Tumgik
#comment sauver son couple quand tout va mal
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Fics in Other Languages - French Masterlist
Could you whisper in my ear the things you wanna feel? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton NR, 3k
Summary: Retour en Australie pour une petite tournée de promo. Après 6 ans de relation cachée, Michael ne sait pas comment gérer le changement et l'évolution.
Luke ne voit rien venir et Michael sent tout se défaire.
Quelle force peut encore les sauver?!
Holding on for dear life. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 51k
Summary: [Michael est en pleine dépression et lutte vaillamment. Luke s'attache à lui avant de découvrir qu'aimer Michael n'est pas aussi que ce qu'il y paraît.]
I don't know what it is but your heart feels like home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 4k
Summary: [Luke rentre seul en Australie et Michael le rejoint. Ils ont des choses à se dire, un amour à confesser.]
I hear your voice in my sleep at night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Luke/OFC, Calum/Ashton G, 33k
Summary: Michael doit bien faire face aux choses maintenant : il est amoureux de Luke, son meilleur ami et colocataire.
Sauf que Luke est déjà en couple.
Est-ce que leur amitié pourrait suffire à Michael? Est-ce que Luke va se rendre compte de quelque chose avant que le coeur de Michael ne se brise? Tout reste encore à faire.
I'll build you a house from a broken home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 1k
Summary: « Oui, je sais. ». Il n'y avait rien d'autre à ajouter parce que c'était une vérité connue de tous : quand il s'agissait de Luke, Michael connaissait absolument tout. Le bien mais surtout le mal. Il était le seul à connaître les idées les plus noires et les plus sombres que Luke avait pu nourrir. Ils avaient été amis si longtemps qu'ils n'avaient aucun secret l'un pour l'autre.
[Michael se sent mélancolique et Luke a besoin de comprendre pourquoi.]
The Boy Who Fight (ao3) - Chagri OT4 N/R, 58k 
Summary: " S'éprend-on de ceux pour qui l'on a du goût ? Impensable. On tombe amoureux de ceux que l'on ne supporte pas, de ceux qui représentent un danger insoutenable." -Amélie Nothomb
Septembre 2013
Luke Hemmings remontait les voies 9 et 10 de la gare de King's Cross, les yeux rivés sur son smartphone qu'il tenait dans une main, poussant son chariot à bagages de l'autre. Il ne remarqua pas les quelques personnes qui se retournèrent sur son passage. Le jeune homme de 15 ans avait l'habitude qu'on regarde avec des yeux ronds, sa splendide chouette effraie.
Bien qu'apprendre qu'il était le premier sorcier d'une famille de moldues avait été un choc, Luke s'été assez vite adapté à son nouveau monde, grâce à une bande d'amis. Mais il ne reniait pas ses origines moldues, comme en témoignait l'iPhone qui avait toute son attention.
Alors qu'il arrivait près de l'entrée de la voie 9 ¾, il éteignit l'appareil, pour éviter qu'il ne se détraque à cause de la magie. Il s'appuya nonchalamment contre un pilier massif en brique et il fut instantanément propulsé sur le quai 9 ¾. Luke sourit à pleines dents : il allait enfin rejoindre son second foyer.
Those wounds you made are gone. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 8k
Summary: Luke demande à Michael de partir et ne plus jamais revenir. Il lui dit qu'il ne veut plus jamais le revoir. Michael obéit.
Sauf que Luke a menti.
Il a simplement besoin de repos, besoin de souffler. Besoin de ressentir.
True Colours (ao3) - orphan_account Michael/Luke G, 5k
Summary: Trad Muke. Tout le monde sait bien qu'au moment où on tombe amoureux, nos cheveux font ce truc.
C'est à dire qu'ils commencent à changer de couleur, chaque couleur représentant des émotions différentes qu'on ressent. Tout le monde connait quelqu'un qui a déjà eu ses ''Couleurs'', et tout le monde sait comment ça marche.
Cependant, quand Michael se lève un matin avec des cheveux roses vif, il n'a vraiment aucune idée de ce qu'il se passe.
Vraiment, Michael n'avait pas compris qu'il était tombé amoureux.
We don't know why we feel how we feel inside. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton T, 40k 
Summary: Luke est étudiant à l'Académie Hamilton depuis trois ans. Il est en dernière année et pense avoir sa vie tracée devant lui.
Jusqu'à ce qu'il croise la route d'un artiste solitaire qui va changer sa vision du monde, de l'art et de la vie.
Wherever it goes I'm all in. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 12k
Summary: Chaque fois que Michael repartait, une part de lui se brisait. C'était inéluctable. Il voulait plus, il voulait tout mais Michael ne voulait rien donner, ni rien recevoir. C'était à prendre ou à laisser.
Et Luke commençait à se demander s'il n'aurait pas mieux valu tout laisser tomber. Sauf qu'il aimait Michael. Peut-être que c'était pour cette raison qu'il aurait dû abandonner. Pour cette raison qu'il aurait dû s'éloigner : parce qu'il aimait Michael et que cet amour n'était plus un bienfait. Il était lourd, douloureux et malsain.
Will you stand by the phone while I take the long way home? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 23k
Summary: [Luke est surveillant au lycée et il rencontre Michael au salon de tatouage. Sauf que Michael est élève de ce lycée et qu'il est encore mineur...]
You chose the Rose Garden over Madison Square. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke G, 32k
Summary: Luke le savait, c'était le prix à payer quand on était un acteur gay à Hollywood. Si on voulait s'en sortir et voir son nom sur les grands écrans, il fallait oublier tout le reste. Son passé, ses envies, sa personnalité, sa moralité et surtout, sa sexualité.
You were mine for a night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 6k
Summary: Michael et Luke le savent : ils ne peuvent pas être ensemble.
Sauf que ce soir, cette nuit, tout est possible et le monde est leur !
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mediumhounkpe · 2 years
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Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE Vouloir trouver l’amour ou améliorer sa vie sentimentale est l’une des raisons premières qui motivent de nombreuses personnes à opter pour une consultation en voyance de l’amour. Celle-ci leur permet en effet de résoudre un certain nombre de problèmes et de trouver plus facilement l’âme sœur. Elle est notamment pratiquée par des voyants…
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baron-alexbarnes · 3 years
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Bucky x reader (in french)
La peur de l'abandon
Attention: énorme doute de soi; Fin heureuse; Angoisse
(chemin 1)
Résumé : Tu demandes à Bucky de jouait le rôle de ton rendez-vous au bal des anciens camarade. Tu veux marquer les esprits car tu étais la personne timide que personne ne remarquer étant adolescent. Sauf qu'il te fait comprendre que c'est non et il s'en veux après. Il découvre ensuite tes énorme manque de confiance.
Masterlist (in french):
Masterlist (in english):
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'' S'il te plaît Bucky ! '' Tu le supplia alors qu'il se dirigea vers la cuisine '' Non [Y/N], pourquoi tu mentirais comme ça ? '' Pourquoi mentirais-tu ? Tu n'étais pas du genre faire ça. Mais tes années de lycée ont été les pires, tous tes amis qui sont restés avec toi se sont mis en couple tandis que les autres sont parti dans d'autres établissements. Tu t'es retrouvé souvent seule. Au début c'était rien, tu t'es dit qu'ils avaient le droit de passé du temps avec leur partenaire. Mais ils sont jamais revenus. Bucky était déjà parti. Et tu étais encore seule ici. Tu soupiras et parti vers ta chambre pour t'habiller. Tu essaya pratiquement toute les tenues que tu avais mais même bien habiller, tu n'avais personne. Tu te laissas tomber sur ton lit et regardas le plafond. Personne ne voulait y aller avec toi et tu n'avais rien d'extraordinaire à te mettre. Alors tu décidas de ne pas y aller. Tu retira tes vêtements et te mit plus confortable.
Bucky parla avec Steve quand il t’aperçut sur le canapé. Il fronça les sourcils surpris que tu sois là. '' Bucky ? '' Il regarda son ami '' Oui ? '' Steve suivit son regard pour tomber sur toi. '' Elle ne devait pas être à sa réunion ? '' Le soldat de l'hiver hocha la tête '' Qu'est ce qu'elle fait encore là '' Il hausse les épaules sans te quitter des yeux. Il décida de se rapprocher de toi. '' [Y/N] ? '' Il demanda en se posant à côté de toi '' Oui ? '' Tu le regarda rapidement avant de reporter ton attention sur ta série. '' Tu n'es pas à ta réunion '' Tu baissas les yeux quelques instants '' Je n'avais pas envie d'y aller '' Bucky était un peu décontenancer. '' Tu avais envie d'y aller il y a même pas 1 heure '' Tu soupiras '' Je n'ai rien à faire la bas, je préfère être ici '' Bucky insista '' Tu as pas des amis que tu peux retrouver là-bas ? '' Il voulais que tu y ailles mais tu ne savais pas pourquoi. Et puis, tes amis sont bien mieux sans toi là-bas te dis tu '' J'ai pas envie Bucky '' Il soupira '' Tu veux que je vienne ? '' Tu réfléchit. S'il vient, tout le monde te regardera, mais ça ne sera pas sincère. Bucky avait raison, il ne faut pas mentir '' J'ai pas envie James '' Il tressaillit. Tu ne l'avais jamais appelé James. '' D'accord '' Il regarda la série avec toi avant de partir et de te laisser seule. Encore.
Il retrouva Steve, qui était parti s'entraîner avec Natasha. Quand elle le vit arrivée, un peu choquée, elle laissa sa place contre Steve. '' ça va ? T'as l'air d'avoir vu un fantôme '' Il regarda son ami '' Je pense que j'ai fait quelque chose de mal avec [Y/N] '' Steve était intrigué '' Comme quoi ?'' Le soldat hausse les épaules '' Je lui ai demandé pourquoi elle n'a pas été à sa réunion mais elle était froide, distante et elle m'a appelé James '' Steve était surpris. Tu donnes toujours des surnoms aux gens, tu les appelés par leur prénom que quand ils ont fait quelque chose de mal '' Qu'est ce que tu as fait ? '' Il demanda curieux ''J'ai pas voulus aller avec elle à sa réunion '' Le blond ne comprit pas. Jamais tu n'aurais fait la tête pour quelque comme ça, tu n'as jamais forcé les gens '' Tu es sûr d'avoir rien dis d'autre ? '' ''Je lui ai demandé pourquoi elle mentirait mais elle ne m'a jamais répondue '' Steve haussa les épaules, c'est peut-être une mauvaise journée et tu as besoin de temps.
Le lendemain. Tu as raté l'entraînement avec Natasha. Ça les avait inquiétées. Que ce soit Natasha ou Bucky, même Tony était un peu inquiet pour toi, même s'il ne disait rien. Bucky décida d'aller te voir pour te trouver allonger sur ton lit à regarder le plafond. ''[Y/N] ? '' Tu le regarda surpris '' Bucky ? Qu'est-ce que tu fais là ? '' Tu te redressa. '' Tu as raté l'entraînement '' Tu fronça les sourcils. Tu n'en as jamais raté, à part quand tu étais malade mais tu avais toujours prévenue. Tu regardas l'heure sur ton réveil qui indiquait 10 heures 30. Tu soupiras et retombas sur ton lit. '' ça va ? '' Il s'assit sur ton lit et te regarda. Tu hochas la tête. '' Elle est toujours en train de s'entraîner ? '' Il secoua la tête. '' Elle est parti avec Clint et Wanda faire du shopping'' Il jouait avec ces mains clairement nerveux '' Ecoute... Je suis désolé pour hier, je savais que c'était important pour toi, mais... Je n'avais pas envie que les gens me voient avec toi '' Pas envie qu'il te voit avec lui ? ça te fit mal au cœur. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Que tu n'étais pas assez bien pour lui ? Qu'il aurait eu honte ? '' Je comprend '' Bucky regarda tes yeux remplis de douleur et de tristesse. '' Je ne suis pas sûr '' Il se lève et te prends la main pour que tu puisses te lever aussi. Arrivé face à face, tous les deux debout. Il soupire pour se donner du courage tenant ta main dans la sienne. '' Je suis le soldat de l'hiver, j'ai tué beaucoup de monde et même si je m'en veux... Les autres me voient comme un assassin et je peux les comprendre, mais je ne voulais pas t'infliger ça. Imagine-toi '' Il sourit clairement en train d'imaginer la scène dans sa tête '' Toi, dans les plus beaux vêtements que tu as pour paraître encore plus belle alors que tu l'es déjà. '' Il arrêta de sourire petit à petit, pensant à ce que penseraient les gens de toi s'il te voyait avec lui '' Mais, je ne supporterais pas que les gens te fasse des remarques parce que tu sors avec moi, même si c'est un faux rendez-vous '' Tu étais abasourdie '' Bucky '' Tu pris sa joue et lui sourit '' Tu es le seul homme à qui j'ai demandé de venir pour une raison. Je m'en fou des remarques si je suis avec toi '' Il sourit et te prit dans ses bras et tu le serras aussi. '' Tu ne m'en veux pas ? '' Il s'éloigna. '' Je ne voulais pas y aller '' Elle s'éloigna.
'''Tu avais l'air de vouloir y aller '' La peur de te voir seule jusqu'à la fin était une de tes pires peur '' Je n'avais plus envie c'est tout '' Il te regarda douteux. '' Pourquoi ? '' Tu te sentis toute suite mal, c'est un peu honteux de lui avouer que tu avais peur de veillir seule. Mais les sentiments remonta plus vite que ton sang froid. '' Je serai seule... comme je l'ai toujours été depuis le lycée, ! Si j'y serai allé, tout le monde verra que j'ai pas évoluer, que j'ai pas d’intérêt, que je suis toujours seule '' tu le regardais droit dans les yeux, il était en train de réfléchir à se que tu disais. Comme s'il refléchissait à pourquoi tu dis ça '' Même si j'y serai allé avec toi. Je n'aurai pas été seule, mais... Ça aurait pas été sincère donc peut-être que les personnes m'aurai vu accompagné mais le sentiment reste le même pour moi '' Il ne comprit pas vraiment comment tu pouvais dire que tu te sentais seule, tu étais avec les Avengers. C'était ta famille, tout le monde t'aimais et te soutenais. Il ne comprit pas que tu ne parlais pas de famille, mais plutôt d'ami avec qui passait du temps sans penser à sauver le monde. Tu voulais arrêter de t’inquiète pour tout le monde quand ils partaient en mission. Tu voulais une pause et surtout, tu voulais être aimé comme tes amis étaient aimés par leur partenaire. Tu voulais être dans une relation. Mais ta faible estime de soi t'a toujours bloqué. Tu as eu quelques petit-amis, bien sûr, mais ça n'a jamais dépassé les 2 mois. Tu étais toujours abandonné. Tu as essayé de changer de paraître plus confiante et c'est grâce à ça que tu as rejoint les Avengers, mais tu n'as plus jamais été en couple après ça. Ça va bien faire plus de 5 ans. '' Comment tu peux dire ça ? Tu as les Avengers ! '' Tu soupiras, bien sûr qu'il n'allait pas comprendre. '' Laisse tomber, je vais prendre ma douche '' Quand tu commenças à partir vers la salle de bain il te prit par le bras '' Non, explique moi s'il te plaît '' Il te suppliais. Il voulait t'aider, tu as toujours été gentil avec lui et il commençait à développer des sentiments pour toi. Tu soupiras et te retournas vers toi. '' J'ai jamais eu une relation de plus de 2 mois ! On m'a toujours fait passer en deuxième, sois je n'étais pas assez bien sois il jouait avec moi '' '' [Y/N] tu es très bien, ces gens-là, c'était juste des connards d'accord ? '' Il prit une de tes mèches de cheveux et la plaça derrière ton oreille. '' Tu ne dois jamais douter de ça '' Il prit ta main '' Et il y a une personne qui t'aime ici, d'accord '' Elle le regarda avec confusions '' Qui ? '' Il déglutit, il avait tant envie de te le dire, il voulait t'aider. '' C'est pas grave si c'est pas réciproque, je comprends mais je t'aime depuis longtemps. Tout chez toi est parfait, ton humour, ta beauté, ton intelligence, ta gentillesse '' Tu le regarda avec surprise avant de sourire. La vérité c'est que tu l'aimais aussi mais tu t'es dis que tu n'avais aucune chance, c'était Bucky, un héro de guerre des années 40. Il était parfait à tes yeux, poli, drôle, beau. '' C'est vrai ? '' Il hocha la tête '' Est ce qu'on peut rester ami ? ''Il était persuader que tu ne l'aimais pas en retour '' Bucky ? '' Il te regardant '' Je t'aime aussi '' Il fut tout aussi surpris. Steve lui a fait remarquer plusieurs fois que tu le regardais souvent, que tu l'écoutais toujours quand il parlait, que tu t’inquiétais toujours plus pour lui quand il partait en mission. Steve t'a aussi fait remarquer que Bucky parlait souvent de toi. Il te complimentait sur ta tenue ou sur tes performances à l'entraînement avec Nat ou Wanda.
Quand il reprit ces esprits, il se pencha vers toi, pris ta joue dans sa main. Tu le regardas. Ça fait si longtemps que tu as rêvé de ça. Il fit durer le moment en te regardant dans les yeux, te laissant du temps pour reculer ce que tu ne le fis pas. Il te rapprocha donc de lui. Vos poitrines se collaient. Tu plaças tes mains contre son cou, n'en pouvant plus attendre, le tirant vers toi et plaça tes lèvres sur les siennes. Vos lèvres s’emboîtent parfaitement menant une danse ensemble. Il laissa tomber ses mains sur ta taille te rapprochant encore plus. Vous étiez à fond dans le baiser oubliant ce qui y était autour de vous. C'était comme un rêve. Tu te demandas quand tu allais te réveiller. Vous avez tous les deux reçu la marque d'amour que vous attendiez depuis longtemps. Il posa son front sur le tien, reprenant votre souffle. '' Je t'aime '' Dit il à nouveau. '' Je suis désolé pour hier '' Elle sourit '' Je préfère être avec toi sincèrement devant personne que d'être avec toi pas sincèrement devant tout le monde '' Il s'éloigna de toi, toujours ses mains sur tes hanches en souriant
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michel66toffa · 3 years
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marabout pour #empêcher un divorce, 4 prière pour séparer 2 personnes définitivement, bougie séparation #couple,
Cherche des vrai maitres voyants, comment convaincre sa femme de ne pas divorcer, comment convaincre son mari de divorcer, #comment convaincre son mari de ne pas divorcer, Comment empêcher le divorce dans un couple, comment empêcher le divorce de ses parents, comment faire pour #empecher un #divorce, comment faire pour éviter un divorce, comment sauver son couple après rupture, comment sauver son couple quand tout va mal, comment stopper un divorce, conseil pour eviter un divorce, grand et puissant medium, hadith sur le divorce en islam, j'ai trompé mon mari il veut divorcer, le divorce a sauvé mon couple, magie blanche pour empêcher un divorce, magie noirpour #empêcher un divorce, marabout pour #empêcher un divorce, medium pour annuler un divorce, medium pour empêcher un divorce, medium serieux,.
Mon mari veut divorcer mais couche avec moi, mon mari veut #divorcer mais ne fait aucune démarche, mon mari veut divorcer mais ne fait rien, mon mari veut divorcer mais pas moi islam, mon mari veut #divorcer mais reste à la maison,.
Mon mari veut divorcer quels sont mes droits, motif de divorce en islam, prière puissante pour séparer un #couple, revenir sur sa décision de divorcer, rituel de divorce avis, rituel de l'oeuf pour separer un couple, rituel pour eloigner une rivale de l'etre aimé, rituel pour empêcher un divorce, sauver son couple ou partir, sauver son couple ou se séparer, sauver son couple quand tout semble perdu, se séparer pour sauver son couple, séparer un couple avec une photo, si mon mari veut divorcer mais pas moi, travail occulte pour empêcher un divorce, travail occulte pour empecher une separation, trouver un medium competent, trouver un medium serieux et honnete, vaudou pour séparer un couple.,
Tel : 00229 67 07 17 63
WhatsApp : +229 67 07 17 63
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girly-mess · 3 years
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{ Billet d’humeur #19 }
Gary Chapman, marriage counselor and bestselling author
Je pense qu’à force de me voir parler de Gary Chapman et de son bouquin sur les 5 love languages, vous avez saisi que j’étais en pleine lecture ou simplement mindblown par son livre. A l’heure où j’écris ces mots, je ne suis plus très loin de la fin et plus je poursuivais ma lecture, plus je trouvais ça hyper instructif. Selon lui, la grosse majorité des divorces aurait pu être évitée si chaque partenaire avait pris le temps de s’interroger ensemble sur ce qui clochait dans leur mariage, pourquoi ça s’essoufflait et comment le sauver. A condition d’avoir envie de ne pas juste baisser les bras, bien entendu.
Aux USA (puisque Chapman est américain et exerce son métier là-bas), 40% de premiers mariages, 60% de seconds mariages et 75% de troisièmes mariages se soldent par un divorce. Ces statistiques proviennent donc du fameux livre de Gary Chapman et m’ont beaucoup surprise. 
Et après m’être renseignée sur les stats en France, il semblerait que près de 50% des mariages se terminent par un divorce, après une moyenne de 15 années de mariage. Et parmi les gens divorcés, il y a presque 1/5ème d’entre eux qui se remarient plus tard. J’étais moins surprise, cette fois. 
J’ai appris aussi que très souvent, c’est le manque de communication sur les besoins émotionnels de chacun qui est la cause principale de divorce. Au fil des années, la relation dégénère parce que les deux personnes concernées n’ont probablement aucune idée du langage amoureux primaire de l’un et l’autre. Sachant que la plupart du temps, c’est pas courant que les deux aient les mêmes love languages. Il faut donc que chacun prenne conscience de la meilleure manière de remplir le love tank de l’autre. L’un peut avoir cruellement besoin de Physical touch pour se sentir aimé, tandis que l’autre se sentira aimé uniquement via les Acts of service que fera le/la partenaire. Et malheureusement, tant qu’on n’a pas compris le langage de l’autre, on risque de perdre beaucoup trop de temps à s’acharner à montrer son amour de la “mauvaise” façon ( sous-entendu, pas celle qui correspond au partenaire). Ce qui va indéniablement créer de la frustration, des tensions, de la rancoeur, multipliées par le nombre d’années vécus ensemble. Donc imaginez un peu le cumul de l’enfer quand ça fait plusieurs décennies que vous êtes ensemble. 
Et le gros problème de notre génération, c’est que les relations durent beaucoup moins longtemps, au final. Puisque souvent, à la moindre grosse difficulté, on se sépare sans vraiment chercher à prendre du recul pour analyser ce qui est réparable. Bon, je dis ça, mais faut relativiser aussi, parce que la génération de nos grands-parents - et un peu aussi de nos parents - a tendance à rester ensemble, juste pour éviter le divorce, alors qu’ils sont profondément malheureux et finissent parfois même par se détester. Soi-disant parce que le divorce était hyper mal vu, à l’époque. Chose que je peux concevoir, mais c’est quoi l’intérêt de s’infliger d’autres décennies de profonde misère, juste parce qu’on a peur de la réaction des gens si on divorce ? Au bout d’un moment, faut penser à soi et à son propre bonheur, merde. 
Mais ce que je voulais dire sur les anciennes générations, c’est qu’elles avaient au moins le mérite de faire l’effort de traverser les difficultés ensemble, et d’aller au fond des choses pour comprendre ce qu’il y avait à corriger, pour faire renaître la flamme. Et ça, c’est de plus en rare chez les générations les plus récentes. Et je ne parle pas des relations où les deux personnes sont tout simplement pas compatibles, mais ne voulaient pas voir la vérité en face, parce qu’elles étaient trop emportées par la passion des débuts. Je parle des gens qui sont en couple/mariés depuis 7 ans, 10 ans, 15 ans, ou le double. Si la relation a duré aussi longtemps sans accrocs majeurs, c’est qu’il y avait une très bonne base, non ? Je ne fais pas référence aux disputes, of course. C’est normal de se disputer de temps en temps. Je parle vraiment de problèmes sérieux qui mettent en danger l’avenir de la relation, ou qui rendent la relation actuelle particulièrement fébrile. Je n’ai pas d’exemple parfait à vous donner, mais le premier truc qui me traverse l’esprit, c’est les problèmes d’addiction qui peuvent vraiment pourrir la vie d’un couple. Mais je m’égare encore.
Je disais donc... Lorsqu’un couple est ensemble depuis trèès longtemps et que tout s’est plutôt bien passé jusque là, mais que depuis... on va dire, 1 ou 2 ans, ça ne va plus et que les sentiments se sont estompés - voire ont carrément disparu - pour laisser place à beaucoup de ressentiment, on est d’accord que normalement, c’est réparable, non ? Ou je suis la seule à trouver ça bizarre que les deux personnes abandonnent aussi vite ? En tout cas, Mr Chapman est visiblement de mon avis, puisqu’il a déjà vu le même schéma chez pas mal de couples mariés qui étaient venus en consultation à son cabinet. Et la majeure partie du temps, la solution au problème, c’était simplement que le couple ne connaissait pas le langage amoureux de l’un et l’autre. Il analysait les plaintes des couples qui venaient le consulter, il en déduisait instantanément le love language de ces gens et leur donnait quelques conseils à appliquer à la maison, sur une durée déterminée, pour ensuite retourner le voir à son cabinet pour faire un compte-rendu. Et ça marchait à chaque fois !
Pourquoi ? Parce que quand la relation se détériore depuis un moment, c’est souvent que l’un a cessé de montrer à l’autre qu’il l’aime en exprimant son love language - sans savoir que c’est ça, son love language, hein - donc, par conséquent, l’autre a aussi cessé de faire des efforts pour le montrer en retour. Les deux concernés se déconnectent alors progressivement l’un de l’autre, jusqu’à créer du ressentiment, des love tanks désespérément vides, un blocage dans la communication et des sentiments de plus en plus inexistants. Au point où ils apprécient même plus de passer du temps ensemble, s’ignorent peut-être et restent ensemble par dépit, jusqu’à ce que l’un des deux pète un câble et décide de la séparation, ou finit par rencontrer quelqu’un d’autre et se laisse embarquer par la passion de la honeymoon phase avec cette nouvelle personne.
Si vous avez vu la série Sex/Life sur Netflix, eh bien... C’est finalement à peu près le même schéma qui se répète. Billie, la protagoniste principale, est mariée depuis plusieurs années avec Cooper, avec qui elle a eu des enfants. Leur relation avait longtemps été heureuse, Billie était épanouie, jusqu’à ce que dernièrement, elle réalise que Cooper ne remplissait plus son love tank (si on transpose ce qui se passe avec les analyses de Gary Chapman). Dans la série, c’est leur vie sexuelle qui est au point mort et on comprend donc que le love language primaire de Billie est le Physical touch (en secondaire, je dirais Quality time, puisque Cooper est tellement obnubilé par son travail qu’il ne passe plus vraiment de moment seul à seul avec sa femme, où son attention est focalisé sur elle et non sur son portable). On entend donc Billie se plaindre de son mari qui ne la touche plus comme avant, qui ne la désire même plus, ce qui affecte beaucoup le moral de Billie. Ce qui implique que son love tank se vide un peu plus, à chaque fois que Cooper ignore ses besoins émotionnels et sexuels. Elle se laisse ensuite replonger dans ses souvenirs du passé, où son ex Brad remplissait parfaitement son love tank lorsqu’ils ne pouvaient pas passer une journée ensemble sans se toucher, et se met à regretter cette époque. 
Et le problème entre Billie et Cooper, c’est qu’ils ne communiquent plus sur leurs besoins respectifs. Cooper, lui, n’a strictement aucune idée du malheur de sa femme depuis quelques temps, vu qu’il ne se concentre que sur son travail. C’est à croire qu’il le fait exprès, tellement ça paraît invraisemblable de ne rien voir. Et du côté de Billie, à aucun moment, elle cherche à en parler à son mari. Elle fait juste semblant que tout va bien, mais s’en plaint derrière à son amie Sasha et dans son journal intime sur son PC. Et nous, en tant que spectateurs, on assiste à ces scènes, impuissants, avec l’envie de leur hurler dessus pour qu’ils COMMUNIQUENT. Et c’est comme ça que malheureusement, la moitié des mariages se termine par un divorce. Parce que les gens se braquent, se replient et cessent toute communication, alors que le problème pourrait être facilement réglable s’ils daignaient simplement faire l’effort de se parler de ce qui ne va pas ! (Oui, ça m’énerve)
Enfin, bon... J’ai conscience que c’est plus facile à dire qu’à faire, et que c’est bien plus easy de constater ça vu de l’extérieur. Alors que lorsqu’on est en plein dedans, on a souvent des oeillères qui nous empêchent d’observer et de réfléchir objectivement. Après... Encore faut-il que les deux concernés ressentent l’envie de trouver une solution au problème. Encore faut-il qu’ils aient la motivation nécessaire pour travailler sur leur relation ou leur mariage, plutôt que d’abandonner et de tenter de chercher à combler ses besoins émotionnels chez quelqu’un de nouveau, sans avoir aucune garantie que cette personne saura remplir son love tank. Un mariage, une relation, ça demande du travail, de l’effort, de la discipline. On l’a tous déjà entendu quelque part, et pourtant, on est encore peu à l’appliquer réellement, comme les anciennes générations le faisaient. C‘est un choix que d’aimer la même personne pour le restant de sa vie. Il faut être prêt à assumer ce choix, c’est pourquoi on ne doit pas prendre le mariage à la légère, au risque de le regretter par la suite.
Moi-même, je ne sais pas comment je me comporterais si tout cela m’arrivait. J’aime croire que je ferais le maximum pour rendre mon partenaire heureux, de la même manière que lui me rendrait heureuse, parce que je recherche l’harmonie, l’équilibre dans mes relations. J’ai l’avantage, au moins, d’avoir pris connaissance de mes propres love languages et comme je m’intéresse beaucoup à la psychologie, j’ose espérer que je saurais communiquer clairement mes besoins émotionnels et appréhender ceux de mon futur partenaire de vie, si les siens sont différents. J’ai ma propre vision du couple, mes valeurs et je ne m’imagine pas entamer une relation avec un mec qui ne les partage pas. Je ne peux pas prédire l’avenir, mais comme je l’ai déjà dit, je sais que je suis du genre à me donner corps et âme dans une relation et que je n’ai pas peur de fournir les efforts nécessaires à l’épanouissement de mon partenaire, à condition - évidemment - qu’il en fasse de même. Il ne me reste plus qu’à déterminer/trouver qui sera l’heureux élu, maintenant...
Petit aparté : Je précise, d’ailleurs, que rien ne nous oblige à se mettre en couple ou se marier. Ce n’est en aucun cas une nécessité et la société n’a pas à nous dicter ce qu’on devrait faire ou ne pas faire, juste pour rentrer dans le moule. On peut être parfaitement heureux avec sa propre compagnie, sans avoir besoin qu’un autre individu vienne perturber sa vie. Ce n’est pas mon cas, cela dit. J’aimerais pouvoir me sentir complètement heureuse, célibataire. Or, je ressens l’envie de partager ma vie avec quelqu’un qui saura remplir mon love tank, resté terriblement vide depuis toujours. 
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nuit-pourpre · 3 years
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Lohorie Valendrin [ep.02]
[Fantasy]
La nuit tombe.
Je m’arrête au bord d’un sentier. Mes jambes supportent toujours mieux les heures de marche après un combat, d’habitude. Là, c’est comme si je vieillissais. Le vent frais chatouille mes os. Il me faut du petit bois.
Je m’appelle Lohorie Valendrin. J’ai plus d’une vingtaine d’hivers, dont cinq passés chez les patrouilleurs. Je suis très instruite, et habile au combat, pour une fille née dans un lupanar.
Ma mère m’a toujours dit et répété que le monde me ferait payer chaque action, bonne ou mauvaise, de la pire des façons. Parce que j’étais spéciale.
Elle avait en même temps la naïveté, ou l’hypocrisie, de prétendre que ces épreuves seraient une chance, et qu’elles me grandiraient. Pour la chance, j’aurais tout aussi bien pu naître homme.
Quand je parle de ma mère, je ne parle pas de celle qui m’a mise au monde et qui est morte en le faisant, mais de la maquerelle qui a fait de ma survie son cheval de bataille, pour une raison que j’ai pu que soupçonner au fil du temps. Les enfants qui tuent leur génitrice à la naissance, chez moi, on les appelle Agrippa ou Agrippine, en fonction de ce qu’on voit entre leurs jambes. Chez les putes, les coutumes sont différentes. On les appelle un peu comme on veut.
Il se trouve que Lohorie fait référence à une nymphe dans une légende des Syphorides. Elle aurait rassemblé sous un noyer les dépouilles de deux amants maudits, avant de les ramener à la vie par le pouvoir de leur amour. La fin est plus réaliste : parce que la nymphe a osé invoquer une magie impie sans l’autorisation des puissances supérieures, la région est maudite et une peste décime tout le monde. Tout ça pour deux jouvenceaux qui aimaient trop le sexe. Je crois que le message que ma mère voulait transmettre par ce baptême devait ressembler à “Ma fille, je sais pas ce qu’on va foutre de toi, mais une chose est sûre : toute ta vie tu causeras des désastres en croyant faire le bien”.
Ou peut-être qu’elle aimait juste bien la consonance.
Ma mère était assez instruite. Elle avait un client régulier, et de la haute. Le genre prêt à allonger neuf sols d’or pour une nuit à parler de philosophie entre deux étreintes pas folichonnes et plutôt courtes. Et neuf sols d’or, à l’époque, ça pesait au moins cinq écus de maintenant. En général je restais derrière la cloison, dans l’alcôve où je dormais, pour écouter leurs discussions, et je méditais dessus pendant les brefs et rares moments où les choses se corsaient. De temps en temps, c’est pendant, qu’il lui parlait de l’éclectisme de Coryathoras ou du système de Wilhelm Gszeiger opposant les vertus conséquentes aux vertus formelles. J’ai appris à quatre ans des mots que même les nobliaux n’acquièrent qu’à leur florescence. Et des euphémismes, aussi, beaucoup d’euphémismes. Il appelait toujours ma mère sa “vérité du cœur''. En gros il était marié.
Les curetons, les jeunes premiers, les couples racornis et les tristes époux que j’ai connus par la suite n’avaient pas la faconde de cet éminent professeur, mais à leur manière, ils m’ont tous appris de petites choses.
Elle ne m’a jamais dit qui étaient ses parents à elle. Vu ce qu’elle m’a appris d’autre, on pourrait croire ça étrange. J’ai gardé de ma mère deux enseignements majeurs, deux maximes qui m’ont profité par la suite, plus qu’elles ne m’ont nui : ne deviens quelqu’un d’autre que si on te paie très cher, et apprends à tuer avant d’être tuée.
Elle savait, elle, que quand on est une femme, on est d’abord une marchandise, et seulement à défaut, une menace. C’était sa façon à elle de me dire d’être moi-même. Ou de devenir une menace.
La chaleur du feu grésille sous le vent. Ma couverture réchauffe ce qui peut l’être, mes doigts insensibles remuent tant bien que mal, dans le creux de ma poitrine. Toute repliée, je m’éveille, alors que le ciel bleuit pour une autre journée.
Je vérifie que le médaillon en triangle est toujours dans ma poche, je me lance sur la route et je prie vaguement pour que le destin m’envoie un cheval pour remplacer celui noyé en mer avant mon arrivée. Je ne sais même plus ce que je prie, à force. Si Dieu existe, c’est un alchimiste à la retraite qui a bidouillé notre cosmos par erreur avant de laisser la mixture moisir sur sa commode.
Le bateau n’est pas loin, à quelques encablures à travers le maquis, si les indications des paysans sont bonnes.
La forteresse de Karwn-Tibba m’apparaît comme dans une fantaisie où ressusciterait l’ancien temps. Je suis trop jeune pour l’avoir connu, mais c’est à ça que devait ressembler le monde des seigneurs, de la courtoisie et des messes noires. La pierre des quatre tours qui encadrent le donjon exhalent une nuée d’oiseaux sur le ciel blanc, comme le souffle vaporeux que le froid trahit devant ma bouche.
Il surplombe un archipel de petits bosquets perçant la lande comme les touffes d’un chat galeux. Les brumes du matin sont tenaces. Les créneaux du bastion flottent au-dessus, dans le contrejour aveuglant.
Les cris des mouettes me parviennent. J’atteins le promontoire rocheux où la grande Roue de pierre à six branches est sculptée face à la pâleur levante, et j’observe au sud les ruines de la crique où le sloop est amarré. Il y a une véritable ville derrière cette grosse colline castrale, à l’est mais mon contact a décidé de m’attendre ici, à l’écart. Plutôt les vestiges d’une abbaye maudite que l’indiscrétion des quais marchands. Je dégringole tant bien que mal le chemin pierreux. Huit des dix matelots sont là, à glander sous le clocher effondré. Je les surprends avec ma voix.
Regardez-moi ces grands garçons ! Même pas peur des banshees ou des vampires ?
Alors que je m’apprête à excuser mon retard, je m’interromps et me fige, la main sur le fer de ma hache. Quelque chose ne va pas. L’un d’eux s’est levé, l’arbalète à la main, dont le crin est tendu, et qu’il pointe sur moi.
Lohorie ! Tu nous as foutu les jetons !
Ferme la et vise, le reprend le vieux Bænor. Toi, bouge pas !
J’incline la tête, l’air vaguement surpris. Mon cœur s’emballe et mes bras se tendent.
Là, les gars, c’est vous qui me foutez les jetons.
Ouais, à juste titre ! vocifère Bænor entre ses quelques dents.
Où est le chef ? Le Commandeur nous attend.
Il n’est pas en état de parler, le chef.
Bon, ça, ça vous regarde. Tant que vous m’amenez au Commandeur, je suis conciliante.
Ta gueule ! Ferme ta gueule, bordel. Ta hache ! Jette la vers moi doucement. Voilà… Et vire ta main de ta ceinture. Tes deux mains ! En l’air, que je les voie bien.
Il s’approche de moi lentement, sur le côté, laissant la mire dégagée à la jeune recrue en veste de laine noire. Puis, à une distance idéale pour que je sente son haleine de poisson, il me détaille de haut en bas.
On sait que le Commandeur t’a envoyée récupérer quelque chose de cher. Voilà l’idée : tu lâches ça à tes pieds, tu tournes les talons et tu survis. Et ton épée ? Jolie. T’as trouvé ça où ?
Sur un type qui n’en a plus besoin.
Tu comptais t’en servir ?
Faut être con pour prévoir de se servir d’une épée et la porter dans le dos.
Bah tu vas pouvoir nous la laisser aussi, alors.
Ne sois pas trop gourmand, Bænor. L’épée est à toi si tu veux, mais mon boulot doit être payé. Laisse moi trois des gars pour m’emmener jusqu’à ma paie, et je trouverai bien une histoire pour vous sauver le cul. Vous ne gagnerez rien sinon, crois-moi.
Il ricane, considère un instant ma proposition et parcourt mon faciès à la recherche de signes de trouille. Il les voit forcément. J’ai toujours été mauvaise en bluff. C’est déjà un miracle que la sorcière de la forêt se soit laissée avoir.
Je vais prendre les deux, ma p’tite Lohorie. Pas de geste brusque ou le gamin t’aligne. Pas vrai gamin ?
Le gosse acquiesce mollement.
Finnean… dis-je la voix tremblante alors que le vieux dégage la sangle autour de mes épaules pour s’emparer de l’épée du Chevalier-Intendant.
Tais-toi, Lohorie ! On te laisse la vie, c’est pas si mal, d’accord ?
C’est comme ça que tu me remercies d’avoir écouté tes pleurnicheries ? Ta fiancée te manque, mais je suis assez certaine que si elle te voyait maintenant, à suivre ce tas de merde en trahissant une amie…
Et la relique ? s’impatiente le vieux après avoir jeté l’épée dans l’herbe.
Quelle relique ?
Le truc que tu dois ramener au Commandeur.
T’en sais quoi, que je dois lui ramener un truc ?
Le chef l’a dit. Très exactement il a dit que le Commandeur voudrait voir ce que tu as trouvé
T’as pas pensé, génie, que ça pourrait être quelque chose d’abstrait ?
Comment ça ?
Mon boulot, c’était une information, que je vais lui rapporter. Un truc bien planqué dans ma tête. Un truc qu’on ne peut pas revendre à un receleur. Un truc qu’on ne peut physiquement pas toucher, et dont seul le Commandeur voit l’utilité. Un peu comme toi.
Sans lui laisser le temps d’y réfléchir, je brise son nez d’un coup frontal, broie son genou avec le talon et entends claquer la corde raide de l’arbalète. Le projectile éclate contre le chemin, derrière moi, me manquant assez largement.
J’attrape l’épée au sol après une roulade précipitée. Sans même extraire la lame, je frappe du pommeau la tempe du vieux tordu en deux, qui s’effondre sans mot. Les sept gaillards me font face, le gamin lâche son arbalète détendue et se fige.
Je… J’ai fait exprès de viser à côté, Lohorie !
Voilà ce qu’on va faire, camarades ! On oublie cet incident, j’en parle pas au Commandeur, et vous me faites pas chier jusqu’à la fin du boulot. Finnean, ta prochaine erreur sera la dernière. Compris ?
Je… Je suis désolé, Lohorie, tu sais, il nous a pas laissé…
C’est bon Finnean, conclus-je en faisant basculer le corps inerte d’un coup de botte. Aide moi à ligoter ce connard à un pilier. Les autres, préparez le sloop, on met les voiles !
Un peu plus tard, alors qu’un rais de lumière transperce les nuages dans une éclaircie dorée, Bænor s’éveille avec un mal de crâne, fermement ficelé. Je m’accroupis devant lui et finis de mâchonner un pain de seigle avant de lui sourire.
Dieu, ce que j’avais faim ! Tu vois cette abbaye, Bænor ? J’ai étudié auprès des savants du Sud. Je connais les fantômes. Y’a bel et bien une banshee, ici. Mais je vais te dire un secret : elles ne sortent qu’une heure après le crépuscule, ce qui te laisse à peu près… Six heures. Secoue la tête si tu préfères mourir maintenant.
Il respire lourdement. Ses yeux roulent frénétiquement, dissociés et globuleux. Il s’évanouit de nouveau. Je soupire, me lève et rejoins le gamin qui m’attend, un cordage sur le bras.
Nous nous éloignons et il déglutit en faisant le signe de la Roue sur sa poitrine. Il murmure :
C’est vrai, ça, pour la banshee ? Heureusement qu’on a pas campé dedans cette nuit…
Les fantômes ça n’existe pas, Finnean.
La tête me tourne. Voilà une journée et une nuit que le sloop fend la chair des vagues houleuses, en voyant les rumeurs d’orages très loin dans le ciel, danser autour de l’horizon comme une meute de loups suivrait de loin un voyageur blessé. Sans trop s’approcher.
J’ai passé le temps avec la mauvaise bière des quartiers du capitaine de ce rafiot. Une bière locale, que l’oncle de Finnean apprécie “ironiquement”. Elle est aussi trouble et pâteuse que brutale au palais.
C’est parce que les Tibbseits la brassent à partir de merde de cochon et de racines, pas d’orge !
Je le regarde un instant, le gallon presque achevé ayant partiellement raison de mon jugement, et lui sers une grimace sous la bruine glacée qui commence à mouiller le pont. Il éclate de rire.
Tu me fais marcher ?
Non non ! siffle-t-il du fond de son gosier, le sourire écarquillé. Et on y ajoute des algues rances pour la mousse.
Y’a pas de mousse.
T’es vraiment une déconneuse, toi, hein ? Tu viens de quelle île ?
Je pouffe. Puis percevant la sincérité dans sa question, hoche la tête en balbutiant le nom d’une vallée à des centaines de lieues au sud de l’archipel.
Alors là, je vois pas du tout…
Là où on boit plus de vin que de bière et où les oliviers poussent mieux que les chardons.
Beh merde… Avec ton accent, j’aurais pas cru à une continentale.
Il a sur cette phrase un vague recul, comme s’il trouvait tout à coup notre proximité physique dérangeante.
Ce n’est pas l’autre bout du monde, tu sais.
Partout où il peut se passer plus de trois jours sans qu’il pleuve, crois-moi, c’est l’autre bout du monde !
Le roulis s’intensifie. Le vent aussi. Les rideaux de pluie s’épaississent et remuent notre tas de bois. Un grand coup de lame me fait lâcher le bastingage et mon outre de bière. Je tombe sur le mât, l’équilibre chancelant. Je me réveille d’une petite claque et lève les yeux vers la pointe craquelante, la face trempée.
Un éclair saisit la mer à l’horizon. J’aperçois de l’autre côté une silhouette sur les eaux. Enfin c’est plutôt la voix de Finnean qui nous avertit...
La caravelle du Commandeur ! On y est, ça y'est ! On est au récif d’Asperal !
Prié soit-Il… soupire l’oncle. Après une demi-journée à tourner en rond, j’étais prêt à prendre moi-même la barre.
Tu aurais mieux fait ?
Hé, regardez !
Finnean escalade la proue. La silhouette du navire se dessine de plus en plus distinctement. Le vent remplit tout à coup la voile. Le sloop accélère. Je m’en vais moi aussi scruter, entre les dos d’écume et le ciel ombrageux, les deux colosses de bois flanqués l’un à l’autre, attendant à distance d’une pointe rocheuse noire et acérée.
Lequel est-ce ? je demande à Finnean.
Ce n’est pas normal, panique-t-il. Bon sang ! La voilure est abîmée…
Il hurle au barreur de virer, juste avant que mes oreilles ne perçoivent, sur le pont du château de bois compact formé par les deux nefs, un cri, puis deux, en sourdine. Un abordage. Je me retourne et hurle :
Le Commandeur est en danger ! Maintenez le cap et amarrez-nous à leur bord…
Vous voulez notre mort ou quoi ?
Le Commandeur me paie !
Nous aussi, mais pas pour crever !
Il ne paiera rien s'il meurt !
Un navire de cette taille ? Nous pourrons les semer si nous gardons nos distances, et si le Commandeur prend le dessus, il comprendra qu’on ait pas eu des envies suicidaires !
Je saute sur la poupe, après quelques enjambées, j’attrape la barre au matelot qui la tire de son côté, je le rue avec mon épaule et détourne le cap, avec une force désespérée.
Qu’est-ce que vous foutez ? me crache l’oncle de Finnean en relevant l’homme. On fonce droit sur des foutus pirates si vous virez par bâbord !
Je ne vais pas à bâbord mais à gauche ! je tente d’articuler en serrant les dents.
C’est la même chose, bougre d’âne !
Va me chercher mon épée et prépare un grappin. Un seul ! Je ne te demande pas de risquer ta vie, mais je dois monter à bord.
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fanfictera · 4 years
Text
La Balance des Dragons / Chapitre 18: Ecailles
Auteur:   Douce Plume
Univers:
Dark Fantasy (inspiré du MMORPG TERA RISING -accessible même si on ne connait pas Tera)
Résumé :  
Jeune alchimiste Elfe pleine d’avenir, Eveanna se voit confier une mission importante par son maitre, Hustod. Malheureusement l’aventure ne va pas se dérouler comme prévu. Elle devra fuir tout ce qu’elle connait, entrainée malgré elle par un archer pervers alcoolique et une ex- Lancière devenue marchande de chaussures. Pourra-t-elle retrouver sa vie ou devra-t-elle révéler son potentiel de sorcière pour sauver les dragons de la folie ?
Mises en garde :  
Violence, jurons, esclavage
>>MASTERLIST<<
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CHAPITRE 18: ÉCAILLES
Le groupe avançait prudemment à travers la foret des brumes. La lenteur du pas des chevaux aurait pu bercer les cavaliers si leur mission ne présentait pas tant de dangers. Griffeuille, en tête, guettait le moindre mouvement suspect. Aledaran fermait la marche, une flasque à la main. Il surveillait leurs arrières, l'air renfrogné.
  Eveanna cheminait au milieu du groupe, les poings serrés sur les rênes de sa monture. Elle se remémorait fébrilement le plan mit en place la veille. L'angoisse d'être la cible d'une nouvelle attaque la rongeait autant que cette mission. Et une foule de questions se disputaient la priorité dans sa tête. Ces derniers jours avaient été très éprouvants et ne lui avaient laissé aucun répit pour trouver des réponses.
 Elle essaya de se calmer en prenant une profonde respiration et en se concentrant sur son environnement. Ses yeux se posèrent sur le dos de Griffeuille, portant fièrement son armure et son immense bouclier. "Si elle est marchande de chaussures alors moi je suis  un porcidé" se dit Eveanna tout en essayant de trouver une position plus confortable sur sa selle.
 Elle jeta un coup d'œil derrière elle. "Et lui…. il m'a aidée alors…" elle soupira et se ravisa: "non, impossible de lui faire confiance. Et quel genre d'entrainement a-t-il reçu pour arriver à encaisser autant de blessures? Une journée d'entrainement aussi intense et il se tient comme si de rien n'était?  Nous avons utilisé l'alchimie pour guérir et reprendre des forces mais quand même… " A cette pensée elle frotta ses bras encore douloureux.
 Le trajet était plutôt long et à cette vitesse ils n'arriveraient pas avant des heures. La lancière avait été très claire à ce sujet: le trajet devait se faire en silence. Les Gulas avaient été éloignés de la zone mais d'autres créatures rodaient dans les bois. S'ils voulaient trouver un Naga isolé pour lui voler des écailles, il était hors de question d'attirer trop l'attention.
  L'Elfe se mordit la lèvre et empêcha les questions de sortir. Elle voulait tellement savoir que sa frustration lui donnait l'impression de bouillir. Ses pensées la ramèrent vers Yrlyg: "Pourquoi est-elle parti si vite et sans rien expliquer ? Et comment fait-elle pour maintenir une maison pareille en fonctionnement ? Pourquoi m' aider? Est-ce que ça a un rapport avec la marque sur mon poignard?"
 Perdue dans ses pensées, elle ne s'était pas rendue compte que son cheval s'était arrêté sur l'étroit sentier. Devant elle Griffeuille scrutait l'horizon, le poing levé pour signaler une halte  silencieuse. Une fois satisfaite elle descendit de sa monture et les invita à en faire autant. Ils  attachèrent les chevaux à l’abri des regards et se regroupèrent.
La lancière regardait autour d'elle et semblait perplexe :
- "On aurait déjà du croiser un Naga" chuchota-t-elle "je ne sais pas ce qui se passe mais ils ont changé leurs habitudes.
- "heu…du coup, on rentre?" dit Eveanna pleine d'espoir. "Aïe!"
Aledaran lui avait envoyé une pichenette au milieu du front et il étouffait un rire:
- 'Non! Trouillarde… on va en hauteur pour observer. Bordel, t'as vécu dans une grotte ou quoi?
- Non! Enfin…
- Ça suffit vous deux. Vous règlerez vos problèmes de couple plus tard. Gardons l'objectif en tête", stoppa Griffeuille.
 Eveanna sentait le rouge lui monter aux joues alors que l'archer la gratifiait d'un petit sourire satisfait. Elle brulait de répliquer mais Gri' suivait déjà le chemin et elle dut la suivre sans dire un mot. Elle semblait savoir exactement où elle allait. Après un long détour et une brève ascension, ils s'accroupirent discrètement le plus près possible du bord de la falaise. Ils purent constater par eux même le désastre en contrebas :
- "P'tain d'bordel de merde!" lâcha Aledaran à voix basse.
Griffeuille lui lança un regard contrarié mais elle acquiesça à contrecœur :
- "En effet ".
 Juste en dessous d'eux, ils pouvaient apercevoir les cages des esclaves dont les Gulas faisaient commerce. Sur leur droite s'étalait un camp assez étendu, grouillant d'activité. Plus à l'écart sur leur gauche se trouvaient deux arènes. La plus éloignée était de loin la plus grande . La plus proche était de petite taille mais elle semblait plus utilisée. Deux Gulas y trainait un esclave terrifié vers un Nagas surexcité.      
Après quelques instants d'observation silencieuse, Ale se remit à jurer puis grogna:
- "Merde. On dirait bien qu'ces bâtards s'sont associés. Comment on fait pour en choper un tout seul maint'nant? ... et m'refait pas faire l'appât!". Il coula un regard en biais à la sorcière. "Quoique le coup d'l'appât ça pourrait…"
-  Non!" L'interrompit Eveanna , prise de panique.
- "Du calme, personne ne va servir d'appât" coupa Gri, le visage soudain crispé
 Eveanna ferma les yeux et se couvrit la bouche d'une main sous le coup de l'horreur. Le Naga avait commencé à jouer avec l'esclave et au bout de quelques dizaines de secondes, il ne restait presque rien de lui. Les Gulas riaient à gorge déployée tout en encourageant l'ignoble serpent rouge. Aledaran jura à nouveau.
- " Il faut sortir les esclaves d'ici" décida Griffeuille, "ensuite on s'occupe des écailles. Par contre nous aurons besoin d'une diversion.
-  Tu penses à quoi?"  reprit Ale en se grattant la barbe.
- "Regardez là-bas", Griffeuille tendit un doigt griffu vers l'arène la plus éloignée.
- "On dirait… un Naga mort? C'est quoi s'bordel?
- Exacte. Si on arrive à les faire se regrouper dans la partie habitée du camp, on aura les mains libres pour secourir les esclaves et remplir notre mission initiale. Sans combattre.
- Ca m'plait bien" acquiesça l'archer en empoignant son arc.
    Griffeuille désigna une des huttes au toit de chaume, la plus éloignée du camp. Elle était proche de plusieurs autres habitations mais restait assez éloignée des arbres ce qui éviterait un feu de foret.
- "Celle-ci me parait idéale. Une fois qu'ils auront sonné l'alarme, on pourra agir."
  Aledaran hocha la tête et s'installa, un genou à terre. Il matérialisa une de ces flèches d'énergie et la tendit vers Eveanna. Elle toucha la flèche du bout des doigts et ferma les yeux. Elle appela le feu, tout doucement, et fit courir ses doigts délicats le long de la hampe en remontant vers la pointe, transformant doucement le bleu lumineux en rouge flamboyant.
L'archer encocha sa flèche et réajusta sa position. Il tremblait toujours mais semblait avoir gagné en stabilité. Il banda encore un peu plus ses muscles et  laissa sa flèche de feu s'envoler dans  le ciel et atterrir sur la plus grosse hutte en plein milieu du village. Le toit prit feu instantanément et l'incendie gagna rapidement en puissance.
Eveanna regarda Ale, choquée, alors que Gri grognait sa désapprobation:
- "J'avais pas dit celle-là! Tu ne sais plus viser ma parole!
-  Ça va! Une hutte c'est une hutte!
- Elle est trop proche de nous, c'est un risque inutile". Elle souffla bruyamment et ragea à voix basse "Faut vraiment que tu arrêtes de boire, tu vas finir par nous faire tuer!"
- "Avoue qu't'adores ça. Une p'tite baston d'temps en temps…" L'archer riait dans sa barbe.
 Griffeuille lui lança un regard noir qui terrifia Eveanna mais qui n'émut pas du tout Ale. Il continua à la fixer avec un sourire désarmant.  La lancière préparait une réplique cinglante mais une cloche se mit à sonner dans le camp, génératrice de chaos et vibrante protestation contre le silence.
 Comme prévu tous les Nagas et Gulas se précipitèrent pour éteindre l'incendie gigantesque qui menaçait de réduire toute la zone en cendre. Le camp était plongé dans le désordre et les cris mais une chaine se forma rapidement pour éteindre les flammes. Ils avaient pour le moment le champ libre pour leur mission de sauvetage mais cela ne durerait pas éternellement. Ils se mirent en route sans tarder , redescendant discrètement vers les prisons.
 Près des cages, une effluve  pestilentielle planait et s'attaquait à leurs narines. Eveanna avait du mal à soutenir l'odeur mais les autres semblaient bien s'en accommoder. Ils s'approchèrent des portes. Elles n'étaient pas verrouillées. Les yeux terrifiés des esclaves et la façon dont ils se recroquevillaient les uns contre les autres leurs apprirent pourquoi.
 Luttant contre la puanteur, la sorcière se faufila dans la première alcôve. L'état des personnes enfermées lui serra le cœur et, même s'il fallait agir vite, elle redoubla de douceur lorsqu'elle les approcha. Elle distribua des parchemins de havre-sûr à chacun, s'assurant que tous pouvait le lire et se téléporter rapidement en sécurité. Aledaran fit de même de  son côté alors que Griffeuille faisait le guet.
  Une fois tous les prisonniers téléportés, ils se dirigèrent vers leur second objectif en longeant la falaise. Afin d'atteindre le Naga putréfié au milieu de la grande arène, ils durent sortir à découvert ce qui rendit l'humeur de Griffeuille encore plus noire. Même Ale semblait tendu, ce qui contrastait avec sa nonchalance habituelle:
- "Dépêchons nous d'prendre ces écailles. J'ai un mauvais pressentiment.
-  Je suis d'accord avec toi. Je vais faire le guet de ce côté-ci, Eveanna tu prends l'arrière. Ale tu prends les écailles."
  Il avaient convenu la veille d'utiliser le poignard d' Eveanna car il avait déjà fait ses preuves face à la solide armure écailleuse des Nagas. Elle confia donc sa lame à Ale avant de faire le tour de la bête pour faire le guet de l'autre côté. Mais lorsque qu'il posa son regard sur le manche, il s'arrêta net.
- "Ale, cesse de dormir et prends les écailles!" jeta la Lancière par-dessus son épaule.
Mais il ne bougea pas. C'était comme si son sang s'était figé dans ses veines. Les souvenirs se bousculaient dans son esprit, rendant sa respiration difficile et son teint blême. Griffeuille s'approcha de lui et le secoua par l'épaule. Il la regarda, les yeux encore hantés par ses visions:
- "C'est elle, Gri. Je sais que c'est elle…."
Sa voix n'était plus qu'un murmure étranglé. Griffeuille soupira mais ne s'énerva pas. Elle savait que le sujet était douloureux, pour lui encore plus que pour elle. C'est pourquoi elle répondit le plus calmement possible :
- "Écoute, je sais qu'elle lui ressemble mais… on en a déjà parlé, ce n'est pas possible. Elle est morte. Ce n'est pas le moment de…"
- "Et ça alors! " la coupa-t-il en lui montrant la marque sur le poignard.
 Le cœur de Griffeuille manqua un battement. La lance de Kaïa. Cela faisait des années qu'elle n'avait pas revu cette marque hormis sur ses propres armes ou celles d'Aledaran. Pas depuis que leur guilde avait été dissoute après la grande guerre. Mais elle repoussa ses émotions :
- " Beaucoup d'entre nous ont du vendre leurs armes. C'est une simple coïncidence".
Ale allait rajouter quelque chose mais elle le secoua violemment par l'épaule avant qu'il n'ait pu formuler sa pensée :
- "On en reparlera plus tard. Nous sommes à découvert. Prends les écailles."
 C'était un ordre. Quand elle était comme ça, personne ne pouvait l'arrêter ou la contredire. Alors il obéit, grommelant dans sa barbe,  alors qu'elle retournait surveiller les environs. Il avait presque fini sa besogne quand Eveanna se manifesta de l'autre côté de l'arène:
- "Heu… dites… y'a quelqu'un ? Parce qu'il y a une sculpture vraiment très bizarre par ici…"
 Sa voix était hésitante et elle semblait avoir peur. Griffeuille décida d'aller voir et de laisser Ale finir son travail, espérant qu'il aurait rapidement fini. Lorsqu'elle fit le tour de la bête, elle trouva la Sorcière, toute tremblante, figée devant une statue d'un réalisme effrayant:
- "Je crois… je crois qu'elle a bougé", souffla la sorcière, terrifiée.
 La statue était plantée à quelques mètres du Naga et lui faisait face. C'était une sculpture d'Elfe grandeur nature. Elle était à genoux, les mains attachées à un pilier de bois derrière son dos. Sa tête penchait devant elle, ses longs cheveux cachant ses traits.  Sans les centaines de petites craquelures rappelant de la glaise séchée au soleil, on l'aurait dit vivante.
Griffeuille soupira. Décidément ils s'étaient passé le mot pour rendre cette mission plus compliquée que nécessaire. Mais elle devait admettre que trouver une statue d'Elfe dans une arène Naga au milieu d'un village Gulas défiait toute logique. Et vu que tout ça n'avait aucun sens, autant en profiter pour en tirer un enseignement :
- "Eveanna, les statues ne bougent pas", affirma la lancière calmement. "Ta peur est ta pire ennemie. Approche toi de la statue et constate par toi -même."
 La sorcière grimaça mais s'avança. Elle s'arrêta à un mètre à peine, le cœur battant. Elle attendit un peu tout en fixant la presque représentation d'elle-même mais rien ne se passa. Soulagée, elle allait tourner les talons quand Griffeuille ajouta:
- "Touche-là."
Eveanna regarda la lancière d'un air contrit tout en émettant un petit gémissement plaintif. Elle n'avait pas du tout envie de faire ça mais elle savait qu'elle ne pouvait pas refuser. Son souffle se fit plus court. Elle avança lentement sa main, tremblante. Mais avant qu'elle ait pu toucher la peau de pierre, la statue releva brusquement la tête et ouvrir les yeux:
- "Hé toi, j'ai soif!"
Eveanna cria et tomba à la renverse, sur les fesses. La sculpture était vivante! Griffeuille se précipita vers la captive dont la tête était retombée vers l'avant. Elle l'examina rapidement et constata l'évidence :
- "C'est une Elfe couverte de boue. Elle est à peine en vie, je crois qu'on est arrivé à temps" dit- elle en détachant ses liens.
Aledaran arriva au pas de course de leur côté :
- " Faut s'casser, les Gulas rappliquent!"
- " Ok. Combien de havre-sûre nous reste-t-il ?" demanda Griffeuille, à court de parchemins.
- " J'en ai pu" grogna l'archer. "Et toi ?"
Il regarda Eveanna avec espoir mais elle secoua la tête.
- "Fait chier".
Griffeuille ne perdit pas une minute et attrapa l'elfe pétrifiée pour la jeter sur son épaule, ignorant ses grognements et la boue tombant sur son armure. Au loin, des cris et des invectives fusaient. A l'entrée de l'arène un énorme Gulas à deux têtes s'avançait vers eux en hurlant à plein poumons:
- "Attrapez moi les vivants ! Je veux m'occuper moi-même de ceux qui ont osé bruler ma maison ! "
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anaisbahadi · 4 years
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Loin des yeux, loin du cœur
" Laura, tu vas le regretter", voilà les derniers mots qu'elle entendit  avant de sombrer dans une profonde torpeur. Elle se réveilla dans un espace d'une clarté qui devenait presque effrayante, un peu désorientée, elle vu David et se rappela de tout jusqu'au moindre détail et elle comprit alors où elle se trouvait; elle se trouvait dans un hôpital. Effrayée, elle recula mais se rendit compte qu'elle ne pouvait pratiquement  plus bouger, et là, David commença à s'expliquer :
" écoute, tu as fait une mauvaise chute en essayant de repeindre la fenêtre...."
" Non je me souviens de tout, tout ce que tu m'as fait subir ; je n'ai jamais repeint une fenêtre et ce n'est certainement pas aujourd'hui ; pourquoi tant de violences chez toi, tu ne m'avais jamais  frappée, ni insultée, alors que t'est-il arrivé ? "
Mais alors que s'est-il passé lors de  cette fameuse soirée, Laura raconte-t-elle la vérité, David,  son mari l'avait - il vraiment  frappé, ou est-ce juste une  pure folie ?
Revenons donc 1 jour en arrière :
- Bonjour chérie, bien dormi ? -Oui, mon cœur. Je suis enfin prête pour défendre mon premier client de la  journée, ce boulot me rend folle. - Tu devrais faire une pause(il rit) -( elle sourit) Tu sais très bien que c'est mon client habituel, Steve. -Justement - Tu sais quoi, je crois que je vais y aller. Je suis pressée, et puis sinon je vais arriver en retard. -Ne rentre pas trop tard et ne t'approche surtout pas trop de ton client - Non mais j'hallucine ce n'est pas tes affaires et je n'oserais pas, tu sais très bien que je t'aime? - Là n'est pas le sujet  et ne me parle pas sur ce ton ! - Je suis désolée, je vais y aller. Mais malgré cela, elle y repensa ; cela faisait des jours et elle n'arrivait toujours  pas à se sortir, son client, Steve de la tête. Il était beau, séduisant et ne la laissée  pas si  indifférente mais elle savait que jamais elle ne ferait un faux pas, à cause de David. Elle ne supporterait pas de le faire souffrir, pas après ce qu'il avait  fait pour elle. C'est grâce à lui qu'elle est devenue la femme qu'elle souhaitait. Et puis Steve est un client qui risque des poursuites judiciaires, son job est de le défendre et rien d'autre.Enfin elle arriva au bureau et salua tout le personnel, puis alla retrouver Steve , ils parlèrent de leurs affaires, le plus professionnellement possible  :
- Bonjour(en rougissant) -Heyy, comment vas-tu ? - Bien, il faut sérieusement qu'on parle de ce que tu as fait, non mais franchement dealer en plein centre-ville, maintenant tu as un procès. Mais bon, je  ferai tout, pour te sortir de là... - Ha oui ? C'est sur, si tu gagnes mon affaire, tu gagneras aussi ton argent. Et si je devais perdre, si le tribunal me condamnait, me regarderais-tu, comme tu me vois maintenant ?Non,tu ne me verrais que comme un pauvre dealer paumé qui à réussi à se faire prendre par manque de précautions. Et là, elle comprit ce que Steve pensait d'elle, comment il la voyait, elle se sentit profondément vexée et troublée par cette déclaration, elle voulait qu'il sache ce qu'elle pensait de lui, mais regrettera son geste par la suite . - Écoute, sache que tu es mon client, je dois te défendre mais sache aussi que je t'apprécie, et tu comptes beaucoup pour moi . Steve n'eut même pas le temps de réagir que David arriva et entra dans une torpeur noir en commença à faire une crise de jalousie et bientôt, tous ça dérapa : -Comment oses tu !? Me tromper  avec Ce Criminel, Cet Imposteur, j'ai tout entendu, tu n'es qu'une sale trainée qui ne peut même pas se contenter d'un seul homme.Maintenant on rentre, et tout-de-suite ! -Non je ne rentre pas, je suis sur mon lieu de travail et Steve est juste un client, je ne couche pas avec, c'est un homme bien malgré ses erreurs ! - Tu me parles sur un autre ton! Je suis ton mari, tu me dois de me respecter, tu me trompes avec depuis des semaines, tu ne parles plus que de lui à la maison, à croire qu'il est plus important que notre couple! Donc maintenant tu rentres avec moi sinon...Tu sais ce qui va arriver! - D'accord mon amour, je suis désolée Steve mais on se revoit lundi et on la gagnera cette affaire, je te le promet. Malgré cette crise, Laura ne s'attendait certainement pas à cette réaction de la part de son mari. Mais ce qui  allait se passer, dépassait toutes ses craintes, ses peurs  et sa vie de femme allait maintenant  basculer. Une fois rentré chez eux, David commença à perdre son calme et pour la première fois de sa vie; Laura eut peur de se qui pouvait arriver.
-David...Tu es sur que sa va ? Tu ne devrais pas juger si oui ou non, je dois  laisser mon client, je suis son  avocate, c'est mon rôle de le défendre, je ne vois pas pourquoi, tu as fait cette crise de jalousie, sur mon lieu de travail, en plus! -Comment est-ce possible, ma femme me trompe avec un pauvre dealer et je ne dois rien dire, je dois tous encaisser sans même m'exprimer, tu n'est vraiment qu'une sale traînée. - Je ne t'ai jamais... - Stop ne nie pas, tu n'es plus rien pour moi, tu restes qu'une pute que ne peut même pas ce contenter d'un seul homme. Je n'eus même pas le temps de rétorquer que David, mon mari se retrouva sur moi, je ne pu me débattre, il est trop fort, trop puissant pour m’échapper. Je ne le reconnaissais plus, toute cette rage, cette colère et même ce désarroi. Et je compris ce qu'il allait faire, il ne pouvez plus contenir toute cette douleur et il me frapper, j'étais en larmes. Continu, je hurlais mais personne ne m'entendais, personne ne viendrai me sauver. Je criais, me débattais, David ne voulait pas m'entendre. Il me pris la tête en me tirant mes cheveux et me la claqua sur le mur de la cuisine, il m'insultai, me crachait à la figure sans que je puisse réussir à me défendre et au loin je l'entendis : -"Laura, tu vas le regretter"
Ceci est la dernière phrase qu'elle perçut avant de perdre connaissance. Elle se réveilla dans une clarté qui en devenait presque effrayante, elle fut un instant désorientée et reconnu David et elle sut, elle se trouvait dans un hôpital. Elle voulut s’éloigner, elle avait peur mais se rendit bientôt compte qu'elle ne pouvait pratiquement ne plus bouger, elle souffrait trop, David commença donc à s'expliquer : -Écoute, tu as fait une mauvaise chute en essayant de repeindre la fenêtre... - Non je me souviens de tout, tout ce que tu m'as fait subir ; je n'ai jamais repeint une fenêtre et ce n'est certainement pas aujourd'hui ; pourquoi tant de violences chez toi, tu ne m'avais jamais  frappée ni insultée, alors que t'est-il arrivé ? " - David(paniqué) : Je ne vois pas de quoi tu parles, je crois que les médicaments te montent trop à la tête, tu as tout simplement rêvé.. -Non je sais que tu mens je le vois dans tes yeux, j'ai peut-être du mal à bougeait mais je ne suis pas encore aveugle. -Que ce soit bien clair, tu ne racontera cela à personne, de toute façon, personne ne te croira. Je suis sur que tu t'es évanoui uniquement pour ne pas assumer.. -David, nous deux, c'est finit, tu m'a frappé, insulté, maltraité et si je me serai pas évanoui, tu aurai continué , et tu ne regrette rien, pour des accusations sans preuves, tu n'a même pas chercher à m'écouter, et je ne tolère aucune violence, surtout quand je dois en subir les conséquences.Et quand  je pense que tu voulais me faire croire que j'étais tombée en repeignant une fenêtre alors que je n'est jamais peins de ma vie, je trouve cela inadmissible et que tu es fais croire cela à tous la monde. Je vais donc porté plainte contre toi, pour violences conjugales, et tu es sur de faire un allé simple pour la prison alors je t'interdis de m'approcher. Ait pitié d'une femme presque immobile par ta faute.
David commença à transpirer de plus en plus, et même à paniquer, Laura serai t'elle capable d'aller jusqu’à la justice, pour condamné l'homme qu'elle à épousé ?
- Tu ne ferai jamais ça, personne ne te croira, tu n'as pas de preuves et aucun témoin à vu ou écouté notre discussion alors autant dire que tu ne pourras jamais me quitter, tu es à moi et si tu ne veux pas, saches que où que tu sois je serai là. -Et c'est la que tu te trompe, tu iras en justice pour tout le mal que tu as fais, j'ai des preuves : un enregistrement de notre conversation, un témoin, et deux autre femmes qui ont été victimes de tes violence qui acceptent de porter plainte, d'ailleurs c'est ce qu'on va faire. Sache que je ne serai jamais à toi, je ne t'appartiens pas, comme aucune autre femme.Tu mérite d'aller en prison et je ferai tout mon possible pour que tu y reste. -NONN, jamais - Comme on dit, "loin des yeux,loin du cœur"
Et là, tout s’arrêta, les policiers arrivèrent car l'infirmière leur avait transmis l'enregistrement, David fut arrêté, condamné et Laura put refaire sa vie, sans jamais craindre le retour de son ex époux .
Anais
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firenze-au · 4 years
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titre.
Parfois, j’ai l’impression que j’étais foutue dès le début de ma vie. Mon corps a voulu mourir, mon coeur s’est décidé de cesser de battre, celui de ma mère a presque suivi. Je n’avais pas encore vu l’extérieur de ma mère, je sentais son corps se contracter pour m’expulser, enfin, accoucher de moi... et j’ai dû voir ce qui allait arriver et j’ai décidé de lâcher prise. 
Pour une raison complètement inconnue, mon coeur est reparti. Not your time yet. 
Fast forward. Je suis née. Césarienne d’urgence pour me sauver la vie qui serait (au moins entre 6 et 30 ans at least) hard as fuck.
Quand je fais l’inventaire des événements difficiles de ma vie, je ne comprends pas pourquoi je suis toujours ici. Pourquoi je suis encore dans ce monde qui définitivement ne veut pas de moi? Ou est-ce moi qui ne veux pas du monde? Je ne sais pas, je ne sais plus.
Je n’ai aucun souvenir de mes parents ensemble. Actually, j’en ai un : mon père donne des coups de balai dans le plafond parce que les voisins d’en haut font trop de bruit. Ma mère n’est pas d’accord avec sa technique qui, probablement selon elle à l’époque, ne fera qu’empirer les choses. Probablement vrai, mom.
»
J’ai 5 ans, on décide de me faire passer des tests d’intelligence. Tu es vraiment très supérieure à la moyenne. Wow, bravo. Super intelligence. Pas de maternelle, on va te faire passer en première. OK. Je sais lire, je sais écrire, je m’ennuie. Ma prof me donne des livres, me fait découvrir des univers incroyables, je capote (positivement).
Ma mère est célibataire, elle en arrache financièrement, mais moi, je ne vois que le positif. Ma mère m’aime, m’aide, elle est là pour moi. Mes grands-parents sont là aussi, déménagent, changent de province pour se rapprocher. Aller à Toronto de Montréal, c’est long et maintenant qu’ils sont à côté, on se voit encore plus. Mon grand-père s’enferme dans la salle de bain pour jouer du xylophone Fisher Price de toute force parce que ma grand-mère trouve que c’est trop bruyant. 
Ma mère rencontre un homme. Il semble gentil, il joue avec moi, me prête son toutou ourson blanc que j’aime bien. Il me garde parfois et j’apporte mon jouet préféré : une réplique miniature de Notre-Dame qui est jaune. Une Esmeralda et un Bossu en figurines.
Je passe beaucoup de temps avec ma grand-mère maternelle aussi. J’aime aller chez elle, je m’endors à ses côtés pendant qu’elle me raconte l’histoire du petit chaperon rouge. Elle a tellement de souliers, un chat que je ne voit jamais. La voisine a une fille de mon âge, on joue ensemble souvent. Ma grand-maman adore le rouge et elle est coiffeuse. Coiffeuse veut dire qu’elle a des têtes de mannequins à la maison et je peux parfois couper leurs cheveux quand ils sont assez courts. C’est le paradis. Partout où je vais, je suis aimée, appréciée et je ne doute pas que la vie deviendra tellement tough que je voudrai me l’enlever à plusieurs reprises, en manquant toujours un peu de gut pour.
Je vois mon papa parfois. On va camper l’été et il pleut TOUJOURS. Aucune idée pourquoi, mais Mère Nature sait pertinemment quand je suis en train de camper avec mon père et ça la fait pleurer for some reason. J’ai assez peu de contact avec mon père, j’y vais environ une fois toutes les deux semaines, mais il m’oublie parfois. Ça fait mal, mais c’est pas la fin du monde non plus.
»
J’ai 6 ans. Ma mère est toujours en couple avec cette personne que je crois bonne et gentille à ce moment. Monsieur décide d’acheter une maison, ça veut dire au revoir ami.e.s et quartier, au revoir bien des choses. La maison est grande, neuve, un peu vide. Elle manque de personnalité, c’est peut-être pour ça que ma mère décide de thèmes pour chaque pièce... ou peut-être parce qu’elle a de l’argent pour la première fois de sa vie. 
Graduellement, monsieur commence à devenir un asshole et je pèse mes mots. Mes amis le voit, il est violent avec moi, je suis obligé de l’embrasser sur la bouche chaque soir même si je dis que je n’ai pas envie de le faire. Pour me parler de sexualité, ma mère me fait toucher sa dick et puisque ma mère fait du sport du compétition, elle est souvent partie. 
Évidemment, lors de ses absences, A. devient beaucoup plus violent. Pas seulement physiquement, mais psychologiquement. À un certain moment, je m’enferme dans la salle de bain d’en bas pendant de nombreuses heures parce que je crois littéralement qu’il va me tuer. Il fait exploser une bouteille de ketchup dans la cuisine, ce qui chie la belle peinture... et il fait passer ça sur mon dos. À 8 ans, ça m’a fait chier comme peu d’autres choses.
C’est un menteur, un manipulateur, il traite ma mère vraiment pas très bien. Il ne la frappe pas, mais il est méchant avec elle, ne lui donne pas d’attention, mais en même temps, dès qu’elle est sortie, il l’appelle de manière excessive. Il est contrôlant sans la frapper. Pas de bleus, pas de problème selon mom.
Moi, mes bleus, ils sont cachés donc meh.
J’écris une lettre à ma mère, car je ne sais pas comment lui en parler, elle vient me voir dans ma chambre, me dit que ce n’est pas vrai qu’il est violent (envers moi, envers elle aussi), ce n’est pas vrai qu’il fait passer des choses sur mon dos.
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Elle le marie, le crisse.
»
Je passe beaucoup de temps chez mon père, car sa conjointe a une fille que j’adore. Je la connais maintenant depuis quelques années. Je la considère comme ma soeur, mon amie. On s’appelle des fausses-demi-soeurs. Excusez mon orthographe, je n’irai pas vérifier comment on écrit ça.
»
J’ai à peine 12 ans. Je vais dans un party de fête chez ma cousine qui a un an de moins? de plus? je ne me souviens plus. Les amis de ses grands frères décident que ce serait probablement drôle ou fun ou je sais pas quoi de gang rape une fille qui vient de finir son secondaire un. 5 contre une, moi. 
Je n’ai personne à qui parler. Je raconte une histoire ridicule pour expliquer mes bleus, ma difficulté à marcher. Je ne parle pas de mon incapacité à aller à la toilette, c’est humiliant. Je me sens dégoûtante, sale, finie. Jamais je ne pourrai me marier. C’est vraiment ça qui me vient en tête. Ridicule, mais j’allais à l’Église à l’époque et la virginité était un concept tellement important. J’ai l’impression (avec raison) qu’on m’a volé mon âme, mon identité, ma vie, mon corps.
»
Accident d’auto tragique. Mon père conduit, ma belle-mère est passagère, ses enfants sont en arrière. Ma belle-mère décède, mon père s’en tire avec des blessures physiques et psychologiques profondes. Ma demie-soeur est dans le coma, ensuite en réadaptation pendant plusieurs, plusieurs mois. Mon demi-frère est tout beau, une petite coupure et c’est tout. Je dois annoncer aux amies de ma demi-soeur avec qui j’allais à l’école ce qui s’est passé. Elles rient en croyant que je blague. Je pleure. 
»
J’essaie de continuer ma vie après le viol, après l’accident. Je tombe amoureuse sans jamais être capable de le laisser trop près de moi, car, dans ma tête, je ne mérite pas que quelqu’un m’aime. J’ai 12 ans, 13 ans. Je suis amoureuse comme je l’ai été une seule fois dans ma vie. On dit qu’un premier amour est intense, c’était le cas pour moi. Il passe à autre chose (après 2 ans, who wouldn’t?), j’ai le coeur brisé, life goes on.
»
15 ans. Je suis vers la fin de mon secondaire. Après plus d’un an avec la même personne que j’aime (je crois à l’époque que je l’aime beaucoup plus que je ne l’aimais finalement), on décide d’avoir des relations sexuelles. Je ne comprends pas parce que j’ai du mal à comprendre que j’ai été violée, j’ai été détruite. Quand on s’aime vraiment, ça ne fait pas mal. C’est actually beau.
»
17 ans. Je suis au Cégep. Je perds connaissance pendant environ 6 heures. Pendant ce temps, ma job s’inquiète, car je suis rentrée pour dîner parce que je me sentais bizarre et que je ne suis jamais revenue. Ma mère est appelée, mon chum est appelé (un autre). Finalement, ma mère conduit jusqu’à chez moi, mon chum quitte son travail chez Omer DeSerres pour venir me voir... on m’amène à l’hôpital. 
»
Deux ans plus tard, alors que je suis pas mal à la moitié de mon bac. pour devenir prof, on me trouve une tumeur cérébrale après avoir pensé que j’avais un «foyer épileptique». Anticonvulsants arrêtés. On doit m’opérer. J’ai de bonnes chances de mourir. Je n’en parle à personne. Je décide d’écrire des lettres. C’est tough parler, t’sais. C’est vraiment fucking tough. 
I survived. I have no idea how or why, but I fucking did.
»
J’abandonne l’université, je commence un certificat en comm. J’ai des effets secondaires à cause de la tumeur, des douleurs atroces. La vie est dure. Je commence à prendre des médicaments pour gérer la douleur dans le but de retourner étudier et devenir enseignante, rêve un peu poche pour le commun des mortels, mais qui est donc important et précieux pour moi.
Incapable de compléter mes stages parce que j’ai peu d’énergie, beaucoup de douleurs et que je commence à avoir des problèmes d’addiction à mon insu, je suis mise à la porte de mon université. Yay. J’ai manqué une journée de stage et on m’a dit «Bye!».
»
Lors d’une soirée avec une amie, je marche pour entrer chez moi et je rencontre quelqu’un que je connais. Je décide d’aller prendre un verre avec lui chez lui. Il me viole et mon corps n’est aucunement capable de se défendre. Je reste complètement immobile, des larmes coulent sur mes joues pendant qu’il me sodomise violemment. Évidemment, je n’en parle pas.
»
Je reprends le même programme quelques années plus tard, il y a 5 ans, dans une autre université de Montréal. Tout va bien aller, right? Right.... J’ai des problèmes de douleur, des problèmes de gestion de ma douleur, je dois refaire mes 2 premiers stages que j’ai déjà réussis en plus... C’est la galère. J’ai l’impression que je ne serai jamais en santé à nouveau. On me donne un DX de fibromyalgie, ce qui ne veut pas dire grand chose. J’ai mal partout et c’est ça.
Au début, ma famille est compréhensive, mais avec le temps, elle l’est moins.
»
Ma grand-maman maternelle, la personne qui ne m’avait jamais déçue et en qui j’avais tellement confiance m’insulte profondément et j’ai du mal à me refaire. Elle ne sait pas que j’ai eu une tumeur au cerveau. 
»
Pour avancer et pour que ma famille m’accepte à nouveau, je leur parle de ma tumeur, de mes viols. Ma mère me fait sentir coupable de ne jamais avoir dit quoi que ce soit. Elle me dit «Bon, là, tu vas faire quoi?» en parlant de poursuites criminelles. Je me sens encore plus comme une marde. J’ai l’impression de m’être laissée violée, j’ai l’impression que j’aurais pu m’enfuir, j’aurais pu partir, me débattre, quelque chose. Je me sens complice et incomprise de tous.
»
Ma grand-mère a plusieurs cancers. Sa mort tue une grosse partie de moi-même. Sa mort tue aussi les réunions de famille à Noël, à Pâques... c’est la fin d’une ère. C’est un moment tellement difficile à vivre. Je l’apprends parce que ma mère a écrit un courriel et elle le termine en écrivant «Je t’aime». Tout de suite, je le sais. Je l’appelle pour confirmer et j’explose en larmes devant les élèves de mon stage.
»
J’ai une dépendance affective intense envers mon chum (avec qui je suis encore). On décide de déménager ensemble, car j’habitais chez ses parents at that point. Il a du mal à quitter le nid familial, je suis incapable de dormir sans lui, je lâche l’école et retourne chez mes beaux-parents.
»
Je sens une bosse dans mon sein droit. Bin oui toé, une autre tumeur. Ça affecte mon humeur, j’ai des nausées constantes, j’ai mal... j’essaie de diminuer mes médicaments, les antidépresseurs comme les antidouleurs et anxiolytiques. Je suis tannée. J’ai un corps défectueux. J’attends mon opération.... et la COVID frappe, ce qui retarde tout.
»
J’apprends (par deux photos Facebook) que ma soeur est enceinte. Genre, vraiment enceinte. Je ne parle à personne, je n’ai pas d’amis, je suis seule. Je le mérite probablement. Je revois ma vie et je n’ai jamais été quelqu’un qui s’ouvre facilement aux autres. On aime ma personnalité habituellement, mais j’ai du mal à garder mes amitiés parce que when shit hits the fan ... and it does constantly, I disappear. Sometimes for months at one time. Qui voudrait être ami.e avec quelqu’un comme ça? Pas toi.
»
J’aurai 30 ans dans un mois. Je capote.
Il manque tellement de points et j’ai écrit ça en 40-45 minutes. Pas de relecture, pas de fioriture, on ne se vérifie pas. J’écris parce que ça fait du bien des fois. Je pense que j’avais besoin de me comprendre. De comprendre pourquoi je n’ai plus de résilience en banque, pourquoi je suis à terre... depuis des années. Pourquoi je ne veux plus de relation avec personne parce que je n’ai que des mauvaises nouvelles à donner. 
Toute ma vie, je voulais être maman, aimer ma job de prof. Pas être célèbre, pas être chanteuse ou whatever, juste faire «ce que tout le monde fait».
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payetoncouple · 4 years
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emprise malsaine
J'ai 18 ans. Cela fait environ 7 mois que je suis avec mon copain. 7 mois que je suis sous son emprise et dans une relation abusive qui me détruit. J'en suis consciente, mais incapable de le quitter. Enfin à long terme. J'ai des élans de lucidité, ou je veux sauver ma peau. Mais mr arrive toujours à me faire culpabiliser, à me faire croire que le problème vient de moi, et je finis toujours par revenir en rampant…
Il faut savoir que j'ai toujours eu des relations compliquées avec les hommes. À mes 11 ans, j'ai été violee à plusieurs reprises par un homme. Si naïve et fragile à ce jeune âge, j'ai été détruite par ce vol de Mon insouciance, par cet homme qui s'était approprié mon corps. J'ai fini par croire que, comme il me l'avait fait comprendre, je n'étais bonne qu'à ça, et d'ailleurs je n'existait que pour ça. Je suis passé par diverses tentatives pour mettre fin à mes jours, je suis tombé dans l'anorexie, la drogue, l'alcool etc etc… je n'arrivais plus à me regarde en face. Des photos qu'il m'avait forcer à faire ont été publiées sur Facebook. Bien sur personne ne connaissait l'histoire derrière, et vous laisse imaginer le harcèlement qu'il s'en est suivi, par absolument tout le monde. Je me suis mise à coucher avec n'importe qui. Je subissais tellement cette image de moi, imposée par les autres, les rumeurs etc que j'ai fini par agir comme ce qu'elles disaient de moi. Au cours de l'année de mes 12 ans, j'en ai parlé à mes parents, qui ont été dépassés, se sont sentis coupable. On ne s'est plus parlé avec mon père durant 4 ans. Ma mère m'a amenée porté plainte, je n'aurai jamais imaginé que même la police, sencé me protéger dans ma tête de petite fille, pourrait me pointer du doigt et prononcer ses mots “ tu le voulais avoue, maquillé comme t'es à ton âge ”. Je voudrais retrouver ces flics et leur expliquer qu'un maquillage n'excuse en rien, et que c'était une façon pour moi de camoufler ce visage et ce corps que je ne savais plus voir. Passons. J'ai rencontré des bonnes personnes. Des personnes qui ont réussis à me faire prendre conscience que j'avais réagis comme je le pouvais pour me protéger, pour m'en sortir, que je ne devais absolument pas me sentir sale mais surtout aller de l'avant et laisser tout ça derrière moi. J'ai réussi à changer, à arrêter de me détruire pour cet homme qui n'en valait absolument pas la peine, je me suis reconstruite et suis devenue une personne que je respecte enfin.
Tout allait enfin mieux pour moi, j'étais heureuse. Libre comme jamais, indépendante. Puis j'ai rencontré Mon copain. Je revenais d'un voyage humanitaire de 3 mois en Argentine. Au début il était vraiment l'homme que j'attendais. Protecteur, il s'intéressait à moi tout en me laissant vivre et en s'émerveillant pour chacunes des actions que je menais. Enfin je me projetais avec un homme. Puis son vrai visage à commencé à se montrer. Moi qui avait pour la quasi totalité des amis mecs ( je me suis forgé caractère je m'en foutiste qui collait en général mieux avec ce genre ), je me suis retrouvée à etre obligé de couper les ponts avec tous, sans exceptions. Ça n'a pas tardé avant que je doive faire la même chose avec les filles, qui lui rappelaient trop Mon “ passé de putain” soi disant, alors que je les ai connues après et qu'elles n'avaient aucun rapport avec tout ça. J'ai du quitter mon travail, après de trop nombreuses crises parce que “ il n'y a que moi que tu dois servir, et eux, ils vont tous te mater” ( j'étais serveuse en restaurant ). J'ai pris ça pour de la protection, il ne voulait que le meilleur pour moi. De la possessivité oui. Moi qui était une bonne vivante, toujours en train de faire la fête, avec plein d'amis, je me suis retrouvée seule chez moi. Lui a une situation très compliquée avec ses parents, et ne peut dormir chez lui. Je me suis alors arrangé pour que tout les soirs, TOUT les soirs, ils dorment chez moi, devant mentir à mes parents pour cela. Des qu'il se réveillait il partait, parce qu'il avait des potes à voir, alors que moi je devais l'attendre sans bouger à la maison. Puis attendre qu'il ait finit ses choses pour que je puisse lui ouvrir et enfin aller me coucher. À chaque désaccord , j'étais totalement rabaissée. “ sale pute t'es sale , jamais je pourrais avoir une femme comme toi” “ regarde toi, clocharde que t'es” dès que je n'allais pas dans son sens. J'acceptais tout ça, parce qu'il me disait que c'était ma faute et que je récoltais seulement ce que j'avais cherché, que si vraiment j'avais vécu tout ça au contraire jamais je n'aurai voulu retoucher un garçon. Puis de toute manière “ t'as de la chance que je sois la, regarde toi sale pute aucun homme ne voudrait de toi”. Quand j'allais dans son sens, tout allait bien. Il était vraiment attentionné, alors je pardonnais ces écarts, et me disait qu'avec le temps il n'y aurait plus que des bons moments. Faux. Il s'est mis à être jaloux de mes petits frères, et à vouloir m'en éloigner. Il m'a isolé sans même que je m'en rende réellement compte. En septembre, je dois reprendre des études. Assistante sociale. C'est véritablement une vocation d'aider les gens, à tel point que même dans ma vie Perso j'ai cette attirance vers les personnes avec des vies très compliquées, inconsciemment. Sa vision de tout ça? “ mêle toi de ton cul un peu, y'a plein d'autres métiers, pourquoi tu choisis à etre avec des mecs? T'aimes trop ça te faire baisé en fait”. Je passe des concours, j'arrive très bien classé, mais il n'y a pas d'école dans ma ville. Je dois partir, pour 2 ans. Il dis de lui même qu'il veut me suivre. On trouve un appart tout les deux, enfin je cherche de nombreux et nombreux apparts qui ne lui vont jamais, je m'en prends de nouveau plein la gueule. Jusqu'a un qui lui va. Pas du tout à moi, mais je cede, cest un bon compromis s'il me suit ( ce que je ne lui ai jamais demandé ). Mes parents s'engagent, se portent cautionnaire pour nous 2. À partir de ce moment, il me reproche de l'obliger à quitter sa vie, à tout lâcher pour une “ salope que je suis”. Je lui re explique qu'il est libre de ses choix, qu'il me suit s'il en a envie mais que je ne l'oblige à rien. On a du avoir cette discussion là une bonne cinquantaine de fois. À chaque fois que je ne voulais pas faire quelque chose pour lui “ supprime tout tes réseaux sociaux ” par exemple, sachant que j'ai déjà plus que les quelques filles qu'il a bien voulu me laisser, c'était son chantage. “ tu me demandes de me suivre et toi t'es même pas capable de faire ce petit truc pour moi?” Nos embrouilles devenaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus violentes. Toujours des menaces, déguisées lorsqu'on était “ en bon terme” du chantage. Il a donné un nombre de coups incalculable dans ma voiture, qui peut en témoigner par tout les impacts, fais un grand nombre de trous dans les murs de chez moi, cassé toutes mes affaires les plus précieuses, déchirées mes photos etc… de nature grande gueule, je me suis retrouvée impuissante, sans être capable de rien, �� le regarder faire ses crises et attendre en espérant que ça se termine vite et qu'il n'y aura pas trop de dégâts. Un matin, je me suis habillée vite fait et enfilé un jogging de foot que j'avais moi même acheté. Il est entré dans une colére monstre ( ah oui, parce que j'avais pas le droit de regarder le foot, ça me faisait sûrement rappeler mes ex). Il a déchiré chacun de mes ensemble de foot, a mis tout les habits de mon placard par terre, a craché dessus. J'étais incapable de dire quelque chose je pleurais. “ mais pq tu pleures ? Cest ta faute tout ça viens lève toi!!!” Il m'a attrapé par Le Bras et m'a déshabillé. Il m'a tenue nue en face du miroir et m'a dis “ regarde toi. T'es pas une femme, t'es une poubelle” puis à fini par me cracher dessus. Je ne mérite pas ça. J'ai fait des erreurs dans le passé, mais entendre ça de l'homme que j'aimais, ça a fini de me détruire. J'ai fini par appeler à l'aide et mon père est monté et l'a fait sortir. Et pourtant… j'ignore pourquoi mais j'y suis retournée. Jai pas pardonner j'y pense encore tout les jours, mais j'y suis retournée. Je ne sais même pas pourquoi j'écris tout ça. Mais j'ai peur de lui. Ce n'est absolument pas la vision que j'ai d'un couple, ni de l'amour. Je m'en suis pris des coups, des insultes, des mots plus durs les uns que les autres. Mais aussi des câlins, des cadeaux, des marques d'affections. Comment cela est il possible du même homme ?? Je sais qu'il souffre. J'ai l'impression qu'il est dans mon devoir de l'aider, bien que cela me détruise, et que je n'ai plus rien à voir avec la personne que je suis. Je n'arrive pas à partir, j'ai l'espoir de le libérer. Pourtant je n'y crois pas non plus, il a ce besoin de me contrôler, vraiment tout de moi. Je ne sais pas comment m'en sortir, des que j'essaye de le quitter c'est des mélanges de mots d'amour et de menaces, sur ma famille sur mes petits frères… j'ai peur, je n'ai plus l'envie de vivre, c'est pas la vie que je veux. Je me sens honteuse, coupable de nouveau, plus sale que jamais, alors que j'avais réussi à me sortir de tout ça….. il me manipule, je ne sais plus quoi faire… à chaque fois que j'essaye de me détacher il me retourne le crâne, me dis qu'il va se faire aider, je retourne dans ses bras seulement pour retomber d'encore plus haut… Ce n'est pas un couple!!! Fuyez mes dames, soyez plus fortes que moi, protégez vous….. Le couple est une relation bienveillante dans laquelle on doit se sentir en sécurité. Si tu trouves que ton partenaire te tient des propos blessants mais que tu as du mal à le quitter, n’hésite pas à lire l’article Pourquoi c'est dur de sortir d'une relation violente ?
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valeriehervo · 4 years
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Vivre dans l'angoisse perpétuelle de la rupture ne consolide pas le relation amoureuse, bien au contraire. La peur de l'abandon parasite et surtout paralyse le couple, dont l'histoire n'avance plus. Entre peur de la solitude, du rejet ou l'incapacité de certains et certaines à croire au bonheur, cette peur est souvent le déclencheurs de disputes ou de jalousie, parfois maladive.
Des femmes, concernées par ce malêtre constant, ont accepté de raconter leur histoire.
Trop beau pour être vrai
C'est par exemple le cas d'Anna, 34 ans, pour qui l'amour n'a jamais été un long fleuve tranquille. "J’ai longtemps ramé avec les hommes, confie-t-elle pour commencer. Chacune de mes histoires apportait son dénouement sordide et déprimant. Et moi je m’empêtrais à essayer de comprendre – parce qu’évidemment, si ça ne marchait pas c’était de ma faute… "
Mais tout a changé quand elle a rencontré Christophe. "Je l’ai vu débarquer sur son cheval blanc mais, même si la magie a tout de suite opéré, j’ai décidé de brandir mon bouclier pour guetter l’arnaque qui allait forcément arriver", continue-t-elle. Après deux ans de vie commune, la trentenaire continue de la guetter. Même après tout ce temps, elle n'arrive pas à prendre confiance. "Je m’attends toujours à recevoir un coup de couteau dans le dos. Comme si j’allais me réveiller et réaliser que cette histoire n’était qu’un rêve, parce que cette perle dans ma vie, c’est trop beau pour être vrai", craint-elle.
Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force
Pire que tout, elle a peur aussi que Christophe finisse par réaliser qu'il est trop bien pour elle. "Il a beau essayer de me rassurer, j’ai encore cet amer sentiment d’illégitimité. J’essaie de ne pas trop lui montrer combien je suis jalouse et secrètement persuadée qu’il va, un jour ou l’autre, me quitter pour une fille plus belle, plus intelligente…"
Ce manque de confiance en soi a démarré dès la première année de leur histoire : Anna a rivalisé d'imagination pour paraître telle une femme parfaite. "Je me relevais la nuit pour me maquiller en douce et paraître belle au réveil. Je m’inventais des amis et m’éloignais d'autres personnes, pour lui. J’ai fini par craquer et demander de l’aide à un psy", confie-t-elle, aux bords des larmes.
Si le fait d'abord ses complexes était douloureux pour la jeune femme, il était urgent pour elle de comprendre d'où venait cette peur. "Aujourd’hui, malgré mes doutes qui sont toujours là, j’arrive à formuler mes envies, mes goûts, même s’ils sont parfois aux antipodes de ceux de Christophe. Me révéler m’aide à prendre confiance et à réaliser qu’il m’aime peut-être pour ce que je suis", conclut-elle, en partie apaisée.
Quitter avant d'être quittée
Mathilde, 38 ans, vit également dans la peur d'être quittée. C'est d'ailleurs pour celui que depuis son adolescence, elle a toujours fait en sorte de rompre la première. "Enfant du divorce, j’ai beaucoup souffert de voir ma mère idéaliser celui qui l’avait plaquée pour une femme qui ne lui arrivait pas à la cheville. Et je me suis fabriquée en femme volage, refusant la prison du couple et les grandes déclarations bidons. Je m’interdisais l’amour", raconte-t-elle. Jusqu’au jour où Cupidon lui a présenté Marc, face à qui et pour la première fois, elle se retrouvait sans défense.
Très vite, elle est devenue accro à cet homme, bien qu'elle était toujours terrorisée à l'idée de se laisser aller. "Cela fait plus d’un an que j’aime Marc avec passion. Et que, malgré ses paroles rassurantes, je vis dans la hantise qu’il ne mette fin à notre histoire. Qu’il ne se lasse", confie-t-elle. Alors elle vit aux aguets, à la recherche du moindre signe de lassitude. Face à toutes ses angoisses, Marc semble désarmé.
Face à la douleur qu'elle éprouve, Mathilde en vient une nouvelle fois à anticiper la rupture. De plus en plus, lors de disputes, elle lâche des "on arrête, on n’y arrive pas", qui brisent le coeur de son compagnon. "Il y a quelques semaines, pour la première fois, il m’a répondu que j’avais raison", confie-t-elle en un sanglot.
Ce jour là, Marc est parti après la dispute. Lorsque la porte s’est refermée, Mathilde a senti mon cœur s’arrêter. Ce qu'elle redoutais le plus était en train de se produire. Après plus de mille messages envoyés et deux jours de silence, les deux amants ont fini par se retrouver en se promettant de ne plus jamais se faire du mal. "Depuis, je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je sais que je dois apprendre à ne plus le contaminer par mes doutes. Ce n’est pas à lui de payer mes blessures d'enfant, ni à notre couple", conclut Mathilde encore inquiète.
De l'amour ou des preuves d'amour
Même cas de figure pour Nathalie, 44 ans, qui ne sait pas profiter du moment présent quand elle est en couple. Une intonation de voix différente, un texto qui ne répond pas à ce qu'elle attendait, une phrase pas lue de la bonne manière... Et c'est comme si l'autre était déjà parti. Cette vie de terreur empêche Nathalie d'aimer.  
"J’ai pu le vérifier il y a quelques années  : une histoire d’amour, arrivée un peu comme un cadeau. Je n'avais jamais fait entièrement confiance à cet homme, et cette fois-ic n'a pas dérogé à la règle. J’ai passé mon temps à interpréter le moindre signe, à tester son amour, à chercher des preuves d’amour, à demander la lune et… je l’ai perdu", raconte-t-elle.
On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend
Nathalie ne sait pas d'où sort cette peur viscérale de perdre l’autre. ans doute de très loin dans son inconscient. D'autant qu'elle n'est même pas liée à la personne qu’on a en face de soi, c’est comme un tic nerveux. Un truc qui vire à l’obsession et ne laisse pas de place à l’autre.
C’est tout le contraire de l’abandon, de l’écoute, de l’attention à l’autre, de la réception. Le contraire de l’amour. "Je pense aussi que je suis terrifiée par la sensation de devenir dépendante. Au fond, par-delà la mauvaise estime de soi, il se joue aussi quelque chose de l’ordre du rapport de force. On refuse le risque de perdre, et cette quête de réassurance permanente est une façon de vouloir domine l’autre", ajoute la quadragénaire.
Heureusement, avec les années, et beaucoup de réflexion, elle a découvert peu à peu le bonheur de lâcher prise, d’accepter que l’autre puisse juste passer et repartir. D'ailleurs depuis quelques mois, elle vit une jolie histoire et pour le moment, elle reste calme.
Peur de la rupture : la demande a remplacé le désir
Marie Claire  : La peur est-elle forcément liée au sentiment amoureux ?
Sophie Cadalen* : La peur traverse toujours l’amour. Par définition, s’attacher c’est risquer de perdre. On peut craindre l’abandon, la trahison, la mort. On peut aussi avoir peur de ne pas être à la hauteur et que l’autre cesse de nous aimer. Comme on peut avoir peur de ne plus aimer…
Marie Claire  : L’amour est-il possible sans la confiance ?
Sophie Cadalen : Ces femmes qui doutent tant ne sont plus dans le désir mais dans la demande. Il s’agit d’une position de repli sur soi : " Donne-moi des preuves, et après je me risquerai peut-être à t’aimer". Or il est impossible de répondre à cette demande. On ne peut jamais être sûr(e) de l’amour de l’autre. Anticiper la rupture revient à préférer la certitude qu’on va dans le mur à l’inconnu de ce qui nous attend.
Marie Claire  : Certaines sont-elles prédisposées à ces doutes ?
Sophie Cadalen : Oui, celles qui s’accrochent à une idée trop précise qu’elles ont d’elles-mêmes : mal aimées, toujours quittées ou en quête d’un amour idéalisé après avoir été adorées dans l’enfance… Elles redoutent de perdre leur schéma. Or l’amour est une remise en cause de l’image que l’on a de soi. C’est une surprise, du dérangement. L’attente obsessionnelle de preuves est une façon de contrôler. A la question : « Est-ce le bon ? », ces femmes préfèrent : « Suis-je la bonne ? » Elles sont dans une position passive. Elles oublient de s’écouter.
Marie Claire : Comment sortir du doute systématique ?
Sophie Cadalen : Il faut distinguer les histoires où le doute n’est pas infondé (l’amour de l’autre n’est pas satisfaisant) et celles où on est dans le schéma récurrent du « je ne suis pas aimable ». Dans ce cas, il faut faire un retour sur soi. Quitter la position de passivité. Et se confronter à une question essentielle : « Ai-je envie d’y être, moi, dans cette histoire ? » Se risquer à aimer c’est risquer de perdre l’autre. Il faut arriver à se réconcilier avec cette vérité et renoncer au fantasme de l’amour, cet idéal d’un lien qui comblerait tout. Et d’un autre capable de nous sauver.
La peur de l'abandon entraîne des relations amoureuses tumultueuses. Si une personne accède au libertinage avec sa ou son partenaire amoureux , pour éviter d'être quitté-e-, sa  sexualité et son couple risquent d’être en souffrance.
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norellenilia · 4 years
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Eldarya épisode 29
Originellement publié ici le 29 mars 2020.
Salut ! J’espère que vous prenez soin de vous, que vous ne sortez qu’en cas de nécessité, que vous vous protégez bien vous et les autres, et si vous êtes un-e riche parisien-ne qui s’est barré-e dans sa résidence secondaire en bord de mer à l’annonce du confinement, je vous souhaite de manger des graviers !
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Je tiens à vous remercier, Beemoov. Sincèrement. En ces temps difficiles, je vous remercie pour cet épisode, car j’avais vraiment besoin de rire. Alors oui je sais bien que l’épisode n’était pas censé être hilarant, mais les faits sont là. C’est tellement un condensé de non-sens et une preuve tellement évidente que vous n’avez aucun début d’idée de ce dont vous parlez, que je me suis marrée tout du long tant les réactions des personnages et leurs décisions sont d’une incommensurable absurdité. J’sais pas si vous réalisez mais globalement cet épisode ça se résume à « hihi c’est la guerre ! uwu » Je m’estime chanceuse car, ayant suivi une soluce, je n’ai dépensé « que » 4800 maanas environ. Enfin… En vrai j’en ai dépensé 3600, ce qui est ma foi raisonnable, toute proportion gardée, puis vous m’avez extorqué 1200 maanas. Croyez bien que je vais en reparler. Sinon, mon CDC est toujours sur « personne, » ma gardienne était en couple avec Leiftan mais je l’ai envoyé sur les roses et je n’ai donc eu aucune illu.
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Le résumé est ok, par contre l’introduction ça sert à rien. Ce genre de procédé c’est censé introduire un suspense, en mode « mais comment en est-on arrivé là ? » Ici on le sait qu’il va y avoir de la baston, on se doute bien que Lance va attaquer, donc ça n’introduit rien de nouveau. On pourrait me rétorquer que c’est pour justifier le titre de l’épisode et faire un compte à rebours, mais d’une part, on nous parle des cinq jours dès le début de l’épisode de toute façon, d’autre part je sais pas vous mais j’ai rapidement perdu le compte entre deux « uwu préparons la guerre ! » La première vraie info qu’on nous donne est donc… Que Leiftan est vivant. Ah bah ça a bien servi de faire tout un foin de sa chute théâtrale la dernière fois, si c’est pour que ça retombe comme un soufflé dès les 5 premières minutes de l’épisode. C’est exactement comme la fois où un épisode s’était terminé de façon dramatique sur la disparition de Mery, et dès le début de l’épisode suivant on le retrouve en mode « mdr je m’étais juste perdu en forêt tout va bien ! » Et dès le début une fois encore, nous faisons face au sens douteux des priorités dans ce QG, quand Ewe arrive et prend le temps de s’inquiéter du teint blafard d’Erika, alors qu’entre nous, entre une meuf pâlotte mais qui tient debout et un type à l’article de la mort j’crois qu’il y en a un des deux qui peut être ignoré de la médecin et pris en charge par les autres, quoi. Après c’est pas logique parce qu’on nous emmène à l’infirmerie, et une fois là-bas on nous dit qu’Ewe est déjà en train de s’occuper de Leiftan, sauf qu’au moment où on est partie pour l’infirmerie elle était en train de s’occuper de Leiftan à la cave, donc comment il est arrivé à l’infirmerie avant nous ? C’est la deuxième scène de l’épisode (sans compter la prolepse) et ça part déjà en cacahuètes.
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Je suis déjà fatiguée.
Nous voilà ensuite dans le « purgatoire, » sauf qu’Erikaloïs frappe encore : impossible pour elle de se rappeler qu’elle y était déjà 4 épisodes plus tôt, au moment où, genre, elle était à deux doigts de clamser après que le Cristal avait été brisé. J’veux bien qu’on me sorte que son cerveau essaie de la protéger ou quoi, m’enfin là quand même je pense qu’il faut s’inquiéter de l’état de sa mémoire, messieurs-dames. J’vais pas passer 10 ans sur cette partie, de toute façon à partir du moment où on nous dit qu’il faut sauver les miches de Leiftan pour sortir du purgatoire on sait qu’il va survivre. J’espère juste que leurs vies sont pas vraiment liées, déjà parce que c’est pas un procédé qui me parle, ensuite parce que ça veut dire que les deux doivent survivre à la fin, donc potentiellement j’vais être obligée de laisser Erika en couple avec, ou bien va falloir assister à une scène insupportable de Leiftan en train de se sacrifier pour sauver le monde. Ah et son « je voulais que tu puisses sauver ce monde que tu aimes tant » à l’autre là justement, ça confirme bien ce que je disais, il en a rien à branler d’Eldarya et des faëries, il essaie juste de se racheter parce qu’il s’est fait griller. Quand on se réveille à l’infirmerie ça m’a énervée parce que « Miiko et Hua ne savaient pas où se mettre pour ne pas gêner le travail des infirmières. » Bah au hasard sortez bande de bouffonnes, vous avez rien à fiche là de toute façon ??? Sérieux y a-t-il une seule trace de bon sens dans ce QG de malheur ? Et après c’est Erika qui fait l’étonnée quand on commence à évoquer le fait que sa vie pourrait être liée à celle de Leiftan alors qu’elle s’est fait la réflexion cinq minutes avant, vraiment faites quelque chose cette jeune femme est amnésique c’est pas possible autrement !!! Elle en oublie même sa fichue plume là alors qu’elle la tient dans sa main depuis trois heures, et le fait que Chrome a frôlé la mort lui aussi mdr. On va donc parler à Miiko de la plume magique, et OH !! Une apparition furtive de bon sens !!! Miiko refuse de croire que cela puisse être lié à une rédemption soudaine et inopinée, et nous avons le choix de nous dire qu’effectivement, ce serait quand même vachement bizarre qu’il change de camp comme ça en un instant. PEUT-ÊTRE PARCE QUE OUI C’EST UN PEU HAUTEMENT IMPROBABLE. Comme à chaque fois qu’elle est perturbée, Erika va prendre l’air. Et c’est quand même incroyable de voir à quel point les membres de la Garde en ont toujours rien à carrer du fait que Leiftan était le daemon, et comment plus globalement tout le monde parle de façon super légère alors que la situation s’aggrave de jour en jour.
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Des traîtres partout et le monde qui s’écroule ? Ça va aller, tkt !
Bon par contre, on va rester sérieux-ses deux minutes, car on arrive à un point qui ne passe absolument pas. Je veux parler de Colaïa et Jamon. Alors au début je suis partie de l’idée que Colaïa avait une quinzaine d’années, parce qu’elle est la petite sœur d’Alajéa, que son design lui fait paraître cet âge pas beaucoup plus, et qu’on nous avait présenté Alajéa comme étant jeune, limite une ado, un peu plus âgée que Chrome, quoi. Et ça, ça va pas DU TOUT. Parce que je sais pas vous, mais il ne me viendrait pas à l’esprit de me dire que Jamon a quinze ans. Et je dis quinze ans direct et pas la vingtaine, parce qu’un mec de vingt ans qui drague une gosse de quinze/seize ans ça commence déjà à puer (et une différence d’âge de 5 ans c’est déjà pas la même chose entre 20 et 25 qu’entre 15 et 20). Je sais que c’est un ogre et tout, mais même un ogre on peut le dessiner de manière à ce qu’il apparaisse jeune, vieux, bébé, ce qu’on veut. Donc avec le design qu’il a, sa corpulence, son visage, moi je lui donne 30 ans, 25 ans peut-être, mais pas moins. Ou l’équivalent en ogre quoi, mais clairement pour moi c’est un adulte bien adulte. J’ai été vérifier ce qu’on nous disait de Colaïa, après tout je me suis peut-être décalée, peut-être que c’est en fait une toute jeune adulte… Mais non. A l’épisode 15, quand on la voit pour la première fois, Eweleïn la décrit ainsi, je cite : « Elle a l’air jeune… Une adolescente, et encore… » Une adolescente, et encore. Et encore. E T   E N C O R E . Moi on me dit « c’est une adolescente, et encore, » je vois une gosse de 12 ou 13 ans, allez 14 si je veux être généreuse MAX. Vous le voyez le malaise là ou faut que je dise le mot qui va fâcher ? Est-ce vous réalisez qu’en plus de romantiser un agresseur sexuel dans Moonlight Lovers, vous romantisez la relation d’un homme adulte avec une môme ? Vous êtes complètement inconscient-e-s de ce que vous écrivez ou alors vous avez la même mémoire de poisson rouge que votre imbécile d’héroïne et avez oublié que vous aviez fait de Colaïa une ENFANT ??? Et comme je vois déjà les Jean-Michel Cékunefictionlol s’exciter tout-e-s seul-e-s, économisez votre temps, vous m’intéressez pas, quand vous aurez compris qu’on peut pas faire passer n’importe quoi sous prétexte que « c’est qu’une fiction lol » p’t’être on pourra parler. Quant à celleux qui voudront dire que « l’amour n’a pas d’âge » ou que « l’âge n’a rien à voir avec la maturité, » désolée de casser votre bulle de confort mais ça c’est les arguments qu’utilisent vos youtubeurs préférés pour justifier le fait qu’ils draguent et demandent des nudes à des mineures, alors excusez-moi de mettre directement ces phrases à la poubelle. Maintenant, à moins qu’on apprenne qu’il s’est écoulé au moins 5 ans depuis l’épisode 15 (mais comme on a pas de chronologie on saura jamais) et que Jamon a max 25 ans, c’est juste pas possible. La seule réponse acceptable de Jamon c’est un REFUS. J’m’en cogne aussi si on vient dire que « c’est pas le même contexte le monde d’Eldarya. » On s’en fiche que ce soit pas le même contexte, le contexte où on vit c’est un contexte où les mineur-e-s sont déjà incroyablement mal protégé-e-s contre ce genre de situation, présenter comme ok une relation entre un adulte et une mineure c’est irresponsable. Y’a pas besoin de contexte pour savoir qu’une relation pareille c’est juste pas possible. Moi qui me disais juste avant cette révélation que j’aimais bien leur relation fraternelle et que Jamon était l’un des seuls personnages à pas avoir encore été gâché…
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Revenons-en à nos sérieux moutons. Car nous sommes dans une situation sérieuse. C’est d’ailleurs pour ça que nous allons faire une sérieuse réunion d’urgence à la CANTINE. Quel lieu plus propice à une réunion d’urgence avec tout le gratin de la Garde qui va parler des résultats de recherches d’un espion « de confiance » (car il y a des espions en qui on a pas confiance évidemment) que la CANTINE ?
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*Tape du poing sur la table* è_é
Et qu’apprenons-nous à cette sérieuse réunion ? Que Lance a attaqué chez Miiko, qu’il va attaquer le QG, du coup on va évacuer les habitant-e-s non combattant-e-s du refuge pour les protéger, mais dans le même temps on va accueillir les réfugié-e-s des Terres de Jade car mdr la logique, et Miiko annonce que Lance va assiéger la cité, et elle le sait uniquement grâce à la force de son cervokosmik. Also la question la plus importante n’est pas « combien de temps avant qu’on puisse dégommer Lance avant qu’il nous affame ? » ou « combien de temps peut-on tenir le siège avec ce qu’on a ? » mais « combien de temps va durer le siège ? » Vous la sentez bien la guerre, vous aussi ? Sérieux j’veux dire, pour le dernier point, c’est un peu con de demander « combien de temps va durer le siège »… J’suis pas cheffe de guerre mais j’pense pas que ce soit une question à laquelle on peut apporter une réponse comme ça au débotté, ça dépend de trop de trucs, surtout qu’iels vont avoir des allées et venues donc iels savent pas combien y’aura de gens à nourrir, iels avaient pas encore fait l’inventaire visiblement, et on sait pas si Lance a de quoi tout dégommer ni s’il aura assez de jugeote pour aller piller les villages voisins pour réapprovisionner ses troupes pour tenir le siège, ou bien s’il est aussi nullissime en stratégie militaire que la Garde d’Eel. Parce que oui c’est bien beau de préparer les défenses du QG, mais si tu prépares pas les attaques t’auras l’air très con quand l’ennemi aura pu se ravitailler et pas toi. « Mais heureusement, Miiko avait bien réfléchi à la situation. » En sortant de la salle, Erika est songeuse… La situation est grave, c’est à prendre très au sérieux, et– « EH BIEN, QUELLES NOUVELLES ! » Vous aviez pas un truc encore plus à l’ouest à lui faire dire alors qu’elle vient d’apprendre que c’est la guerre ? On vient pas d’annoncer qu’on va devoir redécorer tout le QG pour fêter le printemps on vient d’annoncer qu’on va subir un fhdsjfh de SIÈGE. Et c’est sans compter sur la liste des émotions qu’on peut choisir de faire ressentir à Erika. Autant je comprends la tristesse, la peur, l’angoisse, je comprends même l’excitation, mais la JOIE ? Qu’est-ce qui tourne pas rond chez vous en vrai ?? Si quelqu’un ressent de la joie à l’idée d’aller à la guerre il lui manque une case un peu vous croyez pas ?? Si quelqu’un a répondu « la joie » j’veux bien savoir ce qu’Erika dit ensuite pour justifier ça parce que ça me dépasse un peu, m’voyez ? Et du coup sa réaction habituelle à toute situation qui sort de l’ordinaire c’est d’aller traquer tous les membres du QG pour leur demander leur avis, comme si on en avait quelque chose à faire. Sérieusement, POURQUOI DIABLE n’avoir jamais reproduit le concept de « quête secondaire » de l’épisode 13 pour nous DONNER LA LISTE DE PERSONNAGES A TROUVER POUR VALIDER L’OBJECTIF ??? On apprendra également en parlant avec Valarian qu’avoir fait la guerre c’est « avoir une vie bien remplie. » Aussi est-ce que c’est vraiment aux chefs de garde de s’occuper de la logistique des chambres dans un moment pareil ? Est-ce qu’on a vraiment besoin de consacrer du temps à ça alors que c’est franchement pas une priorité lorsqu’on se prépare à tenir un siège ? Vous savez à peu près ce que recouvre le concept de guerre ou vous êtes vraiment à côté de la plaque ? Nan vraiment parce que là ça devient un peu préoccupant.
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« Boarf, c’est des détails ! uwu »
La réunion générale pose deux questions : - D’une, c’était quoi l’intérêt de faire la pré-réunion alors que Miiko va redire exactement la même chose ? Les trucs en avant-première c’est ok pour les abonnements premium sur les jeux en ligne, pas pour une réunion de guerre. Parce que j’ose imaginer qu’à part son discours à la noix elle a expliqué le programme des prochains jours… - De deux, pourquoi la CANTINE ??? Même la salle des portes c’était plus logique, on s’en est d’ailleurs déjà servi pour ce genre de trucs…
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Et magiiie, Erika est « très polyvalente et efficace, » comme ça on aura plein de missions différentes, hihi, trop bien ! Vous savez ce qu’on dit : « bon en tout, bon en rien. » Et puis c’est pas comme si on avait, un jour, dû choisir une spécialisation qui aurait pu être utile ici, non… Genre les gens ayant choisi l’infirmerie s’occuperaient du matos pour soigner les futur-e-s blessé-e-s, celleux ayant choisi de s’occuper des gosses pourraient, par exemple, organiser le départ des civil-e-s, et pour la bibliothèque j’ai rien qui me vient mais quitte à servir à rien on aurait pu s’occuper du placement des chambres (et ça se résumerait à « vous partagerez cette chambre le temps du siège point ») et autres tâches pas prioritaires mais apparemment très importantes pour Miiko qui a « bien réfléchi à la situation. » Du coup on se retrouve à aider Colaïa et Jamon à renforcer les murs. Alors c’est mignon de faire passer Colaïa pour un génie quand elle dit « HMMM si ça s’trouve Lance va utiliser la force » mais euh… C’est de la logique de base de s’imagine qu’il va utiliser la force ??? C’est. Un. SIÈGE. Au bout d’un moment le but ça va être de péter les murs pour entrer dans la cité et tout dégommer. Après ça on va « à la cueillette ! » A LA CUEILLETTE. Vous voudriez faire passer la guerre pour une balade bucolique dans les prés vous pourriez pas faire mieux. Enfin ça va ça a pas l’air trop grave de pas avoir tous les ingrédients de l’alchimie, c’est pas comme si on avait établi qu’un ingrédient de différence ça pouvait créer un truc avec des effets complètement différents n’est-ce pas. Puis la Grande et Belle Miiko nous fait une danse magique pour simuler la nuit parce que Robert de la compta est perturbé quand c’est pas la nuit alors que c’est l’heure de dormir è_é Encore une fois, est-ce que c’est vraiment une priorité, surtout venant de la grande cheffe de la Garde ? On a PAS LE TEMPS pour le confort, dans 4 jours y’a une attaque, vous avez dix milliards de trucs à faire, Erika elle-même s’est demandé si y’aurait le temps de tout faire, et en attendant Madame Miiko et Madame Hua perdent du temps à préparer un rituel pour simuler la nuit pour « avoir un semblant de normalité. » Y’a pas de normalité quand on est à quatre. Jours. D’un. SIÈGE. Je note que quand Erika pense à Leiftan en allant se coucher, les seuls moments qui lui reviennent c’est : leur premier baiser et leur première partie de jambes en l’air. Quelle relation amoureuse développée, dites donc ! Enfin bon, levons-nous, et tâchons de faire en sorte que ce soit une belle journée de préparatifs de siège ! uwu Première chose à faire : continuer la consolidation magique des murs de l’enceinte.
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Out of context Eldarya : la conversion au satanisme.
Erika est d’ailleurs trop contente de pouvoir participer à l’effort de guerre ! OwO C’est là qu’on a un bon point : les conséquences de notre choix de laisser éclater notre rage ou non à l’épisode précédent commencent à apparaître. Chez moi, qui ai laissé éclater ma rage, une énergie mauvaise et incontrôlable se dégage d’Erika lors de la création du bouclier, et de ce que j’ai vu, on a un bouclier instable lorsque la rage a été contenue. La prochaine mission consiste à accueillir les premiers renforts, c’est-à-dire trois émissaires et une trentaine de réfugié-e-s. Et pendant que Miiko fait enfin un taff utile en faisant une réunion avec les émissaires, notre digne rôle est ensuite… De jouer les guides touristiques pour les réfugié-e-s. C’est super important de leur montrer les jardins, les chambres et la cuisine où chacun-e aura un repas individualisé selon ses besoins énergétiques (car on a carrément le temps de s’emmerder avec ça) !!! è_é Erika note également les troublantes ressemblances vestimentaires et ethniques entre la Terre et Eldarya. Bravo bichette pour tes légendaires capacités de déduction ! C’est pas comme si les faëries étaient originaires de la Terre de base ! Qu’est-ce qu’elle est conne j’vous jure. Faut aussi sérieusement arrêter d’appeler les réfugié-e-s et émissaires des « invité-e-s » ou des « convives » c’est pas une tea party >_> Par contre le fait que la cantine soit vide à 8h rassurez-moi c’est parce que tout le monde a mangé avant, j’espère… Nan parce qu’à lire la scène d’avant, déjà tout le monde s’arrête de bosser à 20h, et ensuite à 8h presque personne n’est debout ??? Alors j’suis prête à faire la révolution après le confinement pour reprendre les 35h hein, mais là les cocos on est EN TEMPS DE GUERRE c’est pas les jolies colonies de vacances, là y’a pas de roulement, y’a aucune réquisition, tout le monde continue sa vie pépouze comme si on était pas en train de se préparer pour ? Pour… ? UN PUTAIN DE SIÈGE.
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J’vous jure on parle pas de ce siège-là.
Kero nous donne ensuite notre prochain ordre de mission, qu’il qualifie de « mission de cueillette, » il espère que ça ne nous dérange pas… Erika, dans un sursaut de bon sens, l’enguirlande copieusement en lui disant que c’est franchement pas un terme adéquat pour parler d’une mission de récolte d’ingrédients d’alchimie, elle veut bien qu’on essaie d’alléger l’ambiance mais quand même ça va beaucoup trop loi– « PAS DU TOUT CHU CONTENTE DE RENDRE SERVICE CA FAIT PLAISIR !!! ^w^ » … T’AS PAS LE CHOIX DUCONNE POUR UNE FOIS QU’ON TE DONNE UNE MISSION IMPORTANTE FAIS PAS GENRE ON T’A JUSTE DEMANDÉ DE GARDER LE CHIEN DU VOISIN LAAAA !!! J’suis désolée je m’emballe mais on arrive à la limite du supportable en termes d’absurdité des réactions, là. Est-ce que j’ai besoin de vous décrire ma détresse quand Erikonne se dit « terriblement excitée *w* » à l’idée de voir les Valkyries que Lance aura recrutées ou c’est bon ?? L’avantage de cette dernière scène, cela dit, c’est que ça a été l’occasion pour d’enfiiiin réaliser que vous aviez oublié de mentionner la traîtrise d’Enthraa… Mieux vaut tard que jamais, on va dire ???
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Je suis fatiguée d’avance d’écrire les prochaines phrases. Nous recevons donc une lettre de Lance qui propose un « armistice. » Bien évidemment, ça pue le piège à plein nez, mais Miikonne décide que « mdr on sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher » donc elle y va, et bien sûr Erikonne suit sans réfléchir car « c’est étrange, mais pourquoi pas. » POURQUOI PAS. J’ai aucune idée d’en quoi c’est pertinent d’annoncer à toute la Garde qu’on va foncer droit dans la gueule du loup sous prétexte qu’il faut « s’accrocher à l’espoir en avant brave compagnie l’amitié triomphera de tous les défis, » et aussi vous annoncez que les deux débiles partent à minuit au rendez-vous et une fois sur place vous nous dites que l’horloge sonne 20h et qu’elles poireautent 4h comme les grosses nouilles qu’elles sont parce que vous avez jarté les relecteurs depuis l’épisode dernier visiblement. Comme prévu, c’était un piège !!! Et qui de mieux pour exécuter ce piège qu’Enthraa, le personnage oublié !!! Et comme vous en avez eu marre qu’on vous rappelle votre erreur et que vous vouliez être sûr-e-s de plus jamais l’oublier dans l’intrigue, bah vous l’avez butée. Alors en soi ok c’est une façon de régler le problème mdr, mais moi ce qui me déplaît, c’est que vous lui avez créé un chara-design alors qu’on a littéralement moins interagi avec elle qu’avec Valarian, à qui vous n’avez toujours pas accordé de design alors qu’on vous le demande depuis bien 5 épisodes. La scène qui suit est savoureuse aussi : au moment de raconter aux copains ce qui vient de se passer, Valkyon suggère d’envoyer le corps d’Enthraa à Lance comme message. C’est logique, c’est effectivement un message fort, « t’as voulu nous envoyer un assassin, regarde ce qu’on en a fait. » C’est son raisonnement derrière que je trouve débile : « ui j’connais mon frère, voir que son plan pathétique a échoué ça va le déstabiliser pcq il est colérique » ?_? Nan mais en fait si Lance était assez con pour pas anticiper que son plan d’assassinat pouvait échouer c’est qu’il est aussi branquignole que la Garde hein. Bon pour le corps à envoyer on a Erikonne qui pose son véto parce que « euh c pas très Charlie on va pas s’abaisser à son niveau komême è_é » C’EST.LA.GUERRE. FAUT LE DIRE EN QUELLE LANGUE, TRIPLE BUSE ??? Y’a pas de « fO pAs S’aBaiSsEr A sOn NiVeAu » qui tienne bon dieu mais est-ce que c’est humainement possible d’être aussi BÊTE. Comme a dit la pote avec qui j’ai joué l’épisode, « moi j’trouve déjà ça sympa de pas foutre un sort de pestilence sur le cadavre pour rendre ses troupes malades. »
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La guerre vue par Erika.
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Pour la mission du jour, nous devons rejoindre Hua et Ewe (qui sont en « consultation » hinhin *wink wink*) pour aller recenser les points d’eau. Pourquoi on l’a pas fait dès le premier jour, je sais pas, je pige pas l’explication de Kero, pourquoi c’est la future Phénix et une médecin qui s’en occupent alors que la Phénix pourrait être avec les autres chef-fe-s et préparer des troupes, et la médecin continuer à se préparer à soigner les blessé-e-s qu’il va y avoir et s’occuper de celleux qui sont déjà là parce que rappel qu’on est censé-e avoir des flux de réfugié-e-s qui vont et viennent au QG comme dans un moulin MAIS NON, faut qu’elles aillent recenser les points d’eau, parce que PERSONNE n’a de bon sens dans cette baraque des Enfers. Je sais d’ailleurs pas comment vous décrire L’ANGOISSE qui m’a prise quand Erika pose une bonne question, à savoir « est-ce que c’était vraiment nécessaire qu’on soit trois pour la mission » et que cette IMBÉCILE de Hua lui répond, « non mais j’me faisais chier et je voulais passer du temps avec toi hihi ! °w° » J’vais faire en sorte que mon poing passe du temps avec ton nez tu vas voir ça va te passer l’envie de m’emmerder avec tes lubies là, sérieux c’est quoi son problème ??? J’ai pas suivi toutes leurs élucubrations sur les points d’eau, mais à un moment Erika demande comment iels s’approvisionnent en eau si c’est soit de l’eau stagnante, soit de l’eau de mer, soit de l’eau trop minéralisée ; c’est simple, iels filtrent l’eau de pluie. Alors ok mais je rappelle qu’à l’épisode 19 on nous a appris qu’à Eel « c’est à peine s’il pleut, pour te dire » donc euuuuh vous m’expliquez comment iels ont assez d’eau pour tout le monde ??? En fait laissez tomber ça va avec « nourriture » dans la liste des trucs dont il ne faut plus jamais parler dans cette histoire sous peine de se faire des nœuds au cerveau. Après y’a la pluie magique d’étoiles filantes de l’espoir là où Erika se persuade que c’est un encouragement du ciel wow much deep sa fé réfléchire, perso moi j’ai cru que c’était une attaque aérienne de Lance ou une pluie de météorites qui s’abattait sur la ville, je suis tellement en attente d’un signe que quelqu’un se serait souvenu que le lendemain y’avait une grosse bataille, mais non c’est juste un joli spectacle ! TwT
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Cet épisode est en train de me rendre chèvre !!!
La bonne nouvelle c’est qu’on voit enfin à quoi ressemble le Cristal brisé, et surtout qu’on ne perd pas de maanas en avançant dans la lumière blanche, ça c’est bien. Par contre je suis pas sûre d’avoir compris, durant la première vision on voit « une silhouette avec des ailes ensanglantées, » et là c’est juste « des ailes ensanglantées » genre elles sont attachées à personne mdr c’est confus. J’espère juste que c’est du flan cette prophétie parce que si jamais ça implique notamment que Leiftan doive se sacrifier qu’est-ce que c’est convenu et ennuyeux le coup du Grand Meychan qui clamse pour racheter ses péchés oh là là… Après, Miiko fait sa grande mystérieuse et ça m’énerve, oui perso j’aurais bien forcé le dialogue, même si je me doute que ça serait pour nous dire qu’Erika devra faire un grand sacrifice genre sa condition d’aengel ou même sa vie vu ce qu’on a vu. Puis, comme on n’a rien à faire avant l’arrivée de Lance, allons discuter avec nos amis ! @w@ Et c’est là qu’on arrive à La Tenue. Alors déjà que j’ai pas digéré les 800 maanas de la tenue avec la ceinture incompréhensible là, mais 1200 maanas mdr mais vous êtes pas bien hein. D’autant que bon, ok elle est jolie j’dis pas, mais c’est pas une tenue de combat ça hein, c’est au mieux une armure d’apparat, vous sautez à pieds joints dans le gouffre de « armures pour femmes dans les JV » parce que la go elle se prend une flèche dans le torse c’est fini on en parle plus, une armure fonctionnelle c’est pas fait pour être jolie c’est fait pour protéger les organes vitaux. Donc que vous la mettiez en boutique après l’épisode ou je sais pas j’veux bien, mais l’intégrer à l’histoire en mode « voilà ta tenue pour la bataille finale ma chérie hihi » mdr en fait Purriry elle veut se débarrasser d’Erika c’tout. Puis on arrive à l’autre gros point d’incompréhension de ce passage : Leiftan qui veut participer à la bataille. Donc le mec y’a quelques mois il était là « mwahaha les gens de cette Garde sont tellement des gros débiles trop hâte de les éradiquer, » y’a quelques semaines il butait Ykhar et presque Chrome parce qu’iels allaient révéler ses plans, et maintenant qu’il est grillé là ça y est il veut cro se faire pardonner en se battant avec les Jontis parce son ancienne chérie elle veut sauver le monde (et pas parce que, au hasard, c’est ce qu’il faut faire, nan, parce que c’est ce qu’Erika veut). Et Hua avale ça parce qu’elle a lu dans son esprit qu’il a promis que, et puis il faut tenter même si ça veut pas dire qu’on oubliera ses erreurs (ses erreurs aka je sais pas combien de meurtres, dont un y’a moins de deux mois, et un complot pour éradiquer Eldarya, JUSTE) Est-ce que c’est franchement pas un peu tôt pour imaginer un tournant de 180° et une rédemption pure et totale en un claquement de doigts là ??? En vrai j’y croyais tellement pas que j’ai commencé à me dire que les gardien-ne-s qui imaginent Hua comme étant la vraie boss finale avaient raison et qu’elle était en train de nous rouler dans la farine, mais quand Miiko a confirmé, mes espoirs se sont envolés. Enfin bon ! « Je me demande bien ce qu’en pensent les garçons ! » ?w? Punaise mais elle est pas capable d’avoir sa propre opinion sur des trucs sans avoir besoin de demander leur avis à tous les clampins du coin ??? Aussi tant qu’on est là et qu’Ezarel parle de son fleuret, le fleuret ça a jamais été une arme de combat, à la limite une rapière mais même avec ça il va pas aller loin mdr Enfin voilà, on nous annonce que Lance arrive, retour à la scène du début, et – enfin !! – fin de l’épisode.
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- « Si j’avais su, je serai venue plus tôt » -> serais - « Tandis que les kitsune expliquait notre rôle à jouer » -> la kitsune - « au moins, j’aurais des missions variées ! » -> j’aurai - « Je ferai mieux d’aller demander plus de renseignements à Karuto » -> ferais - « Vous serez rationné en fonction de vos besoins énergétiques » -> rationnés, on parlait de plusieurs personnes - « Des denrées ‘’terriennes’’ » -> ça sert à rien de mettre « terriennes » entre guillemets elles sont terriennes les denrées c’est un fait - « J’étouffais… Je mourrais » -> mourais - « Cette satané horloge » -> satanée - « Où était-ce une énième alerte de mon instinct ? » -> ou - « J’ai regardé Huang Hua, mais lui non plus ne semble pas comprendre » -> mdr bon celle-là tout le monde vous l’a signalée - « Miiko vient de m’apprendre que Leiftan allait rejoindre nos rangs » -> alors non c’est Hua qui me l’a appris mdr - « Je ferai mieux d'aller enfin parler à Miiko » -> ferais - « La tocsin résonne. La destin frappe enfin » -> le tocsin/le destin mdr c’était quoi votre problème d’accords en genre dans cet épisode ? Les mots choisis sont importants, vous pouvez pas parler de « cueillette » pour la récolte d’ingrédients d’alchimie essentiels pour la bataille et de « convives » pour les émissaires étrangers et les réfugié-e-s alors qu’on parle d’une guerre, c’est juste pas possible… Le ton est aussi incroyablement mal choisi, la plupart des personnages agissent comme si rien ne sortait de la normale…
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En résumé.
J’ai aucunement eu l’impression d’assister à la préparation de la bataille finale d’une série qui s’est voulue « sombre. » Il n’y a eu aucune installation d’ambiance, je n’ai quasiment pas vu de changement par rapport à l’atmosphère des épisodes précédents. Je veux bien qu’à la veille d’une bataille, on essaie d’alléger la tension, de plaisanter pour oublier un instant le fait que, le lendemain, on va dans une bataille qui va irrémédiablement tuer des gens (sauf si vous faites une fin à la Twilight auquel cas je réponds plus de rien), mais comment on peut alléger la tension quand y’a même pas de tension à alléger, en fait ? Là c’est pas des persos qui essaient de décompresser avant la bataille, c’est des persos insouciants, c’est tout. Et la musique n’aide à aucun moment. Alors elle est très jolie la musique, vraiment ! Mais elle ne convient à quasiment aucune scène de cet épisode, et c’était déjà le cas pour le dernier. On vous l’a dit, mais il aurait fallu faire des musiques par thématiques, et non par lieux, comment voulez-vous qu’on sente la tension quand l’arrivée de l’armée de Lance est ponctuée par une jolie petite musique à la harpe qui donne plus envie d’aller cueillir des fleurs par une douce après-midi d’été que d’aller cogner du dragon ? Jamon et Colaïa c’est pas possible. Stop. Annulez tout tant que vous le pouvez, vous merdez bien assez comme ça sur ce genre de sujets. Enfin voilà. La vérité c’est qu’il y a aucune passion dans cet épisode. L’impression que ça donne, c’est que vous n’avez qu’une hâte : que ça se termine. Et entre nous, j’pense que vous vous en doutez, moi aussi. PS : J’espère quand même qu’à présent, vous êtes aussi dégoûté-e-s que moi des smileys en « uwu » PPS : Je plussoie l'entièreté du post de Scarecrow !!!
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floufleur · 5 years
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flou
le problème avec le fait que je me donne à ces hommes, c’est parce que je cherche chez eux quelque choses que je n’ai pas chez moi je crois. Et je veux leur apporter ce qu’ils n’ont pas non plus.
Je veux me donner à eux, à tous sans aucune exception pour absorber ce qui ne va chez eux, je veux leur faire du bien, parce que je ressens leur peine, bien plus qu’avec des femmes, j’aime les hommes, jles trouve tellement curieux et cassés. Ou alors jsuis attirée que par les plus cassés d’entre eux, j’ai envie de me laisser emporter par leur malheur, comme si c’était moi la réponse de tout leur maux.
Jcrois jme suis toujours vu comme une sorte de martyr, prête à recevoir toute la douleur et la peine possible, après tout c’est comme ça qu’on ma élevé, pour être docile et compréhensive, obéissante et bonne. Jsuis la parfaite petite femme de maison, enfin… je l’étais, aujourd’hui je me protège d’eux, parce que je supporte plus leur douleur, elle est devenu beaucoup trop lourde pour mon ptit esprit nerveux.
j’ai longtemps cru que j’étais névrosée, dépressive, seul et incomprise. Y’a toujours ces tendances qui ressortent mais j’essaye de rester loin de tout ça avec des moyens qui ne me font pas forcement plus de bien.
Aide moi,
J ‘veux aider le monde, je me sens un cœur à sauver le monde, dans mes rêves de petite fille, il y a une ptite Navruz qui sauve le monde avec ses mains, qui aide les autres et qui leur fait du bien. Mais comment jsuis sensée faire pour faire ce que j’aspire si le seul moyen que j’ai trouvé me met mal en retour. Chaque action a une retombée. Moi je tombe un peu plus, mais plus jtombe et plus je m’élève parce que c’est comme ça que jme comprends jcrois, quand jpasse mes soirées à broyer mon noir dans ma ptite tête.
Viens assis toi en face de moi et parle moi, je te trahirai jamais parce que très peu pour moi ce genre de truc, je veux t’aider parce que j’estime que tu mérites d’être bien. Si en échange tu peux me libérer de mes chaînes, je te serai éternellement reconnaissante.
Mais en fait j’ai envie de disparaître, jme sens en crise et jme dis que plus rien ne va plus. Mon esprit est embrumé et mes envies sont flous, jveux disparaître, parce que j’existe trop, jsuis trop d’énergie, je veux pas être ce trop plein, j’en ai marre de déborder, j’en ai marre d’être la bavure que tu peux pas rattraper sur ton beau dessin.
On va parler d’un problème, le problème, haha, c’est pas important mais ça l’est quand même en fait. C’est avec ça que tu te construits. Pourquoi moi j’ai pas eu le droit à ma grande histoire d’amour, pourquoi jpeux pas être en couple comme tout le monde, pourquoi cette question m’obsède à ce point, pourquoi quand je suis triste je ne penses qu’à ça, pourquoi je suis l’âme solitaire qui comprend tout le monde. Pourquoi jfais peur aux garçons, pourquoi moi jpeux pas avoir ce que jveux ?
Y’a beaucoup de questions pour de la futilité mais
ça me fatigue.
Ça me fatigue
ça me fatigue
pourquoi penser à ça alors que je n’aurai aucune réponse
je n’aurai aucune réponse
tu n’auras aucune réponse Navruz, imprime, en noir, en gras. Tu n’es pas comme tout le monde et tu le serras jamais. Mais
c’est pas un mal
il faut de tout
on a besoin de marginale qui seront les « plus » de demain peut être ou les « morts » d’aujourd’hui.
Je vais te dire un secret mais jle dis qu’à toi hein,
j’aurai préféré être tout le contraires de ce que jsuis aujourd’hui, j’aurai voulu être quelqu’un d’autres que Navruz.
Ma mère ne voulait pas me donner ce prénom car il y a tout un vécu derrière ce nom, toute une histoire, pas du tout gaie, pas du tout normal, rien de sain.
Elle voulait m’appeler « Gurbet » ou « Hasret ».
Gurbet est un mot qui signifie mal du pays, jsuis née même pas un an après son arrivé en France, et son pays lui manquait beaucoup.
Hasret s’apparente à la nostalgie, ce qui rejoint le premier.
j’aurai sûrement été très différente avec ce genre de nom.
J’aurai été quelqu’un d’autre.
j’aurai aimé être quelqu’un d’autres, je voudrais être quelqu’un d’autre.
Mais personne ne peut renier sa véritable nature n’est ce pas.
Ma mère aussi aurait préféré que je sois quelqu’un d’autre. Mais ça c’est une autre histoire.
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baron-alexbarnes · 3 years
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Bucky x reader (in french)
La peur de l'abandon
Masterlist (in french)
Masterlist (in english)
Paring: Bucky x reader
Rating: Angoisse ; doute de soi ; fin heureuse; (chemin 1)
A/N: Ceci est le chemin 1, il y aura 3 chemins au total, donc vous avez de la chance vous êtes tombé sur la fin heureuse
Résumé : Tu demandes à Bucky de jouait le rôle de ton rendez-vous au bal des anciens camarade. Tu veux marquer les esprits car tu étais la personne timide que personne ne remarquer étant adolescent. Sauf qu'il te fait comprendre que c'est non et il s'en veux après.
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'' S'il te plaît Bucky ! '' Tu le supplia alors qu'il se dirigea vers la cuisine '' Non [Y/N], pourquoi tu mentirais comme ça ? '' Pourquoi mentirais-tu ? Tu n'étais pas du genre faire ça. Mais tes années de lycées ont été les pires, tout tes amis qui sont rester avec toi se sont mis en couple tandis que les autres sont parti dans d'autre établissement. Tu t'es retrouvé souvent seule. Au début c'était rien, tu t'es dis qu'ils avaient le droit de passé du temps avec leur partenaire. Mais ils sont jamais revenue. Bucky était déjà parti. Et tu étais encore seule ici. Tu soupiras et parti vers ta chambre pour t'habiller. Tu essaya pratiquement toute les tenues que tu avais mais même bien habiller, tu n'avais personne. Tu te laissa tomber sur ton lit et regarda le plafond. Personne ne voulait y aller avec toi et tu n'avais rien d'extraordinaire à te mettre. Alors tu décidas de ne pas y aller. Tu retira tes vêtements et te mit plus confortable.
Bucky parla avec Steve quand il t’aperçus sur le canapé. Il fronça les sourcils surpris que tu sois là. '' Bucky ? '' Il regarda son ami '' Oui ? '' Steve suivit son regard pour tomber sur toi. '' Elle ne devait pas être à sa réunion ? '' Le soldat de l'hiver hocha la tête '' Qu'est ce qu'elle fait encore là '' Il hausse les épaules sans te quitter des yeux. Il décida de se rapprocher de toi. '' [Y/N] ? '' Il demanda en se posant à côté de toi '' Oui ? '' Tu le regarda rapidement avant de reporter ton attention sur ta série. '' Tu n'es pas à ta réunion '' Tu baissas les yeux quelques instant '' Je n'avais pas envie d'y aller '' Bucky était un peu décontenancer. '' Tu avais envie d'y aller il y a même pas 1 heure '' Tu soupiras '' Je n'ai rien à faire la bas, je préfère être ici '' Bucky insista '' Tu as pas des amis que tu peux retrouver la-bas ? '' Il voulais que tu y ailles mais tu ne savais pas pourquoi. Et puis, tes amis sont bien mieux sans toi la-bas te dis tu '' J'ai pas envie Bucky '' Il soupira '' Tu veux que je vienne ? '' Tu réfléchit. S'il vient tout le monde te regarda mais ça ne sera pas sincère. Bucky avait raison, il ne faut pas mentir '' J'ai pas envie James '' Il tressaillit. Tu ne l'avais jamais appelé James. '' D'accord '' Il regarda la série avec toi avant de partir et de te laisser seule. Encore.
Il retrouva Steve, qui était parti s'entraîner avec Natasha. Quand elle le vit arrivé, un peu choqué, elle laissa sa place contre Steve. '' ça va ? T'as l'air d'avoir vue un fantôme '' Il regarda son ami '' Je pense que j'ai fait quelque chose de mal avec [Y/N] '' Steve était intrigué '' Comme quoi ?'' Le soldat hausse les épaules '' Je lui ai demandé pourquoi elle n'a pas était à sa réunion mais elle était froide, distante et elle m'a appelé James '' Steve était surpris. Tu donnes toujours des surnoms aux gens, tu les appeles par leur prénom que quand ils ont fait quelque chose de mal '' Qu'est ce que tu as fait ? '' Il demanda intrigué ''J'ai pas voulus allé avec elle à sa réunion '' Le blond ne comprit pas. Jamais tu n'aurais fait la tête pour quelque comme ça, tu n'as jamais forcer les gens '' Tu es sûr d'avoir rien dis d'autre '' Je lui ai demandé pourquoi elle mentirais mais elle ne m'a jamais répondue '' Steve haussa les épaules, c'est peut être une mauvaise journée et tu as besoin de temps.
Le lendemain. Tu as raté l'entraînement avec Natasha. Ça les avaient inquiété. Que se soit Natasha ou Bucky, même Tony était un peu inquiet pour toi même s'il ne dira rien. Bucky décida d'aller te voir pour te trouver allonger sur ton lit à regarder le plafond. ''[Y/N] ? '' Tu le regarda surpris '' Bucky ? Qu'est ce que tu fais là ? '' Tu te redressa. '' Tu as raté l'entraînement '' Tu fronça les sourcils. Tu n'en a jamais rat, à part quand tu étais malade mais tu avais toujours prévenue. Tu regarda l'heure sur ton réveille qui indiquer 10 heures 30. Tu soupiras et retomba sur ton lit. '' ça va ? '' Il s'assit sur ton lit et te regarda. Tu hocha la tête. '' Elle est toujours en train de s'entraîner ? '' Il secoua la tête. '' Elle est parti avec Clint et Wanda faire du shopping'' Il jouait avec ces mains clairement nerveux '' Eoute... Je suis désolé pour hier, je savais que c'était important pour toi mais... Je n'avais pas envie que les gens me voient avec toi '' ça te fit mal au cœur. Qu'est ce que ça voulait dire ? Que tu n'étais pas assez bien pour lui ? Qu'il aurait eu honte ? '' Je comprend '' Bucky regarda tes yeux remplis de douleur et de tristesse. '' Je ne suis pas sûr '' Il se lève et te prends la main pour que tu puisse te levé aussi. Arrivé face à face, tout les deux debout. Il soupire pour se donner du courage tenant ta mains dans la sienne. '' Je suis le soldat de l'hiver, j'ai tuer beaucoup de monde et même si je m'en veux... Les autres me voient comme un assassin et je peux les comprendre mais je ne voulais pas t'infliger ça. Imagine toi '' Il sourit clairement en train d'imaginer la scène dans sa tête '' Toi, dans les plus beau vêtement que tu as pour paraître encore plus belle alors que tu l'es déjà. '' Il arrêta de sourire petit à petit, pensant à se que penserais les gens de toi s'il te voyait avec lui '' Mais, je ne supporterais pas que les gens te fasse des remarques parce que tu sors avec moi, même si c'est un faux rendez-vous '' Tu étais abasourdie '' Bucky '' Tu pris sa joue et lui sourit '' Tu es le seul homme à qui j'ai demandé de venir pour une raison. Je m'en fou des remarques si je suis avec toi '' Il sourit et te prit dans ses bras et tu le serras aussi. '' Tu ne m'en veux pas ? '' Il s'éloigna. '' Je ne voulais pas y aller '' Elle s'éloigna.
''Tu avais l'air de vouloir y aller '' La peur de te voir seule jusqu'à la fin était une de tes pires '' Je n'avais plus envie c'est tout '' Il te regarda douteux. '' Pourquoi ? '' Tu te sentis toute suite mal '' Je serai seule... comme je l'ai toujours été depuis le lycée, ! Si j'y serai allé tout le monde verra que j'ai pas évoluer, que j'ai pas d’intérêt '' tu le regardais droit dans les yeux, il était en train de réfléchir à se que tu disais. '' Même si j'y serai allé avec toi.. Je n'aurai pas été seule mais... Sa aurait pas été sincère donc peut être que les personnes m'aurai vu accompagné mais le sentiment reste le même pour moi '' Il ne comprit pas vraiment comment tu pouvais dire que tu te sentais seule, tu étais avec les Avengers. C'était ta famille, tout le monde t'aimais et te soutenais. Il ne comprit pas que tu ne parlais pas de famille mais plutôt d'ami avec qui passait du temps sans pensé à sauver le monde. Tu voulais arrêté de t’inquiète pour tout le monde quand ils partaient en mission. Tu voulais une pause et surtout, tu voulais être aimé comme tes amis était aimé par leur partenaire. Tu voulais être dans une relation. Mais ta faible estime de soi t'a toujours bloqué. Tu as eu quelques petit-amis, bien sûr mais ça n'a jamais dépassé les 2 mois. Tu étais toujours abandonner. Tu as essayé de changer de paraître plus confiante et c'est grâce à ça que tu as rejoins les Avengers mais tu n'as plus jamais été en couple après ça. Ça va bien faire plus de 5 ans. '' Comment tu peux dire ça ? Tu as les Avengers ! '' Tu soupiras, bien sûr qu'il n'allait pas comprendre. '' Laisse tomber, je vais prendre ma douche '' Quand tu commença à partir vers la salle de bain il te prit par le bras '' Non, explique moi s'il te plaît '' Il te suppliais. Il voulais t'aider, tu as toujours été gentil avec lui et il commençais à développer des sentiments pour toi. Tu soupira et te retourna vers toi. '' J'ai jamais eu une relations de plus de 2 mois ! On m'a toujours fais passer en deuxième, sois je n'étais pas assez bien sois il jouait avec moi '' '' [Y/N] tu es très bien, ces gens là c'était juste des connards d'accord ? '' Il prit une de tes mèches de cheveux et la plaça derrière ton oreille. '' Tu ne dois jamais douter de ça '' Il prit ta main '' Et il y a une personne qui t'aime ici, d'accord '' Elle le regarda avec confusions '' Qui ? '' Il déglutit, il avait tant envie de te le dire, il voulait t'aider. '' C'est pas grave si c'est pas réciproque, je comprends mais je t'aime depuis longtemps tout chez toi est parfait, ton humour, ta beauté, ton intelligence, ta gentillesse '' Tu le regarda avec surprise avant de sourire. La vérité c'est que tu l'aimais aussi mais tu t'es dis que tu n'avais aucune chance. '' C'est vrai ? '' Il hocha la tête '' Est ce qu'on peut rester ami ? ''Il était persuader que tu ne l'aimais pas en retour '' Bucky ? '' Il te regardant '' Je t'aime aussi '' Il fut tout aussi surpris. Steve lui a fait remarquer plusieurs fois que tu le regardais souvent, que tu l'écoutais toujours quand il parlait, que tu t’inquiétais toujours plus pour lui quand il partait en mission. Mais Steve t'a aussi fait remarquer que Bucky parlait souvent de toi. Il te complimentait sur ta tenues ou sur tes performance à l'entraînement avec Nat ou Wanda.
Quand il repris ces esprits il se pencha vers toi, pris ta joue dans sa main. Tu le regardas. Ça fait si longtemps que tu as rêvés de ça. Il fit durée le moment te regardant dans les yeux, te laissant du temps pour reculer mais tu ne le fit pas. Il te rapprocha donc de lui. Vos poitrines se collait. Tu plaça tes mains contre son cou, n'en pouvant plus attendre, le tirant vers toi et plaça tes lèvres sur les siennes. Vos lèvres s’emboîte parfaitement menant une danse ensemble. Il laissa tomber ses mains sur ta taille te rapprochant encore plus. Vous étiez a fond dans le baiser oubliant ce qui y était autour de vous. C'était comme un rêve. Tu te demanda quand tu allais te réveiller. Vous avez tout les deux reçu la marque d'amour que vous attendiez depuis longtemps.
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laylucifer · 5 years
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Kahei - Le petit Seigneur
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Alors oui, je sais, 6 mois sans grande nouvelle sous le soleil, mais mettons de côté ses absurdités personnelles pour revenir sur ce qu’il nous intéresse vraiment. Le jeu de rôle, les OC’s, comment on en est arrivé là.  (Je t’ai entendu le petit malin du fond dire “ Ah bon, je me suis abonné à ce blog pour ça ? “ sache que oui, j’parle beaucoup, explique des trucs qui t’intéresse pas forcement parce que ma vie n’est pas OUFFISIME, mais j’ose espérer que tu comprendras ce que j’essaye de te faire partager et que tu en tireras quelque chose également).  Comme dit précédemment, mon premier OC’s était un Personna du nom de Kitsune que je ne peux omettre, quand bien même j’en ai honte, car elle a été la base qui m’a permit de donner naissance à moult autre personnage dont je peux être fière aujourd’hui et le premier dont je vais vous parler c’est mon petit Kahei. 
Il faut savoir que Kitsune à cette époque était présente uniquement dans l’univers de Yuyu Hakusho dans lequel il y avait un personnage, Yoko Kurama, duquel j’était tomber très amoureuse. Je songe que tomber amoureux d’un personnage fictif peut vous paraître très étrange, mais se reconnaîtrons ceux aillant eut un crush pour un perso cool de leur série d’enfance. D’autant plus qu’à l’époque j’était très seul, je n’avait pas d’amis, et les mangas était, pour ainsi dire, mes seuls liens sociaux. 
Kitsune était donc une Yoko (ou un démon renard argenté) ou une change forme qui avait rejoins le groupe de bandit de Yoko Kurama. J’avait peu de variante à l’époque, c’était soit un hasard, soit parce qu’elle était le petit chien de compagnie d’un démon plus fort qui l’avait prise en affection, mais dans tout les cas Kitsune se révélait être une groupie/ Object sexuel pour le démon Kurama. Outre le fait que ce statue n’était pas très glorieux déjà à l’époque, tout ce qui comptait pour moi était que Kurama et Kitsune finissent ensemble et ceux malgré le dénouement de l’histoire originale du manga (que je vous conseil de lire ou de voir d’ailleurs, c’est une série de mon enfance que je trouve bien faire malgré les doublages français bancals). Une fois devenu adulte, aillant majoritairement résolu mes problèmes de sociabilités et trouver l’homme de ma vie, je suis revenu sur ce personnage et autant vous dire que j’en ai presque pleurer ! Voir ce personnage qui était mon personna à l’époque dans une condition aussi précaire et honteuse, un démon prétendu fort devenu femme au foyer et un vulgaire objet me dégouttait, j’ai décidé de la reprendre pour au moins lui donner une fin digne de ce nom. 
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 Autant dire que, après quelque recherche, je me suis très vite rendu compte que Kitsune (qui est devenu Paru à ce moment-là) ne pouvait tout simplement pas se mettre en couple avec Kurama et ceux pour plusieurs raisons : Yoko Kurama, à l’époque, ne se serait pas encombrer d’une femme comme elle (pot-de-colle, violente et enfantin) alors qu’il était un démon dont la puissance et le nom grandissait, qu’il était antipathique, cruel et calculateur. Les deux personnalités n’aurait pas matcher. Alors pourquoi je n’ai pas adapter Paru ? 
Il faut se dire qu’un personnage, qu’il soit un OC, un personnage de fiction ou un personnage de roman, n’a pas besoin d’être en couple pour exister. Ainsi, si je voyait mieux Paru comme un monstre brutal et immature alors pourquoi pas la laisser ainsi et modifier sa relation avec Kurama ? Cela m’a paru beaucoup plus sain et respectueux vis-à-vis du personnage de Kurama qui, dans le manga, à une personnalité travaillé et qui évolue avec son histoire. 
Bon, je vous avoue, j’ai quand même retravaillé un peu Kitsune/Paru. Déjà parce qu’une démone renarde argenté avec des cheveux brun c’était méga gringe, mais aussi parce qu’il fallait que je lui donne une identité ce que je n’avait jamais faire avant. Comme pour relier des univers de mon enfance, mes premiers essai de RolePlay notamment, j’ai choisit de lui donner une forme draconique (mon premier vrai personnage de RP étant un dragon). Pour la forme, je lui ait donner une couleur noire et pour que les interactions soit possible je lui ait donner le pouvoir de prendre une forme humanoïde. A partir de là, Paru avait déjà une forme, il ne me restait plus qu’à lui crée une histoire qui était totalement détacher de Kurama et de provoquer leurs rencontres. 
Alors alors ... qu’est-ce qu’elle est devenue ?
Il faut savoir que le monde des ténèbres où vivait Yoko Kurama est un monde très profond qui s’étend sur des milliers de kilomètres, il n’est donc pas rare que certains démon ne mettent jamais les pieds sur un territoire ou qu’un autre reste inconnu à la majorité de la communauté démoniaque. L’un d’entre eux est le territoire des Dragons Astraux une espèce en voie de disparition qui on la capacité de prendre une forme humanoïde en gardant ailes, cornes, queue et pattes arrières sous leur formes reptiliennes, mais cela reste tout de même un exploit pour se type de démon. Cette espèce fait partie d’une des deux rares à pouvoir prendre ce genre de forme, de pouvoir s’accoupler avec n’importe quel espèce pour pouvoir continuer à perduré malgré leur danger d’extinction, mais aussi de manier l’énergie astrale qui les rend dangereux pour les autres démons.  Les dragons astraux vivent en communautés d’une vingtaine d’individu et détermine leurs chefs par la force lors d’un combat “officiel” devant toute la communauté qui n’a pas le droit d’intervenir dans le combat. Les chefs sont en général des mâles, bien que si une femelle gagne elle puisse prendre sa place. Même s’ils ont la capacité de se reproduire avec les membres d’une autre espèces le petit, qui sera forcement un dragon, est juger et souvent considérer comme un bâtard à sa propre espèce. 
Ce préambule étant fait, il faut se dire que lors d’une de ses “missions” de pillage pour se faire connaitre dans les ténèbres, Yoko Kurama et son groupe vont tomber sur un repère de Dragon Astraux. Naturellement, les dragons vont vouloir les exécutés pour ne pas qu’ils révèlent leur positions, mais Paru, une jeune dragon, effronté va leur proposer de les utiliser pour abattre des expéditions ennemis qui leur fond du mal. Elle devra se battre pour réussir à convaincre ses opposants, mais grâce à sa longue queue en fouet elle déstabilisera son adversaire et permettra à Kurama et à son groupe de repartir. Mais bien entendu, pour s’assurer qu’il s’occuperait bien des monstres qui mettait en difficulté les siens elle le suivit. Kurama n’appréciera pas vraiment sa présence, Yomi, son bras-droit, non plus, mais Paru va se moquer de leurs état d’âme car, après tout, elle est l’une des espèces les plus puissantes des ténèbres. Ils vont combattre ensemble, Kurama réfléchissant à un plan tout en intégrant sa force draconique et ses pouvoirs, puis au moment de repartir de la région elle va demander à se joindre à eux alors que les siens lui promettait l’exil si jamais elle quittait les cavernes où elle était née. Voyant là une allié de choix dans sa quête de puissance, Kurama accepta. 
Le reste de l’histoire de Paru est similaire à celle prévu initialement. Il n’y a pas d’amour entre elle et Kurama, même s’ils ont des relations sexuelle, même si elle ronronne à son approche, Paru à une affection grandissant en une dévotion amoureuse au fur et à mesure des années, mais ce n’est pas le cas de Kurama qui la considère comme un de ses bons éléments (sa forme de dragon aidant beaucoup dans les raids mener avec ses hommes). Alors quand viendra les chasseurs de l’au-délà qui essayeront de le supprimer à cause de sa puissance grandissante autant vous dire qu’il l’abandonnera sans mal pour sauver sa peau. 
Paru, éploré, rentrera sur le territoire où réside le reste de sa troupe avec sous le bras un oeuf sous le point d’éclore. Elle attendra qu’un petit dragonneau en soit sorti avant de se présenter dans les cavernes où le dragon qu’elle avait affronter des années auparavent avait pris la place de chef et l’affrontera en duel officiel pour prendre sa place et assurer à son fils un lieu sûr où il pourrait grandir. Paru, qui avait vécu des années au grand air à se battre, vaincue et deviens la Reine Noire. 
Elle règne pas mal d’année et elle disparu vers “l’affrontement final avec Toguro” dans le manga et ce fut son fils qui prendra sa place : Le petit Kahei. 
Maintenant on peut l’oublier, parce que tout ça n’avait pour but que de vous présenter Kahei. Alors oui, on est sur le fils de Paru et Kurama, mais Kurama ne connais pas son existence jusqu’à bien plus tard dans une fanfiction que j’ai essayer de relier au manga et encore, et Paru s’éclipse pour pouvoir le voir grandir. 
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Kahei est un bâtard, un dragon né grâce au sang d’un démon, et cela va beaucoup le peser lors de son enfance. C’est un petit garçon au cheveux argenté (donc aux écailles) qui essaye de grandir en suivant la dirigeante de sa troupe plus que sa mère elle-même et qui, en grandissant dans la troupe, va se faire quelques amitiés qui l’accompagneront. Il rencontrera Siuil, une jeune femelle aux écailles vertes qui va rapidement laisser tomber les préjuger des adultes pour apprendre à le connaitre. Elle sera sa première amie. Puis Raska, un jeune mâle rouge qui va être très influencer par la haine de son père, l’ancien chef que Paru à détrôner, et sa soeur. Il va beaucoup lui jeter la pierre, l’insulté et même chercher à se battre avec lui alors que Kahei, de nature passive, va se sentir mal à l’aise face à cette recherche de conflit. Cependant, alors que Raska fut un jour en danger contre un groupe de démon belliqueux, Kahei essaya de le sauver et découvrir son pouvoir astral qui sera de crée un bouclier avec ses ailes. Depuis ce moment Raska changea peu à peu d’avis sur le petit bâtard qu’il reconnaîtra avec le temps comme son ami. 
Il grandit ainsi, entouré de deux amis proches qui l’aideront à se faire accepter parmi les autres dragons et prouvant sa puissance par sa force de caractère, bien plus réfléchit que celle de ses pairs né pur, que par son esprit de communauté prononcer. Kahei devint grand, l’un des plus grands dragons de sa troupe, mais restera connu sous le surnom de “petit prince” ou “ petit seigneur” grâce à ses amitiés qu’il s’était fait étant plus jeune et à son statue de fils de la Reine Noire. 
Quand cette dernière disparaît, Kahei est élue par la majorité de ses pairs pour son courage, son esprit de stratège et surtout l’importance qu’il a à protéger les siens. Pour la première fois dans le monde des Dragons Astraux, un chef avait été élue pour protéger les autres dragons. 
Je suis très fière de Kahei. Parce qu’en naissant il m’a aider à faire un trait sur Paru qui n’existera plus à partir de là ou si elle reviens c’est pour signer sa fin, mais aussi parce qu’il est l’un des premiers à être un personnage aussi intégré au contexte (après Liba, dont je vous parlerai plus tard). Kahei peut existé dans le monde de Yuyu Hakusho sans que l’univers ou l’histoire n’en soit changer et c’est ce qui, à mon sens, en fait un bon personnage. 
Je ne sais pas trop dire quoi d’autre sur Kahei. Je pense qu’en dire d’avantage me vaudrait bien une petite fiction pour vous le faire paraître dans sa forme la plus belle et spectaculaire d’autant plus que la fanfic dont j’ai l’idée met en avant Kuwabara, un personnage secondaire de l’oeuvre auquel je me suis attacher en travaillant Kahei, mais... J’ai tellement d’autre personnage dont je voudrait vous parler et je préférait vous laisser le choix de savoir si, oui ou non, ça vous intéresserai d’en apprendre plus sur Kahei, le petit Seigneur. 
C’était long, mais j’espère que ça vous à plus ! Des bisous astraux, Lay.
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