Tumgik
#Rois de cendre
jesuisnullepart · 1 month
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A quoi servent les héros que j’ai aimé si aucun d’eux ne m’a donné l’univers ?
À quoi bon ces héros que j’ai voulu aimer,
Si leurs cœurs n’étaient que miroirs froids et vides,
Ils m’ont laissé avec des rêves en cendres,
Des promesses cassées, du silence en guise de réconfort.
Ils se drapaient de mots doux, d’images d’or,
Mais sous la surface, c’était le néant,
Des faux rois, des imposteurs du sentiment,
Qui m’ont abandonnée aux rivages, trophée sacrificiel.
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urwendii · 5 months
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This was supposed to be posted for @silmarillionepistolary but life got in the way.
Note: French, some sort of prose.
Pairing: Maedhros x Fingon
Son père ayant péri, Maitimo écrit une lettre finale à Findekáno avant de partir rencontrer Melkor.
Pardonne moi mon amour,
Pardonne moi Finno de devoir t'écrire lorsque le monde n’est qu’obscurité, lorsque nos épées suintant encore du sang de nos péchés ne sont à peine rangées. 
Pardonne moi Finno pour n'avoir pas su être grand et dans notre folie envolée dans ce vent si rugissant, ne me viens maintenant que le goût amer des regrets. 
Pardonne moi Finno pour ne pas lutter, ne pas pleurer, ne pas crier. L'éloquence des mots qui furent un jour mon arme s'est évaporée comme une simple flamme sur laquelle on souffle avant de se coucher. 
Pardonne moi mon amour car si il y a dorénavant des cendres sous mes ongles, dans mes yeux; celles dans mon cœur tapissent déjà une triste destinée presque achevée. 
Pardonne moi mon amour, car je dois m'en aller au plus loin dans cette obscurité, et je la redoute, je la maudit, elle qui m'aura bientôt trahie. Il est l’heure à présent où lorsque je me lèverai, roi de quelques heures, couronné de larmes et de colère, je marcherai alors, la tête levée. 
Pardonne moi Finno même si dans mon cœur résonne encore la poésie de ton corps et moi ivre de tes baisers, lorsque nous étions inconscients et si beaux, mon amour, dans notre gaieté. 
Pardonne moi mon amour, car à quoi peut bien rimer mon existence si séparé de toi, je ne peux que prier que tu aies renoncé. 
Russo.
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fleurdusoir · 1 year
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Tout ce qui est or ne brille pas, Ne sont pas perdus tous ceux qui vagabondent ; Ce qui est vieux mais fort ne se flétrit pas, Le gel n’atteint pas les racines profondes. Des cendres, un feu sera attisé, Une lueur des ombres surgira ; Reforgée sera l’épée qui fut brisée : Le sans-couronne redeviendra roi.
John Ronald Reuel Tolkien, La Fraternité de l’Anneau
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mauvais--sang · 1 year
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« Le soleil se couchait dans une gloire mauvaise, triste face de roi nous contemplant sous un masque d’or qui se rembrunissait de plus en plus devant la folie des hommes. […] Du soir d’or et de fumée, tombait sur nous un voile de cendres. »
— Mon étrange plaisir, Rachilde, 1934
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ltalaynareor · 6 months
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Comment une OC vampire traumatisée par les Roumains réagirait à être la compagne des rois Volturi ?
Sous forme de petite histoire.
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La jeune vampire se tenait au milieu des cendres, sous la table dans la grande salle. Plus personne, plus de clan, seulement des cendres, du feu et une odeur horrible. Son immobilité, due à la douleur et surtout à la peur, l'empêchait de réfléchir et de fuir.
Heureusement, sa cachette était sûre, aucun des monstres italiens n'avait pu la trouver et elle comptait sur son don pour rester cachée le plus longtemps possible.
C'était sans compter une main qui l'a saisie et la traîne devant trois trônes. Elle ne pouvait hurler ou fuir, les vampires étaient trop nombreux et elle se sentait tellement seule et horrifiée.
Puis son visage fut saisi sûrement, ses bras étaient étirés et des dizaines de cassures apparurent sur sa peau albâtre. C'était sa fin. Dans un dernier moment de lucidité et de vie, elle releva son visage vers ses juges et croisa le regard du plus bel homme du monde.
Soudain il hurla et les gardes la laissèrent choir sur le sol. Elle fut serrée dans des bras et des murmures lui apportèrent du réconfort même si tout autour d'elle lui paraissait cotonneux.
La seule chose qu'elle saisit fut un doux murmure " Ma compagne".
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Rappel de l’histoire – vraie – des Xhosas lors de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle (d’après FG)
Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous.
Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites.
Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité.
Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie.
Une fille de quinze ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles.
Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée.
Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état.
D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce.
Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuader le roi Sarhili.
Dans un acte symbolique, le roi tua son bœuf favori.
L’hystérie s’étendit.
Certains prétendaient voir les ombres des guerriers morts surgir de la mer.
Les gens s’aveuglaient et se trouvaient des preuves à l’appui de ce qu’ils voulaient désespérément voir devenir la réalité.
Le bétail fut massacré à un rythme tel que même les vautours n’avaient plus le temps de le dévorer.
La résurrection des morts était prévue par la prophétie lors de la pleine lune de juin 1856.
Évidemment rien ne se produisit.
Qu’à cela ne tienne, elle fut de nouveau annoncée par le grand sorcier Mhlakaza comme devant se réaliser 2 mois plus tard.
Toujours rien n’advint.
On imputa donc l’échec de la prophétie à une extermination incomplète du bétail.
On avait gardé quelques vaches laitières.
Une petite minorité d’incroyants avait refusé de tuer son bétail.
Plusieurs fois reportée tout au long d’une année entière, la résurrection resta un fol espoir aux antipodes de la dure réalité.
L’échec répété ne pouvait que signifier le manque de foi des Xhosas qui n’avaient pas tué tout le bétail.
Non seulement on l’abattit jusqu’au dernier mais avec lui les poules et les chèvres pour faire bonne mesure.
Toute nourriture avait disparu au printemps 1857.
La disette s’installa.
Rendus fous par la faim, certains des Xhosas devinrent cannibales.
La population mourut de la famine ou, trop affaiblie, de la maladie.
Les croyants mouraient en accusant les incroyants d’être la cause de l’échec de la prophétie.
Ils accusaient aussi les rares missionnaires installés depuis peu.
Eux aussi avaient gardé leur bétail.
Un quart seulement de la population avait survécu un an plus tard.
Ce que cinquante ans de conquêtes armées et de guerres coloniales britanniques n’avaient pu réussir, seulement deux années d’une croyance religieuse mystique et fanatique l’offrirent aux colonisateurs sur un plateau d’argent.
Les Britanniques s’installèrent et trouvèrent chez les survivants Xhosas une main-d’œuvre docile et efficace...
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simlandia-world · 1 year
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Couronnement et premier discours du roi Martin Willow Ier de Brièra
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Cette journée du 22 Avril marquera probablement l'histoire. En effet, c'est ce samedi que le Roi Martin Willow Ier De Brièra à été solennellement couronné par le Conseiller d'État Lord George Vasseur. La cérémonie du couronnement fut modeste, étant donné les circonstances mais cela n'empêchera pas le premier discours de notre nouveau monarque de marquer les esprits.
" Aujourd'hui, je tiens à présenter mes condoléances à tous le personnel médical, à nos juristes, à nos commerçants, à nos producteurs, à tous ceux qui forment Brièra ! "
Une première phrase forte qui émeut l'assemblée. Le Royaume est en deuil, et le Roi Martin semble bien le comprendre. Il explique ensuite que, bien que la mort de son père, le regretté Roi Henri VI, ait été une tragédie, chaque citoyen pleure aujourd'hui le décès d'un être cher de sa propre famille.
"Pleurons, tous ensemble comme des frères et des sœurs, remplissons les lacs de Brièra de nos larmes, mais ces larmes ne doivent pas être que des larmes de tristesse ! Versons aussi des larmes de fierté !"
Le Roi Martin s'engage ainsi à faire renaître Brièra de ses cendres et lui rendre sa prospérité d'antan. Il se dit fier de sa nation. Il faut rappeler que le Royaume de Brièra est le premier pays du continent à se relever après la pandémie qui a décimé notre monde.
En effet, la construction du mur de la frontière ordonné par le Roi Martin avant son couronnement et sa décision de placer le Royaume sous quarantaine lui aura évité les guerres qui sévicent aujourd'hui tout autour du pays.
Ces politiques exemplaires auront valu au Roi Martin l'approbation de son peuple, et ont protégé la monarchie.
Le Roi s'engage désormais à redémarrer l'économie du pays en investissant dans la reconstruction. Son premier projet est de reconstruire le Château des Willow. Cependant, il ne s'agira plus la d'une résidence royale, mais d'un musée qui regroupera sous un seul toit toute l'histoire de Brièra, afin que nous nous souvenions toujours de ceux qui nous ont quitté.
Il parle aussi de subventions à mettre en place pour aider les producteurs à reprendre leurs activités. L'agriculture est en effet le cœur de Brièra.
Le projet de construire de nouveau marchés et des alliances afin d'exporter nos produits est aussi discuté.
La cérémonie se termine après le discours du Roi Martin, aucun banquet n'aura été donné, pour respecter le deuil des Brièriens.
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claudehenrion · 1 year
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La fin des grands empires et des civilisations
  “Nous autres, civilisations, savons que nous  sommes mortelles”, écrivait Paul Valéry au lendemain de la Grande Guerre… Perse, égyptien, inca, aztèque, maya, grec, romain, moghol ou, plus tard, européens puis américain… les   empires se sont effondrés un à un, avec les civilisations qui les avaient portés, le plus souvent non dans la guerre, mais parce qu'ils ont “pourri” de l'intérieur. Et il semble qu'il y ait comme un plafond de verre : très peu d'Empires ont dépassé  les 250 ans de notre “paradigme” européen. L’Histoire pourrait-elle nous convoquer devant son tribunal ?
La naissance et la fin des Empires a toujours exercé une forme de fascination, que montre le nombre de livres sur “The rise and fall of the XYZ Empire”, –Vie et mort de tel Empire. Depuis la nuit des temps, certains peuples ont imposé leur domination, pour une cause identifiable : le fer, l'or, la foi ou l'esprit –mais jamais le hasard. Plus tard, ils ont tous disparu (“Tout empire        périra”, dit un adage jamais démenti), pour des raisons multiples : crises de croissance, allongement sans fin des lignes de contrôle, non-assimilation des populations conquises, épuisement de “la source” (généralement : une ville, un roi guerrier), paupérisation économique, affaissement du modèle, faiblesse militaire ou apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. L’ambition ou le rêve d’être universel et éternel finit toujours par se heurter à la résistance de plus  fort que soi, et le temps-qui-passe multiplie les opportunités de voir se dresser des “challengers’‘ qui rêvent de contester ce qui est, au nom de leur propre ’'être” ou du refus de leur “avoir été” soumis ou vaincus.
“La fin des empires” (Editions Perrin), sous  la direction des historiens Patrice Gueniffey et Thierry Lentz,  raconte, explique et analyse la naissance, le déclin et la chute  des plus grands empires, depuis le génie militaire  d'Alexandre le Grand… jusqu'au soi-disant soft power économico-politique de Washington (le plus brutal et le plus impitoyable n'étant pas forcément celui qu'on croit !), en passant par le modèle romain dit “classique” et son héritier byzantin, par les empires des steppes (Attila, Gengis-Khan, Tamerlan), l'Empire ottoman, les  empires amérindiens et le binôme latino-continental espagnol, précédant le XX ème siècle des idéologies (1914-1991) qui a vu tour à tour s'effondrer l'empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier inhumain et épouvantable de l'impérialisme séculaire de la dynastie des Romanov.
Brisés dans leur histoire par les deux guerres mondiales, par la faillite des totalitarismes et par le déclin de l'Europe qui avait peu ou prou dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler condamnés avec “La Fin de l'histoire” (F. Fukuyama –1992). Mais si les empires  existants disparaissent, tout se passe, en fin de compte, comme s'il existait une cause cachée, de nature humaine, que mon maître André Siegfried désignait par “L'Ame des peuples” (une anecdote “perso” : dans les années ‘55, j'empruntais les “cartes” de mes amis pour aller suivre ses  cours à Sciences Po, avant de le retrouver, plus tard et plus officiellement, au Collège de France où j’ai eu la chance de mieux le connaître)
Car l'impérialisme, même mort, semble renaître sans cesse de ses cendres : les avatars de la Chine, l'éternel retour de la Russie, les rêves “ottomaniaques” d'Erdoğan, le poids sans cesse renouvelé des Etats-Unis, et même “l'Umma” arabo-musulmane, ce rêve de la “renaissance” d'un califat fantasmé… tout, dans l'Histoire, exprime la nostalgie de temps “heureux”, même inventés, comme le rêve islamiste (cf. “La gestion de la Barbarie”–2004). A l'opposé de ce programme ravageur, “La fin des empires” est essentiel pour connaître hier,      comprendre aujourd'hui, et prévoir demain. C’est, plus qu'un livre d'histoire, une étude sur l'Histoire, car… quels points communs peut-on trouver, intuitivement, entre la Grèce antique, les empires mongol puis moghol, le IIIe Reich allemand, les empires coloniaux français ou portugais et l’empire aztèque, par  exemple ?
Et pourtant, il ne se peut pas qu'il n'y en ait pas : depuis 5000 ans, des organisations politiques ont rassemblé des peuples, des langues et des religions sous la férule d’un empereur “en armes” prétendant peu ou prou à une vocation ou à un destin universels. Résultat : un “Empire” ne se définit pas par son      étendue (l’empire napoléonien “fait’'8,6 millions km² en 1811, et l’empire des steppes fondé par Gengis Khan, 33 millions km² à son apogée, du Pacifique à la Turquie actuelle)… ni par la durée (mille ans pour l’Empire byzantin, sept ans pour le IIIe Reich)… ni par une religion (il existait 30 000 dieux, vernaculaires ou importés, dans la Rome Impériale… d'où sans doute la célèbre expression : ’'Ils sont fous, ces romains’’ !)… et encore moins par le mode de gouvernement qui va d'une large autonomie aux peuples soumis (Athènes, Rome) à une centralisation paranoïde (la Sublime Porte, la Grande Russie, ou la tentation de  l'ogre  dit ‘’européen’’ actuel).
Les raisons de la création d'un Empire sont peu nombreuses et bien connues : il faut et il suffit d'un homme qui en rêve, d'un dieu qui le soutient, et de quelques critères de nature militaire : les armes de cuivre des hittites ne pouvaient que se rompre devant les épées de fer des égyptiens, les flèches des Incas  devant les tromblons des Conquistadores, la flotte vénitienne devant le ’'feu grégeois” et l'Europe de 1800 devant l'idée de  Napoléon de faire se déplacer les unités de la Grande Armée plus vite que tous ses ennemis, “d'Espagne en Autriche” (cf le célèbre monologue de Flambeau). Mais aussi notre belle infanterie devant la ruée des Panzers de Gudérian, en mai 40, et notre armée conçue pour l'Europe devant les mille ruses des “Bộ đội” fanatisés  de Ho Chi Minh… L'idée motrice, finalement, serait une tentative d'arrêter l'histoire (en la figeant dans une structure dont la taille assurerait une forme d'éternité) même si cette tentation a toujours été vouée à l’échec… ce qui n'empêche pas la vraie fascination qu'elle continue d'exercer.
En revanche, les causes de leur effondrement sont multiples : l’ambition  d’universalité se heurte aux résistances… le temps qui multiplie les opportunités … l'administration de territoires immenses… les mécanismes de succession (cas de l’empire carolingien et de l’empire mongol, qui éclatent en autant de royaumes que d’héritiers)… la désagrégation interne (pour l’empire soviétique)… la faiblesse ou la folie (Hitler et Staline, ces frères ennemis)… le coût du maintien d'un un appareil militaire suffisant (la principale menace pour les États-Unis)… les intrigues pernicieuses de la Cour ou du Harem (la Sublime Porte)… et le recours aux troupes mercenaires (Rome, et dynastie Qing, en      Chine)… l'inconscience des menaces et la trahison (Byzance)… l’inutilité de la super-structure du Saint Empire romain germanique…. Les causes sont nombreuses : presque autant que les Empires !
Que nous réserve la suite ? En fin de compte, se pencher sur la fin des empires, c’est s’interroger sur leur retour, favorisé par le déclin de l'Europe : la chute de l’Union  Soviétique semble avoir été le dernier épisode de la notion      classique d'Empire… (en pire… si j'ose !), même si l'évolution de la construction bruxelloise nous fait régresser vers l’époque médiévale du Saint Empire romain germanique –qui avait réussi à coiffer des duchés et des cités dans un ensemble à peine moins inconsistant que l’actuelle Union Européenne, en      tentant –c'est patent dans le second cas–  de contrer l'Etat-Nation, en le décrétant, contre toute évidence, populiste, réactionnaire, démagogue ou europhobe, voire “illibéral” – ce qui ne veut rien dire. Mais rien ne les arrête : ils se croient à l’abri et osent tout et n'importe quoi
Ce concept d'Etat-Nation, qui a “fait” l'Europe, est né au XIII ème siècle en France quand Philippe Auguste a décrété : “Le Roi est Empereur en son royaume”, illustration d'une volonté de renforcer l'institution royale et d'assurer sa suprématie sur toute autre puissance. L’État-Nation  connaît ses débuts réels à la Renaissance et devient la forme normale d’organisation politique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Paradoxalement, c’est en Europe et par l'Europe-institution qu’il semble se déliter maintenant, dans un  pas de deux entre les “modèles” d'Empire et d'Etat-Nation.. Que nous réserve la suite ? L’avenir semble hésiter entre  des empires économiques (USA), théocratiques (l'islam) ou iso-messianiques (Chine), la pérennité d’États-Nations, l’Europe-institution déjà ratée, d’autres formats à créer…
H-Cl.
PS. : Dans mes recherches pour cet éditorial, je suis tombé sur la liste des dix  plus grands empires de l'Histoire, ce qui pourrait intéresser certains d’entre vous, Amis lecteurs. ‘‘Sic transit gloria mundi‘’ : voilà comment disparaît la gloire  du monde… Cette liste, recopiée ‘’in texto’’, raconte une autre vision de l’Histoire du monde : une nette domination des pays ‘’du Croissant d’or’’ jusque vers l’an mil de notre ère, puis l’Asie jusqu’au XIIIè siècle… et l’Europe  ensuite (l’Empire Américain qui en est le pseudopode n’est pas mentionné dans cette étude : il est trop flou dans ses limites mais nous savons qui est le chef, aujourd’hui). Et demain ? Qui ? Où ?
          1 - Empire britannique (35 500 000 km2 en 1920)           2 - Empire Mongol  (33 200 000 km2 en 1279)           3 - Empire russe (22 800 000 km2 en 1895)           4 - Empire espagnol (22 000 000 km2 en 1810)           5 - Dynastie Qing (14 700 000 km2 en 1790)           6 - Empire colonial français (13 500 000 km2 en 1939)           7 - Califat abbasside (11 100 000 km2 en 750)           8 - Califat omeyyade (11 000 000 km2 en 720)           9 - Dynastie Yuan (11 000 000 km2 en 1310)           10- Empire colonial portugais (10 400 000 km2 en 1820)
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gedjub · 8 months
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120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
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artmakesmelive · 1 year
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Guerre des temps
Souvent je sens une bataille dans ma tête, sur une arène où mes pensées s'entremêlent. Le passé et le futur se battent pour le contrôle, Le présent est piétiné, sans rôle. Je suis l'arbitre de cette lutte intérieure,Mais parfois, je perds la posture et la posture dure. Autrefois , je me dis que cette guerre est finie, mais ce n'est qu'une trêve. Ou bien un rêve , je ne sais plus. Le présent devient juste spectateur, attendant son rôle. Pendant que le temps se croit roi et ne veux plus quitter son trône. Il ne veut plus rien arranger , mais dans les tiroirs de ma tête il faut tout ranger. Je ne suis qu'une guerrière,je n'ai pas droit de me retourner. Je ne suis qu'une comédienne ,une imposture envoyée à cette mascarade sans costume,ni invitation. Et quand ces trois balles me heurtèrent. Je n'ai pas su où me situer Je me suis réveillée. "Quel heure est-il s'il vous plaît ?" T'as la tête dans les nuages on m'a répété . Si seulement c'était vrai. Moi ma tête était dans la fumée. Cette fumée grise , comme le cendre argenté . Témoin du massacre au quel j'assistais.
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urwendii · 1 year
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2, 6, 16 and 18 for the fanfic writer ask game. :-)
2. Do you read/reread your own fics?
Listen I have a hate/love relationship with my own writing so most of the time it's actually painful for me to reread it outside proofreading , but i force myself to (mostly bc i tend to forget what I wrote) and i'm like wow this caters exactly to my own tastes, amazing, and then im shocked when the author (me) has not updated yet.
6. Are there any fics from others you reread all the time?
For our common otp: omg yes, without any surprise I think im already on my 3rd reread of E's entire serie, mostly because im connecting DOTS hehe. I love Frotu's A Portion of Thyself it's one of my fav comfort fics. I just wanna squish their Mairon.
Another one i recently added back on the Must reread List is Son of the Suns, an anakin centric sw AU i loved to pieces a few years back.
16. At what point in the process do you come up with titles?
At the very beginning, even before writing the chapters. I usually come up with them during the outlining because there's a logical continuation behind them.
18. What's one of your favorite lines you've written in a fic?
Ú calo is my less popular fic when ironically i believe it's my best poetic work, there's this paragraph i just really love. Im putting the french version too because it's actually even better than the english.
eng: She makes him King of Men, a mortal baptised on the shrine of her smile. Her aura is a tiara of gold and silver, her hand the divine guide of which he dreamt. From her words he is born anew, like a parched man drinking from her light, feasting on her storm. She crucifies her enemies, their shadows blinded by the torrent of her Justice, and from the ashes of his heart, with his name he delivers the anointing of his Love. 
fr: Elle le fait Roi des Hommes, mortel baptisé sur l’autel de son sourire. Son aura est un diadème sertie d’or et d’argent, sa main, le guide divin dont il rêvait. Par ses mots il renaît, tel un homme assoiffé qui s’abreuve de sa lumière, se nourrit de sa tempête. Elle crucifie ses ennemis, leurs ombres aveuglées par le torrent de sa Justice; et des cendres de son cœur il dépose de son nom l’onction de son Amour.
And finally i usually love every line i wrote for Ossë when he's annoying Mairon x)
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ecrisettaistoi · 1 year
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King Con
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Le Roi est nu et son bouffon ne vaut pas mieux.
Il agite ses clochettes, éructe, pète ses idées moisies
tandis que le Roi, pétrifié, ne comprend pas.
Pourquoi en est-on arrivé là ?
Qu'ai-je fait de mal ?
Non.
Il ne se pose même pas la question,
sûr de son droit tandis qu'autour de lui,
le royaume brûle,
écoles, bibliothèques, gares.
Mais le roi n'y est pour rien.
La Renaissance, c'est lui.
Même si c'est sur un tas de cendres.
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theherdofturtles · 2 years
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Salut à Versailles
Celui dont l’âme est triste et qui porte à l’automne
Son cœur brûlant encor des cendres de l’été,
Est le Prince sans sceptre et le Roi sans couronne
De votre solitude et de votre beauté.
Car ce qu’il cherche en vous, ô jardins de silence,
Sous votre ombrage grave où le bruit de ses pas
Poursuit en vain l’écho qui toujours le devance,
Ce qu’il cherche en votre ombre, ô jardins, ce n’est pas
Le murmure secret de la rumeur illustre,
Dont le siècle a rempli vos bosquets toujours beaux,
Ni quelque vaine gloire accoudée au balustre,
Ni quelque jeune grâce au bord des fraîches eaux ;
Il ne demande pas qu’y passe ou qu’y revienne
Le héros immortel ou le vivant fameux
Dont la vie orgueilleuse, éclatante et hautaine
Fut l’astre et le soleil de ces augustes lieux.
Ce qu’il veut, c’est le calme et c’est la solitude,
La perspective avec l’allée et l’escalier,
Et le rond-point, et le parterre, et l’attitude
De l’if pyramidal auprès du buis taillé ;
La grandeur taciturne et la paix monotone
De ce mélancolique et suprême séjour ;
Et ce parfum de soir et cette odeur d’automne
Qui s’exhalent de l’ombre avec la fin du jour. The first half of a poem by Henri de Régnier, part of 'La cité des eaux.'
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MERCREDI 15 FEVRIER 2023 (Billet 2 / 5)
« LARMES DE JOIE »
(Textes extraits du Site Internet « sortiraparis.com » et de la plaquette sur l’œuvre disponible dans l’église)
Saviez-vous qu'une installation monumentale, gratuite, vous attendait au sein de l'Église de la Madeleine ?
« Larmes de Joie », c’est son nom. Elle a été réalisée par Benoît Dutour et vous attend encore jusqu’au 20 février 2023. Plus que quelques jours donc…
En effet, au coeur même du monument, se dévoile cette œuvre qui donne à voir 103 « Larmes de Joie » sur 35 mètres de hauteur.
Vous passez peut-être souvent devant cette belle église qui trône sur la place de la Madeleine, mais y êtes-vous déjà entré ? Il est vrai qu'avec sa façade actuellement en travaux, on n’en a pas forcément très envie. C'est peut-être le moment de la découvrir ou d'y retourner. Il faut savoir que depuis 2010, la Madeleine fait régulièrement appel à un artiste contemporain pour revisiter la Nativité, symbolisée par une crèche dans la tradition catholique. 
Cette année et depuis décembre, c'est Benoît Dutour qui a été choisi pour symboliser les offrandes qui pourraient être faites à notre époque en l’honneur de cette naissance. En référence aux présents apportés par les Rois Mages qui furent à l'époque de l'or, de la myrrhe et de l'encens, Benoit Dutour a imaginé une superbe installation artistique composée d'une centaine de « Larmes de Joie » tels des présents, plus actuels, qui tournent autour de la richesse, de la beauté et de la fragilité. 
Chaque « Larme » de l'œuvre est singulière et donne à voir tantôt la beauté de la nature, comme par exemple les graines de pissenlits qui s'envolent, les trèfles à 4 feuilles ou les papillons, tantôt la richesse avec les pièces, les bitcoins, l'or et même un vrai billet de 500 € emprisonné dans une Larme, et tantôt la fragilité, comme les cendres de la Cathédrale Notre Dame. 
Ces « Larmes » suspendues ont nécessité 3 mois de montage avec la difficulté majeure de passer à travers un filet de retenue qu'on ne voit qu'à hauteur d'yeux. Inauguré le 3 décembre dernier, vous pouvez encore admirer l'œuvre jusqu’au 20 février 2023, de 9h30 à 19h00. 
On vous invite à vous poser et vous asseoir le temps d'admirer cette œuvre. Vous remarquerez alors que ces Larmes, gracieusement illuminées par la société « Sammode », changent d'intensité lumineuse. Elles passent de 5 watts à 10 watts et s'éteignent par intermittence en référence au Big Bang, à l'explosion et à l'origine du monde.
Pour finir, notez que ces fameuses « Larmes » sont disponibles à la vente (comptez 2 500€ la « Larme ») ! La vente se fait pour la bonne cause. En effet, l'artiste s'engage à n'en tirer aucun bénéfice, destinant le gain des ventes à la production de « Larmes », la communication du projet et le versement d'un don à l'église pour participer à sa conservation et ses charges. 
DATES ET HORAIRES
Du 3 décembre 2022 au 20 février 2023
LIEU
Eglise de la Madeleine
75008 Paris
METRO : Madeleine
TARIF
Gratuit
ÂGE RECOMMANDÉ
Tout public
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christophe76460 · 23 days
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Tout est possible à celui qui croit. {Marc 9:23}
Beaucoup de chrétiens confirmés sont toujours dans le doute et dans la crainte, et ils pensent désespérément que c’est là un état nécessaire pour les croyants. Ceci est une erreur, car « toutes choses sont possibles à celui qui croit » ; et il est possible pour nous de nous élever vers un état ou le doute et la crainte ne seront qu’un oiseau de passage traversant l’âme, mais qui jamais n’y fera son nid. Quand vous avez lu combien de douces communions ont été partagées par les saints favorisés, vous soupirez et murmurez dans le secret de votre cœur, « Hélas ! tout cela n’est pas pour moi ».
Ô grimpeur, si tu n’avais même qu’une petite foi, tu te tiendrais sur le fronton ensoleillé du temple, car « toutes choses sont possibles à celui qui croit ». Vous entendez parler des exploits que des saints hommes ont accomplis pour Jésus ; ce qu’ils ont reçu de lui ; combien ils ont été comme lui ; comment ils ont été capables d’endurer de grandes persécutions pour sa cause ; et vous dites : « ah ! quant à moi, je ne suis qu’un ver ; Je ne peux jamais atteindre cela ». Mais il n’y a rien qu’un saint était, que vous ne puissiez être. Il n’y a pas d’élévation de la grâce, pas d’acquisition de la spiritualité, pas de clarté de la promesse, aucun poste de devoir, qui ne vous soit ouvert si vous avez le moindre pouvoir de croire.
Mettez de côté votre vêtement de sac et les cendres, et montez vers la dignité de votre vraie position ; vous êtes petit en Israël parce que vous voulez être ainsi, et pas parce qu’il y a de nécessité pour cela. Il n’est pas normal que tu rampes dans la poussière, Ô enfant d’un Roi. Montez ! Le trône d’or de la promesse vous attend ! La couronne de communion avec Jésus est prête à parer votre front. Drapez-vous dans le fin lin écarlate, et vivez somptueusement chaque jour ; car si tu crois, ta nourriture sera royale ; ta terre regorgera de lait et de miel, et ton âme sera satisfaite comme avec la moelle et la graisse. Amasse les gerbes d’or de la grâce, parce qu’elles t’attendent dans les champs de la foi. « Toutes choses sont possibles à celui qui croit ».
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yes-bernie-stuff · 2 months
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◀ 25 JUILLET ▶ La Bonne Semence.
Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous nous taisons. 2 Rois 7 : 9
Prêche la parole, insiste, que l’occasion soit favorable ou non, convaincs, reprends, exhorte, avec toute patience pour enseigner. 2 Timothée 4 : 2
Ce qui donne le droit de parler
Imaginons un fait divers : D’un toit s’échappe une petite fumée qui devient chaque minute plus épaisse, plus inquiétante. Des passants se sont arrêtés, perplexes. Soudain un homme sort du groupe, s’élance vers la maison, ouvre la porte d’entrée et crie : « Y a-t-il quelqu’un dans la maison ? » Pas de réponse. Il entend pourtant le son d’une télévision. Il passe alors de pièce en pièce et au premier étage, dans une chambre, il trouve trois enfants, assis devant l’écran, passionnés par un film. Il débranche la télé, entraîne les enfants dehors, donne l’alerte, et l’incendie est maîtrisé de justesse. Ce récit soulève une question : Qu’est-ce qui donne le droit à cet homme d’entrer dans une maison inconnue ? C’est le fait de savoir que, dans quelques minutes, tout risque d’��tre réduit en cendres, et que des vies humaines sont en danger. Chrétiens, nous avons souvent beaucoup de scrupules à témoigner de notre foi à ceux qui nous entourent. Nous estimons qu’il faut être poli, réservé, aimable, au point de ne rien dire. Nous oublions qu’il y a autour de nous des personnes qui sont en danger par rapport à leur avenir éternel. Nous oublions que le jugement de Dieu va venir sur un monde qui sera détruit. Or nous avons un message très important, un message d’urgence à leur donner : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16 : 31). Nous avons le droit de leur parler. Nous avons le droit d’oser déranger. Nous avons le devoir d’aimer. - Lire plus ici :
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