Tumgik
#abusé mention
piizunn · 11 months
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coming into the realization that your veteran and ex cop stepdad has put me in the percentage of native people who have experienced abuse from law enforcement
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Société : harcèlement scolaire
Notre cerveau se transforme et s'enrichit de nos expériences. À l'heure où la grève des scénaristes se durcit aux États-Unis ou encore la guerre éclate au Moyen Orient , on oublie pas les harcèlements scolaires qui augmentent chaque année.
C est quoi ce phénomène qui arrive en puissance ?
C est vrai qu on a plusieurs problèmes pour juste avoir citer quelques uns. Mais, le problème de l harcèlement scolaire est un nouveau numéro qu on ne connaissais pas bien. Si je prends mon exemple , oui , quand j étais collégien il y avait de l harcèlement mais jamais un harcèlement qui pousse au suicide . Je pense au petit Lucas qui s est suicide à cause de son homosexualité. Aujourd’hui, on harcèle à l école puis cela continue à la maison sur les réseaux sociaux. Il y a une violence chez les jeunes qui est abusé et qu il faudrait tempérer.
Comment allez vous me dire ? Je trouve que le ministre de l éducation, Gabriel Attal a fait preuve de discernement quand il a envoyé la police en plein cour , pour arrêter un jeune qui harcèlait un camarade , cela donne un exemple.
Il faut montrer l exemple ! Jamais un enfant ou un adolescent devrait arriver à ce niveau de degré de méchanceté. L exemple du ministre Gabriel Attal est incisif et exemplaire. Cela montre qu il ne faut pas le faire !
Et vous ? Que pensez vous de cette méthode ?
Our brain is transformed and enriched by our experiences. At a time when the screenwriters' strike is getting tougher in the United States or war is breaking out in the Middle East, we cannot forget the school harassment which is increasing every year.
What is this phenomenon that is coming to power?
It is true that we have several problems just to mention a few. But the problem of school bullying is a new issue that we did not know well. If I take my example, yes, when I was a schoolboy there was harassment but never harassment that led to suicide. I think of little Lucas who committed suicide because of his homosexuality. Today, we are bullied at school and then it continues at home on social networks. There is violence among young people which is abused and which should be tempered.
How are you going to tell me? I find that the Minister of Education, Gabriel Attal, showed discernment when he sent the police into the middle of the yard to arrest a young person who was harassing a classmate; that sets an example.
We must set an example! No child or teenager should ever reach this level of wickedness. The example of Minister Gabriel Attal is incisive and exemplary. This shows that you shouldn't do it!
And you ? What you think about this method ?
Kevin Ngirimcuti
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naohapazzz · 4 years
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Hello
J’ai eu 3 ans d’abstinence le premier octobre. Je ne prends plus rien du tout, ni alcool, ni drogue, ni médicaments. Rien. Je ne me fais plus vomir, je ne me restreint plus, je mange ce que je veux quand je veux (je fais quand même attention). J’arrive à nommer mes émotions et à les vivres (non sans difficultés mais.... j’y arrive et je ne prends rien pour anesthésier). J’ai repris les études, j’ai eu mon bac l’année dernière avec mention bien (ou assez bien, je ne me souviens pas), je suis en première année de lettres modernes à La Sorbonne. (De toute évidence ce n’est pas pour moi...). Je ne suis plus avec cet homme de 45 ans que j’ai rencontré en fin de consommation avec qui je me droguais et qui m’a abusé sexuellement et émotionnellement pendant presque 2 ans. Je me suis libérée de son emprise. Aujourd’hui je suis célibataire et je n’ai pas de place pour un homme dans ma vie, et ça ne me manque quasiment plus. Je le vis plutôt vachement bien. Je ne vis plus avec mes parents et je ne subis plus la violence de mon père. J’ai un appartement à Paris. Je vis seule en autonomie. (Bon, je vis encore de la AAH mais c’est ce qu’il me faut pour aujourd’hui, et c’est ce qu’il a fallu pour que je me sorte de tout ce merdier). Je suis là où je dois être, je suis vivante et en bonne santé, je me sens miraculée très honnêtement, graciée par le ciel, l’univers. J’ai toujours des problèmes relationnels (etoui ahahah, l’intimité est pour moi chose fort compliquée), mais je sais que je suis en train de grandir, j’évolue en permanence et j’ai de l’espoir. Chaque jour qui passe est un jour où j’ai foi en la vie. J’ai rencontré la passion de l’astrologie il y a 3 ans, et je continue d’en apprendre tous les jours passionnément. J’ai retrouvé de la créativité, par contre je ne dessine plus, mais je crée un rideau de perles en ce moment, et j’ai monté un grand métier à tisser, je compte apprendre le tissage. J’aimerai aussi fabriquer des lampes Art Deco. J’ai plein d’idées, de plus en plus. Je suis radfem, ou radicale féministe. Je ne badine pas avec ça. J’ai acheté un télescope et je participe à un club d’astronomie à Paris, j’ai pour projet des voyages en lien avec l’astronomie. Ce qui n’a pas changé, c’est que j’ai toujours la tête qui plane.... mais d’autres façons. Je médite, assez régulièrement, mais je dois travailler ma régularité..... ma vie serait encore plus douce si je m’y attelais davantage. En ce moment la question du projet professionnel se pose vraiment et m’angoisse mais.... je vais y arriver, je le sais, peu importe le temps que ça prendra. J’ai confiance en la vie. Plein de choses me font peur, plein de choses me font mal, et c’est une bonne nouvelle, ça veut dire que je suis humaine.... bon, effectivement, mon manque d’humilité avait et a tendance à me faire penser que je suis quelqu’un d’extraordinaire (dans le bon comme dans le mauvais), mais je ne suis ni plus ni moins qu’une âme à vos côtés, avec certes un parcours un peu différent qu’une majorité, mais la souffrance est universelle, elle ne m’appartient pas (fort heureusement). J’ai choisi la vie.
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bluejevergade · 6 years
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Were-Creature
Hiccup, selon le point de vue de Jack était parfait. Attentionné, gentil, loyal, c'était le genre de petit ami dont n'importe qui reverrait. Mais après deux ans de relation, Jack ne pouvait plus passer à côté. Il était sûr que Hiccup le trompait. Systématiquement une nuit par mois, il ne rentrait pas. Les premières fois, Jack avait cru ses excuses ''J'ai pas vu l’heure, je travaillais'' ''j'ai rencontré un pote et on a discuté toute la nuit, désolé''. Mais à force d'entre les mêmes chaque mois, il avait fini par douter. Si au début, il n'avait eu que des doutes, de par leurs appartements individuels, quand ils avaient emménagé ensemble, il n'avait eu que des certitudes. Hiccup allait voir ailleurs une fois par mois.
Et malgré tout, il l'aimait. Plus qu'il n'avait jamais aimé qui que ce soit. Hiccup était tellement parfait. Ils étaient tellement en osmose que même s'ils ne se ressemblaient sur pas grand-chose, ils se complétaient et trouvaient toujours des solutions. Mais ce-soir là, il ne pouvait plus le supporter. Il aimait Hiccup autant qu'il le haïssait ces soirs-là. Mais il finissait toujours par lui pardonner. Mais pas ce soir. Son amie Tatiana avait pris en flagrant délit son fiancé avec une autre, et elle était venu pleurer chez lui toute la nuit. Jack avait alors passé plusieurs jours à réfléchir et quand Hiccup ne rentra pas ce soir-là encore une fois, il décoda de le suivre. Il voulait tuer les sentiments d'amour qui le rendait faible et lui faisait pardonner tous les matins. Il voulait le surprendre en plein acte pour que son cœur soit brisé et qu'ils puissent commencer à guérir.
Ce soir-là, il le suivit. Il se gara sur le parking du garage où il travaillait et le suivit à distance. Il le vit s’arrêter chez le chinois, où il emporta une poche qu'il dévora sur le chemin à sa voiture puis conduit jusqu'à un entrepôt que Jack n'aurait jamais remarqué s'il ne s'était pas arrêté devant. Hiccup descendit et malgré la pénombre, il le vit trembler. Avec ce qui semblait beaucoup de difficulté, il se traîna jusqu'à la porte où il frappa. Dès que la porte s'ouvrit, il s'engouffra à l’intérieur et la lourde porte se referma. Puis plus rien.
Pendant presque deux heures, il resta dans sa voiture à se ronger les ongles. Et finalement, quand arriva minuit, il sortit. Il devait en avoir le cœur net.
Il frappa à la porte et une femme blonde avec une cicatrice au milieu du visage lui ouvrit.
-Quoi.
-Bonsoir, je voudrais entrer.
-Vous êtes?
-Le petit ami d'Hiccup et...
Elle referma la porte. Jack frappa dessus.
-Ouvrez-moi !
Elle rouvrit furieuse.
-Arrêter de faire du bruit. !
-Laissez-moi entrer !
-Dehors !
-Il y a mon copain, dedans. Et je ne sais pas quelle pouf il est entrain de se taper, mais…
La blonde pâlit. Elle tourna la tête derrière la porte.
-Nan, nan, calmez-vous les mecs… Putain, Hiccup, fais quelque chose !
À la mention de son non, Jack usa de toutes ses forces pour pousser la porte. La blonde fut forcée de s'écarter, et il s’engouffra dedans. Mais à peine entrée, plongée dans la pénombre, une forme sombre qu'il jugea être un animal lui sauta dessus. Il le sentit ouvrir la gueule et il respira son haleine fétide et su que sa dernière heure était arrivée.
Mais une force inconnue le sauva. Elle jeta la créature au loin et un rugissement féroce raisonna.
-Astrid, grogna une voix rauque. Fais le sortir.
Jack n'y voyait rien et sortit son téléphone pour allumer le flash. Et ce qu'il vit le terrifia. Deux créatures étaient enchaînées au mur, l'air assoiffé de sang. Du sang coulait de leur bouche comme si elles s'étaient fait un steak d'être humain avant.
L'une était couverte de pierres énormes et quelques poils blonds tombaient devant ses yeux injectés de sang. La seconde avait l'air d'un crocodile qui avait abusé des stéroïdes et souriait tel un requin en se léchant les babines. Le plus inquiétant dans tout ça c'est qu'elles avaient l'air presque… Humaines.
Une main griffue lui arracha son téléphone et le replongea dans le noir total.
-Faut que tu sortes...
Puis il le reconnut, malgré la tonalité alourdie.
-Hiccup ?
On le saisit à la gorge et on le plaqua contre le mur suffisamment haut pour qu'il ne touche plus le sol. Un hurlement animal retenti et les bruits de grognement ambiants se calmèrent un peu. Puis il perçut un mouvement rapide et des cheveux -ou des poils ?- lui caressèrent le côté droit du visage.
-Sort. Murmura Hiccup. Longe le mur et quand tu seras arrivé à Astrid, elle te mettra dehors. Tu rentres à la maison et tu n'en bouges surtout pas.
-Hiccup… murmura Jack. Qu'est-ce qu'il se passe ?
Une figure écailleuse se colla à son visage et renifla son odeur.
-Rentre. Je te promets de tout t'expliquer demain, mais rentre. Tu dois partir d'ici tout de suite, ou ils repéreront ton odeur et ils te traqueront.
-J'ai… Je commence à avoir peur.
-Chéri, rentres, demanda Hiccup d'un ton plus doux.
Les grognements recommencèrent.
-Tout de suite.
Hiccup le lâcha et un autre hurlement raisonna. Jack, tremblant de la tête aux pieds fit ce qu'on lui avait ordonné. Bien vite, une main l'attrapa par le col et il vit bientôt la lumière du lampadaire dehors. La porte se referma et il réalisa qu'il n'était plus dedans. Les paroles d'Hiccup lui revinrent en pleine face et il courut à la voiture. Il démarra avec difficulté, tremblant beaucoup trop et conduit jusqu'à chez eux. Arrivé devant chez lui, il laissa la tension s'évacuer et pleura de rare et de peur mélanger. Il prit une douche pour se calmer mais n'arriva pas à dormir. Vers quatre heures du matin, il sortit du lit et s'installa sur le canapé. Deux heures plus tard, le bruit de la clé dans la serrure se fit entendre et la porte d'entrée s’ouvrit. Jack retint son souffle, paralysé.
-Tu crois qu'il est là ? Murmura une voix.
-Non, je pense qu'il a dû rentrer chez ses parents, murmura une deuxième.
-Mec, Hiccup je suis vraiment désolé...
-T'y peux rien c'est comme ça.
La lumière s'alluma et Jack vit trois hommes entrain d'entrer. Celui de dos était incontestablement Hiccup, et les deux autres, il ne les avait jamais vu. L'un était grand, rondelet et blond, le deuxième plus petit, costaud et brun. En le voyant, les deux pâlirent
-Euh… Hiccup ?
Hiccup se retourna et le vit. Il devint blanc comme un linge.
-Jack… Tu es là ?
-Qu'est-ce que… Qu'est-ce que vous êtes ? Demanda Jack d'une voix éteinte.
Deux jumeaux, un garçon et une fille entrèrent à leur tour et Astrid, la blonde avec la cicatrice au visage referma la porte.
-On, commença Hiccup... On est…
Il soupira, incapable de trouver les mots.
-Vous êtes venu me tuer ? Demanda Jack.
-Hein ? Non, bien sûr que non ! On doit parler. S'il te plaît. Écoute-moi jusqu’au bout et…
-C'est vous les… Les choses que j'ai vues dans l’entrepôt.
-Ouais, fit le garçon brun. Désolé pour ça.
-Qu'est-ce que vous êtes ?
Hiccup voulut s'approcher mais Jack recula dans le canapé et chercha une échappatoire des yeux. Hiccup soupira, l'air triste et Astrid lui frotta l'épaule.
-Dis-lui la vérité.
-Il va… il va avoir peur de moi.
-Hiccup, il est déjà terrorisé.
Le brun soupira et s'assit sur une chaise, loin de Jack.
-Euh, les gars… Allez à la salle de bain, deuxième pote à droite. Faut qu'on... Faut qu'on parle.
-Ouais, fit le frère jumeau. Bon courage.
Ils disparurent un à un et bientôt il ne resta que Jack et Hiccup.
-J'imagine que tu as beaucoup de questions.
-Qu'est-ce que tu es ?
-Je suis maudit, soupira Hiccup. On l'est tous. Quand les colons américains se sont mis à massacrer des Indiens, certaines tribues ont lancé des sortilèges. Tu te souviens, quand on regardait Supernatural, l'autre fois, avec l'indien qui était mort et avait maudit la terre pour qu'aucun blanc n'y vive ? Beh là c'est un peu pareil. Ils ont maudit nos ancêtres en leur disant que comme ils se comportaient comme des animaux, qu'ils en deviendraient un à leur tour. De depuis deux cents ans, chaque génération dans nos familles comporte la malédiction. Ça tombe sur quelqu'un de notre famille et la malédiction ne se transmet que lorsqu'on a un enfant. On est condamné à vivre…
-Comme des bêtes ?
-C'est ça. Tu vois le principe des loups-garous ? Qui se transforment à chaque pleine lune ?
-Oui.
-Si on ne se transforme pas au bout d'un certain temps, notre corps faiblit, on devient malade et la malédiction finit toujours par prendre le dessus. Généralement, ça se termine mal. Pour éviter ça, on se réunit une fois par mois, on se transforme et on attend que la nuit se termine.
-Pourquoi… Tu avais l’air en pleine possession de tes moyens…
-Non. Enfin, moi j'ai… Je me suis transformé il y a peu. Donc j'avais encore le contrôle. Mais pas les autres. Ils ont tous eut un empêchement qui a fait que le temps entre chaque métamorphose à rallonger. Avant, on se réunissait chez l'un d'entre nous, mais maintenant… Astrid vit avec sa mère, parce qu'elle est malade, mais de toute façon, elle habite trop loin, Kogn et Kran… Killian et Kia ont perdu leur appartement, alors ils squattent chez Rustik… Rupert. Mais Rupert a emménagé avec sa copine, donc on ne peut pas faire ça chez lui. Pareil pour Vincent. Alors pendant un moment, on se réunissait chez moi, mais…
-Comme tu vis avec moi, vous n'avez plus d'endroit.
-C'est ça. On a réussi à trouver un endroit où se métamorphoser, mais il s'est écoulé trop de temps entre la dernière métamorphose, pour Vincent, Rupert et les jumeaux. Ce soir… D'habitude, ce n'est pas aussi extrême… On se contente de se métamorphoser, et on passe une soirée ensemble. Mais là… On a dû les attachés. Et Rustik nous a foutu une voiture en l'air parce qu'il n'arrivait pas à se calmer… Enfin, voilà.
Jack ne dit rien, atterré.
-Écoutes, continua Hiccup. Je comprendrais si tu veux partir. Je sais que ce n'est pas normal, mais c'est comme ça, nos ancêtres ont tout essayé pour s'en débarrasser, mais on n'y peut rien. Même Astrid a… Quand on était plus jeunes, il y a eu un incident, un peu comme ce soir, Vincent ne s'était pas transformé depuis longtemps et il l'a griffé au visage. Elle a perdu beaucoup de sang… À l'hôpital, ils ont dit qu'elle était morte pendant près d'une minute, mais la malédiction n'est pas partie…
-Et si vous mourrez sans la transmettre ?
-Le problème, c'est que plus le temps passe, plus la famille d'origine s'est agrandi. Aujourd'hui j'ai plusieurs dizaines de cousins, disséminé à travers le pays, qui ignorent même que j'existe. Si je meurs sans la transmettre à mon enfant, c'est l'un de leurs enfants qui la recevra. Et je ne peux pas infliger ça à quelqu'un qui n'est au courant de rien.
Hiccup finit sa tirade en soupirant et Jack le regarda. Même s'il l'avait dévoré des yeux de nombreuses fois, il avait l'impression de le voir pour la première fois.
-Je… Je pourrais te voir ? Dans… Dans ta forme…
-Jack, ne t'impose pas ça…
-S'il te plaît.
Hiccup souffla et se leva. Il ferma les yeux en se concentrant et commença sa métamorphose. Devant Jack, e trouva bientôt une créature couverte d'écailles sombres, des mains griffues et des canines arrondies dépassaient de sa bouche.
Jack recula un peu effrayé.
-Jack, fit Hiccup, la voix plus rauque. Je ne te ferais rien.
Puis Jack regarda ses yeux et retint sa respiration sans le réaliser. Le court temps où il avait pu voir à l’entrepôt, ce qu'il y avait dans les yeux des deux créatures qu'il avait aperçus, ce n'était pas humain. C'était un instinct meurtrier, assoiffé de sang. Mais là, c'était les yeux qu'Hiccup avait toujours eu. Doux et affectueux et en cet instant, remplis de peur.
Sans le réaliser, Jack s'avança vers lui et toucha son épaule couverte d'écailles.
-C'est…
-Je sais. Mais c'est pire quand je ne me transforme jamais.
Il remonta sa main sur sa joue et plongea ses yeux dans les siens.
-Dire que je croyais que tu me trompais.
Hiccup eut un rire sans joie.
-Jamais je ne pourrais faire une chose pareil. Tu es tellement… Tellement mon âme-sœur.
Jack sourit faiblement.
-Je ne suis pas sûr que je comprenne tout, mais laisse-moi un peu de temps, d'accord ?
-Tout le temps du monde; fit Hiccup en voulant lui caresser les joues des pousses avant de se rappeler qu'il avait des griffes acérées sur chacun des doigts.
Mais Jack se mit sur la pointe des pieds et ferma les yeux en posant ses lèvres sur les siennes. Hiccup ne répondit pas tout de suite, mais quand il le fit, il fit attention à ne pas le couper avec ses canines.
Jack posa sa tête contre son épaule, soulagé. Certes, son petit ami était un monstre maudit indien. Mais il n'allait pas voir ailleurs. Ça pouvait paraître idiot, quand on venait d'apprendre ce qu'il avait appris, mais ça le soulageait. Parce que ça voulait dire qu'Hiccup l'aimait autant que lui. Et même s'il y avait une malédiction indienne, à choisir, il préférait ça, parce que c'était beaucoup moins douloureux.
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Partie 16
Yvanna : Chaton comment tu comptes t'y prendre ?
Moi : Je ne sais pas encore, mai il va payer sois en sûr
Yvanna : Merci, chaton
On se fit un énorme calin puis on rentra à la maison, on croisa Jordan dans les escaliers, il fit un bisou sur la joue de Yvanna mais pas à moi
Moi : T'es sérieux Jordan là ? Et moi j'ai pas le droit à un bisou ?
Jordan : Non, tu ne le mérites pas
Moi : Qu'est ce que j'ai fait encore ?
Jordan : Rien justement, ça fait 2semaines que tu ne calcules plus personne et maintenant que princesse Lara se sent mieux sayez ?
Moi : Tu ne vas pas me faire la tête pour ça quand même ?
Jordan : Bah si
Moi : T'es un vrai gamin, bah fais moi la tête vieux gars
Il me fusilla du regard
Arrivée à l'étage je dis à Yvanna que j'arrivais, il fallait que je parles à Joujou. La porte de sa chambre était déjà ouverte, et Julie était au fond de sa couverture
Moi : Joujou ?
Julie : Hmm
Moi : Ça va ? Sors de ta couverture, je veux voir ton visage
Elle renifla
Julie : Non ce n'est pas la peine
Moi : Tu pleures ?
Julie :
Je m'avança vers son lit et enleva délicatement la couverture de son visage. Ce que je vis était hallucinant. Le visage de Julie était tuméfié, elle avait un énorme cocard à l'oeil gauche, ses 2joues étaient enflées, et sa lèvre était lassérée. Immédiatement, je me mis à pleurer
Moi : Joujou...snif...qui t'as fait ça ?
Julie : Personne.
Je me leva, pour fermer la porte de la chambre si Jordan et Jaden l'aurait vu dans cette état je ne sais pas de quoi ils auraient été capables.
Moi : Dis moi...snif qui t'as fait ça ?
Julie :
Moi : Parle moi, si ça se trouve je pourrais t'aider
Julie : Vu la merde dans laquelle je suis, tu ne pourrais pas m'aider et si tu le peux ça peut te mettre en danger
Quand, elle m'a dit ça j'ai commencé à avoir une boule dans le ventre
Moi : Tu es ma soeur, si on te frappe, on me frappe, si tu pleures, je pleure alors si tu es dans la merde, je le suis avec toi
Elle éclata en sanglots. Elle sortie enfin son corps du lit et je vis d'énormes bleues sur ses cuisses et ses bras
Moi : T'as mal ? ( Question bête, je sais )
Elle hocha la tête pour me dire que oui, elle inspira profondément
Julie : Il y a 2mois, j'ai rencontré un mec à une soirée privée. C'était un homme d'affaire. Il était très gentil avec moi, il me complimentait, m'achetait des choses. Puis un jour, il a voulu plus, il m'a amené dans son appartement, il m'a fait boire, 1verre, puis un 2ème.
Elle faisa une petite pause
Moi : Prends ton temps
Julie : D'un coup, j'ai commencé à me sentir mal, je voyais flou, snif...le lendemain lorsque je me suis réveillée j'étais nue dans son lit, lui était déjà parti. Là j'ai compris qu'il m'avait violé. J'étais mal, je me sentais sale, dégoutante. Sur sa table de chevet, j'ai vu 4 billets de 500€, au départ je pensais que c'était à lui, mais accompagné de cet argent, il était inscrit " Pour la merveilleuse nuit, que j'ai passée en ta compagnie ". Rapelle toi, c'était le jour où j'avais envoyé un message à toi et à maman pour vous dire que je dormais chez Haby ( sa meilleure amie ).
Je hocha la tête
Julie : Moi, je pensais qu'il m'appréciait pour ce que j'étais. Je ne sais pas si tu te rends compte mais il m'a prise pour une prostituée, sa prostituée. J'ai donc prit l'argent. Mais il allait payé pour ce qu'il m'avait fait. Il avait abusé de moi, snif. Je devais d'abord prendre du recul par rapport à cette histoire. Un jour que j'étais à l'école ( école de commerce ), j'ai craqué, je me remémorais en boucle la soirée et je me demandais comment cela a t-il pu arriver. Malheuresement je ne trouvais pas de réponses à ma question. Ce jour là, Adia passait par là et elle m'a entendu pleurer. On était pas spécialement proche, mais elle m'a écouté avec tout l'attention du monde et ne m'a pas juger. Elle ne m'a pas sortit les grandes phrases du style : " t'aurais jamais dû aller chez un mec que tu ne connaissais pas " ou encore " t'as été trop bête ". Elle m'a juste écouté et ça m'a fait du bien.
Moi : Donc la fois où on est allée chez elle, ce n'était pas une coïncidence ?
Julie : Non, on devait discuter de ma vengeance, comment j'allais le faire payer. Et puis elle a eu cette idée folle. Elle voulait qu'on se lui film, elle et moi avec lui pour l'envoyer à sa femme.
Moi : T'as pas fait ça Julie ?
Julie :
Moi : Dis moi que tu n'as pas fait ça ?
Julie : J'aurais dû faire quoi selon toi, hein ? Je n'avais aucun autre moyen de pression sur lui ! Comme il me prenait pour une prostituée, j'allais faire ma prostituée. Alors, un soir je l'ai appelé, je lui ai donné rendez vous dans un hotel. Je lui avais précisé que je n'étais pas seul, et ça n'avais pas l'air de lui déplaire. Avant qu'il n'arrive on a bien prit le soin de placer une caméra en face de lit. Quand il est arrivé, Adia et moi portions des masques. Il ne fallait pas qu'on nous reconnaisse ! Mais lui il n'a même pas fait attention à ce " détail ". Il s'est passé ce qu'il devait se passait. Puis lorsqu'il s'est endormi, on a fouillé dans ses affaires pour trouver son adresse personnelle mais surtout son adresse professionelle. Dès qu'on l'a trouvé, on a prit la caméra avant même de recevoir l'argent et on est partit. Je ne remercierais jamais Adia pour ce qu'elle a fait pour moi ! Le lendemain, on a envoyé la vidéo à sa femme et à son bureau avec la mention " à ouvrir en salle de réunion ". Et ce matin, je l'ai vu devant l'école, je ne comprenais pas comment il avait pu trouver là où je travaillé. Il était avec 2hommes.
Moi : C'est lui qui t'as fait ça ?
Julie : Oui, enfin ces 2hommes mais ça ce n'est pas le pire
Et elle se remit à pleurer
Julie : Adia a disparue
Moi : Qu'est ce que tu veux dire par * Adia a disparue * ?
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karrdr · 7 years
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#METOO, MASTER OF ALL ? (PREMIÈRE PARTIE)
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Difficile d'être un homme en ce moment. D’aucuns craindraient l'hystérisation du « débat », la délation ou tout simplement la ruine. A #metoo, répondirent « pas moi » ou « pas tous les hommes » ; et quand bien même la libération de la parole de millions de femmes à travers le monde, le spotlight est resté braqué sur les célébrités et autres personnalités qui faisaient déjà la une de nos newsfeeds avec peut-être l’avantage d’une dénomination plus claire du problème qui occupe les esprits : le viol, les agressions sexuelles, la coercition par un homme, figure d'autorité, et puis surtout l'impunité de ces crimes. Une image somme toute assez nette… manichéenne, permettant pour un temps de choisir le camp du « bien » sans trop se remuer les méninges. L’affaire Aziz Ansari arrive juste à temps pour finir de flouter la compréhension déjà vaseuse de ce qu’est le consentement.
Le 13 janvier dernier, le site Babe dot net publie un compte-rendu des « mésaventures » de Grace (nom changé afin de préserver l’anonymat de la narratrice) avec la star de Master of None.
Aziz Ansari s’est positivement fait remarquer ces dernières années – pur produit du multiculturalisme à l'américaine, c’est un millennial d’origine sub-asiatique qui a su trouver sa place dans le tout Hollywood, notamment au travers de sa série à succès, Master of None.
Surtout, Ansari est un féministe autoproclamé qui aime faire des relations hommes/femmes le centre de ses productions et qui a même écrit un livre – Modern Romance: An Investigation – traitant du sujet. Ansari est le nouveau boy-next-door jouant savamment de son image inoffensive et drôle et c’est à la fois un self-made man dans la plus pure tradition Américaine.
De Grace, on ne sait pas grand-chose sinon qu’elle est photographe, mais c’est le récit clinique et glaçant qu’elle fait de sa rencontre avec Ansari qui vient pulvériser l’image que s’est construite l’artiste et avec celle-ci, l’image que l'Amérique s’est faite de lui. On reprochera d’ailleurs à Babe un certain cynisme, plus grave encore, de faire perdre son focus à #metoo pour ce qui s’apparenterait au mieux à une retranscription sulfureuse d’un rendez-vous décevant, au pire la plume vengeresse d’une fan désappointée.
Mais voilà, la machine s’est emballée : leçon de morale après leçon de morale, le récit de Grace n’est devenu qu’une tentative vaine de créer le buzz, de profiter de l’attention et du prétendu pouvoir qu’auraient les femmes de nuire aux hommes qui les auraient abusées.
Un peu de distance suffirait à faire remarquer qu’Ansari est bien loin d’être au fond du trou, que les Winstein et Spacey de ce monde se contentent juste de faire profil bas alors qu’Allen jouit encore pleinement de ses passe-droits.
Alors pourquoi cette histoire nous hérisse-t-elle autant ?
Pourquoi Grace cristallise-t-elle autant de colère et de mépris ?
Comme bien souvent lorsqu’une femme ose faire part d’une possible « mésaventure » d’ordre sexuel, son récit est haché menu, disséqué, analysé afin de prouver qu’elle ment – coupable jusqu’à preuve du contraire. Alors bien sûr, dans un contexte aussi pesant que celui de #metoo, il n’est pas étonnant que son histoire soit observée à la loupe ; et l’on pourrait relever plusieurs points de tension :
1. Quelle crédibilité accorder à Babe ?
Les révélations qui ont mis à nu Weinstein et tous les autres sont le fruit de mois, voire d’années d’enquête minutieuse menée par des équipes de choc au sein de rédactions de prestige comme le New York Times ou le New Yorker qui n’ont plus à faire leurs preuves.
En face, Babe n’est qu’un pure player obscure[1] cultivant une image sulfureuse sous couvert de féminisme (?), de girl power, ou d’un quelconque [insérer un concept fumeux] positivity comme les millennials en ont le secret.
Que Babe publie un article à charge à l’encontre du quasi petit fiancé de l’Amérique fleure plus comme un coup de pub savamment concocté que comme du grand journalisme d’investigation. Il serait bien aisé de remettre en doute les procédés de vérification et de validation d’un média qui a clairement fait du click bait son modèle de financement.
2. Ce n’est pas (aus)si important
Face aux accusations portées à l’encontre de Winstein ou Spacey – coupables de harcèlement sexuel et/ou de viol répétés au cours des dernières décennies, il est certain qu’une seule « mauvaise » soirée en compagnie d’Aziz Ansari parait bien inoffensive.
D’ailleurs Grace n’accuse pas l’acteur directement – l’article est intitulé : « I went on a date with Aziz Ansari. It turned into the worst night of my life » comme des centaines d’articles à sensation parus avant lui dans des magazines people que tout le monde prétend ne pas lire. Alors est-ce qu’elle n’en ferait pas un peu trop ?
Ne ferait-on pas quelque part le procès de la banalité de cet incident, comme s’il n’était pas suffisamment extraordinaire pour qu’on y prête attention.
3. Grace est anonyme
A l’heure d’Internet et de ses légions de trolls sans visage, l’anonymat est vu d’un très mauvais œil – ce serait faire acte de lâcheté que de se cacher derrière un pseudonyme, une exacerbation de la veulerie d’une attaque déjà considérée comme profondément injuste.
Pire encore, l’anonymat empêcherait de ressentir de la sympathie pour quelqu’un dont on ne sait rien sinon qu’elle partage la même passion de la photographie argentique qu’Ansari. Impossible donc de se mettre à sa place ou de se reconnaître en elle.
Les victimes d’agressions sexuelles sont déjà rendues responsables de leur malheur alors que l’on connaît leur identité. Imaginez lorsqu’elles témoignent face cachée ?
4. Le cliché de la victime
A tout cela s’ajoute le fait que Grace ne soit pas une victime « pure ». Elle n’est ni la damoiselle en détresse, ni la jeune femme sans défense que l’on aime à s’imaginer dans ces situations, et c’est bien là tout le problème. Dès qu’une femme n’est pas dans une position évidente de faiblesse, il devient clair que si elle a su s’attirer des problèmes toute seule, elle devrait aussi pouvoir s’en dépatouiller ou en assumer les conséquences quelles qu’elles puissent être.
Plus désolant s’il était possible, Grace apparait comme une gold digger tentant de profiter de la gloire d’Ansari, une pseudo starlette en mal de célébrité. Aux oreilles de beaucoup son récit résonne comme un échange quasi marchant : l’attention d’Ansari contre du sexe. Quand bien même, n’aurait-elle pas eu le droit de changer d’avis une fois sur place ? ou d’attendre d’Ansari qu’il la traite simplement comme un être humain ?
5. L’indécence du détail
Le compte rendu de Babe dot net revient en grands détails sur cette fameuse rencontre – des détails donnés froidement à vous en rendre malade justement parce que jamais romancés.
Le cerveau humain est toujours en recherche d’une échappatoire à ce qu’il a du mal à traiter. La romancisation des faits ouvre à l’interprétation et permet de tirer ses propres conclusions ou de s’identifier aux personnages. Ici, ce travail est impossible rendant l’empathie inconcevable. L’on est forcé de faire face aux événements tels que décrits.
6. Le public aime Aziz Ansari
C’est aussi simple que ça et ce récit vient à l’encontre de tout ce que l’on aimerait penser de lui. Il n’aurait pas tant les pieds sur terre que cela, ne serait pas si accessible (il la rejette une première fois avant d’accepter d’échanger leurs numéros de téléphone), il fait partie du cercle des puissants – il habite maintenant à TriBeCa.
Même la mention de Taylor Swift n’est pas anodine. La chanteuse de Reputation est aussi WASP que l’on puisse être et est particulièrement connue pour sa sournoiserie (son dernier album est une ode à sa personnalité serpentine). Ansari serait coupable de la même sournoiserie par simple association (il veut que leur rencontre reste secrète, lui demandant d’user du pseudonyme « Essence » pour lui appeler un taxi).
Ansari appartient aussi à une double minorité – d’origine Indienne et musulman – son profil ne court certainement pas les rues d’Hollywood. Des éléments qui feront les minorités le soutenir mordicus comme elles l’ont fait avant avec Cosby, R. Kelly ou O.J. avant lui. Il fait partie des minorités modèles – celles qui ont réussi à s’intégrer. Personne n’a intérêt à voir cette image voler en éclats pour une soirée somme toute sans importance.
Tout cela fait-il d’Ansari la vraie victime de cette affaire ?
Quoi que l’on veuille reprocher à Grace, l’attitude d’Ansari n’en est pas moins déplorable. Au contraire, elle est tout particulièrement significative : elle est l’expression d’un désir d’obtenir coûte que coûte ce qu’il pense lui être déjà acquis.
Cela se traduit par :
• Sa précipitation. Ansari expédie leur dîner afin de rentrer au plus vite chez lui. Dès le pas de la porte passé, il l’invite à s’asseoir sur le comptoir de la cuisine où il la déshabille presque immédiatement pour lui faire un cunnilingus.
• Son manque d’écoute. A plusieurs reprises, Grace manifeste son inconfort ou son désir de ralentir – verbalement et non verbalement. Ansari feint de l’écouter, calmant le jeu à chaque fois l’affaire de quelques minutes avant de se remettre à insister lourdement.
• Son agressivité. Alors même que Grace lui a fait part de son besoin de douceur, Ansari continue pourtant de lui mettre les doigts dans la bouche dans le but d’essayer de la pénétrer digitalement. Symboliquement fort, c’est comme s’il cherchait son silence.
• Il l’invite aussi à boire à plusieurs reprises, ce qui n’est pas non plus bénin.
Il ne s’agit que d’un avis personnel, mais je doute que la majorité des femmes imagine leur première fois avec un homme qu’elles viennent de rencontrer se dérouler à la façon d’un film X – à moins que ce soit là le but.
« Pourquoi n’a-t-elle tout simplement pas dit non ? »
L’inévitable question. C’est bien ce qu’on nous apprend : dire « NON ! » fermement, se débattre, crier s’il le faut. Pourtant les femmes imposent rarement un « non » à leurs partenaires. A la place, elles diront :
• « Attends… »
• « Ralentis… »
• « Je ne suis pas à l’aise… »
• « Je n’aime pas trop ça… »
Ou elles resteront silencieuses et immobiles en attendant que ça passe ou en espérant que leur partenaire daigne comprendre. Mais jamais un « non » franc.
Les hommes n’aiment pas s’entendre dire « non »
« Non » est pour eux l’occasion d’insister, souvent avec une escalade dans la violence. Pour une femme, « non » équivaut à prendre le risque de précipiter ce qui pourrait rapidement devenir un viol.
Alors demandera-t-on encore :
• « Pourquoi aller chez quelqu’un qu’on ne connait pas ? » en omettant gracieusement que des agressions sexuelles/viols sont majoritairement commis par des proches.
• « Elle devait bien savoir ce qu’il attendait d’elle, non ? » en prenant bien soin de repousser l’idée qu’elle puisse peut-être vouloir autre chose, elle.
• « Pourquoi avoir accepté de lui faire une fellation ? » en ignorant volontiers que les femmes cèdent souvent à la pression de leurs partenaires en espérant la paix ou pour faire plaisir.
• « Pourquoi ne pas être partie plus tôt ? » en ne se doutant pas que même ça relève d’une fine négociation afin de ne pas brusquer les sentiments de son partenaire toujours dans le but de ne pas provoquer de réactions violentes. Ou tout simplement, peut-être qu’elle espérait qu’il l’écoute et change d’attitude…
N’est-ce pas naturel de s’attendre à ce que la personne avec qui vous passez un bon moment vous respecte suffisamment pour ne pas vous traiter comme un simple morceau de viande ? Il semblerait que non.
Et si on changeait de focus ?
Au lieu de blâmer les victimes, peut-être faudrait-il jeter un œil aux fondations du problème.
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intimithe · 5 years
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🎉La Gueule de bois, la migraine, quand la réalité succède aux espoirs d’un avenir meilleur. Bref quand on a abusé la veille ! 🎉 🍻 🥂 🥃 🍺 🍷 🍾 😀 😁 😂🤣 🥳 🥴 😵 🤢 🤮 😴 😖 🍵 😑😐 😁 ✴️ Plus que quelques jours pour profiter de notre offre spéciale fin d'année. L'abus d'alcool est dangereux pour la santé ». La mention « À consommer avec modération. 📣 6,90€ au lieu de 8,90€ 🥂 ⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️⬇️ https://douceurthe.com/tisanes-nature-douceur-the/tisane-anti-gueule-de-bois-et-mal-au-cheveux.html https://www.instagram.com/p/B6Kdolbo2aQ/?igshid=1kddlu83zenly
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piizunn · 1 year
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i just received the most mean insane abusive text ever from my stepdad
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artwalktv · 5 years
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Elle pis son char Court métrage documentaire | 2015 | 28 min | Produit par Loïc Darses et distribué par Travelling Distribution A Woman and Her Car Documentary short film | 2015 | 28 min | Produced by Loïc Darses and distributed by Travelling Distribution 31 décembre 2003. Poussée par un puissant instinct de survie et de liberté, Lucie décide d’écrire une lettre à l’homme qui a abusé d’elle de l’âge de 8 ans à 12 ans. Après quoi elle prend sa caméra, son char et se résout à lui porter cette lettre en main propre, où qu’il soit. But : redonner à son agresseur la honte et la douleur subies à tort pendant toutes ces années. December the 31th, 2003. Driven by a powerful instinct for survival and freedom, Lucie decides to write a letter to the man who abused her from the age of 8 to 12 years old. She then takes her camera, her car and resolves herself to bring him this letter in person, wherever he may be. Purpose: give back to her aggressor the shame and pain she withheld wrongly for all theses years. Scénario et réalisation. Loïc Darses Idée originale et images MiniDV. Lucie S. Tremblay Direction de la photographie. Hubert Auger Montage. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Prise de son. Philippe Lefebvre Musique originale. Max Romain Mixage. Clovis Gouaillier Avec. Lucie Tremblay, Loïc Darses et Yohann Darses Screenplay and directing. Loïc Darses Story and MiniDV images. Lucie S. Tremblay Cinematography. Hubert Auger Editing. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Sound. Philippe Lefebvre Music. Max Romain Sound mixing. Clovis Gouaillier With. Lucie Tremblay, Loïc Darses and Yohann Darses En compétition | Sundance Film Festival (2016) En compétition | International Film Festival Rotterdam (2016) Grand Prix du meilleur court métrage | Plein(s) Écran(s) (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Rendez-vous Québec Cinéma (2016) Prix du Jury | Busan International Short Film Festival (2016) Prix du meilleur court métrage étudiant | Molodist Kyiv International Film Festival (2016) Mention spéciale du Jury | Rencontres internationales du documentaire de Montréal (2015) Prix AQCC, Prix TV5/UNIS.TV et Prix INIS | Gala Prends ça court! (2016) Mention spéciale du Syndicat français de la Critique | Poitiers Film Festival (2015) Mention spéciale du Jury | Festival international du court métrage au Saguenay REGARD (2016) Mention spéciale du Jury | Geneva International Film Festival (2016) Mention spéciale du Jury | Belo Horizonte International Short Film Festival (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Festival Partie(s) de Campagne (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Montevideo International Film Schools Festival (2015) Prix du meilleur court métrage | Festival Vues sur mer (2016) Mention spéciale du Jury | Cinema on the Bayou Film Festival (2016) Grand Prix du meilleur court métrage | Festival Signes de Nuit à Paris (2016) Grand Prix du meilleur documentaire | Festival Signes de Nuit à San Miguel de Tucumán (2016) Prix de Nuit | Festival Signes de Nuit à Bangkok (2016) Prix de Nuit | Festival Signes de Nuit à Urbino (2016) Prix Signes | Festival Signes de Nuit à Berlin (2016) En compétition | Hamburg International Short Film Festival (2016) En compétition | Festival Off-Courts Trouville (2016) En compétition | Festival de cinéma de la ville de Québec (2016) En compétition | Festival international du cinéma francophone en Acadie (2015) En compétition | IndieLisboa (2016) En compétition | Festival international du film policier de Liège (2016) En compétition | Festival international du film de Belgrade (2016) En compétition | Jahorina Film Festival (2016) En compétition | Tel Aviv International Student Film Festival (2015) En compétition | National Taïwan University Film Festival (2016) En compétition | Sehsüchte International Student Film Festival (2016) En compétition | National Taïwan University Art Festival (2016) En compétition | Tabor Film Festival (2016) En compétition | Festival international du film ethnographique du Québec (2016) En compétition | IndieSpace Theater (2016) En compétition | Festival international du film de Calgary (2016) En compétition | Carrousel international du film de Rimouski (2016) En compétition | St. Louis International Film Festival (2016) En compétition | Rendezvous with Madness Film Festival (2016) En compétition | Anchorage International Film Festival (2016) En compétition | Kasseler Dokfest (2016) En compétition | CineMAiubit International Student Film Festival (2016) En présentation | Short & Sweet au Centre culturel canadien à Paris (2016) En présentation | Talent tout court au Centre Phi à Montréal (2016) En présentation | Cinema Politica à Montréal (2016) En présentation | Zagreb Film Festival (2016)
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whileiamdying · 5 years
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Elle pis son char Court métrage documentaire | 2015 | 28 min | Produit par Loïc Darses et distribué par Travelling Distribution A Woman and Her Car Documentary short film | 2015 | 28 min | Produced by Loïc Darses and distributed by Travelling Distribution 31 décembre 2003. Poussée par un puissant instinct de survie et de liberté, Lucie décide d’écrire une lettre à l’homme qui a abusé d’elle de l’âge de 8 ans à 12 ans. Après quoi elle prend sa caméra, son char et se résout à lui porter cette lettre en main propre, où qu’il soit. But : redonner à son agresseur la honte et la douleur subies à tort pendant toutes ces années. December the 31th, 2003. Driven by a powerful instinct for survival and freedom, Lucie decides to write a letter to the man who abused her from the age of 8 to 12 years old. She then takes her camera, her car and resolves herself to bring him this letter in person, wherever he may be. Purpose: give back to her aggressor the shame and pain she withheld wrongly for all theses years. Scénario et réalisation. Loïc Darses Idée originale et images MiniDV. Lucie S. Tremblay Direction de la photographie. Hubert Auger Montage. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Prise de son. Philippe Lefebvre Musique originale. Max Romain Mixage. Clovis Gouaillier Avec. Lucie Tremblay, Loïc Darses et Yohann Darses Screenplay and directing. Loïc Darses Story and MiniDV images. Lucie S. Tremblay Cinematography. Hubert Auger Editing. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Sound. Philippe Lefebvre Music. Max Romain Sound mixing. Clovis Gouaillier With. Lucie Tremblay, Loïc Darses and Yohann Darses En compétition | Sundance Film Festival (2016) En compétition | International Film Festival Rotterdam (2016) Grand Prix du meilleur court métrage | Plein(s) Écran(s) (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Rendez-vous Québec Cinéma (2016) Prix du Jury | Busan International Short Film Festival (2016) Prix du meilleur court métrage étudiant | Molodist Kyiv International Film Festival (2016) Mention spéciale du Jury | Rencontres internationales du documentaire de Montréal (2015) Prix AQCC, Prix TV5/UNIS.TV et Prix INIS | Gala Prends ça court! (2016) Mention spéciale du Syndicat français de la Critique | Poitiers Film Festival (2015) Mention spéciale du Jury | Festival international du court métrage au Saguenay REGARD (2016) Mention spéciale du Jury | Geneva International Film Festival (2016) Mention spéciale du Jury | Belo Horizonte International Short Film Festival (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Festival Partie(s) de Campagne (2016) Prix du meilleur court métrage documentaire | Montevideo International Film Schools Festival (2015) Prix du meilleur court métrage | Festival Vues sur mer (2016) Mention spéciale du Jury | Cinema on the Bayou Film Festival (2016) Grand Prix du meilleur court métrage | Festival Signes de Nuit à Paris (2016) Grand Prix du meilleur documentaire | Festival Signes de Nuit à San Miguel de Tucumán (2016) Prix de Nuit | Festival Signes de Nuit à Bangkok (2016) Prix de Nuit | Festival Signes de Nuit à Urbino (2016) Prix Signes | Festival Signes de Nuit à Berlin (2016) En compétition | Hamburg International Short Film Festival (2016) En compétition | Festival Off-Courts Trouville (2016) En compétition | Festival de cinéma de la ville de Québec (2016) En compétition | Festival international du cinéma francophone en Acadie (2015) En compétition | IndieLisboa (2016) En compétition | Festival international du film policier de Liège (2016) En compétition | Festival international du film de Belgrade (2016) En compétition | Jahorina Film Festival (2016) En compétition | Tel Aviv International Student Film Festival (2015) En compétition | National Taïwan University Film Festival (2016) En compétition | Sehsüchte International Student Film Festival (2016) En compétition | National Taïwan University Art Festival (2016) En compétition | Tabor Film Festival (2016) En compétition | Festival international du film ethnographique du Québec (2016) En compétition | IndieSpace Theater (2016) En compétition | Festival international du film de Calgary (2016) En compétition | Carrousel international du film de Rimouski (2016) En compétition | St. Louis International Film Festival (2016) En compétition | Rendezvous with Madness Film Festival (2016) En compétition | Anchorage International Film Festival (2016) En compétition | Kasseler Dokfest (2016) En compétition | CineMAiubit International Student Film Festival (2016) En présentation | Short & Sweet au Centre culturel canadien à Paris (2016) En présentation | Talent tout court au Centre Phi à Montréal (2016) En présentation | Cinema Politica à Montréal (2016) En présentation | Zagreb Film Festival (2016)
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cinemaclaque-blog · 5 years
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Spider-Man : Far From Home
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Ahh... Spider-Man... New-york, les buildings, l’homme araignée qui se balance de toile en toile... Ah oui merde on est dans le MCU on oublie tout ça...
Far From Home, le road-trip européen pour Spidey, pourquoi pas ? Une fois de plus Marvel maintient son envie de faire de Spider-Man son héros de teen movies, il y a d’ailleurs tous les codes d’un teen movie, mais heureusement (comme pour le premier) le méchant est super bien traité et l’action est excellente dans ce deuxième opus. Mention spéciale à la scène d’illusions qui est géniale.
Le film traite du fait que Peter ne veuille pas endosser son rôle d’Avenger alors que c’était son rêve dans Homecoming et qu’il l’avait plus qu’accepté dans Infinity War et Endgame, tu te dis, mais merde c’est quoi ce délire ? C’est même pas un truc du genre, ouais c’est un ado qui change tout le temps d’avis. Là c’est un gars qui refuse ses responsabilités sans logique et sans raison... Facilité scénaristique, bonjour !
Après l’humour est bien dosé mais par moment trop présent, dans le sens où quasi tous les persos sortent des vannes... Mais ça reste plus digeste qu’un Gardiens 2 ou pire qu’un Thor 3, donc ça va.
Malheureusement, le fait de ne pas mettre Spidey au milieu d’immeubles, limite sa capacité à jouer avec sa toile, même s’il se rattrape sur la scène finale. Mais il ne peut que rester un goût de pas assez après ce film.
De plus, on nous a annoncé une fin de phase 3 ; on a plutôt le droit à une mini ouverture de phase 4 avec Spidey devant reprendre le flambeau de Tony Stark et devenir le chef des avengers. Pour le fan service c’est bien... Dans la logique... M’ouais... 
Ant-Man n’apportait rien en fermeture de phase 2, Far From Home même son de cloche.
Marvel a réussi à mélanger deux genres de cinéma, le super-héros et le teen movie, mais en “sacrifiant” le côté super-pouvoirs vu que la super force et le Spidey sense sont les seuls traités ici. On parle, quand même, d’un gamin pauvre,  ultra intelligent qui peut fabriquer ses propres lance-toiles mais qui est con comme ses pieds. Et surtout qui a besoin que son costume soit rempli de technologies sinon il ne peut rien faire seul, et comme par magie, ces technologies qui vallent des millions lui tombent dans les bras. Ça reste dans la continuité du premier opus celà dit...
Tellement dans la continuité du premier, que la première scène post-gé se finit sur les mêmes mots que la fin d’Homecoming. D’ailleurs Tante May qui découvre que son neveu est Spider-Man, quelle va être leur relation après cette découverte, quelle sera sa réaction ? Bah pour la relation c’est la même qu’avant, sauf que tatie fait des blagues sur les (le ?) pouvoirs de Peter. Pour sa réaction ? On sait pas, à part le WTF en fin d’Homecoming on en sait pas plus ; pas de discussion à ce sujet, même pas un petit mot sur l’oncle Ben qui n’existe pas dans cette version du MCU faut croire...
Pour conclure, car je m’éparpille sans arrêt, une suite meilleure que son prédécesseur ; avec les mêmes défauts (raccourcis scénaristiques, tout expliquer car le spectateur est con, pas assez d’accrobaties pour le monte en l’air, t’as compris que c’était le prochain Iron Man ? Pour être sûr on va te le faire comprendre de NOMBREUSES fois !) et les mêmes qualités (un bon mix entre super-héros et teen movie, super vilain, des scènes d’action réussies, même mieux réussies).
Toujours pas le meilleur film Spider-Man, mais bon Dieu, qu’est-ce que les méchants sont bons dans cette saga signée MCU. Je me demande même si un Sinister Six fait par le MCU ne serait pas largement meilleur !
Spoilers :  Lors de la scène des illusions, quand on voit la tombe je me suis dis ça y est enfin un clin d’oeil à oncle Ben ! Mais même pas, c’est ce foutu Tony Stark ! Et la première scène poste-gé... Le gars virevolte avec MJ la dépose, tape la discute et personne ne réagit ; normal. J. Jonah Jameson enfin ! J.K Simmons ? Sérieux ? Pour certain c’est la preuve d’un multivers, pour moi c’est juste un clin d’oeil, histoire de se rapprocher un peu plus de la première/meilleure saga. Et d’un coup bim, tout le monde connait l’identité secrète de Spider-Man. Mais merde à la fin, on le sait que c’est le nouveau Tony Stark, alors en rajouter en faisant en sorte que son identité soit révélée au monde entier pour en faire un mini Iron Man, ça en devient abusé et usant ! Déjà que dans le MCU les héros ne font que se balader sans leur masque, si tout le monde doit savoir qui ils sont pour permettre de ne pas se prendre la tête à les montrer sous leur masque en public, arrêtez les films de super-héros (seule vraie critique récurrente chez Marvel, les mecs font de bons films super-héroïques mais y a toujours ce petit détail bien chiant.)
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christophe76460 · 5 years
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SERIONS NOUS DEVENUS À CE POINT INSOUCIANTS?
«Par ma vie, je l’affirme, moi, le Seigneur Dieu, ta sœur Sodome et les localités voisines n’ont jamais fait autant de mal que toi et les localités voisines. Voici quelles furent leurs fautes: elles ont vécu dans l’orgueil, le rassasiement et une tranquille insouciance; elles n’ont pas secouru les pauvres et les défavorisés. Elles sont devenues hautaines et ont commis des actes qui me sont insupportables. Alors je les ai fait disparaître de la terre, comme tu le sais.» ‭‭Ézékiel‬ ‭16:48-50‬ ‭FRC97‬‬
Les Israélites avaient été insouciants et le prophète Ézékiel adresse des paroles d’avertissement aux Juifs déportés à Babylone et ceux restés à Jérusalem. On y retrouve 3 choses dont notre société même est coupable aujourd’hui :
1. L’orgueil 2. Le rassasiement 3. Une tranquille insouciance
Ce qui est frappant ici c’est cette déclaration ou l’on sent le cœur de Dieu : « elles n’ont pas secouru les pauvres et les défavorisés »
En discutant avec des amis pasteurs de la France. Ils me disaient qu’ils étaient allés voir le maire de la ville pour lui faire mention de l’œuvre social qu’ils allaient établir dans la ville pour nourrir et habiller les démunis et la réponse du maire a été celle-ci: « Ne faites pas ça car cela va attirer les pauvres dans la ville » 🥴 l’Église n’est pas appelé à être un « BLESS ME CLUB » mais à prendre soin des pauvres, des démunis, des délaissés, des abusés, des ignorés...
Mon conseil aujourd’hui? Vous voulez la faveur de Dieu sur vous et votre église ? Prenez soin des pauvres...Nous avons tous les moyens de le faire!
Bonne journée !
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reseau-actu · 6 years
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La justice vient d’ouvrir 15 enquêtes visant des parlementaires soupçonnés d’avoir abusé de leurs frais de mandat. L’impunité dont ont bénéficié députés et sénateurs pendant des années semble révolue. Mais les règles récemment adoptées par les assemblées paraissent encore insuffisantes.
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Quinze parlementaires ou ex-parlementaires sont actuellement visés par des enquêtes préliminaires pour de possibles usages illicites de leur enveloppe de frais de mandat entre 2012 et 2017. D’après nos informations, parmi les quinze parlementaires visés, cinq sénateurs et deux députés siègent toujours dans les assemblées. Leurs noms sont pour l’instant inconnus. Ces sept députés et huit sénateurs ont fait l’objet d’un signalement de la HATVP (Haute autorité pour la transparence de la vie publique) auprès du parquet national financier (PNF), qui soupçonne des détournements, à leur profit personnel de leur indemnité représentative de frais de mandat (IRFM). Cette somme forfaitaire d’environ 6 000 euros au Sénat et 5 500 euros à l’Assemblée leur était versée chaque mois afin de payer leurs dépenses non prises en charge directement par les assemblées : frais de permanence électorale, déplacements, communication, réceptions… Les détournements porteraient sur des sommes allant de 20 000 à 80 000 euros.
De possibles abus de prêts accordés par l’Assemblée nationale
Les soupçons de la HATVP sont nés lors de l’examen de la déclaration de patrimoine qu’ils ont dû remplir en fin de mandat en 2017. Des variations suspectes par rapport à la déclaration déposée en début de mandat en 2012 ont conduit la Haute autorité à regarder de près leurs relevés de compte bancaire dédié à l’IRFM. Certains parlementaires auraient utilisé ce compte pour payer des dépenses personnelles.  
Des députés auraient également utilisé le système du "prêt d’honneur" pour s’enrichir. Cette facilité de caisse, toujours en vigueur, permet aux élus d’emprunter à l’Assemblée jusqu’à 18 294 euros, sur 20 mois maximum à 3 % d’intérêts. Comme un crédit revolving, ce prêt est "rechargeable". La seule condition imposée est qu’il soit remboursé avant la fin du mandat. Cette somme peut être utilisée pour payer des dépenses professionnelles ou pour un usage personnel. Dans ce deuxième cas, le prêt doit alors être remboursé par le député via son compte personnel. Mais il semble que certains députés utilisaient en réalité leur IRFM pour rembourser des prêts qui leur étaient accordés à titre privé, ce qui était en contradiction avec le règlement adopté par l’Assemblée en 2015.
Rembourser l’achat de son logement grâce aux frais de mandat
Par le passé, d’autres prêts accordés par les assemblées, aujourd’hui supprimés, ont pu donner lieu à des dérives : les prêts immobiliers. D’après des documents que nous avons pu consulter, ils permettaient aux députés et sénateurs d’emprunter jusqu’à environ 300 000 euros à des taux très avantageux au début des années 2000 (2 % à l’Assemblée, 2,5 % au Sénat). Ces prêts ont notamment permis à certains parlementaires de s’enrichir via l’acquisition de leurs permanences. Mais certains élus empruntaient également pour acheter leur domicile personnel. Un ancien sénateur socialiste, qui tient à garder l’anonymat raconte : "J’ai emprunté 300 000 euros pour acheter mon appartement. J’ai donc rempli le document que m’ont présenté les services du Sénat. Ce n’est que bien plus tard que je me suis rendu compte qu’il prévoyait que les échéances seraient prélevées sur mes frais de mandat. Quand Jean-Pierre Bel est arrivé à la présidence du Sénat, on a mis bon ordre dans tout ça." Effectivement, les prêts immobiliers du Sénat ont été supprimés en 2013. Ceux de l’Assemblée ont pris fin en 2009, mais en 2017, il y en avait encore 80 en cours de remboursement.
En 2015, un règlement… qui ne règle rien
Ces abus ont été rendus possibles par l’absence totale de contrôle exercé sur ces sommes depuis la création des premières enveloppes pour frais de mandat en 1953. Jusqu’en 2015, aucun texte ne fixait précisément les conditions de leur usage. En 2012, Mediapart révèle que certains députés paient des dépenses personnelles avec leur IRFM. Sous la pression, le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone annonce une première réforme du système : les députés devront signer une déclaration sur l’honneur attestant qu’ils ont fait bon usage de leur indemnité de frais de mandat. Mais il refuse totalement le principe du contrôle des factures des députés.
dailymotion
Une députée LREM payait ses dépenses personnelles sur ses frais de mandat
Il faudra en fait attendre 2015 pour que cette déclaration sur l’honneur existe, ainsi qu’une première liste d’usages autorisés de l’IRFM. Pour autant, les dérives ont perduré. Nous nous sommes procuré les relevés de compte d’IRFM d’Anne-Christine Lang sur l’année 2016. Elle était à l’époque membre du groupe socialiste. Cette députée de Paris siège toujours à l’Assemblée, mais sous l’étiquette LREM. 
Les relevés que nous avons pu examiner couvrent une période qui va de février à septembre 2016. On y trouve notamment des frais médicaux : cinq paiements à des médecins (dont 1 000 euros payés en carte bleue à un stomatologue et 680 euros payés à un autre spécialiste) et 11 règlements dans des pharmacies pour 360 euros au total. Des paiements d’autant plus problématiques qu’ils étaient par ailleurs remboursés – au moins partiellement – à la députée sur son compte personnel. "Je pensais de bonne foi que l’assemblée nationale remboursait ces frais sur mon compte IRFM, nous a expliqué Anne-Christine Lang au téléphone, puis dans un mail. Il s’agit d’une négligence de ma part" ajoute-t-elle.
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Extrait d'un relevé de compte bancaire dédié à l'IRFM de la députée Anne-Christine Lang.  (DR)
En six mois, elle a également utilisé 22 fois sa carte bleue de députée dans des supermarchés, dont 15 dans celui qui se trouve juste à côté de son domicile, pour un total de 1 539 euros. Il s’agissait, selon elle, d’achats de vêtements (qui sont autorisés) ou "de petits achats pour des réunions ou plus rarement de grosses courses pour l'organisation d'une soirée militante", explique-t-elle. Mais lorsqu’on lui fait remarquer un paiement de 111 euros chez Leclerc, dans une station balnéaire où elle partait en vacances, Anne-Christine Lang évoque à nouveau "une négligence".
Les relevés font également apparaître sept paiements dans des magasins de jouets ou de puériculture, pour un total de près de 600 euros. "Ce sont probablement des cadeaux pour des naissances ou mariage" nous a expliqué la députée sans pouvoir nous dire précisément lesquels, et sans exclure encore de possibles "négligences". Elle explique de la même façon le fait qu’elle ait pu payer, à quelques reprises, des péages d’autoroute sur la route des vacances depuis son compte dédié à l’IRFM.
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Extrait d'un relevé de gestion de l'IRFM de la députée Anne-Christine Lang.  (DR)
Jusqu’à 2 000 euros de retraits en liquide par mois
Autre constat : la députée retirait tous les mois en moyenne 1 500 euros d’argent liquide et jusqu’à 2 070 euros pour la période du 11 juin au 13 juillet 2016. Au téléphone, Anne-Christine Lang nous a expliqué qu’elle préférait "régler en liquide pour des raisons de confidentialité. Je n’avais pas envie qu’on sache où je mangeais, avec qui, etc." Selon elle, ces sommes servaient bien à payer des dépenses professionnelles. Néanmoins, ses relevés font apparaître un retrait de 250 livres sterling, en août 2016, en Angleterre, alors qu’elle y passait des vacances, selon nos informations, ce qu’elle nous a confirmé. "J’ai organisé deux dîners" nous a-t-elle affirmé dans un premier temps au téléphone, sans vouloir nous dire avec qui, avant de nous donner une autre explication par mail : "J'ai réglé un 'pot' avec des élues féministes anglaises et une veste à Canterbury" écrit-elle, sans nous préciser l'identité des élues.
Enfin, un dernier point a attiré notre attention, cette fois-ci sur les relevés de gestion de son IRFM que lui envoyait tous les mois l’Assemblée nationale et que nous avons également obtenus. Sur six mois, tous portent la mention "Remboursement prêt d’honneur" pour 978 euros. Anne-Christine Lang nous a effectivement confirmé qu’elle a bénéficié d’un prêt à usage personnel (voir plus haut) de l’Assemblée pour un montant de 18 000 euros fin 2014. Ce prêt était donc remboursé par prélèvement sur son indemnité de frais de mandat, comme en attestent les relevés de gestion. Cette situation semble problématique, Anne-Christine Lang ayant signé en 2016 une déclaration sur l’honneur attestant qu’elle avait bien utilisé l’IRFM aux fins définies dans le règlement de l’Assemblée. Or ce type de prêt à usage personnel n’en faisait pas partie. La députée, elle, affirme qu’elle s’est conformée aux règles fixées par l’Assemblée. D'après nos informations, Anne-Christine Lang ne fait pas partie des 15 parlementaires actuellement visés par des enquêtes préliminaires.
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Anne-Christine Lang à l'Assemblée nationale le 26 juin 2017 (JACQUES DEMARTHON / AFP)
La réforme de 2017, une occasion ratée
Depuis la fin 2017, un nouveau règlement est en vigueur à l'Assemblée nationale. L’IRFM est désormais remplacée par l’AFM (avance de frais de mandat) : les députés et sénateurs continuent de toucher respectivement 5 500 et 6 000 euros tous les mois. La nouveauté est qu’ils devront être capables de justifier leurs dépenses en cas de contrôle. Néanmoins, pour Paul Cassia, professeur de Droit à l'université Paris 1, "il n’y a pas de contrôle des frais de mandat. C’est de l’enfumage ! Les sénateurs seront contrôlés par leur comité de déontologie, qui est composé de sénateurs, poursuit-il. L’autocontrôle n’est pas un contrôle. Imaginons que le président du Sénat, Gérard Larcher, utilise mal ses frais de mandat. Qui va aller lui dire ?" François Pillet, le président du comité de déontologie au Palais du Luxembourg précise : "Nous serons assistés d’experts comptables qui effectueront les contrôles". Oui, mais les rapports des expert comptables seront-ils publics afin de s’assurer qu’il n’y aura pas d’arrangements entre sénateurs ? Réponse : "Non… Ils resteront secrets". En dernier ressort, c’est le bureau du Sénat qui décidera d’éventuelles sanctions en cas d’abus, là encore, dans le secret de son huis clos.
À l’Assemblée nationale, c’est également le bureau qui prendra, le cas échéant, des sanctions. Une "mauvaise idée" pour l’ancienne députée PS Barbara Romagnan : "Que le bureau fasse correctement son travail ou pas, de toute façon les citoyens seront fondés à penser qu’il peut y avoir des arrangements entre groupes politiques pour qu’on n’en parle pas". Le bureau de l’Assemblée devra en tout cas faire la preuve de sa transparence sur ces sujets. D’après nos informations, au cours de la législature 2012-2017, il a été saisi au moins une dizaine de fois pour des cas d’abus d’usage d’IRFM. Aucun compte rendu de ses réunions sur cette période n’en fait état
"L’argent de poche" des députés et sénateurs
Les parlementaires se sont accordés une enveloppe mensuelle pour laquelle ils n’auront pas besoin de justificatifs. D’un montant de 600 euros pour les députés, elle s’élève à 885 euros chez les sénateurs. Une décision étonnante, qui serait de surcroît contraire à la loi du 15 septembre 2017 selon le juriste Paul Cassia : "La loi ne permet que deux régimes de paiement des frais des parlementaires : ou la prise en charge directe par les assemblées, ou le remboursement sur facture. Les députés et les sénateurs ont contourné la loi. Ces sommes, c’est de l’argent de poche !"  
Questeur de l’Assemblée nationale, le député LREM d’Ille-et-Vilaine Florian Bachelier masque à peine sa gêne quand on lui demande ce qui a conduit à cette disposition : "Personnellement j’étais pour la justification au premier euro, explique-t-il, mais c’est un équilibre qui a été trouvé avec les députés des circonscriptions rurales qui se demandaient notamment comment ils allaient pouvoir justifier leurs dépense quand ils paient un pot à un tournoi de foot par exemple." Tous ne sont néanmoins pas sur cette ligne. Le député LREM du Maine-et-Loire Matthieu Orphelin a décidé qu’il ne profiterait pas de cette facilité. Il justifiera toutes ses dépenses : "Six cents euros c’est énorme ! estime-t-il. Dans toutes les entreprises ou les associations où j’ai travaillé, quand j’achetais un ticket de métro, il me fallait un justificatif pour être remboursé. Pour moi, ces 600 euros n’ont pas de sens, et ça jette un petit voile de doute là où il n’y en pas besoin."
Quand la déontologue de l’Assemblée critique la réforme du système
Les députés, comme les sénateurs, ne seront pas contrôlés tous les ans. Les règlements des deux assemblées expliquent seulement qu’ils devront l’être "au moins une fois par mandat".
À l’Assemblée, c’est la déontologue qui sera chargée de ces contrôles. Salariée à mi-temps par le Palais Bourbon, Agnès Roblot-Troizier ne dispose pas des moyens lui permettant de contrôler toutes les factures des 577 députés. Cette professeure de Droit a surtout jeté un froid, en novembre 2017, quand elle a été amenée à rendre son avis sur la réforme du contrôle des frais de mandat. Dans un document de 11 pages, qui n’a pas été rendu public par l’Assemblée (voir ci-dessous), elle dénonce la façon dont les députés ont interprété la loi pour la confiance dans la vie politique. Elle pointe notamment les 600 euros mensuels non justifiables et le fait qu’ils puissent lui opposer le secret sur certaines informations telles que le nom des personnes qu’ils ont invité au restaurant. Sa conclusion est cinglante : "Il m'apparaît que le projet soumis au Bureau est […] très en-deçà de l'objectif législatif tendant à contribuer au rétablissement de la confiance entre les citoyens et les parlementaires grâce au contrôle de leurs dépenses. […] Le contrôle de qualification juridique des frais de mandat prévu par la loi laisse place à une vérification comptable partielle et imparfaite."
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nagissons · 8 years
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TW : mention d’abus physiques
Bonjour, voilà je voulais juste parler du fais que les professions médicales (médecins infirmiers maieuticiens ...) sont parmis les plus à risques de problèmes psy et de leur complication principale qu'est le suicide, et pourtant encore aujourd'hui, on me dit de baisser la voix quand je parle de ma maladie (trouble borderline+c-ptsd+TAG+ TCA (boulimie)) à la fac. Moi je suis fière pourtant, parceque j'ai survécu, je me soigne et je me vois guérir. Si mon père m'avait abusé physiquement et si j'avais besoin d'une réadaptation physique on me laisserait être fière, on me laisserait parler. Mais non, toute ma maladie est dans ma tête et je dois l'y garder cacher. Le tabou de la maladie mentale reste si puissant et notamment chez les pro de santé. Jai aussi le double handicap d'un traitement très lourds qui me bloque dans mon travail personnel (mais qui me stabilise enfin psychologiquement) mais ce tabou implique que je sois obligée de le gérer seule.
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waladri-blog · 8 years
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Melbourne et Sydney
Nous voila arrivés à Melbourne, 2eme ville du pays, connue pour son street art et sa douceur de vivre. Notre Airbnb est bien situé, au 24eme étage d'un gratte ciel tout vitré du Central business district, avec piscine, salle de sport et sauna au 2eme étage. Quel plaisir de retrouver une salle de bain à soi et un lit king size! (Enfin, pour nous, car le bon Casp a gardé les bonnes habitudes avec son "immense" matelas gonflable 1 place ;)) La ville est coupée en deux par un fleuve ce qui nous permet de flâner gentiment sur les quais complètement piétons jusqu'au Botanic Garden. Le centre ville est lui aussi très animé avec de nombreux galeries commerçantes datant du debut du XXeme siecle. La température monte (ce qui nous change un peu;p) mais heureusement Melbourne regorge de bars en plein air où nous sirotons des bières et des Pim's (consommés ici à partir de 15h, ils commencent l'apéro un peu tôt les australiens ;)), le fameux cocktail rafraîchissant rempli de morceau de fruits frais, à la mode dans les courses hippiques britanniques. Difficile de se dire que Noël approche sous cette chaleur! Le 24 décembre, nous décidons d'aller faire quelques emplettes dans les anciennes halles de Melbourne où se tient un marché gigantesque tous les jours. Crevettes, huîtres, noix de saint Jacques, fromages, petites pâtisseries à la française, sparkling, vin blanc et de quoi faire un risotto; nous sommes parés pour le reveillon de Noël ! On a même fini par trouver du foie gras!!! C'est avec toutes ces bonnes choses que Casp nous a préparé un vrai petit festin! Les "talents créatifs" de Walfroy et son retour brutal en grande section de maternelle, nous ont même permis de mettre nos cadeaux autour d'un magnifique, incroyable, grandiose, amazing!!!!!.... sapin de Noël en carton ;) (franchEUment il est beau hein!!) Le lendemain on décide de faire comme beaucoup de Melbourniens, on va fêter Noël à la plage de St Kilda! Petit cadeau supplémentaire : le petit coucou des dauphins lorsque l'on pose nos serviettes sur le sable (encore.... ;p) Lorsque l'on voit débarquer des centaines de jeunes (et ouais on est vieux du coup la) avec des caddies remplis de bières et d'enceintes, on comprend qu'on est bien loin de la fête familiale, c'est plutôt ambiance spring breaker! La chaleur est étouffante et le soleil brûle! C'est la première fois qu'on a des coups de soleil à Noël (et avec patience et détermination Adri a fini par obtenir une couleur pourpre de toute beauté qui lui sied à ravir ;)) Le lendemain on décolle pour Sydney! Notre Airbnb est situé à Potts Point, petit quartier résidentiel plein de resto sympas et bobo (et en tant que critiques culinaires intraitables, on a été obligé de tous les tester forcément...). Notre studio est plutôt mignon mais s'avère être un véritable four! Pas de clim et au moins 35 degré dehors! Ça s'annonce bien! On part très vite à l'assaut de la ville et on tombe sous le charme de cette mégalopole tournée sur la baie! L'Opera, l'Harbour Bridge, the Rocks, on y est!!! Le climat à lui aussi changé, l'air est plus humide, la végétation plus tropicale, le Botanic garden que nous traversons presque tous les jours pour se balader est d'ailleurs magnifique. La ville a su allier modernité et tradition en gardant plusieurs beaux monuments victoriens qui se superposent aux gratte ciel. On sillonne la ville toute la journée en parcourant les différents quartiers souvent regroupés autour de petites baies dans la baie. Le fameux aquarium, des galeries d'art aborigène, le musée d'art contemporain; tout y passe! Mention spéciale au musée de la marine qui aura assouvi bien des fantasmes en pénétrant dans un sous marin, un navire de guerre et un vieux gréement! (Des étoiles dans les yeux, qu'ils avaient ;)) Passage obligé à la plage de Bondi le jour le plus chaud. Le ciel est voilé mais les petites éclaircies donnent un bon aperçu de ce que ça doit être en plein soleil : une grande plage de sable fin avec des aires réservées aux surf et à la baignade, des gens qui courent et qui font de la muscu, on sent qu'on est là pour être vus! Petite balade le long de la côte qui permet de découvrir de jolies baies avec des plages un peu moins bondées. Puis vient le 31 Décembre! D'un commun accord, on s'était dit que quitte à fêter le nouvel an à Sydney, autant faire les choses en grand! Du coup craquage, on s'est donc fait bien plaisir en ayant réservé plusieurs semaines à l'avance une soirée sous l'harbour bridge avec vue sur les feux d'artifices, boisson et nourriture à volonté (on a peut être un peu abusé du sparkling local ;))! Mais entre le drame engendré par la tenue qu'il allait falloir porter ("les meufs vont être en tenue de gala j'vous dis, ma robe est nulle!!!"), les multiples interrogations suscitées par l'orientation exacte du lieu et l'ambiance probable imaginée de cette soirée ("il n'y a que 17 inscrits sur l'event Facebook, ça craint non?!"); on y est presqu'allé à reculons! Heureusement dés notre arrivée on a compris que la soirée allait être géniale! L'emplacement était juste parfait, plein de bonnes choses à grignoter, sparkling et cocktails à volonté et dance floor avec vue sur le pont, c'était juste magique! Les feux d'artifices méritent leur réputation, on n'en avait jamais vu d'aussi beaux!!! Bref, une soirée de nouvel an en grand qu'on ne refera pas tous les jours, il ne manquait que vous :)! Mais déjà notre voyage en australie se termine (ca passe beaucoup trop vite...) et le bon Casp est reparti dans le froid . Il faudra qu'on revienne, il nous reste encore beaucoup d'autres régions à voir. Mais en attendant changement de décor, on decolle pour la nouvelle zelande : première étape chrischurch sur l'île sud. On vous embrasse.
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cyrilcaine · 5 years
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Elle pis son char from Loïc Darses on Vimeo.
Elle pis son char
Court métrage documentaire | 2015 | 28 min | Produit par Loïc Darses et distribué par Travelling Distribution
A Woman and Her Car
Documentary short film | 2015 | 28 min | Produced by Loïc Darses and distributed by Travelling Distribution
31 décembre 2003. Poussée par un puissant instinct de survie et de liberté, Lucie décide d’écrire une lettre à l’homme qui a abusé d’elle de l’âge de 8 ans à 12 ans. Après quoi elle prend sa caméra, son char et se résout à lui porter cette lettre en main propre, où qu’il soit. But : redonner à son agresseur la honte et la douleur subies à tort pendant toutes ces années.
December the 31th, 2003. Driven by a powerful instinct for survival and freedom, Lucie decides to write a letter to the man who abused her from the age of 8 to 12 years old. She then takes her camera, her car and resolves herself to bring him this letter in person, wherever he may be. Purpose: give back to her aggressor the shame and pain she withheld wrongly for all theses years.
Scénario et réalisation. Loïc Darses Idée originale et images MiniDV. Lucie S. Tremblay Direction de la photographie. Hubert Auger Montage. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Prise de son. Philippe Lefebvre Musique originale. Max Romain Mixage. Clovis Gouaillier
Avec. Lucie Tremblay, Loïc Darses et Yohann Darses
Screenplay and directing. Loïc Darses Story and MiniDV images. Lucie S. Tremblay Cinematography. Hubert Auger Editing. Amélie Hardy Datamoshing. Louis Turcotte Sound. Philippe Lefebvre Music. Max Romain Sound mixing. Clovis Gouaillier
With. Lucie Tremblay, Loïc Darses and Yohann Darses
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