Tumgik
#garçon efféminé
thomas-querqy · 2 years
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Joyland réalisé par Saim Sadiq avec... 😍
2 h O6 qu’on ne voit pas passer. Les mots ont-ils encore un sens ? A recommander à toutes celles qui n’ont que les mot patriarcat et masculinité toxique à la bouche pour parler des hommes dans nos contrées.
Les stéréotypes de genre sont dans ce film complètement bousculés : Haider (Ali Junejo), bel homme, est d’une douceur toute féminine sans être aucunement efféminé, tandis que son amante, le trans Biba (Alina Khan), dont le grand projet est de se faire couper la bite pour être pleinement femme, est d’une violence plus masculine que féminine.
Cette inversion, mais aussi celle avec son épouse, m’a rappelé celle que l’on trouve dans le film “les combattants” de Thomas Cailley, entre Madeleine (Adèle Haenel), le garçon manqué, et le bel Arnaud d’une douceur toute féminine (Kevin Azaïs).
L’Inde en trans : les hijras dans les NGT 2008
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christophe76460 · 1 month
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Bon dimanche à tous
*Méditation du 18 Août 2024*
*DIEU, LE SEXE, ET TOI (2)*
ll y a un salaire pour tous ceux qui violent les instructions de Dieu concernant la vie sexuelle.
Ce salaire est à deux dimensions. La première c'est I'avance de solde et la deuxième c'est
le salaire complet. Tu as certainement envie de savoir en détail de quel salaire je parle.
L'avance de solde inclut les jeunes filles qui vont à l'école et deviennent enceintes. Cela
entraîne la naissance d'un bébé qui n'est désiré ni par sa mère, ni par son père, et qui risque
de ne pas grandir dans un foyer où il recevra amour et soins. Un tel enfant souffre beaucoup
psychologiquement, et plus tard, il aura tendance à produire des enfants qui lui ressemblent.
Car" Tel père, tel fils". Ou bien, la fille peut commettre un avortement. Un enfant est ainsi
tué! La mère porte toute sa vie la culpabilité d'un meurtre. Elle pourrait devenir stérile à
cause de I'avortement et ne plus jamais avoir d'enfants. Ceci pourrait conduire à un mariage
malheureux ou à un divorce. Sa carrière pourrait être détruite parce qu'elle a dû quitter
l'école à cause de cette grossesse. Elle pourrait ne plus jamais se marier, car plusieurs
hommes ne veulent pas épouser des filles qui ont déjà eu des enfants avec d'autres
hommes. Les espoirs des parents pourraient s'effondrer, etc. Aimerais-tu que cela arrive à ta
fille? Aimerais-tu être ce bâtard ?
Le garçon pourrait attraper une maladie vénérienne qui détruira sa santé, ses finances et le
rendra stérile ou impuissant Il pourrait transmettre la maladie à d'autres, à sa femme, à ses
enfants, et faire ainsi souffrir beaucoup de gens. Aimerais-tu être un tel homme ?
La femme pourrait ne voir son mari qu'à 2 heures du matin chaque jour. L'argent pourrait être
dépensé pour la femme du dehors, alors qu'il n 'y a rien pour l'épouse et les enfants à la
maison. Aimerais-tu être cette femme ? Le mari pourrait être tué et jeté dans le fleuve pour
qu'un autre homme le remplace. Ce sont là juste quelques exemples d'avance de solde que
reçoivent ici-bas ceux qui pratiquent le sexe en dehors des instructions de Dieu.
Le salaire complet viendra aussi. L'avance de solde n’est qu'une assurance que le salaire
complet arrive. Au jour du jugement, Dieu punira tous ceux qui ont violé Sa loi, en les jetant
dans l'étang de feu. La Bible dit : *Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les*
*meurtriers, les impudiques (fornicateurs), les enchanteurs, les idolâtres, et tous les*
*menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre ce qui est la seconde mort* (
Apocalype 21 :8). La Bible dit encore: *Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point*
*le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques (fornicateurs), ni les*
*idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni*
*les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu* (1
Corinthiens : 9 -10).
Ceci veut dire que si tu as commis n'importe quel péché sexuel que ce soit en pensée ou en
acte, ou bien si tu as commis n'importe quel autre péché, tu iras dans l'étang de feu. Peu
importe que tu aies péché une seule fois ou plusieurs fois. Tu es perdu(e). Tu ne peux pas
te cacher loin de Dieu. Il te connaît et toute ta vie est enregistrée devant Lui. Il faut qu'Il te
paie pour tes actions, tes paroles et tes pensées pécheresses.
Bien que tout le monde ait péché d'une manière ou d'une autre, spécialement dans le
domaine sexuel, Dieu aime le pécheur. Toi qui es fornicateur, adultère, toi qui as commis
I'avortement ou as transmis des maladies vénériennes aux gens, Dieu t'aime beaucoup. Il a
manifesté Son amour pour toi non à travers une philosophie, ou une religion ; mais à travers
une personne. Cette personne, c'est Jésus-Christ. La Bible dit : *Car Dieu a tant aimé le*
*monde qu'Il a donné Son Fils unique ,afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais*
*qu'il ait la vie éternelle* (Jean 3:16). Dieu a envoyé Jésus-Christ dans le monde pour sauver
les pécheurs. Jésus-Christ est allé à la croix mourir là où tu aurais dû mourir, à cause de ton
péché et de tes péchés. Toute l'immoralité que tu as jamais commise a été mise sur Lui et Il
I' a portée pour toi et est mort à ta place. Il a été puni pour toi afin que Dieu ne te punisse pas
au jour du jugement à cause de tes péchés. Il n'est pas seulement mort pour toi, Il est
ressuscité des morts et Il vit à jamais. Il est prêt à venir dans ta vie par Son Saint-Esprit et à
réparer tout ce qui dans ta vie est brisé et déréglé à cause de tes péchés passés. Il est prêt
à te redonner ta virginité, à te guérir de tes maladies vénériennes et à ôter ton impuissance
et ta stérilité. Il est prêt à te guérir de tes problèmes psychologiques et émotionnels, Il est
prêt à guérir ton foyer brisé et à restaurer une bonne relation entre toi et tes parents ou tes
enfants. Il est prêt à te changer radicalement de manière que tu puisses devenir la personne
merveilleuse qu'Il voulait que tu sois. Oui, Il veut faire cela et à la fin te donner la vie
éternelle. La Bible dit : *Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses*
*anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles* (2 Corinthiens
5:17).
Je suis persuadé que tu veux sûrement être pardonné(e) par Dieu, uni(e) avec Jésus et
libéré(e) du salaire du péché. Je crois que tu veux le faire maintenant. Tu le peux. Jésus
désire ardemment te 'recevoir maintenant. Tu peux prier de la manière suivante, en le
faisant de tout ton coeur. Dieu te répondra immédiatement. Ainsi, prie:
_"Seigneur Dieu, j'ai péché dans mes pensées, mes paroles et mes actes. Je crois que_
_Jésus est mort sur la croix à ma place. Je crois maintenant qu'Il est mon Sauveur et mon_
_Seigneur. Pardonne-moi pour tous les péchés que j'ai commis et guéris-moi de toutes mes_
_maladies. Fais de moi Ton enfant. Envoie Ton Saint-Esprit, afin qu'Il vive en moi maintenant_
_et me donne la force de Te suivre jusqu'à la fin. Merci d'avoir écouté ma prière et d'y avoir_
_répondu maintenant. Amen."_
S i tu as ainsi prié sincèrement, alors Dieu t'a pardonné(e) et tu es maintenant Son enfant.
En tant qu'enfant de Dieu, il faut que tu arrêtes immédiatement toutes tes pratiques de
péché du passé. Ainsi donc, plus de fornication, plus d'adultère, plus de masturbation, plus
de lecture de romans immoraux ; tu ne dois plus fréquenter les endroits qui susciteront en toi
des pensées immorales. Romps immédiatement tes relations avec tes anciens partenaires
de sexe et suis Jésus de tout ton cœur.
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noahndiayeecrit · 2 months
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Partie 1 :
Niels et moi n'étions certes pas dans la même classe, mais nous avions une heure par semaine de cours en commun. Comment le décrire ? Assez grand, la figure svelte et assez musclé. Niels était plutôt beau garçon, particulièrement pour son âge. Il est vrai que tous ne peuvent pas prétendre avoir un aussi beau corps à cet âge.
Niels est le cliché de ce qu'on pourrait attendre d'un homme. Tout ce qui est socialement attendu d'un homme, il le présente. Les filles étaient presque toutes amoureuses de lui et les autres garçons le suivaient tous comme des petits chiens. Il était donc assez populaire. Moi au contraire, je ne suis pas du genre à attirer tout le monde à moi. Je ne suis pas l'homme viril par excellence, beaucoup me disent souvent que je suis assez efféminé et je n'avais à l'époque jamais eu de copine.
Prétendre que je me souviens, dans les moindres détails, de quoi nous avons parlé à notre première rencontre serait faux. Je sais simplement que nous nous sommes directement bien entendus. Les ados sont connus pour être du genre à rire pour un oui ou pour un non, et je dois dire que je ne dérogeais pas à cette règle. A 16 ans, j'étais même plutôt connu pour ma capacité à rire de toute situation. Ce n'était pas particulièrement surprenant que je ris aux larmes avec Niels quand nous étions ensemble. Moi même, je ne trouvais rien d'anormal à cela. Nous nous entendions bien mais ça s'arrêtait à ça. En tout cas, dans mon esprit...
Chaque semaine Niels et moi nous retrouvions en cours de russe, assis l'un à côté de l'autre. Nous passions l'heure à rire aux larmes et rien de plus. Jusqu'à ce jour...
Le prof de russe s'adressait à nous dans la langue de Pouchkine comme à son habitude, et comme à son habitude il feignait de ne pas voir que personne ne comprenait un mot de ce qu'il nous disait. Après quelques minutes à essayer de se concentrer pour saisir ne serait-ce qu'un mot du discours du prof, chacun avait abandonné cette entreprise et s'adonnait désormais à des activités de la plus haute importance. Les uns parlaient à voix haute dans la classe et s’interpellaient d'un bout à l'autre de la pièce, d'autres regardaient par la fenêtre avec l'espoir que leurs souffrances arrivent inopinément à terme. Un des élèves se coupait même les ongles de main et le pied sur la chaise semblait s'interroger sur les possibilités pour lui de se faire aussi une pédicure. Niels et moi tournions les pages du livre de russe, et pouffions à chaque image que nous y voyions, sans qu'il n'y ait de raison particulière de rire. Nous riions comme nous en avions l'habitude. Après plusieurs minutes d'esclaffades qui finirent par couvrir la voix du prof, je fus gentiment invité à quitter la pièce le temps de me calmer. C'est donc hilare et au bord des larmes que je me dirigeai vers la porte pour la traverser. Dans le couloir je pris plusieurs inspirations, tentai de reprendre de mes esprits et consultai instagram sur mon portable. "Tiens, Chloé a posté une nouvelle photo."
Chloé était mon crush à l'époque. Du moins, c'est son nom que je présentais à l'époque lorsque l'on me demandait si j'avais des vues sur quelqu'un. Chloé était une fille de la classe tout à fait charmante et honnêtement, je m'imaginais bien avec elle à l'époque. Nous nous échangions des messages tous les jours et nous nous étions retrouvés plusieurs fois en soirée ensemble. Jusqu'à maintenant, rien de concret ne s'était réellement passé. Toutefois elle restait toujours dans mon esprit et le flirte s'entretenait de façon assez naturelle.
Je like la photo et la porte s'ouvre. Je m'empressai alors de ranger mon téléphone dans ma poche arrière. "C'est bon, enfin calmé ?" "Oui oui c'est bon, désolé encore". Je prenais un ton volontairement un peu gêné pour faire oublier au prof le motif de sa question. J'étais, en effet, parmi la tête de classe et les profs m'appréciaient plutôt bien de manière générale. Je savais que mes petits écarts seraient toujours pardonnés à condition de donner patte blanche et de donner l'impression aux professeurs que mes écarts de conduite me rongeaient de culpabilité.
"Entrez donc." Je me dirigeai donc vers ma table et croisai le regard rieur de Niels sur le chemin. Je sentais le rire monter. Je détournai aussitôt le regard et tentai de trouver en moi la force de retenir ce fou-rire imminent. "Pense à quelque chose de triste !! Pense à quelque chose de triste !!" Je m'assis sur ma chaise et ouvris le livre à nouveau en évitant soigneusement le regard de Niels. J'entrepris de l'ouvrir à la page 32. A la vue de l'image présente sur celle-ci, je crus que j'étais bon pour finir l'heure à la porte. Cherchant à me rassurer et me dire que je n'étais pas seul à vouloir pouffer, je tournai la tête en direction de Niels et tombai droit dans ses yeux. Son regard était plein de sérieux, profond. Ses yeux me scrutaient et semblaient vouloir voir plus loin que les miens. Je perdis de suite l'envie de rire. Mes yeux rieurs se tordirent pour maintenant mimer la surprise. Depuis combien de temps me regardait-il ainsi. Était-ce depuis mon retour ? Et puis, pourquoi ne riait-il pas avec moi ?
Ses lèvres s'arrangèrent de manière à former un léger rictus. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment, je commençai à éprouver un malaise. Ses yeux bleus me fixaient toujours avec la même intensité et bien qu'il me souriait, rien dans ce sourire ne présageait le rire. Il poussa un soupir les yeux toujours rivés sur moi et me décocha un clin d’œil. Je déglutis. Je restai figé pendant 2 voir 5 secondes, je ne sais plus, puis je tournai la tête d'un geste dont la brutalité trahissait mon malaise. Je l'entendis glousser puis se tourner en direction du prof.
Je passai le reste de l'heure pris d'un malaise palpable. Que cela signifiait-il ? Pourquoi Niels m'avait-il regardé de la sorte ? Pour quelle raison son regard m'avait-il fait cet effet ? Les questions défilaient dans ma tête sans que mon esprit me laisse la possibilité de m'attarder ne serait-ce que sur l'une d'elle afin de commencer à trouver ne serait-ce qu'un début de réponse.
Ces trente minutes semblaient être des heures, des jours même. Je sentais la présence de Niels à côté de moi et elle était synonyme de mon inconfort. J'avais l'impression qu'il me scrutait, que j'étais encore prisonnier de son regard bleu, si bleu. Mais que cela signifiait-il ? Étais-je comme tous les autres garçons ? Est-ce que je désirais être comme lui ? Est-ce que je désirais... Non non non !!
"Driiiiiing !!!" Ouf !!! La sonnerie retentit et je m'empresse de rassembler mes affaires et de les ranger dans mon sac. Moi qui avais probablement ces dernières années décrocher le record de lenteur pour quitter une salle de classe, je m'apprêtais à faire le record inverse. Je posai mon sac sur la table, enfilai ma veste -en évitant soigneusement de croiser le regard de Niels-, me levai de ma chaise, passai la porte et me dirigeai vers la sortie du bâtiment B.
Je marchais légèrement plus rapidement qu'à mon habitude. À vrai dire, suffisamment pour semer quelqu'un, et assez pour qu'aucun soupçon ne se lève. J'allais atteindre la porte quand je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retournai et vis Niels, à moitié essoufflé. Il posa ses mains sur ses genoux et leva la tête dans ma direction.
"T'essaies de me semer ?" dit-il d'un ton qui trahissait à la fois sa course et le reproche.
"Haha mais non, juste je suis fatigué de ma journée, et comme j'ai plus cours, j'ai bien l'intention d'aller faire une sieste."
Niels se redressa et se rapprocha de moi. Son corps était désormais à 30 centimètres du mien. Je sentais le sang me rosir les joues. Pourquoi me parle-t-il si proche ? Pourquoi suis-je si gêné ? Qu'est-ce que cela veut-il bien dire ?" Les questions se remirent à fuser.
"Tu m'as fait peur, j'ai cru que tu m'en voulais pour ton séjour dans le couloir." plaisanta-t-il.
"Haha...euh non non, je...euh...c'est pas de ta faute et puis ça fait rien." bredouillai-je.
J'essayais de masquer ma gêne mais rien n'y faisait. Je n'aurais trompé personne. Niels pouffa et posa son regard dans le mien. Il avait le même regard que plus tôt, en classe. Je ne pensais plus à ce moment-là, je ne voyais plus rien autour de moi. Je sentais que Niels, ou plutôt son regard, ses yeux, ses si beaux yeux bleus -je n'avais jamais remarqué avant qu'il avait un si beau regard- me tenaient prisonnier. Nous nous regardâmes comme cela quelques intenses secondes. J'eus l'impression qu'elles duraient une éternité. Mon esprit était vide, je ne pensais plus à rien. Il n'y avait que lui.
"Tom, t'es sérieux à te barrer comme ça sans m'attendre ?" m'interpella Félix me sortant de ma stupeur. Félix était mon camarade de chambre à l'internat. Lui et moi on est un peu comme des frères. Disons qu'on passait tout notre temps ensemble. Les autres à l'internat nous surnommaient "les inséparables". C'est vrai que même les week-end, Félix venait dormir chez moi ou moi chez lui. Nos parents se connaissent depuis avant nos naissances et on est dans la même classe depuis la petite section. Félix c'est vraiment mon meilleur pote.
"Déso, je voulais aller vite à l'internat c'est pour ça." répondis-je.
"Ouais ouais, tu peux attendre genre 5 secondes que j'aille aux toilettes ou sa majesté est trop pressé ?"
"T'inquiète mec je bouge pas."
Félix fit un signe de tête à Niels et se dirigea au demi-trot en direction des toilettes.
"Ouais...euh..." commençai-je d'un ton gêné en évitant le regard de Niels.
"Tu m'as manqué tout-à-l'heure."
Je posai mon regard dans le sien et n'y vis que du sérieux.
"Bref..." il détourna le regard abruptement puis poursuivit "On se voit une prochaine fois mec."
"Ouais ouais à plus."
Niels prit la direction inverse à la mienne et s'éloigna dans le fond du couloir.
Sur le chemin vers l'internat, Félix me parla de league of legends tout le long. J'avoue que je n'écoutais pas vraiment ce qu'il me disait. J'avais l'esprit ailleurs. WHAT THE FUCK? Je crois que cette phrase est la meilleure manière de résumer mon état d'esprit à ce moment là. What the fuck s'est-il passé ?
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maxwellalimasblog · 2 years
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Bonsoir
Moi c'est Maxwell Alima et je vais dorénavant utiliser ce blog pour vous donner les détails sur ma vie de gay au Cameroun pays très homophobe.
Je vous ferais un bref résumé de mes journées puisqu'elles sont souvent très mouvementées, étant donné que je suis un garçon efféminé et gay dans un pays où l'homosexualité est proscrit.
Merci et rendez-vous demain pour plus de détails concernant cette vie de terreur absolue.
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theoppositeofadults · 4 years
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depuis quelques années, j’ai un cousin gay - il n’a jamais fait son coming out, et on n’a jamais posé la question parce que famille catholique blah blah blah, mais on était quasi sûr
pas parce qu’il est efféminé ou à cause d’un stéréotype ou quoi que ce soit mais il nous parle toujours d’un de ses amis et ma tante a un jour fait un commentaire à mon père comme quoi c’était plus qu’un ami ce qui a confirmé nos conclusions 
et à chaque fois qu’on le voit, il nous parle de ce garçon - il va dormir chez machin, il va faire de la muscu avec machin, il part en vacances juste avec machin,... personnellement j’étais sûre que la muscu c’était un euphémisme, j’avais manqué de m’étouffer la dernière fois 
ça fait 4 ans qu’on attend une annonce officielle et on vient d’apprendre qu’il est en couple avec une jeune fille?? depuis des mois?? 
très mauvaise compréhension de notre part, le “plus qu’un ami” c’était juste qu’ils étaient comme des frères. et le pire!!!!! j’ai déjà rencontré l’autre gars et, en gentille cousine, j’ai toujours fait part de mon soutien pour leur relation, mais mon soutien a été mal interprété et maintenant, mon cousin pense que je veux sortir avec le gars. veux mourir. 
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a-room-of-my-own · 4 years
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Plusieurs psychanalystes, psychiatres, pédiatres, initiateurs de l'Observatoire des discours actuels et des pratiques médicales sur l'enfant et l'adolescent*, réagissent au documentaire « Petite fille » de Sébastien Lifshitz, qui fait la promotion du changement de genre chez les enfants.
« Mais si tu prends ma voix, dit la petite sirène à la sorcière, que me restera-t-il ? » Et la sorcière de répondre : « Tends ta jolie langue, afin que je la coupe pour me payer et je te donnerai le philtre tout puissant. » Dans le conte de La Petite sirène de Hans Christian Andersen (1805-1875) paru en 1837, la petite sirène ne parlera plus. Sa transformation lui coûta sa voix. C’est le prix à payer si nous ne continuons pas à nous interroger et à penser le monde tel qu’il va. Les progrès incontestables de la médecine de ces vingt dernières années et en particulier l’endocrinologie et la chirurgie plastique ont rendu possible des « transformations » corporelles qui ont permis à des hommes de devenir des femmes et inversement, du moins en apparence.
ENFANTS ET TRANSGENRISME
Il suffit aujourd’hui de le vouloir avec le blanc-seing du corps médical et de son philtre tout puissant, afin de le pouvoir. Le scalpel, au même titre d’ailleurs qu’un hashtag numérique, vous transforme un homme à la fois dans la chair et sur les réseaux sociaux. Dès lors, se posent des questions éthiques : à quel âge doit-on trancher dans le vif du sujet et rendre possible la demande faite à la médecine de changer de sexe ?
Une récente tribune parue dans The Guardian le 3 décembre dernier met en exergue le cas de Keira Bell, une ancienne patiente, qui regrette le traitement de transformation de genre, a fait valoir qu'elle était trop jeune pour consentir au traitement médical qui a commencé sa transition femme-homme à l'adolescence. Dans une décision de 36 pages, le tribunal a conclu que les enfants de moins de 16 ans qui envisagent de changer de sexe ne sont pas suffisamment mûrs pour donner leur consentement éclairé à se voir prescrire des médicaments bloquant la puberté. Par ce jugement, l'intervention médicale pour les moins de 16 ans souffrant de dysphorie de genre sera plus encadrée.
"Nous assistons encore à une situation de Diktats et d’impératifs catégoriques"
Dans son jugement, la Haute Cour souligne « que les traitements bloqueurs de la puberté apparaissent comme expérimentaux et qu’ils n’ont pas fait suffisamment preuve de leur efficacité à court et long terme ». Cette interrogation sur le genre est particulièrement sensible dans la clinique des adolescents d’aujourd’hui. Ceci n’est sans doute pas un hasard, les adolescents se faisant toujours l’écho de ce qui se trame dans le corps social. En effet, nous assistons à un hypersubjectivisme identitaire « à la demande » qu’une certaine médecine ratifie. Nous assistons encore à une situation de diktats et d’impératifs catégoriques où les discours politiques et militants viennent croiser les discours cliniques au point de se confondre et entraver tout discernement. Certains adolescents qui adhèrent à ces discours vont aussi dans le sens du vent communautariste.
UN DOCUMENTAIRE PROBLÉMATIQUE
Un autre événement médiatique, un documentaire cette fois, a fait des remous chez les professionnels de l’enfance notamment. Le récent film de Sébastien Lifshitz Petite fille ne manque pas de nous interroger au-delà de ses qualités indéniables. Il témoigne du cheminement d’une famille dont l’enfant, Sasha, présente ce que les psychiatres nomment une « dysphorie de genre », symptôme classé récemment dans le manuel de l’Association américaine de psychiatrie (APA) afin de décrire la détresse de la personne transgenre face à un sentiment d’inadéquation entre son sexe biologique et son identité de genre. Depuis 2013, l’APA indique que la non-conformité de genre n’est pas un trouble mental mais une souffrance clinique qui appelle une intervention médicale (non psychiatrique).
Qualifié par Télérama de « bouleversant film d’amour », le documentaire se veut ainsi une ode lumineuse à la liberté d’être soi. Mais est-ce si simple ? La question mérite d’être posée malgré les lignes de vertu qui entourent les discours actuels. De quoi est-il question dans ce film. Un très jeune enfant, Sasha, né garçon, 7 ans est convaincu depuis l’âge de trois ans d’être une fille et depuis lors est en grande souffrance car il fait l’épreuve du regard des autres qui ne comprennent pas sa « différence ». Les petites filles le rejettent car c’est un garçon et les garçons le trouvent trop efféminé. L’école que l’on présente dans le film comme le mauvais élève– la mauvaise mère ? - fait mine de ne rien entendre et campe sur ses positions.
Sa mère l’accompagne, et à plusieurs moments dans le film elle dit : « je voulais une fille », cet énoncé itératif apparaît en filigrane, il est même adressé à la pédopsychiatre jusqu’au moment où le couperet tombe : « non, ce n’est pas ça, le diagnostic est celui de la dysphorie de genre » qui dénote tout de même l’outrecuidance de l’institution médicale, en l’occurrence ici l’hôpital Robert Debré.
La parole de l’enfant, contrairement à ce que nous montre le réalisateur, mérite d’être entendue et nécessite plusieurs consultations et y compris à travers des médiations propres à son âge. La formule au lasso « Je vous ai compris » vient en aplomb taire les angoisses voire même le désarroi que ressentent les parents. « Suffit-il de la seule réponse médicale pour parer au désarroi du sujet en mal d’identité ? », interroge Denis Salas dans son livre Sujet de chair et sujet de droit (D. Salas, Sujet de chair et sujet de droit : la justice face au transsexualisme, PUF, 1994).Et lorsqu’il s’agit d’un enfant ? Qui désire pour lui ?
"Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents"
L’enfant dans le film ne dit-il pas « quand je serai grand, je serai une fille » ? Qu’énonce-t-il lorsqu’il dit vouloir être une fille plus tard ? On ne peut trancher là encore dans le vif du débat sans entendre le désir de l’enfant (le désir par définition c’est aussi ce qui fait rêver). « Nous désirons tellement le bonheur de nos enfants que nous ne nous demandons plus ce qu’ils ont à vivre en propre et quelles sont leurs aspirations véritables. Nous les écrasons sous le poids de nos bonnes intentions », écrit Marcel Gauchet (« L'enfant imaginaire », Le Débat vol. 183, no. 1, 2015, pp. 158-166).
La question qui mérite d’être non seulement posée mais entendue est celle de la place subjective qu’occupe cet enfant dans l’économie familiale et auprès de la mère notamment. Un enfant, seul, ça n’existe pas, il se construit psychiquement avec les premiers autres présents au moment de sa naissance et il lui faut aussi faire un travail psychique pour se séparer d’eux afin de frayer sa propre voie et se singulariser. Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents.
PROTÉGER L'ENFANT
Il s’agit de faire fonctionner la parole comme instance tierce au-delà de la relation duelle mère-enfant. C’est aussi le travail psychique de l’enfant que de devoir composer avec des données de départ qu’il n’a pas choisies – un nom, un prénom, une date de naissance, un sexe, une langue, un milieu social et culturel.
Certes, il pourra toujours s’en affranchir, au moins en partie, une fois adulte mais il est nécessaire qu’il s’en saisisse pour mieux s’en délester. Freud affectionnait particulièrement ces vers de Goethe : « Ce dont tu as hérité de tes pères, acquiers-le pour le posséder. » On nous rétorquera encore l’hétéro-patriarcat d’une telle formule si nous la lisons au premier degré. Mais les pères, c’est la lignée, la filiation, ce qui institue l’ordre des générations. Ce n’est pas le papa ! C’est une parabole intéressante pour comprendre ce qu’il en est de la transmission. L’enfant ne choisit ni ses parents ni son sexe, ni son nom en naissant. Il passe sa vie à composer avec ce qui ne lui est pas donné d’emblée, pour mieux s’en accommoder et devenir ce qu’il est avec ce qu’il n’a pas choisi. C’est ce principe qui est fondateur du genre humain. Il est contraint, il ne peut pas tout.
C’est donc ce questionnement qui est court-circuité par la pédopsychiatre dans ce film, qui refuse de donner le moindre crédit aux paroles de la mère qui s’interroge. L’air du temps est à la reconnaissance de l’individu dans sa spécificité mais où se situe encore la dialectique avec le collectif si ce dernier ne peut plus être rien d’autre que l’assentiment donné à la revendication du particulier.
À aucun moment dans le film, le réalisateur ne se pose la question des difficultés engendrées par une intervention du médical sur le corps de l’enfant : traitement hormonal pour bloquer sa puberté puis plus âgé s’il maintient sa demande, des interventions chirurgicales qui vont trancher dans la chair. Il s’agit d’empêcher la virilisation en ratifiant un ressenti qui pourrait s’avérer transitoire.
"Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite "
À aucun moment, le réalisateur n’interroge les conséquences d’un tel choix, nous assistons plutôt à un film laudatif et prosélyte qui occulte superbement toute la complexité du psychisme et tombe dans les travers de l’indigence de certains discours sur les réseaux sociaux qui préemptent tout débat.
La clinique se doit d’accompagner, d’entendre le symptôme, d’éviter tout passage à l’acte irrémédiable surtout chez des sujets en cours de développement et d’autre part permettre une élaboration où la vie psychique se construit, et donne le temps aux réalités interne et externe de se préciser et de s’articuler.
Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite ; il peut certes rêver d’être un autre mais le réel le contraindra toujours et il incombe aux parents de le lui faire entendre. Mais la question mérite d’être posée et la médecine peut accompagner la question sans forcément y répondre de manière tranchée et cela d’autant plus lorsqu’il s’agit d’enfants car la prise en charge relèvera alors davantage de la tératologie que de la thérapeutique.
De manière générale, on peut dès lors se poser la question de savoir si la réponse que donne aujourd’hui le corps médical n’est pas une forfaiture puisque le serment d’Hippocrate, toujours d’actualité, enjoint l’impétrant à d’abord ne pas nuire : primum non nocere.
Signataires :
Céline Masson, professeur des universités, psychanalyste
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre, psychanalyste
Claire Squires, psychiatre, maître de conférences à l’Université de Paris
Éric Ghozlan, docteur en psychologie clinique, membre du Conseil National de la Protection de l’Enfance
Hana Rottman, pédopsychiatre, psychanalyste
Natalie Felzenszwalbe, avocate honoraire
Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, psychanalyste
Isabelle de Mecquenem, professeur agrégé de philosophie
Manuel Maidenberg, pédiatre
Anne-Laure Boch, neurochirurgien, praticien hospitalier à la Pitié Salpêtrière
* Contactable à l'adresse suivante : [email protected]
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louladecadanse · 3 years
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Cœurs brisés
Dans un miroir irisée
M’irrite et me subjugue
Narcissisme bloqué
Des larmes qui fuguent
De mes yeux troublés
Visage efféminé
Beauté anémiée
Notre rencontre, nos âmes emmêlées.
Un personnage de dessin animé
Dans des pixels figés
Un chat qui apparaît et disparaît
Une petite fille maquillée
Qui longtemps a été fustigée
Dans un royaume de cristaux
Perdue, j’aimerais la sauver.
Elle a de l’imagination en rade
Et de l’humour dans sa parade
Lorsque je l’ai croisé
J’ai ressentie mon cœur se déchirer.
Tomber dans une photo
De garçon poupée.
L’éclair froudroyant a éclaircie trop tôt
Ma douleur que je trainais de bas en haut.
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saahble · 3 years
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Vendredi 11.
Je suis le futur mari de la cousine de cet homme. Il n'arrête pas de me regarder sans parler je sais pas s'il veux me frapper ou s'il veux me baiser. J'ai fait ce mariage pour qu'on me laisse tranquille mais je suis tellement femelle, je crois qu' il a capté direct. Ce soir il dort ici je suis dans tout mes états.
Samedi 12.
On a dormi dans la chambre des hommes avec mon frère et un oncle. Comme il n'y avait pas de place et que le suis le plus jeune, je lui ai cédé mon matelas par soumission, mais ca ne se fait pas ici et il a dit:" tranquille on partage" d'un air tellement calme et autoritaire que je n'ai pas insisté. C'est la coutume ici, pas de fausse pudeur et surtout ça choquerait les autres qu'on ne partage pas les matelas. Je me suis couché bien après lui tellement j'étais. Qd je me suis allongé il s'est réveillé à bougé un peu. Puis il s'est tourné de mon côté je ne bougeais plus et attendais qu'il se rendorme mais au lieu de ça il s'approcha encore plus de moi et me pris dans ses bras comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. Il posa quelques baisers dans mon cou comme si j'étais à lui et me serra. J'étais au paradis. Je sentais son odeur chaude de sommeil sa barbe ses muscles et va virilité tendu au max entre mes fesse. Il me donnait des petites pressions avec ses hanches tout en m'embrassant. Mon oncle ronflait et mon grand frère n'était pas encore rentré. Lentement il s'introduit en moi et se dechargea au troisième coup de hanche tellement il était excité. J'avais peur qu'il se retire et se retourne mais il resta en moi jusqu'à ce que sa branche dégonfle. Il se rendormi dans mes bras et me baisa une 2nd fois dans la nuit.
La matinée de samedi je la passait à faire des courses en ville avec mon frère et un pote à lui. Il restait à côté de moi comme si on se connaissait depuis toujours et par moment j'avais l'impression qu'il se comportait comme un homme avec sa femme. J'avais tellement honte et en même temps c'était la sensation la plus agréable au monde. Il était prévenant, attentionné mais de façon détachée et fière, comme si c'était naturel. Il n'essaya pas de me toucher de façon inapproprié pour la culture d'ici mais il me touchait comme les hommes se touchent ici: les bras, la taille, les épaules, les mains... sans que ce soit anbigu. Sauf que pour moi c'était tellement excitant que je ne savais pas où me mettre. Jamais je n'ai eu d'ami garçon, je suis trop efféminé et les hommes me fuient de peur d'être taxé dhomo. Lui est tellement serein tellement masculin que petit à petit je me calmait et arrêtait de me poser des questions sur ce que penserait les autres. Les premières fois qu'il m'a pris le bras ou par l'épaule je le regardais en sursaut et lui plongeait son regard d'acier dans mes yeux l'air de vouloir dire: bébé tu crains rien, tu es avec moi." Et tout mon être s'enflammait. Les courses finies on rentra pour manger.
Il se mit en face de moi et me regarda de cette même façon que la veille sauf que cette fois je savais qu'il n'avait pas envie de me frapper. Je le contemplais, son visage tellement macho, sévère, son corps d'athlète . Et savoir que cet homme tellement beau, tellement "hétéro", tellement inaccessible et en même temps tellement calme et sur de lui, de sa puissance et de sa supériorité, était en train de me regarder comme si j'étais à lui me faisait transpirer d'anticipation. Lui ne montrait aucun signe d'impatience comme s'il savait qu'il aurait ce qu'il voulait. Et c'était vrai de toute façon.
A la fin du repas tout le monde se leva pour aller faire une sieste. J'étais gêné, je ne savais pas trop où aller faire ma sieste mais il m'attendi en me regardant comme si je devais le suivre. Mon coeur n'en pouvait plus j'étais à lui et je le suivit dans la chambre. Mon frère resta dans le salon, mon oncle sorti. Il marchait devant, droit et fier, les pieds trop grands et trop larges pour les tatanes que je lui avais passé. Arrivés dans la chambre il se retourna tranquillement et s'approcha lentement vers moi le front baissé dans une attitude de domination puis m'embrassa lentement, passionnément. Puis il me pris dans ses bras et me serra longuement. Je sentais le battements de son coeur sa respiration accélérée et surtout sa branche entre mes jambes plus dure que jamais. Nous restames un moment comme ça puis il m'allongea à côté de lui. Il ne tenta rien et mon non plus c'était trop risqué. Alors il mis sa tête sur mon ventre et pris ma main comme les mecs font ici sans que cela choque. Je posais mon autre main timidement sur ses cheveux. Il eu l'air d'apprécier alors je commençais à lui caresser les cheveux. Il ferma les yeux, mon autre main entre ses mains sur sa poitrine. J'osais lui caresser la barbe et il ouvrit lentement les yeux et me regarda. Il me fit comprendre qu'il voulait que je l'embrasse alors je lui obeis. Je me penchait vers lui et me donna le plus amoureux des baisers. Un bruit nous ramena à la réalité mais il ne bougea pas d'un centimètre, sûr de lui. Moi j'étais hyper nerveux et je préférais me lever et sortir. Je senti que ça l'avait contrarié et il poussa un gros soupir agacé des narines. Un moment après je retournais dans la chambre et il dormait comme un bébé mais comme un dieu. Les bras écartés derrière la tête je me sentais attiré comme un aimant et j'avais envie de me blottir cintre lui. Mais je ressorti pour le laisser dormir. Un peu plus tard je retournait dans la chambre pour le réveiller on devait ressortir. Il était toujours dans la même position se réveilla tranquillement et s'étira. J'allais dans la salle de bain pour me laver les dents et il arriva. Il avait ses petits yeux endormi et il souriait légèrement. J'étais soulagé j'avais eu peur qu'il m'en veuille d'être parti tout à l'heure. Je crois que c'était la première fois que le je voyais sourire il était tellement mignon. Et comme il m'avait pris dans ses bras la première nuit, il s'avança vers moi avec sa tête d'endormi et son sourire et mentoura de ses bras puissants fourra sa tête dans mon cou et me serra. J'étais complètement désarmé par son naturel et sa nonchalance. Puis il l'embrassa le coup des sera ses bras et pris sa brosse à dents pour les laver. Je retournais au salon l'attendre et nous ressortimes. Cette fois-ci nous étions que tout les deux. Nous ne parlions presque pas mais de la façon dont il se comportait j'étais clairement comme "sa" petite-amie. Jamais nous n'avons parlé de mon mariage avec sa cousine. J'avais l'impression que j'étais marié à lui. Nous rentrames pour dîner.
Dimanche 13
Après le dîner d'hier nous sommes sorti prendre une glace avec tte la famille, il faisait tellement chaud. Nous fîmes un tour dans un parc de la ville. L'éclairage y est quasiment inexistant mais la lune et les lumières de la ville suffisent pour y voir. Nous nous arreterent devant l'étang et on s'asseya. Nous étions à côté sans nous toucher et nous étions pieds nus sur le gazon. A un moment il écarta les jambes et son pied toucha le mien. Je tressaillis légèrement et compris immédiatement qu'il avait fait exprès. Ça me rendit tellement heureux. Par moment, au gré de la discussion avec les autres membres de la famille, il bougeait et je sentais qu'il me faisait des caresses avec son pied et je répondais bougeant mes orteils pour lui montrer que je recevais ses messages. Finalement tout le monde rentra. Il se coucha comme la veille et moi un peu plus tard. Et comme la veille il me pris dans ses bras quand je me couchait. Mais il avait l'air plus chaud plus excité.
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nemogirlavatars · 4 years
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6persoschallenge
Merci @mysterious-corvidae pour le challenge, qui m’a beaucoup plu. J’ai pris énormément de plaisir à travailler sur ces avatars ! 
J’ai décidé de présenter six personnages que je joue, ai joués ou veux jouer. Ils viennent tous d’un seul forum car c’est le seul sur lequel j’ai pu vraiment jouer depuis six ans. C’est d’ailleurs l’unique forum sur lequel j’ai joué depuis deux ans. Je ne me souviens pas vraiment de mes anciens personnages.
Voici donc : Murphy - Aphrodite - Elena - Hunter - Irina - Elia
J’ai choisi d’intégrer les titres des rp qui ont marqué l’histoire de ces personnages. Je n’ai pas encore joué Elia (qui sait, peut-être que je ne la jouerai pas), donc c’est volontairement que je l’ai laissée sans texte.
Le forum sur lequel je joue tous ces personnages est un dérivé HP.
Murphy (Holland Roden) : ma préférée
Murphy, c’est ma chouchoute, c’est aussi le personnage que j’ai joué le plus longtemps. Créée en 2014 sur un autre forum, elle était élève à Poudlard, ultra timide, silencieuse, studieuse, rancunière et effrayée. Malheureusement je n’ai pas réussi à l’exploiter. Lorsque j’ai quitté le forum, j’étais tellement attachée à ce personnage que j’ai tenté de l’intégrer sur d’autres fo, toujours dans un contexte HP. Mon irl a fait que je n’ai jamais réussi à la faire avancer, à lui créer une vraie trame. Puis je l’ai ressortie sur ce nouveau forum, sur lequel j’étais déjà intégrée. Murphy avait grandi, elle était médicomage, s’était faite abandonnée par son âme soeur, avait coupé les ponts avec son père. Et qu’est-ce qu’elle a évolué, ma Murphy ! De timide, secrète et effarouchée elle est devenue forte et confiante. Son âme-soeur est revenue, elle a découvert qu’il était lycan (d’où les lunes), elle est mariée et mère d’un petit garçon.
Aphrodite (Ginny Gardner) : celle qui me ressemble le plus
Semi-vélane, Aphrodite vit extrêmement mal sa condition. Elle tombe amoureuse très vite et très fort, elle est extrêmement engagée dans différentes causes et est la présidente d’une association qui lutte pour les droits de tou.te.s. C’est une apprenti journaliste, qui finit ses études cette année. Après des hauts et des bas, ma petite Apéro est sur la voie de l’acceptation de soi.
Elena (Ana de Armas) : celle que j’aurais aimé jouer plus
Elena est née-moldu, espagnole et a grandi dans une famille très catholique. Elle a toujours été le mouton noir de sa famille, rejetée à cause de sa magie. A côté des études de magie, elle a été obligée de suivre le cursus moldu. Très scientifique, elle effectuait une thèse pour tenter de lier les sciences moldues à la magie. Studieuse, stressée et au bord du burn-out, Elena est un personnage auquel je tiens particulièrement. Je l’ai jouée deux fois sur le même forum, mais malheureusement je n’ai pas réussi à correctement l’exploiter. Je ne pense pas que je la rejouerai un jour, mais elle garde une place spéciale dans mon coeur.
Hunter (Joe Keery) : celui qui sort des codes
Hunter, c’est mon premier (et seul) garçon. Ancien danseur étoile, il est maintenant prof de danse dans un centre artistique et rêve de monter sa propre compagnie de ballet. Il est rieur, impulsif, original, drama king, dragueur, lâche et je l’aime d’amour. J’ai eu un peu de mal à me l’approprier au début, ne souhaitant ni surjouer la virilité, ni qu’il soit trop efféminé. 
Irina (Courtney Eaton) : celle qui m’a fait renouer avec le rp
Irina, c’est la femme forte, carriériste, féministe et ambitieuse. Elevée dans une famille de sang-pur, orpheline de mère, elle a grandi sous le feu des projecteurs, constamment épiée par les paparazzis. Fille d’un ministre de la magie, elle a à coeur de se faire son propre nom dans le monde politique. Ayant réussi à s’échapper de fiançailles arrangées avec un homme violent, elle s’était embourbée dans un drama compliqué et je n’avais plus forcément envie de continuer sur cette voie, donc j’ai décidé de la laisser. Elle continue de vivre dans ma tête, tranquillement.
Elia (Lili Collins) : celle que j’aimerais jouer
Elia est un personnage qui est en train de se créer doucement dans ma tête, et je n’ai malheureusement pas le temps de la jouer pour le moment. Fille de bonne famille, sang-pur, elle a été élevée pour être une parfaite épouse au sorcier qui serait choisi par ses parents. Choyée par son grand-frère, elle a été un peu protégée des attentes de grandeur dues à son nom. Elle est donc très naïve, romantique, fleur bleue et sensible. Lors d’une soirée mondaine, elle devait rencontrer son fiancé, seulement elle apprit quelques jours plus tard que celui-ci rompait les fiançailles, et elle découvrit qu’il avait demandé en mariage sa meilleure amie. Elia ne sait pas comment réagir à cette trahison, elle qui a passé de nombreuses années dans une bulle de douceur, elle découvre un peu tard la cruauté du monde.
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radcaen · 4 years
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Un monde sans genre
Que serait un monde sans genre, et pourquoi les féministes radicales et les abolitionnistes du genre y tiennent tant ? Pour quelqu'un qui n'a pas fait de recherches approfondies sur l'impact du genre dans nos vies, cette question est loin d'avoir une réponse évidente. Laissez-moi essayer de décrire un monde, sans la notion du genre, puis d'approfondir sur les raisons pour lesquelles le genre est toxique.
Le genre dans l'éducation
La socialisation liée au genre commence tôt, très tôt même, avant qu'un enfant ne soit né ses parents ont déjà des attentes qui sont liées au sexe. Vous avez peut-être déjà entendu dire qu'un garçon est plus facile à éduquer, qu'une fille est plus émotionnelle ou coûte plus cher, ce genre de choses.
Dans un monde sans genre, il n'y aurait aucune attente basée sur le sexe en terme de socialisation des enfants. Bien sûr les courbes de poids, les examens médicaux, etc seraient toujours faits en prenant en compte le sexe, mais on n'entendrait plus les médecins ou les parents faire de remarques sur un bébé en disant qu'elle devrait maigrir, ou disant d'un bébé qu'il est un séducteur car il attrape le sein de sa mère.
Les jeunes enfants ne seraient pas non plus codés par couleur avec une gamme de vêtements, de jouets et d'accessoires bleus ou rose, sans autre choix. Il y aurait des gammes de vert, de jaune, de violet, de blanc, de beige, et un garçon pourrait porter tout en rose que personne n'assumerait qu'il s'agit d'une fille juste sur cette base.
En grandissant, les enfants auraient le choix de jouer avec ce qu'ils veulent, et de s'habiller selon leurs goûts. Il n'y aurait pas de rayons de jouets séparés entre "fille" et "garçon", les robes et les jupes ne seraient pas obligatoires pour les filles en certaines occasions, les garçons auraient le droit de mettre du vernis et d'avoir les cheveux longs. Les enfants pourront choisir entre des vêtements confortables et pratiques comme les pantalons ou légers et habillés comme les robes, peu importe leur sexe.
D'un point de vue plus profond, les filles n'entendrait pas tout le temps qu'elles doivent être prudentes, ne pas se salir, faire attention, alors que les garçons sont encouragés à prendre des risques même lorsque cela les mets mal à l'aise. On n'attendrait pas des garçons qu'ils soient violents, jouent à se battre et à la guerre. On ne balayerai pas les protestations d'une fille qui se fait tirer les cheveux ou soulever la jupe d'un cynique "il va falloir t'y habituer" ou "c'est comme ça que sont les garçons, c'est parce qu'il t'aime bien".
Les enfants grandiraient dans un monde ou leur sexe ne joue aucun rôle dans le type de métiers qu'ils peuvent faire. On ne dirait pas "infirmière et médecin", mais "infirmière et infirmier". Les filles ne seront pas destinées à être coiffeuses, mères au foyer et stylistes, tout comme les garçons ne seront pas encouragés qu'à des métiers comme médecin, pompiers ou soldat.
A l'adolescence les choix de filière ne se feront pas non plus selon le sexe, avec des compétences jugées plus "féminines" comme la créativité et le soin, et d'autres plus "masculines" comme l'informatique et le travail manuel. Les jeunes auront l'occasion d'apprendre tout un panel de compétences pour choisir leur voie sans être jugés en fonction de leur sexe.
A l'âge adulte, on pourra observer les mêmes phénomènes que dans l'enfance : les vêtements ne seront pas triés entre femmes et hommes pour des raisons de style, mais pour des raisons de morphologie, et seulement si nécessaire (comme les chemises, ou les sous-vêtements). Il n'y aura plus de rayon femmes et hommes pour les savons, les shampooings, les rasoirs, les crèmes hydratantes, les brosses à dents et les coupes-ongles. Le genre ne sera plus un objet de marketing, chacun-e sera libre de porter et mettre ce qu'iel veut.
Puisque le genre ne sera plus un outil marketing, on pourra observer la disparition de la fameuse "taxe rose" destinée au produits pour filles et femmes. Il n'y aura plus de différence de prix entre les coupes hommes et femmes chez le coiffeur, juste une différence entre les coupes longues ou courtes.
On attendra plus des hommes qu'ils travaillent tard alors même qu'ils ont des enfants à la maison, et des femmes qu'elles arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants. On attendra pas des femmes qu'elles priorisent leur mari et leur famille par rapport à leur carrière professionnelle, tout en attendant le contraire de la part des hommes. Les deux parents auront droit à un congé parentalité égal, avec des aides qui prennent le sexe en compte (car ce n'est pas le père qui aura accouché, bien sûr).
Les notions comme la charge mentale seront mieux réparties car il ne sera pas acceptable socialement pour un père de laisser sa femme tout faire juste parce que "c'est comme ça". Les hommes apprendrons à faire la cuisine, le ménage, à s'occuper des enfants, et feront toutes les tâches quotidiennes au même titre que les femmes. Il ne sera pas vu comme bizarre qu'une femme répare la voiture ou s'occupe du jardin.
On attendra pas plus des femmes qu'elles aient des enfants que des hommes, car la maternité ne sera considérée que comme une option possible en raison de leur sexe, et pas un rôle dans la société.
Les homosexuel-les ne seront pas jugé-es sur leur apparence trop féminine ou masculine. On ne leur dira plus qu'iels "imitent" l'autre sexe et on ne les discriminera pas sur le fait qu'iels ne peuvent pas avoir d'enfants biologiques. Comme la sexualité ne sera plus genrée, il y a des chances qu'iels expérimentent moins de discriminations basée sur leur attirance exclusive pour le même sexe.
Genre et discriminations
Le genre n'est pas la source des discriminations d'un groupe (i.e. les femmes ne sont pas opprimées parce qu'elles sont féminines), mais le moyen d'oppression. Cela signifie que le genre est un outil au service d'une classe dominante, ici les hommes. C'est également une hiérarchie.
Dans un monde sans genre, donc sans rôles sociaux créés pour bénéficier à une catégorie de personnes, une grande partie des discriminations que subissent les femmes va disparaît. Je parlais plus haut du fait que les femmes et les hommes pourrons choisir librement un métier, mais pourquoi donc ne peut-on pas déjà faire ça à l'heure actuelle ?
C'est parce qu'une femme qui veut devenir ingénieure, médecin ou astronaute va faire face à ce que les gens perçoivent de son genre : les femmes sont moins douées en science, plus émotionnelles, plus fragiles, pas adaptées à ce genre de métier. En face, un homme qui veut devenir infirmier ou coiffeur sera perçu comme "trop bien" pour ce genre de métiers, ou homosexuel (car efféminé), et bénéficiera de ce qu'on appelle l'ascenseur de verre.
Il y aura également moins d'excuses faites pour les hommes violents, car sans naturalisation du genre (voir : essentialisme) la violence ne sera pas considérée comme naturelle ou faisant partie de la nature masculine. On n'entendra plus de phrases comme "Il ne pouvait pas se contrôler" quand on parle d'un homme qui battait sa femme ou qui a commis un viol.
De la même manière, une femme qui a tué son mari en se défendant de violence ne sera pas jugée plus durement, car on ne considérera pas que c'est son rôle de rester malgré tout, ou qu'elle doit donner un nombre de chances infini à un homme violent.
L'abolition du genre détruirait l'idée que les femmes sont naturellement soumises aux hommes, que leur fonction est de procréer et de donner du plaisir sexuel aux hommes, qu'elles sont là pour les servir. Ces idées sont encore très présentes en France actuellement, mais elles sont plus diluées, camouflées.
Des phénomènes comme la prostitution (l'idée qu'il est normal qu'un homme puisse acheter une femme) ou les féminicides découlent directement de ces croyances, et ne sont que la partie la plus visible et violente de l'iceberg de la misogynie. Sans le genre, il ne serait pas acceptable d'acheter un humain pour son plaisir sexuel simplement en raison de son sexe.
Le genre est inégal en terme de limitations sociétales. Il ne touche pas les hommes et les femmes de la même manière. C'est pour cette raison que, même si l'abolition du genre pourrait être bénéfique pour les hommes, comme actuellement il leur sert, les hommes vont y résister, car les pertes seront plus grandes que les bénéfices. C'est aussi pour ça que le féminisme n'est pas pour tout le monde, et surtout pas pour les hommes.
Quand un homme subit des violences liées au genre, ce n'est pas une fonction mais un bug du système. C'est parce qu'il ne conforme pas à la masculinité qu'on attends de lui. C'est le patriarcat qui, au lieu de l'aider, lui tire une balle dans le pieds. Lorsque ça arrive, les hommes blâment les féministes et utilisent cet exemple pour argumenter que les féministes devraient s'occuper des problèmes des hommes. Mais rien ne les empêche de créer leur propre mouvement de libération. Ils n'en ont juste pas envie.
Conclusion
Le but de détruire le genre, au-delà des raisons exprimées dans la première partie, serait de réduire les violence et l'impunité des hommes dans tout les domaines. Cela ne peut pas résoudre tout les problèmes, car pour libérer toutes les femmes il faudrait détruire tout les systèmes d'oppression qui peuvent nous limiter (racisme, capitalisme, homophobie...), mais puisque le genre est le premier outil pour nous opprimer dans toutes les sociétés de la planète, ce serait un bon début.
Un monde sans genre sera très difficile à atteindre, mais les bénéfices pour les femmes seront immenses en terme de liberté. C'est pour cette raison que les féministes radicales sont abolitionnistes du genre. Ne croyez pas les gens qui vous disent que supprimer le genre restreindra les membres d'une société : en se débarrassant d'un système de rôles restrictifs, on ne peut qu'augmenter la liberté.
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Ras le bol
Ce matin au réveil j’ai été frappée de plein fouet par la bêtise humaine. Je vous l’accorde, en regardant les réseaux sociaux on prends un risque mais là j’étais pas assez réveillée pour me blinder.
Donc l’Eurovision ... à la base tout le monde s’en fout de ce truc. On gagne jamais et on veut jamais vraiment gagner de toute façon parce que ça coûte un bras à organiser. 
Mais cette année, tout le monde a son mot à dire sur le vainqueur Bilal Hassani. Trop arabe, trop gay, trop efféminé, trop jeune ... bref rien ne va. On crie au complot, on crie au coup monté pour faire le buzz ... on crie sa haine, son dégout, bref on s’exprime !
Bin moi aussi je vais m’exprimer parce que j’en ai plus que marre de lire toutes ces conneries. Je trouve inadmissible que les français balancent leur fiel sur ce pauvre gars de 19 ans. Tout le monde s’en tape de l’Eurovision alors cette année ça vous intéresse pourquoi? Parce qu’il est différent?
“J’ai honte qu’on soit représenté par ça.” Alors déjà, “ça” non. Bilal est un être humain, c’est un garçon. Il a le droit de mettre des perruques et du vernis ou du maquillage s’il veut, ça ne change pas le fait qu’il est un homme. Billy Idol mettait du vernis ... Arrêtez de vouloir faire rentrer les gens dans vos petites cases minables. “Ils l’ont fait gagner pour faire le buzz”, ou peut-être que ca fait le buzz parce qu’on focalise dessus parce qu’il est différent justement, si buzz il y a c’est à cause de tous ces gens qui trouvent ça incroyable que “quelqu’un comme ça” participe à cette émission et on en fait des caisses. 
Ca prouve juste qu’on aurait bien besoin d’en voir davantage des gens différents, qui vivent leur vérité, qui s’assument et qui font de tort à personne contrairement à tous les fachos et intolérants qui ouvrent leur bouche grand comme ça depuis sa victoire. Il serait temps qu’on trouve ça normal, et dans un monde parfait, il aurait participé sans que ça fasse de buzz justement.
A mon avis, il s’en passerait bien Bilal de tout ce buzz. Il vous a pas attendu pour s’en prendre plein la gueule depuis des années, c’est vraiment pas la peine d’en rajouter. Il est tout fier de représenter son pays, alors laissez-le tranquille. 
Vous trouvez qu’il fait de la merde? Parce que les autres c’était du haut niveau peut-être? On aime ou aime pas, c’est sûr c’est pas Céline Dion ou Radiohead mais au moins il a une voix, et la chanson a un message. Et encore une fois, tout le monde s’en contre-fout de l’Eurovision, venez pas me la jouer.
La polémique c’est vous qui la créez, le buzz c’est vous qui le faites. Le gars va aller se produire à Tel-Aviv ... si vous prenez deux secondes pour y réfléchir vous verrez qu’il a plus de couilles que vous. Faut être sacrément mec pour s’assumer comme ça, vous devriez en prendre de la graine.
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cassurielle-blog · 5 years
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“Je pensais que j’étais transgenre” - pour les allié·e·s
Ma p’tite réponse à "Je pensais que j'étais transgenre"
Je vais encore parler de l'article de Radio-Canada, parce que c'est important que les personnes cisgenre* qui sont alliées aux personnes transgenres comprennent les enjeux et je sais que j'ai plusieurs d'entre vous dans mon réseau! C’est un sujet quand même complexe, parce que l’article est long et comprends plein de sous-sujet et aborde la chose de pleins d’angles (mais sans creuser bien profond, malheureusement). Ah, pis d’autres gens avec d’autres backgrounds que le mien ont aussi écrit des réponses là-dessus. J’vous invite, par exemple, à aller lire la réponse rédigée par Florence Ashley, ou à lire, écouter, considérer ce que les personnes trans dans votre entourage ont à dire là dessus, si iels décident de vous en parler. Aussi, gênez-vous pas pour me poser des questions, si vous voulez! Quand j’ai quelqu’un qui veut réellement savoir des trucs, et pas juste me bully, ça me fait plaisir de leur fournir mes connaissances!
*Cisgenre, ça veut juste dire que ton genre correspond au genre qu’on t’a assigné à la naissance.
La détransition, ça arrive tu tant que ça?
Je vais commencer par debunk un peu: oui, il y a effectivement un très petite portion des personnes qui entament une transition de genre qui rebroussent chemin. Ces personnes citent plein de raisons variées, mais c'est plus souvent des trucs du genre "J'ai pas assez d'argent", "Je n'ai pas accès aux traitements dont j'ai besoin", "Les gens me prennent pas au sérieux", “Je ne me sens pas à l’aise avec le genre qu’on m’a assigné à la naissance, mais pas à l’aise non plus avec l’autre genre qu’on m’a imposé”, “je subit plus de violence et de rejet si je transitionne”, “je ne peux plus trouver d’emploi ou de logis à cause de la discrimination”,  etc. Pis y'en a peut-être un peu qui sont réellement plus confortables avec leur genre assigné à la naissance qu'avec un autre genre. Bref, on voit que c'est souvent pour des raisons toutes autres que "J'étais pas vraiment trans" - c'est plus "J'suis vraiment trans, mais je ne peux pas transitionner comme ça me convient au sens social, médical et/ou légal compte tenu de ma situation et que ma sécurité est importante". De plus, arrêter certains traitements ou ajuster certaines présentations, c’est souvent perçu comme une “détransition”, alors que la personne n’arrête pas de transitionner, elle est parfois simplement rendue à un point où, par exemple, le traitement hormonal a déjà eu les effets désirés. Ou encore, elle a essayé de porter un vêtement, disons des robes, pendant une période de temps, puis s’est rendue compte qu’elle est plus confortable en jeans. Est-ce qu’une femme cis est moins femme parce qu’elle ne porte pas de robes en général? Non? Eh bien, une femme trans n’est pas moins une femme, ni moins trans si elle porte pas de robes, malgré les attentes de tout le monde. Faire une transition sociale, légale, médicale, etc. n’est pas un prérequis d’être trans.
Être trans c’est plus compliqué que homme à femme et femme à homme
Ensuite, l'article en question est présenté très "binairement". Il semble n'y avoir qu'homme et femme et c'est imbibé de langage qui fait croire que si on est transgenre on veut nécessairement changer de sexe (au sens de faire changer son appareil génital, probablement, c't'un sujet complexe, bear with me) et "toute le kit". Alors que c'est pas le cas du tout! On est entourés de médias variés qui nous présentent pas mal juste une seule narrative trans - "je suis née dans le mauvais corps et je vais tout faire pour avoir le corps que j'aurais dû avoir" - bien que certaines personnes trans vivent effectivement leur transition exactement comme ça, c'est vraiment pas le cas de toutes les personnes trans. Être trans c’est simplement ne pas s’identifier, ou seulement s’identifier partiellement au genre qui nous a été assigné à la naissance. Certaines personnes trans ont simplement besoin qu'on leur parle avec leur nom et pronoms corrects, d'autres ont besoin d'hormone(s), de chirurgie(s), de changer leur garde-robe, de faire changer leurs cartes d'identitées etc. Pis y'en a vraiment beaucoup qui ont des besoins très individualisés, c'est pas super surprenant! Par contre, lorsqu'on essaie de combler ces besoins, tant au niveau d'en parler avec notre entourage, qu'au niveau de faire des recherches sur internet, qu'au niveau d'aller parler à des professionnels de la santé, ben on se heurte souvent à des idées préconçues de ce que notre transition individuelle/personnelle devrait avoir l'air.
La trame narrative acceptée socialement, médicalement et légalement d’une transition de genre, implique de faire “tous les changements” pour transitionner vers “l’autre sexe”: les gens imaginent des changements de noms, des hormones, une modification de la voix, toutes les chirurgies imaginables, un changement complet de la garde-robe, etc. Les gens ont l’idée qu’il y a juste homme et femme et rien d’autre. Pensez à tous les stéréotypes “féminins” et “masculins”; les gens s’attendent souvent des personnes trans à ce qu’on devienne des archétypes du “sexe opposé”, alors que c’est complètement irréaliste. Premièrement, homme et femme ne sont pas réellement opposés. Ensuite, il y a plein de façons d’être un homme et plein de façons d’être une femme. Finalement, il y a plein de genres qui ne correspondent ni à homme ni à femme! Et lorsqu’on ne correspond pas à cette idée de la transition, pour quelque raison que ce soit, on nous le fait savoir! Généralement, c’est pas super gentil.
Quand je dis aux gens que j'suis trans, les gens pensent souvent que je suis une femme. C'est quand même logique, si on ne sait pas que y’a d’autres options que homme et femme: on m'a assigné "garçon" à la naissance et j'suis trans, donc j'suis une femme! Pis là ben si j'suis une femme, c'est que j'dois vouloir avoir des seins, des cheveux longs, porter du maquillage et des robes et j'dois sûrement vouloir une chirurgie. C'est les idées que la plupart des gens vont avoir de moi au départ. C’est les choses qui me faisaient peur au moment où je me questionnais. Parce qu’en vrai, j’suis pas une femme. Et l’idée que je serais obligé·e de faire tous ces changements me terrifiait. Heureusement, j’suis tombé·e sur des sources d’informations qui m’ont dit “ben non, inquiète toi pas, t’es pas obligé·e de te faire opérer si tu veux pas, pis si tu veux juste essayer les hormones pour voir si t’aime ça, tu peux changer d’idée quand tu veux, y’a rien de permanent avant plusieurs mois into it.” Si j’avais pas eu ça, j’aurais soit 1) resté mal à l’aise d’être un gars queer efféminé 2) essayé de coller à l’identité de femme trans même si elle ne me sied pas, puis on sait pas si j’aurais pas détransitionné, parce que tsé, reste que j’suis pas une femme.
Homophobie internalisée? Homosexualité précoce? Dysphorie soudaine?
L’article mentionne aussi beaucoup de concepts comme l’homophobie internalisée, l’apparition soudaine de dysphorie à l’adolescence, etc. Ces concepts sont des théories présentées par des gens souvent pas super bien intentionnés? Est-ce possible qu’un·e jeune ait internalisé vraiment beaucoup d’homophobie et pas tant de transphobie? Genre assez pour vouloir transitionner pour pouvoir être straight? Oui, même si les gens trans peuvent avoir n’importe quelle orientation sexuelle. Est-ce que c’est le genre de chose qui se produit en masse? Pas vraiment, de plus, transitionner à un autre genre pour échapper à l’homosexualité, c’est un peu mal avisé...Est-ce que la dysphorie apparaît soudainement? Peut-être, surtout si le corps subit des changements relativement soudains (voix, seins, menstruations, pilosité, etc.). Est-ce qu’elle apparaît soudainement parce qu’on en a entendu parler? Normalement, non. Sure, on peut s’en apercevoir soudainement, mais normalement c’est quelque chose qui était déjà là et qu’on remarque plus facilement une fois qu’on a appris ce que c’est. C’est un peu comme remarquer son premier cheveux blanc; une fois qu’on l’a vu, on arrête pas d’y penser. Est-ce que le cheveux blanc est moins vrai parce qu’on y pense tout le temps, ou parce que quelqu’un nous l’a fait remarquer? Non. Bien sûr. C’est un peu similaire pour la dysphorie. Les arguments pour nous dire que notre dysphorie est inventée tournent souvent autour de “t’en a jamais parlé avant” et “t’es obsédé·e”. Aussi à considérer, c’est possible que la personne trans qui est encore dans le placard ait trop peur du rejet, de la violence, ou d’être précipitée pour parler de ses sentiments, de sa dysphorie, de ses questionnements à son entourage avant d’être complètement certaine de sa réalité, ce qui peut donner l’impression que c’est apparu soudainement.
Consentement éclairé? Quessé ça?
Puis le consentement éclairé est positionné entre le militantisme et la médecine. Le consentement éclairé c’est d’abord s’assurer que la personne comprend les enjeux des traitements qu’elle demande, puis lui laisser prendre la décision de procéder au traitement ou pas, avec toujours un suivi des professionnels médicaux appropriés. Ça se résume vraiment pas à “si la personne veut des hormones, on lui en donne pis on pose pas de questions”, contrairement à ce que beaucoup de gens en pensent (keuf keuf, le Dr. Brassard à la radio?). Donc c’est pas tellement extrême comme concept, c’est juste de laisser la personne faire ses propres choix, en étant encadrée. Une autre alternative qu’on voit encore pas mal plus souvent c’est que les professionnels de la santé vont “diagnostiquer” le genre de la personne et décider quels traitements elle devrait recevoir. Ça veut dire que si on ne passe pas par le consentement éclairé, quelqu’un peut décider qu’une femme trans n’est pas assez féminine pour “mériter” des hormones ou des chirurgies. Fucked up, non? Est-ce que c’est de la médecine plus valide de décider pour la personne ce qu’elle a le droit de faire avec son corps? Est-ce que c’est moins médical que ton endocrinologue et potentiellement ton médecin de famille, si t’en as un, t’accompagnent dans la décision de prendre des hormones, d’ajuster ta dose, etc. à la place de décider pour toi? Non et non.
Mais là, si on peut pas en parler, ça entrave la liberté d’expression!
Certaines personnes veulent étudier et parler des personnes qui détransitionnent et font souvent face à l’opposition de personnes trans et de leurs allié·e·s. C’est un fait. Par contre, ce n’est pas un cas de bâillon, ou d’entrave à la liberté d’expression, contrairement à la présentation qui en est souvent faite. Il n’y a pas d’embargo trans sur le sujet de la détransition en tant que tel. Par contre, les personnes qui parlent de détransition (souvent des cliniciens cisgenres) vont souvent chercher des punaises au fameux “lobby transgenre” et présentent la détransition comme preuve que les gens trans demandent trop de liberté au sujet de la transition, et poussent trop les gens à transitionner. Ils présentent souvent la transition comme une étape monolithique, qui a des conséquences permanentes et qui peut être dangereuse. La transition se fait habituellement par petites étapes. Porter du maquillage peut être une étape de transition. Porter des vêtements différents de ceux qu’on s’attend à ce qu’on porte peut être une étape de transition. Juste changer ton prénom d’usage par un surnom plus neutre, féminin ou masculin peut être une étape de transition. En fait, ce qu’on demande, c’est plus d’informations, plus d’options, plus de transparence, et surtout, de laisser les gens faire les choses à leur rythme, pour que tout le monde puisse faire ses propres choix de façon éclairée. Aussi, moins d’ingérence de professionnels médicaux dans des choix qui devraient être plus personnels. Les cas de détransitions sont souvent des personnes qui sont poussées à transitionner “complètement” aussi rapidement que possible, parfois à faire des étapes de transition qu’elles ne veulent pas réellement pour elles-même, et à entamer des étapes de transition sans être pleinement conscientes des impacts. Les personnes qui les poussent à faire ça sont, oui, parfois, des personnes trans, mais plus souvent, ce sont des professionnels médicaux, des personnes cis de leur entourage, la peer-pressure de la société cisnormative, la pression de “passer” comme le genre qu’on a, et l’image qu’en font les médias.
Pis moi, ça se pourrait-tu que je “détransitionne”, j’serais tu moins trans?
Je vais finir sur une note un peu personnelle qui pourrait choquer un peu. Tsé, je le dis que j’suis une personne non-binaire, que j’suis pas un homme, et pas une femme. Détransitionner n’est pas une option viable pour moi. C’est la transition ou ben, en fait y’en a pas d’alternative. Par contre, là où mes feelings par rapport à la chose ressemblent peut-être un peu à ceux de personnes qui détransitionnent c’est de tenir mon boute, comme on dit en bon français, à propos de mon identité non-binaire. Parce que rien n’est fait pour inclure les gens comme moi: pas la société, pas ma langue maternelle, pas les institutions gouvernementales et pas même les toilettes publiques n’ont été pensés pour nous accommoder. Des fois, c’est essouflant, c’est exaspérant. Ce serait dont ben plus facile si j’pouvais juste ravaler ma fierté et juste être une femme trans, comme tout le monde, non? Y’aurait façon de m’adresser en français. Y’aurait une option pour moi sur les formulaires du gouvernement. Y’aurait des toilettes où j’peux aller sans que ce soit trop weird. Pis j’dis pas que les femmes trans l’ont facile, là, parce que lol, vraiment pas. Mais y’a certains trucs qui sont assez lousse pour les accommoder et qui ne le sont pas pour moi. Faque des fois j’me dis “Eille, Cass, pourquoi tu laisse pas faire d’être complètement authentique, pis tu te facilite pas un peu la vie, anyways, pour les étrangers c’est ça que tu fais - t’as les cheveux longs, tu te maquille, tu portes des vêtements “de femme”, tu modifie ta voix un peu, tu porte une push-up bra pis des talons - des fois ça te fais chier, mais tu sais que t’est un peu plus safe si les étrangers te voient comme juste une autre fille ben ordinaire alors que si tu passes pas pour une “vraie” fille, et pas pour un “vrai” gars tu t’exposes à plus de trouble. Ce serait pas plus simple? Pis tsé tant qu’à y être, pourquoi tu prends pas une vaginoplastie ben normale qu’on peut avoir ici à Montréal pis qui serait couverte par la RAMQ, à la place de ton affaire compliquée que presque aucun chirurgien fait pis qui va te coûter littéralement 30 000 $ de ta poche? En attendant t’est stuck avec ta dysphorie, t’aimerais pas mieux passer à autre chose?” pis ouais, ce serait probablement plus simple pour plusieurs aspects, surtout pour dealer avec les gens cis qui m’entourent à tous les jours, mais en même temps, j’mentirais tout le temps, ça finirait par me tomber sur le moral. Pis à force de me tomber sur le moral, ça me pourrirait la vie un peu à chaque jour. Pis pour la chirurgie, ben ça m’aide-tu si je switch pour un autre affaire qui va aussi me causer de la dysphorie, mais un peu différente? C’est tu vraiment mieux? J’veux tu vraiment ça? Non. Mais j’veux tu jongler avec toutes les choses pas nices que j’dois deal avec en tant que personne non binaire? Non plus, lol. Je prends l’option que j’estime qui me fait le moindre mal avec l’information que j’ai. J’serais tu moins non-binaire si je mentais aux gens pour leur dire qu’en fait “femme”, “Madame”, etc. c’est correct et ça me convient pour me faciliter la vie? Pas tant, lol, juste moins affirmé·e. J’suis tu moins trans parce que j’me fais pas faire “LA” chirurgie? Vraiment pas. Anyways y’a plein de gens trans qui en ont pas pis sont quand même ben trans. Donc ces gens qui “détransitionnent” pour pas s'faire chier, c’est pas nécessairement tout le temps des gens qui ne sont pas trans, des fois c’est juste des gens qui ont pas le choix.
Grosso modo
Donc bref, avant de tomber dans le panneau de penser que les personnes trans veulent tout le temps le beurre, l’argent du beurre pis aussi “convertir” tout le monde, faudrait se demander si les structures en place, la narrative qu’on connaît, sont-tu pas un peu arrangées pour pas laisser ben ben le choix aux personnes trans et aux autres personnes qui sentent avoir besoin d’explorer leur genre, leur orientation sexuelle, etc. Parce que si on laissait les gens sortir des boîtes strictes un peu, pis qu’on leur laissait explorer ce qu’ils veulent, à leur rythme, sans essayer de tout contrôler frénétiquement, on aurait peut-être moins de cas de personnes qui regrettent ce qu’elles se font pousser à faire. Puis aussi, se serait cool d’être moins sensationnalistes à propos des personnes qui explorent leur identité de genre ou leur expression de genre, c’est rien de choquant!
tl;dr:
la détransition, ça arrive-tu tant que ça? Non, pis on comprend mal c’est quoi transitionner et détransitionner, ça fausse la donne. Être trans, c’est plus compliqué que FtM & MtF, autant dans ce que comprennent MtF et FtM que dans la fausse idée qu’il y a juste M et F. Consentement éclairé, quessé ça? C’est juste de laisser la personne faire ses propres choix, tout en ayant un encadrement de professionnels médicaux. C’est pas super extrême et ça permet pas à quelqu’un de juste partir une hormonothérapie sur un coup de tête. Mais là, si on peut pas en parler, ça entrave la liberté d’expression! Ben l’affaire c’est qu’on peut en parler. On demande juste que les gens arrêtent de dire de la bullshit, de faire des discours alarmistes pour rien et de faire dire aux données que c’est les gens trans le problème et pas genre, la discrimination. Pis moi, ça se pourrait-tu que je “détransitionne”, j’serais tu moins trans? Ben, oui, ça se pourrait que je “détransitionne” au sens que peut-être que j’vais arrêter l’hormonothérapie si genre les changements que je voulais que ça fasse sont complétés. Ou autres trucs du genre. J’suis pas moins une personne non-binaire & j’suis pas moins trans.
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9- ANAL (LE MARAIS)
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En 1982, le Marais est un gigantesque terrain de spéculation immobilière. Mes amants cosmopolites trentenaires ont investi dans des combles sous les toits de Paris. Tous les week-ends, il faut aider à dégager les poutres du plafond. Un studio dans le Marais avec poutres apparentes c'est l'ambition de tous les homosexuels parisiens. Pour le reste ils sont très divisés. Il y a d'un côté les machos hyper virils. Ils ont tous la même moustache, le même pantalon en cuir, la même casquette en cuir clouté et bien sûr des bottes. Ils sont les "clones" et sont une réaction contre les folles efféminées de l'époque disco. Si l'apparence des clones est très masculine, leur comportement ne l'est pas pour autant, ce sont alors les cuirettes! Les clones sont au Central au cœur du Marais. J'ai entendu dire que notre prof d'éco allait au Central. J'ai du mal à le croire. Il est toujours si chic avec ses costumes et ses nœuds papillons mais c'est vrai qu'il a la même moustache que Freddy Mercury. Je suis en terminale B au lycée Émile Dubois, et l'économie est ma matière la plus importante. Toutes les filles du lycée sont amoureuses d "Alain", tous les garçons disent qu'il est pédé et qu'il ne s'intéresse pas aux filles.
Mes amants se succèdent à la vitesse de l'éclair et mon derrière est toujours vierge. Actif ou passif, moi ҫa m'est égal, c'est la quantité qui compte. Après avoir contenu mon appétit sexuel pendant si longtemps, je le laisse sauvage s'accaparer de chaque recoin de Paris. La chasse est ouverte. Je fais semblant de lire sur la promenade du bord de l'eau des Tuileries l'après-midi. Je lis pour de vrai le soir au Mabillon à Saint-Germain-des-Prés et je danse au Broad la nuit. 3 amants dans la même journée, c'est une bonne journée. Je ne le réalise pas sur le moment mais la quantité des amants que je peux trouver est une justification devant Dieu. S'il y a autant d'hommes prêts à coucher avec moi, ce ne peut pas être mal. J'ai 16 ans et personne ne veut se dévouer pour me déflorer jusqu'à Robert. J'aime bien Robert, je l'appelle quand la chasse a été infructueuse et je peux toujours dormir chez lui. C'est rue Charlot et il y a des poutres apparentes. Il me raconte plein d'histoires du temps d'avant. Nous écoutons la musique ensemble: Donna Summer et tout de suite après "A Flock of Seagulls", c'est un import de Champs-Disques, le disquaire du Broad. Il me demande si je suis prêt et si j'en ai envie. Je dis oui, bien sûr, mais je pense, comment avoir envie de quelque chose qu'on ne connait pas? C'est un rite de passage, il faut passer par là ou plutôt, il faut que ҪA passe par là. Après on verra. Il promet d'être gentil et doux, il faut que je dise tout de suite quand ҫa ne me plait pas. Mais qu'on en vienne aux faits, par pitié! Ҫa prend deux heures, je ne sais plus si j'aime ou pas. Il y a la moitié d'un tube de KY répandu sur mon cul, il y en a plein sur le parquet aussi, si je me lève je vais glisser comme sur une patinoire. C'est la mission de Robert de rendre ma première sodomie une expérience heureuse. Ce qui est important, ce sont les préliminaires, un doigt, deux doigts, dedans, dehors. Ҫa n'en finit pas. Je prends un air résigné, s'il veut, il peut y aller. Je veux crier que non, je n'ai pas peur,  que oui, j'en suis sûr, que oui je suis relax et détendu; mon cul est complètement détendu! À la place je dis gentiment que je suis prêt. Il y a des petits bruits aqueux de lubrifiant comme quand on pète dans le bain et je sens le bassin de Robert aller et venir contre moi. Je ne sens absolument rien d'autre. Est-ce que c'est ҫa, se faire enculer? Robert a une jolie queue, je devrais la sentir quand même? Je veux en avoir le cœur net, je me mets un doigt et oui il y a déjà Robert en moi; il va falloir jouer du sphincter!
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lignes2frappe · 6 years
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2PAC ET LES FEMMES : PORTRAIT D’UN VRAI GANGSTER D’AMOUR
Il y a eu les conquêtes, il y a eu les rumeurs, il y a eu les scandales...
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Le rap est-il une musique misogyne ? S'il existe une réponse toute faite à cette question, elle porte un nom : Tupac Amaru Shakur.
À la fois thug et loveur, amant et ami, protecteur et prédateur, plus encore que tous les LL Cool J, Too Short et Drake de la Terre, il est celui qui incarne toute l’ambiguïté du genre dans son rapport au sexe opposé.
Élevé par une mère, jeune ado il est ce garçon sensible à l’allure un brin efféminée qui idéalise les femmes et se comporte avec elles en gentil garçon – et même en « super gentil garçon » si l’on en croit cette vidéo.
Le succès et les ennuis se chargeant ensuite de lui mettre les yeux en face des trous, il se mue en caricature en archétype du mâle noir dominant (le « real nigga »), jamais en reste quand il s’agit de rabaisser les femmes au détour d’un texte ou d’un clip.
Ni complètement salaud ni totalement macho pour autant, il jouera tout au long de sa carrière de sa dualité, sortant à échéances régulières des morceaux poignants à la Dear Mama ou Brenda's Got A Baby où il dépeint avec humanité le quotidien de ses sœurs.
Fort de son charisme de bad boy au grand cœur, 2Pac séduit ainsi sur scène un public féminin, chose extrêmement rare à l’époque pour un rappeur, mais aussi quantité de femmes en coulisses, lui qui n'était pas grand fan de la monogamie.
Découvrez celles qui, chacune à leur manière, ont marqué la vie du gangster le plus romantique et romanesque que le rap ait jamais connu.
Averel
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Élève au lycée Paul Laurence Dunbar de Baltimore, le petit cœur de Tupac, 14 ans, bat la chamade pour une fille de sa classe – qui n’est pas la fille sur la photo ci-dessus, elle c’est sa demi-sœur Sekyiwa (déso on n’avait pas mieux).
Timide, mais déterminé, il lui écrit deux lettres d’amour qui malheureusement pour lui demeureront sans réponse.
Averel conservera néanmoins ces manuscrits pendant 33 ans avant de les vendre aux enchères l’année dernière.
Jada Pinkett
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Sa complice de toujours. Rencontrée sur les bancs de l’école d’arts de Baltimore où ils étudient tous deux la poésie, le jazz ou la danse, ils entament très vite une relation des plus fusionnelles… et des plus platoniques.
Malgré leurs atomes crochus évidents, les deux amis n’ont en effet jamais franchi la ligne qui aurait pu faire basculer les choses.
Ou plutôt si, mais sans grand succès si l’on en croit l’intéressée : « Un jour nous avons tout de même essayé de nous embrasser histoire de voir où cela nous aurait mené. Cela a dû être le baiser le plus exécrable jamais donné, pour lui comme pour moi. »
Très protecteur à l’égard de Jada, ‘Pac adopte ainsi un rôle à mi-chemin entre celui du grand frère et de la figure paternelle.
Quand quelques années plus tard la gloire est au rendez-vous, les deux anciens compagnons de galère resteront très proches quand bien même les engueulades sont fréquentes, et ce notamment en raison des tournures que prennent leurs carrières respectives – le premier s’égarant sur les chemins de l’autodestruction, la seconde optant pour des choix plus consensuels.
Lorsque Tupac décède en 1996, Jada et lui ne s'adressaient d’ailleurs plus la parole depuis des mois.
Plusieurs fois revenue ces dernières années sur ce lien si particulier qui les unissait, la mère de Willow et Jaden éprouve à chaque fois toutes les peines du monde à retenir ses larmes.
Leila Steinberg
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S'il est une personne au monde qui peut se targuer d'avoir été le mentor de 2Pac, c'est elle.
Fille d'un père avocat d'origine polonaise et d'une mère activiste d'origine mexicaine, Leila Steinberg rencontre 2Pac en 1988 dans un club de la Bay Area où mixe son mari. Elle en a 25, et lui 17.
« Je suis instantanément tombée amoureuse de lui. Mais ce n'était pas sexuel, c'était spirituel (...) À son jeune âge il avait déjà cette incroyable vision qui l'animait (...). Nous étions tous les deux obsédés par le malheur du monde. La pauvreté, les privilèges, ce que les uns possédaient et les autres pas. »
Très vite, Steinberg le convie aux cours de poésie qu'elle donne, puis l'invite à loger chez elle avec sa famille. Il y restera deux ans et demi.
Ensemble il fonde les Microphone Sessions, un atelier d'écriture et de débats dont seront tirés dix ans plus tard la majeure partie des textes du recueil The Rose That Grew From Concrete.
Une chose en amenant un autre, elle deviendra de facto sa manager. C'est elle qui le présentera au groupe Digital Underground où il officie comme danseur et roadie, avant de prendre pour de bon le micro.
« Tupac était du genre à tous nous mettre au travail. J'ai une carrière dans le monde de la musique depuis tout ce temps parce qu'il a vu en moi que je pouvais le faire à une époque où je n'avais pas confiance en moi. »
Aujourd'hui en charge des intérêts d'Earl Sweatshirt, Leila Steinberg apparaît dans le biopic All Eyez On Me de 2017 sous les traits de l'actrice Lauren Cohan.
Heather L.
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Sa cavalière lors du bal de fin d’année.
Plus âgée d’un an, c’est elle qui lui a demandé de l’accompagner, sachant qu’il venait de rompre avec sa petite copine.
Très bons amis, il s’agissait là d’un rendez-vous en tout bien tout honneur. Connu pour enchaîner les conquêtes, Tupac lui avait d’ailleurs promis non sans humour « de faire mentir sa réputation ».
Si Heather se rappelle avoir passé une excellente soirée avec lui, elle se rappelle aussi que le chauffeur de limousine qui devait les emmener du restaurant au bal les avait plantés et qu’ils n’avaient alors pu trouver qu’un van comme solution de dépannage.
Lisa 'Left Eye' Lopes
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Pas encore membre du plus grand groupe de r&b des nineties aux côtés de Tionne ‘T-Boz’ Watkins, et Rozonda ‘Chilli’ Thoma, Lopes rencontre pour la première fois 2Pac en mai 1991 alors qu’il officie en tant danseur pour le groupe Digital Underground.
À partir de là, ils vont se recroiser à plusieurs reprises au gré de leurs visites dans leurs villes respectives d’Atlanta et de Los Angeles, tout en se téléphonant très fréquemment un an durant.
Malgré leurs accointances et malgré le fait que la chanteuse se soit servi de lui pour rendre jaloux son boyfriend le footballeur professionnel Andre Rison (celui-là même dont elle a brûlé la maison par accident) en se rendant à une soirée à son bras, il ne se serait selon elle pas passé grand-chose.
« Nous n’avons jamais couché ensemble. C'était l'une des premières choses qu'il m'avait dit : ’Ne me laisse jamais coucher avec toi. Quoi que je dise, quoi que je fasse, quoi qu'il arrive, ne laisse jamais cela se produire’. »
Notez que Supernova, l’album solo de Lopes sorti en 2001, contient un duo posthume avec le Californien, Untouchable.
Whitney Houston
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Difficile d’imaginer qu’au début des années 90 la chanteuse alors au sommet de sa gloire (ce qui dans son cas n’était pas rien) et de surcroît fraîchement mariée au chanteur Bobby Brown ait pu se risquer à avoir une aventure avec 2Pac.
Bien qu’aucun début de rumeur n’ait jamais filtré à ce sujet, c’est à la surprise générale Bobby Brown lui-même qui a révélé cette tromperie dans son autobiographie Every Little Step publiée en 2016.
Il n’a cependant apporté aucun autre détail.
Rosie Perez
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Rayon icônes de la décennie 90, avant Halle Berry, il y avait Rosie Perez.
Connues pour ses rôles dans Do The Right Thing et Les Blancs ne savent pas sauter, elle a fait tourner la tête de plus d’un adolescent mâle, à commencer par celle de Kanye West qui en 2007 s’extasiait encore sur son fameux bonnet D.
2Pac et elle sont vus une première fois ensemble sur le tapis rouge des Soul Train Music Awards en 1993. Si tout le monde les croit en couple, ils ont beau se tenir bras dessus, bras dessous, il n’est rien. Les deux larrons sont en réalité potes du temps où Perez était chorégraphe pour Heavy D et 'Pac danseur.
Ayant tout juste appris que le type qui était censé l’accompagner à la cérémonie venait de la planter, l’actrice reçoit au même moment un coup de fil de 2Pac, ce dernier souhaitant savoir s’il lui restait des tickets. Folle de rage, elle lui raconte sa mésaventure, ce à quoi il lui répond : « Tu sais quoi ? Allons-y ensemble en nous tenant la main, que ce motherfucker se rende compte de ce qu’il a manqué. »
Pas de sexe donc, et ce d’autant plus que 2Pac lui aurait confié qu’il la voyait « comme une sœur, comme le genre de fille à marier ».
C’est en tout cas grâce à cette escapade improvisée que le rappeur a fait la connaissance de Madonna.
Madonna
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Présente à cette même cérémonie des Soul Train Music Awards, la star est à l’époque en plein dans sa phase Erotica, du nom de son album dont la sortie un an plus tôt avait été couplée avec son livre de photos érotiques, Sex.
Mante religieuse assumée, elle est présentée à 2Pac par l’intermédiaire de Rosie Perez. Le courant fait alors plus que passer, puisque les deux entament une liaison qui durera en tout et pour tout une petite année.
Rayon anecdote, Snoop a raconté avoir découvert ce flirt lors d’un séjour à New-York. En galère de weed, il sait son collègue de chez Death Row dans les parages et lui demande de le dépanner. Quelle ne fut pas alors sa surprise de voir ensuite ‘Pac débarqué tout sourire en compagnie de la Material Girl.
Toujours est-il que l’idylle finira par prendre fin, et ce pour une histoire de couleur de peau. C’est en tout cas la raison avancée dans la lettre de rupture écrite quelques temps après par le rappeur depuis sa cellule de prison du Clinton Correctional Facility.
Datée du 15 janvier 1995 et rendu publique en 2017, elle est on ne peut plus claire : « Peux-tu comprendre ça ? Pour toi être vue avec des hommes noirs ne met pas ta carrière en danger, mais pour moi, du moins dans la perception que j’ai jusqu’ici de mon "image", cela voudrait dire que je laisse tomber la moitié des gens qui ont fait de moi ce que je suis. »
Ayanna Jackson
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La femme qui a envoyé Tupac Shakur en prison.
La scène de leur première rencontre dans un club de Manhattan est dépeinte dans le All Eyez On Me. Présentée comme un groupie, Pac l’approche par derrière, lui colle les mains aux fesses, puis l’embrasse avant qu’elle ne lui fasse une fellation – ce que Jackson a toujours démenti.
Après avoir couché avec lui à plusieurs reprises par la suite, la jeune femme de 19 ans lui rend visite le 18 novembre 1993 au soir dans sa chambre du Parker Meridien Hotel de New York.
À partir de là les versions divergent. Selon Jackson, ‘Pac lui aurait demandé de lui faire un massage du dos dans sa chambre, avant de l’attraper par les cheveux et d’inviter ses potes assis dans le salon d'à côté à venir le rejoindre. Il lui aurait alors dit : « Relax bébé, ce sont mes potes. Tu me plais tellement que j’ai envie de te partager avec eux ».
Tupac, 23 ans au moment des faits, a lui nié toute sa vie ce viol, quand bien même il sera dans un premier temps condamné à une peine ferme de quatre ans et demi et s’excusera à l’énoncé du verdict auprès d’Ayanna Jackson.
Huit mois plus tard, son jugement sera toutefois révisé en appel et il sera innocenté.
Keisha Morris
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Celle qui a très officiellement marié Tupac Shakur.
Ironiquement la toute première fois qu’ils se sont adressés la parole en juin 1994, ce fut dans un club avec C.R.E.A.M. des très new-yorkais Wu-Tang Clan en musique de fond.
Keisha lui mettra un râteau avant de le recroiser un mois plus tard et d’accepter cette fois d’aller manger italien avec lui.
Elle se pointe alors en combo jean/t-shirt/casquette « afin de ne pas lui donner l’impression que c’est gagné ». Et si les deux terminent ensuite la soirée dans une chambre d’hôtel, c’est pour regarder la télé et s’endormir dans les bras l’un de l’autre.
Ils passeront la seconde lors du rencard suivant.
Quand 2Pac se fait tirer dessus à cinq reprises en novembre 1994, Keisha accourt à l’hôpital et l’aide à se présenter le lendemain (!) à une convocation judiciaire.
Ils se marieront quelques mois plus tard en prison. De nombreuses mauvaises langues soutiendront alors qu’il s’agissait d’un moyen pour 2Pac d’avoir droit aux visites conjugales. Leur union prendra d’ailleurs fin dès la sentence du rappeur purgée.
Sans aller jusqu'à abonder dans ce sens, Morris estimera que son ex-mari a beaucoup changé sitôt libéré, concédant même s’être « sentie utilisée ».
Ils resteront cependant proches jusqu’à la fin.
Heather Hunter
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Si au milieu des années 90, l’actrice qui en France faisait la joie des amateurs de VHS classées X se nommait Julia Channel, aux États-Unis c’est Heather Hunter qui était reine (pour les plus jeunes, c'est elle tout à gauche sur la photo).
Engagée pour venir tourner dans le clip de How Do U Want It aux côtés de ses consœurs Nina Hartley et Angel Kelly, le champagne et l’ambiance Renaissance aidant, la température sur le plateau grimpe rapidement de quelques degrés, à tel point que s’improvise une seconde version beaucoup plus olé olé.
Très satisfait du résultat final, 2Pac décide alors de tripler le salaire des actrices.
Et c’est ainsi que les deux stars ont entamé une liaison quelques mois avant sa mort. Une liaison qui selon Hunter allait bien au-delà du physique : « Nous étions vraiment très proches. Nous partagions une connexion spirituelle. »
Faith Evans
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Au départ 2Pac et Notorious BIG étaient potes. Par la suite beaucoup moins.
Embarqués dans une guerre des côtes dont ils se sont faits plus ou moins malgré eux les ambassadeurs, ils finissent par se détester.
Point d’orgue de cette haine, le morceau Hit’em Up sorti en juin 1996 dans lequel Shakur tire à boulets rouges sur toutes les têtes qui dépassent, et en premier lieu sur celle de Biggie. Affront ultime, il prétend avoir couché avec Faith Evans avec qui il s’est marié deux ans plus tôt.
Extraits : « Je n’ai pas de putain d’amis / C’est pour ça que j’ai b*isé ta bitch, tas de merde » ; « Tu prétends être un player / Mais j’ai b*isé ta femme »
Questions : Est-ce vérifié ? Est-ce plausible ?
À en croire l’autobiographie Keep the Faith: A Memoir de la chanteuse sortie en 2008, tout est faux. Certes elle a été invitée à L.A. pour enregistrer le refrain du morceau Wonder Why They You Call U Bitch présent sur l’album All Eyez On Me, et certes elle s’est rendue dans la chambre d’hôtel de 2Pac dans la foulée pour récupérer son chèque, mais elle aurait alors refusé de coucher avec lui.
Reste que cette dernière était particulièrement remontée contre Biggie avec qui elle ne vivait plus depuis quelques mois déjà.
De là à lui faire un mauvais coup avec son meilleur ennemi ? Cela paraît un peu trop gros pour être vrai, mais à chacun son avis.
Tashaunna Howard
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En 1996, Tupac s’est rendu en compagnie de la belle-fille de son ami disparu Big Kato (tué par balles, il lui fait souvent référence dans ses lyrics) au bal de fin d'année de son lycée, non sans lui avoir offert la robe qui va avec.
Comment ? Pourquoi ?
L’intéressée avait écrit une lettre à son fan club qu’elle avait conclu en lui demandant sous forme de plaisanterie s’il accepterait d’être son cavalier, elle qui venait de se faire plaquer par son copain.
Un mois plus tard, ‘Pac débarque seul chez elle pour rencontrer sa mère et lui demander sa permission.
Le jour J, il passe prendre Tashaunna en limousine avant d’arriver sur les lieux devant les yeux ébahis de la foule. Il dansera quelques chansons avec elle, prendra une photo et lui déposera un bisou sur la joue avant de partir.
Desiree Smith
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Entre 2Pac et « Dez’ », ça remonte à il y a longtemps. Tellement longtemps que lors de la première soirée où ils ont fait connaissance Bobby Brown et Notorious BIG étaient de la partie.
Si Smith et la rap star se voient à l’occasion depuis, il ne s’agit pas seulement d’un plan couette.
Quand son amant se retrouve en cabane pour son affaire de mœurs, elle fait partie des rares personnes à lui rendre visite en prison.
Reconnaissant, ‘Pac, qui dans la vie possède plein d’autres talents que celui de savoir rapper, lui offre le dessin ci-dessus qui les met en scène tous les deux en plein action – quelque chose nous dit que Snoop a dû apprécier.
Et comme si cela n’était pas assez explicite, il l’accompagne de la légende suivante : « Pour Desiree. Je t’aime. Tu manques profondément à ton Daddy ! Forever with love », tandis qu’au dos il écrit : « Juste un petit quelque chose pour te donner chaud et te rappeler de bons souvenirs ».
Sortie des cartons fin 2018 et mise aux enchères début 2019, l’œuvre a trouvé preneur pour la modique somme de 21 155,75 dollars.
Kidada Jones
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Sa dernière compagne, celle avec qui il était fiancé au moment de son décès.
Fille du producteur de légende Quincy Jones, elle croise 2Pac une première fois dans un club en 1995, peu avant le début de son procès. Elle ne lui adresse alors absolument pas la parole, et pour cause, ce dernier venait de déclarer au sujet de son père : « Tout ce qu’il fait, c’est mettre des coups de b*tes à des blanches pour leur faire des enfants dégénérés ».
Lors de leur deuxième rencontre, il ira s’excuser auprès d’elle et lui donnera son numéro de téléphone.
Et à la suite de leur troisième rencontre, Tupac tombe complètement sous son charme, allant jusqu’à confier à sa mère « Je suis amoureux d’elle. Elle sera ma femme et nous aurons des enfants ».
Une fois sorti de prison et son mariage avec Keisha Morris annulé, il s’installe avec elle dans la banlieue de Calabasas. Quatre mois plus tard, il est assassiné.
Dans l’autobiographie de son père publié en 2001, Kidada écrit qu’il s’agit de « la chose la plus horrible qui lui soit jamais arrivée ».
Afeni Shakur
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Hier comme aujourd’hui, probablement la mère de rappeur la plus emblématique.
Ancienne activiste du mouvement Black Panther ayant été accusée d’avoir tenté d'organiser des attentats à la bombe en plein New-York, elle est celle qui a très tôt inculqué à son fils une conscience sociale et politique.
De par les difficultés de son parcours (addiction au crack, vie sans abris, pauvreté extrême...), elle est aussi celle qui lui ouvert les yeux sur les difficultés vécues par les femmes noires.
Sans elle 2Pac aurait peut-être été 2Pac, mais il n’aurait jamais été le 2Pac engagé qu’il est par la suite devenu.
Publié initialement sur Booska-p.com le 14 février 2019.
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theoppositeofadults · 6 years
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J'avais 17 ans quand j'ai fait l'amour pour la première fois. C'était maladroit, bien sûr. Plus surprenant, c'était beau, et presque réussi. C'était la nuit, la forêt épaisse et odorante comme décor grandiose, notre forêt, celle où l'on s'échappait le samedi soir pour parler sans fin en s'enfilant des bouteilles de mauvais vins. Les premières ivresses sont des liesses, des promesses, d'éternité, pas une seconde on imagine que ça finira, une telle joie, la jeunesse, les élans spontanés, comme celui qui a fait qu'il se retrouve dans mes bras, à me serrer fort, très fort. J'ai pensé qu'il avait besoin de réconfort, je ne savais pas vraiment quoi faire, puis nos mains se sont effleurées, puis l'odeur de son cou, et alors il a fallu plus de peau, les gestes sont devenus évidents, son torse contre mon torse - et ça n'a pas suffi non plus…
Même moi, j'ai longtemps essayé de me duper, sans grand succès. Parfois, mais pas assez souvent, mais pas assez longtemps, j'arrivais à l'oublier. Mais quand ça me revenait en mémoire, c'était comme un coup de poing - j'en tanguais. J'ai pris beaucoup de coups de poing dans mon enfance. Pas de bleus hein, sauf à l'âme. À l'âme qui ne comprenait rien.
Pourtant, c'était évident. Depuis toujours, enfin depuis tout petit, depuis les premiers souvenirs.
Les filles, je pouvais les trouver belles, les admirer. Mais c'était les garçons qui m'intriguaient. C'était toujours de l'un d'entre eux dont je tombais amoureux, comme les enfants peuvent s'amouracher et dire ces mots qui font sourire les adultes, "c'est mon amoureux" (pour les filles), ou "c'est mon amoureuse" (pour les garçons). Je n'ai jamais dit "c'est mon amoureux". Normal : je n'étais pas une fille. Enfin non, évidemment, pas normal bien sûr, c'était bizarre. J'étais bizarre, je le sentais, confusément, éperdument. Et personne à qui en parler.
Pendant tant d'années, il n'y a eu personne à qui en parler.
Je suis resté seul avec ça, enfant, adolescent. Seul face à cette incompréhension, cet isolement, cette absurdité qui me faisait peur jusqu'au vertige. Et la honte aussi. Très vite. Déjà. Pressentie. Je savais confusément que j'avais tout intérêt à garder ma bizarrerie pour moi, à la cacher, à vivre seul avec cet épouvantail qui me hantait, qui me possédait. Alors un jour, j'ai dit : "j'ai une amoureuse". J'avais six ans. C'est l'année où la très sérieuse Organisation Mondiale de la Santé a déclassifié l'homosexualité de la liste des maladies mentales. Moi, je ne savais pas ce qu'était cette organisation, ni même l'homosexualité. La maladie mentale, il me semblait que c'était ce qu'avait mon gentil et distant cousin schizophrène qui m'aimait bien. Et la réciproque était vraie. Il s'appelait Benjamin et il s'est suicidé à l'âge de 28 ans (je me rappelle ton regard doux et ton sourire fou, Benjamin, tu manques).
Bref, j'avais six ans et ça y est, j’avais une amoureuse. Elle s'appelait Marie. Je l'avais choisie parce que c'était la plus inaccessible, la plus libre et la plus farouche. Terrible Marie qui méprisait violemment mon amour pour elle, qui préférait s'amuser avec les nombreux autres garçons qu'elle attirait comme des mouches et qui montraient leur intérêt pour sa personne (qu'elle était belle faut dire, Marie) de manière bien plus visible, bien plus simple, bien plus évidente. Je l'ai aimée, Marie, vraiment aimée, pendant dix ans. J’ai été jaloux de ses petits copains, je voulais des enfants avec elle quand on serait grands.
Et puis, il y a eu la puberté, le lycée, les garçons et les filles qui sortent ensemble, se roulent des pelles, et qui un jour font l'amour pour la première fois eux aussi. Et là, j'ai abandonné. Parce que je savais bien au fond que j'aurais eu l'air très con si elle m'avait fait l'honneur de baisser mon pantalon. Puis, il y avait toujours les garçons, certains garçons, auxquels je pensais trop, ou pas de la bonne manière. Et des mots de plus en plus entendus pour dénommer ceux qui regardaient les garçons comme ça, tendrement, rêveusement, érotiquement, alors qu'ils n'étaient pas des filles : des PD, des tapettes, des tarlouzes.
J'avais quatre ans lorsque j'ai entendu le mot PD pour la première fois.
Ma grand-mère paternelle a dit à ma mère qu'elle me couvait trop, et que si elle continuait comme ça, elle ferait de moi… un PD. Ma mère n'a pas du tout apprécié et le lui a montré. Elle a du caractère ma mère, mais j'ai senti que ça l'avait travaillé. Et que si ma grand-mère disait vrai, elle porterait quand même une sacrée responsabilité, une sacrée… culpabilité. Alors, elle m'a moins couvé. Ce qui n'était pas plus mal - ses jupes commençaient à me lasser, je n'ai jamais été un fils à maman, en tout cas pas de mon plein gré – mais, bien entendu, ça n'a strictement rien changé à mon orientation sexuelle. Le mal était déjà fait ? Non.
Nous ne sommes pas vos pâtes à modeler. On se modèle nous-mêmes, comme on peut, et pour la plupart d’entre vous vous nous aidez, vous nous aimez - souvent à la fois follement et mal mais c'est normal - mais par pitié évitez s'il vous plaît cette dégoûtante notion de culpabilité qu'un jour de colère vous pourriez bien nous renvoyer à la gueule. Ça m'est arrivé, c'est absurde et ça fait drôlement mal. Ma grand-mère n'a rien prédit du tout. Elle a juste voulu faire une pique à sa belle-fille. Un classique. Et ça a parfaitement marché.
Je l'aimais bien cela dit, ma grand-mère. Une autre fois, je me souviens, elle a raconté une blague : un bateau coule, un autre navire vient secourir les passagers, les femmes et les enfants d'abord, et puis les hommes. Mais quelqu'un est toujours à bord, l'air embêté. Il finit par crier (il faut prendre une voix aiguë, efféminée, pour comprendre la "blague") : "Et moi alors ?". On l'a bien compris, pendant trop longtemps, on a pensé qu'être homosexuel c'était soit mimer les potentielles spécificités de l'autre sexe, soit être un malsain ou un drôle mélange des deux. J'ai un respect exactement équivalent pour les hommes et les femmes, mais je suis attiré sexuellement, affectivement et amoureusement, par les hommes - tout en étant un homme. C'est aussi simple que ça.
Et il m'a fallu trente ans pour le dire.
J'avais 17 ans quand j'ai fait l'amour pour la première fois et j'avais 17 ans aussi quand ma mère a vu le truc venir, a pâli et m'a balancé d'un ton si dur que j'ai failli la croire : "je te préviens, si t'es PD je ne veux plus te voir". Je sais que tu regrettes maman, et je t'en veux pas du tout.
Toi aussi papa d'ailleurs je ne t'en veux pas de cette fois où on était bourré, j'avais 24 ans je crois et j'ai dit : "tu sais, je suis PD". J'ai moi-même utilisé le mot PD. Et toi, t'as dit : "c'est peut-être la faute de ta mère. Et puis non, c'est de la mienne, j'ai été trop absent, je n’ai pas vu le truc venir, j'ai pas su réagir". Tu voulais faire bien, mais Dieu que tu t'y prenais mal. En revanche, et t'as insisté là-dessus, clairement : moi, en tout cas, je n’y étais pour rien. Et ça c'était bouleversant : tu ne voulais pas que ce soit ma faute. Tu cherchais quand même un coupable, un truc qui avait raté, déraillé, le divorce, tes beuveries, et j'ai ri parce que non, rien à voir. N'empêche que le lendemain, dessaoulé, honteux, je ne riais plus, et lâchement, j'ai dit "je déconnais, c'était une blague". Et toi t'as dit ces mots qui sont restés gravés dans mon cœur eux aussi, ça a cicatrisé tinkiet, tu n’as pas fait exprès, tu ne savais pas, tu voulais même bien faire, mais tu étais soulagé - je l'ai vu. Je l'ai entendu même. Parce que t'as dit : "ouf, mon fils n'est pas PD".
J'ai eu des parents aimants, tolérants, intelligents. Alors pourquoi ? Pourquoi ces ratés ?
Pourquoi maman il a fallu que je sois bourré, à 28 ans, pour te dire que j'étais homo depuis tout le temps ? Et toi papa, 24 ans. Et toi mamie, 32 ans. Il y a des parents qui chassent vraiment leurs enfants, qui les mettent à la rue et qui jurent de les tuer s'ils reviennent. Nous, on a juste perdu beaucoup de temps. Vous vous êtes excusés le jour où vous avez compris que j'en souffrais horriblement. Vous m'avez dit : "on voulait te protéger, c'est inquiétant, car les gens ne sont pas tolérants. On ne veut pas que tu sois malheureux, que tu souffres, tu sais, ne serait-ce que du jugement de la société. Elle est dure la société, elle est conne, tu vas t’en prendre plein la gueule."
Mais c'était vous, la société. Ce regard apeuré que vous lanciez sur votre enfant aimé, ce regard ignorant sur votre enfant souffrant, ce n’était pas un regard de parent - c'était le regard de la société. C'était votre culpabilité, votre regard de passants sur deux amants qui se tiennent la main dans la rue, votre aveuglement inconscient, votre fils que vous ne vouliez pas voir vraiment, entièrement, parce que t'aurais pu ne pas être homo, non ? Ça aurait été tellement plus simple.
Je vous aime. Mais on a perdu tant d'années.
J'avais trente ans quand j'ai commencé à dire facilement que j'étais gay. Trente ans. On n'est pas en Iran, on est en France. L'homophobie est présente je le sais, mais c'est comme ça, je suis homosexuel. Imaginez dire à un noir « c'est con que tu sois noir » parce que la société est raciste ? Il va se maquiller la peau ? Il y a des risques, des dangers, des timbrés, mais comme partout.
Je suis tombé amoureux de trois femmes (j'exclus Marie, j'étais trop petit), et je leur ai fait du mal en n'acceptant pas ce caractère définitif d'une libido portée dans mon cas sur les hommes. Tiens d'ailleurs, parce que ce texte est un message à tous les tolérants, à tous ceux qui sont de bonne volonté, parce que les casseurs de PD, les homophobes proclamés, qu'ils aillent se faire enculer, j'aimerais adresser un message à tous les parents. Informez vos enfants, attendez qu'ils soient adolescents si vous le souhaitez, mais dites-leur qu'il y a toujours eu, partout, sur cette terre, des hétérosexuels, des gays et des lesbiennes.
Et dites-nous que si on vous avait posé la question, alors que vous nous attendiez, alors qu’on n’était même pas né, de savoir si vous préféreriez qu'on soit homo ou hétéro, vous auriez répondu sans hésitation aucune : « je m'en fous complètement. Tu seras ce que tu seras ». Et de là, avec mon aide, en tout cas tant que tu la voudras, je voudrais juste que tu sois le plus heureux possible.
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a-room-of-my-own · 4 years
Note
Ce documentaire "Petite Fille" ça me fait un peu penser à cette femme qui passait à la télé il y a quelques mois avec "Lily". J'avais vu des extraits de son passage et en écoutant parler l'enfant j'étais mal à l'aise parce qu'on aurait vraiment dit la récitation d'un texte prédéfini.
Oui c'est un peu pareil. Et ce sont toujours de petits garçons. J'ai comme l'impression que les gens se rendraient mieux compte de l'énormité de la chose si on parlait d'une petite fille "garçon manqué". Mais il y a une telle répulsion pour les garçons "efféminés" que là ça marche. Non ça n'est pas une future "folle" c'est juste une "petite fille" qui aime le rose et les paillettes. Que personne ne pointe ça me paraît toujours surréaliste !
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