Tumgik
#arbre/moi
arbre-moi · 4 days
Text
VERNISSAGE-EXPOSITION ARBRE/MOI
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Paul Mackay Photographie pour la Municipalité de Morin-Heights
0 notes
crepuscule-pourpre · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
10 notes · View notes
laurierthefox · 14 days
Text
Tumblr media
Pour faire face à tout ce qu'on se prends actuellement dans la tête - en tant que communauté trans et non binaire- je vous poste un peu de douceur et de tendresse. Cette illustration à été réalisée au crayon de couleur durant le mois de novembre, pour une de mes mécènes sur Patreon qui a pris l'abonnement "Arbre Vénérable". Merci aux alliées féministe qui se sont jetées dans la bataille pour défendre nos droits humains. Je nous envois à toustes et à vous mes adelphes plein de force et de douceur pour les mois à venir.
59 notes · View notes
hedgehog-moss · 9 months
Note
do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
260 notes · View notes
coolvieilledentelle · 2 months
Text
Tumblr media
Bonjour!🌤 mercredi Je vais essayer de faire attention au printemps. Je vais regarder toutes les fleurs autour de moi, les arbres .... Je vais fermer les yeux et écouter la nature… Belle première journée
61 notes · View notes
pompadourpink · 1 year
Text
Les prépositions
A
À - to (je vais à la plage - I’m going to the beach), at (le chat est à la maison - the cat is at the house), indirect object/complément d’attribution (c’est au chat - it’s the cat's), adverbial phrase of way (une peinture à l’huile - an oil painting), adverbial locution introducer (à l’instant - just now), price indicator (le kilo de pommes est à deux euros), infinitive form introducer (c’est à prendre ou à laisser - take it or leave it), approximation introducer (c’est à dix minutes d’ici - it’s about ten min. away), against (dos à dos), after (pas à pas), until (aimer à la folie)
Après - after (je te rejoins après le travail - I’ll join you after work)
Avant - before (je me suis levée avant toi - I got up before you did)
Avec - with (je vis avec mes deux chats - I live with my two cats)
C
Chez - at X’s > person or brand of a shop (je suis chez mon père - I'm at dad's)
Concernant - regarding, about (concernant ton offre, je la refuse - about your offer, I'm refusing it)
Contre - against (je suis contre ta décision - I stand against your decision, le chat est assis contre le mur - the cat is sitting against the wall)
D
Dans - in (le chat est dans mon sac - the cat is in my bag)
D’après - according to (d’après Victor Hugo, Fantine est blonde)
De - of (au bout de la rue - at the end of the street)
Dedans - inside of it (le chat est dedans - the cat is inside of it)
Dehors - outside (le chat est dehors - the cat is outside)
Depuis - since (j'ai mon chat depuis que j'ai dix ans - I've had my cat since I was 10), from (tout était beau, depuis la décoration jusqu’aux couleurs - everything was lovely, from the decoration to the colours)
Derrière - behind (le chat est derrière toi - the cat is behind you)
Dès - as soon as (je te préviens dès que j’arrive - I’ll let you know as soon as I get there), immediately (si je pouvais, je partirais dès maintenant)
Dessous - under (la clé était dessous le lit - the key was under the bed)
Dessus - on (le chat est assis dessus - the cat is sitting on it),
Devant - in front of (j’attends devant la maison - I’m waiting in front of the house)
Durant - during (il est mort durant la famine - he died during the famine), for (elle a vécu là-bas durant des années - she lived there for years)
E
En - at (je suis nul en Français - I’m bad at French), material indicator (une table en bois - a wooden table), change indicator (il s’est transformé en papillon - it turned into a butterfly), division mood (couper en deux - cut in two pieces), during (en hiver, j’ai toujours un rhume - during the winter season, I always get a cold), gerundive element (elle tomba en criant - she fell, screaming), shape/appearance indicator (un arbre en fleurs - a blossoming tree)
Entre - between/out of (entre tous les garçons, Louis est le plus grand - out of all of the boys, Louis is the tallest)
Envers - towards/to (il est méchant envers elle - he’s mean to her)
Ès - in (licencié-e ès sciences - bachelor of sciences) - rare, uni titles
Excepté(e/s) - except (exceptée Louise, elles sont toutes arrivées)
H
Hormis - except (hormis Pierre, nous avons tous le permis - except from Pierre, we all have a driving license)
Hors - out of (il est hors de lui - he’s beside himself)
J
Jusque/jusqu’à (+ subjunctive) - until (il a miaulé jusqu'à ce que je le nourrisse - he meowed until I fed him)
M
Malgré - despite (il est venu malgré sa grippe - he came despite his flu)
Moyennant - in exchange for (moyennant un changement de ton, tu pourras rester - If you change your tone, you’ll be allowed to stay) - rare
N
Nonobstant - in spite of (”Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui” Les Misérables) - rare/old
O
Ôté - taken of from (6 ôté de 10 égale 4)
Outre - besides (outre mes deux cats, il n'y a personne chez moi - outside of my cats, there's no one at my house)
P
Par - by (la Joconde a été painte par Léonard de Vinci), direction indicator (il est parti par là - he went that way), with (je commence par une entrée - I start with an entree), per (j’en prends trois par jour - I take three per days)
Parmi - amongst (parmi mes chats, c'est le plus petit - he’s my smallest cat)
Passé - after/past (passé 2h, tout est fermé - past 2AM, everything is closed)
Pendant - during (je t’appellerai pendant ma pause - I’ll call you during my break)
Pour - for (je suis là pour toi - I’m here for you), to (je pars pour Paris - I’m heading to Paris), according to (pour moi, c'est une erreur - I think it's a mistake)
Près (de) - near (je suis près de Paris - I’m near Paris)
S
Sans - without (je suis sans voix - I am speechless)
Sauf - except (j’aime tout sauf la pluie - I like everything but rain)
Selon - according to (selon moi, tu as tort - in my opinion, you’re wrong)
Sous - under (le chat est sous la table - the cat is under the table)
Suivant - according to (suivant ce que j’ai entendu, il ne reviendra pas - according to what I’ve heard, he won’t come back)
Sur - on (le chat est sur la table - the cat is on the table), about (c’est un film sur la guerre - it’s a movie about the war), towards (regarde sur ta droite - look on your right), out of (deux fois sur trois il est en retard - two out of three times he's late)
V
Vers - towards (elle avance vers moi - she’s coming towards me), somewhere around (elle habite vers l’église - she lives near the church), about (Elle est rentrée vers minuit - she got home around midnight)
Voici - here is/are (voici mon chat - here’s my cat)
Voilà - there is/are (et voilà les miens - and there are mine), it’s been (voilà deux ans que je ne les avais pas vues - it had been two years since I last saw them)
Vu - given (vu la situation, c’est mieux comme ça - given the circumstances, that’s better that way) - casual
Tumblr media
Movie: La Chinoise - Jean-Paul Godard, 1967
478 notes · View notes
orageusealizarine · 1 month
Text
Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
27 notes · View notes
athenenoctua9 · 9 months
Text
Avec les étés qu'on se tape désormais et du manque d'eau, qui ne dure plus 3 mois comme il y a 10 ans mais désormais TOUTE l'année, j'ai du mal à accepter que les gens construisent aujourd'hui des piscines chez eux. Je trouve que c'est désormais un luxe et un plaisir égoïste. Dans certaines villes et villages, les élus hésitent à fermer les piscines municipales car le coût de revient est trop cher. Vu la situation écologique et climatique je trouve que c'est un non-sens absolu de fermer les piscines municipales qui profitent à tous, mais d'autoriser des permis de construire pour que chaque particulier ait son bassin olympique dans le jardin.
"Oui mais les étés sont intenables maintenant, on a besoin de fraîcheur" -> au lieu de creuser un trou qui prend tout ton terrain, tu peux planter des arbres, des arbustes, végétaliser un max. Je te jure, tu mets une chaise dessous et tu verras à quel point l'air peut-être frais avec tout ce vert qui retient l'humidité. Bien plus que les grosses dalles chaudes bouillantes qui ont engamaziné la chaleur toute la journée et qui entourent une piscine et qui rayonnent contre le mur de la maison.
61 notes · View notes
ernestinee · 1 month
Text
"On est toujours des singes essayant d'exprimer nos pensées avec des grognements, alors que l'essentiel de ce que l'on aimerait communiquer reste coincé dans notre cerveau."
J'ai terminé "Là où les arbres rencontrent les étoiles", de Glendy Vanderah.
On dirait un livre feel good en lisant le résumé: C'est l'histoire d'une doctorante en ornithologie, Jo, qui rencontre un jour une jeune demoiselle, Ursa, lui annonçant qu'elle est une extraterrestre, qu'elle a emprunté le corps d'une enfant qui venait de décéder et qu'elle cherche 5 miracles, après quoi elle retournera sur sa planète. Jo, plutôt habituée à être une ermite dans la forêt, dans ses recherches et dans sa méfiance va voir son quotidien s'enchanter petit à petit. Les personnages : Jo, Ursa et Gabe (le voisin) sont aussi attachants qu'ils sont cabossés.
Joli pitch, lecture chill du dimanche aprèm ? Sur Babelio, les critiques les moins sympas parlent d'un style trop simple, d'une fin attendue et un peu trop naïve mais c'est précisément ce qu'on attend d'un livre feel good, non ?
Ce sera un peu plus profond que ça, puisque l'histoire abordera sans filtre des sujets plus graves comme notamment le cancer, la dépression, le pardon, l'amour et la résilience.
J'ai passé un moment agréable, la plus grande partie de l'histoire se déroule dans la forêt, j'ai trouvé les descriptions immersives et je ressentais comme un apaisement quand les personnages revenaient de la ville, prenaient des routes de plus en plus isolées pour ensuite se retrouver parmi les arbres. Je me suis moi aussi attachée à Ursa, sans savoir avant la fin de l'histoire si elle venait effectivement d'une autre planète ou si elle s'était inventé une histoire pour remplacer son passé douloureux.
Bon, il y a une histoire d'amour entre Jo et le voisin, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire mais ça complexifie les personnages.
⭐⭐⭐⭐⭐ (encore 5 étoiles, ça va devenir une habitude de lire des pépites !)
19 notes · View notes
sabinerondissime · 7 months
Text
Tumblr media
Les arbres en automne, juste en face de chez moi.
31 notes · View notes
arbre-moi · 29 days
Text
Thanks, Main Street, for a beautiful presentation about arbre/moi.
Tumblr media
************************************************************************
0 notes
alexar60 · 9 months
Text
Camille
Tumblr media
Mes grands-parents avaient acheté une résidence de vacances du côté de Vannes. Pour la crémaillère, ils avaient invité toute la famille à passer quelques jours. Je devais avoir cinq ans et découvris des cousins que je ne connaissais pas. En fait, il s’agissait surtout des enfants des  cousins de ma mère.
Lorsque nous arrivâmes devant la maison, nous vîmes un terrain immense sur lequel se promenaient de nombreuses personnes. On était plus proche du repas de mariage que d’un simple weekend à la campagne. Avec ma sœur, nous nous retrouvâmes au milieu d’une farandole de personnes que nous ne connaissions pas. J’eus le droit à des surprises, des bonjours d’étonnements, des bisous baveux de vieux adultes, des « mais qu’est-ce qu’il a grandi, il n’était pas plus haut que trois pommes la dernière fois qu’on l’a vu ! ». Bref, je n’étais pas à mon aise. Alors, je m’éloignais et pendant que ma sœur était prise en charge par mes cousines, je regardais les cousins jouer ou discuter. Tous étaient plus vieux que moi d’au moins cinq ans. Comme je me sentis exclu, je visitais ce grand terrain. Il y avait des fleurs alignées en cercle ou en carré, des tulipes, des hortensias, des roses et j’en passe. Il y avait des arbres mais aucune branche ne me permettait de grimper dessus. Je marchai lentement sans savoir quoi faire. Je voyais toujours les adultes discuter et les entendais rire. En fait, j’étais le seul à ne pas être réellement ravi d’être en cet endroit.
Avant de faire demi-tour, je vis une petite fille. En apparence, elle était plus vieille de deux ans, peut-être trois. Ses longs cheveux blonds semblaient briller avec un reflet de soleil. Elle lisait assise au milieu d’un cercle de livres ouverts. Elle me sourit avant de dire bonjour. Dès lors, j’approchais tout en rendant son sourire.
Comment t-appelles-tu ? demanda-t-elle.
Alexandre.
Enchantée, moi c’est Camille. Que fais-tu ici ? Tu n’es pas avec les autres en train de jouer ?
Non.
J’étais timide. Même avec une cousine, je restais timide. J’observais les livres. Ils n’avaient aucune image, ne comportant que des textes. J’approchai la tête pour les regarder de plus près lorsqu’elle demanda :
Sais-tu lire ?
Je hochai négativement de la tête. Dès lors, elle me proposa d’approcher et de jouer à la maitresse d’école. Je m’assis à côté d’elle et l’écoutais attentivement cherchant à comprendre le sens des lettres, les mots qu’elle prononçait. Ce n’était pas un exercice facile car je n’arrivai pas à lire parfaitement les lignes qu’elle montrait du doigt. Toutefois, je réussis à retenir quelques mots.
La matinée se passait à écouter Camille faire sa leçon de lecture. Soudain, un appel annonça le repas du midi. Je me levai immédiatement et rejoignis la famille sans m’occuper de Camille. Je n’entendis pas cette dernière courir avec moi. A l’instar des repas de famille, celui-ci fut long et pénible. Je regardai les plats se suivre, j’attendais le suivant. Je restais à la table des enfants écoutant les grands cousins déblatérer des idioties pour se la péter, et les cousines dont les plus petites  somnolaient à moitié. Après avoir fait tour visuel du groupe, je ne remarquais pas Camille. Je demandai à Carole, ma cousine la plus proche si elle savait où elle se trouvait. Mais, Carole ne put répondre car elle ne la connaissait pas. Cependant, en sortant de table, elle m’aida à chercher Camille, en vain. Elle questionna les adultes.
Camille ? Chérie, on a une Camille parmi nos petits-enfants ? interrogea mon grand-père.
Non, répondit ma grand-mère. Et dans les petits-neveux non plus.
J’expliquai où je l’avais rencontrée. Ma grand-mère caressa mes cheveux recoiffant la raie au passage. Puis, elle expliqua que des enfants du hameau venaient parfois dans le bois car il n’était pas clôturé. Déçu, je passai le reste du weekend à m’ennuyer.
Durant les vacances suivantes, je revis Camille. Elle était au même endroit à lire. Elle n’avait pas changé et portait une couronne de fleurs sur la tête. Elle me reconnut, me sourit et proposa de me faire une leçon de lecture. Je l’écoutai lire un passage des trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Je ne comprenais rien mais restais captivé par sa façon de parler. Je sentais une douceur enivrante m’envahir, je sentais des papillons chatouiller mon ventre. Il faisait beau et j’étais heureux de la revoir, heureux qu’elle ne m’oublie pas. Je montrais mes prouesses en lecture et regrettais de ne pas avoir de crayon pour montrer que je savais aussi écrire.
Je passais l’après-midi avec Camille, oubliant ma famille, mes parents qui partageaient leur temps avec mes grands-parents. J’oubliais ma sœur qui préférait jouer à la poupée sur la terrasse. Quand ma mère m’appela pour le goûter, je proposai à Camille de venir. Elle refusa préférant se nourrir de connaissances. Je partis lui promettant de revenir avec un morceau de chocolat dans du pain. A mon retour, Camille et ses livres avaient disparu.
Toutefois, elle était présente le lendemain puis le surlendemain. Nous jouions à lire et à écrire car cette fois-ci, j’avais pris du papier. Elle lisait énormément et j’écoutais. Parfois, elle me faisait lire corrigeant quelques mots ou la ponctuation. Elle avait pris une pièce de théâtre. Je ne comprenais rien mais c’était drôle de lire chacun son tour. On se donnait des personnages. Parfois, elle prenait une grosse voix pour parler à la place d’un homme. Le soir, je repartais rejoindre la famille.
Par la suite, je la questionnai sur ses parents, où elle habitait exactement. Elle restait évasive me signalant que sa demeure était complètement noire et humide. Son père était ingénieur. Quant à sa mère, elle ne travaillait pas. Pourtant, elle aurait dû être médecin.
Il y eu une nuit étrange. Je dormais dans la même chambre que ma sœur. Nous avions chacun notre lit. Je fus réveillé par un son bizarre. Je compris qu’il s’agissait du grincement de la porte, à cause d’un courant d’air. Le drap de mon lit se leva et ma sœur  s’allongea à côté de moi. Cela arrivait qu’elle fasse des cauchemars. Alors, elle préférait me rejoindre plutôt que de rester seule dans son lit. Enfin, je crus que c’était ma sœur parce que cette nuit, je reconnus le visage de Camille. Elle parla doucement.
Ça ne te dérange pas que je dorme avec toi ? J’ai froid et j’ai peur. Il fait tout noir.
Je laissai mon amie se blottir contre moi. Son corps, ses mains étaient gelées. Je ne l’interrogeais pas sur sa présence dans la maison. Nous dormîmes. Au matin, elle avait disparu. Je me levai seul. Ma sœur était déjà debout. Je descendis à la cuisine et demandai si quelqu’un avait vu Camille partir. On me dévisagea. Mes parents pensèrent que j’avais une copine invisible. Je compris que j’avais rêvé.
Durant l’après-midi, lorsque je revis Camille, toujours au même endroit, je parlais de ce rêve. Elle sourit et baissa la tête. Elle choisit un livre : Alice au pays des merveilles. Dès lors, je restai obnubilé par cette histoire fantastique. J’écoutais la petite fille lire avec passion. Et pour la première fois, je comprenais l’humour dans un récit.
Camille n’était pas là pendant les vacances suivantes. J’avais sept ans. Je passais souvent dans le bois au fond du jardin en espérant la voir, mais je ne voyais que de l’herbe et des arbres. De temps en temps, je m’asseyais ou m’endormais en attendant son retour. Elle n’est jamais revenue. Les années passèrent sans que je n’oublie la petite fille rencontrée au fond du jardin de mes grands-parents. Ce même jardin rétrécissait en vieillissant. Le bois ne semblait pas si grand. Mais le regard de l’adolescent n’est pas celui de l’enfant.  De temps en temps, je retournais dans cette petite forêt à me souvenir que j’y avais vécu de très beaux moments. J’imaginai un livre oublié posé sur l’herbe par Camille. Cependant, il n’en fut rien.
Cela faisait vingt ans que je n’avais plus entendu parler de Camille. J’écoutais un documentaire télé sur des enquêtes non résolus. Quelle fut ma surprise que de voir le portrait de Camille entre celui de ses parents. Sa famille était portée disparue dix ans avant notre rencontre. Aussitôt, je suivais l’affaire avec attention. La famille de Camille passait des vacances dans le même hameau où se trouvait la maison secondaire de mes grands-parents. Il y avait bien quelques suspects, seulement personne n’avoua quoi que ce soit. Après une nuit de réflexion à  chercher à comprendre pourquoi je l’avais rencontrée, pourquoi je lui avais parlé et pourquoi, elle n’avait pas changé, c‘était surtout ce lieu noir, humide et froid qui m’intriguait. J’appelai dès le matin mon grand-père. Nous discutâmes de cette affaire.
Au fait Papy, tu as déjà pensé à faire sonder le jardin ?
Pourquoi faire ? répondit-il avec une voix étonnée.
C’est presqu’une ferme. Et je me disais qu’il devait peut-être y avoir un puits caché ou quelque-chose comme ça. Une cave ?
 Tu sais que ça pourrait être une bonne idée. Un puits m’aiderait pour arroser les fleurs.
Deux mois plus tard, ma mère appela. Elle m’annonça qu’on avait trouvé des corps dans un puits fermé chez ses parents. La maison faisait la une des journaux télé. Effectivement, je reconnus la maison. De nombreux gendarmes encerclaient la demeure. Néanmoins, on pouvait remarquer un groupe de personnes en combinaison blanche en train de marcher vers un trou entre les arbres. Et le lieu du trou était la position exacte où Camille lisait.
Quelque-jours plus tard, je passais voir mes grands-parents. Ils racontèrent la découverte du puits et celle de Camille et de ses parents. Mon patriarche gardait le journal qui expliquait les causes de la mort. Ils avaient été exécutés d’une balle en pleine tête. L’enquête aboutit que c’était en pleine nuit et qu’ils dormaient au moment des faits.
J’accompagnais ensuite mes grands-parents vers le puits.  Nous regardâmes pendant un long silence ce trou ouvert. L’atmosphère était remplie à la fois d’émotion et de libération. Un vent frôla mon visage. Je levai les yeux et crus apercevoir la silhouette d’une petite fille qui s’effaçait doucement.
C’était juste bouché par une dalle en béton et recouvert d’un tapis de verdure, annonça papy. Le puits ne contient plus d’eau.
C’est grâce à ça que les ouvriers ont vu les ossements, ajouta mamy.
Mon grand-père me regarda avec son air perplexe. Il posa sa main sur mon épaule puis hocha la tête en souriant.
Je me souviens que c’était à cet endroit que tu jouais tout seul quand vous veniez. Tu prenais toujours du papier et des crayons et tu jouais ici…Elle s’appelait comment déjà ton amie imaginaire ? Camille ?
Je répondis d’un geste de la tête.
Comme la petite qui était dans le trou, murmura-t-il.
Il ne posa pas d’autres questions. Nous rentrâmes et je passais la nuit chez eux.
Lorsque ma première fille est née, nous l’avons appelée Camille par hommage. Et elle a adoré apprendre à lire.
Alex@r60 – août 2023
41 notes · View notes
quemajoiedemeure · 6 months
Text
Y a tellement de maisons vides et délabrées, ma mère dit que c'était pareil à Paris dans les années 80. J'ai bu de l'alcool à tous les repas (vihno verde), y a jamais de légumes nulle part dans les restaus mais ils vendent des mangues au kilo et pas à la pièce, j'ai volé : des tablettes de chocolat, une statuette religieuse, un bracelet de pierres volcaniques qui s'est cassé sur le trottoir dès que j'ai voulu le mettre. J'ai acheté des mini kiwis qui ont un goût de kiwi mais pas pareil. A Braga il y a un magasin Rolex et toute la journée il y a un flic posté devant. Quand on est allés dans le village de mon père j'ai mis sa playlist dans la voiture, quand on s'est mis à erer dans les rues des gens sont sortis parce qu'ils devaient être inquiets de voir des inconnus dans leur bled où il se passe jamais rien et en fait c'était des gens de ma famille qu'on connaissait pas. On a traîné dans le petit cimetière et y avait encore plein de gens avec notre nom de famille, mais morts. Et plein de cercueils posés à l'air libre dans des tombeaux de famille avec des portes vitrées. On a marché jusqu'à aller dans une forêt d'eucalyptus qui appartenait à ma grand mère avant qu'ils vendent tout pour s'acheter un appartement de merde en France, on a marché un peu et puis il y avait un arbre tout tordu qui était pas comme les autres alors on s'est arrêtés, ma sœur s'est mise à pleurer, j'ai demandé à ma mère si elle voulait que je le fasse et elle a dit si tu veux mais je voyais bien qu'elle était un peu soulagée si c'était moi, alors j'ai pris l'urne je l'ai ouverte et j'ai mis les cendres tout autour de l'arbre, en fait y avait beaucoup beaucoup de cendres alors j'ai tourné plusieurs fois autour de l'arbre et puis mes mains tremblaient fort comme si j'arrivais plus à rien porter, j'avais un peu l'impression que j'allais tomber et puis finalement c'était terminé - je me suis dit : tout ce qui reste de sa présence sur Terre c'est là et maintenant et quand on va partir on sera loin de tout ce qui reste de lui sur Terre,
et on est partis
24 notes · View notes
Text
Tumblr media
Regarde-moi cet endroit, t'y crois ? L'Hôtel du Centre, tout pimpant, tout blanc avec ses volets rouges, comme pour dire : « Hey, je suis là, au milieu de nulle part ! » Et puis ces petites montagnes, derrière, qui regardent de haut tout ce petit monde. Les voitures qui se pointent, à la va-comme-j'te-pousse, cherchant un coin pour poser leurs carcasses. Les arbres, discrets, qui se tiennent à carreau, histoire de pas déranger. Et puis ce petit trottoir, qui mène on ne sait où… Tout a l'air si tranquille, si posé, comme un dimanche après-midi où tout s'arrête. Mais dedans, qui sait ? Peut-être que ça bouillonne, que ça s'agite, que les verres trinquent et que les rires fusent. C'est un monde de contrastes, où la quiétude côtoie le tumulte, où l'apparence cache mille et une vies. Mais bon, de loin, on n'y voit que du feu. Tu sais, y'a des lieux comme ça, qui bravent le temps, qui résistent quand tout autour semble se déliter, s'effondrer. Cet hôtel, c'est un peu ça. Un vestige, un symbole. Quand tout ferme, tout change, tout est transformé, lui, il tient bon la barre. À l'origine, imagine, c'était en 1958, une simple pension de famille, la pension Mallet. Et puis l'appétit grandissant, la vision s'agrandit. En 1965, deux étages de plus viennent couronner l'édifice, pour faire face à une station de sports d’hiver en pleine expansion. 27 chambres pour accueillir les âmes en quête de repos et de glisse. Les Mallet, une famille de battants, l'ont tenu jusqu'en 1984, puis est venu le temps de la transmission, au fils, qui a veillé sur les lieux jusqu'à ce qu'il range ses clefs pour une retraite bien méritée en 2019. Aujourd'hui, de nouveaux visages sont aux commandes. L'Hôtel du Centre continue de vivre, de respirer, de témoigner de ce qu'il était autrefois et de ce qu'il sera demain. Un phare immuable, défiant l'obscurité des métamorphoses.
21 notes · View notes
homomenhommes · 28 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 144
Comme promis lors de notre première rencontre avec Alex et Johan (SD 130), notre nouvelle rencontre s'est déroulée chez eux. Comme le temps commence à rafraichir sérieusement et que le climat est incertain, nous y allons avec mon SLS. 5h de route à vitesse autorisée, nous n'en mettrons que 4 car j'ai été très raisonnable dans mes excès de vitesse ! Le GPS nous amène jusque devant le portail d'une grande propriété en bordure de ville. Sonnette, vidéo, le portail glisse et je monte, entre les arbres, une allée en S cachant la maison de la rue.
Grosse maison bourgeoise XIXème avec perron à escalier double qui met le niveau de réception à un demi-étage au dessus du sol. Pas de gens de service, c'est Johan qui descend nous accueillir et prendre nos bagages (petits). Bisous, c'est effarant comme nous nous ressemblons. D'ailleurs Marc lui a déjà mis la main au cul ! Alex nous attend et nous offre de nous rafraichir, passage aux toilettes du niveau. Comme il est l'heure, nous attaquons avec un apéritif. Puis un déjeuner ou je fais attention de ne pas trop manger en prévision du reste de la journée.
Après le café, Alex nous fait les honneurs de leur maison. La cuisine et une bibliothèque / salle de billard manquaient à notre connaissance de l'étage. Au dessus un premier niveau de chambre, seulement 4 mais immenses équipées de lits King size, avec chacune une salle de bain digne du meilleur palace. Au dessus l'étage des commodités, lingerie, et trois chambres plus petites (pour le service quand il y en avait) et une salle d'eau commune, WC. Alex avait gardé pour la fin le meilleur, le sous sol. A demi enterré, d'étroites fenêtres horizontales au ras des plafonds éclairent les pièces. Le quart de la surface de la maison est occupé par une cave et la chaufferie.
Le reste vient d'être équipée à neuf. Nous reconnaissons l'influence de notre salle de sport et de notre donjon dans son aménagement. Nous pénétrons d'abord dans une salle de sport un peu plus petite que la notre mais bien équipé avec au fond les sanitaires, WC séparés mais lavabos et douches communes. Un passage derrière la dernière des douches donne accès à leur donjon. Sous un éclairage plus chiche, nous voyons que bien que plus petit aussi, il doit être capable de recevoir au moins une bonne demi douzaine de mecs.
Excité Marc chope l'un de nous deux par le cou et c'est en lui roulant une pelle qu'il devine qui c'est, et ce n'est pas moi ! Alex me pousse contre un sling, ses mains pétrissant mes fesses. Je le laisse faire un peu. Je déboutonne rapidement mon jeans et il le pousse vers le bas, dégageant le shorty avec et dévoilant mon fessier. Les chaussures volent, le polo aussi et je me retrouve nu installé sur l'appareillage de suspension. Je jette un coup d'oeil vers mon mec. Il s'occupe de remplir de ses 22cm la bouche de mon sosie (et sa gorge par la même occasion). Je n'ai pas le temps d'en voir plus, ma vue est soudain bouchée par l'apparition des 23 x 6 d'Alex qui réclament un abri. ;J'ouvre grand la bouche et le gland d'Alex y progresse sans s'arrêter jusqu'aux couilles. Je maitrise ma respiration et l'envie que j'ai de vomir. Bien que j'ai fait attention au déjeuner, j'ai trop mangé !
Quelques détails triviaux (exécutés dans les toilettes) plus tard, je reprends le taf et supporte sans broncher le ramonage de ma gorge. Absorbé par ma pipe, c'est dans le lointain que j'entends Johan gémir sous les mains et la bite de Marc. ;La bite que je suçais quitte ma bouche et c'est maintenant une langue que je sens sur mon anus. Alex prend le temps de bien me détendre la rondelle. C'est un pro de l'anilingus. Marc c'est pas trop son truc, un peu mais c'est surtout avec ses doigts qu'il me prépare la rondelle. Je ferme les yeux et concentre toute mon attention sur mon oignon. C'est divin. Il fait tourner sa langue ni trop ni pas assez vite, la pointe dans mon trou et y fait entrer de la salive... Je suis tout à l'attente de sensations à venir qu'il va provoquer en moi que je suis surpris de sentir Johan se coucher sur moi en 69.
J'ouvre les yeux sur son sexe et louche sur ses couilles rasée. Il me suce, je ne peux que lui rendre la politesse. Je vois bientôt la queue de Marc, couverte de latex, approcher l'anus de mon alter égo. Je place une main sur chaque fesse et écarte ces dernières pour faciliter le travail. Je sens aussitôt la même chose m'arriver et le gland d'Alex se poser sur ma rondelle. Nos deux hommes se mettent d'accord et en même temps s'enfoncent dans le mec de l'autre. La poussée étant bien égale, le sling ne bouge pas et le coup de rein de Marc en phase terminale pousse le gland de Johan dans ma gorge. Je sens pareillement mon gland dépasser la glotte de Johan dans le même temps ou je sens les couilles d'Alex me caresser le sacrum. Nos deux hommes nous regardent ainsi emmanchés quelques instants avant de se mettre à nous limer.
Une bouche sur son sexe avec un sexe dans sa bouche et un autre dans le cul, difficile de faire mieux question bouchage de trous ! Sous mes yeux, je vois la rondelle de Johan s'ouvrir sous la poussée de Marc et se refermé quand il en sort. J'ai l'impression de pouvoir voir la mienne se faire déplisser par la queue d'Alex tant leur synchronisme est bon.
Johan et moi nous savourons nos positions de passifs pas inactifs pour autant. Je tète sa bite comme si ma vie en dépendait et je le sens qui m'aspire avec autant d'ardeur. Les coups de boutoirs qui défoncent nos cul commencent tout doucement à se désynchroniser et nous finissons secoués, le sling balançant entre nos deux mâles. Je sens ma rondelle s'ouvrir encore un peu plus avant qu'Alex ne me fixe contre ses cuisses et décharge au fond de mon cul (dans sa kpote). C'est à peu près ce qu'a du ressentir Johan au même moment. Nous avons juste le temps de recracher nos bites avant de juter entre nous, barbouillant de sperme nos pecs et abdos.
Deux " plops " plus tard, nous étions libérés de nos " broches ". Johan est resté sur moi le temps de récupérer un peu et je n'ai pas eu la force de le virer. Ce n'est que quand Alex a gueulé que les douches étaient libres que nous nous sommes décollés (le sperme ayant séché entre temps) puis relevés. Quand nous sommes arrivés aux sanitaires séparant le donjon d'avec la salle de gym, Alex et Marc en sortaient en peignoirs. Alex nous dit de les rejoindre au salon quand nous serons prêts.
Avec Johan, nous avons pris tout notre temps sous les douches. Chacun savonnant, massant l'autre, nous avons fini dans les bras l'un de l'autre à nous rouler un patin magistral, trop bon cette impression de " masturbation ;continuelle ". Je pense que c'est un peu ce que doivent ressentir les jumeaux Tic et Tac, faudra qu'on en discute. Comme le mélange de salive avait ravivé notre libido, ma bite est venue très naturellement boucher le cul de Johan, pour son plus grand plaisir. sous les douches, je l'ai enculé debout, lui ses mains sur le mur carrelé amortissaient mes assauts, alors que les miennes sur ses hanches dirigeaient l'action.
Je l'ai fait jouir sur le carrelage blanc puis je me retirais pour juter sur son dos.
Nouvelle douche, un séchage qui a duré presque autant de temps que notre passage sous l'eau et nous sommes remontés rejoindre nos mâles. Ils étaient en train de discuter d'Ammed et Samir nos deux hommes de services. Alex demandait à Marc où nous les avions trouvés, combien ils nous coutaient et autres détails. Johan peu intéressé par le sujet me demanda si je pouvais l'emmener tester le SLS. ;Dans le même état d'esprit, je prévenais Marc et Alex que nous partions faire un tour en voiture. Marc me recommanda d'être raisonnable (difficile avec un tel monstre) et Alex nous dit d'être sérieux, ses contacts à la police n'étant pas de permanence ce WE.
Le bip du portail dans la poche, nous les avons laissé. Sous la direction de Johan qui connaît bien le coin, nous sommes arrivés à l'autoroute. Début de WE, je préfère prendre le sens province pour faire le repérage de radar et revenir sur la direction de Paris moins susceptible d'abriter les bleus.
Bien m'en a pris, sur 50Km nous repérons deux radars dans ce sens mais rien en face. Sortie puis retour. Peu de véhicules, dès la sortie de la bretelle, j'enfonce l'accélérateur au plancher. Les vitesses automatiques passent à une vitesse folle et nous sommes à 250 Km/h le dos collé au baquet.les voitures que nous doublons sembles aspirées vers nous. Johan est ravi. A peine 1/4 heure plus tard, nous passions devant notre sortie. Johan me dit de continuer jusqu'à la prochaine aire d'autoroute, ça y drague un peu. Au ralenti (135 Km/h), nous arrivons et je me gare devant le bloc sanitaire, dans l'enfilade de l'entrée homme.
Nous restons quelques instants à mater. Quelques mecs entrent et sortent des WC. Ceux qui en sont sortis flânent autour du bâtiment. Avec Johan nous décidons d'aller les narguer. Quand nous entrons, il reste deux places sur les 6 urinoirs nous nous plaçons cote à cote. Je pisse, il pisse et nous bandons. Quelques coups de poignet et les 4 autres matent vers nous. Nos queues égouttées, nous nous les échangeons. J'approche mon visage du sien et nous nous roulons un patin.
Silence de mort. Quand nous nous décollons, les 4 autres mecs bandent et se branlent. Je suis trop chaud pour qu'on en reste là. Un coup d'oeil à Johan, nous sommes d'accord. On se réajuste un minimum et sortons pour occuper les WC pour handicapés. Un mec essaye de nous suivre mais nous l'éconduisons, trop moche (ça, ça peut passer) et trop petitement monté (c'est rédhibitoire).
Comme un imbécile, j'ai laissé le matériel dans la caisse. Nous nous contentons de nous piper mutuellement. Je le fais juter en premier puis c'est son tour de m'amener à exploser avec sa bouche. j'ai failli me faire surprendre et lui juter dans sa gorge, tellement mon gland se plaisait derrière son larynx. Quand nous sortons, nous sommes matés par une bonne demi douzaine de mecs. J'attrape Johan par le cou et j'en rajoute une couche par un nouveau baiser accompagné d'une main au paquet. Quand nous nous écartons j'ajoute tout haut, " merci mon amour " et nous partons à la voiture.
Les regards nous ont suivis jusqu'à ce que nous sortions de l'aire de repos. Une fois sur l'autoroute, nous avons éclaté de rire. Johan super excité, c'était la première fois qu'il faisait ce genre de plan. Retour à la maison. Johan raconte à Alex notre " aventure ". ;Marc nous dit que nous n'avons pas été très courageux. Je lui dis que c'était pas l'objet et qu'en plus, la population était loin d'être à nos goûts.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
swedesinstockholm · 19 days
Text
5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
7 notes · View notes