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#Comment mettre fin à une relation virtuelle
maraboutbadou · 2 years
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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gulshanwhydonate · 26 days
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Stratégies de Communication et Idées pour Collecter des Fonds pour une Association : Comment Optimiser les Dons et Aider les Animaux
Les associations, qu'elles soient à but lucratif ou non lucratif, jouent un rôle crucial dans notre société. Elles dépendent souvent des dons pour poursuivre leurs activités, qu'il s'agisse d'aider les animaux, d'organiser des campagnes de financement, ou de collecter de l'argent pour diverses causes. Dans cet article, nous allons explorer différentes stratégies de communication, idées campagne de financement, et méthodes pour maximiser les dons, notamment à travers des plateformes numériques comme Twitch et les cagnottes participatives.
1. Stratégies de Communication pour Attirer des Dons
La communication est la clé pour attirer l'attention sur votre association et encourager les dons. Voici quelques stratégies efficaces :
Créer une narration puissante : Racontez l'histoire de votre cause de manière émotionnelle pour toucher le cœur des donateurs potentiels. Expliquez clairement pourquoi leur soutien est crucial.
Utiliser les réseaux sociaux : Les plateformes comme Instagram, Facebook, et Twitter sont idéales pour partager des mises à jour régulières sur les progrès de votre association. Les vidéos et images de qualité augmentent l'engagement.
Faire appel à l'urgence : Créer un sentiment d'urgence peut inciter les gens à faire un don immédiatement plutôt que de remettre à plus tard. Par exemple, utilisez des phrases comme « Aidez-nous à atteindre notre objectif avant la fin du mois ! ».
2. Idées de Campagnes de Financement
Pour réussir une campagne de financement, il est essentiel de se démarquer et d’innover. Voici quelques idées :
Organiser des événements en ligne : Webinaires, concerts virtuels ou ventes aux enchères en ligne peuvent attirer un large public. En impliquant des influenceurs ou des célébrités, vous pouvez augmenter la visibilité de votre campagne.
Créer une cagnotte participative : Les cagnottes en ligne permettent de collecter des dons facilement. Elles sont parfaites pour des projets spécifiques comme l'achat de matériel pour un refuge d'animaux.
Vente de produits dérivés : La vente de t-shirts, mugs, ou autres produits portant le logo ou le message de votre association peut être une source de revenus tout en renforçant votre marque.
3. Collecte d’Argent en Ligne : Outils et Techniques
Les dons en ligne sont de plus en plus populaires, offrant aux associations des moyens variés pour recueillir des fonds.
Utiliser des QR Codes pour les Dons : Un don QR permet aux donateurs de scanner un code avec leur téléphone pour être redirigés directement vers une page de don. C’est rapide, pratique, et efficace lors d'événements en personne ou sur des supports imprimés.
Faire un don sur Twitch via mobile : Si votre association utilise Twitch pour lever des fonds, il est essentiel de guider vos abonnés sur comment faire un don sur twitch sur telephone. Assurez-vous que le processus est simple et bien expliqué.
Créer une cagnotte : Pour des événements ou des projets spécifiques, vous pouvez créer une cagnotte en ligne où les donateurs peuvent facilement contribuer. C'est une méthode efficace pour récolter des fonds tout en offrant de la transparence.
4. Comment Avoir des Dons pour Aider les Animaux
Aider les animaux est une cause qui touche beaucoup de gens, mais comment convaincre ces personnes de faire un don ?
Mettre en avant les besoins immédiats : Expliquer concrètement comment les dons seront utilisés, par exemple, pour acheter de la nourriture, des médicaments, ou pour rénover un refuge.
Proposer des dons en nature : Parfois, les donateurs préfèrent offrir des biens matériels plutôt que de l'argent. Dans ce cas, une lettre de remerciement pour un don matériel est essentielle pour montrer votre gratitude et encourager des dons futurs.
5. Modèle de Lettre de Donation et Remerciements
Pour renforcer la relation avec vos donateurs, il est important de les remercier correctement. Un modèle de lettre de donation gratuit peut être utile pour exprimer votre reconnaissance. Voici quelques éléments à inclure :
Remerciez chaleureusement le donateur pour son soutien.
Expliquez comment le don sera utilisé pour faire avancer la cause.
Invitez le donateur à rester en contact avec votre association pour suivre l'évolution du projet.
6. Les Associations à But Lucratif et Non Lucratif : Comprendre la Différence
Il est important de comprendre la distinction entre une association à but lucratif et une association à but non lucratif :
But lucratif : Ces associations génèrent des profits qui peuvent être distribués aux membres ou réinvestis dans l'organisation.
But non lucratif : Tous les bénéfices sont réinvestis dans l'organisation pour soutenir la cause sans enrichissement personnel.
7. Idées pour Gagner de l'Argent pour une Association
Outre les dons directs, il existe plusieurs moyens créatifs pour gagner de l'argent pour une association. Voici quelques idées à explorer :
Organiser un marché de bienfaisance : Vendre des objets d'occasion, des créations artisanales, ou des produits locaux peut être une excellente source de revenus. C’est aussi une opportunité de sensibiliser les participants à votre cause.
Défis sponsorisés : Proposez des défis (course, marche, ou même défis créatifs) où les participants sont parrainés par leurs proches. C'est une manière engageante de collecter des fonds tout en impliquant la communauté.
Concours de cuisine ou de pâtisserie : Les concours culinaires sont toujours populaires. Demandez aux participants de payer un droit d'entrée, et offrez des prix symboliques pour les meilleures créations.
8. Utiliser la Technologie pour Optimiser les Dons
La technologie offre des outils incroyables pour maximiser les dons et simplifier le processus de collecte. Voici comment :
Applications de paiement mobile : Facilitez les dons en ligne grâce à des applications de paiement mobile. Cela permet aux donateurs de contribuer en quelques clics, sans avoir à passer par un processus compliqué.
Plateformes de financement participatif : Créer une cagnotte participative sur des plateformes de crowdfunding permet de centraliser vos efforts de collecte de fonds. Ces plateformes offrent souvent des outils de partage sur les réseaux sociaux pour augmenter la visibilité de votre campagne.
Intégration des dons via QR Code : Comme mentionné plus tôt, les QR Codes sont un moyen pratique pour les donateurs de contribuer directement via leur smartphone. Assurez-vous d'intégrer ces codes dans vos supports de communication, qu'il s'agisse de flyers, d'e-mails, ou de publications sur les réseaux sociaux.
9. Encourager les Dons à Long Terme
Pour garantir un flux constant de soutien financier, il est important de fidéliser vos donateurs. Voici quelques stratégies pour y parvenir :
Programmes de dons récurrents : Proposez à vos donateurs de s'inscrire à un programme de dons mensuels ou annuels. Cette méthode permet de prévoir des revenus réguliers pour votre association.
Mises à jour régulières : Tenez vos donateurs informés de l'impact de leurs contributions grâce à des newsletters, rapports d'activité, ou vidéos. Plus les donateurs voient le résultat de leurs dons, plus ils sont enclins à continuer de donner.
Événements de reconnaissance : Organisez des événements (en ligne ou en personne) pour remercier vos donateurs. Cela peut être un simple cocktail, une visite de vos installations, ou un webinaire exclusif. Ces moments de reconnaissance renforcent le lien entre l'association et ses soutiens.
10. Conclusion : L'Importance d'une Communication Efficace pour Réussir vos Collectes de Fonds
En résumé, pour réussir à collecter de l'argent et maximiser les dons, il est essentiel de bien planifier vos stratégies de communication et d'utiliser une combinaison d'approches traditionnelles et numériques. Qu'il s'agisse de faire un don en ligne, de créer une cagnotte participative, ou d'envoyer une lettre de remerciement pour un don matériel, chaque étape compte pour fidéliser vos donateurs et assurer la pérennité de votre association.
En intégrant ces pratiques dans votre stratégie globale, vous augmenterez non seulement vos chances de succès, mais vous contribuerez aussi à renforcer l'impact de votre cause, qu'il s'agisse d'aider les animaux, de soutenir une initiative locale, ou de financer un projet communautaire. Rappelez-vous que chaque don, chaque geste compte, et que derrière chaque euro collecté, il y a une personne qui croit en votre mission.
En utilisant les outils modernes comme les don QR ou les cagnottes en ligne, en envoyant des modèles de lettre de donation gratuits et en adoptant des idées de campagnes de financement innovantes, vous pouvez transformer votre association en un moteur de changement et faire une réelle différence dans le monde.
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codetrichesims · 4 months
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Comment Tuer un Sims 4 : Toutes les façons de mort d'un Sim
Découvrez toutes les façons de tuer un Sim dans Les Sims 4. La mort Des accidents aux actions intentionnelles, parcourez le guide complet des fins possibles pour un Sim. Les Sims 4 est un jeu populaire de simulation de vie qui vous permet de contrôler la vie de personnages virtuels appelés Sims. lors que de nombreux joueurs s'attachent à profiter de la vie, des relations et des aspirations de leurs Sims, d'autres peuvent être attirés par le côté sombre du jeu en provoquant la tuerie des personnages virtuels des Sims 4. Vous pouvez rendre leur vie heureuse, mais vous pouvez aussi mettre fin à leur existence virtuelle si vous le souhaitez. Ici, nous allons explorer les différentes façons de comment tuer un Sims 4.
Les cinq meilleures façons de tuer un Sim dans Les Sims 4
- ✅ Les Sims peuvent être tués en buvant trois boissons au jus de scarabée. - ✅ Les Sims peuvent être tués en étant écrasés par un lit Murphy. - ✅ Les Sims peuvent être tués en étant envahis par des mouches. - ✅ Les Sims peuvent être tués par une plante adulte qui les mange. - ✅ Les Sims peuvent être tués lorsqu’ils sont frappés par la foudre plusieurs fois pendant un orage. Remarque : Lorsque vous tuez un Sim dans le jeu Sims 4, assurez-vous que la ressusciter est très difficile et que vous risquez de perdre définitivement le personnage de ce Sim.
Les façons de tuer les plus courantes dans Les Sims 4
Dans l'univers des Sims 4, le jeu n'hésite pas à aborder la réalité morbide de la mort de Sim. Ici, nous allons explorer les morts les plus courantes qui peuvent arriver à vos Sims. Préparez-vous à plonger dans les scénarios sombres et macabres et à savoir comment tuer un Sim dans les Sims 4. Mais attention, les choix que vous faites peuvent avoir des conséquences mortelles pour votre Sim bien-aimé et créer un nouveau challenge dans votre vi..
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1. La mort par le feu Le décès par combustion dans Les Sims 4, connu sous le nom de tuer par le feu, présente un scénario périlleux pour les habitants virtuels du jeu. S'ils ne parviennent pas à éteindre un incendie ou à s'échapper, un brasier peut causer leur mort. La mort d'un Sim par le feu survient lorsque quelqu'un place des objets inflammables autour de lui et déclenche ensuite un incendie. Les Sims qui prennent feu finiront par périr s'ils ne sont pas éteints à temps. Quelques éléments à prendre en compte : - Le feu peut provenir de différentes sources telles que des appareils défectueux ou des cuisinières laissées sans surveillance. - Lorsqu'un incendie se déclare, les Sims doivent réagir rapidement pour l'éteindre en utilisant un extincteur ou en appelant les pompiers. - Si les flammes ne sont pas maîtrisées rapidement, la tuer par le feu peut être une issue tragique. 2. Mort par noyade La tuer par noyade dans les Sims 4 se produit lorsque l'énergie de nage d'un Sim s'épuise alors qu'il est dans l'eau, ce qui l'empêche d'atteindre la surface et entraîne finalement sa mort. Cette forme de mort est causée par un manque d'absorption d'oxygène, ce qui peut être fatal pour les Sims qui ne peuvent pas nager ou se mettre à l'abri à temps. Par exemple, un Sim peut également se noyer s'il tente de réparer un équipement de piscine défectueux alors qu'il est immergé dans l'eau ou s'il entre dans une zone de piscine fermée sans moyen de s'échapper. Pour éviter la mort par noyade dans les Sims 4, les joueurs peuvent prendre plusieurs précautions : - Ils doivent s'assurer que leurs Sims ont un niveau d'énergie suffisamment élevé avant de s'engager dans des activités liées à l'eau. En surveillant régulièrement les besoins de leurs Sims et en s'en occupant rapidement, ils peuvent éviter l'épuisement et les accidents de noyade potentiels. - De plus, s'assurer que les piscines ont des points d'entrée et de sortie accessibles permettra aux Sims de sortir facilement de l'eau en cas de besoin. L'installation d'échelles ou d'escaliers à proximité de la piscine permet aux Sims fatigués ou coincés de s'échapper rapidement. En étant attentifs aux besoins de leurs Sims et en prenant les précautions nécessaires, les joueurs peuvent éviter la mort par noyade et assurer la sécurité et le bien-être de leurs personnages virtuels dans le jeu Les Sims 4. 3. Mort par électrocution L'électrocution, l'un des décès les plus courants dans les Sims 4, se produit lorsqu'un Sim est mortellement choqué par l'électricité. C'est une façon dangereuse pour les Sims de trouver la tuer. Lorsqu'un Sim interagit avec des objets électroniques qui fonctionnent mal ou qui sont endommagés, il y a un risque d'électrocution. Pour éviter la mort par électrocution, il est important de veiller à ce que les objets électriques soient correctement entretenus et réparés régulièrement. Les Sims doivent éviter d'utiliser des appareils électroniques qui présentent des signes d'endommagement ou de dysfonctionnement. En outre, l'installation de détecteurs de fumée peut aider à détecter tout incendie électrique potentiel et donner au Sim un avertissement avant qu'il ne dégénère en électrocution. Dans de rares cas, la mort par électrocution peut survenir même si les Sims prennent des précautions. Cela peut se produire en cas de panne de courant ou si l'objet électrique lui-même est défectueux. Dans ce cas, il est conseillé de faire appel à un service de réparation professionnel dans le jeu pour résoudre le problème rapidement et éviter d'autres accidents. 4. Mort par chute de hauteur La chute de hauteur est un événement mortel dans les Sims 4, entraînant la tuer un sims concerné. Cette forme spécifique de décès survient lorsqu'un Sim perd l'équilibre ou saute intentionnellement d'une structure élevée, entraînant des blessures mortelles au moment de l'impact. Les conséquences de la mort par chute de hauteur peuvent être dévastatrices pour le joueur et les connaissances virtuelles du Sim. 5. Mort par congélation Dans le monde des Sims 4, mourir de froid n'est pas une mort ordinaire. Lorsque la température baisse, les Sims se retrouvent à grelotter de manière incontrôlée, leur souffle étant visible dans l'air glacial. Ils cherchent désespérément à se réchauffer, mais ne parviennent pas à échapper au froid. Lentement mais sûrement, leur vie s'éloigne au fur et à mesure que leur corps s'affaiblit.
Façons inhabituelles de tuer dans les Sims 4
Vous n'en reviendrez pas des façons peu communes dont votre Sim peut mourir. De la tuer par les coléoptères à l'invasion des mouches, le jeu offre à votre Sim une variété de façons uniques et inattendues de mourir. Préparez-vous à découvrir les morts étranges et parfois hilarantes qui attendent vos Sims dans le monde virtuel.
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6. La mort par les coléoptères Dans Les Sims 4, les Sims peuvent trouver la tuer par un moyen unique connu sous le nom de "Mort par les scarabées". Ces coléoptères ont une nature mystérieuse et mortelle, ce qui entraîne un destin tragique pour ceux qui en sont victimes. La mort par scarabée présente un aspect intrigant d'imprévisibilité dans le jeu. Les Sims peuvent être en train de vaquer à leurs occupations lorsque soudain, ils se retrouvent entourés d'un essaim incontrôlable de coléoptères. Ces insectes attaquent sans relâche le sim, entraînant sa mort prématurée. L'essaim de scarabées ajoute un niveau d'excitation et de danger au jeu, gardant les joueurs sur le qui-vive alors qu'ils s'efforcent de protéger leurs sims de cette menace. Comme d'autres formes de décès dans les Sims 4, la mort par les scarabées rappelle que même les vies virtuelles sont fragiles et sujettes à des fins inattendues. 7. Mort par écrasement par un lit Murphy Dans les Sims 4, un Sim peut connaître une tuer inattendue en étant écrasé par un lit Murphy. Cette façon unique et peu commune de mourir ajoute de la diversité à l'éventail des décès possibles dans le jeu. L'imprévisibilité de cette mort spécifique introduit un élément de surprise et incite les joueurs à être prudents lorsqu'ils interagissent avec les lits Murphy. Le fait d'être écrasé par un lit Murphy offre une expérience distincte aux joueurs qui cherchent à sortir de l'ordinaire. Pour assurer la sécurité et le bien-être de vos Sims, il est conseillé de prendre des précautions lors de l'utilisation ou de l'interaction avec les lits Murphy. Portez une attention particulière à l'état et à la stabilité des lits, car le fait de négliger des défauts mineurs peut avoir des conséquences désastreuses sur la vie de votre Sim. En étant attentif à ces dangers potentiels, vous pouvez éviter la possibilité terrifiante que des Sims trouvent la mort sous le poids d'un lit Murphy défectueux. 8. La mort par les plants de vaches La mort par la plante de vache est l'une des façons les plus rares et les plus mémorables pour les Sims de trouver la mort dans Les Sims 4. La vachère, une plante carnivore à l'apparence trompeuse, utilise sa langue en forme de gâteau pour attirer les Sims qui ne se doutent de rien. Lorsqu'un Sim prend une bouchée, il est rapidement englouti et consommé d'un seul coup. C'est un destin étrange et inquiétant qui ajoute un élément de surprise et d'horreur au jeu. 9. Mort par embarras La mort par embarras est une forme de tuer en Sims 4 unique et non conventionnelle qui survient lorsqu'un Sim subit une humiliation et une honte si accablantes qu'elles entraînent sa mort prématurée. Lorsqu'un Sim est extrêmement embarrassé, son état émotionnel se détériore rapidement et il est submergé par des sentiments de mortification. Cette gêne intense peut être déclenchée par divers événements, comme le fait d'être rejeté publiquement ou humilié devant d'autres personnes. Au fur et à mesure que l'humiliation du Sim s'intensifie, elle peut avoir de graves conséquences sur sa santé physique, jusqu'à le conduire à la mort. 10. Mort par les fleurs En plus des décès courants rencontrés dans les Sims 4, il existe des détails uniques concernant les décès provoqués par les fleurs. Il est essentiel que les joueurs soient conscients des dangers potentiels posés par les différentes fleurs et le feuillage. Historiquement, on raconte que pendant le développement des Sims, l'idée de la mort par les fleurs a été inspirée par des cas réels où des personnes ont eu des réactions indésirables ou des allergies aux fleurs, ce qui a entraîné des conséquences fatales. 11. Mort par un poulet tueur Les poulets tueurs des Sims 4 sont dangereux car ils attaquent mortellement les Sims qui ne se doutent de rien. Voici ce que vous devez savoir sur le danger d'une rencontre avec un poulet tueur : - Assaut imprévisible : Un poulet tueur peut attaquer soudainement tout Sim se trouvant à proximité, lui infligeant des blessures mortelles. - Picage impitoyable : Une fois provoquée, la poule tueuse picore sans relâche sa cible jusqu'à ce qu'elle succombe à ses blessures. - Talons mortels : Les serres acérées de la poule tueuse peuvent causer de graves dommages, entraînant la mort rapide du malheureux Sim. - Comportement sanguinaire : Ces adversaires aviaires font preuve d'une nature agressive et sanguinaire lorsqu'ils sont provoqués, ce qui en fait des adversaires redoutables. - Propagation virale : Les récits viraux de décès par poulet tueur ont rendu cette forme de simicide à la fois redoutée et vénérée au sein de la communauté des Sims. - Une vigilance de tous les instants : Pour éviter d'être tué par un poulet tueur, les Sims doivent faire preuve de prudence et être prêts à se défendre ou à fuir à tout moment. En plus du danger potentiel qui attend les Sims confrontés à un poulet tueur, ces détails uniques jettent la lumière sur cette cause de décès non conventionnelle. 12. Mort par un lapin tueur Dans le monde sinistre et imprévisible des Sims 4, il existe une mort de Sims connue sous le nom de "Rencontre fatale avec un lapin tueur". Cet événement horrible voit des Sims sans méfiance mourir prématurément aux mains d'un lapin cruel. Le lapin tueur se caractérise par ses intentions malveillantes et ses attaques vicieuses sur des Sims qui ne se doutent de rien. Une fois provoquées, elles poursuivent sans relâche leurs proies, leur infligeant des blessures mortelles avec leurs dents et leurs griffes acérées. Malgré leur apparence innocente, ces lapins possèdent une agilité et une force étonnantes qui leur permettent de dominer même les Sims les plus résistants. La mort par lapin tueur est un événement rare dans le jeu, ce qui ajoute un élément de surprise et de danger aux expériences de jeu des joueurs. Les joueurs doivent faire preuve de prudence lorsqu'ils rencontrent des lapins dans les Sims 4, car une mauvaise manœuvre peut sonner le glas de leurs avatars virtuels. Il est intéressant de noter que la mort par le lapin tueur est devenue l'une des façons les plus tristement célèbres de mourir dans les Sims 4. 13. La mort par le rire Le rire peut être tuer en Sims 4. Les Sims peuvent mourir de l'amusement excessif provoqué par certains événements ou interactions. Cette forme de mort unique ajoute une touche d'humour au jeu et offre aux joueurs des défis inattendus. Lorsqu'un Sim meurt de rire, ce n'est pas à cause de l'effet comique typique. Au contraire, les Sims peuvent se retrouver dans des crises de rire incontrôlables qui deviennent fatales. Ces crises de rire mortelles résultent souvent de situations humoristiques ou d'interactions sociales qui tournent mal. De plus, la fonction de mort par le rire dans les Sims 4 met en évidence la nature imprévisible du jeu. Elle nous rappelle que même des activités inoffensives peuvent avoir des conséquences néfastes pour nos personnages virtuels. Les joueurs doivent être prudents et attentifs aux émotions de leurs Sims pour éviter ces incidents fatals. 14. La mort par la foudre L'électrocution par la foudre des nuages pluvieux est un phénomène rare mais tuer en Sims 4. Lorsqu'un Sim est frappé par la foudre, ses chances de survie diminuent considérablement. La force électrisante peut provoquer une mort immédiate et laisser les autres Sims dans le deuil. Les détails uniques concernant la mort par électrocution n'ont pas été abordés précédemment. Il est important de noter que l'obtention de cette forme de mort implique certains facteurs imprévisibles, tels que des orages violents et le fait d'être à l'extérieur pendant un orage électrique. 15. La mort par vieillesse Au fur et à mesure que les Sims vieillissent, leurs capacités physiques diminuent et ils deviennent plus sujets aux maladies et à la fragilité. Ils peuvent présenter des symptômes tels que des rides, des cheveux gris et une mobilité réduite. Le processus de vieillissement peut également affecter leur bien-être mental, avec des pertes de mémoire et un déclin cognitif comme conséquences potentielles. Cependant, il est important de noter que contrairement à d'autres causes de décès dans les Sims 4, la mort par vieillesse ne peut pas être évitée ou inversée. Elle fait partie intégrante des mécanismes du jeu et rappelle la nature éphémère de la vie. Comprendre et accepter la mort par vieillesse dans les Sims 4 et dans la vie réelle peut être l'occasion de réfléchir à la beauté des moments fugaces de la vie et à l'importance de chérir nos proches tant qu'ils sont encore parmi nous. 16. Mort par surmenage Le surmenage dans les Sims 4 désigne le fait de pousser un Sim au-delà de ses limites physiques, ce qui entraîne sa mort. Cela peut se produire lorsqu'un Sim s'engage dans des activités intenses sans prendre soin de ses besoins ou lorsqu'il effectue des actions qui drainent rapidement son énergie. Les Sims peuvent connaître une fin tragique en participant à des activités physiquement exigeantes telles que des séances d'entraînement intenses à la salle de sport, la course à pied ou le jogging sur de longues distances, ou en nettoyant vigoureusement la maison pendant une période prolongée. Le surmenage pousse les niveaux d'énergie du Sim à des niveaux dangereusement bas, ce qui lui donne une sensation de fatigue et d'épuisement. Cet épuisement de l'énergie peut entraîner la mort du Sim. Avant de mourir de surmenage, les Sims peuvent présenter des signes tels qu'une respiration haletante, une transpiration excessive, des mouvements trébuchants et une apparence générale de fatigue. Pour éviter la mort par surmenage, les joueurs doivent s'assurer que leurs Sims bénéficient d'un repos et d'une alimentation adéquats pour reconstituer leur niveau d'énergie. Il est également recommandé de faire des pauses régulières pendant les activités physiques intenses pour éviter l'épuisement. 17. Mort par surchauffe Dans les Sims 4, les Sims peuvent mourir de surchauffe. Cet événement périlleux survient lorsque la température corporelle d'un Sim atteint un niveau dangereux, ce qui a des conséquences fatales. Lorsqu'un Sim meurt de surchauffe, l'incapacité de son corps à réguler sa température provoque de graves dommages et conduit finalement à sa mort. Bien que cette façon de mourir puisse sembler inhabituelle pour un Sim, elle ajoute un élément de réalisme et d'imprévisibilité au jeu. Contrairement à d'autres décès courants tels que l'incendie ou la noyade, la mort par surchauffe représente un défi unique pour les joueurs. Elle nécessite une gestion minutieuse des activités et de l'environnement d'un Sim pour éviter qu'il ne succombe à une chaleur extrême. Pour éviter la mort par surchauffe, les joueurs doivent prendre plusieurs précautions : - Il est essentiel de maintenir une température intérieure confortable. Placer des climatiseurs ou des ventilateurs dans l'espace de vie du Sim permet de réguler l'environnement et de maintenir la température corporelle stable. - En outre, il est essentiel d'éviter les activités physiques intenses lorsqu'il fait excessivement chaud. Les Sims doivent s'abstenir de faire de l'exercice ou de participer à des activités extérieures pendant les pics de température afin de minimiser le risque de surchauffe. - Une tenue vestimentaire appropriée peut également contribuer à prévenir la mort par surchauffe. Habiller les Sims avec des vêtements légers fabriqués à partir de matériaux respirants permet une meilleure circulation de l'air et aide à maintenir une température corporelle équilibrée. Read the full article
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Comment briser un couple, comment briser la nouvelle relation de mon ex
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blonde-mood · 4 years
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Tinder m’a tuer
Dimanche 27 septembre 2020, il est 11h20. 
Est-ce que Chipeur a agi seul ? 
J’ai pris le temps de réfléchir cette semaine à cette question. Comment en sommes-nous arrivés là .A mon sens, les sites de rencontres ont une part de responsabilité.
Avant l’avènement des réseaux sociaux et sites de rencontres, j’ai le souvenir que (dans ma jeunesse) les rencontres étaient fluides et sincères. On rencontrait des personnes à l’école, au centre commercial, dans des événements du type : fête de la musique… Les personnes qu’on rencontrait, cherchaient à nous connaître, elles nous posaient des questions sur nous, nos passions, ambitions etc… 
J’ai eu une longue relation et je suis arrivée assez tard (33 ans) sur le marché du célibat. En mode Candy (plein de naïveté) mais aussi assez confiante, je me suis vite rendu compte que les possibilités de faire des rencontres étaient quasi impossibles. Avec cette impression d’arriver à la fin du bal quand les musiciens commencent à ranger les instruments et qu’ils restent que les alcoolisés des soirées ou à la fin d’une réception où le buffet a été dévalisé et qu’il reste quelques mignardises à l’aspect et odeur peu appétissants.
J’avais une profil assez standard avec une vie sociale riche remplie de sorties et de voyages. Je travaillais dans une grosse PME dont 70% (même les stagiaires et alternants) étaient en couple (les 30% restants étaient veufs et / ou aigris).
Même si j’avais un réseau très dense, je n’étais pas fan des présentations. Les gens pensent toujours à des profils improbables et on peut vite se retrouver à « un date » à devoir être polie. Le pire c’est qu’après il faut rendre des comptes (et se justifier) et si ça ne fonctionne pas, on est estampillé « fille exigeante qui ne se mariera jamais ».
Entre-temps, les réseaux sociaux et applications de rencontres ont pris de l’ampleur. On a tous été séduit par cette digitalisation croissante et ses belles promesses : facile, simple et efficace.
J’ai longtemps été réticente à ce mode de rencontre car je suis une fille de la « vraie vie » et aussi parce que pour moi, les sites étaient comme les magasins d’usine remplis d’invendus.
Mais après avoir entendu quelques légendes urbaines : une copine, d’une copine qui a rencontré son mari sur un site. On finit par succomber à l’appel du numérique.
Comme beaucoup de personnes qui n’assument pas, je ne mets pas de photo pour sauver mon amour-propre (et j’indique que c’est pour des raisons professionnelles alors que personne ne me calcule à mon travail).
C’est ainsi que je me suis inscrite sur un site. Je ne sais pas si c’est la chance du débutant mais les premières personnes à qui on parle, ont l’air normales et nous donne l’espoir que notre passage sera éphémère. Mais très vite, on assiste à un défilé de profils et on ne trouve pas chaussure à notre pied. Alors sur les conseils d’amies, on va sur un autre site et puis un autre… Après quelques mois, notre téléphone a une page dédiée d’applications de rencontres.
Ce qu’il y a de drôle (c’est ironique), c��est que tout le monde procède de la même manière et on finit par retrouver les mêmes profils sur les autres applications. Le monde du célibat est un microcosme.
Le mode de fonctionnement est toujours le même. On pose les mêmes questions (prénom ? ville ? profession ? célibataire depuis quand ? enfants ? passions ?) puis on échange sur un réseau social ou par téléphone des photos, on s’appelle et si tout va bien on s’organise un rendez-vous.
La dernière étape est rarement atteinte. Je ne vais pas sortir des stats précises mais on parle (ou on est sollicité) par 50 gars, il y a en 10 qui vont passer l’étape du téléphone et seulement 1 qu’on va rencontrer. Et il faudra 5 rendez-vous pour se mettre en couple. C’est le taux de transformation le moins rentable du monde.
Le premier problème réside ici. Cette quête de l’élu (si tentait qu’il existe vraiment) est trop chronophage. Mais elle a aussi un effet invisible. Cette quête devient démotivante. On rencontre tellement de profils, qu’on est vite sujet à une crise de boulimie. Et cette idée qu’on ne trouvera jamais.
Ce taux de transformation s’explique en partie par la typologie des prétendants (typologie qui correspond à ma tranche d’âge 35-45 ans) : les mythomanes (ce n’est ni leur prénom, ni leur photo, si leur profession…) ; les papas divorcés (ceux qui cherchent une seconde maman et ceux qui sont aigris par leur mariage) ; les hommes mariés (cela, on ne les décèle pas tout de suite) ; les pervers obsédés (ils vous demandent des photos de vous en maillot de bain avant même de connaître votre prénom) ; les Peter Pan ( des mecs de 40 ans qui veulent encore s’amuser et qui vous disent : on a tout notre temps) ; les « éloignés » (habitant dans une autre ville ou pire à l’étranger, ils veulent une relation à distance) ; les philosophes / psychologues (des mecs instruits qui posent que des questions philosophiques ou ceux qui souhaitent nous psychanalyser) ; les baroudeurs de proximité (ceux qui en font des caisses sur leur ouverture d’esprit, leur humanisme, leur simplicité et quand tu creuses ce sont des mecs qui voyagent en Europe et qui sont un peu radins) ; les aigris (ceux qui écrivent des pavés négatifs sur les nanas) ; les mâles dominants (des smicards qui jouent les Christian Grey) ; les soumis (des mecs qui se prennent pour Anastasia), les hologrammes (les mecs qui veulent juste rester dans le virtuel) et j’en passe…
Malheureusement les catégories ne sont pas exclusives et on peut retrouver un homme dans plusieurs catégories.
Le second problème (à mon sens) c’est qu’il y a tellement de profils, qu’on finit par toujours chercher mieux. Il y a des profils très bien mais on finit par se convaincre qu’il y aura peut-être un jour celui qui coche toutes les cases de notre « love liste », le pompon (oui j’adorais les manèges enfant, surtout attraper le pompon). Et donc le site de rencontres devient addictif. Je suis sûre que certaines personnes sont inscrites depuis 5 ou 10 ans.  
Comme sur les paquets de cigarettes, il devrait avoir mention comme « fumer tue » ; « se connecter à un site peut nuire à votre spontanéité ou votre capacité d’aimer ou pire vous rendre aigri » (j’avoue c’est trop long mais c’est vrai).
« Tinder m’a tuer » (j’adore les émissions de criminels et j’étais obligée de faire un clin d’œil au fameux « Omar m’a tuer »).
Le troisième problème c’est que cette digitalisation, ce mirage de possibilités infinies, cette fausse accessibilité de contact a modifié les femmes certes mais surtout les hommes qui sont devenus attentistes. Ils ont fini par se cacher derrière une application de rencontres. Ils n’agissent quasiment plus.
Mais où sont les Hommes ?
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fabslaveblog-blog · 5 years
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Première Rencontre avec MASTERDIDIER (peut être mon futur MAITRE) 
smoverlimit.tumblr.com
Depuis longtemps, j’ai toujours eu un goût prononcé pour les relations D/s et l’univers du bdsm …..En 20ans, j’ai su prendre le temps de le découvrir et désiré graduellement plus. 
Pour des raisons diverses, les relations se sont toujours stoppées la ou le jeu pouvait devenir intéressant (mariage, déménagement, AVC)…Ou bien s’éteindre comme des feux de paille faute d’être en phase ou pouvoir s’apporter plus 
Cependant, dans mes recherches, il m’est arrivé fréquemment de me trouver nez à nez avec le profil d’un certain MASTERDIDIER qui avait l’air de savoir de quoi il avait envie en terme de domination….
Epluchant toutes ses références, sa personnalité n’a rien à envier à l’univers des films SM« discipline4boys » 
Lassais des plans « petit joueurs » et petite rigolade, je désirai depuis un temps quelque chose de plus fort, transcendant, aussi je pris contact avec lui…
D’abord, la conversation s’est bien engager…Puis, je reçu le message suivant: 
« Je crois que je n’aurai aucun feeling avec toi » 
Bizarrement, un an après, je réitérai ma candidature… 
Cette fois, son intérêt a celle-ci à abouti…Apres quelques « appel moi now batard ! »sur le mois afin de s’échanger quelques renseignements utiles…Il me convoqua pour une séance test. 
Je ne me suis pas laissé démonté si proche du but, même si cela m’a valu un nœud au ventre de me rendre chez lui, à cause de l’appréhension d’expériences nouvelles, voulu et consentie…
Je ne lui ai pas caché mes attentes, limites, ainsi que ma novicité…Mais, mon désir était de vraiment mettre la barre plus haute avec un MAITRE de sa trempe…Il n’y avait pour moi aucune ambiguïté sur le BOSS que j’allai rencontrer….Je savais parfaitement que ce n’était pas du genre à rigoler avec les petites natures, fantasmeurs ou autres pseudo bâtard qui ne sont rien d’autres au final que des trous à bite faisant une énorme confusion entre lopage en partouze et le larbin sous merde propriété et jouet d’un MAITRE impartial qui à tout droit sur lui et son corp pour son seul plaisir….
 Ainsi, je me suis pointais sur le lieu de rendez vous, « une centrale électrique »ou je devais le rejoindre pour le suivre jusqu'à sa demeure….Je me suis déjà tiré à la dernière minute via un bon coup d’accélérateur , mais, étrangement je l’ai suivi jusqu'à destination 
Sur place, de suite j’eus droit à :
« Reste ou tu es batard ! »  
Je ne bougeai plus, et il ouvrit lui-même la portière contrôler si ma tenue était en règle conformément aux injonctions tantôt données…. 
La, je fis d’entrée ma première grosse bourde, elle fera très certainement rire ses autres slaves que je nomme ici MONSIEUR, ou MESSIEURS (me sentant inférieur à eux qui sont mieux dressés et plus endurant que moi) car, involontairement, j’ai osé croisé son regard droit dans les yeux…..
Je peux Vous dire que j’ai été de suite mis au parfum que si cela se reproduisait, il me démontera la gueule directe…Ainsi , ça m’a coupé toutes envies de recommencer au point même d’en arrivé à oublier immédiatement ses traits à peine appercu…Ca commençait bien pour mon matricule 
Sans ménagement il me mit un énorme collier cuir ainsi qu’une laisse de fer, et me sortitde la voiture…Je prenais grand soin que de regarder ses rangers et son treillis gris et blanc….
Il me plaqua contre le mur de la maison, releva ma tête et me demanda d’ouvrir ma gueule dans laquelle il cracha un mollard
Je ressens encore la pression du jet, sa douceur et son goût…J’en arrive encore à m’en délecter par le souvenir…Puis :  
« A poil bâtard ! » 
-Cette fois impossible de reculer, de renoncer, et très excité de devenir sa sous- merde, être exploité de fond en comble le temps d’un test …..Quel honneur !, et quelle chance !, ça j’en étais très conscients …
Mon corps et tout mon être frétillait  de savoir comment j’allai être avilie, larbiné, utilisé , traité….Si bien que j’arrivai plus a savoir si c’était de froid d’être nu comme un ver dehors ou de façon nerveuse tant je perdais tout contrôle , identité…. 
Il me fit entrer et mettre face au mur de son garage, jambe écartées…Ses mains ont commencées à me palper aux travers de ses mitaines de cuir….J’ai senti son doux contact dans mon dos, tandis qu’il me menottait les mains…
Je ne lui opposait aucune résistance…il me parlait doucement :
« As-tu peur ? »
« Dis moi ce que tu as dans la tête ? Sois honnête, je veux tout savoir » 
Que lui répondre ?….Si j’avais les mots nécessaire et explicite pour le lui dire, exprimer, que ferai-je chez lui à désirer ce type de relation, cette art de vivre ? 
« Je suis ravie de m’offrir à Vous et me sens à.. » 
Pas le temps de finir mes élucubrations que
« Ca je sais bâtard ! Sors moi autre chose, tu me l’as déjà dit ! » 
Puis, plus doux
« J’aime que mes slaves soient intelligent, savent se montrer original »
 L’originalité ce n’est pas ce qui manque dans ma vie de tous les jours, mais devant autant de fermeté et de spontanéité, saurai-je tenir partie de cette contrainte ? Bien, qu’effectivement, je ressens déjà le désir de lui apporter beaucoup de satisfaction, conscients des conséquences à subir…..  
C’est d’ailleurs ce qui allait très vite se vérifier….
Je sentis son poids se décoller de mon dos et ses mains détacher les mousquetons qui retenaient mes poignets
« putain Bâtard carte ! ca doit toujours être écarté ! Toujours ! » 
En effet, j’avais resserré mes jambes…Malgré moi… 
« On va entrer chez moi ! Ouvre la porte ! » 
J’ouvris la porte, et m’engagea dans sa demeure, a peine eus –je fais un pas à l’intérieur qu’il me ramena derrière lui
« Jamais passer devant le Maître ! Jamais ! , tu ouvres et tu me suis »
 A l’intérieur, la température était plus douce, et je me sentis déjà plus à l’aise pour entamer cette première séance
Il m’amena jusqu’au salon, ou il me fit mettre a genoux jambes écartées…..Face à moi, une grande baie vitrée qui offrait à ma vue , un décor familier….Le jardin, la terrasse notamment que j’avais aperçu sur les photos mis en ligne sur les sites Internet ou Maître avait un compte
Le sachant select, j’étais comme honoré d’avoir retenu son attention et passer de l’autre côté du miroir…Du virtuel, vivre le réel…..Délicieuse sensation…. 
Puis, vint un premier coup sur le dos, suivi d’un second
« Tu es endurant à la douleur ? Aimes-tu souffrir ? » 
En toute honnêteté, j’ai répondu que non, bien qu’ayant déjà recu la fessée modérée via divers accessoires 
« Tu aimes le poppers ? Tu as des problèmes de santé ? Ici, je ne veux pas d’accident, alors soit honnête » 
Je sentais bien qu’il avait un fort charisme , mais , cette façon de soucier avec un côté rassurant, me mettait de plus en plus en confiance….Comme si je devinais le velours abritant une poigne de fer….Mon diagnostic s’avéré juste…. 
Après m’avoir gazé doucement, la matraque s’abattit plusieurs fois sur mon dos….Au début , il me demanda si ça allait, et si j’en voulais encore…..Ce à quoi , et bien sur parce que c’était dans l’ordre du supportable , je répondis :
« OUI, Maître »
« Alors pourquoi ne le demandes-tu pas, batard ? »
« Encore MAITRE » 
Un nouveau coup , une attente
« Encore MAITRE » 
Un coup plus fort que les autres 
« Encore MAITRE » 
Cette fois :
« COMBIEN ! »
« 5Maitre »
Ca peut sembler petit joueur, mais pourquoi s’aventurer a en demander plus que de raison lorsque l’on a peu d’expérience et d’endurance a cette pratique ? La voloté et la motivation ne sont pas raisons suffisantes en cette quête  
« Compte ! » 
Paf, un coup tomba
« UN »
Supportable 
Paf !
« deux »
Un coup plus fort 
PAF
« trois »
Cette fois , c’etait du sérieux 
PAF
« quatre »
J’appréhendai tant le 5eme que Maître a senti ma crispation 
« Je fais ce que je veux de ton corps, il est ma propriété, alors donne le –moi Bâtard ! » 
ET paf ! Je reçu le dernier coup de cette série de matraque 
La sensation ressentie reste inexplicable, je n’ai pas été malmené , je peux avouer que j’ai même éprouvé un certain plaisir a sentir Vôtre ascendance Maître sur l’offrande de ma personne . 
Après un calme, dont je ne me souviens plus de la durée, car le temps prend toute autre mesure dans ces situation….Vous m’avez fait approchez de Vous, a genoux , têtes posée sur Vôtre entrejambe, je me sentais à la place qui convient, Vous respirez encore et encore sans modération pour Vous apprivoiser……
En cette instant, je suis pleinement entré dans le jeu , viser Vôtre satisfaction, Vôtre plaisir…..J’espère avoir été suffisament éloquent lorsque de ma langue, j’ai été pris par lenvie de vénérer Vos mitaines de cuir, Vos doigts …Cette infâme matraque a laquelle j’ai goûté tantôt et qui devenait un  véritable objet de dressage duquel j’aurai plutôt tout à craindre à l’avenir en cas de désobéissance ou mauvaise conduite…. 
Vous m’avez laissé suffisamment de temps pour me délecter de ce moment, et je Vous en suis grés MAITRE, même si ,le plus juste serait d’écrire : 
-         Vous avez su pleinement savourer le plaisir d’avoir un bâtard motivé à Vos pieds capable de Vous apporter une quelconque satisfaction et un commencement de plaisir…..-          
M’égarerai-je de penser que Vous avez réellement apprécié MAITRE ? Vous dont que je devine fin gourmet aux désirs d’être véritablement surpris….. 
Pour des raisons MAITRE que Vous m’avez signifiées, je vais y aller plus directement 
J’ai aimé me donner a Vous pour recevoir le ceinturon, son claquement dans la cuisine m’a excité, et je dois avouer que par rapport aux autres accessoires utilisé, j’aurai pu VOUS endemander encore plus… 
J’ai adoré me retrouvé nu dehors, faire le tour du propriétaire avant que Vous ne me mettiez aux labeurs, ce contact de la terre et de la pluie sur moi….Etre abandonné aux travaux, avant sans que je m’y attende vous reveniez me motiver cette fois au fouet
Egalement, j’étais à ma place lorsque illico presto, vous me faisiez venir aux pieds soit pour ramasser une pierre, soit pour uriner ou bien être châtier
Oui, mon érection en était la preuve la preuve….car J’ai compris que Vous saviez bien faire usage d’un batard MAITRE
Même si peu habitué aux fouets, pour l’apprécier pleinement, il était mérité de Vous voir arriver d’un pas décidé pour le faire claquer sur ma viande pour avoir oublier de ramasser une herbe….La brulure de celui-ci et Vôtre suprématie me motive davantage
Votre autorité et sévérité était largement justifiée Maître
 Tout en léchant vos pieds et entendant votre conversation avec Monsieur Votre slave numéro 1, j’ai ressenti que l’excitation  montait lorsque Vous m’évoquiez à lui …..Et je trouve même tout a fait normal queVos slaves puissent avoir le mot à dire  ou avis à donner , me concernant….
Les travaux forcés et la salle des tortures méritent que j'en touche mots...  En effet, l'ambiance de votre remise est en adéquation quant à l'usage que Vous en faite, l'odeur, la luminosité, l'atmosphère qui y règne ….J'ai d'abord cru en y entrant que nous irions chercher quelques outils indispensable pour la suite des évènements…… Mais, je compris vite lorsque vous m'avez attaché et expliquer sa vocation que Vous alliez Vous amusez un peu avec Vôtre nouveau joujou…bien que je l’aurai plus cru avec Vôtre nouvelle pièce juste à côté…En effet, j’ai pensé à un moment après y être entré que la porte allait se refermer derrière moi, et qu’elle ferait office de cellule d’isolement ou qu’a Votre aise Vous pourriez Vous divertir à Votre guise….
La chaîne était une nouveauté pour moi, son contact lourd et appuyé était une épreuve….Mais Vous avez bien dosé les temps dans lesquels je pouvait me serrer contre Vous, et les sévices Maître Quant au travail forcé, il s’est imposé à moi beaucoup plus divertissant que si je l’avais fait seulement pour bosser…Bien sur, , la qualité servi est la même, mais le fait d’être sous Votre surveillance, exigences, et ordres changent la donne C’est une chance qu’il n’ait pas fait beau temps, Je déplore ne pas avoir vu dans Vos yeux le plaisir dont Vous pouviez en tant que Maître,Vous délecter et jubilé de me voir nu , jardinant…Au bon gré de Votre volonté…Je n’aurai pour rien au monde voulu que s’interrompre ce sentiment, d’humiliation , d’appartenance et d’exploitation au contraire….Je l’aurai même exécuter fer aux pieds et enchaîner si cela aurait pu Vous faire plaisir…..Les temps ou Vous m’aviez abandonné seul au labeur, je Vous imaginez assis sur la chaise , contrôlant la qualité de mon travail Ce fut un moment clefs de ce test ou j’ai ressenti le désir de soumission encore plus fortement et agréablement que je ne me l’imaginais Maître…Et je souhaite vivement le ressentir à nouveau , même si je ne saurai peut être jamais quelle jouissance cela Vous donne….Apres tout, l’important a mes yeux de sous race, c’est de faire en sorte qu’elle existe et soit forte car rien n’est trop beau pour mérité l’intérêt du Maitre
fabslave
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la-plume-de-maxim · 3 years
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Séance #6: Les identités cachées en ligne
Internet offre la chance incroyable à tous ses internautes de communiquer entre eux, peu importe où ils se trouvent dans le monde, en autant qu’ils aient accès au wifi. Cependant, comment être certain que la personne à qui on croit être en train d’échanger est réellement la personne qu’il ou elle prétend être? Désormais, il est fréquent, du côté des internautes, d’utiliser un pseudo, quelques mots seulement pour se décrire et parfois aucune photo ou bien une photo de son animal de compagnie ! (Beuscart et al., 2013: p.61-62) Avec ses quelques pauvres informations, la tâche devient ardue de bien identifier un internaute. À mon avis, il est difficile, de nos jours, de faire confiance à quelqu’un rencontré sur Internet, que ce soit dans un contexte de dating ou même professionnel. Par exemple, dans le domaine des relations publiques, un domaine qui m’intéresse beaucoup, les médias sociaux sont de plus en plus utilisés pour rejoindre un plus grand public. Un gros avantage de ce nouveau moyen de communication est qu’il favorise le dialogue entre une organisation et ses publics au lieu d’une relation de contrôle. De cette façon, les publics ont davantage confiance en l’organisation. Cependant, avec la possibilité d’anonymat qu’offre Internet, il n’est pas aussi simple que cela de faire confiance à qui que ce soit en ligne. Certains utiliseraient, par exemple, des faux-blogues pour effectuer une surveillance complètement anonyme en ligne (Millette, 2014: par. 20). Bref, que ce soit à des fins personnelles ou professionnelles, le web offre une multitude de possibilités de changer qui on est réellement. Pour certaines personnes, dans leur vie personnelle, il devient attrayant de de se créer une vie, comme les millions d’adeptes de l’application Bitstrips. Cette application permet à ses utilisateurs de se mettre en scène à travers des vignettes de BD (Virginiespies, 2013). Je trouve le concept de se réinventer en ligne un peu inquiétant, car, entre autres, certaines personnes ont de la difficulté à faire la différence entre ce qui est réel de ce qui est virtuel. Finalement, toujours devoir se méfier en ligne devient un obstacle dans la vie quotidienne, soit par rapport aux entreprises qui se créent des fausses identités, aux gens qui veulent faire des rencontres amoureuses en lignes, etc.
Maxim Dufour
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Observation n°4 au lycée François Rabelais
Jeudi 4 février - début de l’observation : 8 heures 
L’enseignant me fait entrer en première dans la salle, me demande de me mettre du gel hydroalcoolique, et me propose une table qui n’est pas occupée, dans le fond. Tout de suite, il me demande si je suis encore d’accord pour faire une présentation de la licence de sociologie, à la fin de l’heure. En effet, il m’avait déjà demandé lors de nos échanges par mails. 
Dès que les élèves entrent, je me suis rendue compte qu’il n’y avait plus de système de demi-classes pour eux. Une fois qu’ils étaient tous installés, la salle était remplie, il y avait plus de 30 élèves. Ainsi, le régime de demi-classes, en période de pandémie, ne s’applique plus aux terminales de ce lycée, contrairement aux autres niveaux qui continuent d’appliquer ce système. On voit alors que malgré l’annulation de certaines épreuves du baccalauréat, le lycée a pour but de préparer les élèves à l’enseignement supérieur, et essaie de faire en sorte que les élèves ne décrochent pas ou ne prennent pas de retard. 
Ce matin-là, l’enseignant commence un nouveau chapitre mêlant sociologie et sciences politiques : “Comment expliquer l’engagement politique ?”. Il me propose alors un dossier pour que je puisse suivre le cours avec eux. Comme j’ai eu ce professeur en classe de terminale, je remarque qu’il n’a pas changé sa manière de présenter le cours. Pour cause, il distribue toujours un polycopié, comportant le plan du chapitre, ainsi que des documents et des questions associées. Alors, il demande d’abord aux élèves de travailler en autonomie : analyser les documents et répondre aux questions. Ensuite, il corrigera avec eux et finira par une synthèse des éléments à retenir. Pendant ce temps d’autonomie, il n’y a aucun bruit, tous les élèves se mettent au travail. Très peu d’élèves ont besoin de l’aide du professeur, chose qui n’est pas toujours le cas dans d’autres classes (cf. à l’observation des premières STI2D en cours de mathématiques). L’enseignant passe quand même dans les rangs pour regarder certaines réponses et aider si besoin. Finalement, il reprend seulement un élève qui ne fait pas de réponses assez développées et qui ne fait pas d’effort de rédaction. Puis, quand vient le temps de la correction, beaucoup d’élèves sont volontaires pour prendre la parole. Ici, la question était de trouver des exemples de différentes formes d’engagement politique (militantisme, consommation engagée…). Ainsi, un premier élève commence en faisant référence au boycott récent de l’enseigne Zara. Puis, beaucoup d’élèves enchaînent, chacun leur tour, pour proposer d’autres exemples. Je vois alors un énorme contraste avec notre précédente observation d’une autre classe de terminale, dans cette même matière, où la professeure devait faire les questions et les réponses toute seule. On voit alors que le professeur encourage la participation avec ce type d’exercice, et que les élèves sont très réceptifs. Je pense que le fait que l’enseignant s’arrête et commente chaque remarque d’un élève, les encourage aussi à persévérer. La communication entre lui et ses élèves ressemble plus à une discussion, à un échange de savoirs, qu'à un questionnaire. Après avoir vu certains mails et avoir discuté avec des élèves, je me dis que c’est peut-être lié à l’avertissement que leur avait adressé le professeur, plus tôt dans l’année, ou à cause de la pression qu’ils peuvent avoir par rapport aux études supérieures. Après cette discussion, le professeur leur indique qu’ils sont allés plus loin que le programme, car ils participent bien. Les élèves sont d’ailleurs demandeurs de plus d’informations et de détails, malgré qu’il n’y est plus le baccalauréat. A la deuxième série de questions, je remarque en plus que les élèves n’hésitent pas à s’entraider, contrairement à l’autre classe de terminale. Ainsi, la participation et la réussite des élèves dépend également de l’ambiance de classe. Après cela, le professeur fait une synthèse de tout ce qu’il faut retenir de la première partie de ce chapitre. Ainsi, il énonce d’abord quelques définitions importantes et indispensables pour comprendre les enjeux de ce cours. Puis, il continue avec des phrases toutes faites qui expliquent l’essentiel. Cette synthèse est dictée par le professeur, il lit tranquillement et répète chaque mot. Alors sur ce point, il ne les prépare pas vraiment aux études supérieures. Toutefois, il a précisé qu’il allait changer cela très prochainement, afin de les habituer. Cependant, il fait quelques références à ce que l’on peut voir en licence de sociologie. Par exemple, en parlant du livre de Durkheim Les Règles de la méthode sociologique, où il énonce que pour faire de la sociologie, il faut se détacher de toutes nos prénotions, chose que nous avons apprise au premier semestre. 
Récit de ma prise de parole : 
10 minutes avant la fin du cours, le professeur me fait un signe comme quoi c’est à mon tour de faire ma présentation de la licence. Cet échange avec les élèves m’a permise de remarquer plusieurs choses : 
Le stress des élèves par rapport à leur orientation → En effet, le professeur m’a dit en début de cours, que peu de personnes lui avaient parlé d’une licence de sociologie comme projet d’avenir. Pourtant, les étudiants m’ont posé des questions concernant le programme de cette filière et voulaient que je développe ce qu’était l’anthropologie. 
Le stress de ne pas réussir à l’université → Premièrement, quand j’ai expliqué aux élèves qu’il fallait lire (de longs textes), cela leur a fait peur. J’ai également évoqué la question du travail en autonomie qui avait l’air difficile à envisager pour eux. Pour finir, la question de la prise de note leur a également fait peur. Pour cause, j’ai évoqué ce point, car je voyais que l’enseignant leur dictait le cours. Ainsi, je leur ai dit qu’à l’université, les professeurs faisant des cours magistraux allaient beaucoup plus vite, et qu’en plus, ils ne répétaient pas toujours. En disant cela, j’ai vu que cela inquiétait beaucoup d’élèves de ne pas réussir à suivre. De plus, à la fin du cours, un élève m’a demandé ma moyenne générale de l’année dernière pour comparer mon niveau au sien. Il avait peur de ne pas réussir à l’université. 
Le stress de la situation de crise sanitaire → Ils m’ont également posé des questions sur comment l’université gérait la situation. Effectivement, ils m’ont notamment demandé si les profs continuaient à faire cours, malgré le fait que nous soyons à distance. Je leur ai donc répondu que oui, qu’ils étaient très mobilisés dans cette période, pas comme certains au lycée (comme nous avons pu le constater l’année dernière). De plus, ils m’ont aussi demandé si les échanges et la création de liens avec les autres étudiants étaient possible. 
Ainsi, j’ai pu voir que les élèves étaient très attentifs et qu’ils se préoccupent beaucoup de leur orientation. 
Les mails de l’enseignant à ses élèves : 
L’enseignant m’a ensuite montré les mails (collectifs) qu’il envoyait à ses étudiants. C’est aussi un des avantages d’enquêter nos anciens professeurs, c’est qu’ils sont vraiment prêts à nous aider et n’ont aucune méfiance. Ainsi, j’ai pu remarquer différentes choses également :
Une relation affective → Quand j’ai discuté avec l’enseignant, je lui ai demandé s’il y avait une certaine relation affective entre lui et ses élèves. Ce à quoi il m’a répondu en riant : “Pas vraiment, à part souhaiter la bonne année”. Toutefois, quand je lis certaines conversations, j’ai l’impression de retrouver ce lien. Par exemple, dans un mail, le professeur remercie ses étudiants de leur comportement et leur dit qu’il est “très agréable” de leur faire cours et qu’il a “beaucoup de chance” d’avoir cette classe. Il fait également usage de l’humour en envoyant un message qui stipule que tous les élèves ayant eu faux sur l’auteur du concept de capital culturel devront faire “10 pompes” au prochain cours. 
Une relation à distance → En comparant notre expérience de l’année dernière et celle de cette année, les discussions à distance entre élèves et professeurs sont beaucoup plus récurrentes, même quand les élèves ne sont pas en demi-classes. Ainsi, j’ai l’impression que le confinement a développé les relations virtuelles entre enseignants et élèves. De plus, j’ai vu également que quand les élèves ne venaient qu’une semaine sur deux en cours, l’enseignant ne les laissait pas inactifs. En effet, il a posté de nombreux messages afin de leur donner des devoirs. 
La responsabilité de la réussite de ses élèves → L’enseignant s’est arrêté sur un mail en particulier : celui où il disait à ses élèves que leurs résultats étaient insuffisants. En effet, il dit dans son message qu’il attend beaucoup plus dans les contrôles et qu’ils ne travaillent pas assez chez eux. De plus, il leur a également rappelé que les SES représentaient un très gros coefficient pour eux au baccalauréat (quand il était encore maintenu), et qu’il était donc nécessaire de redoubler d’efforts pour l’obtenir. Il était plutôt fier d’avoir envoyé ce message, car cela avait provoqué un déclic chez ses élèves, et ils se sont mis à mieux travailler. On voit alors qu’il est soucieux de la réussite de ses élèves. 
La préparation au niveau supérieur → Encore une fois, on peut remarquer cet aspect dans ses mails. Pour cause, comme à l’université, l’enseignant donne une bibliographie optionnelle, afin d’aller plus loin, chose qui ne faisait pas l’année dernière. De plus, j’ai également remarqué qu’il donnait beaucoup plus de grands textes à lire (20 pages, voire 50 pages une fois), chose qui les prépare également au niveau supérieur, et qu’il ne faisait pas non plus l’année dernière. 
L’importance de l’orientation → Pour finir, j’ai également remarqué que l’enseignant s'investit beaucoup dans l’aide à l’orientation. Pour cause, il a fait intervenir un sociologue, afin qu’il leur parle de son métier et que les étudiants puissent lui poser des questions. De plus, il a également dit à ses élèves que comme ils avaient apprécié cette rencontre et “jouer le jeu”, il demandera à un économiste d’intervenir plus tard dans l’année. Ensuite, j’ai également vu qu’il mettait des liens dans les discussions de groupe, afin d’encore une fois mieux les orienter.
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papercrownxyz · 4 years
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Spin & Social Media
Jour 114 - 26 Jandiver 2021, 15h43
J’suis parti en couilles. Pas assez de sommeil sur 3 jours d’affilée, quelques taffes d’un spliff la veille, qu’en sais-je.
Julie me parlait d’un simple fait qu’elle trouvait dommage que je ne change que maintenant, alors que nous ne sommes plus ensemble. Certes, c’est un peu tard, mais pourquoi le mentionner alors qu’on sait très bien où on en est ?
Elle kiffe sa vie avec D., même si elle me dit qu’elle et qu’il ne cherche rien de sérieux, et cette mini inconscience / mention à moitié passive-agressive m’a complètement trigger. J’ai passé de 12h30 à 18h dans une rage verte au fond de moi, jusqu’à ce qu’elle m’explique par vocal que j’avais juste sur interprété la situation, comme si c’était moi qui était devenu inconscient avec ses conneries.
Elle ne se rend juste pas compte de la portée de ses mots, et j’ai juste pas réagi de la bonne façon. Triggered AF that’s for sure, c’est bien dommage, mais au moins - du moins de ce qu’elle me dit - elle sait ce qu’elle veut : sa liberté, sa vie solo.
Je pétais un plomb intérieurement car j’interprétais ça comme si elle me disait “j’aurais espéré qu’on ait eu ça ensemble”. Mais pourquoi me le dire maintenant ? Voulait-elle revenir avec moi ? Tu vois le délire. Surtout quand moi je commence à prendre mes ailes, me resocialiser, mettre en action mes projets, kiffer ma propre vie.
J’ai fini par cool down suite à ses vocaux, mais j’avais déjà dépassé ma réactivité habituelle par texte, j’étais parti bien trop loin, bien trop deep, bien trop sérieusement. Elle s’est excusée platement, ne voulait pas ressasser le passé, ne voulait rien changer, sait très bien ce qui s’est passé et qu’il n’y avait pas besoin de remuer le couteau dans la plaie.
///
Plus intéressant encore, je me suis retrouvé passé minuit, allongé dans mon lit, à réfléchir au fait qu’on se verrait ce mercredi, en 1/1, pour une session de coaching sur la cybersécu et l’informatique en général, ce que j’ai étudié au final.
Je me demandais, au fond de moi, ce qui rendait nos interactions plus intéressantes dernièrement, et comment créer un érotisme, une tension sentimentale, fluide, sexuelle. J’ai immédiatement pensé à la présence immédiate qu’on offre à quelqu’un lorsqu’on lâche tout, téléphone, notifications et toute autre distraction.
C’est là où j’ai eu un flashback. Tout d’abord du confinement, puis des années passées à vivre ensemble. De ce moment en mi-Septembre, où tous les deux nous étions assis dans le canapé et où elle m’a sorti qu’il fallait mieux que je m’occupe d’elle plutôt que de mon jeu de sudoku ou peu importe quelle merde à laquelle je jouais. D’autres flashbacks ont poppés, ceux de post 2018 où on a vécu ensemble à Dub, les maintes fois où j’me suis retrouvé pendant des heures sur Twitter, à moitié absent et à moitié présent, tout le temps. J’ai clairement négligé notre relation par mon manque de présence, par mon absorbtion de ces réseaux infinis et sans possibilité de terminer le game.
Je me revoyais, pendant des années à moitié sur mon tel, que ce soit depuis 2016/2017 avec l’histoire avec L. Même sans vivre ensemble je passais mon temps à vivre une vie virtuelle, à observer les feats et vies d’autres personnes, à défaut de vivre la mienne à 100%. Ridicule. Illogique. Irréel.
J’ai honte, aujourd’hui. Honte d’avoir manqué à cette si simple mission de faire attention à ce qui se porte devant moi, honte de toujours vouloir m’échapper de ma vie si “semblant” misérable. Ca n’a aucun sens. J’avais tout devant moi, j’aurais pu apporter sans, si seulement je n’avais pas été devant ce putain de téléphone, devant YouTube, qu’en sais-je. Ridicule, encore une fois.
Pas étonnant qu’en post-confinement elle ait pété un plomb. J’avais mes échappatoires en ponçant les vidéos YouTube, les jeux et Twitter pendant des mois, je n’avais pas besoin de quoique soit d’autre. Elle n’était pas aussi addict - un peu - que moi, mais clairement mon attention n’était pas là. Je la voyais de plus en plus absente de nos discussions sur 2020, à elle-même mirrorer ce que je lui infligeais depuis des années.
Pas étonnant encore qu’en post-confinement elle ait cherché du réconfort en dehors de l’appart, à rencontrer des personnes attentives cette fois, mixé avec de la nouveauté et une présence totale lorsqu’elle les voit. Saupoudre tout ça d’un manque de baise et de quelques rejets, recipe for disaster ma gueule.
Fin du game.
Je me remet en cause énormément, et comme le dit mon bon pote R., ça ne sert à rien à reréfléchir aux causes de la rupture. Mais c’est important, même extrêmement important pour moi de souligner ce qui n’allait pas pour ne plus répéter ce pattern horrible.
Au final, cette addiction aux SM, YouTube et autres merdes m’a juste fait rendre compte que c’était aussi ça qui : 
me faisait mater du porn et donc perdre une libido normale
m’empêchait de réaliser mes projets et rêves, vu le temps que ça me bouffait
m’effaçait dans toutes les interactions que j’avais, à 50% avec l’autre et à 50% avec mon tel, prêt à m’échapper
Encore il y a une semaine j’étais sur la plage de Bogatell en train de taper un volley, et je passais mon temps à mater mon tel, répondre aux WhatsApp alors que j’avais une putain de vie à faire ? Mais what the actual fuck, Manu. Sérieusement quoi. Vis ce qu’il y a à vivre devant toi, plutôt que de t’enfuir dans l’irréel de ton tel.
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jammershopers · 4 years
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Les brouilleurs mobiles peuvent résoudre la dépendance des enfants à Internet
Bien qu'avec le développement de la science et de la technologie, nos téléphones intelligents se sont améliorés en termes de sécurité, mais ils ne sont pas complètement sécurisés et il existe des facteurs d'insécurité. Ces facteurs peuvent facilement devenir des pirates informatiques et attaquer votre téléphone intelligent pour obtenir vos informations importantes. . La prochaine étape pour une sécurité accrue sera l'existence de vulnérabilités découvertes par de nombreux pirates. La découverte de vulnérabilités constituera une menace pour les utilisateurs de téléphones intelligents. L'utilisation imprudente des téléphones intelligents peut faire de vous un pirate informatique qui attaque les téléphones intelligents. La fuite de téléphones intelligents laissera les pirates informatiques. Ceci est très important pour propager le virus via votre téléphone mobile, et il est essentiel d'atteindre les dix premiers résultats, ce qui permettra aux pirates de tirer le meilleur parti.
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Le téléphone mobile est un formidable outil d'invention, que ce soit pour le travail ou la vie des gens, mais il est toujours exposé à cette situation, ce qui conduit inévitablement les gens à mal comprendre cela. Cela se produit-il dans votre famille? Votre enfant restera-t-il éveillé toute la nuit avec un téléphone portable? Si c'est le cas, je vous suggère d'acheter un brouilleur de téléphone portable pour éviter ce comportement. Ce n'est pas un mode de vie sain. D'une part, le but principal des enfants est d'apprendre et non de dépenser toute leur énergie sur Internet. En revanche, le développement physique et mental des enfants n’est pas encore sain et l’utilisation excessive des téléphones portables affectera leur croissance saine.
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Si la sonnerie du téléphone interrompt la réflexion de l'orateur lors d'une réunion importante, cela le contrariera et distraira les participants. Il est impoli de faire sonner le téléphone portable dans la salle de réunion. Par conséquent, dans de nombreuses réunions avant l'invite, le téléphone mobile sera éteint ou mis en mode silencieux. De nombreuses entreprises n'autorisent pas les téléphones portables à assister aux réunions pendant cette période. Visible sur les téléphones mobiles, l'interdiction d'utiliser les téléphones portables deviendra de plus en plus claire. Si vous êtes en réunion, à quelle fréquence entendez-vous le téléphone sonner pendant la réunion? Je pense que vous serez aussi en colère que moi, insatisfait de ce comportement et même gronder le propriétaire du téléphone. C'est une fin malheureuse, pas ce que nous voulons voir. Afin d'éviter ce résultat désagréable, il est nécessaire d'utiliser un brouilleur de téléphone portable dans une salle de réunion. Son utilisation dans une salle de réunion présente de nombreux avantages. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, les phénomènes non civilisés sont interdits. Cela n'interdit pas seulement les sonneries de téléphone portable, mais interdit également l'utilisation de téléphones portables pendant cette période.
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Les brouilleurs GPS portables peuvent interférer avec les signaux GPS L1 jusqu'à une portée maximale de 15 mètres, et la portée des interférences peut être affectée par l'environnement. Il utilise également une conception portable, qui est très facile à transporter et à cacher. Il peut fonctionner longtemps lorsqu'il est complètement chargé. Il n'affectera pas le signal GPS des téléphones mobiles et autres appareils électroniques. Bien sûr, la fonction GPS du téléphone portable ne peut pas être utilisée normalement lorsqu'il fonctionne. De même, nous vous fournissons également des adaptateurs et des chargeurs de voiture avec des caractéristiques uniques, qui sont devenus des produits populaires sur le marché des brouilleurs GPS.
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Face à de tels incidents, la sécurité des enfants est non seulement devenue une préoccupation de nombreux parents, mais a également attiré l'attention du gouvernement et d'autres départements concernés. Comment résoudre la relation entre les enfants et l'Internet mobile? Comment autorisez-vous les enfants à accéder à Internet en toute sécurité? La cause profonde de cette situation est l’utilisation des téléphones portables. Nous savons que l’amélioration du niveau de vie des gens a poussé de nombreux parents à acheter des smartphones pour leurs enfants. Le but est de leur permettre de contacter leurs enfants et de promouvoir la relation directe entre leurs enfants et leurs parents. chose. Cela a bien commencé, mais les enfants ne l'ont pas fait. L'obsession à long terme du monde virtuel du cyberespace leur fera perdre leurs concepts réels et leur fatigue. Cela affecte non seulement leur apprentissage, mais nuit également à leur croissance saine.
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Selon le dernier reportage, une femme a marché pour regarder son téléphone portable et n'a pas remarqué que la voie navigable sous ses pieds était tombée dans l'égout, ce qui était dû à une mauvaise utilisation du téléphone portable. Avec l'amélioration du niveau de vie, les gens passent plus de temps sur les réseaux de téléphonie mobile. C'est un mode de vie malsain. Comment se débarrasser de ce mode de vie malsain? Un brouilleur de signal de téléphone portable est ce dont vous avez besoin pour maintenir un mode de vie sain. Le développement économique rapide a amené le niveau de vie des gens à un autre stade. Pendant cette période, de nombreuses personnes passent la majeure partie de leur journée sur Internet, en particulier sur les téléphones portables. On peut dire qu'avec l'amélioration du niveau de vie, nous devrions adopter un mode de vie sain et consacrer plus de temps à des choses significatives, au lieu de les mettre sur nos téléphones portables toute la journée, et nous occuper des téléphones portables ne nous appartient plus. Outils de communication et de divertissement amateur.
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actusfrances · 5 years
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GAFA : Comment je suis devenu invisible
"Les données personnelles sont le pétrole du XXIe siècle." Pour éviter de se faire piller, et échapper aux Gafam, notre journaliste a mis en oeuvre tous les moyens...
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À l'occasion de la Journée de la protection des données le 28 janvier, voici un extrait d'un article paru dans le numéro 25 de la revue We Demain
Je hais Maïté et Micheline. Elles me sortent par les yeux, je veux les voir s’arracher de l’écran, s’extirper, disparaître à jamais. Et pourtant, toujours elles reviennent. C’est devenu une obsession, elles me rendent fou! Tout a commencé il y a quelques mois lorsque j’ai eu la nostalgie d’une émission des années 1990 sur FR3 : La Cuisine des mousquetaires. Voici Maïté, robuste paysanne à l’accent gascon presque incompréhensible, et Micheline, une blonde septuagénaire très apprêtée, dont la voix maniérée indique qu’elle vient de la haute société de Bordeaux. La rustique et la bourgeoise s’affrontent devant un amoncellement de viandes et de légumes dont la main de Maïté triomphe toujours au grand ravissement de Micheline. Distrayant... Avant que cela ne devienne un cauchemar. À chacune de mes visites sur YouTube, le visage de ces deux horribles succubes s’incruste sur le côté droit de l’écran. Décidais-je d’écouter No More Hot Dogs par le poète des Appalaches Hazil Hadkins que Maïté décapite un canard. Micheline est épouvantée! Je souhaiterais apprécier le merveilleux Smell of Female des Cramps, mais voilà qu’elle découpe en rondelle des anguilles vivantes sous l’œil horrifié de Micheline. C’en est assez! J’enferme Micheline dans le saloir et j’embroche Maïté sur la cheminée après lui avoir farci le bide avec de la chair à saucisse sans oublier de lui enfoncer une gousse d’ail dans les narines et un bouquet de persil dans le croupion, pour la rôtir tout en l’arrosant de gras de jambon fondu.  
PISTAGE HISTORIQUE
Ceci étant fait, je m’attaque au fond du problème. Le harcèlement dont j’ai été victime vient des cookies, ces mouchards invisibles, ces petits fichiers que disséminent les sites sur mon ordinateur et mon smartphone. De même, pour cibler mes préférences, Google (propriétaire de YouTube) analyse soigneusement mon historique de navigation sans jamais m’en informer ou m’en demander l’autorisation. Pour devenir "invisible" de ce beau monde, la première parade – celle que l’on néglige si souvent – reste de paramétrer son téléphone. Dans mon smartphone, l’appli Réglages ou Paramètres permet, par exemple, de désactiver les services activés par défaut comme l’assistant vocal Siri (iPhone) ou tout ce qui concerne la localisation de l’appareil. Une précaution indispensable. Sinon, à chaque fois que mon smartphone passe devant une borne wifi ou l’émetteur d’un opérateur mobile, il est enregistré par GPS avant d’être analysé par les Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), dont les applications et systèmes d’exploitation sont de vrais aspirateurs à données personnelles. Il faut dire que ces traces de mes itinérances en temps réel ont de la valeur. Si je fais une fois par semaine le trajet entre mon domicile et une clinique dermatologique, cela intéresse au plus haut point les annonceurs de l’industrie pharmaceutique. Et les Gafam se feront une joie de lui moucharder cette habitude. Sur ordinateur comme sur smartphone, une précaution élémentaire est d’installer Firefox, le navigateur web libre et gratuit développé et distribué par la Mozilla Foundation avec l’aide de milliers de bénévoles. Je m’exécute. Cela ne signifie pas que ma navigation devient intraçable, mais elle n’est plus la propriété exclusive de Google ou Apple, avec leurs navigateurs Chrome et Safari. Après avoir paramétré Firefox à son tour – j’active l’option "Navigation privée" qui rend invisible l’ensemble mes actions – j’y ajoute deux petites extensions disponibles sur le net : Adblock (antipub) et Ghostery (anticookies). Une autre option consisterait à utiliser un VPN : un réseau virtuel privé. Ce petit programme s’intercale entre votre ordinateur et le site consulté, en brouillant votre IP – l’identifiant de votre ordinateur. Il évite ainsi d’être tracé et permet de changer son pays d’origine : se localiser à Bombay quand on est à Paris, et vice versa. Notez que le recours à un service payant est conseillé. Qui ferait confiance aux VPN proposés gratuitement par Google ?
Quand on cherche on trouve
Désormais invisible dans mes navigations, je m’attaque au verrouillage de mes échanges électroniques. Je désinstalle bien sûr Facebook Messenger et WhatsApp – également propriété de Facebook –, que je remplace par Telegram, la messagerie cryptée utilisée jusqu’à l’Élysée. Cela ne règle pas le problème des mails, qui eux aussi sont allègrement scannés par les fournisseurs comme Google, Apple, Yahoo... En la matière, je déniche l’hébergeur Gandi pour me créer ma propre boîte mail : [email protected]. J’expérimente aussi Protonmail. Au moins, ce service de messagerie cryptée n’enverra pas ma correspondance en Californie. Pour l’internaute lambda que je suis, je dois reconnaître que toutes ces précautions sont fastidieuses et peu intuitives. Mais quand on cherche, on trouve. Une alternative à iCould ou Google Cloud, les services de stockage de fichiers sur des serveurs? La plateforme française Cosycloud. Son offre de base propose 5 Go de stockage gratuit. Me voici à la tête d’un premier arsenal d’invisibilité, mais pas totalement étanche. Ceux qui voudraient aller plus loin peuvent consulter des manuels, dont le Guide d’autodéfense numérique (1), un riche ouvrage collectif disponible en ligne et régulièrement mis à jour.
Tragique échantillon
Devenir invisible, pourquoi au juste, quand on n’a "rien à se reprocher"? Peut-être pour éviter de connaître un jour la mésaventure tragique de l’Américaine Gillian Brockell : dans un tweet du 11 décembre, cette chroniqueuse au Washington Post y interpelle les grandes plateformes du numérique, tout particulièrement Facebook, Instagram, Twitter et Experian (spécialiste du marketing fondé sur les données). Elle écrit : "Entreprises de la tech, je vous implore : si vous êtes assez intelligentes pour vous rendre compte que je suis enceinte et que j’ai accouché, alors vous êtes sans doute assez intelligentes pour réaliser que mon bébé est mort. Envoyez-moi des publicités qui prennent en compte ma douleur, ou bien ne m’envoyez pas de publicité du tout !" Voila un tragique échantillon des raisons incitant fortement à devenir invisible sur la toile, où les données personnelles de chacun, faute de réglementation, font les milliards de dollars de quelques-uns. "Le Net est le lieu d’une guerre permanente économique, entre États et entre grandes entreprises. Elle se déroule en permanence sous nos yeux sans que nous le voyions alors même que l’enjeu majeur de cette guerre, son carburant, est la capacité à capter notre attention", résume Arthur Blanchon avec un petit sourire triste, sous la verrière de la cantine glaciale de cet immense espace de coworking parisien, près de la place de la Bastille. Derrière nous, un homme à moitié nu, en caleçon et chaussettes, se claquemure dans son casier vitré où il prépare peut-être la prochaine killer app (application tueuse) permettant de survivre dans cette jungle. Comme Arthur ! La petite trentaine, slim taille basse qui laisse effleurer la bride du caleçon, chemise de coton bariolée, des baskets que l’on ne trouve pas chez Decathlon et une barbe rousse soigneusement taillée. Le projet qu’il mûrit avec son associé Antoine Vadot consiste à rassembler, pour chaque internaute, l’ensemble de ses données de navigation dans un historique qui devient alors un véritable passeport personnel numérique et même une "identité déterritorialisée". Maître de nos données, nous pourrions décider avec qui on les partage, quelles entreprises y ont accès, d’en supprimer certaines, de limiter leur diffusion et de les mettre à jour. On pourrait même les vendre! Pour la première fois depuis l’apparition des réseaux sociaux à la fin du XXe siècle, le pot de terre pourrait renverser le pot de fer. En jeu ? Des milliards. On comprend mieux pourquoi Arthur Blanchon, X2007 (polytechnicien de la promo de la susdite année), a décidé de se lancer dans cette aventure audacieuse et délaisser les grands corps de l’État. Baptisée Misakey, la version optimisée de son outil devait être lancée fin janvier. "Nous ne serons pas capables de lire les données. Notre proposition consiste à mettre en relation chaque personne à chaque entreprise en toute transparence, car la transparence est le meilleur chemin de la qualité de la relation. Ainsi nous pourrons éliminer toutes ces sollicitations indésirables qui attaquent notre attention." Avec cet outil, gratuit pour le particulier ou les PME et payant pour les grandes entreprises, Arthur et son compère pourraient devenir les nouveaux « notaires » du Net : de nouveaux tiers de confiance qui garantiraient la sincérité des transactions. La France ne manque pas d’entrepreneurs convaincus de l’urgence d’agir face au manège des Gafam. Qwant, un moteur de recherche, y a construit son modèle autour du fait de ne pas tracer les navigations ni d’en faire commerce. Tristan Nitot, l’un de ses directeurs, passé par Mozilla et Cozycloud, a donné une conférence éclairante à la fin 2018 : "Les données sont le pétrole du XXIe siècle. J’ai refusé d’installer une application de Facebook sur mon téléphone Androïd parce qu’elle me demande d’avoir accès à tous mes SMS...
from We Demain, une revue pour changer d'époque https://ift.tt/36xQE4I via IFTTT
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maxmollon · 5 years
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(via 2049)
https://www.nouvelobs.com/2049/
EDITO. "L’Obs" ne peut prédire l’avenir, ni l’inventer. Mais il a l’ambition d’explorer les scénarios du futur avec les meilleurs experts.
Par Dominique Nora
Publié le
27 mars 2019 à 18h13
En 2049, mangerons-nous des insectes ? La température aura-t-elle augmenté de quatre degrés ? Nous déplacerons-nous dans des taxis volants sans chauffeur, des trains supersoniques ? Habiterons-nous des logements en éco-matériaux à énergie positive ? Porterons-nous des habits intelligents ? Editerons-nous l’ADN des bébés pour le rendre parfait ? Les foetus seront-ils couvés dans des utérus artificiels ? Fera-t-on l’amour avec des robots… et la guerre à coup de virus informatiques et de drones autonomes doués d’intelligence ? Nos enfants iront-ils encore à l’école ? Tout le monde aura-t-il un travail ? Les films seront-ils tous en réalité virtuelle immersive ? A quoi ressemblera la démocratie ?
La planète connaît une triple crise socio-économique, politique et écologique. En même temps, jamais la science et les technologies n’ont progressé plus rapidement. Les NBIC - nanotechnologies, biotechnologies, infotechnologies et sciences cognitives - qui se fertilisent les unes les autres, sont déjà en train de bouleverser nos vies. Et cela va s’accélérant. D’ici trois décennies, ces innovations auront changé la face du monde. Démographie, climat, équilibres géostratégiques, procréation, santé, éducation, apprentissage, travail, relations familiales et sociales, loisirs, culture, villes, mobilité seront profondément bouleversés. Pour le meilleur ou pour le pire.
"Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous n’avons pas la moindre idée de ce que sera le monde dans 20 ou 30 ans. Qu’il s’agisse du marché du travail, des structures familiales ou des corps des êtres humain", constate le penseur à succès Yuval Noah Harari  (Sapiens, Homo Deus, 21 leçons pour le XXIe siècle…).
Cette perte de repères nourrit l’inquiétude des citoyens des pays développés, et n’est pas étrangère à la montée des populismes. Pourtant, ces innovations sont aussi porteuses de promesses inouïes ; elles peuvent aussi être mises au service de la lutte contre les maladies chroniques et le handicap. Elles peuvent faciliter l’apprentissage, et l’émancipation de chacun. Les refuser n’est d’ailleurs pas une option : si la France et l’Europe n’investissent pas dans ces domaines, ce sont les Etats-Unis et la Chine qui décideront de leurs usages et de leur régulation !
Rendre le futur désirable
Parce que toute avancée technologique n’est pas forcément un progrès, parce que des incertitudes vertigineuses planent sur le sort de notre civilisation, "L’Obs" lance une opération journalistique ambitieuse. "2049" se déclinera à la fois, d’avril à décembre, en une collection d’articles dans votre magazine, une rubrique dédiée sur notre site web, et une série de soirées-rencontre à Paris et en région (Rouen, Metz, Dijon…). Ce vaste chantier de réflexion sera par la suite synthétisé en un numéro spécial.
L’Objectif ? Explorer les tendances et les scénarios du futur à travers des regards croisés d’experts, prévisionnistes, chercheurs, entrepreneurs, ingénieurs, philosophes ou sociologues. Et surtout penser un progressisme à visage humain, pour un monde ouvert, tolérant, créatif, prospère, dans lequel science, technique et économie sont réellement au service du citoyen et de l’intérêt général pour résoudre les grands problèmes de l’humanité. Utopique ? Peut-être… Mais pourquoi devrait-on se résigner à ce que l’avenir ressemble à l’une de ces dystopies qui font le miel des séries audiovisuelles à la "Black Mirror" ?
2049 peut sembler une date trop lointaine, relevant presque de la science-fiction. Nous ne pouvons certes pas prédire notre avenir, encore moins en planifier les moindre détails. Mais nous pouvons imaginer comment le rendre désirable, en tentant dès à présent d’éclairer les choix politiques, économiques, sociaux et éthiques susceptibles de façonner une société conforme à nos valeurs. Alors, chers lecteurs, nous comptons sur vous pour nous suivre dans cette aventure. Ensemble, réinventons demain !
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2049 : à quoi ressembleront les guerres de demain ?
Essor chinois, incertitudes européennes, course aux armements et « robots tueurs » : le premier des forums « 2049 » de « l’Obs » était consacré aux conflits du futur.
Par Thierry Noisette
Publié le
09 mai 2019 à 12h06
A quoi pourrait ressembler notre avenir en matière d’armes et de guerres ? C’est sur cette question qu’a commencé, le 25 avril, à Rouen, la série de forums « 2049 » organisés par « l’Obs » pour explorer avec des experts les scénarios du futur.
« La guerre de demain sera hybride, complexe invisible et permanente », a résumé la ministre des Armées Florence Parly, dans une introduction en vidéo.
« Désoccidentalisation du monde »
Brossant le tableau des tendances, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, directeur de l’Institut de Recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), a dépeint la « désoccidentalisation du monde » et a observé que depuis 2012, les dépenses militaires de l’Asie dépassent celles de l’Europe, tandis que montent en puissance les groupes armés non étatiques. « Il y a une révolution des capacités individuelles par la démocratisation technologique », tandis que « l’asymétrie des moyens en notre faveur ne compense pas l’asymétrie des volontés en leur faveur ». Exemple ultime pour lui : le 11 septembre 2001, « 19 individus armés de cutters ont tué 3 000 personnes sur le coup et déclenché deux guerres ». Son intervention est à retrouver en intégralité dans la vidéo ci-dessous :
Quel sera le cadre géopolitique de notre futur ? Pour Nicole Gnesotto, présidente du conseil d’administration de l’Institut des Hautes Etudes de Défense nationale (IHEDN), l’Union européenne a été conçue pour empêcher la guerre, et sa dissolution par les nationalismes, les populismes et l’extrême droite signerait la fin de la paix, met-elle en garde. Or, dans un monde en plein bouleversement, « les Européens pensent que la seule chose qui ne changera jamais, c’est l’Otan », dit Nicole Gnesotto, qui « n’y croi[t] pas une seconde, parce que les Américains n’y croient plus non plus ».
Les moyens militaires des Etats-Unis restent très supérieurs à ceux de la Chine.
La montée en puissance de la Chine a été largement discutée. Faut-il craindre le piège de Thucydide, cette notion très en vogue selon laquelle les Etats-Unis et la Chine, comme jadis Sparte et Athènes — une puissance montante et l’autre déclinante —, seraient voués à s’affronter ? C’est loin d’être certain, estime Valérie Niquet, maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) : certes, la Chine vit une culture de passion nationaliste et de retour sur un passé d’humiliation, « et c’est bien là qu’il y a un risque de retour à un conflit », mais les moyens militaires des Etats-Unis restent très supérieurs à ceux de la Chine. Même pour l’annexion de Taïwan, la Chine n’engagerait pas de conflit qu’elle ne soit sûre de gagner. En outre, des voisins plus proches, dont le Japon, ont des capacités non négligeables.
Le forum a rassemblé quelque 200 participants.
Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri), rappelle qu’en 2001, lorsque la Chine est entrée à l’Organisation mondiale du Commerce, on croyait à une convergence des systèmes économiques et au-delà, idée qui a volé en éclats lors de la crise financière de 2008. Les réformes chinoises visaient la survie du régime, non son ouverture politique, a appuyé Valérie Niquet.
Tandis que l’Europe, vue comme une des zones les plus stables il y a dix ans, est devenue au contraire l’une de celles générant le plus d’incertitudes. Une succession d’événements assez imprévisibles — le Brexit, l’élection de Trump, la crise migratoire — ont bouleversé notre vision de la mondialisation, contribuant à ce que Thomas Gomart a appelé dans son récent ouvrage « l’affolement du monde ».
Ruptures technologiques
En toile de fond, il y a aussi l’évolution des armes. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer a exposé les nombreuses ruptures technologiques qui modifieront le visage des conflits. Il y a les systèmes d’armes létales autonomes (les Sala), les missiles hypervéloces, dépassant Mach 5, impossibles donc à intercepter et exigeant des décisions très rapides. Mais aussi la miniaturisation tous azimuts, avec, par exemple, des microdrones pas plus gros que des insectes, destinés à des assassinats ciblés.
« La France n’a pris aucun retard » sur les nouveaux champs de bataille que sont le cyber et l’espace, a assuré la ministre des Armées. Florence Parly a réitéré son engagement du début avril : la France refusera de mettre en œuvre tout système d’arme pour lequel la décision de tuer n’est pas prise par un humain.
« Déléguer le droit de vie à une machine, c’est franchir une ligne rouge morale ».
Il en a beaucoup été question ce jeudi à Rouen, où deux visions s’opposaient : pour les ONG, ces « robots tueurs » qu’elles dénoncent doivent être interdits préventivement. Bénédicte Jeannerod, directrice de Human Rights Watch France, milite ainsi pour un traité, et juge trop timorée l’attitude de la France, qui se borne à affirmer un principe, tandis que la Russie, les Etats-Unis, l’Australie et Israël s’opposent à un tel traité. « Déléguer le droit de vie à une machine, c’est franchir une ligne rouge morale. Le temps presse, on sait que des développements sont en cours dans plusieurs pays », a-t-elle rappelé. Elle a aussi souligné le risque de piratage et de détournement de telles armes.
Même vigilance chez Caroline Brandao, responsable du pôle droit international humanitaire (DIH) de la Croix-Rouge française : « On doit se poser la question de la licéité d’une nouvelle arme », et identifier les précautions à prendre dès sa conception. A l’opposé, Jean-Baptiste Colas, conseiller militaire innovation et transformation digitale à la Direction générale de l’Armement (DGA), pointe l’existence de différents niveaux d’autonomie des systèmes d’armes, comme pour les véhicules autonomes. Au combat, précise-t-il, le stress très élevé du guerrier doit être compensé par une machine lui donnant de façon simplifiée et compréhensible les moyens de comprendre les informations, pour réduire sa « charge cognitive ».
A l’inverse des critiques préventives contre les « robots tueurs », Jean-Baptiste Jeangène Vilmer s’interroge : puisque certains pays auront de toute façon des Sala, « sera-t-il éthique d’envoyer nos soldats affronter des Sala et mourir dans ce genre de combats » ? Pour lui, on peut au contraire espérer que des armes aux algorithmes améliorés seront plus précises et donc provoqueront moins de morts inutiles.
Caroline Brandao (Croix-Rouge française) et Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (Irsem).« Dégradation écologique »
Dans les échanges avec le public, plusieurs commentaires ont porté sur la crise écologique, ainsi que sur les réseaux sociaux. Thomas Gomart a insisté sur « la tension entre la rapidité de la dégradation écologique et celle de la propagation des technologies de l’information », et sur la croyance discutable que ces dernières permettront de répondre à la crise de l’environnement.
Alors, pessimistes nos experts ? Méditons deux des nombreuses références citées dans ce forum. Raymond Aron : « Ceux qui croient que les peuples suivront leurs intérêts plutôt que leurs passions n’ont rien compris au XXe siècle »… ni au XXIe visiblement. Et on gardera espoir avec Lincoln : « La seule façon de prévoir l’avenir, c’est de le construire. »
Replay 2049
Dans les forums « 2049 », « l’Obs » invite des experts à explorer les scénarios du futur. Retrouvez en vidéo les principaux intervenants.
A quoi ressembleront les conflits du futur ? (25 avril, Rouen) :
Nicole Gnesotto, présidente du conseil d’administration de l’Institut des Hautes Etudes de Défense nationale (IHEDN) : « La menace qui pèse sur la France n’est pas militaire mais politique »
Valérie Niquet, maître de recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) : « Prévenons les conflits en intégrant les pays en voie de développement à nos réflexions »
Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des Relations internationales (Ifri) : « En 2049, le cyber sera notre principal champ de bataille »
Caroline Brandao, responsable du pôle droit international humanitaire (DIH) de la Croix-Rouge française : « Les armes de demain seront des virus informatiques »
Bénédicte Jeannerod, directrice de Human Rights Watch France : « Les robots tueurs nous préoccupent le plus »
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Pour vous inscrire à la prochaine conférence « Quelle température en 2049 ? », cliquez ici.
Les tables rondes sont à retrouver en intégralité dans les vidéos ci-dessous :
Thierry Noisette
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« Quelle température en 2049 ? » : revivez notre soirée spéciale
Dans le cadre de son cycle de conférences sur l’avenir, « l’Obs » a consacré une grande soirée aux enjeux envrionnementaux qui nous attendent.
Par L'Obs
Publié le
20 mai 2019 à 18h41
Arriverons-nous à « décarboner » notre croissance ? A construire une économie plus frugale, tournant aux énergies renouvelables ? Pourrons-nous développer le solaire, l’éolien, l’hydroélectricité ou la géothermie à prix compétitifs ? Et surtout les stocker ? De cette question dépend l’évolution du climat... et le sort de la planète. C’est à toutes ces questions que « l’Obs » a consacré une soirée entière lundi 20 mai lors d’une soirée-rencontre au Pavillon de l’Arsenal (Paris IV).
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« Quel menu en 2049 ? » : inscrivez-vous à la rencontre de Dijon le 13 juin
Qu’y aura-t-il dans nos assiettes en 2049 ? Venez en discuter avec nous le 13 juin prochain.
Par L'Obs
Publié le
21 mai 2019 à 18h51
Si le monde entier se met à manger comme les Occidentaux, nous subirons rapidement une pénurie de protéines animales. Quel système agricole développer afin de produire assez pour tout le monde, sans pour autant épuiser les ressources de la terre ? Protéines d’insecte et protéines végétales viendront-elles se substituer aux protéines animales ? Sera-t-on capable de faire « pousser » de la viande cellulaire artificielle ? C’est à toutes ces questions que nous répondrons avec nos idées lors de notre prochaine soirée « 2049 ».
Inscrivez-vous à cette soirée-rencontre le 13 juin prochain à Dijon (entrée gratuite sur inscription). Plus d’infos à venir.
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societeaffaires · 6 years
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Marketing web : 9 prédictions pour 2019
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Transformation digitale, expérience mobile, stratégie vidéo, partenariats dans le retail et omnicanalité sont autant de thèmes qui animeront les débats au cours des 12 prochains mois. Quels autres changements et évolutions pourraient impacter les stratégies marketing digitales dans la région EMEA en 2019 ? Réponses en 9 prédictions selon Google.
Un marketing data-driven = un marketing personnalisé
Pourquoi adopter une stratégie marketing data-driven ? Gagner en pertinence, établir une relation de confiance avec ses clients et développer un avantage concurrentiel. « En 2019, nous mettons en oeuvre ce principe au travers du modèle 5 « A » : Audience, Assets, Accès, Attribution et Automatisation. Si elles maîtrisent ces 5 principes, les marques sont assurées de délivrer une expérience client enrichie, de gagner du temps au quotidien pour se recentrer sur leur stratégie d'acquisition globale et d'accélérer leur transformation digitale », explique Maite Gomez Fraile, Google Spain Industry Head.
« La mission du marketing a toujours été de placer les consommateurs au cœur de toute action. Parce qu’ils sont hyper-connectés, hyper-exigeants et hyper-impatients, les placer au coeur de la stratégie sous-entend de leur garantir des expériences personnalisées. Nous disposons aujourd'hui des technologies et des volumes de données nécessaires pour commencer à concrétiser cette vision. »
Le partenariat, un accélérateur de croissance dans le retail
Pour rester dans la course, le retail doit accélérer sa transformation. Autrement dit innover sans cesse, imaginer de nouveaux modèles et anticiper les bénéfices de la technologie sur l’expérience client. Le partenariat est un bon moyen d’y parvenir.
Selon OC&C Strategy Consultants, le plus grand défi des retailers vient de la montée en puissance des plateformes de e-commerce. Amazon, Alibaba, eBay, JD.com et Zalando capturent désormais l’essentiel de la croissance et relèvent sans cesse les attentes consommateurs. Et leurs investissements technologiques (16 milliards de dollars par an pour Amazon, 5 milliards pour Alibaba) sont tels que 60% de l’e-commerce pourraient se faire via les plateformes e-commerce d’ici à 20251.
Bien sûr, tous les retailers n’ont pas les moyens d’investir dans des technologies de personnalisation ou d’activation de la data. Véritable facteur d’accélération, le partenariat permet d’accéder à de nouveaux talents et des technologies testées et approuvées, mais aussi de partager les investissements. Une telle convergence de ressources humaines, technologiques et financières permet de rattraper son retard, voire de prendre une longueur d’avance.
Du multicanal à l’omnicanal
Quelle différence entre les 2 ? Au lieu de mettre en place une multitude de canaux marketing distincts, l'omnicanal vise à créer un système de communication unifié. Les ressources en ligne, les réseaux sociaux et les applications mobiles unissent leurs efforts pour « parler » au consommateur au bon moment, mais aussi pour garantir une interaction fluide et continue entre ce dernier et la marque.
À titre d’exemple, le programme de fidélité de Starbucks repose sur des cartes, auxquelles chaque client associe son profil et son compte. Vous pouvez consulter et recharger votre carte à partir de votre smartphone ou de votre ordinateur, sur le site web, via l'application mobile ou directement dans un café. Lorsque vous passez une commande via l'application, des algorithmes spéciaux calculent le temps de trajet jusqu'au Starbucks le plus proche pour que la boisson soit prête à votre arrivée. Vous pouvez aussi choisir quel type de musique sera diffusé dans l'établissement, en ajoutant une chanson à la playlist Starbucks.
Un pont entre l’online et offline
En 2019, un plus grand nombre de marketeurs de la région EMEA va chercher à regrouper les contenus online et offline de manière à faciliter l'attribution, la mesure des visites en magasin et l'achat programmatique. Cette approche a été adoptée en 2018 par Landmark Group, l'un des plus importants retailers omnicanaux d'Arabie saoudite et des Émirats arabes unis. Son équipe a intégré les données commerciales des cartes de fidélité Shukran dans Google Analytics pour établir un lien entre la publicité en ligne et les ventes en magasin.
Dans la région MENA, les contenus publicitaires vont évoluer : d’un asset unique à un ensemble d’assets personnalisés et adaptés aux préférences de l’utilisateur. Les marketeurs vont alors renforcer leur collaboration avec les créateurs, les influenceurs, les spécialistes du contenu et les éditeurs pour ensuite proposer des contenus de meilleure qualité.
La qualité de l'expérience mobile
Les attentes des consommateurs en matière de vitesse et de qualité de l’expérience en ligne sont de plus en plus élevées, et le mobile n'y fait pas exception. Si vous souhaitez proposer un parcours omnicanal à vos clients, les sites et les applications doivent se compléter et garantir une expérience d'achat fluide et sans couture. La moindre attente peut vous faire perdre un client : 53% des utilisateurs quittent un site si le chargement dure plus de 3 secondes.
Plus une landing page se charge rapidement, plus elle a de chance de générer des conversions. En 2019, les marques qui sortiront du lot seront celles qui garantiront vitesse et qualité de l’expérience mobile à leurs utilisateurs. Pour vous aider en ce sens, le format AMP (Accelerated Mobile Pages) permet de créer des pages qui se chargent rapidement. L'outil Test My Site permet également de tester ses performances mobiles et de prendre les bonnes décisions.
Le boom des services à commande vocale
Selon NPD Group, d'ici fin 2019, les ventes d'enceintes intelligentes vont progresser de 50%, et le marché atteindra un chiffre d'affaires de 2,7 milliards de dollars. Des outils marketing seront intégrés dans les services à commande vocale : de nombreuses applications seront adaptées au commerce vocal, notamment pour commander des produits alimentaires ou suivre l’actualité.
H&M Home a déjà lancé une application qui fonctionne conjointement avec l'Assistant Google. Elle permet d'obtenir des conseils sur la décoration des pièces dans différents styles et de trouver les produits dans le catalogue de la marque. Autre exemple : dans l'application de Domino's Pizza, l'assistance vocale de Google rappelle au consommateur sa dernière commande et lui propose de la passer de nouveau. Le processus de commande est ainsi accéléré.
Parallèlement, le retailer Asos et la chaîne de magasins Argos ont lancé des services en ligne qui permettent de réserver des articles via l'enceinte intelligente Google Home ou l'assistance vocale d'un smartphone.
L’explosion de la consommation vidéo
En 2019, et pour la première fois dans le monde, les utilisateurs passeront plus de temps en ligne que devant leur écran de TV. Et la majeure partie de ce temps sera consacrée à la vidéo en ligne : d’ici à 2020, les utilisateurs devraient passer 84 minutes par jour à regarder des vidéos en ligne.
Et tandis que le marché de la publicité TV tend à stagner, le budget total alloué à la publicité vidéo en ligne devrait progresser de 17% en moyenne par an d’ici à 2020.
L'adoption de la réalité augmentée
Jusqu’alors, la réalité augmentée était essentiellement utilisée par des marques de beauté : L'Oréal, Punky Color et Madison Reed conçoivent depuis longtemps des applications de réalité augmentée pour le maquillage virtuel. Or, selon les estimations du Harvard Business Review, l'investissement global dans le développement de la réalité augmentée dépasserait les 60 milliards de dollars d'ici à 2020.
En 2016, IKEA lançait une application de réalité augmentée permettant à l'utilisateur de visualiser les meubles dans son intérieur. Aujourd'hui, de grands retailers proposent une option de réalité augmentée similaire pour les achats en ligne. Le consommateur peut ainsi « déplacer » des produits du catalogue en ligne vers l'environnement domestique pour voir comment il s’y intègre.
Dans un autre domaine, Coca-Cola a récemment sponsorisé une application brandée pour la diffusion des courses de NASCAR en réalité augmentée. Sur l'écran du smartphone, le « portail » virtuel prenait l'apparence d'une canette de Coca-Cola géante. La marque de soda souhaitait renforcer la fidélité des fans de courses automobiles tandis que NASCAR cherchait à séduire les millennials.
Des chatbots révolutionnaires
Les bots sont de plus en plus utilisés dans les différents types d'interactions entre les marques et leurs clients. Selon Gartner, d'ici à 2020, 85% de ces interactions se produiront sans intervention humaine.
Pour le moment, le développement de cette tendance est freiné par la frilosité des consommateurs : selon une enquête de Statista, seulement 34% des personnes interrogées préfèrent les chatbots aux canaux de communication classiques avec les retailers. Mais l'arrivée d'une nouvelle génération de chatbots, enrichis par l'intelligence artificielle, pourrait les faire changer d'avis. Ceux-ci tiendront compte des informations fournis par l'utilisateur, comprendront la langue parlée et mèneront une véritable conversation.
C'est le cas, par exemple, du chatbot Clare.AI, qui utilise le traitement du langage naturel (NLP) et est capable d'exercer la fonction de conseiller financier en ligne. Tout aussi convivial, le chatbot Morph.AI automatise le service client. D'ici 1 ou 2 ans, ces chatbots transformeront radicalement notre perception de la communication entre les entreprises et leurs clients.
Source: Google et  1 OC&C, Partnering to win in retail digital age, 2018
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journaljunkpage · 6 years
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FAIRE SOCIÉTÉ
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Henriette PEPLEZ & Stéphanie PICHON / Passion disque de Renaud Cojo © Sébastien Cottereau
PROJETS PARTICIPATIFS 
Sur les scènes, dans les rues, l’habitant, le jeune, l’étudiant sont appelés à se mettre en scène, en paroles et en mouvement. À côtoyer les artistes et les théâtres, ailleurs que dans un fauteuil de spectateur. Petite revue de quelques-unes des propositions en cours et à venir dans la région.
Un restaurant à Saint-Michel, fin de service. L’oreille de la journaliste en pause déjeuner traîne vers la table d’à côté. Elle : « Ils nous demandent du participatif. » Lui : « Ils ne veulent pas seulement des ateliers, ils veulent qu’on les fasse jouer sur scène. » Elle : « Mais on ne veut pas une création avec des enfants ! » Malaise. Après quinze jours à interroger acteurs culturels et artistes sur le sujet, cette injonction participative interpelle. Qui entraîne qui dans cette envie de croiser de « vraies gens » sur les scènes ? Les artistes ? Les théâtres ? Les collectivités ? Et les participants, qu’en disent-ils ?
Prenons Liberté !, la saison culturelle estivale bordelaise. Michel Schweizer y a reçu commande de la ville pour réinventer sa formule d’occupation d’un lieu artistique par les enfants, qui a déjà fonctionné à la MC93 de Bobigny. Les jeunes occupent la place aura lieu en juillet à la salle des fêtes du Grand Parc avec des collégiens, élèves et jeunes du quartier. Parti de Keep Calm, ce dispositif frontal où des enfants questionnent le monde des adultes les yeux dans les yeux, le créateur bordelais a dérivé vers Cheptel, une pièce pour pré-ados, puis toute une série de propositions participatives où la voix des jeunes résonne enfin. « C’est une population qu’on ne voit jamais dans un théâtre. Je les invite à prendre possession d’un public. On invente des propositions qui les intéressent et les stimulent. » De quoi faciliter aussi la rencontre entre les habitants et cette salle des fêtes relookée, mais pas totalement intégrée dans le paysage. « J’espère que ça va contribuer à la reconnaissance de cet endroit. »
Non loin du Grand Parc, Jean-Philippe Ibos collecte depuis la saison dernière la parole des habitants de Bordeaux Nord, associé au Glob Théâtre, comme il le fait depuis 2015 sur le territoire aquitain. Dans les écoles, lycées, bibliothèques et associations, il arrive avec une seule question : « Comment changez-vous le monde autour de vous ? » 80 personnes se sont prêtées au jeu de cette encyclopédie menée tambour battant avec un mini-budget. Un finale joyeux en juin dernier et déjà, l’envie de remettre ça, de poursuivre l’aventure. C’est donc reparti en 2019 sur le thème des « espaces de liberté », en élargissant le cercle des participants. Avec le désir un peu fou de lancer fin juin un festival des Encyclopédistes réunis.
Ces projets sont très souvent associés à un territoire, quartier, ville et parfois très grande région. Agnès Pelletier, chorégraphe de la compagnie Volubilis installée à Niort, n’a pas eu de mal à convaincre les théâtres du bien fondé de son Panique olympique. Dérivé de Panique au dancing à Niort, il invite des centaines de participants à une chorégraphie collective dans une grande transhumance régionale. Bordeaux avec le FAB, Libourne pendant Fest’Arts, Cognac pendant Coup de Chauffe, À Corps à Poitiers… Tous en veulent ! Objectif : créer jusqu’en 2024 des communautés de danseurs aquitains et espérer une grande déferlante au Trocadéro en 2024. « On a réuni 500 danseurs à Niort, 200 à Bordeaux. On en espère 3 000 à la fin ! » Ce qui intéresse cette chorégraphe des rues, c’est la diversité des profils : mêler la quinqua rondouillette à la danseuse longiligne, l’homme d’affaires en costard à la trentenaire bobo. Écrit pour le Miroir d’eau lors de la dernière édition du FAB, ce flash mob contemporain migrera dans une rue commerçante dès 2020.
Pour Véronique Laban, chargée des relations avec le public à La Manufacture CDCN, ces projets sont un vrai outil pour « développer la danse auprès des habitants. Si possible en touchant ceux qui ne sont pas déjà captifs ». Elle travaille activement avec les centres de loisirs et d’animation, les écoles de danse de la ville, pour mobiliser des amateurs dans les trois grands projets 2019, tous dirigés vers la jeunesse. Celui de Michel Schweizer, mais aussi celui de Marion Muzac, Ladies First de Loïe Fuller à Joséphine Baker, imaginé pour des femmes de 12 à 20 ans à Bordeaux, La Rochelle et Limoges, et le groupe G-SIC (Groupement spécial d’immergence chorégraphique), où des amateurs de 13 à 20 ans plongent dans le répertoire de Jérôme Brabant.
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Panique au dancing d’ Agnès Pelletier © Alexandre Giraud
Il n’y a pas si longtemps, Tanguy Girardeau, technicien chimiste, a rencontré Véronique Laban pour A mon seul désir de Gaëlle Bourges. Lui qui « n’aime pas la danse contemporaine » était un des 34 « lapins » présents au plateau. Entièrement nu. « Cela a changé ma perception de la danse. » Il fut aussi dans Atlas, cette chorale théâtrale pour cent habitants proposé par les Portugais Ana Borralho et João Galante au Carré, du Banquet de Chahuts ou de la Maison Graziana de Caroline Melon. C’est la rencontre qui le motive. Avec l’artiste mais aussi avec la communauté éphémère et intense qui se crée, « cette osmose entre des gens qui ne se connaissent pas. Tu participes à un projet qui, sans ton investissement, ne peut pas se réaliser. C’est aussi une manière de ne pas être du côté des sièges mais sur la scène ».
L’idée que les spectateurs puissent donner quelque chose d’eux-mêmes fonde nombre de ces projets. Loin d’être de simples figurants, les participants en deviennent le matériau, à la fois muse, modèle, et matière. C’est le cas des Lettres non écrites de David Geselson, présenté à Saintes. Le 6 avril prochain, l’auteur-metteur en scène recevra, un à un, à la médiathèque, cinq participants qui ont une lettre sur le bout des lèvres et n’ont jamais réussi à l’écrire. Des lettres à des vivants, à des morts aussi parfois. David Geselson écoute, écrit, relit. Chacun pourra conserver sa lettre achevée et l’envoyer ou non. Avec leur autorisation, il en fait lecture quelques jours plus tard au Gallia Théâtre, aux côtés de 40 autres lettres non écrites.
Tout aussi atypique, mené sans l’appui d’une équipe des publics, Discotake est la nouvelle aventure de Renaud Cojo et sa compagnie Ouvre le Chien : un projet polymorphe qui invite à explorer ce que la musique populaire produit dans la mémoire collective. Rien d’étonnant pour ce fan de Bowie et fin connaisseur de la musique pop : un des axes de Discotake est de donner à entendre la façon dont la musique nous traverse. Passion disque invite une quinzaine de volontaires à « partager la bande-son de leur vie » lors d’une session d’écoute à domicile. Un moment intime et sensible pour écouter ensemble un disque « doudou », celui qui active illico les synapses de la mémoire affective. En prolongement, le spectacle 3 300 tours rassemblera les participants sur le plateau du Glob Théâtre dans une restitution orchestrée par Renaud Cojo himself. Ouvre le Chien envisage de recréer ce projet 10 fois ailleurs en France. Car la force de ces processus est d’être transposable. Comme le bal d’Agnès Pelletier ou le Chekhov Fast & Furious conçu par le collectif Superamas et produit cette saison dans quatre villes : Reykjavik, Vienne, Amiens et Cognac. Cette adaptation d’Oncle Vania n’est qu’un prétexte à laisser s’exprimer la jeunesse européenne. À l’Avant-Scène où le spectacle sera présenté, Lucie Charlassier, chargée des relations publiques, a délibérément choisi de s’aventurer hors de l’entre-soi des théâtres pour aller chercher 15 jeunes adultes cognaçais. Un projet qu’elle qualifie de « déstabilisant » mais qui incite à dépasser la relation « offre-demande » habituelle pour co-construire un projet avec les associations et arpenter le territoire. Le défi étant de former, en une semaine, une famille. À Poitiers, dans son atelier de recherche chorégraphique, Isabelle Lamothe embarque chaque année des étudiants pour une vraie création. « On sait qu’on va rentrer dans une proposition qui va nous déstabiliser, nous dérouter. Il n’y a aucune sélection par la danse, mais je demande un engagement sur le calendrier, un engagement de soi, c’est-à-dire faire, dire, montrer aux autres, et un engagement par rapport à l’univers de l’artiste. » En avril, cette création est montrée en one shot sur la grande scène du TAP, pendant le festival À Corps. 
En 2018, Marlène Saldana et Jonathan Drillet y explosaient les codes et dénudaient les corps dans Castors (puisque tout est fini). Cette année, Olivia Grandville travaille autour de Woodstock. Cette passionnante aventure de 25 ans pourrait bien connaître un nouveau tournant en 2019. Impressionnés par l’engagement des étudiants, les trois derniers chorégraphes font tourner « pour de vrai » le triptyque 22 castors front contre front. Une mise en avant « des formes chorégraphiques audacieuses qui lient amateurs et professionnels à un niveau d’exigence et de qualité dépassant amplement la seule action culturelle » résume le TAP, co-producteur. Cette fois-ci, les étudiants seront rémunérés. Ces traversées bouleversantes laissent des traces et souvenirs indélébiles pour ceux qui y participent. Trois ans après, le groupe Facebook d’Atlas Saint-Médard est toujours actif. Les petites alternatives de l’Atelier de Mécanique Générale Contemporaine sont compulsées sur le web, Marion Muzac a créé un Tumblr pour réunir toutes les aventures des Ladies First en France, et la timeline du collectif Superamas fait dialoguer Vienne et Cognac. Autant d’espaces virtuels pour retrouver les vibrations du faire, du dire et du vivre ensemble. 
Les Encyclopédistes réunis : nos espaces de liberté, Jean-Philippe Ibos, fin juin, Glob Théâtre. www.globtheatre.net (pour participer : [email protected])
Passion disque, conception de Renaud Cojo, du mercredi 15 au vendredi 24 mai à domicile. 3 300 tours, samedi 25 mai, 20 h, Glob Théâtre. www.discotake.fr (pour participer : www.discotake.fr/passiondisque)
Chekhov Fast & Furious, collectif Superamas et 15 jeunes Cognaçais, mercredi 10 avril, 20 h 30, L’Avant-Scène, Cognac (16100). www.avantscene.com (pour participer : rp@ avantscene.com)
Lettres non écrites, David Geselson, mardi 9 avril, 19 h 30, Le Gallia, Saintes (17104). www.galliasaintes.com (pour participer : [email protected])
Les jeunes occupent la place, Michel Schweizer, du samedi 5 au dimanche 6 juillet, salle des fêtes du Grand Parc. www.bordeaux.fr
G-SIC, Jérôme Brabant, de février à juin, La Manufacture CDCN. www.lamanufacture-cdcn.org (pour participer : servicecivique@lamanufacturecdcn. org)
Ladies First, Marion Muzac. ladiesfirstmzprod.tumblr.com, lamanufacture-cdcn.org
Nous vaincrons les maléfices, Olivia Grandville, mercredi 10 avril, festival À Corps, Poitiers (86000). www.festivalacorps.com
Panique olympique, Cie Volubilis, du jeudi 8 au samedi 10 août, Fest’Arts, Libourne (33500), du samedi 7 au dimanche 8 septembre, Coup de Chauffe, Cognac (16100), Panique au dancing, Niort (79000). www.compagnie-volubilis.com
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patrimoine-rh · 4 years
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Découvrez les nouvelles pratiques et outils pour le travail à distance!
Hier, nous allions travailler, aujourd’hui travailler ne signifie plus obligatoirement se déplacer!
Donc, si l’environnement change nous devons réinventer les règles, les pratiques et utiliser les bons outils qui vont soutenir ces transformations!
Avant, avec la proximité physique que nous avions, il était assez facile de voir et ressentir l’état émotionnel de vos collaborateurs, mais demain comment continuer à garder cette proximité malgré la distance?
Partout les entreprises dont l’activité le permet se sont mises à travailler à distance avec leurs collaborateurs pour limiter la propagation du virus.
La majorité d’entre elles n’étaient pas prêtes à vivre une telle crise et continuent à ajuster leur organisation du travail au fil de l’eau. Mais une phase télétravail contraint, sans préparation et parfois avec une culture d’entreprise qui n’est pas adaptée présente des défis uniques. Surtout pour les dirigeants, les managers en première ligne et la fonction RH. Zest maîtrise ces enjeux de travail à distance et nous vous partageons ici quelques conseils pour s’en sortir rapidement.
#1 Établissez de nouvelles règles de communication avec votre équipe
Il existe de nombreuses règles orales et tacites dans chacune de vos organisations. Avec la distance beaucoup de ces règles doivent changer et vous devez mettre en place de nouvelles manières de communiquer. Par exemple, quel est l’équivalent d’une «tape sur l’épaule» lorsque vous travaillez à distance ? En tant que manager, il est important de rétablir ces points de contacts très tôt pour assurer une communication efficace au sein de votre équipe.
Et ça passe par la digitalisation des outils !
Asana : pour la planification et gestion de projet 
Slack : pour les conversations internes par thématiques et en quasi instantané 
Zoom :  pour faire des réunions vidéo
Zest : pour monitorer le niveau de stress, faire des points réguliers, suivre les objectifs et partager des idées
Google Drive ou Dropbox Paper : pour travailler sur des documents en ligne en mode collaboratif
Figma : pour faire du design en ligne en mode collaboratif
Discord : pour meeting audio en continu
 Attention, mettez des limites dans vos pratiques de communication, valoriser la déconnexion (lire l’article)
#2 Maintenir les rituels managériaux et multiplier les réunions d’équipe pour s’assurer d’embarquer tout le monde
Les membres de votre équipe ne peuvent pas venir dans votre bureau à tout moment pour échanger sur les projets en cours. C’est pourquoi il est très important de maintenir vos rituels managériaux ou mettre en place des points réguliers avec eux.
Par exemple, chez Zest toute l’équipe a l’habitude de se retrouver pour un “stand up” chaque début de semaine et de faire des points par pôle une fois par semaines au minimum. Aujourd’hui nous sommes passés à 2 Stand up meetings en vidéo et des points par équipes tous les deux jours. Cela permet d’assurer une transition plus fluide vers un travail à distance en full time.
Nous utilisons Zest pour écouter le ressenti de nos équipes.
Le partage de l’humeur monitore en temps réel et créé un système d’alerte. 
Des sondages réguliers sur l’impact du Coronavirus aident au diagnostic et au suivi par population. 
Et permettent en quelques heures d’alimenter les décision stratégiques ou opérationnelles et de vérifier leur compréhension auprès de tout le monde.
Les points réguliers nous permettent aussi :
d’échanger sur les ressentis sur lesquels le collaborateur s’exprime
faire des feedbacks et passer à l’action
sondages réguliers sur AsanaZoomZestDropbox PaperGoogle DriveFigmaDiscordécouterDiscordLa définition et le suivi collaboratif des objectifs, ainsi que les points réguliers permettent un pilotage et une collaboration opérationnelle efficace.
Pour en savoir plus sur comment on vous accompagne à relever ces challenges en temps de crise via un package de gestion de crise c’est par ici.
 Des réunions vidéo, mais pas que
Des réunions d’équipes en vidéo, avec des outils comme Zoom largement démocratisé depuis le début de la crise. Cela vous permettra de recréer du lien et d’établir un contact visuel le plus proche d’une interaction en personne. N’hésitez cependant pas à alterner avec des appels classiques car le cadre vidéo n’est pas idéal pour tout le monde et peut créer à la longue une certaine forme de lassitude.
Pour des projets qui nécessitent une interaction en continue
L’outil Discord est la façon la plus simple de communiquer par voie orale que nous avons pu expérimenter. Nous l’utilisons également à la manière de « pause café virtuelle » pour échanger en équipes et recréer du lien.
#3 Adoptez la communication asynchrone
Vous ne pouvez pas être en réunion tout le temps avec votre équipe – et vous ne devriez pas non plus – alors mettez en place une communication asynchrone. Mais lorsque vous posez une question, ne vous attendez pas à une réponse immédiate.
Des outils comme Zest, Google Drive ou Dropbox Paper vous permettent une communication asynchrone avec votre équipe. Au lieu de réserver une réunion pour discuter d’un problème, pourquoi ne pas travailler ensemble sur un document partagé ? Vous pouvez demander une réponse, un commentaire ou encore faire des suggestions. Et tous les contributeurs ont accès simultanément aux mêmes informations. 
Ensemble, vous pouvez arriver à mener certains projets à bien, sans jamais avoir à organiser de réunion.
 #4 Documentez tout!
Commencez à tout enregistrer dans un endroit accessible par votre équipe. Nous utilisons Dropbox pour cela, mais même un dossier Google Drive fonctionnera.
Par exemple, dans certaines organisations ils enregistrent leurs réunions “ all hands “ et les diffusent sur une chaîne privée de Youtube pour garder un historique.
#5 S’amuser et renforcer les liens pour recréer l’ambiance de la machine à café
Cette période est stressante pour tout le monde. Faites preuve de patience et d’empathie et essayez de mettre en place des rituels amusants pour votre équipe. Un peu de légèreté fera du bien à tout le monde ! Profitez de ces opportunités pour construire et renforcer la relation avec votre équipe.
“Random coffee” sur Slack vous attribue des Buddy de pause café chaque jour ! Sur le même principe, les apéro visio en fin de journée sur Zoom pour se changer les idées, encore une fois largement démocratisé.
Chez Zest, on utilise aussi notre application pour suggérer de nouvelles idées!
 Et sur Dropbox Paper, c’est notre responsable Produit qui a mis en place un document pour partager des ressources pour faire du sport, se détendre, se cultiver… Chacun met à disposition ses idées pour se divertir en dehors des heures de travail !
Nous espérons que ces éléments pourront vous aider à gérer la crise plus sereinement et commencer à instaurer une culture du travail à distance sur le plus long terme si besoin.
"Plus de 300% de progression pour le téléchagement de certaines applications!"
D'après une étude, le nombre de téléchargements de l'application mobile de Microsoft Teams a bondi de 305 % uniquement en France durant la semaine du 8 mars dernier, quand ceux de l'application de visioconférence Zoom et de Google Hangouts Meet ont progressé de 155 % et 160 %.. De quoi donner des idées aux structures qui ne les auraient pas encore adoptés.
 Prenez soin de vous et de vos équipes.
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banqueenligneorg · 5 years
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Ces fintechs qui viennent améliorer les services bancaires aux entreprises
Les services bancaires aux petites entreprises sont en panne. Maintenant, la course est lancée pour la réparer - mais qui a une longueur d'avance ?
Les startups sur le marché de la banque numérique ne viennent pas seulement pour les comptes personnels. Ils s'attaquent aussi au marché des services bancaires aux entreprises.
Pourquoi ? Parce qu'il y a beaucoup d'argent à gagner - 14 milliards d'euros rien qu'en France - et que l'offre des banques traditionnelles est universellement reconnue comme un vrai casse-tête. C'est lent, c'est cher, et c'est très en retard sur les services numériques.
Qonto en France est passée de 15 000 à 40 000 clients PME l'an dernier, et s'étend cette année en Allemagne, en Espagne et en Italie. La start-up finlandaise Holvi, rachetée par la banque espagnole BBVA en 2016, compte 150 000 clients et se d��veloppe en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Irlande et en Belgique.
Il y a beaucoup de place pour la croissance parce que le marché européen - avec 24,5 millions de PME - est encore extrêmement dominé par les grands prêteurs. Au Royaume-Uni, par exemple, quatre grandes banques détiennent 90 % des services bancaires aux PME. C'est un oligopole grossier qui demande à être démantelé - et une foule de startups sont prêtes à s'attaquer à la tâche.
À quelle vitesse croissent-ils ?
Il n'est pas si facile que ça de prendre des parts de marché. Les grandes banques ripostent en lançant leurs propres banques d'affaires axées sur le numérique pour faire face à la concurrence. En novembre, NatWest a lancé Mettle. Asto la banque pour petites startups de Santander, a également été lancée au Royaume-Uni à la fin de l'année dernière. Entre-temps, HSBC est en train de mettre sur pied sa propre banque pour les petites entreprises, connue en interne sous le nom de Project Iceberg.
Comment gagnent-elles de l'argent ?
Presque toutes les entreprises qui s'adressent à ce marché commencent par offrir des services de comptabilité et de paiement de base adaptés aux plus petites entreprises - les entreprises individuelles, les indépendants ou les fondateurs d'entreprises qui emploient moins de 10 personnes, et dont le chiffre d'affaires annuel est inférieur à 2 millions d'euros.
La vente est facile : nous vous faisons gagner du temps et de l'argent. Ces nouvelles entreprises offrent des comptes dont l'ouverture prend quelques minutes (et non des semaines), s'intègrent au type de logiciel de comptabilité et de paiement que leurs clients utilisent probablement déjà (comme Xero et iZettle) et les aident à suivre leurs finances d'une manière conviviale, comme le font désormais les banques en ligne qui s'adressent au grand public.
Mais les plus grandes opportunités pour les banques challengers se trouvent chez les plus gros clients : des entreprises avec plus de personnel, plus de parties prenantes, plus de chiffre d'affaires. Qonto propose plusieurs formules tarifaires, allant de 9 € par mois à 299 €, pour les entreprises jusqu'à 500 salariés, mais le fondateur Alexandre Prot indique que la taille moyenne des entreprises qu'ils ont pour client est actuellement d'environ 10 personnes. Starling affirme qu'un peu plus d'un tiers de ses clients sont des groupes d'une personne, tandis que 85 % des clients de Holvi sont des "solo-preneurs ou freelances".
Quelle est la taille de l'équipe ?
Pour inciter les grandes entreprises à quitter leur banque existante (la plupart des PME n'ont qu'une seule banque d'affaires), il faut une plus grande carotte. C'est ainsi que les nouvelles banques déploient constamment de nouvelles fonctionnalités - des dépôts en espèces aux transferts d'argent par lots - pour faire de leurs applications le guichet unique pour tous les besoins bancaires et administratifs d'une entreprise. Certaines de ces fonctions sont construites en interne, mais pour beaucoup d'entre elles, on fait appel à des spécialistes.
"Nous voulons être le système d'exploitation d'une PME, et non la couche applicative ", déclare Oliver Prill, directeur général de Tide.
Pourquoi travaillent-elles en partenariat avec d'autres fintechs ?
Afin de devenir le guichet unique pour les services bancaires aux PME, les banques d'affaires concurrentes s'associent avec d'autres startups fintechs encore plus vite que les banques numériques grand public.
En plus des logiciels de comptabilité et de paiement, la plupart offrent (ou prévoient d'offrir) à leurs clients des devises, des prêts, des assurances et de l'aide fiscale, fournis par des tiers. Tide prévoit également d'introduire un service de gestion des fiches de paie plus tard cette année (soit en white label, soit avec un partenaire), tandis que Qonto a l'intégration avec Apple et Android Pay dans son pipeline.
Pour les banques concurrentes, le fait de travailler avec des partenaires les aide également à commercialiser plus rapidement leurs fonctions. "Si quelque chose est prêt sur le marché et que nous pouvons l'intégrer, nous sommes heureux de l'utiliser - si nous avons l'impression que ce partenaire a un ADN similaire au nôtre ", déclare Alexandre Prot, directeur général et fondateur de Qonto.
Pour Qonto, les partenariats sont également un moyen utile pour acquérir de nouveaux clients. Un tiers de ses clients incorporent des entreprises et un tiers d'entre elles viennent à Qonto via LegalStart, une plateforme qui aide les gens à créer une entreprise en ligne.
Tide semble en avoir pris note. Cette année, il prévoit d'offrir aux nouveaux clients la possibilité de constituer leur entreprise en société en même temps que l'ouverture d'un compte Tide. Cette proposition dite "proposition de démarrage" sera financée par la subvention gouvernementale de 60 millions de livres sterling.
"Au Royaume-Uni, les contrôles que nous devons effectuer à bord sont tels que nous pourrions aussi bien enregistrer votre entreprise [en même temps] ", dit M. Prill. Nous allons donc permettre aux gens non seulement d'ouvrir un compte chez nous, mais aussi de dire : "Nous pouvons enregistrer votre domaine, nous pouvons enregistrer votre société, vous enregistrer pour les impôts si vous le souhaitez".
Les comptables sont de grands adeptes des banques d'affaires numériques, parce qu'elles leur permettent généralement d'accéder plus facilement aux données de leurs clients et de surveiller leurs comptes. M. Qonto indique que les cabinets comptables sont une importante source de renvois et qu'ils travaillent donc à de nouvelles intégrations avec les logiciels comptables afin d'améliorer le service offert aux comptables. (Jusqu'à présent, les fonctionnalités comprenaient des étiquettes personnalisables et l'accès aux factures et reçus originaux.) La semaine dernière, la startup britannique Coconut, un compte courant pour les indépendants et les propriétaires de petites entreprises, a également lancé un portail pour les comptables.
Que diriez-vous d'un service plus personnalisé ?
Starling et Tide prévoient d'élargir leur service à la clientèle afin d'offrir un soutien plus spécialisé, moyennant des frais.
"Nous allons commencer à avoir toute une gamme de personnes, avec une expertise sectorielle, que vous pourrez rencontrer virtuellement sur votre application ", dit M. Boden. "Quelqu'un qui sait ce que c'est que d'être freelance ou de travailler dans une agence de construction. Ce n'est pas possible pour les grandes banques d'en avoir dans toutes les agences - mais nous pouvons en avoir si nous les rendons virtuelles."
Tide fait actuellement l'essai d'un abonnement " Plus " (à 8,99 £ par mois) auprès d'environ 200 clients, et prévoit également de lancer un abonnement " Premium " plus tard dans l'année, qui offrira aux clients un gestionnaire de relations qui " connaîtra votre entreprise à fond " pour proposer " un soutien téléphonique de qualité 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ". Avec le compte gratuit standard, ce niveau de personnalisation n'est pas possible, dit M. Prill, mais de nombreux clients le demandent.
Qonto, qui offre un service à la clientèle par courriel et sur les réseaux sociaux pendant les heures d'ouverture, a constaté le contraire, dit M. Prot : les clients préfèrent recevoir une réponse rapide plutôt qu'une réponse d'une personne avec qui ils ont déjà eu affaire.
Pourquoi les grandes banques n'ont pas pu s'adapter pendant si longtemps ?
Pourtant, même en offrant leurs niveaux de base de service client et avec leur gamme actuelle de caractéristiques, la plupart des banques de la fintech ont déjà une longueur d'avance sur l'offre des banques traditionnelles.
"Les banques traditionnelles n'offraient pas un bon service, pas même un service moyen ", explique M. Prot. Ce qui est révélateur, c'est que le NPS [Net Promoter Score] moyen du secteur bancaire est négatif : "D'une certaine manière, on pourrait simplement dire qu'être positif fera l'affaire", ajoute Prot, qui affirme que Qonto vise (et atteint actuellement) un NPS de plus de 60. C'est une sacrée différence.
Alors pourquoi les banques traditionnelles offrent-elles un si mauvais service aux PME clientes ?
"Beaucoup de ces petites entreprises ne sont pas rentables pour les grandes banques ", explique Tim Levene, associé chez Fintech VC Augmentum, à Londres, et investisseur dans Tide. "Ils n'ont pas l'infrastructure nécessaire pour les desservir de façon rentable, de sorte que l'offre de services, d'un point de vue numérique, laissait beaucoup à désirer.
"Beaucoup de grandes banques regroupent toutes les petites entreprises en une seule ; cela ne fonctionne pas pour toutes les petites entreprises ", explique Jordan Shwide, qui développe l'offre de services bancaires aux entreprises de la banque challenger britannique Monzo (actuellement à l'essai avec 100 utilisateurs). Le segment des PME couvre un large éventail de types d'entreprises, avec des exigences très variées - et pourtant, les grandes banques ont essayé de s'en tirer en adaptant leur offre de services bancaires grand public pour les PME.
"Lorsqu'on examine les PME, on constate qu'elles sont en fait très diversifiées ", explique M. Prill. "Certains exigent beaucoup d'argent comptant, d'autres doivent rédiger des factures, certains ont des employés, d'autres non, d'autres encore font du commerce international, d'autres non. Et ce qui rend les choses encore plus difficiles, c'est qu'une PME passe par des étapes de développement."
"Pour faire face à cette diversité, il n'est pas vraiment possible de le faire en parallèle ", explique M. Prill, qui estime que l'accent mis par Tide sur les PME se distingue des autres banques comme Monzo et Starling, qui se développent également du côté des consommateurs. Prot propose un argument similaire : "Nous pensons que pour servir les PME, il faut se concentrer sur les PME et sur les PME toute la journée - et toute la nuit."
Mais que se passe-t-il quand les grandes banques vont se réveiller ?
Les grandes banques n'ont pas opposé beaucoup de résistance jusqu'à présent, bien que l'application pour petites entreprises de Santander, Asto, ait récemment ajouté le financement sur facture et annoncé cette semaine un partenariat avec eBay pour offrir des prêts aux PME via cette application.
L'investisseur Tim Levene estime qu'ils ont du mal à regagner la confiance des clients. "S'ils devaient construire de nouvelles marques plutôt que d'utiliser celles qui ont été construites au cours de centaines d'années, cela vous dit tout ce que vous devez savoir, dit-il.
Pendant ce temps, en Europe continentale, la course se joue entre les startups. Qonto se développe en Allemagne (3,6 millions de PME), en Italie (4,4 millions de PME) et en Espagne (2,5 millions de PME), les trois plus grandes économies de la zone euro, avec la France (3,7 millions de PME). Holvi, qui est actif en Finlande, en Allemagne et en Autriche depuis trois ans, a maintenant le reste de la zone euro en vue.
"Il existe une monnaie et un système de paiement commun [SEPA - Single Euro Payments Area], ce qui facilite considérablement, techniquement, l'offre de notre produit dans ces quatre pays ", explique M. Prot. 80-90% du produit restera le même, ajoute-t-il ; quelques caractéristiques techniques, comme l'algorithme qui extrait la TVA des factures, devront être modifiées pour comprendre le formatage et les spécificités linguistiques de chaque pays.
"Nous voulons être la première solution de banque d'affaires en Europe ", déclare M. Prot. "Peut-être même plus loin."
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