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#faut il se battre pour sauver son couple
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comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture? Tous les couples vivent des moments difficiles, qui peuvent parfois aller jusqu’à la séparation. Quand l’amour cède la place à la rancœur, aux ressentiments ou à l’incompréhension, quelles sont les solutions pour raviver la flamme ou sauver son couple au bord de la rupture ? Faut-il se battre pour sauver son couple à tout prix ? Quelles…
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mediumhounkpe · 2 years
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Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE Vouloir trouver l’amour ou améliorer sa vie sentimentale est l’une des raisons premières qui motivent de nombreuses personnes à opter pour une consultation en voyance de l’amour. Celle-ci leur permet en effet de résoudre un certain nombre de problèmes et de trouver plus facilement l’âme sœur. Elle est notamment pratiquée par des voyants…
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laylucifer · 5 years
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Kahei - Le petit Seigneur
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Alors oui, je sais, 6 mois sans grande nouvelle sous le soleil, mais mettons de côté ses absurdités personnelles pour revenir sur ce qu’il nous intéresse vraiment. Le jeu de rôle, les OC’s, comment on en est arrivé là.  (Je t’ai entendu le petit malin du fond dire “ Ah bon, je me suis abonné à ce blog pour ça ? “ sache que oui, j’parle beaucoup, explique des trucs qui t’intéresse pas forcement parce que ma vie n’est pas OUFFISIME, mais j’ose espérer que tu comprendras ce que j’essaye de te faire partager et que tu en tireras quelque chose également).  Comme dit précédemment, mon premier OC’s était un Personna du nom de Kitsune que je ne peux omettre, quand bien même j’en ai honte, car elle a été la base qui m’a permit de donner naissance à moult autre personnage dont je peux être fière aujourd’hui et le premier dont je vais vous parler c’est mon petit Kahei. 
Il faut savoir que Kitsune à cette époque était présente uniquement dans l’univers de Yuyu Hakusho dans lequel il y avait un personnage, Yoko Kurama, duquel j’était tomber très amoureuse. Je songe que tomber amoureux d’un personnage fictif peut vous paraître très étrange, mais se reconnaîtrons ceux aillant eut un crush pour un perso cool de leur série d’enfance. D’autant plus qu’à l’époque j’était très seul, je n’avait pas d’amis, et les mangas était, pour ainsi dire, mes seuls liens sociaux. 
Kitsune était donc une Yoko (ou un démon renard argenté) ou une change forme qui avait rejoins le groupe de bandit de Yoko Kurama. J’avait peu de variante à l’époque, c’était soit un hasard, soit parce qu’elle était le petit chien de compagnie d’un démon plus fort qui l’avait prise en affection, mais dans tout les cas Kitsune se révélait être une groupie/ Object sexuel pour le démon Kurama. Outre le fait que ce statue n’était pas très glorieux déjà à l’époque, tout ce qui comptait pour moi était que Kurama et Kitsune finissent ensemble et ceux malgré le dénouement de l’histoire originale du manga (que je vous conseil de lire ou de voir d’ailleurs, c’est une série de mon enfance que je trouve bien faire malgré les doublages français bancals). Une fois devenu adulte, aillant majoritairement résolu mes problèmes de sociabilités et trouver l’homme de ma vie, je suis revenu sur ce personnage et autant vous dire que j’en ai presque pleurer ! Voir ce personnage qui était mon personna à l’époque dans une condition aussi précaire et honteuse, un démon prétendu fort devenu femme au foyer et un vulgaire objet me dégouttait, j’ai décidé de la reprendre pour au moins lui donner une fin digne de ce nom. 
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 Autant dire que, après quelque recherche, je me suis très vite rendu compte que Kitsune (qui est devenu Paru à ce moment-là) ne pouvait tout simplement pas se mettre en couple avec Kurama et ceux pour plusieurs raisons : Yoko Kurama, à l’époque, ne se serait pas encombrer d’une femme comme elle (pot-de-colle, violente et enfantin) alors qu’il était un démon dont la puissance et le nom grandissait, qu’il était antipathique, cruel et calculateur. Les deux personnalités n’aurait pas matcher. Alors pourquoi je n’ai pas adapter Paru ? 
Il faut se dire qu’un personnage, qu’il soit un OC, un personnage de fiction ou un personnage de roman, n’a pas besoin d’être en couple pour exister. Ainsi, si je voyait mieux Paru comme un monstre brutal et immature alors pourquoi pas la laisser ainsi et modifier sa relation avec Kurama ? Cela m’a paru beaucoup plus sain et respectueux vis-à-vis du personnage de Kurama qui, dans le manga, à une personnalité travaillé et qui évolue avec son histoire. 
Bon, je vous avoue, j’ai quand même retravaillé un peu Kitsune/Paru. Déjà parce qu’une démone renarde argenté avec des cheveux brun c’était méga gringe, mais aussi parce qu’il fallait que je lui donne une identité ce que je n’avait jamais faire avant. Comme pour relier des univers de mon enfance, mes premiers essai de RolePlay notamment, j’ai choisit de lui donner une forme draconique (mon premier vrai personnage de RP étant un dragon). Pour la forme, je lui ait donner une couleur noire et pour que les interactions soit possible je lui ait donner le pouvoir de prendre une forme humanoïde. A partir de là, Paru avait déjà une forme, il ne me restait plus qu’à lui crée une histoire qui était totalement détacher de Kurama et de provoquer leurs rencontres. 
Alors alors ... qu’est-ce qu’elle est devenue ?
Il faut savoir que le monde des ténèbres où vivait Yoko Kurama est un monde très profond qui s’étend sur des milliers de kilomètres, il n’est donc pas rare que certains démon ne mettent jamais les pieds sur un territoire ou qu’un autre reste inconnu à la majorité de la communauté démoniaque. L’un d’entre eux est le territoire des Dragons Astraux une espèce en voie de disparition qui on la capacité de prendre une forme humanoïde en gardant ailes, cornes, queue et pattes arrières sous leur formes reptiliennes, mais cela reste tout de même un exploit pour se type de démon. Cette espèce fait partie d’une des deux rares à pouvoir prendre ce genre de forme, de pouvoir s’accoupler avec n’importe quel espèce pour pouvoir continuer à perduré malgré leur danger d’extinction, mais aussi de manier l’énergie astrale qui les rend dangereux pour les autres démons.  Les dragons astraux vivent en communautés d’une vingtaine d’individu et détermine leurs chefs par la force lors d’un combat “officiel” devant toute la communauté qui n’a pas le droit d’intervenir dans le combat. Les chefs sont en général des mâles, bien que si une femelle gagne elle puisse prendre sa place. Même s’ils ont la capacité de se reproduire avec les membres d’une autre espèces le petit, qui sera forcement un dragon, est juger et souvent considérer comme un bâtard à sa propre espèce. 
Ce préambule étant fait, il faut se dire que lors d’une de ses “missions” de pillage pour se faire connaitre dans les ténèbres, Yoko Kurama et son groupe vont tomber sur un repère de Dragon Astraux. Naturellement, les dragons vont vouloir les exécutés pour ne pas qu’ils révèlent leur positions, mais Paru, une jeune dragon, effronté va leur proposer de les utiliser pour abattre des expéditions ennemis qui leur fond du mal. Elle devra se battre pour réussir à convaincre ses opposants, mais grâce à sa longue queue en fouet elle déstabilisera son adversaire et permettra à Kurama et à son groupe de repartir. Mais bien entendu, pour s’assurer qu’il s’occuperait bien des monstres qui mettait en difficulté les siens elle le suivit. Kurama n’appréciera pas vraiment sa présence, Yomi, son bras-droit, non plus, mais Paru va se moquer de leurs état d’âme car, après tout, elle est l’une des espèces les plus puissantes des ténèbres. Ils vont combattre ensemble, Kurama réfléchissant à un plan tout en intégrant sa force draconique et ses pouvoirs, puis au moment de repartir de la région elle va demander à se joindre à eux alors que les siens lui promettait l’exil si jamais elle quittait les cavernes où elle était née. Voyant là une allié de choix dans sa quête de puissance, Kurama accepta. 
Le reste de l’histoire de Paru est similaire à celle prévu initialement. Il n’y a pas d’amour entre elle et Kurama, même s’ils ont des relations sexuelle, même si elle ronronne à son approche, Paru à une affection grandissant en une dévotion amoureuse au fur et à mesure des années, mais ce n’est pas le cas de Kurama qui la considère comme un de ses bons éléments (sa forme de dragon aidant beaucoup dans les raids mener avec ses hommes). Alors quand viendra les chasseurs de l’au-délà qui essayeront de le supprimer à cause de sa puissance grandissante autant vous dire qu’il l’abandonnera sans mal pour sauver sa peau. 
Paru, éploré, rentrera sur le territoire où réside le reste de sa troupe avec sous le bras un oeuf sous le point d’éclore. Elle attendra qu’un petit dragonneau en soit sorti avant de se présenter dans les cavernes où le dragon qu’elle avait affronter des années auparavent avait pris la place de chef et l’affrontera en duel officiel pour prendre sa place et assurer à son fils un lieu sûr où il pourrait grandir. Paru, qui avait vécu des années au grand air à se battre, vaincue et deviens la Reine Noire. 
Elle règne pas mal d’année et elle disparu vers “l’affrontement final avec Toguro” dans le manga et ce fut son fils qui prendra sa place : Le petit Kahei. 
Maintenant on peut l’oublier, parce que tout ça n’avait pour but que de vous présenter Kahei. Alors oui, on est sur le fils de Paru et Kurama, mais Kurama ne connais pas son existence jusqu’à bien plus tard dans une fanfiction que j’ai essayer de relier au manga et encore, et Paru s’éclipse pour pouvoir le voir grandir. 
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Kahei est un bâtard, un dragon né grâce au sang d’un démon, et cela va beaucoup le peser lors de son enfance. C’est un petit garçon au cheveux argenté (donc aux écailles) qui essaye de grandir en suivant la dirigeante de sa troupe plus que sa mère elle-même et qui, en grandissant dans la troupe, va se faire quelques amitiés qui l’accompagneront. Il rencontrera Siuil, une jeune femelle aux écailles vertes qui va rapidement laisser tomber les préjuger des adultes pour apprendre à le connaitre. Elle sera sa première amie. Puis Raska, un jeune mâle rouge qui va être très influencer par la haine de son père, l’ancien chef que Paru à détrôner, et sa soeur. Il va beaucoup lui jeter la pierre, l’insulté et même chercher à se battre avec lui alors que Kahei, de nature passive, va se sentir mal à l’aise face à cette recherche de conflit. Cependant, alors que Raska fut un jour en danger contre un groupe de démon belliqueux, Kahei essaya de le sauver et découvrir son pouvoir astral qui sera de crée un bouclier avec ses ailes. Depuis ce moment Raska changea peu à peu d’avis sur le petit bâtard qu’il reconnaîtra avec le temps comme son ami. 
Il grandit ainsi, entouré de deux amis proches qui l’aideront à se faire accepter parmi les autres dragons et prouvant sa puissance par sa force de caractère, bien plus réfléchit que celle de ses pairs né pur, que par son esprit de communauté prononcer. Kahei devint grand, l’un des plus grands dragons de sa troupe, mais restera connu sous le surnom de “petit prince” ou “ petit seigneur” grâce à ses amitiés qu’il s’était fait étant plus jeune et à son statue de fils de la Reine Noire. 
Quand cette dernière disparaît, Kahei est élue par la majorité de ses pairs pour son courage, son esprit de stratège et surtout l’importance qu’il a à protéger les siens. Pour la première fois dans le monde des Dragons Astraux, un chef avait été élue pour protéger les autres dragons. 
Je suis très fière de Kahei. Parce qu’en naissant il m’a aider à faire un trait sur Paru qui n’existera plus à partir de là ou si elle reviens c’est pour signer sa fin, mais aussi parce qu’il est l’un des premiers à être un personnage aussi intégré au contexte (après Liba, dont je vous parlerai plus tard). Kahei peut existé dans le monde de Yuyu Hakusho sans que l’univers ou l’histoire n’en soit changer et c’est ce qui, à mon sens, en fait un bon personnage. 
Je ne sais pas trop dire quoi d’autre sur Kahei. Je pense qu’en dire d’avantage me vaudrait bien une petite fiction pour vous le faire paraître dans sa forme la plus belle et spectaculaire d’autant plus que la fanfic dont j’ai l’idée met en avant Kuwabara, un personnage secondaire de l’oeuvre auquel je me suis attacher en travaillant Kahei, mais... J’ai tellement d’autre personnage dont je voudrait vous parler et je préférait vous laisser le choix de savoir si, oui ou non, ça vous intéresserai d’en apprendre plus sur Kahei, le petit Seigneur. 
C’était long, mais j’espère que ça vous à plus ! Des bisous astraux, Lay.
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jellyfitzjelly · 6 years
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ok uhm donc il y a trèèèès longtemps j’avais pensé écrire une fic où Emile se trouve un bf stable et tout hé bien my incoherent romantic ass a décidé qu’il fallait qu’il soit EXTRAORDINAIRE. parce que mon fils Emile Lampion ne se contentera pas du péquenot du coin ok. DONC laissez-moi vous présenter Valentine Attwater (sjfhsdkf pardon c’est devenu un roman donc c’est sous un cut) :
Le père de Valentine est le troisième fils d’une famille d’aristocrates anglais vénérable. Etant le troisième fils, il n’hérite donc pas du titre et du domaine et s’engage dans le service civil. Il a monté les échelons de l’administration coloniale en Inde jusqu’à devenir une figure locale influente dans sa région.
La mère de Valentine est la fille d’un rahj. Elle rencontre son mari lorsque celui-ci est muté dans la région. C’est le coup de foudre et les deux se marient rapidement malgré la désapprobation des deux côtés. À l’époque, voir le fils d’un lord épouser une indigène, fût-elle fille d’un roi, ne se faisait pas. En plus, elle est musulmane.
Le couple a cinq enfants: Richard, Henry, Valentine, Anna et Elizabeth (les deux dernières étant des jumelles). 
Valentine grandit en Inde dans sa famille maternelle. Il est élevé avec le reste de ses cousins et cousines, dans l’ombre bienveillante de son royal grand-père.
Valentine a les yeux vairons. Son père et sa mère ont tous deux les yeux clairs (ils ont les yeux bleu chez son père, et plutôt les yeux verts chez sa mère). Deux de ses cousins et cousines ont aussi les yeux vairons. Ils ont hérité leurs yeux de leur grand-père, dont le regard est fameux dans toute la région. On susurre d’ailleurs que c’est pour cela que ces trois petits-enfants en particulier sont ses favoris.
Comme la plupart de sa famille, Valentine part faire ses études en Angleterre. Bien qu’il n’aille pas à Eton comme son père et ses frère aînés Richard et Henry, il est admis à l’université d’Oxford. Son grand-père maternel a aussi fait ses études là-bas pendant quelques années, avant d’étudier à la Sorbonne.
Plus attiré par les mathématiques et l’astronomie, Valentine est néanmoins contraint de suivre un cursus plus “classique” centré sur les sciences humaines. Il réussit tout de même à avoir plusieurs diplômes en astronomie.
Valentine parle anglais et le dialecte de sa région natale/l’hindi (j’ai pas encore décidé exactement où en Inde Valentine est né, d’où le flou pour l’instant, j’ai besoin de faire des recherches sur les dialectes, tout ça) couramment vu que ce sont ses langues maternelles, le français (de manière excellente mais avec un accent), le latin, le grec ancien, l’italien et l’allemand. 
Valentine est un charmeur. Il aime profiter de la vie et est enjoué. Il est espiègle et vif d’esprit. Il aime les belles voitures et les fêtes endiablées. Il est dévoué aux gens qui compte le plus pour lui.
Il est bisexuel. La plupart de ses relations stables étaient avec des hommes qui fréquentaient les mêmes cercles universitaires que lui. Après la fin de ses études, il a commencé à fréquenter des gens d’origines sociales plus diverses et ses amant(e)s se sont diversifiés.
Valentine est en froid avec son père. Ses parents ne se sont jamais vraiment occupé de la fratrie. Ses frères et sœurs craignent leur père, mais Valentine est terrifié par lui. Par le passé il a découvert plusieurs de ses liaisons homosexuelles et s’est fait battre à ces occasions.
Pendant sa première année d’université, sa copine est morte de la tuberculose. Sa mort a été très dure pour Valentine qui a eu un épisode dépressif. Quand son père l’a appris, il l’a fait admettre de force dans un sanatorium avec la complicité de Richard, l’aîné de la famille. Valentine ne leur a jamais pardonné.
Valentine obéit à son père parce qu’il a peur; il obéit à son grand-père parce qu’il l’admire. Bien qu’il ait été une figure distante, il a beaucoup d’affection et d’admiration pour son grand-père. Il a toujours eu très peur de le décevoir.
Lorsque Valentine arrive dans le nord de la France, il s’agit d’une petite retraite de quelques mois dans le manoir qu’ils ont loué. Il s’agit de se retrouver entre frères et sœurs une dernière fois avant le départ d’Henry pour Londres, fraîchement marié et nouvel employé d’une prestigieuse banque de la City.
Leur arrivée cause une sensation: on n’a jamais vu une bande pareille.
Valentine et ses sœurs n’apprécient pas leur belle-sœur, qui le leur rend bien.
Le séjour est malheureusement gâché par le meurtre du majordome.
Larosière déteste tout de suite la bande: les jumelles ne parlent pas assez bien français pour être sensible à son charme, Valentine est un fils à papa qui fait joujou avec ses voitures de luxe et Henry est le snob anglais par excellence. Seul la femme de ce dernier trouve grâce à ses yeux.
Emile, lui, craque tout de suite sur Valentine avec ses beaux yeux vairons et son sourire charmeur.
Valentine le trouve très mignon, et il a une intuition mais il préfère être sûr. Alors il prend son temps.
De fil en aiguille, Emile et Valentine sont amenés à se croiser durant l’enquête et fatalement, ils commencent à discuter.
Puis Valentine propose gentiment de le ramener au poste avec sa voiture, ce serait bête de le laisser retourner à vélo alors qu’il pleut des cordes.
Et puis le manoir est tellement éloigné, il peut bien le ramener de temps en temps, non? Il faut bien aider la police de temps à autre...
Larosière voit tout cela d’un très mauvais œil et ne se prive pas de le faire savoir.
Les choses se refroidissent quelque peu quand il s’avère que Valentine avait une liaison avec le majordome, liaison qu’il n’a jamais mentionné à Emile, et qu’il a donc un excellent mobile.
Quand Emile l’interroge durant sa garde à vue, il découvre un autre Valentine, un Valentine qu’il déteste: arrogant, condescendant, mesquin, superficiel. Emile a le cœur brisé.
Valentine finit par avouer à demi-mot qu’il a bel et bien assassiné le majordome et défie Larosière de le faire condamner. Larosière, malgré tout, sent que quelque chose ne colle pas dans son histoire et finit par découvrir qu’il avait raison. Valentine protège sa sœur Anna, qui a été vue quittant le lieu du crime peu après la mort de la victime.
Quand Valentine se pointe chez Emile à quatre heures du matin pratiquement en larmes pour le supplier de prouver l’innocence de sa sœur, Emile se dit qu’il l’a peut-être jugé un peu trop vite.
Ils se retrouvent à faire équipe pour retrouver le vrai meurtrier, et ils ne tardent pas à retomber sous le charme de l’un et de l’autre.
Au final, ils démasquent la bonne.
Tout aurait pu finir bien dans le meilleur des mondes si le père de Valentine ne s’était pas pointé inopinément au manoir trois jours plus tard. Il est furieux.
Valentine est celui qui s’en prend le plus dans la gueule: son père sait pour sa liaison avec le majordome mort, pour sa garde vue, et aussi pour sa nouvelle liaison. Valentine soupçonne sa belle-sœur d’avoir voulu se venger de lui. Heureusement, seules ses sœurs connaissent l’identité de son amant.
Son père tente de lui faire avouer le nom de son amant mystère, mais Valentine résiste. Malgré la terreur qu’il ressent et la furie de son père, il ne cède pas. Même quand les coups se mettent à pleuvoir, il est hors de question de mêler Emile à tout ça. Son seul et unique tort a été de tomber sous le charme de Valentine.
Son père finit par laisser tomber. Ce n’est pas si important au final. Il est grand temps que Valentine commence à se comporter correctement. Il compte l’envoyer en Angleterre se faire oublier un temps, très probablement dans un sanatorium, le connaissant.
Elizabeth prévient secrètement Emile de la situation et le supplie de sauver son frère. Emile n’hésite pas une seconde.
L’évasion de Valentine semble tout droit sortie d’un roman d’aventure, mais ça marche: Emile peut enfin serrer son chéri dans ses bras. Il décide de le cacher chez lui.
Larosière se fait aboyer dessus pendant 20 minutes par le père de Valentine avec ordre de le retrouver s’il ne veut pas se retrouver sans travail.
Il lui faut une semaine avant de découvrir que Valentine vit chez Emile. Larosière a beau ne pas l’apprécier, il a des principes. Il laisse Valentine partir à condition qu’il se mette en route de suite et n’implique pas Emile s’il devait être découvert.
Avec l’aide de son frère Henry, Valentine retourne incognito en Inde chez son grand-père, la seule personne que son père craigne.
Le reste de la famille ne tarde pas non plus à s’en aller et Emile reprend sa petite vie, même s’il a beaucoup de mal à faire son deuil de sa relation avec Valentine. Il l’aime. L’idée de ne plus le revoir le tue.
Quatre mois plus tard, Emile reçoit une lettre avec de bien étranges timbres. Son cœur manque de s’arrêter quand il voit qu’elle vient d’Inde.
Valentine lui écrit qu’il est arrivé sans encombre chez lui, mais qu’il a dû essuyer la colère de son grand-père et du reste de sa famille. À son grand désarroi, son grand-père ne veut plus le voir jusqu’à nouvel ordre. Il ne peut plus trop approcher ses cousins et cousines dont il est proche. Il est virtuellement assigné à résidence, bien que la résidence soit gigantesque et que Valentine pourrait très bien partir s’il le voulait. Henry a pris son poste à Londres, Richard est comme toujours à Bombay (il travaille dans l’administration coloniale, comme son père) et ses deux sœurs restent en Italie jusqu’à la fin de l’année. Au moins Valentine n’a plus à voir son père.
Valentine passe ses journées à écrire à Emile et la nuit à attendre la réponse. Jusque-là toutes ses lettres sont restées sans réponse. Valentine craint qu’il n’écrit qu’à un fantôme, à un amour qu’il a gâché par sa faute, et il est persuadé qu’il pourrait en mourir de chagrin.
En attendant une telle mort, Valentine fume et boit pour passer le temps et apaiser un peu sa douleur. Il observe les étoiles quand il n’arrive pas à dormir (c’est-à-dire tout le temps) et lit les dernières recherches et avancées en astronomie quand son poignet lui fait trop mal pour écrire.
Ses yeux s’éteignent, ses joues se creusent, sa joie disparaît. Il se mure dans le silence.
À leur retour, les jumelles sont très inquiètes pour lui et elles ne sont pas les seules dans la famille. Leur grand-père n’est plus en colère contre Valentine et son affection est toujours intacte. Valentine semble visiblement soulagé, pourtant sa joie de vivre ne revient pas.
Même son grand-père est inquiet et lui demande ce qui se passe, mais Valentine continue à insister que tout va bien.
Quand un domestique lui donne une lettre avec un timbre français dessus un beau matin, Valentine fait tomber sa tasse de café. Quand il reconnaît l’écriture d’Emile dessus, il se rue s’enfermer dans sa chambre sans un mot pour son grand-père et le reste de la famille attablée.
Valentine a les mains tremblantes quand il déplie enfin la lettre. Emile lui écrit qu’il a bien reçu ses lettres et qu’il est heureux qu’il aille bien (Valentine ne pouvait pas lui dire la vérité, il ne pouvait pas lui décrire le désespoir qui le rongeait). Il s’excuse longuement de ne pas avoir répondu plus tôt car il avait été très occupé. Emile lui raconte ses enquêtes sur des pages et des pages et Valentine a l’impression de respirer à nouveau depuis son départ de France. Quand Emile lui écrit à la fin qu’il l’aime et qu’il lui manque terriblement, Valentine se met à pleurer.
Valentine et Emile commencent une correspondance régulière. Fondamentalement, Valentine ne change pas tant ses habitudes: il passe toujours ses journées à écrire. Mais il fume moins, boit moins, se remet à manger, ses yeux brillent à nouveau, il sourit à nouveau, il rit à nouveau. Valentine redevient lui-même, sauf qu’il rayonne de joie.
Tout le monde est très surpris mais Valentine assure qu’il ne se passe rien de particulier. Ses sœurs ne sont pas dupes.
Un jour Valentine écrit à Emile qu’il voudrait qu’il vienne auprès de lui en Inde. Emile lui répond très sérieusement que le voyage est au-dessus de ses moyens. Valentine lui écrit fébrilement qu’il lui paiera volontiers l’aller, mais qu’il devra se débrouiller pour le retour. Emile lui répond qu’il prendra ses vacances au printemps.
Malgré tous les efforts de Larosière pour l’en dissuader, Emile prend toutes ses semaines de congé à l’arrivée du printemps. Larosière sent confusément qu’il se passe quelque chose avec son protégé, mais il n’arrive pas à dire quoi.
Emile part promptement avec ses valises le soir de son dernier jour sans prendre la peine d’informer Larosière de sa destination. Il se contente de lui laisser une adresse à Londres si jamais il avait besoin de le joindre.
Après une absence bien trop longue au goût de Larosière, Emile retourne au commissariat. Il rayonne de bonheur et il a pris des couleurs, mais surtout il se fait déposer devant le poste par Valentine au volant d’une voiture coûteuse.
La tête de Larosière valait à elle seule le retour en France durable de Valentine.
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mediummaraboutdako · 2 years
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comment sauver son couple de la rupture?
comment sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture? Tous les couples vivent des moments difficiles, qui peuvent parfois aller jusqu’à la séparation. Quand l’amour cède la place à la rancœur, aux ressentiments ou à l’incompréhension, quelles sont les solutions pour raviver la flamme ou sauver son couple au bord de la rupture ? Faut-il se battre pour sauver son couple à tout prix ? Quelles…
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norellenilia · 4 years
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Eldarya épisode 28
Originellement publié ici le 18 janvier 2020.
Salut ! C’est Norejspcomment qui débarque sur le topic en hurlant ! :D « Ah ça y est, la voilà, l’autre, qu’est-ce qu’elle a encore à reprocher à cet épisode ? Il était pourtant bien, celui-là è_é »
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Alors oui, cet épisode a pour lui l’avantage d’être bien plus intéressant que le 27. L’histoire s’est enfin mis un coup de pied au derche pour avancer, et on est pas là uniquement pour pleurnicher que la mort c triste regardez j’ai changé de coupe de cheveux. MAIS. Bah oui, comme dit en intro, y’a des trucs qui m’ont fait hurler. Un avis de Nore n’en est pas vraiment un si y’a pas de râleries. C’est pour ça que vous aimez les lire (ou peut-être vous en moquer avec vos copines parce que votre vie est nulle). J’ai dépensé 4230 maanas. C’est beaucoup et j’ai le seum, surtout quand je vois que certain-e-s n’en ont dépensé que 3500 ou quoi, mais je me console en me disant que je préfère dépenser autant de maanas dans un épisode comme celui-ci, plutôt que dans un épisode qui n’aurait pas dû en demander autant, comme le 18 ou le 27. Ma gardienne était en couple avec Leiftan mais j’ai le CDC sur personne. Honnêtement j’sais pas quoi faire, si je reste sur « personne » au risque que ça me fasse obligatoirement atterrir avec Lance au lieu de… Personne comme c’est marqué, ou si je rebascule sur Valkyky (j’adore ce surnom dsl), parce que quitte à me coltiner un mec de l’histoire autant que ça soit le seul que je trouve potable à avoir en relation amoureuse. Ah puis j’ai juste eu l’illu en daemon :’) Bon allez go on a pas que ça à faire, non plus !!!
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Lançons-nous dans l’habituel résumé, qui donne déjà le ton puisqu’on nous demande si on sera capables de pardonner Valkyon de… De quoi, déjà ? Ah oui, D’AVOIR VOULU NOUS SAUVER LA VIE. Préparez-vous, c’est un sujet qui va revenir : le fait que tout le monde semble avoir oublié que si Valkyon est parti, c’était pas de gaité de cœur. M’enfin, vous me direz que ça va parfaitement avec votre propension à penser que si on fait un truc sans avoir de pistolet pointé sur la tempe, c’est qu’on a forcément voulu le faire de notre plein gré. Donc on se retrouve au moment de l’annonce qu’on a eue à la fin du 27, mais pas l’temps de partir, faut d’abord faire de la cueillette. J’dis ça parce que ça me fait rire, limite c’est la guerre, on a repéré l’ennemi n°1 d’Eldarya, mais t’as Leiftan qu’est là « non attends pas tout de suite, » et les autres qui font à Erika « stp tu veux bien nous aider à cueillir des trucs ? » C’est juste le décalage qui me fait rire. Je sais que c’est un truc important leur phytothérapie du feu de dieu qui guérit des allergies là, mais franchement, entre nous, on s’en fout pas un peu d’aller les cueillir ? Je veux dire, une phrase pour dire « Des fenghuangs partirent récolter des bidules en vue du grand départ » ou je sais pas ? Surtout qu’elle dit « t’façon j’ai rien à faire ! » Bah au pire entraîne-toi ou j’sais pas, moi. Après on a le cours sur les groupes sanguins et les rhésus, on apprend qu’Erika est O- et Cif O+ (kom mwa lol), et Erika elle par contre elle a l’air de découvrir le concept de don du sang et de transfusion mdr, en plus elle sort « Prends tout ce qu’il faudra !!! » Mais si on te prend plus d’1/2 litre tu vas au mieux t’évanouir alors calme tes ardeurs déjà, ensuite je sais pas trop comment iels ont fait pour que la transfusion dure « quelques heures » ça me paraît long m’enfin dans Eldarya on peut faire un examen sanguin juste après avoir bouffé oklm donc bon je sais pas hein. Tout ça pour sauver notre pote Cifounet, qui n’a pas réagi au vaccin magique de la dernière fois. « Ah bah vous voyez qu’on a bien fait d’envoyer Erika chez les fenghuangs et que ça servait pas à rien dans l’épisode précédent è_é » Ouais sauf que bon, ça a pas apporté grand-chose, s’iels connaissent le groupe sanguin de Cif iels doivent bien connaître celui d’autres personnes potentiellement compatibles, on nous dit pas qu’Erika est la seule O du coin. Le seul truc que ça apporte c’est la bénédiction par jsp quelle divinité là, et encore ça m’a saoulée parce qu’après la purification, le dernier endroit que j’aurais pensé à vérifier pour une bénédiction divine c’est bien une chambre ptdr. Et pourquoi vous mettez « sang universel » entre guillemets dans les pensées d’Erika c’est bête elle vient de la Terre elle est censée savoir ce que c’est qu’un don du sang et avoir au moins entendu parler des « donneurs universels » bref de tout ce dont on a parlé avec Cif… Ou alors c’est vous qui n’y connaissez rien en don du sang parce que je sais pas combien d’hectolitres elle a donné pendant ces « quelques heures » de transfusion mais on refait pas un don, même minime, dès le lendemain enfin, c’est 3 mois entre deux dons pour les femmes, normalement !
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Je reviens vite fait sur Balenvia puisque c’est là qu’on parle du cycle jour/nuit… Alors j’avais bien noté à l’épisode précédent que c’était une bonne manière subtile de montrer les changements liés au bris du cristal plutôt que d’en faire des caisses avec 50 morts à la seconde, et on sait qu’Erikonne est Erikonne, m’enfin pardon mais le fait qu’elle découvre à l’instant que c’est à cause de ça excusez-moi mais ses « capacités de déduction » elles en prennent encore un gros coup dans la tronche, hein. Montrer narrativement un truc de façon subtile ça veut pas dire que les personnages comprennent pas de quoi il en retourne quand c’est un truc qui me paraît quand même relativement évident, à moins qu’iels soient vraiment cons comme des balais (oui je sais c’est le cas pour un certain nombre à Eel). (Je dois d’ailleurs avouer que le « Erikonne » ne vient pas de moi, d’autres gens l’utilisaient sur un autre site que je fréquentais et je l’ai juste repris XD Par contre le Miikonne je l’ai trouvé toute seule !)
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Je vais diviser cet avis en autant de changements de lieu qu’on fait parce que j’ai pas d’inspiration lol Nous avons donc une première réunion de crise où Miikonne a la géniale idée de parler à tout le monde des espions qu’elle envoie car le travail des espions doit toujours être communiqué à tous les péquins lambda, puis quand ça parle de Valkyon, le scénario se souvient enfin qu’il a fait ça pour sauver Erika, mais ça empêche pas Miiko et le reste de la Garde de se demander si Valkyky n’a en fait pas trahi ses copains. Alors ok les péquins lambda pourquoi pas, mais Miiko elle a eu le résumé par Nevra, Ezarel, Leiftan et Erika, qui sont quand même normalement les personnes en qui elle a le plus confiance (bon ok Erika a oublié pourquoi Valkyon est parti), donc si elle soupçonne Valkyon d’avoir mis sa fuite en scène et d’avoir vraiment trahi la Garde qu’elle nous le dise, quoi. « Valkyon avait suivi son frère pour de nombreuses raisons » aka SAUVER CETTE CRUCHE QUI VOUS SERT D’ÉLUE DE L’ORACLE parce que son con de frère faisait du chantage, et aussi sûrement parce que baaaaaah il voulait comprendre et essayer de lui faire entendre raison ??? Faut arrêter d’essayer de faire croire qu’elle puisse réfléchir trop loin, tout le monde sait que c’est pas crédible. Là elle réfléchit juste pas assez. Après Erika voit son nom figurer parmi la liste des « plus brillants éléments » de la Garde.
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Fin de la blague.
Une fois à la plage, Miiko nous annonce qu’elle n’a pas tout dit dans le rapport remis à la Garde… Donc dire à tout le monde qu’elle envoie des espions ça va, mais dire qu’il y a des rassemblements de krakens c’est top secret. Heureusement qu’elle veut être honnête et transparente.
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Alajéa fait son apparition surprise, et je note qu’un Chrome qui paume un bateau, qui fait une usurpation d’identité et qui trifouille le labo d’alchimie d’Ezarel (et qui plus tard avoue avoir trahi la Garde lol), ou une Karenn qui espionne des réunions officielles iels s’en tirent avec une tape sur les doigts, par contre Alajéa elle dit juste « je peux me battre ! » on la menace direct de l’exclure de la Garde mdrrr Enfin tout ça pour avoir une scène où elle discute avec les sirènes pour qu’on en fasse nos potes contre les krakens. Et d’ailleurs, ça tombe drôlement bien, parce que les krakens arrivent !!! Sacré timing ! Dans le doute j’ai laissé éclater ma rage parce que bon hein mdr, mais en vrai j’aime bien que l’illu soit différente en fonction de notre choix. Un peu marre de la Erika Pure et Jontille™, c’est bien de pouvoir se lâcher et qu’on en soit récompensé-e de la même manière que si on avait contenu la rage. Mais bon heureusement personne n’a vu notre « petite crise » comme dirait Valkyon, à part le daemon, donc tout va bien, notre réputation de personne Pure et Jontille™ est sauve. En arrivant, on évite de se faire manger les orteils par les marids, car c’est pratique, les krakens de 30 mètres sont indétectables par les sirènes, mais pas les plus puissants des djinns, du coup ils se font buter en deux lignes. Nous n’évitons cependant pas la rupture du sort d’illusion lancé par Lance (lol lancé, Lance), et trois choses ressortent de ce moment : -    Le sang ça sent le fer, pas le soufre, j’sais pas d’où vous sortez ça, mais décidément le sang ça a vraiment pas l’air d’être votre rayon -    En plus d’avoir oublié Enthraa, le scéna—Erika a aussi visiblement oublié qu’elle a déjà vu des hamadryades du côté de Lance quand il l’a enlevée. Oh mince, quelle étourdie ! -    Papi Kappa est mort
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Je ne m’y attendais pas depuis l’épisode précédent, promis !
Si quelqu’un veut bien avoir la gentillesse de me dire ce qui se passe du coup si Papi était déjà mort avant cet épisode, je veux bien savoir ! EDIT : Bon bah comme je m’y attendais un peu, elle bute juste contre un Kappa random, pas si étonnant compte tenu de ce qu’on avait eu pour les champis x) Alors sinon d’après mes archives, Elliott avait été emmené au QG puisque c’est lui qui nous aiguille vers Mémoria pour retrouver Marie-Jeanne après la disparition de Mery, mais du coup c’est vrai que ça serait pas mal d’avoir confirmation. Nous voyons les super dragon brothers se disputer, et j’aime bien parce qu’Erika est soulagée de voir que « Valkyon ne les a jamais oubliés » alors qu’il doit être parti depuis genre deux semaines. Mais Lance s’enfuit, et pour le coup c’est pas plus mal qu’on ait un QTE pour représenter notre tentative de l’arrêter, ça donne l’impression qu’Erika fait un minimum d’effort pour sortir son pouvoir et que c’est pas un truc qui lui tombe dessus comme par magie. Même si bon ça commence à la rendre un peu cheatée de cumuler des pouvoirs de dragon ET de daemon. J’imagine que c’est le côté « élue de l’Oracle » ? Enfin, c’est là qu’on a la scène la plus importante de toute l’histoire du jeu à ce jour, et c’est bête parce qu’elle est introduite par ce que j’imagine être une erreur de frappe qui m’a un peu chamboulée et a fait que du coup j’avais pas compris ce qui se passait la première fois que je l’ai lue. Leiftan dit : « Ne le force pas à t’affronter, tu sais très bien que tu y per… » Je croyais que le « le » renvoyait à Valkyon, et je comprenais pas pourquoi ça enclenchait les symptômes du pacte qui lie Leiftan à Lance, vu qu’il parlait pas de Lance. Sauf qu’en fait à mon avis le bon texte c’est « Ne ME force pas à t’affronter, » ce qui a tout de suite vachement plus de sens, voyez-vous. Là j’ai pigé. Mais tout ça on s’en fout puisqu’arrive soudain l’événement que nous n’osions même plus attendre tant il paraissait inatteignable. Que cet instant soit gravé dans nos mémoires comme un rappel de ne jamais perdre espoir, de toujours croire en nos rêves et de ne jamais abandonner, même lorsque tout semble perdu. Qu’il soit pour nous comme la lumière au bout du tunnel lorsque nous sommes perdu-e-s dans l’obscurité, l’étincelle ravivant la flamme dans nos cœurs quand le courage nous a quitté-e-s. Gardien-ne-s, bénissons cet éclat de joie dans nos vies, car enfin est venu le moment où… ERIKONNE COMPREND ENFIN QUE LEIFTAN EST LE DAEMON TANT RECHERCHÉ !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Je n’y croyais plus !!!
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Je n’y croyais tellement plus que ça mérite deux gifs pour fêter ça !!!
Bon quand même on notera que des indices tellement évidents qu’à ce stade ils tenaient plus de la preuve formelle et irréfutable elle les voit pas, par contre son keum qui s’évanouit à une phrase en apparence random là ça y est son neurone se réveille et elle connecte ça à la fois où Lance s’est évanoui et qu’on a parlé de pacte y’a trois épisodes de ça. Elle a des éclairs de lucidité vraiment quand on s’y attend pas, c’est bien, la surprise ça renouvelle la relation et empêche la monotonie. Même si j’crois que là elle se serait bien passée de ce genre de surprise dans son couple avec Leiftan mdr
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J’ai choisi de dénoncer Leiftan tout de suite parce que pas question de prendre le risque qu’Erika assume pas sa découverte et qu’elle l’oublie entre temps (on sait jamais), du coup il est jeté direct en prison. Et c’est lorsque Miiko arrive pour lui foutre une baffe bien méritée que Leiftan aborde un point qui m’a beaucoup turlupinée dans cet épisode (et j’ai vu que je suis pas la seule lol) : la mort d’Ykhar. Alors pas la façon dont tout le monde en a rien eu à foutre dans l’épisode précédent, non ; je parle de la chronologie des événements. Les incohérences ou les histoires douteuse y’en a treize à la douzaine dans cette histoire, mais y’en a des plus grosses que d’autres, et je craignais que celle-ci ne rejoigne mon palmarès aux côtés des pâtes, du gouffre de Mémoria et de la date du Grand Exil et du Sacrifice Bleu, car je pensais que Leiftan était à Mémoria au moment de la mort d’Ykhar. Bon, la bonne nouvelle, c’est qu’après revisionnage, je vois qu’on nous donne le moment où Leiftan l’assassine, dans l’épisode 26 : quelques heures avant que Leiftan & Co ne partent à Mémoria pour sauver Erika des griffes de Lance. Le flashback avec Leiftan s’arrête au moment où Ykhar vient lui parler, ça devait être pour lui dire qu’elle ne marchait plus dans son jeu et qu’il a décidé qu’elle devait donc mourir (elle vient le voir dans sa chambre mais on peut imaginer qu’après elle est repartie dans la sienne et qu’il l’a suivie pour la buter), et donc pendant ce temps-là, Erika était encore sur le bateau ou elle venait de débarquer sur Mémoria, comme on sait pas combien de temps dure le voyage c’est dur d’estimer, mais du coup effectivement, ça confirme qu’Ykhar est morte « quelques jours » avant qu’on la retrouve, le soir du retour d’Erika à Eel dans l’épisode 27. Jusque-là tout va bien, pour une fois une incohérence n’en est pas une, le seul truc c’est qu’on sait pas ce que recouvrent les « quelques jours, » je dirais bien au moins 5 ou 6, vu que le voyage a l’air de faire au moins 2 jours, et Erika a bien dû passer un ou deux jours sur l’île, je sais plus. Bref, ça change pas le point soulevé à l’épisode dernier, Ykhar elle gisait dans sa chambre depuis au moins une petite semaine avec une blessure ouverte au bide et personne a rien senti, au moins cette incohérence reste incohérente, je me sens moins perdue. Par contre, ce qui m’embête, c’est qu’on l’a laissée en plan pendant bien un mois avant de penser à l’enterrer mdr. Parce qu’entre le moment où on l’a découverte et où on l’enterre, on perd quelques jours où il se passe rien à part la presque-mort de Chrome, PUIS y’a un voyage (de plusieurs jours, on le rappelle !) jusqu’à Balenvia où y’a le truc avec les Myconides, PUIS la balade au temple fenghuang, PUIS le retour à Eel, PUIS le voyage jusqu’aux Kappas (qui prend plusieurs jours aussi), PUIS le re-retour à Eel, et là enfin on se dit qu’il faut enterrer Ykhar… Enfin, disperser ses cendres aux quatre vents (du coup je sais pas pourquoi iels parlent tout-e-s d’enterrement). Donc du coup, ce que j’imagine c’est qu’on a laissé ses cendres traîner dans un coin pendant genre trois semaines sous prétexte qu’il fallait attendre Valkyon (je dis ça parce que j’ose imaginer qu’on a pas osé laisser traîner son cadavre à la morgue trois semaines de plus). Pourquoi pas dans l’absolu hein, mais bon la pauvre j’trouve que ses funérailles elles sont juste casées entre la poire et le fromage parce qu’on savait pas où les mettre, du coup HOP entre la révélation sur Leiftan et le retour à Mémoria comme ça c’est fait, mais du coup si Valkyon avait mis un an à revenir ses funérailles auraient été décalées d’un an ou quoi ? DONC BON DU COUP VOILÀ mdr Comme on est grave perturbée en voyant cet assassin sanguinaire tout penaud et tristounet de nous avoir mise en colère, on va répandre la nouvelle dans le QG, et on croise notre ami Valkyon qui nous dit qu’il s’en veut de nous avoir abandonné-e-s à Mémoria. Erika, en bonne amie qu’elle est, lui répond alors d’un air rassurant qu’il n’a aucune raison de s’en vouloir ; il a fait ça pour la sauver, pour tenter de raisonner son frère, et il n’avait pas vraiment le choix, car Lance faisait pression sur lui et— « CE N’ÉTAIT PAS TRÈS PROFESSIONNEL DE TA PART, VALKYKY………………………………… » Mais je. Que. Hein. Quoi ?
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Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?
Au début je me disais qu’elle disait ça comme une blague et qu’iels allaient en rire en mode vieux potes qui se dérident l’un-e l’autre (et vous m’auriez vue râler en disant que je suis pas persuadée que c’est le genre de situation où les gens sont prompts à s’y prêter car je suis jamais contente, c’est connu), mais non même pas elle dit ça le plus sérieusement du monde, mais qu’est-ce qu’elle fume pour se retrouver aussi perchée ?! C’est parce qu’elle a eu la révélation de sa vie avec Leiftan du coup pour rééquilibrer le karma fallait qu’elle sorte une grosse connerie comme ça, c’est ça ? C’pareil juste après quand elle va se coucher et qu’elle se demande pourquoi Leiftan ne lui a pas dit qu’il était le daemon que tout le monde recherchait, bah je sais pas, au hasard parce qu’il allait pas se ramener comme une fleur en te disant « salut chérie au fait faut que je t’avoue un truc je suis le daemon qui terrorise tout le monde depuis 28 épisodes je souhaite du mal à tout Eldarya j’ai buté plein de gens dont ta pote Ykhar et j’ai voulu tuer Chrome ah et aussi je t’ai manipulée depuis ton arrivée bon sinon viens faisons l’amour mystiquement » elle croyait quoi ? Histoire d’en rajouter une couche dans la stupidité congénitale qui anime la Grande et Belle Garde d’Eel, lorsqu’on parle de la sanction de Chrome (lors d’une réunion à la forge, aka le lieu où plus personne ne va lol), Miiko décide non pas de l’exécuter ou de l’emprisonner… Mais de lui donner une seconde chance. Mais M E U F c’est sa TROISIÈME SECONDE CHANCE après le bateau et le spin-off tu fous quoi y’avait une promo sur les secondes chances ou c’est comment ??? Du coup si je ne partage pas la vision d’Ezarel sur une populace qui serait trop bête pour vouloir autre chose que du sang, des tripes, des boyaux et la tête coupée du Roi au bout d’une pique (gare à tes fesses, Reine Miiko !!!), j’ai quand même dit que j’étais pas d’accord avec elle, mais comme Miiko me dit que je dois être d’accord car je suis censée avoir foi en mon prochain, eh bien je n’ai d’autre choix que de me plier à la volonté de Sainte Miiko, car quand Sainte Miiko parle, elle a raison, et quand elle a tort, c’est pas de sa faute c’est parce qu’elle a un passé triste. « Euh franchement Nore t’es lourde à t’acharner sur Miiko comme ça, hein ! è_é » Oui bah elle fait pas d’effort aussi, j’y peux rien moi. J’sais pas, une solution logique parmi d’autres ça aurait été de l’exclure de la Garde d’Eel, apparemment c’est pas impossible et ça reste un bon compromis entre ne rien faire et l’exécuter mdr. Il paraît aussi que Chrome dit que c’est Leiftan qui est venu le trouver alors qu’on nous dit l’inverse dans un autre épisode, j’ai pas vérifié mais bon écoutez on n’est plus à ça près :’) Ensuite on a le deuxième gros point de scénario qui m’énerve dans cet épisode : Enthraa. Alors maintenant qu’on a la liste on va pouvoir arrêter tout le monde dont elle (sauf si Leiftan a volontairement omis de la mentionner ou s’il a lui aussi oublié mdr), mais moi ça m’énerve qu’Erika en ait jamais parlé d’elle-même déjà, alors que BON au moment où on la retrouve après son enlèvement, le moindre indice ça peut être sympa, et là maintenant on fout l’ennemi public du moment en prison alors que c’est elle la gardienne du lieu, donc je sais pas ça aurait été pas mal de PRÉVENIR que les cellules sont gardées par une complice du prisonnier, et puis dans l’absolu, parmi tous les traîtres qui restaient, c’est la seule qu’on a côtoyée et qui a même l’honneur d’avoir sa fiche dans la bibliothèque (ce qui est pas rien), donc je sais pas, au moment de l’énumération rajouter un « … Et bien sûr Enthraa, » histoire de dire qu’on a pas oublié qu’un perso assez important pour avoir son propre design était du côté des Meychan. On retourne interroger Leiftan dans l’espoir qu’il nous parle plus à nous… Ben on progresse effectivement, puisque Monsieur nous révèle alors le contenu du spin-off qui lui est consacré dans lequel nous avions appris qu’il était un gros creep manipulateur, et au moins Erika a le bon goût de se sentir encore plus trahie d’avoir été utilisée comme une simple marionnette, plutôt que de se dire des bêtises du style « aww c’est tellement romantique il est juste très amoureux >w< » Mais bon il galère à nous parler de Lance, et nous apprenons que cette faiblesse nouvelle face au pacte est causée par le fait qu’il a donné la moitié de sa vie pour nous.
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Ouais ben non tu peux crever en fait lol
Karenn et Chrome je m’en bats les ovaires (c’est bon je peux le redire ?) donc j’insisterai pas. Pour les funérailles d’Ykhar, je tremble un peu en lisant « Elle fut incinérée et ses cendres réparties dans les vastes plaines de la contrée d’Eel par les mains tremblantes, mais déterminées de Miiko et Valkyon réunis, » parce que formulée comme ça, la phrase suggère que les deux actions sont réalisées coup sur coup, ce qui impliquerait qu’on a laissé traîner le cadavre d’Ykhar pendant quelques semaines de plus après sa découverte avant d’en faire quelque chose, alors je vais simplement imaginer que ce n’est qu’une erreur de syntaxe et que vous vouliez dire « Comme elle l’avait demandé, Ykhar avait été incinérée et ses cendres furent réparties […] » J’aime bien comment Miiko dit qu’elle veut pas faire dans le pathos. Sinon ça embête peut-être que moi mais je trouve ça dommage que le focus ait été déplacé sur Erika dans cette scène qui devrait concerner Ykhar et sa relation avec les autres personnages. Sans forcément tomber dans le pathos comme le dit Miiko, mais j’sais pas, j’ai choisi de révéler ma nature d’aengel donc je sais pas comment ça se passe quand on le fait pas, et j’ai eu l’impression qu’on passait plus de temps à parler d’Erika et de tout le drama au QG plutôt que d’Ykhar. On peut faire un juste milieu entre le pathos et choisir un tel moment pour révéler à tout le monde tout ce qui se passe, je sais pas pour moi c’était peut-être pas le moment le plus opportun, mais ça n’engage que moi. Après y’a le coup du rire qu’on entend dans le vent machin, mais bon là pareil c’est perso mais je trouve toujours ce genre de procédé un peu « over-the-top. » Au moins elle a eu ses funérailles, même si je comprends toujours pas pourquoi vous l’avez squeezée à ce point dans le 27. Le coup de « fallait attendre Valkyon » ça me convainc pas vraiment.
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Je rajoute les « terres franchement-pas-si-oubliées-que-ça de Mémoria » sur ma liste de lieux à cramer tellement j’en ai marre de les revisiter tous les quatre matins, avec la forêt de l’angoisse et les grottes de l’impossible. On va donc demander des comptes à Fáfnir, mais Nevra pourrit le groove et faut donc le soigner. J’ai pas compris pourquoi il lui faut du sang humain en particulier, je ne me souviens plus comment ça se passe, mais je rappelle juste qu’on a dit que c’était 3 mois entre deux dons normalement !!!
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Je sais osef mais ça me fait rire.
Après Fáfnir fait son gros filou quand on y retourne avec juste Valkyon et noie complètement le poisson genre « EH au fait tu peux voir tes parents dans le passé stuveux allez zou comme ça vous ne me poserez pas d’autres questions sur le pacte ! » Du coup, de manière totalement inopinée, on se retrouve à fouiller le passé pour que Valkyon puisse voir à quoi ressemblaient ses parents. Il est content de les avoir vu-e-s, c’est sympa mais nous du coup on saura jamais à quoi ressemble le père, c’est quand même dommage. Un papa, une maman, montrez-nous les deux parents ? Ew non pourquoi j’ai fait ça Après le flashback, on retourne une troisième fois voir Fáfnir car jamais deux sans trois, et ça m’a beaucoup fait rire de le voir en mode « Ptn encore vous là ?! » x) Mais il finit enfin par cracher le morceau, ce qui au final… Ne nous avance pas beaucoup. Bon, pas la peine de s’attarder sur le reste, on rentre, Leiftan parle du point faible de Lance, s’éteint dans un ultime « je t’aime » adressé à Erika, la plume noire qui devient blanche machin, fin. A l’annonce de la mort de Leiftan, moi j’étais là : « Euh… Attends, c’est quoi l’arnaque ? » Je suis finalement assez partagée sur la potentielle suite des événements. Une part de moi est bien d’accord avec la majorité des précédents avis qui prédisent le retour d’un Leiftan « purifié » par son sacrifice qui nous reviendrait sous la forme d’un aengel, et non plus d’un daemon, parce que faire mourir un CDC aussi populaire c’est quand même se tirer un boulet de canon dans le pied, surtout alors qu’on serait en gros désavantage par rapport aux autres et que ça va pas trop avec le concept d’histoire d’amour et d’aventure qu’on nous vend. Bon, vous me direz, une histoire d’amour ça peut aussi malheureusement se terminer par la mort d’un-e des deux hein, et ça fait partie de la vie que d’essayer de s’en remettre, m’enfin entre nous c’est pas très juste pour une partie des joueurs/euses qu’une route se termine par « désolé, tu as eu la mauvaise fin ! » alors que rien ne laissait présager qu’il y avait une route qui se terminait mal et qu’iels verront que tous les autres ont encore potentiellement leur fin heureuse mdr Et d’un autre côté… Ben ça me fait réfléchir cette histoire de CDC sur « quelqu’un/personne. » On n’a jamais vraiment eu d’explication claire sur ce que ça signifiait, peut-être que ça va influer ou nous permettre d’influer sur la façon dont Erika fera/ne fera pas son deuil, si elle se remet avec quelqu’un ou pas, si elle laisse éclater sa rage et cherche à se venger ou j’en sais rien. Puis bon, se tirer des boulets de canon dans le pied, ça se fait déjà à Beemoov, entre le massacre du système d’Amour Sucré et sa version encore plus naze dans Moonlight Lovers, c’est peut-être pas le décès définitif de Leiftan qui leur fait peur :’) Du coup je sais pas comment prendre le truc. Le prochain épisode j’attendrai peut-être de voir comment ça se goupille avant de me lancer et de le faire dès sa sortie, pour une fois x) Dans tous les cas, si Leiftan nous revient d’entre les morts, j’espère juste qu’Erika va pas être forcée de se jeter à nouveau dans ses bras par le scénario et qu’on aura au moins le choix. Parce que sinon j’vais pas être d’accord. Nan parce que c’est bien mignon qu’on parle de rédemption avec sa plume et la Bôôôté de son Sacrifice™ machin, mais y’a pas vraiment de rédemption en fait. S’il a arrêté la corruption du cristal et qu’il a parlé sur Lance, c’est par égoïsme, c’est pour son obsession pour Erika, et c’est tout. « Kestu racontes, il a fait ça par amour pour elle, c’est beau ! é_è » Ouais mais non en fait, pour moi ça reste dans la continuité de ce qu’on a appris de lui dans le spin-off. D’ailleurs bon on en apprend tellement plus dans ce truc, je reste convaincue que ça n’aurait pas dû être un spin-off. Bref donc là où je veux en venir, c’est que le gars il m’a plutôt l’air de n’en avoir rien à branler du sort d’Eldarya. Ce qui l’intéresse, lui, c’est d’obtenir le pardon d’Erika, après l’avoir manipulée et avoir assassiné Ykhar et presque Chrome à peine quelques semaines plus tôt pour pas que ses plans soient découverts ! J’invente rien, il dit lui-même qu’il a tué Ykhar parce qu’elle allait révéler ses plans, s’il en avait eu quoi que ce soit à faire de ce qui arrive aux faëries, limite il l’aurait laissée faire, ce qu’il ne voulait pas c’était surtout qu’Erika découvre la vérité sur lui pour ne pas ternir son image auprès d’elle. D’ailleurs on voit bien qu’il ne montre pas d’empathie face aux autres personnages, il parle mal à Miiko et il est condescendant avec les autres. Moi ce que je vois, c’est pas un mec en pleine rédemption qui réalise soudain que ce qu’il a fait est mal et que le seul moyen d’absoudre ses péchés c’est de se sacrifier pour le bien de tout-e-s, c’est un mec qui panique parce qu’il n’a plus le contrôle sur sa marionnette/l’objet de son obsession (je ne vois pas ce personnage comme un simple amoureux un peu trop transi, je vous remets >mon avis sur le spin-off<, si vous voulez savoir pourquoi plus en détails), d’ailleurs on nous le montre à la limite en train de péter les plombs à partir du moment où Erika a découvert le pot aux roses, car rien ne l’intéresse plus que de la retrouver pour lui et d’avoir son pardon, peu importe ce qu’il devra faire. Alors oui il se sacrifie « par amour » pour elle si ça vous amuse mais vu dans quoi ça s’inscrit moi j’trouve juste ça pas romantique mdr. Je suis pas vraiment sensible aux mecs qui font les pires trucs et qui d’un coup décident de faire le « bon » geste juste pour obtenir le pardon de leur meuf parce qu’ils se sont enfin fait griller en fait. Maintenant, je maintiens simplement que s’il revient à la vie, j’espère juste que nous aurons le choix de ne pas nous remettre avec, même s’il revient Tout Beau Tout Blanc « c’est bon je suis devenu Jonti™ c’que j’ai fait ct pas cool allons combattre le Grand Meychan Lance. » Au-delà du fait que moi, joueuse, je ne l’aime pas, je veux que ma gardienne ait le choix de se dire, « oui j’ai été très amoureuse de cet homme, mais il m’a dupée, il s’est servi de moi, il a voulu contrôler ma destinée, il a tué des gens pour atteindre ses objectifs, dont une de mes amies proches, je ne veux pas retourner vers lui. » Et puis après tout, même s’il revient en aengel, rien ne nous dit qu’il ne peut pas retomber dans les ténèbres, et Erika a aussi le droit de ne pas vouloir prendre ce risque.
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On n’est jamais trop prudent-e.
Alors oui je parle beaucoup pour quelqu’un qui n’aime pas l’histoire et qui est agacée par au moins 80 % des personnages, mais que voulez-vous, on s’refait pas, je fais des gros pavés depuis 20 épisodes alors on va pas s’arrêter en si bon chemin alors qu’on est visiblement très proches de la fin !
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Je suis agréablement surprise de voir qu’il y a beaucoup moins d’erreurs à la minute que d’habitude. Peut-être que ces deux mois supplémentaires auront au moins servi à un minimum de relecture. - « Ne le force pas à t’affronter » -> on a vu qu’il fallait mettre « ne me force pas » pour que ça ait du sens dans l’histoire - Chrome dit : « Je suis désolée » -> désolé - Vampiresse je découvre ce mot, c’est correct bien que rare, le seul truc c’est que vous avez dit plusieurs fois juste avant dans l’épisode « la vampire » donc le mieux ce serait de s’accorder sur l’un ou l’autre et éviter un mélange des deux, histoire que l’ensemble soit cohérent, au moins de ce point de vue-là - J’ai appris aussi le terme « rythme nycthéméral, » ainsi que le substantif qui va avec, « nycthémère, » et comme j’ai parfois un humour ras-des-pâquerettes bien que je fête mes 30 ans vendredi prochain, bah j’ai rigolé comme une baleine pendant 5 minutes parce que ça ressemble à ce qu’on met généralement derrière l’acronyme NTM (même qu’avec nycthémère c’est au pluriel pour plus d’inclusivité) XD Encore une fois c’est correct, mais est-ce que c’est cohérent avec un personnage comme Erika, ça peut peut-être se discuter - « Une troisième personne que j’ai vaguement croisé une fois » -> croisée - Erika dit : « Vous m’aviez averti » -> avertie - « Faire appel aux pouvoirs qui sommeille en toi » -> sommeillent Je trouve que vous utilisez beaucoup « cette chose » pour un peu tout et n’importe quoi, ça fait beaucoup de répétition. On a aussi le retour de la formulation du style « des plus… Étonnantes. » Déjà sans les points de suspension c’est pareil c’est pas toujours super bien dosé, mais avec les points de suspension j’trouve ça cringe x) Sinon, au niveau de la rédaction globalement, il y a toujours des phrases dont le ton n’est pas cohérent avec la situation : par exemple quand Erika apprend que Cif est au bord de la mort et qu’elle dit, « Mince, que pouvons-nous faire pour l’aider ? » J’sais pas, qu’est-ce qu’il fait là le « mince » ? En mode « ah bah mince alors c’est ballot ! » x) Pareil pour « Je n’arrive pas à entrevoir une solution pour pallier ce problème » On parle de la fin du monde, pas d’un ingrédient manquant dans ta recette de cuisine ! Je facepalm au « ma petite… crise » de Valkyon concernant sa fuite avec Lance, si vous ne comprenez pas pourquoi c’est que vous n’avez pas bien lu le reste de ce post. Et enfin parce que je savais pas où le mettre, pourquoi Erika dit : « Comme donner un morceau de cristal à un enfant » quand Leiftan raconte le spin-off ? Enfin je sais pas, on le sait que c’est Mery, Erika l’a même appris au purgatoire.
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Bah écoutez j’ai pas grand-chose à dire de plus. Contente qu’Erika ait enfin fait fonctionner ses neurones et qu’on ait eu des choix relativement importants à faire, à voir si ça a une incidence sur la suite de l’histoire parce que ça c’est pas encore garanti. Je sais pas à quoi m’attendre avec la mort de Leiftan, s’il est aussi mort que Lance ou plutôt genre Ykhar, on verra bien, j’espère juste que c’est l’occasion que j’attendais de ne plus avoir mon personnage avec pour de bon x)
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poesieordinaire · 7 years
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G comme groupie (I could have kissed a girl and liked it)
Je suis tombée amoureuse de Carrie Brownstein au premier regard. Et si ça avait été dans la vraie vie, je suis persuadée que ça se serait passé comme dans cet épisode de Broad City où Ilana rencontre son doppelgänger dans la rue. Enfin, disons que j’aime bien m’en persuader. Et aussi que j’espère que vous regardez Broad City. Si vous ne le faites pas, sachez simplement que vous avez un sacré train de retard. Sur quoi ? Sur beaucoup trop de choses pour que je m’amuse à les lister ici. Mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez toujours vous rattraper, magie du monde globalisé… Et enchaîner dans la foulée avec l’excellent Transparent. C’est là qu’elle était lorsque je l’ai rencontrée. Dans son rôle de Syd Feldman, probablement nonchalamment assise sur un canapé, sarcastique, pertinente, un rien cynique, élégante, lumineuse, séduisante… Désirable. Et je dois bien avouer que je n’avais jamais ressenti ça comme ça pour un personnage féminin au préalable.
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L’homme, qui prend un malin et malsain plaisir à entretenir mes lubies de groupie pour que je le laisse vivre en paix avec les siennes, m’a alors procuré toutes les saisons de Portlandia et a déposé au pied de la Luxman tous les LP de Sleater-Kinney. Résultat : cela fait maintenant un petit moment que j’écoute No Cities To Love deux fois d’affilée deux fois par semaine minimum (dix morceaux, dix tubes massifs et fragiles à la fois, bouleversant) et que j’accepte de regarder tous les films avec Michael Shannon – le cinécrush de Monsieur – sans exception et sans poser de questions. Et si je devais faire le bilan (calmement) de ce tacite arrangement, je dirais que, petit 1., contrairement à la légende urbaine initiée par une personne très peu objective dont je tairai ici le nom, la simple présence de Michael Shannon au casting n’est pas capable de sauver n’importe quel scénario (cf. le mollasson Frank & Lola) et que, petit 2., contrairement à d’autres (et la liste est longue, croyez-moi), plus j’en apprends sur Carrie Brownstein, la femme, plus je me dis que j’ai raison de l’aimer.
Il y a quelques mois, entre un film où Michael Shannon livre des colis et un autre où il ouvre des portes, l’homme – toujours à la manœuvre – m’a offert Hunger Makes Me a Modern Girl, les mémoires écrites par ma Carrie chérie. Google Alert et Instagram m’avaient bien entendu dit depuis longtemps qu’il était sorti, mais moi, j’hésitais encore à aller l’acheter… Pouvait-elle raisonnablement, en plus d’être si sexy et so preppy, s’avérer douée pour la musique, la comédie ET l’écriture ? La peur de la déception tant redoutée m’envahissait. Cependant, Internet semblait répondre par l’affirmative à ma question : oui, la belle savait écrire comme elle savait jouer, avec talent et générosité. J’entamais alors l’ouvrage rassurée mais néanmoins fébrile… Et je le reposais quelques jours plus tard, exactement dans le même état. Mais pour d’autres raisons, manifestement. Et principalement parce que ce livre m’a soufflée par son incroyable honnêteté. Il ne dit certainement pas tout, mais tout ce qu’il dit est impitoyablement exposé et décrypté. Carrie Brownstein n’y cache rien de ses fêlures ou faiblesses, et évoque la création, l’évolution et la désintégration de Sleater-Kinney sous une lumière peu flatteuse, celle de la vérité violente et toute crue, offrant au passage une vue plongeante sur les méandres de sa complexe personnalité.
Ses mots m’ont touchée, aussi. Comme mon instinct pouvait me le laisser imaginer, on partage certaines similarités. Pas forcément des plus jolies à regarder. En face, du moins. Pas les plus inavouables non plus, faut pas exagérer. Mais (attention, soft spoiler alert) cette façon qu’elle a d’abord d’identifier puis d’accepter les traits les plus sombres de sa nature profonde m’a méchamment secouée. Ouais, c’est tout con et ça peut paraître plutôt obscur dis comme ça, mais c’est vrai : il est des vérités contre lesquelles il est inutile de lutter. Je sais pas, c’est peut-être l’âge qui fait ça… On a à peu près le même, Carrie et moi (argh, « Carrie et moi », c’est fort probablement la seule et unique fois que j’aurais l’occasion d’écrire ça), et depuis que j’approche de la quarantaine, force est de le constater, je m’efforce plus que jamais à faire preuve d’honnêteté. Envers les autres, bien sûr, même si le nouveau reflet que je renvoie au monde n’est pas forcément reluisant, puis envers moi, surtout. C’est désagréable, c’est éprouvant ; cependant, charité bien ordonnée commence par soi-même, la sagesse populaire a raison. Mais enfin, ça, c’est la partie émergée de l’iceberg, hein ! Parce qu’après, plus moyen de faire machine arrière ! Une fois que l’on sait qui on est, comment continuer à faire des choix de vie malhonnêtes ? Foutu casse-tête…
En plus ou moins trois ans, tous ceux que j’ai pris ont été radicaux. Certains ont été faciles à opérer, d’autres plus douloureux et compliqués à gérer. Et comme pour l’Américaine qui fait battre mon cœur (de rocker), c’est souvent mon corps qui a capitulé avant mon cerveau. D’ailleurs, avec un peu de recul, je suis ébahie par tout ce que j’ai pu psychosomatiser et aussi stupéfaite de la ténacité avec laquelle j’ai pu me mentir à moi-même sur différents sujets pendant de longues années. Le livre de Carrie Brownstein, quant à lui, est décidément arrivé au bon moment : celui d’entériner certaines décisions. Pas comme hésiter entre un film où Michael Shannon porte une valise et un autre où il lèche des timbres… Non, plutôt du genre choix cruciaux. Mais loin de moi l’idée de vouloir noircir le tableau ; depuis que j’ai entamé cette longue introspection, une chose est certaine : plus le temps passe, plus je vis facilement avec moi. Et notamment avec deux ou trois spécificités que j’ai trop longtemps essayé de réprimer ou de nier. Serait-ce ce qu’on appelle la midlife crisis ? Peu importe le nom qu’on veut bien donner à tout ça, Carrie et moi (*soupir*), finalement, on s’en sort pas si mal que ça.
Bon, c’est bien beau tout ça, mais très rapidement, deux nouveaux problèmes se sont posés à moi. Le premier : que lire désormais ? J’en voulais plus et j’avais déjà écumé toutes les interviews données par l’auteure lors de la promotion de ce petit livre déclencheur. Le second : comment écrire maintenant ? Comment reprendre le clavier sans plomber l’ambiance après une telle démonstration d’intégrité ? Ma vie est loin d’être aussi passionnante, c’est un fait et vous l’avez bien entendu déjà remarqué, surtout si c’est le premier post de ce blog que vous lisez, mais – vous l’avez peut-être aussi noté – cela fait maintenant un petit moment que j’ai du mal à traîner par ici. Pas parce que je n’écris pas ou plus, mais parce que j’en arrive invariablement à remiser les textes rédigés, à juger les sujets trop personnels, les points de vue difficilement défendables, le lieu inapproprié. Quand j’écrivais sur mon ancien blog, dans un anonymat quasi parfait, j’avais vingt-cinq lecteurs, dont une grande partie de parfaits inconnus avec lesquels je prenais plaisir à échanger. Depuis que je partage mes billets sur Facebook, la donne a sensiblement changé : j’ai une cinquantaine de lecteurs, mais je ne me suis jamais autant autocensurée. La belle affaire, hein ! N’empêche que, le temps passant, cette histoire a commencé à sérieusement me turlupiner : comment concilier intelligemment intimité et publicité ? J’avais des choses que j’avais envie de raconter, mais aucune envie de devoir crier « MAIS CRÉÉE TON PROPRE BLOG, BORDEL DE MERDE ! » à tous les Leprechaun qui passeraient par là…
La liberté d’expression sur les réseaux sociaux, vaste et vide débat… Mais quoi qu’il en soit, c’est là, alors que je ne m’y attendais absolument pas, que mon premier problème est venu solutionner le second. À la question « Que lire maintenant ? », la faim me tiraillant méchamment, j’ai fini par faire au plus simple et en l’occurrence, à prendre le premier livre sur le haut de la pile en instance, juste là sur ma table de chevet. Le challenger : Le Premier méchant, premier roman de Miranda July (amie de Carrie, tiens donc), lui-même offert pour mon anniversaire par une amie (Laetitia, encore merci !). Je ne veux rien vous spoiler, mais je dois avouer que les premières pages m’ont largement déstabilisée. Puis je me suis laissée faire par cette histoire un peu loufoque avant de me retrouver complètement scotchée, tant l’ouvrage m’est apparu d’une saisissante modernité. D’abord dans la forme (et notamment dans les libertés que prend la narration), puis dans le fond : outre les sujets évoqués (la féminité, la solitude, le couple, le genre, les fantasmes, la maternité…), j’y ai retrouvé cette cruelle et désarmante autant que fascinante acuité envers soi que Carrie Brownstein semblait avoir érigé pour elle et moi (fait chaud d’un coup, là, non ?) au rang de nécessité, bien qu’il s’agisse d’une fiction. Miss July avait peut-être raison, et mon salut pourrait bien passer – pourquoi pas – par un changement radical de format.
Dissimuler l’intime au cœur de la fiction, j’y avais déjà beaucoup pensé, sans jamais réussir à échafauder un plan cohérent, juste quelques idées, quelques fragments, rien de bien convaincant… Mais poussée dans mes retranchements, j’ai fini par décider de me lancer sans filet. Enfin, sans chute, quoi. Une première pour moi. Un peu comme Balzac (toutes proportions gardées, évidemment), sans réellement savoir où cette petite histoire fantaisiste de superstitions et procrastination me mènerait, j’ai rédigé trois chapitres à la troisième personne, laborieusement mais vaillamment… Avant de me retrouver complètement coincée. Puis de commencer un deuxième texte, à la première personne celui-ci, histoire d’évacuer une fois et pour toute une thématique qui me hantait. En tout, une douzaine de pages A4 bien tassées pour ce premier jet. Soit une taille tout à fait acceptable pour une nouvelle (à partir de 7 500 mots environ, à ce qu’il paraît). Et autre nouveauté, je n’avais jamais écrit quelque chose d’aussi développé. Alors, bien entendu, c’est loin d’être terminé ; ce morceau-là me demanderait encore plusieurs relectures et réécritures… Et je ne sais combien de temps pour l’affiner. D’autant plus que depuis, je suis passée à la deuxième mouture de la première histoire commencée. J’ai déjà réécrit la moitié des trois premiers chapitres deux fois, ébauché le suivant, manqué de temps… Écrire au long cours, c’est complètement différent et pour le moment, je n’en suis qu’à prendre la température de l’eau du bout des pieds, timidement. Puis la suite, vous la connaissez : je suis venue m’épancher ici…
Bon, vous voilà bien avancés, hein ! Je vous ai écrit toute une tartine pour vous refiler une piètre excuse quant à mon manque d’investissement en ces pages et vous parler de deux textes pas terminés que vous ne lirez peut-être jamais… Mais si vous avez suivi cette longue digression sans intérêt jusque là, je ne vais pas vous laisser comme ça. Une petite moralité capillo-tractée, ça vous dirait ? Alors, qu’est-ce qu’on a appris aujourd’hui ? Qu’outre m’avoir permis d’accepter ma véritable nature de cheveux (ce qui a littéralement changé ma vie de fille, sans plaisanter), mon obsession pour Carrie Brownstein m’a fait réaliser que : petit 1., j’aurais pu être avec une fille et aimer ça (Sainte Katy, priez pour moi) ; petit 2., il n’est jamais trop tard pour bien faire (si j’ai de la chance, ça me laisse encore une bonne moitié de vie devant moi pour ça) ; petit 3., quand on accepte qui on est, c’est beaucoup plus simple de savoir vers où on veut aller. Est-ce que les coïncidences arrivent par pur hasard ou est-ce qu’on les provoque inconsciemment ? Est-ce que le simple fait d’être fan peut apporter autant de satisfactions ? Carrie Brownstein a écrit de très jolies lignes à ce sujet pour je ne sais plus quel magazine en ligne que je vous encourage néanmoins à chercher à consulter. Pour ma part, je conclurai en vous disant qu’on ne devrait toujours aimer que de cette façon : sans rien attendre en retour et inconditionnellement.
Et puis du coup, j’imagine que je vais voir encore beaucoup de films avec Michael Shannon, fatalement…
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claudehenrion · 8 years
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La crise de nerfs...
  Si  la ''crise Fillon'' avait frappé ce ''peuple de gauche'' qui a la jalousie du voisin dans ses gènes, j'aurais déjà eu du mal à croire à tant de vilenie : un de mes défauts est la confiance dans le bon sens des français, qui peuvent se tromper par accident mais finissent toujours par se retrouver, comme ils l'ont fait, par exemple, pour les fausses bonnes idées de la Gauche : ils ont compris qu'elles n'étaient que supercheries, mensonges et promesses vides. Mais que des électeurs de Droite aient pu préférer l'anecdotique au fondamental... c'est difficile à comprendre !
  Notre pauvre France a été piégée, depuis un mois, dans une situation qui aurait été dite ''de cornecul'' aux temps où le ''politiquement correct'' n'avait pas encore stérilisé la langue française.   Les conséquences sont si énormes et leur raison si petite que l'observateur en vient à douter : ''Cela ne se peut pas ! J'aurai oublié quelque chose !''... Mais au bout du compte, il faut se rendre à l'évidence : ce torrent de boue a vraiment été fabriqué à partir d'une absence de délit, sur des accusations qui se discutent ! Petit retour sur ce drame en 4 actes et 5 tableaux :
  (1)- L'étau des taux (si j’ose !) va se resserrer sur notre dette sans fond, nous étouffant et nous projetant bientôt dans une situation proche de celles de la Grèce, du Portugal ou du Venezuela, mais il ne se pouvait pas que la France ne soit pas rattrapée par l'incurie des cinq années qui ont vu les socialistes étaler leur nullité abyssale : il arrive toujours un moment où quelqu'un présente l'addition.     Mais  comme cette catastrophe apocalyptique est absente du programme de tous les autres candidats, qui ne l’évoquent même pas... si Fillon était volé, par cette manœuvre, d'une victoire qui est nécessaire à en être apodictique, ''on serait mal'' !
  (2)- L'Islam constitue la seconde menace majeure, même si les cuistres nous forcent à faire semblant de croire que ''ce n'est pas ça, l'islam'' (Que les professeurs de ‘’bien-pensance’’ aillent dire aux fous-furieux du Daesh et de al-Qaïda qu'ils ne sont pas de vrais musulmans et que l'islamisme n'est pas le vrai Islam... On leur souhaite bonne chance !). Car même si les promoteurs de cette idée saugrenue avaient raison (des athées intégristes qui pérorent sur une religion dont ils ne savent rien... c'est comme un aveugle qui explique le chemin !), où sont les défilés massifs des prétendus ''bons musulmans’', ceux qui condamneraient sans réserve les agissements de leurs coreligionnaires dévoyés ? Nous en reparlerons...
  (3)- Face à ces menaces, un seul de tous les candidats à cette ''présidentielle'' (qui est digne d'une république bananière) a anticipé ce qui doit arriver : seul contre tous, François Fillon a émis le bon diagnostic et eu le courage de proposer les bons remèdes, contre feu les intelligentzias. Un homme d'Etat présidentiable, à Droite, doit battre la Gauche (c’est-à-dire deux militants amis-ennemis embourbés dans leur doctrine dépassée, et un illuminé ringard -soutenu par un benêt chronique).           Tous trois sont en pleine panique : tout le système bancal des vieilles utopies et des prébendes fraternelles serait foutu en l'air par celui qui veut (et peut) sauver la France, alors que eux, prisonniers de leur mortifère ''changement'' et de leur ‘’credo laïciste’’, ne savent que répéter les vieilles recettes qui n’ont jamais fonctionné nulle part sur terre... Honnêtement, ‘’y a pas photo’’, et l’affaire devrait être entendue !   
  (4)– La tentative de déstabilisation du corps électoral, qui est d’une violence jamais vue (même contre Nicolas Sarkozy, victime des basses œuvres de la fameuse ''cellule spécialisée'' de l'Elysée... qui n'existe pas, bien entendu !), invente que Fillon aurait sacrifié son honneur pour quelques milliers d'€uros. N’en doutons pas, cette fois encore, les apprentis sorciers qui tentent de faire avaler ces fariboles vont se prendre les pieds dans leurs stratagèmes de comptoir : ce qu'ils reprochent à Fillon est non seulement légal et courant, mais pleinement justifié : des proches en qui on a confiance sont plus efficaces et ils ont une ‘’courbe d'apprentissage’’ asymptote à zéro. Et cette chose prétendue horrible a surgi ex nihilo et au bon moment (alors que jamais personne n'en avait parlé jusque là), et avec une campagne de presse prête à l’emploi et dont le seul but était de tuer le vainqueur probable. Parmi tous les familiers de ces pratiques (légales et normales, il faut le répéter), un seul devait être jeté aux chiens, pas deux, ni les cent qui font de même. Quant au Parquet financier (comme s'il n'attendait que ça), il s'est rué dans la journée (du jamais vu !) sur cette non-affaire qui est en dehors de ses prérogatives.     A vrai dire, si le sens moral des journalistes était aussi grand qu'ils veulent le faire croire, ils ne devraient parler que du ''crime-contre-l'humanité-gate'' de Macron, bien plus grave que le ''Penelope-gate'' dont ils nous rebattent les oreilles du matin au soir : comment se nomme le crime qui consiste, dans un pays étranger et tout sauf bienveillant, à s'affranchir de toute objectivité et de tout respect de l'Histoire (et de sa Patrie, surtout) en une danse du ventre électoraliste destinée à plaire à la francophobie pathologique d'un régime mourant, tyrannique et corrompu ?
  (5)- Le 5ème tableau est peut-être le plus minable de tous : Bayrou, l'indécis chronique a, une fois de plus, suivi son tropisme à gauche. Même si c'est idiot, il ne peut pas s’empêcher de se tirer une balle dans notre pied. Et en osant dire que c’est ''dans l'intérêt des français'' (sic !), ce guignol pathétique condamne la France.     On peut parier que des expressions comme ''raisonner comme un Bayrou'' vont passer dans la langue populaire. Mais il ne l'emportera pas en Paradis : sa forfaiture va encourager les amoureux de la France à être encore plus efficaces et engagés dans leur action pour faire perdre ce couple pervers de fausses valeurs !
  Résumons (si c'est possible!) : une tentative de déstabilisation qui, si elle avait réussi, aurait pu ressembler à un coup d'Etat invisible, est en train de tourner court. Le lancement publicitaire d'une fausse valeur en qui d'autres fausses valeurs et ses frères en nullité voulaient qu'on voie le Messie, va faire long feu. L'intelligence du peuple français va triompher de sa courte crise de nerfs, et les choses devraient, selon toute logique, retrouver le cours normal de l'Histoire. La France va s'en sortir, et ça, c'est une vraie bonne nouvelle  !
H-Cl.
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LE RETOUR D'AFFECTION DANS LE COUPLE: RENFORCER LES LIENS D'ATTACHEMENT
L'affection dans le couple représente une valeur fondamentale à protéger et à entretenir afin de garder ces liens qui unissent spirituellement et sentimentalement les deux personnes composant cette union, laquelle perdure aussi selon une harmonie vitale basée sur une réciprocité à tous les niveaux, tant physique avec la sexualité qu'intellectuelle ou pratique avec cette complémentarité indispensable de compétences et de facultés mises en commun. Alors, lorsque les liens affectifs commencent à se distendre, c'est l'ensemble de cet équilibre qui vacille à la manière d'un tremblement de terre, au début presque imperceptible mais qui petit à petit s'amplifie sans que l'on y prenne vraiment garde avec la routine des années s'accumulant lentement. Pour certains couples la tendresse s'apparente à ce cœur indéfectible qui gardera pour toujours sa puissance et jamais ne faiblira en amour, pour d'autres ce sera au contraire une sorte de long déclin progressif ou parfois même de rupture soudaine à la suite d'un évènement que l'on pourra qualifier de dramatique. Le couple est comme une pièce de théâtre avec ses rebondissements, ses entrées d'acteurs et son intrigue qui peut surprendre ou s'embellir selon les décors et accessoires que la vie mettra à disposition. C'est l'écriture de ce scénario au fil du temps qui apportera les réponses aux protagonistes, lesquels peuvent aussi prendre part à ce travail de création où c'est leur propre réalité qui prend forme…
Comprendre la symbolique intime du couple est primordiale pour en garder à l'esprit l'essentiel de sa substance, cela permet à cette union d'individualités de perdurer sans heurt et sans accroc aux vicissitudes quotidiennes qui viennent inlassablement éroder nos convictions tel le ressac sur la falaise. Par conséquent, nul n'est à l'abri d'une chute ou tout simplement de trébucher sur un obstacle en travers de la route, nul ne peut non plus prévoir avec précision l'avenir de sa relation ou bien les multiples voies à emprunter au détour du chemin principal. Pourtant nous cherchons sans cesse des solutions, que ce soit individuellement dans chaque acte de notre existence ou bien au sein du couple pour que celui-ci avance de concert main dans la main sans jamais relâcher son étreinte. Au début d'une relation amoureuse nous sommes véritablement à l'affût de chaque instant pour créer ou resserrer les liens d'attachements sur tous les fronts de cette bataille dont l'effort de guerre ne travaille heureusement que pour l'amour du partenaire, et s'il faut lever dans l'instant des armées pour soulever des montagnes alors rien n'arrête la volonté de ceux qui s'aiment pour vaincre l'adversité. Puis des années plus tard il est tout aussi vrai qu'il faut compter quelques désertions dans les rangs d'une volonté parfois un peu à court de ressources pour continuer à avancer à vive allure, il est peut-être temps de faire une pause salutaire.
La plupart des couples vivent à un moment ou un autre cette période d'incertitude ou de flottement de leurs sentiments dans ce que je viens de décrire et il n'est pas rare de voir des femmes et des hommes consulter des spécialistes du couple, des "coachs conjugaux", pour justement régler certains problèmes d'usure dans la relation de couple. Ce sont surtout les femmes qui se posent le plus de questions, elles prennent les devants lorsqu'elles sentent d'instinct la situation leur échapper, en d'autres mots lorsque la relation amoureuse commence à battre de l'aile. Les spécialistes du couple sont à l'image de ces théoriciens ou stratèges qui n'ont souvent jamais mis les pieds sur le terrain, ils rabâchent des vérités toutes formatées qui, bien qu'elles soient basiquement utiles, restent de somptueuses généralités à la limite de la futilité pratique… La symbolique intime du couple telle que je la conçois ne passe pas par une psychologie de bas étage trop vague ou trop linéaire, elle entre bien au contraire dans les subtiles fondations des partenaires pour en dévoiler la quintessence qui structure la relation amoureuse et lui apporte sa puissance. Il faut voir le couple comme une source d'énergie vitale partagée avec cette dimension ésotérique qui la protège, et non comme un schéma stéréotypé de clinicien qui répète à tous la même histoire.
Les ressorts subtils des relations amoureuses résident à un niveau de conscience qui dépasse le simple entendement intellectuel pur pour s'inscrire dans une sphère d'interaction que seule saura capter une vision foncièrement élargie ayant une orientation plus ésotérique dans l'interprétation. Cette interprétation passe par de complexes archétypes que C.G Jung a très bien expliqué mais qui ne font pas partie de l'enseignement orthodoxe de la psychologie car elle va beaucoup plus loin en terme de symbolisme pour s'approcher d'un irrationnel proche de la magie et de ses rituels. C'est justement pour bénéficier de cette vision plus complète et plus proche d'une certaine vérité que j'assume utiliser à la fois la psychologie traditionnelle avec une approche moins conventionnelle en utilisant les rituels de magie comme révélateurs de la problématique des couples. Certains diront que la magie n'est qu'une grande imposture orchestrée par des escrocs, ce serait bien mal connaître toutes les ressources mises à disposition par la magie opérative que d'en rejeter d'emblée toutes les possibilités qu'elle recèle et donc se couper de solutions très efficaces. Je précise tout de même que je ne pratique qu'une magie spécifiquement consacrée aux problèmes amoureux, principalement la "magie rouge" pour la citer ici très clairement.
Le retour d'affection dans le couple est une priorité afin d'inverser un processus de destruction ou d'usure de la relation amoureuse, ce qui implique de cibler les liens d'attachement comme autant de points positifs à renforcer ou à réparer, ce que le rituel du même nom, de "retour d'affection", effectue de manière optimum lors de travaux de magie rouge. Il est nécessaire parfois d'expliquer d'où viennent les termes et pourquoi nous les employons, ils ne sortent nullement de l'imagination débridée d'un quelconque romancier mais plutôt d'études ésotériques qui se compilent depuis des décennies en Europe (et des centaines d'années dans des pays comme l'Inde très en avance sur les "choses de l'amour" et leur symbolique ésotérique ainsi que leur application). En occident nous avons la très mauvaise habitude de vouloir tout démontrer avant d'assurer du bien fondé d'une méthode ou d'un fait, ce serait très difficile de démontrer l'Amour par A + B, et les sciences ont encore beaucoup à apprendre sur certaines réalités invisibles et indémontrables qu'elles rejettent avec force et dédain à défaut d'avoir une attitude plus sage et plus spirituelle.
Renforcer les liens d'affection dans le couple n'est pas une impossibilité lorsque ceux-ci commencent à se déliter, au contraire il faut savoir les traiter avec la dimension qui leur convient, prendre en compte toute une symbolique que seuls les rituels de magie rouge peuvent actuellement gérer de manière directe et efficace. Vouloir sauver son couple ou restituer les sentiments comme au premier jour n'est pas une impossible fatalité mais une nécessité qu'il convient d'assumer sans honte dans le cadre de travaux professionnels avec la certitude de comprendre pourquoi la relation de couple en est affectée et comment y remédier! Je reste à votre disposition pour en discuter dans un premier temps. Je vous dis à bientôt et soyez toujours confiant(e) dans l'avenir car l'amour ne disparaît jamais, il faut juste savoir le retenir au moment opportun!
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com https://grandmaitremediumlaterre.site123.me/ E-Mail: [email protected] Tel: 0022998574889 Whatsapp : 0022998574889
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reussir-sa-vie · 7 years
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Voici comment sauver son couple quand tout semble rerdu
Comment sauver son couple au bord de la rupture ou après une infidélité ? Comment sauver son couple quand tout semble perdu et plus rien ne va plus ? Faut-il vraiment se battre pour sauver son couple ? Autant d'incertitudes, de questions et de doutes légitimes que vous vous posez sûrement si vous lisez cet article. Nous allons vous expliquer ici et maintenant comment et pourquoi sauver son couple, s'il faut se battre ou pas. via Love Coach http://ift.tt/2tpF5gX
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