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#galerie des cotelle
artschoolglasses · 10 months
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La Galerie des Cotelle, Grand Trianon
Versailles, France
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comtessezouboff · 10 months
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La Galerie des Cotelles Set
A retexture by La Comtesse Zouboff — Original Mesh by @thejim07
At the very moment when Louis XIV wrote the first version of 《Manière de montre les jardins de Versailles》, he expressed his desire to recreate his words as images.
In 1688, he comissioned an outstanding set of 24 paintings describing the different groves in gardens with mythological allegories to be placed in the galerie at the Trianon de Marbre.
The ornamentation of the gallery linking Trianon to Trianon-sous-bois was entrusted to three painters between 1688 and 1689: Jean Cotelle painted twenty-one of the twenty-four canvases hung in this room, Etienne Allegrain two others, and Jean-Baptiste Martin.
This gallery, decorated around 1690, bears the name of the author of most of the paintings which appear there and which represent views of the groves of Versailles and Trianon, embellished with mythological figures.
This set remained in place until the First Empire. Napoleon I considered replacing them with paintings to his glory. The works will return to their original location in 1913 after being restored to 《La Colection Royale》 by Louis Philippe and can be seen there to this day.
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This set contains 24 paintings with the original frame swatches, fully recolourable. They are:
View of the Amphitheater of the Grove of the Théâtre d'Eau with the Toilette of Psyche.
View of the Bassin du Dragon and the Gutter of the Neptune Fountain with Apollo Slaying the Serpent Python.
View of the Colonnade Grove with Apollo Served by the Nymphs.
View of the Entrance of the Labyrinth Grove with Nymphs and Cupid Catching Birds in their Nets.
View of the Fountain of the Fifty-Two Jets, or Plat-Fond at the Trianon with Mars and Venus.
View of the Grove of l'Encelade with Jupiter Slaying Enceladus the Giant with the Feast of Lycaon.
View of the Grove of L'Étoile or la Montagne d'Eau with Diana Saving Arethusa from Alpheus.
View of the Grove of the Arc de Triomphe Towards the Fountain of La France Triomphante with Nymphs Chaining Captives.
View of the Grove of the Arc de Triomphe with Venus and Adonis on a Chariot Driven by Cupid.
View of the Grove of the Baths of Apollo or des Dômes with Diana and her Nymphs.
View of the Grove of the Labyrinth Showing the Fountain of the Fight of the Animals and the Two Fountains of the Fox and the Crane with Diana and the Nymphs.
View of the Grove of the Salle de Bal with Armide Crowning Renaud.
View of the Grove of the Théâtre d'Eau with the Toilette of Psyche.
View of the Marais or Chêne-Vert Grove with Nymphs Playing Various Games.
View of the Neptune Fountain, the Bassin du Dragon and the Allée d'Eau with the Judgement of Paris.
View of the Orangerie and the Palace from the Pièce d'Eau des Suisses with the Abduction of Helen of Troy.
View of the Orangerie of Versailles and the Pièce d'Eau des Suisses with Vertumnus and Pomona.
View of the Parterre d'Eau with the Apotheosis of Venus.
View of the Parterres of the Trianon de Marbre with Zephyrus and Sleeping Flora
View of the Trois-Fontaines Grove with Garden Loves.
View of the Trois-Fontaines Grove with Venus and the Nymphs.
View of the Feast or Council Room Grove in the Palace of Versailles.
View of the Grove of the Miroir d'Eau Fountain and the Île-Royale in the Palace of Versailles.
Perspective view of the Grove of the Galerie des Antiques.
Found under decor > paintings for 1.850§
(you can just search for "Cotelle" using the catalog search mod to find the entire ser much easier!)
Retextured from:"The virgin of the Rosary" found here
Disclaimer!
All of the paintings shown here aren't as blurry as in the screenshots and its colors are more vibrant in-game!
Cc shown here:
Walls, door and bench by @thejim07
Floor by @martassimsbookcc
Windows by @missyzim
Chandelier and garland by @hydrangeachainsaw
Pediment by Mutske (TSR)
Consoles by ShinoKCR (TSR)
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Drive
(Sims3Pack | Package)
(Useful tags below)
@joojconverts @ts3history @ts3historicalccfinds @deniisu-sims @katsujiiccfinds @gifappels-stuff
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livesunique · 2 years
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Galerie des Cotelles, Grand Trianon, Versailles, France
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mrtri91 · 3 years
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CC: Grand Trianon Paintings Set
I made a small set consisting of some paintings that are part of the collection of the Grand Trianon building in Versailles. You will need three different meshes from @thejim07​ to use them in your game
1) Grand Trianon Fireplace Tableaux - 5 swatches https://www.dropbox.com/s/gu2i3qhwowryswz/GrandTrianonFireplace.package?dl=0
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You will need this mesh to have them in your game: https://modthesims.info/d/646321/portrait-of-a-noble-genoese-lady.html
2) Salon de Famile Dessus-de-portes - 4 swatches https://www.dropbox.com/s/itjr5vxlv6wdeax/Grand%20Trianon%20Salon%20Famille.package?dl=0
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The mesh you will need is “The triumph of Acis & Galatea” from this amazing set: https://modthesims.info/d/604594/salon-de-mercure-paintings-set.html
3) Grand Trianon Galerie des Cotelles - 18 swatches https://www.dropbox.com/s/2749kcyx4daeik3/Grand%20Trianon%20Cotelle.package?dl=0
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The mesh you will need for those: https://modthesims.info/d/619380/portrait-of-charles-de-bonchamps.html Thanks again to @thejim07​ for his amazing work. I couldnt play without you <3
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reseau-actu · 4 years
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Depuis un siècle et demi, la République héberge le chef de l’État au palais de l’Élysée, mais elle lui offre aussi châteaux et manoirs, dans lesquels, le temps d’un week-end, de vacances ou d’une saison, il peut, en toute discrétion, se reposer en famille et recevoir ses homologues. Promenade dans les couloirs du pouvoir, à l’abri des regards.
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Samedi 6 novembre 1982. Le vent souffle fort sur la France en ce week-end d’automne. Sous les feuilles qui tombent, dans un village au milieu d’un domaine forestier à une soixantaine de kilomètres au sud de Paris, une Citroën CX de la présidence de la République escortée par des motards franchit un lourd portail, qui se referme aussitôt. François Mitterrand en sort, suivi d’une jeune femme et d’une petite fille de 8 ans. Le président, élu un an et demi plus tôt, a enfin trouvé son refuge pour abriter sa vie de famille, en toute discrétion. Fini les photos de paparazzis qui l’avaient surpris, peu après son élection, au bras d’Anne Pingeot, lors d’une promenade dans la propriété de François de Grossouvre. À Souzy-la-Briche, protégée par de hauts murs, la seconde famille du Président va pouvoir passer au calme ses week-ends, pendant treize ans, jusqu’au départ de l’Élysée.
Gilles Ménage et André Rousselet, les collaborateurs du chef de l’État, n’ont pas ménagé leur peine pour trouver ce havre secret dans le catalogue des résidences de la République.
Rambouillet et Marly, lieux des chasses présidentielles
Le président Vincent Auriol, un habitué des chasses de Rambouillet. AFP
Le château de Rambouillet, rattaché à la présidence de la République depuis 1883, aurait été parfait, mais il est trop connu et trop utilisé pour des raisons officielles. C’est, depuis un siècle, le lieu des chasses présidentielles. Tous les présidents de la IIIe et de la IVe République y ont passé la saison estivale, à la manière des rois de France qui allaient de château en château au gré des saisons - en République, les habitudes monarchiques ne sont jamais bien loin. D’un simple rendez-vous de chasse, Rambouillet est devenu la résidence de campagne des présidents, pour l’été ou pour le week-end ; à l’époque de Vincent Auriol, on y a aménagé des dizaines de chambres pour pouvoir accueillir des délégations entières. Le confort moderne y est installé, un appartement d’apparat y est décoré par Jean Pascaud dans la tour François Ier - confort qui ne suffit pas à Khrouchtchev, qui, en prenant son bain lors de son séjour en 1960, se retrouve sans eau chaude.
À lire aussi : Rambouillet, le château fantôme
Pompidou aimait y convier ses proches, dès le vendredi soir, avant une journée entière consacrée à la chasse, y compris le pique-nique dans une clairière au milieu de la forêt, préparé par la cuisine de l’Élysée. Giscard d’Estaing apprécie également Rambouillet, pour la chasse, qu’il pratique avec ses invités le samedi et seul ou en famille le dimanche, mais aussi pour recevoir. Reprenant une tradition d’avant-guerre, il y reçoit le Conseil des ministres à plusieurs reprises, et lorsqu’il a l’idée d’organiser, pour la première fois, un sommet des dirigeants des pays les plus puissants du bloc de l’Ouest, Rambouillet s’impose comme le lieu idéal des débats, avec le président américain Gerald Ford en invité d’honneur. Pendant quelques jours, la petite ville des Yvelines devient le centre du monde occidental et inaugure les sommets du G7.
Visite d’État à Rambouillet le 22 juillet 1959 pour l’empereur d’Éthiopie, Haïlé Sélassié. © Roger-Viollet
Marly était une autre possibilité. Au cœur d’un ancien domaine royal, le petit pavillon est lui aussi dévolu à la chasse. Plus rustique que Rambouillet, il a le charme de l’intimité ; c’est là que de Gaulle s’est réfugié, en 1946, pour échapper au «retour des partis» qui menaçaient la reconstruction de la France. En attendant que La Boisserie, dévastée par les Allemands, ne soit restaurée, il s’installe pendant quatre mois à Marly avec Yvonne et leur fille Anne. Au fond du jardin, un petit pavillon est transformé en bureau, où le Général reçoit ses compagnons et jette sur le papier les premiers mots de ses Mémoires de guerre. Une fois revenu au pouvoir, de Gaulle réserve Marly à la discrétion ; quelques chasses, peu de réceptions. Seul Adenauer est convié, en toute simplicité - les lieux ne permettent pas vraiment d’y déployer le faste de la République -, au point que de Gaulle s’assied pour le dîner à côté du chancelier allemand, en dépit du protocole, comme une marque de confiance et d’amitié. Le président du Dahomey et celui du Pakistan sont les seuls à venir chasser, privilège d’autant plus grand que de Gaulle n’y assiste pas, pour leur épargner sa présence.
Chez le Roi-Soleil
Mais Marly est étriqué, au milieu d’un domaine ouvert aux promeneurs. Trop risqué pour abriter une vie de famille secrète. Mitterrand ne s’y installe pas, mais il y tient, dans les premières semaines de 1988, de discrets conciliabules pour préparer sa réélection. Chaque lundi, après sa partie de golf hebdomadaire à Saint-Cloud ou à Villacoublay, le Président réunit les caciques du Parti socialiste ; autour d’un copieux buffet, Pierre Bérégovoy, Roland Dumas, Édith Cresson, Laurent Fabius, Pierre Joxe, Louis Mermaz, Jean-Louis Bianco se rassemblent pour faire réélire Mitterrand. Le 22 mars, lorsque la candidature est enfin officielle, Marly referme ses portes. Deux décennies plus tard, le domaine est rattaché à celui du château de Versailles.
À lire aussi : La salle du Congrès: une enclave républicaine dans le château de Versailles
Versailles, justement! Ni Mitterrand ni un autre président n’ont probablement eu l’idée de s’y installer durablement. Trop exposé, trop fastueux, trop lourd de symboles. L’ancienne demeure des rois de France n’a pourtant jamais été abandonnée par la République. Bien au contraire, elle y est née, avec les lois constitutionnelles de 1875 votées dans l’opéra de Louis XV. À la fin du XIXe siècle, Félix Faure y a reçu le tsar de Russie, à la manière d’un souverain d’Ancien Régime, et ses successeurs ont repris cette habitude de recevoir à Versailles leurs homologues étrangers, avec plus ou moins de faste. Mais de Gaulle va plus loin, en faisant du palais de Louis XIV une demeure officielle de la République. Il n’ignore pas la charge symbolique du lieu ni son prestige à l’étranger. Les réceptions se multiplient sous sa présidence: Khrouchtchev en 1960, Kennedy l’année suivante, le roi des Belges, le shah d’Iran, le roi du Danemark…
André Malraux, ministre de la Culture, fait visiter les jardins du château de Versailles à Nikita Khrouchtchev, le 2 avril 1960. REPORTERS ASSOCIES/Gamma-Rapho
Au milieu de l’été 1961, le Général débarque à l’improviste au château, en fin d’après-midi: il est à la recherche d’un lieu destiné à recevoir les chefs d’État étrangers. Et il ajoute devant le conservateur du musée: «Il faut admettre que le chef de l’État est mal logé à l’Élysée, qui est trop petit et est placé au milieu des automobiles. Il n’est pas impossible d’envisager que le chef de l’État vienne un jour habiter à Trianon.» Trianon, l’annexe du château, au fond du parc, est aménagé en un temps record en résidence officielle, destinée à accueillir les homologues étrangers en visite officielle. On fait fi des difficultés techniques et financières ; la loi-programme sur les monuments historiques votée en 1962, qui devait permettre la restauration de sept fleurons emblématiques de la grandeur de la France (Versailles, le Louvre, les Invalides, Vincennes, Fontainebleau, Chambord et la cathédrale de Reims), sert abondamment au chantier de Trianon.
Le président Pompidou fait à la reine d’Angleterre les faveurs du Grand Trianon en mai 1972. Michel LE TAC/PARISMATCH/SCOOP
Pour 45 millions de francs - la loi-programme prévoyait en tout 180 millions -, la République dispose d’une résidence de luxe dans le parc de Versailles. L’aile sud est dévolue aux hôtes étrangers, la partie centrale accueille les pièces de réception et l’aile de Trianon-sous-Bois, au nord, est réservée au président de la République: une quinzaine de pièces en enfilade, sur deux niveaux, meublées par le Mobilier national de manière sobre et subtile, sans ostentation, presque bourgeoise, pour que le chef de l’État soit chez lui à Trianon. De Gaulle n’y couchera pas, pas plus que Pompidou. Seul Valéry Giscard d’Estaing en profite sans sourciller. Un midi de février 1976, c’est dans la galerie des Cotelle et le salon des Jardins attenant que le président célèbre avec ses proches son cinquantième anniversaire ; le parc n’a pas été fermé au public et les quelques promeneurs peuvent apercevoir, par les fenêtres, les éclats d’une fête familiale dans le petit palais du Roi-Soleil.
Vladimir Poutine et Emmanuel Macron dans la galerie des Batailles de Versailles. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Piscine et tennis à la lanterne
Trianon-sous-Bois est finalement rendu au château de Versailles en 2008. À cette date, le locataire de l’Élysée a trouvé mieux que les ors de Louis XIV, à l’autre bout du grand canal: en lisière du parc de Versailles, derrière de hauts murs de pierre, Nicolas Sarkozy s’est installé au pavillon de la Lanterne.
Ironie du sort, c’est en s’attribuant la demeure habituellement dévolue au premier ministre que Nicolas Sarkozy a dévoilé son existence au grand public. Connue de quelques initiés, la Lanterne était jusque-là la résidence la plus secrète et la plus cossue de la République. Sans la grandiloquence de Rambouillet et de Trianon, loin de la rusticité de Marly, plus élégante que Souzy-la-Briche, elle est à taille humaine: un élégant corps de bâtiment du XVIIIe siècle encadré de deux ailes de communs, aménagés en bureau et en chambres pour les gardes du corps, elle a le profil d’une maison de famille, à 15 kilomètres de Paris. Les premiers ministres ne s’y sont pas trompés: tous, depuis 1959 et la mise à disposition du pavillon à l’occupant de Matignon, en ont profité avec délice. À l’abri des regards indiscrets, au cœur d’un parc privé de plusieurs hectares, on vit à la Lanterne sans que rien ne filtre à l’extérieur. Même la construction, demandée par Michel Rocard, d’une piscine et d’un terrain de tennis n’a pas eu grand écho, hormis quelques lignes dans Le Canard enchaîné. Les fonctionnaires du ministère de la Culture ont pourtant rechigné à accorder l’autorisation de travaux, au cœur du domaine protégé de Versailles, à quelques centaines de mètres du château. C’est le ministre lui-même qui a dû signer l’autorisation, pour «la réalisation d’un bassin de natation et d’un local technique».
À Versailles, Michel Rocard rénove l’ancien pavillon de chasse et y construit une piscine et un court de tennis. Daniel SIMON / Gamma-Rapho
Dans l’intimité familiale
À l’instar des précédents occupants, Nicolas Sarkozy investit les lieux en famille, avec ses amis. Il y célèbre son mariage avec Carla Bruni et profite des premiers sourires de sa fille. Il y travaille aussi ; en 2007, c’est là qu’il constitue son premier gouvernement. Il y tient fréquemment des réunions de travail avec ses collaborateurs. Une fois seulement, les portes de la Lanterne s’ouvrent aux journalistes. Le Président y reçoit, en 2008, le premier ministre britannique, Gordon Brown, pour une réunion de travail. Mais l’expérience ne sera pas renouvelée: la Lanterne est une maison de famille et n’est pas adaptée aux réunions officielles. Ses successeurs François Hollande et Emmanuel Macron conservent la Lanterne, mais pour leur usage propre.
La Lanterne, à Versailles, fut longtemps la résidence des premiers ministres. Laurent GRANDGUILLOT/REA
Une autre résidence permet de mélanger l’intimité et la diplomatie. Perché au-dessus de la mer Méditerranée, le fort de Brégançon a des airs de paradis. Pour y accéder, on doit emprunter un chemin qui traverse la propriété du voisin, le grand-duc du Luxembourg. Malgré l’opposition des services de l’Élysée, le fort est devenu résidence officielle des présidents sous le général de Gaulle, qui n’y passe pourtant qu’une nuit, dévoré par les moustiques, à l’occasion des 20 ans du débarquement de Provence. Ses successeurs profitent du fort, surtout Georges Pompidou, un amoureux de la Côte d’Azur, qui y dispute d’épiques parties de pétanque avec ses gardes du corps. Sa femme Claude remplace le lourd mobilier installé par de Gaulle par une décoration estivale et élégante.
La ronde des paparazzis
François Mitterrand au fort de Brégançon avec le chancelier Helmut Kohl, le 24 août 1985. PIERRE CIOT/AFP
À partir de Valéry Giscard d’Estaing, Brégançon passe sous les projecteurs: le lieu est exposé, la plage est visible de tous, les paparazzis rôdent ; on y invite des responsables politiques, sans discrétion possible - le week-end de Pentecôte 1976 avec son premier ministre Jacques Chirac achève de ruiner leur relation. À peine une semaine plus tard, le récit des deux jours catastrophiques sort dans la presse, affirmé par les uns, démenti par les autres: Giscard assis sur un fauteuil pendant que les autres convives ont droit à des chaises, le dîner de travail qui se transforme en conversation mondaine avec les enfants et le professeur de ski du président…
À lire aussi : Brégançon et la politique de la détente
Les réceptions diplomatiques sont mises en scène et témoignent de l’importance donnée à une relation officielle, mais conviviale: Mitterrand y convie ainsi son partenaire allemand Helmut Kohl, Chirac l’Algérien Bouteflika, Sarkozy l’Américaine Condoleezza Rice, en pleine crise ukrainienne. Depuis trois ans, Emmanuel Macron tente de retrouver de l’intimité à Brégançon ; des vacances discrètes, loin des regards, grâce à la piscine hors sol construite dans le jardin. Mais la politique n’est jamais loin: Angela Merkel est l’invitée du Président à l’été 2020, sous les flashs des journalistes.
Nicolas Sarkozy reçoit à Brégançon la secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice, le 14 août 2008. PHILIPPE LAURENSON/AFP
En 1968, lorsque de Gaulle fait de Brégançon une résidence officielle, il a à sa disposition six lieux de villégiature: les châteaux de Rambouillet, Champs-sur-Marne (réservé aux chefs d’État africains) et Vizille (où le Général ne dort qu’une seule nuit), le pavillon de Marly-le-Roi, le fort de Brégançon et Trianon-sous-Bois, auxquels s’ajoutent la Lanterne pour le premier ministre et Chambord pour les chasses. Cinquante ans plus tard, l’État a fait des économies et abandonné la plupart d’entre eux. Le président passe ses week-ends à la Lanterne et ses vacances à Brégançon. Mais, derrière les murs du parc de Versailles et au-dessus de la Méditerranée, le silence est d’or et les secrets de la République restent bien gardés.
Le fort de Brégançon, dans le Var, lieu officiel de villégiature pour les présidents de la République. ALAIN ROBERT/SIPA
Fabien Oppermann est l’auteur de Dans les châteaux de la République. Le pouvoir à l’abri des regards, paru chez Tallandier en 2019.
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#savoir-faire #madeinfrance @chateauversailles First steps of the renovation of the painting by Jean Cotelle (1645-1708) "View of the Parterres of Trianon with Flore and Zephyr" (1689-1691) ordered with twenty other paintings for the gallery of Trianon. #chateaudeversailles Premières étapes de nettoyage du tableau de Jean Cotelle (1645-1708) "Vue des Parterres de Trianon avec Flore et Zéphyr" (1689-1691) commandé avec vingt autres tableaux pour la galerie de Trianon. #palaceofversailles #versailles #chateauversailles #restauration #restoration #trianon #grandtrianon #versaillescollections EPV / Thomas Garnier #runwaymagazineusa #ParisNewYorkLosAngeles @runwaymagazines #EleonoradeGray #EditorinChief #ParisNewYorkLosAngeles #Official #runwaymagazine
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comtessezouboff · 10 months
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Poll, part 2!✨️
So, the results were VERY even, so here are the 4 finalists, choose wisely! Remember to reblog it so it reaches as much people as possible!
In the meantime, I'll prepare this week's post ✨️
⚠️DISCLAIMER ⚠️
Note that the options showing different parts will not be uploaded together, but weekly
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comtessezouboff · 10 months
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Poll!✨️
I'm preparing this week's post, but in the meantime, I'd love to know your opinion in order to know what my next posts will be about, so feel free to vote!
The poll will be availble for 1 week, I've already arranged next week's post just in case, so do not worry! Have a nice day!
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mrtri91 · 4 years
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Palais de Marbre
Long time no post, so I decided to share a new building, that is very special to my heart. The Palais de Marbre is the main residence of the Grand Duchesse Marie Louise of Brindleton Bay. As one may recoginze, it is based on the beautiful Grand Trianon in Versailles. Event he rooms are based on the interiors I love the most there. I recoloured many things to match and do the interiors justice. So I hope you like it as much as I do
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You enter the building on the side and will find yourself in the vestibule
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From there one has the opportunities to enter the official rooms and the private rooms of the Grand Duchesse. So first the more public ones - the Galerie des Cotelle for dancing or other court events
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Next to it is the Salon de reception or Salon des Malachites. It is intented for audiences and filled with presents of the Tsar of Russia to the Grand Duchesse made out of malachite.
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The first more privat room is the so called ‘Salon de la Chapelle’ which is used as a private dining room. The name comes from the small alcove, which can be closed, where a small chapelle is located
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Next to it is the most important and biggest room - the Chambre de la Grand Duchesse - parted by columns from the Cabinet de la Toilette
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At the end of the enfilade is the Salon des Glaces, which is used as private salon by the sovereign for entertaining and studying her creative interests like music and painting
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Behind those rooms are the most intimate ones, like the bathroom
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There you can directly enter the alcove in the bedroom and with this shot - my favourite one - I close this little tour :)
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