerique, très vite il faut pacifier les hommes, donner un sens à leur vie et à leur mort, d’où la demande là, dans un tel contexte, d’un nouveau prophète
à noter pour les mormons, je suppose encore : pour leur prophète, le type autoproclamé donc, n’a pas ressenti le besoin d’être homologué par les instance juives ou chrétiennes (pourtant il semble qu’il estime se fonder lui aussi à partir de textes bibliques) !!!!
(mais… on peut supposer : les baptistes n’ont pas demandé non plus cette homologation : les juifs baptistes : avec leur invention de (jésus le messie) : on fait du forcing : je suppose quand ici et là les prêcheurs juifs baptistes, puis les prêcheurs juifs baptistes jésusistes : proposaient leur enseignement : ils ne demandaient pas l’homologation : ils s’imposaient avec autorité  (bien sûr quand je parle d’homologation : c’est à un moment : il faut bien que les instances représentative disent : « ceux-là qui prêchent hors synagogues, eh bien maintenant ils peuvent prêcher intra muros », c’est ça l’homologation, ou bien la non homologation cela sera des mêmes : « les juifs baptistes ne sont plus considérés comme des juifs, attention : le prophète baptiste jésus n’a jamais été à considérer comme un prophète juif et ne le sera jamais »), et les baptistes n’ont jamais demandé ensuite cette homologation : devenue sans elle : si puissants…, l’homologation leur est venue par la multitude, par dieu lui-même veulent-ils penser, c’est encore mieux !
ni es suiveurs du fondateur du mormonisme n’ont cherché à faire une telle démarche d’homologation ???? (il ne faut pas compter trouver cela dans les livres sur le mormonisme), tout le monde a en tête (et le prophète mormon encore +), ce qui s’est passé avec jésus, tout le boulot des scribes d’une secte juive pour créer un prophète quand même ad hoc au judaïsme (c’était quand même une demande d’homologation : mais tout au début, quand les jésusistes pensaient que leur invention de prophète était un succès, et que tous les juifs allaient se reconnaitre dans jésus) et puis : niet ! de la part des instances juives supérieures
eux, comment les mormons se rattachent-ils au judaïsme et au judéo-christianisme ?, il faudrait l’étudier, bien sûr donc il y a cet écrit : en style biblique je crois (pour l’avoir donc ouvert à deux ou trois endroits, tel jour)    
4 évangiles
4 fois le même procès surréaliste avec un Pilate qui juge quelqu’un dont il n’avait jamais entendu parler !
le jésus des miracles : pilate n’a pas l’air de connaitre
jésus roi…(à l’estime de ceux, au moins, qui sont venus à son arrivée à jerusalem), mais en quelle intensité ?, par qui, depuis quand, etc., jésus arrive devant pilate comme un parfait inconnu !, « quelle histoire ! » comme pourrait dire un chercheur laïque de « corpus christi »
au moins, lui demande-t-il de s’expliquer sur ce qu’il a fait au Temple ?, cette histoire de vouloir détruire le Temple etc. etc., cela aurait été ainsi un peu plus documenté pour nous aujourd’hui (car les chercheurs nous disent : tout ce que l’on sait de jésus au Temple ne justifiait pas du tout une arrestation ! (dans le contexte judaïque de l’époque : au contraire : montrer qu’on n’aimait pas le Temple construit mais souillé par les hérodes : était plutôt politiquement correct !, même les changeurs et commerçants du parvis du Temple, insultés par jésus, auraient préféré un Temple complétement casher / mais encore  une fois : bien sûr, tout ce qui nous est rapporté là : c’est une belle histoire, qui sait ce qui s’est passé ?, s’il s’est passé quelque chose ?, mais possible : un prêcheur baptiste serait allé faire du scandale au Temple ?, et cela aurait été précisément jésus ?, mais très possible par exemple : le jésus des évangiles : est une construction romancée à partir de faits réels, mais empruntés à plusieurs personnages, en principe : les héros de roman sont fabriqués comme cela, et là on a un roman théologique : dont l’idée géniale a été de relater de 4 façons, pour faire ainsi un effet de réalité)
4 évangiles pour le même flou…, ça le fait pas !
un bibliste de « corpus christi » (ici, dans ce blog, nom générique pour les séries vidéo et prieur et mordillat) évoque un petit agitateur spirituel… (le messie aurait donc été à la base un petit agitateur !, cela le fait pas non plus…, ce n’est peut-être pas la meilleur piste)
(donc un imposteur selon les instances juives, que ces instances ont voulu voir jugé par Pilate comme un dangereux Résistant ?, ce qui permettait, à peu de frais, et sans avoir de sang sur les mains et de poussières de pierres ?, possible : si en effet les Romains enlevaient tout droit de tuer aux juifs : ce qui serait plausible : le droit de tuer réserver aux seigneurs… )
mais alors donc jésus, petit agitateur, mais alors, pas de miracles, rien de tout cela, semble attester ce chercheur…     (à vérifier, quand je reverrai ce passage)
les phéniciens
il faut se méfier de ce que l’on croit savoir, qu’on nous avait toujours dit, qu’on avait pris pour argent comptant
un historien, xavier  mauduit, vient de nous faire savoir : les phéniciens, ce peuple, n’a jamais existé, c’était une invention, il s’agit des libanais de l’antiquité mais qui existaient bel et bien, mais ne formaient pas une civilisation, là cela a été inventé…
si j’étais un dit chrétien gnostique  
(je ne mets pas là : « dit juif chrétien gnostique » car : le gnosticisme (surtout) ne se considère pas comme étant dans la suite de la Bible hébraïque)
je te dirais, prenons une possibilité  : « j’ai une connaissance supérieure de ce qui s’est passé avec l’arrivée de jésus : or toi, tu fais partie de l’élite qui peut recevoir la vérité : alors voilà : tu le sais, marie la magdalienne a pu, alors qu’elle voulait entrer dans le tombeau de jésus, et que ce tombeau était ouvert et vide, avoir une rencontre avec jésus revenu dans le monde des vivants, or elle vit un homme qu’elle ne connaissait pas, mais bientôt par sa voix, si bien connue d’elle, elle comprit qu’elle avait à faire à jésus, ainsi, jésus s’était réincarné en une nouvelle personne, jésus n’a donc pas ressuscité mais s’est réincarné, a continué son cycle de réincarnation, et aujourd’hui, jésus est très probablement en une autre réincarnation parmi nous »
l’Apocalypse
un chercheur semble dire : « jésus revient, demain !, alors il n’y a même pas lieu de raconter l’histoire de jésus par des évangiles », comme s’il suggérait : l’Apo a été écrite avant les Evangiles
l’Apo
rappel : n’a pas été écrite par un jean qui aurait été un des compagnons de jésus
Il ne s’agit pas de jean l’ancien, qui aurait écrit des épitres du Nouveau testament
Il ne s’agit pas de (du fameux) « jean le disciple bien aimé  de jésus » (là, en +,  c’est très problématique : l’identité de ce personnage)
Il ne s’agit pas de jean qui aurait écrit un Evangile (ou bien évangile selon ce jean, ce qui voudrait dire : selon son témoignage / je sais, c’est complexe, et personne ne s’y retrouve s’agissant des auteurs des Evangiles)
par contre serait plausible, dit un chercheur : « ce jean de l’ile Pathmos (exilé là, pourquoi ? si on le savait cela serait une grande avancée) qui aurait écrit l’Apo (tout seul ?) serait à situer quand même du côté de ceux qui sont à l’origine de (l’évangile « de », ou selon jean), possible que cela soit le même scriptorium qui se soit chargé de cela, hypothèse cependant
les gnostiques ?
ils constatent : l’irrésistible élévation de jésus messie, les foules qui croient !
or : 1 jésus ne revient pas, la fin du monde générale n’est pas là 2 ce que jésus est = du judaïsme newlook internationaliste, du judaïsme frelaté (les juifs disent : le baptisme  = une dissidence, une imposture, et leur jésus messie encore +) et donc = quand même nouveauté semblant vue comme telle par les foules, et plébiscitée = en fait bullshit spirituel : cette nouveauté c’est l’accouchement d’un galimatias spirituel sans intérêt, juste bon à nouveau à calmer les foules = tout cela,
catastrophique
les foules accourent et spirituellement parlant : il n’y a rien, là, dans cet enseignement, dans la connaissance de dieu, de la présence humaine, du mal etc.
alors ??????? les gnostiques arrivent : se disent, sont quelques-uns à avoir la même réaction : « ne comptons pas proposer aux foules la vérité !, apparemment cela n’est pas possible, alors : continuons quand même, entre nous, entre initiés : à chercher !!!!!, et à ne pas dire que nous avons trouvé ! et qu’il y a une révélation à donner  »
ces gnostiques sont des théologiens : eux ne sont pas des fous de dieu, ils ont du recul : voient la situation spirituelle du moment : il faut inventer, mieux inventer que l’invention des judéo-baptistes
on prend les gnostiques pour des illuminés (avec leur délire), mais les illuminés seraient plutôt les juifs baptistes ?  avec leur invention de jésus ? ou bien tous sont des fous de dieux illuminés !
les gnostiques préviennent ? : cherchons entre nous, restons dans l’ésotérisme, éloignons nous des foules (c’est ce qui semble se passer avec eux, et qui nous étonne aujourd’hui) et de leurs bas besoins spirituels qui ne peut être assouvis, les foules ne peuvent qu’être trompées, et voilà qu’elles le sont par les juifs jésusistes…
mais la grande nouveauté : au moins : c’est : finie la croyance (pour les gnostiques, et quelque part pour les jésusistes puisqu’ils VOLENT la tradition judaïque, dont ne la respectent pas du tout !!!!) en la tradition judaïque, fini : le dieu des juifs, c’est un dieu créateur d’un monde imparfait
les gnostiques proposent donc leur recherche, on repart à zéro, s’agissant de la divinité, certes, on prend ici et là des éléments, et on recommence cela en petit comité : ésotériquement (car on sait aussi : ce que nous trouvons, là, ne pourra pas être confronté aux foules, car nous aussi : on ne réussit pas à trouver ?, au moins on n’a pas le cynisme de le proposer aux foules / ce gnosticisme pour initiés seulement : pourrait être expliqué notamment comme cela, selon moi)
signification
Apocalypse = dévoilement à nous ! des desseins de dieu et de jésus…, corrigent les chercheurs, « tout est clair, tout est dévoilé », comment en arrive-t-on à prétendre dire les desseins de dieu !!!!!, qui a pu prendre la responsabilité de ce délire !, est ce qu’une seule phrase de ce texte est censée ? , et pourtant les bibles sont l’ouvrage le plus diffusé de l’histoire du monde, comment on en est arrivé là !
certains gnostiques pensent, proclament
jésus est venu pour sauver les hommes du dieu juif !, le dieu de la Bible hébraïque
comment on en est arrivé là vers 100 après j. c., et au délire que va être l’enseignement judéo-jésusiste, ou déjà judéo-messianiste
à noter : délire gnostiques qui, par comparaison, rend CREDIBLE le petit délire des judéo-jésusistes
et en tout cas : pour des gnostiques (pas tous) : jésus a existé, mais comment ?, à quel moment ? ces
gnostiques s’emparent de jésus ?, ils le détournent de quoi ?, on ne sait pas : on manque de repères sur les débuts du dit judéo-christianisme, qui (on le voit) essayait de virer à nouvelle, complète religion : de par ce personnage énigmatique : jésus, qui fait changer d’époque (en fait : ce judéo baptisme, ces autres sectes aussi : qui, de fait, se mettent à décrédibiliser le judaïsme : et qui logiquement aurait dû seulement déboucher sur le gnosticisme : c’est-à-dire sur la fin du judaïsme et la recherche du nouveau dieu : or ce qu’on a eu : c’est quand même la continuation du judaïsme, juste teinté d’un peu de « nouveauté » complète ou de retour en arrière judaïque)  
les cathares
dans l’édition53   Edition française 74, et reedition88      de « les cathares » d’arno borst
il y a une postface sans doute récente signée c. roy : et l’Apoc est évoquée, or… à l’époque : encore ! on croit encore que ce texte fou a été écrit par jean, proche de jésus (en suivant là la tradition dite judéo-chrétienne, on n’a quasiment pas d’autres traces de tels personnages), et c roy donc évoque « le disciple bien aimé, jean a écrit l’apo », « jean l’aimé du christ »   « son état visionnaire »
il serait très intéressant de savoir  quand : on a commencé à divulguer (et qui ?) qui était + probablement l’auteur de ce livre   (et on est loin de savoir tout de cette piste là, mais c’est la bonne piste, on ne sait rien sur la fabrication de tels textes, et celui-là 100% ésotérique), jean de Pathmos,
eh oui
les prêtres qui nous ont habitué à voir jésus comme « le fils de dieu »
et nous, petits imbéciles enfants et ados , on était bluffés ! en effet on pouvait bien adorer « le fils de dieu »
les prêtres se gardaient bien de nous dire : « mais, vous savez, jésus n’est pas le premier à se dire ou à être dit « le fils de dieu »…, tant d’autres… »
eh oui, rien qu’un petit truc comme cela, une toute petite vérité comme cela dans leurs bouches, et nous aurions été mis sur la bonne piste : « tout ce que l’on nous enseigne là c’est du bullshit !
les hérésies   (pistes de réflexion)
elles naissent toujours au sein du clergé de la « maison mère » /
ceux qui se sont mis au service de l’illusion collective, du prêt à adorer de leur religion, le trouvent-ils trop débiles ? , ou bien au contraire pas assez délirant ?
ceux qu’on peut appeler les SERVANTS (le continuateurs de l’illusion collective) : par exemple les juifs baptistes : sont des fous de dieu : qui en fait veulent faire autrement que les fous de dieu juif autorisés : les juifs baptistes font une révolution (retour en arrière), en cela ils peuvent être
considérés comme, voulant se replacer à la source de ce qui est… : une escroquerie spirituelle
alors que les servants juifs officiels : quelque part peuvent être vus comme moins fous  (même si multipliant les lois) : puisque pouvant être vus juste : comme bêtement : voulant juste confirmer ce que les tous premiers fous spirituels ont édicté
les fous hérétiques veulent remplacer les fous officiels : les hérétiques : veulent proposer juste, selon eux : un meilleur prêt à adorer   (toujours la même question se profile : ceux qui créent une nouvelle voie spirituelle : sont-ils des illuminés, inspirés : ou des inventeurs cyniques… mais quand même inspirés quelque part ?)
on n’a pas trop l’impression qu’il s’agit d’une prise de conscience que tout cela est du bullshit ou bien : alors ils continent donc à se croire utiles en voulant donner du prêt à adorer + efficace, et en cela encore + utile que ce qu’il y avait avant, ils seraient conscients que les foules doivent passer par le bullshit   / cela pour le théologien de sa secte : les servants eux croiraient à ce bullshit   (voir ailleurs : ce que j’ai écrit sur les prêtres, leur si particulière vocation)
gnose
le salut par la connaissance !!! , voilà ce que les gnostiques post jésus proposent : c’est par le savoir que tu seras sauvé : non par jésus, non par la fin du monde et toutes ces conneries / comme si : on revenait au point de départ : le théologique : le seul théologique
4 évangiles officiels…   (quels sont les versions précédentes, ou la version précédent, quel flou !, quand ont-ils été écrits ?, par qui ?, quand ?)
or voilà d’autres scribes (avant ?, pendant cette réalisation d’évangiles « officiels », après) qui se permettent d’écrire eux aussi des évangiles, et de les proposer, eux aussi, comme étant écrits par d’autres apôtres (ou comme étant une prise en compte du témoignage de tel apôtre, processus déjà de mis pour les évangiles officiels)
basiquement : il est tentant de penser : ces scribes gnostiques  (alors : que tout à coup une grande demande spirituelle se fait ? car les baptistes, avec jésus ?, et leur désobéissance aux instances représentatives judaïques, ont réussi ouvrir l’époque : la faire : en recherche genre : « eh bien, le dieu judaïque, c’était rien, c’était faux, le Temple a encore été détruit, on ne peut + croire en lui.., on ne va pas refaire éternellement sa maison !!! , il n’y avait personne dans cette maison !», ils   ont vu que des textes inventaient jésus : alors pourquoi ne pas proposer leur invention de jésus à eux ?, pouvant tout aussi bien être valable et peut-être + valable
protection
roland hurteaux est un des rates chercheurs qui fait comprendre : le Temps de jésus, notamment, en + de l’invasion romaine : un Temps d’épidémies, même un empereur romain, marc Aurèle mourra de la peste, il faut absolument trouver une protection spirituelle
la protection judaïque n’est plus bonne, les fous juif baptistes pensent : elle a été mal appliquée, mais elle reste top, en quelque sorte : eux sont déjà un peu des gnostiques : pour eux tout est dans l’interprétation : ils proposent une nouvelle interprétation des textes, et cela va jusqu’à leur faire dire, (aux textes) que leur jésus, leur prêcheur jésus crucifié, dont ils font un messie, était prévu par ces textes judaïques, et comme ils sont juifs, ils se permettent cela, à part que le judaïsme : c’est quand même un tout, et si un courant propose quelque chose de nouveau, pourquoi pas : mais il faut qu’il y ait un concensensus pour que cela devienne kasher, c’est : l’homologation dont je parle partout
et donc : les juifs baptistes ont pris le pouvoir : ont volé le pouvoir : avec leur arme de destruction massive : jésus / leur création d’un messie : ce qui n’a pas été possible de contrer par les autres juifs !!!!! (pris de cours ! par un truc qui était en fait inimaginable, qui aurait osé.., eh bien si les juifs baptistes ont osé, et nantis soudain de cette arme (de prêches, de papier, mais qui a été prise au sérieux, et est donc devenue opérative !), oui, ils ont pu prendre le pouvoir
prendre le pouvoir jusqu’à tuer les autres juifs !!!!!!, car il ne faut pas oublier : le génocide juif : ce sont des juifs qui tuent des autres juifs
donc Temps d’inquiétude : de demande de nouveau dieux : ainsi même le judaïsme, de ce fait, a pu être évolutionné !!!!!!, en se faisant judéo-jésusisme : l’évolution a été à la fois une révolution (retour en arrière) et une évolution : toutes nouvelles règles   (je suppose, n’ayant rien à voir avec le judaïsme),
il faut une nouvelle époque : ainsi : les soldats romains : se mettent eux sous la protection de mytrha (quittant leurs dieux romains !) : le dieu qui chevauche un taureau, un dieu sanguinaire, cela les conforte dans leur droit de tuer, c’est très pratique pour eux
tel grand personnage romain s’accompagne d’une grand prêtresse orientale…
gnose
gnose = connaissance   / alors possible : connaissance : le dieu judaïque créateur était donc (pour eux) : Satan, alors, il faut le savoir : et échapper à ce monde : en ayant connaissance de l’autre dieu : le dieu bienveillant : on peut supporter le mal terrestre, on peut s’en détacher, mais seuls certains peuvent le faire : la plupart des hommes resteront des grands attachés au monde démoniaque
ce n’est pas loin de ma théorie des 3 Niveaux (voir leREincarnomicon sur ce compte Tumblr) : le Niveau1 : faire avec le monde de la réalité / possible  car : un Niveau2 existe : pouvant cette fois privilégier : une meilleur façon d’exister par l’esprit cette fois
jésus     24    relu et complété mars 2020
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blueclodpeanutmoney · 4 years
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La symbologie du costume sur mesure
Le costume sur mesure a été créé pour les hommes. Squicciarino (1998) le nomme le costume de la bourgeoisie, composé d'un pantalon, d'une veste, d'une chemise et d'une cravate. L'auteur raconte que le procès est né au début du XIXe siècle après la Révolution française et n'a été consolidé en Europe qu'après la révolution bourgeoise. Il était considéré comme sobre, austère et sombre, cela était également dû au caractère invariable de la forme, c'est-à-dire sans changement dans le moulage et à la prédominance des couleurs grises et noires.
le costume était destiné à exprimer la confiance, la responsabilité et la garantie. Cela devint peut-être un avantage pour l'homme d'affaires bourgeois de se distinguer des autres classes sociales.
le costume sur mesure est né entre les événements politiques, économiques et sociaux de cette époque. Cet ensemble était prédestiné à faire l'éloge de la représentation des hommes dans ces secteurs, autrement dit, qui portaient une veste et un pantalon était celui qui avait le pouvoir de diriger. Par conséquent, le costume sur mesure représente la suprématie masculine.
Les origines de la couture féminine remontent au début du XIXe siècle, lorsque le style masculin était une caractéristique des vêtements d'équitation pour femmes, les femmes amazoniennes portaient des costumes sombres que les tailleurs confectionnaient inspirés des redingotes et des vestes pour hommes.
La plupart des vestes pour femmes étaient ornées de détails militaires, les chevrons étaient l'un des motifs décoratifs les plus utilisés et s'inspiraient des uniformes des régiments militaires.
Les femmes ont commencé à adopter le costume sur mesure à leurs silhouettes, il symbolisait pour elles l'égalité entre les sexes, l'égalité des droits à partir d'un cadre provocant avant les traditions déjà établies. C'est la communication visuelle qui a exigé un nouveau cap en termes d'équité. Le costume masculin était un symbole de pouvoir, de respect et de liberté, dont les femmes voulaient également faire partie.
RÉINTERPRÉTATION DU COSTUME SUR MESURE
Qu´est-ce que la couture?
Quelles sont leurs caractéristiques?
Confection professionelle des vêtements.
La couture est l’assemblage de deluxe ou plusieurs pièces. Le couture est utilisée dans la fabrication des vêtements, du linge de maison, des éléments décoration, des clausures, de la maroquineire.
La première utilisation était en XVI siècle.
Ses principales tâches sont la confection, la retouche ou lájustement de vêtements.
Générelement, le couture, le couturier est appelé à exercer son métier dans un établissement spécialise en couture, chez un teinturier, dans une manufacture de vêtements, ou encoré dans une boutique de vêtements.
Alexander Mcqueen est un example de designer qui se concentre sur le travail sur mesure
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haitilegends · 8 years
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UNE TRÈS RARE PHOTO DU POÈTE, HOMME DE THÉÂTRE ET JOURNALISTE HAÏTIEN RICHARD BRISSON. TIRÉE DU MUR DE NOTRE COLLABORATEUR Frankie Morone AVEC UNE PETITE RETOUCHE ADDITIONNELLE DE HUGO VALCIN. Richard Brisson: le poète martyr Quand on est jeune et louangé, il ne reste qu'un recours, c'est de croire à son étoile. Et Richard Brisson, cheveux d'artiste et regard enjoué, semble s'être réveillé tous les jours en voulant y croire et en se prouvant qu'il avait raison de le faire. Il y avait, dès son plus jeune âge, du minotaure en lui. Courtois et prévenant, il était aussi imprévisible, mais sans violence ni aigreur. Les sautes d'humeur lui étaient nécessaires. Au sommet de l'Haïti duvaliériste des années 60-70, et au coeur des relations mondaines et des arts, les Brisson n'étaient-ils pas, malgré les drames de l'existence, les hôtes infatigables d'un temps d'excitation et de défi qui paraissait appelé à se perdre au-delà du grand séisme tant attendu ? Avec ses parents et proches, Richard Brisson perçut ainsi les premières lumières et les douleurs étincelantes du monde, à travers celles d'une peur permanente, où les bruits du dehors, les perspectives à perte de vue des jours et des êtres chers perdus, la musique adorable des bals et des fêtes de famille se confondaient avec le scintillement des injustices sociales et les égarements d'une société à l'amertume profond. Et ainsi confondait-il longtemps son innocence avec le malheur du peuple haïtien, ses idées avec les préoccupations collectives de changement et le plaisir de découvrir les joies de la vie avec le trouble mystérieux qu'éprouve l'adolescent demeuré enfant. Aimable, enflammé dans ses sentiments, fier de la valeur de ses passions, il était complètement tordu, anti-conformiste, remuant. Né à Port-au-Prince le 2 mars 1951, il ne finissait jamais ses phrases. Mais il avait une telle verve ! Il était si brillant ! Si sincère ! Cousin de Gérald Brisson, militant de gauche, membre du P.U.C.H, mort en même temps que d'autres camarades dans un accrochage avec les forces des casernes Dessalines à la ruelle Nazon le 2 juin 1969, il voulait exister quand traditions et préjugés le ramenaient à son expérience de l'être morcelé, de la culture populaire opprimée. A sa façon, il a donc assumé, il a esquivé, louvoyé, il s'est essayé à d'autres normes, avant de se concilier avec cette partie irrépressible, incompréhensible de lui-même. Déjà Plutarque, le prince des biographies, remarquait que souvent les actions insignifiantes, une anecdote, une plaisanterie révèle le caractère d'un homme beaucoup mieux que les grands exploits ou les batailles. Dans ce pays peuplé de gens irascibles, Richard Brisson était drôle, pathétique, chaleureux, son rire en cascade éclatait par moments : sa voix, si pure, séduisait et rassurait sur les ondes de Radio Haïti Inter. En privé. En public. Partout. Cinéphile, mélomane, bibliophile, il avait un visage d'ange ou, mieux, d'éternel adolescent, des bras et des jambes proportionnels, des doigts courts et un regard direct. Mais, par contraste avec cet aspect acharné, méthodique, il ressemblait aussi à un grand timide, il était en plus une sorte de lutin, un diseur de bonnes aventures, avec ses blagues sournoises, la gaieté de ses fossettes, la gouaille de son propos, la folle variété de ses émissions radiophoniques, les mille petites lumières et souffrances qui traversaient en force ses poèmes et la fulgurance de son talent d'acteur. Je crois que c'est le «Journal d'un fou» de Nicolas Gogol que Richard Brisson adapta avec brio qui - je ne sais plus par quels méandres, ou au contraire, par quelles coïncidences - m'avait amené à lui. Cette pièce géniale, rappelons-le, résume à elle seule, l'apport du XIXe siècle à l'histoire du théâtre. Et dès cette époque, comme si c'était nécessaire à l'approfondissement de notre amitié, j'ai tenté d'«interroger» son visage resplendissant. Exercice où, dès qu'on parle de l'autre on parle de soi et où, pour se pencher sur le passé, il faut en supprimer les pires moments et imaginer une autre vie. La mémoire est la seule faculté non facultative et la seule imprescriptible. C'est aussi la seule faculté dont l'existence est la langue. Matamore agité, à bien des égards, il l'a été en particulier à l'égard des esprits cultivés. Sous son allure bon enfant, il était obsédé par la perfection, la rigueur. Fin causeur, il refusait le réductionnisme thématique, le maniérisme sartrien, le snobisme post-moderne, le sectarisme, les chapelles, les courants, et leurs aveuglements, et leurs clichés. Comme dans chacune de ses prestations publiques, il avait un charme fou. Pour lui, le vrai talent, le vrai don que l'on puisse faire au public, c'est celui de la franchise, de la communication sans contraintes ni limitations. Tout le charme de celui qu'on écoutait affectueusement reposait là. Dans une permanente quête d'absolu, il aimait discuter, partager ses idées écouter les autres. Conscient ou pas vraiment de la fragilité des choses, il aimait la vie, il ne cessait de le prouver. Comme si son admiration, sa générosité, son respect, son désir, sa soif de l'autre ne faisaient qu'unisson avec ses mêmes pulsions à l'égard de la vie. «Ce n'est pas tout de vivre, se plaisait-il à dire, c'est de le faire en toute convivialité.» Et cela se lisait sur son beau visage. «Observateur fin, jusqu'à la minutie, habile à surprendre le ridicule, hardi à l'exposer, mais enclin à l'outrer jusqu'à la bouffonnerie, M. Gogol est avant tout un satirique plein de verve.» Que de fois Richard Brisson a-t-il réfléchi à ce jugement de Prosper Mérimée sur l'auteur du «Journal d'un fou» dont il fit une des plus belles réussites de l'histoire du théâtre en Haïti ! Et comme il éclaire le mouvement de toute sa vie ! Cette disponibilité absolue, imperturbable, explique la prédilection de Richard Brisson pour la radio depuis novembre 1971, le théâtre avec François Latour (création en 1972 de Théâtre National d'Haïti) et la poésie. Au tout début, il fait des gammes poétiques en virtuose. Mais les ultimes années nous réservent une surprise : la succession des initiatives radiophoniques, disons culturelles et théâtrales, de plus en plus accélérée révélait un Richard Brisson non plus maitre de son emploi du temps, mais luttant âprement contre le temps. Prémonition ? Conséquence logique d'une vie bouillonnante ? Si l'on ajoute de mémoire «L'Exception et la Règle de Berthol Brecht», «Les Bonnes» de Jean Genet «M. de Vastey» où il jouait successivement les rôles de marchand, de Solange et de l'archevêque du Cap, les spectacles de variétés tels «Show Pourri 76» et «Musicorama 78», sans oublier ses nombreuses émissions d'animation culturelle à Radio Haïti Inter, constituaient des repères fondamentaux à la compréhension, le dynamisme de cet artiste séduisant. Sa science de la communication, son goût du spectacle, son instinct, qui lui faisait renifler le don et le talent chez un inconnu ou chez un jeune artiste avec la même infaillibilité qu'il découvrait chez un ainé la fausse renommée que personne n'avait osé dénoncer, lui avaient rapidement fait adopter et inventer une méthode d'appréciation et de vulgarisation très personnelle. C'était bien simple : tout talent nouveau et toute réputation surfaite qui était authentique, ou qui passait par là, il se l'attachait. Besoin subit de communiquer, le petit univers de la culture et bientôt le Tout-Port-au-Prince se pressaient chez lui ou autour. Et sa réputation, en même temps que son succès médiatique, grimpait. Sans attendrissement béat ni sarcasmes intempestifs, Richard Brisson, dans ses émissions, dans ses entrevues, allait beaucoup plus loin, au bout de toutes les passions et de toutes les attentes musicales, picturales, théâtrales, littéraires. Bref, on le retrouvait désintéressé et plein d'énergie, et c'était une autre des différences entre lui et ceux qui le suivirent, sans parvenir à lui succéder. «A tout prix, il faut libérer ce peuple déchiré et rongé par de trop longues souffrances», me répétait-il sans cesse. Et à cet effort terrible pour arrêter la vitesse de l'instant la poésie semble mieux convenir que les lenteurs appliquées du théâtre. Là où animation radiophonique et théâtre effacent, à mesure qu'il progresse, les étapes précédentes, la poésie les préserve : n'importe quel moment du parcours peut servir de nouveau départ, être exposé à une lumière différente. La poésie, la poésie russe surtout, fut pour lui une source intarissable. Bonheur instantané! Les thèmes obsessionnels de Richard Brisson sont faits, au temps de Poémons (1973) et de Phrases (1975), pour signifier le cauchemar de l'histoire. Poète-Journaliste, journaliste-comédien, il tient là les carnets imagés de son intimité. A ses côtés, toutes les préoccupations de sa génération défilent sous le regard oblique de son objectif voyeur. Habiles, subtils, poignants, les mots suggèrent plus qu'ils ne nomment. La tendresse en guenille, les lamentations d'un amoureux mal compris, la peur traduisent les problèmes, le calvaire d'une Haïti qui va basculer dans l'horreur et le délire transitoire, à travers un discours aigu, ferme, foisonnant, dont les rets blessants s'accrochent également aux regards, Courage, sublimation, amour, révolte contre le conformisme et l'injustice, presque tout est déjà là dans ces recueils de poèmes rédigés précocement. Le désir sexuel y joue le plus souvent le rôle moteur. A quelques exceptions près, la plupart de ces poèmes sont d'un noir pessimisme. C'est le Port-au-Prince des années 70, suintant et fatidique, désespérant et obséquieux. Rimbaud en jean, James Dean grisé par le micro, Richard Brisson dans son goût farouche de la liberté et par son sens assez contagieux de la générosité avait l'angoisse de l'éparpillement ; il voyait surgir dans les rues et les bidonvilles, les forces et les émotions d'un monde à venir. Rien de sirupeux, on le constate. La dénonciation de la situation générale du pays déborde d'un souffle très diabolo - menthe qui, sans atteindre la virulence de FranKetienne , l'élégance envoûtante d'Anthony Phelps ou les prouesses de René Philoctète, les évoquent avec ironie. Plus encore que dans les mots, de précieuses indications apparaissent dans le blanc entre les mots, dans la tension d'un mot à l'autre, dans les inflexions de voix, s'expriment dans le choix d'un vocabulaire météorologique. Il y avait déjà ceux qui écrivaient comme ils rêvaient. Voici celui qui écrivait comme il croyait, qui faisait du théâtre et de la radio avec jubilation. Attention ! Pas d'une écriture hachée, si courante de nos jours, mais avec un art subtil, cette adéquation du goût et du regard qu'on appelle la poésie "qu'on ne peut jamais enterrer vive", comme écrivait Nadejda l'épouse du grand poète Ossip Mandelstam mort en déportation en sibérie en 1938. Il y avait quelque chose en lui qui rappelait obstinément la jeunesse : ce mouvement de tête fougueux, cette foi en l'homme, capable de changer le monde. Cette vitalité trépidante, généreuse ... 1982 : quelle année tragique pour l'histoire d'un jeune prodigue ! Exilé aux Etats-Unis après la fameuse rafle du 28 novembre 1980, Richard Brisson retourna au pays en janvier 1982 lors du débarquement armé dirigé par Bernard Sansaricq à l'île de La Tortue pour renverser le régime de Jean-Claude Duvalier et fut capturé, torturé, assasiné, porté disparu. Victime expiatoire, il avait 31 ans quand les troupes militaro-macoutes ont fait de lui un martyr de la liberté, l'un des véritables géniteurs de ce grand espace d'oxygène post-1986. Et ce texte effusif - qui ne prétend ni témoigner, ni mobiliser, ni se jucher sur un piédestal politico-idéologique - n'est que la chronique de cette improbable survie dans notre - ma ! - mémoire, dans notre vie de peuple vouée à l'iniquité et à la mort. La douloureuse radicalité du «mythe» Richard Brisson repousse le piège de l'image sacralisée, figée, meurtrie. Quelque chose nous dit, en effet, que Richard Brisson, notre ami, notre Richard anticonformiste et libertaire jusqu'au dernier souffle, n'en a pas terminé de nous (me) sourire. Un très beau livre, injustement oublié de Jules Romain que Richard Brisson m'avait «passé», «Mort de quelqu'un» paru en 1911, proposait cette idée (qualifiée, à l'époque, d'unanimiste): un mort ne meurt vraiment que lorsque personne ne pense plus à lui. Septembre 1993, Frères - Source: JOURNAL LE NOUVELLISTE Sous la plume de Pierre Raymond Dimas. #HUGO #RICHARDBRISSON
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a2sparis · 5 years
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À propos de Bornhauser et d’autres photographes
EXPOSITIONS. À propos de Bornhauser et d’autres photographes
À la MEP (Maison européenne de la photographie), à Paris. Commissaires : Manon Demurger, Pascal Hoël et Frédérique Dolivet, tous trois de la MEP.  
Ce sont trois belles expositions simultanées et jumelées que, à Paris, propose actuellement la Maison européenne de la photographie (MEP). Celle-ci est dirigée depuis un an par le britannique Simon Baker, antérieurement à la Tate Modern, de Londres. Comportant une vingtaine d’œuvres en couleur, la première de ces expositions est consacrée à la jeune photographe parisienne Marguerite Bornhauser, née en 1989 et diplômée de l'École nationale de la photographie d'Arles en 2015. Les couleurs de ses photographies - il s’agit souvent de gros plans (plantes, visages, pieds, mains, dos...) - sont vives, souvent rougeâtres, parfois bleutées. Il y a aussi une vidéo de l’image fixe d’un tissu rouge vif sur un séchoir au soleil - Bornhauser aime travailler «autour de l’ambiguïté entre l’image fixe et l’image animée», explique-t-on à la MEP. À propos de Bornhauser, qui, notons-le, a déjà publié deux livres, «Plastic Colours» (2017) et «8» (2018), Manon Demurger, la commissaire de l’exposition, souligne que le refus de cette photographe de sous-titrer ses images et de les situer dans le contexte dans lequel elles ont été prises, «fait de chaque photographie le point de départ d'un récit délibérément subjectif». < Le langage photographique de Bornhauser, caractérisé par des couleurs vives, des ombres implacables et des gros plans, offre une interprétation libre de la réalité >, ajoute Demurger.
Femmes dénudées, telles des victimes d’un tueur en série
Evoquant les liens entre la photographie et le cinéma, avec la nuit comme un des thèmes principaux, la seconde exposition propose une superbe sélection de la collection de la MEP, collection riche de près de 23 000 tirages. Dans cette exposition, on peut admirer des œuvres - surtout en noir et blanc - de photographes comme Brassaï, Doisneau, Frank, Friedlander, Winogrand, Arbus, Brandt, Depardon, Goldin, Kertész, Newton, Plossu, Ronis, Weegee ou encore Clark. Nous avons particulièrement apprécié une série de Les Krims (né en 1942 à New York) pour laquelle ont posé des femmes, plutôt dénudées, supposément victimes d’un tueur en série, et mises en scène dans des cuisines, salles de bains, etc. Autre photographe de l’exposition, Dolorès Marat (née en 1944 à Paris, où elle vit) invite le spectateur à imaginer des fictions à partir de ses images, que, dit-on, elle refuse de retoucher ou de recadrer. À signaler que Marat a publié dernièrement un nouveau livre-photo, «Paris, correspondances», consacré au «métro» parisien. Autre artiste de l’exposition, formé au London College of Printing, Paulo Nozolino (né en 1955 à Lisbonne et qui vit et travaille entre Paris et le Portugal) développe depuis une quarantaine d’années un remarquable travail photographique en noir et blanc. Ses images sont sombres, épurées. Et poétiques. La troisième exposition est consacrée au photographe américain Henry Wessel, qui a longtemps enseigné la photographie au San Francisco Art Institute et qui est mort en septembre dernier alors qu’il préparait cette exposition. Celle-ci, qui ne comporte que des photographies en noir et blanc, offre une intéressante vue d’ensemble d’une carrière professionnelle longue d’une cinquantaine d’années, carrière très influencée par les romans et films policiers.
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lisaagraphisme · 5 years
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Horae
Résumé du projet
Mon projet est une série de photo montage de plusieurs photos du même panorama à différents moments de la journée. En sélectionnant les éléments intéressants des diverses photos, comme les reflets lumineux ou les personnes par exemple, je souhaitais créer une photo hors du temps donnant une impression fantastique. Le coucher du soleil serait combiné aux reflets sur l'eau d'un soleil de midi et les éclairages de la nuit.
Références
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En références artistiques je me suis tourné du côté de l’oeuvre Nantes Triptych de Bill Viola présentant trois étapes de la vie simultanément : la naissance d’un nouveau né, la vie à travers un homme en apnée sous l’eau, et la mort via le décès d’une femme âgée. Mon oeuvre étant basée sur la notion du temps, Horae signifiant les Heures en latin - des Déesses de la mythologie grecque incarnant les divisions du temps, l’oeuvre de Viola me semble avoir un lien évident avec mon projet. Il a su exposer trois périodes de la vie en même temps, tout comme mon projet souhaite mélanger et jouer avec le temps sur une seule photographie à chaque fois. A la différence que ce ne sont pas trois périodes de la vie, mais trois - ou plus - périodes de la journée. J’y exposerai les moments les plus intéressants de chaque cliché pris du même paysage : la foule de la journée, le coucher de soleil, les reflets lumineux de la nuit. La réflexion de Bill Viola sur la temporalité nous fait aussi avoir une prise de conscience sur le caractère éphémère de la vie humaine, ainsi que le côté intemporel de la mort. Réflexion qui me fascine et me terrifie, car elle démontre notre impuissance à être omniscient puisque pendant que je vis ici, je ne verrais jamais ce que vivent d'autres en même temps. C'est aussi une des pistes de mon œuvre, en effet en fusionnant le temps sur une photo j'offre l’opportunité d'assister à plusieurs scènes de vie d'un coup. Ici, la boîte du chat de Schrödinger est ouverte et l'on peut observer sa vie et sa mort en même temps.
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J’ai également été inspiré par Walter de Maria et son Lightning field; oeuvre magistrale où l’installation d’une série de paratonnerres permet de voir un véritable champs d’éclairs. Ceci permet de compresser et localiser un événement qui devrait s’étaler et dans la durée et dans l’espace. Le lien avec mon oeuvre ici est le jeu en lui même : l’artiste a réussi à manipuler et jouer avec les forces de la nature et par extension avec le temps. Là où d’autres techniques de manipulation de l’image permettraient à obtenir le même résultat en superposant plusieurs photos d’orage, son installation permet de prendre des clichés extraordinaires sur l’instant. Et malgré le côté artificiel, car cela reste une installation humaine, il y a un côté ordinaire et naturel dans l’oeuvre car c’est la nature qui se déchaîne comme elle le ferait habituellement. Mon projet est similaire dans l'intention puisque les photos seront tout à fait naturelles, mais au moyen de retouches je souhaite dompter le temps et détraquer l'ordre naturel des choses. 
Final
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Photo N°1
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Photo N°3
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Photo N°6
Morgan RUMMEL - MAIAKOVSKI
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nuoveggdb-blog · 6 years
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Golden Goose Francy Pas Cher Assortiment associé à des chaussures de haute qualité
Lors de la plantation d'un nouveau jardin, percez de petits fossés entre les rangées de plantes. Maintenant, ces travaux aideront à faire couler l’eau de pluie sur les réseaux électriques eux-mêmes, en plus d’alléger le risque occasionnel de devoir retourner à l’eau vous-même. Aider l'eau à économiser de l'argent! La période du mollet pourrait donner lieu à un assortiment de modèles pour mollets inférieurs, et constituerait un véritable moyen de faire passer votre tenue vestimentaire au froid. Portez leurs quelques chaussures en daim ou en daim qui ont une taille de robe et un gilet différents. Équilibre le regard avec de grands objets significatifs pour craindre votre point milieu. Accessoirisez les baskets avec quelques chaussures plus hautes et inégales, comme le tricot ou l'argyle. Laissez les vêtements spécifiques connectés les bottes semblent plus grands que le numéro un des instructeurs pour le confort avec le design. Maintenant, c’est le moment d’appliquer le saree autour de votre bonne taille. Le public peut le faire tout au long du mouvement de retouche en s'assurant toujours que le côté peint, également connu sous le nom de pallu, continue vers le bas pour se dérouler. Certaines des choses les plus simples et uniques se trouvent être l’unique avec laquelle vous vous engagez, ainsi que les extrémités cachées. L’école nationale du Pembrokeshire est un lieu de prédilection pour amener vos plus jeunes enfants à la Golden Goose Mid Star Pas Cher ondition que chacun de nos jours soit Golden Goose Francy Pas Cher ualifié de beau temps. Vous pourrez reconnaître le beau paysage en utilisant les chaînes de télévision et cette côte en particulier. Maître avec vos enfants préférés avec la raison litterie offrant la surface de jeu vert tendre. Vous pouvez également organiser votre propre pique-nique à propos du fonctionnement de l'entreprise ou même de ses préoccupations d'enfance. C’est peut-être la durée idéale pour observer les autres mais vous conservez un calme nouveau, ordonné essentiellement par le magnifique paysage qui vous est le plus associé lorsque vous prenez votre grande aventure dans le Pembrokeshire. Des sandales hautes pour mollets pourraient être généralement appropriées si les clients choisissent peut-être une robe courte ou peut-être une largeur au genou qui peut donner une nouvelle apparence aux jambes et les rendre plus minces. Il pourrait être sûr que vous obtenez des jambes chaque fois que je vais au sommet, bien, vous comprenez parfaitement où. Un bon atout solide et une force excitante pourrait être d’opter pour un talon très large et très large. Facilement entretenus, ils sont indispensables à la course pour laquelle vous avez décidé de partir avec cette option. À Hawaii, les grandes institutions et les cérémonies de rentrée universitaire sont gorgées d'une partie du parfum des colliers de fleurs. Les odeurs de plumeria, de gingembre ou de flore d'oeillets ne font que séduire notre auditoire, mais le cou des diplômés. La coutume de donner des leis de fleurs lors des cérémonies de remise des diplômes a bien perdu racine à Los Angeles. Orchid leis sera probablement acheté davantage aux plans de commencement du parcours de golf de Notre Dame. Le marché des visages satisfaits à l’intérieur avec l’odeur actuelle de toutes les fleurs sera indélébile à la mémoire. Son bref article comprenait la plupart des réponses de la banque: Danny Garza, vice-président adjoint chargé du marketing chez IBC Bank, a déclaré qu’il pouvait craindre un arrangement qui risquerait de rendre les clients irritants. Ils atteignent l'un des plus grands ensembles de vêtements pour enfants parmi tous les types de tranches d'âge. Que le logiciel reste un garçon ou une fille, un garçon ou un nouveau-né, vous pouvez croire tout ce dont vous aurez besoin, accompagné de facilité. Une grande partie du costume intéressant pour bébé comprend pratiquement n'importe quelle petite cargaison pour bébé de qualité supérieure. Deborah floral en corail sera souvent un bon choix pour une fille en particulier.
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Lors de la plantation du jardin, aimez absolument les petites tranchées entre les rangées de mauvaises herbes. Cela leur permet d’aider l’eau de pluie à s’adapter aux plantes elles-mêmes et par conséquent, cela atténue le signal du type dont vous auriez probablement besoin et de l’eau vous-même. Économiser de l'eau peut économiser de l'argent! Les chaussures en écailles de veau pourraient devenir un modèle, et sembler être un moyen pratique pour déplacer une tenue vestimentaire individuelle en termes de congélation. Portez quelques chaussures en daim ou en nombre de jambes, ainsi qu'une garde-robe de la taille d'un joint et un cardigan. Équilibre l’apparence avec les grandes solutions appropriées pour indiquer votre standard. Accessoirisez un grand nombre de sabots de la taille de vos jambes avec un minimum de chaussures excessives et inégales, comme le tricot ou l'argyle. Que ce vêtement de la plupart des bottes ressemble davantage au meilleur des organismes de formation pour le confort et le design. Il est maintenant temps de placer le sare autour de votre taille. Une personne peut avoir ceci sur un mouvement de retouche et, en conséquence, aide toujours à s'assurer que le côté désigné, clairement connu dans le pallu, va en relation avec l'affichage pour s'afficher automatiquement. L’extrémité principale la plus large et la plus simple est toujours celle par laquelle vous commencez et qui s’améliore ensuite. Le magasin national du Pembrokeshire est un site internet idéal pour communiquer à vos jeunes adultes même si le temps doit être clément. Les gens Golden Goose Starter Pas Cher euvent choisir le magnifique paysage au large des montagnes et une sorte de côte presque à l’arrivée. Jouez au golf avec vos enfants préférés en regardant le sol jonché de surface de jeu vert tendre. Vous pourriez très bien organiser votre propre pique-nique et parler de son école au bureau ou, en réalité, de leurs préoccupations d’enfance. Il est possible que c’est vraiment une chance pour vous de parler de chaque personne, vous gardez en fait le calme exact obtenu en Golden Goose Starter Femme onction du beau paysage que vous avez en face du fait que vous passez vos vacances en famille dans le Pembrokeshire. Des sandales en os de cakcaneus pourraient être le principal droit si les propriétaires pouvaient choisir un type de robe très court pour le genou qui réduirait l’image de vos jambes. Il va de soi que vous obtiendrez plusieurs jambes de votre jambe et vous saurez bien où. Tous les ajouts et forces de séduction sont susceptibles d’être - optez pour un talon haut de gamme pour vos fenêtres. Des orteils bien entretenus sont un must absolu lorsque le voyage que vous avez choisi de commencer avec cette option unique. À Hawaii, les rituels de début des lycées et collèges sont inondés de ce parfum particulier lié aux colliers de fleurs. Les bouquets parfumés de plumeria, de gingembre, puis de fleurs d'oeillets attirent généralement le public et le cou des diplômés. Votre coutume actuelle de donner des leis de fleurs lors de rituels de remise des diplômes a également pris en compte les racines énumérées ci-dessous à Los Angeles. On pourrait très bien maintenant acheter des leis d’ Golden Goose Superstar Soldes rchid maintenant avec les outils de démarrage de Notre Dame High Course. L'arène de visages parfaits côtoie une partie de l'odeur des fleurs qui devient indélébile et devient un espace de stockage. Son bref article incluait l’une des réponses souvent exprimées par la banque: Danny Garza, vice-président adjoint chargé du marketing chez IBC Bank, a déclaré qu’il pouvait craindre de prendre du temps pour faire en sorte que les prospects se sentent indésirables. Ils ont parmi les collections les plus importantes des vêtements qui conviennent aux enfants de toutes les tranches d'âge. Qu'il s'agisse d'une petite fille, d'un gentil garçon ou d'un nouveau-né innovant, la plupart des gens peuvent identifier tous les besoins de la personne en travaillant avec facilité. Une partie de toute la garde-robe intéressante pour la marque comprend quelques petits bagages pour les nouveaux-nés, ce qui est tout à fait merveilleux. Pour un bébé en particulier, corail m floral peut potentiellement être leur belle série.
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youreditingteamfr · 2 years
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bblsc · 6 years
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10 idées reçues sur le métier de photographe
En photographie, comme dans la vie, tout n’est pas figé sur du papier glacé. Et pourtant, il y a certaines règles que personne n’oserait contester, amateurs comme professionnels. De l’équipement parfait à la composition de l’image en passant par le contenu d’un portfolio en ligne, il y a toujours une personne pour vous dire que c’est comme cela qu’il faut faire et pas autrement. Alors info ou intox ? Nous avons rassemblé les mythes les plus courants du métier. Ceux que l’on n’ose pas remettre en question. Voyons combien d’entre eux sont vérifiés et lesquels vous pouvez laisser de côté !
C’est si simple d’être photographe !
Prendre une photo est facile. Par contre, être photographe demande plus d’efforts. Alors que tout le monde peut appuyer sur un bouton, capturer une belle image demande des compétences, de l’expérience et beaucoup d’implication. La complexité du métier n’est, en général, perçue que par les photographes eux-mêmes. C’est en pratiquant que l’on comprend les challenges.
Ne parlons pas de la difficulté d’en vivre. Tout le monde semble penser qu’il suffit de prendre quelques photos le week-end et le tour est joué. C’est sans penser à tout le travail managérial, les efforts marketing pour se faire connaître et les heures d’édition qui se cachent derrière un beau cliché.
Pour prendre de bonnes photos, il faut avoir un matériel couteux
Tout comme acheter un piano à queue Steinway & Sons ne fait pas de vous un musicien, un appareil photo dernier cri n’est pas suffisant pour être photographe. Un matériel professionnel fournit certes plus de flexibilité et un résultat plus optimal. Mais le gros du travail est fait par la personne qui se trouve de l’autre côté de l’objectif. Donc, avant d’investir des milliers d’euros, commencez par exploiter toutes les fonctions de votre appareil. Apprenez à l’utiliser, vous serez surpris de tout ce que l’on peut faire avec un smartphone.
Prendre des centaines de photos à la suite est la bonne technique
Beaucoup de personnes pensent que de garder la main sur le déclencheur permet de tomber sur la perle rare : la photo qui sortira du lot. Pourquoi pas, me diriez-vous. Ce n’est pas une mauvaise idée, mais cela peut aussi mener à avoir des centaines de clichés identiques et pas très intéressants. À la place, limitez-vous en nombre et travaillez minutieusement l’exposition et la composition. Vous aurez de bien meilleurs résultats et vous passerez moins de temps derrière un ordinateur.
Il vous faut un portfolio très fourni
Vous pouvez vous dire (en tout légitimité) que plus vous chargez de photos sur votre site, plus vos visiteurs peuvent voir l’étendue de votre talent. Mais lorsqu’il s’agit d’afficher votre travail, la qualité prime sur la quantité. Ne sélectionnez que les meilleurs clichés dans le style que vous souhaitez mettre en avant. Inutile de placer vos photos de nouveau-nés si vous souhaitez être embauché en tant que photographe sportif. Les clients ne veulent pas faire défiler des centaines d’images, ils veulent seulement avoir un aperçu de ce que vous savez faire. Vous pouvez aussi combiner portfolio en ligne et chaînes de réseaux sociaux et lier les deux plateformes pour avoir une forte présence sur le Web.
Le mode manuel est ce qu’il y a de mieux
C’est bien connu, vous n’êtes pas un vrai photographe si vous n’utilisez pas le mode manuel. Laissez-nous rectifier cette idée reçue : vous devez définitivement savoir comment paramétrer votre appareil. Cela vous permet de le maîtriser et d’acquérir des compétences techniques. Mais cela ne veut pas dire que vous devez vous tenir à ce mode uniquement et n’en utiliser aucun autre. Chaque scène et sujet à ses spécificités, parfois cela veut dire devoir changer de paramètres rapidement. Le meilleur mode est tout simplement celui adapté à la situation.
Ne pas prendre de photos avec une mauvaise luminosité
Le terme de « mauvaise luminosité » est un mythe en soi. Qu’il fasse pluvieux ou soleil, les conditions météorologiques ne sont pas une limitation, elles sont au contraire un nouveau challenge pour apprendre à maîtriser la lumière et à en tirer le maximum. Par exemple, les jours nuageux sont parfaits pour les paysages et les portraits grâce aux faibles contrastes. Si le soleil est au zénith, concentrez-vous sur les ombres. Si vous êtes à contre-jour, vous pouvez faire un travail très intéressant sur les silhouettes. Il y a toujours de quoi faire.
Maintenir la ligne d’horizon droite
On vous entend d’ici : « Comment cela un mythe ? Maintenir la ligne d’horizon droite est absolument essentiel » ! C’est vrai… la plupart du temps. Il y a quelques exceptions à la règle. Les lignes horizontales stabilisent la composition, ce qui, dans certains cas, peut entraîner une perte de mouvement. C’est un problème quand il s’agit de photographie sportive ou en action, ou le mouvement joue le rôle principal. Dans ce cas précis, l’inclinaison de la caméra peut apporter beaucoup à votre image. Une ligne d’horizon penchée donne du dynamisme et peut mettre en valeur votre sujet.
Ne pas placer pas le sujet au milieu
La règle des tiers, le golden ratio, Fibonacci… toutes ces méthodes sont primordiales lorsque l’on apprend la photographie. Mais les règles sont faites pour être contournées. Vous ne devriez pas avoir peur d’expérimenter et de créer vos propres compositions. Eh oui, cela peut aussi vouloir dire placer le sujet au milieu. La symétrie fait partie de la nature et elle capte l’attention. Ne manquez pas une chance de prendre un superbe cliché sous prétexte qu’il ne rentre pas dans les cases.
Un parfait exemple de photographie centrée sur le sujet, par le talentueux utilisateur de Wix Albert Dros
Vous devez utiliser un trépied
Le trépied peut être votre meilleur ami comme votre pire ennemi. En l’utilisant, vous améliorez considérablement la netteté de vos photos, ce qui vous permet d’explorer différents genres. Mais si vous comptez constamment dessus, cela peut avoir un impact négatif sur votre travail. Vous limitez le champ des possibles – certains photographes laissent même passer des opportunités car ils n’ont pas pu emporter le trépied avec eux. N’ayez pas peur de tenir votre appareil à la main et de trouver un support dans la nature quand l’occasion se présente.
La retouche, c’est de la triche !
Il existe une fausse idée largement répandue selon laquelle le travail d’édition est né avec Photoshop. En réalité la retouche est une technique aussi vieille que la photographie elle-même. Au début, les photographes utilisaient un certain nombre de techniques pour éditer leurs images dans la chambre noire : en grattant, en brulant, en floutant ou en colorisant la pellicule. La plupart des images requièrent un travail d’édition, particulièrement si vous shootez en RAW. Pour ceux qui prennent des photos en JPG, sachez que l’image est automatiquement traitée dans l’appareil. L’édition fait partie du processus de la photographie numérique, tout comme la chambre noire fait partie de celui de la photographie analogique. Il faut simplement faire attention à ne pas dénaturer l’image.
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Lincoln MKC 2019 et NASCAR à St-Eustache
Le 12 septembre 2018
L’été est sur le point de nous quitter mais il nous reste encore quelques semaines de beau temps. En fait, étant moi-même né à cette période de l’année, je trouve que le climat de septembre est un des plus beaux pour profiter de belles autos. Au cours des semaines qui suivront, j’espère pouvoir conduire mon roadster Cobra plus souvent. Il fera moins chaud (l’air peut être insupportable dans l’habitacle d’une Cobra en été vu que le véhicule est moins bien isolé et que le moteur est tout juste sous le tableau de bord, très près des occupants de l’auto) et il y aura moins de «touristes» sur la route.
Ces premiers jours de septembre sont aussi les préférés des gens qui préfèrent ne pas se battre pour avoir une place sur les plages en été et qui profitent des prix plus raisonnables des hôtels et motels de la Côte Est des États-Unis alors que les familles ont déserté la place afin que les enfants retournent à l’école.
C’est ce que j’ai fait pour retourner à Ogunquit dans le Maine, un superbe village sur la Côte Est qui a su conserver son identité propre au cours des années tout en refusant que les grandes chaînes s’y installent. Évidemment, malgré que le nom soit maintenant «ridiculisé» dans des commerciaux, Ogunquit demeure une place recherchée par les Québécois qui y apprécient son authenticité et surtout sa nourriture et sa belle qualité de vie. Et je suis d’entre eux!
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Ford du Canada m’a confié ce Lincoln MKC pour une excursion à Ogunquit. (Photo Éric Descarries)
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Même si Lincoln dit avoir retouché l’arrière de la MKC 2019, j’ai peine à y trouver des différences avec l’ancien modèle. Et pourquoi ne pas produire une plaque qui cacherait le réceptacle de la boule de remorquage pour plus d’élégance? (Photo Éric Descarries)
Grâce à l’aimable collaboration de Ford du Canada (encore...), je me suis rendu à Ogunquit le jour de la Fête du Travail au volant du tout nouveau VUS de luxe Lincoln MKC et ce, pour une demi-douzaine de journées toutes plus agréables les unes que le les autres (imaginez, une température de plus de 30 degrés Celsius presque toute la semaine et une température de l’eau de près de 20 degrés C, du jamais vu)!
C’est donc au volant de ce MKC 2019 à l’avant redessiné que j’ai attaqué l’Interstate 89 qui part du Québec (à la hauteur de Phillipsburg, au bout de l’autoroute 35) pour traverser le Vermont au travers les Montagnes Blanches (White Mountain) pour se terminer à Concord au New Hampshire. De là, le touriste a le choix entre prendre la 393 sud et bifurquer vers la 95 nord pour rejoindre Portsmouth puis Ogunquit ou, comme je l’ai fait (après avoir vu tant de véhicules avec des plaques du Massachussetts s’accumuler pour y causer une congestion avec le retour du Labor Day) prendre la 393 nord puis la 4 est vers Portsmouth sauf que cette fois, il faille traverser des villages et des ronds-points tous plus pittoresques les uns que les autres (j’y ai roulé moins vite mais sans circulation…dans un environnement tellement plus pittoresque!). Rendu à Portsmouth, j’ai repris l’Interstate 95 nord que j’ai quittée à la sortie d’Ogunquit Yorks (sans devoir passer par des postes de péage), le tout, sans bouchon de circulation!
Tout cela, je l’ai fait au volant du tout nouveau Lincoln MKC, un VUS compact de luxe dont l’avant a été complètement redessiné pour 2019. Lancé il y a quelques années, ce petit Lincoln a rapidement connu une grande popularité. Basé sur une architecture largement revue de Ford Escape, le MKC a réussi à s’imposer sur un marché très concurrentiel, du moins pour un bout de temps. Évidemment, avec le temps, la concurrence a su rattraper le MKC et il était grand temps que le petit véhicule soit révisé, ce que les designers de Ford (propriétaire de la marque Lincoln) ont su faire en lui greffant un avant semblable à celui des nouvelles berlines Continental et MKZ de la marque (semblable aussi à celui des nouveaux MKX rebaptisé Nautilus et, jusqu’à un certain point, du grand VUS Navigator.
Ford a peut-être senti le besoin de redessiner l’avant des MKC (le modèle changera éventuellement de nom pour quitter cette nomenclature alpha numérique…on chuchote le nom de Corsair dans le milieu…) mais rien d’autre n’a été revu ou presque (on m’a mentionné des retouches intérieures…mais je ne les remarque pas…). Par conséquent, sous le capot de ce VUS compact de grand luxe se trouve un moteur à quatre cylindres de 2,0 litres ou le même quatre à double arbre à cames en tête EcoBoost de 2,3 litres qui a servi à motiver le cabriolet Mustang de base que je me suis servi pour me rendre à Ogunquit il y a environ un mois! Ce moulin de 285 chevaux et 305 li-pi de couple y est identique mais, combiné à une boîte automatique à six rapports au lieu de celle à dix rapports de la Mustang, on obtient des résultats différents (ou des sensations différentes). Les accélérations (quoique satisfaisantes) m’ont semblé plus laborieuses au volant du MKC et les reprises moins excitantes. Si la Mustang est à propulsion seulement, la MKC d’essai était à traction intégrale ce qui demande plus d’effort à la mécanique (mais qui sera plus efficace sur surface enneigée ou glacée en hiver!). Atteindre le cap des 100 km/h à partir du point mort demandera certes quelque huit secondes au MKC contre moins de sept secondes à la Mustang. Toutefois, le MKC ne se veut pas une auto de course mais un excellent petit VUS très agile en ville et plus que confortable sur grand-route (en autant que l’on n’opte pas pour la fonction Sport que l’on peut adapter au petit Lincoln grâce à des commandes électroniques au volant). La version 2019 du MKC possède des fonctions qui se rapprochent du véhicule autonome mais, encore une fois, je préfère conduire moi-même la camionnette. La seule fonction qui ramène le volant au centre de la route lorsque le véhicule dévie légèrement de sa voie m’agace car je ne sens pas que j’ai le contrôle de l’auto. Dans le cas du MKC, il est facile d’en garder le contrôle et même en fonctions régulières, sa direction demeure relativement précise. Ce n’est pas une BMW mais tout de même. Notons que la visibilité y est bonne tout le tour et que la conduite devient plus facile au fur et à mesure que le MKC avale la route. Seule remarque négative, les pneus (des Pirelli P7 dans le cas qui nous intéresse) peuvent devenir bruyants selon le revêtement de la route. Quant au freinage à quatre disques, il est plus puissant que l’on puisse s’y attendre, toujours selon les circonstances. Incidemment, malgré sa traction intégrale (optionnelle), le MKC n’est pas un 4 x 4 tout-terrain. Mais sa traction intégrale peut venir en aide sur route mouillée, glacée ou enneigée et peut-être même dans un sentier de terre ou de pierre…raisonnable.
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Le moteur EcoBoost de 2,3 litres sied bien à la MKC mais une boîte automatique avec plus de rapports devrait le mettre encore plus en évidence. (Photo Éric Descarries)
Le MKC tombe dans une catégorie où la concurrence est vive. Par conséquent, Ford doit dépenser des trésors d’énergie pour y créer un intérieur à la fois de luxe et intéressant. Le tableau de bord est loin d’être banal. Malgré une présentation initiale plutôt ordinaire, on y voit des aménagements et une disposition des commandes peu commune dont un bouton de contact situé à la partie supérieure de la planche de bord juste à côté du grand écran servant à la radio, aux diverses commandes du chauffage et de la climatisation et au système de navigation. Sous ce bouton se trouve les boutons de changement de vitesse de la boîte automatique. Et il ne s’agit surtout pas d’une copie des peu célèbres commandes au centre du volant des Ford Edsel 1958!
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Le tableau de bord contient aussi les commandes à boutons pour le passage des vitesses. (Photo Éric Descarries)
Farce à part, j’ai trouvé les sièges d’avant confortables ayant profité du système de ventilation durant les journées très chaudes (le chauffage sera tout aussi utile en hiver). Malgré les six heures passées au volant de ce MKC, je ne me suis pas senti endolori en sortant de l’habitacle. Les places d’arrière sont tout aussi confortables même si elles ne proposent pas autant d’espace pour les jambes. Quant à l’espace de chargement, il est un peu petit pour les bagages de quatre passagers. Toutefois, une fois les dossiers des sièges d’arrière rabattus, cet espace de chargement devient nettement plus intéressant et utile. On y accède en passant la jambe sous le pare-chocs arrière (et ce même geste peut refermer le hayon) ou en pressant le bouton sous la poignée (toujours en ayant la télécommande dans les poches). Ah oui! On peut aussi utiliser la télécommande elle-même!Les places d’arrière sont également confortables. (Photo Éric Descarries)
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L’intérieur du MKC est suffisamment modulable pour en augmenter le volume de chargement. (Photo Éric Descarries)
En fait, il y a tellement d’ajustements et de commandes sur ce petit VUS que tout décrire pourrait exiger un véritable petit volume. Vous dire que j’ai apprécié conduire ce véhicule sur une si longue distance serait quand même modeste car cette voiture est une véritable routière qui s’adapte très bien aux autoroutes. En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 9,5 litres aux 100 km (l’ordinateur de bord indiquait, lui, une consommation de 10,3 kilomètres au litre, une mesure inusitée…). Toutefois, côté finition, j’aurais quelques commentaires moins élogieux. Je suis un « fan » de Lincoln. La marque a de l’histoire et pendant des années, elle représentait avec sa grande rivale Cadillac le véhicule américain de luxe par excellence. Pour la « petite histoire », sachez que lorsque je suis né, mon père possédait une Lincoln Zephyr V12 1940 achetée tout de suite après la guerre, une voiture qu’il a conservé avec orgueil jusqu’au milieu des années cinquante. Je crois qu’il a toujours regretté la revendre. Lorsque je me suis procuré ma Lincoln Versailles 1977 en 1978, c’était lui qui en était fier. Toutefois, cette berline de luxe qui devait faire concurrence aux chics Européennes de même dimension avait tout un défaut. La finition n’y était pas particulièrement soignée. C’était les « années malaise » de l’époque et, heureusement, les constructeurs américains se sont repris au cours des années suivantes pour nous proposer des véhicules tellement mieux assemblés. Ainsi, il m’a été difficile de trouver des défauts de finition à l’intérieur du MKC. Mais j’ai découvert des petits défauts irritants à l’extérieur. Par exemple, la finition des cadres de portières d’avant présente des arêtes rudes qui pourraient irriter une main. D’autre part, le capot avant était mal aligné avec les ailes, une simple correction qui aurait dû se faire avant la livraison. Enfin, pourquoi n’y a-t-il pas de couvercle pour cacher le socle de l’attache de remorque à l’arrière? (En passant, ce Lincoln a une capacité de remorquage de 3000 livres).Cet accessoire ressort avec peu d’élégance. Pourtant, la Dodge Durango de ma fille, un VUS moins luxueux, a une telle pièce de finition.
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Ce joint de finition accusait une arête assez rugueuse qu’elle ne correspond pas du tout au calibre de finition que l’on s’attend d’une telle auto. (Photo Éric Descarries)
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Un simple ajustement au département de la carrosserie du concessionnaire aurait pu corriger cette inégalité au niveau du capot. (Photo Éric Descarries)
Ce qui m’amène au prix de ce MKC. De base, un Lincoln MKC 2019 affiche un prix suggéré de 48 700 $, ce qui est très concurrentiel sur le marché. Outre la toujours aussi ridicule taxe de 100$ pour le climatiseur et les 700 $ supplémentaires pour la superbe peinture nacrée, il faut ajouter 150 $ pour des doublures de plancher, 1100 $ pour la chaîne audio THX améliorée, 500 $ pour l’ensemble de remorquage de Catégorie II, 750 $ pour les jantes spéciales, 2420 $ pour l’équipement de technologie (incluant le stationnement actif, le régulateur de vitesse adaptatif, le sonar de stationnement et d’avertissement de collision) et les 2150 $ pour ce que Lincoln appelle L’Ensemble Tourisme Canadien. Il y a encore le transport et la préparation au coût de 2000 $ et on en arrive à une facture totale de 58 570 $.
Gros show NASCAR à St-Eustache : un franc succès!
Décidemment, je ne me souviens pas d’avoir vu autant de spectateurs à un évènement NASCAR à L’Autodrome St-Eustache comme celui de samedi dernier et ce, même s’il faisait anormalement froid pour une soirée de septembre! Il faut dire qu’il y avait trois classes majeurs au programme dont la Sportsman locale, la CSCC et surtout la Pinty’s nationale. Alors que les pilotes des deux premières classes ont montré un peu de retenue, voire même de classe en piste, ceux de la Pinty’s  ne se sont pas gênés pour tourner leur évènement en vrai carnage. Heureusement que la victoire de Marc-Antoine Camirand est venue mettre un peu de classe au spectacle. J’ai toujours dit que les courses de NASCAR étaient un « sport de contact », surtout sur des pistes courtes. Mais là, il ne faut pas exagérer! Les pilotes n’auront certes pas l’opportunité de répéter de tels gestes pour les deux dernières courses de la saison puisqu’elles se dérouleront sur de grandes pistes très rapides (Loudon d’un mille au New Hampshire et Jukasa d’un demi-mille en Ontario) ce qui ne permettront pas, je l’espère, des contacts trop serrés…Trop courte la piste de St-Eustache? “Non, de répondre son propriétaire Alan Labrosse, C’est tout simplement ça la série Pinty’s
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chaquejoursonpoeme · 7 years
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La révolte intime : Colette
Séminaire doctoral de Julia Kristeva
Colette : Les Vrilles de la vigne
Colette
Dans son Journal à rebours, au faîte de la gloire littéraire, l’écrivain vieillissante se souvient de la petite fille de six ans qui, si elle aimait lire, détestait écrire : « Cette répugnance, que m’inspirait le geste d’écrire, n’était-il pas un conseil providentiel ? […] Car je sentais, chaque jour mieux, je sentais que j’étais justement faite pour ne pas écrire [1].»
Tout au long de sa vie, Colette ne cessera de se dire étrangère à l’écriture et rétive à toute vocation littéraire. « Je suis devenue écrivain sans m’en apercevoir, et sans que personne s’en doutât [2] . » « Je n’aime pas écrire. Non seulement je n’aime pas écrire, mais j’aime surtout ne pas écrire. […] — Mais si vous n’écriviez pas, Colette, qu’aimeriez-vous faire ? — Tout ! Tout, sauf écrire [3] ! » Ou encore, à l’achèvement d’un de ses meilleurs livres, Le Pur et l’Impur, elle déclare : « Mon livre est fini. Je le vomis, bien entendu [4] . » Pose ! provocation ! — persiflent les critiques littéraires. Déni de l’écriture ! — renchérissent les psychanalystes. Et si nous prenions Colette à la lettre ?
Dans Mes apprentissages (1936), texte de maturité qui retrace son itinéraire, l’écrivain raconte brièvement comment, après la série des Claudine, son écriture et ses thèmes ont changé. Sans éclairer les circonstances de cette mutation, ni décrire son état mental d’alors ni expliciter les aspirations stylistiques qui l’animaient, Colette affirme que les Dialogues de bêtes ont nécessité un « arrachement » au vécu. Un « devoir » s’est imposé à elle de faire « exsuder » de la réalité quelques « images » et de les composer en « bouquet » : « Je m’éveillais vaguement à un devoir envers moi-même, celui d’écrire autre chose que les Claudine. Et, goutte à goutte, j’exsudais les Dialogues de bêtes, où je me donnai le plaisir, non point vif, mais honorable, de ne pas parler de l’amour. Autre récompense, la meilleure : j’eus la belle préface de Francis Jammes. Tous mes romans, après, ressassent pourtant l’amour, et je ne m’en suis pas lassée. Mais je ne me suis reprise à mettre l’amour en romans, et à m’y plaire, que lorsque j’eus retrouvé de l’estime pour lui — et pour moi.
« Nous tenons par une image aux biens évanouis, mais c’est l’arrachement qui forme l’image, assemble, noue le bouquet. Que me fût-il resté de Monts-Boucons, si M. Willy ne me les eût enlevés ? Peut-être moins que je n’ai d’eux à présent [5] . »
Essayons de suivre de près l’alchimie de ce « labeur rythmique » qui « arrache un sourire », et qu’elle appellera aussi une « insurrection [6] », une « instigation [7] », voire même, avec une lucidité quasi psychanalytique, un besoin « membru » d’écrire [8] . Ouvrons, par exemple, Les Vrilles de la vigne : l’écriture de Colette y change au fur et à mesure que ses désirs se modifient et que les métaphores employées sont des condensations d’une nouvelle façon de tenir au monde et aux autres.
L’année 1905 est une période de crise dont La Retraite sentimentale (1906) porte le témoignage explicite. Les infidélités de Willy, la conquête amoureuse de Rézi que Colette vole un moment à son mari pour se venger de sa trahison et pour découvrir de nouveaux plaisirs, tels que les avaient narrés (et comme programmés !) les dernières Claudine, amusent de moins en moins l’écrivain. Mes apprentissages (1936) font après coup le bilan de ce tournant : « Mais je changeais. Qu’importe que ce fut lentement ! Le tout est de changer », assorti de cette remarque perspicace : « Pendant que j’écrivais La Retraite sentimentale […] je développais des forces qui n’avaient rien à voir avec la littérature [9] . » Avant tout parti pris littéraire, il s’agit en effet d’une réévaluation de sa vie, de ses plaisirs et du sens que l’écrivain leur donne. La lente dissolution du lien conjugal avec Willy entraîne un détachement vis-à-vis de l’amour lui-même. Colette déprécie la sexualité de l’homme et se réfugie auprès de la maternelle Missy, sa nouvelle liaison [10] . A plusieurs reprises, elle s’interrogera sur ce fondement de l’écrit qu’est le lien amoureux, pour le défaire et le refaire : « Tous mes romans, après, ressassent pourtant l’amour, et je ne m’en suis pas lassée. Mais je ne me suis reprise à mettre l’amour en romans, et à m’y plaire, que lorsque j’eus retrouvé de l’estime pour lui — et pour moi. »
Mais en réalité, c’est le sens même de la relation amoureuse qui se modifie au cours de cette interrogation : que reste-t-il de l’amour lorsque l’écrivain se détache de l’« objet » d’amour, de tout « autre », quel que soit son sexe, pour se confondre seule et uniquement avec le rythme du monde ? Épouser un chat, une fleur [11] : Colette ne fait pas qu’en rêver, elle le fait réellement — en écrivant le chat, la fleur. Cette alchimie psychique et corporelle s’accomplit progressivement et non sans hésitations — car Colette commettra aussi maintes pages faciles dans lesquelles de fulgurantes épiphanies côtoient de lassantes variations sur le ménage à trois. Mais le « changement » lui importe plus que les productions littéraires qui en résulteront : dire qu’il « n’a rien à voir avec la littérature » ne marque pas nécessairement une dévalorisation de l’écriture de la part de l’écrivain, mais une inclusion totale de l’expérience littéraire dans celle de l’Être tout entier pour un sujet nommé Colette.
Les premières publications des Vrilles de la vigne paraissent au Mercure musical [12] . Elles s’ouvrent par le chant du rossignol (n° 1), pour dévier ensuite vers quelques mises en scène anecdotiques avec les personnages des dernières Claudine (Rézi, Maugis et Renaud) et Claudine elle-même méditant sur la musique classique et populaire, sur Bayreuth et les sociétés musicales, sur l’amour comparé à la drogue musicale… Certains échos d’intrigues rappelant les romans antérieurs dans la première version du texte (comme les textes n° 2, 3, 5 et 11 du Mercure musical) vont être supprimés dans l’édition en livre des Vrilles de la vigne (1908, éd. de La Vie parisienne). De même, tout ce qui se réfère à l’initiation reçue de Willy disparaîtra — autant de signes de cette discipline de plaisir et de parole qu’induit son « changement ». Lors des éditions successives de ces Vrilles (1908, 1923, 1930, 1934, 1950), Colette affinera et resserrera sans cesse la composition et le style de ce qu’elle appelle, au moment de la première publication, « mon dernier-né fait de pièces et de morceaux ». Un nouveau style surgit et ne cesse de s’affirmer par des retouches ultérieures. Délaissant le déroulement linéaire des romans précédents qui, malgré les multiples digressions lyriques, maintenaient la règle de la progression narrative, et renonçant à l’unité thématique scellée par la récurrence des personnages constants dans les Sept Dialogues de bêtes (1904), l’écriture des Vrilles de la vigne propose un kaléidoscope de fragments.
Le livre de 1908 compte dix-huit textes, et chacun d’eux est construit selon une logique musicale ou poétique de « phrases » ou « morceaux » juxtaposés, repris, modulés sans que ce texte-arlequin suive une logique narrative précise. Fragmentation et discipline de composition révèlent une vigilance accrue et marquent un palier décisif dans la naissance de l’auteur Colette.
Cette maîtrise des liens aux autres et aux éléments s’exprime par un style économe, cerné de silences, qui confirme un rapport au monde basé moins sur la rêverie que sur la saisie ou le saisissement : non « per via di porre » (comme Léonard de Vinci décrivait la peinture), mais « per via di levare » (comme il définissait la sculpture). Freud avait utilisé cette formule de Léonard pour penser l’interprétation analytique comme un acte de prélèvement, tout négatif, fait de frustrations et de déceptions, qui soustrait la représentation à la complaisance du patient et lui inflige la blessure d’une parole lucide [13] . L’apparente exubérance de Colette qui, depuis les Claudine, n’ignorait pourtant pas cette exigence de la justesse, tend à se soumettre désormais plus étroitement encore à l’art de la condensation. Avec sa nouvelle façon d’être et d’écrire, elle accède à cette figuration par soustraction que visent, de façon si différente, un Léonard ou un Freud. Telle une entaille ou une morsure, son style étincelant, succinct, où l’opulence elle-même est lestée par le non-dit, s’arroge cette négativité qui résorbe le prolixe. De même, dans sa vie, Colette assume une forme de cruauté, en s’obstinant, car l’enjeu est existentiel, à privilégier sa solitude d’écrivain — quoique bien entourée par de solides amitiés gratifiantes et exigeantes. Plus tard, l’auteur chevronnée décrira son art négativement, comme « la connaissance de ce qu’il convient de ne pas écrire. [… ] on devient un grand écrivain […] autant par ce que l’on refuse à sa plume que par ce que l’on lui accorde, […] l’honneur de l’écrivain, c’est le renoncement [14] . »
Une Lettre de Claudine à Renaud, publiée dans la revue Le Damier d’avril 1905, montre le dessein de l’auteur d’échapper à un certain style de vie-et-d’écriture désormais intolérable, pour accéder à la concision des Vrilles. En reprenant implicitement les remarques moqueuses de Willy, elle ironise sur ses velléités d’épouse puis d’auteur des Claudine soumise aux charmes de La Maison rustique des dames, ce célèbre ouvrage à l’époque de Mme Millet-Robinet qu’évoque Francis Jammes dans sa préface aux Sept Dialogues de bêtes. Même si elle se rallie aux sarcasmes de Willy-Renaud, exaspéré par la possessivité de sa femme, par son « sang monogame [15] », elle « discourt » brièvement sur ce sujet interdit pour « le braver, et rire, et danser de nervosité ». Mais Colette ne se prive d’évoquer la jalousie de… Renaud lui-même : il ne supporte pas l’amour de Claudine pour l’autre femme, sa maîtresse Rézi, que Claudine avoue avoir désirée jusqu’à souhaiter sa mort. D’ores et déjà cependant, cette passion s’éteint : « je ne l’aime plus ». A la description du corps de l’amante succède alors un fragment cosmique qui condense en quelques lignes les meilleures pages des Claudine.
Rappelons-nous : dans la trame des intrigues scolaires, parsemées de critiques sur l’école publique, et des amours gomorrhéennes de Mlle Sergent avec Mlle Aimée, comme plus tard au fil des découvertes et déceptions parisiennes de Claudine en ménage et jusqu’à sa décision de s’en aller pour tenter, contre les attaches du désir, une retraite sentimentale, Colette s’était révélée surtout comme un chantre de la campagne. Alors que le public s’entichait de cette petite peste de Claudine qui rappelait certains romans de Gyp, et que la mode de ses cols ou ses chaussettes éclipsait celle du livre, les amoureux de la langue française découvraient une œuvre et un auteur lyriques. Immergées dans le paysage français, filtrées par les écrivains classiques et les peintres du XVIIIe siècle, scandées aux rythmes du rigodon et aérées par la palette de impressionnistes, la prose et la sensibilité de Colette ne sont pas sans leur évoquer Poussin, Watteau, ou Manet.
« Le charme, le délice de ce pays fait de collines et de vallées si étroites que quelques-unes sont des ravins, c’est les bois, les bois profonds et envahisseurs, qui moutonnent et ondulent jusque là-bas, aussi loin qu’on peut voir… Des prés verts les trouent par places, de petites cultures aussi, pas grand-chose, les bois superbes dévorant tout. De sorte que cette belle contrée est affreusement pauvre, avec ses quelques fermes disséminées, si peu nombreuses, juste ce qu’il faut de toits rouges pour faire valoir le vert velouté des bois.
Chers bois ! Je les connais tous ; je les ai battus si souvent. Il y a les bois-taillis, des arbustes qui vous agrippent méchamment la figure au passage, ceux-là sont pleins de soleil, de fraises, de muguet, et aussi de serpents. J’y ai tressailli de frayeurs suffocantes à voir glisser devant mes pieds ces atroces petits corps lisses et froids ; vingt fois je me suis arrêtée, haletante, en trouvant sous ma main, près de la “passe-rose”, une couleuvre bien sage, roulée en colimaçon régulièrement, sa tête en dessus, ses petits yeux dorés me regardant ; ce n’était pas dangereux, mais quelles terreurs ! Tant pis, je finis toujours par y retourner seule ou avec des camarades ; plutôt seule, parce que ces petites grandes filles m’agacent, ça a peur de se déchirer aux ronces, ça a peur des petites bêtes, des chenilles veloutées et des araignées des bruyères, si jolies, rondes et roses comme des perles, ça crie, c’est fatigué - insupportables enfin [16] . »
« Je m’y sens tellement seule, les yeux perdus loin entre les arbres, dans le jour vert et mystérieux, à la fois délicieusement tranquille et un peu anxieuse, à cause de la solitude et de l’obscurité vague… Pas de petites bêtes, dans ces grands bois, ni de hautes herbes, un sol battu, tout à tour sec, sonore, ou mou à cause des sources [17] . »
Et de reprendre, à plus de cent pages d’intervalle, le même cantique à l’ombre des bois bruissants et odorants : « Ah ! les bois, les chers bois de Montigny ! À cette heure-ci, je le sais bien, comme ils bourdonnent ! Les guêpes et les mouches qui pompent dans les fleurs des tilleuls et des sureaux font vibrer toute la forêt comme un orgue ; et les oiseaux ne chantent pas, car à midi ils se tiennent debout sur les branches, cherchent l’ombre, lissent leurs plumes, et regardent le sous-bois avec des yeux mobiles et brillants. Je serais couchée, au bord de la Sapinière d’où l’on voit toute la ville, en bas au-dessous de soi, avec le vent chaud sur ma figure, à moitié morte d’aise et de paresse [18] … »
Colette
Les Vrilles de la vigne
Autrefois, le rossignol ne chantait pas la nuit. Il avait un gentil filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec des camarades, dans l’aube grise et bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à l’envers des feuilles de lilas.
Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain.
Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si drues, cette nuit là, que le rossignol s’éveilla ligoté, les pattes empêtrées de liens fourchus, les ailes impuissantes.
Il crut mourir, se débattit, ne s’évada qu’au prix de mille peines, et de tout le printemps se jura de ne plus dormir, tant que les vrilles de la vigne pousseraient.
Dès la nuit suivante, il chanta, pour se tenir éveillé :
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse,
Je ne dormirai plus !
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse…
Il varia son thème, l’enguirlanda de vocalises, s’éprit de sa voix, devint ce chanteur éperdu, enivré et haletant, qu’on écoute avec le désir insupportable de le voir chanter.
J’ai vu chanter un rossignol sous la lune, un rossignol libre et qui ne se savait pas épié. Il s’interrompt parfois, le col penché, comme pour écouter en lui le prolongement d’une note éteinte… Puis il reprend de toute sa force, gonflé, la gorge renversée, avec un air d’amoureux désespoir. Il chante pour chanter, il chante de si belles choses qu’il ne sait plus ce qu’elles veulent dire, Mais moi, j’entends encore à travers les notes d’or, les sons de flûte grave, les trilles tremblés et cristallins, les cris purs et vigoureux, j’entends encore le premier chant naïf et effrayé du rossignol pris aux vrilles de la vigne :
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse…
Cassantes, tenaces, les vrilles d’une vigne amère m’avaient liée, tandis que dans mon printemps je dormais d’un somme heureux et sans défiance. Mais j’ai rompu, d’un sursaut effrayé, tous ces fils tors qui déjà tenaient à ma chair, et j’ai fui… Quand la torpeur d’une nouvelle nuit de miel a pesé sur mes paupières, j’ai craint les vrilles de la vigne et j’ai jeté tout haut une plainte qui m’a révélé ma voix…
Toute seule éveillée dans la nuit, je regarde à présent monter devant moi l’astre voluptueux et morose… Pour me défendre de retomber dans l’heureux sommeil, dans le printemps où fleurit la vigne crochue, j’écoute le son de ma voix… Parfois, je crie fiévreusement ce qu’on a coutume de taire, ce qui se chuchote très bas, puis ma voix languit jusqu’au murmure parce que je n’ose poursuivre…
Je voudrais dire, dire, dire tout ce que je sais, tout ce que je pense, tout ce que je devine, tout ce qui m’enchante et me blesse et m’étonne; mais il y a toujours, vers l’aube de cette nuit sonore, une sage main fraîche qui se pose sur ma bouche… Et mon cri, qui s’exaltait, redescend au verbiage modéré, à la volubilité de l’enfant qui parle haut pour se rassurer et s’étourdir…
Je ne connais plus le somme heureux, mais je ne crains plus les vrilles de la vigne…
Colette, Les Vrilles de la vigne, Œuvres I, Coll. Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard
[1] Colette, Journal à rebours, Bouquins, III, p. 61.
[2] Colette, Discours de réception, Pl, III, p. 1079. « L'humilité a sa source dans la conscience d'une indignité — parfois aussi dans la conscience éblouie d'une sainteté. Où aurais-je puisé dans ma carrière autre chose que de l'étonnement ? » (Ibid.)
[3] Colette, Interview dans Les Nouvelles littéraires, 13 novembre 1937, repris in Pl, III, p. 1822. « Je ne connais pas d'autre assombrissement véritable dans ma vie. Les soucis d'argent, on en sort. Mais ces travaux forcés […]. Je suis si contente, si contente quand je n'écris pas que je vois bien que je ne devrais pas écrire. C'est d'une logique péremptoire. Pour me réhabiliter, j'essaie toujours de faire ce que je fais aussi bien que je le peux. C'est encore une consolation. Le papier bleu aussi, c'est pour me consoler […]. » Ibid.
[4] Colette, Le Pur et l'Impur, Pl, III, p. 1506.
[5] Colette, Mes apprentissages, Pl, III, p. 1041 ; nous soulignons.
[6] Colette, Le Fanal bleu, OCC, t. XI, p. 207 (Bouquins, III, p. 805.)
[7] Colette, Belles Saisons, OCC, XI, p. 45 (Bouquins, III, p. 545.)
[8] Colette, Derniers écrits, OCF., t. XIV, p. 61.
[9] Colette, Mes apprentissages, Pl, III, p. 1041 ; nous soulignons.
[10] Cf. Paul D'Hollander, Colette. Ses apprentissages, Klincksieck, 1989, p. 178 sq. et Michel Mercier, Notice, Pl, I, p. 1530-1544.
[11] Cf. Julia Kristeva, Le génie féminin
[12] Numéro 1 du 15 mai, n° 2 du 1er juin, n° 3 du 15 juin, n° 5 du 15 juillet, n° 11 du 15 octobre 1905, puis le n° 1 du 1er janvier 1906.
[13] Cf. S. Freud, La Technique psychanalytique (1904), PUF, 1953 (1994), p. 13.
[14] Colette, Paysages et Portraits, OCC, XIII, p. 439.
[15] Comme elle se décrira dans Mes apprentissages, Pl, III, p. 1065.
[16] Colette, Claudine à l’école, Pl, I, p. 7-8.
[17] Ibid., p. 8.
[18] Ibid., p. 155.
voir aussi: Julia Kristeva, Le génie féminin, t .3, Colette ou la chair du monde, Fayard, 2002
http://www.kristeva.fr/les-vrilles-de-la-vigne.html
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Text
Relu en décembre 2019             jésus     volume   10
              jésus ?    /    ce qu’on a fait de jésus,    2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du christianisme fou  
      jésus ?    /   jésus,    2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du judéo-christianisme fou
  JESUS ?             le dit jésus chrétien, celui décrété jésusDIEU, qui était-il au départ ?, qui était-il vraiment   ?       t’es-tu vraiment posé la question ?
 alors voici  une série de réflexions
née à la suite de la lecture de    « le dictionnaire amoureux de jésus  » écrit par un fou de la secte dite chrétienne (dite chrétienne, tu dois toujours parler des chrétiens comme cela, car il n’y a pas de christ, il n’y a pas de messie, authentifiés par les instance judaïques, or ces concepts sont nés dans la tradition judaïque, et les dits chrétiens se considèrent comme de cette tradition, on les nomme aussi les « judéo-chrétiens »), et qu’il m’a, par « imposition », aussitôt, fallu voir comme soudainement : « le livre en trop »,   l’exemple de  livre, prévenons les dits chrétiens !, à ne plus lire (& non lu complétement par moi, à ce jour), à ne plus écrire en 2017 sauf à démolir l’ensemble de ce qu’il promeut (tant de galéjades) encore et encore…  /
cette petite mais attentive recherche en tenant compte (enfin) notamment du point de vue (lequel aura été explosif pour tant de gens encore dans une critique constructive un peu trop lâche, par rapport au dit christianisme, un doute qui profitait aux menteurs), du point de vue de michel onfray, et bien sûr, après l’étude des révélations des chercheurs enfin réunis, confrontés  par les inattendus  documentaristes prieur et mordillat  (« corpus christi » et ses suites), une confrontation transparente qui a pu enfin apparaitre !,
enfin pouvant se faire, loin des inquisiteurs tout puissants d’hier, & laquelle aura conduit au livre  « jésus contre jésus » de prieur et mordillat, en 1999…, the right book at the right time, un séisme anti-christique, lequel donc efface 2000 ans de superstition, & qui est… passé inaperçu ! & cela aussi reste assez inattendu! (ainsi… les consciences auront donc été violées sur le long terme…)
cette recherche en méditant aussi jour après jour sur jésus, en, d’une part, oubliant, tout ce qui a été écrit, dit, officiellement, sur lui, les fables…,
avec cette question : pourquoi, comment cette continuation extra longue de cette religion ?, par diabolisme ?,
quoiqu’il en soit : une religion dangereuse, qui conduit en fait ses fidèles à l’angoisse, à la croyance au néant après la mort,
cette religion continue à occulter la seule religion cohérente possible : celle de la réincarnation, celle de la continuation spirituelle, &, là, croire n’est plus seulement une fabrique si infinie de désespoir…     mon commentaire     (work in progress)    propose des éléments de réflexion   (de toutes façons personne n’est d’accord et sur rien en cette histoire)
      le Nouveau testament
en écoutant les chercheurs de « corpus christi » (nom générique ici pour les séries de prieur et mordillat)
tu comprends : le n’importe quoi, pas d’harmonisation, les textes sont divers et épars
alors pourquoi cela ?, alors que l’on a quand même assez vite, des gens assez organisés qui font cette secte, laquelle va devenir d’ailleurs une superstructure admirable (hélas dans le mal aussi)
eh si… : ce brouillon de textes était un brouillage, pour amener la confusion, pour que l’on ne s’y retrouve pas & que l’on prenne l’option : « j’ai ma foi pour moi et je crois à tout cela car je veux croire, et les prêtres disent : c’est la vérité, j’y crois car j’ai envie d’y croire, je veux être sauvé »
cette confusion de textes aurait été vue comme causant cela : demandant : cette adhésion aveugle, car c’est trop compliqué d’étudier cela de près (et pour cause : cela ne tient pas debout)
ainsi… 4 évangiles contradictoires, si tu veux relever les contradictions, il faut te lever de bonne heure, et tu ne vas pas en finir de t’interroger (comme font les biblistes, ils en perdent leur latin, on reste manipulés irrémédiablement par une manipulation qui a déjà duré 2000 ans)
les inventeurs du dit christianisme se savaient dans l’invention, et se savaient dans un renchérissement spirituel populiste qui demandait encore + de mensonges
les textes bibliques leur apparaissait comme établis par des scribes bien + doués qu’eux et lus par des fous de dieu, et à chaque étape de la continuation  de la religion israélite : un seul texte était homologué, tout cela était officiel
dès que cette continuation israélite ne voulut pas de jésus : et mettait la suspicion sur ces nouveaux théologiens baptistes : l’idée fut de multiplier les textes fondateurs, pour aussi  tenter d’écraser un peu : le dernier chapitre de la Bible hébraïque  
genre : beaucoup de textes, beaucoup d’importance, la vérité, la révélation nouvelle qui demande beaucoup de textes…
or en réalité : la confusion, en fait bienvenue comme vu + haut
 paul
ados, enfants, là : le logiciel chrétien ne mettait pas le paquet / c’est pourquoi, pour quelqu’un comme moi, paul a été longtemps dans le brouillard
les instances dites chrétiennes avaient compris : « on met le paquet bien sûr sur jésus et sur les apôtres qui ont connu jésus directement, en live » / mais c’était bien vu : ensuite arrivait paul, quelque chose d’un autre type, le fou de dieu même s’il n’avait pas vu jésus, et c’était, je comprends mieux aujourd’hui, celui à qui nous avions à nous identifier, puisque nous aussi on était loin de jésus
paul…, un type qui est contre jésus et les tout premiers dits jésusistes ( !!, pourtant pas nombreux !!!, et dont on peut penser qu’alors ils sont encore dans la communauté multiple juive), et qui est « retourné » par jésus-dieu sur le chemin de damas, et qui va (il est donc important !) prendre l’ascendant sur les apôtres… , on avait forcément à rapporter : il les prend pour des crétins, lui, il a tout compris du fait de sa rencontre de dieu par l’esprit, par la vision  (= tous ceux qui sont loin de jésus, sont invités à penser : eux aussi sont les + proches, encore + proches que s’ils étaient des apôtres de jésus !)
mais, pour nous ados, paul au contraire ne nous passionnait pas, dès que l’on entendait « paul », notre attention faiblissait : non, ça n’allait pas, ce personnage de paul, et il ne nous était pas trop « précisé », on ne s’y intéressait pas, mais bien sûr à l’église, on entendait ses épitres ou genre, souvent, mais on ne faisait pas trop attention à ce personnage
intuitivement : on comprenait : l’invention, cette fois, de ce personnage
jésus, les apôtres, là c’était du solide, à enseigner à nous petits français de la fin du vingtième siècle
 judas
le dominicain vincent ferrier, fameux ! pour avoir fait cette proposition qui suit, car voulant que judas puisse bénéficier lui aussi du pardon offert à tous, cela montrant que ce dominicain veut pratiquer la charité chrétienne, ce qui est bien
il s’agirait pour ferrier de corriger les évangiles, inscrire : « judas se repentit, il voulut aller demander le pardon à jésus mais il ne le put, trop de gens massés autour de la croix quand jésus en train de subir la crucifixion »
ainsi donc : pour ce type, on peut très facilement retoucher un évangile…, rien de sacré dans tout cela, rien de divin…
en quelque sorte pour ce dominicain tout ce qui est écrit là est de l’invention, du textologique, qui peut être corrigé par de l’invention mieux élaborée  
 protestantisme
le mouvement, enfin, protestant peut être vu aujourd’hui comme la fin de la fin amorcée du dit christianisme
il faut commencer à cesser de croire à a doctrine dite chrétienne, cela ne peut se faire facilement, tant les esprits sont contaminés
par contre, ceux qui deviennent : les catholiques le voient très vite, et le combattent de toutes leurs forces : ces protestants à voir comme n’étant plus des croyants
aujourd’hui : si je pense aux protestants, je pense à des gens qui n’existent pas, qui n’intéressent personne, car justement : gens qui n’ont pas réussi à aller + loin, dans l’abandon du dit christianisme  
 rappel  
en continuant d’écouter en boucle les docs de prieur mordillat, je vois bien : c’est si difficile de comprendre ce qui s’est passé au début du dit christianisme, & on ne peut qu’échafauder des hypothèses, & donc leur doc à multiples volumes finit par te le faire comprendre, & tu penses : « c’est quand même incroyable de nous avoir asséné cette doctrine, comme si tout était élucidé » !!!!
sans vergogne : on nous faisait prendre pour archi-vrai ce qui réussit à se renforcer (faussement) de ce grand flou, & bien sûr le temps qui passait, et la répression qui s’abattait sur les curieux : ce qui surnageait d’à peu près « crédible », dans le sens « acceptable », se bétonnait
quelle surprise alors de voir :  non : la doctrine s’est constituée cahin caha, malgré toutes ses contradictions sous-jacentes, & une véritable organisation s’est constituée pour cacher ce qu’il y avait à cacher et pour bétonner ce qui pouvait être gardé
on pensait confusément mais effectivement : on adhérait à une religion dont les fondements étaient la sainteté !, les saints, géniaux êtres spirituels qui réussissaient à personnaliser la sainteté d’une doctrine,
alors que les fondamentaux de cette religion ce sont : le flou, le non compris, le contre sens, l’imposture, les menteurs, les stupidos, les mauvais bergers spirituels qui te laissent sans espoir
 religion    
la phase 1 /  le technicolor,   les miracles,   le fils de dieu, les éclairs dans le ciel, le rideau du Temple qui se déchire, l’Ascension / les foules croient à cela, ça marche,   très bien
la phase2     /  ah, en fait, non c’est fini les foules ne croient plus à cela,   alors on explique : « ah mais tout cela, vu + haut, non c’était du symbolique, de l’allégorique / tu dois donc croire en te servant de cela comme juste illustrant le divin »
la phase 3 / ah, même la phase 2 ça ne marche plus ?   / alors on fait comprendre : « non, en fait, en effet on n’a nul besoin de tout cela, de ce symbolisme / le divin : c’est juste jésus partageant le pain et le vin avec ses compagnons, c’est jésus remuant un peu de sable, c’est tout !, le divin c’est juste cela »
la phase 4 alors : cette religion, cela devient une philosophie, non ?, du conceptuel, mais c’est là : la porte de sortie qui est désignée…  (enfin !, sans trop perdre la face)    
 l’arrivée de la fin du monde !!!!
évangile après évangile, les scribes minimisent l’arrivée imminente de la fin du monde
mais quand ils décident de fermer le Nouveau testament avec le livre cinglé de l’Apocalypse, ils laissent : « la fin est proche ! » / pas grave !, ça fait une moyenne.., ceux qui veulent continuer à croire encore à une fin proche peuvent donc gentiment se paralléliser à ce livre fou…
comme dit l’autre, on gagne toujours à ne pas se départir de son ambiguïté
 l’évangile de judas   rappel
à un moment, une des communautés dites chrétiennes, un scribe, un groupe de scribes, et en cela : dans une attitude intellectuelle, gnostique (genre, il faut que l’intelligence se mêle un peu à cette croyance dite chrétienne bas de plafonds et qui a tendance à aller se reposer sur l’invention judaïques, sur la Bible hébraïque, alors qu’on attendait d’elle tellement de nouveauté !) décident   : « c’est pas possible   on ne peut pas laisser cette connerie » !!!!
cette connerie ? c’est judas en état du seul homme auquel le pardon   n’est pas accordé
cela ne colle pas,   c’est le détail qui heurte tout, l’ensemble des écrits dits chrétiens
alors un scribe (de son initiative ou sur commande, ou de l’initiative de sa sous communauté, de sa secte) écrit un évangile où il est question de judas (je résume) à qui il a été demandé de se sacrifier, il sera celui par qui la Passion du christ pourra se faire, mais il n’est en rien un traitre, il n’est en rien l’homme le + abject de l’histoire de l’humanité  
alors on va raconter ce qui pourrait être son histoire, on va étoffer son personnage, etc., on va faire un évangile, quoi !
 à noter
dans les évangiles officiels,  ce judas, un personnage qu’aucun des scribes qui les ont écrits n’a étoffé, c’est un type il n’a pas de famille, pas de descendants etc., c’est un concept
par contre sa mort est bien documentée, elle les a inspirés, ils ont mieux  inventé là,
mais dans les dizaines d’autres évangiles, il a une femme, etc.,  c’est assez amusant,
 etienne    (et si j’ai bien compris)
les prêtres ne nous parlaient pas de cet etienne, alors que voici le 1er martyr chrétien !!!!  (mettons jésus hors concours),   ainsi donc il vaut mieux que ce silence !
alors, si j’ai bien compris    :                                                                                                                
une évolution juive commence, l’enseignement de jésus commence à être appliqué
jésus, on comprend, il a été tué injustement par les nôtres (se disent les juifs devenus jésusistes), oui, ce qu’il proposait c’était le bon sens, évolutionnaire mais utile !, allant dans le sens de l’histoire
ok, les mandarins juifs sont invités à cogiter, peut-être on ne peut pas le tuer une deuxième fois, jésus, en ne suivant pas son enseignement, et puis si c’est cela l’évolution, faite par le juif jésus et les siens au cœur de leur Temps, alors regardons ce que cela donne…
mais bientôt, on revient au conflit :   cet etienne, ces juifs dits chrétiens hellénistes, sont vus comme fous, ils veulent maintenant convertir à ce judéo-jésusisme : des païens !!! = « non, non, non ! »
alors on lapide cet etienne, et les juifs jésusistes (la tendance hébraïque des jésusistes) chassent ces jésusistes hellénistes de jérusalem, du pays, et ces jésusistes-là deviennent par la force des choses de l’éloignement : des juifs jésusistes qui persistent en leur mondialisme,   il faut convertir,  toujours convertir, continuer à convertir, alors en effet les païens sont convertis !!!!
et puis : surprise : le courant des exilés devient extrêmement fort, et ce qui était devenu une hérésie juive, donc faible (mises hors synagogues), devient par le nombre des adeptes une sorte de nouveau courant officiel majoritaire !!!! donc qui démontre ainsi qu’il a la vérité…
tectonique des plaques : on avait un fort courant donc de gens autour de jacques dit « frère de jésus » (et ce qui était logique ), des gens qui mélangent à la fois : pure orthodoxie israélite + jésus !!!!!, cela apparaissait possible, cela, et c’est cela qu’on aurait encore aujourd’hui si ce courant avait triomphé : jésus aurait été homologué comme le prophète nouveau de la continuation israélite
et c’est ce courant qui logiquement avait tout pour prospérer / mais (à un moment, on ne sait pas trop précisément, ce qui est embêtant) : des personnages + puissants disent : « non : on ne veut pas de vous : vous mettez trop de judaïsme avec le jésusisme », en quelque sorte : « vous n’allez pas assez dans le côté évolutif de jésus » / ainsi  ces jésusistes hébreux  (dont la « famille de jésus » !?, dont jacques le frère de jésus ?????) se voient désavoués, au profit de l’irrésistible avancée du courant mondialisant, qui va de + en + frelater les textes judaïques,  qui prend juste ce qui l’arrange dans la Bible hébraïque, c’est du vol (alors, tu as bien compris : que le jésusisme hébraïque allait faire une continuation fluide)
jacques est donc assassiné !  (mais c’est une  hypothèse encore, en tout cas ce mouvement juif jésusistes va aller se faire voir ailleurs, jusqu’en arabie, constatent les chercheurs de tous bords)
et puis, en cette scission : les juifs jésusistes, devenus dits chrétiens, mondialisant, deviennent les dits chrétiens tout court ! (une fois que les grands prêtres leur contestent d’être la continuation judaïque ou même avant ?), et pourtant folie (et là encore on ne peut pas dater, pour mieux comprendre)   :  ils volent la Bible hébraïque donc, ils se considèrent eux comme la suite logique de ce qui est inscrit dans la Bible hébraïque (et donc confirment les nouvelles générations de purs juifs comme des hérétiques juifs !, « vous êtes non les fils d’abraham mais les fils du diable », c’est dans l’évangile de jean / ainsi les vrais hérétiques juifs (les jésusistes, les dits chrétiens) ont le culot de dire : « non c’est vous juifs juifs qui êtes les hérétiques (juifs) car vous ne vous soumettez pas à l’enseignement de jésus »)
oui, les prêtres ne nous parlaient pas de cela    : car il fallait nous montrer au contraire la fluidité divine qui accompagnait les débuts du dit christianisme   : « pas de conflits ! », eh oui car cela sous-entend = l’évidence divine !, l’émergence fluide, divine d’une croyance, tout d’un coup c’était dieu qui arrivait, tout était impérieux (c’est dans le cahier des charges)
et… non !, les prêtres nous mentaient par omission / mais était-ce cela, cette soi-disant fluidité, qu’on leur apprenait dans les séminaires ? ou bien on leur racontait tout cette confusion de départ, et on leur demandait de nous faire croire à une parfaite fluidité, à insister sur cela et pas sur cela...
    jésus    rappel
on peut imaginer   :   un type un peu dérangé (qui a pris un peu trop au sérieux le volontarisme hébraïque), un rabbin prêcheur + ou – rattaché au baptisme,  mais comme tant d’autres, comme toujours, trouve un public, se fait une réputation de grand prêcheur
sans doute il dit aussi des choses censées, en tout cas collant à l’air du Temps = à ce qu’on attend d’un futur, + divinisé, tandis que dieu a abandonné les juifs
il est guérisseur aussi
or son assassinat à jerusalem, où cette fois il a été trop visibilisé par les instances israélites officielles, aurait fait du bruit : imaginons : car, à jérusalem, et commençant à faire, là du scandale,  il aurait été livré par les chefs religieux juifs aux romains, dans le cadre de leurs accords de collaboration,
il s’agirait pour les collaborateurs juifs, de se faire bien voir des romains, de jouer le jeu, et des séditieux sont arrêtés par eux-mêmes et livrés, lesquels lui font subir la crucifixion infâme, réservée aux pires criminels
((((((((((((((((ou bien : ce prêcheur qui prenait trop d’ascendant sur les foules, et auquel religieusement parlant, on ne pouvait pas reprocher grand-chose, aurait été considéré dangereux par les romains, et les instances juives n’auraient pas du tout été dans cette affaire (les juifs seraient rentrés dans l’affaire quand ils étaient devenus les ennemis du jésusisme, et tous les moyens étaient bons pour les incriminer, et il s’agissait bien sûr de montrer : les romains n’avaient pas de raison de craindre les jésusistes, le procès de jésus serait écrit dans ce sens)))))))))))))))
cet acte possible de collaboration (rumeur ?), et de cruauté romaine aurait suscité à jérusalem : une intense émotion, on avait tué un juste, un frappadingue spirituel ?,  mais quelqu’un qui ne méritait certainement pas ce châtiment, cette mort infâme, celle qu’on réserve aux criminels
possibilité aussi : jésus était un jeune type, et les jeunes gens ont été très marqués par son exécution
or : il faut absolument trouver un prophète en ces temps d’occupation sauvage pense-t-on dans certaines sectes juives, le Temps est tant à un grand abattement spirituel
ce qui signifie : un nouveau prophète est à INVENTER, comme cela se fait régulièrement dans la continuation judaïque : on regarde quel personnage d’une manière ou d’une autre a été un peu glorieux de son vivant, on se met d’accord sur tel personnage qui continue à marquer les esprits après sa mort, ce qui était son enseignement s’avère encore opératif, et il est vu comme celui qui a parlé avec dieu, et la preuve : il avait fait ceci et cela de très marquant
et tout le monde se met d’accord autour de ce personnage, je suppose quand même qu’il y a toujours des gens qui ne sont pas d’accord avec le nom proposé, mais il y a eu quand même une évidence, et tout le monde finit par s’y rallier
donc : du côté du peuple on attend crucialement un prophète (quelqu’un dont on dirait : « attendez, lui, lui il avait donné la bonne solution au problème », il faut suivre ce qui était son enseignement, & les scribes se mettent au travail : inventent carrément un enseignement qui colle à l’air du Temps, des demandes du Temps, c’est une manière de faire passer ainsi les bonnes décisions à prendre
or…, attentisme du côté des instances religieuses officielles, pas de prophète en vue (= pas de création de prophète en vue), mais le judaïsme est multiple, et notamment un courant fait considérablement parler de lui, les baptistes, et eux décident un jour : c’est jésus, c’était jésus…, c’est lui qu’il faut ériger en prophète, vite…, mais oui, c’était cela la bonne idée
un scribe baptiste ?, quelqu’un, dit : « mais si on se servait de jésus pour incarner notre espoir de sortir de cette terrible épreuve que nous subissons à  nouveau, et si on le prenait pour être notre jeune sauveur », d’ailleurs celui qui a cette idée sait quelques bribes de l’enseignement de jésus, possible que celui qui a cette idée ou ceux qui ont cette idée ont connu jésus de loin…
ce jésus était un des personnages qui apparaissaient dans les prêches des baptistes, alors il suffit de mettre le paquet sur jésus, il faut lui inventer une bio merveilleuse, c’est le processus habituel de création d’un prophète, il s’agit d’un grand phantasme qui commence puis on commence à écrire sa vie, son enseignement, et cela circule, alors les prêcheurs se font jésusistes, petit à petit, on passe de baptisme (sans proposition de prophète) à jésusisme
jésus est encore une page blanche, chaque prêcheur jésusiste l’invente, invente ce que jésus avait bien pu dire à ses disciples du temps de son vivant, et on prend le meilleur de ce qui est inventé par les uns et les autres sur jésus, un beau personnage se dessine sous le nom de jésus,  
option donc + que possible : tout cela se passe dans une communauté, les baptistes, alors le personnage de jésus est considéré comme un baptiste, a cette étiquette prestigieuse, d’avant-garde, les baptistes ont déjà pas mal forgé une nouvelle manière de concevoir le judaïsme, et tout cela va être mis sous le nom de jésus
cela a été jésus, cela aurait pu tomber sur un autre, on ne pouvait que repartir avec un prophète anti-héros et jésus était l’anti héros parfait, la crucifixion, cela symbolisait complétement l’effondrement judaïque et les théologiens avaient à transformer cela en victoire (ce qui se passe avec le che guevara, c’est idem : voilà un type qui s’est fait lamentablement prendre par quelques minables soldats, et ce minable donc, devient la figure numéro 1 de la révolution marxiste à l’égal d’un staline et d’un mao)
le prophète cette fois !, celui qu’on attend !, serait quelqu’un d’inattendu !, et cela tombe bien, il faut vraiment du nouveau, on se demande même s’il ne faudrait pas carrément une toute nouvelle religion !
et qui sait : cette fabrication de jésus cela se passe avec le concours des amis de jésus qui avaient vite décampé de palestine, pour ne pas subir le même sort que jésus, on les interroge sur ce qu’était jésus, eux-mêmes inventent ce jésus…, fantasment ce jésus
et cette « élection » de jésus, aurait été + possible, cette idée, à l’étranger
quand là des idées neuves peuvent + facilement éclore, à l’étranger on est libéré de plein de choses
le surnaturel
et justement, la mort de jésus a été telle !, a été tellement bouleversante pour ceux qui l’avaient connu : que certains disent : des choses curieuses se sont passées avec lui, oui, assez divines, il y a eu forcément des phénomènes de vision collective, jésus serait « apparu » en rêves chez certains de ses proches, tout cela est consigné, et servira à la phantasmisation + sérieuse faite par les scribes qui commencent à faire des essais de récits de la vie de ce jésus
et de fil en aiguille, alors que certaines délirent un peu, en tant que pleureurs, et que d’autres réfléchissent sur ce que pourrait être un enseignement théologique qui colle à la nouvelle époque : cela se confirme : à l’évidence, oui, on a là un personnage pas mal, et qui croît de jour en jour, on peut bien le nourrir, il prend de l’importance
petit à petit on le mythifie ce personnage   : il a guéri lazare, proche de la mort ? alors, on va dire : « il l’a ressuscité ! », oh.., c’est pas un gros mensonge, on a juste exagéré un peu.., et ainsi pour tout
  l’étape suivante : jésus a donc ressuscité lazare ?
alors c’est bien le moins que jésus se resurectionne lui-même ! : « alors oui, ce jésus ?, oui, il a ressuscité, croyez mes frères ! », et bientôt cela est écrit, alors si cela est écrit, c’est donc que cela est vrai, et cela sera 4 fois écrit, alors c’est 4 fois vrai, ah ah ah !
  on ne nous disait pas
notre religion chrétienne elle est incroyable !  
1déjà il s’agit d’un courant (baptiste) qui fait une proposition de prophète nouveau pour tous les juifs (une fois jésus mort) (un keum vivant ne peut être fantasmé de son vivant : si un prêcheur (ou un manuscrit) disait : « jésus marche sur l’eau », on verrait vite que cela n’est pas le cas !)
2 et dès qu’il y a refus de + en + officiel et ferme de cette proposition par les juifs orthodoxes : les baptistes jésusistes s’ils persistent sont priés de ne plus se considérer comme de la continuation israélite, or ils persistent : et deviennent ainsi des hérétiques juifs      / assez vite, c’est d’un point de vue juif (anti jésusiste) qui devient majoritaire chez les juifs : puisque (les juifs décideurs) ont dits : « nous ne voulons pas de cette « évolution » », « de cette correction », « vous êtes des hérétiques, vous les « juifs  de jésus», vous les baptistes jésusistes : dégagez !, vous êtes des ennemis » (auparavant les baptistes étaient considérés comme des dissidents, et on ne sait pas trop comment baptistes et juifs orthodoxes cohabitaient, en principe : les baptistes s’auto exilaient)
3 ce qui devenait une catastrophe ! pour les dits jésusistes (ou dit chrétiens si ils se nommaient déjà chrétiens, si déjà, à ce moment ils prétendaient que jésus était le messie, le christ, notion ultra juive) / les jésusistes sont chassés de la synagogue, chassés  d’une religion « éternelle », c’est une catastrophe, or cela va être une chance : les juifs de jésus  vont aller convertir (encore +, car cela était un fondement baptiste) les païens, & petit à petit évidement les jésusistes deviennent une force considérable, car il y a beaucoup de païens…
4 voici donc que ces juifs de jésus dits hérétiques juifs et priés ou bien de revenir au bercail (s’ils veulent redevenir juif) ou bien : priés alors de devenir jésusistes tout courts, c’est-à-dire : sans prétendre qu’ils sont en quoi que ce soit dans la continuation judaïque
(et lorsque les jésusiste deviennent les chrétiens = jésus est le messie, alors, les jésusistes persistent en leur hérétisme juifs, car pour les juifs il n’y a pas de christ, pas de jésus oint par eux, ils sont donc priés de rester des jésusistes, avec un jésus dans ce cas, en quelque sorte, commençant une autre religion, ou bien alors ils peuvent donc être considérés comme des hérétiques juifs, ce qui est un label assez infamant
mais, mais, la donne est nouvelle : les jésusistes, les chrétiens (car les jésusistes persistent, signes et augmentent leur qualification, ils n’ont pas seulement le nouveau prophète mais carrément le messie !, qu’il nomme le christ) donc sont devenus si forts qu’il peuvent avoir le culot de rester des chrétiens (des judéo-chrétiens)
les dits chrétiens (« dits », car ils ne peuvent être qualifiés de vrais chrétiens, le concept de messie émane du judaïsme, avec ses responsables qui seuls décident de ce qui est in ou out dans le judaïsme, ou autrement dit : les « faux chrétiens ») peuvent dirent maintenant en tout impunité (car pour le juifs orthodoxe tout va aller de + en + mal) : « la bible hébraïque?, c’est nous !, c’est nous, oui, qui sommes la suite de la Bible ! , la Bible ? en mains endroits elle annonce le messie jésus ! »
ainsi les dits chrétiens, ces faux chrétiens  volent la Bible, confortant, confirmant, à leurs yeux, leurs tous débuts où ils étaient des purs juifs avec une proposition dissidente israélite (jésus était juif, tout se passait dans un contexte juif, sauf que jésus était un baptiste, un juifs dissident, et cela changeait tout)
 les débuts du dit christianisme
curieux débuts, sinistres débuts, il s’agit donc de croire : « la fin est proche !, alors, finie la sexualité, fini de faire des enfants / la meilleure préparation à la fin du monde imminente : c’est de ne pas continuer à créer ce monde, puisque donc voué à la disparition et voué au remplacement par un nouveau monde cette fois complétement chrétien / le travail que va faire dieu par la destruction, il faut commencer à le faire, ainsi est ce bon d’aller dans le sens de dieu » !
voilà déjà ce qui a présidé aux débuts du christianisme : un folle philosophie, mais quelquefois…, la folie est ce qui fait prendre un mouvement (regardez ce qui s’est fait avec le maoïsme : un pays qui s’abandonnait à celui qui allait pouvoir devenir sans doute le + grand meurtrier de masse de l’histoire de l’humanité, mais c’est à vérifier avec les chiffres, il faut prendre en compte les génocides du passé, )
 et puis la fin ne venant pas, cela va un peu s’éclairer, finalement on continue à se perpétuer mais : profil bas
ainsi, quand tu vieillis, tu peux trouver secours dans cette religion : le vieux dit chrétien pense : « pour moi c’est bientôt la mort (et il ne croit pas en fait à la résurrection & à tout ça, à la fin du monde collective), c’est MA fin du monde, alors oui je m’associe à cette religion qui dit : le monde de la réalité c’est rien,  et en effet ce monde est en train de devenir rien pour moi quand j’arrive à ce stade »
ainsi de celui, qui est triste, frustré : en étant dit chrétien, il se dit : « je suis avec la religion de la fin du monde, qu’importe si je n’ai rien en ce monde : tout cela voué à la disparition… »    (et même il se dit ce déprimé : « moi dans le cadre chrétien je suis à l’avant-garde, je peux concevoir cette fierté ») / terrible religion du désespoir,   lancée et propagée par des désespérés, des populistes qui ont lancé la désespérance (puisque leur espoir n’a pas été suivi d’effet !)
celui qui sait la réincarnation : toute sa vie = rassurée par la continuation, les vies futures, avec déjà la satisfaction d’avoir eu des vies antérieures
semble-t-il   (juste : un hypothèse)
le tout premier texte dit chrétien, retrouvé, serait un texte de paul
bien sûr, la tentation ici de penser :
c’est lui, ce paul, l’inventeur de jésus, c’est lui qui va commencer à imaginer petit à petit (le jésus qui a existé, qui a laissé quelques traces, sujet de quelques rumeurs, de quelques phénomènes paranormaux) comme (le prophète qu’on attendait, la grande nouveauté attendue) car il était un de ceux qui pensaient : « il faut : un nouveau prophète, c’est la seule solution pour qu’on s’en sorte, et ce prophète il faut bien sûr le fabriquer », et possible : une bribe de l’enseignement de jésus lui est venue aux oreilles, et il s’est dit : « oui, c’est cela… le futur, c’est cela qu’il faut développer maintenant »
au départ : quand il écrit les chercheurs voient : jésus et sa bio ne semblent pas important pour paul ! (j’ai entendu cela dans « corpus chriti »)
c’’est lui, qui, (du fait qu’il a inventé lui-même tout cela) va prendre la peine d’aller révéler partout dans le monde connu : la nouvelle marche à suivre
d’où donc cette force, sa force de prêcheur : il sait de quoi il parle, non car ce qu’il prêche est vrai, mais par ce que : ce qu’il prêche est sa création, c’est sa vérité donc, qu’il a à défendre
que ne ferait-on pour imposer sa vérité !
(d’ailleurs ceux qui font ce genre de travail, toujours des gens assez complexes, paradoxaux, & c’est le cas : quelqu’un qui aurait déjà été un juif fervent déjà, un juif romanisé aussi !!!, contre les dits chrétiens (mais de quelle tendance ?, et à une époque où les dits chrétiens existaient déjà ?????? et qui abimaient les lois juives / paul de tarse aurait été un anti-jésus ? déjà, mais « jésus » existait-il à son époque ?????   je m’y perds, en tout cas il a applaudi à la marthyrisation de cet etienne (vu + haut)
mais on est de toutes façons en consultation de textes qui sont tous réactualisés de diverses manières, comment savoir ce qui s’est passé ?, dans quel ordre ?
 revenons à la décision de garder juste 4 évangiles
4 évangiles qu’on a largement charcutés pour qu’ils ne soient pas trop contradictoires (mais on n’a pas fait cela assez bien)
 mais quelle force : parmi tous les écrits inventés on dit : « on garde seulement ceux-ci », ce qui est à comprendre : à partir d’aujourd’hui, il y tous les autres qui sont de l’invention pure et simple & puis ceux-là (officiels) ne sont donc pas de l’invention      (alors donc que…. tous sont de l’invention)
& ça marche, 2000 ans après, encore on tombe dans ce savant, simple, piège / on serait ainsi détourné de l’idée que ceux retenus pourraient être parfaitement eux aussi de … l’invention
 ce qui nous a trompés quand nous étions des enfants, des adolescents
les prêtres ont réussi à complétement occulter le fait : les juifs n’étaient pas d’accord quant au « vol de l’ancien testament », avec le dit christianisme comme suite du judaïsme
par là les prêtres voulaient démontrer : cette continuation était si évidente !, une contestation de cela n’était même pas à évoquer une seule fois !!!! (et ce fut le cas, le problème n’a jamais été évoqué dans mes années de propagande dite chrétienne me tombant dessus) d’ailleurs dieu sait comment cela est venu à mon esprit
précisons : les prêtres ne proféraient pas une seule parole antisémite !!!!, justement du fait de l’évidence vue + haut (l’idée : ce qui était opposition juive = anecdotique), au contraire (c’était non-dit mais à comprendre)  : « la charité chrétienne s’appliquait aux juifs, il fallait leur pardonner leur contestation, cette charité se mêlait à une espèce de commisération pour les juifs : genre : les pauvres !, il étaient si « prés » de jésus et ils le loupent à cause d’on ne sait quelle mauvaise humeur, à cause de quelque perversion spirituelle,  car comment contester la montée irrésistible du christianisme ?, synonyme de vérité, de triomphe de vérité »
c’était très fort !!!!, le logiciel chrétien bien au point, & on tombait dans le panneau / loin de nous à l’époque l’idée que pour établir cette continuation : cela avait demandé pas mal d’aménagements au bulldozer dans les textes anciens, dans la Bible hébraïque
 Judas et Satan
pour nous enfants et ados, Judas, c’était la créature de Satan, puis progressivement je crois, Judas est devenu le traitre « par lui-même »
cela faisait déjà assez, cela était trop la carte : Judas + Satan
cela aurait fleuré un peu trop l’invention, je pense à cela en lisant le livre « Judas » de stanford
 omission
enfants, adolescents, nous n’avions pas droit à savoir comment la religion dite chrétienne avait fait un incroyable bond, passant de secte hérétique juive à religion d’état
toutes ces histoires de récupération par les romains : cela n’était pas évoqué 1 seule fois au cathé (ou alors très peu, mais non, je  ne crois pas qu’on parlait de cela, mais peut-être cela était écrit : il faut dire ici : on se contentait du minimum d’étude de tout cela auquel on nous obligeait)
il fallait, d’une manière générale, nous laisser croire : cette religion avait grandi fluidement, irrésistiblement, comme il sied à une religion inspirée par le vrai dieu
cela était trop compliqué et risqué de nous dire : « à un moment constantin comprend : la religion dite chrétienne est la religion de la stabilité et le monothéisme simplifie tout, est une notion simple, fédératrice »
moi :  les chrétiens ont tellement peur de la fin du monde, qu’en fait cela les oblige à se tenir bien, a compris constantin, et il voit : le message peut être universel, comme la romanité
 le problème paul
des textes de paul, les + anciens du Nouveau testament jusqu’à nouvelle découverte
quelques textes donc, et pourtant certains dont on est sûr qu’ils ne sont pas de lui
et l’un qui est à l’évidence retouché
curieux !!! alors que soi-disant : « jésus dieu vient d’intervenir dans le monde », même le + important personnage post jésus : est sujet à caution, ne parvient pas à nous apparaitre comme parlant par esprit saint, dans une extrême évidence
si tout commence par là, cela commence bien mal et dans la suspicion complète, dans l’énigme   (et ce n’est pas voulu, là)
et de +, l’interprétation de ces textes : difficile, personne n’est d’accord sur les bonnes interprétations (qu’importe on croit à partir de cela…, alors c’est comme si finalement c’était une caractéristique divine de propagation)
nous, enfants et adolescents, on croyait : « depuis le temps !… » nous disions-nous, « les élites sacerdotales ont fait le tri » !  (on imaginait même pas que tout cela restait non évident, et avait toujours été non évident)
à la fin du dernier millénaire, pour nous tout cela était très clair…, oui, clair pour ceux qui imposent cette religion, qui disent : « oui, oui, très clair », et puis tu réunis comme l’a fait prieur et mordillat : les meilleurs chercheurs sur ces textes, venant de tous bords, dits chrétiens ou non : et… : « non    on ne peut rien affirmer sur tel et tel point », on ne comprend toujours pas telle contradiction, etc.
et bien sûr, eux, les chercheurs, nous disent : « oui, là tel texte, cette fois est identifié comme faux » etc. / pendant 2000 ans, ceux qui savaient cela ne pouvaient se faire entendre sous peine de : mort
 eh oui, tout es pompé
même « le baiser de Judas », on se disait, cela est resté, un épisode si fort, qui s’est imposé, qui a forgé un concept
mais non, mais non, il y a déjà le concept du « baiser de Judas », le concept de « baisers perfides », plusieurs fois dans la Bible hébraïque, dans « le 2ème livre de samuel par ex., cela est expliqué dans le livre de stanford sur Judas
(livre où on a très peu d’éléments à se mettre sous la dent, une chose sûre : les chercheurs, plutôt d’accord pour dire : « Judas, le personnage le + inventé du Nouveau testament »…,
et oui, quand même on avance un peu quant à la découverte de l’invention générale du dit christianisme, petit à petit..., mais assez pour déjà comprendre : cela a été une grande escroquerie intellectuelle  
 Judas
je me souviens des longues après-midi passées les vendredis saints,  le prêtre lisait la Passion
Judas, ça marchait bien ce personnage !, on y croyait !, l’existence de tout le mal possible sur Terre se cristallisait sur ce personnage et cela si crédible, comme tant d’autres avant nous on a marché !!
aujourd’hui, comme pour noël (voir ailleurs dans ces anti-évangiles qu’est mon blog en 27 parties) c’est ce personnage en premier qui est dézingué par les chercheurs qui étudient les évangiles et autres : Judas, personnage de pure fiction
Judas eh, oui, enfants, même ados on se faisait bien avoir…
  reprenons   :  deux religions qui s’auto annulent
1jésus, considéré par certains juifs dissidents (et doucement de + en + ? cette dissidence baptiste a de + en + d’adeptes, de sympathisants dans les rangs juifs orthodoxes) comme le nouveau prophète juif, & les jésusistes se disent ! : « la religion juive donc va intégrer jésus, nous ne serons plus considérés comme des dissidents mais comme juste ceux qui étaient d’avant-garde, et donc suspectés d’hérétisme forcément, mais c’était juste un malentendu, non nous restons juifs, et à considérer comme des juifs… orthodoxes en fait »
« jésus ? c’est notre continuation à nous tous juifs, notre évolution, jésus va être homologué prophète, tout ce qui est dit sur lui, tout ce qu’il a prescrit, tout cela sera décrété, confirmé : DIVIN par les grands prêtres, par consensus général, acceptation de l’évidence (c’est cela qu’on appelle : oindre un prophète) (et n’est pas un problème : certains juifs ont assassiné jésus certes, c’est au contraire le cas pour les prophètes, c’est comme une pré-homologation finalement)
2 et puis…, non NON, ce beau scénario tombe à l’eau : les baptistes sont confirmés comme des hérétiques juifs, et c’est la proposition jésus qui officialise ce rejet définitif, cette proposition est considéré comme une imposture, une forfaiture spirituelle / alors que les jésusistes pourtant faisaient donc de + en + d’adeptes et que de petite secte on passait à grande secte, les différents grands dirigeants religieux israélites des grands courants juifs ont dit : « stop : les baptisme, et leur jésus ou un autre, c’est fini : cette création d’un prophète et ceux qui prêchent cette proposition sont des hérétiques juifs » (= à annihiler, à part que… les juifs baptistes jésusistes deviennent + nombreux que les juifs…
3 et les partisans de l’évolution juive par jésus disent : « eh bien si !, on maintient jésus comme le nouveau prophète israélite /  alors donc voilà une hérésie juive, le jésusisme, ceux qui se disent les chrétiens qui prospèrent à côté de la continuation officielle de la tradition judaïque   ( et là : on ne sait pas trop comment cela se passe, car longtemps, il y a une avancée encore assez parallèle, rien de vraiment n’est décidé, des deux côtés : on est dans une période blanche, possiblement très longue / les juifs ne veulent pas donner de l’importance à l’avancée jésusiste, et les jésusistes ne veulent pas documenter cette interdiction donnée à eux d’être dans la continuation israélite, d’être dits hérétiques)
4 et les dits chrétiens persistent et signent, et leur impudence n’a plus de limites  (ça se passe loin de Jérusalem, les jésusistes n’ont rien à craindre et ils sont de + en + nombreux, avec un enthousiasme qui fait que ce sont eux qui partout font l’agenda) osent même dire : « « la Bible hébraïque » « homologue » jésus, la Bible c’est nous !!!!, les juifs ? mais c’est nous, vous vous n’êtes plus les juifs ! » / la bible hébraïque en tant qu’annonciatrice de jésus, « c’est vous, les juifs non croyant en la continuation par le baptisme jésusisme :  les imposteurs »
conclusion à nouveau proposée ici : alors, c’est pas possible, dieu, le divin, il n’arriverait pas comme cela, dans la confusion
 la question
les dits chrétiens (les chrétiens frelatés) ont toujours demandé de prendre les juifs pour des fous, des insensés, car ils disaient imposteur : jésus (=  la création du prophète jésus est une imposture / car jésus, le personnage historique, est bien loin de tout cela, mais dans les textes : on ne peut parler de « la création de jésus en prophète », ou bien de « la proposition de jésus prophète », car cela serait faire entrer dans les cuisines, dans les coulisses de la création d’un prophète / alors on dit + simplement : « jésus était un imposteur », tu comprends ?)
si les juifs historiques ont décidé cela, et cette fois, non dans l’effet de surprise qu’a été l’arrivée de jésus (et le procès qui aurait suivi) (mais peu ont prêté attention aux prêches de jésus, certes si il a été crucifié cela a fait du bruit cette fois), c’est que quand même qu’il devait y avoir… quelques raisons !
quand il est question de dieu, on fait quand même un peu attention, & ne pas oublier : la montée en puissance de jésus, prophète, elle se fait dans le sein de cette religion juive, les décideurs juifs avaient tout ça devant leurs yeux
les juifs qui ont décidé qu’il fallait à tel moment enrayer la croyance en jésus, ils savaient ce qu’ils faisaient, ils décidaient comme inappropriée cette invention de jésus (ils savaient comment on fabrique des prophètes, ils en ont souvent fabriqué), et ils ne veulent pas de cette fabrication-là due aux baptistes, due à des dissidents
dommage que les juifs ne nous disent donc pas pourquoi ils pensent que cette proposition jésus était une imposture (mais des textes existent-ils là-dessus ?, ont-ils survécu aux flammes des bûchers, aux juifs actuels de nous document là-dessus)
à présent, on serait à même de les entendre nous documenter là-dessus, nous les dits chrétiens (ou les ex dits chrétiens, comme c’est mon cas) que nous sommes (et qui ne croient pas en jésus, du moins tel qu’il nous est peint) : mais l’ont-il dit, écrit ?, et les dits chrétiens ont vite camouflé ces dires et écrits ?
 le problème paul  
(attention : c’est comme pour jésus, des paroles très contradictoires sont détectées)
Il dit donc d’entrée de jeu, ou bien cela est écrit ensuite comme tel
jésus, c’est pas un prophète juif, c’est le prophète de toute l’humanité, donc après l’invention d’un dieu unique pour un peuple (la tradition israélite), c’est l’invention logique d’un dieu pour toute l’humanité
c’est bien trouvé, est-ce que c’est cela qui d’une part va conduire les jésusistes (déjà juste considérés comme des révolutionnaires, mais non hérétiques encore, avec la séparation avec les juifs ?, puisque eux, les juifs orthodoxes, « officiels »,  tiennent à un dieu, un peuple, ou (et) bien cela apparait bientôt notamment aux païens comme un concept mondialisant très attirant
mais je l’ai déjà écrit ici : on peut voir cette surenchère mondialiste comme établie : quand les instances juives refusent  jésus comme le nouveau prophète pour les juifs
paul se dit : « les nôtres trainent trop les pieds, ou refusent carrément jésus », il se dit, alors, « en effet, finalement ils ont raison !!!!, jésus, c’est bien + qu’un prophète juif, c’est le prophète de tous les hommes, et c’est ça un messie, un messie, que les juifs ont du mal à définir, c’est ça, c’est jésus, qui vient pour tous les hommes, et pour une conversion générale jésusiste »
paul se dit : « en fait, dès le départ j’avais vu jésus comme différent, et quelque chose ne collait pas avec la tradition juive, alors : oui : on fonce du côté du jésus internationaliste » / paul, ou bien certains autres premiers prêcheurs jésusistes, à l’étranger.., auraient eu déjà cette tentation, or, voilà que : en quelques sorte les opposants juifs à jésus viennent la confirmer
et puis les dits préchrétiens frappent un grand coup, & là les juifs ne vont pas s’en remettre !, on dit : « jésus ?, c’était le fils de dieu, dieu lui-même !, alors pauvres décideurs juifs anti-jésus…, vous n’êtes plus dans le coup, une nouvelle époque commence », et en effet…, + c’est gros + ça marche, et ça va marcher
comme marche souvent quelque chose qui évolutionne tout, il y avait une attente…, certains la voient et s’en servent
on pourrait imaginer : le jésus historique aurait proposé cela : « pourquoi y aurait-il d’un côté les juifs », et les autres ?, pourquoi on ne se dirait pas tous : êtres humains, avec un dieu commun avec tous les êtres humains  / jésus a  possiblement donné un enseignement qui a ensuite été utilisé par ceux qui en fait un prophète / c’est peut-être parce que le jésus historique a donné quelques pistes évolutionnaires qu’il a eu des inventeurs, des suiveurs inventeurs  (mais l’invention serait allé en suite dans divers côtés, et comment en aurait-il été autrement ?, jésus était mort depuis longtemps, et ses compagnons aussi, et eux-mêmes qu’avaient-ils compris de ce qu’il enseignait, on dit que ces compagnons étaient de pauvres bougres..)
après tout, sait-on vraiment pourquoi, jésus a été mis à mort ?    non, on ne le sait pas tout ce qui a été écrit, c’est le… religieusement correct de l’époque qui a survécu bien sûr  / et possible : jésus a un peu existé, il aurait lancé quelques idées qui possiblement ont marqué, et il aurait été assassiné pour cela, car ses idées étaient par trop évolutionnaires, or elles étaient dans l’air du Temps… évolutionnaires, et après sa mort, certains se sont dits : « ces idées là restent d’actualité »
   l’invention d’un dernier miracle…
Il fallait quand même imaginer une personne qui s’oppose à l’arrestation de jésus, pour rendre un peu réaliste cette situation si scandaleuse (jésus dieu arrêté !) qui se jouait, et gommer le côté moutonnier des adeptes de jésus pourtant ceux qui savaient qu’il s’agissait là du prophète qui faisait des miracles, & en principe prompt à se sacrifier pour le personnage le + important de l’histoire du monde !!! du moment
et justement pourquoi pas donc un dernier petit miracle ?, mais dommage les scribes qui écrivent les évangiles n’accordent pas leurs violons
l’évangile de  marc et celui de matthieu montrent un disciple qui tranche avec un glaive l’oreille d’un serviteur du grand prêtre, et jésus de la recoller aussitôt, car ce type n’est pas responsable de ce qui se passe (il s’agit d’un juif de base, un exécutant, à ne pas confondre avec les instances juives, elles, mauvaises)
dans l’évangile de jean, on donne le nom du serviteur à l’oreille coupée, malthus mais là pas d’oreille recollée, et… celui qui a manié l’épée n’est autre que l’apôtre pierre   ((alors !!  il a dû partir vraiment en courant pour échapper aux soldats romains ? ou vigiles juifs, en nombre, prêts à juguler, en cette situation, tout désordre !!!)
mais, cela n’était pas un détail important se disait-on ? dans ces Temps de l’invention ?, pensait-on ?, de toutes façons, à terme on ne gardera qu’un évangile ?
 un vrai prophète est un prophète mort
Il ne peut y avoir un prophète à l’état de vivant, il n’y a que des faux prophètes à l’état vivant, ou au moins des prétendants prophètes, mais même pas, et souvent ces derniers sont passés par les armes, & puis on se dit, dans les générations suivantes : « quelle perte ! », & certains se le disent + que d’autres, et finissent par en convaincre les autres
un prophète est homologué prophète après sa mort : une fois ce personnage amplifié en tous points après sa mort, si on a eu besoin en effet d’un prophète
l’homologation de jésus n’a jamais eu lieu…, les baptistes qui ont été si durs dans leurs insultes envers les instances judaïques officielles croyaient au père noël : pensaient que leur proposition de prophète finirait par être homologuée…
des fous de dieu, des baptistes on fait de jésus un prophète, puis le messie, puis dieu lui-même le fils de dieu
ni le fils ni le père existe, alors mieux vaut s’en tenir au moins au seul dieu …
on nous a fait croire à une homologation de jésus, pour nous si quelqu’un était bien homologué messie , c’était bien jésus !!!
et non, jésus n’avait au contraire pas été homologué !!!!
à notre tour, enfants, ados, on ne se rendait pas compte, on était mis sous le signe (par la secte dite chrétienne) d’une forfaiture : sous le signe du contraire d’une vérité, sous le signe du mensonge, et du crime ! ; on était mal !!!!, et en + on ne le savait pas, on était doublement dans la ténébre, encore + que sans spirituel : notre socle était un spirituel frelaté
bien sûr, cela a été possible  car personne d’autre (évidemment il ne fallait pas compter que cela émane de la secte, ah ah ah !) ne nous a briefé sur ce qu’était une homologation : et si il n’y a pas homologation il y a hérétisme,  oui on a cru :  jésus avait été tout à fait homologué  !!!!
bien sûr : tout cela dans le cadre d’une religion / celui qui n’allait pas au caté, à la messe, etc. : n’était pas concerné par cette forfaiture, par contre celui qui était mis sous le signe du dit christianisme il entrait dans cette forfaiture, or… (même pour celui non concerné) : à tel moment être dit chrétien : cela signifiait aussi : tuer des juifs, discriminer le païen, etc. et à certaines périodes, c’était : torturer, mettre sur le bûcher, le contestaire ou le mauvais dit chrétien etc.
oui, tu avais du théologique, du textologique, une illusion collective, du bullshit, mais c’était très très opératif…, très ancré dans la réalité
 eh… non !
c’était le point crucial, et on nous l’a caché : justement jésus n’a pas été homologué, il y a eu refus de l’homologuer avant !!, il a été mis à mort comme un fou, un imposteur
ainsi : jésus était du bullshit dans du bullshit / jésus, faux messie dans une religion qui prônait comme vrai l’arrivée prochaine d’un messie…
(les juifs ne considèrent pas que l’arrivée d’un jésus prophète était « prévu » par leurs textes sacrés), ni pendant, ni après…., et les dits chrétiens en fait, devraient se dire en attente toujours de cette homologation…, mais non : ils passèrent outre et ils ont préféré dire : mais si !, mais si, nous avons bien avec nous le messie
Je comprends pourquoi : à tel moment de mon adolescence je commençais à entendre leurs « christ ! jésus est le christ, le christ !, le christ » comme du volontarisme, alors que je ne connaissais pas encore bien le concept de volontarisme : je me souviens du prêtre pierron, et de sa façon de répéter ce mot : je comprenais…, un peu.., pas assez, pas assez pour partir à toutes jambes…
 très curieux
en lisant « judas », le livre de l’écrivain (je suppose catholique) stanford, quand il évoque (dans ce livre récemment sorti) « le livre de l’apocalypse », et à moins qu’il en parle aussi ailleurs dans le livre, il est très succinct (dans ce livre « judas », où pourtant il y a peu à dire.., du moins sur le judas qui n’a pas existé, et tu sors du livre en ayant lu en effet du vide) et c’est comme si il n’y avait pas eu tous les docs de prieur et mordillat !!!! (pourtant il y a eu plusieurs heures autour de l’Apocalypse, avec comme d’habitude des fabuleux chercheurs)  et stanford ne mentionne même pas cette recherche !!!!!
et pas plus l’auteur ne fait référence à l’épisode « judas », la série de « corpus christi »  ( judas a bien sûr son chapitre dans la série d’émissions et ce qui s’est dit est extrêmement intéressant )
je crois : ces séries d’émissions de prieur et mordillat (et ne parlons même pas de onfray et de ses théories) semblent peu consultées ou même pas citées dans de tels ouvrages !!!!!! ou bien, donc, + vraisemblablement boycottées consciencieusement), des émissions qui se veulent pourtant exhaustives sur des sujets, en principe un chercheur et dans ce domaine si flou, doit prendre en compte tout ce qui existe sur le sujet
à moins que stanford soit, reste surtout un dit chrétien ?
les docs de prieur et mordillat  si dérangeants, qu’ils sont tout simplement non pris en compte par quelqu’un comme ce chercheur, stanford, ce qui est complétement fou, grave…
ainsi, en prenant cet autre exemple, cet auteur écrit juste (à retrouver) je crois à propos de « l’apocalypse » : « livre qu’on a attribué à jean, aussi l’auteur de l’évangile », alors que déjà on ne sait même pas qui est ce « jean » à qui l’on attribue cet évangile, bon, déjà !!!! quand le livre de stanford se fait on a… avancé s’agissant de ce « jean », on est sûr déjà qu’il n’a rien à voir avec « l’apocalypse », (et, curieux, à ma connaissance, lorsque cela a été attesté, cela n’a pas fait la une des journaux… !!!!!, il serait intéressant de voir quand on a commencé à dire, ou à redire : « c’est jean de patmos l’auteur »)
 alors donc que prieur et mordillat ont réuni des dizaines de chercheur pour éclairer les débuts du dit christianisme, et, à l’évidence, de quel bord que l’on soit, on ne peut plus écrire sur le sujet sans tenir compte de ce qui a été dit notamment dans cette série vidéo (une première mondiale, un miracle que cela ait été mené et largement diffusé)
stanford, pourtant dans un livre qui est si vide, et où il y aurait à dire quand même un peu + : notamment sur le sujet de cet imbroglio avec ces « jean » et donc sur Judas », tel qu’il a été vu par les chercheurs réunis par prieur et mordillat : quelle brièveté suspecte,  pourquoi cette brièveté, stanford ici est-il dérangé dans sa foi de chrétien par ces recherches spécifiques?
 pas de description
rien, pas de description physique ou psy de jésus et des siens  
comme si, les scribes s’étaient permis d’inventer sur le mode conceptuel, comme si seulement cela était permis
mais donner des détails alors cela aurait été du mentir pas possible, du mentir-pêché
     une situation catastrophique
et en effet bientôt c’est la destruction du Temple, la maison de dieu !, le lieu de dieu !,
ainsi, si voilà la preuve que dieu n’existe pas / s’il existe il ne pourrait quand même pas tout permettre, et donc certainement pas la destruction de sa maison
et la secte baptiste qui avait bien vu le désastre annoncé se voit, elle, confortée en son avant-gardisme inspiré, pas de panique !, il faut un prophète nouveau  et nous baptistes on va le faire !
à ces romains impies, & à leurs collabos, à tous ceux qui se mettent à douter, il faut leur mettre dans les pattes un prophète, qui à nouveau fasse un nouveau pacte avec dieu
cela ne peut être un prophète vivant car aussitôt qu’un potentiel rebelle arrive, les romains le tuent, et éventuellement avec la complicité ou la demande des juifs collaborateurs
on va donc inventer un « prophète mort », « un mort-vivant » (et mort vivant oui, c’est le bon mot, car ce prophète va avoir une caractéristique spéciale), alors qui va-t-on prendre ?, et si on prenait ce jésus…, apprenti prophète qui avait fait parler de lui, & si on en faisait ce mort-vivant, on dirait : « il a ressuscité, il a montré que, si, le royaume de dieu est proche,  dieu ne nous a pas abandonné, lui, jésus, par dieu, a été mis dans des caractéristiques divines et Romains et juifs collabos vous ne pourrez rien contre lui…, il est invincible » et en effet… en tant que mort il invincible cela n’est pas faux !
c’est juste une hypothèse :
et tant qu’ils y sont, les prêcheurs vont clamer bientôt: « jésus c’est même le messie », & cela ne suffit pas ?, alors va être entendu :  « en + :  il est le fils de dieu, alors…, même ! dieu lui-même ! »
les baptistes dissidents (au désert il fait chaud, trop chaud) ont pété les plombs, ils se sont crus autorisés  à créer un prophéte,et car étant juifs : ils comptent bien que ce prophète sera le prophète de tous (ils ne comprennent pas : leur dissidence interdit cela…)
 faiblesse des textes soi-disant divins, évangiles etc.
oui, mais, il firent leur effet car à considérer comme UN AJOUT aux textes de la Bible hébraïque, les inventeurs du dit christianisme conscients de leurs faiblesse avaient besoin de faire comprendre : « ah, mais le christianisme (de leur côté, eux pensent qu’ils sont le christianisme, ils font comme si jésus avait été oint, comme sil il avait été décrété christ or cela n’est pas du tout le cas), c’est déjà tout ce qu’il y a dans notre Bible hébraïque, jésus, lui il amène cependant un crucial nouvel éclairage…, alors ne nous demandez pas d’être exhaustifs sur tous les aspects du spirituel, nous on est pas à la hauteur, et puis, comment faire mieux que ce qui est dans la Bible hébraïque ! »
voilà pourquoi les dits chrétiens devaient absolument voler la Bible hébraïque, sinon, leurs petits évangiles, et autres écrits, cela ne faisait pas le poids…. (par contre ça marche, en tant que textes « correctifs », donc pouvant être « légers »)
 l’énigme gnostique
les gnostiques (mais c’est une erreur de rassembler ainsi tant de courants post chrétiens et d’ailleurs : chrétiens, puisque tenant compte de jésus en tant que christ) prétendent (entre autres) être ceux qui comprennent jésus avec un savoir haut
et pourtant ils en rajoutent dans le n’importe quoi,
on ne comprend pas aujourd’hui ce qui s’est passé là vers 300 après jésus
les valentiniens, les séthiens, etc., tant de scribes cinglés  
 rappel  
dans un des épisodes de « les Débuts du christianisme », de prieur et mordillat, un chercheur (pas le moins intéressant d’ailleurs) commence par dire : « ce que l’on sait (genre on sait que cela, on n’est sûr que de cela), jésus a été crucifié, jésus est ressuscité »
on sait !!!!!!!!!
on ne sait pas, plutôt
ce qu’on sait : rien n’a existé pour les romains, au moment où un certain jésus aurait fait des miracles, avant sa mort et après sa mort,
on a juste des écrits d’une secte, apparaissant pour la 1ère fois on ne sait quand et on ne sait où & avant les textes (du moins ceux connus de nous) il y a des prédicateurs juifs novateurs à l’existence & à la prédication sans doute complétement réinventée progressivement
alors que les romains, comme déjà écrit ici, connaissaient tout micromouvement juif et autre de quelque nature qu’il soit, puisqu’une telle secte juive : susceptible de les mettre en danger bien sûr
alors ce qui ne les mettait pas en danger, était considéré comme n’existant pas : la fabrication progressive d’un prophète juif ?, un travail secret de scribes, d’un puis de plusieurs illuminés ?, cela ne faisait pas de bruits, cette constitution d’un prophète de papier (comme cela avait toujours été le cas, mais cette fois la proposition de prophète allait être  signée par des dissidents, les baptistes)
hypothèses, hypothèses..
 jésus   bénéfice immédiat
on ne sait pas comment les prédicateurs réussirent à convaincre (difficilement) les païens,
une promesse devait leur être faite, un bénéfice immédiat possible
la religion juive était-elle inaccessible à eux ?, oui, et si désirable, en toute sa grande continuité, de quoi être sûr d’être sous la protection d’un dieu puissant et tout à coup on disait aux païens : « avec jésus vous voilà juifs, sans pour autant (comme on le sait) que cela vous coute beaucoup, vous n’aurez même pas besoin de vous faire circoncire etc. »
devenir juif light en somme ?, c’est ce que pensent les chercheurs aujourd’hui
mais possible, quelque chose nous échappe, quelque chose qui était très évident à l’époque, et qui était si évident que cela n’a été mentionné nulle part, & qui donc aurait été la raison primordiale de ces conversions, ou bien quelque chose que l’on sait mais dont on n’a pas compris qu’à l’époque c’était énorme, fondamental
était-ce vraiment la promesse d’égalité pour tous ?
était-ce car on faisait peur ?, « la fin du monde est proche », & cela aurait été la 1ère fois qu’on faisait peur aux gens comme cela
et ce qui était enseigné aurait paru alors comme : simple, de bon sens, après tant de folies païennes et de complexité juive ? (dont comme on l’a dit : tout ce sang répandu dans le cadre des incontournables sacrifices, et d’ailleurs chez les juifs aussi, et là où d’un coup c’était fini l’overdose de sang, et bienvenu et ceux qui décrétaient cela étaient à rallier)
 deuxième siècle :   le gnosticisme chrétien
cela apparait quand on comprend ? : la fin du monde n’est pas arrivée, donc ce qu’a dit jésus, ou bien ce qu’on lui a fait dire etc.   n’est pas  la vérité spirituelle
alors, oui, il fallait s’affranchir de ce que disait la religion juive, car cela aussi était un cul de sac, c’était à changer, et jésus l’a fait
jésus, devient, pour les gnostiques (quand ils prennent en compte jésus) quelqu’un qui a suscité une formidable demande de vérité
mais… à l’évidence cette vérité est encore à trouver…., un Marcion pense : « ses apôtres étaient bien incapables de comprendre quoi que ce soit à jésus »   (c’est un peu gênant.. cette affirmation)
 & on assiste à tous les délires gnostiques autour de   :     le monde de la réalité a été créé par un dieu mauvais (par le diable alors, et c’est le dieu « israélite »), et jésus annonçait en fait (selon eux), l’existence d’un dieu bon et chacun peut continuer à vivre dans le monde mauvais, en étant bon, en se mettant sous la protection du dieu bon, celui de jésus      
lui jésus, ou ce qu’on lui a fait dire et qui s’est répandu déjà considérablement : c’est le monde bon fait par dieu qui a été perverti par les mauvais humains, alors dieu a décidé de le détruire ce monde abimé, et cette fois !!!     le monde va redevenir bon complétement, sans le mal     et... « en attendant la fin du monde, si vous vous mettez sous le signe à nouveau de dieu, et si vous faites le bien vous ne serez pas anéanti par la fin du monde »
or rien de tout cela ne s’est passé,   les méchants ont continué à prospérer, et  ils n’ont pas été anéantis
mais les gnostiques (certains gnostiques, car il en est de toutes sortes, c’est un terme générique) contestent cette théorie
ils restent en tout cas sur l’idée monothéiste (en considérant donc qu’un des 2 dieux existants est un imposteur, celui qui a fait le monde mauvais de la réalité, en fait donc : à rapprocher plutôt du diable !, pourquoi compliquer ?)
et ils restent sur l’idée du prophète jésus !, comme s’ils savaient donc qu’il s’est passé quelque chose de spécial avec jésus
 l’imagination des gnostiques semble devenir sans limites
une autre lecture possible :    les dits chrétiens, les faux chrétiens et pourtant qui triomphent !!!  et font des envieux  amènent un délire avec jésus, et cela a entrainé déjà une adhésion à ce délire, et quand il apparait (quand la fin du monde ne vient pas) que ceux qui se sont fait prendre à ce délire se réveillent : ils ne reviennent pas à la raison (mais quelle est la raison ? en matière théologique ) mais donc se désintoxiquent non en se calmant ( en disant : « bon : on n’échafaude plus rien en spirituel, on se laisse un temps de non croyance ») mais en partant dans des directions encore + insensées
en se disant : « c’est le moment de chercher, de trouver, on vient de prendre une certaine voie, on garde le personnage de jésus, mais on essaie de voir ce qu’un tel personnage divin aurait voulu vraiment dire, ou bien ce qu’il aurait + intéressant de lui faire faire et dire »    
en tout cas : les gnostiques homologuent le fait : l’enseignement du prophète jésus a eu lieu, mais il a été détourné (et pour cause, il a été inventé largement, mais ce dernier point les gnostiques ne le voient pas, pour eux jésus a existé)
 2 grands moments du début du dit christianisme
Ils prêchent la fin du monde    (c’est in ! , cela en fait l’événement spirituel du moment !), et il aurait semblé pour les gens d’alors : oui, cela ne peut pas durer comme cela : ce monde si difficile (après, une fois qu’on a compris que la fin du monde ne viendrait pas : il a fallu repartir sur l’acceptation de ce monde souvent mauvais)
Ils essaient de survivre (en tant que religion qui sait la vérité, or qui vient de montrer qu’elle s’est trompée : pas de fin du monde) à cette fin du monde qui ne vient pas (cela va générer une incroyable défiance forcément), cela on n’arrive pas trop à le concevoir aujourd’hui sans doute
 juste une hypothèse en découvrant : « paul, chassé de partout »….
jésus a existé, un gentil illuminé, un peu comme un de ces s d f charismatiques, un routard, qui ici et là, trouve toujours des gens qui s’accrochent à lui, car s’il a quelque chose à dire, un tel personnage est à écouter, car en quelque sorte il sacrifie sa vie, il a un jour découvert quelque chose de + important qu’une vie normale, il est + près de dieu
jésus a été occis, or son souvenir fédère encore après sa mort un petit groupe nostalgique de son enseignement, ceux qui le suivaient, partout où il se rendait, un type qui était un guérisseur aussi, spectaculaire quelques fois
paul rencontre-t-il alors un des « disciples » de ce jésus de grande mémoire ?, et il a la révélation alors ?, comme cela,
, peut-être rêve-t-il de ce jésus qu’il aurait aimé connaitre (ce qui donnera : « je l’ai vu ressuscité »), & ce type, paul, un illuminé qui se cherchait, et tout à coup donc croit trouver, dit : « mais oui ! c’était ce jésus, ce type qui a été injustement crucifié, alors qu’il était juste un prêcheur !, c’est lui le nouveau prophète potentiel, on peut le proposer comme le prophète qu’il nous faut ! » (et il aurait été en convaincre les baptistes, devenus en quelque sorte : jésusistes par paul)
est-ce lui qui a conceptualisé le jésus ressuscité ?, lui ou un autre, a compris, il fallait à présent créer le culte d’un prophète qui aurait vaincu la mort ?, car la résurrection est dans l’air du temps, on la met sans doute alors à toute les sauces, et justement jésus, on va le dire ressuscité, et peut-être « en effet », il y a eu un phénomène para psychologique dans la communauté de jésus après sa mort, c’était comme si jésus était encore vivant…, ces proches le voyaient toujours en songe par exemple
de toutes façons, il fallait que cela soit raccord avec la fin du monde / montrer : il y avait la fin du monde mais on revivrait, et qui sait : jésus était possiblement mis à mort car il était celui qui criait partout que la fin du monde arrivait, ce qui allait assez contre la réalité où : la vie continuait, devait continuer, avec les romains,
paul se fait en quelque sorte un jésus2, il fait sienne la philosophie esquissée de jésus ?, et fait sien ce personnage charismatique qu’on lui raconte, alors il l’invente, il le complète etc.,
jésus, ses disciples, paul, tous des juifs (lui, paul, juif hellénique, qui ne sait même pas l’hébreu ?, alors il aurait eu un certain recul, il aurait pu être un de ceux qui ont senti le potentiel de jésus, il comprend : on a là un super personnage, alors que les proches de jésus ne voyaient pas ce potentiel, d’où le fait que : paul les traite d’idiots ?), & paul décide de créer un nouveau courant au sein de la religion baptiste puis juive toute entière avec un nouveau personnage, on oublie le mouvement baptiste…, cela devient le courant jésusiste
or partout, paul est chassé des synagogues, et il aggrave son cas en ayant du succès avec ces gens qui fréquentent les synagogues en juifs friendly, et par des païens, intéressés par ce type, paul, ce prêcheur fougueux, qui annonce quelque chose de fort, et c’est crédible et ceux-là voient bien : les juifs ont tort de mal traiter ce paul qui est pourtant juif
ce courant jésuséen en sera jamais considéré comme « officiel », pas plus que ne l’était bien sûr le baptisme, mais paul parvient en effet quand même à faire prospérer sa petite secte hellénique  juive autour du personnage de jésus en tant que le nouveau prophète   (les histoires de (messie et fils de dieu) seraient venues dans un second temps)
et un jour les autorités religieuses disent (surtout en voyant : cette secte qui mêle donc dangereusement des personnes de tous bords, certes c’est dans l’air du Temps, de par le succès du mouvement baptistes, mais maintenant il faut freiner cela, ce n’est décisivement pas la bonne direction, cette ouverture, disent les instances juives) : « ça suffit, vous les adeptes de jésus, vous êtes des juifs dissidents, hérétiques, diaboliques, vous n’avez jamais eu permission de représenter la religion juive, & à présent vous êtes priés de ne plus du tout de vous faire voir à la synagogue, vous n’êtes plus considérés comme juifs, vous êtes des hérétiques juifs, des ennemis »
alors qu’importe si ce processus se fait avec paul, ou avec un autre, avec des autres prêcheurs déjà avant lui, paul aurait formé de nombreux  prêcheurs     (c’est souvent qu’un tel courant se forme, à l’époque, les prétendants prophètes courent les rues, alors aussi les disciples, les suiveurs potentiels aussi),
l’idée  fausse   (et que l’on nous inculquait quand on était enfants ou ados,  et qui semblait évidente) c’est : on croyait que le personnage de jésus en tant que nouveau prophète avait déjà été complétement inclus dans la religion juive…
alors que non, juste : quelques juifs dissidents, les baptistes, et sans doute d’autres sectes se ralliant à jésus, ont participé aux débuts du jésusisme mais jamais à aucun moment jésus n’a  été considéré comme le nouveau prophète juif, ni (bien sûr) avant sa mort, ni… après sa mort, en la difficile montée en puissance de sa prophétie (= sa prophétie reprise ou revue par les prêcheurs baptistes puis jésusistes)  
on nous a trompés : il n’y a pas eu de séparation brutale entre juifs et jésusistes pour la bonne raison qu’il n’y a jamais eu alliance de la continuation israélite avec la montée en puissance de la prophétie de jésus écrite et prêchée par une poignée de jésusistes dissidents
les baptistes (mouvement tout nouveau) puis devenant progressivement : des jésusistes car le baptisme se dotait d’un prophète et changeait donc de nature, exacerbait sa dissidence, voilà un même mouvement dissident et qui n’a jamais eu sa place dans les synagogues !, jamais ces gens n’ont été inclus dans le judaïsme, au contraire, ils en étaient exclus
les autorités religieuses juives n’ont jamais cautionné jésus en quoi que ce soit et bien sûr pas du tout en tant que prophète !!!!!, et ont juste continué à ne pas le prendre en compte !, et continuent encore aujourd’hui à ne pas le prendre en compte (même si beaucoup trouvent cela dommage, car le personnage était : juif, et pas mal !!!, à priori bien sûr, le jésus des débuts ?)
ce qui signifie : la proposition (jésus le baptiste = le nouveau prophète juif) n’a JAMAIS été considérée par le judaïsme comme actée, mais toujours cette proposition a été taxée d’imposture (= jésus était un imposteur, mais on ne parle pas là vraiment de jésus, car jésus n’a été qu’un personnage dont la bio a servi à faire un prophète, mais il n’a rien à voir ! avec ce prophète qu’il est devenu, ou bien : a peu à voir !) et il n’y a pas eu de changement là depuis 200 ans, depuis que cette imposture a été lancée
il ne faut pas compter, historiquement parlant, sur les autorités juives, la religion juive pour avoir à un moment CONStaté la divinité de jésus  
or : nous enfants et ados, de la secte baptiste jésusiste dite chrétienne on croyait :
« ah, mais jésus, important ! divin, car même les juifs, dans un premier Temps, (et :  ce peuple éclairé, élu) ont sacré jésus comme messie », et on se disait, : « eux, c’est l’Ancien testament, c’est du sérieux, alors c’est ce sérieux-là qui avait déjà : cautionné jésus… »
certes ils se sont récusés ensuite croyions-nous savoir, mais on se disait : « les juifs se sont récusés, et là ils se trompés…, on ne sait pas trop pourquoi, et on nous amenait à penser : cela n’est pas très intéressant, tant pis pour eux, intéressons-nous plutôt à ceux qui eux ne se sont pas trompés, nous les chrétiens »
« toujours, pour tout, (et donc même avec le divin…) certains se trompent !!! / il y en aura toujours pour nier l’évidence ! » se disait-on !!!!! (certes cela nous paraissait quand même un peu bizarre, en fait on ne cherchait pas dans cette direction là bien sûr, les juifs étaient loin de nous, nous les chrétiens de la fin du millénaire, ils s’étaient fait, nous le pensions, anecdotiques, kitsch, ridicules, en ne voulant pas de jésus comme leur prophète, et en + cela n’avait donc pas marché car il était quand même devenu leur prophète…, puisque le Nouveau testament était la suite acceptée par tant de gens dans le monde, de « l’Ancien testament », nous voyions tout cela tellement acté !, ces livres, ce qui devenait la nouvelle Bible, l’ancien + le nouveau)
ainsi ! cette soi-disant croyance que les juifs qui auraient déjà (avec  la grande évidence ! qui sied quand il est question d’un messie) adoubé jésus : faisait partie du logiciel chrétien de persuasion
/ me suis-je bien fait comprendre ? on a pris un mouvement hérétique juif, des juifs dissidents qui ont adhéré dès le départ à l’enseignement de jésus, pour : tout le judaïsme
mais j’écris cela, je n’ai pas la moindre idée, encore une fois, de ce qui s’est passé, de ce qui a été relaté de cette période dans les écrits religieux juifs de cette époque ou bien juste après
comment les juifs comprennent-ils les débuts du dit christianisme ????, peut-être un jour je tomberai sur le livre qui m’expliquera cela
en tout cas : il m’a fallu des années et des années (d’intérêt mineur pour le sujet), à moi, pour enfin comprendre, ce qui s’était passé, surtout en comprenant : le non-dit des prêtres au Temps de mon enfance et adolescence, j’ai pu mettre cela en regard de mes visionnages des séries « corpus christi » / tout devenait un peu + clair : la piste la + sûre : les prêtres nous ont eu par le mensonge, on s’est fait avoir comme cela, le coup classique, et cela a été si facile pour eux, on était si endormis…, et le pire : on se croyait intelligents, pas endormis du tout…
 effacement
à tel moment, du fait de l’apparition de certains textes, déjà eux, difficilement « situables », aussi bien s’agissant de celui ou ceux qui les ont écrits & relatant de façon faussement documentée des faits flous et contradictoires
donc déjà ce qui se passe aux tous débuts du christianisme n’est pas clair, mais on peut le voir comme une tentative de masquage de ce qui s’est vraiment passé à la fois s’agissant de l’existence de jésus, puis de l’après jésus
ce qui s’est passé soi-disant avec jésus,   a donc été reconstitué :   on a divers éléments, ensuite il faut essayer de se débrouiller avec cela, mais c’est une RECONSTITUTION
et puis il y a donc  les touts débuts de cet (après jésus) :   or là     on est du côté d’une INVENTION d’une religion, & là, on ne sait rien,    cela veut dire   :   on a effacé toutes les traces  (et cela était possible puisque l’on était au tout début, cela concernait une petite secte),     et si on a effacé les traces   : c’est qu’il s’agissait de quelque chose qui n’était pas acceptable…., pas communicable, à la fois sans doute trop évolutionnaire, et trop faible aussi
voilà où l’on en est, on bute sur cet effacement : et donc très probablement on a effacé le travail et la personnalité de un ou bien des inventeurs de cette religion à la fois nouvelle et continuatrice (c’est pourquoi c’est si compliqué), et il ne s’agit pas bien sûr de jésus, mais de quelqu’un ou quelques-uns qui ont récupéré jésus, ou bien jésus figurait un baptiste et des baptistes le sacrent,   on en fait   :  un martyr, un gourou, puis un prophète, très bien puis…. un messie, le fils de dieu, dieu lui-même….(tout est possible avec la figure de jésus à partir du moment où les juifs ne veulent pas de cette proposition de prophète, alors il ne s’agit plus d’une proposition mais d’une IMPOSITION de ce que l’on veut, ainsi, un messie, un roi de catalogne, ce qu’on veut, dieu lui-même…, les créateurs de jésus n’ont plus à demander la permission de faire un prophète : ils le font tout simplement, mais quand même frauduleusement font croire qu’il s’agit du prophète de… ceux qui en fait refusent ce prophète !)
 l’inventeur, les inventeurs se sont effacés ou bien on les a aussitôt effacés
 fabrication
enfants, ados, personne ne nous a briefés sur la fabrication d’un prophète, il aurait fallu nous enseigner, en dehors des prêtres bien sûr, ou il aurait fallu organiser une confrontation avec eux :
à un moment, il fallait que des laïcs viennent nous dire : « bon, enfants, adolescents : les prêtres vous ont donc mis sous la protection d’un prophète, jésus, mais nous instituteurs, professeurs etc.  nous devons vous dire    : « un prophète est fabriqué, alors essayez par vous-même de comprendre cette fabrication,      intéressez-vous au prophète précédent, au prophète suivant, voyez comment eux aussi ont été fabriqués, et vous verrez un peu mieux comment le vôtre a été fabriqué »
nous, en Lorraine, où j’ai grandi : on avait un pape !, « le pape de clemery », une secte qui imposait un.. pape !, ainsi on peut dire ce qu’on veut, et même que « jésus est le messie », mais on ne comprenait pas cela
en réécoutant la fin de « les débuts du christianisme » de prieur et mordillat
ce que les chercheurs interrogés ne disent pas (là)
le courant dit judéo chrétien…
ainsi résumons :  
quelque chose se passe à tel moment donc, à ce qui est pour nous devenu : l’an 32/ 33 de notre ère, quelque chose de très important, de réel, de seulement conceptuel, à la fois réel et conceptuel ?
et ce qui suit :
3 courants religieux à la suite de la religion juive
1 les juifs pharisiens et autres communautés juives qui ne tiennent pas du tout compte de l’événement « jésus » (et ils ont sans doute de bonnes, multiples raisons pour cela)
2 les dits judéo-jésusistes (premiers du nom, ensuite cela sert à autre chose, ce terme) qui considèrent : jésus est juif et est  la droite suite du judaïsme, & jésus existe, il faut en tenir compte, tout en gardant toute la loi juive    (je ne donne pas les détails de ce courant qui a quand même existé jusqu’au 4ème siècle, s’est exilé notamment du côté de la jordanie), je pense qu’alors, jésus n’était pas encore dit : « le messie » (le dernier prophète) mais proposé juste comme le nouveau prophète
3 les purs jésusistes  & là cela se complique, dont paul ? (mais le personnage est à géométrie variable, tel qu’il nous est restitué),  eux  voient jésus dans la suite du judaïsme, mais un judaïsme REFORMATé, évolutionné  selon jésus, & donc les lois juives s’effacent devant les nouvelles lois chrétiennes
((là cela se complique : est-ce que ce courant jésusiste existe, en sa radicalité, quand les instances juives orthodoxes voient de + en + mal ce courant jésusiste ?)
4 et puis le courant de Marcion / pour Marcion : jésus, c’est la naissance d’une toute nouvelle religion, & selon lui les apôtres qui ont relaté le parcours de jésus n’ont rien compris, en gros : seul paul a compris (mais un paul dont la pensée n’a pas été manipulée dans le cadre de l’émergence du dit christianisme cf : 2, et du fait des textes curieux de paul, on ne comprend pas trop, là, le choix de Marcion), & son courant (qui ne tient donc pas du tout compte des écrits juifs) perdure avec beaucoup de succès (des centaines d’années) puis s’efface
ceux qui ont gagné… :
donc ceux qui ont voulu à la fois la nouveauté & la continuation, et qui ont, dans les faits, détourné la religion juive
= et donc cela les chercheurs (réunis par prieur et mordillat) n’osent pas le dire ?     quelque chose s’est passé, et c’est… la confusion, tout le contraire de l’évidence spirituelle, et cela, suspect et grave : car cette religion ensuite dite chrétienne (je suppose que l’histoire de jésus = christ est venue + tard) a prospéré sur : du FAUX, du maléfique (si tu es juif tu es particulièrement autorisé à penser cela)  
 la solution de l’énigme présentée dans un chapitre précédent de ce blog  (attention   : c’est énorme en tout cas pour un dit chrétien, les juifs ont-ils plus conscience de cela ?, en tout cas énorme si tu comprends bien ce que je veux dire là & cela est complétement inédit, je ne l’ai lu nulle part) alors je le réécris :
on a pensé longtemps : jésus, déjà, largement  = spectaculairement, historiquement un jésus, un christ, un messie juif   et puis ensuite renié par les juifs (folie des juifs)
or cela ne collait pas, sinon, on saurait exactement pourquoi : ce reniement, on saurait exactement qui était jésus, son parcours exact, car alors, en quelque sorte, il aurait été documenté de près par les scribes juifs et autres élites juives, religieuses
donc, l’idée, cela serait : non !, « les juifs » (les instances juives, les chefs religieux des différents courants juifs) n’ont jamais adhéré à jésus, n’ont jamais homologué jésus
c’est une petite communauté juive, baptiste, mais dissidente (à l’époque de jésus le judaïsme était très diversifié, c’est après la chute du Temple, que cela s’unifie, se radicalise) qui a eu en son sein ou non : ce jésus, & en tout cas a décidé  (à quel moment ?, sans doute alors déjà alors qu’il était vivant, c’est possible) de le hausser, en tant que personnage charismatique, leur leader, puis en tant que potentiel prophète (là, après sa mort) puis comme messie, puis comme fils de dieu, puis comme dieu lui-même… (cela c’est venu, cette folie, à mon avis quand le jésusisme a été considéré comme devant sortir de la tradition religieuse israélite : alors, les jésusistes ne se trouvaient plus dans la position de devoir ménager les instances judaïques pour avoir leur homologation / étant blackboulés, en sachant qu’ils n’auraient jamais l’homologation, ils pouvaient faire de jésus ce qu’il voulait et ils en ont fait le dernier prophète !!!, si cela avait été le cas auparavant : la petite secte jésusiste aurait été aussitôt dissoute, et ses membres lapidés, car en judaïsme : il n’est de messie que positionné dans le futur)
 il suffit d’un type
il suffit d’un prêcheur (paul ?, mais certains chercheurs minimisent son importance) pour que commence une telle divination, et tous les autres suivent, il a donc suffi du personnage réel jésus, puis du personnage fictif jésus fabriqué par un illuminé baptiste ou plusieurs, et cet illuminé pas forcément ayant connu jésus (paul !), mais qui a eu tout à coup la révélation = pour lui il fallait faire de ce type, de ce jésus : un prophète / sans doute une des paroles de jésus qu’on lui a rapporté a fait TILT !, et cet illuminé non identifié (à moins donc que.. paul soit un personnage fictif), celui qui sera l’inventeur s’est dit : « mais, c’est là ! : le futur, la rénovation du judaïsme »
 ainsi, jésus = déjà celui qui dynamisait la religion juive dans un cadre religieux juif polyphonique où tout allait dans tous les sens à cette époque disent les chercheurs (et contrer jésus va être en effet  notamment ce qui recentre le judaïsme, en ce qui va être ce qu’on nomme génériquement le pharisaïsme(à vérifier))
cette histoire de jésus a fait se continuer et s’expanser une petite secte, une petite hérésie juive (+ ou - bienvenue, selon  qui on était alors, selon ses attentes, selon sa réaction à l’Occupation soft puis génocidaire), mais tout cela a grandi sans l’imprimatur des « juifs » !!! / cette secte baptiste, et possiblement qui aurait commencé du vivant de jésus ou bien peu avant  a grandi en tant que dissidence soft puis en dissidence hard  =  jamais il n’y a eu adhésion officielle juive dans le sens : c’était un acte naturel de choisir le jésusisme si tu étais juif
/ par contre : oui, quand les religieux juifs dominants ont dit : « stop c’est fini, ces gens sont des imposteurs, alors, oui ! » : là une telle interdiction peut être vue comme fédérant l’ensemble des juifs (quand le jésusisme est devenu un raz de mariée) : la secte dissidente déjà, déjà « non homologuée » mais avec l’espoir d’être homologuée un jour, devient : décrétée inhomologuable, interdite pour tous les juifs qui veulent le « rester » juifs ; ainsi aux tous débuts du baptisme puis du jésusisme, quand tu étais jésusiste : tu restais juif, or une fois l’interdiction : si tu es juif et jésusiste tu es dans le MAL, il faut maintenant choisir : ou jésusiste et tu n’as plus rien à voir avec la judaïté ou tu reviens au bercail, et tu oublies jésus
car on dit dans les synagogues : « eux, ces judéo (chrétiens si déjà il était question de promouvoir jésus = le dernier prophète) ne sont plus juifs, ils sont en dehors de la communauté »
((((((((((((((mais possible : dès le départ : les adeptes, les inventeurs baptistes de jésus l’ont fait directement messie, dernier prophète, et c’est en suivant le : « + c’est gros + ça va être cru », que les prêcheurs baptistes jésusistes auraient imposé leur jésus, en tant que dernier prophète))))))
voilà donc pourquoi on se trompe :
on croit : jésus a existé comme cela est écrit (dans les écrits dits chrétiens) car tout cela se serait fait dans la religion juive dans un premier temps,  ainsi jésus (de son vivant ou bien un peu après) aurait déjà été homologué par les instances juives (en ce sens qu’un mouvement de fond, quasi officiel, une évidence, l’aurait fait, et un peu déjà de son vivant !, le prophète juif par excellence)  :
mais pas du tout !!!, la secte baptiste a écrit l’histoire de jésus dans son coin, elle a pu écrire ce qu’elle a voulu en tant que secte dissidente, elle a pu inventer ce qu’elle a voulu LOIN DE LA RELIGION JUIVE OFFICIELLE    (et ses scribes), loin : au sens : si tu étais une petite communauté juive, tu étais dans ton coin, méprisée par le Temple, même si cette secte était dans la maison d’à côté, mais les baptiste étaient allés se faire voir, loin, dans les confins, et  le jésusisme se serait formé à l’étranger, alors que l’Occupation romaine était passé à un stade : oppression
aussi, lorsqu’il y a eu « séparation », « séparation officielle » (car des juifs, d’eux-mêmes avaient rejoint d’une manière ou d’une autre le baptisme en + d’être des juifs officiels)    : il n’y a pas eu RENIEMENT de la part de la communauté juive puisqu’il n’y a jamais eu ADHESION-HOMOLOGATION de jésus en tant que prophète juif officiel, ni de son vivant (il aurait été donc exécuté comme à la fois trublion spirituel insupportable, et possible résistant vu par les romains), ni après son exécution qui a marqué les esprits, et qui a contre toute attente, au point de vue spirituel jeté les projecteurs sur lui   (car je pense : sa crucifixion aurait été une première, un événement inattendu considérable et donc avec avenir : il est devenu évident qu’un personnage immense se créait là)
et voilà donc pourquoi : on cherche en vain la vision, la version juive de cette histoire de jésus, elle ne peut se résumer qu’à : (guillemets spéciaux là encore) « nous juifs on n’a rien à dire sur la vie de jésus, cela ne nous a jamais concernés, jésus était juste un imposteur parmi d’autres qu’il n’y avait pas de raison de suivre à la trace, & pas de raisons d’historiser le parcours, en tout cas, imposteur en ce sens qu’il ne faut pas le dire : notre nouveau prophète »      (à vérifier : personnellement je manque de renseignements sur jésus vu par les scribes historiens juifs)
des dits judéo chrétiens ont pu ensuite faire de ce jésus ce qu’ils ont voulu, cela s’est fait en petit comité, comme cela se passe dans une secte et : après des dizaines d’années : on va dire : « cela a concerné grandement les pontes de la religion juive », un peu comme si jésus avait décidé de l’agenda, mais non, rien ne s’est passé déjà spectaculairement avec l’ensemble de la communauté juive
 un imposteur
en somme et bien sûr si ce qui est dit dans les évangiles serait vrai (s’agissant du procès) : les juifs n’ont pas varié, jésus a toujours été considéré comme un imposteur, quelqu’un qui n’a pas fait de miracles (mais comme tous les prophètes passés…)  etc., quelqu’un qui n’a pas donné de preuves qu’il était le nouveau prophète des juifs (quelqu’un qui n’a pas été choisi par les instances supérieures juives), & donc jamais il n’a été considéré comme un prophète juif rassembleur
  la seule légère homologation  possible : il a été mis à mort comme un prophète potentiel doit l’être, et selon les évangiles en effet les juifs auraient décidé de sa mort, mais là on repart peut être dans une histoire complétement inventée
 ados
quand nous faisions + ou moins nôtre cette croyance en jésus : très important, primordial était l’idée   : déjà jésus avait été homologué, adoré par les juifs  
on se disait : « ceux qui l’ont rejeté ensuite l’avaient auparavant DEJA HOMOloGUé »   / cela nous confortait dans l’idée : dieu était bien le messie, à tel moment (les tous débuts) tout le monde était d’accord, c’était lui
nous, enfants, ados, on ne croyait pas vraiment à ce qu’on nous enseignait, mais  on restait : dits chrétiens car, avec ce que je viens d’énoncer + haut : cette EVIDENCE jésus si, elle, avait baissé (les églises se vidaient, on le voyait bien, on constatait la surprise de nos parents par rapport à cette décrue !, pour eux donc : c’était comme si tout cela était devenu rien, leur croyance était en train de devenir celle d’une secte !!!!) était encore car elle avait été
on nous avait fait croire : il y avait eu évidence : juifs (durant un moment) et jésusistes divers avaient cru en jésus (ce qui faisait beaucoup, ce qui faisait une évidence)
et donc NON    pas d’évidence jésus / jamais jésus n’a été décrété en fait prophète, messie etc. par les juifs  dans leur ensemble ET CELA CHANGE TOUT
jésus, ne peut être PROUVé ainsi, donc…par cette belle évidence qu’on attend d’un DIEU, d’un phénomène divin
  grosse, grosse panne dans la croyance à (jésus messie) qu’on peut tous voir là
   on le voit
petit à petit les dits chrétiens inventent, inventent la place de la vierge marie par ex., qui de : (rien) : passe à : personnage central du dit christianisme,   et ça marche aussi (comme cela a marché pour le personnage de jésus au tout début), les croyants  suivent,    prennent cela pour argent comptant,  ainsi au départ de cette religion dite chrétienne cela a été pareil, certains ont imposé des éléments dans le cadre d’une croyance en difficile devenir, ils ont dit : « celui-là qui est mort crucifié était le christ, le messie attendu » !!!!!  (le croyaient-ils vraiment eux ?, ou bien ces inventeurs savaient qu’ils inventaient un nouveau prophète comme cela s’est toujours passé avec les prophètes juifs)   alors que : les instances religieuses juives elles : savaient : on peut inventer régulièrement un prophète, mais pas un messie, pas un christ, on laisse cette carte en tant que concept-espoir, car un messie ça doit faire des miracles directs et tout… or tout cela on ne peut pas le prétendre…, par contre on peut le mettre au futur, on peut dire : « le messie arrivera un jour », ça c’est possible, ah ah ah
   ce qui a été inventé dès le tout début, a marché pareil, le, les créateurs de jésus prophète ont prêché autour du personnage de jésus, des trucs surnaturels ont été prêchés, jésus et ses pouvoirs est devenu une rumeur, à un moment : les inventeurs de cela ont été effacés par cette rumeur, on n’a plus été capable de dire « ah, mais ça ça a été inventé carrément par didyme !  », ne sont restées que des histoires fabuleuses, les contes sont devenus des… récits !, l’inventé est doucement devenu : une réalité passée, et puis alors quand tout cela a été mis par écrit…, alors là, cela s’est confirmé : vrai !!!!!!
 : « jésus a guéri tel aveugle, oui, ok, en effet c’est écrit, alors oui, c’est vrai, nous croyons cela, & c’est quoi la prochaine invention, car on y croit déjà…. »
  un initié arrive
comme régulièrement, oui, envoyé par « dieu », on peut le dire, envoyé par la continuation spirituelle
au départ, évidemment, il y a quelque chose de fort, un personnage charismatique, qui donne l’impulsion spirituelle nouvelle, qui apporte la nouveauté, par rébellion aussi, car il y a le vieux monde encore en place…, & ce type est forcément un initié, un personnage hors du commun, et en effet inspiré par dieu (dieu = la continuation spirituelle)
lui a été donnée : une nouvelle vision de dieu, laquelle diffère de la vision précédente qui n’est plus crue, qui a faibli / ainsi toujours, on aura de tels initiés : mais il s’agit du même dieu, il s’agit de célébrer une puissance supérieure au-dessus de nous, & à laquelle, si l’on se parallélise à elle, on lui emprunte un peu de sa puissance, ainsi  on ne va pas complétement mourir, et si : une telle force supérieure existe, elle doit nous protéger dans le futur / et même dans le présent : aussi, sous cette impulsion, du fait de cette parallélisation (qui va dans les 2 sens, l’alliance se fait dans les 2 sens) nous devons organiser le monde positivement, avec des lois si possibles inspirées de la puissance positive de dieu, par la continuation spirituelle  
mais si tu personnalises tout cela à nouveau, avec un prophète, des miracles et tout cela : tu fais fausse route, tu oblitères dieu, tu le masques avec son prophète jésus et le pire : tu te mets en concurrence avec ceux qui croient à un autre prophète, à leur propre coloration de dieu
 la samaritaine , ce que je pense, moi    (une grande partie de ce qu’il y a dans ce blog =  mes réflexions persos)
confier le secret (qu’il est le messie) à la samaritaine, c’est bien vu par les scribes, car si cela avait été confié à un juif, les évangélistes auraient dû imaginer la… réaction d’un juif ( !!!), et pourquoi le secret aurait été gardé par ce juif, car je suppose, jésus ne le dira pas une seconde fois, à personne, cela n’avait pas à être su
oui, car : la question aurait été : du juif ou des juifs à qui il aurait dit cela : « mais qui t’a oint ?, qui t’a homologué, pour que tu sois le messie, il faudrait que tu sois oint », or…. jésus n’a pas été oint, et durant tous les écrits fait par les scribes il faut parer cette non homologation
dire : « je suis le messie » à la samaritaine, ou lui dire cela de façon masquée, ou dire : « je suis en train de te dire que suis le messie, et tu n’es pas en mesure de comprendre ce que cela signifie et combien je suis important (le 1er homme du monde en ce moment et des temps passés et des Temps futurs), et toi tu vois juste : quelqu’un qui sait combien tu as eu d’hommes dans ta vie (et un nombre trop important pour que cela ne soit pas scandaleux et que j’en ai soudainement honte) »
la jolie trouvaille de la samaritaine à laquelle, elle non juive, les scribes imaginent : c’est à elle que jésus va confier qu’il est le messie… / oui, car, il faut faire comprendre : jésus ne peut pas facilement dire qu’il est le messie à des personnes un peu intelligentes et parties prenantes dans la religion dont ce messie prétend être le chef suprême : car alors : on irait réunir les plus grandes foules possibles : on va lui demander : « fais des miracles, ressuscite tel enfant qui vient juste de mourir », or tout cela n’est pas possible, jésus ne pouvait rien faire de ce genre : alors le scribe est malin qui écrit : « il dit à la samaritaine : c’est moi le messie », c’est à une samaritaine virtuelle, c’est à personne qu’il  le dit, il ne le dit pas, il ne peut pas le dire…
ouf ! il l’a dit, car quand même un messie doit se manifester un tout petit peu, i doit dire qu’il est le messie à au moins une personne, ah ah ah, pour être crédible, devant les lecteurs qui lisent ses aventures
la samaritaine, le scribe la laisse bien conceptuelle, il la montre atone devant la Révélation…, c’est comme si jésus disait cela à un âne
 mal connu
comme cela a été souvent remarqué : on ne voit pas trop pourquoi jésus se retrouve confronté à Pilate, alors que cette affaire concernant jésus le galiléen relève de la juridiction de Hérode antipas
 bien sûr
dieu étant un principe supérieur, il ne peut que nous échapper, alors cela est frustrant, alors nous ne pouvons-nous empêcher de matérialiser cela, de le colorer, jusqu’à la folie…, jusqu’à la folie textologique et nous perdons dieu
 enfants, ados
on voyait : il y a jésus, c’est un prophète, on y croit, c’était le dernier prophète, après lui : plus de prophètes, alors on y croyait encore + qu’en les prophètes d’avant, c’était un fait… : personne après lui dans cette longue histoire judaïque
1 on voyait bien : les juifs eux ne considéraient pas jésus comme leur dernier prophète, mais il y avait un fait sûr : ils ne proposaient pas un prophète pour contrer jésus, ils attendaient cette fois le messie, mais c’est un fait : il ne venait pas, « alors ce sont eux qui avaient tort » (se disait-on)
« nous notre messie, il était bel et bien venu et en + il allait revenir, on avait un sacré coup d’avance » !!!
on ne voyait pas : les prophètes juifs étaient des inventions…, alors jésus était aussi une invention…
bien sûr le théologique : c’était avoir la possibilité de croire à tout cela, et certains ne s’en privaient pas, et qui voulaient, que je sois un de ceux-là !, les prêtres ME voulaient pour continuer leur illusion collective, leur invention (je ne voyais pas cela comme ça, enfant et ado)
mais tout a pu se faire : mon inclusion dans la secte dite chrétienne parce que : j’ai pris trop au sérieux ces prophètes, je ne comprenais pas la notion de théologique, la notion d’invention d’une religion, cette invention certes pas par maléfice, mais pour matérialiser dieu, et nous rendre au moins correct et éventuellement + bons
mais le maléfisme c’était : ne pas nous demander la permission de nous dire : « tout cela est-ce la vérité, et en + la seule vérité… ? », non on ne nous a pas demandé la permission de nous inculquer donc ce qui pouvait être une fausseté, on nous a pris pour des imbéciles qui n’avaient pas à authentifier ce message, il était à prendre et nos parents étaient là pour qu’il ne soit pas laissé
et donc, résultat, tout cela était de la pipe, et on nous a propagandisé avec du largement faux, tout faux
 jésus
on en sait très peu sur cette histoire, écrite plusieurs décennies après la mort de celui qui l’a inspirée, et écrite loin du lieu où le jésus historique, possible, aurait vécu, possible, le 1er texte fantasmatique sur jésus n’a même pas été écrit en palestine…
on en sait peu et flou sur jésus, et en +, ce peu que l’on sait c’est de la pipe
  l’arrivée dans jérusalem
sous les hosanna et « le roi des juifs » arrive, et puis plus rien, jésus se cache ! (dans ce qui est une micro cité), alors que la logique voudrait que… cette popularité cette évidence jésus devienne énorme, qu’il entraine partout la foule etc…,
je me demande donc comment les scribes s’en sortent et expliquent cette arrivée triomphante et puis… plus rien, en tout cas du : plus du tout adéquat à cette « réalité » de jésus roi
 jésus messie
« mais pas dans les Evangiles », dit un bibliste : alors comme si les scribes comprennent bien : les Evangiles c’est le présent de jésus, et c’est jésus au futur qui va pouvoir être dit : le messie
il n’y a pas de messie au présent, personne ne peut remuer les montagnes au présent
par contre, si toi en lisant les Evangiles  tu dis : « oui, évidemment, jésus est le messie », car tu lis : « il fait des miracles », cette fois, le messie devient « messie du passé », il a fait des miracles (ses miracles deviennent lointains, possiblement vrais !), les exploits du messie (au passé, devenant vrais !) prouvent qu’il est le messie, ah, ah, ah
tu comprends : un messie, c’est du virtuel, et ce virtuel, peut être crédible par le passé, ou bien par le futur…., mais pas par le … présent, le réel
 les gnostiques
dans les « faits », par la croyance de nombreuses personnes, jésus (après sa mort) devient un prophète, un messie
par le nombre : une sorte d’attestation se fait / + cette croyance en ce nouveau prophète est adoptée (c’est assez facile, il s’agit déjà simplement de croire à un nouveau prophète israélite, dans le cadre d’une religion qui a fait ses preuves, simplement à laquelle il est proposé de s’associer à sa régénération) et + l’invention du prophète devient : vraie existence du prophète
jésus est prêchés comme tel, et considéré comme tel par ceux qui du coup sont convaincus de cette annonce, de cette « bonne nouvelle », ensuite des écrits veulent attester de cela, et sont pris partout comme écrits sacrés par de + en + de gens
or tout cela : non homologué par la religion censée être continuée par ce renouveau
je le redis : en principe, lorsqu’il y a une telle non-homologation : les demandeurs déboutés se couchent et disparaissent, ou bien deviennent une minorité, anecdotique
là, c’est le contraire : les non homologués prospèrent (et pour cause : ils s’adressent aux hommes de toute la terre)
alors : 1 l’écriture est libérée, puisqu’on entre dans des Temps où point besoin d’être homologué pour exister
alors les théologiens indépendants, les scribes, se font entendre ?, se permettent tout dans une belle liberté, dans une belle cacophonie, c’est : la parole libérée, l’écriture libérée
en se servant eux aussi de jésus (puisque c’est jésus qui fait entrer dans ces Temps nouveaux, son personnage est donc : central, mémorable), mais en le corrigeant fortement  (et ça va de Marcion (encore cohérent) à … toutes sortes de fous complets)
ou bien, certains, des qualifiés de gnostiques ne se servent pas de jésus (à vérifier) et se lancent dans d’autres théories
les jésusistes en n’étant pas homologués et en prospérant terrassent aussi le judaïsme même s’ils s’en servent, ils le discréditent (en refusant l’autorité de ce judaïsme qui ne les autorise pas à être leur continuation), alors, drastiquement, s’agissant de multiples prêcheurs et scribes, il faut tout reprendre à zéro : adam et éve c’est fini / le judaïsme est fini : mais pourquoi pas continuer avec jésus, pourquoi ne pas se baser sur jésus par qui cette fin d’un monde arrive / voici ma proposition s’agissant de cette folie gnostique
 les faux
des faux écrits de paul, lorsque l’on sait cela, on a la preuve : donc dans le dit Nouveau testament, corpus sacré : il y a du faux caractérisé, certains ont utilisé le nom de paul, son aura pour l’enseignement dit chrétien, car ce qui existait déjà ne suffisait pas  / ou bien une nouvelle adaptation s’imposait et il fallait la faire passer par paul
ainsi : tout le reste n’était pas + intouchable et sacré, on était dans le cadre, là d’une construction toute humaine,
s’il s’agissait de matériel divin : comment cela aurait-il été possible  que s’y mêle du non divin ?, et pire : de la délinquance / si on avait su cela quand on était ados, ces faux : nos doutes auraient été + évidents, on aurait quitté + vite cette mascarade dite chrétienne
 justin
un des pères de l’église dite chrétienne : justin écrit un dialogue imaginaire avec le juif tryphon (imaginaire ?, ou qui a existé et a été détourné ? / Sartre, dans ses émissions de radio propagandiste prenait des comédiens, pour figurer un adversaire, et lui faire dire ce qu’on voulait), pour expliquer : genre : maintenant : « c’est nous, les jésusistes les vrais juifs ! » (les jésusistes vont jusqu’à dire : « vous n’avez pas, vous, juifs, comme père : Abraham, mais vous êtes : des fils du diable »)
Il lui faut recourir à un procédé ancien, dialectique pour : instaurer le dit christianisme,
on comprend : on continue dans la construction..., pas d’évidence divine, mais une lente, puissante construction autour du volontarisme
 résumé :
1 tu as jésus dieu : dans cette histoire, rien de sûr !, pas grand-chose d’historique ! (qui serait consigné par les romains, pourtant très soucieux de consigner le moindre fait, car tout doit remonter à rome), et ce qui est le + divin c’est : le faux : des prétendus miracles etc.
2 tu as son prêcheur : paul ! et… pas + sûr ! / avec peu d’écrits dont des écrits dits de lui, faux ou paradoxaux  et personne ne comprend : tant « sa », cette pensée est à géométrie variable, et ce qui est raconté de ses exploits de prêcheur (version : luc, et on ne sait pas qui peut bien être ce luc) est complétement fou (« les actes des apôtres »)
ça commence mal !!!!!
  jésus n’a pas écrit   (je le redis)
j’ai mis du temps à le conceptualiser :
le divin intervient : il doit être un blitzkrieg spirituel   /  et il peut se faire : livre, en l’occurrence par celui qui incarne cette blitzkrieg spirituelle : jésus / jésus écrit : LE LIVRE DES NOUVEAUX COMMANDEMENTS et tout le monde s’accorde à dire : c’est DIVIN
mais, non, pas de livre ! de jésus, rien…., que des paroles   (alors que le papier existe en chine depuis 400 ans) nous dit-on, paroles même pas aussitôt prises en note !!!!!!
eh, oui, car jésus n’est pas divin et n’est pas capable de produire du divin
alors : comme tout cela n’est pas divin ! : on va dire : « si ! c’est divin malheureusement, si ce qui a été finalement transmis de ce divin n’est en effet par divin : c’est parce que cela a été transmis + tard…, par de pauvres scribes humains qui ont fait ce qu’ils ont pu…, alors un peu de bienveillance pour toute cette histoire, mais on le jure : au départ c’était divin »
smith : le jésus mormon : il comprend, lui, qu’il faut quelque chose de divin au départ : un texte, puisque on ne voit pas trop ce que cela pourrait être d’autre : alors il invente un texte (très long !) sur une plaque de cuivre :
le problème, quand on lit aujourd’hui ce texte  qui nous a été transmis : aÏe, aïe, aîe, ça craint, c’est incompréhensible, c’est pas évident sauf par volontarisme, ou par connerie, c’est une sorte de passage de la Bible hébraïque
« ah mais… si       le texte sur le cuivre : il était divin ! si, si ! si !, mais il a fallu le traduire…, et par des pauvre humains… ; alors on vous demande aussi, là toute votre bienveillance »
 voilà comment cela se passe pour dire : il y a eu une évidence divine et… elle nous parvient ensuite : ah ah ah pas évidente…
   le Temple
il est détruit puis reconstruit par Hérode le grand
puis à nouveau détruit
à partir de là : la croyance judaïque en prend un coup, la toute « 1ère fois » ça pouvait être par erreur… cette destruction, dieu dormait…, mais à chaque nouvelle destruction…, dieu n’aime pas trop son peuple, ah ah ah !
 jésus dieu arrive
c’est le truc le + important après la création de l’homme (création imparfaite)
jésus dieu arrive   : pour dire :    « attention : le compte à rebours commence :    je suis venu vous dire que la fin est imminente : alors faites un effort : vous allez tous être rendus bons au jugement dernier, après le pardon, mais : commencez le boulot divin : commencez à vous purifier par vous-mêmes, et : vos places dans le royaume de dieu seront encore + intéressantes »
ce jésus dieu bien sûr arrivant dans la continuité judaïque (laquelle d’autre cela pourrait être???)
or :  incroyable ::  ce jésus dieu s’entend dire : « t’es pas envoyé par dieu, tu es un imposteur, on te met à mort »
ainsi : ah ah ah : le jésus dieu envoyé par le dieu des juifs aurait été considéré comme n’étant pas le bon messie !, mais on s’arrangera pour dire : « il y a eu juste un malentendu, certains juifs obtus étaient trop endormis pour reconnaitre le messie »
puis cela donnera une fois que ce « messie » continuera à n’être pas reconnu par tout le peuple juif (à nouveau de par le pouvoir, l’intervention des instances représentatives juives) : « le peuple juif est devenu le peuple maléfique, et jésus est venu aussi pour nous détourner de ce peuple, il n’est pas venu pour lui, le messie dieu existe, vient pour un  nouveau peuple, mais on confisque quand mêmes les écrits juifs, qui servaient seulement à annoncer la venue du messie, tout le reste n’étant pas   important.., du bullshit »
dieu se retrouve donc avec une incroyable confusion sur Terre !!!!!!!!, alors que devait commencer là les temps de purification, alors tout est remis en cause du côté de dieu : devant ce bordel (même en palestine, laquelle aurait quand même pu être épargnée par le bordel, le peuple élu en principe ne pouvait pas déconner comme cela, ne pouvait pas ne pas reconnaitre son messie)
et finalement d’un point de vue jésusiste, dit chrétien, du point de vue des prêcheurs chrétiens : il peuvent prêcher les Temps de confusion arrivés, ils peuvent montrer cela comme la pré- fin du monde, leur prédiction de la fin du monde : imminente est en quelque sorte confirmée par l’attitude des judaïsme rabbinique anti-baptistes puis anti-jésusistes
 et les chrétiens eux se disent de leur côté (et alors en fait que la fin du monde ne vient pas et qu’ils se sont peut être trompés, et que les juifs ont raison : les jésusistes n’ont pas de messie) : on va tuer tous les juifs, au moins ainsi, la confusion va forcément s’éteindre quand il n’y en aura plus un seul… (car il faut bien oublier cette fin du monde, elle ne viendra pas, essayons de revenir au moins à une vie sans confusion)
 le messie crucifié
dans « corpus christi », un chercheur dit chrétien  : « les juifs ne voulaient pas de jésus en messie, car un messie crucifié c’est pas possible »
(si, tout est possible en théologie et les jésusistes l’ont bien montré, leur jésus messie était bien conceptualisé, même génialement conceptualisé et c’est pourquoi cela a marché)
mais c’est pas trop ça : les juifs ne veulent pas de messie, tout simplement car c’est le concept théologique ultime ! : le messie, ça existe dans le futur, c’est toujours : prochainement…, crucifié ou pas, avec 5 doigts ou 6 jambes, mais : dans le futur
et en +, et surtout : ils ne voulaient pas de l’invention d’un messie émanant d’une secte dissidente !, si actuellement les Temps étaient devenus terribles, les dits chrétiens d’aujourd’hui iraient-ils homologuer un messie mormon ????, bien sûr que non !!!
on est dans la théologie judaïque et l’être le + emblématique de la théologie : le plus virtuel, le + symbolique : c’est le messie
si tu dis : un tel est le messie : tu vas trop vite, tu casses le métier etc.
 paul….
soi-disant le type a rencontré jésus, ressuscité, du moins qui a eu droit à une interpellation par dieu sur le chemin de damas et qui est devenu + important qu’un apôtre qui a suivi jésus…
or, déjà très peu d’écrits de lui, et sous une forme pas très mythique…., des lettres, des épitres ?, il faudrait regarder en détail
en tout cas : les biblistes en sont sûr : ce qui est (dans le dit Nouveau testament) de lui, en partie : des faux, des compositions littéraires…
soit, dans le Nouveau testament : le minimum du minimum, avec en + du très très suspect….
et c’est ce type-là qui fonde le dit christianisme, qui en est le 1er prêcheur…, en tout cas officiellement, éperons qu’il était meilleur à l’oral…
 un bibliste
dit : « jésus non qualifié de messie dans les évangiles »…
première nouvelle pour des gens comme nous qui ne sommes pas spécialistes, mais quand même cela apparait incroyable
et oui, car : s’il était dit messie, il aurait fallu qu’il se comporte en messie, c’est-à-dire : tout le temps, qu’il soit pris pour le messie par tout le monde y compris par les romains etc.
alors bien sûr il y a les guérisons, les miracles (que les scribes à tel ou tel moment se permettent d’inventer) ah, mais c’est pas assez : d’un messie, on attend tellement +, et ce + : les scribes ne pouvaient pas l’inventer
alors reste la possibilité : c’est le lecteur des Evangiles qui va le dire lui-même : putain : ce mec c’était forcément le messie, comme ça ça va….
 Il y a cette idée
1 paul « récupère » jésus ? : il découvre : « mais putain ! c’est lui qu’il faut ériger en nouveau prophète, et cela va être un prophète ultra authentique, mais oui, un prophète au profil bas, c’est bien cela qui est dans l’air du Temps », les baptistes vont vers cela, et on voit : tout ce qui est : décorum etc. juif, le spirituel par le triomphe : n’a plus cours
2ah, oui, mais paul est-il légitime pour : être le numéro 2 ? / il ne faudrait quand même pas oublier ceux qui étaient les adeptes de jésus de son vivant, ou bien qui l’étaient : + tôt en tout cas que paul
3 alors : cela expliquerait pourquoi : paul en faisant son o p a : dit : « ah, mais, ceux qui étaient autour de jésus étaient tous des imbéciles, il ne faut pas compter sur eux pour bien comprendre ce qu’enseignait jésus »
4 « moi paul, j’ai eu une vraie révélation et j’ai tout compris », (et paul se met à inventer le dit christianisme, très légitimement ! ah ah ah , car en effet il a une « vision »)
(celle-ci  lui donne licence de faire de jésus ce qu’il veut / alors qu’en quelque sorte, les apôtres, leur témoignage était soit : de la réalité : pauvre / soit de l’invention : mais invention-invention car eux devaient se cantonner à la réalité) (lui paul : se pense : « moi je peux inventer car je suis dans le théologique complet », visions, etc.)
paul a une vision toute humaine, mais géniale de ce que pourrait être la nouvelle étape judaïque attendue (les miracles cela ne serait pas de son fait ?), espérée, bien sûr qui va pas mal bouleverser la tradition, mais les traditionnels bien vite (se dit-il) se rendront compte de la vérité de cette nouvelle proposition
 paul
se permet de dresser la liste de ceux qui ont vu le dit christ ressuscité (en + des apôtres)
et il se met dedans
c’est + crédible comme cela : mieux vaut ne pas trop prétendre à maxima (être le seul) et risquer de n’être pas cru
 un chercheur dit :   « parmi les premiers adeptes de j c
certains ne croient pas à la Résurrection », c’est ce que nous disent les écrits genre évangiles je suppose
les scribes ont prévu cela pour te faire comprendre :   1 : « on te dit la vérité : mais on est dans le théologique : tu peux aussi ne pas croire, on n’est pas là dans la réalité / ex : je te demande de croire aux miracles, ils n’ont pas existé mais ces miracles aident à te rendre présent jésus, et c’est cela l’important 
2mais aussi : toi aussi, qui lit cela, la Résurrection, tu ne crois pas, attends… ton doute est possible, il ne nous gêne pas, juste, il te faudra un peu + de temps pour croire, mais tu croiras »
les scribes t’amènent à croire : ce qu’on te raconte est si sûr !!!!!   qu’on n’a pas peur que tu ne croies pas : ainsi tu es amené à penser : « oui, vraiment cela doit être vrai, puisque notre doute ne leur fait pas peur, ne les déstabilise pas, est prévu »
« on en est sûr, on est sûrs nous de notre croyance nous  les scribes, et on prend le risque d’écrire : certains ne croyaient pas, tu vois, on est dans la vérité…, sinon on cacherait ces doutes, cela serait si facile »     / voici le genre de choses que le logiciel chrétien prévoit
3les scribes, anticipent : « forcément des gens ne vont pas croire, et cela sera + facile pour nous de l’identifier et de le contrer avec notre foi immense à nous », et le doute est toujours montré par eux comme une preuve de non avancement, de médiocrité (mieux vaut croire à n’importe quoi que de ne pas croire, tel est le fond de la pensée des scribes inventeurs de religions)
 paul de tarse
paul prêche : « voilà : l’arrivée de jésus est mentionnée dans nos textes sacrés israélites
ici, là »
il tente de convaincre de cela
il faut montrer obligatoirement (alors comme cela n’est pas le cas cela sera fait par manigance, mais : le but du jeu : croire) que l’arrivée de jésus a été prévue, annoncée, jésus est ainsi légitime, le prophète est aussi homologué comme cela (le messie, il était forcément annoncé, alors il faut trouver cela dans les textes précédents et c’est ce qui sera fait / il faudrait mieux documenter cela, précisément : comment les dits chrétiens ont réussi à avancer, là)
il s’agit de montrer aux instances supérieures religieuses (lui, paul, il est rien) surtout que ce jésus, ce nouveau prophète, que : cette idée est vraisemblable, que les scribes qui vont écrire la vie de jésus vont correctement l’insérer dans la continuation judaïque   (comme le scribes officiels du judaïsme l’ont toujours fait pour les prophète précédents, les prophètes inventés, homologués )
paul montre que jésus va pouvoir exister théologiquement, textologiquement avec tout ce qui l’a précédé et qui était aussi théologique et textologique
les chefs religieux israélites savent : tout dans les textes précédents a été inventé : alors : que quelqu’un propose une suite de l’invention : voilà qui est toujours possible, mais il faut que cela soit homologué…, là est le = gros problème
le prophète nouveau potentiel c’est du sur mesure : on l’écrit de façon à ce qu’il colle le + exactement possible à la continuation judaïque, alors ceux (des dissidents juifs) qui inventent  le prophète jésus doivent passer par là, mais ils partent perdants, ils sont une communauté dissidente 
bien sûr : les chefs religieux pensent cela, mais ne le disent pas, c’est tabou le fait que toute leur religion est basée sur de l’invention, tout cela doit être oublié, or…. bien sûr quand il y a un besoin de nouveau prophète, et une proposition de nouveau prophète, c’est délicat, on se remet à dire : « tout cela se passe dans le cadre d’invention »
 énorme
j’essaie de comprendre progressivement : en écoutant un bibliste JUIF
interrogé par prieur et mordillat : ses paroles sur jésus sont si douces…, je me dis : c’est pas possible…, et j’ai remarqué, il semble dire : « en effet jésus a existé » etc…, il semble en tout cas dans tel extrait : prendre pour argent comptant les textes qui parlent de lui
oui : il faut bien comprendre :      les jésuséens : en quelque sorte CONFIRMENT les textes israélites, ils reconnaissent comme ayant existé !!!!   moise et autres prophètes…
les jésuséens sont bien sûr des CONFIRMATEURS DEPUIS 2000 ANS DU DIEU JUIF (tout en étant une hérésie juive)
et pourtant : pour les juifs : jésus est un imposteur (= la proposition : jésus prophète est une imposture, n’oublie jamais de faire cette traduction), celui qui n’a rien de divin donc, et celui qui est clairement le diable puisqu’il est celui pour lequel des millions de juifs ont été sacrifiés
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
et pourtant, oui, c’est énorme, l’important pour les juifs : l’existence vraie de leur dieu / ça passe avant tout, ils sont des grands croyants en la fable que leurs prédécesseurs ont progressivement inventée et régulièrement continuée, et finalement cette invention est  donc passée aussi paradoxalement dramatiquement par jésus !!!!!
cette confirmation : jésus finalement n’est pas à considérer (2000 ans après) comme un imposteur complet, il devient un demi-imposteur, et quelque part, cet imposteur (ce qu’on en a fait bien sûr) se retrouve à être  (est détourné par nous juifs) celui envoyé pour quand même confirmer le dieu de la Bible hébraïque, dans le monde entier et durant 2000 ans !!!!!!! (il faut bien qu’il serve à quelque chose positivement pour la communauté juive !)
le pire = moi = celui qui dit : « jésus, c’est une fable jésuséenne qui vient confirmer la fable judaïque… »
  un prophète = celui qui dit la vérité
et non pas celui qui écrit la vérité
même il ne dicte pas la vérité à des copistes
car…. un prophète = un personnage conceptuel, qu’on fabrique, qu’on affine, et c’est le travail des prêcheurs, des scribes, des théologiens, de ses adeptes, des adeptes de ce personnage conceptuel, inventé, + ou - de toute pièce
jésusDIeu pouvait-il écrire ?, non, ah ah ah, il ne pouvait s’abaisser à écrire
par exemple : jean de patmos : peut écrire, lui, le message divin, la vision de jésus, envoyée à lui par dieu ! car il dit : « un ange vient me souffler à l’oreille ce qu’i y a à écrire»
même l’ange ne peut écrire, car aussi il est conceptuel, il est inventé….
avoir des textes, des écrits du prophète, des écrits divins : on dit : « c’est pas possible » / oui, car, ah, ah, ah, il faudrait qu’ils aient vraiment l’air divin…, et c’est pas possible
le fondateur du mormonisme : a quand même inventé des écrits divins…, une invention mais il va falloir jouer serré pour qu’on ne puisse pas mettre en doute cette divinité !  : alors ils vont dire : « oui ce texte au départ, si vous l’aviez vu ! comme le prophète, oui, il était tout ce qu’il y a de + divin, mais ce texte n’est pas lisible par tous, il doit être… traduit… », et là : nous, on lit le texte et on se dit : « mais c’est pas du tout divin…. », réponse : « ah mais, que voulez-vous… c’est une traduction toute humaine, l’écrit de base était vraiment divin ! »
 jésus
jésus écrit juste dans le sable avec un bâton : et puis vite cela est effacé, comme cela on n’a pas le temps de découvrir : c’était pas du tout divin…
mais quand même : les scribes nous ont présenté un jésus qui n’a pas peur d’écrire, qui n’a pas peur d’écrire quelque chose qui pourrait être considéré comme pas divin, mais c’est sur du sable, les scribes sont courageux mais pas téméraires
 jésus 
impossible de faire croire : il a été homologué prophète par les siens, un tel mensonge n’est pas possible, car chez les juifs, tout se passe par écrit, si tu es considéré comme homologué, alors le monde entier le sait, et cela est inscrit dans les livres
or restait une possibilité d’homologation : dire : « les juifs ont tué jésus, or les juifs tuent habituellement leur prophète, or les juifs ont tué jésus, alors jésus était bien leur prophète »
jésus mort devient jésus prophète
alors les juifs ont-ils tué jésus ? / même pas sûr / les romains seuls, principalement auraient tué jésus, mais qu’importe, jésus était de toutes façons un prêcheur baptiste, il n’était pas divin, il a été dit « divin » ensuite, c’est comme si on te disait : tu as tué une mouche ! or, cette mouche elle était en fait le messie, tu es le plus grand criminel de tous les Temps… / mais en faisant tuer jésus par les siens : les scribes jésusistes faisaient d’une pierre 2 coups : on homologuait donc jésus (à minima, mais c’était pas si mal, ces histoires de prophètes tués par les leurs…) et on continuait à collaborer avec les Romains, puisque : on montrait pilate (d’ailleurs qui homologuait aussi jésus en roi des juifs donc en prophète), non à considérer comme celui qui avait voulu tuer jésus, au contraire…, il avait voulu le sauver, ainsi, pilate cautionnait le positivisme de jésus, et des jésuséens
 en réécoutant un chercheur
oui, il semble bien : en laissant « moi jean », dans l’Apocalypse, pour dire : « moi jean… qui écrit cela » / on a donc laissé ce jean (alors que déjà on avait des autres Jeans et qu’il aurait mieux fallu dire, pour ce texte tardif, qui était ce nouveau jean !)
pour faire croire que le texte était de… jean l’apôtre (ou du jean qu’on nomme « jean celui que jésus aimait »)
donc l’Apocalypse : déjà soi-disant : le message de dévoilement qu’un ange communique à ce jean, donc déjà une histoire à dormir de debout destinée aux jésusistes d’asie mineure
et en + on fait croire ensuite (et c’est ce qui permet l’introduction de ce texte plutôt juif dans le Nouveau testament) : c’est un proche de jésus qui l’a écrit
ça fait beaucoup de mensonges !!!!!!
oui, il fallait ce stratagème car : on aurait pu dire la vérité : c’est jean de patmos qui a écrit cela (mais a-t-il tout écrit ?, cela a-t-il été réécrit ?, etc. et pour ce texte, ces questions-là sont particulièrement légitimes)
mais cela voulait dire : encore quelqu’un touché par l’esprit saint, et pas qu’un peu : celui qui raconte le futur dit chrétien…, et pour le corpus sacré : le Nouveau testament
alors en principe un tel don de prophétie : c’est digne de quelqu’un qui a côtoyé jésus…
alors on en arrive à : on a fait croire : ce jean était quelqu’un qui avait côtoyé jésus, ainsi on n’avait pas à rajouter un nouveau rédacteur de textes sacrés (rédacteur qui apparait on ne sait quand après l’existence de jésus et rédacteur qui n’a pas le profil pour être celui digne d’être connu pour écrire un tel texte : c’est comme dans l’histoire de milli et vanilli : un tube chanté par un black doué mais pas terrible physiquement, et on engage comme prétendus chanteurs : deux danseurs sexy)
 et je l’ai écrit ailleurs : ça marchait : grands enfants, quand on a entendu parler de cette Apocalypse : c’était évident pour nous que c’était un écrit divin de l’apôtre, le logiciel de propagande avait parfaitement fonctionné, jamais on aurait été demander au prêtre : « mais c’est bien sûr ? que c’est jean l’apôtre traine savate qui a écrit cela ? »
non : on croyait vraiment : ce jean qui écrivait de tout, Evangile et même Apocalypse (dont on voyait pourtant qu’il s’agissait d’un tout autre style, un truc de fou) un pêcheur de poisson, s’imaginait-on, et qui grâce à dieu était devenu un incroyable scribe qui avait vite fait écrit ce texte incroyable, qu’on pensait qu’il fallait considérer comme encore + sacré que les Evangiles…
ce qu’on était cons et sous influence !
 gnosticisme
tous ces prophètes qui apparaissent à la suite de jésus, ainsi : mani : il édicte ses 10 commandements, il a se culot
c’est comme si on se disait alors : donc jésus arrive, il bouscule tout, il propose du tout nouveau, et ça marche  ( en + sans être homologué par les instances juives), donc ce qui était avant n’était pas sacré
alors rien n’empêche que les uns et les autres fassent, sans souci d’avoir l’homologation, jouent au prophète, au scribe, au prêcheur
plus rien ne bloquait finalement le  spirituel, et pourquoi aussi s’en tenir à jésus tel que inventé par les jésusistes historiques  « moi, je peux aussi, aussi bien que jésus et même mieux être le prophète attendu »
c’est un peu : comme la vague punk, il y a une libération, on dit : « c’est ce tout nouveau qui est pertinent, ce qui était avant n’était pas pertinent, le fait de ne pas savoir jouer vraiment d’un instrument n’est plus un problème, être limité à faire de la mauvaise musique n’est plus une limitation »
 les scribes
devaient trouver, en pleine Occupation romaine durable : un prophète d’un nouveau type, et quand même un homme de triomphe
et ils ont trouvé : cela serait à la fois, le type au profil bas : crucifié, auquel tous les juifs occupés s’identifieraient
et en même Temps : tout minus qu’il était, donc comme tous les juifs, il ressuscitait !!!!!, il avait ressuscité  et infériorisait comme jamais les ennemis de sion
et ça a marché, l’histoire inventée de jésus était belle & forte, ensuite tant qu’à faire on en a fait le messie, dieu lui-même…, on avait commencé à inventer, cela avait passé, alors on pouvait encore + inventer, et cela a été jusqu’à dire : jésus était dieu
 un bibliste juif dit (dans une des séries de prieur et mordillat)
!!!! « ….jésus n’était pas prévenu de sa Résurrection future…  »
je sors cela de son contexte, mais donc :   ce juif pense !!!!!! : jésus a résurectionné ??????
moi je croyais que pour les juifs : jésus était un imposteur !!!!, un magicien, alors comment ce chercheur  incorpore dans ses croyances à lui : une telle galéjade ??????
ou bien : c’est comme si il disait : « nos prophètes ont existé, alors jésus a existé, aussi, tel qu’il a été écrit par les scribes jésusistes »
c’est la grande question :
il se pourrait bien que la religion jésusistes a connu une incroyable expansion car elle dit
: « jésus a ressuscité »
1         : déjà c’est le prophète nouveau qu’il faut suivre
2         en + il me dit : « toi aussi, esclave ou patricien, putain !, il dit que je vais ressusciter aussi (certes : c’est pour quand il y aura la fin du monde, c’est moins bien que pour jésus qui a pu ressusciter vite sans attendre » !!!!
3         mais bon, donc, être quelqu’un « qui a réussi à ne pas mourir »,  qui a ressuscité alors, ça change tout, c’est une nouvelle religion, c’est une nouvelle façon de vivre etc.
4         ainsi serait née cette religion surtout sur cette base
 alors cette hypothèse en plusieurs formes
au début de l’Occupation romaine : on sait aujourd’hui : les rabbins promettaient aux rebelles la résurrection si ils tombaient au combat contre les Occupants  
la résurrection est donc dans l’air du temps, c’est un concept ancien, mais qui connait une nouvelle lecture
5         possible : le jésus historique, lui, propose cela aussi, mais en version pacifiste, il aurait trouvé cette idée comme la + porteuse en son Temps, et déjà comme cela il aurait fait des disciples (mais je pense : jésus n’a pas enseigné grand-chose, tout a été inventé ensuite)
6         une fois mort : ces adeptes, la communauté qui s’est formée autour de jésus, ou bien celle qui avait accueilli jésus de son vivant, la communauté baptiste : ses scribes, ses prêcheurs qui veulent faire de jésus un prétendant prophète (toute communauté a son prophète potentiel, à confirmer éventuellement après sa mort) mettent le paquet (jésus est alors mort et enterré) sur ce concept : ils disent et écrivent : « oui, jésus est ressuscité et vous aussi vous allez ressusciter » / les théologiens jésusistes comprennent : ils ont la grande idée force pour fédérer autour d’un tel jésus
7         bien sûr, les instances juives + officielles qui voient ça, ceux notamment qui ont inventé le concept de résurrection pour les résistants : crient à l’imposture : « jésus n’était pas un grand rebelle anti-romains, n’a pas ressuscité, et on ne ressuscite pas comme cela…/ fils de putes !, vous cassez le métier, nous, on a dit : ce sont les rebelles armés tombés au combat contre l’Occupant qui ont droit à cela, c’est quelque chose d’exceptionnel ce concept »
8         les autres juifs, du côté des collabos : eux n’ont jamais parlé de fabrication de prophète en ce Temps, c’est un temps de stand-by (du côté pharisien, essénien etc.)
9         bien sûr ce sont : les baptistes,  les jésusistes, ces populistes spirituels qui vont gagner, tout le monde veut ressusciter, tant qu’à faire de prendre une religion (inventée) autant prendre celle qui me promet de revivre / si je prends un billet de loterie, je sais : je ne vais rien gagner, même pas 1 euro, mais quand même je vais jouer le jour où on peut gagner 10 millions d’euros, cela me tente moins de jouer quand il y a seulement  2 millions… en jeu
  cette histoire a si bien marché qu’on se retrouve avec ce… chercheur juif qui évoque jésus ressuscité…. sans rire   (mais je donne une autre explication ailleurs)
  boycott
dans l’évangile de marc, parait-il : on ne parle pas de la virginité de marie…, sans doute, cela n’avait pas intéressé le scribe
  quand on était enfants et adolescents, on ne nous donnait pas ces détails, pourtant… il s’agissait de l’événement le + important de l’histoire de l’humanité après Adam et Eve.. ah ah ah
jésus apparait ressuscité : lors d’une première vague autour de pierre, l’apôtre
 puis seconde vague : les 500 qui auraient vu cela, dont semble-t-il, c’est à vérifier, on n’a pas un nom, pas un seul témoignage !!!!!
et puis 3ème vague, autour de jacques son frère, pas + de détails là  encore : pourtant : cela est très intéressant : quelqu’un qui voit son frère ressuscité !!!!!
 tel chercheur
montre : les apôtres comprenant à la Résurrection : jésus n’est pas mort et il va revenir pour tous prochainement, chaque chose en son Temps, mais c’est pour dans quelques années…
mais à chaque réflexion de ce type : le chercheur a du mal à dire : « oui, mais attention, c’est ce qui est écrit, c’est possible que c’est ce qui est imaginé »
à tel moment : dans la construction du personnage de type « messie », il faut de l’extraordinaire alors on va imaginer : jésus n’est pas mort et le corollaire : il va revenir
ça arrange bien car : cela pour te faire comprendre pourquoi il (un personnage de l’envergure d’un messie, d’un fils de dieu !) serait venu si fugitivement, sans laisser aucune trace /  
on t’amène à comprendre : « oui, sa venue c’était le + grand moment sur terre mais pourquoi jésus aurait tout bouleversé au vu et au sus de tous ? : non c’était juste un petit passage en douce et pour quelques-uns mais : tout va se passer à sa revenue : là vous verrez… » /
pendant 2000 ans : qui a osé écrire cette manipulation comme ici ?, et pourtant c’est comme ça que des millions de gens se sont laissés berner
   volume   10 +         relu en décembre 2019
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