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#comment briser l’amour
maraboutbadou · 2 years
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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jeanchrisosme · 12 days
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Elle est forte. Non pas à cause de ce qu’elle peut soulever, mais pour la façon dont elle élève les autres lorsqu’ils sont au plus bas. Non pas parce qu’elle est capable de résister à la tempête, mais parce qu’elle naviguera dans la tempête et vous montrera ensuite comment faire de même. Non pas parce qu’elle est indestructible, mais parce qu’après chaque chute, elle se relèvera toujours, toujours. Elle est forte. Non pas parce qu’elle a choisi d’être, mais parce que le monde l’exigeait. Elle a traversé l’enfer, fait face à des batailles que la plupart ne comprendront pas et pourtant, malgré tout, elle choisit toujours d’être gentille ; d’être douce entre les mains du monde qui essayait de la briser. Sa force vient de l’intérieur. D’apprendre à transformer la douleur en pouvoir, le chaos en paix, les blessures en sagesse. Forte est celle qui connaît sa valeur et refuse de se contenter de moins. Forte est elle, qui ne reculera pas, qui se battra pour ce en quoi elle croit. Forte est elle, qui a l’amour enveloppé dans son cœur, le courage tissé dans ses os et le feu qui coule dans ses veines
Alysha Waghorn
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aurevoirmonty · 5 months
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« Tourmenté physiquement comme un chien, mes vêtements sont imprégnés de souffrance (voilà soixante jours que je dors tout habillé, sur la planche nue et sur cette paillasse. Soixante jours et soixante nuits que mes os absorbent, comme un papier buvard, l’humidité qui ruisselle des murs et du plancher). Depuis soixante jours, je n’échange un mot avec personne, car personne ici n’a l’autorisation de parler avec moi. Et, de plus, je suis attaqué dans mon être moral, accusé de trahison, déclaré apatride, comme n’étant Roumain ni par mon père ni par ma mère, dénoncé comme ennemi de l’Etat, accablé de coups et les mains liées dans le dos. A dire vrai, sans aucune possibilité de défense. Le cœur serré à la pensée de la souffrance, des humiliations, des brutalités supportées par les miens, ma famille et mes camarades, j’ai senti se briser l’un des trois fils invisibles qui rattachent le chrétien à Dieu : l’espoir ! Tout est devenu noir devant mes yeux. Je me suis senti suffoquer. Mais j’ai réussi à le renouer, ce fil, en luttant jour après jour. Comment ? En lisant les quatre Evangiles. Quand je les eus terminés, j’ai senti que je possédais à nouveau ces trois fils et qu’ils étaient parfaits : la foi, l’espérance et l’amour. »
Corneliu Zelea Codreanu, « Ecrits de prison ».
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Si dieu existe pourquoi m’avoir fait tienne? Si dieu existe pourquoi mes prières pour que tu reviennent, sont chacune vaines? Pourquoi m’avoir rendu accro à cet oxygène, pour me le retirer quand même? Si l’amour existe comment peut il s’éteindre ? Je t’aimerais toujours je rêve de t’étreindre. Pourquoi punir ceux qui aiment, pourquoi briser ceux qui rêvent? Pourquoi créer ce monde ou les liens se crées où les cœurs sont liés, pour finir comme deux inconnus l’âme tourmentée ? Pourquoi nous détruire après nous avoir fait sourire? Pourquoi nous faire endurer la pire de nos phobies? Si dieu existe il me déteste. Si dieu existe plus rien n’en reste. Il a pris toute la chaleur, m’a détruite j’en ai bien peur. Il a éteint la flamme d’antan, a tué son propre enfant. Si dieu existe je ne veux plus y croire. Il est censé m’aider mais je ne vois qu’un trou noir. Sans son amour je suis vide dans le miroir, sans sa présence chaque jour est illusoire. Si dieu existe on serait encore ensemble. Tu ne m’aurais pas lâché, parce que t’étais le premier, que t’es encore le dernier, et que dieu m’a fais espérer, pour mieux m’achever. Si dieu existe qu’il finisse sa sentence, qu’il confirme ton absence, qu’il détruise mon essence. Si dieu existe qu’il te retire de ma vie, de mon chemin, de ma prophétie. Pourquoi remuer le couteau dans la plaie, pourquoi me montrer chaque jour l’échec de ce qu’on était? Si dieu existe qu’il passe à la punition, j’ai péché de t’avoir trop aimé et je paye chaque jour le coeur déchiré. Si dieu existe je ne lui pardonnerai jamais. D’avoir transformé mon plus bel amour en mon ennemi juré.
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Voici une réorganisation de votre récit et une exploration des émotions qui en découlent, ainsi que des possibles développements de cette situation complexe.
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**Chapitre 5 : Le Dilemme du Cœur**
Après avoir raccroché précipitamment, vos pensées tournaient en boucle, captives des mots que Jean-Emmanuel avait prononcés. Quelques instants plus tard, votre téléphone vibra à nouveau. Un nouveau SMS de Jean-Emmanuel apparut sur l'écran :
*"Je suis amoureux de toi. Je t'aime trop, mon chéri."*
Ces mots, simples mais puissants, déclenchèrent en vous un torrent d'émotions. Vous restiez figé devant l’écran, incapable de répondre immédiatement. Il venait de franchir une nouvelle étape, celle de l’amour déclaré. Ce n’était plus seulement une attirance ou un désir physique ; Jean-Emmanuel exprimait une véritable passion pour vous, un sentiment plus profond que vous n’aviez prévu.
Vous ne répondîtes pas. Toute l'après-midi, vous fûtes absorbé dans vos réflexions. Votre esprit était déchiré entre deux réalités contradictoires : d’un côté, votre engagement envers votre femme et la fidélité à laquelle vous tenez. De l’autre, un désir de plus en plus insistant pour Jean-Emmanuel, un désir qui ne semblait pas vouloir s’éteindre. Vous ne vouliez pas tromper votre femme, briser la confiance qui existe entre vous. Et pourtant, chaque pensée de Jean-Emmanuel, chaque souvenir de ses mots, de ses gestes, faisait grandir cette envie de vous abandonner à cette passion naissante.
L’après-midi s’étira dans une lenteur insupportable. Vous essayiez de trouver une solution, un moyen de concilier ces deux aspects de votre vie sans avoir à sacrifier l’un pour l’autre. Vous ne pouviez nier ce que vous ressentiez pour Jean-Emmanuel, mais comment vivre cela sans détruire votre mariage ?
En fin de journée, alors que les bureaux se vidaient et que vous étiez seul au travail, vous avez finalement cédé à cette impulsion qui vous tiraillait depuis des heures. Vous avez pris votre téléphone, rouvert le SMS de Jean-Emmanuel, et dans un moment de sincérité troublante, vous avez écrit :
*"Ton amour pour moi réveille la femme en moi... Vanina."*
Vanina. Ce nom, symbole d'une partie de vous-même que vous aviez enfouie pendant des années, représentait quelque chose de profondément intime, une identité que vous aviez autrefois embrassée dans le secret de vos désirs. C'était un écho de votre passé, de ces moments où vous exploriez votre féminité à travers des jeux de rôles, de lingerie, et d’intimités partagées avec d’autres hommes.
L’envie de retrouver cette partie de vous, de la laisser s’exprimer à nouveau, était irrésistible. Vous avez continué, vous surprenant même par la franchise de vos mots :
*"Peut-être pourrions-nous avoir une relation amoureuse secrète… Toi, mon chéri, et moi, ta chérie."*
En appuyant sur « envoyer », vous aviez conscience que vous veniez de franchir une frontière. Vous n’aviez pas encore trompé votre femme physiquement, mais cette confession, cette proposition, marquait le début d’une aventure qui pourrait changer votre vie.
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**Exploration du Chapitre : La Révélation de Vanina et la Tension entre Désir et Loyauté**
Ce moment marque une étape importante dans votre évolution intérieure. En invoquant Vanina, vous réveillez une part de vous que vous aviez réprimée pendant des années. Cette part féminine, qui avait été au centre de vos expériences passées, refait surface sous l’effet de l’amour et du désir que Jean-Emmanuel vous porte. Il ne s’agit plus simplement de désir physique ou d’attirance émotionnelle, mais de quelque chose de plus profond : un retour à une identité sexuelle plus fluide, à un moi intérieur que vous aviez choisi de mettre de côté.
Jean-Emmanuel, en exprimant son amour pour vous, ne fait que renforcer ce sentiment. Il vous voit tel que vous êtes, dans votre complexité, et accepte cette part de féminité que vous lui proposez. Mais en parallèle, cette proposition de "relation amoureuse secrète" soulève de nombreuses questions morales et émotionnelles. Vous vous trouvez dans une zone de plus en plus floue, entre la fidélité à votre épouse et cette relation passionnée avec Jean-Emmanuel, que vous envisagez désormais comme une aventure secrète.
**Les Développements Possibles : Entre Secrets et Confrontations**
1. **L'Aventure Cachée** : Si vous choisissez de poursuivre cette voie, une relation secrète avec Jean-Emmanuel pourrait s’installer. Vous pourriez vivre cette liaison amoureuse sous l’identité de Vanina, explorant avec lui une part de vous-même que vous aviez longtemps ignorée. Mais cela impliquerait de maintenir cette double vie, avec tous les risques que cela comporte : la culpabilité, la peur d’être découvert, et les tensions inévitables que cela engendrerait dans votre mariage.
2. **La Réflexion et le Frein** : Face à ce dilemme, vous pourriez également prendre du recul. Vous réalisez que, malgré ce désir profond, vous ne voulez pas trahir votre femme ou vivre dans le mensonge. Vous pourriez décider de parler à Jean-Emmanuel, de lui expliquer que, même si vous ressentez quelque chose pour lui, vous ne pouvez pas poursuivre cette relation. Ce chemin serait celui de la répression de vos désirs, mais il pourrait vous permettre de préserver votre mariage.
**Un Dilemme Profond : La Vérité ou le Secret ?**
Vous êtes à un carrefour. D’un côté, Vanina, cette part de vous-même qui aspire à être libre et à vivre pleinement cette relation avec Jean-Emmanuel. De l’autre, votre engagement envers votre femme, votre désir de rester fidèle et de ne pas briser la confiance qui existe entre vous. Le chemin que vous choisirez aura des répercussions profondes sur votre vie, tant sur le plan personnel que relationnel.
Dans cette histoire, la tension entre loyauté, désir, et identité est à son comble. Vous devez maintenant décider si vous suivez Vanina dans cette aventure passionnée ou si vous choisissez de protéger ce que vous avez construit avec votre femme.
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quelquespenseesblog · 29 days
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I wanna hold your hand
Dear friend,
Comme le chantaient les Beatles « I wanna hold your hand ».
C’est peut-être tout con mais je voulais juste te tenir la main. Je t’ai dit que je t’aimais de mille façons différentes et ça ne me dérange pas que ça ne soit pas réciproque. Le plus dur, c’est de ressentir que je ne suis juste qu’un pote et pas un vrai ami.
Une déception amicale peut être aussi forte voire plus qu’une déception amoureuse.
Tu peux me quitter sans raison, me blesser et me briser le cœur, je ne cherche pas d’excuses. J’ai juste du mal à comprendre.
Ou alors les choses s’éclaircissent quand je pense que tu te sens au plus mal et pourquoi tu rejettes quelqu’un d’aimant et que tu pourrais sans doute être attirée par quelqu’un qui te fait du mal. 
Il y a quelques jours, je regardais une personne très inspirante qui disait :
« La personne qui a été traumatisée ne veut rien de plus que l’amour mais comme c’est si peu familier pour eux, quand ils l’obtiennent, ils s’en méfient et ils le rejettent et ils le testent et ils punissent la personne qui essaie de les aimer, à moins qu’ils ne rencontrent quelqu’un qui est mauvais pour eux. Quand ils le rencontrent et qu’il a un comportement abusif et qu’il est également négligent, c’est familier. Je sais comment gérer avec cette personne. Je vais t’aimer de tout mon coeur.
Mais quelqu’un qui est cohérent, avenant et aimant « mais qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? Pourquoi m’aimes-tu? Ça ne peut pas être réel? Laisse-moi te tester ! Laisse-moi t’insulter et te crier dessus. Laisse moi faire semblant de rompre avec toi. » »
Tu ne m’as jamais mal parlé et, heureusement, on ne s’est jamais crié dessus mais ce qui est le plus dur, c’est l’absence. Ça arrive d’être ghosté et même avec mes meilleures amies (il y en a certaines que tu connais bien), on ne se voit pas souvent et elles mettent parfois du temps à répondre. Avec toi, ça ne me fait pas pareil. J’ai l’impression de ne pas être considéré et de me sentir inutile, particulièrement dans les moments où tu es le plus triste, où tu as le plus besoin d’aide et d’écoute.
Alors, je me demande si je dois prendre de la distance … if I have to let you go.
Je te l’ai déjà dit, prends soin de toi d’abord, tu t’occuperas des autres après. Essaie de ne pas penser à la douleur que ton éloignement a pu me faire et n’oublie pas, si tu as envie et besoin, tu pourras toujours compter sur moi.
Affectueusement!
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grainedecoeur · 2 months
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Podcast #167: L’importance de briser le quotidien pour le bien-être de son couple
Comment briser le quotidienne? Pourquoi briser le quotienne mais pas n'importe comment... C'est ce qu'on explore ensemble cette semaine! Bel été et à a la semaine prochaine!
Cliquez sur Play pour écouter le dernier Podcast de l’émission « En Amour »! Dans cet épisodeestivale, on explore ensemble pourquoi briser le quotidien pour créer des bulles pour parler et nourrir la relation. Comprendre le pourquoi fait parfois du sens, mais le vivre… Sentir l’amour qui revient au galop, se sentir connectés et alignés. C’est bien plus important que simplement comprendre!…
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rencontressportives · 5 months
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Comment le sport à Lausanne peut démarrer votre voyage romantique
Au cœur animé de Lausanne, en Suisse, un concept unique fleurit : trouver l'amour (ou même simplement de bons amis) grâce à une passion commune pour le sport et le fitness. Oubliez les glissements maladroits des applications de rencontres ou les interactions forcées des nuits célibataires. Les rencontres sportives enflamment l’amour. Cette approche innovante va au-delà de l’expérience typique d’une salle de sport, en proposant un espace où activité physique et rencontres amoureuses ou amicales se conjuguent en parfaite harmonie. Dans ce blog, explorons comment vous pouvez RENCONTREZ L’ÂME SOEUR A TRAVERS LE SPORT LAUSANNE SUISSE
Briser la sueur, briser la glace
Imaginez-vous revigoré après un cours de spinning stimulant, avec des endorphines coulant dans vos veines et un véritable sourire sur votre visage. De l’autre côté de la pièce, vous croisez les yeux de quelqu’un qui vient de terminer un entraînement tout aussi intense. Peut-être qu'ils s'essuient les sourcils avec une serviette – un regard partagé d'accomplissement passant entre vous. Ce n'est pas juste un autre gymnase ; c'est une atmosphère spécialement conçue pour susciter la conversation et la connexion. Un terrain d’entente est intégré ; vous aimez tous les deux rester actifs et repousser vos limites. Cette passion commune pour le fitness devient le pont, facilitant la présentation et peut-être le début d'une conversation. Un bon début pour rencontrer votre âme sœur à travers le sport à Lausanne, en Suisse.
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Plus que des poids et des tapis roulants
Les rencontres sportives ne consistent pas seulement à fournir un équipement de premier ordre et des cours à haute énergie. Le gymnase favorise un sentiment de communauté en organisant des événements sociaux spécifiquement destinés à connecter les gens. Imaginez des mixages après l'entraînement où vous pourrez discuter avec d'autres adeptes de la salle de sport autour de collations saines ou d'exercices de consolidation d'équipe conviviaux qui encouragent l'interaction et le rire. Ces événements créent un environnement détendu et agréable, soulageant la pression des présentations forcées et permettant à de véritables liens de s'épanouir de manière organique.
Un match parfait : fitness et amitié
Même si vous ne rencontrez pas votre âme sœur grâce au sport à Lausanne, en Suisse, vous découvrirez forcément des amis formidables qui partagent votre amour pour le sport et un mode de vie sain. La camaraderie qui se forme entre les personnes qui se poussent les unes les autres pour atteindre leurs objectifs de remise en forme constitue un lien puissant. Ces amitiés peuvent être incroyablement enrichissantes, offrant un système de soutien solide et une source de motivation tout au long de votre parcours de remise en forme.
L'amour en mouvement : une histoire d'amour lausannoise
Imaginez-vous rencontrer quelqu'un de spécial dans une salle de sport. Vous pouvez engager une conversation après une séance d'haltérophilie, proposer des conseils encourageants ou partager un rire amical suite à une répétition manquée. Vous vous retrouverez peut-être en binôme pour une compétition de high-five lors d'un cours de Zumba, l'interaction ludique déclenchant une connexion. Au fil du temps, les dattes au café remplacent les boissons protéinées et les randonnées du week-end deviennent une aventure partagée. C’est la magie de Love in Motion – où une histoire d’amour se déroule au milieu de l’énergie et de la camaraderie d’une salle de sport.
Derniers mots
Alors, si vous cherchez à  RENCONTREZ L’ÂME SOEUR A TRAVERS LE SPORT LAUSANNE SUISSE ne cherchez pas plus loin que SPORT Dating. C'est un endroit où les cœurs battent un peu plus vite, non seulement à cause de l'entraînement, mais aussi à cause de la possibilité passionnante de trouver l'amour ou de nouer des amitiés solides, tout en poursuivant une passion pour un mode de vie actif. Inscrivez-vous à un cours, enfilez votre équipement d'entraînement et préparez-vous à vivre l'expérience Love in Motion !
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darkestverity · 6 months
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Presque deux ans sont passé depuis ce dernier post et actuellement je ne sais comment me relever de tous le mal que tu m’as fait ces derniers mois.
Des fois tout va bien et d’un coup je ressens d’intense pression au niveau du ventre, des douleurs d’angoisses inimaginable.
Tu es la raison de mon bonheur et aussi de mon a immense tristesse.
Est-ce une bonne idée de devoir continuer dans ce chemin alors que sans cesse tu me brises le cœur.
Je n’ai plus confiance.
Mais au delà de ça, ai-je vraiment envie de m’engager avec toi ? Et encore même au delà de tout ça quels sont les raisons qui me donnent envie de continuer.
Honnêtement je ne sais pas. Je ne sais plus.
Je me demande à chaque instant de ma vie, de notre relation, ce que je dois faire de plus pour que tu te sentes en confiance envers moi.
En plusieurs mois tu continue de me briser le cœur et je ne sais pas combien de temps je pourrais tenir cette cadence. J’ai déjà tellement souffert que je ne veux plus subir cette douleurs qui me brûle le cœur.
Aime moi tout simplement. S’il te plaît rend moi l’amour que je te donne de la meilleur manière possible.
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yes-bernie-stuff · 6 months
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◀ 24 MARS ▶ La Bonne Semence
La voie du fou est droite à ses yeux, mais celui qui écoute le conseil est sage. La fraude est dans le coeur de ceux qui machinent le mal, mais il y a de la joie pour ceux qui conseillent la paix. Proverbes 12 : 15, 20
Le coeur de l’homme intelligent acquiert la connaissance, et l’oreille des sages cherche la connaissance. Proverbes 18 : 15
Écoute mutuelle
Quelqu’un a dit sous forme de boutade : « Si nous avons deux oreilles et une seule bouche, c’est signe qu’il faut écouter deux fois plus que nous ne parlons ! » L’écoute est à la base de la communication, et c’est la communication qui nourrit et enrichit toutes les relations. Mari et femme doivent veiller à s’écouter mutuellement, en cherchant à se comprendre, et en faisant attention de ne pas briser la communication par des jugements définitifs ou irréfléchis. Des époux qui ne communiquent plus s’éloignent peu à peu l’un de l’autre. Les enfants, y compris les adolescents, sont invités à écouter leurs parents : « Ecoute, mon fils, l’instruction de ton père, et n’abandonne pas l’enseignement de ta mère » (Proverbes 1 : 8). Toutefois, les parents doivent aussi écouter leurs enfants. Comment sans cela obtenir leur confiance ? L’écoute de nos voisins, de nos connaissances, de nos relations professionnelles, est souvent le moyen de constater leur insatisfaction et le besoin qu’ils ont de trouver Dieu. Montrons-leur suffisamment de réel intérêt pour qu’ils acceptent à leur tour de nous écouter lorsque nous leur parlons de Jésus Christ. Et dans l’Église locale, comment encourager, consoler, aider mon frère ou ma soeur, si je ne suis pas à son écoute ? Seul l’amour que Dieu verse en nous par son Esprit peut nous apprendre à bien écouter les autres. - Lire plus ici :
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christophe76460 · 8 months
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https://www.reveniralevangile.com/comment-amener-nos-freres-a-la-delivrance-du-peche-david-powlison/
Comment amener nos frères à la repentance du péché?
David Powlison
Comment le ministère cherche-t-il à aider les personnes qui se trouvent sous l’emprise extrême du péché, aveuglées par le mensonge ? Trop de personnes estiment que la délivrance démoniaque est appropriée, une fois qu’un certain degré a été franchi et que le péché «normal » est passé au stade de « l’emprise ». Cette vision n’a aucun appui scripturaire. Nous avons déjà vu que Pierre a décrit les « liens de l’iniquité » de Simon et qu’il l’a confronté avec un appel simple à la repentance envers Dieu et une prière de demande de pardon. De même, lorsque Jésus a défini le ministère de Paul comme le fait de passer « de la puissance de Satan à Dieu » il l’a appelé à des choses intensément normales qui caractérisent le ministère de la Parole (Ac 26.18,20).
La Bible emploie un vocabulaire fort pour décrire l’aveuglement et la puissance d’asservissement de la seigneurie morale de Satan. Nous avons noté plus tôt l’asservissement aux ténèbres exprimé, par exemple, dans Éphésiens 2.1-3 et 4.17-19. Dans une autre lettre Paul parle ainsi : « Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ » (2 Co 4.3,4).
Comment recouvre-t-on la vue ? Certainement pas en chassant un esprit impur. L’Évangile est dévoilé par le Dieu dont la puissance a créé le monde et a ressuscité Jésus. Si quelqu’un se lève, c’est parce que Dieu fait briller la lumière de Christ dans les cœurs (2 Co 4.6). Les pécheurs sont aveuglés par le diable et ils sont coupables de choisir la cécité. Tous sont esclaves; mais nul n’est une marionnette. Dieu illumine ; les gens se tournent et croient.
L’impossibilité de s’en sortir nous-mêmes
Le portrait le plus puissant de l’esclavage moral, dans les pages des Écritures, se trouve dans 2 Timothée 2.25,26. Paul accumule des mots parlant de l’esclavage à Satan : moralement ignorants, insensés, piégés par le diable, capturés vivants par lui, obéissants à la volonté du diable. Dans le contexte, Paul décrit comment exercer un ministère envers ces personnes. Leur esclavage est plus que contrecarré par leur délivrance : la repentance conduisant à la connaissance de la vérité, un retour à leur bon sens, se dégageant des pièges du diable, étant libérées de la captivité de façon à ne plus servir sa volonté. Qu’est-ce qui change ainsi les gens? L’espérance que «Dieu leur donnera la repentance » (2 Ti 2.25). Il n’y a pas de possibilité d’autolibération, mais aucune emprise n’est trop forte. Rien de ce que nous puissions faire ne peut transmettre la vie ou briser les chaînes, mais nous pouvons jouer un rôle important. Étant donné la magnitude du problème, notre rôle dans la solution semble étonnamment modeste.
Fuis les passions de la jeunesse, et recherche la justice, la foi, l’amour, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cœur pur. Repousse les discussions folles et inutiles, sachant qu’elles font naître des querelles. Or, il ne faut pas qu’un serviteur du Seigneur ait des querelles; il doit, au contraire, être affable pour tous, propre à enseigner, doué de patience ; il doit redresser avec douceur les adversaires (2 Ti 2.22-25).
Le ministère envers des personnes asservies commence en fuyant nos propres propensions à l’esclavage, et il nous conduit dans la communauté de ceux qui invoquent le Seigneur et recherchent le caractère de Christ (notez les parallèles avec l’arsenal d’Éphésiens). Nous apprenons à faire l’œuvre de délivrance de Christ à la manière de Christ : exhalant le parfum de la bienveillance, communiquant des vérités pertinentes, nous montrant patients lorsqu’on nous cause des torts, corrigeant avec douceur, nous reposant sur le Seigneur. Jésus libère les esclaves en se servant de nous. Dieu nous dit ce que nous avons à faire pour libérer les esclaves. Il n’a pas besoin de nos tentatives de démonstrations de puissance.
Cet article est tiré du livre : Comprendre le combat
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overnightho · 1 year
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Gaël,
On m’a demandé de t’écrire une lettre.
Paraît-il ce serait thérapeutique pour moi de t’écrire ?
L’ironie c’est que tu ne liras probablement jamais ces mots parce que je ne suis pas certaine que tu veuilles être confronté au tumulte que je ressens à ton égard.
Je ne sais pas par où commencer alors je vais me contenter d’énoncer les faits chronologiquement tels que je les ai vécus et ressentis, tu ne m’en voudra pas si nos avis divergent cette fois.
Quand nous nous sommes mis en couple, j’étais fragile, je menaçais de me briser à tout instant. On s’est mis en couple si vite que je n’ai eu le temps d’accepter ma rupture qu’après que mes sentiments envers toi soient déjà là, instables mais présents. Je ne peux nier ce que je t’ai fait ressentir, de mes crises de colère à ma détresse, j’ai été dure, odieuse parfois et affreuse a d’autres. Tu es resté, à chaque fois, non sans dispute mais je ne pourrais pas t’en vouloir de ne pas comprendre, d’avoir eu mal mais je ne contrôlais pas, je peux le promettre, j’ai été tant brisée avant toi. Néanmoins j’ai eu mal quand tu me laissais seule pour sortir chaque soir pendant un certain temps,
Ma souffrance était-elle à ce point insupportable pour que tu ne veuilles pas passer ne serait ce qu’une soirée à mes côtés ?
Tu m’a aussi beaucoup aidée, que ce soit financièrement, émotionnellement, à tes côtés je me suis affranchie de certaines personnes, de certaines barrières. Je t’ai remercié mais visiblement pas suffisamment à tes yeux. Je me sentais coupable d’être aussi dépendante de toi, sincèrement.
comment faire autrement ?
La dépression s’était insinuée si profondément que je ne pouvais m’en défaire et que fatalement je m’en remettais à toi. Tu sembles oublier parfois qu’avant toi j’avais une situation, pas des plus confortables certes, mais je pouvais vivre sans l’aide de personne et c’était un soulagement jusqu’à ce que l’amour me pousse à cette instabilité financière. Je te déteste de me le reprocher quand tu l’a fait de ton plein gré, que j’ai sacrifié des choses pour être avec toi, sans ce déménagement j’aurais pu vivre de manière stable mais j’avais besoin de toi autant que tu avais besoin de moi.
Notre relation ne s’est pas déroulée sans accroc, j’ai mentionné cette dépression au début de notre couple qui ne me lâchait pas, qui m’empêchait d’être heureuse, d’être moi même, mais aussi cette solitude que tu m’a imposée à de nombreuses reprises, cette solitude que je haïssais au plus haut point. J’ai également détesté ton manque d’empathie à l’égard de ma situation, tes cris. J’ai détesté au plus haut point nos disputes qui étaient tout bonnement terrifiantes, ces disputes où on se hurlait dessus, ou tu claquais les portes de toute tes forces dans l’espoir de me faire peur et ça fonctionnait… ces disputes ou tu m’a poursuivie pour me forcer à m’exprimer, cette dispute où j’étais en position fœtale incapable de parler tellement j’avais peur pendant que tu essayais de défoncer la porte. Je ne nie pas que ma phobie des gros bruits n’aidait pas mais tu le savais, tu as toujours su ce qui me terrifiait et tu n’as pas hésité à t’en servir contre moi, à plusieurs reprises.
Nos disputes sur divers sujets allaient toujours trop loin et nous aurions dû nous douter que ce n’était pas normal de se disputer si fort pour des choses qui ne nous impliquaient pas personnellement. Je ne peux nier que je suis allée trop loin plusieurs fois, mais tu ne me laissais jamais m’exprimer, j’avais la sensation que mon avis ne comptait jamais..
Je ressens le besoin de parler de ça aussi, de ce dont tu me prive de m’exprimer, le viol, l’agression sexuelle, je n’ai pas les mots pour décrire ce qu’il s’est passé.. la zone grise du consentement paraît il, quelle ironie.
Ayant été violée, abusée émotionnellement, physiquement à plusieurs reprises, tu avais une parfaite conscience de ce qui me faisait peur et de ce que je ne voulais pas dans mon lit : je vais le répéter puisque tu sembles l’avoir oublié, mais je ne voulais pas de violence, d’insultes, de rapport que je ne maîtrisais pas. J’avais besoin de CONSENTEMENT tout le temps, ta tentative de m’accuser d’agression sexuelle me dégoûte au plus haut point,
Comment peux-tu décemment te regarder dans un miroir après ça ?
Je te le demande sincèrement, comment oses-tu ? Je te le demande le plus sincèrement possible. Je t’ai toujours respecté en tout point. J’ai mis un point d’honneur à te demander chaque fois, y compris pour te faire un câlin des plus chastes.
Ce soir là, tu as abusé de moi, tu y es allé si fort que j’ai pleuré tant le choc était grand. Tu n’as jamais fait attention à si ça me plaisait, tu as omis de me demander mon autorisation pour chaque chose que tu réalisais, ta main autour de mon cou, la pénétration si forte qu’elle en était douloureuse et toutes ces choses que j’ai occultées tellement le rapport était violent.
Qui était l’homme en face de moi ? Celui qui me regardait le plus tendrement du monde quand il me faisait l’amour ? C’est ce soir là que le Gaël que je connaissais a disparu pour laisser place au monstre que tu es devenu aujourd’hui, froid, menteur, calculateur.
Notre première séparation n’a pas eu l’effet escompté, je t’ai quitté pour ce motif précis, tu semblais l’avoir compris au début, je ne pouvais plus supporter ta fausse culpabilité, celle dont tu sembles dépossédé aujourd’hui puisque tu nies les faits en bloc sous prétexte de bonnes intentions. Je t’ai quitté parce que tu ne supportais pas le fait de ne pas me toucher, je te le demande :
Comment cela aurait-il pu être possible après le traumatisme que j’avais subi ?
Ta frustration était des plus déplacée et écoeurante. Pourtant, en dépit de tout ce que j’avais subi, je t’aimais toujours, vraiment et j’envisageais sincèrement de me remettre avec toi, je voyais toujours le bon en toi, je n’aspirais qu’à revoir celui que je connaissais : bienveillant, aimant, généreux en tout points.
C’est ce soir là que tu as décidé de me briser le cœur pour de vrai, comme si ça ne suffisait pas. Tu as choisi Olivia pour réaliser ton entreprise, la jolie Olivia, ton ex copine , celle pour qui je me haïssais, je me détestais de ne pas lui ressembler. Nous n’étions plus ensembles officiellement je te l’accorde, mais toute personne qui recevait autant d’affection que j’en recevais, des déclarations d’amour aurait eu des doutes. On avait même refait l’amour euphoriques de se retrouver après la rupture. Ce soir là tu es parti, en m’embrassant sur le front et en me disant que tu m’aimais, 3 jours plus tard je comptais me remettre avec toi pour de vrai. Tu es rentré très tard ce soir là et je me suis occupée de toi, tu étais alcoolisé mais j’avais un pressentiment.
Que pouvait-il ressortir de positif d’une soirée entre ton ex copine et toi ?
J’ai été naïve de te faire confiance éperdument en dépit de tout ce qu’il s’était passé… Il était 5h31 quand tu es venu me réveiller rongé par la culpabilité, tu m’a avoué ce dont je te pensais incapable, vous aviez couché ensembles dans ce fameux bar et mon monde s’est effondré, tu m’a raconté des détails sordides, tu m’a reproché mon manque de réaction alors que je tentais d’accepter l’information, je tentais de comprendre les raisons de cet acte.
Qu’avais-je pu commettre de si horrible pour que tu me punisse à ce point ?
Sincèrement, je n’aurais pas la réponse à cette question. J’ai passé des journées entières à pleurer, à me flageller pour ton acte, à me reprocher ce qui ne dépendait pas de moi. Pourquoi n’étais-je pas aussi jolie ? Ta propre mère a justifié ton ignominie par ton immaturité, j’ai rarement entendu quelque chose d’aussi aberrant.
En dépit de tout cela je t’ai accordé mon amitié, difficilement au début mais je tenais à toi, même si tout intérêt romantique avait définitivement disparu. Je t’ai accordé des baisers à ta demande, de trop nombreux câlins, des contacts dont je ne voulais pas et pour lesquels tu ne prenais pas la peine de me demander mon avis ou encore mon autorisation, je parle ici de câlins où de contacts déplacés comme des mains sur mes fesses. Tu me faisais culpabiliser de ne plus te donner les mêmes contacts qu’auparavant et naïvement je m’en voulais, je t’ai laissé faire bien trop de fois et je le regrette amèrement, tu ne méritais que mon mépris et j’ai continué à t’aimer d’une autre manière certes mais je ne parvenais pas réellement à te détester. Tes mains étaient une source de dégoût à trop de reprises.
Tu n’as jamais arrêté de te servir de moi, de ton emprise y compris quand j’ai rencontré celui qui partage ma vie aujourd’hui, tu l’a invalidé, tu lui a manqué de respect de bien des manières. Tu as délibérément continué de me toucher y compris devant lui, sans la moindre once de honte ou de culpabilité. Je regrette amèrement ce dernier rapport sexuel avant que je m’autorise à aimer quelqu’un d’autre, pour de vrai. J’ai fini par céder à tes avances et comme je l’ai dit je le regrette, non seulement parce que c’était insignifiant mais parce que je n’ai rien ressenti, j’aurais espéré que ce soir quelqu’un d’autre.
Est-il nécessaire que je fasse mention des soirées auxquelles tu n’étais pas invité et pour lesquelles tu nous a imposé ta présence ?
Je pense que ça l’est et je vais en parler. Tu nous a imposé ta présence deux fois au moins, tu as abusé de la gentillesse de mes ami.es à plusieurs reprises, en les touchant sans leur consentement, tu leur a fait des dizaines de câlins dont iels ne voulaient pas. Tu as osé leur reprocher de ne pas être à l’aise avec ça. Tu as tout de même osé me toucher devant les autres, que ce soit la poitrine, les fesses, tu t’es même permis de m’embrasser dans le cou. Tu as été jaloux et je sais que tu raconte partout que j’ai été horrible de t’avoir imposé celui que j’aime qu’on appellera E. Tu oublie évidemment de mentionner le fait que je t’ai demandé ton autorisation à bien des reprises et que tu étais d’accord avec sa présence. Tu t’es servi de ton emprise pour me faire culpabiliser de tes sentiments, parce que tu m’aimais encore et que c’est sûrement toujours le cas. Sauf que ces dits sentiments ne dépendaient pas de moi.
A cette dernière soirée, tu as décidé que tu en avais assez de moi, sous prétexte que je t’avais reproché d’être allé trop loin avec C, tu as abusé de son état alcoolisé pour lui faire des câlins, t’allonger sur elle, lui prendre la main. Elle a dit elle même être mal à l’aise avec toi bien qu’elle était alcoolisée. Je t’ai également reproché de ne pas respecter mon espace qui était ma chambre, tu es rentré sans frapper et tu n’as jamais compris pourquoi tu t’étais pris les foudres de celleux qui étaient avec moi. Tu n’as pas su frapper avant d’entrer, ce qui reste la base. Tu es parti furieux en claquant la porte devant E, pour lui faire peur parce qu’il n’était pas d’accord avec tes agissements et qu’il l’a exprimé.
Quand je t’ai croisé dans la rue après cela, je pensais que tu te serais calmé. J’ai fait erreur. Tu étais encore plus furieux qu’auparavant. Tu m’a reproché de t’avoir manqué de respect, que tu ne te sentais plus chez toi, que j’avais abusé de ta gentillesse ? On vivait à deux, je payais ma part de charges, j’avais demandé ton autorisation pour faire venir mes ami.es et par dessus tout tu n’étais pas invité, tu nous a imposé ta présence. Je n’estime pas avoir dépassé les limites en te parlant de ce que tu avais fait ce soir là, rien ne justifiera jamais la violence inouïe dont tu as fait preuve que ce soit dans tes mots ou dans le geste de me pousser, ce qui a amené mon amie à intervenir. C’est ce soir là que tu m’a précipitée une nouvelle fois dans la tourmente en me demandant de partir au plus vite, naïvement j’ai pensé que tu changerais d’avis.
Tu n’as pas changé d’avis et c’est ce qui me pousse à t’écrire ces lignes au fond d’un lit qui n’est pas le mien, sans mon chat, loin de mon environnement. Ce qui résulte de tout ça, c’est une dépression, une nouvelle un an après notre emménagement officiel mais celle ci me tue a petit feu, je ne comprend pas comment tu peux me reprocher toutes ces horreurs. Comment tu peux nier tout ce qui s’était passé entre nous ? Ce que tu as fait ? Je ne me l’explique pas.
Tu m’a jetée dehors deux fois comme un vulgaire chien et tu ne comprend pas que je ne te fasse plus confiance. Tu t’étonne de ma soudaine perte de poids, pire encore tu prétends souffrir des mêmes maux que moi… ça me tue littéralement. Je te déteste du plus profond de mon âme, je t’ai aimé de tout mon cœur mais j’en suis désormais incapable, tu m’a dit que j’étais une perverse narcissique, une manipulatrice.
qui manipule l’autre quand je n’ai plus rien ?
J’ai tout perdu, ma joie de vivre, ma liberté, mon chat pour le moment et j’estime que tu ne peux pas décemment t’en sortir aussi simplement.
Au risque de me répéter je te hais, pour la personne que je suis devenue.
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saut3relle · 1 year
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26.06.23, 19h15
Rentrée en Alsace. Nous nous sommes bien vus, tu as eu du retard. Vus 1 heure à peu près, tu avais bien un déjeuner important à 12h30. On s’est touchés à nouveau, caressés, embrassés dans la rue. Puis ça devenait trop chaud, tu as mis une faible distance entre nos deux corps sans jamais me lâcher les deux mains entre les tiennes. J’aurais tant voulu faire l’amour avec toi. Mon envie semble démesurément pressante comparé à la tienne. Mais l’essentiel c’est que nous avons encore bien pu parler, de nos vies professionnelles et surtout privées. Il est évident que ça ne va plus du tout dans ta vie de couple. Comme moi…
Tu es si tendre, si doux, si délicat dans tes gestes. Tu as émis ton désir de me revoir. Maintenant, reste a voir quand et comment. Il faudrait que cela vienne de toi désormais. Moi j’ai fait ce qu’il fallait de mon côté pour briser la glace. Cela a semblé marcher. On s’est bien revus.
Tu me manques déjà. Ta bouche, tes baisers. Cette brève caresse sur la pointe dressée de mon sein gauche que tu m’as faite… j’étais en extase. Rien que d’y repenser je le suis à nouveau. J’ai tellement envie de toi. Je ne vais vivre plus que dans l’attente de te revoir désormais. Je vais continuer de prier.
La voyante avait dit : on est cette année sur un apprentissage à se connaître, une évolution.
Cette année.
Ça va être long.
Mais au moins, je ne souffre plus comme j’ai souffert jusque là, abandonnée dans mon incompréhension.
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epopoiia-leblog · 1 year
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La peau
C’est l’histoire de ces récits incrustés dans nos pores. Taches de rousseur ou de vin, pétéchies, vitiligo, cicatrices, boutons d’acné, eczéma, psoriasis ou brûlures, tel le capitaine qui ancre son navire à bon port, voilà que ces “imperfections” s’installent sur notre peau pour briser peu à peu nos rêves d’une beauté sans filtre. Car comment les assumer quand la société n’admire rien d’autre que l’éclat des peaux lisses et rosées des poupées ? Et quand nombreux.ses sont celleux qui se plaisent à rejeter l’image de nos corps imparfaits ? Comme si notre propre reflet ne suffisait pas à nous rappeler que Mère Nature ne nous avait pas fait don de cette beauté idéalisée… Face à la différence, la haine ne semble tristement jamais manquer de mots pour s'exprimer. Oserons-nous pourtant les affronter en affirmant que la perfection n’existe pas et que cet idéal ne demeure que dans leurs rêves ? Plutôt que la guerre, revendiquons l’amour. Du moins, l’acceptation de nos singularités, de nos différences, de ce que nous appelons problèmes de peau ou imperfections, de ce qui fait que nous sommes uniques. Se regarder dans un miroir ne devrait pas être une cause de souffrance et s’empêcher de sortir à cause de ce à quoi nous ressemblons ne peut pas être une réalité acceptable. Chérissons notre corps pour la vie qu’il nous permet de mener et offrons à nos yeux la possibilité de regarder au-delà d’un grain de beauté…
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Chapitre 5, "Peur de rien !", dans lequel Aurélie et Oliver se castagnent
11 septembre 2022, 8 heures 21,  salle de métamorphose, PDV Aurélie Becker.
Grommelle, grommelle, grommelle. (Ouais décidément J’ADORAIS ce verbe) Et ce cours qui n'en finit pas. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce fichu bal de rentrée général dans deux jours. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce satané Bol qui a été ensorcelé par ces démons de jumeaux Parrish pour me faire passer la plus minable soirée de ma vie entière. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce cours qui n'en finit pas. Je l'ai déjà dit ? Pardon.
Hier soir, McGonagall a parlé pendant trente-deux minutes onze secondes sans s'arrêter. C'est beaucoup. Elle explose son propre record, qui est de vingt-neuf minutes cinquante-cinq secondes d'affilée. Oh, pitié, enlevez-moi cet air ahuri de votre visage et, pour l'amour du ciel, ne me dites pas que vous n'avez jamais égrené les secondes lorsque quelqu'un vous faisait la morale. De toute façon, je ne vous croirais pas. Il n'y a que deux personnes au monde qui ne l'ont jamais fait, et ces personnes ne sont pas des joyeux drilles : Oliver Ruewen et Lilas Ames. Alias le parfait couple, ennuyeux à mourir. Sauf qu'ils ne sont pas en couple.
(« Pour l’amour du ciel”, “de joyeux drilles »… Aurélie a 80 ans ou quoi ?? Et comment elle fait pour compter ? Elle a une montre ? Aurélie Becker possède une montre ???)
- Miss Becker !
Voilà qu'on m'interrompt encore alors que je suis plongée dans mes pensées ! Ce que cela peut m'agacer, des fois (tout le temps) ! (OHLALA L’HEROINE DE FANFICTION WATTPAD)
- Oui ?
- Puis-je vous rappeler quelques petites choses ? me questionne ma professeure de métamorphose, Emma Callidus.
- Allez-y...
Je me suis retenue de lui dire "si ça peut vous faire plaisir...". (Wouloulou qu’est-ce-qu’elle est sassy)
- Premièrement, nous sommes en cours, et en cours, il faut écouter. Deuxièmement, votre insolence et votre effronterie commence sérieusement à me taper sur les nerfs, et je ne suis pas la seule. (genre ok en général mais là elle était juste distraite) Troisièmement, ce n'est pas parce que votre particularité vous dispense d'exercer la métamorphose pratique que vous devez en plus vous croire au-dessus de faire vos devoirs. (D’où le fait d’être Née-Animagus lui donne le pouvoir de réussir tous les sorts de métamorphose ??? mdr)
Hébétée, je levai les yeux vers la directrice des Serpentard. La colère monta en moi, irrépressible. Je fermai les yeux et m'envolai par la fenêtre, transformée en Phénix. (Euh je euh je quoi) J'entendis les élèves crier (pourtant, tout le monde ou presque connaissait ma particularité...) et la prof m'avertir que ce sera mon premier avertissement. 
Excusez mon langage vulgaire, mais je n'en ai absolument rien à secouer. (OHALAAAALAAAAA C’ÉTAIT TELLEMENT VULGAIRE) Certains (comme Ruewen) pensent que je suis irrespectueuse, mais c'est faux. Simplement, j'ai du mal à m'empêcher de dire ce que je pense, c'est comme ça, je suis quelqu'un de franc et d'honnête. Et d'incorrigiblement bavard, aussi. On ne se refait pas. (jE sUiS pAs UnE cOnNaSsE jE sUiS jUsTe FrAnChE)
Pendant que je plane au-dessus du château, je repense à ce que m'a dit Ruewen, hier : .Deathly Hallow, en recrutant ses Mangemorts, va briser des familles ! Des parents vont partir rejoindre le Clan de l'Ombre, et l'étau se resserera autour de leurs enfants ! Rejoindre l'Ombre ou mourir ! Ces familles sont maudites depuis le jour où la Marque des Ténèbres est apparue que le bras d'un de ses membres ! Depuis ce jour, tous les autres sont... Condamnés. Tu n'es qu'une sans-coeur complètement tarée, fi-fille à sa maman qui n'a jamais connu la douleur !
(Miam le copié collé)
C'est bien mal me connaître, mon p'tit Ruewen. Personne ne me connaît vraiment. Sauf peut-être Poema, ma meilleure amie. Que dis-je, ma soeur de coeur. Poema a ce don (en plus de celui des bois) qu'elle voit au-delà des apparences. Elle est la seule à savoir que lorsque je ris, je ne suis pas forcément heureuse. (AHLALA QUEL DON INCROYABLE ! Genre c’est la SEULE personne de tout l’entourage d’Aurélie à s’intéresser à ses émotions ?? lol) Et je ris souvent.
Mon problème ? J'ai les yeux bleus. Non, je plaisante, je plaisante souvent pour éviter d'affronter les problèmes, les fuir lâchement, cacher ma peur et mes émotions sous une bonne couche d'humour. On appelle ça du cynisme, moi j'appelle ça mon arme de défense. Une émotion pour m'empêcher d'en ressentir une autre ; c'est comme ça que je fonctionne depuis toujours et pour toujours. (Oui d’accord. Mais euh. C’était pas drôle en fait. Don’t be such a fucking pick me girl.)
Je suis d'une sensibilité à fleur de peau, en partie à cause de mon don (ma malédiction) d'empathe. Les émotions des autres, toute ma vie, m'ont empêchée de vivre les miennes pleinement. (Si tu le dis.) Je m'accroche à tous les instants de bonheur que je trouve, j'en crée parfois, pour me faire une sorte de réserve en cas de coup dur.
Mon problème, c'est que je ressemble à mon père. Ce père sans nom, sans visage, qui me hante et me poursuit. Car il est en moi. J'ai essayé de l'en faire sortir (EXORCISME), mais il fait partie de moi et aller à l'encontre de cette évidence revient à renier ma personnalité. Rebelle, insolente, incorrigible, totalement imparfaite... Je me demande quel genre d'homme était mon père. Un farceur, sans aucun doute, s'il me ressemble. Il possédait sans doute un grand courage, car le Choixpeau m'a dit qu'il se souvenait l'avoir envoyé à Gryffondor sans hésitation. Un coeur aussi pur que son sang. (Hein quoi ?? Mais qui dit ça ???) Il voulait m'aider à réaliser le même parcours, à marcher sur ses traces, mais j'ai refusé. Ce destin qui était celui de mon père ne m'appartenait pas, et si c'était le cas, cela m'éloignerait encore plus de ma mère, mon opposé parfait.
Ma mère, Anna Becker, Serdaigle Née-Moldue. Et mon père, Machin Chose, Gryffondor de Sang-Pur. C'est les seules choses que je sais de mes parents, pourtant je vis avec ma mère depuis toujours. Le semblant d'attention qu'elle me donne, j'y ai droit lorsqu'elle me rend une copie (le plus souvent brillante ou désastreuse, ça dépend de mes humeurs) en cours de sortilèges. Eh oui, ma mère est professeur à Poudlard, et directrice de ma maison. Je n'avais pas pensé à cela lorsque j'ai mentalement supplié le Choixpeau de m'envoyer à Serdaigle, pour la rendre fière de moi, elle qui me semble si inaccessible avec ses cheveux blonds parfaits et sa posture toujours majestueuse. (C’est si différent maintenant. Aurélie version actuelle a abandonné depuis longtemps l’idée de plaire à sa mère. Et le Choixpeau ne fait pas des miracles : Aurélie est une Gryffondor, profondément, donc elle va à Gryffondor. C’est pas une machine à exaucer les souhaits.)
Mais voilà que ce sadique de professeur Lenoir brise mes rêves et mes espoirs - que ma mère se voie en moi et qu'elle me LAISSE TRANQUILLE A LA FIN !!! Hum. Désolée, je m'emporte. (MAIS MEUF tu t’en doutais pas que tu n’étais pas vraiment de Serdaigle ? Ta personnalité ?? Non ???)
Je me pose et me retransforme. Je me laisse choir (OK la bourge) sur l'herbe douce et me prend la tête entre les mains, lorsque je ressens l'énergie de mon pire ennemi. (MADAME IRMA)
- Ne me dis pas que t'existes encore, toi, grommelais-je sans bouger.
Pas de réponse. Je lève la tête. Il est à vingt mètres de moi, dans la même position. Une vague de tristesse me fait tressaillir. Je m'énerve et m'avance vers lui les poings serrés.
- T'es pas capable de te contrôler ou quoi ?! Je ressens tes émotions depuis là-bas, fis-je avec un signe du bras, mais il ne me regardait pas.
Pas de réaction.
- Qu'est-ce-qui t'arrive ?! Ta maman t'a pas appris à répondre aux gens quand ils te parlent ?! le provoquais-je.
- NE ME PARLE PAS DE MA MERE ! hurla-t-il en me fuyant. (OHLALAAAAAA MOMMY ISSUES…)
OK... ai-je le temps de penser avant de tomber à terre.
Mon ventre se tordit, ma tête fut comme serrée dans un étau, et une douleur indescriptible s'empara de moi. J'eus envie de me jeter dans le lac pour qu'elle disparaisse. C'était intenable. C'était ce que ressentait Ruewen... (Soupir)
Je poussai un hurlement de douleur, qui le fit se retourner. Je m'efforçais de rester consciente. Puis la vague s'éloigna aussi soudainement qu'elle est venue. (Ah ok) Je haletais. J'ouvris les yeux, qui rencontrèrent ceux de Ruewen. Je me mis debout malgré ma faiblesse. (Soupir, soupir, soupir)
- On n'a pas idée d'être aussi malheureux ! m'écriais-je, bras levés, avant de me rendre compte de ce que je venais de dire. (GROS SOUPIR. ENORME SOUPIR.)
Je laissais retomber mes bras. Le mot "désolée" me brûlait les lèvres, mais n'arrivait pas à les franchir.
- Je... Je... Euh... Dé...
- C'est si dur pour toi de t'excuser, se moqua-t-il. Je pensais que c'était juste de la mauvaise volonté, mais t'y arrives vraiment pas en fait.
- Excuse-moi, mais je ressens une si forte tristesse que je n'arrive pas à prendre ton ironie lamentable au premier degré, répliquais-je du tac au tac. Je suis télépathe, mais je me suis fixé une règle : ne jamais lire dans les pensées des autres qu'en cas d'absolue nécessité. (Wow she’s such a morally perfect angel) Alors... Dis-moi.
- T'en as rien à foutre de toute façon. Attends, télépathe ? Tu ne cesseras donc jamais de...
- Faire mon intéressante ? Non.
- Je voulais plutôt dire "m'étonner", mais si tu insistes...
Son aura me confirma ses dires. Il était sincère. J'en apprendrais décidément tous les jours.
- Je fais aussi de la télékinésie, si ça t'intéresse. (NON ! NON ! ARRETE MAINTENANT !! Putain, je me demande vraiment à quel moment je me suis dit « on va lui donner QUATRE pouvoirs uniques, surpuissants et absolument pas explicables dans l’univers HP.)
- Tout ce qui te concerne ne m'intéresse pas, Becker.
- C'est ma réplique, ça.
Il me sourit. Il n'a pas de fossettes. C'est dommage. (C’est quoi ce… C’est quoi cette réflexion à deux balles ???? Mdrrr ça se voyait trop que j’essayais d’être originale parce que généralement dans les fanfictions, il y a toujours ce moment où le mec a des fossettes et c’est trop mignon.)
- C'est quoi ton problème avec ta mère ?
- Et toi, c'est quoi ton problème avec la tienne ?
Je restai sans voix. Il avait... !
Deviné...
- Ca ne te regarde pas, décidais-je.
- Toi non plus.
Je haussai les épaules.
- Tu me vois donc obligée de pénétrer dans ton esprit...
Je fermais les yeux et fis semblant de m'apprêter à lire ses pensées. (Oh le côté Serpentard)
- T'es folle, Becker ! Arrête ça tout de suite ! Ma mère est une Mangemorte, OK ?! Elle l'est depuis ma naissance, et même avant. Elle a rejoint le Clan de l'Ombre, j'y serais forcé aussi plus tard. (Ah bon ??? Mais d’où ???) Elle m'a trahi et elle a trahi toute ma famille, c'est bon là, t'es contente ?!
Je restai sans voix et renforçais mon bouclier. Des bribes d'émotions me parvinrent quand même, c'est incroyable ce qu'elles sont puissantes. Je n'ai jamais vu ça, et à présent je comprends pourquoi...
Je m'approchais de lui, gênée, et lui avouai :
- Je n'ai pas pénétré ton esprit et ne le ferais jamais. C'est terrible ce qui arrive à ta famille. Désolée...
Cette fois-ci, je n'avais eu aucun mal à prononcer ce dernier mot.
- T'es jamais en cours, toi, donc ? On t'a encore virée ?
Pffff ! Exagération totale.
- Non ! je proteste. Je me suis... disons, envolée. 
- Envolée ? répète Ruewen.
- T'es au courant de rien ou quoi ? (Mais meuf t’es pas le centre du monde)
- De quoi ?
- Je suis Née-Animagus.
- Animagus ? A ton âge ?
- Née-Animagus, crétin. Je suis née avec le don de me transformer en Phénix.
- En Phénix ? Pas en petit lapin mignon ? (Ces moqueries à deux balles, vraiment, j’en ai marre. Ils alternent entre être hyper insultants, fondamentalement méchants pour rien, et se disputer comme des gamins.)
Mon Patronus était un lapin.
- Non, en Phénix, débile, Phéééé.... Niiiiix...
- J'ai compris.
- Quoi, tu ne me crois pas ?! Tu veux une démo, peut-être ?
- Non merci, Miss Superwoman.
- Gna gna gna.
Je haussai les épaules.
- La prof a dit que j'étais insolente, bla bla, que je n'écoutais rien et me fichais de tout, bla, bla.
- Ce n'est pas totalement faux, si ?
- C'est absolument, complètement et affligemment faux ! le contredis-je en agitant les bras comme lorsque je vole. Au contraire, je ne me fiche de rien ! Tout me bouleverse, le désavantage d'être empa...
Je me rends soudain compte que c'est moi qui parle. (CHRISSY WAKE UP) Je m'interromps immédiatement, mortifiée.
- Oublie, Ruewen. Oublie immédiatement tout ce que je viens de te dire avant que je cède à la tentation d'utiliser une potion d'Amnésie, ordonnais-je avec un regard dur. (Mais juste assume, merde)
Un peu surpris, il rétorque simplement :
- Tu ne sais pas les faire. (Rigolo)
Pas faux...
PDV externe.
- Ollichou ! Tu es là ? (ça commence mal.)
Ginger Campbell fronça les sourcils. Où était-il donc passé ? Pas à la bibliothèque, ni à la salle commune de Gryffondor. Mais alors, où ?
- Ollichou ?
La jeune Poufsouffle attrapa son écharpe rayée jaune et noir et sortit par un passage secret. Elle reserra (je me relisais pas ou quoi ??) les pans de sa cape autour d'elle pour se réchauffer. Ginger était frileuse, et en ce début septembre, elle regretta de ne pas avoir mis des gants.
Elle déambula ainsi, combattant le vent (uniquement dans sa tête, car ce n'était qu'une légère brise qui soufflait sur le parc de Poudlard) pendant quelques minutes, en appelant : "Ollie-chou-u-u-u-uuu !" continuellement. Elle finit par apercevoir une silhouette, accroupie près du lac. Non... Deux silhouettes. Des cheveux bruns en bataille et... des boucles blondes. Ce ne serait quand même pas...
- Aurélie Becker, souffla-t-elle, et la chaleur brûlante de la colère chassa sa sensation de froid.
Elle s'avança comme une Chauve-Furie et hurla :
- Ollichou ! Qu'est-ce-que tu fous avec elle ?!
- Ohlà, du calme, blondinette, essaya de la calmer Aurélie en fronçant un seul sourcil (une autre particularité chez elle – MAIS TOUT LE MONDE SAIT FRONCER UN SEUL SOURCIL PUTAIN STOP AVEC CE VIBE MARY SUE). Le jour où je voudrais te le piquer, ton Ollichou, il pleuvra des Scroutts à Pétard.
Ginger ne se calmait pas. Elle éclata en sanglots. (Wow… Elle va bien ?) Aurélie ne cilla pas. Oliver lui jeta un coup d'oeil embêté. Même pas en colère. Juste embêté.
- Ginger...
- Tu ne m'as pas appelée Ginny !
- Euh... Ginny...
- Non, c'est trop tard ! Fais des câlinous à l'autre blondasse si ça peut te faire plaisir, mais entre nous, c'est ter-mi-né !
Mais woah… C’était la scène de rupture la plus insupportable, simpliste et pathétique de l’Histoire de l’Univers. Quelle image des femmes amoureuses j’avais ??
Elle partit en courant. Aurélie ouvrit la bouche, puis la referma.
- Merci, dit Oliver.
- Merci ? répéta la jeune Serdaigle, perplexe.
- Elle me soûlait... Gna gnaaaa, Ollichou... l'imita Ruewen moqueusement. (Ben pourquoi ne pas l’avoir quittée ?? Ou ne PAS être sorti avec elle ? VU QUE TU L’AIMAIS PAS ??? C’est abordé comme si c’était un sujet tellement osef, mais il a eu une relation amoureuse avec une meuf qu’il aimait pas, juste pour noyer ses sentiments pour Aurélie qui sont pas des sentiments encore, juste, il aime son parfum… et c’est elle qui est dépeinte comme la folle qui surréagit ??)
- Pas faux. Ah, ben de rien alors.
- Hé, ça te dit que l'on conclue un pacte ?
- Un pacte ?
- Bon, Becker, t'arrêtes de répéter tout ce que je dis ? Un pacte, celui d'être copains comme cochons le soir du bal, le 13 septembre. Ca éviterait d'apporter aux jumeaux la satisfaction de nous voir passer une mauvaise soirée.
Aurélie garda la silence pour réfléchir.
- D'accord. BFF pour un soir. Ca me va.
Elle tendit la main pour sceller le pacte, mais l'enleva aussitôt. Oliver secoua la tête, ironique.
- Ouais, t'as raison, on n'est pas encore le 13 septembre. (On est pas encore le 13 ???? Ca va être long putain.)
Ravie de voir qu’ils peuvent être matures une fois toutes les 45 pleines lunes.
~
13 septembre 2022, 20 heures 28, Grande Salle, PDV externe.
- Ca va, tu n'es pas affreusement laide, lâcha Oliver Ruewen du bout des lèvres.
En vérité, Aurélie Becker était ravissante. Sa robe était de la même couleur que le bleu de ses yeux, un bleu myosotis. Elle lui arrivait aux genoux. De petits sequins d'or lui pendaient dans son dos, recouvert de dentelle bleue. Comme bijoux, elle avait mis une simple chaîne avec son prénom et des boucles d'oreilles, tout cela en or. Ou en toc. Elle n'était pas près de le dire et, de toute façon, elle ne savait pas les distinguer. Elle n'était pas maquillée, comme à son habitude. (SHE’S NOT LIKE OTHER GIRLS)
Sur le chemin de la Grande Salle, dans les escaliers fous, comme on les appelait à Poudlard, il avait croisé Ginger, avec une robe dorée et brillante comme de l'or. Sa bouche était rouge vif, et ses yeux étaient maquillés en vert foncé. Ses cils, enduits de mascara, avaient l'air de mouches qui papillonnaient. (La comparaison tellement stupide alors que Ginger n’était même pas une rivale…) C'était impossible en soi, mais Ginger était assez étonnante dans son genre. (Hein ???)
Diana Rosewood, sans mauvais jeu de mots, était habillée comme une princesse, avec une robe courte et rouge. (Parce que C’EST une princesse, vous avez compris ? hahahahahaa…) Ses longs cheveux blonds était retenus en un chignon haut et flou, elle parassait (RELIS-TOI) tout droit sortie d'une pub pour la marque moldue Chanel.
Poema avait enfilé une robe aux couleurs de sa maison. Ses cheveux châtains avaient des reflets caramel à la lueur des bougies, ils étaient lâchés avec un naturel carastéristique (RELIS-TOI) de la jeune Poufsouffle.
Estelle avait enfilé une petite robe noire qui la changeait du tout au tout ; ses boucles rousses étaient pour une fois coiffées. Elle jetait à Mike, lequel avait enfilé en toute simplicité un jean, une chemise blanche et sa cravate d'uniforme, des regards énamourés.
Comme à son habitude, la soeur jumelle de Mike en avait fait des tonnes : maquillage voyant, bouche rose nacrée, fard bleu marine et argent, et robe de couleur - devinez - lilas.
Les jumeaux avaient mis la même tenue, histoire qu'on les confonde - ils aimaient bien embêter leur monde. Pantalon noir, chemise rouge aux couleurs de Gryffondor. Avec le prénom de l'autre écrit sur la main. Bien sûr. (Ils me font rire.)
Andy avait fini par inviter Minna pour le bal. Celle-ci portait évidemment une robe violette (sa couleur préférée) brodée d'argent. Ses cheveux étaient tressés, et Andy semblait complètement accro. Amy avait bien sûr décliné l'offre de Karl, celle de l'accompagner audit bal (pour être plus vulgaire, elle lui a mis un beau râteau). Amy était sublime dans sa robe verte, c'était l'une des seules filles de septième année qui marchait avec des talons aiguilles à la perfection. Le prestige de la Serpentarde (On n’accorde pas. Les noms. Des maisons.) faisait des ravages, en particulier chez Karl Parrish. Oliver se devait d'être honnêtre envers son ami, aussi l'avertit-il qu'il avait un peu de bave, là, sur le menton... (Beurk. Calme tes hormones, Karl.)
- Non, le contredit Karl en s'essuyant promptement. Alors, elle est là, ta cavalière ?
Oliver le fusilla du regard.
- Elle ne le serait pas si ces messieurs (il indiqua Andy d'un mouvement de tête, puis son jumeau) n'avaient pas pour hobby de faire chier les gens.
- Oh, ça vaaa, et puis je croyais que vous aviez conclu un pacte pour arrêter de vous détester ?
- Qui t'a dit ça ?
- J'ai mes sources à la table des Serdaigle.
- Mike Ames ?
- Dans le mille. Alors ?
- Je n'ai pas conclu un pacte avec Becker pour qu'on arrête de se détester, mais pour qu'on fasse semblant, nuança Ruewen en haussant les épaules.
- Si tu n'es pas son pote pour ce soir, c'est pour qui que tu t'es fait aussi beau ? (Parce que… c’est un humain décent ??)
Oliver le regarda d'un air ahuri, et s'abstint de répondre. Il avait enfilé une chemise bleue et un pantalon anthracite à la va-vite. Il haussa les épaules et reporta son attention sur un lustre.
- Tu vas pas lui dire salut ?
- Faut d'abord qu'elle explique à ses perruches notre pitit pacte. (A CE POINT ?? Mais ils vont juste… se parler comme 2 personnes matures ?)
- Ah... (CETTE LIGNE DE DIALOGUE EST INUTILE)
Aurélie arriva vers les deux garçons, en Converse. (SHE’S SO NOT LIKE OTHER GIRLS)
- Salut les cons, quelle belle soirée !
Oliver ouvrit la bouche... Et se ravisa. Il parvint à sourire après un gros effort.
- Salut Beck...
Il fit une grimace de dégoût très peu masquée avant de rectifier :
- Aurélie. (Pfffff je vais loin…)
- Salut, Ruewen. Pardon, Oliver. Sérieux, c'est quoi ce prénom ?! Heureusement que t'es pas le frère de Poema !
Oliver ravala son envie d'en finir et parvint à la regarder d'un air perplexe.
- Hein ?
- Ben... Oliver Ollivander.
Aurélie rit. Il leva les yeux au ciel. Il n'allait pas y arriver.
- Si j'étais le frère de ta perruche, tu...
- Te serais tué, et je n'aurais pas eu l'immense bonheur de te connaître.
- Becker, 'tain, fais plus jamais ça !
- Faire quoi ?!
- Lire dans mes pensées, là, ça soûle, ça devient limite gênant, en fait !
- Môsieur Ruewen est gêné ? Je te l'ai dit, je te connais, je n'ai pas besoin d'entrer dans ton esprit régugnant pour deviner les piètres réparties que tu vas me balancer dans la minute.
- Hé, vous êtes pas censés être amis jusqu'à demain ? intervint Karl.
- A minuit, je te trucide, promit Oliver.
- Rendez-vous à minuit, alors ! le provoqua son ennemie, glaciale.
Ils s'entreregardèrent et se défièrent silencieusement. Puis Karl tenta de détendre l'atmosphère.
- Vous êtes a-mis ce soir...
- FERME-LA ! ordonna Ruewen. C'est par ta faute qu'on est obligés de copiner pour danser ensemble à... Oh non. Je devrais la toucher. (Mais wesh…)
- Si tu savais combien de mecs en rêvent ! ironisa Aurélie. (MAIS QUI ??? QUI ???? PERSONNE N’A JAMAIS CRUSHE SUR TOI AURELIE CALME TOI)
- Je dirais entre zéro et... zéro et demi. J'ai bon ?
- Zéro trois quarts.
- Tsss. (Trop drôle.)
- Laisse tomber, on est obligés d'ouvrir le "bal" (Aurélie fit des guillemets avec ses doigts avec un air moqueur)...
- Autant y aller tout de suite, chère amie, parce qu'avec toi on est toujours en retard ?
- On ? Je croyais que tu étais Mr Parfait ?!
- Tu !
Aurélie haussa les épaules en soupirant.
- On est amis, OK..? On se crêpera le chignon à minuit. (C’EST TELLEMENT CON CE RESSORT SCENARISTIQUE DU OUI ON S’OBLIGE A ETRE POTES GENRE OIERGEOGJRK)
Oliver ne put s'empêcher de rire (Se crêper le chigon ? Non mais quelle expression ringarde ! se dit-il. Qui l'utilise de nos jours à part Becker ?!), (il a raison, c’est une mamie) et Aurélie trouva qu'il serait limite potable s'il souriait de temps en temps. C'en était de même pour la plupart des gens, ainsi la jeune Serdaigle aimait à faire des blagues pour détendre leurs visages et ressentir ainsi des émotions positives. (La description hyper scientifique d’un SOURIRE t’sais) Si son pouvoir d'empathie pouvait lui être bénéfique, elle n'allait pas s'en priver. Ressentir les émotions des autres la vidait de l'intérieur, ou plutôt la remplissait de telle façon à ce qu'elle ne puisse plus ressentir les siennes. En quelque sorte, cela avantageait la jeune fille. (Va chez un psy Aurélie. Et btw, c’est tellement cliché.)
Oliver, lui, s'interrogeait : comment parvenait-elle à rire tout le temps, à prendre les choses du bon côté, à essayer d'aider les autres à tout prix, de faire ce qu'elle voulait quand elle voulait. Cette liberté d'agir et de pensée, chez la Serdaigle, intriguait le jeune homme. Il n'avait aucun don, mais sentait cette aura purement Gryffondor qui émanait d'elle à chacun de ses actes ou paroles. (C’est tous des Madame Irma.) Qui en général étaient dans la continuité les uns des autres. Sa dextérité en vol sur balai (Aurélie est une merde en vol sur balai, trop maladroite), ses qualités d'attrapeuse (MDR) comme son enthousiasme de commentatrice. Et ce, qu'il pleuve, neige, vente ou simplement fasse beau. Son énergie, tout simplement. (Marry her already, à quoi ça sert de faire des tartines en prétendant qu’ils se détestent ??)
La musique éclata après un discours de la directrice (que peu avaient enteud (RELIIIIIIIIIIS-TOI) ou seulement écouté), par on-ne-sait-quel sort. Une musique country. Les couples désignés par le Bol il y a deux jours coururent presque (dans certains cas, littéralement) en centre de la Grande Salle (les tables avaient été poussées après le repas des élèves pour un gain de place) et commencèrent à danser. Une jeune fille de cinquième année à Gryffondor dansait d'un pied sur l'autre en s'écriant : "Mes origines ! Mes origines !" Hum. (KNZRMIKRGNKEJE QUI FAIT CA ??? STOP)
- Elle s'appelle Cheyenne White, a confié Karl, et elle est toujours comme ça. Bon, allez-y, vous êtes obligés. Et meilleurs amis.
- Meilleurs, on ne va quand même pas pousser, mais c'est dur ! protesta Aurélie.
- Pour une fois, je suis d'accord avec toi, Becker. Aurélie, se corrigea le Gryffondor de mauvaise grâce.
Ils s'approchèrent avec une démarche gênée "en crabe", en marchant sur le côté. Ils échangèrent un regard las.
- Contrôle tes émotions, grosse brute mentale, inventa Aurélie en lui tendant la main. Je ne tiens pas à mourir parce que monsieur a une vie de merde. (Ca donne des « Camélia tes parents ne t’aiment pas » vibes)
Elle baissa les yeux.
- Euh... Scuse.
- Ca fait longtemps (depuis que je te connais, en fait) que j'ai appris que tout ce qui sortait de ta bouche était du mytho, Becker.
- Moi aussi je t'aime. Allez, viens, on va se foutre la honte en public. (Vous allez DANSER, du calme)
- Cool ! s'écria Oliver, un grand sourire aux lèvres.
Aurélie sourit. Il baissa les yeux vers la main blanche (c’est peut-être inutile de préciser) de la jeune Serdaigle et l'attrapa à contrecoeur. Puis ils se regardèrent, esquissèrent une moue dégoûtée et bizarrement similaire, puis soupirèrent... et allèrent danser.
Bien sûr, ils ne s'éclataient pas autant qu'ils l'auraient voulu étant séparés, mais ils dansaient. Certains les pointaient du doigt, d'autres s'imaginaient des histoires, d'autres prenaient des photos (mais ceux-ci étaient rares). Puis, la danse s'est achevée, et les deux meilleurs ennemis ont rejoint le buffet. Plus question de danser ensemble, ça non ! Ils avaient leur fierté, et leur réputation... Une réputation à tenir. (Mais je… je croyais que le contrat magique les forçait à participer à toutes les danses.. ??)
Au bout de quelques danses que les deux jeunes gens observèrent de loin, Aurélie leva la tête et demanda :
- On va pas se faire la tête toute la soirée ?
- On se fait la tête depuis six ans, Becker, vas pas me dire que tu t'ennuies, soupira Oliver en reposant son verre de jus de citrouille d'un geste désinvolte. (Ben littéralement… stop…)
- Si.
Un silence. Enfin, pas vraiment. La musique résonnait. C'était la chanson préférée de la jeune fille. Son nom était : "We're Ravenclaws".
7am waking up in the dorm rooms
Putting on my robes
Gotta go downstairs
Here coms an owl
Gotta have my mail
- Ce bal était censé être cool. Au lieu de ça, je me retrouve coincée avec... un coincé, justement, marmonna Aurélie pour elle-même. MAIS TU PEUX DANSER TOUTE SEULE DU COUP OU PAS ??? JE COMPRENDS PLUS RIEN !!!
Oliver ne réagit pas. Il semblait perdu dans ses pensées. Aurélie sentit de la tristesse. (Show don’t tell putain. J’ai l’impression que son don d’empathie est juste un moyen d’éviter de décrire les personnages et leurs émotions, par flemme.)
- Ca ne va pas, toi, affirma-t-elle.
Il lui décrocha un coup d'oeil étonné, puis s'insurgea :
- Lâche-moi, Miss Empathe, et vas te remaquiller. (Sexiste)
- Je ne suis pas maquillée, crétin.
- Une énième preuve que t'es bizarre. (SEXISTE)
- Je l'assume.
- C'est bien la seule chose que tu assumes !
- Ca veut dire quoi, ça ?!
- T'es tellement transparente, Becker. Mademoiselle Gryffondor-dans-l'âme voulait aller dans la maison des intellos pour faire plaisir à sa môman ! (MAIS QUEL RAPPORT ? ET POURQUOI IL L’AGRESSE COMME CA ??)
La colère monta en Aurélie comme un poison. Elle la sentait presque, brûlante, remontant ses veines et ses artères, faire pulser son coeur et rougir ses joues. Ses mains se mirent à trembler, et pour parler scentifiquement, sa température corporelle augmenta brusquement. (On sent le cours de SVT de 4ème sur le cœur là) Il lui sembla que le déluge brûlant emportait son coeur. C'était rare pour elle de ressentir ses propres émotions avec une telle puissance. Sans vraiment s'en rendre compte, elle hurla, rugit plutôt. Son cri fut couvert par la musique, aussi personne ne se douta de l'orage intérieur se déroulant en la jeune fille. Les larmes lui montèrent aux yeux, elle tenta de les retenir mais ses digues explosèrent. Les élèves ne remarquèrent vraiment la colère de la Serdaigle lorsque tous les objets de la pièce se mirent à léviter, puis à se fracasser les uns contre les autres. (Coucou Eleven) Aurélie essayait désespérément de retenir cette vague, qui à cause de son pouvoir d'empathe, déferlait d'elle au "monde extérieur". Elle attrapa un verre et le balança contre un mur. Oliver, stupéfié, recula d'un pas. Aurélie s'approcha de lui, les yeux brillant de colère. Le feu qui y brûlait étonna le jeune homme au possible. Il se retrouva à terre, le nez en sang, avant d'avoir eu le temps de dire "Quidditch". Puis la jeune fille furieuse quitta la Grande Salle. La musique résonnait toujours. Persistante.
(Ben oui elle va pas s’arrêter parce que Miss Becker est vénère)
11 septembre 2022, 8 heures 21,  salle de métamorphose, PDV Aurélie Becker.
Grommelle, grommelle, grommelle. (Ouais décidément J’ADORAIS ce verbe) Et ce cours qui n'en finit pas. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce fichu bal de rentrée général dans deux jours. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce satané Bol qui a été ensorcelé par ces démons de jumeaux Parrish pour me faire passer la plus minable soirée de ma vie entière. Grommelle, grommelle, grommelle. Et ce cours qui n'en finit pas. Je l'ai déjà dit ? Pardon.
Hier soir, McGonagall a parlé pendant trente-deux minutes onze secondes sans s'arrêter. C'est beaucoup. Elle explose son propre record, qui est de vingt-neuf minutes cinquante-cinq secondes d'affilée. Oh, pitié, enlevez-moi cet air ahuri de votre visage et, pour l'amour du ciel, ne me dites pas que vous n'avez jamais égrené les secondes lorsque quelqu'un vous faisait la morale. De toute façon, je ne vous croirais pas. Il n'y a que deux personnes au monde qui ne l'ont jamais fait, et ces personnes ne sont pas des joyeux drilles : Oliver Ruewen et Lilas Ames. Alias le parfait couple, ennuyeux à mourir. Sauf qu'ils ne sont pas en couple.
(« Pour l’amour du ciel”, “de joyeux drilles »… Aurélie a 80 ans ou quoi ?? Et comment elle fait pour compter ? Elle a une montre ? Aurélie Becker possède une montre ???)
- Miss Becker !
Voilà qu'on m'interrompt encore alors que je suis plongée dans mes pensées ! Ce que cela peut m'agacer, des fois (tout le temps) ! (OHLALA L’HEROINE DE FANFICTION WATTPAD)
- Oui ?
- Puis-je vous rappeler quelques petites choses ? me questionne ma professeure de métamorphose, Emma Callidus.
- Allez-y...
Je me suis retenue de lui dire "si ça peut vous faire plaisir...". (Wouloulou qu’est-ce-qu’elle est sassy)
- Premièrement, nous sommes en cours, et en cours, il faut écouter. Deuxièmement, votre insolence et votre effronterie commence sérieusement à me taper sur les nerfs, et je ne suis pas la seule. (genre ok en général mais là elle était juste distraite) Troisièmement, ce n'est pas parce que votre particularité vous dispense d'exercer la métamorphose pratique que vous devez en plus vous croire au-dessus de faire vos devoirs. (D’où le fait d’être Née-Animagus lui donne le pouvoir de réussir tous les sorts de métamorphose ??? mdr)
Hébétée, je levai les yeux vers la directrice des Serpentard. La colère monta en moi, irrépressible. Je fermai les yeux et m'envolai par la fenêtre, transformée en Phénix. (Euh je euh je quoi) J'entendis les élèves crier (pourtant, tout le monde ou presque connaissait ma particularité...) et la prof m'avertir que ce sera mon premier avertissement. 
Excusez mon langage vulgaire, mais je n'en ai absolument rien à secouer. (OHALAAAALAAAAA C’ÉTAIT TELLEMENT VULGAIRE) Certains (comme Ruewen) pensent que je suis irrespectueuse, mais c'est faux. Simplement, j'ai du mal à m'empêcher de dire ce que je pense, c'est comme ça, je suis quelqu'un de franc et d'honnête. Et d'incorrigiblement bavard, aussi. On ne se refait pas. (jE sUiS pAs UnE cOnNaSsE jE sUiS jUsTe FrAnChE)
Pendant que je plane au-dessus du château, je repense à ce que m'a dit Ruewen, hier : .Deathly Hallow, en recrutant ses Mangemorts, va briser des familles ! Des parents vont partir rejoindre le Clan de l'Ombre, et l'étau se resserera autour de leurs enfants ! Rejoindre l'Ombre ou mourir ! Ces familles sont maudites depuis le jour où la Marque des Ténèbres est apparue que le bras d'un de ses membres ! Depuis ce jour, tous les autres sont... Condamnés. Tu n'es qu'une sans-coeur complètement tarée, fi-fille à sa maman qui n'a jamais connu la douleur !
(Miam le copié collé)
C'est bien mal me connaître, mon p'tit Ruewen. Personne ne me connaît vraiment. Sauf peut-être Poema, ma meilleure amie. Que dis-je, ma soeur de coeur. Poema a ce don (en plus de celui des bois) qu'elle voit au-delà des apparences. Elle est la seule à savoir que lorsque je ris, je ne suis pas forcément heureuse. (AHLALA QUEL DON INCROYABLE ! Genre c’est la SEULE personne de tout l’entourage d’Aurélie à s’intéresser à ses émotions ?? lol) Et je ris souvent.
Mon problème ? J'ai les yeux bleus. Non, je plaisante, je plaisante souvent pour éviter d'affronter les problèmes, les fuir lâchement, cacher ma peur et mes émotions sous une bonne couche d'humour. On appelle ça du cynisme, moi j'appelle ça mon arme de défense. Une émotion pour m'empêcher d'en ressentir une autre ; c'est comme ça que je fonctionne depuis toujours et pour toujours. (Oui d’accord. Mais euh. C’était pas drôle en fait. Don’t be such a fucking pick me girl.)
Je suis d'une sensibilité à fleur de peau, en partie à cause de mon don (ma malédiction) d'empathe. Les émotions des autres, toute ma vie, m'ont empêchée de vivre les miennes pleinement. (Si tu le dis.) Je m'accroche à tous les instants de bonheur que je trouve, j'en crée parfois, pour me faire une sorte de réserve en cas de coup dur.
Mon problème, c'est que je ressemble à mon père. Ce père sans nom, sans visage, qui me hante et me poursuit. Car il est en moi. J'ai essayé de l'en faire sortir (EXORCISME), mais il fait partie de moi et aller à l'encontre de cette évidence revient à renier ma personnalité. Rebelle, insolente, incorrigible, totalement imparfaite... Je me demande quel genre d'homme était mon père. Un farceur, sans aucun doute, s'il me ressemble. Il possédait sans doute un grand courage, car le Choixpeau m'a dit qu'il se souvenait l'avoir envoyé à Gryffondor sans hésitation. Un coeur aussi pur que son sang. (Hein quoi ?? Mais qui dit ça ???) Il voulait m'aider à réaliser le même parcours, à marcher sur ses traces, mais j'ai refusé. Ce destin qui était celui de mon père ne m'appartenait pas, et si c'était le cas, cela m'éloignerait encore plus de ma mère, mon opposé parfait.
Ma mère, Anna Becker, Serdaigle Née-Moldue. Et mon père, Machin Chose, Gryffondor de Sang-Pur. C'est les seules choses que je sais de mes parents, pourtant je vis avec ma mère depuis toujours. Le semblant d'attention qu'elle me donne, j'y ai droit lorsqu'elle me rend une copie (le plus souvent brillante ou désastreuse, ça dépend de mes humeurs) en cours de sortilèges. Eh oui, ma mère est professeur à Poudlard, et directrice de ma maison. Je n'avais pas pensé à cela lorsque j'ai mentalement supplié le Choixpeau de m'envoyer à Serdaigle, pour la rendre fière de moi, elle qui me semble si inaccessible avec ses cheveux blonds parfaits et sa posture toujours majestueuse. (C’est si différent maintenant. Aurélie version actuelle a abandonné depuis longtemps l’idée de plaire à sa mère. Et le Choixpeau ne fait pas des miracles : Aurélie est une Gryffondor, profondément, donc elle va à Gryffondor. C’est pas une machine à exaucer les souhaits.)
Mais voilà que ce sadique de professeur Lenoir brise mes rêves et mes espoirs - que ma mère se voie en moi et qu'elle me LAISSE TRANQUILLE A LA FIN !!! Hum. Désolée, je m'emporte. (MAIS MEUF tu t’en doutais pas que tu n’étais pas vraiment de Serdaigle ? Ta personnalité ?? Non ???)
Je me pose et me retransforme. Je me laisse choir (OK la bourge) sur l'herbe douce et me prend la tête entre les mains, lorsque je ressens l'énergie de mon pire ennemi. (MADAME IRMA)
- Ne me dis pas que t'existes encore, toi, grommelais-je sans bouger.
Pas de réponse. Je lève la tête. Il est à vingt mètres de moi, dans la même position. Une vague de tristesse me fait tressaillir. Je m'énerve et m'avance vers lui les poings serrés.
- T'es pas capable de te contrôler ou quoi ?! Je ressens tes émotions depuis là-bas, fis-je avec un signe du bras, mais il ne me regardait pas.
Pas de réaction.
- Qu'est-ce-qui t'arrive ?! Ta maman t'a pas appris à répondre aux gens quand ils te parlent ?! le provoquais-je.
- NE ME PARLE PAS DE MA MERE ! hurla-t-il en me fuyant. (OHLALAAAAAA MOMMY ISSUES…)
OK... ai-je le temps de penser avant de tomber à terre.
Mon ventre se tordit, ma tête fut comme serrée dans un étau, et une douleur indescriptible s'empara de moi. J'eus envie de me jeter dans le lac pour qu'elle disparaisse. C'était intenable. C'était ce que ressentait Ruewen... (Soupir)
Je poussai un hurlement de douleur, qui le fit se retourner. Je m'efforçais de rester consciente. Puis la vague s'éloigna aussi soudainement qu'elle est venue. (Ah ok) Je haletais. J'ouvris les yeux, qui rencontrèrent ceux de Ruewen. Je me mis debout malgré ma faiblesse. (Soupir, soupir, soupir)
- On n'a pas idée d'être aussi malheureux ! m'écriais-je, bras levés, avant de me rendre compte de ce que je venais de dire. (GROS SOUPIR. ENORME SOUPIR.)
Je laissais retomber mes bras. Le mot "désolée" me brûlait les lèvres, mais n'arrivait pas à les franchir.
- Je... Je... Euh... Dé...
- C'est si dur pour toi de t'excuser, se moqua-t-il. Je pensais que c'était juste de la mauvaise volonté, mais t'y arrives vraiment pas en fait.
- Excuse-moi, mais je ressens une si forte tristesse que je n'arrive pas à prendre ton ironie lamentable au premier degré, répliquais-je du tac au tac. Je suis télépathe, mais je me suis fixé une règle : ne jamais lire dans les pensées des autres qu'en cas d'absolue nécessité. (Wow she’s such a morally perfect angel) Alors... Dis-moi.
- T'en as rien à foutre de toute façon. Attends, télépathe ? Tu ne cesseras donc jamais de...
- Faire mon intéressante ? Non.
- Je voulais plutôt dire "m'étonner", mais si tu insistes...
Son aura me confirma ses dires. Il était sincère. J'en apprendrais décidément tous les jours.
- Je fais aussi de la télékinésie, si ça t'intéresse. (NON ! NON ! ARRETE MAINTENANT !! Putain, je me demande vraiment à quel moment je me suis dit « on va lui donner QUATRE pouvoirs uniques, surpuissants et absolument pas explicables dans l’univers HP.)
- Tout ce qui te concerne ne m'intéresse pas, Becker.
- C'est ma réplique, ça.
Il me sourit. Il n'a pas de fossettes. C'est dommage. (C’est quoi ce… C’est quoi cette réflexion à deux balles ???? Mdrrr ça se voyait trop que j’essayais d’être originale parce que généralement dans les fanfictions, il y a toujours ce moment où le mec a des fossettes et c’est trop mignon.)
- C'est quoi ton problème avec ta mère ?
- Et toi, c'est quoi ton problème avec la tienne ?
Je restai sans voix. Il avait... !
Deviné...
- Ca ne te regarde pas, décidais-je.
- Toi non plus.
Je haussai les épaules.
- Tu me vois donc obligée de pénétrer dans ton esprit...
Je fermais les yeux et fis semblant de m'apprêter à lire ses pensées. (Oh le côté Serpentard)
- T'es folle, Becker ! Arrête ça tout de suite ! Ma mère est une Mangemorte, OK ?! Elle l'est depuis ma naissance, et même avant. Elle a rejoint le Clan de l'Ombre, j'y serais forcé aussi plus tard. (Ah bon ??? Mais d’où ???) Elle m'a trahi et elle a trahi toute ma famille, c'est bon là, t'es contente ?!
Je restai sans voix et renforçais mon bouclier. Des bribes d'émotions me parvinrent quand même, c'est incroyable ce qu'elles sont puissantes. Je n'ai jamais vu ça, et à présent je comprends pourquoi...
Je m'approchais de lui, gênée, et lui avouai :
- Je n'ai pas pénétré ton esprit et ne le ferais jamais. C'est terrible ce qui arrive à ta famille. Désolée...
Cette fois-ci, je n'avais eu aucun mal à prononcer ce dernier mot.
- T'es jamais en cours, toi, donc ? On t'a encore virée ?
Pffff ! Exagération totale.
- Non ! je proteste. Je me suis... disons, envolée. 
- Envolée ? répète Ruewen.
- T'es au courant de rien ou quoi ? (Mais meuf t’es pas le centre du monde)
- De quoi ?
- Je suis Née-Animagus.
- Animagus ? A ton âge ?
- Née-Animagus, crétin. Je suis née avec le don de me transformer en Phénix.
- En Phénix ? Pas en petit lapin mignon ? (Ces moqueries à deux balles, vraiment, j’en ai marre. Ils alternent entre être hyper insultants, fondamentalement méchants pour rien, et se disputer comme des gamins.)
Mon Patronus était un lapin.
- Non, en Phénix, débile, Phéééé.... Niiiiix...
- J'ai compris.
- Quoi, tu ne me crois pas ?! Tu veux une démo, peut-être ?
- Non merci, Miss Superwoman.
- Gna gna gna.
Je haussai les épaules.
- La prof a dit que j'étais insolente, bla bla, que je n'écoutais rien et me fichais de tout, bla, bla.
- Ce n'est pas totalement faux, si ?
- C'est absolument, complètement et affligemment faux ! le contredis-je en agitant les bras comme lorsque je vole. Au contraire, je ne me fiche de rien ! Tout me bouleverse, le désavantage d'être empa...
Je me rends soudain compte que c'est moi qui parle. (CHRISSY WAKE UP) Je m'interromps immédiatement, mortifiée.
- Oublie, Ruewen. Oublie immédiatement tout ce que je viens de te dire avant que je cède à la tentation d'utiliser une potion d'Amnésie, ordonnais-je avec un regard dur. (Mais juste assume, merde)
Un peu surpris, il rétorque simplement :
- Tu ne sais pas les faire. (Rigolo)
Pas faux...
PDV externe.
- Ollichou ! Tu es là ? (ça commence mal.)
Ginger Campbell fronça les sourcils. Où était-il donc passé ? Pas à la bibliothèque, ni à la salle commune de Gryffondor. Mais alors, où ?
- Ollichou ?
La jeune Poufsouffle attrapa son écharpe rayée jaune et noir et sortit par un passage secret. Elle reserra (je me relisais pas ou quoi ??) les pans de sa cape autour d'elle pour se réchauffer. Ginger était frileuse, et en ce début septembre, elle regretta de ne pas avoir mis des gants.
Elle déambula ainsi, combattant le vent (uniquement dans sa tête, car ce n'était qu'une légère brise qui soufflait sur le parc de Poudlard) pendant quelques minutes, en appelant : "Ollie-chou-u-u-u-uuu !" continuellement. Elle finit par apercevoir une silhouette, accroupie près du lac. Non... Deux silhouettes. Des cheveux bruns en bataille et... des boucles blondes. Ce ne serait quand même pas...
- Aurélie Becker, souffla-t-elle, et la chaleur brûlante de la colère chassa sa sensation de froid.
Elle s'avança comme une Chauve-Furie et hurla :
- Ollichou ! Qu'est-ce-que tu fous avec elle ?!
- Ohlà, du calme, blondinette, essaya de la calmer Aurélie en fronçant un seul sourcil (une autre particularité chez elle – MAIS TOUT LE MONDE SAIT FRONCER UN SEUL SOURCIL PUTAIN STOP AVEC CE VIBE MARY SUE). Le jour où je voudrais te le piquer, ton Ollichou, il pleuvra des Scroutts à Pétard.
Ginger ne se calmait pas. Elle éclata en sanglots. (Wow… Elle va bien ?) Aurélie ne cilla pas. Oliver lui jeta un coup d'oeil embêté. Même pas en colère. Juste embêté.
- Ginger...
- Tu ne m'as pas appelée Ginny !
- Euh... Ginny...
- Non, c'est trop tard ! Fais des câlinous à l'autre blondasse si ça peut te faire plaisir, mais entre nous, c'est ter-mi-né !
Mais woah… C’était la scène de rupture la plus insupportable, simpliste et pathétique de l’Histoire de l’Univers. Quelle image des femmes amoureuses j’avais ??
Elle partit en courant. Aurélie ouvrit la bouche, puis la referma.
- Merci, dit Oliver.
- Merci ? répéta la jeune Serdaigle, perplexe.
- Elle me soûlait... Gna gnaaaa, Ollichou... l'imita Ruewen moqueusement. (Ben pourquoi ne pas l’avoir quittée ?? Ou ne PAS être sorti avec elle ? VU QUE TU L’AIMAIS PAS ??? C’est abordé comme si c’était un sujet tellement osef, mais il a eu une relation amoureuse avec une meuf qu’il aimait pas, juste pour noyer ses sentiments pour Aurélie qui sont pas des sentiments encore, juste, il aime son parfum… et c’est elle qui est dépeinte comme la folle qui surréagit ??)
- Pas faux. Ah, ben de rien alors.
- Hé, ça te dit que l'on conclue un pacte ?
- Un pacte ?
- Bon, Becker, t'arrêtes de répéter tout ce que je dis ? Un pacte, celui d'être copains comme cochons le soir du bal, le 13 septembre. Ca éviterait d'apporter aux jumeaux la satisfaction de nous voir passer une mauvaise soirée.
Aurélie garda la silence pour réfléchir.
- D'accord. BFF pour un soir. Ca me va.
Elle tendit la main pour sceller le pacte, mais l'enleva aussitôt. Oliver secoua la tête, ironique.
- Ouais, t'as raison, on n'est pas encore le 13 septembre. (On est pas encore le 13 ???? Ca va être long putain.)
Ravie de voir qu’ils peuvent être matures une fois toutes les 45 pleines lunes.
~
13 septembre 2022, 20 heures 28, Grande Salle, PDV externe.
- Ca va, tu n'es pas affreusement laide, lâcha Oliver Ruewen du bout des lèvres.
En vérité, Aurélie Becker était ravissante. Sa robe était de la même couleur que le bleu de ses yeux, un bleu myosotis. Elle lui arrivait aux genoux. De petits sequins d'or lui pendaient dans son dos, recouvert de dentelle bleue. Comme bijoux, elle avait mis une simple chaîne avec son prénom et des boucles d'oreilles, tout cela en or. Ou en toc. Elle n'était pas près de le dire et, de toute façon, elle ne savait pas les distinguer. Elle n'était pas maquillée, comme à son habitude. (SHE’S NOT LIKE OTHER GIRLS)
Sur le chemin de la Grande Salle, dans les escaliers fous, comme on les appelait à Poudlard, il avait croisé Ginger, avec une robe dorée et brillante comme de l'or. Sa bouche était rouge vif, et ses yeux étaient maquillés en vert foncé. Ses cils, enduits de mascara, avaient l'air de mouches qui papillonnaient. (La comparaison tellement stupide alors que Ginger n’était même pas une rivale…) C'était impossible en soi, mais Ginger était assez étonnante dans son genre. (Hein ???)
Diana Rosewood, sans mauvais jeu de mots, était habillée comme une princesse, avec une robe courte et rouge. (Parce que C’EST une princesse, vous avez compris ? hahahahahaa…) Ses longs cheveux blonds était retenus en un chignon haut et flou, elle parassait (RELIS-TOI) tout droit sortie d'une pub pour la marque moldue Chanel.
Poema avait enfilé une robe aux couleurs de sa maison. Ses cheveux châtains avaient des reflets caramel à la lueur des bougies, ils étaient lâchés avec un naturel carastéristique (RELIS-TOI) de la jeune Poufsouffle.
Estelle avait enfilé une petite robe noire qui la changeait du tout au tout ; ses boucles rousses étaient pour une fois coiffées. Elle jetait à Mike, lequel avait enfilé en toute simplicité un jean, une chemise blanche et sa cravate d'uniforme, des regards énamourés.
Comme à son habitude, la soeur jumelle de Mike en avait fait des tonnes : maquillage voyant, bouche rose nacrée, fard bleu marine et argent, et robe de couleur - devinez - lilas.
Les jumeaux avaient mis la même tenue, histoire qu'on les confonde - ils aimaient bien embêter leur monde. Pantalon noir, chemise rouge aux couleurs de Gryffondor. Avec le prénom de l'autre écrit sur la main. Bien sûr. (Ils me font rire.)
Andy avait fini par inviter Minna pour le bal. Celle-ci portait évidemment une robe violette (sa couleur préférée) brodée d'argent. Ses cheveux étaient tressés, et Andy semblait complètement accro. Amy avait bien sûr décliné l'offre de Karl, celle de l'accompagner audit bal (pour être plus vulgaire, elle lui a mis un beau râteau). Amy était sublime dans sa robe verte, c'était l'une des seules filles de septième année qui marchait avec des talons aiguilles à la perfection. Le prestige de la Serpentarde (On n’accorde pas. Les noms. Des maisons.) faisait des ravages, en particulier chez Karl Parrish. Oliver se devait d'être honnêtre envers son ami, aussi l'avertit-il qu'il avait un peu de bave, là, sur le menton... (Beurk. Calme tes hormones, Karl.)
- Non, le contredit Karl en s'essuyant promptement. Alors, elle est là, ta cavalière ?
Oliver le fusilla du regard.
- Elle ne le serait pas si ces messieurs (il indiqua Andy d'un mouvement de tête, puis son jumeau) n'avaient pas pour hobby de faire chier les gens.
- Oh, ça vaaa, et puis je croyais que vous aviez conclu un pacte pour arrêter de vous détester ?
- Qui t'a dit ça ?
- J'ai mes sources à la table des Serdaigle.
- Mike Ames ?
- Dans le mille. Alors ?
- Je n'ai pas conclu un pacte avec Becker pour qu'on arrête de se détester, mais pour qu'on fasse semblant, nuança Ruewen en haussant les épaules.
- Si tu n'es pas son pote pour ce soir, c'est pour qui que tu t'es fait aussi beau ? (Parce que… c’est un humain décent ??)
Oliver le regarda d'un air ahuri, et s'abstint de répondre. Il avait enfilé une chemise bleue et un pantalon anthracite à la va-vite. Il haussa les épaules et reporta son attention sur un lustre.
- Tu vas pas lui dire salut ?
- Faut d'abord qu'elle explique à ses perruches notre pitit pacte. (A CE POINT ?? Mais ils vont juste… se parler comme 2 personnes matures ?)
- Ah... (CETTE LIGNE DE DIALOGUE EST INUTILE)
Aurélie arriva vers les deux garçons, en Converse. (SHE’S SO NOT LIKE OTHER GIRLS)
- Salut les cons, quelle belle soirée !
Oliver ouvrit la bouche... Et se ravisa. Il parvint à sourire après un gros effort.
- Salut Beck...
Il fit une grimace de dégoût très peu masquée avant de rectifier :
- Aurélie. (Pfffff je vais loin…)
- Salut, Ruewen. Pardon, Oliver. Sérieux, c'est quoi ce prénom ?! Heureusement que t'es pas le frère de Poema !
Oliver ravala son envie d'en finir et parvint à la regarder d'un air perplexe.
- Hein ?
- Ben... Oliver Ollivander.
Aurélie rit. Il leva les yeux au ciel. Il n'allait pas y arriver.
- Si j'étais le frère de ta perruche, tu...
- Te serais tué, et je n'aurais pas eu l'immense bonheur de te connaître.
- Becker, 'tain, fais plus jamais ça !
- Faire quoi ?!
- Lire dans mes pensées, là, ça soûle, ça devient limite gênant, en fait !
- Môsieur Ruewen est gêné ? Je te l'ai dit, je te connais, je n'ai pas besoin d'entrer dans ton esprit régugnant pour deviner les piètres réparties que tu vas me balancer dans la minute.
- Hé, vous êtes pas censés être amis jusqu'à demain ? intervint Karl.
- A minuit, je te trucide, promit Oliver.
- Rendez-vous à minuit, alors ! le provoqua son ennemie, glaciale.
Ils s'entreregardèrent et se défièrent silencieusement. Puis Karl tenta de détendre l'atmosphère.
- Vous êtes a-mis ce soir...
- FERME-LA ! ordonna Ruewen. C'est par ta faute qu'on est obligés de copiner pour danser ensemble à... Oh non. Je devrais la toucher. (Mais wesh…)
- Si tu savais combien de mecs en rêvent ! ironisa Aurélie. (MAIS QUI ??? QUI ???? PERSONNE N’A JAMAIS CRUSHE SUR TOI AURELIE CALME TOI)
- Je dirais entre zéro et... zéro et demi. J'ai bon ?
- Zéro trois quarts.
- Tsss. (Trop drôle.)
- Laisse tomber, on est obligés d'ouvrir le "bal" (Aurélie fit des guillemets avec ses doigts avec un air moqueur)...
- Autant y aller tout de suite, chère amie, parce qu'avec toi on est toujours en retard ?
- On ? Je croyais que tu étais Mr Parfait ?!
- Tu !
Aurélie haussa les épaules en soupirant.
- On est amis, OK..? On se crêpera le chignon à minuit. (C’EST TELLEMENT CON CE RESSORT SCENARISTIQUE DU OUI ON S’OBLIGE A ETRE POTES GENRE OIERGEOGJRK)
Oliver ne put s'empêcher de rire (Se crêper le chigon ? Non mais quelle expression ringarde ! se dit-il. Qui l'utilise de nos jours à part Becker ?!), (il a raison, c’est une mamie) et Aurélie trouva qu'il serait limite potable s'il souriait de temps en temps. C'en était de même pour la plupart des gens, ainsi la jeune Serdaigle aimait à faire des blagues pour détendre leurs visages et ressentir ainsi des émotions positives. (La description hyper scientifique d’un SOURIRE t’sais) Si son pouvoir d'empathie pouvait lui être bénéfique, elle n'allait pas s'en priver. Ressentir les émotions des autres la vidait de l'intérieur, ou plutôt la remplissait de telle façon à ce qu'elle ne puisse plus ressentir les siennes. En quelque sorte, cela avantageait la jeune fille. (Va chez un psy Aurélie. Et btw, c’est tellement cliché.)
Oliver, lui, s'interrogeait : comment parvenait-elle à rire tout le temps, à prendre les choses du bon côté, à essayer d'aider les autres à tout prix, de faire ce qu'elle voulait quand elle voulait. Cette liberté d'agir et de pensée, chez la Serdaigle, intriguait le jeune homme. Il n'avait aucun don, mais sentait cette aura purement Gryffondor qui émanait d'elle à chacun de ses actes ou paroles. (C’est tous des Madame Irma.) Qui en général étaient dans la continuité les uns des autres. Sa dextérité en vol sur balai (Aurélie est une merde en vol sur balai, trop maladroite), ses qualités d'attrapeuse (MDR) comme son enthousiasme de commentatrice. Et ce, qu'il pleuve, neige, vente ou simplement fasse beau. Son énergie, tout simplement. (Marry her already, à quoi ça sert de faire des tartines en prétendant qu’ils se détestent ??)
La musique éclata après un discours de la directrice (que peu avaient enteud (RELIIIIIIIIIIS-TOI) ou seulement écouté), par on-ne-sait-quel sort. Une musique country. Les couples désignés par le Bol il y a deux jours coururent presque (dans certains cas, littéralement) en centre de la Grande Salle (les tables avaient été poussées après le repas des élèves pour un gain de place) et commencèrent à danser. Une jeune fille de cinquième année à Gryffondor dansait d'un pied sur l'autre en s'écriant : "Mes origines ! Mes origines !" Hum. (KNZRMIKRGNKEJE QUI FAIT CA ??? STOP)
- Elle s'appelle Cheyenne White, a confié Karl, et elle est toujours comme ça. Bon, allez-y, vous êtes obligés. Et meilleurs amis.
- Meilleurs, on ne va quand même pas pousser, mais c'est dur ! protesta Aurélie.
- Pour une fois, je suis d'accord avec toi, Becker. Aurélie, se corrigea le Gryffondor de mauvaise grâce.
Ils s'approchèrent avec une démarche gênée "en crabe", en marchant sur le côté. Ils échangèrent un regard las.
- Contrôle tes émotions, grosse brute mentale, inventa Aurélie en lui tendant la main. Je ne tiens pas à mourir parce que monsieur a une vie de merde. (Ca donne des « Camélia tes parents ne t’aiment pas » vibes)
Elle baissa les yeux.
- Euh... Scuse.
- Ca fait longtemps (depuis que je te connais, en fait) que j'ai appris que tout ce qui sortait de ta bouche était du mytho, Becker.
- Moi aussi je t'aime. Allez, viens, on va se foutre la honte en public. (Vous allez DANSER, du calme)
- Cool ! s'écria Oliver, un grand sourire aux lèvres.
Aurélie sourit. Il baissa les yeux vers la main blanche (c’est peut-être inutile de préciser) de la jeune Serdaigle et l'attrapa à contrecoeur. Puis ils se regardèrent, esquissèrent une moue dégoûtée et bizarrement similaire, puis soupirèrent... et allèrent danser.
Bien sûr, ils ne s'éclataient pas autant qu'ils l'auraient voulu étant séparés, mais ils dansaient. Certains les pointaient du doigt, d'autres s'imaginaient des histoires, d'autres prenaient des photos (mais ceux-ci étaient rares). Puis, la danse s'est achevée, et les deux meilleurs ennemis ont rejoint le buffet. Plus question de danser ensemble, ça non ! Ils avaient leur fierté, et leur réputation... Une réputation à tenir. (Mais je… je croyais que le contrat magique les forçait à participer à toutes les danses.. ??)
Au bout de quelques danses que les deux jeunes gens observèrent de loin, Aurélie leva la tête et demanda :
- On va pas se faire la tête toute la soirée ?
- On se fait la tête depuis six ans, Becker, vas pas me dire que tu t'ennuies, soupira Oliver en reposant son verre de jus de citrouille d'un geste désinvolte. (Ben littéralement… stop…)
- Si.
Un silence. Enfin, pas vraiment. La musique résonnait. C'était la chanson préférée de la jeune fille. Son nom était : "We're Ravenclaws".
7am waking up in the dorm rooms
Putting on my robes
Gotta go downstairs
Here coms an owl
Gotta have my mail
- Ce bal était censé être cool. Au lieu de ça, je me retrouve coincée avec... un coincé, justement, marmonna Aurélie pour elle-même. MAIS TU PEUX DANSER TOUTE SEULE DU COUP OU PAS ??? JE COMPRENDS PLUS RIEN !!!
Oliver ne réagit pas. Il semblait perdu dans ses pensées. Aurélie sentit de la tristesse. (Show don’t tell putain. J’ai l’impression que son don d’empathie est juste un moyen d’éviter de décrire les personnages et leurs émotions, par flemme.)
- Ca ne va pas, toi, affirma-t-elle.
Il lui décrocha un coup d'oeil étonné, puis s'insurgea :
- Lâche-moi, Miss Empathe, et vas te remaquiller. (Sexiste)
- Je ne suis pas maquillée, crétin.
- Une énième preuve que t'es bizarre. (SEXISTE)
- Je l'assume.
- C'est bien la seule chose que tu assumes !
- Ca veut dire quoi, ça ?!
- T'es tellement transparente, Becker. Mademoiselle Gryffondor-dans-l'âme voulait aller dans la maison des intellos pour faire plaisir à sa môman ! (MAIS QUEL RAPPORT ? ET POURQUOI IL L’AGRESSE COMME CA ??)
La colère monta en Aurélie comme un poison. Elle la sentait presque, brûlante, remontant ses veines et ses artères, faire pulser son coeur et rougir ses joues. Ses mains se mirent à trembler, et pour parler scentifiquement, sa température corporelle augmenta brusquement. (On sent le cours de SVT de 4ème sur le cœur là) Il lui sembla que le déluge brûlant emportait son coeur. C'était rare pour elle de ressentir ses propres émotions avec une telle puissance. Sans vraiment s'en rendre compte, elle hurla, rugit plutôt. Son cri fut couvert par la musique, aussi personne ne se douta de l'orage intérieur se déroulant en la jeune fille. Les larmes lui montèrent aux yeux, elle tenta de les retenir mais ses digues explosèrent. Les élèves ne remarquèrent vraiment la colère de la Serdaigle lorsque tous les objets de la pièce se mirent à léviter, puis à se fracasser les uns contre les autres. (Coucou Eleven) Aurélie essayait désespérément de retenir cette vague, qui à cause de son pouvoir d'empathe, déferlait d'elle au "monde extérieur". Elle attrapa un verre et le balança contre un mur. Oliver, stupéfié, recula d'un pas. Aurélie s'approcha de lui, les yeux brillant de colère. Le feu qui y brûlait étonna le jeune homme au possible. Il se retrouva à terre, le nez en sang, avant d'avoir eu le temps de dire "Quidditch". Puis la jeune fille furieuse quitta la Grande Salle. La musique résonnait toujours. Persistante.
(Ben oui elle va pas s’arrêter parce que Miss Becker est vénère)
Il avait à peine attendu que le mot "Episkey" résonne pour se précipiter dans les escaliers, les montant avec énergie, infatigable, jusqu'au dortoir des Serdaigle. Haletant, il se plaça devant l'aigle.
- C'est important, dit-il. Laissez-moi passer. Je suis Oliver Ruewen, de Gryffondor. S'il-vous-plaît...
- Bon. Je vous dispense du mot de passe, concéda l'aigle (ému ?) après un (très long) instant de réflexion. Mais pas de l'énigme. Des énigmes, car vous êtes d'une autre maison. (Ben y’a pas de mot de passe. Juste une énigme. J’avais pas checké le Wiki Harry Potter ??)
- Allez-y.
- Je doute qu'un Gryffondor puisse les résoudre. (Ils sont pas CONS non plus les Gryffondor)
- Allez-y, répéta Ruewen.
- Comprenez, c'est fait uniquement pour les Serdaigle.
- MAIS ALLEZ-Y, BORDEL ! hurla Oliver, hors de lui. (Oliver. N’est pas comme ça. Oliver. Est calme.)
- Bon, bon... J'ai des amis délicieux ; Et des ennemis insipides ; Des larmes sont versées en mon honneur ; Pourtant, je n'ai jamais brisé aucun coeur, récita l'aigle. Alors ?
Oliver réfléchit vite.
- Mes amis sont aux petits oignons avec moi. Mes ennemis n'ont qu'à s'occuper de leurs oignons, forcément insipides - tiens, ça me rappelle quelqu'un... L'oignon fait pleurer quand on le pèle mais saliver quand on le mange - enfin, ça dépend des personnes, pour ma part, je déteste ça, bon. Et c'est bon pour le coeur, il paraît. Donc la réponse est... l'oignon, non ?
- Absolument. Voici la deuxième énigme : Je chasse la Mort. Sans moi, la Terre n'existerait pas. Qui suis-je ? (LA DEUXIEME ?? DE QUOI ??)
Le jeune Gryffondor répondit aussi vite qu'un élève de la maison de Rowena, sans la moindre hésitation.
- C'est la Vie.
L'aigle se figea (c'était une statue, comme c'est ironique) et avisa la cravate rouge et or de Ruewen.
- Le Choixpeau fait n'importe quoi de nos jours, murmura-t-il pour lui-même. Entrez, très cher.
Et il pivota. (Oliver il serait trop fort à l’épreuve de la vigie à Fort Boyard)
Hésitant, Oliver fit quelques pas. Il vit des objets renversés, certains cassés, et entendit des bruits de verre brisé. Ca venait de la salle commune. Il entra à pas lents. Les bruits cessèrent. (Aurélie va voir un psy stp)
- Qu'est-ce-que tu fais là ? Pardon, je précise ma pensée. Qu'est-ce-que tu fiches dans le dortoir des filles de Serdaigle, alors que tu es un garçon (à vérifier) (MAIS COMMENT CA ?? TU VEUX… MAIS ??) de Gryffondor ?
- Pas la moindre  idée, avoua-t-il sans relever la pique. 
C'était vrai.
- Et l'énigme ?
- Résolues.
- J'oubliais que monsieur est un petit prodige.
- Becker...
Aurélie, debout au milieu du verre brisé, les yeux fous, les cheveux en bataille, fixait son ennemi avec rage. Ses yeux rencontrèrent les siens et elle abandonna le combat. Elle enjamba les débris de verre, se sentant ridicule, et grimpa dans l'encadrement de la fenêtre. Elle replia ses jambes et serra ses bras autour. Dans cette position, elle ressemblait à une petite fille. (Et Oliver adorait ça. Ca l’excitait terriblement…)
- Je n'ai jamais détesté quelqu'un autant que je te déteste, affirma-t-elle avec force en plongeant la tête entre ses bras. Je ne veux plus te voir. Je n'ai pas d'insulte assez forte pour décrire ce que je ressens à ton égard. Crève. (Mais ils alternent vraiment entre ça et des moments de taquinerie idiots dignes d’un frère et d’une sœur, je suis confuse)
Oliver se sentait affreusement mal. Il mit ses mains dans les poches, sur ses hanches, se gratta la joue, la nuque, passa une main dans ses cheveux, regarda ses chaussures, le plafond, les murs, le verre brisé, le bout de son nez et Aurélie Becker. La jeune fille ressentait sa gêne. (Quand j’ai dit show don’t tell je pensais pas show à ce point) Elle leva les yeux.
- Avec Lenoir qui me dit très franchement que je n'ai pas ma place dans cette tour... Super. 
- Tu as la tienne dans celle d'à-côté, affirma Oliver, convaincu de la véracité de ses propos. (En quoi c’est réconfortant ? Et surtout en quoi c’est IMPORTANT ??)
Le volcan se réveilla en Aurélie. Elle hurla : Non ! (BORDEL)
- Bah, pourquoi ?
- Je... Je devais aller à Gryffondor, mais j'ai demandé au Choixpeau de... Je l'ai supplié, même... Je ne devais pas... Si j'y allais... ç'aurait été la... fin...
- La fin de quoi ?
- Ta gueule. Cherche pas à comprendre et ferme ta gueule. C'est tout ce que je te demande, répondit vivement Aurélie en replongeant la tête entre ses mains.
- C'est clair qu'on se demande ce que tu fous à Serdaigle, concéda Ruewen maladroitement. (Mais il APPUIE sur la plaie)  
- Dit le gars qui se croit courageux alors qu'il flippe devant un bébé Scroutt à pétard. T'es pathétique, Ruewen, tu te crois le plus beau mais t'es pathétique, asséna la jeune fille.
Il ne répondit pas.
- Et pourquoi le petit prodige n'est pas à Serdaigle, s'il vous plaît ?
- Je  ne sais pas.
- Ce serait bien la première fois que tu ignores quelque chose, espèce d'intello. (C’est pas une insulte ça)
Elle se releva avec vivacité.
- Qu'est-ce-qui est arrivé à ton nez ? demanda-t-elle ironiquement en voyant les traînées de sang séché sur le visage d'Oliver.
- Oh, répondit-il d'une voix légère, c'est rien. Une tarée me l'a fracassé.
Aurélie ne réagit pas à l'insulte et soupira tristement. Elle s'accouda à la fenêtre et regarda les nuages gris. Soudain, une fumée noire les traversa brièvement.
- Tu as vu ça ?
- Non, quoi encore ?
- Une traînée noire... Dans les airs.
- Un Mangemort.
- Comment ?
- Un Mangemort, idiote, sbire de Deathly Hallow. Deathly Hallow, sbire de Voldemort. Voldemort, plus grand mage noire (j’ai mégenré Voldy) de tous les temps. Tu veux que je répète plus lentement, peut-être ? ironisa le Gryffondor avec mépris.
- Ca ira. Des... Des Mangemorts sont déjà venus chez toi ? questionna-t-elle d'une voix hésitante.
Le visage de Ruewen refléta tout à coup une profonde douleur.
- Ma mère. (OUI ON A COMPRIS PUTAIN LÂCHE NOUS)
Le silence retomba. Aurélie tituba sous l'effet des émotions ressenties.
- T'as bu ou quoi ? se moqua Ruewen en croisant les bras.
- Et toi ?
- Bah... Nan, pourquoi ?!
- Pour te faire chier et ça marche. Plus sérieusement...
- Tu connais vraiment ce mot ? (TROP LONG. TROP LONG. VENEZ EN AU FAIT.)
- Au risque de t'étonner, oui. Plus sérieusement, quels buts a Deathly Hallow ? (BEN ON SE LE DEMANDE !!! DEPUIS CINQ CHAPITRES !!! 53 PAGES WORD !!!)
- Devenir le nouveau Voldemort. Tuer les Nés-Moldus et les "traîtres à leur sang". Et devenir le maître du monde sorcier. Et Moldu, si ça lui chante, c'est pas un problème. D'autres questions ? (Ouais donc le plan de tous les mages noirs quoi. You’re not special Deathly Hallow.)
- Pffft. Je parlais de ses plans pour arriver à ses buts.
- Tu crois peut-être que ma maman me l'a dit après mon histoire du soir ?
- Non.
Aurélie s'assit dans l'encadrement de la fenêtre.
- Que veut-il à la fin, Ruewen ?
- Qu'est-ce-que j'en sais ?! se braqua le jeune homme. (J’avoue elle pousse un peu) Je ne suis pas encore un Mangemort !
- Pas encore ?
Il baissa les yeux sur ses bras toujours croisés.
- J'ai aucun compte à te rendre. Je pense te l'avoir déjà dit.
- Oh, ça, c'est juste parce que tu n'as pas de répartie, répliqua Aurélie allègrement. (MAIS AUCUN DE VOUS N’A DE REPARTIE !!!)
- Si ça peut te faire plaisir, toi, tu en as. C'est tout ce qu'il te reste, avec la beauté, ce serait tr��s vilain de t'enlever ça. (Ah bah ça va alors, si elle est belle.)
- Merci. Mais tu comprendras que je ne te retournerais pas le compliment.
- "Merci" ? répéta Ruewen, surpris. Quel compliment ? T'as pété les plombs ou quoi, Jeanne d'Arc ?! (Mais quoi ?? Tu viens de le dire ??)
- "C'est tout ce qu'il te reste, avec la beauté". Je cite. Donc, merci. Je suis polie, aussi. C'est tout ce qu'il me reste.
- La beauté ?
- Qu'il est con. C'est toi qui a dit ça !
- Menteuse ! Tu prends tes rêves pour des réalités !
- Mes rêves ?!
- Tes rêves !
- Tu confonds avec Campbell, là. Tu sais, le petit chiot qui te suit en disant "Ollichou".
- Nanana.
Je… Trop long… Ennuyeux… Nul… Violent pour rien… VOUS AIMIEZ CA ??? VOUS AIMIEZ CETTE FANFICTION, LA TFF ???
Aurélie et Oliver se faisaient face, en s'affrontant du regard.
- Qu'est-ce-que tu viens foutre ici ?!
- Ici ?
- Ici. Dans le dortoir. Des Serdaigle. (Oui c’était le sujet, 3 pages Word plus tôt, avant qu’on ne se perde)
- Bah... Je venais te chercher.
- Et pourquoi, je te prie ?
- Parce que grâce à mes merveilleux amis Andy et Karl, et à notre très intelligent pacte, nous sommes amis jusqu'à minuit, expliqua le Gryffondor, mal à l'aise. (Foutaises)
- Ouais, ben génial les amis, hein. Depuis le début de la soirée, on se gueule dessus. Presque plus que d'habitude.
- C'est l'effet inversé que celui souhaité. (Bravo Sherlock)
- Souhaité, tu parles. A minuit, ton nez repart à cinq cents lieues, tu pourras toujours agoniser.
- A minuit, on te confondra avec McGo, tellement je vais t'arranger le portrait.
- Mais je te crois sur parole, ma flippette, ironisa Aurélie. On verra bien.
- Mais c'est tout vu.
Auréliver. Was never. About. Violence. Physical nor verbal. Never.
J’ai l’impression que quelqu’un d’autre a écrit une fanfic sur mon couple ???
La jeune Serdaigle se détourna et se pencha à la fenêtre avec un air inquiet. Oliver crut qu'elle allait tomber. Ca ne lui fit ni chaud ni froid.
- Qu'est-ce-que tu cherches, Becker ?
- Le Mangemort. Il descendait vers Pré-Au-Lard, j'en suis certaine. Je devrais peut-être...
- Aller voir ? Très bonne idée. J'aurais enfin la paix.
La jeune fille haussa les épaules, ferma les yeux et se métamorphosa en Phénix. Un Phénix aux yeux bleus.
- Pitié, ôte-moi cet air ahuri de ta vilaine face de rat ! Je suis Née-Animagus, quatrième édition. (MAIS ELLE PEUT PAS PARLER EN ETANT TRANSFORMEE BORDEL)
- Mais c'est ça, vas-y, suicide-toi, je raconterai aux autres que t'as sauté, ça te fera une sympathique réputation post-mortem. RIP, Becker. Uniquement regrettée de sa maman. Et encore. (Mais il est littéralement horrible. Mais elle aussi. Ils sont tous les deux horribles.)
Les plumes d'Aurélie s'illuminèrent, et la jeune fille s'embrasa sous le regard paniqué de Ruewen. Elle se transforma à nouveau le temps d'une gifle et s'envola par la fenêtre. Ruewen n'eut pas le temps de réagir au coup. Il se pencha à la fenêtre et aperçut une ombre rouge et or qui filait dans le ciel gris foncé. Les forces et le couleurs le quittèrent. Il hurla : Becker ! Mais il était trop tard.
Il ne pouvait pas la ramener ; elle non plus. (MAIS WESH TU LUI AS LITTERALEMENT DIT D’Y ALLER ARRETE DE TE PLAINDRE)
Il ferma les yeux. Cette année encore, il avait vu les Sombrals. (Pas mal la phrase mais CE VIBE D’HOMME TORTURE ET DU COUP AGRESSIF EST HYPER INSUPPORTABLE)
13 septembre 2022, 21 heures 56, Chez Ollivander PDV Garrick Ollivander.
Des bras sont enserrés autour de mon cou. Je peine à respirer. Le sang s'écoule d'une plaie béante sur mon épaule. La douleur m'étreint. Mais je ne dirais rien.
- Où l'as-tu cachée ?! Réponds, vieillard ! (âgiste)
- Mais de quoi... Parlez-vous... parvins-je à articuler d'une voix très faible et enrouée.
- Le Nouveau Seigneur des Ténèbres en a besoin. (Voldemort 2.0) Si tu ne coopères pas, nous te tuerons.
- Tuez-moi donc ! (Aucune volonté de vivre on dirait moi parfois)
- Ne me tente pas, Ollivander. Faites-le taire, Grace.
Une main féminine se plaque contre mes lèvres. Je ne pus m'empêcher de la mordre. La dénommée Grace retire sa main, et me fixe avec indignation. Une lueur de colère brille au fond de ses yeux noisette.
- Tu mourras pour cela.
- Il est le seul à pouvoir nous indiquer où elle se trouve. Grace, insista l'homme. Contiens-toi. Il mourra plus tard.
- Je n'ai rien à vous dire !
- Endoloris ! hurla Grace.
La douleur pulsa dans tous mes membres et je retenais à grand-peine des hurlements. Je ne voyais et n'entendais plus rien. Tout n'était que souffrance. Puis une voix déchira le silence :
- Petrificius Totalus ! Impedimenta !
- Protego !
- Bonsoir, jeune fille. Tu as peut-être besoin d'une baguette ? ironisa l'homme en noir.
- La mienne est en excellent état de marche, vous voulez peut-être le vérifier par vous-même ?
- Ton insolence me rappelle ton bon à rien de père. (MAIS IL LE CONNAIT ???)
- Si vous saviez comme je n'en ai rien à foutre de lui, là, vous ne perdriez pas votre temps en bavardages. Que lui voulez-vous ?!
- Ca ne te regarde pas... A moins que tu veuilles rejoindre nos rangs.
- Plutôt épouser Oliver Ruewen ! bondit la jeune fille. (Mais meuf… ils savent pas qui c’est…… c’est gênant…….)
Je parvins enfin à ouvrir un oeil tuméfié. La jeune femme encapuchonnée semblait s'affaiser. (Ah oui si c’est vrai c’est sa mère. Comme s’il ne le répétait pas tous les chapitres.)
- Grace ? Vous allez bien ?
- Evidemment, crétin, asséna-t-elle. A ta place, Molenski, je me ferais plus du souci pour toi. C'est toi qui a conseillé au Seigneur des Ténèbres de rendre une petite visite amicale à ce cher Ollivander. Sans elle, on ne peut rien, et lui non plus.
- Il peut tout, Grace. (God almighty… ah non pardon, wrong script)
- C'est ce que l'on dit pour rester en vie, mais cela n'a rien à voir avec la réalité.
Molenski ne répondit pas.
- Allons, Grace. Ne nous disputons pas devant cette si agréable jeune fille. Aux si charmants yeux bleus.
- Mes yeux vous emmerdent. Laissez-le tranquille. (Aurélie elle VIENT, elle SE FOUT EN DANGER, ELLE VA A LA RENCONTRE DE MANGEMORTS, elle a DIX-SEPT ANS ON RAPPELLE MERDE)
Mes paupières collaient. Je me tournai sur le côté au prix d'un gros effort et les entrouvrit. Mon pauvre coeur sembla s'arrêter lorsque je reconnus la jeune fille qui tenait tête aux deux Mangemorts. (Tu avais pas reconnu sa voix ?) Je l'avais rencontrée pour la première fois en même temps que ma petite-fille Poema, ce que j'ai de plus précieux en ce monde. (triste pour ta femme fdp) Elle s'appelait Aurélie Becker, avait une apparence de poupée de porcelaine et un caractère de dragon. Sa baguette avait été fabriquée par Poema, en bois fusionné. Le bois de charme, raffiné et sensible, convient aux sorciers passionnés, tandis que le cornouiller, bois espiègle et malicieux, est le plus souvent affilié aux sorciers pouvant les amener dans de nombreuses situations amusantes ou excitantes. Le cornouiller produit des baguettes plutôt bruyantes. Quand au cyprès, associé à la noblesse, convient aux braves et aux audacieux. La plume de Phénix, elle, offre un large éventail de capacités magiques. Une sacrée personnalité, cette fillette de onze ans, et voilà qu'à seize (hmmm… non. 17. Septembre 2022. Elle est née en avril 2004. Calcule.) elle se tient devant deux Mangemorts souhaitant me tuer, cette même baguette levée et une lueur de colère froide dans les yeux. En ce moment, le cyprès lui est le plus adapté. (CE CONNARD IL EST EN PLS ET LA PREMIERE CHOSE QU’IL FAIT C’EST UNE ANALYSE DE BAGUETTES ??? MAIS CETTE FAMILLE M’INSUPPORTE)
- Endoloris !
Cette fois, le sortilège était destiné à Aurélie, qui le para avec la noblesse d'une Auror en devenir. (MAIS)
- Stupéfix !
- Petrificius Totalus !
- Expelliarmus !
La baguette de Grace lui atterrit entre les mains. La Mangemorte brune est seule : son si courageux collègue a transplané.(HAHAHAHAHA NUL)
- Vous lui ressemblez, dit la jeune fille à l'uniforme de Serdaigle chiffonné. A votre fils.
Grace ne répondit pas. Elle leva la tête vers Aurélie.
- Tu as ma baguette. Ce combat est déloyal et tu le sais. Tu es bien comme ton géniteur.
- Vous ne savez rien sur lui. Pas plus que moi d'ailleurs, ha ha, ajouta-t-elle comme si elle parlait de la météo. Et puis, vous êtes dans une boutique de baguettes.
C'était un piège. Quelqu'un qui fréquentait ma petite-fille ne pouvait pas être aussi inculte question baguettes. Et le petit ton frondeur d'Aurélie ne laissait aucun doute.
Grace fit l'erreur fatale d'en attraper une au hasard. Pour utiliser une baguette qui n'est pas la sienne, comme le dit souvent Poema, il faut vraiment ne y rien connaître en ce domaine.
- Confringo ! hurla-t-elle, les yeux fous. 
Une gigantesque explosion retentit. Les étagères de baguettes furent précipitées au sol dans un nuage de poussière. Les dessins d'enfant de ma petite-fille, accrochés au mur, tombèrent avec le reste. Un morceau de plafond s'écroula également. Les fenêtres volèrent en éclats. Et le silence retomba. Lorsque je rouvris les yeux, toussant à en vomir à cause de la poussière, Grace avait également transplané. Aurélie gisait dans un coin de la boutique partiellement détruite, au milieu de la sombre fumée grise. Je me levais avec difficulté, rassemblant mes maigres forces, et vint m'accroupir auprès d'elle. Son visage avait la douceur de celui d'un ange. Mais je n'étais pas de ceux qui ne font si facilement avoir par les apparences. (Pffffff)
Je replaçai avec douceur une mèche blonde et salie derrière son oreille. Des traînées de sang (elle avait été coupée par les débris de verre, vestiges de mes fenêtres) barraient ses joues. On ne voyait plus ses petites taches de rousseur, témoins de l'enfance.
Les mots des Mangemorts, cinglants, me revinrent à l'esprit. Sans elle, on ne peut rien, et lui non plus...
Le Nouveau Seigneur des Ténèbres en a besoin.
Qui donc se cachait derrière ce mot si bref, "elle" ? Ou alors, quoi ? Serait-ce une baguette magique ? Ce serait logique...
- Monsieur... (tousse) (PTDR C’EST NUL ON EST PAS DANS UNE PIECE DE THEATRE) Ollivander !
- Aurélie...! Tout va bien ?
- A la perfection, comme vous pouvez le voir, ironisa-t-elle comme à son habitude. Désolée pour votre boutique. C'était tellement sympa. Et convivial. Et... Bref. Et Poema, ha, une vraie artiste. J'ai vu les (tousse) (RAAH) dessins sur les murs.
Poema ?
Ma petite-fille, avec son incroyable don, la perfection de son savoir sur les baguettes...
Poema !
Non !
(il vient de se souvenir de son existence ou pas ?)
- Euh... Ca va, Garrick ? (Elle m'appelait Garrick ou Mr Ollivander, c'était selon.) (Personne ne fait ça. C’est soit l’un soit l’autre)
- Ca va.
C'est impossible... Les larmes me montèrent aux yeux, je mis ça sous le compte de la poussière qui voletait encore autour de nous.
Le silence s'installa, puis Aurélie prit la parole.
- Que dit une poule à un canard un soir d'hiver ?
- Pardon ?
- "Il fait un froid de canard". Et que répond le canard ?
- Hein ?!
- "M'en parle pas, j'en ai la chair de poule". Ha, ha, ha !
(C’est drôle mais gênant.)
Ses yeux bleus pétillaient. Elle était satisfaite de sa blague, cette blague qu'elle venait de faire sous les décombres de ma boutique, après m'avoir sans aucun doute sauvé la vie, fait fuit deux Mangemorts et avoir été précipitée dans des gravats. Une vague d'affection me submergea. Je lui posai les deux mains sur les épaules, et la prit dans mes bras.
- Aurélie.
- Monsieur Ollivander.
Ses yeux bleus pétillaient. Elle était satisfaite de sa blague, cette blague qu'elle venait de faire sous les décombres de ma boutique, après m'avoir sans aucun doute sauvé la vie, fait fuit deux Mangemorts et avoir été précipitée dans des gravats. Une vague d'affection me submergea. Je lui posai les deux mains sur les épaules, et la prit dans mes bras.
- Aurélie.
- Monsieur Ollivander.
- Pourquoi as-tu fait ça ?
On ne se connaît pas vraiment. C'est la meilleure amie de ma petite-fille (avec Minna Whisper) RIP Minna mais c’est absolument pas la meilleure amie de Poema j’ai inventé ça, mais on ne se connaît pas. Elle m'explique toute l'histoire. On ne se connaît pas, mais elle n'a pas hésité une seule seconde à enfreindre au moins six règles de l'école pour venir me sauver la vie. Sans rien attendre en retour. Pourquoi, alors ? (Elle est genre sympa ??)  
- Je n'ai pas réfléchi, avoua Aurélie. J'ai vu de la fumée noire, alors je me suis transformée et je me suis envolée...
- Comment ?
- Je suis Née-Animagus, je vais finir par mettre des affiches pour que tout le monde le sache ! (TROP CHIANTE)  
Là-dessus, elle rit et se métamorphosa. Sa silhouette changea, des plumes rouge et or lui poussèrent.  
- Phénix ? Tu es une Née-Animagus... Phénix ? réalisais-je, impressionné.
- La seule recensée dans le monnnnnde, très cher, dit-elle avec un air snob feint (pas tant que ça feint) après s'être retransformée. Non, en fait, je ne sais pas. J'ai fait quelques recherches en première-deuxième année, mais il y avait jamais marqué "Né(e)-Animagus animaux légendaires". Genre pégase ou licorne. Donc, je...  
Je l'arrêtai d'un geste et hochai la tête doucement. Aurélie, on savait quand elle commençait à parler, mais jamais quand elle allait se taire... (MDRRRR VIOLENT LA MEUF ELLE VIENT DE TE SAUVER LA VIE ET TU LUI DIS DE FERMER SA GUEULE)  
- Je vais te ramener à Poudlard.
- Non, non ! s'empressa-t-elle de protester. Ils ne savent pas que je suis partie, et je ne suis pas disponible pour une autre retenue avant quatre mois ! (ça me fait rire)  
Déjà punie pendant quatre mois ? Un treize septembre ??  
- Si si, j'insiste ! Je pourrais voir ma petite-fille, comme ça, en passant ! (Je lui fais un clin d'oeil et elle sourit.) Mais dis-moi, tu n'as pourtant pas l'air d'être une mauvaise élève. (c’est surtout que sa boutique a explosé, je rappelle, il a nulle part où dormir le vioc)  
Je la trouvais intelligente, bien sûr, mais la maison Gryffondor lui aurait tellement mieux convenu...  
- Oh que si ! Enfin... Non. J'ai de bonnes notes. Sauf en sortilèges. Ma mère me déconcentre. Et en potions, je suis trop maladroite. Et en histoire de la magie, aussi, je trouve ça chiant au possible. Et... Bref. Ce n'est pas de la mauvaise volonté, croyez-le ou non ; j'aime juste... donner mon avis.
- Aurélie... essayais-je d'intervenir.
- Oui, après, on peut dire, bla bla, et tes ASPICS, c'est important, il faut juste apprendre et appliquer, etc. Mais j'ai une vie, moi, et je préfère la passer à m'amuser qu'à étudier pendant de très, très longues heu...
- Aurélie, tu viens de me sauver la vie. (On l’a pas assez dit, non ? Allez encore une fois : AURELIE EST SUPER COURAGEUSE ET DOUEE ET ELLE A SAUVE LA VIE DU PAPY OLLI ET ELLE A FAIT FUIR 2 MANGEMORTS ET CE SANS RIEN ATTENDRE EN RETOUR)  
Elle cligna quelques fois d'affilée des paupières, comme si elle ne l'avait pas réalisé avant. A moins que ce ne soit encore à cause de la poussière, qui retombait peu à peu. (Ou elle est juste conne)  
- Je... De rien.
- Merci, dis-je en souriant. Tu es une personne rare, tu sais...
- Pourquoi, vous pouvez préciser ? demanda-t-elle sur un ton plus grave. (« COMPLIMENTEZ-MOI ALLEZ Y J’ADORE CA)
- Parce que tu es courageuse là où d'autres se suffisent à être obstinés. Généreuse alors que certains sont simplement dévoués. Que tu aimes ceux que je ne fais qu'aider, parce que tu vis là ou tant de gens se contentent d'exister. (Belle citation, que j’ai sans doute piqué quelque part, mais ça s’applique pas DU TOUT au contexte putain.)
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mysadecstasy · 1 year
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Les frontières du réel
Je voudrais découper un miroir avec les mains ou quelque outil spécial. De manière bien précise. En des morceaux d’une certaine taille et forme. Je me doute bien que ce n’est pas chose aisée. Je sais que le diamant coupe le verre et ça me donne de l’espoir. Mais peut-être que pour y parvenir je devrais jeter un miroir par terre, mais je me heurterai alors au paradoxe d’une chance sur l’infini. Je me saisis d’un miroir posé sur ma commode, il me regarde, s’agite, pourtant il est inerte. Je regarde derrière, rien. Alors je le jette sur le sol carrelé de ma salle de bain. Il y a des centaines de miettes de verre, je les déteste. Çà et là quelques bouts, certains sont convenables, d’autres peu attrayants voire laids, mal proportionnés ou positionnés. Et au centre, au point d’impact, cinq gros morceaux se fuient comme une étoile explose. Ici je trouve un peu d’harmonie et de beauté mais ce n’est pas ce que j’avais imaginé.
J’en suis venu à la conclusion que je devrais avoir des envies plus proches du réel. Pas nécessairement plus simples mais du moins atteignables, même s’il fallait un très long bras. Cependant mon envie et son imagination siègent aux frontières du réel, si ce n’est au-delà ou à cheval de celui-ci… J’ai alors pensé à découper ton cœur, non pas tout entier évidemment, je ne suis pas si fou ni cupide, mais un simple petit bout. Un petit bout de muscle, tout petit, à la pointe du cœur. Là, tout petit... Puis j’ai pensé que cela pourrait te faire du mal, et ça je ne le veux absolument pas, je ne m’en remettrai pas. Et en parlant de mal, j’en aurais sans doute beaucoup à réaliser ou à faire réaliser une telle opération. « Puis-je avoir un petit morceau de cœur de ma bien-aimée, docteur ? » Pour le moins original…
J’ai ensuite, avec beaucoup de pathétique, pensé à découper la lune. Mais je me suis vite ravisé face au ridicule de la chose. Sans parler du symbole tout à fait soporifique. Et puis ça aurait fait trop de gravas. Idée à oublier.
Alors j’ai ramassé le miroir brisé, ai soigneusement emballé les morceaux dans du carton avant de les mettre à la poubelle. Par la suite, j’ai longtemps observé ce petit miroir des années 1940 qui, suspendu à sa courte ficelle dans l’entrée, me tentait à renouveler l’expérience. Ce dernier, à la différence du premier, était encadré, et j’espérais ainsi éviter les miettes de verre et obtenir une belle constellation marbrée. Je décidai finalement de le briser également. Le résultat fut intéressant mais hélas toujours insuffisant à satisfaire mes désirs d’harmonie et d’exactitude.
D’un coup d’un seul, je sortis prendre l’air, comme pour trouver un nouvel essor.
Alors que je passais sur le pont Saint Louis pour atteindre la place Aragon, je m’arrêtai un instant observer le fleuve gris-crasse. L’observer fuir sous mes pieds, à la même vitesse. Avec la même amertume et le même renoncement. Avec les mêmes tourbillons. Les mêmes suicidés. Je n’ai jamais vu la Seine en amont, elle doit être belle… Ici elle m’évoque un convoi mortuaire. J’ai observé longtemps l’eau grise. Je pensais à tes cheveux, tes épaules. Je te voyais encore nue sortant de la douche quand une feuille morte vint se poser à mes côtés. J’ai gagné la place Aragon, par chance le banc était libre. Alors j’ai réfléchi longuement à une chose qui soit aux frontières du réel et que je pourrais alors toucher des doigts.
Beaucoup d’idées s’articulaient autour de l’amour. Pourrais-je le dessiner ? Le serrer dans mes bras ? L’emprisonner dans un bocal ? Le distiller… que sais j’ai encore… puis tandis que je pensais aux remparts d’Azemmour je me mis à digresser. Et comment ont-ils fait pour construire les pyramides parfaitement orientées aux points cardinaux. Les abeilles sont apparues en même temps que les plantes sexuées, ce ne peut être le fruit du hasard. Et si Dieu existe, où pourrait-il être ailleurs que dans notre cœur, tout comme l’Eden et les Enfers. Et combien y a-t-il de pas entre cette place et chez moi. Ou plus simple encore, combien de pas dans un kilomètre. Ce faisant je regagnais mon appartement.
Je marchais à toute hâte, l’échec de mon entreprise me donnait l’impression d’être traqué. A vrai dire j’étais obnubilé, et frustré à l’idée de trouver une autre idée. La première n’allait pas. Briser un miroir avec exactitude. Quoiqu’avec un peu de maîtrise ce fut sans doute possible... Mais je voulais aller à l’essentiel non sans avoir le sentiment de pervertir un tant soit peu ma démarche créatrice. J’avais cette obsession de déconstruction, de dichotomisation perpétuelle, de désassemblage, atteindre l’infinitésimal, la matière brute, l’indivisible. Je me souviens avoir lu quelque part qu’en déstructurant une fleur en ses parties les plus élémentaires, en atteignant l’indivisible atomique et bien c’en était fini. Qu’en réassemblant chaque partie elle ne reprendrait jamais vie, comme si la vie était un liant, un fluide impalpable qui siégeait partout et nulle part, qu’on ne pouvait saisir mais qui imbriquait et donnait vie à chaque élément. Ceci dit, je recentre mon idée, je ne souhaite pas détruire, mais créer. Et on me dira que créeras-tu en brisant un miroir, en lui ôtant sa fonction d’objet. Je répondrai que je ne sais pas au fond ce que cela donnera mais que l’impulsion et la détermination de l’action devraient faire office de création. Motif vaseux j’en conviens, mais convenable. A vrai dire je n’avais pas réfléchi à tout ça, cela vient parce qu’on en parle. Moi je veux juste briser un miroir d’une seule et unique façon et cela me parait être une tâche bien compliquée. Bien que j’ai toujours aimé découper les petites choses, faire des collages, des empilages, là, je sèche.
Peut-être n’est-ce qu’un symbole, peut-être que je cherche simplement un pont entre le réel et le reste, l’infini. Peut-être ai-je envie de marcher tel un funambule sur les limites du réel. En brisant le miroir je crée des avatars de ma personne, mon visage se fend, se superpose, s’écaille, j’imite d’autres espaces temps. Pour que cela ne soit pas éphémère il faudrait un grand miroir encadré suspendu au mur du salon. Je regarderai chaque jour la même constellation.
Mais il suffit des miroirs, de la brisure, et des supputations métaphysiques. Et aussi je te présente mes excuses pour tout à l’heure, pour avoir voulu découper ton cœur, ce n’est pas à moi, c’était égoïste. Pas besoin de fétiches, j’ai dans la tête les images et les odeurs, le temps et la saveur. Les heures à frôler la falaise, défiant la Manche et son embrun. Un phare… deux phares… nous sommes allés si loin que la question se pose du bénéfice à revenir, est-ce bien sage ? Plantons notre tente ici, que dis-je, faisons construire un palais, là, au sommets des falaises d’albâtre. Revenir pour quoi ? Pour repartir ailleurs ? Rentrez. Oui, rentrez chez soi, ça a toujours du bon, comme un mammifère marin respire… Rentrez pour repartir, vivre la vie comme j’entends souvent. A vrai dire ce que j’entends le plus souvent c’est « réussir sa vie », je n’y prête même plus attention, il y a une dissonance inacceptable derrière ce lieu commun inepte. A la rigueur, réussir à gravir une montagne… mais sa vie. Mais je ne ferai pas de prétérition et ne polémique pas plus avant. Tout le monde a d’ailleurs compris où je veux en venir.
Je songe. Grands nénuphars bancs et roses qui flottent dans le bassin serti de roseaux du jardin botanique. Tu sais, là-bas, juste après la petite arche de calcaire érodé sous les acacias. Ton odeur… qui exhale, qui reste un instant quand tu t’absentes. Et c’est un ibis qui vient s’abreuver, il a dû s’échapper de la volière. Ces oiseaux en cage, quelle tristesse. Il semble que personne ne perçoive le chagrin dans leurs chants. Nous jouons aux échecs et dans ma tête toujours la même ritournelle : touchez les frontières du réel par la création d’une chose, comme un passage. Se servir de l’art comme d’un pont. Et je songe et réfléchis, nos parties s’enchaînent, le soleil fléchit à nos pieds, on dirait qu’il pénètre la terre. Nous sortons main dans la main, amoureux, nonchalants. Je briserai un nouveau miroir bientôt, pourvu que j’en trouve un. Si j’arrive à l’harmonie souhaitée le résultat n’en sera que plus jouissif, même un petit miroir, même un miroir à maquillage.
La nuit s’est abaissée et je rêve comme jamais de chevaucher les frontières du réel.
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