#choucas des tours

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Choucas (corbeau) (1880) | Léo-Paul Robert (1851-1923)

[coffeenuts]

Choucas des tours. Western jackdaw by albert.herbigneaux1 https://flic.kr/p/2o5Gg6Y

[lamesangebleue-blog]

Choucas

Dans une autre vie je n'habitais pas ici. Je ne passais pas mes jours et mes nuits dans une tour de verre.

[aidibus]

Las grajillas son unas aves de la familia de los córvidos, que se distribuye por Europa, Asia y el norte de África. Su nombre, Corvus monedula, fue dado por Carl Von Linneo en su obra Systema Naturae, debido a la supuesta afición de recoger monedas, que se le atribuía a estas aves.  La grajilla occidental mide entre 35 y 40 cm, y su plumaje es negro brillante, con la nuca gris. Es un ave…

[orpheusz]

Choucas des tours à Saint-Félix-Lauraguais

[thebusylilbee]

I'm waiting for the train to go to Paris this week end and there are adorable little jackdaws (choucas des tours in french) all over the station 🥰

[stephanocardona]

Rideau maestro ! by ThierryRossier

[mukkitala-blog]

Choucas des tours

[dedee68]

Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes - One Voice

Rechercher n'a jamais été aussi simple avec Petal Search. https://one-voice.fr/fr/blog/les-choucas-des-tours-une-hecatombe-a-faire-suspendre-dans-le-morbihan-audience-le-19-mai-a-rennes.html?tr=89

la France de macron 🤢😡

[lamesangebleue-blog]

Choucas

Comment devient on partner du plus gros fond d'investissement de la place de Paris à 38 ans, quand on vient de nulle part ? Ca les fait gamberger ces fils de bourge, ces premiers de classe besogneux. Ca les excite, eux qui ont toujours été biberonné à l'ambition professionnelle, qui ont été élevés aux plans de carrière, qui ont fait leurs classes préparatoires, leurs petites écoles à 50K. Ils en voient une qui n'a pas eu ça, et qui a le plus grand bureau de la tour, du coup ils sont tout étonnés. Ils disent que je suis une shark, ça les rassure, ça explique un peu les choses.

Au fond ils ont raison : je suis comme un squale. Parce que je fais peur aux autres? Sûrement. Parce que j'ai du sang froid ? Oui c'est vrai. Mais plus fondamentalement, parce que si je m'arrête d'avancer je meurs. Je veux de l'adrénaline, des nocturnes de travail, des bouclages tardifs au café noir et à la clope. Il n'y a rien qui me tourmente plus que les vacances. Et le jour où je n'aurai plus tout ça, qu'est-ce que je pourrais bien faire pour survivre?

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TOUS U(G)NIS !

Henry Clemens / Edouard Braastad - D.R

Les Charentes sont une destination estivale douce ; sensiblement décalée, oserons-nous dire. Des vallons tendres, une rivière alanguie, le souvenir d’un festival de cinéma, la mémoire de François Ier et un nectar ambré universellement connu.

Cognac, c’est un claquement de langue léger et amoureux qui envoie vos papilles vers le liquide du même nom. L’eau-de-vie, deux fois distillée, cache peu ou mal la torpeur qui semble avoir frappé les villes du bord de la Charente, Cognac ou Jarnac. Pourtant, le contraste est grand entre la notoriété tout aristocratique et moderne du breuvage au-delà de nos frontières et la vision un rien surannée de ce vin distillé sur le territoire national. Point de salut sans l’export, vous assènent les acteurs. « En France, on ne sait pas boire le cognac ! », dont les bouteilles estampillées VS (1) ou VSOP (2) somnolent sur des ronds en dentelle au creux de vaisseliers fermés à double tour… De même qu’on pourra s’émouvoir des maurys ou des banyuls supplantés par de mauvais portos, les Cognaçais se désespèrent de la méconnaissance crasse des buveurs de mauvais whiskys qui, à la vue d’un VSOP, hausseront mollement les épaules…

Deux villes emblématiques de cette appellation, situées à la lisière de la Grande Champagne, réunissent les grands noms de l’appellation charentaise. Le Courvoisier est à Jarnac ce que Hennessy est à Cognac, mais ces grands arbres ne doivent pas cacher d’autres beaux acteurs, tels que la maison familiale Tiffon-Braastad, à Jarnac. On s’attardera pour débuter notre déambulation sur la grande dame de 250 ans, Hennessy, propriété de LVMH depuis 1971. Elle s’épousseta pour ajuster son image à un public qu’elle souhaite jeune et clubber – à l’instar de ses fans asiatiques et nord-américains. La maison s’essaye avec un réel savoir-faire à l’oenotourisme. La façade de la maison mère, repensée par Delmotte, est blanchie ; on en déduira que vous ne trouverez ici nul chai de vieillissement, et encore moins d’angelots rougis et hilares sous les plafonds. Le beau chai de maturation noirci comme il se doit, et étape du programme de la visite, se trouve juste en face de la maison, de l’autre côté de la Charente. Le pas de côté oenotouristique proposé aux visiteurs est une alliance, presque audacieuse, entre l’art et le cognac. Le la est donné dès l’entrée par la Fusée carbone de Xavier Veilhan. Une exposition du photographe et cinéaste Anton Corbijn vous installe au coeur de la vaste machinerie Hennessy. Il a portraituré avec délicatesse viticulteur, distillateur, tonnelier, calligraphe, grands agents internationaux de la maison passés ou présents. On retient immanquablement le cliché d’un homme noir, ostensiblement nord-américain. Il s’agit de Herb Douglas, un athlète olympique devenu représentant historique de la marque chez Schieffelin, le distributeur Hennessy aux États-Unis. En rien une surprise lorsqu’on sait que le cognac est la boisson de la communauté afro-américaine, qui abandonna le bourbon aux WASPs. L’histoire de Cognac est imprégnée par l’air vivifiant du grand large et doit en grande partie sa notoriété aux nombreux étrangers venus s’y établir à la fin du xviiie siècle alors que le commerce des eaux-de-vie connaissait un important essor. Le nez creux et l’English aux trousses, Richard Hennessy, Irlandais du comté de York, débarque dans les Charentes en 1765. Il fonde sa propre maison de négoce, histoire d’approvisionner dans un premier temps le marché irlandais en proie à de fortes pénuries de rhum dues à la Guerre de Sept ans. Un CV rapide fait apparaître que la maison exporte 99 % de sa production (une tendance globale du Cognaçais), qu’elle possède 70 chais de maturation dans lesquels dorment plus de 360 000 barriques de 350 litres ! Une part des anges conséquente pour les hirondelles et autres choucas du coin. Jarnac, haut lieu mitterrandien, possède un charme désuet tout chabrolien. Ici, les illustres maisons présentent de sobres voire austères façades ; culture protestante oblige. On traverse la rive pour se trouver nez à nez avec les chais Tiffon. Ce lieu abrite la distillerie, les chais d’assemblage, les mises en bouteilles et un joli petit musée. Une maîtrise de l’entièreté de la production rare par ici. Tiffon-Braastad possède 40 hectares de vignes propres, dont une moitié en Grande Champagne, sur des sols crayeux, et l’autre dans les Fins Bois, sur des sols argilo-calcaires. À ce propos, on raconte que les premiers produisent des spiritueux faits pour vieillir et les seconds des cognacs plus aériens et floraux. Des produits pour tous les palais en réalité. Fils de Norvégiens ayant adopté la ville protestante depuis le xixe siècle, Sverre Braastad rejoint Tiffon, fondé en 1875, pendant la Grande Guerre. Un mariage plus tard et Tiffon-Braastad voit le jour. Vous n’entendrez jamais Édouard Braastad, l’heureux et fringant héritier, parler d’autre chose que d’une entreprise familiale, fièrement indépendante. Les bureaux joliment surannés laissent entrapercevoir par un petit trou de la lorgnette la grande Histoire de ces Scandinaves. Un musée, qui convoquerait facilement les Chiches Capons de Christian-Jaque, convie le visiteur à consulter registres commerciaux, affiches publicitaires. On ne souhaite ici bien entendu pas avoir à se contenter de cette belle histoire, il reste celle à écrire. On tenta de la réécrire en créant la marque Braastad en 1990, elle sera des deux la plus résolument tournée vers une vision plus moderne de l’eau-de-vie. Le marché français volage échappe à la maison Braastad qui exporte ses spiritueux en Scandinavie, prince consort du Danemark compris. Devant le bâtiment originel, une belle salle est dévolue à la dégustation commentée des nombreuses cuvées. Édouard, mixologue pour vous servir, tente et… réussit parfaitement à vous vendre l’idée d’un breuvage non monochrome, complexe et doux. Il nous faut ici aborder la question de la dégustation des eaux-de-vie en général et des cognacs en particulier. La robe reste l’entrée en matière, sachant que les Cognaçais adorent en teinter le coeur à coup de caramel mais à l’instar de Braastad on microdose l’apport du colorant naturel. Le nez reste essentiel. Point d’agitations robustes au risque de perdre le nord et en bouche pas de rétro-olfaction. L’ugni blanc (3), cépage principal, recherché pour son rendement (130 hl/ha) et son acidité, reste le garant du bon vieillissement. La mixologie, graal des Cognaçais, permet de tester La Fleur Blanche by Braastad, un cognac jeune et souple, avec un tonic. Le tout reste frais et joliment aromatique. On peut, snob que nous sommes, lui préférer le Braastad Organic, VSOP issu de l’agriculture biologique. Une acidité bien présente vient soutenir la rondeur de ce très joli cognac qui laisse monter de belles notes florales en finale. On reste stupéfait par la densité des produits goûtés, du VS au VSOP en passant par l’éclatant XO (4), et la variété de la gamme qui s’étend jusqu’au pineau des Charentes. Les frimeurs qui récitent par coeur leur alphabet du whisky auraient tout intérêt à le redécouvrir.

1. VS (Very Special) ou *** (3 étoiles) : cognac dont l’eau-de-vie la plus jeune a au moins trois ans. 2. VSOP (Very Superior Old Pale) : cognac dont l’eau-de-vie la plus jeune a au moins cinq ans. 3. L’ugni blanc, le colombard, la folle blanche, le montils et le sémillon font partie de la liste des cépages blancs produisant les vins destinés à la distillation des eaux-de-vie ayant droit aux appellations contrôlées « Cognac », « Eau-de-vie de Cognac » et « Eau-de-vie des Charentes ». 4. XO (Extra Old) : cognac dont l’eau-de-vie la plus jeune a au moins sept ans.

Les Visites Hennessy 8, rue de la Richonne 16100 Cognac Informations pratiques : - Tarifs des visites : Hennessy Signature (18€), Hennessy X.O Symbole (33€), Hennessy Exception (75€), De la Vigne au Cognac (250€) - Horaires : D’avril à fin octobre : Ouvert tous les jours (sauf les lundis en avril et mai). Visites : de 9h45 à 17h00. Boutique : de 9h45 à 19h00.

De novembre à fin mars : Ouvert du mardi au samedi. Visites à 10h30, 14h00 et 16h00. Boutique : de 10h30 à 12h30, et de 13h45 à 18h00- 

Les langues : Toute l’année, visites possibles en français, anglais, espagnol ou chinois. D’avril à octobre, visites possibles en allemand ou en russe.

Toutes les informations sont accessibles ainsi que la réservation sur le site : www.lesvisites.hennessy.com  

Tiffon-Braastad Quai de l’île Madame 16200 Jarnac Visite guidée sur demande : 05 45 36 87 00 www.braastad.com

[avidex]

Le choucas des tours est le plus mignon des corvidés, le seul à avoir les yeux bleus..

Vu le 8 mai 21 dans l'Aveyron

[nunoxaviermoreira]

Choucas des tours by Oric1 Hillion - Côtes d'Armor https://flic.kr/p/2j55d8W

[forayoff]

Cher journal, J'espère que tu vas bien. Tu peux dire que j’exagère un peu mais j’ai l'impression que ça fait 1000 ans que je ne t'ai pas écrit. Tu as dû te demander pourquoi. De toute façon, sache qu’il ne s'est pas passé grand chose ces derniers temps. J'ai toujours le rhume et mal sous les côtes, du côté droit. Comme j'ai la phobie administrative du docteur j'ai acheté des huiles essentielles de castor et me fais régulièrement des lavages de nez avec des citrons bio. Ça pique et ça marche pas du toujours. Sache aussi que j'ai changé de nom. Ne m'appelle plus Nord ou Nouveau Nord. C'est interdit. Sinon tu risquerais d'avoir des ennuis avec l'équipe du Bébête Show. Je ne savais pas mais ils avaient créé une marionnette avec ce nom, c'était le double satanique de Charles Pasqua. Encore plus aigri que le vrai, il apparaissait en fin d'émission, en veste de cuir et cigarette au bec pour cracher tout un tas d'obscénités qui faisaient beaucoup rire les partisans du RPR. Quand j'ai appris ça j'ai tiré du gosier comme dirait Guillaume. De fait, j’ai repris mon nom d'indien, Foray. Celui que mère phœnix m'avait donné un soir de pleine lune. À l'époque j'avais 12 ans et je m'étais perdu dans les bois avec mon vélo, parce que je tentais d’échapper à un type à lunettes, chemises à carreaux et pull sans manche, qui n'arrêtait pas de me suivre avec sa R19 grise sur les chemins forestiers. C'est mon chef de projet qui m'a encouragé à prendre ce nom; « Story telling de ouf; ça raconte une histoire et ça parlera aux fans de Claude François ». J’étais médusé mais très content de mon nouveau blaze, comme une renaissance salvatrice. J'ai réécrit des chansons depuis et je vais enfin pouvoir sortir mon album, le 25 mai. La vie reprend ses droits. L'information principale de cette missive est que nous sommes repartis en tournée CCAS, cette semaine pour 5 dates. Cette fois cela se passe dans les Alpes, là où les gens pratiquent le ski et la fondue. Nous sommes arrivés hier soir et avons fait escale à Annemasse. Guillaume souhaitait vivement nous faire découvrir cette charmante agglomération à la frontière franco-suisse. Il nous avait trouvé un petit hôtel sur la zone commerciale, entre Kiabi et Mondial Moquette, un lieu de pèlerinage low cost pour musiciens en tournée. Ensuite il nous a emmenés dans son resto préféré un peu plus loin, près du bowling, le Wok Savoyard. Il y avait ses habitudes également. Il y était venu avec Philippe Lavil, lors d’un Bambou (re)Tour mémorable. Ils étaient devenus très amis, pendant deux jours, partageant leur amour des descentes à ski et du saké. En plus d’être un sondier hors pair, Guigui est aussi un fin pisteur des montagnes. Il nous l’avait déjà prouvé cet été. C’est peu de te dire qu’il attendait cette tournée avec impatience. A l’heure où j’écris ces quelques lignes, celui-ci doit chevaucher son snow avec adresse, multiplier sauts et figures à travers les massifs enneigés. Lulu devait l’accompagner. Guillaume lui a rapporté pour l’occasion une planche et une Gopro. Mais hier, lors du repas, Guigui lui a proposé à plusieurs reprises de descendre le domaine des morts, une forêt de sapins centenaires que seuls Philippe et lui avaient réussi à descendre sans finir tétraplégiques. Bizarrement aujourd’hui Ludwig nous a avoué qu’il devait rendre un arrangement pour orchestre symphonique de la célèbre chanson de De Palmas « tu as gagné ta place au Paradis » pour l’opéra de Rouen, avant 16h. Ce dur labeur lui rendait vaines toutes vélléités de glisse. Guillaume a hoché la tête et s’est rué, sonnant et trébuchant, hors de l’hôtel où nous venions à peine de déposer nos affaires. Thierry et moi avons regagné notre chambre. J’ai pris le grand lit du salon et lui celui des enfants à côté des toilettes. Nous nous accordons un peu de repos. Un bain aux extraits d’écorces d’orange pour le dos abimé de Titi et des huiles essentielles pour moi. J’espère qu’elles vont me requinquer, il parait que j’ai une bosse dans la voix entre 304 et 5020 Htz. Comme Guillaume a déjà déchargé le camion ce matin et fait la balances dans la foulée. Nous sommes relativement relax, nous allons pouvoir visiter Megève. En tout cas, pour l’instant nous sommes comblés. Le service au Mcdo est très correct et le carrefour Market très bien achalandé, Titi a trouvé un lot de 2 piles à 20€ pour son synthé à 2 €. Il faut que je te laisse, il y a un conseiller bouygues télécom qui m’appelle sur mon portable pour la 32ème fois. Je t’ai fait un rapide croquis de la vue depuis notre chambre. Le chalet gris avec les lumières allumées est celui où nous allons jouer ce soir. Passe une bonne soirée. Ici, les choucas t’embrassent. #apreskitour #CCAS #UNiT