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#expressionnisme abstrait
russell-boncey · 2 years
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Red films at sunset 4
Egg tempera and collage
30 x 90 cm
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lucborell · 7 months
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BLUE JEANS par luc borell Via Flickr : lucborell est un photophone artiste www.facebook.com/lucborell society6.com/lucborell pinterest.com/lucborell/ mobilhome.tumblr.com/
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Le fauvisme n'est pas une bête féroce : comprendre Albert Marquet et Fauvisme
Le fauvisme n'est pas une bête féroce : comprendre Albert Marquet et Fauvisme
Crédit vidéo : Vue rapprochée d’une personne tamponnant de la peinture verte sur un pinceau, vidéo du projet RDNE Stock de Pexels Quand nous pensons au terme « fauvisme », il pourrait évoquer des images de bêtes sauvages et indomptées déferlant à travers l’histoire de l’art, étant donné son origine dans le mot français « fauves » qui signifie « bêtes sauvages ». Cependant, malgré sa réputation…
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lobakartdesign · 1 year
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(via Impression artistique « Nuit Étoilée Abstraite » par lobak)
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Cinq œuvres et un mouvement #5
L’Expressionisme
Wassily Kandinsky - Improvisation 28 (second version) (1912)
Max Beckmann - La société de Paris (1931)
Ernst Ludwig Kirchner - Rue Berlin (1913)
Franz Marc - Le pauvre pays du tyrol (1913)
Gabriele Münter - Intérieur (1908)
L’expressionnisme est apparu au début du XXème siècle en Europe du Nord et atteignit son apogée entre 1905 et 1920. Il est caractérisé par un langage émotionnel véhément et spontané, remontant à Van Gogh, Edward Munch et James Ensor. Les artistes de ce mouvement explorèrent la destruction des sentiments authentiques par une société qui, à leur avis, devait être “purifiée” et ils expriment cette exploration par des images simplifiées, déformées, brutalisées ou abstraites.
Très présent en Allemagne, il fut porté par 2 groupes d’artistes : 
- Die Brücke (= le Pont), groupe fondé à Dresde en 1905, composé de 4 étudiants : Fritz Bleyl, Erich Heckel, Ernst Ludwing Kirchner et Karl Schmidt-Rottluff. Die Brücke rejeta l’héritage classique et se tourna vers la nature et le primitif pour renouveler l’art allemand. Leur expressionnisme était lié à une étude de l’identité et des traditions allemandes. Le groupe se déplace à Berlin en 1910 et se dissout 3 ans plus tard.
- Der Blaue Reiter (= Le cavalier bleu), groupe fondé à Munich en 1911 et ses principaux membres sont : Gabriele Münter, Franz Marc, Vassily Kandinsky et Paul Klee. Der Blaue Reiter était plus ouvertement mystique et visait à relever la vérité spirituelle cachée dans l’univers. Il utilisait une gamme de couleurs plus variée et plus subtile que les artiste de Die Brücke. Le groupe se dissout à l’arrivée de la première guerre mondiale. 
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art-en-vrac · 1 year
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Mark Rothko, l’envoûtement chromatique
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Exemple du célèbre « tableau Rouge, blanc et brun » peint en1957.
À partir de 1950, Rothko ne réalise que des toiles offrant, en guise de composition, une superposition de formes rectangulaires. Seules changent les dimen­sions de ces rectangles, leurs couleurs et les relations qu’ils entretiennent avec le fond où ils s’inscrivent. La peinture semble ainsi réduite à la répétition d’une formule et à la mise au point de ses variantes plus ou moins prononcées, mais pour le peintre elle ouvre la possibilité d’une exploration de son art qui est aussi exploration de son propre moi.
Les couleurs, l’impor­tance des formes, leur plus ou moins forte insistance dépendent de ses états subjectifs et élaborent la révé­lation progressive d’un « non-moi » ayant sans doute plus de prix que la subjectivité : « Je ne m’exprime pas moi-même dans ma peinture, a-t-il souligné, j’ex­prime mon non-moi. » D’où un certain anonymat de la facture, ou du moins son absence de personnalisa­tion : la peinture est légère, sans effets expressifs, sans gestualité ou giclures - comme pour indiquer un parti pris d’humilité.
Peindre une résonance spirituelle
Peindre est pour Rothko l’exercice d’une tension vers ce qui le dépasse, ou l’enrobe - que l’on peut nom­mer, au choix, transcendance ou néant. Si le choix des couleurs qu’il utilise sur chaque toile est bien lié à des déterminations subjectives, le spectateur ne peut que deviner ou admettre l’existence de ces déter­minations, sans les préciser davantage, Ce qu’il accueille par contre, c’est l’ambiance générale de la toile, ses effets visuels, sa résonance spirituelle.
Le brun, le rouge et le blanc, déposés en plages vaporeuses et comme marbrées, sont ici travaillés de façon à ne susciter aucun effet de profondeur, aucun mouvement sur la surface, qui affirme une stabilité totale. Aucune forme n’est franche : les bords impré­cis communiquent avec de discrets encadrements rouges qui gagnent en intensité en se rapprochant des limites de la toile.
Les « rectangles » paraissent ainsi entrer en communion avec le fond, au lieu d’en être clairement distincts. Ils ne font pas office d’ou­verture dans la surface, ni même d’esquisses de volumes, mais semblent plutôt des voiles pris dans un étagement de couleurs possibles - comme s’ils devaient susciter le désir de percevoir ce qu’ils dissi­mulent : le regard est ainsi invité à définir un en deçà (ou au-delà) de ce qu’il perçoit.
La modulation de chaque surface, moins soulignée au centre que dans le brun et le blanc, produit un équilibre des valeurs et des masses, tout en confir­mant leur aspect nuageux ou impalpable. En affir­mant des échanges locaux de densité dans la couleur, elle confère à cette dernière des potentialités de dif­fusion au-delà de ses limites visuelles. La surface est simultanément confirmée comme telle - puisque les formes sont maintenues dans un plan unique -, et susceptible d’investir l’espace du spectateur.
« Mes tableaux, a constaté Rothko, sont souvent décrits comme des façades, et en effet, ce sont des façades. » Mais toute façade sous-entend l’espace qu’elle occulte. L’envoûtement chromatique n’est pas le seul but de Rothko : il doit permettre d’aboutir ailleurs, de dépasser le plaisir visuel pour laisser place à un ravissement spirituel ou mental. De ce point de vue, l’installation de ses œuvres dans la chapelle de Houston (qui ne fut inaugurée qu’un an après sa mort) constitua sans doute un aboutissement de sa démarche, en signalant combien l’icône peinte vaut davantage par ce dont elle évoque la présence secrète que par ce qu’elle montre.
Mark Rothko en bref :
Mark Rothko est un peintre américain d'origine russe étiqueté expressionnisme abstrait. Installé à New York à partir de 1925, il se fait d'abord connaître par des peintures biomorphiques, où se retrouvent des souvenirs de ses études scientifiques. Il étudie ensuite les mythes anciens et cherche, à travers sa pratique de l'automatisme, à élaborer des toiles à contenu panthéiste. Progressivement, il abandonne toute allusion figurative, simplifie les formes, et en vient, à la fin des années 1940, à articuler des surfaces géométriques suavement colorées. En 1950, il définit son style final : un petit nombre de rectangles sont superposés sur un fond avec lequel ils sont en communion par leurs bords flous. Cette peinture « color-field » (à champs de couleur) paraît animée d'intentions, notamment mystiques, mais qu'il est difficile d'expliciter.
Très dépressif depuis 1965, il assombrit sa palette, et se suicide après avoir travaillé à la mise en place de quatorze toiles pour une chapelle œcuménique de Houston, concevant un environnement de couleurs invitant à la méditation.
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arqu3121-intro · 1 year
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Jackson Pollock y el Expresionismo Abstracto
           Jackson Pollock fue un importante pintor estadounidense que impulso una nueva forma de ver el arte. Se trata de una de las figuras más importantes y emblemáticas del expresionismo abstracto, un movimiento que dominó la escena del arte en Estados Unidos desde los años 40 hasta principios de la década del 60. La obra de Pollock se caracteriza por la implementación de una nueva técnica de pintura conocida como el chorreado o “dripping”. Las obras de pollock simbolizan de cierta forma una renuncia a los cánones tradicionales del arte.
            El expresionismo Abstracto surge en Nueva York para la década del 40, durante la guerra mundial. Este arte se caracteriza porque no lleva una narrativa, renuncia a la perspectiva, y tampoco lleva un orden u orientación. Por el contrario, son obras de gran formato que se desarrollan a partir de la exploración y experimentación del artista y crea expresiones sin rasgos figurativos. El expresionismo abstracto nos trae dos principales tendencias, el “Action Painting”, donde se encuentran as obras de artistas como Pollock y Willem de Kooning, y el “Color-field Painting” con artistas como Barnett Newman y Mark Rothko.
            Contextualmente, el expresionismo abstracto surge como una necesidad de los artistas americanos de desprenderse de los estándares y expectativas del arte europeo. De cierta forma, es una búsqueda de libertad y expresión propia en un panorama donde los Estados Unidos simbolizaba uno de los lugares más prometedores dentro del arte, mientras que Europa sufría los daños de la guerra. De este periodo, pasarían obras sumamente importantes para la historia del arte, hasta consecuencias políticas y culturales.
            La técnica del chorreado o “dripping” que desarrolló Pollock se basa en chorrear pintura de forma natural e impredecible sobre un lienzo extendido en el suelo. Cada pintura que hizo el artista es única e imposible de replicar debido a que no se trata de una técnica de refinada de academia o que intente recrear o imitar otros artistas. El arte de Pollock es tan influyente que, en 1973, el gobierno de Australia compró su pieza “Blue poles” por 2 millones de dólares para la National Gallery en Canberra, Australia.  Esto generó una gran polémica entre los ciudadanos y políticos que no veían el valor de este movimiento artístico.
            El expresionismo abstracto es un movimiento artístico que llegó para romper paradigmas dentro de una época que aún valoraba el arte europeo como el estándar. Entre todos los artistas de este, quizás Pollock figura como uno de los más icónicos y controversiales. Su estilo único hace de sus obras sumamente reconocibles, y que haya dejado un legado en la historia del arte.
Referencias:
Centre Pompidou [@centrepompidou]. (2017, marzo 26). Expressionnisme abstrait | Voulez-vous un dessin ? | Centre Pompidou. Youtube. https://www.youtube.com/watch?v=i5iRp340e-g
Jackson Pollock - Blue poles - Search the Collection. (s/f). National Gallery of Australia. Recuperado el 24 de mayo de 2023, de https://searchthecollection.nga.gov.au/object/36334
Jackson Pollock: Blue Poles Documentary
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netlex · 4 years
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Abstract expressionism
Jackson Pollock by Martha Holmes
Le peintre expressionniste américain Jackson Pollock (1912-1956) à New York en 1953. TONY VACCARO / GETTY IMAGES
Jackson Pollock. Painting (Silver over Black, White, Yellow and Red), 1948
« Repartir à l’origine de l’art comme si la peinture n’avait jamais existé », indique le peintre Barnett Newman, l’un des représentants majeurs de l’expressionnisme abstrait
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d-untrait · 5 years
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Cy Twombly
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Primavera, Color Woodcut, 1947, Anne Ryan.
Expressionnisme abstrait
Avant garde New yorkaise
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russell-boncey · 7 months
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Russell Boncey
Personal details
Visit Russell Boncey’s website : https://russell-boncey.eu/
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lucborell · 1 year
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MAREE BASSE par luc borell Via Flickr : lucborell est un photophone artiste www.facebook.com/lucborell society6.com/lucborell pinterest.com/lucborell/ mobilhome.tumblr.com/
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Chaïm Soutine (1893-1943)
Le texte ci-dessous est l’extrait du livre Chaïm Soutine (ISBN: 9781785250439 ): écrit par Klaus H. Carl, publié par Parkstone International.
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Autoportrait au rideau, vers 1917. Huile sur toile, 72,5 x 53,5 cm. Collection privée, Paris.
Chaïm Soutineest né en 1893 (certaines biographies situent parfois son année de naissance après 1894), à Smaliavitchy, un village situé à proximité de la…
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Une urgence s’expose à Paris sur quatre étages ! Ce sont les hurlements de Jean-Michel Basquiat ! Des cris de rage et de colère qui n’en finissent pas de nous alerter ! Les œuvres s’étalent, nombreuses, beaucoup, trop quand-même, et semble exprimer la même fureur.
Un jeune homme qui se veut artiste et crée dans l’urgence car il se sait mortel !
Photographie de l’exposition
L’espace à la Fondation est contraint et biscornu : de grandes salles mais aussi des étages, de partout ! On croit avoir fini et il y a en encore ! 120 tableaux, en général de grand taille, qui nécessiteraient plus d’heures de visite que ne peut en fournir une concentration lambda ! De nombreuses œuvres pour la première fois exposées qui viennent pour beaucoup de collections privées. Sa production est immense. En huit années, Basquiat a fait 1000 tableaux et 2000 dessins. C’est donc une œuvre exceptionnelle et grandiose !
Crowns (Peso Neto) 1981
Et, d’un coup, on est en “overdose”, on n’en peut plus de ce cri qui s’expose avec des cartels qui ne répondent pas toujours à la curiosité du visiteur !
  En 2015, le  Musée d’Art Moderne consacrait une première rétrospective; que j’avais vu, le révélant au public français (350 000 visiteurs). C’était aussi une explosion !
Ici, l’accrochage ne tient pas compte de l’ordre chronologique, même si elle commence par ces tableaux de 1981 où son accident de voiture prend place dans son œuvre. L’exposition s’ouvre sur une première salle où trois tableaux représentants des têtes s’exposent.
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Cette évolution résume la présentation de cette exposition. Une transgression s’expose et à force de dénoncer, cet artiste s’abîme dans les contraintes contradictoires de son époque (le racisme – le multiculturalisme – l’opposition Dieu/Diable -etc.).
Et, pourtant, premier artiste se revendiquant noir, alors qu’il est métis, il bouleverse les codes de l’art qu’il a découvert avec sa mère à courir les musées dans sa jeunesse en les réinvestissant.
Irony of a Negro Policeman – 1981
Né en 1960 à Brockling NY, il passe le pont après sa rupture avec son père d’origine  Haïtienne. Sa mère est d’origine portoricaine dorénavant malade.
Al Diaz, un ami d’enfance avec qui SAMO est devenu un nom dit “Son père était un tyran”. Sa mère suite à un accident de la route à offert à son fils de sept ans le livre “Greys Anatomy “. Il se dirige vers l’East Side de Manhattan où immeubles abandonnés et insalubres pullulent.
Habillé de son long manteau en laine noire, Jean-Michel Basquiat hante les rues de la ville le jour, et la nuit, les clubs comme celui du Mudd Club où il joue de la musique, écrit des poèmes et s’essaye à ce qu’on appellera le Street-Art ou il élit domicile dans la rue lorsqu’il ne peut pas profiter d’un lit partagé. Il a 17 ans !
Sans titre – (Blue Airplane) – 1981 – Collection privée
Son univers mélange les mythologies sacrées du vaudou et de la Bible en même temps que la bande dessinée, la publicité et les médias, les héros afro-américains de la musique et de la boxe, et l’affirmation de sa négritude. Il définit ainsi une contre-culture urbaine, underground, violente et anarchique, pétrie de liberté et de vitalité. Dossier de presse- Musée d’Art Moderne – Exposition 2010/2011
Jean-Michel Basquiat pique ses influences de partout. Il commence avec un marqueur puis arrive la bombe qui va sur n’importe quel support, horizontal ou vertical. Il côtoie Keith Yaring à qui il laissera le graffiti comme moyen d’expression. Car, au milieu des années 70 jusqu’aux années 80, la ville de New-York est vampirisée par des artistes de rues.
Ephemera – Keith Haring – 1979
– Comment ça va ?
– SAMO (Same old shite) pouvait-on répondre ce qui signifie “la routine”, “rien de neuf”
Jean-Michel Basquiat et son ami Al Diaz, remplissent la ville de cette expression en y ajoutant une couronne et le c de copywrite entouré qui resteront sa signature tout au long de son œuvre.  Avec SAMO, il invente un art composé de phrases, de formules poétiques qui inondent les murs à partir de 1978.
«SAMO© AS A NEO ART FORM»
ou
«SAMO© AS AN END TO MINDWASH RELIGION,
NOWHERE POLITICS, AND BOGUS PHILOSOPHY» («SAMO©)
SAMO,  c’est la fin des religions laveuses de cerveau, des politiques menant nulle part et des philosophies bidon».
En 1978, est annoncé sur les murs : “SAMO©IS DEAD»
Crowns (Peso Neto) 1981
Paul Schimmel, conservateur de musée raconte qu’en 1981 Jean-Michel Basquiat avec ses dreadlocks faisait sensation en peignant à même le trottoir avec son radio-cassette au son de Charlie Parker poussé à fond. La propriétaire de la galerie jouait les rabatteuses en encourageant tout le monde a venir le voir.
Sans titre (Prophet I) 1981/1982
Détail de Sans titre (Prophet I) 19081/1982
Au cours d’une soirée, on met enfin un visage sous un nom, c’est le beau et jeune visage de Jean-Michel Basquiat au charisme important. Au gré de ses rencontres, il peut utiliser une cave ou une pièce où il commence à combiner peintures et poésies toujours en musique.
Il crée des cartes  qu’il vend dans la rue. Il aperçoit Andy Warhol dans un café. Avec un culot monstre, il entre et lui en propose une.  Peu après, il décide de faire “mourir” SAMO pour devenir Jean-Michel Basquiat, l’artiste.
“C’est en observant que j’ai appris l’Art ” Jean-Michel Basquiat
La série Prophet renouvelle l’art du portrait que l’on retrouve tout au long de son œuvre : l’ovale du visage, le nez géométrique, les yeux écarquillés et les dents comme un quadrillage soulignés par diverses couches de peinture et un trait gras. C’est la période où il vit chez Annina Nosei et compose dans sa cave. Ses toiles vont commencer à s’exposer (New-York dans la galerie d’Annina – Los Angeles Larry Gargosian Gallery).
“Si j’étais un blanc, on dirait que je suis en résidence ”
Jean-Michel Basquiat lorsqu’il peignait dans la cave de sa galeriste Annina.
C’est à la fois une découverte stupéfiante et aussi l’arrivée de la consécration.
Arroz con Pollo – 1981
C’est un plat portoricain. Un clin d’œil à sa mère, certainement ! Ce tableau sera exposé avec une vingtaine d’autres à la Documenta 7 de Dusseldorf  en 1982 où il est le plus jeune artiste exposé au côté d’artistes confirmés Andy Warhol, Cy Towly mais aussi d’autres plus jeunes comme Keith Haring.
Sans titre – 1982
Le thème de la dualité reste une figure majeure dans  son œuvre  : opposer la figure du Christ à celle du diable, se faire affronter noir et blanc, opposer ses personnages, opposer le rite de la religion officielle et celle du vaudou, etc.
Basquiat commence à écrire avant de vendre ses tableaux. Une première expo est organisée à Los Angeles avec Carnassian où il séjourne de temps en temps. Lorsqu’il se sépare d’Anita, il vend ses œuvres directement et est souvent payé en drogue.
Cassius Clay – 1982
Cette toile est clouée sur un cadre de bois à la gloire du boxeur américain.
Baby Boum – 1982 – Collection privée -États-Unis
Santos versus Second Avenue – 1982 – Collection privée –
Crédit : Lee Jaffe
 “Séduits par son style néo-expressionniste, ils le considéraient comme un artiste sauvage et restaient indifférents au contenu de ses œuvres, pourtant brutal” Dieter Buchhart, un des commissaires.
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      “Autodidacte de génie avec une fulgurance créative peinture intuitive toujours avec la musique et avait plusieurs tableaux en route qu’il peignait en même temps.” Phoebe Hoban,  “Jean- Michel Basquiat – 1960/1988”
Sans titre – 1982 – Collection particulière –
“Murs de têtes” tel qu’ont été présenté les dessins à la Robert Miller Gallery. Sur ce mur s’exprime la révolte de l’artiste contre le conformisme, sa méfiance vis à vis de la consécration et son succès grandissant et son intérêt pour l’anatomie.
The Field Next to the other Road – 1981 –
Les commissaires de l’exposition font un parallèle avec le travail de Jean Dubuffet. En tout cas, c’est la première fois que l’on voit une figure humaine sur pied.
Boy and Dog in a Johnnypump – 1982 –
“Johnnypump” est un mot d’argot pour désigner les bouches d’incendie de NY. Comme dans certains quartiers, des jeunes les ouvrent l’été. On pense que le personnage est un auto-portrait.
Portrait de Jean-Michel Basquiat – 1983 – Lee Jaffe Photographe –
Le racisme est très prégnant dans l’Amérique du moment ! Mickael Steward, artiste graphiste afro-américain,  meurt roué de coup par la police le 28 septembre 1983. En 1985, Keth Yaring s’insurge contre les policiers qui sortent acquittés du tribunal. Il compose le tableau “La violence raciale”. Pour Jean-Michel Basquiat, il commence à composer ses têtes de morts qu’il inonde dans ses tableaux. Il faut comprendre la lutte de l’époque où Madonna et keith Jaring se sont financièrement investis dans ce procès.
Obnoxious Liberals – 1982
Basquiat reprend l’image biblique de Samson (l’esclave) sous la forme d’un homme enchaîné entre deux colonnes blanches. Ses cheveux ont été rasés du coup, cet homme est affaibli. L’homme au chapeau marron représente le capitalisme avec ses décorations en dollars. Celui en noir incarne le marchand d’esclaves.  Sur lui, est écrit “pas à vendre”.
Offensive orange – 1982
Museum Sécurity ( Broadway Meltdown) – 1983
Basquiat utilise un procédé proche du Sampling, en piochant et réagissant à ses idées en incorporant des mots, qu’il biffe pour attirer plus facilement le regard du visiteur. Il se rapproche ainsi de ses aînés comme Cy Townly ou Joseph Beuys et crée des listes reproduisant des mots, des faits et des schémas issus de domaines scientifiques divers.
Grillo – 1984
L’artiste multiplie les références aux formes et aux cultes d’origine africaine en les confrontant à ses propres références utilisant le collage de photocopies.
il suit une cure de désintoxication à Hawaï, séjouir pendant lequel il ne peut composer. De retour, il retrouve ses démons.
Mary Gore marchande d’art à New York le reprend. Il rencontre de nouveau Andy Warhol et décide de faire des polaroids ensemble.
Brown Spots (Portrait of Andy Warhol ) 1984
Ce tableau est comme un témoignage affectueux du rôle qu’a joué Andy Warhol dans la carrière de Basquiat. Il reprend l’image de la banane qui représente le Velvet Underground et la coiffe d’une perruque auquel l’artiste devait tenir !
Un jour, Basquiat choisit de ne pas déjeuner  et s’isole pour composer un tableau qu’il propose le jour même à son nouvel ami…. Bluffé, il dit “Je suis jaloux. Il est plus rapide que moi”. L’artiste va faire décoller la carrière du plus jeune.
Dos Cabazas – 1983
  Entre 1984 et 1985, Andy Warhol et Basquiat ont crée près de 200 œuvres communes. Qui a profité de qui ?
A la mort de Warhol en 1987, Basquiat est inconsolable.
Negro Period – 1986
Antony Clarke – 1985
Antony Clarke est un gaffeur connut sous le nom “A-one”. Basquiat utilise des matériaux de récupération.
Sans titre – 1986
Une dernière expo est organisée en 1988 comme une prophétie de sa mort (Overdose)
Riding with Death – 1988
Sources :
Arte – La rage créative –  Jean-Michel Basquiat
France Culture – Jean-Michel Basquiat – L’Art et la matière.
Dossier de presse – Basquiat – Musée d’Art Moderne
Questions pratiques :
Expo JM Basquiat
Du 3 octobre 2018 au 14 janvier 2019
  Jean-Michel Basquiat – Fondation Vuitton Une urgence s'expose à Paris sur quatre étages ! Ce sont les hurlements de Jean-Michel Basquiat !
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Contemplation et flou artistique 17 février 2018, FLV
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art-en-vrac · 2 years
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Vassily Kandinsky
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Peintre d'origine russe» l'un des initiateurs de l'art abstrait. Il naît à Moscou» passe son adolescence à Odessa» et fait d'abord des études de droit» qui le mènent à un poste de chargé de cours à la faculté de droit de Moscou.
En 1898, Il découvre Monet et part l'année suivante à Munich pour étudier la peinture. Il réalise ses premiers tableaux en 1900, fonde dès 1901 le groupe « Phalanx », qui organise douze expositions reçues comme « hypermodernes », où sont réunis peinture et arts décoratifs.
En 1904, Kandinsky voyage en Hollande et en Tunisie et expose dans plusieurs villes d'Europe dont Paris ; il publie à Moscou un album de gravures sur bois, suivi d'un second en 1906, à Paris.
En 1908, il se partage entre Munich et Murnau, où il achètera une maison. Avec sa compagne Gabriele Münter, il fréquente régulièrement Jawlensky, puis Franz Marc. Ses travaux, qu'il classe en « Compositions » ou « Improvisations », se distinguent nettement de l'expressionnisme ambiant en prenant une liberté de plus en plus nette relativement à l'objet.
Murnau avec église II, 1910.
En 1910, Kandinsky a peut-être réalisé une première aquarelle abstraite, mais jusqu’en 1913, il hésite encore à supprimer totalement le motif, comme en témoigne cette toile, l’une de ses plus « expressionnistes ». Mais son expressionnisme se traduit moins par un emportement stylistique que par l���importance que prend la subjectivité du peintre dans la restitution du sujet.
Il s’agit ici d’un paysage, et la reconnaissance de ses éléments ne pose guère de problème, dans la mesure où les apparences sont évoquées, non certes de manière fidèle ou naturaliste, mais avec une précision relative qui permet de repérer un ciel, des reliefs, des bâtiments, etc.
Lorsque Kandinsky la montre lors de sa première exposition personnelle, fin 1911, à la galerie Tannhatiser, elle est cependant très mal reçue et paraît inacceptable, précisément en raison de la vision totalement subjective qu’elle propose.
Ce qui paraît choquant à l’époque, c’est sans doute autant le traitement chromatique que la déformation infligée au paysage, qui se trouve ici modelé par le peintre, plutôt qu’il ne fait office de modèle. Kandinsky est le premier qui affirme la prédominance du « modèle intérieur » sur le modèle extérieur, priorité qui se vérifie dans les œuvres qu’il réalise en 1909-1910 : la nature est prétexte à effusion colorée et à une reconstruction qui la transforme en motif lyrique.
Aussi la couleur est-elle irréaliste, et employée beaucoup plus en fonction des exigences de la composition que des formes ou objets auxquels elle renvoie.
La toile obéit à un dynamisme qui déporte les formes vers la droite, et son équilibre est maintenu grâce aux masses vertes des collines qui, en plan moyen, contrarient les lignes de force des clochers, des toits et des formes du premier plan.
Ce vert des collines s’entrouvre pour accueillir une quatrième colline multicolore, dont les différentes zones n’obéissent à aucun* souci réaliste. Le même vert se retrouve au premier plan, en deçà de bâtisses et de champs dont la coloration est hautement arbitraire - tout particulièrement lorsque des hachures bleues ponctuent un fond jaune et blanc.
Le même arbitraire, relativement à une figuration naturaliste, s’affirme dans le traitement du ciel. L’efficacité du puzzle coloré est telle que le regard hésite sur la conception de l’espace pictural : il y a bien étagement de plans successifs, mais ces plans ne sont évoqués que partiellement et empiètent les uns sur les autres, de sorte que les formes s’inscrivent également sur une surface affirmée comme telle, sans véritable effet de profondeur. De surcroît, les touches de pinceau, pratiquement toutes orientées vers la droite, empêchent la mise en place de formes nettement découpées, dont certaines se trouvent cernées de lignes diversement colorées. Kandinsky n’hésite pas à user des moyens les plus divers pour introduire simultanément dans sa composition mouvement et stabilité.
Lui qui s’était étonné, en voyant la peinture de Monet, de n’en repérer les motifs que grâce aux titres du catalogue, en est arrivé au point où la vision objective l’intéresse moins encore que Monet.
Puisque, selon le titre de l’essai qu’il rédige en cette même année 1910, Du spirituel dans l’art, la peinture doit unifier vision subjective et monde objectif. Pour l’instant, ce dernier semble encore utile, au moins comme point de départ, à l’expansion du subjectif. Mais on devine que le peintre pourra bientôt s’en passer totalement.
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