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francepittoresque · 1 year ago
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22 juin 1586 : mort du médecin Louis Duret, l’« Hippocrate de France » ➽ http://bit.ly/Louis-Duret Médecin de Charles IX et de Henri III, grand praticien, éclairé par l’anatomie, guidé par le raisonnement, nourri et mûri par l’expérience, Louis Duret professa toute sa vie cette doctrine que le rôle du médecin est presque uniquement d’imiter la nature
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qmliberteedit · 2 years ago
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Louise Bourgoin in Hippocrate (Season 1)
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nnuulll · 30 days ago
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La première description exacte du clitoris date de 1998...
Auparavant...
Début XXe s., Freud tient encore à ce que la "vraie" jouissance féminine soit "jouissance vaginale", d'où la sympathie de sa disciple Marie Bonaparte pour l'idée de... l'excision, comme soin éventuel de l'hystérie !
Le clitoris, sert, au mieux, à permettre des "préliminaires", postulant que toute stimulation non-coïtale soit "préliminaire" !
Dans un manuel de Sexologie contemporaine (c'est son titre) de 1980, on lit : "Le contact oral-génital est un préliminaire régulier à la copulation chez plusieurs mammifères". Ledit manuel concède bien (heureusement) que "l'établissement de ce fait ("préliminaire") n'a pas de valeur explicative directe de la fellation et du cunnilingus chez l'humain". Laissons de côté la confusion habituelle entre le cunnilinctus (ou cunnilinctio) et le cunnilingus (l'acteur de la cunnilinctio)... Constatons simplement le présupposé commun qui veut que la fonction du clitoris soit de préparer la copulation, ipso facto privilégiée ; liée à la mise en parallèle de la génitalité féminine et de la génitalité masculine, en regard de la fonction procréatrice : chez l'homme, l’organe du plaisir et celui de la procréation sont confondus, quand la génitalité féminine distingue physiquement les deux fonctions. Schématiquement, l'homme jouissant (sans que la jouissance féminine soit nécessaire) éjacule une substance potentiellement procréatrice : la conclusion qui semblait s'imposer consiste à considérer le vagin comme l’équivalent féminin du pénis (on retrouve le parallèle jusque dans la description des prises électriques : mâles ou femelles).
Les descriptions de l’Antiquité déjà (et ce jusqu'en 1998) limitent le clitoris à sa partie visible, le gland, et au mieux, admettent qu'il favorise la jouissance féminine en vue de... la procréation (Hippocrate parle d'un "sperme" féminin devant se mélanger au sperme masculin pour que la fécondation ait lieu). Sinon, le clitoris semble inutile, voire nuisible. Ce que l'on retrouve à l'ère moderne, malgré les découvertes qui ont lieu depuis le XVIe s. :
"Au cours d’un procès en sorcellerie en 1593, le magistrat instructeur — un homme marié — découvrit pour la première fois l’existence du clitoris. Il l’identifia comme étant un mamelon du diable, preuve irréfutable de la culpabilité de la sorcière. C’était une « petite excroissance de chair, pointant à la manière d’un mamelon, et longue d’un demi-pouce ». Et ledit magistrat « l’ayant aperçue au premier coup d’œil, quoique sans regarder de trop près cependant, car jouxtant endroit si ténébreux que point n’est décent d’y porter le regard. Mais ne voulant pas, finalement, garder par-devers soi découverte si étrange », la montra à divers assistants. « Lesquels assistants déclarèrent n’avoir jamais vu chose semblable. » Et la femme fut condamnée comme sorcière." (Eve Ensler, Les monologues du vagin).
Croyant, ledit magistrat ne pouvait pas concevoir que le "mamelon" qu'il découvrait puisse être une création divine (sans parler de ce à quoi "sert" habituellement un "mamelon” : être sucé) !... Or cette incapacité d'un croyant à concevoir que le Créateur ait conçu cet aspect-là de la création est extrêmement répandue !
De haute époque jusqu'à aujourd'hui... Que ne voit-on pas défiler des foules en colère contre ce qu'elles intitulent “blasphème" (propos ou dessins) ! Les mêmes chez qui, pour nombre d’entre eux, l’excision se pratique abondamment… Étrange aveuglement qui use de ce terme, “blasphème", pour quelques propos ou dessins, mais qui semble n’être pas heurté outre mesure par un geste qui porte atteinte à une œuvre du Créateur (s’il y a un Créateur, le clitoris lui est dû, que l’on sache !) — qui est de plus un signe de sa bonté ! Signe le plus incontestable de sa bonté puisqu'il ne sert qu'au plaisir !
Cela vaut pour toutes les religions ou philosophies qui admettent un Dieu créateur et bon (scandale que la "tradition" de l’excision ; scandale qu’un temps colonial se prétendant "porteur des lumières" de la modernité, et n’y trouvant rien à redire ; scandale qui voit se perpétuer de nos jours une telle pratique) : atteinte non seulement à l’Auteur de la création, mais à l’idée de sa bonté !
Arthur Schopenhauer, début XIXe s., mettait en doute la bonté du monde parce qu’il considérait que tout y était le fruit d’un ténébreux vouloir-vivre, aveugle et utilitariste. La sexualité en premier lieu était pour lui le signe de cette malignité utilitariste du monde ; n’ayant d’autre fonction que de pousser les espèces à se perpétuer, pour ne pas dire à grouiller, en détruisant tout ce qui leur fait obstacle. (Schopenhauer est suivi, mutatis mutandis, par un courant de pensée récent intitulé "psychologie évolutionniste" ou "biologie évolutionniste", qui le reprend et le développe en regard de la science contemporaine.) Bref, dans cette perspective, rien, effectivement, ne garantit que le Créateur soit bon !
Mais ne voilà-t-il pas que le clitoris, honoré positivement par la Bible (Cantique des Cantiques ch. 5 et ch. 7), mais qui semble avoir échappé à Schopenhauer, vient contredire cet aspect de son propos ! Voilà qui dit que le désir n’est pas seulement un piège tendu par le vouloir-vivre en vue du grouillement de l’espèce ! Il est inutile à la reproduction. Il est bonté gratuite, que ne peuvent pas percevoir les témoins d’un diable mutilateur qui joue dans la Création à donner raison aux tenants d’un méchant vouloir-vivre. Les pratiquants de l’excision sont témoins d’un dieu bien étrange, eux qui ne veulent pas savoir cette bonté gratuite… Ignorant volontairement que c'est peut-être là la dernière trace restant du paradis perdu…
Mais peut-être Schopenhauer en a t-il eu l'intuition… Guido Ceronetti écrit : "Les étreintes bucco-génitales, dit avec raison Fromm, ne sont pas des perversions, car la perversion est caractérisée par une tendance à détruire, à étouffer la vie. (C'est ce que Schopenhauer dit de l'injustice, étouffement d'une volonté par une autre.) La maxime de Chamfort : Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi ni aux autres, appliquée aux relations sexuelles, est parfaite ; la perversion est le mal fait à autrui sans son consentement. (Mais même avec son consentement il reste le mal, et étouffer la vie, ou la volonté des autres, est toujours le mal pour celui qui accomplit cet acte.)" (Guido Ceronetti, Le silence du corps, LdP p. 113-114)
Cela précisé, que dire de ceux qui préfèrent voir un blasphème dans des mots ou des dessins plutôt que dans ce geste calomniant le Créateur ? Blasphème en effet que de mutiler l’organe mystérieux en s’inscrivant en faux contre son Créateur (privant les femmes du don de cet organe — et privant du même coup les hommes de partager le plaisir qu'il promet, d'où peut-être une dimension vengeresse des femmes qui officient traditionnellement pour la mutilation) !…
Mais, de haute Antiquité, tous n'ont pas succombé à cette calomnie-là : la tradition juive, dans la Bible, où le Cantique des Cantiques (ch. 7) évoque clairement un rêve de cunnilinctio : "le bas de ton ventre est une coupe ronde où le vin parfumé ne devrait pas manquer" (trad. BFC) ; ou la civilisation chinoise de l'Antiquité offrant la métaphore relevée par Octavio Paz (Conjonctions et disjonctions) :
"Un paysage chinois n’est pas une représentation réaliste, mais une méta­phore de la réalité cosmique : la montagne et la vallée, la cascade et l’abîme sont l’homme et la femme, yang et yin en conjonction ou en disjonction. La Grande Médecine des Trois Sommets se trouve dans le corps féminin et se compose de trois sucs ou essences : l’un qui vient de la bouche de la femme, un autre de ses seins et le troisième, le plus puissant, de la Grotte du Tigre Blanc, qui se trouve au pied du Sommet du Champignon Pourpre (le mont de Vénus). Ces métaphores mi-poétiques mi-médicales expliquent, dit Rawson, la popularité de la cunnili[n]ctio : “cette pratique était une excellente méthode pour s’imprégner du précieux liquide féminin” […] du ch’i féminin, considéré comme la manifestation la plus pure de l’essence yin. Je précise : essence dans le sens matériel plutôt que philosophique, fluide plutôt qu’idée."
Ci-dessous après les fleurs et les fruits, quelques jolies illustrations...
N.
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kubelictitles · 4 months ago
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Hipócrates (Thomas Lilti. 2014)
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kubelicatthemovies · 5 months ago
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Hipócrates (Thomas Lilti. 2014)
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fyeahfrenchmovies · 7 months ago
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Hippocrate 3 - affiche
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whencyclopedfr · 8 months ago
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Hygie, Déesse de la Santé
La médecine moderne trouve son origine dans le monde antique. Les civilisations les plus anciennes utilisaient la magie et les herbes pour guérir leurs malades, mais elles avaient également recours à la religion pour les mettre à l'abri du danger et protéger leur santé. Les soins médicaux d'aujourd'hui trouvent leur origine dans la Grèce antique. L'introduction d'Asclépios et d'Hygie (alias Hygée) à Athènes donna naissance à un culte de la guérison très important, qui exista d'environ 500 avant notre ère jusqu'à 500 ans après notre ère. Hygie joua un rôle très particulier dans la religion grecque en raison de son identité floue. Elle fut associée à Asclépios au Ve siècle avant notre ère et, ensemble, ils devinrent le couple de guérisseurs le plus célèbre du monde grec et romain. L'un des principaux problèmes est l'identité d'Hygie. Plusieurs noms lui furent attribués, qui s'entrecroisent sans cesse dans la littérature moderne de la fin du XIXe siècle. Des termes tels que déesse, personnification, abstraction et extension d'Asclépios ne sont que quelques-unes des étiquettes qui lui furent données. Il est intéressant de se demander pourquoi les scientifiques et les historiens modernes utilisent des noms différents pour Hygie, alors que les sources anciennes affirment littéralement qu'il s'agissait bel et bien d'une déesse. Le premier serment d'Hippocrate en est un exemple: "Je jure par Apollon médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin, de remplir, selon ma capacité et mon jugement, ce serment et ce contrat". (Serment d'Hippocrate)
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philoursmars · 1 year ago
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle.
La Rochelle : l'extraordinaire rue de l'Escale, où l'on semble remonter le temps d'un bond de quatre siècles dans le passé !
Ici, cette demeure possède des gargouilles de monstres et des statues de grands médecins et savants antiques : entre autres, Avicenne, ou Hippocrate...
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cosmicquilt · 11 months ago
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Everything changes but nothing's new.
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thoodleoo · 2 years ago
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no more using webmd to self-diagnose when you're sick and scaring yourself! from now on this is the only online medical resource anyone should use to determine their illness
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thoughtkick · 10 months ago
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The natural healing force within each of us is the greatest force in getting well.
Hippocrates
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francepittoresque · 2 years ago
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22 juin 1586 : mort du médecin Louis Duret, l’« Hippocrate de France » ➽ http://bit.ly/Louis-Duret Médecin de Charles IX et de Henri III, grand praticien, éclairé par l’anatomie, guidé par le raisonnement, nourri et mûri par l’expérience, Louis Duret professa toute sa vie cette doctrine que le rôle du médecin est presque uniquement d’imiter la nature
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resqectable · 7 months ago
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The natural healing force within each of us is the greatest force in getting well.
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quotefeeling · 1 year ago
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The natural healing force within each of us is the greatest force in getting well.
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perfectquote · 1 year ago
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The natural healing force within each of us is the greatest force in getting well.
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out-of-context-ds9 · 1 year ago
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