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#ceintures
fieriframes · 10 months
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[Ceintures.]
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vintage-mode · 1 year
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Elastic Belts by Paris, 1957.
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rosesoma · 24 days
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quebec miku but it's a full ref i made earlier this year that i never posted and this is the perfect time to do so
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game-of-kinks · 1 year
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Ceinture soutenante Les cartes sont sur @tire-une-carte / The cards are at @play-my-game
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philoursmars · 6 months
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Quatrième et ultime étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s il y a un bon mois déjà : ma sœur Dominique et son mari, à Alençon, aux confins de la Normandie et des Pays de Loire.
On passe une journée au Mans. Visite du Carré Plantagenêt, musée d'histoire de la ville.
épée viking, avec l' inscription "ingelrii" (sans doute le nom de l'atelier, à Cologne) - Rennes, Xème s.
corne à boire en verre - Le Mans, IV-Vème s.
Fac simile d'une statuette d'homme en or - Le Mans, Vème s.
maquette des murailles gallo-romaines du Mans
boucle de ceinture mérovingienne en bronze
pions de tric-trac en os et bois de cerf - Sarthe, X-XIIème s.
voir 2
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Je ferme toujours mes portes de cette façon la nuit pour que personne ne puisse les ouvrir. C'est un vieux truc de camionneur qu'on m'a appris et j'espère qu'il aidera quelqu'un d'autre qui n'en savait rien
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nyc-looks · 2 years
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Anya, 22
“I’m wearing the Dani dress from Tyler McGillivary, Mandee vintage trousers from Tired Thrift, Balenciaga shoes, and a Louis Vuitton and Takashi Murakami collaboration pochette. My current style is just about being experimental and becoming different, powerful characters each day.”
Oct 14, 2022 ∙ Chelsea
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thebusylilbee · 2 months
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Homard bleu et macaron rose, décor royal et meilleurs vins pour plus de 150 invité·es : les images de la réception majestueuse de Charles III, en septembre 2023 au château de Versailles, avaient immédiatement alimenté la question. Combien d’euros la présidence de la République avait-elle déboursé pour organiser un tel événement ? La réponse est désormais disponible : 474 851 euros, d’après la Cour des comptes.
Dans leur rapport annuel sur les comptes de la présidence de la République, publié lundi 29 juillet, les magistrats financiers alertent sur la forte augmentation des dépenses du chef de l’État, notamment en ce qui concerne les frais de déplacement et réception, en 2023. L’Élysée a bouclé cette année-là son exercice en déficit (8,3 millions d’euros sur 117,2 millions de résultat), ce qui n’était pas le cas de l’exercice précédent (excédentaire de 300 000 euros).
« Si plusieurs facteurs externes expliquent ce niveau de dépenses non anticipé (inflation, activité présidentielle conditionnée par le contexte international) », la Cour des comptes alerte aussi sur une nécessaire « vigilance accrue » face aux « facteurs internes » qui ont conduit à ce dérapage. À la fin de l’année, les dépenses de la direction chargée de l’organisation des événements, des déplacements et de l’intendance ont été supérieures de 7 millions d’euros par rapport au budget prévisionnel.
Le choix d’organiser le « dîner d’État » en l’honneur de Charles III au château de Versailles a fortement pesé dans la balance, la présidence de la République ayant dû externaliser de nombreuses prestations : traiteur extérieur (et non cuisines de l’Élysée) pour 166 193 euros, « extras » embauchés pour le service pour 100 428 euros, scénographie et montage pour 42 720 euros, ou encore 42 515 euros de vins, champagne et autres boissons. 
Le coût total de la soirée (474 851 euros) ne prend pas en compte les autres dépenses liées à la « visite d’État » – le plus haut rang protocolaire – organisée pour la venue pendant trois jours du souverain britannique en France, ni les frais d’annulation (80 000 euros) de la première visite, repoussée en raison des mobilisations contre la réforme des retraites. « La France entretient des relations diplomatiques soutenues avec de très nombreux pays qui organisent des événements équivalents lorsqu’ils reçoivent le chef de l’État », se défend la présidence de la République.
Des déplacements de plus en plus onéreux
Un autre « dîner d’État » a coûté près d’un demi-million d’euros : celui en l’honneur du premier ministre indien Narendra Modi, le 14 juillet 2023, au musée du Louvre. Là encore, le choix de la présidence d’organiser le repas en dehors du palais de l’Élysée – à l’inverse des réceptions du président américain Joe Biden ou de l’émir du Qatar en 2024 – a coûté cher : près de 173 000 euros de traiteur, 72 000 euros d’« extras », etc. Pour une note globale de 412 366 euros.
À titre de comparaison, deux autres réceptions organisées à l’Élysée – le dîner d’État pour le président mongol et celui pour le Forum de Paris sur la paix – ont coûté 62 000 et 67 000 euros. « Cette comparaison entre les dîners souligne le rôle majeur du choix du lieu dans le coût total de chaque événement », relève la Cour dans son rapport.
Plus encore que les réceptions, ce sont les déplacements d’Emmanuel Macron qui grèvent le budget. Dans son rapport, la Cour des comptes interroge un paradoxe : le président de la République ne se déplace pas beaucoup plus qu’avant mais ses déplacements coûtent de plus en plus cher au contribuable. À titre d’exemple, le coût moyen des déplacements nationaux du chef de l’État a quasiment doublé depuis 2018, culminant l’année dernière à 60 462 euros.
À une échelle plus large, l’évolution des dépenses donne même le vertige. En 2016, pour la dernière année pleine de son quinquennat, François Hollande s’est déplacé 142 fois, pour un budget global de 17,7 millions d’euros. En 2023, Emmanuel Macron a effectué 112 déplacements qui ont coûté 23,2 millions d’euros. Autrement dit, le coût moyen d’un déplacement présidentiel est passé de 125 000 à 207 000 euros en sept ans.
Comment expliquer une telle hausse ? Sans nier le poids de l’inflation sur certaines lignes de dépense, l’institution de la rue Cambon charge lourdement le fonctionnement de l’Élysée, soulignant « le nombre de déplacements, l’évolution de leur structure et la taille des délégations », mais aussi « des problèmes d’organisation interne ».
L’explosion des frais de déplacement résulte directement des choix politiques opérés à l’époque par Emmanuel Macron. Après un premier trimestre passé cloîtré à l’Élysée, en proie à un mouvement social massif contre la réforme des retraites, le chef de l’État avait fait de sa capacité à occuper l’espace un enjeu politique central : il s’agissait de montrer qu’il n’était pas empêché, malgré l’impopularité de sa réforme, et de reprendre la main d’un quinquennat considérablement embourbé.
Une tournée en Océanie à 3 millions d’euros
« Je dois me réengager dans le débat public », avait-il prévenu fin avril. La suite avait été à l’avenant : en quelques semaines, le président de la République était allé discuter déserts médicaux dans le Loir-et-Cher, lycée professionnel en Charente-Maritime, reconquête industrielle dans le Nord, attractivité de la France dans les Yvelines, souveraineté industrielle en Ardèche ou encore transport aérien en Seine-et-Marne.
Fin juin, il avait tenu à passer trois jours à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour balayer les dossiers de la cité phocéenne. Le déplacement a coûté 342 828 euros à l’État, un budget « particulièrement onéreux » selon la Cour des comptes.
Laquelle critique également le prix excessif de deux autres visites officielles, en Corse en septembre (278 209 euros) et à Toulouse (Haute-Garonne) en décembre, pour visiter le siège d’Airbus (205 022 euros). La tournée en Océanie (Nouvelle-Calédonie, Vanuatu, Papouasi), au cœur de l’été, bat des records (3,1 millions d’euros), talonnée par celle en Afrique (1,9 million) au printemps.
En plus de leur nombre, c’est le faste et la dimension des déplacements que l’institution place dans son viseur. Pour la visite d’État d’Emmanuel Macron en Chine, en avril 2023, l’Élysée a affrété deux avions A330 pour transporter une délégation pléthorique, où figuraient notamment l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, grand ami de la Chine, ou l’ancien ministre socialiste Jean-Marie Le Guen, membre du conseil d’administration de l’entreprise Huawei. À l’arrivée, en plus de la voiture présidentielle transportée sur place, cinquante véhicules avaient été loués pour déplacer le convoi présidentiel.
Avec le transport et l’hébergement, plusieurs frais annexes sont venus alourdir la facture de cette visite, à l’instar des prestations audiovisuelles confiées à des sociétés privées (55 084 euros). Au total, l’escapade chinoise a coûté 1,8 million d’euros, révèle la Cour des comptes, qui pointe au passage le décalage entre le budget prévisionnel et le coût réel du voyage. Une hausse de 40 %, selon l’instance, traduite par un surcoût imprévu de 520 000 euros. 
Une différence loin d’être anecdotique, aux dires de l’institution administrative. Le rapport pointe ainsi à plusieurs reprises les « problèmes d’organisation interne » à l’Élysée, évoquant par exemple les multiples annulations et reprogrammations de dernière minute. « Bien qu’il existe des contraintes spécifiques à l’activité présidentielle, il ressort que les arbitrages à différents niveaux sont souvent rendus tardivement, ce qui ne permet pas de respecter le processus défini et contraint à un fonctionnement dans l’urgence », souligne la Cour des comptes.
Annulations et reprogrammations
La multiplication des annulations n’est pas que le fait du président de la République : elle découle aussi, pour l’année 2023, de son impopularité. Le mouvement social contre la réforme des retraites a poussé l’Élysée à annuler plusieurs déplacements et voyages prévus. Elle ne saurait toutefois être résumée à ce contexte. Depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron a habitué ses interlocuteurs, partenaires et collaborateurs à une instabilité permanente. Plusieurs ministres ont ainsi raconté à Mediapart, ces dernières années, leur lassitude face aux contre-ordres de dernière minute venus de l’Élysée.
En tout, douze déplacements ont été annulés en 2023, un record si l’on excepte l’année 2020 rendue exceptionnelle par le contexte sanitaire. Sans entrer dans ces considérations, la Cour des comptes rappelle un fait : ce fonctionnement a un coût pour le contribuable, 832 328 euros de pertes pour l’année 2023. À elle seule, l’annulation du voyage prévu en Allemagne en juillet 2023 a coûté 429 100 euros à l’État, celle de la visite en Suède en février, 180 150 euros.
En guise de préconisations pour l’avenir, la Cour des comptes suggère à l’Élysée, entre autres, de mieux anticiper l’agenda présidentiel et de plafonner la taille des délégations. Elle encourage aussi la présidence à modérer le recours aux missions préparatoires, ces voyages de collaborateurs d’Emmanuel Macron destinés à « tâter le terrain » et à préparer sa venue.
Car ces missions coûtent cher, soulève le rapport. Avant de se rendre au Brésil, cette année, Emmanuel Macron a envoyé quatre équipes différentes préparer les quatre étapes de son périple. Trop souvent décidées au dernier moment, ces missions préparatoires ont un prix, encore plus lorsque les conseillers présidentiels décident de prendre l’avion pour gagner du temps.
Ainsi de celle censée préparer l’hommage rendu à Roubaix (Nord), en mai 2023, à trois policiers tués par un automobiliste. « En dépit d’une règle édictée d’effectuer en train les trajets inférieurs à quatre heures », l’équipe d’Emmanuel Macron a pris un vol commercial pour atteindre la ville nordiste. La présidence « tiendra compte des remarques de la Cour pour améliorer son organisation et ses dispositifs internes », a répondu l’Élysée, assurant être « mobilisée pour gérer avec efficacité son budget dans un contexte d’une part inflationniste et d’autre part géopolitique et politique qui influence l’agenda de l’exécutif ».
Ilyes Ramdani et Antton Rouget
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jezatalks · 2 months
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Moi : je pars léger pour mon voyage dans le kanto !
Aussi moi : repart avec 3kg en plus car sa pote lui a conseillé une boutique de kimonos.
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Ceinture railway line in Paris
French vintage postcard, mailed to Versailles
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Mika Schneider
Schiaparelli RTW Fall 2023
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4nuttyaddict · 5 months
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Alice steampunk: Création des accessoires de la ceinture. Lien facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=100032848166805&locale=lv_LV
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game-of-kinks · 1 year
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Ceinture soutenante Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
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philoursmars · 10 months
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : "Animaux Fantastiques". Une très belle expo !
Ici des dragons et une tarasque.
boucle de ceinture mérovingienne en or et argent - Basilique de St-Denis, 600
couteau d'écuyer tranchant (celui chargé de trancher la viande de son seigneur), en ivoire et argent, Tarasque dévorant un enfant - Toscane, 1300-1500
tympan, Saint Michel terrassant le Dragon - Notre-Dame de Nevers, 1150
Saint Georges contre le Dragon - Italie, 1520
Maître I.A.M. de Zwolle - "Saint Georges combattant le Dragon" - 1480 (après recherche, l'artiste ne semble pas avoir de lien avec IAM, le célèbre groupe de rap marseillais...)
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lovefrenchisbetter · 2 years
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Maison Margiela Ceinture en cuir peint
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2emeagauche · 1 year
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La petite ceinture de Paris, ©pierre-yves chassaigne
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