Tumgik
#appel de dieu
philoursmars · 1 year
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016. De retour de chez Christine, je passe quelques jours chez ma nièce, à Saint-Gaudens dans le Comminges (entre Toulouse et les Pyrénées)
Ici la collégiale romane : l’intérieur avec de belles tapisseries d’Aubusson et une note assez amusante !
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en train de découvrir le gta rpz (pour le moment donatien de montazac), et les fous rire que ça me donne
je prends des recommandations sur quoi regarder pour une bonne découverte du truc
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kalyria1674-blog · 1 year
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La symbolique de la Chouette et l'Assaillant :
Alors... je viens de relire (de nouveau), le chapitre 88 de SnK et plusieurs interrogations me viennent en tête. Je voulais tout mettre dans le même post mais, comme d'habitude, je me suis laisser emporter et ça donne quelque chose de très long. Peut-être même le plus long que j'ai jamais écrit, d'ailleurs. Oups ?
Donc, l'interrogation que je traiterais ici sera : pourquoi le pseudonyme de la Chouette était-il celui d'Eren Kruger ?
Dit comme ça, je suis d'accord que ça peut paraître bizarre mais il m'est venu à l'esprit que ce choix en particulier était vraiment intéressant, surtout pour un détenteur du titan Assaillant, et ce, pour plusieurs raisons :
La chouette est un oiseau qui, dans SnK, semble représenter la liberté de part sa capacité à aller où elle le désire, sans contrainte aucune. Mais, selon une autre interprétation qui, selon moi, peut très bien aller de pair avec la première, l'oiseau pourrait aussi symboliser la connaissance car plus les personnages en savent et plus ils peuvent prendre des décisions éclairées sur la portée de leurs actes. Dans un monde où ils sont condamnés à souffrir quoiqu'ils fassent, c'est peut-être le meilleur qu'on peut leur souhaiter.
Une autre chose est que la chouette est un animal nocturne, qui attaque de nuit en profitant du couvert de l'ombre et dont la technique de chasse consiste à s'approcher silencieusement de sa proie inconsciente jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Ce qui, à mon sens, se rapporte très bien à l'Assaillant, pas seulement au prédécesseur des deux Jaeger.
Kruger était un espion dans le gouvernement qui, sans se faire identifier, a réussit à participer à la mise en place d'un réseau révolutionnaire juste sous le nez de ses ennemis.
Grisha est parvenu a identifier la famille royale sans attirer leurs soupçons même une seule fois (des années après et, sans doute, une enquête approfondie menée sur le sujet, Rod Reiss dira encore à Eren ''tout ignorer de son père'' ce qui veut dire quelque chose !) et a voler le pouvoir de l'Originel en les approchant au moment où ils étaient le plus vulnérables, l'attention étant accaparé par la chute du mur.
Eren s'est infiltré sur le continent Mahr durant des mois tout en complotant la chute de tous ses ennemis dans l'ombre avec succès, mis en place une cellule dissidente à son propre gouvernement dont personne ne s'est douter jusqu'à ce qu'il soit trop tard et est celui qui a dit que ''l'ignorance était le plus grand ennemi de la liberté''. D'ailleurs, son père avait un crédo semblable au sujet de l'esprit humain ne pouvant être retenu par de simples paroles si je me souviens bien.
Aussi, je ne sais pas pour vous mais j'aime beaucoup l'idée de la chouette pour deux autres raisons :
Il s'agît d'un oiseau prédateur qui n'est donc pas du genre à se laisser traquer sans réagir, ce qui correspond tellement bien à Eren Jaeger que ça me fait sourire rien qu'à y penser.
La symbolique de la chouette, dans la culture européenne est souvent rapporter à la mythologie grecque ou greco-romaine qui est très populaire. Et, ici, la chouette est le symbole d'Athéna, déesse grecque de la connaissance, de la sagesse et de la guerre dans le sens stratégique de celle-ci (Arès en représentant l'aspect combatif et la violence l'accompagnant) de par sa ruse. Alors, je me suis intéressée à ce que je pouvais trouver et, parmi les différentes symboliques rattachés à cette déité, j'ai trouver des choses... troublantes.
Ainsi, outre les caractéristiques précédemment décrites, en me concentrant sur les autres symboles, je me suis rendu compte que l'on comptait parmi ces symboles :
Niké la déesse de la victoire et alliée d'Athéna, soeur des déités de la Force et de l'Ardeur.
L'olivier qui représente, entre autre, la force, la victoire et la sagesse, renforçant ce qui est déjà apporté par le symbole d'Athéna et de la chouette.
Le serpent qui est associé au monde des morts et au savoir, soit divin, soit inquiétant, toujours mystérieux et qui serait capable de révéler l'avenir et le passé.
Mais également, une phrase du philosophe allemand (tiens donc !) du nom de Georg Wilhelm Friederich Hegel est que : ''La chouette de Minerve prend son envol au crépuscule''. Ce qui signifierait quelque chose en rapport avec le retard prit par la conscience humaine sur les évènements mais aussi la façon dont les humains ne prennent conscience de leurs erreurs qu'une fois qu'il est trop tard.
Et, c'est peut-être sans rapport, mais dans le contexte SnK, ça me rappelle les mots d'Eren avant de se transformer face à Annie. Quand il dit qu'il n'a pas le temps de se demander ce qui est juste ou ne l'est pas et qu'il doit agir. Ici, il fait alors passer l'action avant ses propres réflexions et, involontaire ou pas, je trouve que c'est un bel écho à cette phrase. On pourrait aussi parer du fait que, dans SnK, les Assaillants (ainsi que plein d'autres personnages) ne prennent conscience/admettent de leurs erreurs qu'au crépuscule (ou ce qu'il pense l'être, souvent à raison) de leur vie.
Kruger avec les restaurateurs et la torture qu'il a infligé à ses victimes.
Grisha et ses erreurs avec Siëg puis, plus tard, avec les Reiss.
Eren avec le Grand Terrassement/Rumbling.
Sans parler du fait que la passation de pouvoir d'Eren Kruger (qui portait ce pseudonyme) à Grisha a eu lieu au crépuscule, que ce dernier l'a donner à son fils peu après le coucher du soleil et que, à en croire certains artwork (je ne sais pas s'ils sont officiels par contre), le manga voit son arc final atteindre sa résolution au crépuscule.
Wow, j'ai réussi à ne pas spoiler et ce n'était pas facile.
Bref. Je trouvais juste intéressant de faire remarquer que si plusieurs personnages pourraient s'identifier à la phrase d'Hegel, les Assaillants sont les seuls auxquels je peux actuellement penser qui correspondent aussi bien à la partie philosophique que littéral.
Aussi, en parlant de cette scène de passation et de la conversation qui l'a précédée, plus haut, je parlais des mythologies grecque et romaine mais saviez-vous qu'au Japon, selon son espèce, la Chouette est considéré à la fois comme une ''démone'' ou une ''messagère des dieux'' ? Et n'y a t-il pas une interrogation semblable au sujet d'une certaine personne précisément dans ce chapitre ?
Comme plusieurs de ces mots sont polysémiques, j'y ait ajouter le sens dans lequel ils doivent être prit (courtoisie du Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales pour la plupart) pour en favoriser la compréhension. Et non, je ne fais pas ça car je pense que vous ne comprendriez pas sans mais juste par prudence sachant que certains (guerre, discrétion, liberté... etc.) ont plus d'une dizaine de sens différents selon le contexte d'usage.
Force : Ensemble des ressources physiques, morales ou intellectuelles qui permettent à une personne de s'imposer ou de réagir.
-> Dans le manga, il est souvent mis en valeur que chaque individu possède ses propres forces et faiblesses.
Ardeur : Vivacité ou vigueur que l'on apporte à faire quelque chose. / Désir violent de quelque chose. / Passion.
-> Ce genre de chose ne se rapporte t-il pas tout à fait à l'Assaillant ? Eren Jaeger est le premier qui me vient en tête, bien sûr, mais même Grisha et Kruger, s'ils n'ont pas toujours céder à la passion, ont été en proie à des désirs violent d'obtenir quelque chose, qu'il s'agisse de la liberté et de la vengeance.
Ruse : Procédé dont on use à la guerre pour tromper l'ennemi sur ses intentions. / Habileté à feindre pour arriver à ses fins; art de tromper.
-> Ici, Eren Kruger et Grisha Jaeger en sont de très bon exemples de part leurs contributions respectives (fuite d'informations, vol de l'Originel) à la cause pour laquelle ils ont choisis de se battre.
Guerre Stratégique : Ensemble d'actions coordonnées, d'opérations habiles, de manœuvres en vue d'atteindre un but précis. / Partie de la science militaire qui traite de la coordination des forces armées (en intégrant les aspects politiques, logistiques et économiques) dans la conduite d'une guerre ou dans l'organisation de la défense d'une nation, d'une coalition.
-> Cela peut se rapporter, à la fois au fait que ce sont les actions coordonnées des trois Assaillant connus (et sans doute plusieurs de leurs prédécesseurs) qui ont permit la victoire d'Eren mais également la façon dont celui-ci a pu mener a bien le Grand Terrassement grâce à l'aide de sa propre faction, celle de Siëg mais aussi les actions de ses opposants et ennemis ans le but de défendre sa nation / les personnes qui lui sont précieuses.
Prédation : Synonyme de ''chasse'' qui est l'action de poursuivre, de chercher à atteindre pour s'emparer. Recherche ardente, tenace d'un objet, concret ou abstrait.
-> Juste... entre l'obsession de la liberté des Assaillants, l'action de chercher à s'emparer de quelque chose (ici le pouvoir de l'Originel) à tout prix et le nom ''Jaeger'', ai-je vraiment besoin de le détailler davantage ?
Connaissances : Avoir atteint l'âge où l'on est apte à discerner la valeur de ses actions petites ou grandes.
-> Une autre chose qui fait, selon moi, le charme de SnK, c'est qu'outre le renversement brutal de nos perspectives que nous inflige (oui, ce mot-là car c'est toujours douloureux, voir déchirant, pour les lecteurs) le manga, SnK est aussi une histoire sur la façon dont la capacité à gagner en maturité et en connaissance élargit notre vision, non seulement sur nous-mêmes mais aussi le monde qui nous entoure... et les conséquences de nos actes qui vont avec.
Au-delà : Ce qui fait suite à la vie terrestre, le monde où l'on situe la vie future.
-> Bon, là-dessus, je n'étais pas trop certaine mais vous savez quoi ? Je le met quand même car, quand j'ai vu cette symbolique associé au fait de se passer de la chaleur de la vie, j'ai immédiatement penser aux Chemins qui sont l'au-delà eldien littéral ! Ou, au minimum, celui des shifter, incluant les Assaillant.
Temporalité : Pouvoir temporel. / Caractère de ce qui est dans le temps, de ce qui appartient au temps et de ce qui s'y déroule.
-> Après le chapitre 121 ou l'épisode... 4, je crois, de la saison 4 partie 2 (qui était d'ailleurs splendide !), ai-je vraiment besoin d'expliciter ?
Discrétion : Caractère de ce qui est accompli de manière à passer inaperçu, à rester secret; fait de passer inaperçu, de rester secret. / Qualité consistant à garder les secrets.
-> Un rapport intéressant aux missions d'espionnages respectives de Kruger et Grisha ainsi que de la capacité d'Eren a dissimuler le pouvoir de l'Assaillant jusqu'au moment opportun sans aucun soupçon (de la part des autres personnages).
Interprétation : Attribution d'une signification déformée ou erronée à un fait réel, à un événement, à un comportement.
-> Ici, ce qui est mit en valeur est à la fois la façon dont la situation de Paradis est posé selon à qui l'ont demande (soldats ou guerriers), la façon dont Mahr est vue par le reste du monde (héros triomphateur des démons ou colonisateurs agressifs), les différents points de vue sur Eren lui-même (sauveur et libérateur ou démon meurtrier) ainsi que sur Ymir la Première (déesse ou démone, esclave ou personne).
Contradiction : Relation existant entre deux notions dont l'une nie l'affirmation de l'autre.
-> C'est à peu près la même chose que ce que je dis plus haut avec, cette fois-ci, l'introduction de la nuance voulant que ces interprétations sont non seulement divergentes mais aussi opposées et irréconciliables. De la même façon que les protagonistes ne peuvent pas être soldat et guerrier ou déesse et démone autrement que dans les regards d'autrui.
Liberté : Droit pour tout individu de faire ses choix. / Possibilité d'agir, de penser par soi-même; refus de toute sujétion aux choses, de toute pression d'autrui. / État de celui qui se détermine après réflexion, en connaissance de cause, d'après des motifs qu'il accepte; état de celui qui contrôle ses passions et qui réalise dans ses actes, le bien, la raison, la vérité considérés comme l'expression de sa nature profonde.
-> Vu la façon dont nous avons eu ce mot à toute les sauces et la façon dont il est dit que l'Assaillant est celui qui se bat pour la liberté (ironique quand on sait qu'Isayama a déclaré ne pas savoir ce dont il s'agissait exactement), je ne pense pas que j'ai besoin de préciser davantage en quoi il se relie aux Assaillant. Cependant, pour les courageux qui ont lu jusqu'ici, je serais curieuse de connaître leur interprétation de ce mot.
Personnellement, je pense qu'il s'agit de la capacité à faire ses propres choix, en toutes connaissances de causes et conséquences tout en ayant sa propre définition de ce qu'est la liberté personnelle car personne n'en aura une définition identique. Qu'il s'agisse de venger les personnes qu'on aime, de pouvoir vivre la tête haute sans être constamment rabaissé, de ne pas être obligé à commettre des actes que nous ne désirons pas, d'aller où on le désire sans contrainte et partout dans le monde... chacun peut définir par lui-même ce qu'il considère comme la liberté et si celle qu'il possède actuellement lui suffit.
Vous pourriez penser que ce sont des coïncidences et, peut-être auriez-vous raison. Pour ma part, je trouve que ça fait beaucoup de hasard autour d'un seul sujet, surtout quand on sait qu'Isayama s'est spécifiquement inspiré des culture romaines et scandinaves pour créer les Marleyens et les Eldiens.
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chifourmi · 6 months
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Ma meilleure pote m'a appelé du Japon pour me souhaiter bon anniversaire 🥹
C'était trop bizarre parce que du coup ici je vais me coucher parce qu'il est minuit et elle elle part en cours parce qu'il est 8h. Donc on s'est dit bonne journée et bonne nuit à la fin de l'appel ahah. Je suis trop contente de l'avoirrr.
À la base je devais dormir chez le Dieu Grec donc je n'aurais même pas vu son appel!! Mais finalement il avait un truc donc ça ne s'est pas fait, et j'avoue que j'avais un peu la flemme de faire le trajet jusque chez lui cette fois donc ça m'a arrangé. (Même si j'aurais kiffé me réveiller dans ses bras pour mon anniversaire hihi)
(06/12/2023)
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Lacan disait en 1974: «Le Réel et l'impossible sont antithétiques; ils ne peuvent aller ensemble. L'analyse pousse le sujet vers l'impossible, elle lui suggère de considérer le monde comme il est vraiment, c'est-à-dire imaginaire et sans aucun sens. Alors que le Réel, comme un oiseau vorace, ne fait que se nourrir de choses sensées, d'actions qui ont un sens. On entend toujours répéter qu'il faut donner un sens à ceci et à cela, à ses propres pensées, à ses propres aspirations, aux désirs, au sexe, à la vie. Mais de la vie nous ne savons rien de rien, comme s'essoufflent à l'expliquer les scientifiques. Ma peur est que par leur faute, le Réel, chose monstrueuse qui n'existe pas, finira par prendre le dessus. La science est en train de se substituer à la religion, avec autant de despotisme, d'obscurité et d'obscurantisme. Il y a un Dieu atome, un Dieu espace... Si la science ou la religion l'emportent, la psychanalyse est finie.»
Il déclarait la même année: «Il semble que soit arrivé aussi pour les scientifiques le moment de l’angoisse. Dans leurs laboratoires aseptisés, revêtus de leurs blouses amidonnées, ces vieux enfants qui jouent avec des choses inconnues, manipulant des appareils toujours plus compliqués, et inventant des formules toujours plus abstruses, commencent à se demander ce qui pourra survenir demain et ce que finiront par apporter ces recherches toujours nouvelles. Enfin, dirai-je, et si c’était trop tard? On les appelle biologistes, physiciens, chimistes, pour moi ce sont des fous.
Seulement maintenant, alors qu’ils sont déjà en train de détruire l’univers, leur vient à l’esprit de se demander si par hasard ça ne pourrait pas être dangereux. Et si tout sautait ? Si les bactéries aussi amoureusement élevées dans les blancs laboratoires se transmutaient en ennemis mortels? Si le monde était balayé par une horde de ces bactéries avec toute la chose merdeuse qui l’habite, à commencer par les scientifiques des laboratoires?
Aux trois positions impossibles de Freud, gouverner, éduquer, psychanalyser, j’en ajouterais une quatrième: la science. À ceci près que eux, les scientifiques, ne savent pas qu’ils sont dans une position insoutenable.»
Et aussi: «Je ne suis pas pessimiste. Il n'arrivera rien. Pour la simple raison que l'homme est un bon à rien, même pas capable de se détruire.»
Pour Lacan, la seule chose que nous puissions faire contre l’hégémonie du discours capitaliste à notre époque, c’est lui servir un discours pesteux.
En 2020, nous savons bien que toutes les mesures dites "sanitaires" ne servent aucun but "sanitaire", et n’ont de "sanitaire" que le nom, ce sont de simples manipulations langagières pour imposer une domination politique, une opération frauduleuse sur les mots et sur les chiffres pour susciter la soumission volontaire mise à jour par La Boétie, il faut être fou pour penser qu’installer un couvre-feu pourrait protéger qui que ce soit contre la contamination d’un virus, et c’est pareil pour tout le reste (confinement, masques, "gestes-barrières", etc.), lorsque tu "tombes malade" c’est comme lorsque tu "tombes amoureux", cela ne s’évite pas avec des gesticulations vides et vaines, et cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, on est déjà tombé (amoureux ou malade), et ensuite on (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui a échappé à la chaîne des causes et des effets.
Formellement, tomber a la structure d'une décision.
Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons.
C'est parce que je suis déjà tombé (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui de facto se trouve donc marqué du sceau du réel.
Avec l’emploi irraisonné du mot "pandémie" avait déjà commencé la fraude des mots... pan- ça veut dire "tout", or c’est justement le "pas tout" dont se caractérise ce coronavirus très sélectif, que cette épidémie est venue questionner, en tant que c’est à proprement parler ça le symptôme, à savoir qu’il y a quelque chose qui ne va pas... or ce qui ne va pas, c’est précisément ce que la psychanalyse – à la suite de Lacan – a épinglé du terme de "réel", et si le réel c’est ce qui ne va pas, c’est parce que le réel se définit de l’impossible à le faire correspondre au symbolique ou à l’imaginaire, le réel ne se symbolise ni ne s’imagine, il est impossible d’atteindre le réel par la représentation...
Le véritable traumatisme n’est autre que le fantasme lui-même, c’est que dans "ce qui se passe" — c’est à dire les mots, pour reprendre l’équivoque beckettienne — cela se passe sans que nous y ayons été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion d’avoir un minimum de maîtrise sur le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
Cette radicale absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous, après coup, comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès terrifiant de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
Tu peux savoir.
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empiredesimparte · 1 year
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Napoléon V: No, I'm not cancelling the official trip to King Alexander of Scotland. We have to keep our commitments, and it would please the paparazzi too much anyway if there were a cancellation Hortense (reassured): Thank you… Louis
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Hortense: Oliver didn't mean any harm, he just wanted to…
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Napoléon V: To cause you trouble? Hortense: No! Louis!
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Hortense: We both agree, he had no business publishing that picture. And I will tell him, I promise you! However, he doesn't deserve…
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Napoléon V: I have done nothing, and I don't intend to do anything. Now that everything is made official, there is nothing more to do… Oliver got what he wanted, like Felipe
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Hortense: Louis...
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Napoléon V (sigh): Let's settle this discreetly. Call Oliver, tell him you will visit him but that I disapprove of his methods
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Hortense (confused): I'm so sorry Louis… I never thought that this photo…
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Napoléon V (explodes): Don't make me change my mind! All these Valois are trying to make fools of us! You were both supposed to keep a low profile until my coronation! Is that so hard to understand?!
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Hortense: No, Your Majesty, it's very clear Napoléon V: Then obey! Pour l'amour de Dieu! Instead of making us look like clowns!
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Hortense: We will be more careful, I promise you Louis
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⚜ Le Cabinet Noir | Compiègne, 14 Floréal An 230
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Mention of Duke Oliver and Prince Felipe from @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Napoléon V : Non, je n'annule pas le voyage officiel prévu auprès du roi Alexander d'Ecosse. Nous devons tenir nos engagements, et cela ferait de toute façon trop plaisir aux paparazzi s'il y avait annulation Hortense (rassurée) : Merci... Louis
Hortense : Oliver ne pensait pas à mal, il a simplement envie de...
Napoléon V : De te créer des ennuis ? Hortense : Mais non ! Louis !
Hortense : Nous sommes d'accord tout les deux, il n'avait pas à publier cette photo. Et je le lui dirai, je te le promets ! Pour autant, il ne mérite pas...
Napoléon V : Je n'ai rien fait, et je ne compte rien faire. Maintenant que tout est rendu officiel, il n'y a plus rien à faire... Oliver a obtenu ce qu'il souhaitait, comme Felipe
Hortense : Louis...
Napoléon V : Réglons cela discrètement. Appelle Oliver, dis-lui que tu vas lui rendre visite mais que je désapprouve ses méthodes
Hortense (confuse) : Je suis tellement désolée Louis... Je n'aurais jamais pensé que cette photo...
Napoléon V (explose) : Tous ces Valois cherchent à nous ridiculiser ! Vous étiez sensés tout les deux faire profil bas jusqu'à mon couronnement ! Est-ce si compliqué à comprendre ?!
Hortense : Non, Votre Majesté, c'est très clair Napoléon V : Alors obéissez ! Bon sang ! Au lieu de nous faire passer pour des clowns !
Hortense : Nous ferons plus attention, je te le promets Louis
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icariebzh · 3 months
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"Sans haine mais pas sans colères, mon poème peut montrer les dents, quand une foi arrogante menace du bâillon les infidèles, les athées, les libertaires, et promet l'ordre moral aux libertins, aux affranchis qui dénoncent l'imposture d'un péché de chair, la lapidation de la femme adultère, la beauté qu'on enferme dans l'insulte d'une burqa. Des misérables avilissent l'amour et la vie et l'on s'attriste qu'ils ne puissent deviner que si leur dieu jaloux n'est pas un voyeur, il regarde dans les coeurs, pas dans les lits! Pour un oui, pour un non, une caricature, une image non conforme à leur orthodoxie, les voilà en émoi, rameutant le troupeau, en appelant à la censure, au meurtre, à la croisade; ils crient au sacrilège en feignant d'ignorer que le sacré des uns n'est pas celui des autres, qu'on est pour son voisin toujours un peu dans l'hérésie. Car ces inféodés, ces dévots qui s'indignent du blasphème semblent incapables de comprendre jamais que le respect humain est dû à la personne, pas à son credo, ses opinions, ses utopies. Bien sur, je connais des croyants convaincus que sans la liberté de conscience aucune adhésion jamais ne vaudrait rien, qui connaissent le doute et parfois même les tempêtes sous un crâne et qui n'ont cure des pauvres crédulités nées du clapot des cerveaux. Déchirés entre la louange et le refus, ceux-là dont le souci d'autrui oriente la prière, qui voudraient rédimer le monde en misant seulement sur la ferveur et la bonté, sont à mes yeux le seul argument en faveur du divin. Mais je crois trop que leur "créateur" est à l'image fraternelle du meilleur de leur humanité pour ne pas penser qu'ils l'ont inventé! Pour ma part je le confesse, depuis longtemps la messe est dite, le discrédit jeté sur ces relents de religions, ces allégeances à la lâcheté superstitieuse, aux angoisses qui nous accablent, à la peur de la mort, du vide et de l'insignifiance; Je n'ai pas le goût des soumissions, des prosternations ni des genoux à terre. La dignité de mes héros intimes est d'être filles et fils de Prométhée, d'avoir volé le feu au ciel et de lui montrer parfois le poing. Et je me plais à croire que si un dieu existait qui valût quelque considération, il serait de toute éternité du côté des esprits critiques, des rebelles, des insoumis, des mécréants." Michel Baglin-"Si dieu existait" -
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lisaalmeida · 6 months
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Nous savons tous très bien que l’instruction n’est pas une garantie de sagesse. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer certains de nos hommes politiques. La plupart des grands de ce monde sont au pouvoir parce qu’ils ont su être assez habiles pour tirer les bonnes ficelles au bon moment. Cependant, être habile et être sage ne sont pas des qualités du même ordre. L’habileté fait appel à la maîtrise de diverses techniques de manipulation, alors que la sagesse ne permet pas la tromperie qui est contraire à sa nature.
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Il existe aussi cette sagesse du monde qui repose sur la connaissance que l’homme a acquise à travers sa science. C’est cette sagesse qui fait la fierté de l’homme moderne. Par elle, il croit être parvenu à s’affranchir de Dieu. Or, nous savons que cette sagesse est instable et changeante parce qu’elle est fondée sur l’homme qui est lui-même instable et changeant. En ce qui concerne sa valeur.
Et si on faisait la comparaison de L’éléphant, qui a toujours été le symbole de sagesse supérieure. Il est aussi associé à la mémoire, une mémoire d’éléphant, la longévité, il peut vivre jusqu’à 86 ans , la prospérité, la puissance et la bienveillance. Donc pour en finir certains hommes en font une bête de foire et d'autres sont en communion avec ce mastodonte et le considèrent comme si c'était leur propre père. La sagesse devrait être pour chacun d'entre nous, une leçon de vie.
Jj
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claudehenrion · 8 days
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Samuel Huntington ( II ) : Le choc des incultures.
Lorsque le livre de Samuel Huntington ''le Choc des civilisations'' est paru, en 1993, une immense levée de boucliers a secoué la Gauche française (beaucoup plus encore que celles des autres pays, sans doute moins stupides et moins bornées que la nôtre) : il sortait complètement des chemins obligés, et proposait une hypothèse nouvelle : la culture ! Devant ce crime de lèse-pensée-clônée, tous les progressistes se sont précipités : il fallait détruire ce brûlot et son auteur, ''quoi qu'il en coûte'' ! Trente ans plus tard... on sait qu'il ne s'agissait pas d'hypothèses, mais d'une vraie ''vision''.
Car ce premier quart du XXI ème siècle a vu un nouveau paradigme, le choc des civilisations, balayer son prédécesseur, celui qui rêvait à voix haute d'une mondialisation heureuse... qui semblait possible, en ces temps révolus. Et Samuel Huntington, le premier (et longtemps le seul) a osé énoncer cette vérité incontournable : la mondialisation des échanges, loin d'effacer les différences entre les civilisations –qui, tant bien que mal, arrivaient à coexister sans elle-- les a exacerbées. Cette évolution vers le pire est soulignée dans ou par l'actuel conflit israélo-palestinien, si différent des précédents qui étaient entre des personnes, donc relativement limités. Plus rien de tout cela : l'horreur est désormais exposée au grand jour, ce qui la rend ''hollywoodienne'' dans son atrocité, et elle n'est plus dictée par des choix rationnels (voire idéologiques), mais par des considérations liées à des appartenances religieuses ou culturelles. Finies les trêves olympiques, les Eurovisions, les matches de foot ou le respect malgré la guerre : c'est ta violence contre ma violence, et mon dieu contre le tien. Seul Huntington l'avait deviné.
Il avait également prévu la guerre en Ukraine, avec 30 ans d'avance, ce que, paradoxalement, ses détracteurs ont retourné contre lui : à les entendre, il avait tort, puisque deux pays pratiquement mono-culturels se faisaient la guerre... S'ils avaient lu (et pourquoi pas, relu, comme je l'ai fait et refait !), ils auraient remarqué que Huntington expliquait clairement que ''la frontière civilisationnelle entre l'Occident et l'orthodoxie passe en plein cœur de l'Ukraine, depuis des siècles'', et que le conflit à venir ne serait donc pas entre ''le monde libre et un tyran'', mais entre une partie d'une Ukraine occidentalisée et le monde russe ''qui n'a presque jamais été exposé aux constituants de la civilisation occidentale (i.e. le catholicisme romain, la féodalité, la Renaissance, la Réforme, l'expansion coloniale, les Lumières et la victoire de l'Etat-Nation'' --puis sa chute, dans l'Europe dévoreuse... Et le scénario qu'il voyait le plus probable était ''une division en deux de l'Ukraine, avec une partie Est revenue à la Russie''... Question : combien avons-nous été à clamer cette évidence depuis le premier jour (NDLR-- Sans pour autant excuser les attaques unilatérales russes des 20 février 2014 ‎et 24 février 2022) et à avoir droit à des noms d'oiseaux ? La ''vista'' et la prémonition de Samuel Huntington sont presque incroyables !
Mais ce n'est rien en comparaison de ce qu'il écrivait sur l'islam, et sur l'invasion non-déguisée que nos aveugles-par-décision et nos doctrinaires enrégimentés s'entêtent à appeler ''migration'' : vingt ans avant les tristes ''printemps arabes'' (2011 -2012) où tant de bobards nous ont été racontées, il avait déjà prévu les flots, les torrents ''d'eau de boudin'' qui allaient nous tomber dessus (et que les plus obtus de nos malvoyants continuent à refuser de voir) … ''Certains dirigeants occidentaux, comme Bill Clinton (NB : il écrit ça en 1993), ne voient aucun problème avec l'Islam, mais seulement avec quelques extrémistes violents... Quatorze cent ans d'histoire démontrent le contraire. Nos conflits actuels entre la démocratie libérale et le marxisme léninisme ne sont que des phénomènes superficiels si on les compare aux combats millénaires entre le christianisme et l'islam...''. Mais nos cuistres incultes ne veulent rien voir...
Il a d'ailleurs prédit que ceux-ci vont s'accentuer avec le temps, à cause de la fabrication d'un besoin de revanche post-coloniale des musulmans, et de l'arrogance des prétentions universalistes de l'Occident où l'aveuglement naïf et puéril de nos fausses ''élites'' devant la dimension planétaire de notre conflit avec l'islam –encore nié par la majorité des myopes malfaisants-- risque chaque jour de dégénérer en conflit planétaire avec la Russie : l'Occident est si satisfait de ses absurdités ''sociétales'' --dites moralo-politico-économiques, mais majoritairement mauvaises, perverses et dépassées--, qu'il ne veut pas voir que le monde entier les rejette, toutes, en bloc... et il persiste dans son harcèlement à ne juger les autres (qui n'en veulent à aucun prix) qu'à travers elles. Huntington constate que ''la croyance occidentale dans la vocation universelle de sa culture a trois défauts majeurs : elle est fausse, elle est immorale et elle est dangereuse.. '' Que ne l'a-t-on écouté ! On aurait évité les erreurs catastrophiques en cours des Macron, von der Leyen... et autres cuistres, oublieux de toutes les leçons de l'Histoire !
L'immigration est une autre ''prédiction'' clairement exprimée dans ce livre (rappel : qui, écrit en 1993, n'a jamais été ''retouché'') : Huntington écrit : '' La démographie et les mouvements de population sont les moteurs de l'Histoire'' (ce que m'enseignait mon Maître Alfred Sauvy à l'Ecole des Hautes Etudes, en 1959, déjà !). Au lieu du problème que nous posons si mal : ''l'Europe sera-t-elle islamisée et l'Amérique hispanisée puis islamisée à son tour'', Sam Huntington propose la réflexion suivante : ''Ces deux sociétés vont-elles être déchirées entre deux communautés distinctes voire opposées, se recommandant de deux civilisations que tout oppose'' Et il conclut ''Une immigration importante ne peut produire que des pays divisés entre musulmans et chrétiens même résiduels ou déculturés...''.
Sa conclusion est, pour le moins, ''décoiffante'' :''En des temps où tous les peuples sont à la recherche des racines culturelles qu'on leur a volées ou qu'on leur refuse, quelle place peut prétendre occuper une société qui a perdu son fond culturel commun et croit pouvoir se définir par des principes politiques ou philosophiques totalement inadaptés au monde de demain, comme le fait l'Occident, qui n'a plus que le mortel multiculturalisme pour remplacer l'ancienne identité européenne fondée sur le christianisme, donc sur la séparation du spirituel et du temporel et la force de la Loi''. Parcourons tous les médias, et revisitons notre ''quotidien'', quel que soit le jour : tout ce que nous y lisons avait été annoncé il y a 30 ans... et nous n'avons rien fait pour ''corriger le tir''. Que de regrets nous devons avoir !
H-Cl.
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a-room-of-my-own · 9 months
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Si tu penses que ça va te ramener des problèmes ne poste pas ça mais j'ai vu tellement d'arguments absolument débiles sur la polémique de l'abaya à l'école c'est inimaginable. Quelqu'un sur Tumblr a même dit que bizarrement on interdirait jamais les petit gilets cache cœur et cardigan typique lors des baptêmes (alors qu'en plus ce serait plutôt la communion ou la confirmation mais bon) des petites filles, qu'on m'arrache les yeux du coup, ce serait pareil. Alors à mon sens la priorité ne devrait pas être celle ci maintenant c'est un sujet que chaque établissement rencontre et c'est pas plus mal qu'une mise au clair ait été faite parce que dans les faits c'est un accoutrement utilisé par les élèves pour jouer sur les flou de la laïcité car ça ne s'arrête jamais là en fait, et pour les non musulmanes c'est un outil de défiance tout simplement. J'ai pas lu la circulaire mais j'espère qu'une mention djelaba a été faite parce que ça aussi ça peut poser problème chez les garçons. Normalement je pars du principe que tant que la tenue est décente (ne faisons pas semblant de ne pas comprendre) et pratique pour travailler alors tout va bien maintenant c'est effectivement un élément disruptif dans les établissements donc oui le ministre s'en occupe comme ses administrés à tous les niveaux l'attendaient à un moment de toute façon même si ce n'est pas l'opinion de tous les profs et chefs et qu'en plus tout le monde a de plus gros chats à fouetter
Oh écoute moi je trouve qu’ils font tout simplement chier avec leurs bigoterie, ils m’emmerdent. Encore que des jeunes soient suffisamment stupides pour se faire embrigader par des extrémistes bon, passons, mais je crois que le pire c’est les politiciens tous plus cons les uns que les autres qui veulent faire semblant de ne pas voir que c’est quasiment un Label Rouge des Frères Musulmans.
De toutes façons j’ai une incompréhension totale en ce qui concerne tout ça. N’importe qui avec une paire d’yeux peut voir que le monde musulman crève de cet extrémisme. C’est facile d’accuser l’Occident de tous les maux et dieu sait qu’il est responsable d’un certain nombre, mais si tu prends rien que le Maghreb - dont est originaire la majeure partie des populations musulmanes en France - et depuis les années 90 le constat est sans appel.
On a des gens dont les parents ont fui le sous développement, les écoles arabisées (une politique d’état en Algérie où ensuite les élites scolarisent leurs enfants en lycée français), la discrimination institutionnelle (en vrai cette fois), la loi religieuse… pour essayer d’imposer tout ça dans leur pays d’accueil. Mais quel est le projet au bout d’un moment de fuir quelque chose pour le refaire ailleurs?
Sans parler du fait que cette mentalité empêche l’intégration dans tous les pays dans lesquelles les diasporas s’installent. On a des tensions absolument partout, ce n’est pas du tout spécifique à la France, ni même à l’Occident. Donc à un moment donné je sais pas mais faudrait peut-être s’asseoir et réfléchir à la pertinence de toujours vouloir enfoncer sa religion dans la gorge du voisin.
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mariepascaleremy · 1 month
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9 AVRIL JOURNÉE MONDIALE DE LA LICORNE
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La fascination pour cet animal mythique, issu d'un univers invisible, n'est pas nouvelle. Mais que notre société matérialiste et athée lui consacre une journée mondiale est surprenant. Peut-on y voir un désir de merveilleux, de magie, voire une aspiration au spirituel ? Pline l'Ancien, dans son "Histoire naturelle", décrit la licorne arborant une unique corne noire de deux coudées de long au milieu du front, insistant sur le fait qu'elle ne pouvait être capturée vivante. Des figures telles qu'Hérodote, Élien et Aristote ont également mentionné cet animal, sans oublier l'historien grec Ctésias (Ve-IVe siècle av. J.-C.) qui, dans ses écrits sur l'Inde, évoquait l'existence d'un animal sauvage semblable à un cheval, avec une corne frontale aux propriétés thérapeutiques remarquables, affirmant que boire dans cette corne garantissait une immunité contre les maladies et les poisons, un concept repris dans l'univers de "Harry Potter" où Voldemort consomme du sang de licorne pour survivre. La licorne, convoité pour ses vertus médicinales légendaires, ne pouvant être approchée que par une vierge ; les chasseurs laissent une jeune fille vierge seule au milieu d'une clairière, se cachent non loin et, quand l'animal découvre la jeune fille, s'approche d'elle, pose sa tête sur son giron et s'endort, ils se précipitent sur lui pour s'en saisir. Certains voient dans cette scène de chasse à la licorne une allusion à l'arrestation de Jésus-Christ et à sa Passion. La licorne est pour la religion chrétienne un symbole de pureté et de chasteté, sa corne unique, symbole de puissance représenterait l'incarnation du Verbe de Dieu dans le sein de la Vierge. Aujourd'hui la licorne représente l'extraordinaire et l'exclusivité ; depuis les années 1970 elle est aussi emblématique du mouvement LGBT pour son association avec l'arc-en-ciel, symbole de diversité repris par le drapeau LGBT. Par extension, le terme "licorne" désigne maintenant des entreprises de la Silicon Valley valant plus d'un milliard de dollars, des sportifs aux talents uniques ou des journalistes polyvalents. Peut être que cette appellation souligne la capacité à embrasser le fantastique, à suspendre notre incrédulité et à rechercher au-delà des preuves tangibles, symbolisant ainsi un refuge rassurant, un regret de l'innocence perdue et une aspiration vers un imaginaire éthéré et insaisissable. Quoiqu'il en soit emportons la licorne cette nuit dans notre coeur et nos pensées... nos rêves n'en seront que plus lumineux et guérisseurs. Image : La tapisserie de la Dame à la licorne au musée de CLuny
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chifourmi · 4 days
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Voilà on s'est appelé avec le Dieu Grec et on a conclu que c'était mieux qu'on s'arrête là. Parce qu'il n'est vraiment pas prêt à tenter quelque chose de sérieux. Il m'a dit qu'il s'était construit un mur et que c'était impossible de le détruire parce que c'est déjà arrivé l'année passée et quand ça arrive ses émotions sont décuplées et il peut aller loin. Je ne sais pas à quel point mais c'est bien le redflag que j'avais aperçu. Il m'a dit qu'il avait beaucoup travaillé sur lui et qu'il travaillait encore sur lui à ce niveau là. Et je me dis que c'est bien qu'il s'en rende compte et qu'il ne prenne pas le risque de blesser d'autres personnes. C'est mieux que ça n'aille pas plus loin du coup. Mais ça m'énerve que des sentiments soient apparus parce que ça a gâché ce qu'on avait. C'était trop beau, c'était léger, c'était adorable.
Il m'a dit qu'il n'avait jamais eu de relation comme ça aussi longue et il trouvait ça fou que ça se soit aussi bien passé et qu'il n'y ait jamais eu d'embrouille. Ça a duré 8 mois. Il m'a dit que j'étais quelqu'un de vraiment bienveillant, que j'étais une trop chouette personne, qu'il aimait bien que j'aille vers tout le monde tout le temps avec le sourire.
C'était trop beau notre appel, c'était trop touchant. Je lui ai dit ce que j'aimais chez lui, que j'aimais trop le fait qu'il parle beaucoup parce que moi j'adore écouter, que j'aimais trop son côté passionné aussi. Puis on a tout mis au clair pour qu'il n'y ait plus aucun non-dit. J'aurais tellement voulu le voir une dernière fois mais il m'a dit que c'était pas une bonne idée parce que ça me ferait encore plus mal. Je sais qu'il a raison mais c'est dur. Limite l'appel m'a fait ressentir encore plus de choses pour lui. Il m'a dit que je lui manquerais et c'est bête mais avant l'appel j'avais l'impression de n'être absolument personne pour lui. Et j'ai compris que c'était archi faux. Il m'a dit que j'avais bien fait de le faire maintenant parce que pendant ses examens ça aurait été dur pour lui. Et il m'a demandé si j'avais prévu des choses de mon côté pour ne pas trop ruminer.
J'avais tellement de mal à raccrocher.
Je me sens tellement légère, j'ai plus du tout cette boule au ventre. J'avais tellement besoin qu'on parle. Je suis tellement heureuse et tellement triste en même temps. J'arrive pas à croire que je le verrai plus et que je n'aurai plus jamais de messages de sa part. J'ai envie de pleurer sans m'arrêter et en même temps j'ai pleins de beaux souvenirs en tête. C'était trop beau ce qu'on a vécu.
(18/05/2024)
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Quand on a connu tout et le contraire de tout, quand on a beaucoup vécu et quand on est au soir de sa vie, on est tenté de ne rien lui dire, sachant qu'à chaque génération suffit sa peine, sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause font partie de la noblesse de l'existence. Pourtant, je ne peux me dérober et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci, en me souvenant de ce qu'écrivait un auteur contemporain : "Il ne faut pas s'installer dans sa vérité et vouloir l'asséner comme une certitude mais savoir l'offrir en tremblant comme un mystère". A mon jeune interlocuteur, je dirai que nous vivons une période difficile, où les bases de ce que l'on appelait la morale et qu'on appelle aujourd'hui l'éthique sont remise constamment en cause en particulier dans les domaines du don de la vie, de la manipulation de la vie et de l’interruption de la vie. Dans ces domaines de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir. Oui, nous vivons une période difficile où l'individualisme systématique; le profit à n'importe quel prix, le matérialisme l'emportent sur les forces de l'esprit. Oui, nous vivons une période difficile où il est toujours question de droit et jamais de devoir et où la responsabilité qui est l’once de tout destin, tend à être occultée. Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela, il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine. Il faut savoir, jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière heure, rouler son propre rocher. La vie est un combat le métier d’homme est un rude métier. Ceux qui vivent sont ceux qui se battent. Il faut savoir que rien n’est sûr, que rien n’est facile, que rien n’est donné, que rien n’est gratuit. Tout se conquiert, tout se mérite. Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu. Je dirai à mon jeune interlocuteur que pour ma très modeste part, je crois que la vie est un don de Dieu et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde, une signification à notre existence. Je lui dirai qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves, cette générosité, cette noblesse, cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde, qu’il faut savoir découvrir ces étoiles, qui nous guident où nous sommes plongés au plus profond de la nuit et le tremblement sacré des choses invisibles. Je lui dirai que tout homme est une exception, qu’il a sa propre dignité et qu’il faut savoir respecter cette dignité. Je lui dirai qu’envers et contre tous il faut croire à son pays et en son avenir. Enfin, je lui dirai que de toutes les vertus, la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres, de toutes les vertus, la plus importante me paraît être le courage, les courages, et surtout celui dont on ne parle pas et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse. Et pratiquer ce courage, ces courages, c’est peut-être cela «L’Honneur de Vivre».
Hélie de Saint Marc (1922-2013)
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Aux thèses pseudo-marxistes selon lesquelles le moteur du capitalisme serait le "désir", nous apposons que le capitalisme est un discours, et il s’agit en l’occurrence de ne pas confondre le désir et l'envie, qui diffèrent radicalement.
Une petite histoire raconte que Dieu demanda un jour à un homme: "Fais un vœu, je te donnerai ce que tu voudras, mais je donnerai le double à ton voisin."
L'homme réfléchit quelques instants et répondit : "Alors crève-moi un œil!"…
Voilà la pierre angulaire, refoulée, de l’idéologie qui sous-tend le "libéralisme".
Si le désir, n’est pas à confondre avec l'envie, c’est que le désir tel qu’il se découvre dans la psychanalyse n’est pas désir de tel ou tel objet mais manque à être par où le désir se révèle lui-même sujet de la parole; le désir fait la loi au sujet, le langage fait la loi du désir.
Désir désirant désirer le désir, le désir (indestructible selon Freud qui en fait le dernier mot de la Traumendeutung) laisse toujours à désirer...
Car le désir en son essence, s’il est toujours désir de l’Autre, au génitif objectif comme au génitif subjectif, c’est que le désir est à entendre comme désinence du dire.
Pour faire suite aux divers développements que je donne depuis mars 2020 au fait toujours plus manifeste, plus massif, plus incontestable selon lequel "si le virus est réel, la contagion est idéologique", voici un petit exemple qui permet de saisir la faille du "raisonnement" le plus courant dans nos sociétés régies par le Discours Capitaliste [et la problématique (de l'absence) de lien social dans les échanges dominés par des considérations comptables, mathématiques et marchandes]: dans une crèche, il y a des parents qui arrivent systématiquement en retard, ce qui perturbe le bon accueil des enfants et l'organisation du travail des professionnelles.
Les responsables de la crèche se réunissent et finissent par prendre la mesure suivante: les retardataires devront s'acquitter d'une amende.
Sans se rendre compte qu'avec cette décision, ce qui devait être de l'ordre d'un échange socio-symbolique (entre les parents et le personnel de la crèche) vient de basculer dans l'échange commercial.
Résultat: non seulement les retards ne cessent pas, mais ils ont au contraire tendance à augmenter, les retardataires ayant la possibilité de se dédouaner avec l'argent versé, ils n'ont même plus de culpabilité à éprouver.
Les responsables atterrés décident alors de supprimer le système des amendes, mais las ...le problème des retards loin de s'en trouver amélioré se dégrade encore, les retardataires récurrents éprouvant, cette fois, un sentiment de gain lié à l'idée d'une gratuité pour leurs méfaits… (S’ils avaient lu Hegel — ou fait une psychanalyse — ils n’auraient pas été sans savoir que la négation d’une négation ne revient jamais à l'affirmation première...)
L’éthique, qui est à entendre ici comme un equivalent de "lien social", n’est jamais une question de chiffres, mais de lettres à partir desquelles s’articule le réel d’une parole, la parole qui engage, parole donnée et parole tenue. La parole ne peut pas être "modélisée", nul algorithme ni protocole ne peut se substituer à la parole, par laquelle l’imaginaire et le symbolique sont noués d’un réel qui détermine le sujet de l’inconscient, le grain de sable de l’énonciation...
"De notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, qu’on appelle cela où on veut du terrorisme." (Jacques Lacan)
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hurtbrokenheart · 8 months
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Ce texte n'aura aucun sens, j'vais juste balancer ce que j'ai sur le cœur. Je ne sais pas à qui en parler, j'ai plus de psy et j'suis complètement paumée.
Ma mère est décédé mardi, épargnez moi les condoléances. J'avais coupé les ponts avec elle il y a plusieurs mois, c'était conflictuel depuis des années. Conflictuel c'est même peu dire.
Quand j'ai fait une tentative de suicide, elle ne m'a pas rendu visite à l'hôpital psy. Elle m'a privé de manger pendant plusieurs mois quand j'ai décidé de devenir végétarienne. Ma sœur m'a fait des attouchements quand j'étais gamine, et quand elle lui a avoué elle a juste dit, devant moi je cite, "c'est fait c'est fait c'est pas grave" et l'a invité à boire un café le lendemain. Comme si c'était OK. Elle m'a toujours fait passer en dernière. Ne m'a jamais montré d'amour, a toujours été plus dur avec moi. Je n'étais jamais assez à ses yeux, elle m'a toujours fait sentir comme une moins que rien.
Et quand , il y a quelque mois , j'ai décidé de partir de sa vie... elle n'a rien dit. Elle m'a laissé filé
Et pourtant, bon dieu, ce que je l'attendais. Je scrutais mon téléphone dans l'attente d'un appel, un message, un mot dans ma boite au lettre, je voulais qu'elle m'attrape le bras quand je la croisais dans la rue. Mais rien, jamais rien. Elle avait juste décidé que je n'existais plus. Mon appel à ce qu'elle me rattrape était soudainement devenu un commun accord pour que l'on devienne des étrangères. Et les mois ont passés, et petit à petit j'avançais. Ma colère et ma rancune se calmait. En quelque sorte, je dirai que mon deuil avait déjà commencé. Elle était toujours vivante oui, mais pour avancer il a bien fallut que je la considère morte. Mais mardi, on m'annonce son décès. Son vrai décès j'entends. Et j'ai pas réagi. J'ai pas eu mal, je n'ai pas senti la terre trembler ou mon monde s'effondrer. C'était presque logique. Et enfin j'allais arrêter d'attendre. C'est terrible. Suis je une mauvaise personne pour ça? Je ne regrette pas les mois passés loin d'elle, le temps perdu. Parce que, pour moi, le temps ce n'est pas moi qui l'ai perdu, mais elle.
Je n'irai pas à la crémation, parce que ce serait manquer de respect au commun accord que nous nous étions secrètement faite. Disparaître l'une pour l'autre...
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