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#ascète
infinitemercy · 2 months
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Ascète – Bruit Blanc dans une Nuit Monochrome (The Skaden cover, 2020)
Homage to Stefan Kozak, founder of The Skaden, who committed suicide by throwing himself under a train at Hettange-Grande station on August 9, 2015.
   The only thing that lasts from them    This is the only thing they leave us behind    White noise in a monochrome night
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lounesdarbois · 1 month
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"C'était un repas par jour..."
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pauvre marx, il doit être déçu...
y'a pas de petits profits pour eux, c'était mon lol du jour la banane qui vaut rien mais qui fout qmm le merdier x')
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dixvinsblog · 2 years
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Moi, le poète, moi l'ascète, انا الشاعر انا الزاهد… Med nadhir sebaa
Moi, le poète, moi l’ascète, انا الشاعر انا الزاهد… Med nadhir sebaa
Moi, le poète, Moi l’ascète, moi le poète,Ego enflé, toujours en quête,Je n’écris pas pour le mythe,Je n’écris pas pour l’argent,J’écris pour toutes sortes de gens,Artistes, rêveurs, sybarites,Grégoriens, chanteurs plain-chants,Soufis, Kémites, Jésuites,Écrire à suer sang….Moi, l’écrivain, petit poète,Je n’écris pas pour le mérite,La vie pour moi n’est que transite,Sans césure ni métrique…
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aurevoirmonty · 16 days
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"Si la “preuve par les armes”, la solution des conflits par la force, considérée comme une vertu accordée par Dieu à l’homme pour faire triompher la justice et la vérité, est l’idée fondamentale sur laquelle repose l’esprit chevaleresque et s’étend du droit féodal au plan théologique en proposant l’usage des armes et le "jugement de Dieu" jusqu'en matière de foi — une telle idée appartient, elle aussi, à l’esprit païen ; plus directement encore, elle se réfère à la théorie mystique de la “Victoire”, qui, étrangère aux dualismes propres aux conceptions religieuses, unissait l’esprit à la puissance, transformait la victoire en une espèce de consécration divine, le vainqueur et le héros en un être aussi proche des “cieux” que pouvaient l’être un saint et un ascète — alors qu'elle assimilait le vaincu, par contre, au coupable et quasiment au pécheur."
Julius Evola, Vito Nova (1932)
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Qu’est-ce que la psychanalyse?
La psychanalyse — la vraie — est une clinique du discours et un Discours.
L’analyse n’opère que du discours qui la conditionne. Le Discours de l’Analyste est le lien social déterminé par la pratique d’une analyse menée jusqu’à son terme logique.
Le Discours Universitaire, qui est par structure le plus antipathique au Discours de l’Analyste, fait recel du Signifiant-Maître (S1) et met ainsi en scène une disjonction entre sujet de l'énoncé (grammatical) et sujet de l'énonciation (logique).
Pour comprendre l’écart entre sujet de l’énoncé et sujet de l’énonciation, mis à jour par Lacan, il n’est pas inutile de faire un petit retour sur la Phénoménologie de l’esprit de Hegel…
Lorsque Hegel traite de la position ascétique, il dit que l’ascète convertit le déni du corps en un déni incarné.
Prenons garde à ne pas prendre cette inversion hegelienne pour un simple reflet en miroir qui renverrait les éléments dans les limites de la même configuration.
La conversion hegelienne est «médiée» par un impossible (qui correspond au Réel lacanien) - puisque l ‘ascète est dans l’impossibilité de dénier RÉELLEMENT le corps (ce qui signifierait sa mort) la seule chose qu’il puisse faire est d’incarner ce déni même, c’est à dire d’organiser la vie de son corps comme un vivant désaveu, une renonciation incarnée.
Mais alors l’ascète subvertit lui-même sa propre position "théorique" qui veut que la vie terrestre du corps soit inutile et impuissante, il ne s’occupe plus que de son corps, ne cessant de trouver de nouveaux moyens de le mortifier, de le pacifier, au lieu de lui témoigner une indifférence distante.
Notons que le passage d’une «figure de la conscience» à une autre a lieu quand le sujet prend conscience de l’écart qui sépare son «énoncé» (sa position «théorique») de sa position d’énonciation réelle, et assume en conséquence, comme sa nouvelle position théorique explicite, ce qu’auparavant il mettait en scène à son insu.
L’inconscient est un savoir insu de lui-même, un dire qui ne se sait pas.
Là où il y a le plus d'inconscient, c'est dans "l'auto-conscience" que nous avons de nous-même, la façon de nous rapporter à nos attitudes "conscientes".
Il est nécessaire que je sois privé de la couverture fantasmatique qui me dit ce que l'Autre veut de moi car c'est seulement à partir de là, bourré d'angoisse, que je prends conscience que l'Autre veut effectivement quelque chose de moi - mais sans savoir quoi ! - ce qui me renvoie à ma responsabilité absolue de prendre le risque consistant à déterminer "par moi-même" les coordonnées de mon désir…
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raisongardee · 6 months
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"Déjà sous cette forme en effet, comme disciplina et stimulans, comme concentration d’un contrôle de soi spirituel et volontaire, l’ascèse serait dangereuse à vivre, et serait assurée de l’hostilité commune du capitalisme et du communisme, qui sont entièrement d’accord sur un point, la course au bien-être ou, pour s’exprimer de façon plus relevée, la hausse du niveau de vie. Dans la société actuelle, un ascète est un être utopique, sans feu ni lieu. Qu’il y ait là un point essentiel apparaît déjà en cela que, parmi presque tous les éléments de la religion chrétienne, c’est précisément celui-là qui n’a pas été sécularité. L’affaire est visiblement sérieuse. On peut comprendre la liberté, l’égalité, le progrès, l’humanité et bien d’autres catégories des temps modernes comme des contenus chrétiens sécularisés ; personne n'a encore jamais tenté d’interpréter ainsi l’ascèse. C’est quelque chose qui, visiblement, ne peut se traduire en phraséologie sans devenir absurde. L’anthropologie au contraire doit la compter au nombre des catégories tout à fait supérieures. On peut même, en partant de la réduction ou de l’exclusion active des instincts qu’elle contient, aller jusqu’à voir en elle un prolongement du processus d’humanisation."
Arnold Gehlen, Anthropologie et psychologie sociale, trad. Jean-Louis Bandet, 1952.
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oviri7 · 9 months
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« L’ascétisme n’est pas un refus; c’est un accord supérieur. Le retour de l’être à sa source enfouie dans le chaos du monde. Ne tourne ascète que celui qui avait vraiment soif. »
Ariya S.
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duxvonzazer · 3 months
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L’Inde :
« En avançant, je m’aperçois qu’un des ascètes est accoudé, bras croisés, sur une sorte de petite balançoire accrochée à une branche de l’arbre, et pendouillant à hauteur d’épaule. L’homme se tient à cloche-pied, statique, dodelinant de la tête, en transe. Léo m’explique que certains sadhus font des voeux, par exemple se tenir dans une position pour une durée indéterminée. Cela doit faire plusieurs années que celui-là se maintient sur une jambe, immobile, nourri régulièrement par des dévots. Je réalise qu’autour de nous règne une puanteur surprenante même pour Bénarès, et je baisse mon regard: la jambe du sadhu n’est plus qu’un pilier grisâtre, pourrissant et boursouflé, mélange de corne, de bubons et de replis de peau, planté au milieu d’une mare de pisse et d’excréments… Je comprends mieux son air absent, il doit avoir des fourmis dans ce qui lui reste de jambe… J’essaie vaguement d’imaginer ce que peut donner une existence consacrée à se faire dessus en prenant une pose de flamand rose en se putréfiant petit à petit, puis m’éloigne avant d’être totalement envahi par le vertige. »
Hazukashi
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whencyclopedfr · 7 months
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Monachisme Byzantin
Le monachisme, c'est-à-dire le fait pour des individus de se consacrer à une vie ascétique dans un monastère à des fins de dévotion, était une caractéristique omniprésente de l'empire byzantin. Les monastères devinrent de puissants propriétaires terriens et une voix très écoutée dans la politique impériale. Entre ascètes fanatiques et producteurs de vin très appréciés, les hommes et les femmes qui consacraient leur vie à la vie monastique constituaient une partie importante de la communauté. Les monastères offraient toutes sortes de services aux pauvres et aux nécessiteux, aux nobles en disgrâce, aux voyageurs fatigués et aux rats de bibliothèque avides de connaissances. De nombreux monastères byzantins sont encore en activité et leur architecture impressionnante embellit les paysages d'aujourd'hui, depuis Athènes jusqu'au Sinaï.
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nhcdiogene · 2 years
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Le nom « Syndrome de Diogène », adopté en 1975, fait référence à Diogène de Sinope, philosophe grec du ive siècle av. J.-C. et figure clé du cynisme ainsi que disciple d'Antisthène, Il vivait dehors, dans le dénuement, vêtu d'un simple manteau, muni d'un bâton, d'une besace et d'une écuelle. Dénonçant l'artifice des conventions sociales, il préconisait en effet une vie simple, plus proche de la nature, et se contentait d'une grande jarre couchée sur le flanc - en grec pithos - pour dormir.
Diogène est surtout connu pour la vie qu'il menait en dehors de toute convention sociale, même si son but réel était de vivre hors de la culture et de la civilisation grecque, en se pliant par exemple à certaines restrictions susceptibles de lui apporter une plus grande indépendance vis-à-vis des biens matériels, une plus grande liberté morale. Les motivations de sa vie hors normes disparaissent aux yeux de la société, parfois choquée par son habitation dans une jarre renversée ou sa pratique de la masturbation en place publique.
En 1966, deux psychiatres anglais, Mac Millan et Shaw, publient une étude sur 72 personnes âgées vivant dans des conditions d'hygiène personnelle et domestique inquiétantes. Ils avaient constaté chez ces patients un effondrement de leur norme de propreté personnelle et d'environnement et avaient appelé ce tableau « syndrome de décompensation sénile ».
La personne présentant ce syndrome choisit un isolement social aussi grand qu'il lui est possible ; elle en arrive à vivre presque recluse chez elle, n'ayant dès lors plus autant de raisons d'entretenir son logement et se désintéressant en même temps, à un degré plus ou moins grand, de son hygiène personnelle. Paul Léautaud, Howard Hughes dans les dernières années de sa vie en constituent une illustration.
Se pensant à tort ou à raison en risque de pauvreté extrême, ce qui lui est suggéré par la vie peu gratifiante où elle s'installe, elle essaie d'économiser le plus possible pour parer à l'avenir, et accumule parfois des sommes importantes sans avoir réellement conscience de leur valeur. Accumuler aussi chez elle de grandes quantités de déchets ou du moins d'objets sans utilité immédiate l'amène à vivre dans des situations insalubres : d'abord simple encombrement, puis impossibilité d'entretenir ou même de faire entretenir son logement en raison même de cet encombrement devenu obstacle.
Diogène de sinope
Disciple de Xéniade et d'Antisthène, il devient le maître, entre autres, de Monime. Parmi tous les auteurs cyniques, c'est au sujet de Diogène que la légende a accumulé le plus d'anecdotes et de mots d'esprit, issus notamment de l'ouvrage de Diogène Laërce Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres qui relève du genre littéraire de la chrie. Ce foisonnement rendant leur authenticité douteuse. Les portraits de Diogène qui nous ont été transmis divergent parfois, le présentant tantôt comme un philosophe débauché, hédoniste et irréligieux, tantôt comme un ascète sévère, volontaire, voire héroïque.
La masse d'anecdotes légendaires sur Diogène montre que le personnage a profondément marqué les Athéniens. Il vit dehors, dans le dénuement, vêtu d'un simple manteau, muni d'un bâton, d'une besace et d'une écuelle. Dénonçant l'artifice des conventions sociales, il préconise en effet une vie simple, plus proche de la nature et se contente d'une grande jarre couchée sur le flanc - en grec pithos - pour dormir. Diogène a l'art de l'invective et de la parole mordante. Il semble qu'il ne se prive pas de critiquer ouvertement les grands hommes et les autres philosophes de son temps (parmi lesquels Platon).
Les apostrophes les plus connues qui lui sont attribuées sont :
« Je cherche un homme » (voulant dire un homme « vrai », bon et sage), phrase qu'il a lancée à ses concitoyens en parcourant les rues, brandissant sa lanterne allumée en plein jour et qu'il approche du visage des passants ;
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ccz-k-flair-tour · 2 years
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Le Flair Tour étape 12 GRECE-LES METEORES
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Dans la région de Théssalie, dans la vallée du Pénée, une formation géologique incroyable.
D'après la mythologie des roches furent envoyées du ciel sur la terre par la Providence pour permettre aux ascètes de se retirer prier.
Nous avons pu visiter 3 d'entre eux!
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lounesdarbois · 1 month
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Princesse visitant un ascète, Inde (1820)
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« Le baron Ungern était un homme extraordinaire, une nature très compliquée, aussi bien au point de vue psychologique qu’au point de vue politique. Pour donner d’une façon simple ses traits caractéristiques, on pourrait les formuler ainsi :
-Il était un adversaire acharné du bolchevisme, dans lequel il voyait un ennemi de l’humanité entière et de ses valeurs spirituelles.
-Il méprisait les Russes, qui à ses yeux avaient trahi l’Entente, ayant rompu pendant la guerre leur serment de fidélité envers le tsar, puis envers deux gouvernements révolutionnaires, et ayant accepté ensuite le gouvernement bolchéviste.
Il ne tendait guère la main à aucun Russe et il fréquentait seulement les étrangers (et aussi les Polonais, qu’il estimait à cause de leur lutte contre la Russie) ; parmi les Russes, il préférait les gens simples aux intellectuels, comme étant moins démoralisés.
-C’était un mystique et un Bouddhiste ; il nourrissait la pensée de fonder un ordre de vengeance contre la guerre.
-Il envisageait la fondation d’un grand empire asiatique pour la lutte contre la culture matérialiste de l’Europe et contre la Russie soviétique.
-Il était en contact avec le Dalaï-lama, le « Bouddha vivant » et les représentants de l’Islam en Asie, et il avait le titre de prêtre et de Khan mongol.
-Il était brutal et impitoyable comme seul un ascète et un sectaire peut l’être ; son manque de sensibilité dépassait tout ce qu’on peut imaginer, et semblerait ne pouvoir se rencontrer que chez un être incorporel, à l’âme froide comme la glace, ne connaissant ni la douleur, ni la pitié, ni la joie, ni la tristesse.
-Il avait une intelligence supérieure et des connaissances étendues ; il n’y avait aucun sujet sur lequel il ne pût donner un avis judicieux ; d’un coup d’œil, il jugeait la valeur d’un homme qu’il rencontrait…
-Au début de juin 1918, un Lama prédit au baron Ungern qu’il serait blessé à la fin de ce même mois, et qu’il trouverait sa fin après que son armée serait entrée en Mongolie et que sa gloire se serait étendue sur le monde entier. Effectivement, à l’aube du 28 juin, les bolchévistes attaquèrent la station de Dauria… et le baron fut blessé d’une balle au côté gauche, au-dessus du cœur. En ce qui concerne sa mort également, la prédiction s’est réalisée : il mourut au moment où la gloire de sa victoire emplissait le monde entier ».
Major Antoni Alexandrowitz, officier-instructeur de l’artillerie mongol.
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christophe76460 · 2 months
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L'ANXIÉTÉ PASTORALE
2 Corinthiens 11 :28 m’a toujours semblé un verset étrange – jusqu’à ce que je devienne pasteur. Voici Paul, décrivant toutes les façons dont il a été battu pour Jésus – emprisonnements, coups de fouet, verges, lapidations, naufrages, dérive en mer, nuits blanches, faim et soif, froid et exposition, danger de partout (v. 23-27). ). Et puis, cerise sur le gâteau, Paul mentionne une autre épreuve : « entre autres choses, j'ai la pression quotidienne de mon inquiétude pour toutes les Églises » (v. 28). C'est l'apôtre puissant, celui qui considérait comme une joie de « dépenser et être dépensé » pour son peuple (12 :15), celui qui était triste mais toujours joyeux (6 :10). C'est le Paul qui a fait face à toutes les oppositions imaginables et qui a pourtant appris à être content (Phil. 4 :11) et à s'inquiéter de rien (4 :6). Et ici, il admet que même avec tout ce qu'il a enduré, il ressent toujours de l'anxiété pour toutes les églises.
Depuis que je suis devenu pasteur, j’ai trouvé un réconfort inhabituel dans ce verset. Ce n'est pas que j'ai accompli ce que Paul a accompli ou que j'ai subi ce qu'il a souffert, mais tout ministre sérieux ressent ce fardeau pour l'Église. Et Paul avait plusieurs églises à charge. Les églises étaient pleines de luttes intestines et de médisances. Ils supportent les faux enseignements. Ils étaient enclins au légalisme d’un côté et au chaos total de l’autre. Certains membres de l’Église accordaient trop d’importance à des questions insignifiantes, tandis que d’autres étaient trop disposés à faire des compromis sur les éléments essentiels du christianisme. Paul aimait ces églises, et leurs luttes lui pesaient plus que le naufrage ou l’emprisonnement.
Avant d'aller plus loin, permettez-moi d'être clair : je ne pense pas que les pasteurs soient les seuls à porter des fardeaux. À bien des égards, nous avons le meilleur travail au monde. Je me sens certainement extrêmement reconnaissant de faire ce que je fais la plupart du temps. Je n’ai aucun intérêt à comparer la difficulté du ministère pastoral avec les difficultés des autres vocations. Tout ce que je veux faire, c’est encourager les pasteurs à continuer à mener le bon combat et encourager les congrégations à continuer d’encourager leurs pasteurs.
Je ne suis pas surpris que Paul ressente une pression quotidienne envers les églises. Son travail ne semble jamais s'arrêter. Il avait des lettres à écrire, des visites à faire et une collecte à rassembler pour les saints de Jérusalem. Il devait envoyer des gens ici et là et gérer les affaires de ses églises à distance. Il a dû répondre à une myriade de critiques, souvent contradictoires. Certains le trouvaient trop dur. D'autres disaient qu'il était trop faible. Certaines personnes dans ses églises étaient des ascètes et pensaient que Paul était mondain. D’autres étaient licencieux et pensaient que Paul était trop exigeant sur le plan éthique. Ils ont remis en question ses références. Ils le comparèrent négativement aux premiers apôtres. Ils le pensaient boiteux comparé aux faux apôtres. Ils n’aimaient pas son style de prédication. Ils n’aimaient pas sa discipline. Certains jours, ils n’aimaient plus Paul. Tout cela pour l’homme qui les a conduits au Christ, les a aimés comme un père, a refusé leur argent et a risqué sa vie pour leur bien spirituel. Il n’est pas étonnant que Paul n’ait pas eu autant de poids que celui de prendre soin du peuple de Dieu.
Demandez à n’importe quel pasteur qui prend vraiment son travail au sérieux et il vous parlera des pressions qu’il ressent dans son ministère : des gens en crise, des gens qui partent, des gens qui arrivent, des gens déçus par lui, des gens qui le décevent. Au milieu de ce travail, le pasteur essaie de trouver du temps pour l’étude, la prière, la préparation et la famille. Il essaie de s'améliorer, de former de nouveaux dirigeants, de respecter le budget, d'apprendre à connaître quelques missionnaires, de défendre des programmes importants, d'assurer un culte et une prédication approfondis et accessibles, d'être réceptif aux nouvelles idées, d'écouter les nouvelles préoccupations et d'être prêt à aider quand les gens sont en difficulté.
Et la plupart des pasteurs se sentent un fardeau pour toutes les autres choses qu’ils pourraient faire : plus d’évangélisation, plus pour les pauvres, plus pour les missions, plus pour répondre aux préoccupations mondiales et plus pour répondre aux préoccupations sociales. Il y a des pasteurs qui lisent ceci et se demandent si l’Église est toujours réceptive à leur prédication ; si les dirigeants seront un jour réceptifs à leurs dirigeants ; et si la congrégation grandit un jour comme les églises dont ils entendent tant parler. En plus de tout cela, chaque pasteur doit s’occuper de ses propres blessures personnelles, de ses propres erreurs personnelles et de sa propre santé spirituelle. Nous sommes tous faibles.
Mais soyez encouragé. Dieu utilise les choses faibles pour faire honte aux forts (1 Cor. 1 : 27). Sa grâce vous suffit ; Sa puissance se perfectionne dans la faiblesse (2 Cor. 12 : 9). Pour l’amour du Christ, contentez-vous donc des faiblesses, des insultes, des épreuves, des persécutions et des calamités. Car quand tu es faible, c’est alors que tu es fort (v. 10). Paul avait de la pression. Vous aussi, vous avez de la pression. Mais Dieu peut gérer la pression. Et Il a l'air bien quand vous ne le pouvez pas.
- Kevin DeYoung
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aurevoirmonty · 2 months
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Le Bouddha se distingue de ceux qui connaissent "seulement par ouï-dire", de ceux qui connaissent "la vérité seulement par répétition, et qui, avec cette vérité traditionnellement entendue, comme un coffre transmis de main en main, transmettent la doctrine", dont l'intégrité est cependant impossible à garantir dans de telles circonstances.
Une distinction est donc faite entre les ascètes et les brahmanes qui "seulement par leur propre croyance prétendent avoir atteint la plus haute perfection de la connaissance du monde : tels sont les raisonneurs et les disputeurs", et d'autres ascètes et brahmanes qui, "dans des choses jamais entendues auparavant, reconnaissent clairement en eux-mêmes la vérité, et prétendent avoir atteint la plus haute perfection de la connaissance du monde."
Julius Evola, Doctrine de l'Éveil
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