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#enée
paintingispoetry · 2 years
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Antoine Coypel, Vénus apportant des armes à Enée, ca. 1699
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Franciscus Joseph Octave van der Donckt - Karel Aeneas de Croeser Mayor of Bruges - 1809
Karel Aeneas Jacobus de Croeser (Charles-Enée-Jacques de Croeser) (14 July 1746 — 22 January 1828) was Mayor of Bruges (Brugge) between 1803 and 1813, and again between 1817 and 1827. He was the first person to be elected the post of Mayor after the contentious establishment of the United Kingdom of the Netherlands in 1815. He was previously known as a poet and genealogist.
Franciscus Joseph Octave van der Donckt (30 June 1757, Aalst - 16 August 1813, Bruges) was a Flemish portrait painter, miniaturist and pastellist. He is also referred to as Jozef Angelus Van der Donckt, as well as several other variations, too numerous to list.
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Anthony van Dyck (Flemish/Spanish Netherlands, 1599-1641) La déesse Vénus demande au dieu Vulcain de forger des armes pour son fils Enée, ca.1630-32 Musée du Louvre
D'après l'Enéide de Virgile.
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philoursmars · 6 months
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Louvre-Lens : il y a une expo : "Mondes souterrains : 20.000 Lieux sous la terre".
Ici : Jacob Isaacz Van Swanenburgh : "Enée conduit par la Sibylle aux Enfers" - 1600-1634
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detournementsmineurs · 11 months
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"Le Festin de Didon et Enée" (détail) de François de Troy (circa 1704) présenté à l'exposition "La Régence à Paris (1715-1723) - L'Aube des Lumières" au Musée Carnavalet, novembre 2023.
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claudehenrion · 9 months
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Nostalgie, quand tu nous tiens...
L'affirmation ''c'était mieux, avant'' revient régulièrement dans nos ''éditos'', au point de devenir un clin d’œil complice. En ces temps où ''tout le monde en a marre'', un colloque sur un sujet très proche s'est tenu, du 24 au 27 novembre derniers, au Mans. Pompeusement baptisé ''le 35 ème Forum philosophique'', il a tourné autour de ''l'Actualité de la nostalgie'', ce qui m'a donné l'idée de rephraser ma question favorite : ''C’était mieux, demain ?''. Barbara Cassin l'a fait, en évoquant d'autres ''hiers'', pleins d’espoirs futurs... que ''la flèche du temps'' semble rendre impossibles.
La philosophe et académicienne a commencé sa réflexion en racontant que son fils, lorsqu'il avait dans les 2-3 ans, lui demandait, après la lecture vespérale de son histoire quotidienne et juste avant de s’endormir : ''Maman, c’est aujourd’hui, demain ?''. Tout un chacun sait, intuitivement, que notre perception du temps est à la fois linéaire et indomptable, et que le présent ne cesse de s’évanouir, sans s'épanouir, entre le passé et le futur. Pourtant, la nostalgie a une façon bien à elle de bouleverser le temps, en bricolant le passé : on voudrait revenir à hier, on a envie qu'hier soit encore à venir, et puisse se rejouer... comme dans les idéogrammes japonais qui écrivent ''passé' en traçant une ligne devant les yeux et non pas derrière la tête, comme on pourrait le penser... En fait, la nostalgie vaut pour l’espace comme pour le temps : on veut revenir là où on était, où on est né, où on a fait sa vie, où on a été heureux ; on veut rentrer chez soi, surtout si l’on n’a plus de chez-soi, et on voudrait bien avoir, à tout moment, l’âge qu’on avait hier.
Ce drôle de mot est un ''vrai-faux fake'' ! En fait, c’est un pseudo-mot grec composé de ''algos'', la douleur, la souffrance, et de ''nostos'', le retour. Mais ce mot était inconnu d’Homère alors que, s’il existe un monument de nostalgie, c’est bien l’Odyssée, dont le vrai sujet est : est-ce que Ulysse va connaître le ''nostimon hêmar'', le jour du retour... et quand ? Et lui ne cesse de pleurer sur ce retour, mais ne parvient pas à rentrer et endure mille peurs, souffrances, fatigues et naufrages. A deux reprises, le héros voit de loin son Ithaque, sa terre natale, son royaume... et à chaque fois, il s’endort et laisse les vents contraires l'éloigner, une fois encore.
De manière curieuse, ce mot de ''nostalgie'' n'a pris forme qu'en 1678, lorsqu'un médecin suisse, Jean-Jacques Harder, l’a inventé pour que les Gardes suisses, ceux du pape comme ceux du roi de France, qui désertaient quand ils pensaient au chant profond des alpages, le ''ranz des vaches'', soient, non pas fusillés comme déserteurs (ce qu’ils étaient, en termes militaires), mais réintégrés et soignés comme des malades, ce que lui diagnostiquait. ''Ce n’est pas leur faute, disait-il : ils sont malades de ''nostalgie'' comme d’autres de lombalgie''. La preuve, miraculeuse ? Apercevoir leur village depuis une colline et entendre chanter le beau Lyôba, por aryâ ... suffisait à les guérir...
Depuis... la nostalgie est devenue beaucoup plus compliquée, et beaucoup plus difficile à soigner, comme l'avait expliqué Barbara Cassin (encore elle !) dans ''La Nostalgie'' (Ed. Autrement, 2013), répondant à la question : ''Quand donc est-on chez soi ?'' Elle cherchait une réponse en comparant trois destins emboîtés, (1)- Ulysse, le ''revenable'', qui doit quitter le lit conjugal, creusé dans le tronc d’un olivier encore enraciné, pour un extrême ailleurs, avant de pouvoir rentrer pour de bon ''vivre entre les siens le reste de son âge''. (2)- Enée, l’exilé sans retour, qui doit abandonner non seulement l’espoir de construire une nouvelle Troie, mais doit quitter jusqu’à sa langue pour pouvoir fonder, en latin, ce qui deviendra Rome. (3)- Et Hannah Arendt, qui n’appartient à aucun peuple, la naturalisée américaine qui n’est vraiment chez elle que dans sa langue, l’allemand plutôt que l’Allemagne, dans la chancelante équivocité du monde à ce moment terrible de l'Histoire.
Serait-on donc ''chez soi'', non parce qu’on a là ses racines, mais parce qu’on est accueilli ? Selon les pays, la ''Nostalgie'' varie, d'ailleurs, du Heimweh, le mal du pays, au home sweet home, qui reboucle et enracine chez soi, ou au Sehnsucht, l’éternel désir d’ailleurs, infini, aussi étrange et terrifiant qu’indispensable, inévitablement humain. On se souvient de Rimbaud : ''Je sais que je serais mieux ailleurs. Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs...''
De là, on en arrive très vite à l'anti-phrase : ''Demain, c’était mieux hier'',car hier, on pouvait encore croire à demain. Et c’est cela, précisément, qui est la nostalgie, aujourd’hui. Le ''demain d'hier'', on pouvait l'imaginer mieux, plus libre, plus intelligent, plus user friendly que le ''hier d'aujourd’hui''. Hier, on croyait au progrès de la science, des arts, de la sagesse, de l’humanité. Mais, surtout, on croyait au ''plus jamais ça''. Demain... c'était mieux hier, puisque privé à jamais de l’horreur, de la Shoah, d'Hiroshima, des guerres mondiales, et cetera... des ''et cetera' qu'allaient désarmer, sans doute, le lent mais irréversible mouvement d’émancipation des peuples, des hommes, des femmes, des enfants. L’avenir souriait, tout le monde.y croyait. C'était... hier !
Aujourd'hui, seule la nostalgie rend possible de croire que ce sera mieux demain... ou de croire que c’était mieux avant... Toute ma vie, j’ai cru à aujourd'hui et en demain, parce que le soleil se lève chaque jour, inattendu, splendide dans sa gloire, tandis que le ''aujourd’hui d’aujourd’hui'', c'est l'atroce souvenir du ''7 octobre'' et ses suites... Ce sont toutes les maisons de Gaza-City réduites –au sens propre-- en poussière... Ce sont les rives du Dniepr transformées en cimetières pour jeunes hommes que ne reverront jamais leurs parents, morts aussi, peut-être, des deux côtés... Ce sont des milliers d'ulysses morts en Méditerranée parce que nos pleutres-au-pouvoir n'ont pas eu le courage et la clairvoyance de dire ''On ne passe plus : il n'y a plus de point de chute !'', arrêtant instantanément ce massacre (et la fortune des ''passeurs'')... Ce sont tous les enfants soumis aux idées criminelles du jour, à qui on fait haïr et mépriser leurs parents qui auraient détruit la Terre, ou à qui on fait croire qu'ils peuvent impunément changer de sexe, ''pour voir''. Où ai-je lu, il y a peu : ''On va droit dans le mur, mais c'est pas grave : on a allumé les phares, donc on voit le mur''.
Aujourd’hui, si personne n'ose plus dire ''c'était mieux, hier'', par crainte de représailles venues du ''système'', de moins en moins de gens pensent que ''ce sera mieux demain'', et la Loi soi-disant ''immigration'' votée hier (voir ci-dessous) en est un bel exemple.... Le lavage de cerveaux, après 30 ou 40 ans de ''credo'' progressiste, n'a toujours pas pris dans les têtes, et c'est tant mieux : la tendance, aujourd'hui, permet d'espérer un réveil de notre ancienne sagesse et un retour à des jours meilleurs... même si l'horreur et le pire restent, encore, des alternatives permanentes, menaçantes et redoutables... Ce qui est certain, c’est que c'est hier que c’était mieux demain, et c’est de cet hier d’espoir dont tout le monde a la nostalgie, ce sentiment qui refait surface lorsque la réalité devient insupportable... Etonnez-vous qu'il fasse un retour en force, en ces jours noirs !
H-Cl
PS – Impossible de ne pas dire un mot de l'actualité : les vacances qui arrivent vont empêcher de tirer les conséquences du ''drame comique'' qui déchire la France, la Droite, la Gauche, les français, la majorité non-majoritaire... et tout le reste. Comme nous l'annoncions depuis longtemps, cette loi –dite d'immigration-- est ''passée'', au prix de contorsions honteuses. Elle ne va rien changer, sauf un tout petit peu, à la marge, et le fait qu'elle ait été heureusement durcie transformera ce ''rien'' en ''presque rien''. En revanche, préparons-nous à souffrir : pour se venger d'avoir été aussi nuls que d'habitude, les macronistes vont nous faire payer cher leur défaite, et nous allons donc ployer sous le poids de lois affreuses, mais ''à gauche'', sur tous les sujets : assassinat légal des malades et des vieux, permission de tout ce qui est défendu, promotion de ce qui est interdit, encouragement de tout ce dont la vaste majorité de nos concitoyens ne veut pas, tolérance zéro pour tout ce qui s'écarte –fut-ce un peu-- de la doxa de Gauche, et, ''comme d'hab'', bobards, mensonges et contraintes perverses poussés à l'extrême...
Nous aurons besoin de beaucoup de ''bons vœux'', pour contrer le tsunami qui se prépare, dès aujourd'hui, au Cons Cons (pour ''-eil'' et ''-titutionnel'' !), comme un raz-de-marée de grosses macronneries... dont la première fut sans doute cet interminable ''foutage de gueule'' que l'Elysée nous a imposé ce 20 décembre au soir : deux heures interminables de pur déni de toute réalité ! Les français, pas idiots, jugeront...
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misspeculiar-chroi · 2 years
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"Dion first met R/ené A/ngélil, her future husband and manager, in 1980, when she was 12 and he was 38, after her brother, Michel Dondalinger Dion, had sent him a demonstration recording of 'Ce n'était qu'un rêve' ('It Was Only a Dream/Nothing But A Dream'), a song she, her mother Thérèse, and her brother Jacques Dion had jointly written. Over subsequent years, Angélil guided her to stardom in francophone territories."
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cococonnoco · 2 months
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hofculctr · 5 months
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Hofstra University
Roundtable (in Spanish) with Trifonia Melibea Obono- Virtual Event
A virtual roundtable (in Spanish) with Trifonia Melibea Obono, writer and activist from Equatorial Guinea, Humboldt Foundation Postdoctoral Fellow.
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Panelists: Jeanne Rosine Abomo, scholar from Cameroon, PhD Candidate, University of Washington St. Louis Elisa Guadalupe Rizo, Iowa State University Benita Sampedro Vizcaya, Hofstra University Iñaki Tofiño Quesada, Consejo Superior de Investigaciones Científicas, Barcelona
Moderated by María Moreno Suárez, Hofstra class of 2024 and Samuel Pelaez, Hofstra class of 2025.
The session addresses Trifonia Melibea Obono’s role as a writer of international projection, scholar, and as an activist of gender equality and human rights, including LGBTQIA+ rights. Speakers will each pose one question to Melibea Obono, which she will address, before opening the session to the audience for an inclusive dialogue.
Trifonia Melibea Obono is the author of Herencia de Bindendee (2016), La bastarda (2016), La albina del dinero (2017), Las mujeres hablan mucho y mal (2018), Yo no quería ser madre: vidas forzadas de mujeres fuera de la norma (2019), Allí debajo de las mujeres: Djí ené bina bito así (2019) and, just recently, La hija de las mitangan (2023). Her novel La bastarda was published in English by The Feminist Press in 2018. She is the Alexander von Humboldt Foundation Postdoctoral Fellow at the University of Duisburg-Essen in Germany, and she is working on a research project on gender-based violence, intersectionality, and LGBTQIA+ identities.
Advanced registration is required. Registrants will be sent an event link to attend prior to the event. More info and to RSVP https://tinyurl.com/yvca8urn
Friday, April 19 (Virtual Event) Noon-1:30 p.m. (Eastern Standard Time, New York) 17-18:30h (Malabo, Bata, Equatorial Guinea) 18-19:30h (Madrid, Spain)
Presented by the Department of Romance Languages and Literatures and Hofstra Cultural Center in collaboration with Centro Cultural Español de Bata and Centro Cultural Español de Malabo (Equatorial Guinea).
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lonesomemao · 7 months
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CHAMPS FERTILES
Vous ne savez pas quoi ?
Bob Marley est à Roubaix
Reggae gai gai qui guérit
Don d'une reine Didon
Il est le frère Enée
Retombées de la guerre de Troie
Samedi 17 février 2024
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laddess-865 · 11 months
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Two ocs from a world building exercise I was working on, Ené-Yah and Cah-Mé
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dubalaivrac · 2 years
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Dimanche 5 mars 2023, Théâtre de la Renaissance à Oullins (Rhône), où l’Opéra de Lyon présente Mélisande, une recomposition de l’oeuvre de Debussy à la mise en scène et à la partition tout à fait chamboulées, par Richard Brunel, pour un spectacle amaigri, nerveux et intrigant. Le tout, partition et travail théâtral, resserré autour de la figure de Mélisande, infiniment gracieuse et légère, qui occupe tout l’espace. Surveillez les dates de tournée, ça vaut le coup, et par exemple aux Bouffes du nord, à Paris, jusqu’au 19 mars.
Ça n’a pas grand chose à voir avec les Pelléas ordinaires, effrayants Golaud ou Mélisande symbolistes et languides. C’est plutôt du théâtre musical (cinq instruments sont sur scène, montés sur roulettes, rendus très présents dans le drame : saxo, percussions, violoncelle, harpe et accordéon. Ce dernier, monocorde le plus souvent, donnant le ton : une phrase sombre et simple accompagnant les personnages), aux  rares parties chantées. Richard Brunel avait expérimenté ce genre de formule de variation à Valence, quand il dirigeait la Comédie du lieu. L’artiste en résidence était alors Samuel Achache, petit prince de ce genre de folie musicale, à la fois foutraque et raffinée, qui y avait monté un Didon et Enée de même inspiration. Et ce n’est pas un hasard si on retrouve à Oullins une Mélisande qui en était passé par là, par Valence : Judith Chemla. Tendue, émouvante, diseuse, chanteuse, et danseuse. D’ailleurs c’est aussi par la danse qu’elle séduit Pélleas, sinueuse et déliée, dans une très belle et très prenante chorégraphie ‘aux cheveux’, où elle emprisonne son amant, comme une Salomé ensorceleuse. Ça passe sans cesse de l’un à l’autre : Pelléas tient la partie de saxo et on a ainsi l’illusion que Mélisande séduit un des musiciens du quintette.
Golaud, l’effrayant Golaud qu’on connaît, n’est plus que le diseur de son chagrin et de sa jalousie, voix pâle et défaite, quasi neutre. Impuissant à contenir son destin, comme impuissant à chanter...Contraste avec un Pélléas jeune et clair, attirant, innocent, à l’innocence de qui Mélisande ne peut que se laisser aller (tant il chante bien, et clair).
Mais ce Mélisande n’est pas une réduction du drame, ni de l’opéra de Debussy, un résumé pour mieux se faire comprendre, une version courte, c’est plutôt une variation, une interprétation. Tout est très mêlé, intime et dense. Cohérent : malade en blouse blanche, mourante et alitée au début et à la fin, Mélisande est en couleur quand elle aime, quand elle séduit. En rouge quand Gaulaud la violente. Et Richard Brunel lui laisse chanter ce beau vers, hymne stratégique (et comique) du mensonge amoureux :’je ne mens jamais, je ne mens qu’à ton frère.’ Incertitude de Mélisande : ment-elle toujours à Golaud ?..
Le Journal Le Monde vient de faire paraître (Vendredi 10 mars) un portrait très intéressant de Judith Chemla, qui retrace sa carrière et la laisse (bien) parler des enjeux des grands rôles féminins qu’elle aborde : ‘c’est impressionnant tout de même, à quel point les femmes peuvent mettre leur vie en jeu dans l’amour, et à quel point les héroïnes qui abandonnent tout pouvoir et se donnent à un homme sont glorifiées, mythifiées’ La grande qualité de ce spectacle est peut-être là : rendre sensible et vivant, plus touchant encore, le mythe de Mélisande.
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philoursmars · 4 months
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Marseille, il y a maintenant 3 semaines. Il y avait au MuCEM, une expo "Passions Partagées" sur la collection d'Yvon Lambert, face à certains objets du musée.
Robert Combas : "Enée descend aux Enfers"
Jean-Michel Basquiat: "She installs Confidence and picks his Brain with a Salad"
collier de "Ticaret" - 1985 ; Andres Serrano : "America (Snoop Dog)" - 2002
Rémi Blanchard - sans titre
Francis Lagrange, dit "Flag" : "Au bagne - la Rixe" - Guyane, 1930-50
idem, le verso, montrant que la peinture a été faite sur du tissu de bagnard !
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detournementsmineurs · 8 months
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"Les Forges de Vulcain" ou "Vulcain Présentant à Vénus des Armes pour Enée" grisaille de François Boucher (1756) à l'exposition "Berthe Morisot et l'Art du XVIIIe siècle" au Musée Marmottan Monet, Paris, février 2024.
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entomoblog · 2 years
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EN IMAGES. À Rennes, l’histoire de la galerie secrète aux 4 500 espèces naturalisées du monde entier
See on Scoop.it - Insect Archive
Au milieu des salles de cours de l’université Rennes-1 se cache le Muséum d’histoire naturelle de Rennes, renfermant un trésor de 4 500 espèces naturalisées et 90 000 spécimens d’insectes, datant du XIXe siècle à nos jours. Voici cinq informations à savoir si ce lieu surprenant.
  Virginie ENÉE, le 19/12/2022
  [Image] Collection de dizaines de papillons du monde entier. | OUEST-FRANCE
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misspeculiar-chroi · 2 years
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L/iv and R/enée did a movie together! 🤯
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