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#donner envie à son ex
perduedansmatete · 9 months
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du coup résumé week-end pour me souvenir après partiel baclé car envie de boire on a bu dans un bar type sciences po paris avec des chandelles mais ça c'était après avoir descendu des bières pas chères avec tia qu'on a rejoint des gens du master à qui j'ai jamais trop parlé mais que j'aimais de loin et on a bien accroché on s'est fait grave des déclarations j'ai bien aimé ensuite on s'est montré nos tests bdsm pour je ne sais quelle raison et ils et elles m'ont encore plus aimé parce que vraiment j'avais oublié tous les 100% que j'avais et surtout ma crush du tout premier jour qui est une bordelaise/charentaise qui a plus qu'aimé mes résultats sachant que je l'aime déjà car elle est magnifique et que j'adore ces deux villes ensuite on a joué avec le feu des chandelles littéralement et c'est là que je me suis fait cette horrible cloque qui ne veut pas partir ensuite on est allés dans un autre bar j'ai bu un truc dégueu et on a joué aux cartes puis on est allées rejoindre l'ami platonique avec tia dans mon bar sauf qu'on est arrivées en retard du coup l'ami platonique était énervé mais je le comprenais, tia l'a détesté et je commençais à pleurer donc on est parties on a discuté sur les quais très longtemps on voulait manger mais il était trop tard donc on est rentrées chez elle pour dormir car elle ne voulait pas que je fasse un trajet en noctilien dans mon état puis ensuite samedi je suis allée chez ma sœur et son mec nous a fait un repas délicieux comme toujours on a beaucoup bu comme toujours et on a regardé une série de merde mais avec les fesses de julien doré avant qu'il me file ses antidépresseurs (le mec de ma sœur, pas julien doré) puis j'ai dormi presque toute la journée de dimanche et le soir on s'est retrouvés dans un bar de vieux punks c'était nul puis génial et j'ai adoré quand j'ai dis à un des chanteurs d'un groupe que je pouvais pas donner plus que dix centimes et un grigri il nous a laissé passer en disant allez laissez passer les jeunes ils ont pas de thunes et elle avec son grigri puis j'ai adoré son concert et là je suis allée en cours pour rien car j'avais un ordi chargé à 6% un tipp-ex acheté vendredi et rien pour écrire, j'ai montré l'évolution de ma cloque aux gens dont romane la bordelaise qui m'a redis que j'étais trop belle et que ma tenue l'était aussi puis on a attendu qu'il soit l'heure pour boire avec tia et on s'est baladées avant d'aller au magasin dr martens pour qu'elle m'achète des trucs pour mes chevilles qui tiennent pas car j'ai encore failli me péter la gueule trois fois aujourd'hui
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outofsp8ce · 1 month
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17/08/2024
4h07
Dans mes notes sur l'update post rupture avec L j'ai écris que j'avais fais une demande d'ajout sur son insta et qu'il l'avait refusé. Je crois que quitte à paraître pathétique et folle de faire ça après 3 mois je m'en fiche, si ça me permettais d'avancer alors ok et tant pis de passé pour une ex collante ou je ne sais quoi tant que ça pouvait m'aider pour faire vraiment le deuil alors ça m'allait. Il me fallait un réel rejet de sa part pour que j'arrête de stalk et que je n'en ressente plus l'envie, que j'arrête d'espérer. Me connaissant il me faudra encore un peu de temps et j'espère ne pas replonger dans le stalk mais je pense que ça ira. Je crois qu'en fait comme j'ai eu une dose d'affection et d'amour et que ça s'est terminé subitement, ça m'a fait une sensation de manque et je veux ressentir un amour et l'affection qui va avec à nouveau mais avec quelqu'un avec qui je serai amoureuse et ça n'arrivera pas de sitôt et ça me saoule parce que je suis en manque d'amour je crois et je me suis rattaché à la dernière personne à qui j'en ai donné et qui m'en a donné, alors je vais essayer de me donner cet amour moi même et de faire en sorte que ça me suffise mais ça va être dur.
J'écris ça sur le canapé de chez T et E, j'arrive pas à dormir, les moustiques me lâchent pas, y a des gens bourrés dans la rue qui parlent fort et qui chantent fort et j'ai fais couler quelques larmes. Quelques larmes en pensant au second rejet de L, de mon avenir, du fait que je me sente bloquée, ne sachant pas quoi faire.
Demain je suis sensée aller dans une villa et je pensais qu'on serait une dizaine mais on sera plutôt une cinquantaine et je pense pas en avoir vraiment envie alors je vais essayer d'esquiver ça.
Il est 4h30 et j'ai toujours pas envie de dormir. Je pense encore à mon avenir, qu'il faudrait que j'ai mon permis pour pouvoir être plus indépendante mais pas pour avoir un CDI. J'aimerai explorer la France et les autres pays. J'aimerai aussi avoir mon chez moi, seule mais pour ça faut que j'ai un CDI mais j'aimerai bien refaire une saison d'hiver aussi. Je suis bloquée comme un conne parce que j'ai peur comme une conne et je me trouve pas assez capable, je me sabote moi même et ça va provoquer ma chute, si elle n'a pas déjà commencée.
Ça fait une heure je tue des moustiques et y en à l'infini. Je vais pas beaucoup dormir.
Il est 5h32 et j'arrive toujours pas à dormir. Les moustiques continuent de me chasser, j'ai chaud,  je pense toujours aux même trucs d'y a une heure et je vais sûrement peut être pas dormir.
6h00, toujours pas le sommeil et mes pensées noires reviennent. Je me sens misérable ça y est.
7h00, toujours pas. Ça sera nuit blanche dû coup.
12h34, je suis partie de l'appart, les gars dormaient toujours mais j'ai prévenu T. J'ai dû dormir 1h à tout cassé.
Je suis sale, je pue la transpi et le tabac froid. hâte de rentrer et en même temps pas trop.
J'attends à l'arrêt de bus et y a un mec trop beau qui vient d'arriver, habillé trop classe, on dirait qu'il sort tout droit d'un kdrama et moi à côté je suis en gros sweat Nike, jean et baskets supplément cheveux gras, tête horribe et odeur de transpi. top.
et là je pense, sérieux je vais faire quoi de ma vie ?
Je suis rentrée de saison mi avril, ça fait 5 putain de mois et j'ai rien fait et je suis toujours aussi perdue.
je suis dans le bus dans les bouchons et je me retiens de pleurer.
13h55, en attendant le prochain bus j'ai pris un éclair au café dans une boulangerie, j'avais pas assez faim pour un sandwich.
Une dame pipelette que j'avais déjà croisé auparavant s'est assise à côté de moi, j'espère qu'elle va pas trop me parler même si elle est gentille.
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e642 · 10 months
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"Il m'a apporté de la légèreté dans certaines périodes dures, il m'a aussi appris à gérer ma colère et réguler mes émotions." Un apport bien maigre par rapport à ce qu'il te fait vivre, développé ?
Passif agressif cette question. Ma foi, j'avais pris le soin de spécifier que ce n'était pas l'objet de la précédente question d'où le fait que je n'ai pas développé mais je peux le faire. En vrac et sous forme de liste voici les raisons de pk mon mec n'est pas entièrement une odieuse personne dénuée de sentiments.
La légèreté: en effet cette année a été ce que l'on pourrait qualifier de virage à 180° supplément trafic dense et verglas. J'ai eu d'importants pb de santé et des grosses décisions à prendre (Cf période des masters). Là où j'ai aimé son côté léger c'est que pendant cette période, je n'avais pas envie de parler de ça, de mes angoisses et mon malaise, je voulais qu'absolument tout le monde me foute la paix avec les questions type "tu vas faire quoi l'année pro ?", "Et ça donne quoi les masters alors ?", "Roh une licence pour rien ?", "T'en as pas marre d'être tjrs malade ?", ect. Lui n'a jamais abordé ces questions car il savait que j'avais juste pas envie d'en parler et ça m'a fait du bien de rester dans une atmosphère safe dans le sens loin de tout ça. Ya des pb dont t'as besoin de parler pour aller mieux et d'autres dont tu veux absolument éviter de ne seulement que laisser une emprunte vocale dans l'univers. Peut-être que c'est aussi qu'il en avait rien à foutre mais peu importe la raison, le fait est que j'ai apprécié ne pas avoir à me justifier.
La tolérance: c'est quelqu'un qui aime pousser les autres dans le retranchement et qui ne connaît pas même ses propres limites pour certaines choses. J'ai appris à me détendre un peu, à rester tranquille avant de le démarrer. Il m'a appris, ou plutôt, il m'a permis de mettre en pratique le fait de réagir à froid et non plus à chaud. Au lieu d'exploser de colère à son égard direct, bien que ça ait été mérité, j'ai appris à exploser de colère de mon côté, me calmer et revenir vers lui avec l'esprit clair. Le meilleur exemple reste le jour où il m'a avoué sa tromperie, avant de l'agresser verbalement et me mettre en situation de difficulté où je serai reprochable, j'ai pris la décision de me calmer et revenir lui demander tranquillement de me raconter.
La confrontation avec moi: ma rupture précédente, il y a quelques années, m'a mise à terre. J'ai réussi à en tirer des leçons et à me sentir reconnaissante même de cet évènement. En effet, sans cette rupture, je n'aurais pas eu certains déclics. La vérité c'est que jusque là, c'était des mantras, je me disais "ok dans ma prochaine relation faut que je fasse ci, que je fasse ça", mais je n'avais jamais eu l'occasion de remettre en pratique. Savoir que la communication est la clef c'est bien, réussir à ne pas se braquer, à aller vers l'autre, à discuter sans frontalement reprocher et se mettre l'autre à dos en est une autre. Je découvre une réelle congruence entre comment je veux réagir et comment je réagis vraiment, c'est signe de travail. Et je dirais que ça l'aide, je lui donne les bons gestes, les bonnes réactions selon mes critères, il en fait ce qu'il veut. Si c'est perdu, ça ne sera jamais pour moi.
La rigueur: je pourrais me comporter comme une merde, aller revoir mon ex, me venger pour la tromperie, être franchement condescendante voire méchante. Pourtant, j'ai décidé d'être carré avec lui jusqu'à la fin pour lui montrer qu'une femme peut avoir une réelle bienveillance à son égard. Que tout n'est pas une question de calcul.
Les traumas: il en a, issu d'une famille éclatée par la tromperie, enfant du milieu jamais calculé et ex particulièrement toxique, il y a des choses à panser. Je ne me mets pas en position de sauveuse, je veux seulement dire que son passé impacte son présent et du coup son futur. La seule chose que je peux faire pour lui c'est être fidèle, lui donner de l'importance et lui faire comprendre que le relationnel, les relations sentimentales ne sont pas une vaste compétition de qui brisera l'autre en premier, de qui insérera ses doigts plein de sel dans les plaies de l'autre en premier. Et je le sens plus ouvert, il fait un travail sur lui. C'est pas avec moi qui sera la meilleure version de lui même mais avec la prochaine, autant essayer de lui redonner une vision claire des choses et une balance correcte. Rien n'est binaire en ce qui concerne les émotions.
Le sexe: il m'a permis d'ouvrir mon regard sur le sexe en se montrant particulièrement safe, non jugeant, et dans le moment. Il fait très bien l'amour, ça me permet de dire qu'il n'est pas profondément teubé non plus. Il sait écouter, enregistrer et appliquer. Bizarrement, je me suis rarement autant régalée qu'avec lui car bien qu'il ait des failles à ce niveau là, il fait preuve d'une étonnante douceur et bienveillance. Je n'ai jamais reçu une remarque reevant de près ou de loin du body shame de sa part, pourtant il y aurait matière (mutilation, peau acnéique, vitiligo dans le dos, ectt). Il a tjrs été très rassurant en ce qui concerne les règles, les poils, le corps. C'est normal oui, mais les normes ont changé, c'est donc rare et donc à souligner.
Les petites attentions: bien qu'il en loupe des évidentes (Cf arriver 20 min en retard à la gare et me laisser croupir sous la flotte), il est capable de faire des petites attentions (m'apporter un redbull, me complimenter, retenir un truc qui m'a plu ect).
Naturel: Il est nature peinture et c'est appréciable, il a désacralisé -sans se rendre compte- le rôle de la meuf qui doit être parfaite, fifille, pudique, qui fait pas caca. Il me permet d'être dans une certaine mesure moi. Il n'y a qu'avec ce mec que j'ai pu aller faire des randos à 3h du mats, aller voir des couchers de soleil, instaurer une baignade par mois, ect. J'ai tjrs été une meuf qui aime bien la nature, les trucs atypiques et lui aussi, donc c'est agréable.
bonus: j'ai un toc qui consiste à m'arracher frénétiquement la peau autour de mes ongles sans même m'en rendre compte ou encore à bouger sans cesse mes jambes même quand je pionce, bah du plus loin que je me souvienne avec lui, il a tjrs pris mes doigts ou mis ses jambes sur les miennes pour que j'arrête et ça signifie bcp pour moi
Je m'arrête là, j'ai pas écrit tout ça pour le protéger, faire changer d'avis ou encore le faire mieux paraître. Juste, je liste ce qu'il fait de bien ou provoque de bien. Il faut dire quand c'est de la merde mais aussi quand c'est bien. Donc à bon entendeur, perso, je prends pas de parti, c'est quelqu'un de bien mais un peu immature
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plaidetchocolatchaud · 6 months
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@plaidetchocolatchaud raspberry flip, merci pour ce nom. Je suis encore ému de la performance de ce patineur, ça m'arrive pour la première fois. C'est très fort ce qu'il a fait, ce qu'il a donné...
(Je n'ai pas vu ta réponse hier, il y a beaucoup de commentaires sur la vidéo, je préfère te répondre directement, j'espère que c'est OK)
Désolée je viens de voir que je me suis trompée en commentaire, c'est un raspberry twist ! Je suis désolée. Et je t'avoue que même en slow motion c'est compliqué de comprendre précisément le saut, perso je vois un saut papillon, avec une vrille, mais je peux me tromper (edit : je viens de regarder sur internet et ça m'a bel et bien l'air d'un saut papillon vrillé et des tutos sur internet existent) !
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Le saut papillon est l'un de mes sauts préférés en gr d'ailleurs, et j'apprenais à le faire, et c'est hyper dur de lui donner de l'amplitude, mais visuellement c'est un saut incroyable (en gif, Margarita Kolosov)
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Et oui, je suis fan aussi d'Ilia, c'est pas le patineur le plus artistique (mais ça va venir, par rapport à la saison dernière, il a fait d'énormes progrès sur ce niveau-là). Même si tu ne connais pas tous les détails, regarde le détail sur le plan technique et tous les record qu'il a battu sur cette performance, c'est complètement dingue. J'espère juste qu'il fait attention niveau blessures et qu'il va avoir une carrière longue ( en tant qu'ancienne fan de sasha, ma plus grande crainte est qu'il connaisse la même trajectoire, même si il est dans un milieu beaucoup (mais alors beaucoup) moins abusif).
Si tu en veux d'autres, je te fais une liste (un peu random, il se fait tard désolée, petit guide pour débutant.e fait vraiment à l'arrache) :
Yuzuru Hanyu (jpn) : considéré comme le meilleur patineur de l'histoire, ses sauts sont juste parfait, et sur le plan artistique il a dépassé de très loin tous les autres. C'est, entre autres, le premier patineur à avoir essayé le quadruple axel, qu'Ilia a été le premier à réussir en compétition. Regardes son programme libre des JO de 2018, c'est une dinguerie (il l'a fait en étant blessé)
youtube
Nathan Chen (usa) : Malgré ses costumes horribles, si tu aimes les sauts, il fera ton bonheur
Adam Siao Him Fa (fra): La nouvelle star du patinage français, qui a partagé la vedette avec Ilia pour les mondiaux avec l'incroyable remontée qu'il a faite. Si tu as aimé le raspberry twist d'Ilia, tu pourrais aimer son arabian et son salto arrière. Et il paraît qu'il veut essayer le quadruple axel lui aussi.
Le trio Yuna Kim/Mao Asada/ Carolina Kostner : l'âge d'or du patinage artistique féminin sans aucun doutes. Chacune était différente. Tu pourrais adorer Mao et son programme libre à Sotchi
Kaori Sakamoto (jpn) : La reine du patinage actuelle
Surya Bonaly (fra) : la légende française. Elle a honteusement été volée pendant toute sa carrière
Katarina Witt (ex-rda) : ça remonte à loin, mais son charisme n'a pas vieilli, et ses outfits sont toujours aussi iconiques
Sui/Han (Chine) : je regarde pas trop les couples (pourtant c'est une discipline avec des éléments hyper variés, j'aime bien), mais celui là était vraiment mon préféré
Anissina/Peizerat (fra) : le meilleur couple de danse sur glace français imo. Tous leurs programme ou presque sont des masterclass, ça n'a pas vieilli. Et Marina est la seule femme dans le patinage à avoir porté un homme, ça ne s'est pas refait.
Virtue/Moir (can) : Jettes un œil à leur Tango de Roxanne et à leur gala sur Stay de Rihanna
Papadakis/Cizeron (fra) : Je ne dois pas avoir besoin de les présenter. Leurs meilleurs programmes sont ceux qui sont le moins classique je pense (Fame, leur danse rythmique de 2022). Big up à Gabriella pour avoir le courage de dénoncer les violences dans le patinage chez les femmes.
Gilles/Poirier (can): j'adore leur originalité ( leur programme de cette année sur Les Hauts de Hurlevent est une merveille)
Guignard/Fabri (ita) : (va regarder leur programme sur les flamands roses)
Si tu as envie de regarder de la gymnastique rhythmique (sport beaucoup trop sous-côté, parce qu'en plus des éléments gymniques et de la danse tu as des ENGINS D'ADRESSE)
Anna Bessonova (ukr) : sa routine la plus iconique est Hopak mais toutes, je dis, absolument TOUTES ses routines sont des chef d'œuvre. Elle s'est pris de plein fouet la concurrence russe et ses injustices, mais c'est la meilleure gymnaste
Elena Vitrichenko (ukr) : une icône, malheureusement les juges en avait décidé autrement
Almudena Cid (esp): la reine d'Espagne qui a disputé quatre finales olympiques
Les russes ont dominé la gr pendant deux décennies, mais seulement trois ont vraiment apporté quelque chose à ce sport : Evgenia Kanavea, Margarita Mamun (il y a eu un documentaire terrible sur sa préparation aux JO tu comprendras mieux pourquoi on ne peux plus défendre les russes tant que le système ne change pas) et Yana Kudryavtseva
Melitina Staniouta (blr) : je la mets juste pour son sublime pivot signature
Sofia Raffaeli (ita) : une des principales prétendantes à l'or olympique. Elle a besoin de force, elle s'est fait lâcher à la fin de la saison dernière par sa coach qui l'entraînait depuis toute petite
Polina Berezina et Alba Bautista (esp) : je les aime d'amour. Poli a mon âge et les rubans d'Alba sont des merveilles.
Eva Serrano (fra): Si les russes n'avaient pas falsifié les scores, elle serait la seule gymnaste française à avoir gagné une médaille olympique. Tkt, elle a pris sa revanche en étant juge 20 ans plus tard à Tokyo (quelle reine) où la Russie a été battue après 20 ans de domination sans partage.
Darja Varfolomeev (ger): n'écoute pas ce que ces haters disent sur Internet. si tu as aimé Ilia (et que tu es toujours là !) tu vas l'adorer. Ses difficultés sont folles, et elle est d'une consistance dingue et fait ses meilleurs performances sous pression. Pendant les mondiaux elle dansait sur les musiques des autres en attendant son score, et elle a un sourire plus gros que son visage. C'est la favorite pour les JO.
Takhmina Ikromova (uzb): la révélation des derniers mondiaux, et la gymnaste la plus complète. elle vient de gagner le concours général du grand prix de Thiais ce weekend
Barbara Domingos : première gymnaste brésilienne qui a du succès, tu devrais aimer son ruban et son cerceau sur le roi Lion
Stiliana Nikolova (bul) : La plus expressive de la bande et celle qui a le plus de responsabilité, le jour où elle arrivera à vaincre son stress pour les finales elle sera imbattable
Boryana Kaleyn (bul) : la GOAT. elle s'est essayé et a réussi à TOUS les styles musicaux, du classique au metal, à la K-pop, au folklore sibérien à des morceaux de musiques composés exprès pour elle. Le cycle précédant un nombre incalculable de médailles lui sont passées sous le nez à cause de l'inflation des scores russes.
Ensemble France : voir mon précédant post
Ensemble Bulgare "Les Golden Girls) : le groupe de 2018-2021 (surnommé Les Diamants) est le meilleur de l'histoire, et les petites nouvelles font de très belles routines. Leurs performances dans les années 80, qui leur ont valu leur surnom valent le coup d'œil
Ensemble d'Espagne : leur performance en 2016 sur Vida Carnaval est de l'or
Ensemble d'Ukraine : quand elles sont stables, elles sont merveilleuses. Jettes un œil sur leurs galas : Archangel et Angels and Demons
Ensemble de Chine : des reines
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitres 14-15
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Salut les bgs ! J’espère que vous avez passé de chouettes fêtes de fin d’année et que 2024 vous apportera de bonnes choses !
De mon côté, quoi de mieux pour commencer l’année que de reprendre ma relation équivoque et ingrate avec un bouquin qui ne m’a rien demandé. Vous l’avez compris, c’est le retour des Hatereads !
La dernière fois, Cal était mal en point, Mara apprenait que sa soeur et son crush sortaient ensemble, et pour ne rien enlever au piquant de ce charmant épisode de sitcom chapitre, tous les indices pointaient vers Robin en tant que responsable de l’attaque contre Cal, bien que le demi-elfe soit innocent !
On en était resté à la fuite de Robin des cachots du palais, qui s’accompagne, semble-t-il, d’autres mauvaises surprises…
Le chapitre d’aujourd’hui s’intitule “Lisbeth, ou comment posséder un palais tellement grand, qu’on n’arrête pas d’y perdre des gens, ce qui est ennuyeux lorsque ceux-ci sont censés être prisonniers.”
Construisez un bureau par personne que vous recevez, qu’ils disaient. Ce sera marrant, qu’ils disaient.
Ah oui, et on a déjà un problème avec ce titre, mais je vais faire une fleur en cette nouvelle année et ignorer la virgule de trop qui se balade derrière le “tellement grand”. On va dire que c’est mon cadeau de Noël en retard.
“— Quoi ?
Fou de rage, Safir Dragosh empoigna le pauvre garde qui venait de lui annoncer l’horrible nouvelle.
Selenba avait disparu.
En même temps qu’un autre prisonnier, Robin M’angil.
— Mais comment est-ce possible ? rugit le vampyr, hors de lui. Elle était sous surveillance 26 heures sur 26 !
— Nous… nous l’avons mise pendant quelques heures en prison en bas, parce que les salles du haut ont été réquisitionnées.
Safir réalisa qu’il était en train de soulever le thug, dont le visage virait au rouge et les pieds ne touchaient plus terre. Le grand vampyr prit une profonde inspiration et reposa sa victime, puis recula, histoire de ne pas lui faire mal involontairement, vu que là, il sentait ses canines l’élancer tellement il avait envie de le mordre.”
Après ce début mouvementé, je pourrais d’ores et déjà donner des mauvais points à Safir pour violence gratuite. Mais il a de la chance, ma lecture du chapitre 7 commence à remonter et je ne suis plus autant en colère contre lui qu’à ce moment-là. Et honnêtement, après avoir vu les gardes de ce palais étaler généreusement leur incompétence, je comprends la réaction. Cela dit, je garde à l’œil monsieur « Je continue de désirer mon ex, au mépris de la relation que j’ai construite avec sa sœur ».
Le fait que toutes les salles d’interrogatoire ont été réquisitionnées en même temps interpelle le vampyr, et celui-ci ordonne au garde thug de lui montrer.
« — Euh, risqua le thug avec un courage inouï, vous devriez peut-être d’abord…
Et il désigna la mâchoire de Safir qui débordait de crocs partout.
Le vampyr comprit et les rétracta d’un air mauvais. Puis lui fit signe de passer devant lui.
Le thug obéit et précéda le vampyr en évitant soigneusement de le toucher. Il avait déjà vu un vampyr perdre son sang-froid (ah ah) et il n’avait pas du tout l’intention de revoir cette scène de nouveau, il avait fait assez de cauchemars comme ça, merci beaucoup. »
Bon, okay, j’avoue, j’aime bien ce début de chapitre pour l’instant, le petit jeu de mot avec « sang-froid » était simple mais efficace, et j’aime bien le rappel selon lequel Safir est quand même quelqu’un d’effrayant. La scène fonctionne pour moi.
Ça a pas intérêt à être une préparation de chapitre nul dans un trench-coat, parce que ma méfiance est endormie pour l’instant.
« Ils sortirent en trombe sous le regard plein de compassion des autres gardes qui étaient drôlement contents de ne pas être à sa place, les soupilutes44. (Ce livre me provoque constamment avec des mots improbables jamais entendus avant, mais je jure que je n’irai pas voir le glossaire. Littéralement ce terme est mis en bout de phrase dans un coin de chapitre, il ne sert à rien. Tiens, je devrais lire l’ensemble du glossaire à la fin de ma critique, ça devrait être marrant).
Il ne leur fallut pas très longtemps pour arriver aux prisons où des tas de gens s’activaient afin d’essayer de comprendre comment quelqu’un leur avait piqué non pas un, mais deux prisonniers. (Je suppose qu’il y aura une explication à ça, mais je trouve ça assez convenient que les deux seuls évadés soient Robin et Selenba, alors qu’on sait pertinemment qu’il y a aussi dans ces prisons le type qui a tenté d’assassiner Mourmur, notamment. D’ailleurs le type qui a tenté d’assassiner Mourmur me manque, il était drôle).
Même si Safir était fou de rage, il devait avouer qu’il n’avait pas du tout envie d’être à la place de l’Imperator, responsable des armées, certes, mais aussi de la sécurité du palais, et qui venait, plusieurs fois de suite, d’être pris en flagrant délit d’incompétence. Ce que bien sûr, personne ne lui dirait jamais en face. À moins d’avoir vraiment très envie d’aller faire un petit tour en OutreMonde… »
On se passera de ton avis, Safir « J’aime toujours Selenba qui a un red flag comme étendard » Dragosh.
Cela dit, il a pas tort, à part faire le beau derrière Lisbeth et s’entraîner avec Tara, Sandor n’est pas très productif. J’ai du mal à lui en imputer la faute, cependant, on dirait que madame S.A.M. n’a voulu le penser que comme une gravure de mode, et qu’elle préfère se focaliser sur les autres personnages plutôt que sur lui. Si elle l’écrivait comme il mérite d’être écrit, quelque chose me dit que soit les gardes du palais auraient été remplacés depuis longtemps, soit il n’aurait rien du fier gaillard qu’on en fait. Quand on voit que Lisbeth refuse de l’envoyer sur Tadix sous prétexte qu’il s’en prendrait aux démons pendant des négociations commerciales, le bougre m’a l’air moins fin qu’il est décrit en permanence.
Tiens, quitte à donner mon avis sur lui, autant poursuivre. Je sais que ça fait quatorze chapitres, et que j’avais dit que je commenterais les personnages au fil de leurs apparitions, mais pour être sincère je n’en ai pas ressenti le besoin jusqu’à présent. Et surtout, les lire dans ce tome m’a permis de renforcer l’avis que j’avais jusque-là sur eux.
Lisbeth et Sandor ont une dynamique plutôt intéressante. Lisbeth est un personnage tyrannique qui n’apparaît pas toujours comme bienveillante envers Tara, et qui alterne entre complots, caprices et travail en commun avec les héros. Ça en fait un personnage très imprévisible ; ce que je nommais autrefois, dans mes tropes préférés, le « Bon Tuteur Problématique ». Sandor, par contraste, est plus droit et monolithique : il est, dans mon imagination, comme l’ombre de Lisbeth. Quelqu’un de mesuré qui exerce son devoir d’une main de fer, et n’hésite pas, contrairement à sa sœur, à montrer son antipathie envers Tara. Ils sont, en duo, depuis des années au pouvoir, et il est certain qu’ils ont traversé beaucoup de passes ; j’en veux pour preuve la sphère-négation (c’est comme ça que j’appelle l’artefact qu’ils gardent, apparue dans le chapitre 8).
Le problème, c’est que plus le temps passe, plus cette impression de dynamique est mise aux arrêts pour quelque chose de bien moins intéressant. Lisbeth, qui prenait déjà toute la lumière, éclipse totalement Sandor dans toutes leurs scènes d’apparition. De toutes les occasions où Sandor aurait pu intervenir, être utile, être enfin son propre personnage, aucune n’a vraiment été prise, et il se retrouve accessoire alors que sa position dans le gouvernement devrait en faire un acteur majeur de l’histoire. Quant à Lisbeth, elle passe d’un personnage qui nous interpelle à quelqu’un d’ennuyeux, qui reprend les tropes de superpuissance de Tara sans rien pour contraster, si bien qu’elle en devient flanderisée. Malgré toutes les décisions prises dans ce tome et l’histoire de l’empoisonnement, on dirait que le personnage perd en épaisseur, car ses motivations sont dictées par l’action. Elle n’est moteur de rien et se contente de réagir, un comble pour une Impératrice.
Bref, je ne dirais pas qu’il faut reprocher au personnage de Lisbeth d’écarter Sandor, c’est davantage une erreur d’écriture qu’autre chose. Et critiquer l’incompétence d’un personnage qu’on sous-écrit, c’est un peu cracher dans sa soupe après avoir mis trop de sel.
Bien, après cet interlude, reprenons. Safir, en observant les salles d’interrogatoire, perçoit une odeur de sang. Plus exactement, il s’agit du sang de Selenba, et ça le fait réagir au quart de tour : il se transforme en loup, et suit la piste. Celle-ci le mène à traverser un mur qui amène à un tunnel secret, où se trouve Selenba. Celle-ci est affalée et blessée, mais toujours vivante. Safir lui demande ce qu’il s’est passé, et elle prétend ne se souvenir de rien à part de quelqu’un lui jetant quelque chose sur la tête. Mais Safir perçoit qu’elle ment, ce dont il n’était pas capable quand elle était encore buveuse de sang humain.
« Il s’affaissa un peu. Ce qu’il craignait était en train de se produire. Elle l’avait piégé, elles les avaient tous piégés pour une très mystérieuse raison qui exigeait qu’elle soit au palais d’une part et qu’elle redevienne normale de l’autre. »
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« Il prit une grande inspiration et sourit gentiment, faisant taire son cœur blessé, encore une fois. Lui aussi pouvait jouer. Et n’allait pas s’en priver.
Galamment, il souleva Selenba dans ses bras en dépit du plafond trop bas, ce qui la fit glousser. Il faillit la laisser tomber. (t’aurais dû, ç’aurait été marrant) L’entendre glousser était tellement hors de la nature de Selenba qu’il se mordit la lèvre pour ne pas lui demander qui elle était en réalité. Mais elle passa ses deux bras autour de son cou et blottit sa tête blanche contre son épaule, avec un soupir de soulagement, et il décida que les explications pouvaient attendre.
Pour l’instant, il avait une mission.
La piéger. »
La faire tomber ça aurait été plus efficace.
Et le… le chapitre est fini ? Le chapitre intitulé « Lisbeth » où Lisbeth n’apparaît même pas… ? Est fini ? Je suis soufflée, c’était ma foi une fin de chapitre très abrupte et rapide.
Non, on peut pas s’arrêter comme ça. Pour la peine, on enchaîne. Et tant pis si le chapitre 15 fait potentiellement trente pages de long, y avait pas à me laisser sur ma faim comme ça.
Le chapitre 15 s’intitule donc « Archange, ou comment aller à un rendez-vous galant sans savoir si le type veut vous épouser ou vous assassiner… ce qui donne, indéniablement, un certain piment audit rendez-vous. ».
Si le chapitre est du point de vue de Tara et qu’Archange n’y apparaît pas, ce serait le meilleur enchaînement de l’année, je pense. Sachant qu’on est le 4 janvier, y a de la marge. (Note de la moi de plus tard : évidemment qu'Archange y apparaît pas)
« Toute idée de batifolage envolée, Tara dit à Cal qu’elle revenait très vite et fila comme un rominet. Sa tante l’attendait à la prison. Et ses vêtements, comme ses cheveux, étaient noir de nuit, noir d’encre, noir de suie, montrant très bien qu’elle n’était pas contente, mais alors pas contente du tout. (ça doit ma foi être fort peu pratique d'avoir la palette de tes émotions qui s'affiche en permanence sur ta tête. Magister et Lisbeth sont pareils de ce point de vue-là)
— Que s’est-il passé ? haleta Tara, qui, toute dignité enfuie, avait couru comme une dératée, en maudissant pour la énième fois l’inconcevable immensité du palais.
— C’est ce que j’aimerais bien savoir, répondit sa tante avec un certain agacement. D’abord on retrouve un assassin dans les poutres de mon plafond, ensuite un autre assassin se volatilise de mes prisons. Ce n’est plus un palais que j’ai, mais une véritable passoire !
A ses côtés, Xandiar sembla se ratatiner. Il était responsable de la sécurité, sous la supervision de l’Imperator. Il avait remis sa démission dix minutes plus tôt, démission qu’avait sèchement refusée l’Impératrice. »
Ok Macron.
(Pour les personnes du futur qui tomberaient par hasard sur cette critique, je fais allusion au fait que Macron a rejeté la démission de Darmanin, pas à notre cher credo « Macron démission ». Oui, je sais, ça gâte une blague de l’expliquer mais celle-là elle peut être un poil technique en fonction d’où vous êtes dans le temps)
« — Je sais que vous faites de votre mieux, avait-elle dit (Ça se discute) [...] Mais les temps changent, les technologies évoluent, la magie se perfectionne. Il va falloir que vous travailliez plus en collaboration avec nos laboratoires afin que le palais soit encore mieux protégé.
Le grand garde avait opiné. Il œuvrait déjà en étroite collaboration avec les laboratoires, sauf que leurs machins ne fonctionnaient pas toujours si bien, et que Xandiar était très partisan de la bonne vieille méthode. Mettre des yeux et des oreilles bien humaines ou thugs ou elfes un peu partout. Jusqu’à preuve du contraire, les êtres conscients étaient encore, à ce jour, plus intelligents que les machines. Que les plus malins parvenaient très bien à tromper. (Alors oui, mais les êtres conscients aussi peuvent être trompés. Vous voulez une liste des personnes présentes dans le palais qui se sont fait duper, depuis le début de ce tome, ou ça va aller ?) Mais il pouvait comprendre l’Impératrice. Depuis qu’elle avait été possédée, deux fois, puis empoisonnée, elle était particulièrement sensible à tout ce qui pouvait menacer son environnement. D’autant plus qu’à présent, elle pouvait penser à sa descendance. Il frissonna. L’Impératrice était déjà implacable, il ne voulait pas imaginer ce que cela donnerait lorsqu’elle aurait des enfants à protéger… »
Oh mais ça suffit avec vos clichés ! Qui vous dit que Lisbeth sera seulement une bonne mère ? C’est une personne capricieuse et impulsive, si ça se trouve, ce sera la pire daronne de l’univers et elle négligera ses gosses dès qu’elle en aura ! La meuf vit dans l’opulence, a tout ce qu’elle désire en un claquement de doigts et est décrite comme quelqu’un de monstrueux et d’implacable, et de plus, c’est péniblement si elle fait attention aux jeunes gens qui l’entourent (bonjour, Mara qui a pété son câble dans son coin et à laquelle personne ne fait attention (je m’en remets pas), bonjour Tara que Lisbeth est prête à envoyer à la mort sur une planète qui va exploser, bonjour Jar et rebonjour Mara, qu'elle n'a sans doute pas prévenus et qui vont se retrouver encore plus orphelins qu'avant quand tout ça va se faire sans qu'ils le sachent) ! Faut arrêter de l’imaginer comme une potentielle maman louve qui veillera sur ses gamins comme sur la prunelle de ses yeux, à la fin.
Xandiar explique que Robin a disparu et qu’il a été remplacé par un autre type, apparemment ramassé dans la rue au pif, clairement le gars a pas signé pour sa meilleure journée. Les caméras ont également été trafiquées, et aucune image de ce qu’il s’est passé deux heures auparavant n’a pu être récupérée, même par voie magique. Chose étrange, l’appareil qui empêche les prisonniers d’utiliser leur magie était bien actif deux heures auparavant, ce qui signifie que l’évasion s’est faite de façon vanilla.
Mévora et T’andilius, les parents de Robin, débarquent. Lisbeth permet à T’andilius de participer à l’enquête, et sur ce, Safir arrive à son tour avec Selenba dans les bras, et apprend à tout ce beau monde sa découverte d’un tunnel secret. Lisbeth distribue ses ordres, puis va avec Tara dans sa chambre, encore une fois. Là-bas, elle lui demande si Tara est prête à se rendre sur Tadix et à ne pas se laisser influencer par ses émotions.
« — Cal va rester ici, répondit-elle paisiblement en dépit de son cœur qui battait vite. Robin a disparu, et je ne peux rien y faire pour l’instant. Donc mes émotions ne seront influencées en rien.
— Mais, insista l’Impératrice, que se passera-t-il si Archange est sérieux ? S’il veut vraiment t’épouser, mettre en place un vrai commerce entre son univers et le nôtre ? Que feras-tu ?
Tara planta ses yeux bleu marine dans ceux, si semblables de sa tante. Sa réponse fut dictée autant par sa peur pour Robin que par sa colère et sa culpabilité. (mal parti pour être neutre émotionnellement parlant, ça.)
— Je ne peux pas te répondre, Lisbeth. Voyons d’abord ce qu’il veut exactement. Je me poserai ensuite la question de ce que je veux moi.
— Mais…
— Lisbeth, la coupa fermement Tara, je sais qu’en tant qu’Impératrice tu as l’habitude qu’on réponde à tes questions, mais je ne répondrai pas à celle-ci, parce que comme je viens de te le dire, je n’ai pas de réponse. Je te rappelle que le garçon dont j’ai été très amoureuse a disparu. Que je suis inquiète. Pour lui. Pour moi. Pour AutreMonde. Nous verrons bien lorsque nous serons confrontées aux démons. Une crise à la fois, s’il te plaît.
Lisbeth n’insista pas. Elle avait été mariée contre son gré, avec un homme qu’elle n’aimait pas et la contrariait considérablement. Puis elle avait appris à apprécier, et finalement à aimer Daril Kratus, même si cela n’avait rien à voir avec l’amour passionné qu’elle portait dorénavant à Various.
Aujourd’hui, elle voyait sa nièce se débattre exactement avec les mêmes problèmes et se demandait si Tara comprenait qu’elle n’avait pas le choix et que la paix de l’univers dépendrait sans doute de sa décision.
[...] Elle regarda sa nièce qui se mordait les lèvres avec agitation et se demanda si elle devait lui parler de ce qu’étaient, en réalité, les bombes de Tadix. »
Eh bah… paye ton Impératrice impitoyable. Tu veux dire que tu vas jouer à pile ou face, selon la réaction de Tara, en espérant que si Archange veut réellement l’épouser Tara acceptera sans broncher ? Lisbeth devrait être aux premières loges pour savoir que sa nièce ne va en faire qu’à sa tête, précisément parce qu’elle est en train de le lui avouer, et parce que l’Impératrice eu un parcours similaire au sien. En tant que personne égocentrique et politiquement investie, Lisbeth ne devrait pas lui laisser le choix, et simplement décider de partir sans Tara et négocier les termes avec Archange sans son assentiment. Que pourra faire Tara, à part protester ? Puisque l’univers dépendra de son accord ?
Ah oui, et j’ajoute mentalement un nouveau point au compteur inexistant « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ai oublié au moment où ce qu’ils concernent surgit », pour la question de la véritable nature des bombes de Tadix. Ça va finir par faire beaucoup, là.
Bon, mais Lisbeth reprend du poil de la bête, et prévient Tara qu’Angelica, son ancienne pire ennemie, sera présente parmi les invités. Tara n’est pas contente (et moi non plus, Angelica est un cliché de peste sans saveur), mais elle ne trouve rien à redire. En effet :
« — Et puis, assena-t-elle, je t’ai fait parvenir la liste de tous les invités afin que tu l’entérines, il ne me semble pas que tu aies barré son nom…
Tara fit la grimace. Sa tante venait de lui donner une leçon. Elle n’avait pas regardé la liste, parce qu’elle était furieuse que Lisbeth l’oblige à recevoir les prétendants. Petite vengeance dont elle était la victime à présent. Cela lui apprendrait à jouer au plus fin avec une nana qui dirigeait un empire alors qu’elle n’était même pas encore née. »
Ça, vous voyez, c’est un genre de passage que j’aime beaucoup dans les histoires avec des protagonistes jeunes : le moment où ils se font doubler car ils ne peuvent pas prévoir l’étendue du pouvoir que les plus âgés ont sur eux. C’est simple, c’est efficace, et ça manque cruellement dans cette série, si vous voulez mon avis.
Tara la quitte, mais rencontre Various dans les couloirs, qui est très fâché. En effet, Lisbeth refuse qu’il l’accompagne dans sa mission.
« — Par les crocs de mes ancêtres, grogna-t-il, plus loup que jamais alors que Tara savait très bien qu’il n’y avait pas de loups-garous dans sa famille… Enfin, pour ce qu’ils en savaient… (littéralement Mourmur, meuf) Cette femme va me rendre fou. À peine sommes-nous fiancés qu’elle veut aller affronter des démons. Et moi, elle croit que je suis quoi ? Un joujou ? Je suis un des meilleurs guerriers et mercenaires de Vilains. Comment pense-t-elle que j’ai conquis la plus grande partie de mon territoire ? (J’espère qu’on n’est pas censés être en désaccord avec Various ? Parce qu’il a parfaitement raison, ça ne sert à rien de l’écarter de cette mission. A la rigueur, on pourrait soulever l’argument qu’il serait nécessaire pour quelqu’un de rester sur le trône en l’absence de Lisbeth, mais Sandor remplit parfaitement ce rôle, et Various et Lisbeth ne sont pas mariés, donc la passation de pouvoir risque d’être compliquée. En l’état, Various prépare un mariage d’amour avec elle, ce n’est pas pour la laisser tomber !)
[...]
Enfin, il se tut, obligé de reprendre sa respiration, et Tara put glisser un très perfide :
— Tu sais, ma tante change souvent d’avis. Tu peux certainement la convaincre si tu t’y prends bien ! »
Mais… mais quelle connasse ?
Certes, je suis d’accord avec Various (en partie parce que je ne suis pas contre l’idée de voir des personnages plus variés dans l’action du tome), mais quand même ! L’adjectif « perfide » suggère que Tara ne soulève pas l’argument pour l’aider, mais bien pour faire chier Lisbeth. Et comment dire… c’est un peu limite de l’encourager à foncer vers sa mort, simplement pour embarrasser sa tante ?
Lisbeth n’a fait que mêler Angelica à la liste des invités, et certes, c’est monstrueux car celle-ci risque aussi la mort, mais 1/ ce n’est pas une amie de Tara, au contraire 2/ ce n’était pas le choix de Lisbeth, mais quelque chose d’imposé par le père d’Angelice 3/ il y a une réelle raison à sa présence, aka le fait qu’elle possède la main de lumière.
Encourager Various à aller sur Tadix n'est en rien équivalent ! Et comme ils avaient partagé une scène un peu complice au début de l’histoire, j’espérais que Tara tenait un peu à lui, mais il faut croire que non.
Tara tente un crochet chez Mara, qui ne répond pas, et elle s’en désole mais sans plus (connasse), et va dans sa suite, où elle ne trouve ni Cal, ni ses amis. En revanche, elle a un message de Cal, qui l’informe qu’ils ont tous décidé de venir sur Tadix pour l’aider, malgré tout.
C’est dans ces dispositions qu’elle se prépare à partir, après avoir vaguement retenté de contacter Mara, toujours sans résultat. Elle songe que sa sœur ne viendra sans doute pas la voir, même en la voyant filer vers une mort certaine. Et elle ne se dit pas que le cœur de sa frangine sera d’autant plus brisé quand Cal disparaîtra aussi direction Tadix. Connasse.
« Faire les bagages pour Tadix n’était pas très compliqué, vu qu’à son grand soulagement la seule chose que Tara devait emporter c’était son corps, son cerveau (oui, ça c’était indispensable, compte tenu de ce qui l’attendait), son pégase et sa changeline.
En revanche, pour Mourmur, qui avait décidé, en dépit du danger qu’elle lui avait abondamment décrit et qu’il avait balayé d’un dédaigneux « Tu plaisantes, jeune Tara, faire exploser une planète et me demander de ne pas y assister ? Impossible », c’était une autre paire de manches. (MON IMBÉCILE MONOMANIAQUE MAL EXPLOITÉ PRÉFÉRÉ EST DE RETOUR ET IL VA FAIRE LE TRAJET AVEC ELLE, QUE DEMANDE LE PEUPLE, JE SUIS DE NOUVEAU HEUREUSE) Tara n’imaginait même pas le nombre de tonnes que représentaient les innombrables appareils transportés par Mourmur. Et comme la plus grande partie de ces machines étaient mi-organiques mi-métalliques et respiraient, même si Tara ne voulait surtout pas savoir ni pourquoi ni comment, il ne pouvait pas les mettre dans les idéales poches sans fond de sa robe de sortcelier. »
Vous savez quoi, j’adore le concept de machines mi organiques mi métalliques. Je suis complètement biaisée mais habituez-vous vite.
Tara retrouve Grr’ul, son ancienne garde du corps troll, ainsi que le mari de celle-ci. Les deux ont décidé en leur âme et conscience de l’accompagner, en dépit des risques encourus, et wow, qu’est-ce qu’il se passe aujourd’hui, c’est la fête aux personnages secondaires ! Ce n’est franchement pas pour me déplaire, même si je m’inquiète de leurs risques de décès, et que je trouve dommage qu’ils engagent leur pomme pour Tara. Cela dit, j’aime beaucoup le fait que Various ait comme motivation d’aider Lisbeth, et Mourmur de simplement assister à une potentielle explosion planétaire – ce qui est horrible, au passage, mais bon c’est Mourmur.
Dans tous les cas, ce chapitre respire le début de l’action, et après autant de chapitres à piétiner, ça me donne très envie de voir ce qu’il va se passer.
« L’arrivée très majestueuse de l’Impératrice stoppa les protestations de Tara. Parfois, la jeune fille pensait à un film qu’elle avait vu sur Terre, Astérix et Cléopâtre. Les arrivées de Lisbeth semblaient très proches de celles de Cléopâtre. Des tas de trompes, des tas de danseurs, de chanteurs, des pétales de fleurs, des gardes partout et l’Impératrice au milieu, sur un trône d’or et de rubis flottant au-dessus du sol, tiré par des pégases dorés. (Grmblll. Avis très personnel, mais y a une façon de faire quand il s’agit d’évoquer d’autres fictions dans une histoire. Des personnages peuvent faire des rapprochements et des parallèles, pas de souci, mais là, c’est la première fois qu’on entend parler d’une arrivée en grandes pompes de Lisbeth. Du coup, ça laisse à penser que c’est vraiment pris d’Astérix, et ça donne un sentiment de facilité à la scène)
[…] La changeline, que Tara avait priée de l’habiller confortablement en prévision du voyage, s’aligna sur l’Impératrice. En l’espace que quelques secondes, Tara se retrouva juchée sur d’impressionnants talons, une somptueuse robe de dentelle grise, dorée et rouge moulant son corps pour s’évaser en une petite traîne à l’arrière, tandis qu’une couronne de rubis et de diamants venait retenir ses longs cheveux blonds.
Ben, ça allait être pratique pour voyager, tout ça. »
J’aurais bien mis un point supplémentaire à mon compteur « L’Oréal, c’est pas du tout le moment », mais ce rappel de l’existence de la changeline renforce mon impression que les changelins seront utiles dans ce bouquin, donc on va dire que cet ajout est en latence en attendant que l’impression soit confirmée ou non.
Tara voit apparaître le déclencheur de la bombe sur son hor, prêt à l’usage à tout moment, avec différentes façons de l’activer en fonction de si elle est libre de ses mouvements ou non. Elle rejoint Lisbeth sur le trône, et tout le beau monde de la délégation se prépare à partir. Tout le monde est présent, sauf…
« Elle ne vit Various nulle part. Apparemment, il n’était pas venu à bout de sa tante. Tant mieux, il aurait au moins une chance de survivre, lui »
C’est dit d’une façon tellement nonchalante, c’est pour me tuer. De manière générale, Tara n’a aucune pensée particulière pour tout ce beau monde qui va probablement mourir avec Tadix, mais bon.
« Tara eut un pincement au cœur. Elle partait pour ce qui risquait bien d’être sa dernière aventure, elle ne savait pas du tout si ses amis allaient réussir à la rejoindre et vu le visage de Mara qui la dévisageait avec fureur, elle était loin d’avoir réglé tous ses problèmes avec sa petite sœur. Celle-ci lui avait tourné le dos lorsqu’elle avait tenté de lui demander pardon. »
Oui, d’ailleurs, au passage, tu aurais pu lui dire que Cal risquait de te suivre. Même à mi-mots, en langage codé. Ça aurait peut-être capté son attention. Mais bon, tant pis, hein, dis pas adieu à ta sœur.
La délégation débarque sur Tadix, avec un changement d’ambiance plutôt chouette, au passage. Tara note que la magie fonctionne moins bien sur Tadix et que le dôme qui les protège pourrait peut-être céder à tout moment. Tout le monde est très content d’accueillir l’Impératrice d’Omois, et pendant ce temps, Tara s’inquiète car même si elle a tout fait pour empêcher Cal et les autres de la rejoindre, il est possible que rien n’y fasse.
« Observant tous les invités avec attention, Tara remarqua qu’ils étaient tous bien moins gracieux et beaux que d’habitude, y compris l’Impératrice.
Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que Lisbeth, se méfiant des espions tout autant que des démons, avait interdit toute illusion de beauté. Les ministres n’avaient pas aimé, surtout ceux d’entre eux qui étaient gros et chauves…
Tout le monde était donc dans son état naturel ce qui, justement, ne leur était pas naturel. Il y avait autant de femmes que d’hommes dans les délégations et celles d’entre elles qui avaient l’habitude d’utiliser les artifices afin de paraître plus belles faisaient grise mine. »
Pfff… déjà, assimiler la beauté au fait de n’être ni gros ni chauve, merci beaucoup, hein. C’est une tendance de la série qui m’a toujours beaucoup déplu, et qui, je pense, aurait dû être critiquée quelque part. Ce culte de l’apparence physique a une ambiance malsaine, et pour un bouquin destiné à des ados et dont tous les héros sont décrits comme étant beaux, c’est vachement chiant.
D’ailleurs, c’est un autre élément, non-ironique celui-là, qui fait que j’apprécie Mourmur : il n’est pas conventionnellement beau. Il est âgé, ça se voit à ses cheveux en pétard blancs, et de plus, il a vaguement un handicap, puisqu’il a un pied abîmé, si je me souviens bien. Croyez-moi, j’aurais bien davantage de personnages préférés dans ce foutu univers si on pouvait y croiser des personnages gros, ou pas conventionnellement beaux. Si un ou une ministre refusait de changer son apparence physique car il ou elle s’acceptait comme il/elle était, je l’adorerais à coup sûr, et ce serait un bon moyen de remettre en question cette histoire de changement d’apparence !
Sur ce, le chapitre est terminé, et ce post aussi par la même occasion ! Si le chapitre 14 m’a laissée sur ma faim, le chapitre 15 m’a beaucoup plus lancée, j’ai hâte de poursuivre la critique. Et d’ailleurs, sur ces entrefaites, nous avons atteint la moitié du livre ! Bravo à tous pour votre patience.
La prochaine fois, nous verrons le magicgang – donc le point de vue qui m’intéresse le moins, mais je vais essayer de m’accrocher.
D’ici là, passez une bonne fin de semaine !
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swedesinstockholm · 1 year
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9 juin
j’avais les genoux qui bougeaient tout seuls et je devais tout le temps les bouger de mon propre gré pour les rappeler à l’ordre que c’est moi qui décide, ok? je sais même pas pourquoi ils tremblaient autant d’ailleurs parce que j’avais toute la salle dans ma poche, je le sentais, j’évitais de regarder les gens mais j’ai vu des visages captivés qui hochaient la tête et une fille aux courts cheveux blonds qui souriait comme un soleil oh c’était beau, mais surtout: les rires. faire rire une salle de spectacle, quelle merveille de la vie. j’ai jamais été aussi proche de mon rêve, artistiquement, c’est ça que je veux faire, c’était fantastique, c’était mon journal transformé en performance, ma vie transformée en spectacle, c’est tout ce dont je rêve, et de nouveau, comme mardi à esch, ç’a marché, cette fois on m’a dit que je jouais un personnage sur scène et que je jouais de ma timidité et que ça marchait à fond, je marche sur scène, je répète, je marche sur scène. c’est une danseuse argentine de 52 ans qui me l’a dit, pas aussi hot que laura a. mais archi drôle sur scène et on a passé la soirée à se congratuler mutuellement de nos perfs, j’étais contente de l’avoir avec moi après la soirée parce que pendant l’entracte je me suis sentie seule au monde de nouveau. pendant que j’étais plantée sur le trottoir dehors à trafiquer mon téléphone pour me donner une contenance une fille est venue me voir pour me dire à quel point elle avait trouvé mon texte incroyable (j’ai dit à personne que c’était littéralement mon journal, mais l’interprétation à l’oral y fait sans doute beaucoup aussi, prends ça la dramaturge de esch!) et puis ses deux amies qui arrêtaient pas de s’embrasser l’ont rejoint et apparemment elles parlaient de moi parce celle qui venait d’arriver était deg de m’avoir loupée. en partant perrine m’a demandé si j’avais pu parler avec des gens un peu parce qu’elle avait entendu plein d’échos et qu’apparemment ça parlait beaucoup de moi et un de ses amis m’a dit que d’après son applaudimètre j’avais été la plus applaudie de tous.tes et j’avais envie de tous leur crier venez me parler venez m’inonder d’amour svp j’en ai besoin validez-moi VALIDEZ-MOI.
j’ai discuté avec une femme qui venait de quitter son job pour se consacrer à l’écriture full time comme constance debré et elle me disait qu’elle considérait tout le temps passé à lire, à se documenter, à écouter des podcasts etc comme faisant partie de son travail d’écrivaine et je me suis dit que je devrais consacrer plus de temps surtout à la recherche 1. d’évènements/d’endroits où performer comme ce soir 2. de publications. je crois que je dois me mettre à plus penser en termes de projets. prendre toute la masse de contenu (ew) qui dort dans mon ordi et dans mes carnets et y tailler des projets dedans. des projets concrets, détaillés, que je peux présenter aux institutions. tailler dans la masse. sculpter la matière. la dramaturge de esch disait que sa plus grande inspiration pour l’écriture c’était les plasticiens parce qu’ils ont aucun complexe à mélanger les matières qui n’ont rien avoir.
je sais pas quoi faire de toute mon excitation de ce soir, je débordais d’énergie après la soirée, rien avoir avec ma léthargie de cet après-midi. j’ai power marché les quatre kilomètres pour rentrer chez m. comme si je venais de me doper à je sais pas quelle drogue, j’aurais pu marcher comme ça jusqu’en grèce et monter tout en haut du mont olympe, unbelievable. j’ai accompagné la danseuse argentine jusqu’à la gare centrale, j’étais très à l’aise avec elle, on a parlé de clarice lispector, alejandra pizarnik, susan sontag, astereotypie, et elle m’a encouragée à vraiment continuer dans ce que j’avais fait ce soir. oh les danseuses. j’ai failli lui parler de laura a. et lui dire que la personne dont je parle dans la chanson était une danseuse espagnole de 46 ans ex star de la compagnie dont on avait parlé un peu plus tôt mais j’ai pas osé.
quand j’ai discuté avec les amis de perrine ils m’ont fait entrevoir la possibilité que je puisse me faire des ami.es ici, on a parlé de rebeka w. et je disais que j’aurais vraiment aimé qu’elle soit dans la salle ce soir et ils faisaient que dire franchement y a moyen qu’elle voie ta perf elle est super humaine et simple et puis on a passé dix bonnes minutes à la couvrir d’éloges. merci la vie merci l’écriture merci l’art merci rebeka warrior.
10 juin
toujours pas redescendue de mon olympe, je suis plus la déesse offensée qui hurle sur la plage, je suis la déesse flattée qui baigne dans le nectar oh oui oh oui encensez-moi. hier je me disais aussi que peut être que la raison pour laquelle j’aime autant être sur scène, c’est que j’y retrouve la moi que j’aime bien, celle de l’écrit, la narratrice du journal, celle qui a pas peur de s’exprimer. j’ai longtemps discuté avec la femme qui venait de quitter son job après la soirée, elle portait du mascara bleu électrique et je me sentais très à l’aise avec elle aussi, elle nous racontait qu’une semaine sur deux, la semaine où elle avait pas ses enfants, elle louait son appart sur airbnb pour gagner de l’argent et elle allait vivre dans l’appart de son oncle qui vit à moitié en afrique. c’est sa combine pour se maintenir à flot financièrement. mais maintenant son oncle s’est réinstallé à bruxelles et elle sait pas encore comment elle va faire. alors après j’ai eu aucun embarras à lui dire que moi ma combine c’était de vivre avec ma mère pour pas avoir à payer de loyer. chacune sa combine ok? même si j’ai un peu menti, c’est pas tout à fait vrai, je vis aussi avec maman parce que j’ai trop peur de partir et de vivre seule.
ce matin en me réveillant j’ai regardé une vidéo d’une youtubeuse qui racontait qu’elle vivait avec sa mère aussi et que quand elle partait plusieurs semaines (sa mère) elle fumait beaucoup de weed pour pas faire face au sentiment de vide chronique qui l’envahit quand elle est seule. moi je me contente de la télé. je sais pas lequel est pire. en tout cas ça m’a fait du bien de discuter avec des gens qui ont décidé de se passer de travail alimentaire, ça enlève tout un tas de pression inutile à la conversation. quand elle a raconté l’histoire du airbnb et de son oncle en afrique ça m’a rappelé la narratrice de permafrost qui vit dans l’appart de sa tante à barcelone et qui gagne sa vie en louant les chambres d’amis à des filles avec qui elle finit par coucher, jusqu’à ce que sa tante revienne vivre dans son appart parce qu’elle a divorcé et qu’elle doive trouver un autre moyen pour subsister. et puis quand elle a dit qu’elle avait quitté son job pour écrire et qu’elle essayait de dépenser le moins d’argent possible je lui ai dit tu connais constance debré? j’étais fascinée qu’elle ait réussi à combiner les intrigues de deux de mes livres préférés de tous les temps dans le scénario de sa vie.
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amy-lee88 · 13 days
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Découverte de l'année
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Lu, relu et re relu, ce roman est une véritable pépite !! (TW : scènes 🔞 dans le roman) On y découvre Aly, reine des Bisounours, dans une coloc de mecs (que des canons) dont son demi-frère, Jared, qu'elle aime en secret (ils n'ont aucun lien de sang, je vous rassure). Elle est écrivain le jour, barmaid d'un bar chelou la nuit (faut le lire pour comprendre) et tombe sous le charme du nouveau coloc', un bad boy, Hunter, qui ne pense qu'à la violence et au sexe. Parmi ses autres colocs, il y a son ex, Kamran, (un pot de glu qui croit toujours qu'ils sont ensemble), Charlie, un mec qui vit H24 à poil sous son peignoir léopard ouvert (si si je vous jure) et Také, un musicien arrogant au possible qui passe son temps à l'enquiquiner et à faire comme si les nanas étaient des kleenex qu'on jette après usage. Le mec de son demi-frère, Hugo, squatte régulièrement et on sent que sa bonne humeur joue beaucoup dans la bonne entente de la colocation. Au fil du roman, on découvre que les personnalités de chacun sont plus ou moins complexes, et on s'attache à chacun d'entre eux, même Charlie et son peignoir ! On y découvre également l'amour, le vrai, dont les indices sautent aux yeux à la lumière d'une seconde lecture. Je tire mon chapeau à l'autrice, Ena L., qui a su donner vie à sa ville de cœur et à ses habitants un peu foufous. Pour ma part, j'ai eu envie de plonger littéralement dans le roman et de devenir amie avec cette bande de fous attachants au possible ! 🤍🤍🤍
Et, en passant, le jour où j'essayerai d'être publiée, je voudrais la même éditrice qu'Aly dans le bouquin svp 🤣 un véritable phénomène !!
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maraboutbadou · 1 year
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COMMENT FAIRE REVENIR DES SENTIMENTS D’AMOUR
COMMENT FAIRE REVENIR DES SENTIMENTS D’AMOUR Votre partenaire prétend ne plus avoir le sentiment amoureux ni la passion des premiers jours ?Vous souhaitez désormais faire revenir des sentiments d’amour et lui montrer à quel point il / elle compte pour vous ?Comment séduire à nouveau et lui donner envie de se relancer dans une nouvelle histoire ?Il est assez intimidant et difficile de choisir le…
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mettons que les persos se retrouvent chacun avec une copie de Tomodachi Life et des deux Miitopia, qu'est ce qui se passe?
John joue à Tomodachi Life non stop pendant un mois puis ne touche plus jamais le jeu hormis une fois de temps en temps quand il s'ennuie
Klaus est extrêmement investi dans Tomodachi Life, il a fait tout le monde et il a tout débloqué. Sur Miitopia, il a déjà fini le jeu trois fois sur switch et deux fois sur ds
Doug joue de manière assez casu à Tomodachi Life et Miitopia, sauf que parfois tu l'entends gueuler que c'est pas juste, ou t'es vraiment trop nul quoi, et tu sais que soit il a perdu un combat, soit ses miis sont en train de faire de la merde ou n'aime pas quelque chose qu'il leur donne. S'il s'énerve plusieurs fois sur une même session, il faut lui retirer la ds/switch des mains
Mique adore Tomodachi Life. Il y vit sa meilleure vie. Lui et Claudine sont mariés et ont déjà eu plusieurs enfants. Il joue aussi un peu à Miitopia, et il dit à tout le monde ce qu'ils ont fait dans chacun des jeux
Burt jouait déjà à Tomodachi Life avant, il a une sauvegarde qu'il a complété au fil du temps et il a pas le coeur de l'effacer, donc il a une deuxième cartouche du jeu. Il a terminé Miitopia, sur ds et switch, mais n'y rejoue pas car là aussi il veut pas effacer la sauvegarde
Stan a commencé à jouer à Tomodachi Life sur une partie commune avec Burt, mais il a décidé de faire sa propre partie. Il a déjà battu Miitopia sur switch, et il a prévu de faire la version ds un jour
Steve joue à Tomodachi Life mais n'en parle pas vraiment. C'est une partie très personnelle, où il a fait les miis des nombreuses personnes qu'il a perdues au fil des années, donc il garde ça un peu pour lui. Il joue vite fait à Miitopia quand tout le monde y joue, puis c'est seulement une fois de temps en temps quand il y pense et a envie
Kyle joue aux deux jeux mais continue de recommencer sa partie car il oublie qu'il en a déjà commencé une ou il se rappelle plus de ce qu'il avait prévu de faire. Il joue aux jeux assez régulièrement sinon!
Karin a pas le temps pour vraiment y jouer, il a du sport extrême à faire. Cependant, quand tout le monde jouait aux jeux, il a commencé une partie sur les deux et faisait parfois des trucs de sport en y jouant. Puis il a pété sa switch durant un saut à l'élastique sans élastique, et il a arrêté
Éléna s'amuse un peu avec Tomodachi Life mais arrête assez rapidement. Par contre Miitopia elle l'a battu en un temps record, mais ça lui suffit
Claudine a déjà battu Miitopia sur switch et ds une fois pour chaque, et a commencé une nouvelle partie sur ds. Elle joue aussi à Tomodachi Life, mais c'est plus un plaisir coupable qu'elle fait secrètement. Au début elle appelait même le jeu stupide pour se donner un genre, mais ça rendait Mique triste, donc elle a arrêté
Jennifer adore Miitopia. Elle y a joué plusieurs fois, une fois pour chaque ex (elle les met comme avatar du mal). Elle fait des personnes de sa vie au début, puis des personnages de fiction. C'est thérapeutique
Miss Moore joue à Tomodachi Life ou Miitopia pour se détendre, dépendant quel genre de stress elle ressent, et si le meilleur moyen pour le calmer c'est jouer à la poupée ou tabasser des monstres
Mac Kormack ne joue à aucun des deux jeux et se sentirait insulté qu'on pense qu'il y joue. Il essaie quand même Tomodachi Life une fois et après une semaine ça l'ennuie
Cécil adore jouer à Tomodachi Life, très satisfaisant pour se sentir important et comme ayant le contrôle. Son mii est le plus heureux, mais Mique est le deuxième. Il est moins intéressé par Miitopia
The Lord joue à fond à Tomodachi Life, et comme Burt il y avait déjà joué avant. Il est marié à Megan et a une fille qui s'appelle Jennifer dedans. Ses habitants sont des personnes qu'il aime bien et ses pires ennemis. Ses préférés sont super heureux et il torture ses ennemis. Quand il apprend l'existence de Miitopia il y joue non stop jusqu'à ce qu'il ait terminé le jeu, puis c'est une fois de temps en temps
Hoodwink joue pas mal à Miitopia quand il a du temps libre, et ses compagnons de voyage sont des personnages de fiction et des versions alternatives de lui-même. Il joue un peu à Tomodachi Life, mais surtout pour rendre misérable ses ennemis pendant que son mii a une vie parfaite
Bonus:
Mary serait tellement à fond dans Miitopia et Tomodachi Life. Tout le monde est super heureux sur son île, et elle a pris le temps de mettre tout le monde à un haut niveau de relation sur Miitopia. Elle demande à chaque personne qu'elle ajoute quelle classe les intéresse, et lorsqu'il y a une décision à prendre sur Tomodachi Life, elle demande à la personne concernée si elle est d'accord ou non. ça devient presque du spam façon jeu facebook
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sachasamare · 11 months
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Venom c'est comme le trouble borderline. Il peut t'envahir et coloniser quasiment tout ton être; aucun répit, aucune trêve, le seul moment de repos serait le sommeil, si tant est que ton subconscient te laisse tranquille évidemment (cf: rêver de son ex)
Venom s'infiltre dans chaque partie fragile de ton être, et va l'amplifier pour donner un tas de place à la colère et l'amertume. Tu ne ressentiras plus que ça, et quelque part tu ne seras plus vraiment toi-même. Mais, contrairement au trouble borderline, tu peux guérir de Venom, il suffit de l'extérioriser par des sons forts; il n'y aucune échappatoire à être une personne limite; il n'y aucune musique qui puisse l'échapper de ton âme; c'est en toi pour toujours. Et c'est dur.
Parfois je me dis que c'est un super-pouvoir, parfois je me dis que c'est une malédiction; parfois je me dis que c'est ce qui va me mener à ma perte; "ne fais pas du trouble toute ta personnalité" mais parfois le trouble est partout, chaque émotion est décuplée, chaque fait et geste peut me faire vriller; alors je tente parfois de m'isoler, mais la solitude me donne parfois envie de mourir encore plus. Mais je n'ai pas d'autre choix que de rester et d'assumer le mal que j'ai fait; d'aller voir des professionnelles de santé pour arriver à démêler le vrai du faux; car le trouble m'emmène parfois dans les pires endroits: "personne ne t'aime" "tout le monde te déteste" "personne ne te supporte" "tu es une charge, un poids, un fardeau" C'est épuisant. Mon cerveau est inarrêtable dans ces moments-là, on dirait qu'il veut m'infliger le plus de douleur possible, pour voir jusqu'où je peux la tolérer; cette espèce de haine constante que j'ai envers moi-même car je pense ne pas mériter de me pardonner pour ce que j'ai fait subir aux gens que j'aime. Je me sens tellement seule dans cette lutte, dans cette guerre qui n'a aucun sens, aucune réelle utilité à part rajouter de la souffrance à mes regrets et mes torts. Pourtant je sais que je ne suis pas seule; mais quand certaines personnes me quittent, je le ressens comme un grand abandon et je me dis toujours que c'est de ma faute. Si j'avais été moins "too much", moins intense, moins égocentrique, moins nombriliste, si j'avais été "moins" tout court, ces gens seraient restés, car ces gens sont à chaque fois des bonnes personnes, qui, de base, étaient présentes pour moi et voulaient m'aider. Mais je les ai épuisés, je les ai eu à l'usure, comme avec toutes mes petites-amies. J'ai réussi à me faire quitter par la personne qui aspirait à se marier avec moi; j'ai réussi à la pousser à bout malgré son immense capacité à être patiente, prendre des coups, rester bienveillante. Comment me pardonner après ça ? Comment retourner sur le chemin de la guérison ? Comment arrêter de s'en vouloir ?
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graphorrhee · 1 year
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Je suis lesbienne car je ne veux plus rien à voir à faire avec les hommes
Depuis le collège, lorsqu'on me pose la question, je me déclare bisexuelle. Mais cette question de ma bisexualité, je la remets en cause depuis déjà quelques mois, si ce n'est quelques années.
La vérité, c'est que je ne veux plus rien donner aux hommes, je ne veux plus rien à voir à faire avec eux. Je ne veux plus leur donner mon temps, mon argent, mes larmes, mes peurs, mes angoisses. Je ne suis jamais sereine avec un homme. Me ment-il ? Va-t-il me tromper ou l'a-t-il déjà fait ? Que pense-t-il réellement de moi ? Me dit-il la vérité ou me dit-il ce que j'ai envie d'entendre pour pouvoir me baiser après ? Va-t-il me faire mal à un moment ou un autre ? Que ce soit physiquement ou psychiquement ? Est-il avec moi par intérêt ? Est-il vraiment intéressé par ma personne ou suis-je simplement un trophée parce que je suis jolie ? Va-t-il un jour me hurler dessus ? Me frapper ? Me tuer ?
Je suis toujours dans cette attente d'être au mieux déçue, au pire blessée et meurtrie. Je me rends compte que mes posts sur ce Tumblr retracent en majorité des relations catastrophiques avec des hommes.
Non, définitivement, je ne veux plus rien leur donner. Je serai tellement plus sereine avec des femmes. Je me suis demandée récemment, est-ce que tu serais aussi angoissée à l'idée de rencontrer une femme et d'avoir une relation avec elle ? Non pas dans le sens d'une lesbophobie intériorisée, mais en comparaison avec les hommes. Est-ce que je ferai autant attention à ma tenue vestimentaire en vue d'un date ? Attention à être suffisamment confortable, mais pas trop pour paraître apprêtée. Être maquillée, mais pas trop pour ne pas paraître superficielle. Mettre des talons hauts, mais pas trop hauts pour que la personne ne se sente pas diminuée. M'épiler, avec le coût financier, temporel et douloureux que ça entraîne. Est-ce que je serai aussi anxieuse à l'idée de plaire, malgré mes kilos en trop ? Aussi anxieuse à l'idée de tomber sur un "bon gars" ou un connard ?
La réponse est toute simple : non.
Tout est tellement plus compliqué et anxiogène avec les hommes. Non seulement, il faut que nous restions baisables et parfaites en dépensant temps, énergie, argent pour qu'ils puissent baiser tranquillement, mais en plus ils baisent gratos et mal alors que nous, nous dépensons tant pour leur petit plaisir. Là encore, les dépenses ne sont pas seulement financières (s'il n'y avait que ça...), elles sont temporelles (combien de temps passer dans la salle de bains à me contorsionner dans tous les sens pour m'assurer que mon épilation est parfaite ?), elles sont douloureuses (épilation, coiffage, soin de la peau...), elles sont énergivores, elles sont angoissantes (vais-je plaire ? Suis-je suffisamment parfumée, maquillée, apprêtée, épilée, mais pas trop, pour lui faire envie), elles sont anxiogènes (va-t-il être respectueux et bien me traiter ?). Non, décidément, ce n'est pas pour moi. Tant d'efforts de notre côté, alors que du leur, un jean, des baskets, une capote dans la poche et c'est à peine s'ils prennent une douche avec un peu de liquide vaisselle. Et quand bien même on soit parfaite, leurs attentes seront toujours délirantes et hors d'atteinte, en témoigne ma dernière relation en date : monsieur voulait une femme avec un vagin pas trop large, sinon c'est un "puis sans fond" comme il a qualifié son ex, et avec des phéromones agréables. Des attentes sur lesquelles nous n'avons strictement aucun contrôle. Même au lit, je ne suis jamais sereine et détendue avec un homme. Il faut être parfaite pour son petit plaisir à lui. Il baise gratos avec une nana qui a fait moult efforts, et en plus il baise mal : sans savoir où se trouve un clitoris, en nous agrippant et nous empoignant le corps à nous broyer la chair, en faisant des va-et-vient comme s'ils essayaient de faire du feu, sans comprendre que ça ne suffit pas, en maltraitant notre poitrine, et finalement en s'allongeant comme des bêtes à côté de nous, la bite molle et le préservatif lâchement échoué au pied du lit que nous ramasserons après qu'ils soient partis.
Cette dernière relation a été le point de non-retour pour moi je pense. La manière dont il me racontait ses expériences avec ses ex. La manière dont il me racontait chaque détail intime de ces filles, leurs traumas, les surnoms qu'il leur donnait, les défauts qu'il leur trouvait, surtout au niveau sexuel... Ca me dégoûtait. Je ne voulais pas savoir et je ne demandais pas... Et il me racontait tout. Comment ne pas être angoissée ? Que dira-t-il de moi, que racontera-t-il de moi à ses prochaines conquêtes ? Comment m'appelera-t-il ? L'autiste ? Détaillera-t-il à une parfaite inconnue à quel point je suis stressée lors de la pénétration ? A quel point je suis complexée par mon corps ? Comment je réussissais à le faire jouir avec une fellation ? Bref, sera-t-il aussi indiscret avec elles ? Certainement...
J'ai fait le choix d'être lesbienne, mais suis-je donc une véritable lesbienne ? Être lesbienne en opposition à l'hétérosexualité, pour ne plus avoir rien à faire avec les hommes, fait-il de moi une vraie lesbienne ? On dit que l'homosexualité n'est pas un choix, cela s'impose aux personnes. Elles sont gays, point. Mais combien de femmes comme moi ont fait le choix de l'être pour ne plus avoir à subir les hommes ? Et sommes-nous de vraies gouines ? Ou alors restons-nous simplement bisexuelles avec le choix de ne frayer qu'avec des femmes ? Lectures : Les Hommes Hétéros le sont-ils Vraiment ? - Léane Alestra La Chair est Triste Hélas - Ovidie
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bienvenuechezmoi · 2 years
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Quand je suis chez mes parents, ma mère elle me met des coups de pression alors que je fais ma meilleure vie de personne adulte " Tu es où ? Tu fais quoi ? Tu rentres quand il est déjà tard". Rien qu'en écrivant ces mots j'ai des frissons dans le dos. La gestapo, un enfer. Quand je lui dit qu'a 24 ans je n'ai plus aucun compte à lui rendre et que depuis que je ne suis plus étudiante elle n'a plus la pression monétaire pour me faire répondre elle utilise l'argument "mais moi je me suis sacrifiée pour toi" et "j'ai peur de te perdre". J'ajouterai quelle passe son temps à me dénigrer auprès de ses copines, de m'insulter de tout les noms et m'a mis tous les morts de ma famille au nom de " j'ai peur de te perdre". A chaque fois que je reviens chez mes parents c'est la même angoisse qui revient. Celle d'être enfermé, épié toute la journée. Ne pas pouvoir respirer sans donner une explication. Faire tout de travers. Avoir une mère qui nous étales ses émotions à la gueule sans un seul filtre et un père qui ne parle pas, ne réponds des fois même pas alors que la question lui est directement posé. A ça des blagues il peut en faire mais parler des vrais sujets c'est un inexistant.
Une fois elle m'avait tellement retourné le cerveau que j'ai fait 2 jours de crises d'angoisses pour 2 semaines de vacances. Elle m'a dit "si tu y vas tu n'es plus ma fille, je ne t'aime plus". Pour 2 semaines de vacances putain.
Et je ne compte même les fois où elle m'a dit que j'étais bizarre alors que je passais mes pire années d'adolescence à me faire bully par mes propres "copines".
Certain.e.s d'entre vous me diront peut être qu'iels rêveraient d'avoir des parents et, principalement, une mère qui s'inquiète pour soit. Sachez quand même, que le résultat est le même à l'âge adulte : des tocs et beaucoup de séances chez la psy. Non ce n'est pas que parce que je suis cheloue, on a les mêmes tocs et pathologies avec ma soeur. Anxiété social, un stress omniprésent jusqu'à nous créer des douleurs chroniques, s'arracher la peau et un perfectionnisme à outrance qui te rend malade.
Elle rêvait d'être fusionnel avec ses filles ; elle a créé des petits êtres angoissé en hyper vigilance prêts à s'effondrer à la moindre vaguelette.
Il y a vraiment des soirs où j'ai envie de me buter parce que la vie est éreintante bien que ma vie soit très douce à la vue de la vie d'autres gens. J'allais dire que dans ces moments comme ça je veux retrouver mon ex mais ce con ne m'a jamais vraiment compris et quand j'étais dans ces états mentales il me disait simplement "je ne comprends pas pourquoi tu te mets dans des états comme ça, arrête ça sert à rien" alors que j'avais juste besoin qu'il me fasse des papouilles et qu'il me dise "ça va aller".
Sur ce je vais prendre mon prochain rdv chez la psy.
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beatlesonline-blog · 2 years
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JE SUIS SPECIALISTE DES RITUELS DE RETOUR AFFECTIF AVEC PHOTO/AMOUR,RICHESSE,ENVOUTEMENT AMOUREUX,PROTECTECTION
Whatsapp cliquez ici sortilège pour rendre fou amoureux un homme MES DOMAINES D’INTERVENTION comment recuperer son ex avec photo;Rituel d’envoutement d’amour rapide en 07 nuits avec photo,Marabout Professeur ALLOGNON RETOUR AFFECTIF RAPIDE ET IMMEDIAT-ENVOUTEMENT QUI FONCTIONNE AVEC CADENAS reconquete amoureuse a distance,medium professeur ALLOGNON magie pour se remettre d’une rupture…
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claudehenrion · 2 years
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Pap NDiaye, ministre de l'Education nationale. Question simple --mais double : ''A quel titre ?'' ou ''Pourquoi ?''
  Après la déferlante de points d'interrogation liée à la désignation difficilement croyable du nouveau ''ministre en charge de notre jeunesse'', les commentaires incrédules ''tombent'' sur mon écran  : ''Comment est-ce possible' ?'', ''Que faut-il penser d'une telle provocation ?''. Comme tout le monde, j'ignorais l'existence de ce monsieur jusqu'à ce tsunami, et je suis incompétent pour juger les capacités d'un ministre...  Mais là... tout ce que j'ai lu sur lui lui est défavorable : je n'ai pas trouvé un seul élément qui puisse justifier ce choix, et la seule explication qui circule est cette récente envie pathologique de notre ex- et re-Président d'emmerder (sic !) ceux de ses concitoyens, de plus en plus nombreux, qui rejettent ses errements...
Ça a été une des plus ahurissantes surprises d'un entre-deux-tours pourtant riche en bobards, en tours de passe-passe et en entourloupes : la nomination, à un des postes les plus sensibles qui puissent être, dans le monde de fous où nous tentons de survivre, d'une bombe nucléaire aussi inutile que malvenue : le vendredi 20 mai, dies irae, dies illa, Pap Ndiaye a été choisi pour pour ''succéder'' (tu parles !) à Jean-Michel Blanquer qui a été non seulement désavoué, mais bel et bien giflé en public : lui qui se croyait ''mandaté'' pour lutter contre la vérole du ''wokisme'' et le cancer de "l'islamo-gauchisme", se retrouve ridiculisé par une nomination qui est exactement en sens opposé de ce que, pourtant critiqué pour avoir été un peu trop ''la voix de son maître'', il avait passé 5 ans à faire, sérieusement et utilement !
On ne peut pas imaginer deux visions du monde plus étrangères (je n'ose pas encore écrire hostiles, mais ça viendra bientôt) : déjà, le nouveau ministre étale  son immense honnêteté intellectuelle en racontant que ''le terme woke ne désigne aucune réalité" (sic ! La chance veut que nous ayons décrit hier tout ce que ces quatre lettres cachent mal !). Et c'est un utilisateur quasi-compulsif du terme ''les violences policières" : en 2020 déjà, il inventait (sans rien démontrer, et pour cause) sur France-Inter un "déni de longue date'' sur le sujet, dans le pays. Seul point où on doit lui donner raison, une déclaration de mai 2019 : ''Je peine à discerner chez le chef de l'Etat une politique, ou même un point de vue consistant". (NB : étrangement, devant la forme ou la couleur d'un ''maroquin'', Pap Ndiaye a trouvé que tous ces manques étaient soudain comblés ! S'il est vrai qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Ah ! la, la... qu'est-ce qu'il est intelligent !).
Enfin... sans doute l'est-il, par certains des dons reçus à sa naissance. Mais au premier abord, ''ça ne crève pas les yeux’’ (et même ''au deuxième rabor'', comme disait un ''juteux-de-quartier'' à l'ancienne, ''sco-gneu-gneu'' (*) mais très brave homme, fréquenté pendant les 31 mois de mon service militaire prolongé), : voilà un homme, multi-riche en diplômes dévalués comme tous les autres ''nuls'' qui nous gouvernent si mal, dont, d'après tout ce que j'ai pu lire sur lui, le CV ne montre pas la moindre expérience politique ou autre, en dehors de la niche étroite du système éducatif vu sous un angle politique. Ce pur produit de la méritocratie (comme il se définit lui-même) a toujours évolué autour des arrière-cours de la rue de Grenelle... ce qui pourrait être fort respectable... sauf à devenir un jour titulaire du ministère le plus influent sur le futur du pays, fonction pour laquelle  il ne coche, là, pas une seule case... ce qui aurait dû être rédhibitoire, dans une vraie démocratie ! Certains lecteurs  de ce blog ne s'y sont pas trompés : le commentaire le plus drôle que j'ai reçu (l'idée de ce ''billet'' lui doit beaucoup !) tournait autour d'un jeu de mots comparant le Président de la République (le PR) à un réacteur pressurisé (l'EPR) : ''Le PR se prend pour un EPR : il coute cher et il ne tourne pas rond...''.
Notre nouveau ministre aurait pu, au moins une fois, ''renvoyer l'ascenseur'' pour remercier la reconnaissance de ses mérites (ramenés à ce qu'ils sont, tout de même, quand on les compare à ceux d'un Léopold Sédar-Senghor, d'un Félix Houphouët-Boigny ou d'un Gaston Monnerville, parmi tant d'autres : eux, ils jouaient dans la cour des grands !). Mais rien de tout cela ! Il est parti aux Etats-Unis, étudier le problème noir... auquel il n'a ostensiblement rien compris, puisqu'il croit pouvoir le retrouver à l'identique en France... dont le sol n'a jamais vu un seul esclave noir, pas un seul jour, nulle part... (NB : les Antilles, loin d'être ''deux vieux départements d'Outre-mer français avant Nice et la Savoie'' comme on l'entend parfois dire mensongèrement, sont devenues ''Départements'' en 1946, un siècle après l'abolition officielle de tout esclavage en France...). Il faut avoir un esprit curieusement contourné ou une réelle créativité pour pouvoir trouver chez nous un équivalent avec les ''Black Studies'' des universités de la côte Est des Etats-Unis...
Autre résultat de mes recherches : le parcours du nouveau ministre ne permet donc guère de se poser de questions sur son positionnement idéologique : avec une constance mécanique, il a épousé toutes les causes progressistes, depuis un appel à une nouvelle République soutenant Hollande en 2012, au combat mené en faveur des minorités. Postcolonial, décolonial, indigéniste, woke, racialiste, etc... il prend soin d’afficher une distance marquée avec le ''modèle français'', ce qui est plutôt inquiétant... d'autant plus que le seul fait d'émettre une critique sur un noir (dois-je écrire ''un black'' ?) est un péché grave qui fait de moi un raciste : même si ce n'est qu'elles ‘’le sujet du jour’’, ce ne sont pas ses faiblesses dont il faut parler, mais du fait que, blanc moi-même, il m'est interdit par la bien-pensance si mal pensante de dire, voire de penser qu'il puisse en avoir : la preuve de la charge et la charge de la preuve sont instantanément réorientées contre moi. Il est noir, DONC douter qu'il puisse être autre chose que ''the right man for the right job'' est condamnable a-priori, sans appel : je ne suis qu'un (sale) raciste... et ce n'est pas le moindre défaut de cette nomination, puisqu'elle doit être réputée parfaite, ''puisque'' ou ''parce que... Même si beaucoup voient bien qu'elle est un mauvais choix de plus de notre Président (pourtant particulièrement doué pour se fourrer le doigt dans l'oeil : de Ferrand à Castaner, de Bachelot à Dupond-Moretti, de Darmanin à Bayrou, il semble fasciné par les vrais nuls !), et une énorme erreur de casting dont nous mettrons du temps à nous remettre tant les dégâts risquent d'être lourds, à terme...
En conclusion, il semblerait que la réponse soit contenue dans la question posée, puisque je ne me souviens pas avoir entendu un seul français se demander si Jean-Michel Blanquer serait moins catastrophique, rue de  Varenne, que la pernicieuse Najjat Vallaud-Belkacem : la question ne s'est jamais posée, alors, et le seul fait qu'elle le soit (et souvent !) cette fois-ci, suggère... qu'elle se pose, et qu'elle doit être posée ! Blaise Pascal affirmait, en 1670 dans les Pensées : ''Tu ne me chercherais pas si tu ne m'avais déjà trouvé''. Constatons que ce qui était vrai hier l'est encore aujourd'hui : personne ou presque ne croit sincèrement que le choix de notre Président pour ce poste-clé soit autre chose qu'une provocation ou une punition pour l'avoir acculé dans les cordes. Des amis révoltés me susurrent  les mots : ''vengeance, sanction, ou nullité''. J'ai du mal à m'y résoudre. Quoi que...
H-Cl.
(renvoi * : à propos de ''scro-gneu-gneu'', peu de gens savent que cette expression courtelinesque, censée décrire tout vieux sous-off blanchi sous le harnais, est une altération de l'expression ''sacré nom de Dieu'', quelque peu interdite en ces temps-là. Un sourire s'imposait, après ce ''billet'' qui reflète les pires stupidités de la mode du ‘’politiquement correct’’ et d'un monde qui se referme sur lui, nous écrasant !)
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coursdemmemerlin · 2 years
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Objectif : Ecrire un article de presse 4ème
Ecrire un article de presse nécessite de respecter certaines règles de  présentation et d’écriture, ceci dans le but  d’atteindre trois objectifs : délivrer une  information claire et précise, éveiller la  curiosité du lecteur et rechercher sa  complicité.
 Comment écrire un article de presse ?  1. La présentation La présentation doit permettre au lecteur d’accéder facilement à l’information d’y accéder de plusieurs façons en fonction du temps dont il dispose ou de son envie et enfin detrouver de manière efficace et simple les réponses aux questions qu’il se pose.
 L’article de presse comporte :
     Un surtitre    Placé au-dessus de l’article, il s’agit  d’une phrase qui permet de situer le cadre général de l’article.  
     Un titre    Il doit viser à l’efficacité et à la    brièveté, c’est pourquoi on    privilégie la nominalisation.    Ex. : Les impôts ont augmenté > Augmentation    des impôts.    Le titre peut être informatif (il ne    cherche qu’à renseigner le lecteur) ou    incitatif (il fait réagir le lecteur par un effet    de surprise, le sourire ou l’intrigue).  
     Un chapeau    Placé sous le titre, il résume l’essentiel    de l’information présentée.  
     Le corps de    l’article    C’est-à-dire l’article en    lui-même ; celui-ci suit un plan précis.  
 2. Le plan de l’article L’article démarre par une
attaque
; il s’agit d’une entrée en matière à l’exposé  de l’événement. Elle le résume et en indique les circonstances, et elle contient la réponse aux six questions de référence de tout article : qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? pourquoi ?
 Vient ensuite le développement qu’il faut  découper en sous-parties. Ces parties peuvent être  soulignées par des intertitres : il s’agit  d’une phrase qui met en valeur une idée ou qui  relance le sujet.
 Le développement peut être :
 chronologique, en suivant la progression temporelle de  l’événement,  
 explicatif, en indiquant les causes et les  conséquences de l’événement.  
 L’article s’achève par une chute, c’est-à-dire une phrase  percutante qui recourt souvent à l’interrogation,  l’exclamation, l’antithèse, la comparaison,  etc.
 3. Les règles d’écriture 
a. Rechercher la simplicité  Rédigez des phrases courtes qui ne contiennent  qu’une information.  Employez des mots précis, riches et variés.  Utilisez de préférence le présent de  narration qui apporte plus de vivacité et de  réalisme.
 b. Eveiller la curiosité  L’attaque de l’article a pour fonction  d’intéresser le lecteur en lui donnant envie de  poursuivre sa lecture, elle devra donc le surprendre en misant  par exemple sur la nouveauté, l’insolite ou  l’opposition.
 Il pourra s’agir d’une anecdote ou du  témoignage d’une personne impliquée par  l’événement ou bien informée.
 Les intertitres ont la même fonction que  l’attaque ; ils relancent  l’intérêt du lecteur et lui permettent  aussi en un coup d’œil rapide d’avoir un  aperçu percutant du contenu de l’article. 
c. Etablir une complicité  Il faut bien sûr s’adapter à son lecteur  type ; vous tiendrez compte de sa classe  d’âge, de ses connaissances potentielles, de sa  situation sociale, etc.
 Le vocabulaire utilisé, les références  effectuées et les exemples donnés doivent  être immédiatement compris par le lecteur.  4. Les différents types d’articles Il existe trois grandes catégories d’articles :  a. Les articles qui informent  
La brève
 C’est une petite information de quelques lignes, qui  renseigne sur l’actualité et dont les premiers mots  sont habituellement rédigés en gras ou en italique  pour mettre en évidence le sujet abordé.  
   Le reportage    C’est un récit plus long qui raconte un    événement que le journaliste a lui-même    vécu, ou qui décrit une situation sur laquelle le    journaliste a lui-même enquêté.  
   L’enquête    C’est un article ou une série d’articles qui    cherchent à donner un maximum d’informations sur    un sujet.  
   Le portrait    C’est un article qui fait découvrir une    personnalité.  
 b. Les articles qui recueillent la parole d’autrui  
L’interview
 Le journaliste a interrogé oralement un invité et a  retranscrit ses réponses.  
   La libre-opinion    Il s’agit du point de vue d’une personne qui    n’appartient pas à l’équipe de    rédaction du journal.  
 c. Les articles qui commentent l’actualité et dans  lesquels le journaliste s’engage  
Le compte-rendu
 C’est un article qui résume les réunions ou  les manifestations publiques.  
   L’éditorial    C’est un commentaire sur l’actualité de la    Une du journal.  
   La chronique    C’est une rubrique que l’on retrouve    régulièrement et qui est faite par un même    journaliste de la rédaction.  
   La critique    C’est un jugement personnel d’un journaliste sur un    livre, une émission, un spectacle, etc.  
   Le billet    C’est une vision polémique ou humoristique    d’un journaliste sur un fait d’actualité.  
L’essentiel
   Pour rédiger un article de presse    il faut appliquer des règles de    présentation particulières afin    d’atteindre les objectifs d’un article :    informer et intéresser le lecteur.  
   L’article s’organise autour d’un plan    précis et selon des règles    d’écriture journalistiques précises.  
   Il existe de nombreuses sortes d’articles, parmi    lesquels on choisira la forme la plus adaptée.  
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