#commandes ouvertes
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andthesunrisesagain · 2 years ago
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Ouverture commande
J’espère que vous allez bien ! J’ouvre la partie ask pour vos commandes si vous en avez 🥰
QUELQUES RÈGLES :
1 nom par commande.
Galerie HD de photoshoot appréciée mais non obligatoire (merci de faire attention qu’il n’y ait pas de photos dénudées - torse nu, sous-vêtements…).
Petit texte explicatif de votre personnage obligatoire et les moodboard sont toujours appréciés si vous en avez un !
Pas de célébrités de moins de 18ans, d’influenceureuses et/ou qui ont eu des comportements discriminants/violents. Ni pour des forums harry potter.
Un like n’est pas un merci, quand on passe du temps sur une commande, un retour est toujours agréable (même si le résultat ne vous plait pas, je trouve que le savoir permet de progresser ou de mieux comprendre la demande initiale ;) )
Je me laisse le droit de refuser une commande si je ne suis pas inspiré ou autre 🌞
💌 Pour envoyer un ask, c’est par ici .
Merci à vous pour les potentielles demandes, le respect de ces règles et bonne journée !
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quick-tutoriel · 2 years ago
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trashlord-watson · 8 months ago
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Vous ne rêvez pas, le Fanzine Visiteur du Futur arrive... Bientôt !
Ouverture des pré-commandes aujourd'hui !!
36 pages issues de la collaboration entre 14 personnes différentes. Sur ces 36 pages : des illustrations, des fanfictions, des articles. Le tout explorant l'univers autour du Visiteur !
Concernant les pré-commandes : elles démarrent aujourd'hui et sont ouvertes jusqu'au 30 novembre, et se font ICI !
Les fanzines seront ensuite envoyés vers la 2ème semaine de décembre, de quoi s'offrir un petit cadeau de Noël original !
Surtout, faites tourner ce post et n'hésitez pas à partager la nouvelle autour de vous et sur les réseaux sociaux !
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artsandculture · 11 months ago
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
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lounesdarbois · 1 month ago
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Enfants de l'asepsie, du gel "désinfectant" et de la turbine à vent, vous n'avez pas connu le charme du ronronnement, du vrombissement de la Golf VR6 (pneus qui crissent), l'odeur d'essence des stations-service la nuit, celle des parfums Cacharel dans le cou des jeunes femmes bien élevées, la fumée du tabac qui s'en va par la fenêtre ouverte.
L'existence de millions de gens se rapproche chaque jour davantage des règles de sécurité d'un avion, elles-mêmes frôlant celles de la prison. L'avion où l'on pouvait jadis fumer pépère... Cette prise directe avec les odeurs, les sons et les choses n'a rien à voir avec la vie par prise électrique, par médias, médiations, identifiants et mots de passe, encodage de numéro et musculation climatisée, chambres étanches et "isolation conforme", programme rationnel, project management et nourriture pesée. Nous savons tant de choses, et nous savons à peine vivre. Journées sans musique ni entraînement, ni massage, ni danseuse, ni baignade, ni prière. Pour une part croissante de la population, y compris CSP++ le mode de vie actuel n'est supportable que sous psychotropes. Les accélérateurs le jour, coke, caféine, redbull, crack. Les ralentisseurs le soir, shit, alcool, anxiolytiques, héroïne, qualude, ritaline.
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Face à un tableau de commandes mécaniques vous êtes aux commandes. Vous enfoncez des boutons poussoirs, actionnez des loquets, manoeuvrez des leviers, palonniers, curseurs, vous surveillez des jauges et des aiguilles et les réveillez d'une pichenette, ainsi la Technique est un outil dans votre main. Face à un écran digital vous êtes le singe captif d'une parcelle du super-ordinateur mondial, vous n'avez aucun contrôle. Les conducteurs de voitures électriques "folles" n'ont su que trop tard qu'ils étaient les outils dans la main de la Technique. Saurons-nous un jour s'ils étaient les pionniers malheureux d'une entreprise plus funeste et plus vaste?
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soeurdelune · 17 days ago
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commandes d'avatars
À titre exceptionnel, j'ouvre mes commandes d'avas composés pour 5 spots uniquement ! ♥️ Les petites conditions et mon mode de fonctionnement, comme d'hab :
Je privilégie actuellement les faceclaims sur lesquels je n'ai encore jamais graphé ! 👀 (cf. sommaire des avas si tu as un doute)
Les commandes se font seulement via le formulaire google ci-joint ; comme j'ouvre pour 5 places, je tâcherai d'être vigilante et de le fermer dès que la limite sera atteinte. Merci de ne m'adresser AUCUNE COMMANDE PAR ASK OU MP SVP, ça arrive à chaque fois et je n'ai littéralement plus de patience pour ça.
Des précisions complémentaires sur mes conditions sont indiquées sur le formulaire, merci de bien les lire ! Toute demande ne respectant pas ce qui est noté sur ce billet ainsi que le formulaire ne recevra pas de réponse et sera directement supprimée.
Hâte de lire vos idées et découvrir vos personnages 🥰 Cœur sur vous !
PS: Pour celleux qui cherchent des avatars “simples” (colo + composition minimale), mes ask sont ouverts à tout moment, à raison de trois noms maximum par personne en une fois, merci !
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eyesome-beauty · 4 months ago
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( commande ouverte )
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kiddressources · 1 year ago
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Hello bonjour bonsoir!
New theme, new me (c'est faux). ✨ J'ai décidé de changer de theme pour pouvoir ravoir une search bar, la seule, l'unique, l'outil bien pratique qui vous permettra en un clic de voir si j'ai graphé sur votre fc, ou de retrouver des avatars que vous aviez repérés!
J'ai aussi décidé de faire un pinned post (celui-là même) pour tenir au courant plus facilement celleux qui seraient intéressés par le statut des commandes et/ou des suggestions, qu'iels soient sur ordinateur ou sur téléphone, tablette, etc. Dans le cadre des suggestions, elles devront être faite sous ce post uniquement pour que je puisse m'y retrouver. Celles envoyées ailleurs ne seront pas comptabiliser! 💫
Commandes d'avatars : fermé. Suggestions de fc : ouvert.
Merci à celleux qui continuent de me suivre malgré mon activité en dents de scie, ça fait extrêmement plaisir de vous voir toujours aussi nombreux.euses. 🥹🩷
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ickarian · 1 month ago
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bonjour à tous 🎾
— créditez icarian/ickarian.
— mes commandes sont ouvertes. c'est plutôt rare que je refuse des commandes mais ça peut toujours arriver si je n'aime pas le fc, sait-on jamais. mes avatars sont tous de taille 400x640. et n'hésitez pas, si vous le voulez à aussi m'envoyer un moodboard ou playlist, ça peut me permettre de trouver de l'inspiration pour le texte, sinon vous risquez d'être victimes de ce qu'il y a dans mon pinterest ou dans mes oreilles (à vos risques et périls donc)
— mes suggestions sont aussi ouvertes. vous pouvez en faire en répondant à ce post ou par ask, je les ferais selon mon inspiration 💁‍♀️
merci de votre lecture et bonne journée 💐
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camisoledadparis · 6 months ago
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saga: Soumission & Domination 340
Février le Ski-2
Jour 2
La seconde journée est plus fun que la première. Après une vérification que les conseils de la veille avaient été bien mémorisés, notre militaire nous emmènent vers une piste de bosses. Arrivés en haut, c'est impressionnant. Certaines bosses sont très prononcées et rien que d'imaginer la descente, on sait qu'on va se faire secouer. Petit briefing avant d'entamer la descente. Rester souple sur ses cuisses, légèrement en arrière et dans un premier temps ne pas se focaliser sur la ligne droite ! Merci quand même. En fin de matinée, nous nous en sortons honorablement mais les batteries épuisées. On décide d'une pause. Le chalet d'altitude propose une carte réduite mais suffisante. Les prix sont inversement proportionnels ! Un vrai racket, même si les charges sont élevées. Avant que le réflexe " économie " de notre moniteur se manifeste, je commande pour lui. Comme il fait beau, on mange en terrasse et nos combinaisons grandes ouvertes sur nos torses imberbes (pour faciliter la production de vitamine D bien sûr) attirent les regards. Sans se jeter des fleurs, nous étions la plus belle brochette de jeunes mecs de la terrasse. Et quand l'équipe N°1 est arrivée, c'est devenu plus chaud. Quelques jeunes filles ont été déçues quand Ludovic et PH m'ont roulé une pelle avant d'aller commander dans le chalet. On parle de nos descentes. Eux se sont fait quelques noires partantes du sommet. Jona qui voudrait enchainer dessus l'après-midi se fait calmer par notre Lieutenant qui nous dit que nous devons encore faire des progrès. L'après-midi est plus calme et c'est tant mieux pour nos cuisses qui commencent à chauffer dur. Entre les courbatures de la veille plus le travail de la journée, nous investissons le spa de l'hôtel afin de dénouer nos muscles martyrisés. Clem se dévoue et nous sommes quelques-uns à bénéficier de la magie de ses mains. João et Sosthène nous dévoilent leurs talents cachés de masseurs et viennent à sa rescousse. Nous avons juste le temps de  monter nous habiller pour le dernier service du diner. Avant de remonter, nous prenons un alcool au bar. Il ne faut pas beaucoup de temps pour nous faire aborder les uns les autres, aussi bien par des meufs que des mecs, dont quelques étrangers que notre groupe intrigue. Alors que nous pensions y rester 1/2 heure, finalement nous ne remontons qu'1h1/2 plus tard et certains avec un n° de téléphone supplémentaire. Sur notre palier je préviens que chacun est libre de baiser avec qui il veut en dehors du groupe mais pas à cet étage. C'est la seule contrainte que j'y mets avec le port de kpotes évidemment. Ils comprennent tous pourquoi. En attendant les couples se mélangent pour la nuit. Ce n'est pas souvent qu'ils se retrouvent tous ensemble au même endroit aussi longtemps. Ça leur rappelle le 1er de l'an qui a duré 3 jours pour certains. Mes deux russes se font coiffer au poteau par Max et Enguerrand. Quand ils arrivent pour leur 2ème nuit avec nos lieutenants, ils trouvent les deux benjamins déjà coulés au fond du lit alors que leurs hôtes sont encore dans la salle de bain. Je surveille l'explication de texte qui s'ensuit. Au final les jeunes gagnent et Viktor et Nicolaï arrivent se faire consoler chez nous. Ils ne vont pas regretter leur changement de plan. Nous sommes 6 à pouvoir les satisfaire. Et ça ne manque pas. Entre la défonce de leurs rondelles et l'usage immodéré de leurs bites autant dans des bouches que dans des culs, ils s'effondrent cassés définitivement.
Jour 3
Le réveil est plus dur pour certains ce matin. Les plus inexpérimentés ont des courbatures et les moniteurs leur promettent une journée plus cool où ils vont peaufiner les techniques apprises
Le nôtre nous prévient qu'il va passer à la vitesse supérieure. Si nous voulons rejoindre le groupe 1 et le laisser avec juste Jona et François, il ne nous en voudra pas. Je regarde mes autres collègues à qui s'adresse cet avertissement. Ils refusent de laisser tomber et espèrent bien en apprendre encore plus. Nous montons au plus haut de la station et partons en hors-piste. Nous commençons à descendre une combe quand nous sommes rejoints par une demi-douzaine d'autres chasseurs alpins en uniformes eux. Chacun de nous se fait " cornaquer " par un des militaires. Dans l'ensemble, ils sont aussi jeunes que les nôtres et très pros aussi. Les premières 10aines de mètres nous chutons, le temps d'adapter notre position sur les skis à la surface poudreuse de la neige. Je comprends pourquoi notre lieutenant a appelé du renfort. Nous progressons tous à une vitesse différente et du coup nous sommes en sécurité avec notre " moniteur " personnel. Le mien est très bon car je ne mets pas longtemps avant de prendre le coup. Un peu plus en arrière que normalement, les fesses vers les talons, je progresse bien et mes lacets perdent rapidement en amplitude. Le mec me félicite d'avoir pris le coup aussi vite. A mes côtés ça se défend pas mal non plus.
Jona et François sont eux encore plus encadrés. Une première pause nous est octroyée à mi-chemin de la station à la limite haute des sapins. Les militaires sortent de leurs sacs à dos des barres de protéines. Ils nous en offrent. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais c'est bon et nous redonne des forces. Il y a sûrement des sucres rapides aussi. On fait plus connaissance le cul isolé de la neige par des branches de sapin. Ils sont tous militaires de métier bien sûr et depuis 6 à 7 ans. Et tous célibataires aussi / surtout ! Nous finissons la matinée de combe en combe pour rejoindre la station. Il est encore tôt, à peine midi. Notre lieutenant propose que nous déjeunions avant de remonter. Alors qu'ils sortent de nouvelles barres, je vise le restau du bas des pistes vide encore. Sans manger à se faire éclater l'estomac, prendre un plat chaud ne sera pas du luxe. J'impose ma décision. Mon " lieutenant " nous suit alors que ses collègues nous disent qu'ils attendront dehors. Hors de question que le groupe se scinde ! Je les invite et notre militaire doit les convaincre que c'est OK. Sans alcool, la tartiflette remplis les deux offices : nous réchauffer et remplir les batteries. Une tarte aux myrtilles plus tard nous sommes prêts à partir. Enfin dès que Enguerrand et son coach seront sortis des toilettes. C'est chose faite avant que nous chaussions tous nos skis. Mon Enguerrand tout sourire et le militaire un peu rouge quand même. S'il ne s'est pas fait le cul de mon beau-frère, je veux bien être pendu !
Nous repartons pour le sommet de la station et partons sur l'autre versant. Nous sommes plus à l'aise et nous enchainons les parties nues et boisées sans plus de problème. La traversée d'un bois plus touffu nous disperse tous. Quand nous en sortons, c'est en ordre dispersé et il nous manque Max et son chasseur. Quand ils nous rejoignent, l'excuse est que Max s'était empêtré dans une taille de sapin et qu'il avait mis du temps à remonter. Je crois qu'avec lui aussi je vais avoir une conversation. En fin de journée, ils nous donnent rendez-vous pour le lendemain puisqu'ils restent jusqu'à la fin de notre semaine. Ils sont logés à la gendarmerie de la station. Ils se font tirer l'oreille pour accepter de diner avec nous à l'hôtel. Mais je sais qu'ils vont affoler mes autres comparses et je sens mes " benjamins " demandeur. Comme je ne peux rien leur refuser à ces deux-là...
En rentrant à l'hôtel je réserve une de leur salle de réunion pour notre dîner. On retrouve l'équipe dont certains sont déjà sous la douche. Je préviens Marc et les autres de nos invités pour le dîner. D'une seule voix, Max et Enguerrand disent aux autres qu'ils sont super sympas et super canon aussi. Je les retrouve après ma douche. Ils sont encore sous l'eau tous les deux. Je les questionne sur les " viols " qu'ils ont opérés sur leurs " chasseurs " particuliers. Max éclate de rire et nous dit que le sien était bon et heureusement car les fesses à l'air, il n'avait pas fait chaud sauf pour sa rondelle. Enguerrand renchéri que le sien était super bien monté en plus. Deux " chaudasses " !! Mes escorts et nous même apportons un soin particulier à nos tenues, effets des invités probablement. Les jeans les plus slims sortent des valises, les t-shirt collent les pecs et les abdos mieux que des combinaisons de lutte !
Quand nos invités nous rejoignent, eux aussi ont fait des efforts. Mon lieutenant y est sûrement pour quelque chose, tout comme le choix des Chasseurs alpins.  En civil, ils gardent un intérêt pour les vêtements moulants eux aussi. Et ce sont de vraiment beaux bestiaux ! Ils sont sous-officiers mais loin d'être bourrins pour autant.
Le plus jeune intéresse vraiment mon Marc. Evidemment !! Ernesto, lui, semble fixer l'intérêt d'un des nouveaux, surtout ce qui est outrageusement moulé en haut de ses cuisses. Ils se répartissent entre mes escorts autour de la grande table. Ils acceptent un apéro avant le diner. Ils sont venus à pied. Ils se mettent vite dans l'ambiance et c'est parce que je fais particulièrement attention que je m'aperçois qu'il en manque un, celui d'Enguerrand et bien sûr ce dernier ! Je m'esquive vers les toilettes réservées à notre salle. Ils y sont évidemment. Un seul WC est fermé. Je prends celui d'à côté et monté sur le siège, je mate par-dessus la cloison. Mon petit beau-frère est en train de tailler une pipe sur une bite bien épaisse. Quand il la sort complètement, je vois qu'elle est aussi d'une bonne longueur, a vue de nez dans les 20cm x 6. Il me voit alors qu'il lève la tête et demande à son militaire si ses gorges profondes lui plaisaient. Son clin d'oeil ne passe pas inaperçu et le pompé lève à son tour la tête et panique à voir ma tête. Enguerrand le retient par les fesses et je descends et frappe à la porte. Ils m'ouvrent.
Je tombe sur un fessier bien rond, musclé par des années de ski et de sport.je bandais déjà de les mater. Là, ça devient inhumain. Le temps d'ouvrir mes jeans, de kpoter ma bite et je la pousse entre les fesses. En voulant sortir, il recule et s'encule par la même occasion. Enguerrand a suivi me mouvement et ne lâche pas le morceau. Sa déglutition sur le gland enfoncé dans sa gorge distrait le militaire juste à point nommé pour que je conclue l'enculage. Je ne sais pas s'il est uniquement actif où même un hétéro qui s'était fait dans l'après-midi un petit cul de mec, mais là, je sens bien qu'il n'utilise pas souvent sa rondelle dans cette activité. Je suis super serré et même bloqué le temps qu'il se détende. Enguerrand fait tout ce qu'il peut pour cela. Il suce sa bite mieux qu'une pompe à vide ! Je me presse car on va bientôt s'apercevoir de nos absences. Je l'encule à petits coups rapides et jouis en 5mn chrono. Enguerrand se recule juste au moment fatidique et s'en prend plein la figure. On se rajuste, se rafraichit et Enguerrand lui roule une pelle avant que nous sortions.
Notre retour n'est perçu que par Marc, Ludovic et mon lieutenant. Je vois l'enculeur de Max retrouver son pote et l'écarter pour le questionner. Diner sympa et après avoir discuté avec le chef du détachement (mon lieutenant), je décide de les inviter tous à prendre un dernier verre à notre étage. Mon initiative à l'air de plaire à tous. Mes escorts et ma petite " famille " c'est évident mais aussi aux militaires qui ont sympathisé. Les deux qui étaient moins chauds se sont fait entrainer par les autres. Les nouveaux venus trouvent leurs collègues nettement mieux logés qu'eux qui dorment sur des lits de camps militaires. Les installations sanitaires aussi sont plus luxueuses. Cognac, Jet 27, Génépi coulent dans les verres. Nos militaires font baver leurs collègues en ajoutant qu'ils disposent en plus des autres installations de l'hôtel, piscine, spa, sauna...
Mes escorts se mettent à l'aise c'est-à-dire en shortys et boxers. Leurs plastiques tout comme les nôtres appellent des commentaires. Quand ils apprennent que nous savons nous battre, il y a comme une ironie de leur part. Jona leur demande alors de désigner leur meilleur élément et qu'il allait se le faire. Piqués dans leur virilité / spécificité (ce sont des combattants) / orgueil, ils désignent le plus lourd d'entre eux. Alors qu'on dégage le mobilier du salon de notre suite, le militaire se met en slip (blanc réglementaire). Je pense un moment que mon Jona va avoir du fil à retordre. Le mec doit lui prendre au moins 15 Kg de muscle !
Il roule un peu des mécaniques et est soutenu par ses collègues. De notre côté nous encourageons Jona. Seul François garde son calme et demande si on fait des paris. Les provocations fusent, sexuelles bien sûr. On en arrive à ce qu'ils mettent en jeu leurs culs contre les nôtres. J'interviens. Je leur dis que les nôtres, ce ne sera pas un problème, ils les auraient eu même sans gagner, du moins certains. Je propose alors de les loger comme leurs collègues puisqu'il reste encore trois chambres inoccupées à cet étage. L'hôtel ne fera surement aucunes difficultés à me les louer. La moquette est épaisse, elle amortira les chutes. Ils commencent par se tourner autour. Jona le laisse venir. Le militaire prend l'initiative. Il attaque et est surpris de ne trouver que le vide. Par contre il sent bien le coup de pied qui lui " tue " la cuisse droite. Il vient de se rendre compte que son adversaire a du répondant. Les attaques se succèdent des deux côtés. Il est bon en défense aussi le milit. Mon lieutenant qui avait eu un aperçu de nos capacités souri de voir son collègue en difficulté. Ils combattent pendant une demi-heure avant que je fasse signe à Jona de donner le coup de grâce. 30 secondes plus tard, le milit est sur le ventre, le pied de Jona entre ses omoplates et le bras droit en extension arrière prêt à la luxation.
Arrêt du combat après comptage jusqu'à 10.
Jardinier
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co-workers
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on the work-place ~~
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~~
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romystigri · 10 months ago
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corey mylchreest.
il n'y a aucune cohérence, je n'avais pas ouvert photoshop depuis des mois mais j'ai testé quelques petits trucs pour la commande de @manderleystuff sur @rewritetheorders !
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merianaart · 2 months ago
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[COMMANDE OUVERTES]
Si vous ne pouvez pas me passer commande, partagez, aimez, mettez en favoris, commentez, interagissez pour que ça atteigne des gens qui pourrait potentiellement aider
Aujourd’hui un post un peu spécial, en effet j’ai décidé d’ouvrir des commissions d’urgence pour m’aider à payer des frais personnels qui sont vital pour mon travail et mon entreprise.
En effet je ne touche plus de revenus étant donné que je suis devenue auto entrepreneuse et je n’ai le droit à aucune aide de l’état.
Pour toute questions, contactez moi en DM!!
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marie-swriting · 3 months ago
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Le Restant De L'éternité - Katherine Pierce
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Masterlist
Résumé : Katherine repense à la façon dont vous avez fini ensemble.
Warnings : sorcière!reader, consommation d'alcool (l'alcool est à consommer avec modération!), Katherine qui tue des gens, sous-entendus de sexe, Katherine est jalouse, petite référnece à Interview With The Vampire, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 2.7K
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Mastermind par Taylor Swift
Une légère brise entre dans la chambre par la fenêtre ouverte, faisant bouger les rideaux. La fraîcheur de la nuit ne dérange pas Katherine, toute son attention focalisée sur ton corps à ses côtés, ta tête est posée sur sa poitrine alors que tu es endormie. Katherine te regarde avec tendresse tandis que sa main caresse ton bras. Ses yeux posés sur ton visage, Katherine ne peut s’empêcher de repenser aux différents évènements qui l’ont amenée jusqu’à ce moment précis.
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Les années folles battaient son plein. Katherine fuyait Klaus, mais ça ne l’empêchait pas de s’amuser. Elle fréquentait souvent des Speakeasies, c’était l’endroit parfait pour trouver une victime trop alcoolisée pour se défendre. 
Ce soir-là, Katherine avait découvert un Speakeasy par le biais de son repas de la veille. En arrivant, une douce voix avait tout de suite attirée son attention. En tournant la tête, elle t’avait découvert sur la scène en train de chanter, tu étais complètement captivée par la musique, chantant comme si tu étais seule. À cet instant précis, Katherine avait su qu’elle devait apprendre à te connaître. Elle n’avait pas ressenti ce genre d’attirance depuis plusieurs décennies. 
En attendant la fin de ton spectacle, Katherine était allée au bar, se commandant un cocktail, ses yeux ne t’avaient pas quitté une seule seconde. Assise sur un tabouret de bar, Katherine sirotait sa boisson, sa tête bougeant au rythme de la musique. Quand tu avais fini de chanter, tu avais été acclamée. Une grand sourire aux lèvres, tu avais fait la révérence avant de descendre de la scène. Tu avais trottiné jusqu’au bar et avais demandé un bourbon au barman. Katherine à côté de toi, elle n’avait pas attendu une seconde de plus avant de se pencher légèrement vers toi, un sourire charmeur au visage.
-J’ai beaucoup aimé votre performance.
-Merci, je suis ravie de l’entendre, avais-tu répondu tout en prenant une gorgée de ta boisson fraîchement préparée. Vous êtes nouvelle ici, je me trompe ? Il ne me semble pas avoir vu votre visage auparavant.
-Vous ne vous trompez pas, avait-elle affirmé, elle était prête à rajouter autre chose quand une voix masculine l’avait devancée : 
-Y/N, le patron veut te voir. 
Katherine avait lancé un regard noir à l’homme qui vous avait interrompues. Elle n’avait qu’une envie, se lever et l’hypnotiser pour qu’il vous laisse tranquille. Toutefois, avant qu’elle puisse faire quoique ce soit, tu t’étais levée de la chaise, buvant ton verre cul sec. Avant de retrouver l’homme, tu avais plongé tes yeux dans ceux de Katherine et posé ta main sur son avant bras. 
-Je dois y aller. Je chante chaque samedi, j’espère vous revoir.
-Vous pouvez en être sûre. 
Satisfaite de sa réponse, tu l’avais regardée de haut en bas langoureusement puis tu avais tourné les talons vers l’homme. Katherine t’avait regardée quitté les lieux et la seule pensée qu’elle avait en tête était “je l’aurai, rien ne m’arrêtera.”
Comme Katherine te l’avait assuré, le samedi suivant, elle était revenue au Speakeasy pour te revoir. Cette fois, elle avait préparé méticuleusement un plan afin de discuter plus qu’une minute avec toi. Elle n’allait pas te laisser lui filer entre les doigts une nouvelle fois. 
Katherine t’avait regardée te produire avec autant d’étoiles dans les yeux que la première fois. Elle n’arrivait toujours pas à comprendre ce qui lui arrivait. Comment une simple humaine pouvait lui retourner autant le cerveau ? Tu avais occupée chacune de ses pensées pendant une semaine entière et elle avait détesté et aimé ça. 
Dès que tu avais fini de chanter, tu avais accepté les quelques fleurs que l’on t’avait offertes en plus de discuter rapidement avec certaines personnes. Après une dizaine de minutes, tu avais enfin pu te rendre dans ta loge. 
Devant ton miroir, tu avais commencé à enlever certains de tes bijoux quand tes yeux s’étaient posés sur le reflet de Katherine en face de toi. Un sourire narquois avait pris place sur ton visage alors que Katherine était adossée contre l’embrasure de la porte.
-Avez-vous soudoyé celui qui surveille ma loge ? avais-tu demandé avant de marquer une pause. Ou l’avez-vous hypnotisé ?
-Vous savez ce que je suis, s’exclame Katherine en entrant dans la pièce.
Doucement, tu t’étais levé de ta chaise, marchant avec précision vers elle. 
-Je sais qui vous êtes, Katerina Petrova. Quoiqu’on vous appelle Katherine Pierce de nos jours, c’est ça ? 
-Ça me touche de savoir que j’ai une réputation, avait-elle dit en fermant la porte.
-Ce n’est pas forcément une bonne chose. Après tout, vous êtes connue pour avoir énervé Klaus Mikaelson et également pour votre égoïsme.
Katherine s’était sentie flattée face à ta phrase. Bien qu’elle avait peur que Klaus la retrouve, elle était contente de savoir qu’elle était connue comme celle ayant tenu tête à un Originel. Katherine avait fait un pas vers toi avant de te tourner autour avec un sourire malicieux. 
-Je me protège, peut-on me blâmer ?
-Je ne sais pas pourquoi vous êtes ici, mais sachez que je me mêle des affaires des vampires seulement si ça m’apporte quelque chose, t’étais-tu exclamée avant d’utiliser ta magie pour la forcer à s’arrêter en face de toi.
-Vous êtes une sorcière. Intéressant. 
-Alors, que voulez-vous ?
-Oh, je voulais juste vous voir, avait-elle chuchoté dans ton oreille avec un faux air innocent, te donnant des frissons. Mais maintenant que je sais ce que vous êtes, je pense qu’on peut faire une alliance, avait ajouté Katherine en faisant un pas en arrière. La dernière sorcière avec qui je travaillais m’a lâchée.
-Vous voulez dire que vous l’avez trahie ?
-Ça dépend du point de vue, je dirais, avait avoué Katherine après avoir fait semblant de réfléchir. 
-Pourquoi ferais-je une alliance avec vous ? Klaus me tuera s’il sait que je vous aide. 
-Je suis sûre que vous avez plus d’un tour dans votre sac pour éviter ceci. Vous pouvez m’aider à me protéger de mes ennemis et je vous apporterai ma protection.
-Je suis une sorcière âgée de trois cents ans, ma magie est assez puissante pour me protéger, l’avais-tu informée avec un air arrogant.
-Eh bien, disons que le jour où vous aurez besoin d’un service, vous n’aurez qu’à me demander et je promets également de ne jamais me retourner contre vous. Avons-nous un marché ? avait proposé Katherine en tendant sa main.
-Nous en avons un, avais-tu répondu en la serrant.
Vous vous étiez serrées la main pendant quelques secondes, puis pris d’un élan de confiance, Katherine t’avait tirée vers elle, posant ses lèvres sur les tiennes. D’abord surprise, il t’avait fallu un petit temps avant de répondre à son baiser avec fougue. Entre deux baisers, Katherine avait souri, fière d’avoir réussi la première partie de son plan. 
À partir de ce soir-là, une alliance s’était créée. Katherine faisait souvent appel à toi que ce soit pour rester hors des radars de Klaus, changer son bijou pour marcher au soleil ou pour manipuler son petit monde, Katherine savait qu’elle pouvait utiliser ta magie. De ton côté, tu ne pensais pas qu’un vampire te serait aussi utile, mais être une sorcière voulait dire être une cible facile et Katherine avait toujours su t’aider et lorsque tu voulais tester des sorts, elle s’était toujours portée volontaire pour t’aider. 
En plus de votre relation “professionnelle”, une plus intime s’était également créée. Rien d’officiel, bien sûr, Katherine n’était pas connue pour les relations sérieuses. Elle avait toujours été fidèle à elle-même et personne d’autre. Pourtant, avec les années, tu avais commencé à devenir l’exception qui confirmait la règle. Il n’était pas rare que vous vous retrouviez même quand vous n’aviez pas besoin d’un service afin de passer des moments intimes ensemble où, parfois, vous finissiez par vous confesser sur votre passé respectif, montrant une part de vous que vous aviez toujours caché aux autres. 
Au fil du temps, tu avais fini par développer des sentiments, ce que tu avais essayé de nier pendant des années. Aimer Katherine ne finissait jamais bien, tu le savais, alors tu ne pouvais pas laisser de stupides sentiments ruiner ton alliance avec elle. Par conséquent, tu prenais le peu que Katherine te donnait. 
Cependant, un soir, alors que vous étiez allongés dans ton lit, le drap couvrant à peine vos corps nus, tu avais osé amener le sujet. Tu n’avais pas dit que tu l’aimais romantiquement, tu avais seulement demandé si vous étiez exclusives. Katherine avait légèrement rigolé et avait affirmé qu’elle couchait avec d’autres personnes alors tu pouvais bien faire ce que tu voulais de ton côté. À la regarder t’avouer ceci, tu avais eu l’impression qu’elle était plus détachée que toi. Cependant, si tu avais pu lire dans les pensées de Katherine, tu aurais entendu des cris paniqués. 
Katherine avait fini par s’attacher à toi plus qu’elle n’avait prévu et bien qu’elle voyait effectivement d’autres personnes, elle n’avait d’yeux que pour toi. La seconde où les mots “tu peux faire ce que tu veux avec qui tu veux” étaient sortis de sa bouche, Katherine avait eu envie de se frapper. C’était l’opposé de ce qu’elle voulait. Katherine était connue pour son égoïsme mais aussi pour sa jalousie, et malgré elle, elle venait de te pousser dans les bras d’inconnus avec un grand sourire. 
Ton cœur s’était légèrement brisé en l’entendant dire ceci, mais tu n’avais rien laissé paraître. Après tout, sortir avec Katherine était perdu d’avance, alors autant ne pas se fatiguer. Par conséquent, vous aviez continué à coucher sans vous engager tout en allant voir ailleurs. 
Toutefois, tout avait changé un soir, quinze ans après votre rencontre. Tu étais à un bar où tu avais rencontré une femme magnifique. Tu lui avais payé un verre et vous aviez commencé à discuter. De fil en aiguille, vous étiez sorties du bar afin de vous bécoter à l’abri des regards. Derrière le bâtiment, tu avais ton dos collé au mur de briques tandis que la femme - dont tu n’avais pas pris la peine de retenir le nom - t’embrassait avec passion. Les yeux fermés, tu appréciais chacun de ses baisers, surtout lorsque ces derniers étaient passés de ta bouche à ton cou. Tes mains étaient sur ses hanches, tentant de la rapprocher le plus possible alors que les siennes passaient sous ton haut. Elle était sur le point de le retirer quand elle avait été tirée en arrière par Katherine. Avant que tu ne puisses réagir, cette dernière avait planté ses crocs dans le cou de ton plan du soir. Remis de ton choc, tu avais lancé un sort à Katherine pour qu’elle la lâche.
-Mais ça ne va pas ? Qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ? avais-tu crié, énervée. 
-J’avais faim. Promis, je me chargerai du corps, avait-elle déclaré avec un regard vide d’émotion.
-Et tu ne pouvais pas trouver quelqu’un d’autre ? J’avais prévu de passer la nuit avec elle, au cas où tu n’avais pas remarqué.
-Oh, je l’avais bien compris, mais elle ne te méritait pas.
-C’était juste pour ce soir, j’allais pas l’épouser, avais-tu ajouté en roulant tes yeux.
-Alors, pourquoi t’en fais tout une histoire que je l’ai tuée ? Je suis sûre que quelqu’un d’autre voudra rentrer avec toi. Il y avait plus d’une femme qui te dévorait des yeux, avait lancé Katherine avec venin.
-Quoi ? avais-tu questionné avant d’ouvrir grand les yeux. Attends, t’es jalouse ? 
-Non, j’aime juste pas qu’on s’approche de toi.
-C’est exactement ce que “jalousie” veut dire. Je croyais que je pouvais faire ce que je voulais avec qui je voulais, qu’entre nous, c’était seulement une histoire sans importance, alors pourquoi ça te dérange tant que ça ? avais-tu demandé et Katherine avait senti la rage montée en elle lorsque tu avais utilisé ses mots contre elle. Je l’embrassais et j’allais coucher avec elle, c’est tout.
-J’ai entendu ton cœur manqué un battement ! s’était-elle écrié, te perdant un peu plus.
-Qu’est-ce que tu racontes ?
-Quand elle t’a complimenté, “oh, tu es à couper le souffle, je ne comprends pas comment tu peux être célibataire,” avait dit Katherine en imitant la voix de la femme. 
-Tu m’as observée toute la nuit ? Est-ce que tu as fait ça d’autres fois ?
-Si tu veux tellement le savoir, oui ! Après tout, je ne peux pas perdre mon alliée, alors je dois bien te surveiller.
-Oh, donc tout cette histoire est par rapport à notre alliance ? Et rien d’autre ? 
-Peut-être.
-Tu racontes que des conneries, t’étais-tu exclamée, agacée. Assume pour une fois ! Pourquoi est-ce tu agis comme ça ?
-Parce que je t’aime ! avait fini par confesser Katherine à bout de nerfs. Contente ? Et je ne sais pas comment m’y prendre, d’accord ? J’ai toujours été en position de force, à manipuler les gens comme je le voulais, mais avec toi ? J’arrive à peine à te suivre. Je te veux, mais tu m’échappes. Je ne sais pas quoi faire ! Alors, oui, je suis jalouse que tu sois avec d’autres femmes que moi, même si je t’ai dit que tu pouvais. Je te veux toi et je veux que personne d’autre ne t’ait. Je sais que je suis beaucoup et que je suis manipulatrice, certains diraient que je suis machiavélique, mais je tiens à toi. Je suis illogique, j’en ai conscience, mais tu m’as prise au dépourvu et je ne sais pas comment agir. J’ai appris à tenir les gens autour de moi à distance et c’est ce que j’ai fait avec toi alors que c’est la dernière chose que je veux. Te voir l’embrasser ce soir a été la goutte de trop, je n’ai pas pu tenir plus longtemps.
-Je te jure que tu me fatigues parfois, avais-tu soupiré avant de la tirer vers toi et de l’embrasser.
Katherine avait posé ses mains de part et d'autre de ton visage, approfondissant le baiser. Contrairement à tous les autres que vous aviez partagés, celui-ci était doux et rempli d’amour tout en étant vulnérable. Sans perdre une seconde, vos langues s’étaient mélangées alors que Katherine t’avait fait reculer jusqu’à ce que ton dos heurte le mur de brique. Vous aviez continué de vous embrasser pendant plusieurs minutes avant de vous séparer, un sourire aux lèvres.
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La lumière du soleil entre légèrement dans la pièce, illuminant ton corps, le rendant encore plus beau que d’habitude. Te sentant doucement bouger contre elle, Katherine arrête de retracer votre relation afin de se concentrer sur son présent avec toi. Une fois les yeux ouverts, tu regardes Katherine avant de l’embrasser chastement. Juste en un regard, tu devines que tu l’as tirée de ses pensées.
-À quoi pensais-tu ? demandes-tu en caressant sa joue. 
-Ça fait vingt ans qu’on est ensemble, tu imagines ?
-Qui aurait cru que Katherine Pierce, la vampire au cœur de pierre, serait fleur bleue, rigoles-tu.
-Hey ! C’est de ta faute, tout ça. Tu m’as rendu faible, réplique Katherine en faisant semblant d’être vexée.
-Mais bien sûr.
-Et puis, je suis fleur bleue qu’avec toi, personne d’autre. 
-Plus sérieusement, à quoi tu pensais ?
-À nous, avoue-t-elle avec un regard rempli de tendresse. La première fois que je t’ai vue, je savais que je te voulais et j’avais tout prévu pour te revoir. Quand j’ignorais encore que tu étais une sorcière, je pensais simplement flirter et avoir une relation avec toi, mais après, j’ai réalisé que je pouvais faire mieux et quand tu as accepté mon idée d’alliance… Je savais que je devais tout faire pour t’être utile, je ne pouvais pas te laisser me glisser entre les doigts. Toutes les fois où j’avais besoin de toi et où j’ai fait en sorte que tu aies besoin de moi, tous ces moments faisaient partie d’un plan bien précis, rien n’était accidentel. 
-Donc, me proposer une relation sans engagement pour ensuite me piquer une crise de jalousie faisait partie de ton grand plan ? questionnes-tu avec un regard moqueur.
-D’accord, ça, ça ne faisait pas partie de mon plan et c’est bien pour ça que ça a échoué à ce point, mais à part cet accroc, tout était calculé à l’interaction près.
-Oh, je sais, confesses-tu avec un sourire en coin, la prenant au dépourvu.
-Tu sais ? 
-Tu es Katherine Pierce, je savais dès le début que tu avais une idée derrière la tête, lui affirmes-tu.
Katherine ne peut s’empêcher de ressentir de la fierté, réalisant que tu es la seule personne au monde à la connaître aussi bien et à accepter toutes ses facettes, les bonnes comme les mauvaises. À ce moment précis, Katherine sait qu’elle n’aurait pu trouver meilleure personne pour partager le restant de l’éternité.
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twomorestars · 3 months ago
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commandes, requêtes
requêtes; ouvertes.
J'ai récemment reçu quelques messages, me demandant si j'acceptais des commandes pour des crackships. bien que je n'ai jamais eu la prétention de me penser suffisamment talentueuse pour cela, si cela peut en aider certains, je me dis que pourquoi pas. Toutefois, je souhaiterais instaurer quelques règles.
Je n'ai pas l'intention de faire de cette activité une contrainte. Je ne m'impose pas de limite de temps.
Merci de m'envoyer un premier message avec les célébrités dont vous souhaitez obtenir des crackships, pour savoir si cela m'inspire.
Petite information, je fais ça par plaisir, je n'ai pas envie de m'arracher les cheveux à trouver des ressources de célébrités inconnues au bataillon. Si votre célébrité à peu de ressources, tentez quand même, on ne sait jamais, mais si c'est trop compliqué ou si je ne suis pas inspirée, ne le prenez pas pour vous.
Majoritairement, je prendrais des requêtes de deux célébrités uniquement. Vous pouvez toujours demander d'avantage, pour des crackships famille par exemple, mais si ça devient trop nombreux ou trop compliqué, pas sûr que j'accepte.
Enfin, je trouve souvent plus facile de faire des crackships d'acteurs que de chanteurs ou d'influenceurs. Mais encore une fois, poser la question n'engage à rien.
Si vos célébrités m'inspirent, je répondrais à votre demande en vous posant des questions concrètes.
Le film (ou le clip, ou autre) dans lequel votre célébrité a joué qui vous fait le plus penser à votre personnage.
Le lien entre les deux personnages concernés.
L'ambiance (colère, tristesse, amour) et la couleur (vous trouverez mon coloring sur mes précédents crackships, c'est celui-ci ou du noir et blanc, je n'utilise pas d'autres couleurs).
Vous pouvez m'envoyer vos demandes par message privé. Le minimum de politesse est toujours apprécié. S'il vous plaît, attendez d'abord de savoir si je suis inspirée avant d'entrer dans les détails techniques.
Et pour le reste, vous pouvez créditer stubborn love, n'oubliez pas que tumblr n'est pas un crédit.
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oloreandil · 3 months ago
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Une étoile et un réverbère
an idezawa fanfic for @dnrarepairweek day 3 - pining
rated G / 1,928 words / in french for now (the english translation is coming very soon !)
additional tags: canon-compliant, one-sided attraction
read on ao3 or below the cut !
31 décembre 2004
Le vent lui mord les joues, mais il ne fait pas assez froid pour que Shuishi prenne le temps de mettre son écharpe. Il est déjà assez en retard comme ça, Matsuda n’étant pas capable de rendre un rapport à l’heure, mais bon, il savait dans quoi il s’engageait en revenant dans le bureau d’enquête. Il devrait être en congés à l’heure qu’il est, et il n’ose songer au nombre d’appels manqués qui l’attendent quand il rouvrira son téléphone… Mais il avait prévenu sa femme, il se pourrait bien qu’il soit de service, oui, même le soir du nouvel an, oui, même après ses horaires de service habituels. C’est la première fois qu’il rate le nouvel an depuis la naissance de leur fille, mais bon. En grinçant des dents, il lui avait dit qu’il faudrait probablement s’y faire.
La poignée de la porte ne tourne pas. Shuishi fouille frénétiquement ses poches à la recherche de son badge, mais rien n’y fait.
« Putain de merde ! Manquait plus que ça ! »
La faim lui tiraille l’estomac, surtout qu’il n’a pas eu le temps de déjeuner, mais l’ascenseur est en panne et il n’a vraiment aucune envie de se taper les huit étages à pied juste pour un badge à la con.
« On va manger un truc ? »
La voix derrière lui le fait sursauter, et Shuichi porte la main à sa poche par réflexe – il ne devrait plus avoir son arme sur lui, malgré ses heures sup, mais ça fait même pas deux mois que…
Enfin. C’est pas comme si un pistolet arrêtait le pouvoir du Death Note.
« Ide, t’es encore là ? Je pensais que tout le monde serait parti… » Il n’avait pas levé la tête de la journée, trop maussade pour vraiment souhaiter la bonne année à ceux qui rentraient chez eux avant lui.
« Un ou deux dossiers à finir. Je rattrape les notes du bureau d’enquête, voir ce que j’ai raté pendant que j’étais pas là. »
Shuichi ne sait pas quoi répondre à ça. Lui-même n’a pas touché la masse assez inquiétante de paperasse que Light et les autres ont accumulée, préférant se joindre au directeur adjoint pour éplucher les dernières nouvelles en provenance de Yotsuba. Les quelques mois passés avec Ide à tâtonner lui ont donné la rage, et depuis la mort de L, c’est dur de ne pas être défaitiste. Shuichi prend le temps de le regarder pour la première fois aujourd’hui, remarquant ses traits tirés et la mèche grisonnante à sa tempe, qui n’était pas là quelques semaines auparavant. Lui-même ne doit pas avoir meilleure mine, ils subissent tous le contrecoup…
Après un silence presque trop long, Ide se racle la gorge. « Du coup… je te voyais plus à ton poste, je me suis dit que t’étais parti chercher à dîner. Y a un izakaya au coin de la rue qu’est pas trop mal. »
Un dîner en tête à tête, comme d’habitude finalement. Shuichi esquisse un sourire. « J’te suis. »
Ide commande une bière, un okonomiyaki et deux assiettes de poulet frit, Shuishi se contente d’une assiette de yakisoba. Il ressort du restaurant en ayant encore un peu faim, mais, s’il a de la chance – et que sa femme n’est pas trop en colère – il y aura une assiette de dessert soigneusement mise de côté quand il rentrera… d’ici trois ou quatre heures. Il entend à peine l’anecdote qu’Ide lui raconte sur les mésaventures de Matsuda.
Shuichi s’arrête net sous un réverbère, aveuglé un instant par la lumière qui l’enveloppe de toute part, et lève les yeux vers la devanture d’une supérette encore ouverte malgré l’heure tardive. « Viens, je t’offre un taiyaki. »
« T’es sûr ? » Ide n’a pas l’air de vouloir refuser, un air presque somnolent sur son visage d’ordinaire pincé. Shuichi s’offusquerait presque de ce regain de politesse, c’est pas comme s’ils n’avaient jamais pris un verre après le boulot !
« Y aura probablement d’autres desserts, mais si tu viens pas avec moi, je choisis pour toi. »
Hideki le remercie, les joues rosies par le froid, et ils s’engouffrent dans le magasin en se chamaillant sur le meilleur dessert à emporter.
5 mai 2007
Il fait très beau, mais Hideki n’est pas sûr que ça soit la raison pour laquelle Aizawa ne cesse de regarder par la fenêtre. Le ciel semble d’un bleu presque trop foncé, la météo donne plus envie de s’allonger dans un parc que de rester enfermé à relire en boucle les mêmes documents, mais ils sont de service. Le bureau d’enquête est toujours officiellement à la recherche de Kira, et ils ne manquent pas de morts sur lesquels creuser un peu, même si les hauts gradés commencent à se lasser des innombrables rapports indiquant la cause du décès comme « crise cardiaque », et le coupable présumé comme « Kira »…
Les rayons du soleil dansent sur ses boucles quand Aizawa secoue la tête, de petites étoiles qui clignotent en reflets roux, et il replonge son regard las sur un rapport d’autopsie. Il a parlé de les couper, Hideki n’est pas sûr d’en avoir envie, mais ce n’est pas à lui de décider. À l’inverse, il se laisse pousser la barbe, et un bouc encadre maintenant ses lèvres qui font la moue.
Les mots lui échappent alors qu’il secoue la tête pour tenter de se ressaisir. « Vous avanciez plus, quand L était là ? »
Aizawa sursaute – il a la fâcheuse manie de le surprendre, mais Hideki sait qu’il ne lui en tient pas rigueur. « Euh. Ouais, on peut dire ça. »
Ses yeux parcourent rapidement leur bureau, comme pour vérifier qu’ils sont seuls. Hideki ne se serait pas risqué à poser la question autrement, pour ne pas froisser le directeur adjoint et son fils d’une part, et d’autre part, pour ne pas essuyer un des innombrables récits héroïques (et sans nul doute embellis) de Matsuda.
« C’était plus facile d’essayer de trouver des preuves quand on avait un suspect sous le nez, même si l’obsession de L pour accuser Light ne nous a pas menés bien loin. Après ça… On a mis des mois avant de retrouver la trace du carnet chez Yotsuba, et je suis parti quand la police nous a posés un ultimatum, et que j’en ai eu assez des méthodes de L. T’étais là, pour le reste. »
Un soupir. Hideki se demande s’il pense à la même chose. Qu’ils avaient autant progressé tous les deux, isolés au sein d’une unité de police hostile, obligés de chercher des informations en cachette et avec une fraction des ressources qu’ils ont maintenant à leur disposition. Mais avec infiniment plus de résultats qu’en trois ans, depuis la mort de L. Plus souvent qu’il ne devrait, il se dit qu’il aurait préféré continuer comme ça. Malgré tout son mépris partagé pour les méthodes de L, celles de Light ne font en rien leurs preuves, et il se sent étouffer dans ce bureau inutile. Au moins, quand il n’y avait que lui et Aizawa… ils étaient seuls contre tous, mais il avait entière confiance en son partenaire. C’est de moins en moins le cas avec ses collègues actuels.
Hideki suit du regard le stylo d’Aizawa, quand il le porte à ses lèvres avant de parler.
« Tu sais, Ide. C’est la première fois que je suis de service pendant le Jour des Enfants. Même en 2004, j’avais facilement négocié de pouvoir rentrer chez moi. » Un nouveau soupir. « Eriko a rien dit, je crois que c’est limite pire que quand elle m’engueule… J’ai emmené mes gosses au parc hier, mais bon. Vu le boulot d’aujourd’hui, ils auraient pu me mettre d’astreinte à un autre moment. C’est encore plus frustrant d’être coincé ici, alors que je sers à rien. »
Hideki émet un vague son pour lui exprimer sa sympathie, et Aizawa grimace en remerciement. Ils se remettent à travailler, et Hideki propose de ranger seul leurs affaires pour le laisser partir plus tôt.
31 décembre 2009
Il y a des moments où Shuichi se demande pourquoi il fait tout ça. Six ans, depuis l’apparition de Kira, depuis les meurtres quasi quotidiens, six ans qu’il s’enferme de plus en plus dans un bureau étouffant en compagnie de gens qu’il a, dans l’ensemble, de plus en plus de mal à supporter.
Son regard croise celui d’Ide, qui secoue la tête sombrement – au moins, quelqu’un d’autre partage son exaspération pour le merdier dans lequel ils sont embourbés. Et, s’il a correctement interprété ses actions, Near devrait bientôt mettre un terme à cette affaire.
Quand il a vu Light appeler sa mère pour lui dire qu’il ne serait pas avec elle pour le nouvel an – une évidence, et Shuichi songe amèrement à sa propre famille qu’il n’a pas revue depuis des semaines – il a presque eu envie de lui foutre un pain.
Il est sorti prendre l’air, une pause bien méritée après cette soirée qui n’en finissait plus. Il ne fait pas si froid, mais la colère lui a fait oublier son manteau, et il tente de se convaincre de rentrer avec les autres plutôt que de rester appuyé sur ce réverbère quand une main se pose sur son épaule.
Pour une fois, il ne sursaute pas.
« Merci, » dit-il simplement en acceptant son manteau et son écharpe. « Je sais pas ce que je ferais sans toi. »
« Des merveilles sur un chalutier. » Devant son air ahuri, Ide continue, « quoi, tu penses pas que tu te serais reconverti, au bout d’un moment ? T’en aurais eu trop marre, t’aurais claqué la porte, et tu serais parti à la pêche au hareng. »
Shuichi éclate de rire. « T’en as d’autres, des idées comme ça ? Tu ferais quoi toi, expert comptable ? Ou peut-être bibliothécaire, t’as toujours eu un don avec les enfants. Les petites me demandent encore quand est-ce que tu passeras la prochaine fois. »
La bouche tordue en une étrange grimace, Hideki secoue la tête. « Ouais, on est bien où on est, finalement. » Il lève la tête vers les quelques nuages, la voix un peu distante. « C’est bientôt fini… »
« Oui. »
Ide se tourne vers lui, et sa grimace se transforme en sourire. « Si on sort de tout ça indemne, je serai drôlement content de reprendre du service à tes côtés, comme avant. »
« Faut que t’arrêtes de faire des plans sur la comète, mon vieux… » Shuichi lui serre brièvement l’épaule avant de rentrer dans l’hôtel.
5 novembre 2011
Near a fini par leur dire où L était enterré. Hideki a comme l’impression qu’il n’en avait aucune idée avant qu’Aizawa lui en fasse la demande, et que l’information n’a pas été simple à obtenir – ni la permission de les y emmener, d’ailleurs. Aizawa sait se montrer très buté quand l’envie lui prend, et ils y sont, maintenant. Devant une tombe si incroyablement neutre qu’ils ne l’auraient probablement jamais trouvée seuls, perdue dans un cimetière près d’un orphelinat anglais.
Aizawa recommence à faire pousser son afro. Il aurait perdu un pari avec ses filles, soi-disant, mais Hideki pense plutôt que c’est la vie qui commence à reprendre son cours. Pour ceux encore en vie pour en avoir l’occasion.
« Tu viendras dîner à la maison, Ide ? Quand on sera rentrés. »
Son regard croise celui d’Aizawa, et Hideki se rend compte qu’il le fixait depuis quelques minutes. Il a à peine jeté un œil à la tombe de L, mais de toute façon, il ne lui a jamais accordé une grande estime. Depuis le début, sa loyauté va à Aizawa – à ses collègues.
« Bien sûr. »
Il ressent déjà un léger pincement au cœur à l’idée qu’Aizawa l’accueillera de la même façon que d’habitude, coutumière comme ces films qui passent à la télé tous les hivers. « Fais comme chez toi. »
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la-piscine-rpg · 1 year ago
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Ouverture (officielle) de La Piscine
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Bonjour tout le monde 👋
Ici @1019-code, je viens vous annoncer l'ouverture (officielle) de La Piscine, un discord de commandes et d'entraide pour forums Forumactif dans les domaines du codage et du graphisme.
Vous pourrez :
trouver des épreuves, "challenges", pour tester votre créativité ou faire fleurir l'inspiration (et accessoirement peut-être réussir à booster le libre-service),
rejoindre des équipes pour gagner des POINTS qui ne servent à RIEN !!!
si vous êtes prestataire, discuter entre nous dans le but de se mettre d'accord sur nos pratiques ou trouver de l'aide dans le monde merveilleux du freelance,
trouver un répertoire de prestataires pour réaliser des commandes payantes en code ou en design,
partager votre plateforme, tumblr, forum, etc pour présenter votre travail,
partager du libre-service que ce soit en code ou en design,
nous faire part de vos meilleures ressources (et en trouver !) que ce soit en code ou en design,
vous entraider et réussir à traquer les bugs ou à comprendre comment on fait des incrustations trop classes sur des bannières,
présenter votre travail en cours et recevoir tous les compliments du monde pour faire un peu de bien à votre ego,
recevoir des feedbacks si vous le souhaitez, que ce soit sur un design, une création ou un code,
demander de l'aide pour trouver l'inspiration, finie la page blanche,
présenter vos objectifs de la journée, du mois, de l'année, au choix,
partager vos coups de coeur en terme de codage ou de design, que ces derniers soient des forums où d'autres sites qui n'ont absolument rien à voir,
partager vos meilleurs memes sur le burn-out,
et tout simplement discuter de codage et graphisme !
Et en plus on a déjà 280 membres !
J'ai récemment terminé la configuration du serveur (après 2 ans, oups...), de fait j'en fais maintenant la publicité !
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Le but de La Piscine
Avec La Piscine, j'espère composer une vraie communauté d'entraide autour de Forumactif, mais aussi une plateforme de partage de ressources, de tutoriels, et aussi d'idées "irréalisables".
On a quelques scripts inédits et totalement révolutionnaires qui sont uniquement présents là-bas, faute de temps de leurs créat·eur·rice·s (oups, je parle peut-être que des miens). On a par exemple le processus complet de @code-lab concernant la génération de fiches de présentation, mais on a aussi des tentatives de bases de données de membres pour permettre des bottins automatiques mais aussi des listes de membres avancées, style masterlist, entre autre choses.
Ce que j'aimerais également, c'est que ça booste la création de libre-service. Que ce soit en design ou en code, qu'on propose + de contenu libre. Donc si vous créez régulièrement du libre-service (maquettes ou code), n'hésitez pas à nous rejoindre pour remplir les placards de vos créations !
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Vous êtes débutant·e ?
Pas de panique : La Piscine est ouverte à TOUS les niveaux ! On est là pour vous aider, même si c'est pour quelque chose d'ultra simple mais que vous ne maîtrisez pas. Et vous n'êtes vraiment pas seul·e !
Vous êtes professionnel·le ?
On est plusieurs à l'être ! et parfois on parle de nos projets en-dehors de Forumactif. Donc si vous avez besoin d'aide sur des choses plus avancées, y a peut-être moyen que vous trouviez quelqu'un pour vous aider là-bas !
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