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#comment rompre les liens de l’amour
maraboutbadou · 2 years
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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frisquette27 · 2 years
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ET SI.... CHAPITRE 16
Et voilà ça y est, je vais vous partager une de mes parties préférés de ma petite histoire, enfin le chapitre que je me languissais de vous partager car c'est un tournant important..
Enfin je suis nerveuse mais bonne lecture..
AVERTISEMENT SMUT (les enfants au lit !!!)
Chapitre 16 : Si vous étiez celle.....
Quelle magnifique journée ensoleillée, le bruit de la mer qui étreint la plage couvre la douleur des deux cœurs meurtris de ce couple se fixant dans les yeux, comment ne pas comprendre en les regardant que l’amour est le lien qui les unit, n’importe qui les observant ne pourrait douter un seul instant de leurs sentiments pourtant eux ne les comprennent pas ! Une magnifique journée pour peut-être laisser enfin le bonheur gagner.
Mais ce n’est jamais simple de s’aimer surtout quand on a souffert comme eux. Lui n’a jamais connu la vraie tendresse, le véritable amour, il a toujours été seul et triste toutes les femmes qu’il a aimées ne lui ont jamais vraiment rendu, et la dépression a toujours fait partie de sa vie, il y a dans le désespoir quelques chose qui nous rend incapable d’accepter ou de voir l’affection. Elle a aimé, lui seulement lui, elle l’aimera certainement toujours mais il n’est plus rien de douloureux qu’un amour sans retour pire il l’a ignoré, méprisé peut être détesté. Le temps était comme arrêté, perdu dans leurs regards et leurs réflexions, aucun des deux n’osaient rompre le silence. Une mouette les frôla en poussant un cri qui les fit sursauter, le Roi retira sa main rapidement de la joue de la jeune femme tout en gardant l’autre dans sa main. Elle vociféra après le volatile.
« Non mais ce n’est pas vrai, ça ne va pas mieux quand je dis que c’est idiots les oiseaux pffff »
Ils pouffèrent doucement en se regardant complice, le roi en profita pour prendre sa femme dans ses bras, Guenièvre ne se fit pas prier et cala sa tête au creux de son cou. Arthur frissonna de plaisir en sentant son souffle chaud, il la serra plus fort contre lui, le parfum de sa peau venait lui titiller ses sens. Son cœur battait la chamade, elle allait s’en rendre compte, il avait finalement compris qu’il ne la méritait pas pourtant il n’avait pas le droit de la laisser partir, jamais il ne connaitrait de bonheur sans elle. Tout était devenu tellement évident, Elias lui avait dit de la laisser cependant s’il n’essayait pas de la reconquérir, il s’en voudrait toute sa vie.
« Guenièvre, j’ai tellement de chose à vous dire et je ne sais pas par quoi commencer »
« Par le début » dit-elle dans un murmure
« Pardon, je crois que je dois commencer par vous demander pardon »
« Pourquoi ? » la voix toujours aussi basse
« C’est vrai que j’ai beaucoup …trop de chose à me faire pardonner, juste pardon pour ne pas avoir pris soin de vous comme vous le méritiez, je voudrais ..non j’aimerais que vous me laissiez une deuxième chance »
« Deuxième chance, vous pensez sincèrement que vous en êtes qu’à la deuxième chance » dit-elle avec plus d’assurance.
Elle le repousse légèrement pour se trouver face à lui.
« J’ai arrêté de compter le nombre de chance que j’ai pu donner à notre mariage, je ne rien fait pour mériter cela afin je pense, j’ai toujours été là pour vous mais vous m’avez toujours repoussé, méprisé, oh j’ai bien compris que j’étais trop laide et stupide pour vous mais vous n’étiez pas obligé de déverser toute votre colère sur moi »
Un silence pesant s’installa entre eux mais malgré tout Arthur la repris dans ses bras.
« Vous avez raison en tout cas en partie, mais j’étais obligé de vous garder à distance et je n’aurais jamais dû vous traitez de la sorte »
« En partie seulement, j’ai donc quand même mérité votre dédain »
« NON ….non vous avez tort sur ce que je pense réellement de vous, vous n’êtes pas laide et c’est un euphémisme, vous êtes belle même sublime » tout en parlant il lui prit le visage dans ses mains et plongea son regard dans le sien pour lui faire comprendre la véracité de ses mots « vous êtes belle , tellement belle et si désirable ..oh Guenièvre vous me hanter …depuis que j’ai posé les mains sur votre corps je ne trouve plus le sommeil tellement j’ai de désir pour vous »
Et c’est sans sommation qu’il plongea sur ses lèvres pour faire comprendre cette envie qu’il ne le quittait plus, le baiser ce voulait doux mais la passion le consumait déjà et le baiser était fougueux limite violent. Elle entrouvrit la bouche dans un gémissement de plaisir partagé, il profita pour immiscer sa langue et commença une dance sensuelle, qui lui fit perdre toute notion, il ne se maitrisait plus. Se nourrissant des gémissements de sa femme la passion au creux de ses reins l’enflamma, et ses mains quitta rapidement son dos pour lui caresser le corps totalement assoiffé, son dos, ses seins, ses hanches qu’il empoigna fermement, la collant à lui. Elle sentit son désir ardent contre son ventre, et la chaleur s’insinua dans tous son corps, elle voulait ses mains sur sa peau, il y avait trop de vêtements, elle voulait sentir sa peau. Elle sentait son bas ventre devenir chaud, se contracter, les sensations était tellement intenses qu’elle devait s’accrocher à lui pour ne pas s’effondrer. Il relâcha ses lèvres quelques minutes, juste pour embrasser son cou, son épaule continuant de la caresser avidement, ses mains sur les fesses. Alors qu’il l’embrassait à nouveau, elle sentit ses jambes se dérober, réalisant qu’il supportait presque la totalité de son poids. Elle comprit qu’il ne la laisserait pas tomber, alors au lieu d’utiliser ses mains pour se retenir, elle laissa sa main se promener dans ses cheveux pendant que les doigts de son autre main se faufilaient sous sa tunique, se permettant de racler de ses ongles la peau douce de son torse. Il laissa échapper un son qui ressemblait à un grognement transformé en gémissement. Elle sourit contre ses lèvres.
Après une éternité à explorer leur bouche, Guenièvre s’arrêta à contrecœur pour respirer. Bien qu’il fût à bout de souffle, Arthur continuait toujours à laisser de petits baisers le long de son cou et son épaule. Le doux touché de sa bouche et son souffle chaud contre sa peau faisait trembler le corps de la jeune femme de désir. Elle laissa échapper un long gémissement qui ne ferait douter personne de l’effet qu’il lui faisait. Arthur se détacha doucement de sa femme.
« Guenièvre » chuchota-t-il contre sa peau
« Mmm ? »
« On doit arrêter… »
« Pourquoi ? » demanda-t-elle un peu plus durement que ce qu’elle ne voulait. Elle resserra ses bras autour de lui.
« Parce que si nous n’arrêtons pas maintenant. Je vais finir par vous allonger sur le sable et vous faire mienne »
Guenièvre recula en rougissant, elle avait envie de lui dire qu’elle s’en fichait et qu’elle voulait qu’il la prenne maintenant mais il avait raison ce n’était pas le lieu et si elle l’entraînait dans les grottes à l’abri des regards indiscret peut être pourrait-il éteindre le feu qu’il avait allumé en elle. Son regard se porta sur le haut de la dune et elle vit Elias qui les observait, oh comme il devait penser qu’elle était faible de céder si facilement à son mari, elle lui avait pourtant promis d’être plus forte.
L’enchanteur n’avait raté aucune miette de la scène qui s’était produite sur la plage même s’il avait espéré que le roi se rendrait compte de la chance qu’il avait. Il restait persuadé que c’était trop tôt et qu’Arthur n’agissait pas encore par amour, cet homme était beaucoup trop imbu de sa personne, Elias pensait que cela rester encore qu’un caprice d’un enfant gâté à qui on avait retiré son jouet. Il avait un plan, certes un brin cruel mais certainement efficace pour que le Roi réalise afin qui était vraiment Guenièvre même lui avait compris que les dieux n’avaient pas choisi la jeune femme par hasard.
Cette femme était lumineuse, patiente, douce, gentille, elle serait surement la seule capable d’apaiser le Roi dans sa quête, la seule qui lui apporterait la lumière dont il avait tant besoin. L’enchanteur l’appréciait plus que de mesure et peu importe qui lui barrerait le chemin il la protégerait. Il préféra se détacher du couple et retourner dans la maison, chaque chose prendrait son temps, laissons le bénéfice du doute à Arthur.
Encore un peu rougissante Guenièvre se laissa guider par son mari, leurs mains sont jointes, et ils se dirigèrent lentement vers la mer. Arthur se sentait léger, heureux, pour la première fois de sa vie, tout lui paraissait plus simple s’il arrivait à garder sa femme près de lui, il pourrait déplacer des montagnes et réussir le destin que les dieux lui avaient donné. Maintenant que lui dire pour lui faire comprendre qu’il avait ouvert les yeux sur elle, sur eux. Guenièvre lâcha la main de son mari pour aller jouer avec les vagues, son rire s’élevait dans le vent. Ils passèrent leur journée sur la plage à rire et à discuter de tout et de rien, pourtant le Roi n’arriva pas à aborder les sujets qui le tarauder.
Le soir venu, l’enchanteur montrât sa chambre au Roi, tout d’abord soulagé de voir que derrière la porte qui menait à la salle principale se trouvait quatre chambres, il tiqua au fait qu’Elias lui propose une chambre à lui. Il pensait, enfin espérer partager celle de sa femme mais même s’il fit une moue réprobatrice, il n’en dit rien pour autant.
Le diner fut silencieux, en effet Guenièvre jouait avec sa nourriture mais n’avalait rien pour autant sous le regard en colère de l’enchanteur. Le Roi quant à lui été mal à l’aise par la situation, ne sachant pas quoi dire à l’enchanteur. Le repas fût donc très court, Guenièvre se leva pour aller prendre deux potions sous le regard interrogatif de son mari, elle salua brièvement les deux hommes et partie se promener avec une servante pour une promenade « digestive » sous l’œil noir de l’enchanteur.
Rester seul, Arthur se tourna vivement vers Elias.
« Qu’est qu’elle a pris » dit-il en montrant les deux fioles vide.
« La première pour renouveler son sang, elle va en avoir encore un besoin long moment »
Le Roi baissa la tête de culpabilité, il avait presque oublié son geste en tout cas il avait essayé de l’effacer de sa mémoire.
« La deuxième malheureusement est pour compenser ce qu’elle ne mange pas, vous avez bien vu ce soir qu’elle ne se nourrit pas »
« Comment ça ? Elle n’avait juste pas faim »
« Ah non votre femme est dans le contrôle, elle ne se nourrie pratiquement plus, vous avez bien dû remarquer qu’elle avait perdu du poids »
« Non enfin oui mais j’ai mis cela sur le compte de sa convalescence »
« Et ben non !!! vous allez avoir du travail sire !!! »
Il se leva et quitta la pièce sans sommation laissant le roi abasourdi par ses révélations. Que devait il faire la rejoindre et la sermonner pour quelle réalise ses bêtises ? Il préféra l’attendre sagement dans la maison et se calmer, il serait capable de s’emporter, la connaissant elle allait certainement l’agacer avec ses réponses. Il ne l’attendit pas longtemps, sa femme avait abrégé sa promenade car il commençait à faire un peu froid ou surtout elle était pressée de retrouver son mari. Elle le trouva assis dans un fauteuil fixant la porte, elle comprit à l’instant où son regard croisant le sien qu’il était en colère, ce qu’elle redoutait le plus avait dû se produire, Elias lui avait dit, elle en était certaine.
« Mon ami, vous m’attendiez ? »
« Asseyez-vous » dit-il durement, son regard devint encore plus sombre. « Vous ne mangez pas !! »
« Mais non, non je mange qu’est ce vous racontez » sa voix était fébrile et ses mains trembler légèrement sur ses genoux.
Elle n’avait jamais été douée pour mentir, surtout à son mari, elle préféra éviter son regard et se mit à fixer la cheminée.
« Non Guenièvre, vous ne mangez pas, n‘essayez pas de me mentir ce n’est pas vous, vous ne mentez jamais et je ne tolérerais pas que vous me mentiez »
« C’est vrai je mange moins, mais Elias en fait tout un foin pour pas grand-chose, j’ai moinsfaim mais l’appétit reviendra je vous le promets »
« Ah mais j’espère bien !! D’ailleurs je vais veiller à cela, vous allez manger Guenièvre, est-ce bien clair ? »
La jeune femme secoua la tête pour lui répondre mais ce n’était pas suffisant pour son mari, il se leva, se déplaça devant elle et de sa main lui releva le menton pour qu’elle le regarde dans les yeux.
« Avez-vous compris, vous allez manger ! je veux que vous me répondiez »
« Oui » dit elle dans murmure
« Bien, allons nous coucher, la journée a été longue, agréable certes mais longue »
« Nous coucher ? nous comme nous deux …ensembles »
Il lui prend la main et l’aide à se lever de son fauteuil, la rapproche contre lui et doucement à son oreille
« Cela dépend de vous, ce que j’en dit moi c’est que j’aimerais bien et vous ? Vous voulez dormir avec moi ? »
Elle rougit, elle avait pourtant décider de garder le contrôle et de ne surtout pas se brûler les ailes avec lui ce matin, mais l’après-midi merveilleux et que là il soit tout contre elle, de sentir le parfum de sa peau, elle perdait encore la tête et puis zut tant pis pour les regrets, elle verrait cela demain matin. Elle se décolla de lui, se dirigea vers le couloir puis en ouvrant la porte qui menait aux chambres lui dit langoureusement
« Vous avez sommeil vous, pas moi en tout cas …cependant rien ne nous empêche d’aller dans ma chambre, enfin pas pour dormir si vous le voulez bien »
« Carrément que je le veux »
Il lui attrapa la main et d’un pas décisif les emmena dans la chambre de la jeune femme, il referma vivement la porte derrière eux, impatient de la serrer contre lui et de ne surtout pas dormir.
Il tendit l’autre le bras, la ramena vers lui et enroula ses deux bras autour de sa taille. Une main glissa vers sa nuque. Le regard rempli de désir qui lui lança la rendit toute chose. Il se pencha vers ses les lèvres et les effleura des siennes. Doucement, tendrement ils s’embrassèrent, puis comme sur la plage leurs corps se collèrent irrémédiablement attirés l’un par l’autre. Leurs baiser s’intensifièrent, les mains d’Arthur reprirent les caresses de l’après-midi, ne pouvant toujours pas se contrôler, il ne pouvait plus attendre, cette nuit elle deviendrait afin sa femme, cette dernière avait passé ses deux mains sous sa tunique et exploraient son torse. Arthur Grogna de contentement.
« Doucement ma belle, vous me rendez fou »
« Moi ? Bah tant mieux car vos mains .. »
Il l’arrêta par un baiser puis posa son front contre celui de la jeune femme et lui dit d’une voix rauque.
« S vous saviez l’effet que vous me faites » sans attendre sa réponse, il pressa son érection contre elle. Sa tête se redressa d’un coup pour le dévisager, ses grands yeux ouverts vers lui, choqué d’elle-même de ressentir cet effet partagé. Elle lui caressa le visage et d’une voix mutine
« Ah je vois, est ce moi qui vous fait tant d’effet, je n’aurai pas cru, êtes-vous sûr de ne pas vous tromper »
Elle se surprenait elle-même, elle n’avait jamais outrageusement flirté avec lui, elle n’avait d’ailleurs jamais osé flirter avec lui
« Dis donc vilaine jeune fille, vous n’oseriez pas vous moquer de moi tout de même »
« Et si j’ai envie de ne pas être une gentille fille ce soir »
« Attention à vos paroles ma douce si vous êtes une vilaine fille, je pourrais envisager de vous punir et je vous assure que je peux être très imaginatif » lui murmura-t-il à l’oreille
Le feu prit rage dans son ventre à la pensée d’un Arthur « la punissant », ses joues devinrent rouge pivoine, elle était vierge et même si Démetra avait fini par lui raconter en « détails » toutes les choses de l’amour, elle ne s’attendait pas que son imagination soit aussi débordante, excitante et pourtant tellement peu familière, elle voulait s’abandonner à Arthur corps et âmes. Arthur la voyant rougir ainsi regretta ses paroles, il avait poussé le flirt un peu trop loin, elle ne connaissait rien aux choses de l’amour et lui comme une pauvre nouille, lui avait fait des allusions certainement trop poussées même si l’idée ne lui déplairait certainement pas.
« J’ai terriblement envie de vous, mais on n’a pas à faire quelque chose que vous ne voudriez pas. Nous avons le reste de nos vies à passer ensemble, vous tenir dans mes bras, vous embrassez, vous voir sourire suffisent à mon bonheur »
Le cœur de Guenièvre se mit à battre follement sous l’effet de tous ses sentiments pour lui.
« Alors je ne dis pas que je suis déjà prête pour une fessée…afin pour l’instant » dit-elle en souriant alors que son mari rougit aussi fort qu’elle « mais je ne dis pas non à ….vous voyez quoi ! »
Il lui sourit avec un sourire si tendre que le moindre doute ou peur qui serait rester cacher au fin fond de son cœur s’était envolé, elle lui sourit en retour. Leurs lèvres se rejoignirent encore tendrement, elle ne savait pas ce qu’il s’était passé mais la chaleur entre eux s’intensifia, leurs baisers devenant passionnés, affamés, à couper le souffle. Ses mains se perdirent dans ses boucles. La tunique d’Arthur tomba sur sol, elle se retourna pour lui donner accès à son dos, Arthur de ses mains tremblante s’acharna à défaire les liens qui tenait encore sa robe, rapidement elle rejoignit sa tunique sur le sol, elle retira ses chaussures puis très lentement elle retira la petite robe blanche qui cachait son corps. Arthur en eu le souffle coupé et d’une voix rauque lui murmura un « superbe » au creux de son oreille. Il retira ses chaussures qui furent envoyés à l’autre bout de la pièce, et se laissa tomber sur le lit en l’entraîna dans ses bras. Sa bouche parcouru son cou puis glissa vers sa poitrine qu’il décrivit comme étant « sacrement magnifique » entre les gémissements de sa femme. Il se délectait de ses seins, ses tétons caressés, sucé, taquiné sans fin. Son corps à elle entier la brûlait, son intimité s’humidifiait alors qu’il glissait tout le long de son corps sa langue arrivant à son aine où il y traça de savante arabesque. Elle gémit plus fort lorsque ses doigts effleurèrent son entrée en la caressant. Sa langue se frotta contre ce petit bout de chair si sensible encore et encore alors que de ses doigts il faisait des allers-retours, doucement il mit un doigt devant son entrée qu’il taquinait doucement.
« Je …je peux » lui demanda d’une voix douce.
« OUI …oui…s’il vous plait » lui quémanda-t-elle
Il entra son doigt doucement alors qu’elle tremblait d’envie et d’un peu de peur aussi, allait-elle le satisfaire, aucun des deux ne put dire lequel avaient poussaient le gémissement le plus fort. Ses lèvres se refermèrent sur son clitoris, l’aspirant doucement, tout en continuant des va et viens avec son doigt, elle se laissa aller aux sensations de son premier orgasme. Les frissons qui la parcouraient firent trembler tout son corps, elle l’attrapa par les cheveux pour le faire remonter vers elle.
« Arthur…je …j’ai … »
Elle ne put finir sa phrase car déjà il la faisait taire par un baiser. Son propre goût sur sa langue lui donna encore plus envie de lui. Elle aurait dû être terrifié à l’idée de son membre qu’elle trouvait certainement trop grand envahissant son corps mais elle se sentait vide sans lui, elle avait besoin de lui désespérément, éperdument, son besoin physique était aussi puissant que les sentiments qu’elle ressentait pour lui. Il en avait eu des femmes dans ses bras, on aurait même pu dire de lui qu’il avait eu peut-être trop, mais pour la première fois de sa vie, tout était enivrant parfait, elle, elle était parfaite, sa peau laiteuse au goût miel, son corps à la fois ferme et tendre, ses formes qu’il l’excitait comme un adolescent, il était ivre d’elle, c’était elle la femme de sa vie, pour son cœur, pour son corps, pour son âme.
Elle écarta les jambes, lui offrant tout son corps. Il parut sentir le besoin presque animal qu’elle avait de lui ou alors c’était son propre désir qui suppliait d’être apaisé. Il se positionna face à son entrée, la pénétrant doucement.
« Dites-moi si je vous fais mal »
« Non ..oh par tous les dieux … ne vous inquiétez pas …faites-moi juste l’amour …s’il vous plait »
Pourtant aussi courageuse qu’elle était, elle ne put retenir le cri douloureux qui lui échappa alors qu’il brisait la dernière barrière entre eux.
« Oh ma douce…je suis désolé. Vous allez bien » murmura-t-il alors qu’il recouvrait son visage et son cou de baiser.
Elle se sentit aimé comme jamais alors qu’il oubliait son propre besoin en s’arrêtant et en attendant qu’elle s’habitue à lui. A son grand soulagement son corps s’habitua rapidement à sa présence. Elle l’attira plus près et lui rendit chaque baiser, se souvenant ce que Démetra lui avait expliqué, elle souleva ses jambes et les enroula autour des hanches de son amant. Son mouvement l’enfonça encore plus profondément en elle, Arthur émit un grognement de satisfaction à cette nouvelle sensation. Il devait absolument se calmer et rester concentré car il perdait déjà tous ses moyens. Il commença à bouger lentement, scrutant le visage de sa femme pour y voir toutes les sensations qu’il pouvait lui procurait mais très vite encouragé par ses gémissements, il accéléra. Mais elle avait besoin de sentir plus alors elle accompagna ses mouvements, l’insistant à aller plus vite. Elle perdait la tête alors que les coups de reins de son mari s’amplifiaient. Le plaisir commençait à monter en elle, elle devenait bouillante, des petites étoiles brillaient derrière ses paupières fermées.
« Arthur…s’il vous plait..plus …encore plus »
Elle le sentit délier ses jambes de ses hanches, elle allait protester mais il les remonta plus haut et les posa sur ses épaules avant de reprendre plus fortement ses vas et viens. Ses gémissements s’intensifièrent pour finir dans une longue plainte alors que son second orgasme s’abattit sur elle.
Chaque contraction de son corps enserrait son sexe alors qu’il plongeait toujours en elle encore plus fort, il la rejoignit rapidement dans un grognement sourd, il s’abattit contre elle totalement épuisé, enivré par son propre orgasme. Il parvint à les rouler sur le côté, se retirant doucement d’elle, la pris dans ses bras. Elle soupira heureuse contre son torse alors qui lui caressait langoureusement le dos, et que tendrement il lui l’embrassait la tête.
« C’était magique Guenièvre, vous avez mal ? »
Elle fit non de la tête contre son torse, elle ne voulait plus bouger, plus rien dire, elle était trop heureuse et décidément elle qui pensait ne pas pouvoir aimer plus Arthur, cette nuit venait lui démontrer le contraire. Elle voulait passer sa vie dans ses bras. Arthur souriait dans les cheveux de sa femme, il savait que s’en était fini de lui, il ne pourrait plus jamais être loin de cette femme, il allait l’aimer, la protéger, passer tous les jours de sa vie avec elle, lui faire des enfants, oh oui des enfants avec elle, la perspective de ce futur bonheur le remplissait de joie. C’était donc ça d’être vraiment amoureux, même son histoire avec Aconia lui paraissait bien fade comparer aux sentiments, au désir qu’il éprouvait pour cette femme, sa femme, sa tendre et douce épouse.
« Ma douce …ma merveilleuse épouse….ma femme rien qu’à moi » dit-il en la serrant plus fort.
Elle voulut faire une touche d’humour alors d’une voix plus sérieuse lui dit
« Afin épouse ..pour l’instant car mon père a d’autre projet, non »
Arthur rit
« Alors je peux vous dire que le plan de votre père est totalement foutu, oh quel dommage tant pis pour lui, il a perdu sur ce coup »
« Comment ça ? »
« Ben le plan tordu de votre père c’était d’annuler notre mariage car nous ne l’avions pas consommé et là dommage Léodagan vous avez perdu !!!! »
Guenièvre se figea contre son mari, elle ne comprit pas que son mari faisait de l’humour car une colère noire lui tordit les tripes et elle lui hurla dessus en le repoussant.
« QUOI c’était votre plan depuis le début, GAGNER contre mon père !!!!! »
Elle se levant du lit en un bond et avant qu’Arthur estomaqué puisse lui répondre elle continua de plus belle, en hurlant plus fort.
« AH MAIS BIEN SUR QUE JE SUIS GOURDE, ARTHUR PENDRAGON NE PEUT PERDRE CONTRE PERSONNE » tout en s’habillant et en attrapant les vêtements de son mari.
« CA VAS C’ETAIT PAS TROP DIFFICILE VOTRE PLAN, CRUCHE COMME JE SUIS BIEN SUR QUE J’ALLAIS CEDER »
« Oh on se calme qu’est-ce que vous racontez comme connerie encore »
« Des conneries ! DES CONNERIES !!! BEN OUI JE SUIS TELLLEMENT STUPIDE …UNE GROOOOSSE GOURDE QUE VOUS POUVEZ PAS ENCADRER EN PLUS »
Elle lui balance ses vêtements sur le lit et lui montre la porte de son doigt
« BARREZ VOUS !! JE NE VEUX PLUS VOUS VOIR »
« Mais ça ne va pas BIEN ma pauvre fille » dit il complètement sorti de ses gonds.
Il se lève rapidement, met son pantalon et se rapproche d’elle
« Vous allez vous calmer tout de suite !! et arrêter d’être stupide
« STUPIDE !!! » Elle lui lance le vase posé sur son bureau, ce dernier frôle la tête du Roi.
« Mais vous êtes complètement malade, faut vraiment vous faire soigner dans cette famille à tout me balancer à la gueule. JE SUIS VOTRE ROI !! »
« ROI DES CONS !! » Elle serra fort ses poings et se mit à trembler de tout son corps « Sortez de ma chambre, je ne veux plus vous voir » Arthur avait ouvert la bouche pour intervenir mais elle dit en larmes « NON, non ne dites rien là maintenant, tout de suite je veux plus vous voir, si vous partez pas je HURLE »
Elle éclata en sanglot, Arthur n’eut pas d’autre choix que de partir, il sentait bien que s’il restait elle pourrait se faire du mal. Avant de sortir, la poignée de la porte dans la main.
« Je m’en vais mais cette conversation est loin d’être fini vous vous plantez complètement Guenièvre, calmez vous on reparlera plus tard.
Après avoir fermé la porte, il posa sa tête contre cette dernière se demandant comment il avait pu passer du moment le plus merveilleux de sa vie à cette scène. Le cœur lourd il se dirigea vers le salon où se trouvait l’enchanteur assis dans un fauteuil devant la cheminée, ce dernier fit signe au Roi de s’asseoir dans le siège à côté de lui.
« Ce qui est bien avec vous c’est que l’on ne s’ennuie pas, quelle soirée pleine de rebondissement faudra quand même m'expliquer comment vous êtes arrivé à vous débrouiller pour la faire crier, disons de deux façon différentes cette nuit, très fort quand même, je suis impressionné, en tout cas dans les deux cas on vous a entendu à des kilomètres à la ronde »
L’enchanteur fit mine d’applaudir pour accompagner ses paroles pourtant le Roi ne réagit pas, alors il enchaîna.
« Non mais vraiment très fort !! En revanche j’aimerais bien savoir pourquoi elle criait, qu’est ce que vous lui avait fait, …. enfin sur la deuxième partie, sur la première nous avons TOUS bien comprit ce que vous lui faisiez !!! « 
« Arrêtez d’être aussi insolent, je ne me répéterais plus, je suis votre Roi, vous me devez le respect !! »
« D’accord Sire, ne nous énervons pas, dites-moi je peux peut-être vous aider »
« Je ne la comprend pas, elle est complètement folle !!! »
L’enchanteur lui lança regard noir
« Ah ben si , ne me regardez pas comme ça, là il lui manque une case !!! On était bien, même très bien, tout avait été parfait, bien au-delà du parfait d’ailleurs, pourquoi je vous raconte ça moi d’abord je deviens aussi fou qu’elle »
« Vous me racontez cela car je suis le seul à pouvoir vous aider à la comprendre »
« Vous la connaissez tant que ça ! Vous passez dix jours avec elle et ça y est vous la connaissez par cœur »
« Disons que j’ai comprit son fonctionnement certes je vous le conçoit particulièrement pas simple mais oui je peux dire que je la connais bien » « Elle a peur des oiseaux pour une raison un peu absurde mais je pense que c’est plus profond peut être une peur de l’enfance refoulé, elle a peur des orages car on lui a raconté que des conneries dans sa jeunesse, elle adore la pâte d’amande, elle aime la musique, elle aime l’art mais c’est toujours intéressé à des trucs qu’elle ne comprenait pas pour vous faire plaisir, elle adore les bébés chien afin les chiots pour des raisons bizarre. C’est une femme candide à qui on n’a rien expliqué mais qui a un tempérament de feu, si on prend le temps de lui expliquer les choses, elle devient pertinente dans ses réflexions. Elle s’ennuie dans sa vie au château, elle n’a pas d’amis à part vos maîtresses mais soit dit en passant vous ne trouvez pas sa glauque que ses seules amies soient les femmes avec qui vous la trompait. J’imagine bien leurs conversations, Ah ben le Roi il m’a fait ça hier soir… Elle devait adoré et puis ce n’est pas humiliant pour deux sous ..Ah j’allais oublié il y a aussi le seigneur Lancelot, son confident qui a quitté le château car il n’est plus d’accord avec vos « méthodes » …Bon il est aussi amoureux de votre femme mais on va passer le sujet. Et surtout elle n’aime que vous ne me demandez pas pourquoi mais elle vous met sur un piédestal, c’est d’ailleurs un peu flippant qu’elle aime même autant vos défauts »
Le Roi sourit aux dernières paroles de l’enchanteur mais il fut surpris qu’il la connaisse autant.
« D’accord !! j’ai compris, donc on venait de passer un bon moment » l’enchanteur sourit aux paroles du Roi « Bon ça va !! alors heu …après tout allait bien mais d’un coup elle devenu complètement folle et elle m’a foutu dehors !! »
« Non mais qu’est-ce que vous lui avez dit ! »
« Mais rien de particulier, je plaisantais sur le fait que son père ne pourrait plus annuler notre mariage ! »
« Ah voilà tout s’explique !! Elle a cru que vous l’avez fait exprès pour faire chier son père »
« Mais non !! Vous êtes aussi tordu qu’elle ça rien avoir si on … enfin j’ai pas fait ça pour quoi ce soit d’autre que pour ..enfin vous voyez bien, j’avais envie d’elle non mais c’est fou ça que je sois obligé de me justifier »
« Non mais vous n’avez pas à vous justifier mais comme votre femme est si peu sure d’elle qu’elle n’a pas pût imaginez que vous aviez vraiment envie d’elle, du coup elle a sauté sur la première conclusion foireuse. »
« Non mais c’est n’importe quoi !! Je n’ai rien fait pour qu’elle puisse douter de mes sentiments et de mon désir ce soir »
« Vous venez de répondre à votre question, vous n’avez rien fait ce soir par contre avant penser vous que vous n’avez rien fait »
« Non enfin si peut être, …je vais ramer c’est ça ? »
« Oh oui , et il va falloir vous accrocher mais bon allons-nous coucher demain il fera jour, je vais vous aider »
Sur ces dernières paroles les deux hommes se levèrent pour aller se coucher, cette nuit ni le Roi ni la Reine ne trouvèrent le repos.
Le jour venait à peine de se lever et dans la forêt sur les terres du seigneur Dagonet, le chevalier errant restait contemplatif devant son feu de camp, ses pensées était toute tourné vers sa bien-aimée, elle lui manquait terriblement, souvent il rêvait d’elle, de sa beauté, de son sourire, de sa posture royale pourtant la colère lui venait souvent en pensant au Roi comment une femme aussi parfaite pouvait elle supporter un tel incapable. Un bruit dans les buissons réveilla ses sens et le sorti de sa contemplation, qui se permettait encore de le déranger et surtout à cette heure-ci, quel choc pour le chevalier quand il vit la femme maintenant devant lui.
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valeriehervo · 4 years
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Vivre dans l'angoisse perpétuelle de la rupture ne consolide pas le relation amoureuse, bien au contraire. La peur de l'abandon parasite et surtout paralyse le couple, dont l'histoire n'avance plus. Entre peur de la solitude, du rejet ou l'incapacité de certains et certaines à croire au bonheur, cette peur est souvent le déclencheurs de disputes ou de jalousie, parfois maladive.
Des femmes, concernées par ce malêtre constant, ont accepté de raconter leur histoire.
Trop beau pour être vrai
C'est par exemple le cas d'Anna, 34 ans, pour qui l'amour n'a jamais été un long fleuve tranquille. "J’ai longtemps ramé avec les hommes, confie-t-elle pour commencer. Chacune de mes histoires apportait son dénouement sordide et déprimant. Et moi je m’empêtrais à essayer de comprendre – parce qu’évidemment, si ça ne marchait pas c’était de ma faute… "
Mais tout a changé quand elle a rencontré Christophe. "Je l’ai vu débarquer sur son cheval blanc mais, même si la magie a tout de suite opéré, j’ai décidé de brandir mon bouclier pour guetter l’arnaque qui allait forcément arriver", continue-t-elle. Après deux ans de vie commune, la trentenaire continue de la guetter. Même après tout ce temps, elle n'arrive pas à prendre confiance. "Je m’attends toujours à recevoir un coup de couteau dans le dos. Comme si j’allais me réveiller et réaliser que cette histoire n’était qu’un rêve, parce que cette perle dans ma vie, c’est trop beau pour être vrai", craint-elle.
Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force
Pire que tout, elle a peur aussi que Christophe finisse par réaliser qu'il est trop bien pour elle. "Il a beau essayer de me rassurer, j’ai encore cet amer sentiment d’illégitimité. J’essaie de ne pas trop lui montrer combien je suis jalouse et secrètement persuadée qu’il va, un jour ou l’autre, me quitter pour une fille plus belle, plus intelligente…"
Ce manque de confiance en soi a démarré dès la première année de leur histoire : Anna a rivalisé d'imagination pour paraître telle une femme parfaite. "Je me relevais la nuit pour me maquiller en douce et paraître belle au réveil. Je m’inventais des amis et m’éloignais d'autres personnes, pour lui. J’ai fini par craquer et demander de l’aide à un psy", confie-t-elle, aux bords des larmes.
Si le fait d'abord ses complexes était douloureux pour la jeune femme, il était urgent pour elle de comprendre d'où venait cette peur. "Aujourd’hui, malgré mes doutes qui sont toujours là, j’arrive à formuler mes envies, mes goûts, même s’ils sont parfois aux antipodes de ceux de Christophe. Me révéler m’aide à prendre confiance et à réaliser qu’il m’aime peut-être pour ce que je suis", conclut-elle, en partie apaisée.
Quitter avant d'être quittée
Mathilde, 38 ans, vit également dans la peur d'être quittée. C'est d'ailleurs pour celui que depuis son adolescence, elle a toujours fait en sorte de rompre la première. "Enfant du divorce, j’ai beaucoup souffert de voir ma mère idéaliser celui qui l’avait plaquée pour une femme qui ne lui arrivait pas à la cheville. Et je me suis fabriquée en femme volage, refusant la prison du couple et les grandes déclarations bidons. Je m’interdisais l’amour", raconte-t-elle. Jusqu’au jour où Cupidon lui a présenté Marc, face à qui et pour la première fois, elle se retrouvait sans défense.
Très vite, elle est devenue accro à cet homme, bien qu'elle était toujours terrorisée à l'idée de se laisser aller. "Cela fait plus d’un an que j’aime Marc avec passion. Et que, malgré ses paroles rassurantes, je vis dans la hantise qu’il ne mette fin à notre histoire. Qu’il ne se lasse", confie-t-elle. Alors elle vit aux aguets, à la recherche du moindre signe de lassitude. Face à toutes ses angoisses, Marc semble désarmé.
Face à la douleur qu'elle éprouve, Mathilde en vient une nouvelle fois à anticiper la rupture. De plus en plus, lors de disputes, elle lâche des "on arrête, on n’y arrive pas", qui brisent le coeur de son compagnon. "Il y a quelques semaines, pour la première fois, il m’a répondu que j’avais raison", confie-t-elle en un sanglot.
Ce jour là, Marc est parti après la dispute. Lorsque la porte s’est refermée, Mathilde a senti mon cœur s’arrêter. Ce qu'elle redoutais le plus était en train de se produire. Après plus de mille messages envoyés et deux jours de silence, les deux amants ont fini par se retrouver en se promettant de ne plus jamais se faire du mal. "Depuis, je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je sais que je dois apprendre à ne plus le contaminer par mes doutes. Ce n’est pas à lui de payer mes blessures d'enfant, ni à notre couple", conclut Mathilde encore inquiète.
De l'amour ou des preuves d'amour
Même cas de figure pour Nathalie, 44 ans, qui ne sait pas profiter du moment présent quand elle est en couple. Une intonation de voix différente, un texto qui ne répond pas à ce qu'elle attendait, une phrase pas lue de la bonne manière... Et c'est comme si l'autre était déjà parti. Cette vie de terreur empêche Nathalie d'aimer.  
"J’ai pu le vérifier il y a quelques années  : une histoire d’amour, arrivée un peu comme un cadeau. Je n'avais jamais fait entièrement confiance à cet homme, et cette fois-ic n'a pas dérogé à la règle. J’ai passé mon temps à interpréter le moindre signe, à tester son amour, à chercher des preuves d’amour, à demander la lune et… je l’ai perdu", raconte-t-elle.
On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend
Nathalie ne sait pas d'où sort cette peur viscérale de perdre l’autre. ans doute de très loin dans son inconscient. D'autant qu'elle n'est même pas liée à la personne qu’on a en face de soi, c’est comme un tic nerveux. Un truc qui vire à l’obsession et ne laisse pas de place à l’autre.
C’est tout le contraire de l’abandon, de l’écoute, de l’attention à l’autre, de la réception. Le contraire de l’amour. "Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force. On refuse le risque de perdre, et cette quête de réassurance permanente est une façon de vouloir domine l’autre", ajoute la quadragénaire.
Heureusement, avec les années, et beaucoup de réflexion, elle a découvert peu à peu le bonheur de lâcher prise, d’accepter que l’autre puisse juste passer et repartir. D'ailleurs depuis quelques mois, elle vit une jolie histoire et pour le moment, elle reste calme.
Peur de la rupture : la demande a remplacé le désir
Marie Claire  : La peur est-elle forcément liée au sentiment amoureux ?
Sophie Cadalen* : La peur traverse toujours l’amour. Par définition, s’attacher c’est risquer de perdre. On peut craindre l’abandon, la trahison, la mort. On peut aussi avoir peur de ne pas être à la hauteur et que l’autre cesse de nous aimer. Comme on peut avoir peur de ne plus aimer…
Marie Claire  : L’amour est-il possible sans la confiance ?
Sophie Cadalen : Ces femmes qui doutent tant ne sont plus dans le désir mais dans la demande. Il s’agit d’une position de repli sur soi : " Donne-moi des preuves, et après je me risquerai peut-être à t’aimer". Or il est impossible de répondre à cette demande. On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend.
Marie Claire  : Certaines sont-elles prédisposées à ces doutes ?
Sophie Cadalen : Oui, celles qui s’accrochent à une idée trop précise qu’elles ont d’elles-mêmes : mal aimées, toujours quittées ou en quête d’un amour idéalisé après avoir été adorées dans l’enfance… Elles redoutent de perdre leur schéma. Or l’amour est une remise en cause de l’image que l’on a de soi. C’est une surprise, du dérangement. L’attente obsessionnelle de preuves est une façon de contrôler. A la question : « Est-ce le bon ? », ces femmes préfèrent : « Suis-je la bonne ? » Elles sont dans une position passive. Elles oublient de s’écouter.
Marie Claire : Comment sortir du doute systématique ?
Sophie Cadalen : Il faut distinguer les histoires où le doute n’est pas infondé (l’amour de l’autre n’est pas satisfaisant) et celles où on est dans le schéma récurrent du « je ne suis pas aimable ». Dans ce cas, il faut faire un retour sur soi. Quitter la position de passivité. Et se confronter à une question essentielle : « Ai-je envie d’y être, moi, dans cette histoire ? » Se risquer à aimer c’est risquer de perdre l’autre. Il faut arriver à se réconcilier avec cette vérité et renoncer au fantasme de l’amour, cet idéal d’un lien qui comblerait tout. Et d’un autre capable de nous sauver.
La peur de l'abandon entraîne des relations amoureuses tumultueuses. Si une personne accède au libertinage avec sa ou son partenaire amoureux , pour éviter d'être quitté-e-, sa  sexualité et son couple risquent d’être en souffrance.
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feluz9 · 5 years
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Lorsqu'on demande ce qu'est l’amour, il arrive qu'on soit trop effrayé par la réponse pour l'accepter, car elle peut provoquer un bouleversement complet, rompre des liens familiaux. On peut découvrir qu'on n'aime pas sa femme, son mari ; on peut aller jusqu'à démolir l'édifice que l'on a construit autour de soi ; ne plus jamais aller au temple. Si, malgré cela, vous voulez le savoir, vous verrez que la peur n'est pas l'amour, que la jalousie n'est pas l'amour, que la possession et la domination ne sont pas l’amour, que la responsabilité et le devoir ne sont pas l'amour, que se prendre en pitié n’est pas l’amour. Si donc vous pouvez éliminer toutes ces choses, non par la force mais en les faisant disparaître à la façon dont la pluie lave la feuille chargée de la poussière de nombreuses journées, peut-être rencontrerez-vous cette étrange fleur à laquelle, toujours, les hommes aspirent. Tant que vous n‘aurez pas d’amour, non en petite dose mais en grande abondance, tant que vous n'en serez pas remplis, le monde ira vers des désastres. Vous savez, cérébralement, que l'unité de l’homme est essentielle et que l'amour est la seule voie, mais qui vous apprendra à aimer ? Est-ce qu'aucune autorité, aucune méthode, aucun système vous diront comment aimer ? Si qui que ce soit vous le dit, ce n'est pas l’amour. Pouvez-vous dire : Je m'exercerai à aimer; j'y penserai jour après jour, je m’entraînerai à être doux et charitable, je m'efforcerai de me pencher sur les autres ? Pouvez-vous vraiment me dire que vous vous disciplinerez, que vous appliquerez votre volonté à aimer ? Si vous le faisiez, l’amour s’enfuirait par la fenêtre. Par la pratique de quelque méthode ou de quelque système en vue d'acquérir de l'amour, vous pourriez devenir extraordinairement habiles ou un peu plus bienveillants, ou parvenir à un état de non-violence, mais tout cela n’aurait aucun rapport avec l’amour.
Jiddu Krishnamurti
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darkpalmor · 8 years
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18 JANVIER 2017
Programme glacial.
Démarrage pour rire (5 minutes) : des mots à expliquer. Ces mots existent réellement, ils sont dans le Grand Robert. Il s’agit d’en donner une explication, illustrée si possible par une vraie-fausse citation. On choisira l’un de ces trois mots : pétoulet, jumart, muriate.
Pétoulet, n. m., fam. ou arg. Emploi vieilli. Atténuation polie et/ou coquine de « pet ». S’emploie en s’adressant à de petits enfants pour dédramatiser une situation gênante, ou à une jeune femme qui peine à dissimuler ses problèmes de transit. V. Hugo à Juliette Drouet, 14 juin 1859 : « Tes pétoulets mignons, tes ronflements divins, Tout ton laisser-aller m’éblouit mieux que vins. »
366 réels à prise rapide (10 minutes, méthode Queneau) : 18 janvier. Fragment d'aujourd'hui raconté en recette de cuisine.
Les glaçons médicaux. Sortir par grand froid, écharpe bien enroulée autour de la bouche et du nez, respirer vite et fort. Faire condenser la respiration dans le tissu. Laisser se former de petits glaçons à l’extérieur de l’écharpe, ne pas secouer car ils sont fragiles au départ du processus. Quand la congélation a commencé, laisser couler le nez. Quand tout est bien pris en gelée, arrêter de marcher, dérouler l’écharpe et faire tomber les glaçons dans un sac isotherme. Confier le tout au laboratoire d’anatomo-pathologie et attendre un jour.
Choses vues et senties ! Écrire en couleurs (10-15) minutes. On évoquera en quelques phrases la raison d’aimer la couleur dorée.
Le doré, c’était les cheveux des filles dans mes classes, la couleur interdite, celle qu’on n’a pas le droit de toucher : la richesse à portée de main, les yeux qui piquent, l’éclat dans mes prunelles, la couleur qui chatoie dans une rangée de brunes. Le doré, c’est la trace qui reste au fond de l’assiette, ou de la casserole, après le potiron. Le doré, c’était la montre plaquée or de ma communion, que la bijoutière qualifiait dédaigneusement de « dorée à l’œuf » : j’ai mis du temps à encaisser la remarque. C’est le jaune d’œuf qu’on éclate dans la poêle, juste avant qu’il ne devienne trop dur, et qui s’étale dans le blanc laiteux. Le doré, c’est le croissant et ses miettes inévitables : on mange le blanc, le doré s’échappe, comme si la richesse se fragmentait. On n’en rattrape qu’une misère. Le doré, c’est parfois certains couchers de soleil, si les nuages y mettent un peu de bonne volonté, ces nuages qu’on voudrait photographier et qui deviennent bêtement roses ou rouges. Le doré, c’est le blé mûr avant la moisson, le blé qui bouge au vent, blond jaune doré brun clair, et le grain mûr dans la main. Le doré, c’est aussi le grain de maïs, la polenta, le bouton d’or et le pissenlit, le beurre d’été, les bagues anciennes et patinées qu’on hérite et dont on ne sait quoi faire. Le doré, c’est la couronne des rois, crayonnée sur une tête à Toto par l’enfant qui veut poursuivre son souvenir d’avoir gagné la fève. Le doré, c’est le lingot d’autrui, celui qui ne brille pas au coffre mais fait briller les yeux de la convoitise. Le doré, finalement, c’est ce qu’on n’attrape jamais facilement, c’est le désir, pas le plaisir.
Poulet de rupture (15-20 minutes) : comment rompre par procuration ? On écrira, pour le compte de quelqu’un d’autre, timide, ou empêché, la lettre de rupture qu’il voulait envoyer à son conjoint / sa conjointe / son ou sa chéri /e. Toutes les explications seront données, de façon qu’il ne subsiste aucune incertitude sur les raisons, les circonstances, les projets, etc. Cette lettre devra toutefois conserver un ton poli, et le vouvoiement s’impose presque.
Madame Durand, chère Lucie. Ne soyez pas surprise de cette lettre : il est probable que vous vous attendiez plutôt à recevoir des nouvelles de Georges, mais c’est moi qui en suis chargée. Vous ne me connaissez pas, je ne suis que son attachée parlementaire à Strasbourg, et nos chemins ne se sont pas encore croisés. Vous vivez avec lui une merveilleuse aventure, vous êtes son rayon de soleil lorsqu’il regagne ses Ardennes natales et que vous lui mitonnez la blanquette ou le pot-au-feu dominical. Sachez qu’il est extrêmement satisfait de l’éducation que vous dispensez à ses quatre enfants, du soin avec lequel vous maintenez le logis familial propre et accueillant. Mais sachez aussi que Georges est un grand timide, dont le besoin d’expression trop longtemps refoulés doit, parfois, se manifester par quelque transgression. Sa transgression du moment, c’est moi, Marilyne Gautier. Depuis deux ans déjà nous entretenons des liens extraprofessionnels, et la timidité de Geo (c’est ainsi que je l’appelle, et non Jojo comme vous-même et sa belle-famille), sa timidité, donc, l’empêche de trouver les bons mots pour vous annoncer qu’il ne reviendra pas au lit conjugal, ni à la table, ni au garage. Nous avons en effet, provisoirement, loué un charmant T3 dans la Petite France, avec possibilité d’achat et priorité à l’occupant. C’était une affaire à ne pas manquer, et vous savez comment est Geo dans ces occasions. Donc, puisque les griefs de Geo contre vous sont faibles, mais que la maison lui appartient en propre, nous avons pensé, dans la demande de divorce qui se trouve en annexe, vous demander récupération de la somme de 240.000 euros, que vos parents vous octroieront assurément en avance sur succession puisqu’ils logent chez vous, au second étage. Geo ne supporte guère leurs reproches, leur mauvaise haleine et leur appétit glouton. Ils pourront rester auprès de vous, puisque vous y êtes accoutumée. Ainsi Geo et moi pourrons acquérir ce T3 typiquement alsacien, le notaire est lui-même élu local, ce qui facilite la transaction. Voilà donc la situation. Croyez que je n’ai aucune animosité contre vous. Je vous admire beaucoup, d’ailleurs. Geo me montre très souvent de vos photographies, et je dois dire que vous avez de la classe et du charme. Mais la vie est ainsi faite, c’est le destin, c’est l’amour qui va, qui vient, qui s’en va, et cetera. Geo est amoureux de moi. Je vous souhaite donc une excellente semaine, dans l’attente de la réponse que vous voudrez bien faire passer par l’huissier qui viendra, mercredi matin, saisir quelques meubles de famille qui reviennent à Geo. Il vous avisera de la suite des formalités. Avec mes meilleurs sentiments, dans cette circonstance un peu étrange, Marilyne G. PS 1. Si j’osais, et j’ose, grosses bises ! Et venez nous voir, plus tard. On se fera un restaurant de choucroute, vous aimerez ! PS 2. Tout à fait entre nous, si jamais Geo me déçoit après notre installation dans MON appartement, je le renverrai à SON Parlement, et je vous y invite à sa place. Je suis ouverte à quantité d’expériences… PS 3. Au cas où… Je vous joins une photo de moi. Je serais bien étonnée que Geo l’ait déjà fait !
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COMMENT BLOQUER UN RIVAL EN AMOUR
Lorsque l’on est déjà en couple, découvrir que quelqu’un « a des vues » sur son (sa) partenaire n’est jamais très agréable et cela peut déstabiliser durablement le couple si l’on de détricote pas cette dangereuse situation assez rapidement. J’ai déjà vu des couples se séparer en quelques semaines à la suite de manque de dialogue et d’une situation extrêmement floue et contradictoire dans les explications des uns et des autres… dans ces cas d’incertitudes quant à la fidélité, cela aboutit généralement à rompre une harmonie amoureuse qu’il sera ensuite assez difficile de reconstruire !
La Magie Rouge va nous permettre de bloquer un rival en ciblant ses points faibles et en renvoyant ou détournant ses « assauts ». Il faut savoir que les mots sont parfois plus destructeurs que des actions, donc se positionner comme étant bien meilleur en « dialogue amoureux » (ou en riposte dialectique) peut être un atout certain. Aussi, un rituel de magie Rouge de renforcement pourra donner plus d’allant et de brio à votre personne afin de contrecarrer ce rival qui cherche à avancer ses pions !
Comme vous le voyez, en magie il existe des moyens complémentaires et efficaces afin de bloquer ou d’éloigner une rivalité amoureuse naissante ou persistante, et ceci que l’on soit déjà en couple ou en relation depuis peu.
Il ne faut jamais sous-estimer ces moyens qui donnent certes un avantage mais d’une certaine façon donnent aussi et surtout une légitimité à l’Amour déjà en place afin de le renforcer. C’est dans ce sens de l’amplification de la relation amoureuse que les Grandes lois d’Attraction privilégient ce qui existe dans un esprit de protection et de sérénité.
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jmbruyere · 6 years
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Cycle V&I - Violence et Institution / LFKs 2018-2019
Violence et Institutions
propose une exploration des liens et de la nature des liens entre la violence et les institutions humaines ; la violence et les structures, la violence des structures et la violence contre la structure, mais aussi la structuration de la violence ; dans l’histoire de l’humanité (passé), dans l’actualité du monde (présent) et ses projections (futur). Un intérêt particulier sera porté aux différences dans l’évaluation des phénomènes de violence d’une culture à une autre, d’une civilisation à l’autre. Le cycle Violence et Institutions (V&I) a été inauguré en juin 2018 avec la création d’un court prologue, L’Habitude, au Wiener Festwochen.
V&I - de quoi s’agit-il ?
Il s’agit de réfléchir et d’observer le statut, la définition (évolutive), l’usage, le contrôle, la limitation ou l’amplification de la violence, pour une variété de sociétés et d’organisations humaines dans le temps, depuis la préhistoire jusqu'à l’anticipation, et de bâtir les formes hybrides et multiples d’une représentation dramatisée ne suivant pas la flèche du temps historique mais faisant résonner entre eux des éléments qui sont disjoints, qui ne composent pas un récit chronologique. Il s’agit de dessiner “à points reliés” une pensée flottant entre deux lointains : le temps avancé et les temps reculés.
Reculés jusqu’aux confins du monde “premier” ; on y trouvera notamment la guerre rituelle et sa fonction idéale ;
avancé jusqu’aux confins des univers naturels restant seuls à conquérir, l’espace ; ainsi aller à la découverte de formes de répression et d’enfermement à venir, imaginables mais encore inconnues, qui forcément accompagneront la conquête de l’espace lorsque celle-ci s’élargira.
Entre ces deux limites extrêmes et floues que sont la nuit de la préhistoire et le brouillard de la projection, nous comptons nombre d’évocations plus précises et plus nettes, listées par périodes 
Le Moyen Âge classique :
raid, capture  et rançon ;
ordalie ;
errance chevaleresque et forêt ;
le tournoi – gagner, perdre, s’enflammer ;
l’invention de l’amour, idéal de la vie armée ;
les 5 batailles de Guillaume le Maréchal ;
moine guerrier ;
la croisade immobile de François d’Assise, chevalier empêché.
Le XVIII° et le XIX° :
invention de la nation ;
combattantes révolutionnaires et insurrectionnelles ;
être un soldat de rang de la Grande Armée ;
héroïsme et charbon, violence industrielle.
XX°, XXI° et la suite :
ordre et sédition ;
loi, déviance et répression ;
les solutions pacifiques ;
la guerre économique ;
urbanisme ;
violence contre les pauvres, l’exemple de Marseille.
Depuis l’origine de la vie animale, un certain usage et une certaine gestion de la violence guident chaque espèce ou presque sur le chemin naturel de sa préservation et de sa continuation. Pour un assez grand nombre d’entre elles(1), cet usage et sa gestion sont de forts structurants culturels. Et pour l’espèce unique qu'une révolution cognitive intervenue il y a plus de 70 000 ans a rendu à la fois incomparablement sociable et incomparablement dangereuse, nous homo sapiens, êtres de pure culture, tellement plus capables de tuer en nombre et de faire mourir en masse parce que tellement plus capables de vivre en groupe et de coopérer(2), la régulation de la violence est une nécessité si impérieuse et vitale que nous avons fait de celle-ci l’un des fondamentaux les plus puissants de notre invention la plus puissante : l'imaginaire.
Le premier monde de notre humanité est un monde pensé avec et par la guerre. Une guerre continue et sans soldat, la guerre de tous les groupes contre tous les autres(3). La forme de vie parfaite des origines est la guerre permanente. La guerre est ce que l’humanité primitive ne peut que vouloir. Vivre et faire la guerre, pour elle, se confondent, comme pour nous, être et argent, vie et capital tendent à ne former qu’une seule et même chose. La guerre jamais ne vient rompre aucune paix – la paix n’existe pas et non plus cette forme de la défaite que nous connaissons et qui pour un temps au moins suspend ou réduit l’ardeur guerrière des belligérants, qu’ils soient vaincus ou vainqueurs. La finalité de la guerre primitive  n’est pas la reddition, ni même la victoire : c’est la retraite mutuelle, par laquelle l’on dit : nous reviendrons.
Le ritualisme des tribus et des bandes qui les pousse à en revenir toujours à la guerre, ne vise aucune rupture ni transformation des équilibres anciens au profit d’un nouvel ordre par la conquête, par la tuerie ou le génocide. Il sert au contraire au maintien d’un équilibre sans âge dans un monde sans ordre, dont le prolongement réclame justement de vivre en retrait les uns des autres. C’est ce que chaque conflit vient consolider, confirmer en tant que destin : la retraite ; par la répétition inéluctable de son événement, en tant qu’elle est l’unique issue de cette guerre. Le repli, l’écart tenu avec le monde des autres sont l’enjeu de la violence que la guerre rituelle contient(4).
Sous sa forme primitive, la guerre garantit et maintient cette séparation dont les individus ont besoin pour que soit conservées à chacun sa liberté, son autonomie et à tous, leur stricte égalité. La guerre, maximisée, généralisée et ritualisée, est cette unique force centrifuge qui maintient les ensembles humains à distance les uns des autres par groupes étroits, quand tout du reste voudrait qu'ils se compénètrent, qu'ils se rapprochent et fusionnent. Car les forces centripètes en effet ne manquent pas : l'exogamie stricte ou relative, l'échange des techniques, le partage des langues, la similarité des systèmes de croyance, la croissance démographique, la curiosité… Sauf la guerre, tout pousse les bandes à faire tribu, les tribus à faire village, les villages à faire bourg et les bourgs à muter un jour en des villes. Mais il y a cette guerre permanente, portée au sublime sous sa forme rituelle, elle occupe les esprits, elle les passionne, elle règle les relations d’altérité, elle structure les cosmogonies ; cela afin de tenir complète cette complète indépendance dans laquelle chacun peut vivre par lui-même. C’est elle certainement, c’est la guerre qui, pour des millénaires, aura retardé la naissance de l’état et de la société de classes, c’est elle qui aura repoussé l’apparition d’un pouvoir déporté.
À ce stade, une question délicate peut être posée : si la guerre, rituel de violence, est le moyen par lequel la liberté se maintient le mieux, alors la paix est-elle ce par quoi la répression, le plus, progresse et s'accroît ? Ce par quoi l’égalité des individus et les libertés finalement disparaissent et peu à peu se dégradent  ? Pour répondre à cela, il faut observer plusieurs périodes de l’histoire et différents types de liens entre la violence et les institutions humaines, et comparer les temps de paix les plus notables aux temps de guerre les plus marquants. Parmi ces derniers, 3 paraissent essentiels :
Le Moyen âge classique, notamment français, parce qu’il est une période de fragmentation, de dislocation du pouvoir central, d’éclatement des territoires en une myriade de chefferies autonomes ou tendant à l’autonomie sous l'effet centrifuge de la guerre permanente. Une période marquée aussi par l’essor rapide des villes, elles-mêmes animées d’une grande volonté d’indépendance, et par l’essor de l’argent. Suivant des personnages tels que Guillaume le Maréchal, le meilleur des chevaliers, et François d’Assise, le chevalier contrarié, amoureux de Dame Pauvreté, qui concevra le christianisme en tant que “combat intérieur”, partant de sa fascination pour la courtoisie chevaleresque provençale. Nous observerons aussi les riches inventions du laboratoire social de ce temps que sont :
la jeunesse ;
la chevalerie ;
l'errance ;
l’aventure ;
l'amour ;
le tournoi ;
le jeu de rôle.
Nous verrons comment François, combattant contre lui-même avec une violence maximale, au nom de son amour pour sa domina, sa Dame Pauvreté, parvint donc, dans une redoutable guerre contre soi, à une forme de la joie, qu’il dit parfaite et que selon lui l’on ne peut atteindre qu’en récompense des victoires remportées sur l’ennemi que l’on est à soi-même.
Le XIX° et le XX° siècle, qui sont siècles :
d’insurrections et de révolutions armées ;
de guérilla et guérilla urbaine ;
de terrorisme ;
de mondialité des conflits ;
de génocides ;
de guerres de conquête et d’indépendance.
Siècles aussi, pour l’Occident, d’un cheminement vers l’émancipation féminine et l’égalité femme/homme, qui y progressent par bonds en avant, des bonds jamais mieux réalisés que par la prise d’arme des femmes, dans l’insurrection, le terrorisme ou les conflits armés. Elles sont un nombre très grand :
de Théroigne de Méricourt à Nathalie Ménigon ;
de Sofia Perovskaïa à Assata Shakur ;
de Germaine Berton à Fusako Shigenobu ;
Nathalie Le Mel ou Ulrike Meinhof ;
Emmeline Pankhurst ou Suzanna Ronconi ;
Djamila Bouazza ou Bernardine Dohrn…
Enfin, ces deux siècles sont aussi ceux de :
l’invention du nationalisme, de son épanouissement (guerres de conquête et d’invasion) et finalement de son déclin (l’État islamique) ;
batailles géantes (500 000 combattants à Leipzig en 1813) ;
la superposition de l’espace urbain et du champ de bataille ;
pertes humaines sans nom (plus de 5 400 morts par jour dans l’armée soviétique entre 1941 et 1945) ;
l’effacement de la distinction dans la guerre entre combattants et non-combattants (depuis 1914, les guerres dans le monde ont fait plus de 150 millions de morts dont 110 millions de civils) ;
déplacement de l’intensité des conflits et des pertes humaines de l’Occident, producteur industriel des moyens de tuerie de masse, vers l’Afrique, l’Amérique Latine et l’Asie, à partir de la moitié du XXe ;
l’augmentation spectaculaire du nombre des guerres civiles (de la Yougoslavie et la Somalie, jusqu’à la Syrie et l’Ukraine).
Il est remarquable que la guerre, une fois les États apparus, n’a jamais plus agi contre eux, contre leur existence. Elle les a toujours servi au contraire, du moins jusqu’à une période très récente (XXIe siècle) où elle a commencé à en détruire certains, comme l’Irak ou la Libye, et à défaire nombre des plus faibles (dans les Balkans, en Afrique, en Afghanistan…) et c’est d’ailleurs le signe que la guerre, à nouveau, est radicalement changée. Revient-elle vers sa forme originelle ou mute-t-elle en tout autre chose ? Pour le savoir, le dernier point de l’observation et de référence est :
le XXI° siècle. Au XXI° siècle, deux visions de l’hyper violence font naître deux formes opposées de la guerre :
la guerre post-héroïque (Edward Luttwak) développée par les Occidentaux appuyés sur les progrès technologiques et robotiques, dans laquelle il s’agit de créer chez un ennemi non-déclaré des dégâts très lourds mais ciblés et surtout sans risquer de son côté la moindre vie ;
la guerre menée par des groupes armés n’accordant aucune valeur à la vie humaine, à commencer par la leur (Daech).
En ce qui concerne l’observation des temps de paix et de ce que ceux-ci peuvent montrer ou non d’une perte des libertés individuelles, d’une progression des inégalités et de la répression, seront observés :
Le XIII° siècle français d’après la bataille des Bouvines, dont la victoire écrasante par le roi Philippe Auguste signera la restauration d’un État fort auquel la myriade des petits et grands pouvoirs locaux devront prêter allégeance. C’est la fin de la grande et longue période seigneuriale et c’est dans ce temps de paix et de “stabilité” durables que :
va naître et prospérer l’inquisition ;
va naître et se structurer la prison dans le droit séculier (pour les civils) autant que dans le droit canon (réglant la vie religieuse).
Le XIX° siècle :
la révolution industrielle. Il s’agit de voir comment l’exploitation et la contrainte ont progressé sous l’effet de la révolution industrielle(5) tandis qu’elle reprenait à son compte les systèmes d’héroïsation afin de mieux astreindre sa main-d’œuvre ouvrière à une vie de labeur affreuse, dangereuse et violente. C’est le cas du métier de mineur dans l’industrie houillère, pour lequel fut inventée une valeur héroïque d’ordre guerrier, un rôle de valeureux combattant des entrailles de la terre qu’un ingénieur des mines marseillais, Léon Simonin, se chargea d’inventer et promouvoir, notamment à travers une série de conférences à grand spectacle données dans les théâtres, commencée dans sa ville natale, Marseille, en 1850.
la pacification. La pacification est un terme essentiel de la sémantique coloniale. C’est la plupart du temps par l’argument de la pacification et au nom de la cessation des guerres locales et traditionnelles, que les puissances occidentales, armées en avant, se sont constituées en empires coloniaux, exerçant sur les peuples envahis une répression et une terreur maximales (notamment à travers des inventions expérimentales comme les camps de rétention et de concentration et un peu plus tard l’urbanisme et les grands ensembles d’habitation).
Le XX° siècle :
la mondialisation ; une guerre économique globale, appuyée sur la sécurisation (la paix forcée) des zones que traversent les grandes voies de circulation mondiale des produits. L’idéologie libérale prétend exactement le contraire mais, sous tout autre angle de vue que le sien, la mondialisation marchande peut nettement apparaître comme le plus grand propagateur et fixateur d’inégalité jamais établi, créatrice d’un gigantesque système de dépendance des êtres, sans lequel la circulation de la marchandise dans l’ampleur et au rythme effréné qu’imposent ses logiques économiques serait tout simplement impossible ;
la violence faite aux pauvres. L’implication de l’armée dans l’urbanisme des “territoires pacifiés” et dans la mise en place de formes d’assistance(-dépendance) sociale est connue. En France, elle n’a certainement jamais été aussi grande ailleurs qu’à Marseille. Les quartiers les plus pauvres du centre-ville à Marseille sont ceux dont la gestion a longtemps été confiée à l’armée (en tant que zone d’accueil, de contrôle et de transit des recrues coloniales, de réfugiés, d’exilés, de déportés, avec création de camps, etc.) par l’État qui en est encore le gestionnaire (gestion des systèmes d’aide sociale, politique de la Ville, urbanisme et surveillance des brigades spécialisées de terrain…), impliquant aussi l’Europe (pour Euroméditerranée) dans une gouvernance directe qui éloignent des pans entiers de la ville du pouvoir, de la responsabilité et de l’intérêt des édiles locaux et des classes dominantes, dont les besoins en main-d’œuvre se sont par ailleurs épuisés. Sous l’effet de cette scission, l’effet d’une séparation structurelle radicale de la population pauvre et des pouvoirs locaux, que l’insouciance, le mépris ou la haine pour les classes pauvres se sont installés dans l’esprit des classes dominantes. Émancipées de leurs charges et devoirs citoyens, elles se voient empêchées d’un exercice régulier des formes humaines de l’empathie, et quelquefois s’égarent aux confins de la violence symbolique.
L’anticipation. Une simple volonté d’équilibre et de liberté des moyens et des formes de création réclame qu’à un fort intérêt pour l’archéologie sociale réponde une soif aussi d’anticipation sociétale ; la science-fiction sera donc un élément de notre exploration tout aussi puissant que l’histoire.
Le projet V&I propose d’ajouter à son ensemble une vision dystopique de l’évolution de la condition humaine en se demandant quel développement et quelles conséquences  peut-on supposer aux grandes tendances d’organisation politique et sociale actuelles ?
L'immensité et la constance de l’effort de sécurisation des grandes voies de circulation globalisée des produits cité ci-dessus exercent sur le monde des pressions concentrées. Elles déclenchent en série, un peu partout dans les zones pauvres et de pouvoir politique faible, des cyclones de violence sanglante et psychologique (des dépressions), jetant ensemble sur des routes non sécurisées des dizaines de millions d'humains qui se rêvent un destin de marchandise, espérant dans cet état alors inhumain attirer sur eux, faute d'empathie, une part au moins du destin sacré de la marchandise.
Mais, l'intérêt pour l'esclavage et l’exploitation humaine ayant été dissous dans le bain acide de l'automation, la réponse apportée à ces élans sans appel, à cette mobilité sans ordre, est la répulsion ; une répulsion dont l'expression bientôt entièrement sera débarrassée des derniers effets modérateurs de la culpabilité historique qui s'épuise et qu'aucune conscience de la responsabilité contemporaine ne relaie.
Les déçus du mauvais partage fait du pillage planétaire par la mondialisation rejettent cette dernière en bloc (dans un mouvement bizarrement nommé “populiste”) et comme s'ils n'avaient pas salué autant que les autres ses premiers vaisseaux…Un fort désir de fragmentation, de séparation revient. Pour le réaliser, fera-t-on appel finalement à ce moyen d'origine qu'est la guerre de tous contre tous ? Ou sera-t-il trouvé des solutions pour que dans la chaîne des profits et des inégalités, les classes moyennes – celles aujourd’hui délaissées et déçues – puissent retrouver toute leur place et s’apaiser dans l’exploitation des plus faibles ? 
Berlin, septembre 2018
(1) Celles capables d'apprendre en imitant. (2) Tuer en groupe et tuer des groupes entiers. (3) Les alliances, quand elles existent, sont volatiles et changeantes. (4) C‘est dire que la guerre rituelle ne donne jamais libre cours à la violence : si on s’y blesse souvent - et les blessures, s'infectant facilement, pourront se révéler mortelles, mais on n'y meurt peu sur le champ, ou alors par accident. (5) Elle  a transformé aussi toutes les guerres venues après elle et de cela aussi notre développement forcément en tiendra compte.
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Les formes
Les formes des créations du cycle Violences et Institutions seront développées dans un document à part, car elles seront le résultat d’une étude de terrain spécifique pour chaque partenaire.
Le contexte, les campus SUP de SUB
Les campus SUP de SUB, qui verront le jour en 2019. Il s’agit de l’établissement à Marseille et en Seine-Saint-Denis (Bobigny, Sevran), de structures capables de combiner et de développer en interaction :
des formes et des sujets sociétaux nouveaux pour la création artistique ;
une action sociale directe de grande ampleur ;
un enseignement d’un nouveau genre pour un nouveau public et puisant tout à la fois :
dans l’œuvre ; dans les hautes ressources académiques ; dans les cultures populaires.
Les caractéristiques du premier public de la structure :
jeunes adultes des deux sexes ;
habitants des quartiers pauvres ;
« décrocheurs »,  NEET (Not in Education, Employment or Training).
En tout, des jeunes gens n’ayant pu jusque-là, pour une raison ou pour une autre, monter à bord d’aucun train social susceptible de les conduire sur la voie d’un développement personnel constant et libre, c’est-à-dire vers une vie heureuse et satisfaisante.
L’outil de ce projet porte le nom générique campus Sup de Sub, suivant le titre donné déjà à la phase expérimentale (Sup de Sub Marseille, 2014-2016).
L’enseignement et les formations y sont articulés autour de créations artistiques réalisées in situ sur les zones urbaines d’implantation des campus et en coopération avec leurs acteurs (les étudiants) et plus largement, la population.
Le campus est d’abord animé d’intentions d’enseignement et, sur le plan social et humain, il se consacre au développement personnel de ses acteurs (ses étudiants), cependant son ensemble est nettement structuré par et pour la création, qu’il sert s‘en servant. Si la création est sans fin, son partage n’est pas sans conséquences. Du point de vue de la création, le campus Sup de Sub est un terreau, une disposition unique à l’invention de formes et de fonds nouveaux permettant d’agrandir de façon avisée le champ social et humain de la représentation (en arts du spectacle, arts numériques…), et autant que possible sa puissance et son acuité. Il opère dans l’art un peu comme en photographie l’usage d’un objectif de grand angle : il augmente le champ de la vision, non seulement en largeur, mais aussi en profondeur.
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Tatouages ​​du Roi Lion et Tatouages ​​de Hakuna Matata
Lion King est un design convoité pour ceux qui sont de vrais fans de la caricature du “Roi Lion”, qui révèle des problèmes pertinents en termes d’autodétermination dans la vie, les relations entre parents et enfants et l’attitude envers la vie. Les gens apprécieront les images de personnages de dessins animés préférés; Ces tatouages ​​sembleront bons sur n’importe quelle partie du corps.
La douille de moitié inférieure est décorée avec la figure du lion, c’est probablement peu Simba, dans le modèle il y a une montagne, des feuilles vertes et des ombres sombres Simba, Timon et Pumbaa. Ce modèle peut représenter le moment où ces trois personnages se sont réunis et ont commencé à vivre une vie insouciante. Donc, cette image colorée dit sur l’importance de l’amitié dans la vie.
Rappelez-vous qui vous tatouez
Cette image d’un lion est la copie de l’image, que Rafiki a peinte dans la caricature comme le signe de la naissance d’un nouvel héritier du trône et d’une célèbre citation de Mufasa: «Souviens-toi de toi». Le fait est qu’une personne ne devrait jamais oublier ses racines, sa famille, parce qu’elle aide souvent à trouver le bon chemin. Ce grand morceau d’un tatouage aquarelle sur la manche montre le petit Simba et son père Mufasa. Évidemment, il y avait deux personnages avec un lien spirituel très fort, que même la mort ne pouvait pas rompre, donc ce tac peut indiquer un fort attachement aux parents et à la famille. La poupée est ornée d’une image d’un petit lion avec l’inscription sur la signification d’une mission humaine dans le monde et ses origines. Par conséquent, ce tatouage peut être un talisman pour la personne, puisque chaque fois qu’il fait face à un choix, il regarde le tatouage, ce qui lui rappelle sa véritable essence et le but principal dans le monde. Cette encre dopée a l’air fantastique, elle peut illustrer le moment de la caricature quand Mufasa a expliqué à Simba la différence entre la folie et l’imprudence et l’importance d’expérimenter la peur. Petit Simba coloré est représenté sur la poitrine et son père apparaît sur la demi-manche, ils se touchent avec leurs jambes. L’image entière est sur l’amitié, la compréhension et l’harmonie. La moitié inférieure de la manche est ornée d’une scène caricaturale Disney “Le Roi Lion”: une mère de Simba Sarabi baigne son fils, l’image est très belle et charmante. Cette image parle d’une relation forte entre une mère et son bébé, car ils sont les plus forts de tous ceux qui peuvent exister entre les gens.
Mufasa par Lion King Cartoon Tattoo
Ce joli tatouage de Mufasa et Simba est visible dans le dos, il a l’air très séduisant. Cette image rappelle une scène du dessin animé quand Simba a appelé son père pour connaître le lever du soleil, et quand Mufasa lui a donné sa première leçon et a parlé de la cyclicité de la vie. Ce tatouage peut exprimer une relation spirituelle du propriétaire avec les générations précédentes. Ce tatouage pompeux sur la hanche est extrêmement vibrant, il représente un lion, cette image est similaire à comment Mufasa est apparu dans le ciel étoilé de la caricature, ici le lion est enfermé dans un cadre doré et au fond il y a une citation de le dessin animé Ce tac est utilisé par une personne qui est généreuse, qui pardonne et qui résiste activement à l’injustice. Ces tatouages ​​noirs et blancs sur les pieds montrent deux personnages principaux des dessins animés: les petites Nala et Simba, les deux figures sont représentées dans des cadres estampillés. Dans le film, ils signifiaient l’amitié parfaite puisque, ensemble, ils ont traversé une voie dangereuse. Par conséquent, ce tatouage est un emblème d’une forte amitié, qui ne craint pas la distance et le temps, et permettra de surmonter tous les dangers. Cette encre vive sur le pied montre un méchant: Scar, le lion est montré avec son expression standard sur son visage: une expression dérisoire et moqueur. Dans la caricature, le lion a incarné tous les traits négatifs d’un personnage, donc ce tatouage peut indiquer qu’une personne a éradiqué des traits de caractère tels que l’envie, la petitesse, la haine cachée, l’incapacité à affronter les problèmes ouvertement. Ce tatouage sur le dos est chargé d’énergie positive, car il montre le trio de meilleurs amis: Timón, Pumba et Simba adulte, ils ont l’air heureux. Ces personnages ont popularisé une philosophie insouciante de la vie dans le dessin animé, mais ils étaient des amis fidèles, donc ce tatouage peut parler d’un homme, qui prend tous les problèmes facilement et voit toujours le positif. La personne avec ce tatouage sur la jambe est fan d’un héros négatif: Scar, cette encre dopée représente l’oncle de Simba et, au fond, il y a des ombres de lion, de phacochère et de suricate. Peut-être, cette figure peut-être sur le conflit interne entre le bien et le mal dans l’âme humaine. Ce tatouage de timbre de tramp représente l’image d’un lionceau, il semble que le lion lui-même soit un ciel étoilé ou l’univers, l’inscription en langue italienne complète l’image. Cette encre a une dénotation très symbolique, puisqu’elle dit que le propriétaire croit au destin et est conscient du fait que l’univers a un plan pour chaque personne. Un lion de couleurs: il y a une cicatrice avec une inscription “Préparez-vous” dans la demi-manche. Dans une célèbre caricature, ce lion était la personnification du mal, mais d’un autre côté, cela signifiait engagement, détermination et pensée rationnelle. Ainsi, une personne avec cette conception est un homme sûr et déterminé, qui est toujours prêt pour n’importe quel tour de destin.
Simba par Lion King Tattoo
Une belle image de Simba avec une inscription: “Vous devez laisser votre passé derrière”, qui est une astuce babouin célèbre, décore le pied. Bien que l’image soit très jolie, elle montre qu’un humain a appris à quitter le passé et à passer à autre chose L’idée de cet ornement est qu’un homme sage apprend toujours de ses erreurs et cherche à les prévenir dans le futur. Cette belle encre aquarelle est l’embellissement de la partie inférieure de la jambe, une image monochromatique d’un lion est complétée par des accents flous de tons jaunes et oranges et il y a une inscription: “Hakuna Matata”. Traduit du swahili, cette phrase dénote “sans soucis” et un petit lion indique ici une phase de la vie humaine: l’enfance, qui est la période la plus insouciante de la vie. Ce doux tatouage sur la partie inférieure de la jambe montre Mufasa et le petit Simba, qui ensemble sont enfermés dans un coeur, fait dans des couleurs roses et turquoises. Cette encre parle d’optimisme, d’une attitude positive envers la vie et de relations étroites avec les proches. Cette encre merveilleuse est utilisée par un vrai fan de dessins animés de Disney, puisque l’image montre un Roi Lion et Mickey Mouse au fond du tatouage. Probablement, ce tatouage ne supporte aucune charge sémantique et remplit une fonction purement esthétique. Ce taco aquarelle magnifique dans la demi-manche montre un roi lion et son fils, l’image elle-même est absolument incroyable. Dans ce tatouage, une devise de la vie est dessinée, de sorte que cette encre dopée exprime une nature cyclique de la vie: tout est né, meurt et renaît à nouveau. L’arrière est orné de la scène de la caricature quand Rafiki a présenté le petit Simba au Fierté, Mufasa, Sarabi, Rafiki et le petit Simba sont professionnellement faits, chaque personnage est brillant et détaillé. Peut-être que ce tatouage parle d’une renaissance de la personnalité et d’une remise en question de la vie. La demi-manche ici est ornée de l’image de Simba, elle est très jolie et charmante. Pour les peuples d’Asie, les lions étaient les signes du soleil et de la grandeur, de sorte que ce tatouage parle d’une personnalité sûre d’elle-même, qui s’est réalisée dans les sphères personnelle et professionnelle. Ce personnage de dessin animé Simba a l’air très brillant et élégant, entouré d’un pentagone sur fond bleu. Dans le bouddhisme, un lion était courageux et ferme, il a défendu le Bouddha, donc ce tatouage peut être une amulette qui porte bonheur et protège du malheur. Ce tatouage tribal montre un voyou du dessin animé “Le Roi Lion” – Scar. Scar était un personnage qui n’avait aucun sens de la fraternité, avait des valeurs instables et faisait toujours ce qu’il voulait. Peut-être qu’une personne avec cette encre est un homme cynique, et parfois il commet des actes malhonnêtes pour atteindre ses objectifs. Cette encre aquarelle sur la hanche est faite en jaune, orange et marron, voici la petite Simba et en dessous de l’image il y a une inscription: “Live in you”. Mandrel Rafiki a dit cette phrase au moment où il a rencontré Simba et lui a montré son reflet dans un lac, où il a vu son père. Donc, l’idée de ce tatouage est que les ancêtres humains vivent dans leur âme et en font partie. Le petit Simba jaune, entouré de roses rouges, est observé dans le pied. Simba est l’incarnation de l’amour pur, de la dévotion et de la fidélité, cette dénotation résonne avec le sens des roses: l’amour et l’affection. Par conséquent, cette encre dopée est utilisée par une personne avec un cœur aimant et gentil. L’image de Simba, que Rafiki a peinte sur bois lorsqu’il a appris que Simba était vivant, se trouve dans la partie inférieure de la jambe. Ce chiffre est très symbolique, car il peut correspondre à la valeur du tatouage de phénix: une personne a complètement changé sa vie et ses valeurs, il a renaître. Ce impressionnant tac au dos est fait en noir et rouge, au premier plan il y a lion matures, et peut-être la tribu arrière-plan est la photo de trois tons en cercle et une inscription: « Rappelez-vous qui vous ». Ce modèle est la force intérieure et la résolution de l’être humain. Ceci est un exemple de drogue d’un nouveau style scolaire. Cette conception montre un visage de lion, dont une partie est Mufasa et une autre partie est le visage de Scar, au sommet, il y a un cercle bleu avec des ombres d’autres caractères. Ce tatouage indique que chaque personne a deux facettes d’un personnage: un côté gentil et bon et l’aspect mauvais et égoïste. L’image de trois meilleurs amis: Simba, Pumba et Timon dans un fond coloré, qui peut représenter la jungle, orne les biceps. Le design est très positif, peut-être, énonce l’idée d’une vie heureuse et insouciante et la jouissance de chaque moment. La demi-manche est ornée d’un tatouage vibrant, qui se compose de deux parties: au sommet, il y a un lion, et au fond sont Simba, Pumbaa et Timón, il semble que Mufasa s’occupe de ces trois amis. L’idée de cette encre est que parfois une personne reçoit de l’aide du destin, et cela dépend seulement de lui comment l’utiliser. Le thème principal de la caricature: “Le Roi Lion” sont les problèmes entre les parents et les enfants, et qu’une personne commence à apprécier quelqu’un quand seulement il le perd. Cette image lumineuse montre la tête d’un lion et le petit lionceau, sous le motif principal sont la date et un nom. Par conséquent, ce tatouage peut être fait à la mémoire du parent décédé, vraisemblablement un père. Dans la caricature, le petit Simba était la personnification d’un enfant curieux et parfois espiègle au grand cœur aimant. Ici, un lion monochrome avec une couronne sur la tête et le nom sur le dos peut être le symbole d’un fils ou d’un frère bien-aimé. Ce tatouage sur la main est éblouissant, le motif original de la caricature a été transformé et le lion en violet, un petit coeur sur la poitrine et au dessus de la tête il y a une couronne jaune, le détail supplémentaire est une inscription: “Souviens toi qui c’est. ” La dénotation de cette encre dopée est que même si une personne réalise tout ce qu’il veut, il doit toujours se rappeler où il a commencé. La petite Simba joyeuse avec les lettres: “Hakuna Matata” est magnifique. Cette phrase était la devise pour Timon et son ami dans la caricature, cela signifiait qu’une attitude facile envers la vie pourrait résoudre tous les problèmes. Ainsi, le propriétaire de ce tatouage est gai, parfois puéril et frivole. Ce tatouage absolument incroyable sur la hanche illustre un moment vibrant où Simba a regardé le lac et a vu son père, il a réalisé que même si le père n’était pas physiquement avec lui, il vivait dans son cœur et Simba a réalisé qui il était, Ce fut un tournant pour lui. Ici, les couleurs sont très vives et tous ensemble créent une image frappante et ce tatouage signifie qu’un humain a compris qui il est. Cette encre tribale sur la demi-manche montre la tête d’un lion mature: Mufasa et son fils Simba, en bas il y a une date. Probablement, cette encre a été faite comme un rappel des temps passés plus heureux avec un être humain, qui n’est plus vivant. Ce joli lion dans la jambe a l’air bien. Les anciens Egyptiens considéraient que l’image d’un lion assis donnait au propriétaire harmonie et équilibre spirituel. Ici, Simba peut être le signe d’une personnalité harmonieuse et concentrée. Ce doux lion de la caricature est entouré de feuilles vertes et de petites fleurs bleues, l’encre semble impressionnante sur la partie inférieure de la jambe. Dans le film, Simba dans l’enfance était la personnification d’un enfant négligent, donc ce tac peut souligner que cette personne restera toujours un enfant indépendamment de l’âge. Un des principaux motifs du dessin animé est l’importance de la famille, alors que Mufasa enseigne à son fils comment être un dirigeant juste et dit à Simba que le pouvoir de chaque roi est comme le soleil: il se lève simplement et se met temps Ce beau tatouage sur la demi-manche représente Mufasa et Simba, le fond est bleu, la couleur de la pureté. Par conséquent, la personne avec cet ornement est un humain sage, qui connaît et accepte les lois de la vie.
Simba et Nala Tatouage
Ce tatouage Disney sur la demi-manche, qui montre l’étreinte de Simba et Nala dans le cadre floral, est très séduisant et montre peut-être qu’une personne est fan de la caricature puisqu’il y a une date: 1994, date de sortie, mais Le couple Simba et Nala est le favori, car il montre un véritable amour, qui ne peut être oublié. Ainsi, le propriétaire de ce tatouage de drogue est romantique, aimant et parfois naïf. Nala et Simba sont représentés ensemble de la manière qui ressemble à un dessin de dessin animé du petit Simba, le tatouage est vu sur la partie inférieure de la jambe. Dans ce cas, cette lionne et un lion représentent une relation parfaite, dans laquelle la femme est sage et soumise, tandis que l’homme est un prédateur fier et résistant, qui protège toujours sa famille. Pour les peuples d’Afrique, le lion était associé au pouvoir réel, à la noblesse et à la durabilité, les personnes sans défense ne pouvant utiliser l’image d’un lion. Voici Simba, qui porte une couronne sur sa tête, et en bas, il y a une phrase “pour le roi”. Par conséquent, un individu avec cette encre est le propriétaire de son propre destin, et il est un homme puissant.
Tatouage Hakuna Matata
Un motif convoité de Simba, Timon et Pumbaa au fond du soleil est au milieu de la manche. Dans la caricature, Timon et Pumbaa étaient des représentants de la philosophie «Hakuna Matata», ce qui impliquait une vie sans règles ni responsabilités. Par conséquent, une personne avec ce tatouage vit un jour sans règles et restrictions. La cuisse est ornée d’une image éclatante, illustrant une scène épique de la caricature: “Le Roi Lion”, quand Mandrill Rafiki a présenté Simba aux habitants de la vallée, à l’extrémité gauche de l’encre un ruban avec une phrase du le film est tordu. Cette image de drogue révèle l’idée d’une personnalité puissante, qui, malgré la douleur ressentie, ne perd pas de cœur et continue à construire l’avenir. Trois générations de lions sont présentées dans ce tatouage sur le bras inférieur: peut-être, un petit lion peut être un enfant de Simba, le lion au centre est Simba lui-même et son père est représenté dans des tons bleus. Évidemment, cette encre concerne la nature cyclique de la vie: la naissance est remplacée par la mort et vice versa. Ce tatouage vibrant dans la demi-manche montre deux meilleurs amis: le petit Simba et Nala, un calao. Zazu est proche d’eux au premier plan, derrière eux se trouve Mufasa, qui est montré comme un esprit dans le ciel. Cette image colorée est non seulement agréable à l’oeil, mais a également une signification profonde quand deux lions parlent d’un sens développé de la fraternité et de la responsabilité dans un homme, et Mufasa et Zazu indiquent un être humain, qui cherche des valeurs abstraites: amour, devoir d’honneur. Un magnifique tatouage de deux personnages principaux du dessin animé: Mufasa et Zazu sont au milieu du manga, dans la caricature, leur relation est l’illustration de l’égalité quel que soit leur statut social, ils étaient de vrais amis. Par conséquent, la personne avec ce tatouage croit en la coopération, l’amitié et l’amour entre les gens, indépendamment de leur race, leurs opinions politiques ou leur statut social. Le côté féminin est orné d’une silhouette impressionnante qui attire immédiatement l’attention. Deux lions: Mufasa et Scar combattent et sont représentés dynamiquement sur la flamme, leurs visages expriment la colère et la détermination. Cette encre explique l’idée d’une lutte interne constante dans l’âme humaine entre le bien et le mal. Une tête de lion dans un losange, qui est peint avec des couleurs différentes, se trouve sur la partie inférieure du bras. Ce dessin est très vivant, ce petit lionceau peut parler d’un amour illimité, fidèle et fort pour les enfants. Ce lion est associé à la faiblesse interne, la petitesse, l’égoïsme et l’incapacité d’empathie. Donc, pour un homme, cette figure est un rappel de quel genre de personne ne devrait pas être. Cette image tribale de Scar semble un peu sinistre, mais toujours belle. Beaucoup de nations supposent que le tatouage de lion dit au sujet du pouvoir, de l’autorité, de la force humaine interne et externe de sorte que cette encre puisse révéler l’idée susmentionnée. Ce chef-d’œuvre est un tatouage saisissant, qui s’étend sur tout le dos, ce qui est incroyable! Le cœur de l’image est un arbre brun avec un feuillage vert, à droite de l’arbre il y a une cicatrice, à gauche est Rafiki, qui tient vraisemblablement la fille de Simba, Kiara, au premier plan sont Simba, Pumba et Timon. , complète l’image de Mufasa, faite sous la forme d’un ciel étoilé, qui est sur l’arbre. Tous les personnages principaux de la caricature sont ici, tous ensemble parlent de la vie comme un chemin épineux, où un homme rencontre des gens bons et envieux, mais tous donnent l’expérience nécessaire. Cette belle image de Mufasa et de la petite Simba est au milieu de la manche. Cette encre est très émouvante et dans un corps féminin, cette image acquiert une valeur définie, puisqu’elle montre la femme en tant que mère, qui est dévouée à sa famille. Cette idée mentionnée est révélée dans cette encre. La hanche ici est décorée avec une image vibrante d’un lion menaçant: Scar sur un fond vert et ses hommes de main hyène. L’image de Scar ici parle de la petitesse et du mensonge d’une nature humaine, et les hyènes sont le symbole du vice, de l’hypocrisie et de l’incohérence. Par conséquent, la signification de ce tatouage est négative. Une image d’un petit lion rugissant est la décoration d’un bras inférieur. Ce lion, dans ce cas, est un symbole de courage, d’honnêteté et de bonté, et représente l’idée de la nécessité d’acquérir toutes ces qualités dès l’enfance, car les traits de caractère de base sont formés à un âge précoce. Cette figure lumineuse est dans la moitié inférieure de la manche, représente Scar, il est allongé sur une pierre et tient le crâne dans sa patte. La décision de tuer son frère dans la caricature n’était pas impulsive pour Scar, il avait nourri pendant longtemps le plan et peut-être le fratricide n’était pas facile pour lui. Ce tatouage est un choix difficile, confronté par tous au moins une fois tout au long d’une vie, il s’agit de savoir si cela vaut la peine de sacrifier l’humanité et une famille, peut-être une personne avec le tatouage une fois vu forcé de prendre cette décision. L’image de Simba dans un bouton de rose rouge est fascinante. Dans la mythologie grecque, un lion a été associé à Apollon et Fortuna, ces dieux symbolisent le pouvoir et le soleil, donc une personne avec cette encre est une excellente source de revenus et un leader efficace. Cette demi-douille est ornée d’un chef-d’œuvre, qui montre un lion majestueux – Mufasa dans le ciel, autour il y a une flamme et une brume bleue, Simba adulte regarde son père et ce tatouage illustre la scène de la caricature quand Mufasa dit Simba toujours se souvenir de qui il est. Peut-être que le propriétaire de cet tat a compris son but dans la vie et a choisi un nouveau chemin spirituel. Le pied ici est embelli avec l’image de Scar: le méchant, qui incarnait un égoïste, qui pouvait blesser consciemment une autre personne et ressentir le plaisir parce qu’il avait le pouvoir sur la vie et le bonheur de l’autre personne. Probablement, une personne avec ce tatouage continue sans remords. Cette belle image montre Mufasa et le petit Simba, derrière eux il y a deux ombres d’un gros lion et un petit, qui observent la vallée. Cette belle image rappelle la scène de la caricature, quand Mufasa a expliqué à Simba que le temps de chaque personne dans ce monde est limité, qu’une personne est née, vit et meurt, et que le cycle se répète à nouveau. Par conséquent, l’idée de la cyclicité du monde peut être tracée dans ce tatouage de la drogue. Une image colorée de Rafiki et du petit Simba. Les couleurs de l’tat sont vives et cette image semble très belle, beaucoup de gens utilisent ce design pour exprimer que leur famille est une chose primordiale pour eux dans la vie, ce tatouage illustre cette idée. La figure des hyènes, menée par Scar, est dans la partie inférieure de la jambe. Dans le christianisme, les hyènes étaient des suppôts du diable, elles étaient des charognards, et le lion représentait toujours le courage et l’intégrité, peut-être que ce tatouage montre la duplicité d’une personnalité. Ces tatouages ​​sur le bas des jambes créent ensemble une image holistique: Simba sur la jambe gauche avec un mot “Hakuna” et Timon et Pumbaa sur la jambe droite avec une inscription “Matata” composent une image complète. Ce tac montre que la devise du propriétaire dans la vie est: “Hakuna Matata”, il ne se soucie jamais de ce qu’il ne peut pas changer. Cette encre tribale, qui représente un lion de la caricature: cicatrice et deux roses sur le pied. Ce personnage de la caricature indiquait une personnalité très solitaire, qui n’avait aucun talent particulier pour se démarquer et à cause de la colère, il n’avait pas d’amis. Par conséquent, une personne qui utilise ce tac est un homme solitaire, peut-être même un misanthrope. Un impressionnant tatouage de Simba, personnage favori du dessin animé: “Le Roi Lion” avec l’inscription: “Je ne serai jamais trop vieux pour Disney” embellit le ventre. La déclaration ici est très claire: une personne est un vrai fan de dessins animés et les verra à tout âge. Ce tatouage cool sur la demi-manche représente deux lions: Mufasa et Scar, qui se battent, le tatouage est fait dans un style réaliste, on dirait qu’ils étaient vivants. Cette encre signifie que l’homme n’a pas encore trouvé l’harmonie intérieure et est en confrontation avec lui-même. Ce lion furtif d’amour de tous les dessins est au milieu de la manche. Dans la caricature, c’était un caractère négatif, mais ici cette image ne peut avoir qu’une fonction esthétique et n’a pas de sens profond. Ce couple idéal, Simba et Nala, qui est devenu le signe d’un nouveau départ et d’une renaissance, a l’air fantastique au milieu de la manche. Apparemment, une personne avec ce tatouage croit en l’amour vrai, qui conquiert tout. La partie inférieure de la jambe est ornée d’une belle image d’un père et d’un fils: Mufasa et Simba, il y a aussi des roses rouges. Ce tatouage raconte la relation merveilleuse entre les enfants et les parents, quand ils sont les meilleurs amis intimes. Dans de nombreuses cultures, un lion est un animal puissant, pour les Indiens, un lion est l’incarnation du pouvoir physique et moral et dans la culture asiatique, une lionne était le gardien de la maison familiale car dans la nature ils fournissent la nourriture avec toute la fierté. et amener les enfants Sur l’omoplate est un couple en mouvement, Simba et Nala, et cette encre est sur une relation harmonieuse. Cette image vibrante représente deux petits lionceaux: Simba et Nala dans l’enfance, qui sont représentés au fond des rochers et au coucher du soleil, les couleurs du tac sont très vives. Vraisemblablement, cette encre est sur une vraie amitié dans la vie. Dans les mythes grecs, Hercule est comparé à un lion, il utilise sa peau et est l’incarnation de la force et du courage. Ici, un lion courageux de la caricature sur la jambe est un symbole de victoire, de fierté, de noblesse et de force. Cette image aquarelle de Simba sur la hanche semble attrayante. Les gens croient que toute image d’un lion peut être un gardien de la personne qui utilise l’encre. Donc, dans ce cas, cette conception de lion peut être une mascotte chanceuse. Ce lion rugissant extrêmement mignon dans le cou est l’image d’un personnage célèbre – Simba. Ici, le lion peut indiquer que, malgré son apparente innocuité, une personne peut toujours se défendre et que cette apparence peut parfois être trompeuse. Cette image tribale de Scar dans la demi-manche semble intimidante. La cicatrice signifie l’accomplissement des buts par l’ingéniosité et la ruse. Ce tatouage peut être un talisman d’un homme, qui peut jouer les sentiments des autres pour leur propre bénéfice. Le côté du corps est orné d’un tatouage incroyable des petits Simba et Nala, qui marchent à travers la savane et semblent heureux, sous l’image il y a une inscription: “Vous n’êtes jamais seul”. Ce tatouage est utilisé par un humain, qui croit fermement à l’existence de la seconde moitié pour chaque personne, avec laquelle il ne sera jamais seul. Ce signe reconnaissable de la caricature “Le Roi Lion” est dans le pied: une image de lion est combinée avec une phrase “Hakuna Matata”, dans l’ultraviolet apparaît une bande sur le front du lionceau. Cette image dit sur le mode de vie du propriétaire: il vit heureux et ne pense pas à ces circonstances, qui ne dépendent pas de lui. Cette image ludique de Simba et Nala est dans le dos, Simba tient une queue de lionne. Cette grande encre montre que les qualités telles que la joie, la frivolité, la joie et la facilité sont inhérentes au propriétaire du tatouage. Ce tatouage touchant en forme de cœur, à l’intérieur duquel sont Simba et Nala, est le meilleur embellissement du dos. Ce tatouage de drogue dénote que dans la nature, un lion n’est rien et personne sans ses lionnes, car seulement avec son soutien, il devient le roi des bêtes. Par conséquent, le propriétaire de ce tatouage reconnaît que seulement avec le soutien et l’amour d’un être cher, un être humain peut réussir. L’image de Simba dans différentes variations peut être vue dans les pieds, l’image de gauche présente Simba pour son anniversaire, et la deuxième image est apparue après Rafiki a appris que Simba était vivant. Ce tatouage peut symboliser la même personne à différents stades de la vie, peut-être, il a complètement changé leur perception du monde et de leur vie. son tatouage vibrant est vu sur le pied, représente Nala de la caricature: “Le Roi Lion”, le motif d’une lionne est très élégant. Les tatouages ​​féminins du lion portent le sens de la sagesse familiale et de la maternité, de sorte que cette encre souligne que la femme est dédiée à sa famille. Les personnages des célèbres dessins animés Nala et Simba sont réalisés dans un style aquarelle et se situent dans des manches courtes, vraisemblablement, c’est une paire de tatouages. Nala et Simba personnifient une relation idéale, basée sur l’amour, la loyauté et la dévotion, donc avec l’aide de ces tatouages, les personnes amoureuses voulaient immortaliser leur amour. Une image frappante de Scar avec sa phrase célèbre “Je suis entouré d’idiots” est dans la partie inférieure de la jambe. Une personne avec ce tatouage veut exprimer son attitude envers le monde et sa philosophie dans la vie, il est arrogant et ne se soucie pas des gens. Cette encre aquarelle sur le côté du corps féminin montre deux images du petit Simba et l’expression “Hakuna Matata”. Cette image est celle d’une personne avec un optimisme inépuisable, qui voit toujours le mieux puisque cette phrase signifie “sans soucis”. Le côté ici est décoré d’un tatouage de drogue, fait dans les couleurs noires, jaunes et oranges. Le motif principal est deux ombres: l’une est noire, l’autre blanche, il est concevable qu’ils soient Mufasa et le petit Simba et une inscription en portugais sur la protection. Puis, peut-être, ce tatouage a été fait comme un symbole d’un parent décédé, que même sans présence physique aide une personne du ciel.
Idées de tatouage de Rafiki par Lion King
Un tatouage coloré de Rafiki, tenant la petite Simba dans ses mains sur un fond de soleil rouge, de plus, une fleur bleue avec une image de Simba, est sur la hanche féminine. Le propriétaire de cette encre est un fan de la caricature de “Le Roi Lion” et admire le sage conseil, qui sonnait dans la caricature. La moitié inférieure de la manche est ornée de visages de la caricature “Le Roi Lion”, de gauche à droite: Pumba, Simba et Timón. Ces personnages étaient les symboles d’une amitié désintéressée, de la dévotion, de la joie de vivre et de l’entraide. Par conséquent, une personne avec ce tatouage peut être un ami loyal et bon. La hanche est agrémentée d’une belle Simba tac-courageuse et d’une Nala tendre dans un cadre figuratif avec des bords de petites perles et deux gemmes rouges. Cette image est sur une famille forte et un mariage heureux, peut-être, une femme avec cette encre a trouvé son bonheur féminin. Cette douce image de Simba et Nala, qui l’embrasse sur la joue et une inscription “Pouvez-vous ressentir de l’amour ce soir?” C’est dans le dos. Cette citation de la célèbre chanson, qui est reproduite dans la caricature et qui a marqué la naissance des sentiments entre Simba et Nala. Donc, ce tatouage serré est un signe d’un amour fort. Cet adorable Simba tac est dans la demi-manche, l’encre est bleue et il y a quelques accents rouges au centre. Certaines tribus africaines utilisent le totem d’un lion dans le rituel de l’initiation d’un garçon à un homme, puisque le lion signifie courage et force. Par conséquent, ce tatouage est le symbole d’un homme puissant, courageux et noble. Une image brune de Simba avec des dates de naissance et de mort et une inscription: “Il vit en vous” est dans le pied. Cette encre est un hommage à l’être cher décédé, ce tatouage dit que la mémoire d’une personne décédée vit toujours dans le cœur d’un parent vivant. Dans les mythes africains, un lion est représenté comme le créateur et le destructeur. Ici, une image de Scar – le personnage de bande dessinée est vu dans la demi-manche, ce tatouage indique qu’un homme est à la fois un créateur de son propre destin et un potentiel destructeur, seulement qu’il choisit qui il va devenir. Ce mignon Simba avec un ruban, dans lequel il y a une phrase “Coeur de Lion”, a l’air magnifique. Dans de nombreuses cultures, un lion est un animal majestueux avec un cœur courageux, capable de se sacrifier, honnête et combattant pour la justice. Ensuite, cette encre est utilisée par une personnalité puissante avec une volonté de fer. Ces tatouages ​​de timbres montrent la figure de Simba et une inscription: “Souviens-toi de qui tu es.” Ces tatouages ​​expriment l’idée de la parenté spirituelle et le besoin de toujours se souvenir des racines.
Dessins de tatouage pour les hommes 3D
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cemotkivibre · 7 years
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Instant de solitude, 28 octobre 2016
C’est à la fois étonnant et déroutant de voir comment je ne suis plus du tout capable de profiter de mes instants de solitude.
 Je ne parle pas de la solitude dans le sens triste du mot. Je ne parle pas de ce sentiment qui nous oppresse, nous tord les boyaux, qui remplit nos journées de gris et nos cœurs de vide. 
 De toute façon, je suis persuadée qu’on peut se sentir seuls même lorsqu’on est entourés.
 Non, je parle de ces moments où par un concours de circonstances, il n’y a personne autour de moi. Que ce soit parce que mes colocs sont rentrées chez elles, ou parce que mes derniers plans se sont annulés, peut-être même que c’est juste parce que j’avais prévu de profiter un peu de me retrouver seule pour me reposer ou pour travailler.
Toute la semaine, j’accumule une liste de chose à faire et je ne trouve pas le temps pour cela. Je mets de côté et je rêve de ce moment ou enfin je pourrais prendre du temps pour moi. Pourtant, quand le moment vient, je suis perdue. Cette liste que je remplissais avec attrait, la relisant avec envie, me parait à présent vide d’intérêt. Tout ce à quoi je pense, c’est que je me retrouve seule, avec personne pour interagir.
Je cherche alors tous les moyens pour ne pas être confrontée à ce moment. Ce moment où je me retrouverais désœuvrée avec pour seule activité ma pensée qui se perd dans un paysage de souvenirs, de conspirations, d’hypothétique : « Si je n’avais pas dit ça, ce serait mieux. »
Je cherche à éviter ce moment ou ma tête m’embête à revivre chaque instant de ma journée, de ma semaine. M’accusant de ne pas avoir été à la hauteur. Et je rumine.
 Je fais partie de ce genre de personnes qui rêvent de se retrouver seuls pour se ressourcer, mais qui dès l’instant où ils perdent le contact humain commencent à déprimer, ressentir la solitude.
Je n’arrive pas à travailler car lorsque je me pose à mon bureau pour avancer mes cours, je ne pense qu’à ça. J’ai l’impression d’être seule, que personne ne m’aime, qu’il n’y a personne pour penser à moi.
Je suis dépendante de l’activité. Je suis devenue dépendante des stimulations constantes et je n’arrive plus à simplement profiter de ces rares moments bénis où je peux penser à moi. Pourtant, je sais à quel point ils sont précieux ! C’est dans ces moments qu’on peut vraiment réfléchir, se poser les bonnes questions, grandir. On pourrait en profiter pour lire des tonnes de livres, emmagasiner des tonnes de nouvelles connaissances, faire quelque chose de constructif ou simplement travailler. Et pourtant, quand je m’y retrouve confrontée, je me glisse sous mon lit pour regarder des vidéos YouTube qui ne sont en réalité qu’une perte de temps afin de ne pas avoir à penser que je suis seule.
C’est affreux de voir comment, dans ces petits instants, j’ai l’impression que je serais seule toute ma vie. Que jamais personne ne prendra plus contact avec moi, que je n’arriverais plus à mener de conversation avec quiconque et que mes liens avec les êtres humains s’étioleront de minutes en minutes.
Et pourtant, je ne suis jamais seule ! Je sais que Jésus tient les rênes de ma vie ! Il est là, à mes côtés, me regarde.
Ce ne sont que des sentiments, des émotions. C’est tout à fait subjectif. Ce n’est pas un fait réel. Il faut que je me mette cela en tête : Ce n’est pas un fait réel. C’est une interprétation faussée d’une situation tout à fait ordinaire.
 Se retrouver seule face à soi-même est quelque chose de tout à fait sain ! Cela ne veut pas dire que je suis seule et abandonnée. Cela ne veut pas dire que personne ne m’aime. Cela ne veut pas dire que personne ne tient à moi.
Ce n’est pas parce que je suis seule une journée que je serais seule toute ma vie.
 Au lieu de remplir ma tête et mon cœur de ces angoisses, je devrais juste être en mesure de prendre soin de moi, de faire ce que j’aime faire, de ne pas avoir honte d’être seule. (Dans le sens factuel du terme)
La société nous fait croire que notre valeur se mesure au nombre d’amis qu’on a. La société nous fait croire qu’on peut rompre l’enveloppe de notre être pour briser la solitude. Mais la vérité, c’est que nous ne sommes que des entités finies et non miscibles telles l’huile et l’eau. Chacun pense à lui avant de penser à l’autre. Et c’est ainsi ! On doit apprendre à prendre soin de nous-même. C’est la seule manière de ne pas être déçu des gens qui nous entourent.
 Je ne crois pas que le vrai partage existe. Chacun essaie de remplir la solitude de son cœur en créant des liens avec d’autres êtres humains.
Je ne dis pas que c’est une mauvaise chose. Au contraire je pense que les relations humaines peuvent nous apporter beaucoup de bonheur dans la vie.
Je dis juste que nous ne devrions pas en être dépendant.
Mais j’en suis dépendante.
Je veux pouvoir aimer les gens non pas parce qu’ils remplissent ma solitude, mais parce que l’amour de Jésus s’exprime à travers moi. Je veux pouvoir aimer les gens sans rien attendre en retour, juste les aimer pour donner. Je ne veux pas m’intéresser à eux pour qu’ils s’intéressent à moi. Je veux m’intéresser à eux pour leur partager un peu de cet amour que j’ai reçu.
 Et pour cela, il faut que je m’affranchisse de cette peur de la solitude.
Et pour cela, il faut que je me tourne vers mon Dieu quand ces émotions remplissent mon âme.
Je sais qu’il est là, mais parfois je ne le ressens pas. Je sais qu’il est là et qu’il attend seulement que je me tourne vers lui.
 Je veux apprendre à devenir ma meilleure amie, je veux apprendre à devenir sa meilleure amie. Qu’on puisse tous les trois former the perfect trio. Je veux me suffire à moi-même tout en étant dépendante de lui.
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